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  • Formule Kia inaugure sa concession de 6 M$ à Rimouski
    Équipe Formule a officiellement inauguré sa nouvelle concession Formule Kia, un projet de 6 M$ construit sur le boulevard Sainte-Anne à Rimouski. Près d’une centaine d’invités, dignitaires et partenaires ont pris part à l’événement mercredi soir, en compagnie du propriétaire, Jean-Michel Simard, pour souligner le travail d’une trentaine d’artisans et de fournisseurs de la région. Érigé par Technipro BSL, l’établissement de 15 800 pieds carrés marque un tournant pour l’entreprise qui soulig
     

Formule Kia inaugure sa concession de 6 M$ à Rimouski

18 septembre 2025 à 19:00

Équipe Formule a officiellement inauguré sa nouvelle concession Formule Kia, un projet de 6 M$ construit sur le boulevard Sainte-Anne à Rimouski.

Près d’une centaine d’invités, dignitaires et partenaires ont pris part à l’événement mercredi soir, en compagnie du propriétaire, Jean-Michel Simard, pour souligner le travail d’une trentaine d’artisans et de fournisseurs de la région.

Érigé par Technipro BSL, l’établissement de 15 800 pieds carrés marque un tournant pour l’entreprise qui souligne cette année son 25e anniversaire. Il s’agit de la deuxième concession Kia au Québec à être une construction neuve complète.

Conforme au nouveau programme d’image de la marque, le bâtiment mise sur un design contemporain. Il comprend une salle de montre élégante, un atelier mécanique moderne, un espace d’accueil pour la clientèle ainsi qu’un lave-auto automatique réservé aux clients et employés.

Une centaine d’invités ont participé à l’ouverture officielle de la nouvelle concession de Formule Kia. (Folio Photo- Iften Redjah)

« L’effervescence autour de la marque Kia se fait sentir à Rimouski. Les ventes sont en croissance et plusieurs anciens clients sont maintenant de retour dans nos nouvelles installations. Cette nouvelle concession confirme la volonté de notre famille de continuer à mettre de l’avant cette marque en pleine croissance », a déclaré monsieur Simard.

Nouvelle vocation pour l’ancien site

L’ancienne concession abritera désormais Formule Occasion, spécialisée dans la vente de véhicules d’occasion de toutes marques.

Le motoriste bien connu Carl Richard y installera aussi son atelier d’entretien et de réparation de véhicules européens de luxe, notamment BMW, Mini, Audi et Porsche. Actif depuis 1998, il est entouré de trois mécaniciens expérimentés.

Les invités ont procédé à une visite guidée des lieux. (Folio Photo- Iften Redjah)

« C’est le meilleur des deux mondes, autant pour monsieur Richard, qui recherchait un lieu clé-en-main, que pour nous, qui souhaitions maximiser l’usage du bâtiment existant », a souligné Jean-Michel Simard.

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  • Ma Cabane en Gaspésie est vendue
    L’entreprise Ma Cabane en Gaspésie, dont le siège social est à Mont-Joli, vient d’être vendue à un acheteur qui demeure anonyme pour l’instant, mais qui oeuvre déjà dans le domaine de la transformation alimentaire. Le fondateur Gino Ouellet confirme que la transaction est conclue même si elle sera officialisée par un notaire seulement dans quelques semaines. La vente touche les installations du commerce situé dans le Carrefour giratoire de Mont-Joli, mais pas les érablières de la famille
     

Ma Cabane en Gaspésie est vendue

17 septembre 2025 à 17:00

L’entreprise Ma Cabane en Gaspésie, dont le siège social est à Mont-Joli, vient d’être vendue à un acheteur qui demeure anonyme pour l’instant, mais qui oeuvre déjà dans le domaine de la transformation alimentaire.

Le fondateur Gino Ouellet confirme que la transaction est conclue même si elle sera officialisée par un notaire seulement dans quelques semaines.

La vente touche les installations du commerce situé dans le Carrefour giratoire de Mont-Joli, mais pas les érablières de la famille Ouellet, ni le bâtiment qui a été vendu à un promoteur immobilier de Rimouski.

La transaction comprend également l’important réseau de distribution comptant plus de 200 points de vente, dont des supermarchés IGA et Maxi.

L’importance de s’assurer d’une continuité

« Des problèmes de santé m’ont incité à penser à la retraite, il y a un an et demi. J’avais prévenu les employés que je pensais à vendre. C’est maintenant officiel. Le nouveau propriétaire va rencontrer les employés mardi prochain. C’était important pour moi de trouver quelqu’un de crédible qui sera en mesure de poursuivre les opérations et d’assurer une continuité. Nous avons été approchés par plusieurs entreprises, mais nous avons pris le temps d’en choisir une en qui nous avons confiance », explique Gino Ouellet, qui entend maintenant se concentrer sur la production acéricole avec ses 80 000 entailles.

