Vue normale

Reçu aujourd’hui — 19 septembre 2025
  • ✇Journal Le Soir
  • Pelletier-Lebel : le projet suit son cours
    Le développement résidentiel Pelletier-Lebel, qui prévoit entre 400 et 450 unités de logement sur deux terrains totalisant 2,2 millions de pieds carrés au sud-ouest du centre commercial Les Galeries Mont-Joli, suit son cours. Le projet est réservé aux édifices à logements de huit logements et plus entre les Galeries Mont-Joli et le Parc du ruisseau Lebrun.   « Nous avons déjà des promoteurs qui nous ont contactés pour nous faire part de leur intérêt à construire, mais nous sommes présentem
     

Pelletier-Lebel : le projet suit son cours

19 septembre 2025 à 16:00

Le développement résidentiel Pelletier-Lebel, qui prévoit entre 400 et 450 unités de logement sur deux terrains totalisant 2,2 millions de pieds carrés au sud-ouest du centre commercial Les Galeries Mont-Joli, suit son cours.

Le projet est réservé aux édifices à logements de huit logements et plus entre les Galeries Mont-Joli et le Parc du ruisseau Lebrun.  

« Nous avons déjà des promoteurs qui nous ont contactés pour nous faire part de leur intérêt à construire, mais nous sommes présentement dans la conception des plans et devis pour les déposer au ministère », indique le maire de Mont-Joli, Martin Soucy.

La Ville veut créer un quartier dynamique et inclusif, offrant un large éventail d’options de logement pour répondre aux besoins des résidents. « Qu’ils soient des familles, de jeunes professionnels, des travailleurs ou des personnes âgées », précise monsieur Soucy.

Familles Pelletier et Lebel

En novembre 2023, Mont-Joli a acquis les terrains de la Société immobilière GP et de René-Jean Lebel. La Ville a ensuite autorisé l’octroi d’un contrat de près de 804 000 $ à la firme Stantec afin de réaliser les plans et devis de ce développement résidentiel.

Le contrat a été accordé à l’issue d’un appel d’offres auquel ont répondu quatre entreprises.

Le nom désigné au développement rend aussi hommage aux familles Pelletier et Lebel, respectivement fondatrice de la Société immobilière GP et propriétaire d’un des deux sites.

10 M$ en infrastructures 

Les deux terrains ont été financés à même une partie du surplus accumulé de Mont-Joli. La Ville de Mont-Joli avait aussi prévu, dans sa planification budgétaire, des investissements de plus de 10 M$ en infrastructures (aqueduc, égout, voirie), étalés en plusieurs phases, pour soutenir les projets de construction.

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

« En planifiant ainsi notre développement résidentiel, nous serons prêts lorsque viendra le temps de se prévaloir des programmes de subvention annoncés dans le nouveau pacte fiscal. Nous sommes convaincus que cette initiative contribuera non seulement à répondre à la demande croissante en matière de logements, mais également à rendre notre ville plus attractive » a déjà déclaré Martin Soucy.

  • ✇Journal Le Soir
  • Marché familial : les créanciers attendent les offres
    Le Syndic Raymond Chabot a tenu une rencontre avec les créanciers impliqués dans la faillite du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard jeudi après-midi. « Les créanciers attendent l’ouverture des soumissions (7 octobre). Plusieurs intéressés nous ont contactés, mais il est trop tôt pour anticiper le résultat », indique le responsable du dossier chez Raymond Chabot, Guyllaume Amyot. Trois lots distincts Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont
     

Marché familial : les créanciers attendent les offres

19 septembre 2025 à 12:00

Le Syndic Raymond Chabot a tenu une rencontre avec les créanciers impliqués dans la faillite du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard jeudi après-midi.

« Les créanciers attendent l’ouverture des soumissions (7 octobre). Plusieurs intéressés nous ont contactés, mais il est trop tôt pour anticiper le résultat », indique le responsable du dossier chez Raymond Chabot, Guyllaume Amyot.

Trois lots distincts

Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre.

Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est à Saint-Anaclet-de-Lessard. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présentoirs considérés comme fixes à l’immeuble.

Le lot numéro 2 se compose de l’équipement et du mobilier. Il comprend notamment plusieurs présentoirs réfrigérés, un congélateur vertical de trois portes, un congélateur tombeau, un comptoir et des présentoirs réfrigérés, une machine à barbotine et un ensemble de chariots et de bacs d’épicerie, sans oublier du matériel de cuisine, un système de caisse, du mobilier de bureau et du matériel informatique, le tout évalué à 99 600$.

Le Marché Familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Enfin, l’inventaire évalué à 20 000$ représente le 3e lot. On y retrouve un ensemble de marchandises diverses, breuvages assortis, croustilles, cannages assortis, nourriture sèche, chocolats et bonbons assortis, produits congelés, pâtisseries assorties, produits pour animaux, produits ménagers et cosmétiques assortis.

Visite possible le 25 septembre

Les biens pourront être examinés au 10, route Principale Est à Saint-Anaclet-de-Lessard le 25 septembre entre 10 h à 13 h.

Dette de 470 000 $

Raymond Chabot précise que le montant de la créance est de 470 000$ et que les trois principaux créanciers garantis sont la BDC, la SADC de la Neigette et la MRC Rimouski-Neigette.

« L’entreprise doit également environ 50 000$ à son principal fournisseur Sobeys et à quelques petits fournisseurs », souligne le responsable du dossier chez Raymond Chabot, Guyllaume Amyot.

Des repreneurs ?

« Nous sommes déjà en contact avec des gens la MRC de Rimouski-Neigette et d’autres personnes qui nous ont contactés. On sent un certain intérêt à voir un commerce de proximité reprendre les actifs. C’est le processus qui va déterminer de la suite des choses », affirme monsieur Amyot.

  • ✇Journal Le Soir
  • Premiers locataires à la Maison mère des Sœurs du Saint-Rosaire
    Serviloge annonce l’arrivée des premiers locataires dans les 44 logements de la Maison mère de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame du Saint-Rosaire, qui a été acquise par l’organisme en mars 2024. Les déménagements des locataires débuteront officiellement dès ce lundi 22 septembre et se dérouleront sur quelques semaines. Entretemps, Serviloge se prépare à sélectionner, par l’entremise du Portail d’accès logement Rimouski-Neigette, les futurs locataires des 47 nouveaux logements sociaux
     

Premiers locataires à la Maison mère des Sœurs du Saint-Rosaire

19 septembre 2025 à 06:30

Serviloge annonce l’arrivée des premiers locataires dans les 44 logements de la Maison mère de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame du Saint-Rosaire, qui a été acquise par l’organisme en mars 2024.

Les déménagements des locataires débuteront officiellement dès ce lundi 22 septembre et se dérouleront sur quelques semaines.

Entretemps, Serviloge se prépare à sélectionner, par l’entremise du Portail d’accès logement Rimouski-Neigette, les futurs locataires des 47 nouveaux logements sociaux et abordables, situés sur l’avenue Belzile.

Ce nouveau bâtiment sera relié à la Maison mère par une passerelle. Son ouverture est prévue pour le début de l’année 2026.

Ensemble, ces deux projets représentent des investissements de 40 M$.

Le président de Serviloge, Mario Canuel. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

« L’arrivée des premiers locataires des 44 logements nouvellement construits dans l’aile est de la Maison mère est bien plus qu’une étape immobilière, c’est un véritable projet de société qui prend vie. C’est la concrétisation de la mission de Serviloge depuis ses débuts, celle de créer des milieux de vie inclusifs, dynamiques et porteurs d’avenir », déclare le président de Serviloge, Mario Canuel.

256 nouvelles unités

D’ici le 1er octobre, ce sont donc des locataires de 109 unités qui prendront possession de leur nouveau logement. Il est question de 53 logements de Logeri Inc. au 373 rue Alcide C. Horth, de 12 logements de l’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN), avec son projet COS PLUS et des 44 logements de la Maison mère.

Il est aussi prévu que 147 nouveaux logements seront livrés d’ici au 1er février 2026, soit les 100 unités abordables du projet de Mission Unitaînés, ainsi que les 47 unités de la deuxième phase du projet de Serviloge, mentionné plus tôt.

Les locataires auront accès aux logements de Serviloge à partir du 22 septembre. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Le directeur général de l’OHRN, Alain Boulianne, souligne le caractère historique de cet accomplissement, porté par les partenaires du Portail d’accès logement Rimouski-Neigette.

« 256 logements seront livrés dans une période de quatre mois, ça s’est rarement vu dans notre communauté, alors on tenait à le souligner aujourd’hui. 2026 s’annonce fertile en matière de nouvelles annonces, concernant de nouveaux partenariats, toujours dans l’objectif premier de simplifier le processus pour les recueillants et les personnes de la communauté qui souhaitent avoir accès aux infrastructures », mentionne monsieur Boulianne.

Reçu hier — 18 septembre 2025

La GRC a fait une saisie record de 56 millions $ en cryptomonnaies

18 septembre 2025 à 20:01

La police fédérale a mené une perquisition dans des serveurs de Beauharnois, en Montérégie, où étaient hébergées des infrastructures numériques du service d’échange de cryptomonnaie TradeOgre.

  • Ce serait la première fois, selon la GRC, que les autorités fédérales démantèlent un tel service.

La GRC souligne que TradeOgre est illégal au Canada parce qu’il n’identifie pas ses clients. 

  • Cette pratique facilite le blanchiment d’argent sous forme de cryptomonnaies.

[L'article La GRC a fait une saisie record de 56 millions $ en cryptomonnaies a d'abord été publié dans InfoBref.]

  • ✇Journal Le Soir
  • Alimentation Coop Rimouski : changement d’allégeance syndicale
    Les employés des supermarchés d’Alimentation Coop Rimouski sous la bannière IGA, situés sur le boulevard Jessop et de l’avenue Sirois, changent d’allégeance syndicale pour se joindre aux Travailleurs et travailleuses unis de l’alimentation et du commerce (TUAC) 500. Ce virage a été confirmé à la suite d’un scrutin secret tenu les 10 et 11 septembre. Les employés étaient auparavant représentés par la CSN sous une même accréditation syndicale. Le TUAC 500 représente déjà les travailleurs de
     

Alimentation Coop Rimouski : changement d’allégeance syndicale

18 septembre 2025 à 14:00

Les employés des supermarchés d’Alimentation Coop Rimouski sous la bannière IGA, situés sur le boulevard Jessop et de l’avenue Sirois, changent d’allégeance syndicale pour se joindre aux Travailleurs et travailleuses unis de l’alimentation et du commerce (TUAC) 500.

Ce virage a été confirmé à la suite d’un scrutin secret tenu les 10 et 11 septembre. Les employés étaient auparavant représentés par la CSN sous une même accréditation syndicale.

Le TUAC 500 représente déjà les travailleurs de 600 épiceries au Québec.

« Les salariés de ces deux supermarchés nous ont contactés parce qu’ils connaissaient notre approche, nos services et notre réputation en matière de négociation et de soutien aux membres », indique son président, Tony Filato, dans un communiqué.

Des démarches pour améliorer les conditions de travail ont été enclenchées dès la fin du vote.

Reçu avant avant-hier
  • ✇InfoBref ACTUALITES | L’essentiel de l’actualité politique et générale
  • Le mariage reste assez peu fréquent au Québec 
    Selon l’Institut de la statistique du Québec, 23 000 couples se sont mariés l’an dernier, soit 300 de plus que l’année précédente.  Environ 25% des hommes et 29% des femmes se marient au moins une fois avant leur 50e anniversaire.  Les mariages entre personnes de même genre représentent 3% de l’ensemble des mariages.  Près de 750 couples de même genre se sont mariés en 2024, dont une légère majorité de couples de femmes.  [L'article Le mariage reste assez peu fréquent au Québec 
     

Le mariage reste assez peu fréquent au Québec 

17 septembre 2025 à 21:06

Selon l’Institut de la statistique du Québec, 23 000 couples se sont mariés l’an dernier, soit 300 de plus que l’année précédente. 

Environ 25% des hommes et 29% des femmes se marient au moins une fois avant leur 50anniversaire. 

Les mariages entre personnes de même genre représentent 3% de l’ensemble des mariages. 

  • Près de 750 couples de même genre se sont mariés en 2024, dont une légère majorité de couples de femmes. 

[L'article Le mariage reste assez peu fréquent au Québec  a d'abord été publié dans InfoBref.]

  • ✇Journal Le Soir
  • Chambre de Rimouski : des OBNL réclament des remboursements
    Six organismes se disent lésés par les présumées irrégularités financières et administratives qui visent l’ex-directeur général de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Jean-Nicolas Marchand. Le Centre de services animaliers de Rimouski, le Théâtre du Bic, l’Association de la construction du Québec – Bas-Saint-Laurent/Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Serviloge et Rimouski Ville Cyclable demandent à être remboursés pour leur participation, entre janvier et juin 2024, à une
     

Chambre de Rimouski : des OBNL réclament des remboursements

17 septembre 2025 à 18:00

Six organismes se disent lésés par les présumées irrégularités financières et administratives qui visent l’ex-directeur général de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Jean-Nicolas Marchand.

Le Centre de services animaliers de Rimouski, le Théâtre du Bic, l’Association de la construction du Québec – Bas-Saint-Laurent/Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Serviloge et Rimouski Ville Cyclable demandent à être remboursés pour leur participation, entre janvier et juin 2024, à une formation de l’École des entrepreneurs du Québec et organisée en collaboration avec monsieur Marchand.

« Malgré plusieurs rappels adressés à votre organisation, aucun retour de nous n’est parvenu à ce jour. Dans certains cas, il nous a été indiqué qu’un dépôt avait été effectué, mais, à ce jour, cela ne correspond malheureusement pas à la réalité de nos dossiers », écrivent les cosignataires d’une lettre écrite à la Chambre de commerce, le 15 septembre dernier, dont Le Soir.ca a obtenu copie.

De plus, Endurance Hockey, qui réunit une équipe de 25 joueurs affrontant différents adversaires durant 25 heures consécutives au profit de la Fondation Santé Rimouski, le Fonds d’études de l’Océanic et la Fondation Tag, attend toujours une commandite promise par l’ex-directeur général.

Les montants réclamés par chacun des organismes impliqués n’ont pas été détaillés dans la lettre.

Discussions individuelles

Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, confirme au Soir.ca avoir pris connaissance de la lettre.

« J’ai eu des discussions individuelles avec tous les organismes concernés afin de bien leur expliquer la situation. Cette histoire est reliée à 100% à l’enquête en cours sur monsieur Marchand. Tout le monde a très bien compris la situation. Pour l’instant, on ne peut en dire plus, tant et aussi longtemps que l’enquête se poursuit », indique monsieur St-Pierre, sympathisant envers les organismes touchés par la présumée fraude.

Simon St-Pierre (Photo courtoisie)

Le conseil d’administration de la Chambre de commerce a congédié Jean-Nicolas Marchand, le 3 février dernier, après avoir effectué des vérifications internes qui ont révélé de nombreuses anomalies et une fraude présumée de 500 000$.

Restaurants, voyages, hôtels, bars, chalets, de nombreux retraits au guichet à toute heure du jour et de la nuit, transferts Interac de la Chambre à des comptes personnels : les premières transactions qui font l’objet du litige actuel remontent à son entrée en poste, en octobre 2022.

Selon nos informations, une autre personne, proche de Jean-Nicolas Marchand, serait aussi impliquée dans cette fraude présumée.

