Des policiers de la Sûreté du Québec ont rencontré des centaines d’automobilistes s’engageant ou sortant de l’autoroute 20, ce mercredi 18 juin, dans le cadre de son approche d’intervention depuis que le tronçon entre Rimouski et Mont-Joli a été désigné parmi les 10 sites les plus dangereux à travers la province.

L’approche Zone Zéro vise à intervenir de façon plus spécifique dans les secteurs accidentogènes.

En plus de la prévention, la SQ doit effectuer davantage de surveillance dans la zone de 44 kilomètres entre l’embranchement avec la route 132, dans le district Bic et le carrefour giratoire à Mont-Joli. 

« Les patrouilleurs, sur leurs heures régulières et sur des heures spécifiques ajoutées, seront assignés à travailler concernant les facteurs contributifs de collisions, soit la conduite imprudente, la vitesse excessive, la conduite avec les facultés affaiblies et l’inattention. Il y a 80 % des collisions mortelles ou avec blessés graves pour lesquelles c’est un comportement humain qui est à la base. Les usagers de la route ont donc un rôle clé afin d’améliorer le bilan routier », indique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies. 

Élargissement recommandé

Entre 2004 et 2022, l’autoroute 20 entre Rimouski et Mont-Joli a été le théâtre de 1 203 accidents, dont 25 mortels. Elle reçoit entre 8 100 et 9 500 véhicules par jour. 

En juillet 2024, à la suite du décès d’Arianne Dubé, une jeune mère de famille de 28 ans, survenu dans une collision près de Saint-Anaclet-de-Lessard, le Bureau du coroner avait recommandé l’élargissement de cette portion à quatre voies.

Le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, avait aussi déposé une pétition comptant plus de 10 000 noms, à l’Assemblée nationale, pour l’élargissement de cette section de route. 

La petite Claire Bell, trois ans, a été retrouvée vivante en Ontario. L’information a été confirmée à l’Agence QMI par plusieurs sources policières.

Recherchée depuis quatre jours par plus d’une centaine de policiers de la Sûreté du Québec et la Police provinciale de l’Ontario (PPO), la fillette de 3 ans aurait été retrouvée vers 15 h dans un bâtiment de ferme, près de l’autoroute 417, dans le secteur de Saint-Albert, en Ontario.

Elle était seule, consciente, semblait en bonne santé et a discuté avec des policiers ontariens.

Claire Bell a été aperçue par des drones de la PPO.

Plus de détails à venir…

L’Unité permanente anticorruption (UPAC) mène une perquisition, mercredi, au siège social de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) à Québec, en lien avec le scandale SAAQclic.

Par Thomas Laberge- La Presse Canadienne

« Nous confirmons aujourd’hui mener une perquisition dans le dossier SAAQclic. Nous ne donnerons aucun détail sur celle-ci, de manière à protéger notre enquête. (…) De manière générale, une perquisition dans une enquête de fraude ou de corruption sert à obtenir des éléments qui nous permettront de confirmer ou d’infirmer la commission d’un acte répréhensible», peut-on lire dans une déclaration de l’UPAC transmise à La Presse Canadienne.

«Les documents saisis doivent ensuite être analysés, puis peuvent par la suite nécessiter des rencontres de témoins», ajoute-t-on.

Plus de détails à venir…

Deux ans après l’événement, la Sûreté du Québec demande de nouveau l’aide du public afin de retracer des témoins potentiels ou toute personne qui pourraient posséder des informations relativement au meurtre de Georges Pelletier, un homme de 73 ans de Rimouski sans ennemi connu, survenu le 16 juin 2023 à Sainte-Luce.

Les services d’urgence avaient été appelés sur un terrain privé de la route du Fleuve Ouest, vers 11 h, concernant un homme retrouvé inanimé. Son décès a été constaté sur place.

Des enquêteurs accompagnés du Service de l’identité judiciaire ont tenté, en vain, d’éclaircir les causes et circonstances entourant ce décès sur la scène de crime.

Selon les premières constatations, monsieur Pelletier a été atteint par un projectile et présentait des marques de violences au niveau de la tête.