Des produits de l’entreprise acéricole Ma Cabane en Gaspésie. (Photo Facebook)

Monsieur Ouellet signale que l’acquéreur va rencontrer l’équipe mardi prochain et que son identité sera dévoilée par la suite. « C’est quelqu’un qui œuvre déjà dans le domaine de la pâtisserie. Les opérations vont continuer de la même manière avec les mêmes produits ».

Entreprise fondée en 2010

L’homme d’affaires Gino Ouellet a fondé l’entreprise Ma Cabane en Gaspésie en 2010. L’entreprise a développé un vaste éventail de produits de l’érable. Elle a pignon sur rue dans le carrefour giratoire de Mont-Joli depuis 2014.

La Réserve fédérale délibère dans un climat politique tendu

16 septembre 2025 à 20:25

Les gouverneurs de la Fed sont réunis depuis hier pour décider de l’évolution des taux directeurs.  

  • Une annonce est attendue pour cet après-midi.

Le Sénat américain a confirmé lundi la nomination au poste de gouverneur de Stephen Miran, un ancien conseiller économique de Donald Trump. 

  • Cette décision est contestée par les démocrates.

En parallèle, le gouvernement américain tente de congédier une gouverneure nommée par Joe Biden, Lisa Cook, en l’accusant d’avoir menti sur des prêts immobiliers.

  • Mais une cour d’appel vient de trancher qu’elle pouvait conserver ses fonctions.

[L'article La Réserve fédérale délibère dans un climat politique tendu a d'abord été publié dans InfoBref.]

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  • Le Groupe Expérience Resto se départit du 9 resto déjeuner
    Le Groupe Expérience Resto se départit de ses parts dans le 9 resto déjeuner de Rimouski. L’établissement situé dans le Quartier D’Astous devient la propriété exclusive de Steven Guimond-Corriveau et Jessica Duguay Lalande. Déjà actionnaire et gestionnaire, monsieur Guimond-Corriveau a acquis les parts du Groupe Expérience Resto et en a cédé une partie à son associée. Le duo dirige déjà Le Portage resto déjeuner de Matane depuis le printemps dernier. Cette transition marque une nouvelle
     

Le Groupe Expérience Resto se départit du 9 resto déjeuner

10 septembre 2025 à 07:30

Le Groupe Expérience Resto se départit de ses parts dans le 9 resto déjeuner de Rimouski. L’établissement situé dans le Quartier D’Astous devient la propriété exclusive de Steven Guimond-Corriveau et Jessica Duguay Lalande.

Déjà actionnaire et gestionnaire, monsieur Guimond-Corriveau a acquis les parts du Groupe Expérience Resto et en a cédé une partie à son associée.

Le duo dirige déjà Le Portage resto déjeuner de Matane depuis le printemps dernier.

Cette transition marque une nouvelle étape dans la carrière de Jessica Duguay Lalande. Entrée au 9 Resto comme serveuse à temps partiel, elle a gravi les échelons pour devenir gérante, puis copropriétaire.

Sur sa page Facebook, le 9 resto déjeuner indique qu’il acceptera les cartes-cadeaux et de fidélité du Groupe Expérience Resto jusqu’au 2 novembre. Par la suite, l’établissement offrira ses propres cartes-cadeaux et dollars fidélité Freebees, valides également au Portage resto déjeuner.

Le 9 resto propose un menu de déjeuners et de dîners comprenant des classiques ainsi que des plats revisités.

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  • L’Est-du-Québec s’enfonce davantage
    Les petites localités éloignées des centres urbains poursuivent leur lent déclin. L’indice de vitalité économique des municipalités québécoises montre encore une fois que les régions de l’Est-du-Québec peinent à rivaliser avec les grands centres.  La population des plus petites localités est vieillissante, les revenus sont faibles et l’emploi rare. Le préfet de la MRC de La Côte-de-Gaspé et maire de Gaspé, Daniel Côté, pointe du doigt la centralisation et réclame davantage de pouvoirs pour le
     

L’Est-du-Québec s’enfonce davantage

2 septembre 2025 à 17:00

Les petites localités éloignées des centres urbains poursuivent leur lent déclin. L’indice de vitalité économique des municipalités québécoises montre encore une fois que les régions de l’Est-du-Québec peinent à rivaliser avec les grands centres. 

La population des plus petites localités est vieillissante, les revenus sont faibles et l’emploi rare. Le préfet de la MRC de La Côte-de-Gaspé et maire de Gaspé, Daniel Côté, pointe du doigt la centralisation et réclame davantage de pouvoirs pour les régions afin de renverser la tendance.

L’indice de vitalité des territoires est compilé par l’Institut de la statistique du Québec. Le plus récent rapport montre que, sur les 229 municipalités affichant l’indice le plus faible, une centaine se trouvent dans l’Est-du-Québec, soit 48 au Bas-Saint-Laurent, 31 en Gaspésie et 20 sur la Côte-Nord.

Les deux tiers des localités gaspésiennes, la moitié de celles de la Côte-Nord et 40 % de celles du Bas-Saint-Laurent figurent parmi les plus dévitalisées au Québec. La municipalité qui affiche l’indice le plus faible de toute la province est La Martre, en Haute-Gaspésie.