  • ✇Journal Le Soir
  • Communauto s’implante à Rimouski
    Deux véhicules Communauto seront disponibles dès le 30 septembre, à Rimouski. L’organisme Mobilité partagée Rimouski (MPR) déploie son tout premier service d’autopartage.  Une voiture sera située au parc de la Gare et l’autre à la Coop Paradis. MPR jouera le rôle de gestionnaire de la flotte locale en partenariat avec Communauto.  « Ça fait longtemps que nous travaillons là-dessus et ça devient réel. Nous avons vu des statistiques épouvantables concernant la voiture solo. Communauto est un
     

Communauto s’implante à Rimouski

16 septembre 2025 à 18:00

Deux véhicules Communauto seront disponibles dès le 30 septembre, à Rimouski. L’organisme Mobilité partagée Rimouski (MPR) déploie son tout premier service d’autopartage. 

Une voiture sera située au parc de la Gare et l’autre à la Coop Paradis. MPR jouera le rôle de gestionnaire de la flotte locale en partenariat avec Communauto. 

« Ça fait longtemps que nous travaillons là-dessus et ça devient réel. Nous avons vu des statistiques épouvantables concernant la voiture solo. Communauto est un capital de confiance. Nous pensons que c’est la voie à suivre pour que la mobilité devienne quelque chose d’autre », explique le président de MPR, Raphaël Arsenault. 

Ce partenariat se veut unique au Québec puisqu’il permet d’élargir le modèle Communauto au-delà des grands centres et de proposer une solution adaptée à la réalité régionale.

« Dans une petite ville comme Rimouski, c’est aussi une bonne idée d’avoir des voitures à partager. Dans les grandes villes, l’offre est grande. Oui nous avons un transport collectif à Rimouski, mais ce n’est pas la panacée. Nous pensons qu’il y aura un engouement. Nous avons déjà beaucoup de gens qui nous approchent. »

Selon les besoins

Les voitures pourront être empruntées pour de courtes ou de longues périodes. Pour accéder au service, les utilisateurs doivent d’abord devenir membres de MPR et s’inscrire au service de Communauto. L’adhésion soutient l’implantation de l’autopartage et contribuera au développement d’autres initiatives de mobilité partagée.

Le président de Mobilité partagée Rimouski, Raphaël Arsenault. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur) 

« L’idée de MPR est d’apporter différentes solutions qui seront plus adaptées en fonction des besoins des gens. Nous allons dévoiler des choses dans les prochains mois et Communauto est très ouverte. Le coût de la vie est tellement grand en ce moment, il y a plein de conjectures qui font que c’est une bonne idée d’offrir ce service », mentionne le président de l’organisme à but non lucratif.  

De l’expansion pour Communauto

Communauto compte 8 000 véhicules dans une vingtaine de villes du Canada et de la France. D’abord installé dans les grands centres, le service se dirige de plus en plus vers des villes plus petites. 

« Le besoin d’avoir des solutions permettant de ne pas dépendre du véhicule est partout. L’intérêt des villes et des organisations comme MPR nous permet d’expérimenter d’autres façons de faire qui pourraient être des modèles pour d’autres. Rimouski est notre lancement le plus nordique et le plus à l’est de Québec », souligne le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani.

le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Moniseur Viviani soutient que d’autres véhicules pourraient s’ajouter à la flotte rimouskoise si la demande est présente. 

« Normalement, nous cherchons à atteindre des taux d’utilisation d’environ huit heures par jour par véhicule. Quand on arrive à ça, on commence à regarder où et comment ajouter des véhicules. C’est aussi selon le nombre de personnes. On parle d’un véhicule pour 20 ou 25 abonnés. Ici, il y en a 40. »

La Ville de Rimouski collabore également à l’initiative. Les 140 premiers abonnés rimouskois à MPR recevront une réduction de 35 $ grâce au fonds affecté aux projets écoresponsables. Les détails sont en ligne au www.mobilitepartagee.ca. 

  • ✇Journal Le Soir
  • CSS des Phares : reprise presque complète du transport scolaire
    Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme que plusieurs de ses autobus électriques Lion ont passé avec succès la deuxième inspection exigée par le fabricant, ce qui permettra la reprise du transport pour de nombreux élèves. Les circuits 205, 22, 14, 60, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008 et 121 recommenceront à partir de ce mercredi 17 septembre. « Pour les circuits 55, 57 et 109, nous attendons encore la confirmation. Dès que la reprise sera possible,
     

CSS des Phares : reprise presque complète du transport scolaire

16 septembre 2025 à 17:00

Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme que plusieurs de ses autobus électriques Lion ont passé avec succès la deuxième inspection exigée par le fabricant, ce qui permettra la reprise du transport pour de nombreux élèves.

Les circuits 205, 22, 14, 60, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008 et 121 recommenceront à partir de ce mercredi 17 septembre.

« Pour les circuits 55, 57 et 109, nous attendons encore la confirmation. Dès que la reprise sera possible, l’information sera communiquée sur notre site web, notre page Facebook et une notification sera envoyée dans le Portail parent aux familles concernées », indique le CSS des Phares dans un communiqué.

Des interruptions étaient en vigueur depuis lundi pour plusieurs circuits, puisque les transporteurs devaient effectuer d’autres inspections sur les autobus Lion après celles de vendredi dernier.

Le Bas-Saint-Laurent faisait partie des dernières régions où la reprise du transport scolaire avec les autobus électriques Lion n’était pas complète.

À la suite d’un accident à Montréal

Le gouvernement Legault avait annoncé, jeudi soir, que les quelque 1 200 autobus scolaires Lion circulant sur les routes du Québec seraient temporairement à l’arrêt afin de procéder à des inspections.

Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu la semaine dernière, a Montréal, au cours duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.

Un autobus électrique Lion (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

L’entreprise avait indiqué dans un communiqué qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».

La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé le plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque Lion-C.

Avec l’aide de La Presse Canadienne

  • ✇Journal Le Soir
  • Taxibus : nouvelle plateforme en ligne pour réserver
    La Société des transports de Rimouski (STR) lance une plateforme web pour la réservation du service de Taxibus. Jusqu’ici, les usagers devaient obligatoirement téléphoner à la STR afin de réserver une plage horaire. Le nouvel outil permet désormais d’effectuer des réservations en tout temps, même en dehors des heures d’ouverture du centre d’appel, pour rendre le processus plus simple et accessible. La plateforme offre aussi la possibilité de suivre en temps réel le déplacement du Taxibu
     

Taxibus : nouvelle plateforme en ligne pour réserver

16 septembre 2025 à 06:30

La Société des transports de Rimouski (STR) lance une plateforme web pour la réservation du service de Taxibus.

Jusqu’ici, les usagers devaient obligatoirement téléphoner à la STR afin de réserver une plage horaire.

Le nouvel outil permet désormais d’effectuer des réservations en tout temps, même en dehors des heures d’ouverture du centre d’appel, pour rendre le processus plus simple et accessible.

La plateforme offre aussi la possibilité de suivre en temps réel le déplacement du Taxibus. La STR espère que cette modernisation accroîtra l’achalandage du service.

Taxibus assure la liaison entre le centre-ville et plusieurs districts de Rimouski, dont Rimouski-Est, Pointe-au-Père, Sainte-Blandine, Mont-Lebel et Le Bic. Jusqu’à quatre passagers peuvent partager un même trajet.

La mère de la fillette abandonnée en Ontario a été déclarée non criminellement responsable 

15 septembre 2025 à 21:09

Lors d’un bref procès hier, la Couronne et la défense se sont entendues sur ce point. 

Selon La Presse, une psychiatre a expliqué au procès qu’au moment d’abandonner sa fille, la mère souffrait d’un «mélange entre la schizophrénie et la maladie bipolaire» qu’elle a qualifié de «trouble sévère et chronique». 

Elle reste pour l’instant détenue à l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel, à Montréal. 

Le juge devra déterminer ses conditions de sortie.

Pour rappel, la mère avait laissé en juin dernier sa fille de 3 ans au bord d’une autoroute ontarienne.

[L'article La mère de la fillette abandonnée en Ontario a été déclarée non criminellement responsable  a d'abord été publié dans InfoBref.]

  • ✇Journal Le Soir
  • Transport scolaire : pas de reprise mardi
    La remise en service des autobus électriques Lion est reportée jusqu’à nouvel ordre par le Centre de services scolaire (CSS) des Phares. Les inspections exigées par le fabricant sont toujours en cours et le CCS travaille avec ses transporteurs scolaires afin de rétablir le service dans les meilleurs délais. « Nous ne sommes actuellement pas en mesure de confirmer la reprise du service le mardi 16 septembre. Les parents dont les enfants utilisent les circuits suivants devront assurer le tr
     

Transport scolaire : pas de reprise mardi

15 septembre 2025 à 16:30

La remise en service des autobus électriques Lion est reportée jusqu’à nouvel ordre par le Centre de services scolaire (CSS) des Phares.

Les inspections exigées par le fabricant sont toujours en cours et le CCS travaille avec ses transporteurs scolaires afin de rétablir le service dans les meilleurs délais.

« Nous ne sommes actuellement pas en mesure de confirmer la reprise du service le mardi 16 septembre. Les parents dont les enfants utilisent les circuits suivants devront assurer le transport de leur enfant : 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121. Dès que nous pourrons confirmer la reprise progressive des circuits, l’information sera diffusée sur notre site web, notre page Facebook et envoyée via le Portail parent », peut-on lire sur la page Facebook du Centre.

Il a annoncé tôt ce lundi 15 septembre, des interruptions pour certains services puisque les transporteurs devaient faire d’autres inspections sur les Autobus Lion après celles de vendredi dernier.

D’autres centres de services scolaires de la province ont aussi annoncé que le transport scolaire demeurerait suspendu pour le 15 septembre.

À la suite d’un accident à Montréal

Des annulations du transport scolaire ont eu lieu, vendredi dernier. Le gouvernement Legault a annoncé jeudi soir que les quelque 1200 autobus scolaires de Lion qui circulent sur les routes du Québec seront à l’arrêt le temps de procéder à des inspections.

Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu mardi à Montréal, lors duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.

Les transporteurs du Centre de services scolaire des Phares ont reçu d’autres inspections à effectuer sur les Autobus Lion. (Photo courtoisie)

L’entreprise a indiqué dans un communiqué transmis vendredi soir qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».

La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé son plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque LION-C.

Avec l’aide de La Presse Canadienne

  • ✇Journal Le Soir
  • Marché familial : les actifs sont mis en vente
    Les actifs du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard sont mis en vente par le syndic Raymond Chabot à la suite de la faillite du marché d’alimentation. Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre. Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présent
     

Marché familial : les actifs sont mis en vente

15 septembre 2025 à 12:00

Les actifs du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard sont mis en vente par le syndic Raymond Chabot à la suite de la faillite du marché d’alimentation.

Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre.

Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présentoirs considérés comme fixes à l’immeuble.

Le lot numéro 2 se compose de l’équipement et du mobilier. Il comprend notamment plusieurs présentoirs réfrigérés, un congélateur vertical de trois portes, un congélateur tombeau, un comptoir et des présentoirs réfrigérés, une machine à barbotine et un ensemble de chariots et de bacs d’épicerie, du matériel de cuisine, un système de caisse, du mobilier de bureau et du matériel informatique, le tout évalué à 99 600$.

Enfin, l’inventaire évalué à 20 000$ représente le 3e lot. On y retrouve un ensemble de marchandises diverses, breuvages assortis, croustilles, conserves assortis, nourriture sèche, chocolats et bonbons assortis, produits congelés, pâtisseries assorties, produits pour animaux, produits ménagers et cosmétiques assortis.

Les biens pourront être examinés sur place, le jeudi 25 septembre, entre 10 h à 13 h.

Les soumissions doivent être reçues au bureau du syndic, 217, avenue Léonidas Sud, Bureau 3-A à Rimouski, avant le 7 octobre à 14 h.

Le syndic prendra connaissance des soumissions à ce moment, sans la présence des soumissionnaires

Dette de 470 000$

Raymond Chabot précise que le montant de la créance est de 470 000$ et que les trois principaux créanciers garantis sont la BDC, la SADC de la Neigette et la MRC Rimouski-Neigette.

« L’entreprise doit également environ 50 000$ à son principal fournisseur Sobeys et à quelques petits fournisseurs », souligne le responsable du dossier chez Raymond Chabot, Guyllaume Amyot.

Le Marché Familial de Saint-Anaclet (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Ce dernier explique que la diminution des ventes se fait sentir depuis quelques années et qu’il n’y a pas de lien à faire avec l’ouverture de Costco à Rimouski.

« La cause provient de problématiques qui traînent depuis un certain temps. Les revenus étaient insuffisants et on voyait une diminution des ventes dans les derniers mois et les dernières années. Cela a fragilisé la situation financière de l’entreprise ».

Des repreneurs ?

« Nous sommes déjà en contact avec des gens la MRC de Rimouski-Neigette et d’autres personnes qui nous ont contactés. On sent un certain intérêt à voit un commerce de proximité reprendre les actifs. C’est le processus qui va déterminer de la suite des choses », affirme monsieur Amyot.

  • ✇Journal Le Soir
  • Postes Canada : fini les circulaires à domicile
    Le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) a annoncé la levée de l’interdiction des heures supplémentaires à compter de lundi à minuit et une minute, heure de Montréal, et l’instauration d’une interdiction de la livraison de circulaires commerciales. Par Craig Lord, La Presse Canadienne La présidente du STTP, Jan Simpson, exhorte Postes Canada à retourner à la table de négociation dans l’espoir de mettre un terme au conflit avant les Fêtes. Le syndicat interdit les
     

Postes Canada : fini les circulaires à domicile

15 septembre 2025 à 10:00

Le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) a annoncé la levée de l’interdiction des heures supplémentaires à compter de lundi à minuit et une minute, heure de Montréal, et l’instauration d’une interdiction de la livraison de circulaires commerciales.

Par Craig Lord, La Presse Canadienne

La présidente du STTP, Jan Simpson, exhorte Postes Canada à retourner à la table de négociation dans l’espoir de mettre un terme au conflit avant les Fêtes.

Le syndicat interdit les heures supplémentaires depuis la fin mai, alors qu’il tente d’obtenir une nouvelle convention collective avec Postes Canada.

À la fin du mois dernier, le syndicat a répondu aux dernières offres de la société d’État en avançant une proposition prévoyant des augmentations salariales, mais prévoyant aussi certaines indemnités pour les travailleurs à temps partiel.

Pas de réponse

Le service postal n’a pas encore répondu officiellement à ces propositions, mais a demandé au syndicat d’adapter ses attentes aux réalités financières difficiles de Postes Canada.

La société d’État affirme perdre des millions de dollars par jour, l’incertitude entourant les négociations collectives nuisant à ses activités.

  • ✇Journal Le Soir
  • Lions électrique : le transport scolaire encore perturbée
    Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme d’autres interruptions pour certains circuits de transport en ce lundi 15 septembre. Ses transporteurs ont reçu d’autres inspections à faire sur les Autobus Lion, a indiqué le CSS dans une publication Facebook. Les parents devront aller reconduire les enfants pour les circuits suivants: 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121. « Nous essayons rapidement d’envoyer un courriel au
     

Lions électrique : le transport scolaire encore perturbée

15 septembre 2025 à 07:00

Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme d’autres interruptions pour certains circuits de transport en ce lundi 15 septembre.

Ses transporteurs ont reçu d’autres inspections à faire sur les Autobus Lion, a indiqué le CSS dans une publication Facebook.

