L’Océanic n’aura pas de capitaine pour entamer la nouvelle saison. Les trois vétérans de 20 ans, Jack Martin, Émile Duquet et Luke Patterson agiront comme assistant.
L’organisation s’accorde quelques semaines supplémentaires avant de désigner son nouveau meneur, appelé à succéder à Jacob Mathieu comme 33e capitaine de l’histoire de l’équipe. Ce dernier avait obtenu le titre en octobre 2023, prenant la relève de Mathis Gauthier.
Martin, Duquet et Patterson entreprendront tous leur quatrièm
L’Océanic n’aura pas de capitaine pour entamer la nouvelle saison. Les trois vétérans de 20 ans, Jack Martin, Émile Duquet et Luke Patterson agiront comme assistant.
Martin, Duquet et Patterson entreprendront tous leur quatrième saison dans la LHJMQ.
Si Martin s’est joint à la brigade défensive de l’Océanic l’an dernier, Duquet a été acquis des Saguenéens de Chicoutimi, tandis que Patterson a été réclamé au ballottage après son passage avec les Eagles du Cap-Breton.
La troupe de Joël Perrault lancera sa campagne 2025-2026 avec un programme double contre le Drakkar de Baie-Comeau, vendredi et samedi, au Colisée Financière Sun Life.
L’édition 2025-2026 de l’Océanic avec ses assistants, Jack Martin, Émile Duquet et Luke Patterson, au cours d’une activité au Club de golf Les Saules. (Photo courtoisie)
Exploramer vient de franchir un cap symbolique en célébrant son 30e anniversaire.
Pour souligner cet anniversaire, les administrateurs du musée scientifique de Sainte-Anne-des-Monts ont organisé une journée spéciale réunissant une trentaine d’invités, dont quelques membres de la famille du fondateur de l’institution, Charles-Eugène Marin.
Les invités ont pris part à la cérémonie commémorative au sein d’un bâtiment nouvellement rénové au coût de 8 M$.
La journée d’activités a débuté par
Exploramer vient de franchir un cap symbolique en célébrant son 30e anniversaire.
Pour souligner cet anniversaire, les administrateurs du musée scientifique de Sainte-Anne-des-Monts ont organisé une journée spéciale réunissant une trentaine d’invités, dont quelques membres de la famille du fondateur de l’institution, Charles-Eugène Marin.
Les invités ont pris part à la cérémonie commémorative au sein d’un bâtiment nouvellement rénové au coût de 8 M$.
La journée d’activités a débuté par une excursion à bord du C.-E.-Marin-Exploramer. Le responsable de la collection vivante du musée, Mathieu Lemonde-Landry, a guidé les passagers dans une exploration marine.
Rendu au large, le biologiste et plus ancien employé de l’équipe, qui compte 24 ans d’expérience au sein du musée scientifique, a remonté les casiers. Les excursionnistes ont ainsi pu observer de près et toucher des homards, des crabes communs et un oursin.
Cette sortie en mer a été suivie d’un cocktail d’honneur et de dégustations principalement composées de produits certifiés Fourchette bleue, avant de se conclure par une présentation historique intitulée Du terre-plein à aujourd’hui, pendant laquelle la directrice générale d’Exploramer depuis 20 ans, Sandra Gauthier, a retracé les moments marquants de l’évolution du musée.
Héritage d’une vision audacieuse
« Exploramer est une belle réussite et c’est ce qu’on veut souligner », a déclaré le président du conseil d’administration depuis quatre ans, Yves de Lafontaine. Le scientifique à la retraite a tenu à rendre hommage à son prédécesseur, Gilles Thériault, qui a dirigé l’organisme pendant 17 ans.
Le directeur général de la Société d’histoire de la Haute-Gaspésie a replacé la création d’Exploramer dans le contexte du développement touristique régional.
Selon Marc-Antoine DeRoy, Charles-Eugène Marin s’inscrit dans une lignée de visionnaires qui, dès 1994, a façonné l’attrait touristique de la Gaspésie, après le premier ministre du Québec, Louis-Alexandre Taschereau qui, en 1929, a fait de la Gaspésie une région touristique, qualifiant la péninsule de « la nouvelle Suisse de la Gaspésie ».
Il a aussi rappelé la mémoire d’Alphonse Pelletier, qui est à l’origine de la création du parc national de la Gaspésie.
