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  • Chaleurs accablantes : rĂ©coltes et bĂ©tail fragilisĂ©s 
    Les chaleurs accablantes enregistrĂ©es au Bas-Saint-Laurent, la semaine derniĂšre, ont entraĂźnĂ© des consĂ©quences sur le milieu agricole et ses producteurs. La propriĂ©taire de la Ferme Ciboulette Inc. Ă  Saint-Pierre-de-Lamy dans le TĂ©miscouata, Julie Gagnon, vit un Ă©tĂ© sans vĂ©ritable Ă©quilibre pour les rĂ©coltes.  « Au dĂ©but de l’annĂ©e, il y a eu beaucoup de pluie. Le printemps a Ă©tĂ© plus tardif que l’annĂ©e derniĂšre. Pendant un bout de temps, on avait un surplus hydrique. Il y avait beaucoup d
     

Chaleurs accablantes : rĂ©coltes et bĂ©tail fragilisĂ©s 

20 août 2025 à 14:00

Les chaleurs accablantes enregistrées au Bas-Saint-Laurent, la semaine derniÚre, ont entraßné des conséquences sur le milieu agricole et ses producteurs.

La propriĂ©taire de la Ferme Ciboulette Inc. Ă  Saint-Pierre-de-Lamy dans le TĂ©miscouata, Julie Gagnon, vit un Ă©tĂ© sans vĂ©ritable Ă©quilibre pour les rĂ©coltes. 

« Au dĂ©but de l’annĂ©e, il y a eu beaucoup de pluie. Le printemps a Ă©tĂ© plus tardif que l’annĂ©e derniĂšre. Pendant un bout de temps, on avait un surplus hydrique. Il y avait beaucoup d’eau dans le sol, alors qu’en ce moment, on est en pĂ©riode de sĂ©cheresse. Le systĂšme d’évaporation est Ă  son maximum », indique madame Gagnon, aussi premiĂšre vice-prĂ©sidente de l’UPA du Bas-Saint-Laurent, responsable du comitĂ© de prĂ©vention et trĂ©soriĂšre.

Ces conditions mĂ©tĂ©orologiques forcent les producteurs Ă  irriguer leurs champs, mais que le processus demeure complexe puisqu’ils doivent aussi s’assurer de ne pas manquer d’eau. Ce ne sont pas non plus tous les agriculteurs qui sont Ă©quipĂ©s pour le faire.

« Ça reprĂ©sente des coĂ»ts et des heures supplĂ©mentaires. On a aussi semĂ© plus tard, donc la saison a dĂ©butĂ© plus tard, mais la chaleur fait en sorte que la maturitĂ© va beaucoup plus vite. Ainsi, la taille des lĂ©gumes sera plus petite. »

Baisse de rendement

C’est le mĂȘme enjeu pour les productions animales. L’excĂšs de chaleur affecte notamment les vaches laitiĂšres.

Pour Ă©viter une baisse de rendement, les agriculteurs doivent garder leurs animaux Ă  l’intĂ©rieur en installant des systĂšmes de ventilation.

« Ce sont aussi des coĂ»ts supplĂ©mentaires qui ne sont pas assumĂ©s dans les coĂ»ts de production et au bout de la ligne, on fait le mĂȘme prix », souligne Julie Gagnon.

Il est rare que les producteurs agricoles s’accordent la mĂȘme courtoisie que leurs animaux. (Photo courtoisie)

Les agriculteurs ont le rĂ©flexe de se soucier du bien-ĂȘtre de leurs animaux. Il est plus rare qu’ils s’accordent la mĂȘme courtoisie.

« Il y en a qui commence tĂŽt, qui vont dans les champs et c’est tout un travail Ă  faire dans des chaleurs comme ça. Il faut prendre des pauses et boire de l’eau. AprĂšs, comme il s’agit de notre production et de notre entreprise, il arrive qu’on mette ça de cĂŽtĂ©, comme producteur. C’est pour ça qu’il faut se rappeler qu’on doit ĂȘtre encore lĂ  le mois ou l’an prochain. Le bien-ĂȘtre humain demeure un aspect non nĂ©gligeable. »

Important nuage de poussiĂšre

Yannick CĂŽtĂ© de la Ferme Coya et des Bergeries du village, Ă  Les Hauteurs, a Ă©galement constatĂ© des impacts sur sa production. Ses champs Ă©taient trĂšs secs, Ă  un point tel que lors de l’épandage du fumier, un important nuage de poussiĂšre s’est formĂ©, ce qui est inhabituel.

L’épandage du fumier et la poussiĂšre qui se forme sur la propriĂ©tĂ© agricole de Yannick CĂŽtĂ©. (Photo courtoisie)

« MalgrĂ© tout, mes champs ne sont pas jaunes. Ils ne sont pas brĂ»lĂ©s par la sĂ©cheresse, alors ce n’est pas encore dramatique. Ce qui a Ă©tĂ© le plus dur, c’était du cĂŽtĂ© des animaux, dans la ferme. » Le 2vice-prĂ©sident de l’UPA du Bas-Saint-Laurent rapporte que ses 45 vaches laitiĂšres ont vu leur production diminuĂ©e pendant la chaleur extrĂȘme.  

« Dans ces cas-lĂ , on essaie de soigner les vaches plus tĂŽt, avant qu’il ne fasse trop chaud, pour avoir moins de mouvement. Notre systĂšme de ventilation fonctionne Ă  100 %, alors on essaie de diminuer notre prĂ©sence dans la ferme pour que les animaux bougent moins et aider Ă  garder la fraicheur, parce qu’il faisait extrĂȘmement chaud », ajoute monsieur CĂŽtĂ©.

Son systĂšme de ventilation qu’il a fait installer devra ĂȘtre revu. « On m’avait dit que ma ventilation Ă©tait bonne, mais je pense qu’il faudra quand mĂȘme revoir le tout, en raison des changements climatiques. »

Ces changements se font davantage ressentir dans le milieu depuis quelques années.

« Depuis cinq ou six ans, on s’en rend compte. Ça survient d’un coup sec, sans qu’on s’y attende. Parfois c’est le contraire. Il y a quatre ou cinq ans, j’avais vu ça une fois dans ma vie de gros vents, mais maintenant, il y en a trois ou quatre fois par an. »

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  • Je Raccroche attend toujours aprĂšs son financement
    À deux semaines de la reprise de ses activitĂ©s, le 2 septembre prochain, Je Raccroche est toujours en attente de son financement, ce qui complique la vie de ses dirigeants qui doivent puiser dans ses coffres pour payer les salaires de ses employĂ©s qui sont entrĂ©s au travail lundi pour prĂ©parer la rentrĂ©e. Je Raccroche est un organisme de raccrochage scolaire et socioprofessionnel pour les jeunes de 16 Ă  30 ans qui peuvent continuer leurs Ă©tudes secondaires et Ă©largir leurs connaissances sur l
     

Je Raccroche attend toujours aprĂšs son financement

20 août 2025 à 12:00

À deux semaines de la reprise de ses activitĂ©s, le 2 septembre prochain, Je Raccroche est toujours en attente de son financement, ce qui complique la vie de ses dirigeants qui doivent puiser dans ses coffres pour payer les salaires de ses employĂ©s qui sont entrĂ©s au travail lundi pour prĂ©parer la rentrĂ©e.

Je Raccroche est un organisme de raccrochage scolaire et socioprofessionnel pour les jeunes de 16 à 30 ans qui peuvent continuer leurs études secondaires et élargir leurs connaissances sur le monde.

Tout en offrant un accompagnement et un suivi adaptĂ© Ă  leurs besoins, Je raccroche s’échelonne d’aoĂ»t Ă  juin, Ă  raison de 30 heures par semaine, dans un local situĂ© au Centre de formation Rimouski-Neigette. Les jeunes peuvent s’inscrire Ă  n’importe quel moment et la durĂ©e de leur parcours dĂ©pend du temps qui leur sera nĂ©cessaire afin d’atteindre leurs objectifs.

« Le ministĂšre ne veut pas qu’on parle de retard, disons qu’il y a des dĂ©lais inhabituels dans le versement de notre financement. Lors des derniĂšres annĂ©es, on recevait notre financement Ă  la fin de juin ou au dĂ©but de juillet. Selon ce qu’on nous dit, ce ne sera pas avant la fin d’aoĂ»t ou le dĂ©but de septembre. Nous n’avons pas reçu d’explications pour justifier le tout Â», commente le directeur de l’organisme, Michel Lessard.

Diminuer les heures

« Nous avons dĂ» diminuer nos heures, la coordonnatrice et moi, pour s’assurer d’avoir assez d’argent dans le compte de fonctionnement pour les salaires des employĂ©s qui doivent se prĂ©parer pour l’arrivĂ©e des jeunes. L’ensemble de l’équipe a repris le travail mardi matin. Nous avons beaucoup de choses Ă  prĂ©parer et les rencontres d’accueil Ă  faire. On ne voulait pas prendre de retard. On devrait y arriver si l’argent arrive d’ici le dĂ©but de septembre, mais il ne faudrait pas que ça devienne une habitude Â», explique le directeur.

Le directeur de Je Raccroche, Michel Lessard (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)

L’organisme a reçu la confirmation du montant de son financement.

« C’est bien, mais ça ne nous donne pas d’argent pour prĂ©parer la rentrĂ©e. Je ne peux pas payer mes employĂ©s avec des promesses. Nous aurons une hausse d’une peu moins de 2%. Ce n’est pas Ă©norme, mais c’est satisfaisant dans les circonstances. Au moins, il n’y a pas de coupures Â», poursuit monsieur Lessard.

Pas de local Ă  payer

Monsieur Lessard se rĂ©jouit que l’organisme ne paye pas de local, appartenant au Centre de services scolaire des Phares.

« Une chance parce que nous devrions utiliser une marge de crĂ©dit, ce qui reprĂ©sente des frais dont nous ne serions pas responsables Â», prĂ©cise-t-il.

Michel Lessard souligne avoir toujours eu une trùs bonne collaboration du ministùre de l’Éducation, sans qui l’organisme n’existerait pas.

« On ne sait pas trop pourquoi, mais cela a pris beaucoup de temps cet Ă©tĂ© avant qu’on obtienne des rĂ©ponses. Le problĂšme, c’est qu’on ne peut pas stocker de l’argent pour prĂ©venir ce genre de dĂ©lais Â».

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  • Mathis Blanchette brille aux PanamĂ©ricains
    Le quilleur rimouskois Mathis Blanchette est revenu des Championnats panamĂ©ricains juniors, qui avaient lieu au Guatemala, avec des mĂ©dailles d’or et d’argent au cou. Il rĂ©alise ainsi un rĂȘve de remporter un titre Ă  l’international.  L’athlĂšte de 20 ans en Ă©tait Ă  quatriĂšme sĂ©lection sur l’équipe canadienne des moins de 21 ans. Il a dĂ©crochĂ© la premiĂšre position en Ă©quipe (quatre personnes) et la deuxiĂšme en trio lors de cette compĂ©tition qui se tenait du 9 au 17 aoĂ»t.  L’équipe masculine
     

Mathis Blanchette brille aux Panaméricains

20 août 2025 à 11:00

Le quilleur rimouskois Mathis Blanchette est revenu des Championnats panamĂ©ricains juniors, qui avaient lieu au Guatemala, avec des mĂ©dailles d’or et d’argent au cou. Il rĂ©alise ainsi un rĂȘve de remporter un titre Ă  l’international. 

L’athlĂšte de 20 ans en Ă©tait Ă  quatriĂšme sĂ©lection sur l’équipe canadienne des moins de 21 ans. Il a dĂ©crochĂ© la premiĂšre position en Ă©quipe (quatre personnes) et la deuxiĂšme en trio lors de cette compĂ©tition qui se tenait du 9 au 17 aoĂ»t. 

L’équipe masculine canadienne qui a remportĂ© la mĂ©daille d’or. (Photo courtoisie)

« Je ne m’y attendais pas vraiment. De gagner une mĂ©daille d’or internationale, c’était un de mes rĂȘves depuis que j’ai commencĂ© Ă  jouer aux quilles. C’était quelque chose pour moi. Nous Ă©tions vraiment contents et c’était une grande fiertĂ©. Il y avait beaucoup d’émotion. »

Un sport familial

Mathis Blanchette joue aux quilles depuis l’ñge de neuf ans. Il a commencĂ© parce que son pĂšre, Jean-François Blanchette, travaille au salon de Quilles Rimouski Ă  Pointe-au-PĂšre. C’est d’ailleurs ce dernier qui a lancĂ© un club junior local. 

Mathis avec ses soeurs Océance et Florence Blanchette qui jouent aussi aux quilles. (Photo courtoisie)

« Les quilles, c’est comme une grande famille. Tout le monde se connaĂźt, s’entend bien et s’entraide. C’est quelque chose que j’aime de ce sport. C’est aussi beaucoup de technique. Il y a toujours quelque chose Ă  travailler et Ă  apprendre. J’adore ça. C’est autant possible de jouer seul qu’en Ă©quipe », exprime Mathis Blanchette. 

Des quilles tous les jours

Bien qu’il travaille Ă  temps plein maintenant, le jeune homme arrive Ă  concilier son horaire professionnel avec sa passion. 

« Pendant la saison rĂ©guliĂšre, je joue tous les jours. C’est environ trois heures par jour la semaine et la fin de semaine c’est toute la journĂ©e. » 

En plus des compĂ©titions provinciales auxquelles il participe, Mathis prend part, pour une premiĂšre annĂ©e, Ă  diffĂ©rents Ă©vĂ©nements internationaux de la Professional bowlers association (PBA). Il sera d’ailleurs en SuĂšde la semaine prochaine.

Le Rimouskois en compagnie de ses coĂ©quipiers de trio avec qui il a gagnĂ© l’argent, Adam Jodoin de la Colombie-Britannique et Matys Bibeau de Sorel. (Photo courtoisie)

« À mon retour, j’ai plusieurs tournois au QuĂ©bec de prĂ©vus. Je vais probablement en faire quelques-uns aux États-Unis aussi et je vais refaire les qualifications pour l’équipe canadienne en janvier », dit-il. 

Prochain objectif

Son prochain dĂ©fi est d’atteint le top 40 de la PBA pour joindre le circuit professionnel. 

Mathis Blanchette a reprĂ©sentĂ© le Canada pour la premiĂšre fois aux Championnats du monde juniors de 2022 en SuĂšde. L’annĂ©e suivante, il a participĂ© aux Championnats panamĂ©ricains au PĂ©rou, oĂč il a Ă©tĂ© triple mĂ©daillĂ©, et l’an dernier il s’est rendu en CorĂ©e du Sud pour les mondiaux. 

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  • Le remaniement de la CAQ ne changera pas les choses
    Alors que la CAQ espĂšre donner un nouvel Ă©lan Ă  son gouvernement en remaniant son conseil des ministres, moins d’un QuĂ©bĂ©cois sur quatre croit que ce jeu de chaises musicales aura un rĂ©el impact. Par Mathieu Paquette, La Presse Canadienne Selon un nouveau sondage LĂ©ger, rĂ©alisĂ© pour le compte des mĂ©dias de QuĂ©becor, seuls 23 % des QuĂ©bĂ©cois estiment que le remaniement ministĂ©riel promis par le premier ministre François Legault donnera un nouvel Ă©lan au gouvernement caquiste. À l’inverse
     

Le remaniement de la CAQ ne changera pas les choses

20 août 2025 à 09:30

Alors que la CAQ espĂšre donner un nouvel Ă©lan Ă  son gouvernement en remaniant son conseil des ministres, moins d’un QuĂ©bĂ©cois sur quatre croit que ce jeu de chaises musicales aura un rĂ©el impact.

Par Mathieu Paquette, La Presse Canadienne

Selon un nouveau sondage Léger, réalisé pour le compte des médias de Québecor, seuls 23 % des Québécois estiment que le remaniement ministériel promis par le premier ministre François Legault donnera un nouvel élan au gouvernement caquiste.

À l’inverse, 58 % des participants au coup de sonde ont soutenu qu’ils ne s’attendent pas Ă  ce que François Legault rĂ©ussisse Ă  relancer son gouvernement avec cet exercice.

Monsieur Legault a déjà commencé à rencontrer certains de ses ministres en prévision de ce remaniement, qui est attendu dans les prochaines semaines.

Depuis la dĂ©faite cuisante subie par son parti Ă  l’élection partielle dans Arthabaska, la semaine derniĂšre, le premier ministre rĂ©pĂšte qu’il fera preuve d’« humilitĂ© » et qu’il sera Ă  l’« Ă©coute » des QuĂ©bĂ©cois.

Guilbault et Drainville

D’aprĂšs les rĂ©sultats du sondage LĂ©ger/QuĂ©becor, les QuĂ©bĂ©cois espĂšrent surtout que GeneviĂšve Guilbault et Bernard Drainville changeront de portefeuille.

Plus de la moitiĂ© des rĂ©pondants, 52 % prĂ©cisĂ©ment, ont dit vouloir que madame Guilbault quitte le ministĂšre des Transports et de la MobilitĂ© durable. Moins d’un rĂ©pondant sur quatre souhaite qu’elle garde ce poste.

Quant Ă  monsieur Drainville, 48 % des participants ont dit vouloir qu’il soit dĂ©logĂ© du ministĂšre de l’Éducation, contre 29 % qui espĂšrent le voir poursuivre son mandat.

Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville (Photo La Presse Canadienne- Jacques Boissinot)

Les répondants étaient plus nombreux à souhaiter que Christian Dubé, à la Santé, Sonia Lebel, au Conseil du Trésor, et Simon Jolin-Barrette, à la Justice, conservent leurs responsabilités actuelles.

Globalement, la proportion de rĂ©pondants qui ont dit ĂȘtre insatisfaits du travail du gouvernement Legault a continuĂ© de s’accroĂźtre. Elle s’est Ă©tablie Ă  67 %, alors qu’elle Ă©tait de 65 % en juin.

PrĂšs d’un rĂ©pondant sur deux (49 %) souhaite que François Legault quitte son poste de chef de la Coalition avenir QuĂ©bec, alors que 26 % des participants ont dit espĂ©rer qu’il reste.

Monsieur Legault maintient qu’il sera sur les rangs lors des Ă©lections de 2026.

Le PQ gagne des appuis

En ce qui concerne les intentions de vote, le Parti quĂ©bĂ©cois se maintient en tĂȘte. Il rĂ©colte maintenant 35 % des appuis, en hausse de cinq points par rapport au sondage du mois de juin.

Le Parti libéral a pour sa part perdu deux points et obtient le soutien de 26 % des électeurs décidés. Aucun changement pour la Coalition avenir Québec, qui se maintient à 17 % des intentions de vote.

La baisse la plus marquée est survenue dans le camp du Parti conservateur, qui a vu ses appuis reculer de quatre points pour atteindre 10 %. Québec solidaire ferme la marche, alors que ses appuis restent stables à 9 %.

Le sondage Léger/Québecor a été réalisé en ligne du 15 au 18 août auprÚs de 977 Québécois.

Puisqu’il a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en ligne auprĂšs d’un panel, il est impossible de lui attribuer une marge d’erreur. À titre comparatif, la marge d’erreur maximale pour un Ă©chantillon de 977 rĂ©pondants est de ±3,1 %, 19 fois sur 20.

À lire aussi : MaĂŻtĂ© Blanchette VĂ©zina veut demeurer ministre

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  • Air Canada : la reprise des vols s’accĂ©lĂšre
    La reprise des vols d’Air Canada en AmĂ©rique du Nord doit s’accĂ©lĂ©rer progressivement, mercredi, alors que la compagnie aĂ©rienne poursuit le redĂ©marrage de ses activitĂ©s aprĂšs la grĂšve de trois jours de ses agents de bord. Par La Presse Canadienne Les avions d’Air Canada ont recommencĂ© Ă  voler mardi en fin de journĂ©e, aprĂšs une interruption complĂšte qui avait commencĂ© samedi. L’entreprise a fait savoir que, dans un premier temps, elle se concentrait sur la reprise des vols internationau
     

Air Canada : la reprise des vols s’accĂ©lĂšre

20 août 2025 à 08:30

La reprise des vols d’Air Canada en AmĂ©rique du Nord doit s’accĂ©lĂ©rer progressivement, mercredi, alors que la compagnie aĂ©rienne poursuit le redĂ©marrage de ses activitĂ©s aprĂšs la grĂšve de trois jours de ses agents de bord.

Par La Presse Canadienne

Les avions d’Air Canada ont recommencĂ© Ă  voler mardi en fin de journĂ©e, aprĂšs une interruption complĂšte qui avait commencĂ© samedi.

L’entreprise a fait savoir que, dans un premier temps, elle se concentrait sur la reprise des vols internationaux au dĂ©part. La montĂ©e en puissance dĂ©butera «vĂ©ritablement» mercredi matin pour les lignes nord-amĂ©ricaines principales.

La compagnie aĂ©rienne a averti que le retour Ă  un service rĂ©gulier complet prendra de sept Ă  dix jours, car les avions et les Ă©quipages ne sont pas positionnĂ©s lĂ  oĂč ils le devraient.

Certains vols continueront donc d’ĂȘtre annulĂ©s jusqu’à ce que l’horaire soit stabilisĂ©.

Plus de 10 000 agents de bord d’Air Canada ont fait la grùve. (Photo La Presse Canadienne- Christinne Muschi)

Air Canada offre Ă  ses clients dont les vols ont Ă©tĂ© annulĂ©s un remboursement complet ou un crĂ©dit pour un prochain voyage s’ils ne peuvent pas ĂȘtre rĂ©acheminĂ©s sur un vol d’une compagnie concurrente.

Air Canada et le syndicat qui reprĂ©sente ses plus de 10 000 de ses agents de bord ont conclu une entente de principe avec l’aide d’un mĂ©diateur fĂ©dĂ©ral mardi matin, ce qui a mis fin Ă  la grĂšve dĂ©clenchĂ©e samedi.

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  • Voyeurisme : StĂ©phane Marquis en attente de son procĂšs
    StĂ©phane Marquis reviendra devant le tribunal, le 9 septembre, pour fixer une date de procĂšs et connaĂźtre la dĂ©cision du juge sur la demande de la dĂ©fense de tenir des procĂšs sĂ©parĂ©s pour certaines accusations. Cette Ă©tape Ă©tait initialement prĂ©vue vendredi dernier (15 aoĂ»t) au palais de justice de Rimouski. L’homme de 47 ans, de Saint-Anaclet-de-Lessard, a plaidĂ© non coupable Ă  l’ensemble des chefs d’accusation auxquels il fait face. « Nous avons eu des discussions avec la dĂ©fense. Le min
     

Voyeurisme : StĂ©phane Marquis en attente de son procĂšs

20 août 2025 à 07:30

Stéphane Marquis reviendra devant le tribunal, le 9 septembre, pour fixer une date de procÚs et connaßtre la décision du juge sur la demande de la défense de tenir des procÚs séparés pour certaines accusations.