Les parents devront aller reconduire les enfants pour les circuits suivants: 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121.

« Nous essayons rapidement d’envoyer un courriel aux parents concernés. Nous sommes vraiment désolé de cette situation », peut-on lire sur la page du CSS des Phares.

D’autres centres de services scolaires de la province ont aussi annoncé que le transport scolaire demeurerait suspendu pour le 15 septembre.

À la suite d’un accident à Montréal

Des annulations du transport scolaire ont eu lieu, vendredi dernier. Le gouvernement Legault a annoncé jeudi soir que les quelque 1200 autobus scolaires de Lion qui circulent sur les routes du Québec seront à l’arrêt le temps de procéder à des inspections.

Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu mardi à Montréal, lors duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.

L’entreprise a indiqué dans un communiqué transmis vendredi soir qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».

La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé son plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque LION-C.

Avec l’aide de La Presse Canadienne

Incertitudes sur la remise en service des autobus scolaires de Lion Électrique 

14 septembre 2025 à 20:30

Un autobus de transport scolaire de l’entreprise de Saint-Jérôme a pris feu la semaine dernière dans le quartier Côte-des-Neiges, à Montréal. 

  • C’était le troisième incendie depuis l’automne dernier impliquant un autobus de Lion Électrique. 

Le gouvernement Legault avait ordonné jeudi soir la mise à l’arrêt de 1200 autobus scolaires afin que les transporteurs puissent inspecter leurs véhicules. 

  • Des centres de services scolaires avaient dû annuler vendredi leurs circuits d’autobus. 

Hier soir, plusieurs centres ont indiqué que l’interruption du transport scolaire allait se poursuivre. 

[L'article Incertitudes sur la remise en service des autobus scolaires de Lion Électrique  a d'abord été publié dans InfoBref.]

  • ✇Journal Le Soir
  • Sayabec : l’école Sainte-Marie remporte le défi des Cubes énergie
    L’école Sainte-Marie de Sayabec, gagnante du défi des Cubes énergie du Grand défi Pierre Lavoie au Bas-Saint-Laurent, recevra la visite de l’équipe du Grand défi, ce mardi 16 septembre. Cette récompense, issue de la compétition qui a eu lieu en mai dernier partout au Québec, permettra aux élèves de vivre une journée d’activités et de recevoir des prix pour leur engagement. Chaque enfant recevra notamment une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie, conçus pour l’occasion par le
     

Sayabec : l’école Sainte-Marie remporte le défi des Cubes énergie

14 septembre 2025 à 17:00

L’école Sainte-Marie de Sayabec, gagnante du défi des Cubes énergie du Grand défi Pierre Lavoie au Bas-Saint-Laurent, recevra la visite de l’équipe du Grand défi, ce mardi 16 septembre.

Cette récompense, issue de la compétition qui a eu lieu en mai dernier partout au Québec, permettra aux élèves de vivre une journée d’activités et de recevoir des prix pour leur engagement.

Chaque enfant recevra notamment une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie, conçus pour l’occasion par le Grand défi Pierre Lavoie.

La tournée La Grande récompense à ton école récompensera plus de 3 400 jeunes à travers la province.

Chaque enfant de Sayabec recevra une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie. (Photo courtoisie)

Le Grand défi Pierre Lavoie débutera sa tournée ce lundi 15 septembre à l’école Saint-Paul-de-Pabos, à Chandler.

  • ✇Journal Le Soir
  • Marche pour l’autoroute 20 : engagement de la MRC réclamé
    Le Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 exprime son mécontentement face à l’absence d’engagement clair de la MRC de Rimouski-Neigette. Ses membres marcheront de nouveau sur la Promenade de la mer, le samedi 11 octobre prochain, afin de réclamer des actions concrètes des différents paliers gouvernementaux. « Comment peut-on rester silencieux devant des enjeux aussi cruciaux que la sécurité routière, le développement économique et la qualité de vie des citoyens? », s’interroge le comi
     

Marche pour l’autoroute 20 : engagement de la MRC réclamé

14 septembre 2025 à 12:00

Le Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 exprime son mécontentement face à l’absence d’engagement clair de la MRC de Rimouski-Neigette. Ses membres marcheront de nouveau sur la Promenade de la mer, le samedi 11 octobre prochain, afin de réclamer des actions concrètes des différents paliers gouvernementaux.

« Comment peut-on rester silencieux devant des enjeux aussi cruciaux que la sécurité routière, le développement économique et la qualité de vie des citoyens? », s’interroge le comité, dans un communiqué transmis aux médias.

Les participants parcourront la distance entre la place des Anciens-combattants et l’avenue Julien-Réhel.

Celui-ci réclame des mesures immédiates pour compléter les kilomètres manquants entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski. En cas de pluie, l’activité sera reporté au lendemain.

En août dernier, Le Soir.ca rapportait que la MRC de Rimouski-Neigette a fait savoir qu’elle n’offre pas son soutien au Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski, invoquant « l’absence de projets concrets ou d’avancées tangibles dans ce dossier ». La position des élus provoque la grogne du comité citoyen.

Plus nuancé par la suite, le préfet Francis Saint-Pierre a rétorqué, dans les jours suivant, qu’il préférait attendre avant de donner son soutien au comité, évoquant notamment qu’il n’avait pas consulté tous les maires de la région.

Reprise des études

Depuis l’arrêt du financement au printemps dernier, le comité demande que des études soient reprises, notamment pour la portion la moins avancée du projet, soit le segment de 47 kilomètres entre Trois-Pistoles et Rimouski.

Ce tronçon, qui traverse des zones densément fréquentées comme Saint-Simon et Saint-Fabien, enregistre plus de 12 000 véhicules par jour en période estivale, avec un volume croissant de transport lourd.

Des véhicules circulent sur la route 132 à Saint-Simon. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

« À cela s’ajoute le secteur de Notre-Dame-des-Neiges, entre la rue du Sault, la rue de la Grève et la rue Notre-Dame, à l’entrée de Trois-Pistoles. Le trafic atteint 13 700 véhicules durant l’été. Ces chiffes démontrent l’urgence d’agir », indique le comité.

Le comité appelle tous les citoyens concernés ainsi que les acteurs économiques et politiques à se joindre au mouvement.

  • ✇Journal Le Soir
  • Régime forestier : le nouveau ministre relancera les consultations
    D’autres consultations devront avoir lieu avant de décider du sort de la réforme controversée du régime forestier du gouvernement Legault. Par Patrice Bergeron, La Presse Canadienne C’est ce qu’a laissé entendre le nouveau ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Jean-François Simard. Il a succédé mercredi à Maïté Blanchette Vézina, qui était empêtrée avec ce controversé projet de loi 97 sur la foresterie et qui a été éjectée du cabinet. Maïté Blanchette Vézina (Photo Jacque
     

Régime forestier : le nouveau ministre relancera les consultations

13 septembre 2025 à 12:00

D’autres consultations devront avoir lieu avant de décider du sort de la réforme controversée du régime forestier du gouvernement Legault.

Par Patrice Bergeron, La Presse Canadienne

C’est ce qu’a laissé entendre le nouveau ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Jean-François Simard.

Il a succédé mercredi à Maïté Blanchette Vézina, qui était empêtrée avec ce controversé projet de loi 97 sur la foresterie et qui a été éjectée du cabinet.

Maïté Blanchette Vézina (Photo Jacques Boissinot- La Presse Canadienne)

Lors d’une courte mêlée de presse, monsieur Simard a dit qu’il était en mode ouverture et qu’il devait reconsulter.

Il a refusé de s’avancer davantage étant donné qu’il venait de prendre possession de ses cahiers de briefing le matin même.

  • ✇Journal Le Soir
  • Annick Marquis quitte Mitis en Affaires
    Après 25 années à la barre de Mitis en Affaires, Annick Marquis quitte ses fonctions de directrice générale pour relever un nouveau défi en tant que directrice générale de la MRC de La Mitis. Le président du conseil d’administration de Mitis en Affaires depuis, lui aussi 25 ans, Jean-Marie Thibeault, souligne le travail de madame Marquis. « Durant toutes ces années, elle a accompagné des centaines d’entrepreneurs en soutenant leurs idées, leurs projets, leurs ambitions. Elle a permis à des
     

Annick Marquis quitte Mitis en Affaires

12 septembre 2025 à 09:00

Après 25 années à la barre de Mitis en Affaires, Annick Marquis quitte ses fonctions de directrice générale pour relever un nouveau défi en tant que directrice générale de la MRC de La Mitis.

Le président du conseil d’administration de Mitis en Affaires depuis, lui aussi 25 ans, Jean-Marie Thibeault, souligne le travail de madame Marquis.

« Durant toutes ces années, elle a accompagné des centaines d’entrepreneurs en soutenant leurs idées, leurs projets, leurs ambitions. Elle a permis à des entreprises de se développer, à La Mitis de se transformer, et à plusieurs générations d’employés de s’épanouir et de trouver leur place. Je puis vous certifier qu’elle a su développer avec le conseil d’administration une complicité et une transparence qui garantit une gestion des plus saines. »

Farah Dargazanli prend la relève

Le conseil d’administration a confié l’intérim de la direction générale à Farah Dargazanli, déjà en poste au sein de l’organisme depuis cinq ans. Elle occupait le rôle de conseillère en entreprise avant d’être nommée directrice générale adjointe en avril 2024.

Par voie de communiqué, Mitis en Affaires mentionne que « son expérience, sa connaissance du milieu et sa proximité avec les entrepreneurs de La Mitis font d’elle le choix naturel pour assurer la continuité. »

Depuis plusieurs mois, madame Dargazanli était déjà appelée à assumer des responsabilités de gestion, ce qui lui a permis de bénéficier des connaissances de madame Marquis.

« C’est une belle marque de confiance du conseil d’administration. Je me sens privilégiée de pouvoir compter sur une équipe compétente et engagée qui travaille chaque jour à soutenir les entrepreneurs de notre région », exprime la nouvelle directrice générale par intérim.

Fière et prête pour la suite

De son côté, Annick Marquis quitte avec le sentiment du devoir accompli et une grande fierté envers le chemin parcouru.

« L’entrepreneuriat est un défi constant et stimulant. J’ai eu la chance, au fil des années, d’accompagner des femmes et des hommes passionnés qui façonnent notre territoire. Je pars sereine, convaincue que Mitis en Affaires est entre de bonnes mains avec Mme Dargazanli et son équipe », conclut madame Marquis.

  • ✇Journal Le Soir
  • Ouverture du Centre d’hébergement d’urgence de Rimouski
    Le Centre d’hébergement d’urgence de Rimouski sera prêt à accueillir les personnes en situation d’itinérance dès le 17 septembre. Situé sur la rue de l’Évêché Ouest, il ouvrira tous les jours de 17 h à 9 h. Géré par l’organisme En tout C.A.S, l’endroit pourra accueillir 12 personnes à la fois et même aller jusqu’à 16 si nécessaire.  L’équipe d’employés compte une douzaine de personnes, dont une coordonnatrice, des intervenants et des veilleurs de nuit. Le centre sera à « haut seuil ». 
     

Ouverture du Centre d’hébergement d’urgence de Rimouski

12 septembre 2025 à 13:43

Le Centre d’hébergement d’urgence de Rimouski sera prêt à accueillir les personnes en situation d’itinérance dès le 17 septembre. Situé sur la rue de l’Évêché Ouest, il ouvrira tous les jours de 17 h à 9 h.

Géré par l’organisme En tout C.A.S, l’endroit pourra accueillir 12 personnes à la fois et même aller jusqu’à 16 si nécessaire. 

L’équipe d’employés compte une douzaine de personnes, dont une coordonnatrice, des intervenants et des veilleurs de nuit. Le centre sera à « haut seuil ». 

« C’est en lien avec le seuil de tolérance par rapport aux situations auxquelles peuvent être confrontées les personnes qui vont venir. Nous allons accepter des personnes qui sont modérément intoxiquées. Nous n’accueillerons pas des gens avec des problématiques très intenses, comme des problèmes de violence », indique le directeur d’En tout C.A.S, Luc Jobin.

Le directeur d’En tout C.A.S, Luc Jobin (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Le Centre d’hébergement d’urgence sera situé dans un bâtiment appartenant à la Ville à proximité du Cégep de Rimouski et des Ateliers Saint-Louis. Les besoins de base des visiteurs seront comblés. 

« Ils vont pouvoir prendre une douche, dormir, accéder à la buanderie et recevoir un souper ainsi qu’un déjeuner qui seront offerts par Moisson Rimouski-Neigette. Ils auront aussi accès à un ordinateur pour pouvoir faire des démarches. Les séjours seront d’une durée variable et temporaire pour qu’on puisse s’assurer d’une certaine stabilité », souligne monsieur Jobin.  

Une marge de manœuvre

En raison du financement accordé, la décision a été prise d’ouvrir seulement pour les soirées et les nuits. Luc Jobin explique que le trou de service était particulièrement dans ces heures. 

« En grande canicule et dans les grands froids, nous avons prévu une marge de manœuvre pour que le centre puisse rester ouvert et que nous n’ayons pas à mettre ces personnes-là à risque. Nous allons les garder au chaud », ajoute le directeur des programmes santé mentale et dépendance du CISSS du Bas-Saint-Laurent, Éric St-Jean.

Des employés de la Ville complétaient, jeudi, les derniers préparatifs avant l’ouverture du bâtiment. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Le CISSS ne ferme pas la porte à éventuellement ouvrir le centre 24 heures sur 24. 

« C’est une question de financement, mais aussi de bonne pratique pour permettre aux gens de profiter des autres organismes à Rimouski de jour. Nous y réfléchissons et nous y travaillons. »

L’itinérance toujours présente

Bien qu’elle soit moins visible depuis la fin du camp au parc de la Gare, Luc Jobin signale que l’itinérance est toujours bien présente à Rimouski. 

« Il y a plus de jeunes, il y a même des gens qui travaillent à temps partiel, des aînés et plus de femmes. Le portrait est éclaté. On constate qu’il y a une dégradation de la qualité de vie de ces gens-là depuis la pandémie. D’avoir un lieu de centralisation devrait donner des résultats. Ça remplit un trou de service qui perdurait. »

Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, avait annoncé, en 2024, un financement récurrent de 347 000 $ pour le fonctionnement du service. De son côté, la Ville de Rimouski a investi 500 000 $ pour la mise à niveau et l’entretien du bâtiment.

  • ✇Journal Le Soir
  • Le Marché des Saveurs déménage au Carrefour Rimouski
    Pour sa 20e présentation, le Marché des Saveurs du Bas-Saint-Laurent doit déménager au Carrefour Rimouski, du 4 au 7 décembre, après avoir connu un achalandage record en 2024 aux Tennis de Rimouski. Dès la fin de l’événement, l’an dernier, Les Tennis de Rimouski avaient évoqué la possibilité de ne plus être en mesure d’accueillir le Marché des Saveurs à la suite de travaux pour améliorer les surfaces de jeux. « La Ville de Rimouski doit d’abord faire quelques travaux, notamment pour l’écla
     

Le Marché des Saveurs déménage au Carrefour Rimouski

11 septembre 2025 à 18:00

Pour sa 20e présentation, le Marché des Saveurs du Bas-Saint-Laurent doit déménager au Carrefour Rimouski, du 4 au 7 décembre, après avoir connu un achalandage record en 2024 aux Tennis de Rimouski.

Dès la fin de l’événement, l’an dernier, Les Tennis de Rimouski avaient évoqué la possibilité de ne plus être en mesure d’accueillir le Marché des Saveurs à la suite de travaux pour améliorer les surfaces de jeux.