De l’avis de l’historien, le projet d’Exploramer, qui s’appelait initialement Explorama, est arrivé à point nommé en 1995, puisque l’économie de la région était plombée par le moratoire sur la pêche à la morue décrété en 1993.
Résilience face aux épreuves
Sandra Gauthier a évoqué le parcours semé d’embûches de l’établissement.
Sandra Gauthier et Yves de Lafontaine, respectivement directrice générale et président du conseil d’administration d’Exploramer. (Photo Le Soir.ca – Johanne Fournier)
En trois décennies, Exploramer a survécu à un incendie, à plusieurs tempêtes financières et a même annoncé sa fermeture à deux reprises.
Elle a reconnu que l’histoire d’Exploramer n’a vraiment pas été un long fleuve tranquille. Elle a cependant tenu à souligner l’intervention salutaire de groupes et d’individus qui sont venus à la rescousse de l’institution.
Ambitions internationales
Loin de se contenter de ce bilan, Exploramer nourrit d’ambitieux projets.
« S’il y en a un qui croit à l’internationalisation d’Exploramer, c’est bien moi », a affirmé M. de Lafontaine. L’ancien directeur général de l’Institut Maurice-Lamontagne de Mont-Joli projette d’associer plus fortement et intimement le musée à la science et mise sur l’exportation d’expositions uniques créées localement.
Le projet phare demeure la construction d’un pavillon des requins, « un projet unique qui n’existe pas ailleurs », selon le biologiste de formation. Pour soutenir ses ambitions, l’organisme vient de créer la fondation Les amis d’Exploramer, qui peut déjà compter sur le soutien financier de partenaires comme Telus.
Après 30 ans d’existence, Exploramer semble avoir trouvé son équilibre.
« On a atteint une forme de stabilité et de maturité qui fait qu’on peut maintenant réaliser nos rêves », estime Yves de Lafontaine, confiant dans l’avenir de cette institution devenue un incontournable du paysage culturel, scientifique et touristique de la Gaspésie.
Les équipes de Mont-Joli et de Rivière-du-Loup sont sorties victorieuses de la deuxième fin de semaine d’activités dans le circuit de football du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec (RSEQ-EQ).
Les deux équipes du Mistral de Mont-Joli visitaient, samedi, les Griffons du Grand Gaspé. Les cadets l’ont emporté par la marque de 29 à 21 et les juvéniles ont écrasé leur adversaire 41 à 6.
Le lendemain, les Guerriers de l’école secondaire de Rivière-du-Loup ont imité les succès du Mi
Les équipes de Mont-Joli et de Rivière-du-Loup sont sorties victorieuses de la deuxième fin de semaine d’activités dans le circuit de football du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec (RSEQ-EQ).
Les deux équipes du Mistral de Mont-Joli visitaient, samedi, les Griffons du Grand Gaspé. Les cadets l’ont emporté par la marque de 29 à 21 et les juvéniles ont écrasé leur adversaire 41 à 6.
Le lendemain, les Guerriers de l’école secondaire de Rivière-du-Loup ont imité les succès du Mistral sur le terrain de l’école secondaire de Matane. Ils ont infligé deux défaites aux Gladiateurs, soit 41 à 6 chez les cadets et 27 à 1 chez les juvéniles.
Le Mistral occupe le premier rang du classement cadet et Rivière-du-Loup de l’autre catégorie.
La fin de semaine prochaine, les deux équipes de Gaspé seront à Rivière-du-Loup. Mont-Joli (cadet) et Rimouski (juvénile) visiteront les Gladiateurs de Matane.
Plus de deux ans après son arrestation le 11 mai 2023 lors d’une perquisition en matière de stupéfiants à Rimouski, l’enseignante Natalie Roberts, 58 ans, a été absoute de l’accusation de possession de cannabis en vrac à laquelle elle faisait face.
L’absolution inconditionnelle, c’est-à-dire sans aucune condition, a été prononcée vendredi dernier (12 septembre) par le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard.
Le dossier a traîné en longueur parce que l’accusée a changé d’avocat à plusieur
Plus de deux ans après son arrestation le 11 mai 2023 lors d’une perquisition en matière de stupéfiants à Rimouski, l’enseignante Natalie Roberts, 58 ans, a été absoute de l’accusation de possession de cannabis en vrac à laquelle elle faisait face.
L’absolution inconditionnelle, c’est-à-dire sans aucune condition, a été prononcée vendredi dernier (12 septembre) par le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard.