Cette Ă©tape Ă©tait initialement prĂ©vue vendredi dernier (15 aoĂ»t) au palais de justice de Rimouski. L’homme de 47 ans, de Saint-Anaclet-de-Lessard, a plaidĂ© non coupable Ă  l’ensemble des chefs d’accusation auxquels il fait face.

« Nous avons eu des discussions avec la dĂ©fense. Le ministĂšre public doit faire certaines vĂ©rifications afin de s’assurer que la preuve soit complĂšte Â», mentionnait la procureure de la Couronne, Me FrĂ©dĂ©rique Audet, le 27 juin dernier.

Au dĂ©part, StĂ©phane Marquis Ă©tait accusĂ© d’avoir observĂ© et/ou produit un enregistrement visuel de quatre femmes alors qu’elles se trouvaient dans un lieu oĂč l’on peut s’attendre Ă  ce qu’une personne soit nue.

Les Ă©vĂ©nements se seraient produits Ă  Saint-Anaclet-de-Lessard et Ă  Rimouski entre le 1er novembre 2023 et le 1er juillet 2024.

FlĂąnage et harcĂšlement criminel

On reproche Ă©galement Ă  StĂ©phane Marquis d’avoir flĂąnĂ© et/ou rĂŽdĂ© dans la nuit sur la propriĂ©tĂ© d’autrui, prĂšs de deux maisons et de s’ĂȘtre commis Ă  du harcĂšlement criminel envers une cinquiĂšme femme.

La dĂ©nonciation stipule que l’accusĂ© aurait soit suivi cette femme, communiquĂ©e de façon rĂ©pĂ©tĂ©e avec elle, cernĂ© ou surveillĂ© un lieu oĂč elle rĂ©side ou travaille, ou se serait comportĂ© de maniĂšre menaçante envers elle.

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  • Le Shaker et les Braves Batitech en mauvaise posture
    Pour un deuxiĂšme match de suite, le Shaker s’est inclinĂ© par la marge d’un point face au BĂ©rubĂ© GM de Trois-Pistoles victorieux par 4-3, mardi au Stade Paul-Émile DubĂ©.  La formation des Basques, derniĂšre au classement en saison rĂ©guliĂšre, mĂšne la sĂ©rie face aux champions du calendrier par 2-0.  AprĂšs que le Shaker ait pris les devants 1-0, le BĂ©rubĂ© GM a marquĂ© deux points en 2e manche et deux autres Ă  la manche suivante pour se donner une prioritĂ© de 4-1.  Benjamin Roy tente de retire
     

Le Shaker et les Braves Batitech en mauvaise posture

20 août 2025 à 00:42

Pour un deuxiĂšme match de suite, le Shaker s’est inclinĂ© par la marge d’un point face au BĂ©rubĂ© GM de Trois-Pistoles victorieux par 4-3, mardi au Stade Paul-Émile DubĂ©. 

La formation des Basques, derniĂšre au classement en saison rĂ©guliĂšre, mĂšne la sĂ©rie face aux champions du calendrier par 2-0. 

AprĂšs que le Shaker ait pris les devants 1-0, le BĂ©rubĂ© GM a marquĂ© deux points en 2e manche et deux autres Ă  la manche suivante pour se donner une prioritĂ© de 4-1. 

Benjamin Roy tente de retirer le coureur adverse (Photo : Jean-Claude Pelletier)

Ludovic Saucier (5 manches lancĂ©es) enregistre la victoire pendant que Tristan Michaud-ThĂ©riault obtient le sauvetage aprĂšs avoir fait le travail quand il s’est amenĂ© au monticule avec les buts remplis et aucun retrait. 

Benjamin Roy encaisse la dĂ©faite. Notons l’excellente sortie du releveur rappelĂ© du Baseball ID junior AA, FĂ©lix-Antoine Beaudet, qui a lancĂ© 3 2/3 manches blanchissant ses adversaires sur un seul coup sĂ»r et trois buts sur balles avec huit retraits au bĂąton.

Saucier a deux des coups sûrs des gagnants pendant que Mathew Ramos a frappé trois coups sûrs et produit trois points pour le Shaker.

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Alexis Roy glisse sauf au 2e but avec un but volé (Photo : Jean-Claude Pelletier)

Série B

Les Allées du Boulevard de Matane ont aussi pris les devants 2-0 dans leur série à la suite de victoires de 14-6 et 9-4, mardi soir, contre Témiscouata.

Les deux Ă©quipes ont d’abord terminĂ© le match suspendu dimanche en raison d’une panne d’électricitĂ©. Junior Coulombe a une soirĂ©e de 4 en 4 avec quatre points produits tandis que RaphaĂ«l BĂ©rubĂ© a un circuit. 

Keisuke Takikawa, qui a lancé le match complet, a retiré 16 frappeurs sur les prises. Gabriel Cyr est le lanceur perdant.

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Dans la partie no 2 de la série, Coulombe a lancé trois belles manches en relÚve pour sauvegarder la victoire de Jérémie Boucher. Kodai Kambara encaisse la défaite.

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À venir

Les deux sĂ©ries vont se poursuivre jeudi soir, Ă  19 h 30 Ă  Rimouski, et Ă  20 h au TĂ©miscouata. Aux deux endroits, l’équipe locale tentera d’éviter de se retrouver dans une situation prĂ©caire et de tirer de l’arriĂšre par 3-0 dans leur sĂ©rie. 

Reçu hier — 19 aoĂ»t 2025Journal Le Soir
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  • L’OcĂ©anic lessivĂ© Ă  Victoriaville
    Face Ă  des adversaires beaucoup plus expĂ©rimentĂ©s, l’OcĂ©anic a ratĂ© sa premiĂšre audition du calendrier prĂ©paratoire, s’inclinant 9-2 contre les Tigres, mardi soir, au Complexe Sani-Marc de Victoriaville. Bien qu’il ne s’agisse que d’un match hors-concours, les jeunes espoirs de JoĂ«l Perrault n’ont rien montrĂ© de convaincant, dominĂ©s 45-20 dans les tirs face Ă  une formation alignant seulement quatre recrues et disputant dĂ©jĂ  sa troisiĂšme rencontre du camp d’entraĂźnement. Les Tigres ont ouv
     

L’OcĂ©anic lessivĂ© Ă  Victoriaville

19 août 2025 à 21:12

Face Ă  des adversaires beaucoup plus expĂ©rimentĂ©s, l’OcĂ©anic a ratĂ© sa premiĂšre audition du calendrier prĂ©paratoire, s’inclinant 9-2 contre les Tigres, mardi soir, au Complexe Sani-Marc de Victoriaville.

Bien qu’il ne s’agisse que d’un match hors-concours, les jeunes espoirs de JoĂ«l Perrault n’ont rien montrĂ© de convaincant, dominĂ©s 45-20 dans les tirs face Ă  une formation alignant seulement quatre recrues et disputant dĂ©jĂ  sa troisiĂšme rencontre du camp d’entraĂźnement.

Les Tigres ont ouvert la marque dĂšs la 34e seconde grĂące Ă  Alexis Bourque. Victoriaville a ensuite poursuivi son travail de dĂ©molition avec les filets d’Alexey Vlasov, JĂ©rĂ©my Belleau (2), ThĂ©o Gravel, les deuxiĂšme et troisiĂšme de Bourque ainsi que ceux de LoĂŻk Gariepy (2).

Le premier choix europĂ©en de l’OcĂ©anic en 2025, Dovydas Jukna, a marquĂ© les deux buts de son Ă©quipe.

Devant le filet, Justin Vigneault, choix de 9e ronde de l’équipe en juin dernier, a cĂ©dĂ© six fois sur 19 lancers. En relĂšve, Jacob St-Cyr, un espoir de 2024, a arrĂȘtĂ© 17 des 20 tirs dirigĂ©s vers lui.

Les Bas-Laurentiens n’alignaient que deux vĂ©tĂ©rans, soit Anthony Gaudet et Logan Roop. Le premier choix de l’organisation au dernier repĂȘchage, Zack Arsenault, n’était pas en uniforme.

L’attaquant de l’OcĂ©anic, Anthony Gaudet (Photo courtoisie OcĂ©anic/Iften Redjah)

L’OcĂ©anic se tourne maintenant vers Shawinigan, oĂč il affrontera les Cataractes mercredi soir, au Centre Gervais Auto. Rimouski jouera devant ses partisans, vendredi soir, en recevant les SaguenĂ©ens de Chicoutimi.

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  • Les Sculpturales battent leur plein Ă  Sainte-Luce
    La Sculpturales de Sainte-Luce se poursuivent pour une 21e annĂ©e, jusqu’au 24 aoĂ»t, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques et ses environs. L’évĂ©nement, qui a dĂ©butĂ© hier, lundi, avec l’arrivĂ©e des quatre sculpteurs : Julien DorĂ©, Daniel Gauthier, Jean-François Gauthier et Marc Lepire, s’est poursuit ce mardi matin avec le commencement des activitĂ©s, marquant ainsi le lancement de la compĂ©tition de sculptures. Jusqu’au dimanche 24 aoĂ»t Ă  11 h, chaque artiste s’affairera Ă  la crĂ©ation d’un
     

Les Sculpturales battent leur plein Ă  Sainte-Luce

19 août 2025 à 19:00

La Sculpturales de Sainte-Luce se poursuivent pour une 21e annĂ©e, jusqu’au 24 aoĂ»t, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques et ses environs.

L’évĂ©nement, qui a dĂ©butĂ© hier, lundi, avec l’arrivĂ©e des quatre sculpteurs : Julien DorĂ©, Daniel Gauthier, Jean-François Gauthier et Marc Lepire, s’est poursuit ce mardi matin avec le commencement des activitĂ©s, marquant ainsi le lancement de la compĂ©tition de sculptures.

Jusqu’au dimanche 24 aoĂ»t Ă  11 h, chaque artiste s’affairera Ă  la crĂ©ation d’une sculpture sur bois individuelle, mesurant plus de deux mĂštres de hauteur.

Au terme de cet Ă©chĂ©ancier, les membres du public, qui sont invitĂ©s Ă  observer la progression des sculptures tout au long de la semaine, auront jusqu’à 15 h pour accorder leur vote Ă  leur Ɠuvre favorite.

Le prix « coup de coeur » du public sera ensuite dĂ©voilĂ© Ă  16 h 30, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques.

Programme des activités

Outre le symposium de sculptures sur bois qui se tient toute la semaine, le ComitĂ© des Sculpturales de Sainte-Luce a mis sur pied une programmation marquĂ©e par la musique et l’art de sculpter.

Le mercredi 20 aoĂ»t Ă  20 h sera prĂ©sentĂ© par les professeurs du Conservatoire de musique de Rimouski, Ă  l’église de Sainte-Luce, le concert « Musique autour du monde. »

« Ce sont des musiciens qui font des spectacles à travers le monde. Nous sommes chanceux de les avoir ici, dans notre municipalité », mentionne la mairesse de Sainte-Luce, Micheline Barriault.

Les billets du concert sont disponibles en ligne, via la plateforme lepointdevente.com, au coût de 20 $.

Le jeudi 21 aoĂ»t sera une journĂ©e plein air en famille avec de l’animation. Il sera toujours possible d’admirer le travail des artistes sculpteurs.

L’auteur-compositeur-interprùte Michel Pagliaro (Photo courtoisie)

Le vendredi 22 aoĂ»t, la municipalitĂ© de Sainte-Luce accueillera dĂšs 20 h le spectacle « Électrique Full Band » de Michel Pagliaro sur la scĂšne extĂ©rieure en bordure de mer, en face de l’église de Sainte-Luce. Les billets de ce spectacle sont aussi en vente via la plateforme lepointdevente.com, cette fois au coĂ»t de 25 $.

La fin de semaine

Le samedi 23 août, également sur la scÚne extérieure en bordure de mer, se tiendra dÚs 19 h « Drums sur Mer », en compagnie du musicien Julien Blais.

« C’est une premiĂšre au QuĂ©bec : nous y attendons une cinquantaine de percussionnistes », explique madame Barriault.

L’entrĂ©e Ă  cet Ă©vĂ©nement est gratuit. Il prĂ©cĂ©dera Ă  une prestation des quatre artistes sculpteurs qui participent Ă  la Semaine.

Un artiste sculpteur à l’oeuvre. (Photo Facebook – Les Sculpturales Sainte-Luce)

« À la tombĂ©e de la nuit, nos quatre sculpteurs nous feront une prestatation particuliĂšre avec des sculptures sur glace, mĂȘme si nous sommes en plein Ă©tĂ©. »

Le dimanche 24 aoĂ»t, les artistes sculpteurs auront jusqu’à 11 h pour terminer leur Ɠuvre.

« Par la suite aura lieu le vote du public. Vers 15 h, les sculpteurs feront de petites sculptures d’environ 18 Ă  24 pouces. Ces sculptures seront ensuite vendues Ă  l’encan, directement sur place. On terminera la Semaine avec le prix coup de cƓur du public. »

Un rallye sur les sculptures de Sainte-Luce

Comme l’an dernier, un rallye a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© spĂ©cialement Ă  l’occasion de la Semaine des sculpturales. Le parcours met en vedette les sculptures dĂ©jĂ  existantes dans la municipalitĂ© de Sainte-Luce.

Il est possible de se procurer le formulaire du rallye dĂšs maintenant au MarchĂ© de Sainte-Luce, au coĂ»t de 5 $. Le questionnaire devra ĂȘtre retournĂ© au mĂȘme endroit avant 17 h, le samedi 23 aoĂ»t.

Les gagnants seront ensuite dévoilés à 16 h, le dimanche 24 août.

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  • « Baluchon » : le plus petit voilier autour du monde Ă  Rimouski
    Le plus petit voilier Ă  avoir entrepris un tour du monde, Baluchon, est prĂ©sentement amarrĂ© Ă  la marina de Rimouski. Son capitaine, Yann Quenet, a rencontrĂ©, mardi, les curieux qui voulaient en apprendre un peu plus sur son pĂ©riple. L’aventurier français a lui-mĂȘme conçu sa petite embarcation de quatre mĂštres. Il est parti de Bretagne, il y a un peu plus d’un an, pour se rendre aux Antilles. « J’y ai passĂ© l’hiver. Au printemps, je suis remontĂ© vers Saint-Pierre-et-Miquelon, ce qui m’a pri
     

« Baluchon » : le plus petit voilier autour du monde à Rimouski

19 août 2025 à 18:00

Le plus petit voilier à avoir entrepris un tour du monde, Baluchon, est présentement amarré à la marina de Rimouski. Son capitaine, Yann Quenet, a rencontré, mardi, les curieux qui voulaient en apprendre un peu plus sur son périple.

L’aventurier français a lui-mĂȘme conçu sa petite embarcation de quatre mĂštres. Il est parti de Bretagne, il y a un peu plus d’un an, pour se rendre aux Antilles.

« J’y ai passĂ© l’hiver. Au printemps, je suis remontĂ© vers Saint-Pierre-et-Miquelon, ce qui m’a pris 39 jours. J’ai ensuite rejoint les Îles-de-la-Madeleine et je remonte petit Ă  petit le Saint-Laurent. Pour traverser l’Atlantique, j’ai fait des arrĂȘts sur quelques Ăźles. Du Cap-Vert jusqu’aux Antilles, c’est entre 20 et 30 jours », explique Yann Quenet. 

Ce dernier en est à son deuxiÚme tour du monde avec son petit voilier. Le premier a été fait entre 2019 et 2022. Il prévoit que celui-ci dure de trois à quatre ans.

« À l’intĂ©rieur, c’est une couchette avec plein de petits bidons de chaque cĂŽtĂ© oĂč il y a mes affaires mises Ă  l’abri des vagues. J’ai des boĂźtes de sardines et des nouilles chinoises pour me nourrir. Si on est Ă©picurien, on ne vient pas faire un tour du monde avec moi. J’ai aussi un panneau solaire, je suis bien Ă©quipĂ©. »

L’intĂ©rieur de la petite embarcation. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Le plus compliquĂ© pour monsieur Quenet est l’approvisionnement en eau.  

« Pour l’instant, je suis dans l’Atlantique donc ce sont de plus petites distances, mais dans le Pacifique les distances augmentent. La plus grande que j’ai faite est de 77 jours sans toucher terre. DĂšs qu’il pleut, il faut prĂ©voir de rĂ©cupĂ©rer l’eau de pluie. »

Un rĂȘve d’enfant

Pour Yann Quenet, ce type d’aventure est un rĂȘve d’enfant. 

« J’aime le fait d’ĂȘtre contemplatif, de prendre mon temps et de profiter des petits moments prĂ©sents.On apprend Ă  se connaĂźtre soi-mĂȘme et ce sont des expĂ©riences merveilleuses. J’ai appris tout seul Ă  naviguer. Personne ne faisait du bateau dans ma famille. Je ne sais pas si j’ai la bonne mĂ©thode, mais j’arrive Ă  faire avancer un bateau », dit-il. 

Yann Quenet Ă©tait de passage Ă  Rimouski. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

La nervositĂ© ne fait pas partie du vocabulaire de l’aventurier qui ne s’est jamais senti en danger Ă  bord de Baluchon. Lorsqu’il prend le large, il est sans moyen de communication avec la terre. 

« On va bien arriver quelque part un jour. En Atlantique, en faisant cap Ă  l’ouest au soleil couchant, on finit par arriver en AmĂ©rique. Ce n’est pas trĂšs confortable, mais ce n’est pas dangereux non plus. Il faut prendre le temps comme il vient. Parfois on va lĂ  oĂč l’on n’a pas dĂ©cidĂ© d’aller. »

Direction Pacifique

Le Français, qui doit s’adapter aux diffĂ©rentes saisons, compte passer l’hiver au Canada. 

« Comme mon bateau est tout petit, mon but est de traverser le Canada avec une remorque et une voiture pour rejoindre l’ouest du pays et de poursuivre mon voyage dans le Pacifique », indique l’explorateur. 

Yann Quenet et Baluchon devraient quitter Rimouski pour QuĂ©bec, mercredi, si les vents le permettent. 

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  • Un scrutin qui s’annonce sans surprises 
    Alors que la pĂ©riode de mise en candidature aux prochaines Ă©lections municipales est Ă  quelques semaines de commencer, la question demeure Ă  savoir oĂč seront les luttes dans les principales villes du Bas-Saint-Laurent et de la GaspĂ©sie ? À Rimouski, Guy Caron a rapidement manifestĂ© son intention de solliciter un deuxiĂšme mandat, en novembre dernier, Ă  un an du scrutin. Jusqu’à maintenant, aucun opposant n’a dĂ©montrĂ© d’intĂ©rĂȘt Ă  lui faire face.  En novembre 2021, l’ex-dĂ©putĂ© nĂ©odĂ©mocrate av
     

Un scrutin qui s’annonce sans surprises 

19 août 2025 à 17:00

Alors que la pĂ©riode de mise en candidature aux prochaines Ă©lections municipales est Ă  quelques semaines de commencer, la question demeure Ă  savoir oĂč seront les luttes dans les principales villes du Bas-Saint-Laurent et de la GaspĂ©sie ?

À Rimouski, Guy Caron a rapidement manifestĂ© son intention de solliciter un deuxiĂšme mandat, en novembre dernier, Ă  un an du scrutin. Jusqu’à maintenant, aucun opposant n’a dĂ©montrĂ© d’intĂ©rĂȘt Ă  lui faire face. 

En novembre 2021, l’ex-dĂ©putĂ© nĂ©odĂ©mocrate avait Ă©tĂ© Ă©lu avec 80 % des votes face Ă  l’ancienne conseillĂšre municipale du district Bic, Virginie Proulx.

« C’est clair que je me reprĂ©sente. Il y a beaucoup de travail qui a Ă©tĂ© fait. Mes prioritĂ©s Ă©taient le logement et l’harmonie au conseil municipal. Deux les deux cas, c’est au rendez-vous. Il y a le Costco qui a Ă©tĂ© approuvĂ©. Nous avons fait face Ă  la question de l’itinĂ©rance. Je pense que nous avons livrĂ© la marchandise pour rĂ©pondre aux principaux dĂ©fis et il y en aura d’autres auxquels nous devrons faire face. J’espĂšre avoir quelqu’un qui va se prĂ©senter contre moi afin que je puisse mettre mes propositions de l’avant et faire entĂ©riner ces propositions par la population Â», indiquait monsieur Caron au collĂšgue Alexandre D’Astous.

Aboutissement des projets

À Mont-Joli, Martin Soucy a Ă©galement confirmĂ©, en mars, son intĂ©rĂȘt de briguer un troisiĂšme mandat Ă  la mairie, mettant fin aux rumeurs voulant qu’il se porte candidat aux Ă©lections fĂ©dĂ©rales. Encore lĂ , il n’y a pas d’adversaire qui s’est manifestĂ© pour l’affronter. L’ex-policier de la SĂ»retĂ© du QuĂ©bec a Ă©tĂ© Ă©lu pour la premiĂšre fois en novembre 2017 et réélu sans opposition en 2021.

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo Le Soir.ca – VĂ©ronique BossĂ©)

« Nous avons accompli diffĂ©rentes avancĂ©es, comme le dĂ©veloppement de nouveaux quartiers rĂ©sidentiels (Pelletier-Lebel et Joliette) et du parc aĂ©roportuaire Pierre-De BanĂ©. Il reste encore beaucoup Ă  faire et je souhaite voir l’aboutissement des projets qui sont essentiels pour le futur de notre communautĂ© Â», expliquait monsieur Soucy par voie de communiquĂ©.

Dédier sa vie à la population

La mairesse sortante d’Amqui, Sylvie Blanchette, est seule sur les rangs pour novembre. En 2021, elle avait remportĂ© son poste avec 59 % des voix contre ses opposants, Normand Boulianne et Jean-Yves Fournier.

Sylvie Blanchette a Ă©tĂ© Ă©lue pour un premier mandat Ă  la mairie d’Amqui en novembre 2021 (Photo courtoisie – Ville d’Amqui)

« On dĂ©die quatre ans de nos vies aux gens qu’on reprĂ©sente. On doit donc faire le bilan de ces derniĂšres annĂ©es : qu’est-ce qui s’est passé ? Est-ce que c’était long ? Est-ce que ça s’est bien passé ? Je devais d’abord dĂ©terminer si j’étais prĂȘte Ă  donner 100 % de moi-mĂȘme Ă  la population d’Amqui et la rĂ©ponse est oui. Je veux ĂȘtre lĂ  pour dĂ©fendre les dossiers Â», avait dĂ©clarĂ© madame Blanchette lors de l’annonce de sa dĂ©cision, dans Le Soir, au dĂ©but de juin. 

Des majoritĂ©s Ă©crasantes 

MĂȘme scĂ©nario Ă  Matane oĂč le maire sortant, Eddy MĂ©tivier, est le seul Ă  confirmer le dĂ©sir de mettre son nom sur le bulletin de vote. En 2021, il avait rĂ©coltĂ© 66 % des voix face Ă  ses deux adversaires, Annie Veillette et Steven Grant.