« La Ville de Rimouski doit d’abord faire quelques travaux, notamment pour l’éclairage. Ensuite, nous allons changer les surfaces. Si les surfaces sont remplacées avant le salon, nous ne pourrons pas l’accueillir. L’achalandage risquerait d’abîmer les nouvelles surfaces de jeu », mentionnait le directeur et professionnel des Tennis, André-Michel Proulx, au Soir.ca, en décembre 2024.

Monsieur Proulx rappelle que la Ville de Rimouski avait autorisé Les Tennis à accueillir des salons à une époque où le sport était moins populaire.

« La popularité du tennis est en forte croissance. Nos membres veulent jouer. Nous devons prioriser le tennis puisque c’est notre raison d’être. Il n’y a aucun conflit avec Les Saveurs du Bas-Saint-Laurent. Nous sommes conscients des retombées majeures du Marché des Saveurs pour plusieurs entreprises de la région, mais nous devons revenir à notre mission ».

L’Association Les Saveurs du Bas-Saint-Laurent, qui organise le Marché des Saveurs du Bas-Saint-Laurent, indique que l’événement permet à plusieurs entreprises régionaux de générer plus de 30 % de leur chiffre d’affaires annuel.

La directrice générale de L’Association Les Saveurs du Bas-Saint-Laurent, Nicole Lavoie. (Photo courtoisie)

« Le Marché des Saveurs incarne un levier essentiel pour leur vitalité. Assurer sa tenue, c’est non seulement soutenir nos producteurs et nos transformateurs, mais aussi préserver un rendez-vous rassembleur qui reflète la richesse et la fierté de notre territoire », déclare sa directrice générale, Nicole Lavoie.

Cinquantaine d’exposants

Cette année encore, plus d’une cinquantaine d’entreprises bioalimentaires de la région seront réunies afin de faire découvrir aux visiteurs la richesse et la diversité des produits locaux.

Les visiteurs auront l’occasion de déguster, d’acheter et de commander une vaste sélection de produits régionaux, parfaits pour préparer les repas des Fêtes ou offrir des cadeaux gourmands.

« S’associer au Marché des Saveurs rejoint pleinement notre mission de créer un lieu de rencontre vivant et de soutenir l’achat local. Nous sommes fiers d’accueillir cette 20e édition au Carrefour Rimouski, offrant ainsi aux exposants une vitrine de premier plan au cœur de notre offre commerciale, tout en proposant aux visiteurs une expérience gourmande unique à l’approche des Fêtes », affirme Pascal St-Pierre, directeur du Carrefour Rimouski.

« Le Marché des Saveurs, c’est une tradition que nous avons hâte de partager chaque année. L’engouement pour les produits locaux ne cesse de croître. Mais au-delà des ventes, c’est surtout un moment privilégié pour rencontrer les gens, leur raconter nos histoires et les inviter à goûter nos produits », souligne Claude Ouellet, président de l’Association et propriétaire de Porc O’Rye.

  • ✇Journal Le Soir
  • FLO FM 96,5 célèbre 35 ans au service de la communauté
    Sous un chapiteau dressé derrière le Château Landry de Mont-Joli, la station de radio FLO FM 96,5 a célébré, le mardi 9 septembre, son 35e anniversaire en présence de nombreux invités. Lors de la cérémonie, les artisans, administrateurs et élus qui ont défilé au micro ont fait valoir que, 35 ans après sa création, FLO FM démontre qu’elle a pu non seulement survivre aux bouleversements financiers et technologiques, mais aussi prospérer en gardant ses valeurs fondamentales. Ils ont su décrire c
     

FLO FM 96,5 célèbre 35 ans au service de la communauté

11 septembre 2025 à 15:00

Sous un chapiteau dressé derrière le Château Landry de Mont-Joli, la station de radio FLO FM 96,5 a célébré, le mardi 9 septembre, son 35e anniversaire en présence de nombreux invités.

Lors de la cérémonie, les artisans, administrateurs et élus qui ont défilé au micro ont fait valoir que, 35 ans après sa création, FLO FM démontre qu’elle a pu non seulement survivre aux bouleversements financiers et technologiques, mais aussi prospérer en gardant ses valeurs fondamentales. Ils ont su décrire ce média régional comme un exemple de résilience et d’adaptation.

Née en 1990 sous l’appellation CKMN 96,5, la station a su traverser les décennies en gardant sa mission première: porter la voix de La Mitis et de Rimouski-Neigette.

« Il y a 35 ans, les architectes de FLO-FM ont cru à une radio communautaire forte, qui a sa place autant que la radio d’État et les radios commerciales», a rappelé Nadia Fillion, membre du conseil d’administration, qui agissait à titre d’animatrice de l’événement.

Succès parsemé de défis

L’histoire de la station n’a pas toujours été un long fleuve tranquille.

Bénévole depuis les tout débuts, Louis Brunet se souvient d’une première année difficile. En 1991, le déficit s’élevait à près de 400 000$. « C’était presque impossible de sauver la chaloupe du naufrage », a-t-il raconté.

La station était alors si démunie qu’elle ne possédait qu’un lecteur de CD et un autre pour les cassettes 8 pistes pour diffuser les publicités.

Kédina Fleury-Samson, Dany Proulx et Vincent Dufour (Photo Le Soir.ca- Véronique Bossé)

Plus révélateur encore, la ligne téléphonique était au nom de Matériaux BGB parce que le propriétaire du commerce, Marcel Gagné, avait décidé de payer la facture après que Québec Téléphone ait refusé d’accorder une ligne à CKMN, faute de fonds suffisants. L’homme d’affaires et philanthrope était un auditeur assidu de la station, principalement de l’émission country.

Puis, la voix étranglée par l’émotion, monsieur Brunet a souligné la détermination d’André Arsenault qui, en prenant les rênes de la station dans cette période critique, lui a permis de survivre et de prospérer.

Croissance impressionnante

Aujourd’hui, le contraste est saisissant. FLO FM 96,5 affiche un chiffre d’affaires de 1,2M$, alors qu’il était de 650 000$ il y a trois ans seulement.

La station procure de l’emploi à 12 personnes, dispose de deux studios, soit l’un à Rimouski et l’autre à Mont-Joli. La radio communautaire propose un horaire quotidien de 12 heures d’animation 100 % locale, soit de 6h à 18h.

FLO FM compte une moyenne de 55 000 auditeurs par semaine en haute saison. Selon l’animateur radiophonique Dany Proulx, l’émission «Naturellement country» est la plus populaire de la programmation.

Virage numérique

Sous la direction de Kédina Fleury-Samson, la station amorce une transformation majeure. « Nous passons d’un média d’ondes hertziennes à un média multiplateforme », a-t-elle annoncé. Un studio de podcast, qui sera bientôt prêt, sera mis au service de la communauté dès septembre, tandis qu’une chaîne YouTube diffusera plusieurs émissions.

Cette évolution s’inscrit dans une volonté de s’adapter aux nouveaux défis de l’univers médiatique.

La directrice générale de FLO FM 96,5, Kédina Fleury-Samson. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

« Dans un paysage où l’information circule plus vite que jamais et où la concurrence est forte, FLO 96,5 a su garder sa place en misant sur ce qui fait sa force: la proximité avec ses auditeurs», a souligné le président du conseil d’administration, Vincent Dufour.

Des appuis de marque

L’événement a été l’occasion de recevoir des vœux d’anniversaire de personnalités politiques. Dans un message vidéo, le premier ministre du Québec a salué le rôle de la station. « Une radio comme la vôtre est essentielle, a déclaré François Legault. Elle informe, rassemble, fait rayonner toute la région .»

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, a rappelé l’importance des pionniers Jean Bélanger et Roger Boudreau dans la création de CKMN, l’ancêtre de FLO.

Pour sa part, par le truchement d’un enregistrement vidéo, le maire de Rimouski, Guy Caron, a souligné l’importance de FLO pour « la diversification des voix médiatiques et d’opinions dans la région ».

Le député de Matane-Matapédia, qui a dit être un fidèle auditeur de FLO, a témoigné de l’engagement communautaire de la station. « Une radio, c’est une présence, c’est là pour nous divertir et nous informer dans des moments importants », a soutenu Pascal Bérubé.

Mission communautaire

Au-delà des chiffres et de la modernisation, Dany Proulx a souligné l’importance de l’information avec le journaliste Alphonse Lego aux nouvelles régionales, Émile Clouet aux sports et Hugo Éthier à la culture.

« C’est un média qui prend la forme des personnes qui la composent, a résumé madame Fleury-Samson. Nous sommes une voix qui est à votre service. »

  • ✇Journal Le Soir
  • Bris majeur d’aqueduc à Rimouski : la fuite est colmatée
    Le bris majeur d’aqueduc rapporté par la Ville de Rimouski à sa conduite principale en eau potable, touchant les districts Sacré-Cœur, Nazareth et Le Bic, a été réparé. Les autorités municipales ont alerté la population ce mercredi 10 septembre, en fin de journée, après avoir détecté la fuite à sa conduite alimentant les secteurs à l’ouest de la rivière Rimouski. Dans un communiqué, la Ville invite les citoyens à limiter leur consommation d’eau potable aux usages essentiels, jusqu’à ce ve
     

Bris majeur d’aqueduc à Rimouski : la fuite est colmatée

11 septembre 2025 à 11:00

Le bris majeur d’aqueduc rapporté par la Ville de Rimouski à sa conduite principale en eau potable, touchant les districts Sacré-Cœur, Nazareth et Le Bic, a été réparé.

Les autorités municipales ont alerté la population ce mercredi 10 septembre, en fin de journée, après avoir détecté la fuite à sa conduite alimentant les secteurs à l’ouest de la rivière Rimouski.

Dans un communiqué, la Ville invite les citoyens à limiter leur consommation d’eau potable aux usages essentiels, jusqu’à ce vendredi 12 septembre, afin de permettre un remplissage complet des réservoirs au cours de la journée. Aucun avis d’ébullition n’est en vigueur.

Interdiction de l’usage extérieur

L’avis d’interdiction d’arrosage reste en vigueur à Rimouski. Les usages extérieurs comme d’arroser sa pelouse, laver sa voiture ou remplir les piscines et les spas demeurent interdits que l’avis soit levé.

  • ✇Journal Le Soir
  • Automne doux avec des températures au-dessus des normales
    L’automne sera doux avec des températures au-dessus des normales saisonnières partout au pays, selon les prévisions de Météomédia, qui annonce toutefois l’arrivée brusque du temps froid dans la deuxième partie de la saison. Par Stéphane Blais, La Presse Canadienne Les mois de septembre et octobre s’annoncent doux pour le Québec et l’Ontario, avec des températures au-dessus des normales saisonnières et du temps généralement sec. «Ça sera du temps parfait pour les activités à l’extérieur
     

Automne doux avec des températures au-dessus des normales

11 septembre 2025 à 10:00

L’automne sera doux avec des températures au-dessus des normales saisonnières partout au pays, selon les prévisions de Météomédia, qui annonce toutefois l’arrivée brusque du temps froid dans la deuxième partie de la saison.

Par Stéphane Blais, La Presse Canadienne

Les mois de septembre et octobre s’annoncent doux pour le Québec et l’Ontario, avec des températures au-dessus des normales saisonnières et du temps généralement sec.

«Ça sera du temps parfait pour les activités à l’extérieur, de la mi- septembre jusqu’à la fin octobre. Mais, après ça, pendant le mois de novembre, ce qu’on prévoit c’est une cassure. Ce n’est pas clair si cette cassure arrivera dans la première moitié ou la deuxième moitié de novembre, mais cette cassure sera définitive et nous enfoncera dans l’hiver», a résumé Patrick DeBellefeuille, présentateur météo à MétéoMédia.

Les températures seront également au-dessus des normales saisonnières et des précipitations près des normales dans les provinces de l’Atlantique.

Toutefois, il faut « garder à l’œil la remontée de systèmes tropicaux vers la région qui pourrait apporter de grandes quantités de précipitations et de forts vents », a mis en garde MétéoMédia dans un communiqué publié mercredi.

Concernant les risques d’ouragans et de tempêtes tropicales, «pour l’instant, on n’a pas une saison qui est très active, mais elle va s’activer au courant des prochaines semaines, donc le risque grandit», a indiqué Patrick DeBellefeuille.

Ailleurs au pays

Dans l’ouest du Canada, les prévisions sont similaires à celles de l’Est.

« L’été 2025 a été marqué par les nombreux feux de forêt, la fumée et la sécheresse au pays. Peu de répit est prévu en automne pour les secteurs durement touchés, alors que des conditions sèches sont attendues en septembre et octobre », a expliqué André Monette, chef de service de la météorologie à MétéoMédia.

Le ramassage des feuilles mortes durant l’automne. (Photo courtoisie)

Il a précisé que « l’important changement de régime » qui provoquera l’arrivée du temps froid au pays arrivera « tout d’abord pour les provinces de l’Ouest, puis dans l’est du pays à la toute fin de la saison ».

  • ✇Journal Le Soir
  • Arrivée d’Amélie Dionne : « Je veux que ça se passe bien »
    Le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, voit d’un bon œil la nomination d’Amélie Dionne à titre de ministre responsable du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. Selon le député de Matane-Matapédia, le choix de démettre Maïté Blanchette-Vézina de ses fonctions était inévitable. « Le premier ministre a eu la même appréciation que les élus de la région à l’effet que ça ne fonctionnait plus. Et comme nous avons de grands défis, on souhaite que ça se passe mieux
     

Arrivée d’Amélie Dionne : « Je veux que ça se passe bien »

11 septembre 2025 à 07:30

Le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, voit d’un bon œil la nomination d’Amélie Dionne à titre de ministre responsable du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine.

Selon le député de Matane-Matapédia, le choix de démettre Maïté Blanchette-Vézina de ses fonctions était inévitable.

« Le premier ministre a eu la même appréciation que les élus de la région à l’effet que ça ne fonctionnait plus. Et comme nous avons de grands défis, on souhaite que ça se passe mieux pour la dernière année de mandat du gouvernement. « 

Quant au choix de sa successeure, Amélie Dionne, le député Bérubé la connaît bien puisque cette dernière a longtemps été impliquée au Parti Québécois avant de rejoindre les rangs de la Coalition Avenir Québec.

« J’ai une très bonne relation avec elle. J’ai notamment siégé avec elle lors de la commission sur les écrans. Nous avons souvent l’occasion d’échanger entre nous et ça se fait dans le respect. »

Pas de ministre en Gaspésie

Pascal Bérubé souligne tout de même le choix de François Legault de ne pas nommer l’un de ses deux députés gaspésiens à titre de ministre régional.

« C’est la deuxième fois qu’il a l’opportunité de les nommer et il a décidé, à nouveau, de ne pas leur faire confiance. Pendant ce temps, il décide de prendre la responsabilité de l’Abitibi-Témiscamingue, mais il ne le fait pas pour le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie. Je crois que les gens d’ici l’ont remarqué. »

Quant à savoir ce qu’il pense du choix de Geneviève Guilbault pour s’occuper des Affaires municipales, Pascal Bérubé, reconnaît le sens des responsabilités de l’ex-vice-première ministre.