« Ce sont des milieux vieillissants. Les jeunes partent en raison de la décomposition des services. Surtout, les personnes les plus susceptibles de bouger sont celles qui en ont les moyens. Ceux qui restent, ce sont les plus défavorisés », constate le directeur scientifique de l’Observatoire des trajectoires territoriales et régionales de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Nicolas Devaux.

Villages frappés de plein fouet

Plusieurs enjeux échappent au contrôle des petites communautés, dont les changements climatiques qui affectent les pêches, le déclin de l’industrie forestière ou encore les bouleversements économiques mondiaux. Ces facteurs frappent de plein fouet les villages.

Le directeur scientifique de l’Observatoire des trajectoires territoriales et régionales de l’Université du Québec à Rimouski, Nicolas Devaux. (Photo courtoisie UQAR)

« Les petites localités ont un pouvoir assez limité. À l’échelle d’une MRC, il y a peut-être des choses à faire de façon coordonnée, mais un village isolé aura du mal. Il n’y a pas de solution universelle », soutient monsieur Devaux. 

Décentralisation : promesse constamment reportée

« C’est plus facile de faire monter une morue à Québec que de faire descendre un fonctionnaire à Gaspé. » Par cette boutade, l’ancien premier ministre René Lévesque illustrait déjà la difficulté de décentraliser les pouvoirs vers les régions. 

« Tant qu’on accordera plus de poids à l’opinion de fonctionnaires à Québec qu’à celle des élus régionaux, on se retrouvera avec les mêmes résultats », croit le maire de Gaspé, Daniel Côté.

En 1978, René Lévesque voulait installer la direction des pêches à Gaspé, mais il n’a jamais pu concrétiser son projet. Cinquante ans plus tard, elle est toujours à Québec.

« Il y a une forte tendance centralisatrice. On nous impose des décisions et des programmes mur à mur, loin de nos réalités. C’est là le cœur du problème », déplore monsieur Côté.

Besoins réels des régions

Comme plusieurs autres élus, il réclame plus de latitude pour investir en fonction des priorités et des besoins réels des régions. « Je pense qu’on investirait beaucoup mieux l’argent public si on décentralisait les pouvoirs. »

Aussi préfet de la MRC de la Côte-de-Gaspé, Daniel Côté ouvre aussi la réflexion sur les regroupements municipaux et le partage de services pour créer un plus grand levier économique. « Plus la localité est petite, plus elle se dévitalise. Devrait-on regrouper davantage nos forces ? »

Selon lui, de plus en plus de villages n’ont plus les moyens ni les ressources humaines nécessaires pour stimuler leur développement. 

« On perd beaucoup d’argent si on veut se regrouper, alors qu’on pourrait gagner une véritable force de frappe », déplore monsieur Côté. 

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  • Chez Gérard Patates Frites lorgne Rimouski
    Présentement en pleine expansion, le casse-croûte Chez Gérard Patates Frites, une franchise présente principalement dans la région des Laurentides, souhaite prendre de l’expansion partout au Québec, dont à Rimouski. « Nos restaurants offrent une expérience unique et de bon goût. Nous visons une présence partout à travers la province de Québec », lance la propriétaire du restaurant de Brownsburg-Chatham, Sabrina Racette, qui verrait d’un bon œil recevoir une offre d’un franchisé de Rimouski, s
     

Chez Gérard Patates Frites lorgne Rimouski

Présentement en pleine expansion, le casse-croûte Chez Gérard Patates Frites, une franchise présente principalement dans la région des Laurentides, souhaite prendre de l’expansion partout au Québec, dont à Rimouski.

« Nos restaurants offrent une expérience unique et de bon goût. Nous visons une présence partout à travers la province de Québec », lance la propriétaire du restaurant de Brownsburg-Chatham, Sabrina Racette, qui verrait d’un bon œil recevoir une offre d’un franchisé de Rimouski, selon un échange de courriels avec Le Soir.ca.

Fondée en 1958

C’est en 1958 que l’entreprise Chez Gérard Patates Frites a vu le jour.

Débutant comme un petit stand à patates basé à Saint-Joseph-du-Lac où famille et amis se rassemblaient autour d’une bonne bouffe, il devient rapidement la référence dans son domaine en se distinguant par ses frites fraîches préparées quotidiennement, mais aussi par son service convivial.

« Vous aimeriez démarrer votre entreprise dans le domaine de l’alimentation et vous associer à une organisation qui a fait ses preuves? Nous avons des franchises disponibles. Nous vous offrons l’opportunité de vous épanouir dans un environnement dynamique et convivial. Vous êtes prêts à démarrer une franchise? Nous serons ravis de discuter avec vous de tous les détails entourant l’ouverture d’un restaurant Chez Gérard », mentionne l’entreprise sur son site Internet.

Menu

Chez Gérard Patates Frites est actuellement présent à Brownsburg-Chatham, Mirabel. Mont-Laurier, Saint-Eustache et Saint-Joseph-du-Lac.