Le dossier a traîné en longueur parce que l’accusée a changé d’avocat à plusieurs reprises. Me Damir Mousaefendic a pris la relève de Me Robert Doré, qui lui avait succédé à Me Jean-Pierre Sharpe et à Me Marco Robert, qui avait dû se désister parce qu’il représentait le fils de l’accusée, Jonathan Lapointe-Roberts arrêté lors de la même opération.
Arrêtée en même temps que son fils
Natalie Roberts a été arrêtée en même temps que son fils Jonathan Lapointe-Roberts, 37 ans et David Lévesque. Ce dernier a été reconnu coupable et il a été condamné à un an de prison.
Seule Natalie Roberts avait alors pu retrouver sa liberté pour la suite du processus judiciaire moyennant certaines conditions à respecter.
Les enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs assistés des policiers du poste MRC de Rimouski-Neigette, d’un maitre-chien et d’un technicien du service de l’identité judiciaire de la Sureté du Québec, ont procédé le 11 mai 2023 à une importante opération en matière de trafic de stupéfiants.
« Le but de cette opération était de mettre fin aux activités de revente d’un réseau organisé de trafiquants de stupéfiant qui opérait dans la grande région de Rimouski », indiquait alors le sergent de la SQ, Claude Doiron.
Les derniers sont devenus les premiers ! Le Bérubé GM de Trois-Pistoles remporte la Coupe Couture-Verret à la suite de sa victoire en six parties face aux Braves Batitech du Témiscouata dans la série finale de la Ligue senior de baseball Puribec.
Mardi soir, la formation des Basques a mis un terme à la saison en l’emportant 8-5 pour gagner la série en six parties.
Les joueurs-entraineurs, Thomas Morin et Samuel Laforest. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
La formation des Basques, 7e et d
Les derniers sont devenus les premiers ! Le Bérubé GMde Trois-Pistoles remporte la Coupe Couture-Verret à la suite de sa victoire en six parties face aux Braves Batitech du Témiscouata dans la série finale de la Ligue senior de baseball Puribec.
Mardi soir, la formation des Basques a mis un terme à la saison en l’emportant 8-5 pour gagner la série en six parties.
Les joueurs-entraineurs, Thomas Morin et Samuel Laforest. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
La formation des Basques, 7e et dernière au classement de la saison, a tour à tour écarté Rivière-du-Loup (2e), Rimouski (1er) et Témiscouata (3e) pour remporter un premier championnat des séries depuis 2017.
Le renversement de situation est historique : d’une fiche de 5-17 en saison, le Bérubé GM a remporté 11 de ses 16 parties en séries.
Le vétéran Stéphane Pouliot a été nommé joueur par excellence des séries. Il a présenté un dossier de 4-1 comme lanceur en plus de s’illustrer au bâton avec une moyenne de ,357, cinq circuits et 17 points produits.
Stephane Pouliot est le joueur par excellence des séries. On le voit ici avec Gilles Lebel et Brian Clavette, du comité exécutif de la Ligue Puribec. (Photo archives – Alain Tremblay)
Élie Belzile, Ludovic Saucier et Tristan Michaud-Thériault ont aussi connu d’excellentes séries pour les champions.
Autre remontée
Les Braves avaient pris les devants 4-0 à leur premier tour au bâton chassant François Michaud du monticule. Comme ce fut souvent le cas dans les dernières semaines, le Bérubé GM a ensuite surmonté un déficit de 5-0 pendant que Tristan Michaud-Thériault, appelé en relève, limitait les Braves à un point, non mérité, en 6 1/3 manches. Il a porté son dossier à 4-0 en séries.
La traditionnelle poignée de main d’après-série. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
Pendant ce temps, l’offensive du Bérubé GM s’est mise en marche avec cinq points en fin de 4e manche, quatre sur un grand chelem de Samuel Laforest et l’autre sur le circuit de Nicolas Thibault. Jacob April a brisé l’égalité de 5-5 avec un simple opportun en 5e manche après quoi le même Laforest a produit deux autres points.
Cette série a été ponctuée de 99 points en six parties, dont 56 par Trois-Pistoles.
Maxim Massé participera à son deuxième camp d’entraînement officiel avec les Ducks d’Anaheim. Le Rimouskois fait partie de la liste des 54 joueurs qui se rapporteront à l’état-major de l’équipe dès ce jeudi 18 septembre.