La ministre Geneviève Guilbault (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

« J’ai moi-même un inventaire de dossiers que j’aimerais régler avant la fin du mandat du gouvernement. Je connais bien Geneviève Guilbault et nous sommes capables de nous parler. C’est l’intérêt de nos communautés qui priment. »

D’ailleurs, Pascal Bérubé a toujours eu une certaine facilité à avoir de bonnes relations avec les ministres de la CAQ. « J’entretiens des bons contacts avec les ministres et je le dis en toute sincérité. Ceci dit, la population rendra son verdict l’année prochaine. D’ici là, tout ce que je souhaite est que ça se passe bien pour le Québec dans la prochaine année. »

Finalement, le député a salué la nomination Sonia LeBel, originaire de Matane, qui accède à l’Éducation.

À Montréal, les déplacements en métro et en bus vont à nouveau être perturbés 

10 septembre 2025 à 21:08

À défaut d’une entente, les employés d’entretien de la Société de transport de Montréal (STM) prévoient 6 nouvelles journées de grève. 

Cette grève réduirait drastiquement les services de transport en commun de la métropole entre le 22 septembre et le 5 octobre. 

Lundi, mercredi et vendredi, les lignes de métro ne circuleraient que de: 

  • 6h30 à 9h30;
  • 14h45 à 17h45;
  • 23h à la fermeture. 

Durant ces journées, aucun bus ne passeraitentre 9h15 et 15h.

Mardi, jeudi, samedi et dimanche, les horaires réguliers s’appliqueraient. 

[L'article À Montréal, les déplacements en métro et en bus vont à nouveau être perturbés  a d'abord été publié dans InfoBref.]

  • ✇Journal Le Soir
  • Huit logements au-dessus de Vélo Plein Air
    L’entreprise Vélo Plein Air, située sur l’avenue de la Cathédrale, a déposé une demande à la Ville de Rimouski afin ajouter deux étages au-dessus du commerce existant afin d’y aménager huit logements. Le projet déroge à certaines normes du Règlement de zonage, ce qui nécessite l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI). Un premier projet de résolution a été adopté lundi soir par le conseil municipal. « Le PPCMOI est nécessaire
     

Huit logements au-dessus de Vélo Plein Air

10 septembre 2025 à 19:00

L’entreprise Vélo Plein Air, située sur l’avenue de la Cathédrale, a déposé une demande à la Ville de Rimouski afin ajouter deux étages au-dessus du commerce existant afin d’y aménager huit logements.

Le projet déroge à certaines normes du Règlement de zonage, ce qui nécessite l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI). Un premier projet de résolution a été adopté lundi soir par le conseil municipal.

« Le PPCMOI est nécessaire lorsque certains éléments de notre règlement de zonage ne sont pas respectés. Le projet est intéressant. On ne veut cependant pas « scooper » les entreprises sur leur projet, mais l’adoption du PPCMOI en séance publique est nécessaire », indique le maire de Rimouski, Guy Caron.

Sept dérogations

Selon le projet de résolution, le projet déroge à sept normes du règlement sur le zonage, soit la distance des marges, l’empiétement maximal permis pour une construction secondaire, l’emplacement d’un conteneur à matières résiduelles ainsi que l’aménagement d’un enclos sur trois côtés.

Un avis concernant le projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble a été affiché dans la vitrine de Vélo Plein Air. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Il est aussi question de la profondeur minimale d’une bande de verdure le long de la ligne avant secondaire, la distance minimale entre une aire de stationnement et la ligne arrière, le nombre de cases de stationnement requis pour un usage mixte commercial et multifamilial et la superficie minimale exigée pour une aire d’agrément.

Réduire la pénurie de logements

Le conseil municipal estime que ce projet particulier contribuera à réduire la pénurie de logements en offrant des logements en périphérie du centre-ville. Le comité consultatif d’urbanisme (CCU) de la Ville recommande au conseil municipal de l’accepter sous certaines conditions.

Ce projet particulier contient des dispositions susceptibles d’approbation référendaire. Une assemblée publique de consultation aura lieu lors d’une prochaine séance du conseil municipal.

Le conseil municipal adopte, aux fins de consultation publique, un premier projet de résolution visant à approuver le PPCMOI demandé par l’entreprise.

Vélo Plein Air est une boutique spécialisée dans la vente de vélos, de skis, de raquettes, de vêtements d’activité extérieures et d’équipements de plein air.

  • ✇Journal Le Soir
  • Fuite majeure d’eau potable détectée à Rimouski
    Une importante fuite a été détectée à la conduite principale alimentant l’ouest de la rivière Rimouski, touchant les districts Sacré-Cœur, Nazareth et Le Bic. La Ville a entrepris des travaux de réparation du bris pour une durée indéterminée. Les autorités municipales demandent à la population de limiter sa consommation d’eau potable au strict minimum jusqu’à ce que la situation soit de retour à la normale. Il pourrait y avoir interruption d’eau pour un nombre limité de résidences lors de
     

Fuite majeure d’eau potable détectée à Rimouski

10 septembre 2025 à 17:00

Une importante fuite a été détectée à la conduite principale alimentant l’ouest de la rivière Rimouski, touchant les districts Sacré-Cœur, Nazareth et Le Bic. La Ville a entrepris des travaux de réparation du bris pour une durée indéterminée.

Les autorités municipales demandent à la population de limiter sa consommation d’eau potable au strict minimum jusqu’à ce que la situation soit de retour à la normale.

Il pourrait y avoir interruption d’eau pour un nombre limité de résidences lors des travaux. Les personnes touchées seront avisées directement. Aucun avis d’ébullition n’est en vigueur pour le moment.

La Ville de Rimouski maintient son avis d’interdiction d’arrosage en vigueur, jusqu’à ce que la fuite soit colmatée, afin assurer le maintien des réserves d’eau potable dans les réservoirs pendant la période de travaux.

Les citoyens ne peuvent notamment pas arroser leur pelouse, même si un permis a été délivré. La Ville demande aussi la collaboration de la population pour réduire son utilisation de l’eau.

  • ✇InfoBref ACTUALITES | L’essentiel de l’actualité politique et générale
  • Le taux de diplômés a atteint un niveau record 
    Selon un rapport de l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), 48% des jeunes adultes des pays membres étaient en 2023 diplômés de l’enseignement supérieur.  En 2000, la proportion était de seulement 27%. Fortes inégalités   Près de trois quarts des jeunes issus d’une famille dont au moins l’un des parents avait un diplôme sont aujourd’hui diplômés.  C’est le cas de seulement un quart des jeunes issus d’une famille faiblement instruite. L’OCD
     

Le taux de diplômés a atteint un niveau record 

9 septembre 2025 à 21:08

Selon un rapport de l’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), 48% des jeunes adultes des pays membres étaient en 2023 diplômés de l’enseignement supérieur. 

  • En 2000, la proportion était de seulement 27%.

Fortes inégalités  

Près de trois quarts des jeunes issus d’une famille dont au moins l’un des parents avait un diplôme sont aujourd’hui diplômés. 

C’est le cas de seulement un quart des jeunes issus d’une famille faiblement instruite.

L’OCDE regroupe 38 pays riches, dont Canada, États-Unis, Australie, Japon, et la majorité des pays de l’Union européenne. 

[L'article Le taux de diplômés a atteint un niveau record  a d'abord été publié dans InfoBref.]

  • ✇Journal Le Soir
  • Val-Neigette : la Corporation du Mont-Blanc renonce au projet
    La Corporation du Mont-Blanc annonce qu’elle met fin à ses démarches pour l’acquisition et la relance de la station de ski Val-Neigette. L’organisme, fondé en 2022 par un regroupement de citoyens bénévoles, travaillait depuis plusieurs années à évaluer la viabilité du projet. Au fil du processus, la Corporation a mené diverses analyses avec des professionnels, dont des études de marché, l’inspection des installations, l’évaluation des investissements nécessaires pour remettre les équipements
     

Val-Neigette : la Corporation du Mont-Blanc renonce au projet

9 septembre 2025 à 19:34

La Corporation du Mont-Blanc annonce qu’elle met fin à ses démarches pour l’acquisition et la relance de la station de ski Val-Neigette. L’organisme, fondé en 2022 par un regroupement de citoyens bénévoles, travaillait depuis plusieurs années à évaluer la viabilité du projet.

Au fil du processus, la Corporation a mené diverses analyses avec des professionnels, dont des études de marché, l’inspection des installations, l’évaluation des investissements nécessaires pour remettre les équipements à niveau et l’élaboration de plusieurs plans d’affaires.

Des discussions ont aussi été entamées avec le propriétaire actuel et des élus de différents paliers de gouvernement, sans toutefois déboucher sur une entente.

Selon le plus récent plan d’affaires, la relance de la station nécessiterait des investissements majeurs, notamment pour adapter les installations aux changements climatiques et pour rivaliser avec les autres destinations de loisirs.

Ces coûts, combinés à la hausse des prix dans le secteur de la construction, rendent difficile la mise en place d’un modèle d’affaires rentable à court et moyen terme.

Bien que des offres d’achat ont été réalisées durant le processus, aucune entente n’a été conclue.

Regard réaliste

« À la lumière de toutes nos démarches, il ne semble malheureusement pas exister, à l’heure actuelle, de modèle d’affaires rentable qui nous permettrait d’atteindre notre but de redonner la station de ski au public dans un modèle sécurisé à long terme. Nous avons toujours voulu aborder ce projet avec un regard réaliste plutôt qu’émotionnel », indique la Corporation dans un communiqué.

L’organisme se dit néanmoins ouvert à collaborer avec d’autres groupes ou partenaires qui souhaiteraient reprendre l’analyse sous un angle différent.

Une partie de la montagne de Val-Neigette (Photo journallesoir.ca)

Créée en 2022, la Corporation du Mont-Blanc avait pour mission de redonner Val-Neigette à la population en misant à la fois sur le développement économique et touristique et sur l’accessibilité à la pratique sportive.

Il était composé d’Olivier Côté (directeur principal en évaluation d’entreprise), Guillaume Sirois (conseiller immobilier), Michael Vallée (directeur adjoint aux ressources matérielles), Pascale Murray (éducatrice), Jacques Lavoie (caméraman), Julien Landry (conseiller en placement), Marie-Claude Dumais (comptable professionnelle agrée) et Dave Dumas (conseiller du district Sainte-Blandine/Mont-Lebel).

  • ✇Journal Le Soir
  • Traverse Rimouski-Forestville : la Corporation fait son chemin
    La mairesse de Forestville et présidente de la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville, Micheline Anctil, est d’avis que l’achat d’équipements effectué par les Industries Rilec et son président Louis-Olivier Carré, constitue une étape importante pour le retour du service de traverse entre sa ville et Rimouski. « Un pas important a été franchi, pour deux raisons différentes. Premièrement, c’est une preuve de l’engagement du promoteur. On voit qu’il est sérieux, puisqu’il achète de
     

Traverse Rimouski-Forestville : la Corporation fait son chemin

9 septembre 2025 à 19:00

La mairesse de Forestville et présidente de la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville, Micheline Anctil, est d’avis que l’achat d’équipements effectué par les Industries Rilec et son président Louis-Olivier Carré, constitue une étape importante pour le retour du service de traverse entre sa ville et Rimouski.

« Un pas important a été franchi, pour deux raisons différentes. Premièrement, c’est une preuve de l’engagement du promoteur. On voit qu’il est sérieux, puisqu’il achète des équipements. Deuxièmement, il s’agit d’un achat qui sera nécessaire pour le bon fonctionnement des opérations », mentionne madame Anctil.

L’acquisition des infrastructures portuaires existantes sur les deux rives du Saint-Laurent permettra ensuite de les adapter, en vue d’accueillir le nouveau navire.

« Il faut regarder si Louis-Olivier Carré, comme promoteur, a un type de bateau X, pour procéder à des études de navigation, pour déterminer comment navigue ce bateau. Comment entre-t-il au port de Rimouski? Comment entre-t-il au port de Forestville? De quoi avons-nous besoin, du côté de nos infrastructures, pour accueillir ce bateau ? »

Elle suppose que des travaux seront, entre autres, nécessaires à Forestville.

« Notamment pour notre pont d’accostage, parce que les installations ont été conçues pour le CNM Évolution. Si un autre bateau est utilisé, il faudra évidemment prendre le temps de bien étudier comment il naviguera. »

Pas d’échéancier pour Forestville

Bien que Louis-Olivier Carré prévoit le retour du service en mai 2026, la mairesse de Forestville préfère ne pas s’avancer sur un possible échéancier.

La mairesse de Forestville, Micheline Anctil (Photo courtoisie)

« Nous avons tous le même souhait : celui de ramener la traverse le plus rapidement possible, ce qui voudrait dire l’an prochain, mais je ne suis pas rendu à une étape qui me permettrait de confirmer une date. On peut dire que c’est effectivement une vision commune que nous avons, mais il y a encore des étapes à réaliser, dans un délai très court. Je ne m’avance donc pas sur un échéancier, mais je peux confirmer que nous nous engageons à travailler pour faire en sorte que ce soit réalisé le plus rapidement possible. »

Au cœur du projet

Depuis l’entrevue du 15 juillet, Micheline Anctil rapporte qu’un autre aspect important s’est précisé.

« Le gouvernement ne peut financer un promoteur, pour l’achat d’un bateau. C’est quelque chose qui a été clarifié depuis la mi-juillet. Le chemin que nous devons emprunter vers le gouvernement du Québec passe obligatoirement par la Corporation, parce que c’est la clé du projet pour Québec. Le gouvernement souhaite étudier toutes les options possibles d’aides financières et ces dernières doivent obligatoirement passer par la Corporation de liaison maritime. »

  • ✇Journal Le Soir
  • Stationnements : Guy Caron mise sur la rotation, pas sur l’argent
    Rimouski se prépare à réglementer sur le stationnement afin d’instaurer la gratuité à compter de 17 h et hausser le temps temporaire sans frais de 15 à 30 minutes. Pour le maire Guy Caron, ces mesures répondent à la demande formulée par le comité mis en place par la Chambre de commerce, l’an dernier, pour amenuiser les impacts de l’ouverture de Costco. « Le comité demandait 30 minutes, nous avons analysé la chose et décidé d’aller de l’avant avec cette demande. La gratuité à compter de 17 h,
     

Stationnements : Guy Caron mise sur la rotation, pas sur l’argent

Rimouski se prépare à réglementer sur le stationnement afin d’instaurer la gratuité à compter de 17 h et hausser le temps temporaire sans frais de 15 à 30 minutes. Pour le maire Guy Caron, ces mesures répondent à la demande formulée par le comité mis en place par la Chambre de commerce, l’an dernier, pour amenuiser les impacts de l’ouverture de Costco.

« Le comité demandait 30 minutes, nous avons analysé la chose et décidé d’aller de l’avant avec cette demande. La gratuité à compter de 17 h, du lundi au vendredi, vise à favoriser la restauration et les spectacles pour qui les stationnements payants étaient un irritant. Il y a moins de compétitions pour les places disponibles après 17 h de la part du Cégep, de l’IMQ et des employés de l’Hôpital », précise monsieur Caron.

Le maire réitère que le principal objectif des stationnements payants est de favoriser une rotation et d’éviter que des gens se stationnent le matin pour toute la journée.

Les automobilistes profitent déjà des espaces gratuitement lors des fins de semaine.

300 000$ sur un budget de 125 M$

Selon Guy Caron, les stationnements payant ne servent pas à garnir les coffres de la Ville. Les contraventions reliées au stationnement représentent environ 300 000$ de revenus sur un budget de 125 M$.