L’entreprise offre un menu de type casse-croûte, soit des hot-dogs, hamburgers, frites, poutines, sous-marins et club sandwichs.

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  • Plus de 930 000 $ pour le développement bioalimentaire
    Le Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent (CRD) annonce, au nom des partenaires de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire, les résultats des deux premiers appels à projets du volet 3 du Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, 2024–2026. Ce volet vise notamment à soutenir des initiatives répondant aux priorités régionales identifiées dans le Plan régional de développement bioalimentaire promu par la Table de concertation bioalimen
     

Plus de 930 000 $ pour le développement bioalimentaire

2 septembre 2025 à 15:00

Le Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent (CRD) annonce, au nom des partenaires de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire, les résultats des deux premiers appels à projets du volet 3 du Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, 2024–2026.

Ce volet vise notamment à soutenir des initiatives répondant aux priorités régionales identifiées dans le Plan régional de développement bioalimentaire promu par la Table de concertation bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent.

Près de 3 M$ investis

Au total, 28 projets, représentant 4 562 000 $, ont été déposés lors des deux périodes d’appel.

Parmi ceux-ci, 19 (7 d’entreprises privées et 12 à portée collective) se sont qualifiés pour obtenir un financement, pour un montant total distribué par le Fonds de 935 204 $. En tenant compte de la contribution du milieu, le montant global des projets soutenus représente un investissement de près de 3 000 000 $ dans la région.

Des projets d’études, d’achats ou de mutualisation d’équipements ainsi que de mise en marché de proximité ont notamment été soutenus.

Parmi ceux-ci se trouvent :

  • L’implantation d’un atelier collectif de conditionnement bioalimentaire adapté au secteur mycologique et des produits forestiers non ligneux bas-laurentiens
  • La poursuite du développement de la filière du lin dans l’Est du Bas-Saint-Laurent
  • Le soutien à la croissance de la filière biologique
  • Le projet reconquête ovine de l’Est-du-Québec qui vise à stimuler la compétitivité des entreprises impliquées
  • Le démarrage de l’entreprise de fabrication de charcuteries artisanales Florent charcuterie
  • L’optimisation du conditionnement de grains biologiques par la Ferme Geonel.

« Les projets retenus témoignent de la vitalité des entreprises et des collectifs agricoles bas-laurentiens. La région a à cœur de se mobiliser pour l’agriculture. Grâce à l’implication des MRC, du gouvernement et de nos partenaires, le Fonds de soutien au développement bioalimentaire appuie des projets porteurs, en cohérence avec les besoins du territoire, afin de bâtir un secteur bioalimentaire et une région plus autonome », estime la présidente du Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent, également préfète de la MRC de La Matapédia, Chantale Lavoie.

La préfète de la MRC de La Matapédia, Chantale Lavoie. (Photo courtoisie)

L’Entente sectorielle de développement bioalimentaire

Le Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent 2024-2026 s’inscrit dans le cadre de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire 2024-2026.

Cette entente est initiée et financée par le gouvernement du Québec, Santé Québec – Établissement CISSS du Bas-Saint-Laurent, les huit MRC, le CRD, la Fédération de l’UPA, la Table de concertation bioalimentaire et les Saveurs du Bas-Saint-Laurent.

Deux appels de projets sont en cours dans le cadre de ce Fonds. Le premier soutient des projets répondant aux priorités régionales de développement du secteur bioalimentaire ; il est ouvert jusqu’au 26 septembre. Le second, dédié à l’innovation et aux nouvelles technologies dans ce secteur, est quant à lui ouvert jusqu’au 31 octobre 2025.

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  • Laisser les vaches derrière… et une partie de sa vie
    Quiconque connaît le fromage québécois connaît la ferme Au Gré des champs. L’entreprise de Saint-Jean-sur-Richelieu compte une ferme laitière et une fromagerie ; elle a gagné le respect autant du milieu de la gastronomie que de celui de l’agriculture. — Permalien
     

Laisser les vaches derrière… et une partie de sa vie

1 septembre 2025 à 10:40
Quiconque connaît le fromage québécois connaît la ferme Au Gré des champs. L’entreprise de Saint-Jean-sur-Richelieu compte une ferme laitière et une fromagerie ; elle a gagné le respect autant du milieu de la gastronomie que de celui de l’agriculture.
Permalien
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  • Faillite confirmée pour le Marché familial de Saint-Anaclet
    Le Marché familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet-de-Lessard est officiellement en faillite depuis le mercredi 27 août, qui est aussi la date de sa fermeture officielle. L’information a finalement été confirmée par le syndic Raymond Chabot. « Cette faillite occasionne la fin des activités de l’entreprise. Le syndic a eu l’obligation de sécuriser les accès, de faire changer les serrures et de prendre possession de l’inventaire du Marché pour sécuriser ses actifs », explique Guyllaume Amiot du synd
     

Faillite confirmée pour le Marché familial de Saint-Anaclet

28 août 2025 à 10:03

Le Marché familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet-de-Lessard est officiellement en faillite depuis le mercredi 27 août, qui est aussi la date de sa fermeture officielle. L’information a finalement été confirmée par le syndic Raymond Chabot.