Toute information relative à cet événement peut être transmise à la SQ au 1 800 659-4264. La Sûreté du Québec validera toute forme d’information pertinente.

Un homme a malheureusement perdu la vie le jeudi 12 juin lors d’une embardée en VTT dans un secteur boisé de Cap-Chat.

L’appel a été logé aux services d’urgence peu après 15 h après qu’un conducteur ait perdu la maîtrise de son VTT. Celui-ci aurait été projeté au sol.

L’homme dans la cinquantaine des Capucins a été transporté d’urgence à l’hôpital où son décès a été constaté.

Le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies précise que la cause exacte de l’accident est inconnue pour le moment. « Un policier formé en enquête de collision a été dépêché sur place pour établir les circonstances entourant cet événement. »

Des seringues souillées ont été retrouvées dans le bloc sanitaire du Parc Multisports de Sainte-Anne-des-Monts.

Ce sont les employés d’entretien qui ont fait cette découverte lors de leur tournée nocturne. Ces derniers en ont disposé de façon sécuritaire et les autorités compétentes ont été alertées.

Pour le maire de Sainte-Anne-des-Monts, Simon Deschênes, il s’agit d’une situation qui mérite d’être adressée.

« Je crois que c’est un exemple qui illustre que nous ne sommes pas habitués à ce type de situation en région. C’est pourquoi il faut en parler à ses enfants. Il faut les sensibiliser pour qu’ils puissent en parler à leur tour à leurs amis. Ce n’est surtout pas une occasion pour eux de faire des blagues parce que ça peut être dangereux », explique-t-il.

Avec la saison estivale arrive aussi le phénomène d’itinérance touristique.

« On parle de gens qui voyagent de centre d’hébergement en centre d’hébergement. Il se peut qu’il y ait des personnes de l’extérieur qui débarquent ici et consomment par intraveineuses dans les parcs. Ce n’est pas impossible. Toutefois, au Groupe d’action sociale et psychiatrique des Monts, nous n’en avons pas accueilli entre nos murs », souligne le directeur de l’endroit, Jacques Mimeault.

Ce dernier est au fait que l’itinérance existe, mais on parle davantage d’itinérance cachée. « Ce sont des gens qui vont vivre chez des amis un certain temps. Certains ont des problèmes de consommation. Ce qu’on voit surtout, c’est la métamphétamine qui se vend à 5 $ la dose. »

Ressources limitées

Quant à l’itinérance visible, le phénomène est moins présent même si très récemment, quelqu’un était aperçu en train de dormir sur un banc de parc à l’avant de l’hôtel de ville.

« Nos ressources sont limitées en région alors c’est la responsabilité de tous d’être vigilants. Nous travaillons avec nos partenaires pour sur ces enjeux. Nous avons aussi des rencontres avec la Sûreté du Québec et nous avons aussi un comité de sécurité publique au sein de la MRC qui est au fait de la situation », ajoute Simon Deschênes.

En conclusion, les seringues souillées retrouvées au Parc Multisports est peut être un événement isolé pour le moment, mais il indique que c’est une réalité qui existe et qu’il faut considérer.

« C’est une question de sensibilisation et de bienveillance », lance Simon Deschênes.

La Sûreté du Québec met en garde la population et les commerçants qu’une circulation de fausse monnaie a été récemment signalée dans l’Est-du-Québec.

Selon le corps policier, ces faux billets peuvent être difficiles à repérer à première vue. Ils peuvent être identifiés via des éléments de sécurité comme la bande holographique, le filigrane ou la texture du papier.

La SQ invite aussi à comparer les billets suspects avec un billet authentique du même montant. En cas de doute, un commerçant peut poliment refuser le billet et contacter les autorités locales.

Toute personne ayant reçu un billet suspect ou ayant des informations à ce sujet peut communiquer avec le poste de la SQ de sa localité.

La Sûreté du Québec demande l’aide du public pour retrouver Aubert Paradis, 72 ans, de Rimouski. Il a été vu pour la dernière fois le 8 juin dernier, vers 20h15, dans le secteur de la rue Jessop à Rimouski.

Il se déplacerait à pied. Ses proches ont des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité.