Des voitures stationnées sur la rue Saint-Germain Ouest. (Photo courtoisie Ville de Rimouski)

« L’objectif, c’est vraiment d’assurer une rotation. Cependant, il faut faire attention. Il y a des gens qui réclament 90 minutes gratuits. Cela voudrait dire, par exemple, qu’un étudiant du Cégep pourrait se stationner au centre-ville à 13 h 30, mettre 3 $ et rester sur place jusqu’à 10 h 30 le lendemain matin en tenant compte d’une gratuité de 90 minutes. Il faut faire attention avec les mesures et bien analyser les impacts. Si on crée une pénurie de stationnements, nous ne serons pas plus avancés », affirme monsieur Caron, qui rappelle qu’au moment de la fermeture du PFK, le stationnement s’est rapidement rempli d’usagers.

Allonger davantage la période de gratuité

Le maire n’exclut pas, si ça fonctionne bien, que le conseil puisse analyser l’option d’allonger la période de gratuité dans un prochain mandat.

« Pour l’instant, le conseil municipal s’est rendu à la demande de la Chambre de commerce », dit-il.

Présentement, les stationnements sont payants jusqu’à 18 h du lundi au mercredi et jusqu’à 21 h les jeudis et vendredis.

  • ✇Journal Le Soir
  • Stade multisports de Rimouski : emprunt de 10,8 M$ adopté
    Après l’avis de motion donné le 25 août, le conseil municipal de Rimouski a adopté lundi soir le règlement décrétant une dépense de 28 M$ et un emprunt de 10 789 419 $ pour la réalisation des travaux de construction du stade multisports. Le règlement prévoit l’utilisation d’un montant de 12,5 M$ provenant de la réserve des actifs immobilisés de la Ville et de 4,7 M$ qui seront pris à travers les soldes disponibles de certains règlements d’emprunt déjà complétés. « Les gens ont une période
     

Stade multisports de Rimouski : emprunt de 10,8 M$ adopté

Après l’avis de motion donné le 25 août, le conseil municipal de Rimouski a adopté lundi soir le règlement décrétant une dépense de 28 M$ et un emprunt de 10 789 419 $ pour la réalisation des travaux de construction du stade multisports.

Le règlement prévoit l’utilisation d’un montant de 12,5 M$ provenant de la réserve des actifs immobilisés de la Ville et de 4,7 M$ qui seront pris à travers les soldes disponibles de certains règlements d’emprunt déjà complétés.

« Les gens ont une période de temps où ils peuvent s’opposer au règlement. Malgré l’augmentation du 3 M$ pour la réalisation du projet, il n’y a pas de hausse pour le règlement d’emprunt prévu afin de minimiser l’impact sur les contribuables. Le projet va de l’avant », commente le maire de Rimouski, Guy Caron.

PPCMOI nécessaire

Toujours lundi soir, le conseil municipal a adopté un premier projet de résolution vers l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) pour le futur stade multisports.

« Il y a divers éléments pour lesquels nous pouvons déjà procéder via un PPCMOI, dont, entre autres, la question des stationnements », indique monsieur Caron.

Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Une assemblée publique de consultation permettra d’en connaître davantage sur le contenu du PPCMOI à une séance ultérieure du conseil municipal.

Impact sur le compte de taxes

Le maire de Rimouski estime que l’impact de la réalisation du stade multisports sur le compte de taxes d’une propriété moyenne évaluée à 253 000$ sera de 38$ par année.

« Si on compare avec le Complexe Desjardins, la Ville avait emprunté 7 M$ pour un projet de 40 M$. L’impact fiscal pour une propriété moyenne était de 21$ ».

Un entraînement de hockey au Complexe sportif Desjardins. (Photo courtoisie)

Guy Caron mentionne que ce projet est prioritaire puisque Rimouski est la seule ville de plus de 50 000 habitants au Québec à ne pas avoir ce type d’installation.

Au Complexe sportif Guillaume-Leblanc

Le stade multisports sera situé sur les terrains du complexe sportif Guillaume-Leblanc. Il prévoit des plateaux sportifs qui pourront servir à plusieurs sports comme le soccer, le football, le rugby et le disque volant d’équipe.

« Nous sommes toujours dans la préparation du devis de construction. Par la suite, il y aura un appel d’intérêts selon les paramètres qui auront été fixés par le devis de construction. On vise le début des travaux de construction en 2026 pour une livraison en 2028 », précise monsieur Caron.

  • ✇Journal Le Soir
  • Rimouski : stationnement gratuit dès 17 h et grâce prolongée
    Rimouski veut instaurer la gratuité du stationnement dès 17 h sur l’ensemble de son territoire, en plus de faire passer la période de gratuité temporaire de 15 à 30 minutes. Un projet de règlement en ce sens a été adopté lors de la séance publique de ce lundi 8 septembre. Si la mesure obtient l’approbation finale lors d’une prochaine rencontre du conseil, la Ville appliquera les heures de tarification des parcomètres et horodateurs du lundi au vendredi, de 9 h à 17 h. Les appareils demeu
     

Rimouski : stationnement gratuit dès 17 h et grâce prolongée

9 septembre 2025 à 07:30

Rimouski veut instaurer la gratuité du stationnement dès 17 h sur l’ensemble de son territoire, en plus de faire passer la période de gratuité temporaire de 15 à 30 minutes.

Un projet de règlement en ce sens a été adopté lors de la séance publique de ce lundi 8 septembre.

Si la mesure obtient l’approbation finale lors d’une prochaine rencontre du conseil, la Ville appliquera les heures de tarification des parcomètres et horodateurs du lundi au vendredi, de 9 h à 17 h. Les appareils demeureront inactifs la fin de semaine.

Actuellement, la réglementation exige un paiement des frais jusqu’à 18 h en début de semaine et jusqu’à 21 h, les jeudis et vendredis, à plusieurs emplacements du centre-ville, notamment sur la rue Saint-Germain Ouest.

Cette mesure répond notamment à une demande formulée par la Chambre de commerce et d’industrie Rimouski-Neigette.

Depuis plusieurs mois, de nombreux citoyens et des commerçants du centre-ville réclamaient une prolongation du temps de gratuité jusqu’à 60 minutes, en plus d’une meilleure lisibilité de la signalisation entourant le stationnement.

  • ✇Journal Le Soir
  • Chambre de commerce : Simon St-Pierre quittera la coprésidence
    La Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette (CCIRN) perdra bientôt son coprésident, Simon St-Pierre, qui démissionne après avoir rempli un mandat qu’il décrit comme ayant été « assez complexe. » « Je suis encore en poste, mais je vais quitter après l’Assemblée générale annuelle (AGA). La date de cette AGA sera sûrement confirmée cette semaine », indiquait monsieur St-Pierre lundi matin. Il estime que l’Assemblée devrait avoir lieu assez rapidement, donc à la fin du mois de s
     

Chambre de commerce : Simon St-Pierre quittera la coprésidence

8 septembre 2025 à 18:00

La Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette (CCIRN) perdra bientôt son coprésident, Simon St-Pierre, qui démissionne après avoir rempli un mandat qu’il décrit comme ayant été « assez complexe. »

« Je suis encore en poste, mais je vais quitter après l’Assemblée générale annuelle (AGA). La date de cette AGA sera sûrement confirmée cette semaine », indiquait monsieur St-Pierre lundi matin.

Il estime que l’Assemblée devrait avoir lieu assez rapidement, donc à la fin du mois de septembre, ou bien au début du mois d’octobre.

Simon St-Pierre et Andréane Pelletier ont été élus comme coprésidents de la CCIRN en octobre 2024.

Quelques mois plus tard, en février 2025, le conseil d’administration de la Chambre convoquait les membres des médias pour annoncer le congédiement de son directeur général, Jean-Nicolas Marchand, à la suite de la découverte d’irrégularités financières et administratives au sein de l’organisation.

Quand Simon St-Pierre repense aux efforts qui ont été déployés à la suite de cette annonce, il estime que le temps était venu pour lui de laisser sa place à un autre.

« Andréane et moi avons su détecter cette fraude, qui ne s’est pas produite pendant notre présidence. Par après, il y avait beaucoup de dettes à régler. Plusieurs personnes n’avaient pas été payées. Nous avons réussi à renverser cette situation avec succès, en payant tous les comptes et en remettant de l’argent dans celui de la Chambre. On a aussi réussi à la faire repartir, parce qu’elle sera en mesure d’engager une ressource à l’automne. Donc, d’avoir réussi à remettre la CCIRN sur la carte, en la rendant de nouveau fonctionnelle, ça ne tient pas du miracle, mais presque. »

Retour en politique municipale ?

Étant donné que l’annonce de sa démission coïncide avec la tenue prochaine des élections municipales, la rumeur court que monsieur St-Pierre compte se présenter à nouveau comme conseiller municipal.

L’homme d’affaires Simon Saint-Pierre (Photo journallesoir.ca)

Il s’agit en effet d’un poste qu’il a occupé, au sein du district de Saint-Pie X, de 2017 à 2021. Lors des dernières élections, il avait été défait de peu par la conseillère actuelle, Mélanie Bernier, qui avait obtenu 52,54 % des votes.

Questionné sur ses intentions, Simon St-Pierre ne confirme rien pour l’instant. Il précise toutefois qu’il compte se prononcer sur le sujet, au courant de la semaine du 15 septembre.

Le propriétaire de la Brasserie La Baraque a d’ailleurs abordé la question dans une publication Facebook, dans laquelle il raconte avoir été interpellé à quelques reprises sur sa possible candidature, plus précisément sur la possibilité qu’il brigue la mairie.

Il a par la suite mentionné en commentaire qu’il n’en avait pas l’intention, répondant : « […] Pas à la mairie, voyons, mais… », ouvrant ainsi la porte à une candidature comme conseiller.

  • ✇Journal Le Soir
  • Rimouski-Forestville : Rilec achète les installations
    Les Industries Rilec annoncent l’acquisition des installations portuaires de Rimouski et de Forestville pour relancer le service de traversier qui est arrêté depuis 2022. L’entreprise rimouskoise du promoteur Louis-Olivier Carré a pour objectif de le ramener dès mai 2026. Les opérations de traverse font aussi partie de cette acquisition. Les installations seront adaptées pour accueillir le nouveau navire d’une capacité de 300 passagers et de 90 véhicules qui a déjà été réservé. « Les ins
     

Rimouski-Forestville : Rilec achète les installations

8 septembre 2025 à 16:00

Les Industries Rilec annoncent l’acquisition des installations portuaires de Rimouski et de Forestville pour relancer le service de traversier qui est arrêté depuis 2022. L’entreprise rimouskoise du promoteur Louis-Olivier Carré a pour objectif de le ramener dès mai 2026.

Les opérations de traverse font aussi partie de cette acquisition. Les installations seront adaptées pour accueillir le nouveau navire d’une capacité de 300 passagers et de 90 véhicules qui a déjà été réservé.

« Les installations comprennent tout ce que la traverse Rimouski-Forestville avait, c’est-à-dire bureaux, débarcadère et rampe d’embarquement des passagers », indique le président-directeur général des Industries Rilec, Louis-Olivier Carré.

Une affiche sur les bureaux de la traverse indique le retour du service en 2026. (Photo Le Soir-ca – Annie Levasseur)

Il soutient que des mises à niveau sont à faire pour assurer un service de qualité aux futurs utilisateurs du service.

« Nous avons eu des rencontres avec la Société portuaire Bas-Saint-Laurent–Gaspésie pour leur faire part de ce que l’on veut faire. Nous allons faire une demande de plans et devis pour une rampe d’embarquement, les assises de rampe d’embarquement et la disposition. »

Financement

Concernant le financement, Les Industries Rilex s’en remettent à la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville qui s’occupe des échanges avec Québec pour le financement.

Le ministère des Transports a refusé, en mai dernier, une demande d’aide financière de 7 M$ plus un montant de 1,9 M$ en taxes non remboursables.

Le navire réservé par Louis-Olivier Carré. (Photo archives)

« L’OSBL, créé par les deux villes, chapeaute très bien le dossier. Ils travaillent avec le gouvernement pour aller chercher le succès de cette traverse. Je pense que c’est une bonne approche parce que ça permet d’avoir tous les acteurs qui travaillent dans le même sens et ça vient donner un devoir à chaque personne impliquée dans le projet de faire ses devoirs pour que ça se concrétise », souligne monsieur Carré.

Service essentiel

Pour Louis-Olivier Carré, ce service est essentiel pour l’Est-du-Québec. Il a l’intention de travailler d’arrache-pied pour assurer son retour.

« Je l’ai à cœur depuis le début. Ça nous prend cette traverse entre Rimouski et Forestville. Si tout le monde se met de la partie, nous allons avoir un succès dès 2026. »

Le projet a déjà reçu l’appui de la MRC de la Haute-Côte-Nord et de la Ville de Forestville. La Ville de Rimouski est aussi en faveur du projet.

La rampe d’accès au quai de Rimouski. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
  • ✇Journal Le Soir
  • Rimouski en tête des mises en chantier au Québec
    Après avoir figuré parmi les villes les plus touchées par la rareté de logements au Québec, Rimouski renverse la tendance en se hissant maintenant au premier rang provincial pour le nombre de mises en chantier par habitant. Selon le plus récent rapport de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ), 695 unités locatives ont été amorcées sur le territoire rimouskois depuis janvier 2025, soit près de 14 logements par 1 000 habitants. Ce taux surp
     

Rimouski en tête des mises en chantier au Québec

8 septembre 2025 à 12:00

Après avoir figuré parmi les villes les plus touchées par la rareté de logements au Québec, Rimouski renverse la tendance en se hissant maintenant au premier rang provincial pour le nombre de mises en chantier par habitant.

Selon le plus récent rapport de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ), 695 unités locatives ont été amorcées sur le territoire rimouskois depuis janvier 2025, soit près de 14 logements par 1 000 habitants.

Ce taux surpasse de 50 % ceux de Drummondville et de Lévis, qui suivent en deuxième et troisième position.

« La pénurie de logements est un enjeu prioritaire à Rimouski auquel nous consacrons beaucoup d’énergie au quotidien », souligne le maire Guy Caron dans un communiqué. « Les efforts de l’administration municipale et de l’ensemble des promoteurs actifs sur le territoire ont généré ces résultats tangibles. »

Logements hors marché

Près de 75 % des nouvelles unités en construction sont des logements dits hors marché, c’est-à-dire subventionnés par la Société d’habitation du Québec (SHQ) et la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).

Ces projets permettront d’offrir des logements sociaux et abordables, un levier important pour réduire la pression sur le marché locatif.

Le maire de Rimouski, Guy Caron. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

À titre comparatif, Drummondville affiche 8,3 mises en chantier par 1 000 habitants et Lévis, 8,0. Granby, Saint-Jérôme, Mirabel et Shawinigan se retrouvent également dans le peloton de tête, loin devant les grands centres comme Montréal (1,9), Longueuil (1,6) ou Repentigny (0,9).

« Nous sommes convaincus que les actions de notre Plan de lutte contre la pénurie de logements continueront d’avoir un impact positif sur le taux d’inoccupation et par conséquent, l’abordabilité des loyers », indique monsieur Caron.

  • ✇Journal Le Soir
  • Price ouvre sa nouvelle caserne au public
    La population de La Mitis pourra découvrir la nouvelle caserne de Price le samedi 13 septembre. Mis en service en février, ce nouveau bâtiment vient répondre à un besoin concernant la sécurité incendie dans la région. L’ancienne caserne, vieillissante et située à proximité d’une école primaire, ne respectait plus les normes actuelles et représentait un risque lors des interventions d’urgence, selon le Regroupement incendie Mitis Est.  Le nouvel emplacement, sur la rue William-Evan-Price en
     

Price ouvre sa nouvelle caserne au public

7 septembre 2025 à 09:00

La population de La Mitis pourra découvrir la nouvelle caserne de Price le samedi 13 septembre. Mis en service en février, ce nouveau bâtiment vient répondre à un besoin concernant la sécurité incendie dans la région.