« Cette faillite occasionne la fin des activités de l’entreprise. Le syndic a eu l’obligation de sécuriser les accès, de faire changer les serrures et de prendre possession de l’inventaire du Marché pour sécuriser ses actifs », explique Guyllaume Amiot du syndic.

La dette totale s’élève à environ 470 000 $, dont près de 50 000 $ envers Sobeys et d’autres fournisseurs. Les principaux créanciers sont la BDC, la SADC de la Neigette et la MRC Rimouski-Neigette. Une assemblée des créanciers est prévue le 18 septembre.

Monsieur Amiot précise que cette faillite est due à un revenu insuffisant pour assurer l’avenir du commerce.

« On pourrait être tenté d’y voir un lien rapide avec la venue du Costco à Rimouski, mais ce n’est pas le cas. Cela fait plusieurs mois que les revenus sont moins importants. On peut toutefois supposer que l’arrivée du Costco ne permettait pas d’envisager des revenus supérieurs dans le futur. »

Trop tôt pour parler d’une relance

Questionné sur la possibilité d’une relance, monsieur Amiot mentionne qu’il est encore trop tôt pour aborder cette question.

« Par contre, tous les partenaires, les créanciers principaux et la MRC ont été contactés pour discuter de la situation. »

Le Marché Familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet, mercredi matin. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Il ajoute que la prochaine étape consiste en la mise en vente des actifs, au terme d’une demande de soumission publique.

« Toutes les offres vont être analysées dans le cadre du processus. Justement, la MRC, la SADC et la Banque de développement du Canada sont des créanciers principaux, qui auront un certain mot à dire sur les ventes potentielles qui pourraient avoir lieu sur ces actifs. »

Mercredi matin, le maire de Saint-Anaclet-de-Lessard, Francis St-Pierre, indiquait que la municipalité n’était pas au courant de problématiques vécues par le Marché.

« Je ne connais pas les fins détails ou les chiffres, mais l’un des anciens propriétaires était mon ami et je connais bien le fondateur de l’entreprise. Ce commerce a toujours bien fonctionné à Saint-Anaclet, alors c’est certain que nous allons travailler fort pour trouver un repreneur, mais nous n’avons pas eu de contact avec la propriétaire, comme quoi le commerce vivrait des problématiques. On est vraiment dans le néant », mentionnait alors monsieur St-Pierre.

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  • Saint-Anaclet dans le néant : le Marché familial est-il fermé ?
    Le Marché familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet-de-Lessard serait sur le point de fermer ses portes, si on en croit les informations qui circulent à ce sujet. Sa propriétaire, Marie-Pierre Giasson, refuse de commenter le dossier, référant Le Soir.ca au syndic Raymond Chabot. Le maire de Saint-Anaclet et préfet de Rimouski-Neigette, Francis St-Pierre, indique avoir été mis au courant de la situation. Il précise toutefois ne pas avoir discuté de la situation avec madame Giasson, bien que le doss
     

Saint-Anaclet dans le néant : le Marché familial est-il fermé ?

27 août 2025 à 16:00

Le Marché familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet-de-Lessard serait sur le point de fermer ses portes, si on en croit les informations qui circulent à ce sujet. Sa propriétaire, Marie-Pierre Giasson, refuse de commenter le dossier, référant Le Soir.ca au syndic Raymond Chabot.

Le maire de Saint-Anaclet et préfet de Rimouski-Neigette, Francis St-Pierre, indique avoir été mis au courant de la situation. Il précise toutefois ne pas avoir discuté de la situation avec madame Giasson, bien que le dossier fasse partie du portefeuille d’investissements de la MRC.

« Si le marché ferme, nous devrons travailler fort pour trouver un repreneur. C’est un commerce dont nous avons besoin, parce que nous n’en avons pas douze dans le genre à Saint-Anaclet. Même si nous avons une population de 3 000 habitants, nous n’avons pas plusieurs commerces de proximité, alors nous devons pouvoir conserver ceux que nous avons », indique monsieur St-Pierre.

Lors de la visite du Soir.ca sur place, mercredi matin, la porte d’entrée du commerce était verrouillée. Il n’y avait pas d’indications comme quoi le Marché familial serait fermé de façon définitive. Sa page Facebook a aussi été fermée.

Rien dans la porte du Marché Familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet n’évoquait sa fermeture, mercredi matin. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

« Je ne connais pas les fins détails ou les chiffres, mais l’un des anciens propriétaires était mon ami et je connais bien le fondateur de l’entreprise. Ce commerce a toujours bien fonctionné à Saint-Anaclet, alors c’est certain que nous allons travailler fort pour trouver un repreneur, mais nous n’avons pas eu de contact avec la propriétaire, comme quoi le commerce vivrait des problématiques. On est vraiment dans le néant », précise Francis St-Pierre.