Même s’il a été blanchi lors des deux matchs opposant les recrues des Ducks à celles des Sharks de San Jose et des Kings de Los Angeles, le week-end dernier, l’attaquant des Saguenéens a suffisamment bien fait pour poursuivre l’aventure, en compagnie de son coéquipier à Chico
Maxim Massé participera à son deuxième camp d’entraînement officiel avec les Ducks d’Anaheim. Le Rimouskois fait partie de la liste des 54 joueurs qui se rapporteront à l’état-major de l’équipe dès ce jeudi 18 septembre.
Même s’il a été blanchi lors des deux matchs opposant les recrues des Ducks à celles des Sharks de San Jose et des Kings de Los Angeles, le week-end dernier, l’attaquant des Saguenéens a suffisamment bien fait pour poursuivre l’aventure, en compagnie de son coéquipier à Chicoutimi, Émile Guité.
Anaheim disputera sept matchs préparatoires d’ici le 4 octobre afin de se préparer pour la saison 2025-2026.
« Je vois cela comme une opportunité de montrer la progression que j’ai faite par rapport à l’an passé. Lors d’un premier camp, on est toujours un peu stressé, on ne sait pas trop à quoi s’attendre. Cette année, je sais à quoi m’attendre. Je pourrai aussi guider Émile, qui vivra son premier camp », a indiqué le jeune homme de 19 ans au site Internet des Saguenéens, avant son départ pour la Californie.
Maxim Massé (Photo courtoisie NHL)
Choix de troisième tour des Ducks en 2024, Massé a complété sa troisième saison dans la LHJMQ avec une fiche de 33-26-59 en 47 parties. Une blessure à la cheville l’a tenu à l’écart du jeu pendant sept semaines, en octobre et novembre.
« Il y a eu des hauts et des bas. Ça a bien commencé, mais ma blessure est venue chambouler ça. Revenir d’une blessure pareille, c’est un peu plus difficile pour la confiance et la condition physique. Ensuite, un mois, un mois et demi après mon retour, j’ai été en mesure de bien terminer la saison », expliquait-il en avril au collège René-Alary.
Leçon de persévérance
Pour sa part, Mathis Langevin, de l’Océanic, a également été invité par l’Avalanche du Colorado à son camp principal. Il fait partie des six gardiens convoqués par l’organisation.
Ignoré lors du repêchage de la LNH, l’athlète de 20 ans a mené Rimouski en séries éliminatoires le printemps dernier, à la suite de la blessure de William Lacelle. Ses performances en ont fait le gardien numéro un de l’équipe, notamment lors du tournoi de la Coupe Memorial, présenté au Colisée Financière Sun Life.
Mathis Langevin (Photo Le Soir.ca – René Alary)
Il s’agit d’une autre leçon de persévérance dans le monde du hockey.
À pareille date l’an dernier, Mathis Langevin s’était fait dire qu’il n’y avait pas de place pour lui par deux équipes de la LHJMQ, Shawinigan et Sherbrooke. Bathurst l’a ensuite réclamé au ballottage, avant qu’il soit échangé à l’Océanic quelques mois plus tard.
Deux véhicules Communauto seront disponibles dès le 30 septembre, à Rimouski. L’organisme Mobilité partagée Rimouski (MPR) déploie son tout premier service d’autopartage.
Une voiture sera située au parc de la Gare et l’autre à la Coop Paradis. MPR jouera le rôle de gestionnaire de la flotte locale en partenariat avec Communauto.
« Ça fait longtemps que nous travaillons là-dessus et ça devient réel. Nous avons vu des statistiques épouvantables concernant la voiture solo. Communauto est un
Deux véhicules Communauto seront disponibles dès le 30 septembre, à Rimouski. L’organisme Mobilité partagée Rimouski (MPR) déploie son tout premier service d’autopartage.
Une voiture sera située au parc de la Gare et l’autre à la Coop Paradis. MPR jouera le rôle de gestionnaire de la flotte locale en partenariat avec Communauto.
« Ça fait longtemps que nous travaillons là-dessus et ça devient réel. Nous avons vu des statistiques épouvantables concernant la voiture solo. Communauto est un capital de confiance. Nous pensons que c’est la voie à suivre pour que la mobilité devienne quelque chose d’autre », explique le président de MPR, Raphaël Arsenault.