Aubert Paradis mesure 1,73 m (5 pi 8 po), pèse 109 kg (240 lb), a les cheveux gris et les yeux bruns. Il porte des lunettes de vue.

La dernière fois qu’il a été vu, il portait possiblement des pantalons de joggings foncés et un chandail sans manche.

Toute personne qui apercevrait Aubert Paradis est priée de communiquer avec le 911.

De plus, toute information pouvant permettre de le retrouver peut être communiquée, confidentiellement, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1-800-659-4264.

Les services d’urgences ont été appelés lundi (10 juin), vers à 17 h, pour le sauvetage d’un jeune homme au Dynamo de Rimouski. Les pompiers, les ambulanciers et les policiers se sont rendus sur place.

« L’appel concernait un sauvetage terrestre, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un sauvetage dans un milieu plus isolé. De ce que j’ai reçu comme informations ce matin, c’est l’équipe de sauvetage verticale, de la Ville de Rimouski, qui a été mise à contribution », indique le chef aux opérations du Service incendie de la Ville de Rimouski, Marc-Olivier Bilodeau.

« Nous n’avons pas eu à monter en niveau d’alarme, donc l’équipe en devoir avait les ressources suffisantes pour intervenir. »

Pas de blessures graves

Monsieur Bilodeau n’était pas en fonction au moment des faits, mais selon les informations verbales qu’il a pu recevoir, le jeune homme secouru n’a pas subi de blessures graves.

Le chef aux opérations ajoute que pour accéder au jeune homme blessé, l’équipe de sauvetage a dû découper le grillage que la Ville avait installé pour empêcher ses citoyens de grimper aux abords du pont.

Un paramoteur a effectué un atterrissage d’urgence, ce dimanche 8 juin, sur un terrain privé situé sur le 4e rang Est à Saint-Valérien. Deux personnes se trouvant à bord ont été transportées à l’Hôpital régional de Rimouski pour soigner des blessures qui ne mettent pas leurs vies en danger.

Les services d’urgence ont été appelés sur place peu avant 17h. Un ennui mécanique aurait causé l’accident.

L’enquête a été confiée au bureau de la sécurité des transports (BST) pour éclaircir les causes et les circonstances de l’atterrissage d’urgence.

Alors que la portion de l’autoroute 20 entre Rimouski et Mont-Joli a été désignée parmi les 10 sites les plus dangereux au Québec, un automobiliste de 36 ans de Saint-Anaclet-de-Lessard a été intercepté alors qu’il circulait à 180 km/h dans ce secteur, le 5 juin dernier, en direction est.

Ce grand excès de vitesse lui a valu un constat d’infraction de 1 611$ avec l’inscription de 18 points d’inaptitude à son dossier de conduite.

Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une période de sept jours conformément au Code de la sécurité routière.

La Sûreté du Québec rappelle que dans la majorité des collisions, un comportement humain est en cause. La vitesse ou la conduite imprudente demeure la principale cause de décès sur nos routes.

Les policiers de la Sûreté du Québec ont procédé à une perquisition dans un immeuble situé dans le secteur de la rue Belzile à Rimouski, le 5 juin dernier vers 18 h.

La perquisition a permis de saisir 15 grammes de cocaïne, 70 comprimés de méthamphétamine, 25 comprimés de médicament d’ordonnance, 25 grammes sous différente forme de cannabis, 85 comprimés s’apparentant à des stéroïdes, 35 comprimés à identifier, plus de 2000$ en argent canadien, une arme prohibée (taser) et divers équipements servant au trafic de stupéfiants.

Une femme de 31 ans ainsi qu’un homme de 22 ans de la région ont été arrêtés sur place par les policiers.  Ils ont été libérés pour la suite des procédures. 

Ils pourraient faire face à des accusations en lien avec la possession ainsi que le trafic de stupéfiants. 

Notons qu’il s’agit de l’information reçue du public qui a permis aux policiers de mener à terme cette opération. 

Pour communiquer de l’information

La Sûreté du Québec rappelle que toute information relative au trafic de stupéfiants peut être communiquée en tout temps, de façon confidentielle, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1-800 659-4264.