Coopérative

Le coordonnateur d’Action Populaire Rimouski-Neigette, Michel Dubé, en a aussi fait mention dans une publication Facebook. Contacté à ce sujet, monsieur Dubé rapporte qu’il fréquentait régulièrement l’épicerie de la route principale Est et que c’est ainsi qu’il a obtenu l’information.

Il ajoute que cela fait maintenant un mois que la fermeture est annoncée et lance l’idée d’y instaurer une coopérative alimentaire, dans laquelle il serait prêt à s’impliquer.

MISE À JOUR : Le Marché familial de Saint-Anaclet fait faillite.

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  • Pat BBQ : actionnariat entièrement bas-laurentien
    Pat BBQ compte désormais un actionnariat entièrement bas-laurentien, composé d’Éric Fraser, Daniel Pigeon et Patrick Couturier. Reconnue pour ses sauces et épices de haute qualité, l’entreprise a dû relever plusieurs défis de production au cours des dernières années. En octobre 2024, Pat BBQ confirmait la mise sur pause de ses activités de production. Les douze employés de l’usine de L’Isle-Verte perdaient ainsi leur emploi. Dans un communiqué, Pat BBQ soutenait que son développement a ét
     

Pat BBQ : actionnariat entièrement bas-laurentien

23 août 2025 à 12:00

Pat BBQ compte désormais un actionnariat entièrement bas-laurentien, composé d’Éric Fraser, Daniel Pigeon et Patrick Couturier. Reconnue pour ses sauces et épices de haute qualité, l’entreprise a dû relever plusieurs défis de production au cours des dernières années.

En octobre 2024, Pat BBQ confirmait la mise sur pause de ses activités de production. Les douze employés de l’usine de L’Isle-Verte perdaient ainsi leur emploi.

Dans un communiqué, Pat BBQ soutenait que son développement a été freiné par la pandémie, les taux d’intérêt élevés et l’inflation.

En février dernier, un nouveau groupe d’investisseurs annonçait la reprise de la production avec des objectifs ambitieux, soit d’accroître la production, d’étendre le rayonnement et assurer la distribution des produits de la marque à l’échelle nationale et internationale.

Des produits de Pat BBQ (Photo courtoisie)

L’usine de L’Isle-Verte profitait alors de nouveaux équipements pour maximiser le recours aux dernières technologies en matière de production, d’efficacité, de qualité et de traçabilité.

Grande percée

Dans ce contexte, Pat BBQ signale maintenant avoir franchi une étape majeure de sa relance avec l’entrée de ses produits dans certaines succursales de Costco.

« L’arrivée de Pat BBQ chez Costco représente une grande fierté pour nous. C’est une reconnaissance significative de la qualité de nos produits », souligne monsieur Couturier, fondateur de Pat BBQ.

Les produits de Pat BBQ se trouvent maintenant chez Costco. (Photo courtoisie)

Les produits se trouvent dans les magasins-entrepôts de Rimouski, Lévis, Sainte-Foy, Laval et Saguenay.

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  • Costco inquiète moins que prévu
    Près de trois semaines après l’ouverture de Costco à Rimouski, force est de constater que la menace ne s’est pas concrétisée telle qu’on le croyait pour les villes limitrophes comme Amqui ou Matane.  Après des années à annoncer son arrivée, la multinationale a finalement ouvert ses portes, le 5 août dernier, au grand plaisir de milliers de consommateurs. Plusieurs petits commerces craignaient de voir le géant débarquer dans la capitale du Bas-Saint-Laurent. La réalité semble finalement mi
     

Costco inquiète moins que prévu

23 août 2025 à 09:00

Près de trois semaines après l’ouverture de Costco à Rimouski, force est de constater que la menace ne s’est pas concrétisée telle qu’on le croyait pour les villes limitrophes comme Amqui ou Matane. 

Après des années à annoncer son arrivée, la multinationale a finalement ouvert ses portes, le 5 août dernier, au grand plaisir de milliers de consommateurs.

Plusieurs petits commerces craignaient de voir le géant débarquer dans la capitale du Bas-Saint-Laurent. La réalité semble finalement mieux que ce qu’on pensait.

« On a vu énormément de véhicules en provenance du Nouveau-Brunswick circuler sur la 132 à Amqui. Il faut trouver des façons de les inciter à arrêter ici et d’y passer du temps », indique la mairesse Sylvie Blanchette. 

Elle est d’avis qu’il existe plusieurs commerces intéressants à Amqui et aux alentours qui valent le détour. « Il faut être capable de faire la promotion de nos commerces de niche. Et une fois qu’ils se sont arrêtés, ils peuvent profiter des activités que nous offrons, de nos restaurants et même de nos hôtels. »

À Matane, le président de la Chambre de commerce, Denis Lévesque, avoue ne pas avoir eu d’échos des entreprises locales quant à une affluence moindre depuis l’ouverture de Costco à Rimouski.

Un rapide sondage sans prétention auprès de la population révèle que l’arrivée de Costco a suscité une certaine curiosité. Plusieurs personnes y ont déjà fait une visite, mais la majorité des répondants n’entendent pas délaisser les commerces locaux, notamment en raison de la distance.