À Sainte-Anne-des-Monts, le maire sortant, Simon DeschĂȘnes qui a Ă©tĂ© Ă©lu par acclamation en 2021, se prĂ©sente Ă  nouveau. Lors de sa premiĂšre Ă©lection en 2016, il avait enregistrĂ© une Ă©crasante majoritĂ© de 94 % lors d’une partielle sur son rival Denis Paquette. 

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  • Famille et politique : dure conciliation
    Jean-François Fortin baigne dans la politique depuis fort longtemps. Ex-dĂ©putĂ© fĂ©dĂ©ral et enseignant dans ce domaine au CĂ©gep de Rimouski, le maire de Sainte-Flavie sait tout ce qu’implique de se lancer en politique active. « Il y a une rĂ©alitĂ© qui existe Ă  l’effet que les candidats potentiels doivent considĂ©rer sĂ©rieusement s’ils sont prĂȘts Ă  se lancer dans une aventure qui implique une trĂšs grosse charge de travail. Ça peut paraĂźtre attrayant de vouloir changer les choses dans sa ville, mai
     

Famille et politique : dure conciliation

19 août 2025 à 16:00

Jean-François Fortin baigne dans la politique depuis fort longtemps. Ex-dĂ©putĂ© fĂ©dĂ©ral et enseignant dans ce domaine au CĂ©gep de Rimouski, le maire de Sainte-Flavie sait tout ce qu’implique de se lancer en politique active.

« Il y a une rĂ©alitĂ© qui existe Ă  l’effet que les candidats potentiels doivent considĂ©rer sĂ©rieusement s’ils sont prĂȘts Ă  se lancer dans une aventure qui implique une trĂšs grosse charge de travail. Ça peut paraĂźtre attrayant de vouloir changer les choses dans sa ville, mais il y a une complexitĂ© accrue et beaucoup plus de tĂąches qui incombent au milieu municipal. On pense autant Ă  la rĂšglementation qu’aux finances », explique monsieur Fortin. 

Il mentionne aussi les attentes des citoyens.

« Les gens croient parfois que les municipalitĂ©s ont tous les leviers pour faire bouger les choses alors que ce n’est pas le cas. Les villes ont des obligations Ă  remplir et certaines choses ne sont tout simplement pas de notre ressort. Le meilleur exemple qui me vient en tĂȘte est la gestion des routes. Si les petites rues sont sous notre responsabilitĂ©, les grandes artĂšres comme la route 132 sont dans la cour du gouvernement provincial. »

Rémunération à revoir

Pour Jean-François Fortin, l’ampleur de la tĂąche d’un Ă©lu municipal n’est souvent pas Ă  la hauteur du salaire qui l’accompagne.

« Pour les petites et moyennes villes, la compensation financiĂšre n’équivaut pas du tout la charge de travail qui augmente sans cesse. Ce n’est donc pas trĂšs attrayant pour un futur candidat, surtout pour quelqu’un qui occupe dĂ©jĂ  un emploi. La politique municipale implique que l’élu devra souvent faire des heures pratiquement bĂ©nĂ©voles Ă  la municipalitĂ© et ainsi sacrifier des heures rĂ©munĂ©rĂ©es Ă  son autre emploi. »

La politique municipale implique ainsi une grande disponibilitĂ© qui n’est pas facilement conciliable avec la vie de famille.

« Et l’exposition des Ă©lus Ă  la critique, parfois virulente, n’est pas Ă  nĂ©gliger non plus. Il y a des gens qui ne sont pas Ă  l’aise avec les critiques parce que celles-ci deviennent parfois des attaques. Et souvent, des personnes vont s’en prendre Ă  un Ă©lu sans avoir toute l’information pertinente sur un dossier ou un enjeu prĂ©cis », poursuit le maire de Sainte-Flavie.

Changer les choses 

Sur une note plus positive, monsieur Fortin croit que le milieu municipal offre beaucoup plus de leviers pour changer des choses qui touchent les citoyens dans leur quotidien et qui sont visibles sur le terrain. Contrairement aux niveaux plus élevés.

« On aimerait voir plus de jeunes, plus de femmes, mais il faut mieux les renseigner sur ce qui les attend. Ça peut ĂȘtre trĂšs valorisant d’apporter quelque chose de positif Ă  sa municipalitĂ©, mais il faut ĂȘtre capable d’aller chercher cette valorisation ailleurs que sur les rĂ©seaux sociaux. »

Élus exceptionnels ou manque de relùve ?

Le peu d’intĂ©rĂȘt pour les postes d’élus municipaux est-il une tendance gĂ©nĂ©ralisĂ©e Ă  l’aube des Ă©lections du 2 novembre prochain ? Le Soir a posĂ© la question Ă  quelques spĂ©cialistes en la matiĂšre.

Alors qu’on ne se rue pas aux portes Ă  un mois de l’ouverture des mises en candidature, il y a lieu de se demander dans combien de grandes municipalitĂ©s de l’Est-du-QuĂ©bec que les citoyens assisteront Ă  des couronnements sans opposition.

« Ça peut ĂȘtre un message clair que les maires ou mairesses en place sont apprĂ©ciĂ©s et qu’on ne souhaite pas de grand changement. C’est quelque chose qu’on voit souvent aprĂšs quelques mandats », indique le prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration quĂ©bĂ©coise des municipalitĂ©s, Jacques Demers. 

Des freins Ă  se lancer

D’un autre cĂŽtĂ©, monsieur Demers observe que les gens sont de plus en plus revendicateurs.

« Lorsqu’on regarde les mĂ©dias sociaux, on va souvent avoir des opinions bien arrĂȘtĂ©es avec un seul cĂŽtĂ© de la mĂ©daille. C’est la rĂ©sultante du manque de journalistes en rĂ©gion, qui mettraient les choses davantage en perspective. »

Les salaires anémiques sont aussi un frein, selon lui.

Jacques Demers en est à son deuxiÚme mandat en tant que président de la Fédération québécoise des municipalités. (Photo Facebook)

« Il faut qu’ils soient Ă  la hauteur des tĂąches qui sont rattachĂ©es au rĂŽle des Ă©lus. Ça donnerait une chance Ă  tout le monde, autant en augmentant les salaires des Ă©lus actuels et de motiver d’autres personnes Ă  se lancer. »

D’ailleurs, plusieurs Ă©lus sont des gens Ă  la retraite qui n’ont pas nĂ©cessairement un autre emploi Ă  temps plein pour mettre du pain et du beurre sur la table.

« Tout passe par le dialogue. Souvent les gens ignorent la quantitĂ© de travail qui a Ă©tĂ© investie avant d’en venir Ă  une dĂ©cision. Il y a aussi beaucoup d’impĂ©ratifs Ă  respecter. »

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  • Pionniers football : une Ă©quipe plus jeune
    AprĂšs une premiĂšre saison positive au plan des rĂ©sultats (fiche de 6-2), les Pionniers du CĂ©gep de Rimouski en football se donnent comme objectifs de demeurer compĂ©titifs et de se tailler une place en sĂ©ries.   Ce ne sera pas facile avec une Ă©quipe plus jeune que la normale au niveau collĂ©gial. Le nouvel entraineur-chef, Louis-David Goulet, confirme que de son contingent de 50 joueurs, Ă  peine le tiers portait les couleurs de l’équipe en 2024.  « On est content de la progression des jeunes
     

Pionniers football : une Ă©quipe plus jeune

19 août 2025 à 15:12

AprĂšs une premiĂšre saison positive au plan des rĂ©sultats (fiche de 6-2), les Pionniers du CĂ©gep de Rimouski en football se donnent comme objectifs de demeurer compĂ©titifs et de se tailler une place en sĂ©ries.  

Ce ne sera pas facile avec une Ă©quipe plus jeune que la normale au niveau collĂ©gial. Le nouvel entraineur-chef, Louis-David Goulet, confirme que de son contingent de 50 joueurs, Ă  peine le tiers portait les couleurs de l’équipe en 2024. 

« On est content de la progression des jeunes depuis le jour 1 du camp d’entrainement. On est Ă  crĂ©er une cohĂ©sion dans le groupe. On a uniquement 18 joueurs de l’édition 2024 qui sont de retour. On va pouvoir crĂ©er une nouvelle identitĂ© d’équipe », observe-t-il.

Louis-David Goulet (Photo Le Soir – RenĂ© Alary)

« L’objectif est de faire les sĂ©ries Ă©liminatoires. MalgrĂ© notre jeune Ă©quipe, on a quelques athlĂštes d’exception et de bons joueurs Ă  plusieurs postes-clĂ©s. On veut compĂ©titionner chaque semaine et terminer dans les quatre premiers au classement », poursuit-il. 

Six transferts

Aux 18 vĂ©tĂ©rans, il faut en ajouter six qui arrivent d’autres cĂ©geps Ă  la suite de transferts. L’un d’eux est le quart-arriĂšre, Nicolas Rioux, qui arrive des GĂ©ants de Saint-Jean-sur-Richelieu aprĂšs quatre annĂ©es passĂ©es dans le programme de l’école Le Mistral de Mont-Joli. 

« J’avais Ă©tĂ© recrutĂ© par Saint-Jean-sur-Richelieu en division 1. Ça a Ă©tĂ© un peu plus difficile lĂ -bas. Le niveau est beaucoup plus Ă©levĂ©. J’ai beaucoup appris, mais j’ai dĂ©cidĂ© de revenir dans la rĂ©gion pour toucher un peu plus au ballon », mentionne ce natif de Luceville. 

Nicolas Rioux (Photo Le Soir – RenĂ© Alary)

Il avait optĂ© pour la division 1 afin d’ĂȘtre recrutĂ© au niveau universitaire. « J’ai rĂ©alisĂ© lĂ -bas que tant qu’à ĂȘtre en D1 et jouer moins, j’aimais mieux prioriser le fait de jouer. Il y a des exemples de joueurs qui ont passĂ© de la division 3 au collĂ©gial Ă  la ligue universitaire. Si tu es bon, ils vont de trouver », observe-t-il.

Mathis Gagnon-Landry

VĂ©tĂ©ran de 2e saison, Mathis Gagnon-Landry jouera sur la ligne offensive aprĂšs avoir Ă©tĂ© utilisĂ© comme ailier rapprochĂ© en 2024. Le recrutement des derniers mois a provoquĂ© ce changement de position.

Mathis Gagnon-Landry (Photo Le Soir – RenĂ© Alary)

« On a beaucoup d’attentes cette saison en raison de notre fiche de 6-2, l’an dernier. On a une Ă©quipe jeune, mais nos recrues sont capables de progresser assez rapidement. On a une Ă©quipe prometteuse, mĂȘme si on a perdu plusieurs finissants », explique-t-il.

Gagnon-Landry s’attend de nouveau à ce que La Pocatiùre et Jonquiùre soient les clubs à battre cette saison.

« C’est contre eux qu’on aura le plus de fil Ă  retordre. Ce fut le cas, l’an dernier. Mais, on est confiant de pouvoir compĂ©titionner contre toutes les Ă©quipes. On commence contre La PocatiĂšre, on a hĂąte, on sait que ça va brasser et que ce sera une game tough. On est confiant », 

Les Pionniers, une famille

David Castonguay (Photo Le Soir – RenĂ© Alary)

Le prĂ©sident de l’équipe, David Castonguay, se dit particuliĂšrement fier de voir la grande famille des Pionniers s’agrandir. Signe que l’équipe amorcera sa 24e saison, il y a mĂȘme un joueur, RomĂ©o Michel, dont le pĂšre, Jean-Philippe, a aussi portĂ© les couleurs du club lors de la saison 1, en 2002. Les deux sont des quarts-arriĂšre.

« On voit le fruit de toutes ces annĂ©es de travail. On voit des anciens qui reviennent comme entraineurs, d’autres sur le conseil d’administration et dans le groupe de nos partenaires. En plus de cette belle histoire avec le fils d’un d’un ancien Pionnier. Le sentiment d’appartenance au programme est trĂšs fort », explique-t-il.

En bref

Les Pionniers ouvriront leur saison le samedi 30 aoĂ»t Ă  19 h 30 en recevant les Gaulois Ă  l’occasion du match des anciens. Le groupe local MUSH performera lors de la mi-temps
 Les trois autres parties locales seront jouĂ©es le samedi Ă  13 h
 Les abonnements de saison sont en vente au coĂ»t de 25 $
 En plus du tirage 50-50 Ă  chaque partie locale, les Pionniers lancent un grand tirage moitiĂ©-moitiĂ© qui va s’échelonner sur toute la saison


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  • Fermeture dĂ©finitive de PhysioÉnergie Ă  Squatec
    AprĂšs plus de 20 ans de prĂ©sence, le groupe PhysioÉnergie a confirmĂ© la fermeture dĂ©finitive de son point de service de Squatec, inactif temporairement depuis mars dernier en raison de contraintes liĂ©es au manque de personnel. MalgrĂ© les efforts de l’entreprise pour redĂ©ployer les ressources humaines et relancer les activitĂ©s au situĂ© au 149-B rue Saint-Joseph Ă  Squatec, les conditions nĂ©cessaires pour assurer un service de qualitĂ© n’ont malheureusement pas pu ĂȘtre rĂ©unies. « Afin de prĂ©se
     

Fermeture dĂ©finitive de PhysioÉnergie Ă  Squatec

19 août 2025 à 14:00

AprĂšs plus de 20 ans de prĂ©sence, le groupe PhysioÉnergie a confirmĂ© la fermeture dĂ©finitive de son point de service de Squatec, inactif temporairement depuis mars dernier en raison de contraintes liĂ©es au manque de personnel.

MalgrĂ© les efforts de l’entreprise pour redĂ©ployer les ressources humaines et relancer les activitĂ©s au situĂ© au 149-B rue Saint-Joseph Ă  Squatec, les conditions nĂ©cessaires pour assurer un service de qualitĂ© n’ont malheureusement pas pu ĂȘtre rĂ©unies.

« Afin de prĂ©server ses standards Ă©levĂ©s de soins et optimiser son rĂ©seau, PhysioÉnergie a pris la dĂ©cision difficile, mais responsable de mettre un terme dĂ©finitif aux opĂ©rations de ce point de service Â», explique la propriĂ©taire de PhysioÉnergie, Marie-AndrĂ©e Michaud.

Les patients touchĂ©s ont Ă©tĂ© accompagnĂ©s vers les autres cliniques de PhysioÉnergie Ă  TĂ©miscouata-sur-le -Lac, Saint-Cyprien ou DĂ©gelis, afin d’assurer une continuitĂ© de soins sans interruption.

« La pĂ©nurie de main-d’Ɠuvre spĂ©cialisĂ©e dans notre secteur d’activitĂ© dure depuis longtemps et malheureusement notre seule avenue afin de poursuivre des services de qualitĂ© en physiothĂ©rapie, rĂ©side dans une restructuration au niveau de l’entreprise. C’est un service hautement apprĂ©ciĂ© de la clientĂšle et des mĂ©decins, nous poursuivons dans nos trois autres points de service Â», prĂ©cise madame Michaud.

PhysioÉnergie remercie ses clients, la municipalitĂ© de Squatec et les mĂ©decins pour leur confiance et leur comprĂ©hension au cours des derniers mois.

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  • Han-Logement : retard pour 32 logements adaptĂ©s Ă  Rimouski
    Un dĂ©lai de financement par la SociĂ©tĂ© canadienne d’hypothĂšques et de logement (SCHL), causĂ© par la campagne Ă©lectorale fĂ©dĂ©rale du printemps dernier, retarde le chantier du projet de 32 logements adaptĂ©s de Han-Logement, dans le district de Pointe-au-PĂšre Ă  Rimouski. Le directeur des communications de l’organisme, Yves-Alexandre Comeau, explique que plusieurs dĂ©cisions de la SCHL, dont celles liĂ©es au financement, ont Ă©tĂ© suspendues pendant la campagne. « Cela a dĂ©placĂ© certaines phases
     

Han-Logement : retard pour 32 logements adaptés à Rimouski

19 août 2025 à 12:00

Un dĂ©lai de financement par la SociĂ©tĂ© canadienne d’hypothĂšques et de logement (SCHL), causĂ© par la campagne Ă©lectorale fĂ©dĂ©rale du printemps dernier, retarde le chantier du projet de 32 logements adaptĂ©s de Han-Logement, dans le district de Pointe-au-PĂšre Ă  Rimouski.

Le directeur des communications de l’organisme, Yves-Alexandre Comeau, explique que plusieurs dĂ©cisions de la SCHL, dont celles liĂ©es au financement, ont Ă©tĂ© suspendues pendant la campagne.

« Cela a déplacé certaines phases de construction », dit-il.

La livraison des quatre Ă©difices de huit logements chacun, prĂ©vue pour la fin de l’étĂ© 2025, est dĂ©sormais repoussĂ©e Ă  la fin de l’hiver ou au dĂ©but du printemps 2026.

« C’est notre deuxiĂšme projet Ă  Rimouski, aprĂšs celui de 16 logements sur la rue Grande-Ourse, dĂ©jĂ  rempli avant mĂȘme sa fin de construction. On s’attend au mĂȘme engouement pour celui de la rue des VĂ©tĂ©rans », souligne monsieur Comeau.

DestinĂ© Ă  des personnes en situation de handicap physique, intellectuel, vivant avec un trouble du spectre de l’autisme ou Ă  des aĂźnĂ©s nĂ©cessitant des adaptations, le complexe comptera 32 logements intĂ©grant chacun 55 amĂ©nagements spĂ©cifiques pour favoriser accessibilitĂ© et confort.

« Ces logements adaptĂ©s libĂ©reront des unitĂ©s rĂ©guliĂšres actuellement occupĂ©es par cette clientĂšle, faute d’alternatives », ajoute le porte-parole.

La Ville de Rimouski a cédé le terrain pour permettre la réalisation du projet.

Souper-bénéfice à RiviÚre-du-Loup

Afin de soutenir ses projets dans la rĂ©gion, Han-Logement tiendra un souper-bĂ©nĂ©fice le 18 septembre Ă  18 h, Ă  l’HĂŽtel LĂ©vesque de RiviĂšre-du-Loup.

L’évĂ©nement se dĂ©roulera en compagnie de l’humoriste Mario Jean et comprendra un spectacle ainsi qu’un encan.

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  • Adaptez votre jardin aux nouvelles donnĂ©es climatiques
    Le choix des plantes pour son jardin ne repose pas seulement sur l’esthĂ©tique ou les besoins en lumiĂšre. Au Canada, l’un des premiers critĂšres Ă  considĂ©rer, c’est la zone de rusticitĂ©. Et pour cause : elle dĂ©termine si une plante survivra Ă  l’hiver ou non. Depuis juillet 2025, Ressources naturelles Canada propose une nouvelle version de sa carte de rusticitĂ© des plantes, fondĂ©e sur des donnĂ©es climatiques rĂ©centes (1991 Ă  2020). Il s’agit d’une premiĂšre mise Ă  jour en plus de dix ans, la
     

Adaptez votre jardin aux nouvelles données climatiques

19 août 2025 à 11:00

Le choix des plantes pour son jardin ne repose pas seulement sur l’esthĂ©tique ou les besoins en lumiĂšre. Au Canada, l’un des premiers critĂšres Ă  considĂ©rer, c’est la zone de rusticitĂ©. Et pour cause : elle dĂ©termine si une plante survivra Ă  l’hiver ou non.

Depuis juillet 2025, Ressources naturelles Canada propose une nouvelle version de sa carte de rusticité des plantes, fondée sur des données climatiques récentes (1991 à 2020).

Il s’agit d’une premiĂšre mise Ă  jour en plus de dix ans, la prĂ©cĂ©dente s’appuyant sur les donnĂ©es de 1981 Ă  2010.

Comprendre les zones de rusticité

Les zones de rusticitĂ© sont des indicateurs climatiques qui permettent de savoir quelles plantes sont capables de rĂ©sister aux conditions hivernales d’une rĂ©gion.

Contrairement à la carte américaine (USDA), qui se base uniquement sur les températures minimales moyennes annuelles, la version canadienne utilise un indice multivarié beaucoup plus complet :

  • TempĂ©rature minimale du mois le plus froid
  • DurĂ©e de la saison sans gel
  • PrĂ©cipitations totales
  • Épaisseur de la neige
  • Force du vent
  • TempĂ©rature maximale estivale

Ces Ă©lĂ©ments combinĂ©s permettent de produire des zones numĂ©rotĂ©es de 0 (trĂšs froid) Ă  9 (trĂšs doux), parfois suivies d’un « a Â» ou d’un « b Â» pour une prĂ©cision supplĂ©mentaire. Par exemple, une plante adaptĂ©e Ă  la zone 5b pourra gĂ©nĂ©ralement survivre Ă  l’hiver dans une zone 6a
 mais pas l’inverse.

Ce qui change avec la nouvelle carte

Les rĂ©sultats sont clairs : presque tout le Canada est plus chaud qu’il ne l’était il y a 30 ans.

Dans certaines rĂ©gions, les zones de rusticitĂ© ont gagnĂ© jusqu’à deux crans. C’est notamment le cas dans certaines vallĂ©es de la Colombie-Britannique et du nord de l’Ontario.

Au QuĂ©bec, les changements sont plus modĂ©rĂ©s, mais bien prĂ©sents. Une partie de MontrĂ©al est maintenant en zone 6a, alors qu’elle Ă©tait en 5b dans la version prĂ©cĂ©dente. La rĂ©gion de QuĂ©bec reste en zone 5a, mais cette zone s’est Ă©largie.

Pourquoi c’est important?

Ces ajustements élargissent le champ des possibles. Des végétaux auparavant considérés comme trop fragiles deviennent cultivables : figuiers rustiques, arbres fruitiers sudistes, arbustes exotiques
 Une excellente nouvelle pour les jardiniers curieux et les paysagistes innovants.

Mais attention : une zone de rusticitĂ© plus clĂ©mente ne signifie pas qu’il n’y aura plus d’épisodes de froid extrĂȘme, de gel tardif ou de canicule. Le climat devient plus instable. Il est donc recommandĂ© de tester les nouvelles espĂšces progressivement, en les observant sur plusieurs saisons.

Pour connaßtre la zone attribuée à votre municipalité, consultez la carte interactive de Ressources naturelles Canada ici : Rusticité des plantes | Ressources naturelles Canada

Adaptez vos choix horticoles Ă  la rĂ©alitĂ© d’aujourd’hui, et donnez Ă  votre jardin toutes les chances de s’épanouir chez Marcel Dionne et Fils, marchand Passion Jardins.

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  • Incendie d’un vĂ©hicule sur l’autoroute 20
    Un vĂ©hicule a Ă©tĂ© la proie des flammes, mardi (19 aoĂ»t) vers 8h15, dans la brettelle de l’autoroute 20 menant vers la montĂ©e Industrielle-et-Commerciale Ă  Rimouski. Le capitaine du Service de sĂ©curitĂ© incendie Ă  la Ville de Rimouski, Alexandre Fortin, confirme que l’incendie n’a fait aucun blessĂ©. Deux unitĂ©s se sont rapidement rendues sur les lieux. La camion, arrĂȘtĂ©, dans la brette en direction ouest, a subi des des dommages importants.
     