La Sûreté du Québec a procédé à l’arrestation d’un homme de 79 ans de Rimouski, alors que les services d’urgence ont été appelés, peu après 18 h dans le secteur de la rue l’Évêché Ouest, en lien avec sa conduite erratique.

L’homme a été localisé dans le secteur de l’avenue Rouleau après avoir happé une clôture. Selon les premières informations, il aurait percuté trois véhicules avant d’être arrêté par les policiers.

Celui-ci a été conduit au poste de police ou il a refusé de souffler dans l’appareil éthylomètre.  

Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une période de 90 jours ainsi que son véhicule saisi. 

Le septuagénaire a été libéré pour la suite des procédures. Il pourrait faire face à des accusations pour avoir refusé de fournir un échantillon d’haleine et de conduite dangereuse.

Deux véhicules stationnés légalement dans le secteur de la rue Lavoie ont été endommagés et font l’objet d’une enquête concernant des délits de fuite.

Les citoyens de Matane ont peut être vu leur nuit être légèrement agitée alors que deux petits tremblements de terre ont secoué la ville dans la nuit du 2 au 3 juin.

Le premier séisme a été ressenti vers 3 h 03 avec une magnitude de 3,3 sur l’échelle de Richter, qui calcule l’intensité des tremblements de terre sous forme d’ondes sismiques lors du séisme.

Le deuxième s’est produit à 3 h 42, cette fois-ci avec une magnitude un peu plus élevée, soit de 3,7.

Selon Séismes Canada, la secousse a aussi été retentie à Baie-Comeau. Il faut remonter en 2023 pour un séisme comparable dans la région alors que Sept-Îles avait été secoué avec une force de 3,6.

Le record du séisme le plus important ayant touché l’Est-du-Québec remonte à 1925 alors qu’un tremblement de terre d’une magnitude de 6,2 était enregistré dans la région du Karmouraska avec des secousses qui avaient été ressenties jusqu’à 1 000 km de l’épicentre.

Le conducteur d’un véhicule utilitaire sport (VUS) impliqué dans un grave accident, survenu ce lundi 2 juin en matinée à Causapscal, a succombé à ses blessures.

La Sûreté du Québec a confirmé le décès de la victime, un homme dans la trentaine originaire de Sainte-Florence.

La collision a impliqué un VUS et un camion lourd, peu avant 9h30, sur la route 132.

« L’un des chauffeurs aurait eu de la difficulté à négocier la courbe et se serait alors retrouvé face-à-face avec l’autre véhicule », indiquait le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.

L’impact a été violent et les deux chauffeurs ont été transportés d’urgence à l’hôpital. Le conducteur du camion aurait aussi subi des blessures sans toutefois que sa vie soit en danger.

Un enquêteur spécialisé tente de faire la lumière sur les circonstances exactes de l’accident. La circulation a été perturbée dans le secteur.

Avec l’aide de Dominique Fortier

Un grave accident impliquant deux véhicules s’est produit ce lundi 2 juin, peu avant 9 h 30, sur la route 132 à Causapscal.

Selon les premières constatations, un camion et un véhicule utilitaire sport seraient arrivés face-à-face après qu’un des deux chauffeurs ait dévié de sa trajectoire pour se retrouver dans la voie inverse.

« L’un des chauffeurs aurait eu de la difficulté à négocier la courbe et se serait alors retrouvé face-à-face avec un autre véhicule », indique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.

L’impact a été violent et les deux chauffeurs ont été transportés d’urgence à l’hôpital. Celui qui aurait raté son virage serait dans un état critique et on craindrait pour sa vie alors que l’autre conducteur aurait aussi subi des blessures sans toutefois que sa vie soit en danger.

Un enquêteur en collisions tentera de faire la lumière sur les circonstances exactes de l’accident. La circulation est perturbée et se fait en alternance en attendant la fin de l’intervention.

Les enquêteurs de la Sûreté du Québec ont été saisis d’une affaire concernant un bébé qui est décédé dimanche dernier à Matane.

L’appel d’urgence a été logé ce dimanche 1er juin, à 6 h 15, concernant un bébé qui avait besoin de soins urgents. Les premiers répondants ont alors été dépêchés dans une résidence de la rue Bélanger.