Davantage de produits locaux 

Depuis son ouverture, des produits régionaux font leurs apparitions dans les allées du nouvel entrepôt, comme les sous-marins et sandwichs provenant de l’usine Pol-O-Bic ou les bières de la microbrasserie L’Octant.

Des clients à l’ouverture des portes du Costco dès 6h15. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

L’entreprise de L’Isle-Verte, Pat BBQ, a annoncé la semaine dernière l’entrée de ses produits dans les Costco de Rimouski, Lévis, Sainte-Foy, Laval et Chicoutimi.

Selon nos informations, Costco souhaiterait ardemment ajouter des fournisseurs de l’Est-du-Québec pour sa succursale de Rimouski. Or, ceux-ci doivent s’assurer d’assumer la cadence d’un roulement de ventes imposant comme selon de la multinationale.

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  • Retour de Cora à Rimouski ?
    La chaîne de restauration spécialisée dans les déjeuners, Chez Cora, n’écarte pas l’idée de revenir à Rimouski, où elle a déjà été présente dans les années 1990. L’établissement de la rue Saint-Germain Ouest est devenu plus tard Chez Œufs. « Nous restons toujours à l’affût de nouvelles opportunités de croissance partout au Québec. Notre priorité sera d’abord de trouver un entrepreneur local qui a à cœur de faire rayonner Rimouski », explique le responsable du recrutement des franchisés et coo
     

Retour de Cora à Rimouski ?

22 août 2025 à 12:15

La chaîne de restauration spécialisée dans les déjeuners, Chez Cora, n’écarte pas l’idée de revenir à Rimouski, où elle a déjà été présente dans les années 1990. L’établissement de la rue Saint-Germain Ouest est devenu plus tard Chez Œufs.

« Nous restons toujours à l’affût de nouvelles opportunités de croissance partout au Québec. Notre priorité sera d’abord de trouver un entrepreneur local qui a à cœur de faire rayonner Rimouski », explique le responsable du recrutement des franchisés et coordonnateur marketing de la bannière, John-William Le Houillier.

Le restaurant Chez Cora de L’Ancienne-Lorette, dans la région de Québec. (Photo courtoisie)

Fondée en 1987 à Montréal par Cora Tsouflidou, une Gaspésienne d’origine grecque de Caplan, la chaîne de restaurants de déjeuners est aujourd’hui la plus grande importante du genre au Canada avec plus de 125 établissements.

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  • Armoires Distinction : Jade Gagné rejoint l’actionnariat
    Les Fonds régionaux de solidarité FTQ – Bas-Saint-Laurent soutiennent financièrement l’arrivée de Jade Gagné dans l’actionnariat d’Armoires Distinction. Elle se joint à Daphnée et Harold Bélanger. Fondée en 1998 à Rimouski, l’entreprise se spécialise dans le design, la livraison et l’installation d’armoires de cuisine. Elle distribue également en exclusivité les produits de Miralis. Harold Bélanger, qui a acquis Armoires Distinction en 2017 avec son partenaire Daniel Drapeau, cumule les fo
     

Armoires Distinction : Jade Gagné rejoint l’actionnariat

20 août 2025 à 16:00

Les Fonds régionaux de solidarité FTQ – Bas-Saint-Laurent soutiennent financièrement l’arrivée de Jade Gagné dans l’actionnariat d’Armoires Distinction. Elle se joint à Daphnée et Harold Bélanger.

Fondée en 1998 à Rimouski, l’entreprise se spécialise dans le design, la livraison et l’installation d’armoires de cuisine. Elle distribue également en exclusivité les produits de Miralis.

Harold Bélanger, qui a acquis Armoires Distinction en 2017 avec son partenaire Daniel Drapeau, cumule les fonctions de président et de mentor auprès de ses filles.

Daphnée Bélanger occupera désormais le poste de directrice des opérations, tandis que Jade Gagné, entrée chez Armoires Distinction après cinq années passées chez Miralis, agit comme directrice des finances et prend part aux décisions stratégiques et financières.

« Grâce à leur travail, à notre accompagnement et au rôle important joué par Harold Bélanger dans la planification de la relève, nous permettrons à Armoires Distinction d’atteindre de nouveaux objectifs tout en conservant l’expertise régionale », souligne David Lord, vice-président des Fonds régionaux de solidarité FTQ – Bas-Saint-Laurent, dans un communiqué.

Nouvelle boutique en 2026

Parallèlement, Armoires Distinction prépare la relocalisation de sa boutique de l’avenue Léonidas à Rimouski, prévue pour 2026 à l’angle de l’avenue Léonidas et de la 2e Rue.

Elle doit offrir un environnement moderne et immersif visant à améliorer l’expérience client.