Incendie d’un vĂ©hicule sur l’autoroute 20

19 août 2025 à 08:45

Un vĂ©hicule a Ă©tĂ© la proie des flammes, mardi (19 aoĂ»t) vers 8h15, dans la brettelle de l’autoroute 20 menant vers la montĂ©e Industrielle-et-Commerciale Ă  Rimouski.

Le capitaine du Service de sĂ©curitĂ© incendie Ă  la Ville de Rimouski, Alexandre Fortin, confirme que l’incendie n’a fait aucun blessĂ©.

Deux unitĂ©s se sont rapidement rendues sur les lieux. La camion, arrĂȘtĂ©, dans la brette en direction ouest, a subi des des dommages importants.

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  • Accident mortel Ă  RiviĂšre-Ă -Claude
    Un homme est dĂ©cĂ©dĂ© dĂšs suite d’un accident, ce lundi 18 aoĂ»t, Ă  RiviĂšre-Ă -Claude en GaspĂ©sie. L’évĂ©nement s’est produit vers 21h45 prĂšs du chemin Rioux. Les services d’urgence ont Ă©tĂ© dĂ©pĂȘchĂ©s sur place pour rĂ©pondre Ă  un appel concernant un bulldozeur. « Un septuagĂ©naire aurait fait une chute de plusieurs mĂštres alors qu’il opĂ©rait de la machinerie lourde dans un secteur boisĂ© et escarpĂ©. Le bulldozeur aurait fait plusieurs tonneaux avant de s’écraser Â», explique le porte-parole de la SĂ»
     

Accident mortel Ă  RiviĂšre-Ă -Claude

19 août 2025 à 08:00

Un homme est dĂ©cĂ©dĂ© dĂšs suite d’un accident, ce lundi 18 aoĂ»t, Ă  RiviĂšre-Ă -Claude en GaspĂ©sie. L’évĂ©nement s’est produit vers 21h45 prĂšs du chemin Rioux.

Les services d’urgence ont Ă©tĂ© dĂ©pĂȘchĂ©s sur place pour rĂ©pondre Ă  un appel concernant un bulldozeur.

« Un septuagĂ©naire aurait fait une chute de plusieurs mĂštres alors qu’il opĂ©rait de la machinerie lourde dans un secteur boisĂ© et escarpĂ©. Le bulldozeur aurait fait plusieurs tonneaux avant de s’écraser Â», explique le porte-parole de la SĂ»retĂ© du QuĂ©bec, FrĂ©dĂ©ric Deshaies.

Au moment de l’impact, l’homme aurait Ă©tĂ© Ă©jectĂ© du vĂ©hicule. Il a Ă©tĂ© transportĂ© d’urgence Ă  l’hĂŽpital oĂč son dĂ©cĂšs a Ă©tĂ© constatĂ©.

Une enquĂȘte en collision a Ă©tĂ© amorcĂ© afin de dĂ©terminer les causes exactes de l’accident. Le dossier est aussi entre les mains du coroner.

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  • Entente de principe : grĂšve terminĂ©e chez Air Canada
    Le syndicat qui reprĂ©sente les agents de bord d’Air Canada annonce qu’une entente de principe a Ă©tĂ© conclue avec la partie patronale, de sorte que la grĂšve de ses membres prend fin. La Presse Canadienne L’entente survenue in extremis entre Air Canada et le SCFP dĂ©montre que « le gouvernement fĂ©dĂ©ral et la direction d’Air Canada nous ont sous-estimĂ©s », ont sous-estimĂ© le mouvement syndical et ont sous-estimĂ© les 10 000 agents de bord qui ont «mis leur pied Ă  terre», affirme le prĂ©sident du
     

Entente de principe : grÚve terminée chez Air Canada

19 août 2025 à 07:15

Le syndicat qui reprĂ©sente les agents de bord d’Air Canada annonce qu’une entente de principe a Ă©tĂ© conclue avec la partie patronale, de sorte que la grĂšve de ses membres prend fin.

La Presse Canadienne

L’entente survenue in extremis entre Air Canada et le SCFP dĂ©montre que « le gouvernement fĂ©dĂ©ral et la direction d’Air Canada nous ont sous-estimĂ©s », ont sous-estimĂ© le mouvement syndical et ont sous-estimĂ© les 10 000 agents de bord qui ont «mis leur pied Ă  terre», affirme le prĂ©sident du SCFP-QuĂ©bec, Patrick Gloutney.

Le Syndicat canadien de la fonction publique, qui est affiliĂ© Ă  la FTQ au QuĂ©bec, reprĂ©sente les agents de bord d’Air Canada.

Ceux-ci ont conclu une entente de principe, tĂŽt mardi matin, aprĂšs l’intervention de la ministre fĂ©dĂ©rale de l’Emploi, qui a imposĂ© l’arbitrage, ce qui mettait fin au conflit, et l’intervention du Conseil canadien des relations industrielles, qui avait dĂ©clarĂ© la grĂšve illĂ©gale.

Qu’est-ce qui a fait qu’une entente de principe a pu survenir, dans un contexte aussi tendu et envenimĂ©? « On a mis notre pied Ă  terre et on s’est fait respecter comme organisation syndicale », a rĂ©pondu d’emblĂ©e monsieur Gloutney, en entrevue.

Comme les prĂ©sidents de centrales syndicales du QuĂ©bec, le prĂ©sident du SCFP-QuĂ©bec craint que d’autres syndicats subissent le mĂȘme traitement que les agents de bord sur la scĂšne fĂ©dĂ©rale, avec la nouvelle loi au QuĂ©bec qui limite les effets des grĂšves et lock-out.

Il reproche au gouvernement Legault d’avoir «voulu partir en guerre avec nous» avec cette nouvelle loi.

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  • Le CollĂšge de Rimouski prĂȘt pour la rentrĂ©e
    Le CollĂšge de Rimouski s’affaire Ă  la rentrĂ©e de ses trois Ă©tablissements d’enseignement, malgrĂ© un manque de financement de 2,8 M$. EffectuĂ©e ce mardi 19 aoĂ»t Ă  l’Institut maritime du QuĂ©bec et au Centre matapĂ©dien d’études, elle aura lieu ce lundi 25 aoĂ»t au CĂ©gep de Rimouski. Les admissions Ă  l’enseignement rĂ©gulier de ces trois composantes totalisaient, en date du vendredi 15 aoĂ»t, prĂšs de 2750 Ă©tudiants. Il s’agit d’une augmentation par rapport Ă  l’an dernier. En mai dernier, le CĂ©gep
     

Le CollĂšge de Rimouski prĂȘt pour la rentrĂ©e

19 août 2025 à 06:30

Le CollĂšge de Rimouski s’affaire Ă  la rentrĂ©e de ses trois Ă©tablissements d’enseignement, malgrĂ© un manque de financement de 2,8 M$. EffectuĂ©e ce mardi 19 aoĂ»t Ă  l’Institut maritime du QuĂ©bec et au Centre matapĂ©dien d’études, elle aura lieu ce lundi 25 aoĂ»t au CĂ©gep de Rimouski.

Les admissions Ă  l’enseignement rĂ©gulier de ces trois composantes totalisaient, en date du vendredi 15 aoĂ»t, prĂšs de 2750 Ă©tudiants. Il s’agit d’une augmentation par rapport Ă  l’an dernier.

En mai dernier, le CĂ©gep de Rimouski apprenait qu’il devrait composer avec des compressions estimĂ©es Ă  trois millions de dollars dans son budget 2025-2026.

Depuis, l’institution a appris que l’effort budgĂ©taire serait plutĂŽt de 2,8 M$, obtenant ainsi un budget de 82 M$.

Un plan en quatre temps, qui consiste en la rĂ©vision des dĂ©penses, des revenus, des processus et des dossiers et des ressources humaines, a alors Ă©tĂ© mis en Ɠuvre.

« MalgrĂ© les enjeux budgĂ©taires, nous avons maintenu notre carte de programme. Il n’y a donc pas d’impact sur notre offre de formation, autant du cĂŽtĂ© de la formation rĂ©guliĂšre que du cĂŽtĂ© de la formation continue. À la formation continue, nous avons mĂȘme plus de cohortes que jamais, avec 35 cohortes qui seront offertes cette annĂ©e », rapporte la directrice gĂ©nĂ©rale du CollĂšge, Julie Gasse.

La directrice générale du CollÚge de Rimouski, Julie Gasse (Photo courtoisie)

Elle ajoute que l’augmentation du nombre d’étudiants est aussi un aspect rassurant.

« Cela met en valeur l’importance de notre CĂ©gep. On voit que c’est un pĂŽle d’attraction qui permet de maintenir nos jeunes en rĂ©gion. On rĂ©pond Ă  ce besoin et c’est trĂšs motivant. Aussi, on accueille une deuxiĂšme cohorte d’infirmiĂšres qualifiĂ©es Ă  l’international. Nous aurons encore une fois la chance d’accueillir ces Ă©tudiants qui sont qualifiĂ©s comme infirmiers ailleurs, mais qui doivent satisfaire les exigences de l’Ordre des infirmiĂšres et infirmiers du QuĂ©bec », indique madame Gasse.

Nouveau plan stratégique

L’annĂ©e 2025-2026 correspond Ă©galement Ă  la premiĂšre annĂ©e de mise en Ɠuvre du nouveau plan stratĂ©gique du CollĂšge.

« Nous l’avons adoptĂ© en mars dernier. Il s’agit d’un plan qui se tient de 2025 Ă  2030 pour nos trois composantes. On pourra donc suivre nos orientations. »

Le Cégep de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Le CollĂšge poursuit aussi son carnet de festivitĂ©s. Le Centre matapĂ©dien d’études collĂ©giales va souligner ses 30 ans d’existence, tandis que le CĂ©gep de Rimouski conclura les fĂȘtes du centenaire de son pavillon principal.

Reçu avant avant-hierJournal Le Soir
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  • Shaker: la balle Ă  Benjamin Roy mardi Ă  Trois-Pistoles
    C’est Ă  Benjamin Roy que le Shaker donnera la balle, mardi soir Ă  Trois-Pistoles, dans le deuxiĂšme match de la sĂ©rie demi-finale de la Ligue de baseball senior Puribec.   Roy a compilĂ© un dossier de 4-1 avec une moyenne de points mĂ©ritĂ©s de 3,18 au cours de la saison. Il a une victoire Ă  son seul dĂ©part contre le BĂ©rubĂ© GM. Pour la formation des Basques, c’est Ludovic Saucier qui sera envoyĂ© au monticule. Il a remportĂ© sa seule dĂ©cision (match complet contre Kamouraska) en saison avec une
     

Shaker: la balle Ă  Benjamin Roy mardi Ă  Trois-Pistoles

18 août 2025 à 19:04

C’est Ă  Benjamin Roy que le Shaker donnera la balle, mardi soir Ă  Trois-Pistoles, dans le deuxiĂšme match de la sĂ©rie demi-finale de la Ligue de baseball senior Puribec.  

Roy a compilé un dossier de 4-1 avec une moyenne de points mérités de 3,18 au cours de la saison. Il a une victoire à son seul départ contre le Bérubé GM.

Pour la formation des Basques, c’est Ludovic Saucier qui sera envoyĂ© au monticule. Il a remportĂ© sa seule dĂ©cision (match complet contre Kamouraska) en saison avec une MPM de 8,20. 

Ludovic Saucier (Photo : Jean-Claude Pelletier)

Il sera intéressant de voir comment le Shaker va rebondir aprÚs un match difficile en défensive dans le premier match, samedi.

Le BĂ©rubĂ© GM avait alors arrachĂ© une victoire de 7-6 Ă  Rimouski. Deux jours avant, il Ă©tait allĂ© vaincre RiviĂšre-du-Loup dans le cinquiĂšme et dĂ©cisif match d’une sĂ©rie quart de finale.

Série B

Dans l’autre sĂ©rie, les AllĂ©es du Boulevard et les Braves Batitech vont se retrouver Ă  Matane, mardi soir.

À 19 h 45, les deux Ă©quipes vont terminer le match no 1 qui a Ă©tĂ© suspendu, dimanche, en raison d’une panne de courant dans une bonne partie du TĂ©miscouata.  

L’action est rendue en fin de 5e manche avec Matane en avance par 7-4 et les Braves au bĂąton. Il y a un retrait avec des coureurs au 2e et 3e but et FĂ©lix Castonguay qui s’amĂšne pour frapper. 

On verra si les lanceurs en prĂ©sence lors de l’arrĂȘt du match reviendront au monticule. Pour les Braves, Patrick Ouellet (6 lancers) avait relevĂ© Gabriel Cyr. Du cĂŽtĂ© matanais, Keisuke Takikawa (89 lancers) Ă©tait toujours Ă  son poste.

Le match no 2 de la sĂ©rie suivra. Les lanceurs prĂ©vus sont Kodai Kambara et JĂ©rĂ©my Boucher. 

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  • UTILE : projet livrĂ© en un temps record Ă  Rimouski
    Le projet d’UTILE comprenant la construction d’un immeuble de quatre Ă©tages de 155 appartements au coĂ»t de 37 M$ sur la rue Alcide-C.-Horth Ă  Rimouski a Ă©tĂ© livrĂ© en un temps record. « C’est une grande fiertĂ© pour l’équipe d’UTILE d’avoir rĂ©ussi Ă  livrer ce projet en un temps record de 10 mois de chantier seulement pour la rentrĂ©e 2025. MĂȘme si les baux ne dĂ©butent qu’au 1er septembre, on permet aux locataires d’arriver gratuitement avant le dĂ©but de leur bail pour faciliter la logistique d’e
     

UTILE : projet livré en un temps record à Rimouski

18 août 2025 à 18:00

Le projet d’UTILE comprenant la construction d’un immeuble de quatre Ă©tages de 155 appartements au coĂ»t de 37 M$ sur la rue Alcide-C.-Horth Ă  Rimouski a Ă©tĂ© livrĂ© en un temps record.

« C’est une grande fiertĂ© pour l’équipe d’UTILE d’avoir rĂ©ussi Ă  livrer ce projet en un temps record de 10 mois de chantier seulement pour la rentrĂ©e 2025. MĂȘme si les baux ne dĂ©butent qu’au 1er septembre, on permet aux locataires d’arriver gratuitement avant le dĂ©but de leur bail pour faciliter la logistique d’emmĂ©nagement dans l’immeuble Â», indique la conseillĂšre aux relations publiques et attachĂ©e de presse, Maya Labrosse.

MĂȘme si les locataires peuvent s’installer, il reste encore quelques travaux Ă  complĂ©ter dans l’immeuble.

« Notre gestionnaire d’immeuble s’assure de tenir l’ensemble des locataires au courant de la tenue des travaux et, le cas Ă©chĂ©ant, des inconvĂ©nients Ă  prĂ©voir. Sept appartements vivront encore des travaux en date de la rentrĂ©e, ils seront donc prĂȘts Ă  ĂȘtre habitĂ©s dĂšs le 1er octobre. Les baux sont prĂȘts Ă  ĂȘtre signĂ©s, il suffit d’appliquer en ligne au www.utile.org Â», poursuit madame Labrosse.

Construction modulaire

Pour rĂ©aliser le projet en si peu de temps, l’UTILE, un organisme Ă  but non lucratif, a exploitĂ© la construction modulaire avec l’aide d’un consortium composĂ© de firmes d’architecture et d’ingĂ©nierie ainsi que du fabricant des modules, Bonneville.

La ministre fĂ©dĂ©ral du Revenu national, Marie-Claude Bibeau, le PDG de l’UTILE, Laurent Levesque, le maire de Rimouski, Guy Caron et Martin Bisson (Vice-prĂ©sident DĂ©veloppement des affaires et relations gouvernementales) chez les Industries Bonneville. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

L’immeuble est composĂ© 126 studios et 29 appartements quatre et demi. Plusieurs de ses composantes ont Ă©tĂ© construites en usine. 

L’inauguration officielle de l’immeuble aura lieu en septembre, mais la date n’est pas encore arrĂȘtĂ©e.

Des partenaires financiers

Le projet de Rimouski a reçu une subvention de 4,7 M$ provenant de la SociĂ©tĂ© d’habitation du QuĂ©bec, ce qui correspond Ă  environ 15 % des coĂ»ts estimĂ©s.

La Ville de Rimouski a aussi contribuĂ© au projet Ă  hauteur de 715 000$, incluant la valeur du terrain. Enfin, l’Association gĂ©nĂ©rale Ă©tudiante du campus de Rimouski de l’UQAR a versĂ©, par l’entremise du Fonds CLÉ, 250 000 $.

Le fonds Capital social d’investissement immobilier, qui est administrĂ© par l’Association des groupes de ressources techniques du QuĂ©bec, participe aussi au montage financier sous la forme d’un prĂȘt de 20,7 M$.

En mai 2024, le conseil municipal de Rimouski a adoptĂ© une rĂ©solution pour donner un terrain Ă©valuĂ© Ă  800 000$ Ă  l’UTILE, sans toutefois accorder de congĂ© de taxe pour l’immeuble.

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  • Matane : nouvelle Ă©cole primaire de 61 M$
    Une nouvelle Ă©cole primaire verra le jour Ă  Matane, au coĂ»t de 61 M$, d’ici 2030. Le Centre de services scolaire Monts-et-MarĂ©es (CSSMM) a confirmĂ© que le ministĂšre de l’Éducation avait rĂ©pondu favorablement Ă  sa demande pour bĂątir une nouvelle Ă©cole primaire capable d’accueillir une trentaine de classes. Ce projet de nouvelle Ă©cole remplacera les Ă©coles ZĂ©non-Soucy et Victor-CĂŽtĂ© qui arrivent en fin de vie utile. Selon le Centre de services scolaire Monts-et-MarĂ©es, les deux Ă©tablissemen
     

Matane : nouvelle école primaire de 61 M$

18 août 2025 à 17:00

Une nouvelle Ă©cole primaire verra le jour Ă  Matane, au coĂ»t de 61 M$, d’ici 2030. Le Centre de services scolaire Monts-et-MarĂ©es (CSSMM) a confirmĂ© que le ministĂšre de l’Éducation avait rĂ©pondu favorablement Ă  sa demande pour bĂątir une nouvelle Ă©cole primaire capable d’accueillir une trentaine de classes.

Ce projet de nouvelle école remplacera les écoles Zénon-Soucy et Victor-CÎté qui arrivent en fin de vie utile.

Selon le Centre de services scolaire Monts-et-MarĂ©es, les deux Ă©tablissements d’enseignement qui ont, chacun, respectivement 72 et 76 ans nĂ©cessitent des travaux majeurs estimĂ©s Ă  plusieurs millions de dollars. Il en aurait coĂ»tĂ© davantage pour restaurer les deux bĂątiments existants.

Devant ce constat, le CSSMM avait dĂ©cidĂ© de dĂ©poser un projet au ministĂšre de l’Éducation.

Maintenant que cette Ă©tape est complĂ©tĂ©e, le CSSMMM devra embaucher une firme d’experts pour rĂ©aliser les plans et devis.

La directrice générale du Centre de services scolaire des Monts-et-Marées, Marie-Pierre Guénette (Photo courtoisie)

Il y aura aussi des discussions avec la Ville de Matane, la MRC de La Matanie et le dĂ©putĂ© provincial, Pascal BĂ©rubĂ©, afin de dĂ©terminer oĂč ce nouvel Ă©tablissement d’enseignement sera construit.

Si tout se déroule comme prévu, les travaux débuteraient dÚs 2026 et les élÚves intégreraient la nouvelle école pour la rentrée 2029-2030.

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  • Feste mĂ©diĂ©vale de Saint-Marcellin: les Vikings ont triomphĂ©
    Quelques dizaines de milliers de visiteurs ont plongĂ© dans l’univers du Moyen-Âge lors de la 23e Feste mĂ©diĂ©vale, qui s’est dĂ©roulĂ©e du 15 au 17 aoĂ»t, Ă  Saint-Marcellin. Avec le retour trĂšs attendu de la grande bataille Ă©pique oĂč les Vikings ont triomphĂ©, l’évĂ©nement a encore une fois rĂ©ussi Ă  faire vivre aux visiteurs une immersion authentique dans la vie de 10 clans de l’époque. La Feste mĂ©diĂ©vale de cette annĂ©e a marquĂ© le retour de sa cĂ©lĂšbre grande bataille, mettant en scĂšne une gu
     

Feste médiévale de Saint-Marcellin: les Vikings ont triomphé

18 août 2025 à 16:00

Quelques dizaines de milliers de visiteurs ont plongĂ© dans l’univers du Moyen-Âge lors de la 23e Feste mĂ©diĂ©vale, qui s’est dĂ©roulĂ©e du 15 au 17 aoĂ»t, Ă  Saint-Marcellin. Avec le retour trĂšs attendu de la grande bataille Ă©pique oĂč les Vikings ont triomphĂ©, l’évĂ©nement a encore une fois rĂ©ussi Ă  faire vivre aux visiteurs une immersion authentique dans la vie de 10 clans de l’époque.

La Feste mĂ©diĂ©vale de cette annĂ©e a marquĂ© le retour de sa cĂ©lĂšbre grande bataille, mettant en scĂšne une guerre de clans autour du personnage de Jolicoeur, l’auteur d’un rĂ©gicide qui terrorisait le bourg de Saint-Marcellin.

Un an aprĂšs avoir assassinĂ© le roi Pierre de CĂŽte, ce tyran tentait d’imposer sa loi brutale sur les diffĂ©rents clans.

La trame narrative imaginaire opposait les clans chrĂ©tiens soumis aux clans paĂŻens accusĂ©s d’hĂ©rĂ©sie, crĂ©ant une tension palpable sur le site.

Au terme d’une bataille Ă©pique, les clans du royaume menĂ©s par les Vikings ont finalement vaincu Jolicoeur et ses chevaliers de la compagnie de Saint-Adrien.

Cette annĂ©e, les organisateurs ont particuliĂšrement soignĂ© l’aspect narratif, dissĂ©minant des rumeurs Ă©crites sur des missives Ă  travers le site.

Selon le prĂ©sident du comitĂ© organisateur, les visiteurs curieux allaient lire ces rumeurs, crĂ©ant ainsi un engouement par rapport Ă  l’histoire entourant l’assassinat du roi et la rĂ©volte du peuple de Saint-Marcellin.

« Par les annĂ©es passĂ©es, on organisait une bataille dans une nouvelle formule, explique Robert Tremblay. Mais, les gens nous demandaient le retour de la grande bataille. Comme ça se prĂȘtait au scĂ©nario qu’on s’était donnĂ©, on s’est dit pourquoi pas! »

Villages authentiques et retour du trébuchet

À travers 10 villages reconstituĂ©s de façon authentique, les visiteurs ont pu s’initier aux us et coutumes des diffĂ©rents clans de l’époque mĂ©diĂ©vale.