Ce partenariat se veut unique au Québec puisqu’il permet d’élargir le modèle Communauto au-delà des grands centres et de proposer une solution adaptée à la réalité régionale.
« Dans une petite ville comme Rimouski, c’est aussi une bonne idée d’avoir des voitures à partager. Dans les grandes villes, l’offre est grande. Oui nous avons un transport collectif à Rimouski, mais ce n’est pas la panacée. Nous pensons qu’il y aura un engouement. Nous avons déjà beaucoup de gens qui nous approchent. »
Selon les besoins
Les voitures pourront être empruntées pour de courtes ou de longues périodes. Pour accéder au service, les utilisateurs doivent d’abord devenir membres de MPR et s’inscrire au service de Communauto. L’adhésion soutient l’implantation de l’autopartage et contribuera au développement d’autres initiatives de mobilité partagée.
Le président de Mobilité partagée Rimouski, Raphaël Arsenault. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
« L’idée de MPR est d’apporter différentes solutions qui seront plus adaptées en fonction des besoins des gens. Nous allons dévoiler des choses dans les prochains mois et Communauto est très ouverte. Le coût de la vie est tellement grand en ce moment, il y a plein de conjectures qui font que c’est une bonne idée d’offrir ce service », mentionne le président de l’organisme à but non lucratif.
De l’expansion pour Communauto
Communauto compte 8 000 véhicules dans une vingtaine de villes du Canada et de la France. D’abord installé dans les grands centres, le service se dirige de plus en plus vers des villes plus petites.
« Le besoin d’avoir des solutions permettant de ne pas dépendre du véhicule est partout. L’intérêt des villes et des organisations comme MPR nous permet d’expérimenter d’autres façons de faire qui pourraient être des modèles pour d’autres. Rimouski est notre lancement le plus nordique et le plus à l’est de Québec », souligne le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani.
le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Moniseur Viviani soutient que d’autres véhicules pourraient s’ajouter à la flotte rimouskoise si la demande est présente.
« Normalement, nous cherchons à atteindre des taux d’utilisation d’environ huit heures par jour par véhicule. Quand on arrive à ça, on commence à regarder où et comment ajouter des véhicules. C’est aussi selon le nombre de personnes. On parle d’un véhicule pour 20 ou 25 abonnés. Ici, il y en a 40. »
La Ville de Rimouski collabore également à l’initiative. Les 140 premiers abonnés rimouskois à MPR recevront une réduction de 35 $ grâce au fonds affecté aux projets écoresponsables. Les détails sont en ligne au www.mobilitepartagee.ca.
Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme que plusieurs de ses autobus électriques Lion ont passé avec succès la deuxième inspection exigée par le fabricant, ce qui permettra la reprise du transport pour de nombreux élèves.
Les circuits 205, 22, 14, 60, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008 et 121 recommenceront à partir de ce mercredi 17 septembre.
« Pour les circuits 55, 57 et 109, nous attendons encore la confirmation. Dès que la reprise sera possible,
Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme que plusieurs de ses autobus électriques Lion ont passé avec succès la deuxième inspection exigée par le fabricant, ce qui permettra la reprise du transport pour de nombreux élèves.
Les circuits 205, 22, 14, 60, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008 et 121 recommenceront à partir de ce mercredi 17 septembre.
« Pour les circuits 55, 57 et 109, nous attendons encore la confirmation. Dès que la reprise sera possible, l’information sera communiquée sur notre site web, notre page Facebook et une notification sera envoyée dans le Portail parent aux familles concernées », indique le CSS des Phares dans un communiqué.
Le Bas-Saint-Laurent faisait partie des dernières régions où la reprise du transport scolaire avec les autobus électriques Lion n’était pas complète.
À la suite d’un accident à Montréal
Le gouvernement Legault avait annoncé, jeudi soir, que les quelque 1 200 autobus scolaires Lion circulant sur les routes du Québec seraient temporairement à l’arrêt afin de procéder à des inspections.
Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu la semaine dernière, a Montréal, au cours duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.
Un autobus électrique Lion (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
L’entreprise avait indiqué dans un communiqué qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».
La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé le plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque Lion-C.
C’est jeudi soir à Terre-Neuve que s’amorcera la 57e saison régulière de la LHJMQ alors que le Régiment de l’endroit accueillera les Wildcats de Moncton au Mary Brown’s Centre, à St. John’s.