Le directeur général d’Armoires Distinction, Harold Bélanger (Photo courtoisie)

« Je suis honoré de voir Daphnée et Jade évoluer et accéder à des rôles clés dans l’entreprise, accompagnées par Catherine D’Astous à la direction des ventes. La relève est un processus qui se planifie sur le long terme et nous franchissons aujourd’hui une nouvelle étape de cette transition. Avec le soutien des Fonds régionaux, nous sommes bien positionnés pour miser sur la croissance de l’entreprise et poursuivre notre développement », affirme Harold Bélanger.

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  • Fermeture définitive de PhysioÉnergie à Squatec
    Après plus de 20 ans de présence, le groupe PhysioÉnergie a confirmé la fermeture définitive de son point de service de Squatec, inactif temporairement depuis mars dernier en raison de contraintes liées au manque de personnel. Malgré les efforts de l’entreprise pour redéployer les ressources humaines et relancer les activités au situé au 149-B rue Saint-Joseph à Squatec, les conditions nécessaires pour assurer un service de qualité n’ont malheureusement pas pu être réunies. « Afin de prése
     

Fermeture définitive de PhysioÉnergie à Squatec

Après plus de 20 ans de présence, le groupe PhysioÉnergie a confirmé la fermeture définitive de son point de service de Squatec, inactif temporairement depuis mars dernier en raison de contraintes liées au manque de personnel.

Malgré les efforts de l’entreprise pour redéployer les ressources humaines et relancer les activités au situé au 149-B rue Saint-Joseph à Squatec, les conditions nécessaires pour assurer un service de qualité n’ont malheureusement pas pu être réunies.

« Afin de préserver ses standards élevés de soins et optimiser son réseau, PhysioÉnergie a pris la décision difficile, mais responsable de mettre un terme définitif aux opérations de ce point de service », explique la propriétaire de PhysioÉnergie, Marie-Andrée Michaud.

Les patients touchés ont été accompagnés vers les autres cliniques de PhysioÉnergie à Témiscouata-sur-le -Lac, Saint-Cyprien ou Dégelis, afin d’assurer une continuité de soins sans interruption.

« La pénurie de main-d’œuvre spécialisée dans notre secteur d’activité dure depuis longtemps et malheureusement notre seule avenue afin de poursuivre des services de qualité en physiothérapie, réside dans une restructuration au niveau de l’entreprise. C’est un service hautement apprécié de la clientèle et des médecins, nous poursuivons dans nos trois autres points de service », précise madame Michaud.

PhysioÉnergie remercie ses clients, la municipalité de Squatec et les médecins pour leur confiance et leur compréhension au cours des derniers mois.

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  • Matane-Côte-Nord : encore des journées de grève possibles
    Le conflit de travail qui oppose la Société des traversiers du Québec aux travailleurs de la Traverse Matane-Côte-Nord affiliés à la CSN traîne en longueur avec une convention collective échue depuis avril 2023. De nouvelles journées de grève pourraient survenir d’ici les prochaines semaines. Après avoir paralysé le service de traverse pendant les vacances de la construction avec une grève de 10 jours, perturbant les saisons touristiques au Bas-Saint-Laurent, en Gaspésie et sur la Côte-Nord,
     

Matane-Côte-Nord : encore des journées de grève possibles

18 août 2025 à 12:00

Le conflit de travail qui oppose la Société des traversiers du Québec aux travailleurs de la Traverse Matane-Côte-Nord affiliés à la CSN traîne en longueur avec une convention collective échue depuis avril 2023. De nouvelles journées de grève pourraient survenir d’ici les prochaines semaines.

Après avoir paralysé le service de traverse pendant les vacances de la construction avec une grève de 10 jours, perturbant les saisons touristiques au Bas-Saint-Laurent, en Gaspésie et sur la Côte-Nord, le syndicat des travailleurs de la CSN a repris les négociations.

Le salaire est l’enjeu principal de ce conflit. Alors que le gouvernement déposait une proposition de hausse salariale de 12,7 % sur cinq ans, les concessions demandées aux travailleurs n’étaient pas raisonnables selon le syndicat.

Bien qu’un projet de loi permettant au ministre du Travail de disposer de leviers supplémentaires pour mettre fin à des conflits pourrait être adopté à l’automne, n’en reste pas moins que de nouvelles journées de grève ne sont pas à exclure d’ici là, ce qui bouleversera de nouveau les activités économiques sur les deux rives.

Des citoyens affectés

Interrogée sur le sujet, la ministre régionale du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie, Maïté Blanchette Vézina, ne s’est pas commise davantage sur la suite des choses.

Lorsqu’il lui demande s’il est envisageable que la traverse Matane-Baie-Comeau-Godbout devienne un service essentiel, la ministre parle plutôt de sécurité routière.

Le F.-A. Gauthier assure la traverse Matane-Baie-Comeau-Godbout (Photo STQ)

« Beaucoup de citoyens ont été affectés par la grève des traversiers. C’est un dossier que j’ai pris en charge pour m’assurer que la sécurité des routes soit bonne. On a ajouté des policiers pendant les fortes périodes d’achalandage pour éviter des accidents. »

Elle ajoute que les pourparlers se poursuivent. « On souhaite que les négociations aboutissent, c’est certain. »

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