L’ancienne caserne, vieillissante et située à proximité d’une école primaire, ne respectait plus les normes actuelles et représentait un risque lors des interventions d’urgence, selon le Regroupement incendie Mitis Est. 

Le nouvel emplacement, sur la rue William-Evan-Price en face du poste de la Sûreté du Québec, permet un accès plus sécuritaire et efficace vers l’ensemble des municipalités desservies.

Le bâtiment comprend des garages adaptés aux véhicules d’urgence, une salle de formation, un gymnase, ainsi que des espaces dédiés à l’entretien et à la décontamination des équipements.

Intervention plus rapide

Ces améliorations permettent d’intervenir plus rapidement et dans de meilleures conditions pour les citoyens de Price, de Sainte-Angèle-de-Mérici, de Métis-sur-Mer, de Grand-Métis, de Saint-Octave-de-Métis, de Padoue et de Sainte-Jeanne-d’Arc.

La première pelletée de terre du 3 juin 2024. (Photo courtoisie MRC de La Mitis)

« Cette caserne moderne nous permet de travailler dans des conditions optimales. Cela fait toute une différence pour la préparation et l’efficacité de nos équipes. On invite chaleureusement toute la population de La Mitis et des environs à venir visiter la caserne et rencontrer nos pompiers lors de cette journée toute spéciale », souligne ledirecteur du Regroupement incendie Mitis Est, Michel Desrosiers.

La caserne porte le nom d’Albert Côté, en hommage à l’ancien chef pompier de Price qui a consacré près de 55 ans de sa vie à la sécurité de sa communauté.

La journée portes ouvertes se tiendra de 8 h à 16 h. Les visiteurs pourront explorer les lieux à travers des visites guidées de la caserne et des camions, assister à des démonstrations d’équipements et profiter d’animations familiales incluant des jeux gonflables et des parcours ludiques pour les enfants. 

  • ✇Journal Le Soir
  • La Ferme Ravito accueille la visite
    La Ferme Ravito, de Sainte-Flavie, accueille la visite ce dimanche 7 septembre de 10 h à 16 h à l’occasion des Portes ouvertes Mangeons local de l’UPA qui prennent cette année une saveur biologique et maraîchère au Bas-Saint-Laurent. Les propriétaires Olivia Bernier et Jimmy Lepage promettent une immersion complète dans leur univers agricole à petite échelle axé sur la culture des légumes et des verdures de saison. La Ferme Ravito est en activité depuis 2022 sur la terre familiale d’Olivia
     

La Ferme Ravito accueille la visite

La Ferme Ravito, de Sainte-Flavie, accueille la visite ce dimanche 7 septembre de 10 h à 16 h à l’occasion des Portes ouvertes Mangeons local de l’UPA qui prennent cette année une saveur biologique et maraîchère au Bas-Saint-Laurent.

Les propriétaires Olivia Bernier et Jimmy Lepage promettent une immersion complète dans leur univers agricole à petite échelle axé sur la culture des légumes et des verdures de saison.

La Ferme Ravito est en activité depuis 2022 sur la terre familiale d’Olivia.

Le nom de l’entreprise est librement inspiré du mot ravitaillement, un beau clin d’œil au kiosque en libre-service de la ferme qui permet aux locaux et aux gens de passage de faire une escale nourricière dès que le besoin s’en fait sentir.

En régie biologique

Le tandem de maraîchers se spécialise dans la culture de légumes et de verdures en régie biologique sur une quinzaine de petites surfaces, pour un total de deux hectares. Cette approche permet de réduire considérablement leur empreinte écologique et de favoriser une meilleure biodiversité.

La saisonnalité, une autre des valeurs portées par le couple, permet de faire découvrir de nouvelles saveurs à la clientèle et d’être en harmonie avec le terroir régional de La Mitis.

Le kiosque de vente à la ferme de Ravito. (Photo Alexandre D’Astous)

« Depuis nos débuts, nous cultivons plus de 150 variétés de légumes, fleurs, fruits et fines herbes dans le but de créer une plus grande biodiversité sur le territoire. Nous souhaitons offrir un environnement sain, du champ à l’assiette, pour notre communauté et les restaurants locaux. Nous sommes heureux d’accueillir les Portes ouvertes Mangeons local au Bas-Saint-Laurent afin de représenter un modèle d’agriculture à échelle humaine qui a sa place dans le paysage agricole du Québec », affirment Olivia et Jimmy.

Diversité de l’agriculture régionale

« La résilience en agriculture s’exprime dans la diversité de nos modèles et de nos types de production. La Ferme Ravito est un exemple à ce chapitre puisqu’elle met de l’avant un modèle de mise en marché unique et de proximité ainsi que des pratiques culturales respectueuses de l’environnement. Les Portes ouvertes Mangeons local constituent une belle vitrine pour faire découvrir cette entreprise aux Bas-Laurentiens, à un moment où l’achat local est plus que jamais valorisé », mentionne Yannick Côté, 2e vice-président de la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent et président du Syndicat de l’UPA de La Mitis.

À Olivia et Jimmy se joindront des membres de leurs familles respectives, des bénévoles du Syndicat et des employés de la Fédération régionale afin de faire de cette journée un incontournable pour les familles, les curieux et les épicuriens.

La visite des installations de la Ferme Ravito, la présence de kiosques en lien avec l’agriculture, de l’animation et un volet artistique avec Mélissa C Pettigrew permettront aux visiteurs de découvrir l’envers du décor de différentes productions agricoles au Bas-Saint-Laurent et de repartir alimenter en produits locaux. L’entrée est gratuite.

La Ferme Ravito est située au 121 Route de la Mer, à Sainte-Flavie (le long de la Route 132.

  • ✇Journal Le Soir
  • La ministre Blanchette Vézina patrouille avec la SQ
    La députée de Rimouski et ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a participé, jeudi, à une patrouille avec des policiers de la Sûreté du Québec (SQ) dans le cadre d’une activité de sensibilisation à la sécurité routière aux abords de l’école Paul-Hubert de Rimouski. La députée-ministre a eu l’occasion d’observer le travail des policiers en zone scolaire et de rencontrer la policière chargée d’intervenir en milieu scolaire. « C’est ma première fois, a co
     

La ministre Blanchette Vézina patrouille avec la SQ

5 septembre 2025 à 19:00

La députée de Rimouski et ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, a participé, jeudi, à une patrouille avec des policiers de la Sûreté du Québec (SQ) dans le cadre d’une activité de sensibilisation à la sécurité routière aux abords de l’école Paul-Hubert de Rimouski.

La députée-ministre a eu l’occasion d’observer le travail des policiers en zone scolaire et de rencontrer la policière chargée d’intervenir en milieu scolaire.

« C’est ma première fois, a confié la ministre responsable du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. J’ai bien apprécié mon expérience. »

Au-delà des contraventions

Pour la ministre, cette expérience a permis de constater l’étendue du travail policier en milieu scolaire.

« Dans la collaboration avec les brigadiers scolaires et les intervenants dans les écoles, il y a vraiment un beau travail de terrain qui est fait, plus qu’uniquement de donner des tickets. »

La ministre Maïté Blanchette Vézina a accompagné des agents de la Sûreté du Québec lors d’une patrouille aux abords de l’école Paul-Hubert de Rimouski. (Photo Johanne Fournier)

Mme Blanchette Vézina a aussi apprécié les échanges avec les policiers patrouilleurs à vélo.

« Je sais que les jeunes veulent respecter les règles de sécurité et c’est rassurant, pour eux, de voir que les policiers sont présents », a-t-elle observé.

Une présence renforcée en début d’année

L’agent d’information de la SQ a expliqué que cette initiative avec la députée-ministre visait à faire découvrir le travail de ses collègues auprès des jeunes.

« Durant toute l’année scolaire, on est présent dans les zones où il y a du transport d’élèves, a précisé Frédéric Deshaies. Dans les premières semaines, on bonifie nos interventions. »

Cette intensification des patrouilles en début d’année scolaire s’explique par la nécessité de rappeler aux automobilistes l’importance de respecter les zones scolaires et les limites de vitesse.

« On doit rappeler aux automobilistes qu’il y a un retour des élèves à l’école », a indiqué le sergent Deshaies.

Un local pour créer des liens

L’école Paul-Hubert dispose d’un local dédié à la présence policière, une prérogative que la ministre juge particulièrement efficace.

« L’initiative d’avoir un local à l’école Paul-Hubert aide à être présent, à établir un lien de confiance, autant avec les jeunes qu’avec le personnel scolaire », estime-t-elle.

Cette approche permet aux policiers d’être plus proactifs dans leur travail de prévention et de sensibilisation, tout en améliorant la sécurité générale dans l’établissement scolaire.

Seule la politicienne a pu entrer dans l’école secondaire, les représentants des médias étant contraints d’attendre à l’extérieur.

Une mère rassurée

En tant que mère de deux enfants d’âge scolaire, Mme Blanchette Vézina s’est dite rassurée par ce qu’elle a observé.

« De voir le travail et la collaboration de tout le monde qui a son rôle à jouer et qui le joue bien, c’est sécurisant », a-t-elle confié.

Si elle est invitée à récidiver, la ministre pourrait bien remonter à bord d’une autopatrouille pour se prêter au même exercice.

« Elle est toujours la bienvenue », a fait savoir l’agent Deshaies. À la question du Soir à savoir, à la blague, si Maïté Blanchette Vézina était une bonne élève, le policier a confirmé, en riant, qu’elle avait « passé le test ».

La tournée s’est poursuivie au nouveau poste de la MRC de Rimouski-Neigette de la SQ, construit en 2022. Accueillie par trois hauts gradés du corps policier, l’élue a pu visiter les installations, une visite à laquelle les journalistes, encore une fois, n’ont pas eu accès.

  • ✇Journal Le Soir
  • Le BAPE autorise le Parc éolien Canton MacNider
    Au terme de ses travaux, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) estime que le projet de parc éolien Canton MacNider, dans la Matapédia, devrait être autorisé, à condition que lui soient apportés certains ajustements destinés à réduire ses effets. À la demande du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoit Charette, le BAPE a publié son rapport d’enquête et d’audience publique le vendredi 5 septembre. La c
     

Le BAPE autorise le Parc éolien Canton MacNider

Au terme de ses travaux, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) estime que le projet de parc éolien Canton MacNider, dans la Matapédia, devrait être autorisé, à condition que lui soient apportés certains ajustements destinés à réduire ses effets.

À la demande du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoit Charette, le BAPE a publié son rapport d’enquête et d’audience publique le vendredi 5 septembre.

La commission estime que le projet aurait des retombées économiques positives sur les deux communautés d’accueil. L’Alliance de l’énergie de l’Est distribuerait ses profits à ses membres. Cet argent pourrait servir au financement de projets visant à soutenir la vitalité économique des collectivités de la région.

« Malgré cela, il n’existe pas d’analyse pour mesurer l’effet du développement de la filière éolienne au Bas-Saint-Laurent sur la vitalité économique des collectivités. Il serait pertinent de développer un indicateur à cet égard, considérant que plusieurs municipalités de la région sont dévitalisées et que la filière éolienne est utilisée comme un instrument de développement régional », mentionne-t-on dans le rapport.

Plus de transparence

Toujours selon le rapport, les informations divulguées par l’Alliance et ses membres ne suffisent pas pour instaurer la pleine confiance du public à l’égard du modèle d’affaires du projet.

« L’Alliance devrait faire preuve d’une plus grande transparence en diffusant ses états financiers. Le partenariat public-privé soulève des questionnements chez plusieurs participants quant au modèle d’affaires à privilégier. La commission d’enquête estime toutefois que ce débat dépasse le cadre de son mandat et qu’une telle réflexion devrait être menée à l’occasion d’une consultation publique élargie sur le développement de la filière éolienne. »

Projet de 400 M$

Le projet, dont la réalisation coûterait environ 400 M$, consiste en l’installation d’un maximum de 21 éoliennes d’une hauteur de 200 mètres sur les territoires de Saint-Noël et Saint-Damase dans la MRC de La Matapédia.

(Photo Pixabay)

Il comprend également l’aménagement d’un réseau collecteur enfoui, d’un chemin d’accès, d’une sous-station ainsi que d’un bâtiment d’exploitation et d’entretien avec stationnement.

Il est porté par Parc éolien Canton MacNider S.E.C., qui réunit, dans un partenariat à parts égales, l’entreprise privée Clearlight Energy et la société en commandite Alliance de l’énergie de l’Est. Cette dernière regroupe plusieurs MRC du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine ainsi que la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk.

Mise en service en 2026

Le parc éolien serait mis en service à la fin de 2026 et il fournirait 122,32 mégawatts d’énergie à Hydro-Québec pour une période de 25 ans. Sa construction entraînerait la création de 150 emplois temporaires, tandis que son exploitation et son entretien généreraient de 5 à 10 emplois permanents.

La commission d’enquête chargée de l’examen du projet était composée de Mireille Paul, présidente, et de Pierre Benoit, commissaire. Son mandat s’est étalé du 22 avril au 22 août 2025. Grâce à son travail, elle a offert aux citoyens des conditions propices et respectueuses pour qu’ils puissent s’informer et s’exprimer.

  • ✇Journal Le Soir
  • Perquisition à Dégelis : procès à fixer
    L’un des deux hommes arrêtés le 1er mai 2024 à la suite de trois perquisitions dans le secteur de la 6e Rue Est à Dégelis, Keven Côté-Paradis était de retour en cour le jeudi 4 septembre à Rivière-du-Loup pour disposer de ses dossiers. L’homme de 31 ans de Lejeune a enregistré un plaidoyer de culpabilité avant le procès. Mais, il semble avoir changé d’avis, puisque les procédures ont été reportées au 15 septembre pour fixer une date pour son procès. Les perquisitions des policiers de la MRC d
     

Perquisition à Dégelis : procès à fixer

5 septembre 2025 à 15:00

L’un des deux hommes arrêtés le 1er mai 2024 à la suite de trois perquisitions dans le secteur de la 6e Rue Est à Dégelis, Keven Côté-Paradis était de retour en cour le jeudi 4 septembre à Rivière-du-Loup pour disposer de ses dossiers. L’homme de 31 ans de Lejeune a enregistré un plaidoyer de culpabilité avant le procès. Mais, il semble avoir changé d’avis, puisque les procédures ont été reportées au 15 septembre pour fixer une date pour son procès.

Les perquisitions des policiers de la MRC de Témiscouata, en collaboration avec la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec (SQ), avaient permis de saisir:

  • environ 50 grammes de cannabis illicite;
  • environ 40 grammes de cocaïne;
  • environ 100 graines de cannabis;
  • de l’argent comptant;
  • divers équipements servant au trafic de stupéfiants;
  • une arme prohibée;
  • un véhicule Chevrolet Colorado 2017 à titre de bien infractionnel.

En liberté

Côté-Paradis a été remis en liberté sous conditions le 6 mai 2024. Il a comparu une première fois le 2 mai pour faire face à des accusations en matière de stupéfiants. Il est demeuré détenu avant de revenir au tribunal le 3 mai pour son enquête sur remise en liberté, qui avait alors été remise au 6 mai. Il a donc été détenu du 1er au 6 mai.