« Le bébé a été transporté au centre hospitalier où malheureusement, son décès a été constaté dans les heures qui ont suivies », indique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.

Comme le veut le protocole quand il y a décès d’un bébé, le dossier a été transmis aux enquêteurs des crimes majeurs.

À ce moment-ci de l’enquête, il est trop tôt pour affirmer quoi que ce soit. Une autopsie devra être pratiquée afin de statuer sur les causes exactes du décès.

Les policiers de la Sûreté du Québec ont procédé à une perquisition dans une résidence privée à Sainte-Anne-des-Monts.

Après une perquisition effectuée dans une résidence de la rue Bélonie-Lévesque le 28 mai, voilà qu’une nouvelle rafle s’est tenue à Sainte-Anne-des-Monts, cette fois-ci dans une maison de la 5^e rue Ouest. Les policiers sont débarqués à 6 h.

Lors de l’intervention, les policiers ont mis la main sur 1 700 comprimés de métamphétamine, 100 comprimés de médicaments sous ordonnance et 200 grammes de cannabis illégal. En plus de ces stupéfiants, les forces de l’ordre ont saisi 500 cigarettes de contrebande, de l’équipement servant au trafic de drogues ainsi que la rondelette somme de 2 500 $.

Un homme de 65 ans a été arrêté de Sainte-Anne-des-Monts a été arrêté puis escorté au poste de police pour y subir un interrogatoire en règle. Il a été envoyé au cachot en attendant son passage devant le Tribunal. Il pourrait alors être accusé de possession de stupéfiants en vue d’en faire le trafic en plus d’une accusation en lien avec la Loi concernant l’impôt sur le tabac.

La Sûreté du Québec précise que cette prise a été rendue possible grâce à des informations obtenues du public. D’ailleurs, on invite toute personne croyant détenir des informations pertinentes relative au trafic de drogues d’appeler en toute confidentialité au 1-800 659-4264.

Pierre-Luc Leclerc, l’ancien attaché politique du député de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, accusé de harcèlement criminel et de bris d’engagement, change d’avocate.

Son ex-représentante, Me Maryse Beaulieu, a demandé la permission de cesser d’occuper par le biais de sa collègue Me Caroline Bérubé.

« Le lien de confiance est brisé définitivement à la suite d’un courriel », a mentionné Me Bérubé au juge de la Cour du Québec, Yves Desaulniers.

Présent au tribunal, Pierre-Luc Leclerc a mentionné au juge qu’il souhaitait maintenant être représenté par Me Jacinthe Maurice et que les choses avanceraient.

Le juge Desaulniers a reporté les dossiers au 14 juillet. C’est à ce moment que Me Maurice, qui était absente, devrait comparaître officiellement aux dossiers.

Remis en liberté

Pierre-Luc Leclerc a été remis en liberté, le 22 novembre 2024, à condition de porter un bracelet antirapprochement et de suivre une thérapie, ce qu’il a fait.

Parmi les autres conditions, notons une caution de 500$ sans dépôt, se présenter au tribunal lorsque requis, ne pas quitter la province de Québec, ne pas communiquer avec la plaignante, ne pas se trouver dans un rayon de 500 mètres du lieu de résidence et de travail de cette dernière, s’abstenir de consommer ou d’être en possession d’alcool, de drogue ou de cannabis et une interdiction de posséder des armes.

Harcèlement criminel et bris d’engagement

Pierre-Luc Leclerc est accusé de harcèlement criminel et de bris d’engagement.

L’homme de 38 ans a été arrêté pour une première fois le 17 juin 2024 relativement des événements qui se seraient déroulés entre le 26 novembre 2022 et le 16 juin 2024 et qui ont entraîné le dépôt d’accusation de harcèlement criminel.

Des conditions de remise en liberté lui avaient alors été imposées. Il a été arrêté une deuxième fois le 13 septembre 2024.

Il est accusé de ne pas avoir respecté ses conditions et d’avoir commis du harcèlement criminel entre le 3 et le 12 septembre 2024.

Au cours des derniers mois, Leclerc a complété une thérapie pour homme violent à Québec.