Le Régiment fait son entrée dans la ligue à la suite du récent déménagement du Titan de Bathurst. Pour sa part, l’Océanic retrouvera ses partisans, vendredi et samedi, lors de la visite du Drakkar de Baie-Comeau.
Le commissaire du circuit, Mario Cecchini, a rencontré les médias, mardi, pour lancer la n
C’est jeudi soir à Terre-Neuve que s’amorcera la 57e saison régulière de la LHJMQ alors que le Régiment de l’endroit accueillera les Wildcats de Moncton au Mary Brown’s Centre, à St. John’s.
Le Régiment fait son entrée dans la ligue à la suite du récent déménagement du Titan de Bathurst. Pour sa part, l’Océanic retrouvera ses partisans, vendredi et samedi, lors de la visite du Drakkar de Baie-Comeau.
Le commissaire du circuit, Mario Cecchini, a rencontré les médias, mardi, pour lancer la nouvelle saison.
Il a d’abord fait l’annonce des 12 premiers joueurs qui participeront au tout premier Match des Espoirs LHJMQ, le 21 octobre, à Sherbrooke.
William Lacelle. (Photo archives courtoisie Jonathan L’Heureux)
Pas de divisions
Le plus important changement concerne l’abolition des divisions et le nouveau format des séries éliminatoires. Sauf pour l’élaboration du calendrier afin de favoriser les rivalités géographiques, il ne sera plus question de divisions, mais seulement des associations Est et Ouest.
Le premier tour éliminatoire se fera à nouveau intra-association, mais à partir de la deuxième ronde, les confrontations seront déterminées en fonction du classement général de la saison régulière. (1 vs 8; 2 v 7; 3 vs 6; 4 vs 5).
La prochaine saison marque aussi le retour des matchs interligues avec deux « home and home » entre les Olympiques de Gatineau et 67’s d’Ottawa ainsi que les Huskies de Rouyn-Noranda contre les Wolves de Sudbury.
Le calendrier prévoit aussi la présentation de trois parties locales des Sea Dogs de Saint John au Centre Aitken de Fredericton dans le cadre de la « Capital City Series ». Les adversaires seront Cap-Breton, Gatineau et Baie-Comeau.
Nouveaux programmes
La LHJMQ a aussi annoncé deux nouveaux programmes de valorisation de ses joueurs.
Le premier est avec PEM Hockey (Player Efficiency Model), a été créé par Gabriel et Dany Dubé. Il s’agit d’un système de statistiques avancées qui se concentre sur le modèle d’efficacité du joueur.
Cela fournira un outil de plus aux directeurs généraux et aux entraîneurs pour bien analyser le rendement de leurs patineurs, surtout à cinq contre cinq.
Le deuxième partenariat est avec l’UQTR, avec la mise en place d’un projet d’innovation et d’optimisation de la performance en partenariat avec le Laboratoire de recherche sur le hockey de l’UQTR.
Lors du Match des Espoirs et la Coupe de la 55, les puces fourniront des données probantes dans le but de documenter la charge de travail et ses impacts sur les performances.
Richard Trottier
La saison 2025-2026 sera la 16e et dernière de Richard Trottier comme directeur de l’arbitrage de la LHJMQ.
« Pendant 16 saisons, Richard a travaillé d’arrache-pied pour améliorer le niveau d’arbitrage dans la ligue. La saison 2026-2027 marquera le début d’une nouvelle ère dans l’arbitrage de la LHJMQ. Nous vous annoncerons le nouveau directeur en temps et lieu. Je tiens à remercier du fond du coeur Richard pour son travail acharné. Je lui souhaite que le meilleur pour la suite », a affirmé M. Cecchini.
Assises 2026
Le Commissaire a également confirmé la tenue du repêchage 2026 à Halifax, le vendredi 5 juin, en soirée, et le samedi 6 juin. Il s’agira d’une première pour cette organisation.
« La LHJMQ est très contente et excitée de tenir son Repêchage 2026 présenté par Fenplast dans la magnifique Ville de Halifax, un marché très important dans notre circuit, a mentionné le commissaire. Les joueurs, les familles et les dirigeants présents au Repêchage vont pouvoir pleinement profiter des beaux attraits de la ville. »
Fonds Guy Lafleur
La Ligue a aussi annoncé qu’elle fera un don de 100 000 $ au Fonds Guy Lafleur de la Fondation du CHUM, soit 10 000 $ par année pendant 10 ans. Ce Fonds contribue à la recherche sur le cancer.