La SQ signale que ce sont des informations reçues du public qui ont permis de mener à bien cette opération.

Le palais de justice de Rivière-du-Loup (Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)
  • ✇Journal Le Soir
  • Quatre Rimouskois médaillés par la députée
    Quatre citoyens rimouskois ont reçu, ce jeudi 4 septembre, la Médaille de la Députée de l’Assemblée nationale des mains de la ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina. Nathalie Babin, Dr Georges Lévesque, Thérèse Sirois et Alain Rioux ont été récompensés.  Une activité de reconnaissance a eu lieu au Théâtre du Bic en présence des proches des récipiendaires.  « Ces femmes et ces hommes méritent cette reconnaissance pour leur contribution à rendre notre monde meilleur. Ce son
     

Quatre Rimouskois médaillés par la députée

5 septembre 2025 à 09:00

Quatre citoyens rimouskois ont reçu, ce jeudi 4 septembre, la Médaille de la Députée de l’Assemblée nationale des mains de la ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina. Nathalie Babin, Dr Georges Lévesque, Thérèse Sirois et Alain Rioux ont été récompensés. 

Une activité de reconnaissance a eu lieu au Théâtre du Bic en présence des proches des récipiendaires. 

« Ces femmes et ces hommes méritent cette reconnaissance pour leur contribution à rendre notre monde meilleur. Ce sont des gens significatifs qui ont fait rayonner la circonscription de Rimouski. Leur dévouement envers leur communauté est un modèle pour chacun d’entre nous », s’exclame madame Blanchette Vézina.

Nathalie Babin (Photo courtoisie)

Nathalie Babin a été médaillée pour son parcours philanthropique touchant la culture, la santé, l’économie et le sport. Selon la députée de Rimouski, son passage de dix ans à la direction du Théâtre du Bic a marqué un tournant dans l’histoire culturelle de Rimouski et a permis à l’institution de se moderniser et de retrouver un second souffle.

Dr Georges Lévesque

Pionnier de la médecine en oncologie dans l’Est-du-Québec, le Dr Lévesque est à l’origine de la Fondation de l’Association du cancer de l’Est, de l’Hôtellerie Omer-Brazeau et de nombreux services essentiels pour les patients.

Dr Georges Lévesque (Photo courtoisie)

Maïté Blanchette Vézina soutient que son engagement dans la recherche et la formation a transformé durablement l’offre de soins et de savoir en région. Dr Lévesque a aussi contribué à l’émergence d’un écosystème d’économie bleue en favorisant la recherche en biotechnologies marines et l’innovation liée à la santé et à l’environnement. 

Thérèse Sirois

Madame Sirois est reconnue à travers l’Est-du-Québec pour son engagement envers les personnes handicapées. À titre de directrice générale de La Ressource d’aide aux personnes handicapées du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine, elle a contribué à l’intégration sociale de milliers de personnes vivant avec un handicap. Elle est, entre autres, derrière le succès du Téléradiothon de La Ressource.

Alain Rioux

Le bénévole Alain Rioux est engagé depuis plus de 60 ans dans de multiples causes, qui touchent les milieux scolaire, communautaire et municipal. Cofondateur d’Accueil-Maternité et directeur général de l’organisme pendant 15 ans, il a accompagné des générations de jeunes mamans et de familles. Pour la députée, son engagement incarne le dévouement et la solidarité.

La Médaille de la Députée de l’Assemblée nationale vise à reconnaître le mérite de personnes ou d’organismes qui ont mené une action exemplaire utile pour le bien de la communauté de chacune des circonscriptions dans les domaines culturel, sportif, social ou entrepreneurial.

  • ✇InfoBref ACTUALITES | L’essentiel de l’actualité politique et générale
  • Un militaire canadien a disparu en Lettonie
    Un membre de l’armée canadienne déployé en Europe au sein d’un bataillon multinational de l’Otan est porté disparu depuis mardi. Dans un communiqué, le ministère fédéral de la défense indique qu’une enquête et des recherches sont en cours.  Le militaire porté disparu est un adjudant, technicien de véhicules basé à Edmonton, en Alberta. Il a été déployé en Lettonie dans le cadre de l’opération Reassurance.  Cette mission vise à dissuader l’agression russe et, au besoin, à défen
     

Un militaire canadien a disparu en Lettonie

4 septembre 2025 à 21:09

Un membre de l’armée canadienne déployé en Europe au sein d’un bataillon multinational de l’Otan est porté disparu depuis mardi.

Dans un communiqué, le ministère fédéral de la défense indique qu’une enquête et des recherches sont en cours. 

Le militaire porté disparu est un adjudant, technicien de véhicules basé à Edmonton, en Alberta.

Il a été déployé en Lettonie dans le cadre de l’opération Reassurance. 

  • Cette mission vise à dissuader l’agression russe et, au besoin, à défendre le territoire de l’Otan.

[L'article Un militaire canadien a disparu en Lettonie a d'abord été publié dans InfoBref.]

La ville de Québec accueillera les Mondiaux de hockey féminin et de hockey junior

4 septembre 2025 à 21:08

Le Championnat mondial de hockey féminin se déroulera exclusivement à Québec du 14 au 30 mai 2027.

  • C’est la première fois que le Mondial féminin aura lieu à Québec.

Le Championnat mondial de hockey junior masculin sera organisé à Québec et à Trois-Rivières, en décembre 2028 et janvier 2029.

  • La ville de Québec n’a pas accueilli de matchs du Mondial junior depuis 1978. 

Autre événement sportif prévu à Québec: les Jeux du Canada en 2027.

[L'article La ville de Québec accueillera les Mondiaux de hockey féminin et de hockey junior a d'abord été publié dans InfoBref.]

  • ✇Journal Le Soir
  • Nouveau quartier à Mont-Joli : des mandats accordés
    La Ville de Mont-Joli avance dans ses démarches vers la mise en place d’un nouveau quartier résidentiel au nord de l’avenue Joliette, sur un terrain acquis par la Ville au cours des dernières années. Le conseil municipal a octroyé deux mandats de services professionnels, mardi soir, pour procéder à l’analyse du milieu naturel du terrain, une étape préalable à la confection des plans et devis. « Nous avons octroyé des mandats de services professionnels en aménagement et en études environnem
     

Nouveau quartier à Mont-Joli : des mandats accordés

La Ville de Mont-Joli avance dans ses démarches vers la mise en place d’un nouveau quartier résidentiel au nord de l’avenue Joliette, sur un terrain acquis par la Ville au cours des dernières années.

Le conseil municipal a octroyé deux mandats de services professionnels, mardi soir, pour procéder à l’analyse du milieu naturel du terrain, une étape préalable à la confection des plans et devis.

« Nous avons octroyé des mandats de services professionnels en aménagement et en études environnementales. Cela fait partie des démarches préliminaires pour faire avancer le dossier de ce nouveau développement domiciliaire dans lequel on prévoit 34 unités de logement, au bout de l’avenue Joliette. On accélère le processus parce qu’il ne reste que six terrains à vendre dans le développement Beaupré », affirme le maire de Mont-Joli, Martin Soucy.

Des autorisations à obtenir

Avant de pouvoir mettre des terrains en vente et permettre des constructions, la Ville de Mont-Joli doit obtenir les autorisations nécessaires de divers ministères, notamment celui de l’Environnement, de la Faune et des Parcs, puisque le projet implique un prolongement des réseaux d’aqueduc et égouts.

« Il va falloir démontrer au ministère que nous avons la capacité de fournir l’eau et de gérer les eaux usées. Nous savons que nous sommes en mesure de le faire avec nos infrastructures, mais il va falloir le démontrer », affirme monsieur Soucy.

La Ville a décidé d’y aller avec des constructions unifamiliales, bigénérationnelles ou des jumelées dans ce secteur.

« Il n’y aura pas d’immeubles à logements à cet endroit. Ce choix s’explique par la vocation de ce secteur », précisait le maire, dans une précédente entrevue à Le Soir.ca.

De la demande pour des terrains

Lorsque Martin Soucy a été élu à la mairie en 2017, la Ville de Mont-Joli ne détenait aucun terrain.

« Nous n’avions pas de terrain à vendre. Nous avons travaillé pendant trois ans pour démarrer et mettre en place le développement Beaupré comptant 34 terrains. Comme il ne reste que six terrains de disponibles, nous avons décidé de commencer à préparer un autre projet ».

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo courtoisie Ville de Mont-Joli)

Le maire indique que la Ville a des surplus accumulés spécialement pour le développement domiciliaire.

« Nous sommes à l’étape d’embaucher des professionnels pour faire la caractérisation des sols. Il y a notamment un milieu humide qu’il va falloir démarquer. Ensuite, ce sera la confection des plans et devis pour pouvoir aller en appels d’offres. Ça fait un certain temps que le projet était dans nos cartons. On prévoyait débuter lorsque nous aurions plus de la moitié des terrains vendus dans le développement Beaupré », explique Martin Soucy.

  • ✇Journal Le Soir
  • Nouveau souffle pour l’éolien dans l’Est-du-Québec
    Aux premières loges de la transition énergétique dans la province, l’Institut de recherche gaspésien Nergica salue le partenariat éolien annoncé par le premier ministre François Legault. Le directeur général Frédéric Côté souligne que cette décision concrétise de nombreuses années de démarches et de représentations. « C’est une excellente nouvelle pour la région. Cela fait écho aux représentations que nous faisons depuis plusieurs années pour que la région puisse accueillir davantage de p
     

Nouveau souffle pour l’éolien dans l’Est-du-Québec

4 septembre 2025 à 10:00

Aux premières loges de la transition énergétique dans la province, l’Institut de recherche gaspésien Nergica salue le partenariat éolien annoncé par le premier ministre François Legault.

Le directeur général Frédéric Côté souligne que cette décision concrétise de nombreuses années de démarches et de représentations.

« C’est une excellente nouvelle pour la région. Cela fait écho aux représentations que nous faisons depuis plusieurs années pour que la région puisse accueillir davantage de projets éoliens. Les investissements annoncés sont majeurs et structurants : ils amèneront ici des infrastructures stratégiques qui vont positionner la région de manière positive pour le futur. »

Présent lors de l’annonce, monsieur Frédéric Côté souligne que cette décision concrétise de nombreuses années de démarches et de représentations.

Frédéric Côté, le directeur général de Nergica. (Photo Le Soir.ca – Jean-Philippe Thibault)

La Gaspésie bien positionnée

Bien qu’aucun projet en particulier n’ait été annoncé, le potentiel de développement éolien serait de l’ordre de 6000 MW dans l’Est-du-Québec, pour des investissements représentant quelque 18 milliards de dollars. Le nombre de 20 milliards a été avancé en incluant les lignes de transport.

Chez les manufacturiers comme LM Wind Power à Gaspé et Marmen Énergie à Matane, aucune exigence de contenu local n’est dans la mire pour le moment, bien que François Legault dise vouloir encourager autant que possible les retombées économiques locales et régionales.

Ce partenariat entre la Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation, l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec devrait tout de même générer d’importantes retombées pour la région, estime Nergica.

Le centre de recherche appliquée en matière d’énergies renouvelables note que la formation de main-d’œuvre spécialisée au Cégep de la Gaspésie et des Îles sera notamment un atout. Il y a 14 jours à peine, l’institution a présenté son nouveau concept de laboratoire nomade qui permet de former des élèves en maintenance d’éoliennes à peu près n’importe où au Québec, là où les besoins se font sentir.

Exploiter pleinement le potentiel

À l’image des propos prononcés par la présidente-directrice générale d’Hydro-Québec, Claudine Bouchard, Nergica soutient lui aussi que la Gaspésie est le berceau de l’éolien au Québec et qu’elle a réussi à démontrer, depuis plus de 25 ans « son potentiel exceptionnel et son expertise unique. »

Le 6000 MW dans l’Est-du-Québec combiné à la volonté de doubler la production d’énergie solaire d’ici 2050 est une balle qui devra être saisie au bond, note Nergica. La concertation et les compétences développées au fil du temps devront, toujours selon l’organisation, servir à créer un véritable vecteur de développement économique, social et environnemental pour les décennies à venir. François Legault a indiqué mercredi à Gaspé que « le prochain siècle sera celui de l’énergie ».

Gonflés à bloc

Frédéric Côté rappelle pour sa part que non seulement la Gaspésie est une valeur sûre pour le déploiement des énergies renouvelables, mais que la région, ses acteurs et ses communautés sont gonflés à bloc pour relever ce défi.

« Les projets d’énergie renouvelable réussissent lorsqu’ils sont ancrés dans le partenariat avec les communautés locales et portés par une vision de développement durable à long terme. Aujourd’hui, cette annonce met la table pour exploiter pleinement le potentiel éolien de notre territoire. La Gaspésie est prête, l’industrie est prête, et les gens sont prêts à passer à l’action », conclut le directeur général.

  • ✇Journal Le Soir
  • L’acceptabilité au cœur des retombées éoliennes
    La Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation (MMBC), l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec amorcent une démarche conjointe pour évaluer l’acceptabilité sociale et environnementale au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie. L’Alliance de l’énergie de l’Est avait déjà préparé le terrain en juillet en partageant les résultats d’un sondage. Celui-ci montrait que 87 % des personnes interrogées dans ces deux secteurs appuyaient l’installation d’éoliennes dans leur région. La proportion diminu
     

L’acceptabilité au cœur des retombées éoliennes

4 septembre 2025 à 07:00

La Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation (MMBC), l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec amorcent une démarche conjointe pour évaluer l’acceptabilité sociale et environnementale au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie.

L’Alliance de l’énergie de l’Est avait déjà préparé le terrain en juillet en partageant les résultats d’un sondage.

Celui-ci montrait que 87 % des personnes interrogées dans ces deux secteurs appuyaient l’installation d’éoliennes dans leur région. La proportion diminuait à 67 % pour des éoliennes directement dans leur municipalité.

L’acceptabilité sociale est une condition sine qua non au développement éolien selon plusieurs intervenants, dont la ministre de l’Énergie, Christine Fréchette, présente à Gaspé pour l’annonce.

(Photo Pixabay)

« Il faut saluer à quel point le défi de l’acceptabilité sociale a été relevé avec brio. J’espère que ce modèle va se démultiplier. C’est créatif et innovant. »

« C’est un modèle que je voudrais voir dans toutes les régions du Québec », renchérit François Legault.

L’importance d’acheter localement

Le président de l’Alliance, Michel Lagacé, espère pouvoir tirer parti de 10 % en retombées économiques locales sur les investissements potentiels de 18 milliards, donc 1,8 milliard.

Il s’agit d’un minimum, selon François Legault. Le premier ministre n’a cependant pas voulu se mouiller avec un décret officiel pour une exigence de contenu local. 

« Si ça existe [le produit], ça devrait être acheté ici. Charité bien ordonnée commence par soi-même. »

Une première Journée de l’album québécois aura lieu le 12 septembre

3 septembre 2025 à 20:56

Cette initiative vise à valoriser et faire découvrir des albums musicaux créés au Québec.

Elle sera célébrée chaque année le deuxième vendredi de septembre. 

Des prestations d’artistes auront lieu vendredi de la semaine prochaine tout au long de la journée dans des lieux associés à la découverte d’albums tels que des disquaires, bibliothèques et cafés. 

  • Des événements sont notamment prévus à Montréal, Longueuil, Saguenay, Québec et Rimouski. 

[L'article Une première Journée de l’album québécois aura lieu le 12 septembre a d'abord été publié dans InfoBref.]

❌