Dans un entretien avec Le Soir.ca en avril, il a mentionné qu’il souhaitait demander une médiation entre les deux parties afin de tenter de régler son litige judiciaire.

Les policiers de la Sûreté du Québec ont saisi des armes et des stupéfiants dans deux résidences privées ainsi qu’un véhicule à Sainte-Anne-des-Monts et Saint-Alphonse.

Les opérations policières se sont déroulées ce mercredi 28 mai dans les deux municipalités gaspésiennes, soit dans des résidences de la route Bélonie-Lévesque à Sainte-Anne-des-Monts et de la rue Principale Ouest à Saint-Alphonse.

Sur place, les policiers ont saisi 16 armes longues et deux pings américains en plus de 18 000 $ en argent comptant.

De plus, une quarantaine de médicaments sous ordonnance ont été saisis ainsi que 40 grammes de hachisch. Du matériel servant à la revente a aussi été trouvé sur place.

Arrestation d’un homme

En lien avec ces interventions, les policiers ont également procédé à l’arrestation d’un individu de 34 ans qui se trouvait à Saint-Siméon.

Il a été interrogé puis libéré en attendant la suite des procédures judiciaires. Il pourrait faire face à des accusations en lien avec les stupéfiants et la possession d’armes prohibées.

La Sûreté du Québec rapporte qu’une piétonne, qui a été happée par un véhicule ce matin à Sainte-Angèle-de-Mérici, est décédée.

« Les services d’urgence ont été appelés, peu avant 11 h, à la suite d’une collision impliquant un véhicule et une piétonne. Le tout s’est déroulé sur le terrain d’un immeuble commercial, dans le secteur de la route 132, à Sainte-Angèle-de-Mérici. Pour des raisons qui restent à déterminer, le véhicule a happé la piétonne, qui se trouvait près de l’entrée du commerce. Malheureusement, son décès a été constaté sur place », explique le porte-parole de la Sûreté du Québec, le sergent Frédéric Deshaies.

Le sergent Deshaies indique que la piétonne était une sexagénaire de la région d’Amqui, tandis que la conductrice du véhicule est une septuagénaire qui réside dans La Mitis.

« La scène sera analysée dans les prochaines heures par un reconstitutionniste, afin de déterminer les causes et les circonstances entourant cette collision. »

Le reconstitutionniste de la Sûreté du Québec, le sergent Kevin Labrie, assure qu’il y a des signes évidents d’accélération à quelques endroits sur la scène du drame d’Amqui ayant mené à trois décès, le 13 mars 2023, sur le boulevard Armand St-Onge à Amqui.

Le policier a poursuivi la présentation de son rapport amorcé lundi au palais de justice de Rimouski, ce mardi 27 mai, dans le cadre du procès de Steeve Gagnon.

Il a notamment expliqué que certains indices comme de la terre retournée et des traces de frictions sur le sol démontrent que la camionnette Ford F-150 a accéléré à quelques reprises.

Pour expliquer son propos, le sergent Labrie a présenté des centaines de photos ainsi qu’une animation reconstituant le parcours de la camionnette à une vitesse de 50 km/h à travers les différentes zones d’impact.

À noter qu’il y a eu un décès à chacune des zones d’impact, en plus des autres victimes ayant subi des blessures.

Scène de 400 mètres

Dans son travail de reconstitution et d’examen de la scène totalisant 400 mètres à partir de la Brasserie La Captive, le sergent Labrie a trouvé des pièces provenant des phares et de la calandre de la camionnette de Steeve Gagnon.

« Il y a 120 mètres entre la première et la deuxième zone d’impact. La 3^e zone se situe à 180 mètres plus loin. La camionnette a fait demi-tour 50 mètres après le 3^e impact », a précisé Kevin Labrie.

Rappelons que la défense a admis dès le début du procès que la camionnette Ford F-150 appartenait à Steeve Gagnon et que c’est ce dernier qui était au volant le 13 mars 2023.

Le fait que les décès découlent d’un impact avec le véhicule de l’accusé est aussi admis, tout comme le fait que les manœuvres du véhicule ne peuvent pas être expliquées par un bris mécanique.