Guy Lafleur (gracieuseté LHJMQ)
« Guy Lafleur a grandement contribué à mettre la LHJMQ sur la carte. À lui seul, il l’a fait grandir, a souligné le commissaire Cecchini. D’ailleurs, lors de notre 50e anniversaire, il a été voté le plus grand joueur de notre histoire. J’ai rencontré son fils Martin à quelques reprises au fil des années. Pour nous, à la LHJMQ, la décision de s’associer au Fonds Guy Lafleur a été très facile à prendre. Guy a toujours été impliqué dans la communauté et il était très proche des gens et de notre Ligue. Ce don est une façon, pour nous, de perpétuer son héritage. »
Infrastructures
Le Commissaire s’est aussi réjoui des importants investissements de plus de 40 M$ à Sydney et Drummondville pour la mise à niveau de leur amphithéâtre.
Des travaux importants seront également faits à Halifax pour un centre d’entrainement.
Il a également déposé un dossier en vue de la phase 2 du programme d’aide financière aux infrastructures récréatives, sportives et de plein air (PAFIRSPA) auprès de la ministre des Sports du Québec, Isabelle Charest.
La phase 1 a permis à plusieurs équipes de changer leurs bandes et baies vitrées afin de les rendre plus sécuritaires. À Rimouski, ce fut fait à l’été 2024.
Le Conseil de la magistrature du Québec mène une enquête à la suite d’une plainte visant le juge rimouskois Yves Desaulniers. Celle-ci concerne des comportements qui seraient survenus dans l’exercice de ses fonctions et jugés préoccupants par le plaignant, dont l’identité est caviardée.
Dans une décision rendue le 26 août dernier, le Conseil précise que la plainte vise notamment des attitudes perçues comme intimidantes envers du personnel administratif, des remarques à connotation personnelle
Le Conseil de la magistrature du Québec mène une enquête à la suite d’une plainte visant le juge rimouskois Yves Desaulniers. Celle-ci concerne des comportements qui seraient survenus dans l’exercice de ses fonctions et jugés préoccupants par le plaignant, dont l’identité est caviardée.
Dans une décision rendue le 26 août dernier, le Conseil précise que la plainte vise notamment des attitudes perçues comme intimidantes envers du personnel administratif, des remarques à connotation personnelle ainsi que des situations où le juge se serait présenté partiellement dévêtu devant des collègues, dans un contexte judiciaire.
Aucun enregistrement vidéo ou audio ne permet de documenter les faits allégués et le plaignant n’est pas un témoin direct.
L’analyse repose principalement sur des témoignages transmis au Conseil de la magistrature ou recueillis par lui.
Ces signalements, détaillés et signés, proviennent de personnes occupant des fonctions névralgiques au sein de l’appareil judiciaire.
Deux types de comportements reprochés
La plainte, déposée le 30 janvier 2025, fait état de deux catégories de comportements.
Le premier concerne des interactions jugées inappropriées sur le plan du respect interpersonnel et de la civilité (cris, propos dénigrants et comportements perturbateurs envers le personnel de soutien judiciaire).
Le second a trait à des comportements perçus comme dérangeants sur le plan physique, notamment le fait d’accueillir des interlocuteurs torse nu dans son bureau ou de procéder à des ajustements vestimentaires en leur présence.
Selon la plainte, sur laquelle repose la décision rendue publique, le juge aurait également tenu des propos ambigus à connotation suggestive (« regardez le paysage ») et aurait baissé son pantalon devant un interlocuteur.
Enquête pour clarifier les faits
Le Conseil de la magistrature du Québec estime qu’une enquête est nécessaire « afin de faire pleinement la lumière sur ces événements » et que « seule une enquête permettra d’établir les faits avec précision, d’apprécier leur portée réelle et de déterminer s’il y a eu manquement déontologique. »
Le gardien de l’Océanic, William Lacelle, a été sélectionné pour prendre part au Match des Espoirs de la LHJMQ. Organisé pour une première fois, l’événement réunira les 40 meilleurs espoirs en vue du repêchage de la LNH, le 21 octobre prochain, à Sherbrooke.
Lacelle figure parmi les 12 premiers joueurs choisis par la Centrale de recrutement de la LNH.