Chaque clan proposait ses propres activitĂ©s: cuisine d’époque, artisanat, tissage, teinture et diffĂ©rents mĂ©tiers de l’époque, crĂ©ant une vĂ©ritable diversitĂ© d’expĂ©riences.

AprĂšs une annĂ©e d’absence due Ă  un bris mĂ©canique, le tir au trĂ©buchet, prĂ©sentĂ© comme le plus grand en AmĂ©rique du Nord, Ă©tait de nouveau opĂ©rationnel pour lancer des melons d’eau sous les yeux Ă©merveillĂ©s des spectateurs.

Les joutes équestres sont toujours trÚs populaires. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

L’évĂ©nement a bĂ©nĂ©ficiĂ© de la prĂ©sence fidĂšle de l’Association mĂ©diĂ©vale de QuĂ©bec (AMQ) qui, comme Ă  chaque annĂ©e, a organisĂ© des joutes Ă©questres avec une participation internationale reprĂ©sentĂ©e par le champion portugais, Eduardo de Ribadouro, rĂ©cent vainqueur d’un tournoi en Finlande.

« On a cassĂ© environ 140 lances dans le tournoi, rapporte le prĂ©sident de l’AMQ, Jean-SĂ©bastien Drapeau, illustrant l’intensitĂ© des joutes Ă©questres. L’organisme a aussi organisĂ© des combats de chevaliers, dont l’armure peut peser jusqu’à 100 livres (45,4 kg).

12 000 visiteurs et 350 bénévoles

Bien que le dĂ©compte final n’était pas encore complĂ©tĂ© au dernier jour de la 23e Feste, le prĂ©sident du comitĂ© organisateur s’attendait Ă  ce que l’évĂ©nement ait attirĂ© environ 12 000 visiteurs, un chiffre similaire, voire supĂ©rieur Ă  l’annĂ©e passĂ©e. 

La rĂ©ussite de la derniĂšre Feste mĂ©diĂ©vale, qui se positionne comme Ă©tant «le plus grand festival de reconstitution mĂ©diĂ©vale en AmĂ©rique du Nord», repose sur l’engagement de 350 bĂ©nĂ©voles, incluant les reconstitueurs.

Ces volontaires sont venus de Saint-Marcellin et de toute la rĂ©gion, certains mĂȘme de QuĂ©bec.

Le président du comité organisateur de la 23e Feste médiévale de Saint-Marcellin, Robert Tremblay. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

« Il faut savoir que ce sont nos bĂ©nĂ©voles, nos visiteurs et nos partenaires qui font que la Feste existe, tient Ă  souligner Robert Tremblay. Nos bĂ©nĂ©voles sont exceptionnels. Ils mettent beaucoup de passion dans ce qu’ils font. »

Vers la 25e Feste

TournĂ©s vers l’avenir, les organisateurs rĂ©flĂ©chissent dĂ©jĂ  Ă  la 25e Feste mĂ©diĂ©vale, mĂȘme si c’est dans deux ans.

Cet Ă©vĂ©nement unique continue de se distinguer par son approche historique rigoureuse, Ă©vitant les Ă©lĂ©ments fantastiques, comme les dragons, les fĂ©es et les elfes, pour se concentrer sur la reconstitution fidĂšle de l’époque mĂ©diĂ©vale.

Cette philosophie lui permet de maintenir son statut d’évĂ©nement de rĂ©fĂ©rence en matiĂšre de reconstitution historique en AmĂ©rique du Nord, offrant aux visiteurs une vĂ©ritable machine Ă  remonter le temps vers l’an 1000.

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  • Bic sur Mer lance son Tournoi du Centenaire
    Bic sur Mer tiendra une prĂ©sentation du Tournoi du Centenaire, un nouvel Ă©vĂ©nement annuel culminant en 2032, oĂč sera cĂ©lĂ©brĂ© les 100 ans du club. Il se tiendra le jeudi 4 septembre sous la prĂ©sidence d’honneur de Pierre Harvey. Ce tournoi marque le dĂ©but d’une sĂ©rie de huit rendez-vous qui mĂšneront au centenaire de l’établissement en 2032. Chaque annĂ©e, le tournoi soutiendra financiĂšrement une cause rĂ©gionale. Pour cette premiĂšre annĂ©e, Bic sur Mer s’associe Ă  Horizon-Nature Bas-Saint-Lau
     

Bic sur Mer lance son Tournoi du Centenaire

18 août 2025 à 14:00

Bic sur Mer tiendra une prĂ©sentation du Tournoi du Centenaire, un nouvel Ă©vĂ©nement annuel culminant en 2032, oĂč sera cĂ©lĂ©brĂ© les 100 ans du club. Il se tiendra le jeudi 4 septembre sous la prĂ©sidence d’honneur de Pierre Harvey.

Ce tournoi marque le dĂ©but d’une sĂ©rie de huit rendez-vous qui mĂšneront au centenaire de l’établissement en 2032. Chaque annĂ©e, le tournoi soutiendra financiĂšrement une cause rĂ©gionale.

Pour cette premiĂšre annĂ©e, Bic sur Mer s’associe Ă  Horizon-Nature Bas-Saint-Laurent, un organisme de bienfaisance enregistrĂ© qui a pour mission la conservation de la biodiversitĂ© rĂ©gionale, notamment par l’acquisition de milieux naturels.

Le club versera tous les profits du tournoi à l’organisme pour soutenir un projet de conservation de milieux naturels dans le secteur du Havre du Bic.

Le nouveau propriĂ©taire de Bic sur Mer, Éric Fournier (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

« L’évĂ©nement revĂȘt une importance particuliĂšre pour ma famille et moi, puisqu’il s’agit du premier d’une sĂ©rie de huit tournois qui se tiendront chaque annĂ©e jusqu’au centenaire du Club de golf du Bic, en septembre 2032, et dont l’objectif premier sera de gĂ©nĂ©rer des fonds pour appuyer une cause en lien avec la rĂ©gion et sa communautĂ© », explique le propriĂ©taire de Bic sur Mer, Éric Fournier.

Implication essentielle

Avec un objectif de 100 joueurs pour célébrer les 100 ans de golf au Bic, le tournoi offrira aussi une soirée gastronomique aux participants, concoctée par le chef Adrian Pastor.

« Alors que moins de 5 % du territoire du Bas-Saint-Laurent est actuellement protĂ©gĂ©, l’implication du secteur privĂ© est essentielle pour atteindre les objectifs de conservation. En rĂ©servant un quatuor pour le tournoi ou en soutenant l’initiative, les entreprises et citoyens contribuent concrĂštement Ă  prĂ©server la beautĂ© et la diversitĂ© de notre coin de pays », insiste monsieur Fournier.

Le club de golf Bic sur Mer (Photo courtoisie)

Les personnes intéressées à réserver leur place au tournoi ou à devenir partenaire peuvent écrire à communications@bicsurmer.com pour plus de détails.

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  • Matane-CĂŽte-Nord : encore des journĂ©es de grĂšve possibles
    Le conflit de travail qui oppose la SociĂ©tĂ© des traversiers du QuĂ©bec aux travailleurs de la Traverse Matane-CĂŽte-Nord affiliĂ©s Ă  la CSN traĂźne en longueur avec une convention collective Ă©chue depuis avril 2023. De nouvelles journĂ©es de grĂšve pourraient survenir d’ici les prochaines semaines. AprĂšs avoir paralysĂ© le service de traverse pendant les vacances de la construction avec une grĂšve de 10 jours, perturbant les saisons touristiques au Bas-Saint-Laurent, en GaspĂ©sie et sur la CĂŽte-Nord,
     

Matane-CÎte-Nord : encore des journées de grÚve possibles

18 août 2025 à 12:00

Le conflit de travail qui oppose la SociĂ©tĂ© des traversiers du QuĂ©bec aux travailleurs de la Traverse Matane-CĂŽte-Nord affiliĂ©s Ă  la CSN traĂźne en longueur avec une convention collective Ă©chue depuis avril 2023. De nouvelles journĂ©es de grĂšve pourraient survenir d’ici les prochaines semaines.

AprĂšs avoir paralysĂ© le service de traverse pendant les vacances de la construction avec une grĂšve de 10 jours, perturbant les saisons touristiques au Bas-Saint-Laurent, en GaspĂ©sie et sur la CĂŽte-Nord, le syndicat des travailleurs de la CSN a repris les nĂ©gociations.

Le salaire est l’enjeu principal de ce conflit. Alors que le gouvernement dĂ©posait une proposition de hausse salariale de 12,7 % sur cinq ans, les concessions demandĂ©es aux travailleurs n’étaient pas raisonnables selon le syndicat.

Bien qu’un projet de loi permettant au ministre du Travail de disposer de leviers supplĂ©mentaires pour mettre fin Ă  des conflits pourrait ĂȘtre adoptĂ© Ă  l’automne, n’en reste pas moins que de nouvelles journĂ©es de grĂšve ne sont pas Ă  exclure d’ici lĂ , ce qui bouleversera de nouveau les activitĂ©s Ă©conomiques sur les deux rives.

Des citoyens affectés

InterrogĂ©e sur le sujet, la ministre rĂ©gionale du Bas-Saint-Laurent et de la GaspĂ©sie, MaĂŻtĂ© Blanchette VĂ©zina, ne s’est pas commise davantage sur la suite des choses.

Lorsqu’il lui demande s’il est envisageable que la traverse Matane-Baie-Comeau-Godbout devienne un service essentiel, la ministre parle plutĂŽt de sĂ©curitĂ© routiĂšre.

Le F.-A. Gauthier assure la traverse Matane-Baie-Comeau-Godbout (Photo STQ)

« Beaucoup de citoyens ont Ă©tĂ© affectĂ©s par la grĂšve des traversiers. C’est un dossier que j’ai pris en charge pour m’assurer que la sĂ©curitĂ© des routes soit bonne. On a ajoutĂ© des policiers pendant les fortes pĂ©riodes d’achalandage pour Ă©viter des accidents. Â»

Elle ajoute que les pourparlers se poursuivent. « On souhaite que les nĂ©gociations aboutissent, c’est certain. Â»

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  • Un camionneur perd la vie Ă  Saint-Antonin
    Un camionneur de 58 ans, originaire de QuĂ©bec, a perdu la vie dimanche soir vers 21h15 aprĂšs avoir Ă©tĂ© heurtĂ© par son propre vĂ©hicule, sur l’autoroute 85, Ă  la hauteur du kilomĂštre 84 sud, dans le secteur de Saint-Antonin. Selon les informations disponibles, l’homme aurait Ă©tĂ© happĂ© par son camion alors qu’il se trouvait Ă  l’extĂ©rieur de celui-ci, aprĂšs l’avoir immobilisĂ© en bordure de la chaussĂ©e. TransportĂ© d’urgence Ă  l’hĂŽpital, il a succombĂ© Ă  ses blessures. Une enquĂȘte a Ă©tĂ© ouver
     

Un camionneur perd la vie Ă  Saint-Antonin

18 août 2025 à 10:30

Un camionneur de 58 ans, originaire de QuĂ©bec, a perdu la vie dimanche soir vers 21h15 aprĂšs avoir Ă©tĂ© heurtĂ© par son propre vĂ©hicule, sur l’autoroute 85, Ă  la hauteur du kilomĂštre 84 sud, dans le secteur de Saint-Antonin.

Selon les informations disponibles, l’homme aurait Ă©tĂ© happĂ© par son camion alors qu’il se trouvait Ă  l’extĂ©rieur de celui-ci, aprĂšs l’avoir immobilisĂ© en bordure de la chaussĂ©e.

TransportĂ© d’urgence Ă  l’hĂŽpital, il a succombĂ© Ă  ses blessures.

Une enquĂȘte a Ă©tĂ© ouverte afin d’établir les causes exactes de l’évĂ©nement. Le fonctionnement du frein d’urgence et les circonstances entourant l’arrĂȘt du vĂ©hicule feront notamment partie des Ă©lĂ©ments analysĂ©s.

La circulation dans la voie sud de l’autoroute a Ă©tĂ© interrompue pendant prĂšs d’une heure afin de permettre l’intervention des services d’urgence.

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  • Air Canada : les agents de bord poursuivent leur grĂšve
    La journĂ©e de lundi s’annonce encore une fois chaotique pour les voyageurs, alors que le conflit de travail entre Air Canada et le syndicat reprĂ©sentant ses agents de bord se poursuit. Par La Presse Canadienne Les agents de bord, reprĂ©sentĂ©s par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), restent sur les piquets de grĂšve pendant la bataille concernant l’ordonnance fĂ©dĂ©rale qui devait les forcer Ă  revenir au travail. Le SCFP a dĂ©posĂ© un recours devant la Cour fĂ©dĂ©rale pour s’opp
     

Air Canada : les agents de bord poursuivent leur grĂšve

18 août 2025 à 09:30

La journĂ©e de lundi s’annonce encore une fois chaotique pour les voyageurs, alors que le conflit de travail entre Air Canada et le syndicat reprĂ©sentant ses agents de bord se poursuit.

Par La Presse Canadienne

Les agents de bord, reprĂ©sentĂ©s par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), restent sur les piquets de grĂšve pendant la bataille concernant l’ordonnance fĂ©dĂ©rale qui devait les forcer Ă  revenir au travail.

Le SCFP a dĂ©posĂ© un recours devant la Cour fĂ©dĂ©rale pour s’opposer Ă  l’ordonnance du Conseil canadien des relations industrielles qui exigeait que les quelque 10 000 agents de bord reprennent le travail Ă  14 heures dimanche.

Cette ordonnance a Ă©tĂ© rendue aprĂšs que la ministre fĂ©dĂ©rale de l’Emploi, Patty Hajdu, a renvoyĂ© les deux parties Ă  l’arbitrage exĂ©cutoire, samedi.

La ministre a dit intervenir dans le conflit en raison de son impact sur les Canadiens et l’économie.

Dimanche, le SCFP a organisĂ© des manifestations dans les principaux aĂ©roports du pays, notamment Ă  MontrĂ©al, Toronto, Calgary et Vancouver, accusant Mme Hajdu de cĂ©der aux exigences d’Air Canada.

Plan de reprise repoussé

Air Canada a dĂ©clarĂ© dimanche qu’elle repousserait son plan de reprise des vols jusqu’à lundi soir, mĂȘme si le syndicat a prĂ©venu que les agents de bord resteraient en grĂšve jusqu’à ce qu’une «convention collective Ă©quitable et nĂ©gociĂ©e» soit conclue.

La grÚve a officiellement commencé peu avant 1 heure samedi. Environ 30 minutes plus tard, Air Canada a imposé un lock-out en raison de la grÚve.

Une zone de dĂ©pĂŽt de bagages d’Air Canada pendant la grĂšve des agents de bord d’Air Canada Ă  l’aĂ©roport international MontrĂ©al-Trudeau. (Photo Graham Hughes- La Presse Canadienne)

La compagnie aĂ©rienne a annoncĂ© l’annulation d’environ 940 vols dimanche en raison du conflit de travail, forçant des milliers de voyageurs Ă  faire des dĂ©marches pour sauver leurs plans de voyage.

Ce conflit a suscitĂ© des rĂ©actions nĂ©gatives de la part des syndicats Ă  travers le Canada, qui dĂ©noncent la dĂ©cision du gouvernement libĂ©ral d’avoir ordonnĂ© aux agents de bord de reprendre le travail.

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  • DĂ©fi sportif au profit de la Fondation de l’École Paul-Hubert
    La Fondation de l’École Paul-Hubert invite la communautĂ© Ă  relever un dĂ©fi sportif ouvert Ă  tous, le samedi 20 septembre au parc national du Bic, afin d’amasser des fonds pour soutenir ses activitĂ©s. Les participants graviront le Pic Champlain et parcourront le Sentier des Murailles, deux randonnĂ©es emblĂ©matiques. Pour s’inscrire, chaque participant doit trouver un compagnon d’ascension. Ensemble, ils recueilleront un minimum de 100 $ en dons, qui serviront directement Ă  encourager la pers
     

DĂ©fi sportif au profit de la Fondation de l’École Paul-Hubert

18 août 2025 à 08:30

La Fondation de l’École Paul-Hubert invite la communautĂ© Ă  relever un dĂ©fi sportif ouvert Ă  tous, le samedi 20 septembre au parc national du Bic, afin d’amasser des fonds pour soutenir ses activitĂ©s.

Les participants graviront le Pic Champlain et parcourront le Sentier des Murailles, deux randonnées emblématiques.

Pour s’inscrire, chaque participant doit trouver un compagnon d’ascension. Ensemble, ils recueilleront un minimum de 100 $ en dons, qui serviront directement Ă  encourager la persĂ©vĂ©rance et la rĂ©ussite des Ă©lĂšves de l’École Paul-Hubert

Le parc national du Bic. (Photo courtoisie)

La Fondation vient en aide aux jeunes issus de familles en situation financiÚre précaire et appuie diverses initiatives favorisant la motivation et la réussite scolaire.

Pour s’inscrire, soutenir l’activitĂ© ou un participant, visitez : https://www.zeffy.com/fr-CA/peer-to-peer/ensemble-vers-le-sommet

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  • Michel Bergeron attendu Ă  Endurance hockey Rimouski
    L’ancien entraĂźneur-chef des Nordiques de QuĂ©bec, Michel Bergeron, participera Ă  son tour Ă  Endurance hockey Rimouski, les 16 et 17 janvier 2026 au ColisĂ©e FinanciĂšre Sun Life, aux cĂŽtĂ©s de plusieurs anciens joueurs et personnalitĂ©s liĂ©s Ă  l’équipe. « Le Tigre » agira comme entraĂźneur invitĂ© lors du match bĂ©nĂ©fice opposant les Anciens Nordiques de QuĂ©bec Ă  l’équipe d’Endurance hockey Rimouski, en ouverture de l’évĂ©nement. Reconnu pour sa fougue et son franc-parler, Bergeron a dirigĂ© les No
     

Michel Bergeron attendu Ă  Endurance hockey Rimouski

18 août 2025 à 07:30

L’ancien entraĂźneur-chef des Nordiques de QuĂ©bec, Michel Bergeron, participera Ă  son tour Ă  Endurance hockey Rimouski, les 16 et 17 janvier 2026 au ColisĂ©e FinanciĂšre Sun Life, aux cĂŽtĂ©s de plusieurs anciens joueurs et personnalitĂ©s liĂ©s Ă  l’équipe.

« Le Tigre » agira comme entraĂźneur invitĂ© lors du match bĂ©nĂ©fice opposant les Anciens Nordiques de QuĂ©bec Ă  l’équipe d’Endurance hockey Rimouski, en ouverture de l’évĂ©nement.

Reconnu pour sa fougue et son franc-parler, Bergeron a dirigé les Nordiques à deux reprises, de 1980 à 1987 puis durant la saison 1989-1990, en plus des Rangers de New York entre 1987 et 1989.

L’analyste Ă  TVA Sports prendra Ă©galement part Ă  la soirĂ©e VIP du vendredi 16 janvier, dĂšs 17 h, au Club Bud du ColisĂ©e FinanciĂšre Sun Life.

Les participants auront l’occasion d’échanger avec lui, en plus des ex-joueurs des Nordiques, autour d’un souper, d’une consommation et d’une sĂ©ance de questions-rĂ©ponses.

Le forfait inclut aussi un billet pour le match. Le coût a été fixé à 150 $.

Alignement de rĂȘve

Le match bĂ©nĂ©fice mettra en vedette plusieurs anciens Nordiques, dont Michel Goulet, Alain CĂŽtĂ©, Dave Pichette, Marc Fortier, Pierre Lacroix, Serge Bernier et Louis Sleigher. L’ex-arbitre de la LNH, Kerry Fraser, dirigera la rencontre, tandis que l’animateur sportif de RDS, Alain CrĂȘte, agira comme annonceur maison.

PrĂšs de 2 000 billets ont dĂ©jĂ  trouvĂ© preneurs. L’admission gĂ©nĂ©rale a Ă©tĂ© fixĂ©e Ă  24$, tandis que des places privilĂšges, situĂ©es derriĂšre le banc des Nordiques, sont Ă©galement disponibles.

Les coorganisateurs d’Endurance hockey Rimouski, Nicolas Thibeault et Junior Pouliot, en compagnie de Caroline Pelletier (Fondation SantĂ© Rimouski) et Jean-Philippe BĂ©rubĂ© (OcĂ©anic) (Photo Le Soir.ca – RenĂ© Alary)

Depuis 2023, Endurance hockey Rimouski réunit une formation de 25 joueurs qui disputent différents matchs durant 25 heures consécutives.

L’activitĂ© a pour mission d’amasser des fonds au profit de la Fondation SantĂ© Rimouski, du Fonds d’études de l’OcĂ©anic et de la Fondation Tag, qui sensibilise les jeunes de Rimouski-Neigette Ă  l’importance de la santĂ© mentale.

En trois ans, elle a permis de rĂ©colter 113 982,53$.

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  • La Ville de Trois-Pistoles perd son directeur gĂ©nĂ©ral
    La Ville de Trois-Pistoles annonce le dĂ©part de son directeur gĂ©nĂ©ral, Étienne Bergeron. Il quittera officiellement ses fonctions, le 5 septembre, aprĂšs plus de deux ans Ă  la tĂȘte de l’organisation. Dans un communiquĂ© de presse, la Ville de Trois-Pistoles mentionne que monsieur Bergeron, en poste depuis mai 2023, a su instaurer un climat de travail propice Ă  la collaboration et Ă  l’engagement, contribuant de maniĂšre significative au redressement organisationnel de la Ville dans un contexte ma
     

La Ville de Trois-Pistoles perd son directeur général

18 août 2025 à 06:30

La Ville de Trois-Pistoles annonce le dĂ©part de son directeur gĂ©nĂ©ral, Étienne Bergeron. Il quittera officiellement ses fonctions, le 5 septembre, aprĂšs plus de deux ans Ă  la tĂȘte de l’organisation.

Dans un communiquĂ© de presse, la Ville de Trois-Pistoles mentionne que monsieur Bergeron, en poste depuis mai 2023, a su instaurer un climat de travail propice Ă  la collaboration et Ă  l’engagement, contribuant de maniĂšre significative au redressement organisationnel de la Ville dans un contexte marquĂ© par une pĂ©nurie de personnel et une conjoncture Ă©conomique difficile.

« GrĂące Ă  sa capacitĂ© Ă  rallier les forces vives de l’administration municipale, il a su mobiliser les talents et les expertises de chacun pour faire avancer des dossiers majeurs tels que la rĂ©fection de l’hĂŽtel de ville, la finalisation du plan d’intervention en infrastructures routiĂšres locales et la rĂ©alisation de l’étude de regroupement avec la municipalitĂ© de Notre-Dame-des-Neiges. Son mandat se distingue par une volontĂ© constante de favoriser la synergie entre les partenaires et les Ă©quipes, tout en soutenant activement les Ă©lus dans la mise en oeuvre de leurs prioritĂ©s Â», ajoute-t-on.