Steeve Gagnon fait face à trois chefs de meurtre au premier degré, donc avec préméditation, et deux chefs de tentatives de meurtre.

Le ministère public est représenté par Me Jérôme Simard et Me Simon Blanchette. C’est Me Hugo Caissy, de l’aide juridique, qui représente l’accusé.

Le procès pourrait durer jusqu’à huit semaines. Il y aura une pause de mercredi à vendredi en raison d’un conflit d’horaire pour le juge Louis Dionne et pour certains avocats impliqués.

Les enquêteurs des crimes majeurs de Rimouski en collaboration avec les policiers de la MRC de La Matanie ont procédé à une saisie de stupéfiants, le 22 mai dernier, dans une résidence de la rue des Érables à Saint-Léandre.

Cette saisie est survenue la même journée que les policiers perquisitionnaient une résidence de la rue Price à Matane.

L’enquête autour de cet événement remonte au mois dernier alors que les policiers avaient reçu des informations du public.

Les renseignements se sont avérés exacts, ce qui a permis à la Sûreté du Québec de procéder à l’arrestation de Dave Martel, 51 ans, qui était sur les lieux lors de l’intervention policière.

Lien entre les deux saisies

« L’enquête tend à démontrer qu’il y a un lien entre les deux saisies, toutefois, c’est le Directeur des poursuites criminelles et pénales qui décidera ultimement comment la cause sera présentée en Cour », souligne le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.

Sur place, les policiers, qui étaient accompagnés d’un maître-chien et de l’escouade tactique d’intervention, ont fait des trouvailles fort intéressantes.

Un montant de 21 000 $ en dollars canadiens a été saisi ainsi que 275 grammes de cocaïne, une centaine de médicaments sous ordonnance ainsi qu’une arme à feu et trois armes de poing.

Le suspect a donc été arrêté sous des chefs de trafic de stupéfiants et possession d’armes prohibées. Il est demeuré détenu après avoir été escorté au poste de police.

La Sûreté du Québec lance un appel à la vigilance en lien avec un stratagème de fraude signalé dans la région de Rimouski.

Selon les enquêtes en cours, un ou plusieurs individus malintentionnés contactent des citoyens par téléphone en se faisant passer pour des policiers ou des représentants d’institutions financières. Ils prétendent avoir détecté une activité frauduleuse sur le compte bancaire de leur interlocuteur.

Sous prétexte de « régulariser la situation », les fraudeurs demandent à leurs victimes de placer leurs cartes de débit ou de crédit, accompagnées de leur numéro d’identification personnel (NIP), dans une enveloppe qu’ils doivent ensuite déposer dans leur boîte aux lettres.

Une personne serait ensuite envoyée pour récupérer discrètement l’enveloppe. Ce stratagème mène inévitablement à des pertes financières importantes pour les victimes.

La SQ confirme poursuivre ses investigations en lien avec ces cas. Les suspects pourraient étendre leurs activités à d’autres régions.

Rester vigilant

Les policiers demandent à la population de rester vigilante et d’éviter de donner des renseignements personnels ou bancaires tel que votre NIP.

Si vous avez été victime de ce stratagème, vous pouvez communiquer avec la Sûreté du Québec de votre région, votre poste de police local et avec le centre antifraude du Canada au 1-888-495-8501.

La Sûreté du Québec a arrêté un homme dans la soixantaine, jeudi, à Matane, pour trafic de stupéfiants et possession d’armes prohibées et non autorisées.

Les policiers de la MRC de la Matanie, assistés d’enquêteurs de la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de Rimouski, en plus du Groupe tactique d’intervention, du Service d’identité judiciaire et d’un maître-chien, ont effectué une perquisition dans un appartement situé sur la rue Price, à Matane.

L’homme arrêté a été libéré après son arrestation avec promesse de comparaître. Il devra se présenter à la Cour à une date ultérieure.

Sur place, les policiers ont procédé à la saisie de près de 200 $ en argent canadien, une quinzaine de médicaments sous ordonnance, trois armes de chasse, deux armes de poing et un cellulaire. 