Bougie d’allumage

« Nous tenons Ă  souligner l’apport majeur de monsieur Bergeron Ă  la Ville de Trois-Pistoles. Il a Ă©tĂ© la bougie d’allumage de nombreux dossiers et a permis Ă  notre administration d’ĂȘtre beaucoup plus efficace et structurĂ©e. C’est une perte pour notre ville, mais aussi sur le plan personnel. GrĂące Ă  notre travail d’équipe et son expertise, j’ai pu grandir en tant que personne et en tant que maire Â», commente le maire Philippe Guilbert.

Le conseil municipal entamera sous peu un processus d’embauche visant Ă  pourvoir le poste de direction gĂ©nĂ©rale.

Catherine Fiset, présentement greffiÚre et directrice générale adjointe, assurera la période de transition afin de maintenir la stabilité et la continuité des activités municipales.

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  • Maintenant 40 joueurs au camp de l’OcĂ©anic
    Quatre jours aprĂšs le dĂ©but du camp d’entrainement de l’OcĂ©anic, les dirigeants de l’équipe commencent Ă  y voir un peu plus clair. Le contingent de joueurs a d’ailleurs Ă©tĂ© rĂ©duit du tiers au terme de la fin de semaine.  Des 62 joueurs prĂ©sents au camp, incluant la douzaine de vĂ©tĂ©rans, il en reste une quarantaine aprĂšs les retranchements de douze joueurs samedi et de dix, dimanche. « Je suis trĂšs satisfait de l’intensitĂ© dĂ©ployĂ©e et du talent que nous avons avec toutes nos recrues. On ava
     

Maintenant 40 joueurs au camp de l’OcĂ©anic

17 août 2025 à 22:21

Quatre jours aprĂšs le dĂ©but du camp d’entrainement de l’OcĂ©anic, les dirigeants de l’équipe commencent Ă  y voir un peu plus clair. Le contingent de joueurs a d’ailleurs Ă©tĂ© rĂ©duit du tiers au terme de la fin de semaine. 

Des 62 joueurs présents au camp, incluant la douzaine de vétérans, il en reste une quarantaine aprÚs les retranchements de douze joueurs samedi et de dix, dimanche.

« Je suis trĂšs satisfait de l’intensitĂ© dĂ©ployĂ©e et du talent que nous avons avec toutes nos recrues. On avait demandĂ©, samedi, Ă  nos quelques vĂ©tĂ©rans de retour de mettre la barre le plus haut possible pour permettre de voir oĂč se situent nos jeunes. Ça fait en sorte que nous avons eu deux matchs avec beaucoup d’intensitĂ© », explique JoĂ«l Perrault.

Il y aura quelques autres retranchements qui seront annoncĂ©s lundi. Du mĂȘme coup, un groupe d’environ 25 joueurs seront retenus pour faire le voyage Ă  Victoriaville et Shawinigan oĂč l’OcĂ©anic jouera deux parties prĂ©paratoires, mardi et mercredi.  

Il n’y a pas de vĂ©ritable surprise dans la liste des joueurs retournĂ©s Ă  leur Ă©quipe d’origine. 

JoĂ«l Perrault (Photo Le Soir – Olivier Therriault)

Massé impressionne

Perrault a plutĂŽt retenu le positif dans son point de presse, dimanche soir.

« Alex MassĂ© avait connu un bon camp, l’an dernier. Jusqu’à maintenant, il connait un excellent camp d’entrainement. MĂȘme chose pour Samuel Thibault qui a terminĂ© la saison avec le titre de joueur par excellence des sĂ©ries avec les Chevalier de LĂ©vis (M18 AAA). Il fait de trĂšs belles choses dans le camp », observe-t-il.

L’entraineur-chef s’est dit Ă©galement trĂšs satisfait de ce qu’il voit de deux EuropĂ©ens, Luca Nappiot et Dovydas Jukna, qui sont arrivĂ©s jeudi dernier. L’autre, RaphaĂ«l Achermann, se pointera mercredi Ă  la suite de sa participation du DĂ©fi mondial Hlinka / Gretzky au cours de la derniĂšre semaine.

Deux blessures

Les deux premiers choix de l’équipe au dernier repĂȘchage ont Ă©tĂ© blessĂ©s. « Maxwell Branton a eu une petite blessure Ă  la jambe, mais il va pratiquer demain et devrait jouer les deux parties sur la route. Pour ce qui est de Zack Arsenault, il a donnĂ© contre la bande Ă  la suite d’une mauvaise mise en Ă©chec dans le match de ce matin (dimanche). On ne veut pas prendre de chance », explique-t-il.

L’OcĂ©anic tiendra une derniĂšre sĂ©ance d’entrainement, en deux groupes, lundi, 10 h, au Complexe sportif Desjardins. À partir de mardi avant-midi, le camp dĂ©mĂ©nage au ColisĂ©e FinanciĂšre Sun Life. 

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  • Ligue Puribec : match suspendu au TĂ©miscouata
    Une panne de courant gĂ©nĂ©ralisĂ©e dans une bonne partie du TĂ©miscouata, dimanche soir, a eu pour effet de suspendre le match no 1 de la sĂ©rie demi-finale de la Ligue Puribec entre les AllĂ©es du Boulevard de Matane et les Braves Batitech.  L’action Ă©tait rendue en fin de 5e manche avec Matane en avance par 7-4 et les Braves au bĂąton qui venaient de marquer trois points. Il y a un retrait avec des coureurs au 2e et 3e but et FĂ©lix Castonguay qui s’amĂšne pour frapper. Le jeu reprendra mardi so
     

Ligue Puribec : match suspendu au TĂ©miscouata

17 août 2025 à 22:07

Une panne de courant gĂ©nĂ©ralisĂ©e dans une bonne partie du TĂ©miscouata, dimanche soir, a eu pour effet de suspendre le match no 1 de la sĂ©rie demi-finale de la Ligue Puribec entre les AllĂ©es du Boulevard de Matane et les Braves Batitech. 

L’action Ă©tait rendue en fin de 5e manche avec Matane en avance par 7-4 et les Braves au bĂąton qui venaient de marquer trois points. Il y a un retrait avec des coureurs au 2e et 3e but et FĂ©lix Castonguay qui s’amĂšne pour frapper.

Le jeu reprendra mardi soir, tout juste avant la partie no 2 de la sĂ©rie Ă  Matane. L’heure de la reprise sera confirmĂ©e par la ligue lundi. 

Takikawa : 11 K

Le Japonais, Keisuke Takikawa, n’a accordĂ© que deux coups sĂ»rs jusqu’ici dans le match en plus de quatre buts sur balles. Il a retirĂ© 11 frappeurs sur trois prises. Juste avant la panne, Samuel Pearson a frappĂ© un double de deux points Ă  ses dĂ©pens.

Pour Matane, Junior Coulombe a fait produire trois points avec trois coups sûrs en autant de présences contre Gabriel Cyr qui a quitté aprÚs 4 1/3 manches.

Série A

Dans l’autre sĂ©rie, le BĂ©rubĂ© GM de Trois-Pistoles, qui a gagnĂ© 7-5 Ă  Rimouski samedi soir, accueillera le Shaker, mardi soir.

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  • La Ferme Ravito accueille les « Portes ouvertes Mangeons local »
    L’évĂ©nement « Portes ouvertes Mangeons local de l’UPA » prend cette annĂ©e une saveur biologique et maraĂźchĂšre au Bas-Saint-Laurent. Les visiteurs sont attendus Ă  la Ferme Ravito de Sainte-Flavie, le 7 septembre prochain, de 10 h Ă  16 h. PropriĂ©tĂ© d’Olivia Bernier et de Jimmy Lepage, la Ferme Ravito est en activitĂ© depuis 2022 sur une terre familiale situĂ©e sur la route de la Mer (route 132). Le nom de l’entreprise est librement inspirĂ© du mot ravitaillement, un clin d’Ɠil au kiosque en li
     

La Ferme Ravito accueille les « Portes ouvertes Mangeons local »

17 août 2025 à 18:00

L’évĂ©nement « Portes ouvertes Mangeons local de l’UPA » prend cette annĂ©e une saveur biologique et maraĂźchĂšre au Bas-Saint-Laurent. Les visiteurs sont attendus Ă  la Ferme Ravito de Sainte-Flavie, le 7 septembre prochain, de 10 h Ă  16 h.

PropriĂ©tĂ© d’Olivia Bernier et de Jimmy Lepage, la Ferme Ravito est en activitĂ© depuis 2022 sur une terre familiale situĂ©e sur la route de la Mer (route 132).

Le nom de l’entreprise est librement inspirĂ© du mot ravitaillement, un clin d’Ɠil au kiosque en libre-service de la ferme qui permet aux locaux et aux gens de passage de faire une escale nourriciĂšre dĂšs que le besoin s’en fait sentir.

La Ferme Ravito se spécialise dans la culture de légumes et de verdures en régie biologique sur une quinzaine de petites surfaces, pour un total de deux hectares.

Cette approche permet de réduire son empreinte écologique et de favoriser une meilleure biodiversité. La saisonnalité, une autre des valeurs portées par le couple, fait découvrir aux visiteurs de nouvelles saveurs du terroir régional de La Mitis.

« Depuis nos dĂ©buts, nous cultivons plus de 150 variĂ©tĂ©s de lĂ©gumes, fleurs, fruits et fines herbes dans le but de crĂ©er une plus grande biodiversitĂ© sur le territoire. Nous souhaitons offrir un environnement sain, du champ Ă  l’assiette, pour notre communautĂ© et les restaurants locaux. Nous sommes heureux d’accueillir les « Portes ouvertes Mangeons local » afin de reprĂ©senter un modĂšle d’agriculture Ă  Ă©chelle humaine qui a sa place dans le paysage agricole », expriment conjointement Olivia et Jimmy.

Rendez-vous régional

PrĂ©vues le 7 septembre Ă  travers tout le QuĂ©bec, les « Portes ouvertes Mangeons local » sont organisĂ©es rĂ©gionalement par le Syndicat de l’UPA de La Mitis, en collaboration avec les propriĂ©taires de la Ferme Ravito et la FĂ©dĂ©ration de l’UPA du Bas-Saint-Laurent.

À Olivia Bernier et de Jimmy Lepage se joindront des membres de leurs familles respectives, des bĂ©nĂ©voles du Syndicat et des employĂ©s de la FĂ©dĂ©ration rĂ©gionale afin de faire de cette journĂ©e un incontournable pour les familles, les curieux et les Ă©picuriens.

La Ferme Ravito est situĂ©e sur la route de la Mer, Ă  Sainte-Flavie. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)

La journĂ©e comprendra la visite des installations de la Ferme Ravito, la prĂ©sence de kiosques en lien avec l’agriculture, de l’animation et un volet artistique. L’entrĂ©e sera gratuite.

« La Ferme Ravito met de l’avant un modĂšle de mise en marchĂ© unique et de proximitĂ© ainsi que des pratiques culturales respectueuses de l’environnement. Les « Portes ouvertes Mangeons local » constituent une belle vitrine pour faire dĂ©couvrir cette entreprise, Ă  un moment oĂč l’achat local est plus que jamais valorisĂ© », mentionne le 2e vice-prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration de l’UPA du Bas-Saint-Laurent et prĂ©sident du Syndicat de l’UPA de La Mitis, Yannick CĂŽtĂ©.

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  • CitĂ© en dĂ©ontologie : pas d’audience en vue pour Simon Lavoie
    Aucune audience n’est prĂ©vue pour l’instant concernant le maire de Sainte-Françoise dans Les Basques, Simon Lavoie, citĂ© en dĂ©ontologie par la Commission municipale du QuĂ©bec. Selon le document obtenu par Le Soir.ca, 14 manquements sont allĂ©guĂ©s entre avril 2023 et septembre 2024. La Commission municipal du QuĂ©bec reproche notamment Ă  monsieur Lavoie d’avoir pris part Ă  plusieurs dĂ©libĂ©rations du conseil concernant la municipalisation, l’acquisition et l’asphaltage du chemin menant Ă  sa
     

CitĂ© en dĂ©ontologie : pas d’audience en vue pour Simon Lavoie

17 août 2025 à 17:00

Aucune audience n’est prĂ©vue pour l’instant concernant le maire de Sainte-Françoise dans Les Basques, Simon Lavoie, citĂ© en dĂ©ontologie par la Commission municipale du QuĂ©bec.

Selon le document obtenu par Le Soir.ca, 14 manquements sont allégués entre avril 2023 et septembre 2024.

La Commission municipal du QuĂ©bec reproche notamment Ă  monsieur Lavoie d’avoir pris part Ă  plusieurs dĂ©libĂ©rations du conseil concernant la municipalisation, l’acquisition et l’asphaltage du chemin menant Ă  sa propriĂ©tĂ©, sans avoir dĂ©clarĂ© son intĂ©rĂȘt.

Le dĂ©pĂŽt d’une citation marque le dĂ©but du processus juridictionnel. L’élu visĂ© a droit Ă  une dĂ©fense pleine et entiĂšre.

L’église de Sainte-Françoise. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)

Il peut se reprĂ©senter seul ou ĂȘtre assistĂ© d’un avocat, contre-interroger les tĂ©moins et prĂ©senter sa propre preuve. Une confĂ©rence de gestion aura lieu prochainement pour fixer l’échĂ©ancier.

S’il est reconnu coupable, Simon Lavoie s’expose Ă  des sanctions allant de la rĂ©primande Ă  une suspension de 90 jours, en plus d’une amende maximale de 4 000 $ par manquement.

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  • Les vols d’Air Canada reprennent aprĂšs l’intervention du fĂ©dĂ©ral
    Air Canada a annoncĂ© son intention de reprendre ses vols dimanche, aprĂšs l’intervention du gouvernement fĂ©dĂ©ral qui a ordonnĂ© un arbitrage exĂ©cutoire pour mettre fin Ă  la grĂšve des agents de bord survenue la veille. Par La Presse Canadienne La compagnie aĂ©rienne a indiquĂ©, dans un communiquĂ© diffusĂ© dimanche matin, que les premiers vols reprendront dimanche soir, mais qu’il faudra plusieurs jours avant que ses activitĂ©s ne reviennent Ă  la normale. « Au cours de ce processus, certains vo
     

Les vols d’Air Canada reprennent aprĂšs l’intervention du fĂ©dĂ©ral

17 août 2025 à 15:00

Air Canada a annoncĂ© son intention de reprendre ses vols dimanche, aprĂšs l’intervention du gouvernement fĂ©dĂ©ral qui a ordonnĂ© un arbitrage exĂ©cutoire pour mettre fin Ă  la grĂšve des agents de bord survenue la veille.

Par La Presse Canadienne

La compagnie aĂ©rienne a indiquĂ©, dans un communiquĂ© diffusĂ© dimanche matin, que les premiers vols reprendront dimanche soir, mais qu’il faudra plusieurs jours avant que ses activitĂ©s ne reviennent Ă  la normale.

« Au cours de ce processus, certains vols seront annulĂ©s au cours des sept Ă  dix prochains jours, jusqu’à ce que l’horaire soit stabilisĂ© », a prĂ©cisĂ© l’entreprise.

Air Canada affirme avoir reçu l’ordre du Conseil canadien des relations industrielles de reprendre ses activitĂ©s et de faire en sorte que les agents de bord reprennent leurs fonctions avant 14 h.

La ministre de l’Emploi, Patty Hajdu, a ordonnĂ© samedi Ă  la compagnie aĂ©rienne et Ă  ses agents de bord de reprendre leurs activitĂ©s, mettant fin Ă  une grĂšve et Ă  un lock-out aprĂšs moins de 12 heures.

Air Canada rapporte que l’arrĂȘt de travail a entraĂźnĂ© la suspension de plus de 700 vols.

Cédé aux demandes

Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), qui reprĂ©sente les agents de bord, a accusĂ© la ministre Hajdu d’avoir cĂ©dĂ© aux demandes d’Air Canada.

La composante d’Air Canada du SCFP, qui reprĂ©sente plus de 10 000 agents de bord de la compagnie aĂ©rienne, avait annoncĂ© samedi que ses membres se rendaient sur les lignes de piquetage aprĂšs avoir Ă©tĂ© incapables de conclure une entente de derniĂšre minute avec l’employeur.

Air Canada a mis ses agents de bord en lock-out environ 30 minutes plus tard en raison de la grĂšve.

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  • Un homme meurt Ă  la suite d’un Ă©boulement
    Un octogĂ©naire a perdu la vie samedi dans un Ă©boulement survenu sur une plage Ă  New Richmond, en GaspĂ©sie. Par La Presse Canadienne Les services d’urgences se sont rendus sur la plage Henderson, vers 9 h 15, oĂč ils ont trouvĂ© l’homme gravement blessĂ© prĂšs d’un Ă©boulis. Ce dernier a Ă©tĂ© transportĂ© en centre hospitalier, oĂč son dĂ©cĂšs a Ă©tĂ© constatĂ©. La SĂ»retĂ© du QuĂ©bec assiste le coroner dans l’enquĂȘte pour Ă©tablir les causes et circonstances de la tragĂ©die.
     

Un homme meurt Ă  la suite d’un Ă©boulement

17 août 2025 à 12:00

Un octogénaire a perdu la vie samedi dans un éboulement survenu sur une plage à New Richmond, en Gaspésie.

Par La Presse Canadienne

Les services d’urgences se sont rendus sur la plage Henderson, vers 9 h 15, oĂč ils ont trouvĂ© l’homme gravement blessĂ© prĂšs d’un Ă©boulis. Ce dernier a Ă©tĂ© transportĂ© en centre hospitalier, oĂč son dĂ©cĂšs a Ă©tĂ© constatĂ©.

La SĂ»retĂ© du QuĂ©bec assiste le coroner dans l’enquĂȘte pour Ă©tablir les causes et circonstances de la tragĂ©die.

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  • Chasse : trois gestes clĂ©s Ă  poser avant l’automne
    La saison de chasse automnale tant attendue arrive souvent plus vite qu’on le pense ! PlutĂŽt que d’attendre Ă  la derniĂšre minute, pourquoi ne pas mettre l’étĂ© Ă  profit pour vous prĂ©parer efficacement ? La FĂ©dĂ©ration quĂ©bĂ©coise des chasseurs et pĂȘcheurs vous propose quelques Ă©tapes clĂ©s pour une rentrĂ©e en forĂȘt rĂ©ussie. ComplĂ©tez vos formations Avant de partir traquer votre gibier, assurez-vous d’avoir en main toutes les certifications nĂ©cessaires. Pour le calendrier des prochains co
     

Chasse : trois gestes clĂ©s Ă  poser avant l’automne

17 août 2025 à 11:00

La saison de chasse automnale tant attendue arrive souvent plus vite qu’on le pense ! PlutĂŽt que d’attendre Ă  la derniĂšre minute, pourquoi ne pas mettre l’étĂ© Ă  profit pour vous prĂ©parer efficacement ?

La FĂ©dĂ©ration quĂ©bĂ©coise des chasseurs et pĂȘcheurs vous propose quelques Ă©tapes clĂ©s pour une rentrĂ©e en forĂȘt rĂ©ussie.

Complétez vos formations

Avant de partir traquer votre gibier, assurez-vous d’avoir en main toutes les certifications nĂ©cessaires.

Pour le calendrier des prochains cours : fedecp.com/trouveruneformation/ (Photo site web FédéCP)

Selon l’arme que vous souhaitez utiliser, diffĂ©rentes formations sont requises :

  • Arc ou arbalĂšte: Suivez le cours en ligne Initiation Ă  la chasse avec arc ou arbalĂšte (ICAA).
  • Arme Ă  feu: ComplĂ©tez le Cours d’initiation Ă  la chasse avec arme Ă  feu (ICAF) ainsi que le Cours canadien de sĂ©curitĂ© dans le maniement des armes Ă  feu (CCSMAF).

Les places se remplissent vite, alors inscrivez-vous dĂšs maintenant.

Faites votre demande de PPA

Si vous prĂ©voyez acheter une arme Ă  feu, vous devrez obtenir votre Permis de possession et d’acquisition (PPA).

La demande peut ĂȘtre soumise dĂšs que vous avez rĂ©ussi le CCSMAF. Pour plus de dĂ©tails sur le processus, consultez le site de la GRC.

Le dĂ©lai pour obtenir son Permis de possession et acquisition d’arme Ă  feu (PPA) auprĂšs de la GRC, peut prendre jusqu’à cinq mois d’attente. (Photo courtoisie)

DĂšs que vous avez achetĂ© une arme, n’oubliez pas de l’immatriculer auprĂšs du gouvernement du QuĂ©bec. Plus d’infos : www.quebec.ca.

EntraĂźnez-vous au champ de tir

MaĂźtriser son arme est essentiel pour une chasse sĂ©curitaire et efficace. Profitez de l’étĂ© pour visiter un club de tir et perfectionner votre technique.

De nombreux clubs offrent des Ă©vĂ©nements spĂ©ciaux, comme le tir au pigeon d’argile ou des cliniques d’ajustement d’armes.

Cette chasseuse se pratique au Club de tir de St-Tite, lieu du tournage du vidĂ©o de la FĂ©dĂ©CP, sous l’Ɠil averti du moniteur et spĂ©cialiste Marius DeChamplain. (Photo vidĂ©o FĂ©dĂ©CP)

Trouvez un club prĂšs de chez vous:

Arc et arbalĂšte

Arme Ă  feu 

Renseignez-vous sur la réglementation

Être un bon chasseur, c’est aussi connaütre et respecter les rùglements en vigueur.

Pour Ă©viter les mauvaises surprises en saison, tĂ©lĂ©chargez dĂšs maintenant l’application Zone Chasse 2.0. 

Consultez également le site du ministÚre pour connaßtre les périodes de chasse et les permis nécessaires.

Faites partie du mouvement!

Renseignez-vous auprĂšs de vos associations locales en chasse et pĂȘche pour connaĂźtre leurs activitĂ©s ou encore mieux, impliquez-vous auprĂšs de celles-ci.

Que ce soit en donnant un coup de main ponctuel ou en devenant membre actif, votre engagement aide ces associations Ă  poursuivre leur mission faunique et Ă©ducative. Vous pouvez consulter notre carte interactive qui rĂ©pertorie toutes nos associations membres..

Cet Ă©tĂ©, investissez dans votre passion ! 

Complétez vos formations, affinez votre technique, informez-vous et impliquez-vous. Une bonne préparation vous assurera une saison de chasse réussie et mémorable.

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  • Saint-Anaclet : la comĂ©die musicale offerte Ă  tous
    Le théùtre musical Didascalie prendra vie, cet automne, Ă  Saint-Anaclet-de-Lessard. Une troupe intergĂ©nĂ©rationnelle de 25 personnes sera formĂ©e au cours des prochaines semaines.  Quatre Rimouskoises passionnĂ©es de comĂ©die musicale, Émie Ouellette, Jennifer BussiĂšres, Eveliina Rissanen et Maude Chamberland, se sont unies pour crĂ©er cette initiative.  « Les projets culturels Ă  Rimouski permettent rarement le cĂŽtoiement des gĂ©nĂ©rations. Le seul moyen de faire de la comĂ©die musicale est avec l
     

Saint-Anaclet : la comédie musicale offerte à tous

17 août 2025 à 09:00

Le théùtre musical Didascalie prendra vie, cet automne, Ă  Saint-Anaclet-de-Lessard. Une troupe intergĂ©nĂ©rationnelle de 25 personnes sera formĂ©e au cours des prochaines semaines. 

Quatre Rimouskoises passionnĂ©es de comĂ©die musicale, Émie Ouellette, Jennifer BussiĂšres, Eveliina Rissanen et Maude Chamberland, se sont unies pour crĂ©er cette initiative. 

« Les projets culturels Ă  Rimouski permettent rarement le cĂŽtoiement des gĂ©nĂ©rations. Le seul moyen de faire de la comĂ©die musicale est avec la Troupe Amalgame pour les Ă©lĂšves de l’école Paul-Hubert. C’est possible de faire du théùtre, de la musique, de la danse, mais rien ne rĂ©unit les trois. Ça va venir chercher ce besoin de faire plusieurs choses en mĂȘme temps », affirme la directrice vocale et codirectrice musicale, Jennifer BussiĂšres.

Le groupe sera divisĂ© en deux avec une troupe recrue pour les 8 Ă  16 ans et une troupe principale pour les 16 Ă  65 ans. Ils prĂ©senteront tous ensemble le mĂȘme spectacle au printemps. 

« Les membres de la troupe recrue vont venir toutes les semaines pour les rĂ©pĂ©titions pendant la premiĂšre heure et les autres vont rester pour les deux heures. Nous avons une flexibilitĂ© intergroupe. Si nous avons des jeunes de 14 ou 15 ans trĂšs motivĂ©s, ils pourront faire les deux heures. Nous nous sommes assurĂ©s, dans la production, d’avoir besoin d’une dizaine d’enfants pour offrir des rĂŽles », explique madame BussiĂšres. 

« Les plus jeunes vont avoir un rĂŽle un peu plus petit et un peu moins d’interactions avec les autres membres de la piĂšce. Nous allons leur donner des scĂšnes rĂ©servĂ©es Ă  eux. Nous allons tous travailler ensemble sans toujours mĂ©langer les deux groupes », ajoute la directrice artistique et chorĂ©graphe, Émie Ouellette. 

Production originale

La troupe Didascalie se voudra un espace de crĂ©ation, d’expression et de plaisir. Les participants travailleront sur une production originale. 

« C’est Ă©crit par nous mĂȘme. C’est une piĂšce qui n’a jamais Ă©tĂ© faite ailleurs. Nous allons prendre des chansons de la culture populaire quĂ©bĂ©coise et amĂ©ricaine avec une composition originale de Maude Chamberland. Je vais m’occuper des arrangements vocaux et musicaux », prĂ©cise la directrice vocale. 

La directrice artistique et chorĂ©graphe, Émie Ouellette, ainsi que la directrice vocale et codirectrice musicale, Jennifer BussiĂšres. (Photo Le Soir.ca- Annie Levasseur)

Cette derniĂšre souligne que la piĂšce devrait s’appeler La famille Tremblay. Il s’agit d’une comĂ©die grand public. 

« C’est une histoire familiale. Chaque personnage est une caricature, que ce soit de l’enfant jusqu’à la grand-mĂšre. Il n’y a pas de second rĂŽle dans la piĂšce. Tout le monde va avoir quelque chose Ă  faire avec son personnage et pourra dĂ©velopper tout son potentiel avec lui. C’était important pour nous. »

Inscriptions

Les inscriptions sont commencĂ©es et elles se poursuivent jusqu’au 1er septembre. Le premier cours est prĂ©vu le 16 septembre.

« Nous allons faire des choix selon les inscriptions que nous allons recevoir. Ce ne sera pas nĂ©cessairement des choix en fonction des plus grands talents. Nous voulons y aller avec la diversitĂ© et l’engagement des gens. Nous allons faire une liste d’attente en cas de dĂ©sistements », mentionne Jennifer BussiĂšres. 

En plus du spectacle final, d’autres activitĂ©s se tiendront pendant l’annĂ©e, notamment pour le temps des FĂȘtes. Les dĂ©tails sont disponibles sur les rĂ©seaux sociaux TM Didascalie.

Il est aussi possible d’écrire Ă  l’adresse didascalie.tm@gmail.com

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  • 39e Tournoi Construction Albert : 70 000 $ amassĂ©s
    Franc succĂšs pour le 39e Tournoi de golf Construction Albert. Affichant complet avec 260 participants rĂ©unis samedi (16 aoĂ»t) au Club Les Saules, l’activitĂ© a permis d’amasser 70 000$, redistribuĂ©s Ă  parts Ă©gales entre sept organismes de la rĂ©gion. Ce montant surpasse largement la rĂ©colte de l’an dernier, qui s’élevait Ă  48 000 $. Les fonds soutiendront les activitĂ©s de La DĂ©brouille, de l’Association du hockey mineur de Rimouski, du Centre de prĂ©vention du suicide et d’intervention de cri
     

39e Tournoi Construction Albert : 70 000 $ amassés

17 août 2025 à 07:00

Franc succĂšs pour le 39e Tournoi de golf Construction Albert. Affichant complet avec 260 participants rĂ©unis samedi (16 aoĂ»t) au Club Les Saules, l’activitĂ© a permis d’amasser 70 000$, redistribuĂ©s Ă  parts Ă©gales entre sept organismes de la rĂ©gion.

Ce montant surpasse largement la rĂ©colte de l’an dernier, qui s’élevait Ă  48 000 $.

Les fonds soutiendront les activitĂ©s de La DĂ©brouille, de l’Association du hockey mineur de Rimouski, du Centre de prĂ©vention du suicide et d’intervention de crise du Bas-Saint-Laurent, du Club de patinage artistique de Rimouski, de la Fondation Martin D’Astous et de l’Association du cancer de l’Est du QuĂ©bec.

En 2025, la Fondation de l’école Paul-Hubert s’ajoutera Ă  la liste des organismes bĂ©nĂ©ficiaires.

Ambiance festive et conviviale

Sous la responsabilité de Mélissa Pelletier et de Louis-Vincent Albert, le comité organisateur avait préparé une journée à la hauteur des attentes, avec deux départs, à 8 h et 13 h, disputés sous la formule Mulligan à cinq joueurs, le tout dans une ambiance festive et conviviale.

En tout, 62 prix de présence dont la valeur totalisait 28 000$ ont été remis durant la soirée.

Depuis prĂšs de quatre dĂ©cennies, le Tournoi de golf Construction Albert s’impose comme un rendez-vous incontournable Ă  Rimouski, alliant sport, plaisir et solidaritĂ©.

Louis-Vincent Albert remet le chÚque à Marie-Sophie Picard et Marie Beauchesne de La Débrouille. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Louis-Vincent Albert avec les reprĂ©sentants de l’Association du hockey mineur de Rimouski, Maxime Blanchette et GaĂ©tan Leclerc. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Louis-Vincent Albert et Mélissa Pelletier avec le chÚque remis au Centre de prévention du suicide du Bas-Saint-Laurent. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Louis-Vincent Albert accompagne des athlÚtes du Club de patinage artistique de Rimouski et son président, Marc Boudreau. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Louis-Vincent Albert et MĂ©lissa Pelletier prĂ©sentent le montant remis Ă  la Fondation Martin D’Astous. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
La directrice des services de l’Association du cancer de l’Est du QuĂ©bec, VĂ©ronique Tremblay, au centre, avec Louis-Vincent Albert et MĂ©lissa Pelletier du Tournoi Construction Albert. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Les reprĂ©sentantes de la Fondation de l’école Paul-Hubert de Rimouski en compagnie de Louis-Vincent Albert. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
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  • Le BĂ©rubĂ© GM gagne la premiĂšre
    Le BĂ©rubĂ© GM de Trois-Pistoles a poursuivi sur sa lancĂ©e quand il est allĂ© gagner 7-6 Ă  Rimouski, samedi soir, dans le premier match de leur demi-finale au meilleur de sept devant plus de 350 spectateurs. Inactif depuis deux semaines, le Shaker n’avait visiblement pas son aplomb habituel commettant quatre erreurs dans la rencontre. Seulement trois des sept points sont mĂ©ritĂ©s. La machine offensive du BĂ©rubĂ© GM en a profitĂ©.  Conciliabule au monticule chez le BĂ©rubĂ© GM Photo : Alain Trembla
     

Le Bérubé GM gagne la premiÚre

17 août 2025 à 00:48

Le BĂ©rubĂ© GM de Trois-Pistoles a poursuivi sur sa lancĂ©e quand il est allĂ© gagner 7-6 Ă  Rimouski, samedi soir, dans le premier match de leur demi-finale au meilleur de sept devant plus de 350 spectateurs.

Inactif depuis deux semaines, le Shaker n’avait visiblement pas son aplomb habituel commettant quatre erreurs dans la rencontre. Seulement trois des sept points sont mĂ©ritĂ©s. La machine offensive du BĂ©rubĂ© GM en a profitĂ©. 

Conciliabule au monticule chez le Bérubé GM Photo : Alain Tremblay)

C’était 6-6 aprĂšs six manches. Deux erreurs et une balle Ă  double jeu mal exĂ©cutĂ©e ont menĂ© au point de la victoire en 7emanche.  

Le Shaker a frappĂ© 11 coups sĂ»rs, un de moins que son adversaire. Mathew Ramos a Ă©tĂ© le meilleur avec trois pendant que Ludovic DubĂ©, Jean-Philippe Marcoux-Tortillet et Yannick Desbiens en ont deux chacun. Ce dernier a notamment frappĂ© un double bon pour trois points. 

Mathew Ramos croise le marbre et est accueilli par Émile Maisonneuve (Photo : Alain Tremblay)

Pour Trois-Pistoles. Jacob April a été le meilleur avec trois en trois et deux points produits.

Alexis Roy glisse sur un vol de but. (Photo : Alain Tremblay)

Tristan Michaud-ThĂ©riault a lancĂ© cinq excellentes manches en relĂšve pour la victoire. Alexis Roy, troisiĂšme lanceur utilisĂ© par le Shaker, encaisse le revers. 

Pour le sommaire: cliquez ici

Le match no 2 sera présenté mardi soir à Trois-Pistoles.

Série B

La sĂ©rie demi-finale B s’amorcera dimanche soir, 18 h, Ă  TĂ©miscouata-sur-le-Lac alors que les AllĂ©es du Boulevard de Matane visiteront les Braves Batitech. 

Les lanceurs partants seront Keisuke Takikawa et Gabriel Cyr.

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  • Feste mĂ©diĂ©vale de Saint-Marcellin : place Ă  la Grande bataille
    La 23e Feste mĂ©diĂ©vale se tient jusqu’à dimanche (17 aoĂ»t) Ă  Saint-Marcellin. AprĂšs quelques annĂ©es d’absence, la Grande bataille est de retour, trĂšs attendue des participants.  Plusieurs scĂ©narios seront mis en place pendant la fin de semaine qui se voudra une suite de l’an dernier.  « À la fin de la Feste, le roi est dĂ©cĂ©dĂ© Ă  cause de Jolicoeur et le bourg est maintenant sous son emprise. Il va exercer ses droits tout au long de l’évĂ©nement. Ça va se conclure avec une grande bataille, le
     

Feste médiévale de Saint-Marcellin : place à la Grande bataille

16 août 2025 à 19:00

La 23e Feste mĂ©diĂ©vale se tient jusqu’à dimanche (17 aoĂ»t) Ă  Saint-Marcellin. AprĂšs quelques annĂ©es d’absence, la Grande bataille est de retour, trĂšs attendue des participants. 

Plusieurs scĂ©narios seront mis en place pendant la fin de semaine qui se voudra une suite de l’an dernier. 

« À la fin de la Feste, le roi est dĂ©cĂ©dĂ© Ă  cause de Jolicoeur et le bourg est maintenant sous son emprise. Il va exercer ses droits tout au long de l’évĂ©nement. Ça va se conclure avec une grande bataille, le dimanche, avec les Vikings et d’autres clans pour faire tomber Jolicoeur », mentionne la chargĂ©e de projet pour la Feste mĂ©diĂ©vale, Marie-JosĂ©e DubĂ©. 

Dans les derniĂšres annĂ©es, seulement des duels Ă©taient prĂ©sentĂ©s, mais autant les participants que le public demandaient de revivre la Grande bataille. 

« Nous avons aussi le retour du trĂ©buchet. Nous avions eu un incident l’annĂ©e derniĂšre et nous avons dĂ» annuler tous les tirs. Cette annĂ©e, il est rĂ©parĂ© et il sera fonctionnel », indique madame DubĂ©. 

Neuf clans

Les joutes de l’Association mĂ©diĂ©vale de QuĂ©bec (AMQ) sont aussi de retour pour cette 23e Ă©dition, tout comme la bataille de Stamford Bridge et le traditionnel banquet du Seigneur du samedi soir, Ă  la Maison Sire Roland. De l’animation dans les neuf clans prĂ©sents sur le site est prĂ©vue. 

« Les membres de clans ont le privilĂšge d’avoir un bout de terrain qu’ils doivent entretenir tout l’étĂ©. Ils peuvent venir quand ils veulent et s’amuser entre eux en faisant des pratiques », souligne la chargĂ©e de projet. 

Un chevalier de la Feste médiévale de Saint-Marcellin. (Photo courtoisie Bertin Bélanger)

La biĂšre « Grande bataille », qui fait rĂ©fĂ©rence au thĂšme de cette annĂ©e, sera disponible pendant toute la fin de semaine. Elle a Ă©tĂ© brassĂ©e par Le Ketch de Sainte-Flavie. 

Reconstitution historique

La Feste mĂ©diĂ©vale attire entre 4 000 et 6 000 personnes annuellement. Selon les organisateurs, cette popularitĂ© s’explique en partie par le fait qu’elle offre uniquement de la reconstitution historique de l’époque mĂ©diĂ©vale. 

« Nous n’avons pas de fantastique et de grandeur nature. Nous sommes un des plus grands au pays. Les gens peuvent passer les trois jours ici et ne jamais voir la mĂȘme chose. C’est une grande fiertĂ© d’offrir ça dans la rĂ©gion », relate Marie-JosĂ©e DubĂ©. 

La programmation et les billets pour l’accùs au site sont disponibles au www.festemedievale.net

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  • Rimouski fait sa marque en tennis scolaire
    Gagnants de la saison inaugurale de la Ligue provinciale scolaire de Tennis QuĂ©bec, les jeunes athlĂštes des Tennis de Rimouski se prĂ©parent activement en vue de la deuxiĂšme annĂ©e de ce circuit de compĂ©tition provincial, qui a connu un grand succĂšs l’an dernier. Cette ligue a Ă©tĂ© fondĂ©e pour faciliter l’accĂšs aux jeunes aux compĂ©titions. « Le voyagement implique beaucoup de frais parce que c’est un sport individuel. Cette ligue nous permet de sĂ©parer les coĂ»ts. Nous amenons toujours six at
     

Rimouski fait sa marque en tennis scolaire

16 août 2025 à 18:00

Gagnants de la saison inaugurale de la Ligue provinciale scolaire de Tennis QuĂ©bec, les jeunes athlĂštes des Tennis de Rimouski se prĂ©parent activement en vue de la deuxiĂšme annĂ©e de ce circuit de compĂ©tition provincial, qui a connu un grand succĂšs l’an dernier.

Cette ligue a Ă©tĂ© fondĂ©e pour faciliter l’accĂšs aux jeunes aux compĂ©titions.

« Le voyagement implique beaucoup de frais parce que c’est un sport individuel. Cette ligue nous permet de sĂ©parer les coĂ»ts. Nous amenons toujours six athlĂštes avec nous », explique le directeur et professionnel aux Tennis de Rimouski, AndrĂ©-Michel Proulx. 

Les joueurs rimouskois devant le Stade IGA. (Photo courtoisie)

Pour la saison inaugurale, les Tennis de Rimouski ont remportĂ© les grands honneurs en finale contre LĂ©vis. La concentration tennis au club rimouskois compte environ 25 Ă©lĂšves du secondaire. 

« Les parties se jouent sur les heures scolaires, les vendredis aprĂšs-midi. Les enfants sont libĂ©rĂ©s. Quand les matchs sont jouĂ©s, souvent nous continuons et nous faisons des matchs hors-concours pour que les jeunes aient du volume et qu’ils profitent de cette occasion », dit-il. 

Meilleur engagement

Comme seulement six joueurs peuvent participer Ă  chacune des compĂ©titions, les entraĂźneurs font des sĂ©lections. AndrĂ©-Michel Proulx a remarquĂ© un plus grand engagement de la part des joueurs lors de la derniĂšre saison. 

« Nous nous Ă©tions donnĂ© comme dĂ©fi de faire jouer tout le monde au moins une fois. Ça amĂšne les jeunes Ă  se concentrer davantage sur leur entraĂźnement. Nous sĂ©lectionnons par rapport aux performances, mais aussi par rapport Ă  l’attitude et au comportement. »

André-Michel Proulx (Photo courtoisie Iften Redjah -FolioPhoto)

En comptant une seule l’an dernier, la Ligue provinciale devrait compter deux divisions Ă  des niveaux diffĂ©rents pour 2025-2026. Rimouski souhaite faire rivaliser dans les deux divisions. 

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  • Retour Ă  l’école VIP : 250 sacs de matĂ©riel scolaire remis
    L’organisme Retour Ă  l’école VIP (REVIP) tenait, ce samedi 16 aoĂ»t en aprĂšs-midi, sa huitiĂšme fĂȘte de remise. Au cours de cette fĂȘte, 250 Ă©lĂšves du primaire ont pu recevoir un sac d’école contenant tout le matĂ©riel scolaire nĂ©cessaire pour l’annĂ©e Ă  venir. L’évĂ©nement, qui se tient annuellement depuis 2018, vise Ă  venir en aide aux familles de la rĂ©gion qui sont dans le besoin. Il s’agit d’une initiative de deux Ă©glises rimouskoises : l’Alliance ChrĂ©tienne et Missionnaire de Rimouski et
     

Retour Ă  l’école VIP : 250 sacs de matĂ©riel scolaire remis

16 août 2025 à 17:00

L’organisme Retour Ă  l’école VIP (REVIP) tenait, ce samedi 16 aoĂ»t en aprĂšs-midi, sa huitiĂšme fĂȘte de remise. Au cours de cette fĂȘte, 250 Ă©lĂšves du primaire ont pu recevoir un sac d’école contenant tout le matĂ©riel scolaire nĂ©cessaire pour l’annĂ©e Ă  venir.

L’évĂ©nement, qui se tient annuellement depuis 2018, vise Ă  venir en aide aux familles de la rĂ©gion qui sont dans le besoin.

Il s’agit d’une initiative de deux Ă©glises rimouskoises : l’Alliance ChrĂ©tienne et Missionnaire de Rimouski et l’Église Connexion.

Quelques-uns des sacs d’école de 2025. (Photo Le Soir.ca – VĂ©ronique BossĂ©)

Plus de demandes, mais moins de moyens

Bien que l’organisme ait reçu des demandes pour 325 sacs d’école en 2025, un manque de ressources financiĂšres ne lui a pas permis de rĂ©pondre Ă  l’ensemble des besoins.

« Les gens qui veulent contribuer Ă  la mission de l’organisme peuvent se rendre directement sur notre site web, retourecolevip.org, pour y faire un don. On recueille les dons de monsieur et madame tout le monde, mais aussi les dons des entreprises, pour qui nous pouvons remettre un reçu pour les impĂŽts », explique Sully Reichenbach qui est membre du comitĂ© organisateur de REVIP depuis ses dĂ©buts dans Rimouski.

MĂȘme si la fĂȘte de remise a dĂ©jĂ  eu lieu, il est encore possible de contribuer, puisque l’organisme s’affaire toute l’annĂ©e Ă  l’achat de fournitures scolaire.

« Quand il y a des spĂ©ciaux, on va magasiner, donc nous n’avons pas seulement besoin de dons l’étĂ©. L’an prochain, nous pourrons peut-ĂȘtre accepter les demandes de plus d’enfants, si nous avons plus de ressources pour le faire », espĂšre madame Reichenbach.

ÉvĂ©nement festif

MalgrĂ© tout, le cƓur Ă©tait Ă  la fĂȘte en ce samedi aprĂšs-midi. FidĂšle Ă  son habitude, l’organisme a mis Ă  la disposition des familles des stations de jeux et des jeux gonflables pour leur permettre de s’amuser lors de cette fĂȘte de remise.

L’équipe a aussi Ă©laborĂ© quelques nouveautĂ©s pour l’édition 2025.

« Nous avons mis sur pied un magasin gĂ©nĂ©ral VIP. Les enfants, en faisant des stations, accumulent des points. AprĂšs, ils peuvent tourner la roulette. On a fait cet ajout parce que notre organisme se nomme Retour Ă  l’École VIP, donc on s’est dit qu’on pourrait aussi avoir des articles VIP. Ce sont donc de petits articles scolaires plus « cool » que les enfants pourront ajouter Ă  leur sac. »

Le magasin gĂ©nĂ©ral VIP (Photo Le Soir.ca – VĂ©ronique BossĂ©)

Une autre nouveautĂ© est l’amĂ©nagement d’une table de surplus.

« Ça fait sept ans qu’on fait l’achat de fournitures scolaires, alors au fil des annĂ©es, il y a des articles que nous avons accumulĂ©s et qui ne vont pas dans les sacs. Les gens qui participent Ă  la FĂȘte de remise peuvent donc se servir : tout est Ă  donner. »

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  • La rĂ©volution silencieuse des restaurants inclusifs
    Il est midi dimanche. C’est tranquille. Dans la salle Ă  manger, la lumiĂšre est douce, les conversations feutrĂ©es. Maude peut enfin savourer son repas pendant que son fils de 12 ans mange paisiblement sans se boucher les oreilles. L’opinion de Johanne Fournier Mathias prĂ©sente un trouble du spectre de l’autisme. Banale en apparence, cette scĂšne illustre pourtant une petite rĂ©volution qui se dessine tout doucement dans certains Ă©tablissements de restauration. Le restaurant St-Hubert Expre
     

La révolution silencieuse des restaurants inclusifs

16 août 2025 à 15:00

Il est midi dimanche. C’est tranquille. Dans la salle Ă  manger, la lumiĂšre est douce, les conversations feutrĂ©es. Maude peut enfin savourer son repas pendant que son fils de 12 ans mange paisiblement sans se boucher les oreilles.

L’opinion de Johanne Fournier

Mathias prĂ©sente un trouble du spectre de l’autisme. Banale en apparence, cette scĂšne illustre pourtant une petite rĂ©volution qui se dessine tout doucement dans certains Ă©tablissements de restauration.