Stratégie CENTAURE

Cette arrestation découle de la stratégie CENTAURE qui a pour mandat d’assurer une pression constante sur le crime organisé et ainsi, lutter activement contre la violence armée au Québec.

Toute information en lien avec la possession, le trafic, l’utilisation et la fabrication d’armes à feu peut être communiquée à la ligne d’information CENTAURE au 1-833-888-ARME (2763).

Un homme se trouve dans un état critique à la suite d’un accident de manège survenu, ce mercredi 21 mai vers 19 h 30, sur un site de Beauce Carnaval dans le stationnement du Centre Manicouagan à Baie-Comeau.

Par Charlotte Vuillemin- Le Manic

« La victime est un employé. L’homme a été transporté au centre hospitalier dans un état critique. On craint pour sa vie », indique la sergente Camille Savoie.

Les circonstances exactes de l’accident demeurent floues. « Le travailleur aurait été frappé à la tête alors qu’il tentait de passer sous un manège en marche », précise Isabelle Raymond, responsable des communications pour la CNESST sur la Côte-Nord.

Une enquête est en cours afin de faire la lumière sur les événements. Les inspecteurs de la CNESST étaient toujours sur place ce matin et prévoient d’y retourner au cours de la journée.

Le site de Beauce Carnaval est actuellement fermé.

Geste isolé

L’entreprise Beauce Carnaval a publié un communiqué en lien avec l’incident. La direction précise qu’il s’agit d’un « geste isolé » causé par une erreur humaine, et affirme que « la sécurité du manège n’est pas en cause ».

« Il s’agit d’un geste isolé, sans lien avec l’état ou la sécurité du manège concerné », peut-on lire dans la déclaration officielle.

L’accident a nécessité l’intervention des services d’urgence. Aucun visiteur n’a été blessé. L’employé impliqué a été pris en charge à l’hôpital le Royer de Baie-Comeau et a été transporté par la suite dans un centre hospitalier de Québec selon Véronique Vallée, porte-parole de Beauce Carnaval. « Il est entre bonnes mains », a-t-elle précisé.

« Nos pensées les plus sincères accompagnent notre collègue et sa famille dans cette épreuve. Cet événement nous touche profondément », souligne Beauce Carnaval, qui rappelle que ses opérations reposent avant tout sur le travail d’hommes et de femmes dévoués.

La direction appelle également la population à faire preuve de respect envers son personnel, « ce sont des personnes engagées et passionnées, qui travaillent fort pour offrir des moments de joie en toute sécurité ».

La Sûreté du Québec rapporte qu’une collision impliquant trois véhicules est survenue ce vendredi après-midi, vers 14 h 15 au à Rimouski.

« Une collision impliquant trois véhicules est survenue au coin de la rue Évêché Ouest et de l’Avenue de la Cathédrale. Il serait question d’un impact latéral et d’un petit écoulement d’huile », indique la porte-parole de la SQ, la sergente Béatrice Dorsainville.

La sergente Dorsainville confirme qu’une femme enceinte a été transportée au centre hospitalier, par mesure préventive.

Un homme de 38 ans et une femme de 40 ans, tous deux de Rimouski, ont été arrêtées, le 15 mai, en lien avec du trafic de stupéfiants. Une perquisition a également eu lieu dans une résidence le jour même.

Les policiers de la MRC Rimouski, ainsi que quelques enquêteurs de la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de la même région, ont mené cette perquisition.

Les deux personnes ont été interrogées, puis libérés, en attente de la suite des procédures. Elles pourraient faire face à des chefs d’accusation, entres autres, de possession en vue de trafic de cocaïne.

Voici les items qui ont été saisis :

• Près de 1000$ en argent canadien
• Une centaine de cocottes de cannabis en vrac
• Une petite quantité de concentré de cannabis
• 3 cigarettes électroniques
• Près de 15 grammes de cocaïne
• Un peu plus de 150 comprimés de métamphétamines
• Quelques grammes d’ecstasy
• Près de 20 grammes de poudre blanche à analyser
• Une arme à impulsion électrique

Il s’agit d’une enquête initiée en janvier 2025 et c’est grâce à de l’information reçue du public que les policiers ont aboutir à des résultats dans ce dossier.