Le restaurant St-Hubert Express de Matane vient d’emboĂźter le pas. Entre 11 h et 13 h le dimanche, l’environnement est adaptĂ© pour accueillir les personnes autistes et leur famille. LumiĂšres tamisĂ©es, volume sonore rĂ©duit, Ă©quipements de cuisine silencieux
 Imperceptibles pour la plupart d’entre nous, ces ajustements transforment littĂ©ralement l’expĂ©rience de certaines familles.

Le St-Hubert de Matane est le 44e de la franchise Ă  embrasser l’initiative si salutaire. Combien de familles ont-elles renoncĂ©, pendant des annĂ©es, Ă  ces simples plaisirs que reprĂ©sentent un repas au restaurant ou une sortie en famille ? Combien d’enfants autistes ont-ils Ă©tĂ© privĂ©s de ces moments, victimes d’environnements trop stimulants ou de regards incomprĂ©hensifs ?

Les hypersensibilitĂ©s sensorielles ne sont pas des caprices. Pour une personne autiste, le brouhaha d’un restaurant traditionnel peut ressembler Ă  un concert de heavy mĂ©tal diffusĂ© dans une boĂźte de rĂ©sonance. Les nĂ©ons agressifs deviennent des projecteurs aveuglants et le simple cliquetis des couverts se transforme en cacophonie insupportable. Dans ces conditions, impossible de se dĂ©tendre et de profiter d’un moment en famille.

Encore plus loin

Cette prise de conscience dĂ©passe parfois les simples amĂ©nagements d’ambiance. Certains Ă©tablissements vont plus loin en repensant entiĂšrement leur approche. Le CafĂ© Autiste de Gatineau, par exemple, a fait le choix radical d’employer directement des personnes autistes.

Plus d’une dizaine travaillent Ă  la cuisine, au service ou Ă  la caisse, dans un environnement entiĂšrement adaptĂ© Ă  leurs besoins. Cette dĂ©marche prouve qu’inclusion ne rime pas seulement avec charitĂ©, mais aussi avec opportunitĂ© Ă©conomique et enrichissement mutuel. De mĂȘme, Chez Cheval, nĂ© de l’initiative du chef Louis-François Marcotte et de sa conjointe, l’animatrice Patricia Paquin, dĂ©montre qu’un restaurant peut ĂȘtre Ă  la fois socialement responsable et ambitieux sur le plan gastronomique.

En intĂ©grant des employĂ©s autistes, l’établissement du Mont-Saint-Hilaire et celui de Sainte-Julie, non loin de MontrĂ©al, brisent les prĂ©jugĂ©s, tout en offrant de nouvelles perspectives professionnelles Ă  des personnes souvent exclues du marchĂ© du travail.

OĂč chacun se sent Ă  sa place

Ces initiatives soulĂšvent une question fondamentale : qu’est-ce que l’hospitalitĂ© au XXIesiĂšcle ? Si accueillir signifie crĂ©er un environnement oĂč chacun se sent Ă  sa place, alors ces restaurants inclusifs redĂ©finissent les codes de la profession. Ils prouvent qu’adaptation ne rime pas avec contrainte, mais avec crĂ©ativitĂ© et bienveillance.

Car les bénéfices dépassent largement la clientÚle autiste. Les aménagements sensoriels profitent aussi aux personnes ùgées, aux familles avec de jeunes enfants et à tous ceux qui apprécient les environnements calmes et paisibles.

L’expĂ©rience de chaque client s’en voit amĂ©liorĂ©e. De plus, les employĂ©s de ces Ă©tablissements dĂ©veloppent leur empathie et dĂ©couvrent de nouvelles façons d’exercer leur mĂ©tier.

ÉgalitĂ© des chances

Cette Ă©volution ne relĂšve pas d’un effet de mode. Elle rĂ©pond Ă  une demande sociale lĂ©gitime, dans une sociĂ©tĂ© qui prĂŽne l’égalitĂ© des chances. L’accĂšs Ă  un restaurant et le droit de socialiser ne devraient souffrir d’aucune discrimination, fĂ»t-elle involontaire.

Au fond, ces restaurants inclusifs ne servent pas seulement des plats. Ils servent une certaine vision de l’humanitĂ©. Et ça, c’est un menu dont nous pouvons tous nous rĂ©galer.

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  • Air Canada : agents de bord en grĂšve, vols annulĂ©s
    Le syndicat reprĂ©sentant plus de 10 000 agents de bord d’Air Canada a annoncĂ© que ses membres ont amorcĂ© une grĂšve, faute d’avoir pu conclure une entente de derniĂšre minute avec la compagnie aĂ©rienne. Par Sammy Hudes- La Presse Canadienne La grĂšve a officiellement dĂ©butĂ© samedi, peu avant 1 h, au petit matin. La compagnie aĂ©rienne a annoncĂ© que tous les vols d’Air Canada et d’Air Canada Rouge seront annulĂ©s en raison de l’arrĂȘt de travail. Environ 130 000 clients seront touchĂ©s chaqu
     

Air Canada : agents de bord en grÚve, vols annulés

16 août 2025 à 12:00

Le syndicat reprĂ©sentant plus de 10 000 agents de bord d’Air Canada a annoncĂ© que ses membres ont amorcĂ© une grĂšve, faute d’avoir pu conclure une entente de derniĂšre minute avec la compagnie aĂ©rienne.

Par Sammy Hudes- La Presse Canadienne

La grÚve a officiellement débuté samedi, peu avant 1 h, au petit matin.

La compagnie aĂ©rienne a annoncĂ© que tous les vols d’Air Canada et d’Air Canada Rouge seront annulĂ©s en raison de l’arrĂȘt de travail.

Environ 130 000 clients seront touchĂ©s chaque jour de grĂšve, a indiquĂ© l’entreprise.

« Air Canada regrette profondément les répercussions de la grÚve sur ses clients », a déclaré la compagnie dans un communiqué tÎt samedi matin.

Les vols d’Air Canada Express, exploitĂ©s par les compagnies aĂ©riennes tierces Jazz et PAL, ne sont pas touchĂ©s.

Piquets de grĂšve

La section Air Canada du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) a indiqué que des piquets de grÚve seront déployés dans des aéroports du Canada, notamment à Montréal, Toronto, Calgary et Vancouver.

Les agents de bord en grĂšve prĂ©voient Ă©galement des piquets de grĂšve dans les aĂ©roports d’Halifax, d’Ottawa et de Winnipeg.

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  • Le manque de « gardes-chasse Â» menace la faune
    Les rĂ©gions giboyeuses sont de plus en plus vulnĂ©rables au braconnage, victimes de la fermeture de bureaux et d’un manque criant d’agents de protection de la faune. En plus des restrictions Ă  l’embauche, QuĂ©bec sacrifie une des deux cohortes de formation de 32 futurs agents en 2026. On ne compte plus que 325 agents, alors qu’il en faudrait le double pour assurer une protection efficace de la faune, et rĂ©pondre rapidement aux plaintes du public. Et Ă©viter de « vider » des districts
     

Le manque de « gardes-chasse Â» menace la faune

16 août 2025 à 11:00

Les rĂ©gions giboyeuses sont de plus en plus vulnĂ©rables au braconnage, victimes de la fermeture de bureaux et d’un manque criant d’agents de protection de la faune.

En plus des restrictions Ă  l’embauche, QuĂ©bec sacrifie une des deux cohortes de formation de 32 futurs agents en 2026.

On ne compte plus que 325 agents, alors qu’il en faudrait le double pour assurer une protection efficace de la faune, et rĂ©pondre rapidement aux plaintes du public.

Et éviter de « vider » des districts en mobilisant les agents à des opérations anti-braconnage, laissant personne dans les bureaux pour répondre aux dénonciations. En 2018, le Québec comptait quelque 500 agents, 600 dans les années 1990.

« Avec les coupes budgĂ©taires pour Ă©ponger le dĂ©ficit du gouvernement, la fermeture dans le temps de quelque 40 % des 68 bureaux, les dĂ©parts Ă  la retraite et volontaires, c’est de plus en plus difficile de faire notre travail. J’espĂšre que l’autre cohorte ne sera pas Ă©liminĂ©e », commente le prĂ©sident du Syndicat des agents de protection de la faune, Martin Perreault.

« Faune en péril »

Les effectifs fondent dans plusieurs rĂ©gions. Sur la CĂŽte-Nord, de 28 agents en 2013, ils Ă©taient 18 en 2022. En GaspĂ©sie, le bureau de Chandler pourrait compter qu’un seul agent. Le syndicat prĂ©cise que le bureau de Matagami, dans le Nord-du-QuĂ©bec, est fermĂ© et que les agents ont mĂȘme rĂ©cupĂ©rĂ© tout l’équipement.

(Photo courtoisie)

« Depuis l’annonce, les signalements ont diminuĂ© de 30 % dans cette rĂ©gion. La relocalisation de services, comme de Saint-JĂ©rĂŽme vers Saint-Eustache, allonge les temps de dĂ©placements », dĂ©plore la FĂ©dĂ©ration quĂ©bĂ©coise des chasseurs et des pĂȘcheurs.

Elle estime que « la faune est en pĂ©ril, et la baisse des effectifs est inquiĂ©tante ». Schefferville et l’üle aux cerfs, Anticosti, n’ont plus d’agents.

Trop loin pour arriver Ă  temps

Sur la Basse-CĂŽte-Nord, en dĂ©but d’annĂ©e, une plainte en lien avec des caribous forestiers a Ă©tĂ© portĂ©e.

« Les agents les plus proches étaient à Baie-Comeau et à Forestville, de sept à huit heures de route, trop loin pour arriver à temps », tranche Martin Perreault.

Les heures supplémentaires auraient pu aider la cause.

« Faut oublier ça. Si une plainte nĂ©cessite du surtemps, la demande doit ĂȘtre autorisĂ©e par le directeur adjoint, le directeur gĂ©nĂ©ral et le sous-ministre. Les dĂ©lais sont trop longs et le temps supplĂ©mentaire est coupĂ© au maximum ».

Le prĂ©sident du Syndicat des agents de protection de la faune, Martin Perreault. (Photo courtoisie)

Le ministĂšre affirme qu’un district peut aller prĂȘter main forte.

« Chandler est dans le District de la GaspĂ©sie, qui inclut ChaudiĂšre-Appalaches et le Bas-Saint-Laurent. Un agent de Laurier Station, dans LotbiniĂšre, va aller couvrir une plainte Ă  Chandler ? Voyons donc. Pour rĂ©pondre aux plaintes, ça prend des agents oĂč ça se passe », dĂ©plore le prĂ©sident.

Ministre qui agit

Année aprÚs année, dénonciation aprÚs dénonciation, le bateau des agents de protection de la faune ne cesse de couler.

« Ça va nous prendre un ministre, qui va agir en consĂ©quence. On n’a pas de monde pour intervenir et mĂȘme, on nous demande de ne pas intervenir, comme pour la chasse de nuit de l’orignal dans la rĂ©serve Matane, oĂč des chasseurs autochtones sont soupçonnĂ©s. Le ministre de la Faune a dĂ©clarĂ© que ce n’était pas vrai ce que j’ai dit, mais on m’a ensuite demandĂ© une copie des directives. Voyons, il me traite de menteur et je vais l’aider », ironique Martin Perrault.

Des agents de protection de la faune (Photo courtoisie)

Les « gardes-chasse » composent avec une convention de travail échue depuis avril 2023.

« LĂ  on nĂ©gocie jusqu’en 2028 », prĂ©cise-t-il, satisfait de cette prolongation de deux ans. « Quand on signait pour trois ans, on commençait Ă  renĂ©gocier le lendemain. Ça n’avait pas d’allure ». Il rencontre le nouveau sous-ministre de la faune bientĂŽt. « Pour savoir oĂč on s’en va ».

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  • Rimouski-Forestville : rencontre productive, mais rien n’est sĂ»r
    Le dossier pour la relance de la traverse Rimouski-Forestville continue d’évoluer. C’est que rapporte MaĂŻtĂ© Blanchette VĂ©zina, au terme d’une rencontre sur le sujet jugĂ©e productive. « J’ai discutĂ© avec Forestville, Rimouski et l’organisme Ă  but non lucratif (OBNL) créé pour la relance de la traverse. Les partenaires sont mobilisĂ©s, nous avons travaillĂ© sur des suggestions pour les aider au cheminement d’un projet de relance et je suis vraiment contente de pouvoir jouer mon rĂŽle de dĂ©putĂ©e-m
     

Rimouski-Forestville : rencontre productive, mais rien n’est sĂ»r

16 août 2025 à 09:00

Le dossier pour la relance de la traverse Rimouski-Forestville continue d’évoluer. C’est que rapporte MaĂŻtĂ© Blanchette VĂ©zina, au terme d’une rencontre sur le sujet jugĂ©e productive.

« J’ai discutĂ© avec Forestville, Rimouski et l’organisme Ă  but non lucratif (OBNL) créé pour la relance de la traverse. Les partenaires sont mobilisĂ©s, nous avons travaillĂ© sur des suggestions pour les aider au cheminement d’un projet de relance et je suis vraiment contente de pouvoir jouer mon rĂŽle de dĂ©putĂ©e-ministre pour que des projets porteurs puissent cheminer positivement. C’est ce que je vais continuer de faire, en travaillant avec les partenaires », explique la dĂ©putĂ©e-ministre de Rimouski.

Le projet sera dĂ©posĂ© par la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville, soit l’organisme Ă  but non lucratif créé il y a deux ans pour la relance de la traverse.

Pour cette raison, elle n’est pas en mesure de se prononcer sur le moment oĂč la relance pourrait aboutir.

Pas d’information pour 2026

« De notre cĂŽtĂ©, on travaille avec une Ă©tude, notamment pour le port de Rimouski, pour s’assurer d’avoir une comprĂ©hension prĂ©cise du bateau qui pourrait accoster Ă  Rimouski, avec les infrastructures actuelles que nous avons. Les choses avancent, mais il demeure que le projet va ĂȘtre dĂ©posĂ© par la Corporation, lorsque cette derniĂšre sera prĂȘte Ă  le faire. »

La députée-ministre de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina (Photo Le Soir.ca- archives)

Quant Ă  savoir si elle a espoir que le tout se rĂšgle d’ici les prochaines Ă©lections provinciales, la rĂ©ponse demeure la mĂȘme.

« Je n’ai pas cette information », indique MaĂŻtĂ© Blanchette VĂ©zina.

Aide financiĂšre de 7 M$

En juin, Louis-Olivier Carré, des Entreprises Rilec de Rimouski, a présenté un projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville.

Une entente verbale Ă©tait mĂȘme survenue avec l’ancien propriĂ©taire du CNM Évolution, Hilaire Journault, pour la reprise du navire, mais son dĂ©cĂšs a compliquĂ© la suite du dossier.

L’entrepreneur rimouskois s’est donc rendu en Europe pour rĂ©server un navire avec une capacitĂ© d’accueil de 300 passagers et 90 vĂ©hicules. Il a alors dĂ©posĂ© un projet au ministĂšre des Transports pour une aide financiĂšre de 7 M$, plus un montant de 1,9 M$ en taxes non remboursables.

L’entrepreneur rimouskois, Louis-Olivier CarrĂ©, des Entreprises Rilec, la mairesse de Forestville, Micheline Anctil et le maire de Rimouski, Guy Caron. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

« La premiĂšre mouture de notre projet a Ă©tĂ© rejetĂ©e, mais la porte n’est pas fermĂ©e. On doit maintenant revenir avec le projet sous une autre forme. Ce qu’on souhaite, c’est que le gouvernement considĂšre que Rimouski est la capitale rĂ©gionale et que ça n’a pas de bon sens de ne pas avoir de traverse », avait mentionnĂ© monsieur CarrĂ©.

Le projet a dĂ©jĂ  reçu l’appui de la MRC de la Haute-CĂŽte-Nord et de la Ville de Forestville. La Ville de Rimouski est aussi en faveur du projet. Depuis 2022, les citoyens des deux rives sont orphelins de transport maritime avec l’arrĂȘt des opĂ©rations du CNM Évolution.

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  • MarchĂ© public de Rimouski : saveurs et heure et conte
    Pour sa 12e semaine d’activitĂ©s en 2025, le MarchĂ© public de Rimouski accueillera 27 exposants, ce samedi 16 aoĂ»t, au parc de la Gare. Voici les exposants prĂ©vus sur place : Un OcĂ©an de saveurs cueillette d’algues Le MaĂźtre Saucissier ViV-Herbes – Herboristerie Le Broutard des Appalaches La Sage Camomille Domaine Vallier Robert – Domaine Acer PĂątisserie La Rose Des Sables de Rimouski Ferme du Vert Mouton Le ChĂąteau Blanc – miel et hydromel Shamra, cuisine syrie
     

Marché public de Rimouski : saveurs et heure et conte

16 août 2025 à 08:00

Pour sa 12e semaine d’activitĂ©s en 2025, le MarchĂ© public de Rimouski accueillera 27 exposants, ce samedi 16 aoĂ»t, au parc de la Gare.

Voici les exposants prévus sur place :

Ce samedi 16 aoĂ»t, le MarchĂ© public de Rimouski reçoit Heritage Lower Saint Lawrence / Heritage Bas-St-Laurent. Petits et grands, soyez prĂ©sents Ă  11h pour vous plonger dans l’heure du conte / storytelling bilingue!

De plus, il y aura une tente Ă  lire et un moment de bricolage de 10h Ă  13h pour vous transporter dans un monde de crĂ©ativitĂ© (arts and crafts) oĂč votre imaginaire pourra prendre son envol✹

Prenez aussi le temps de venir rencontrer Oasis – Espace de silence au CafĂ© du MarchĂ©!

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  • Un Ă©tĂ© exceptionnel pour Isaac Sirois
    Le coureur de Sainte-Luce Isaac Sirois vient de terminer une saison d’athlĂ©tisme exceptionnelle aprĂšs avoir gagnĂ© une mĂ©daille d’argent aux Jeux du QuĂ©bec et participĂ© aux Championnats nationaux pour jeunes de la LĂ©gion.  Le membre du Club Coubertin en Ă©tait Ă  sa deuxiĂšme participation aux Jeux du QuĂ©bec. Il est particuliĂšrement fier de son rĂ©sultat Ă  l’épreuve 2 000 mĂštres steeple-chase, Ă  Trois-RiviĂšres, pour laquelle il est montĂ© sur le podium en battant sa marque personnelle de cinq secon
     

Un été exceptionnel pour Isaac Sirois

15 août 2025 à 19:00

Le coureur de Sainte-Luce Isaac Sirois vient de terminer une saison d’athlĂ©tisme exceptionnelle aprĂšs avoir gagnĂ© une mĂ©daille d’argent aux Jeux du QuĂ©bec et participĂ© aux Championnats nationaux pour jeunes de la LĂ©gion. 

Le membre du Club Coubertin en Ă©tait Ă  sa deuxiĂšme participation aux Jeux du QuĂ©bec. Il est particuliĂšrement fier de son rĂ©sultat Ă  l’épreuve 2 000 mĂštres steeple-chase, Ă  Trois-RiviĂšres, pour laquelle il est montĂ© sur le podium en battant sa marque personnelle de cinq secondes.

« Ça m’a prouvĂ© que mĂȘme dans mon annĂ©e faible, parce que je suis Ă  ma premiĂšre annĂ©e juvĂ©nile, je suis capable de faire des podiums avec les plus vieux. J’ai vraiment aimĂ© mon expĂ©rience dans l’ensemble. Ce n’est pas la mĂȘme ambiance qu’une compĂ©tition normale, c’est plus festif. »

L’adolescent de 15 ans a Ă©galement rĂ©ussi Ă  battre son record d’une seconde au 3 000 mĂštres. Il a terminĂ© au 5e rang pour cette course et en 9e position au 1 500 mĂštres.

Championnats nationaux  

Isaac Sirois a obtenu une 10e position au 2 000 mĂštres steeple-chase aux nationaux de la LĂ©gion. Un rĂ©sultat dĂ©cevant pour lui, mais qui s’explique par le court dĂ©lai entre la compĂ©tition, qui avait lieu Ă  Calgary du 9 au 11 aoĂ»t, et les Jeux du QuĂ©bec qui se sont terminĂ©s le 29 juillet pour lui. 

« C’est difficile parce que tu veux essayer de performer aux deux le mieux possible, mais Ă  un moment donnĂ© le corps ne suit plus. On ne peut pas faire de miracle. Si on donne tout et que les jambes ne sont pas lĂ , on se reprend l’annĂ©e d’aprĂšs. C’est passĂ© et on ne peut rien y faire. »

Le Rimouskois avec les autres membres d’Équipe QuĂ©bec, Ă  Calgary. (Photo courtoisie)

Le coureur a malgré tout trouvé son expérience enrichissante en Alberta.

« Ça m’a permis de faire de nouvelles rencontres, de compĂ©titionner avec de nouvelles personnes et de visiter une nouvelle ville. J’étais avec Équipe QuĂ©bec et c’est diffĂ©rent que d’aller Ă  une compĂ©tition en individuel. Si je continue Ă  m’entraĂźner aussi fort, j’ai des chances d’y retourner l’an prochain », dit-il.

L’entraüneur-chef du Club Coubertin, Samuel Lavoie, se dit plus que satisfait de la saison de Sirois.

« La LĂ©gion, on voyait ça comme un bonus et une prise d’expĂ©rience puisque nous sommes en annĂ©e de Jeux du QuĂ©bec. Il est arrivĂ© lĂ  avec beaucoup de fatigue, surtout qu’Issac a fait trois Ă©preuves sur trois jours aux Jeux », indique-t-il.

Le Luçois en Ă©tait Ă  sa deuxiĂšme expĂ©rience sur la scĂšne nationale. L’an dernier, il avait pris part aux Championnats canadiens de cross-country. Il vise y retourner en novembre prochain.

Sport de dépassement

Isaac Sirois pratique l’athlĂ©tisme depuis quatre ans. Il apprĂ©cie le fait que son sport lui permette de se dĂ©passer et de se motiver Ă  l’école Ă©tant donnĂ© qu’il fait partie du programme sport-Ă©tudes. 

« C’est toi contre toi. Tu ne dĂ©pends pas d’une Ă©quipe. J’aime essayer de battre mon temps Ă  chaque distance et Ă  chaque course. J’essaie toujours de me rendre le plus loin possible et c’est le fun de voir oĂč je suis maintenant par rapport Ă  mes dĂ©buts. »

Le jeune athlĂšte en action. (Photo courtoisie)

Selon son entraĂźneur, l’athlĂšte de Sainte-Luce est trĂšs engagĂ© dans son sport.

« Ce n’est pas un jeune que je suis obligĂ© de pousser Ă  aller s’entraĂźner, mais ce n’est pas un jeune non plus que je dois arrĂȘter. Il suit le plan de match et il est trĂšs disciplinĂ©. C’est un jeune homme curieux, autonome et il est agrĂ©able Ă  entraĂźner. Il est capable de verbaliser ce qu’il vit, ça permet de faire un bon travail », indique Samuel Lavoie.

AprĂšs quelques semaines de pause, Isaac reprendra l’entraĂźnement pour se prĂ©parer en vue de la saison de cross-country. 

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