Il a été choisi en compagnie d’un autre gardien, Jacoby Weiner (Moncton), des défenseurs Xavier Villeneuve (Blainville-Boisbriand), Benjam
Le gardien de l’Océanic, William Lacelle, a été sélectionné pour prendre part au Match des Espoirs de la LHJMQ. Organisé pour une première fois, l’événement réunira les 40 meilleurs espoirs en vue du repêchage de la LNH, le 21 octobre prochain, à Sherbrooke.
Lacelle figure parmi les 12 premiers joueurs choisis par la Centrale de recrutement de la LNH.
Il a été choisi en compagnie d’un autre gardien, Jacoby Weiner (Moncton), des défenseurs Xavier Villeneuve (Blainville-Boisbriand), Benjamin Cossette-Ayotte (Val-d’Or), Cameron Chartrand (Saint John) et Charlie Morrison (Québec) ainsi que Maddox Dagenais (Québec), Olivers Murnieks (Saint John), Rian Chudzinski (Moncton), Lars Steiner (Rouyn-Noranda), Yegor Shilov (Victoriaville) et Thomas Rousseau (Sherbrooke).
Avec un dossier de 27-5-1-2 devant le filet de l’Océanic en 2024-2025, il a aussi mis la main sur le Trophée Jacques-Plante grâce à sa moyenne de buts alloués de 2,38.
Le gardien de l’Océanic, William Lacelle, devant son filet. (Photo courtoisie Océanic/Iften Redjah)
Chez les recrues, il a fini deuxième pour l’efficacité (,909) et troisième au chapitre des matchs joués (36) et des victoires (27), en plus d’aider l’Océanic à terminer au deuxième rang du classement général.
L’Océanic entame la 31e saison de son histoire en disputant un programme double contre le Drakkar de Baie-Comeau, vendredi et samedi, au Colisée Financière Sun Life.
Alors que le bateau caquiste prend l’eau et que ses perspectives de réélection en 2026 paraissent minces, des voix s’élèvent à Rimouski pour suggérer à Maïté Blanchette Vézina de suivre les traces de l’ex-ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, qui a récemment quitté la politique provinciale pour briguer la mairie de Saguenay.
Une éventuelle candidature de la députée caquiste à la mairie pourrait constituer une véritable opposition à Guy Caron, qui semble filer tout droit vers une
Alors que le bateau caquiste prend l’eau et que ses perspectives de réélection en 2026 paraissent minces, des voix s’élèvent à Rimouski pour suggérer à Maïté Blanchette Vézina de suivre les traces de l’ex-ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, qui a récemment quitté la politique provinciale pour briguer la mairie de Saguenay.
Plusieurs acteurs proches de l’hôtel de ville et dans certains cercles économiques de Rimouski espèrent un tel duel.
« Monsieur Caron présente un bon bilan à certains égards, mais il est au cœur de la faillite de Novarium et de la Société de promotion économique de Rimouski, ainsi que de toutes les poursuites judiciaires qui en découlent », avance l’une de ces sources, bien au fait des discussions entourant l’avenir politique de la ville.
« Les problèmes de stationnements et l’avenir du centre-ville sont préoccupants. Il y a eu l’arrivée de Costco, mais il n’y a pas de plan économique et commercial qui se tient, notamment pour les parcs industriels. La gestion des différents chantiers est catastrophique. On dépense des millions pour des projets comme le “Quartier culturel”, sans en connaître les véritables retombées. Ce sont des échecs qui collent à son administration ».
Mairesse de Sainte-Luce de 2017 à 2021, elle a contribué à positionner Rimouski au premier rang provincial pour les mises en chantier en logement depuis le début de son mandat.
Maïté Blanchette Vézina lors d’une conférence de presse à l’hôtel de ville de Rimouski (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
« Son parcours professionnel, ses contacts politiques et sa connaissance des dossiers lui donnent l’étoffe pour diriger une ville comme Rimouski. Plusieurs candidats potentiels, qui se disent en réflexion, attendent en fait de savoir ce que Maïté décidera », souligne une autre source.
Les candidats intéressés par un poste de maire de conseiller en vue de l’élection municipal peuvent déposer leur déclaration de candidature, du 19 septembre au 3 octobre.
Le PQ l’attend de pied ferme
Au lendemain de sa rétrogradation comme ministre des Ressources naturelles et des Forêts ainsi que responsable de l’Est-du-Québec, Maïté Blanchette Vézina jurait vouloir terminer son mandat comme députée de Rimouski jusqu’en 2026.
« J’ai encore envie de représenter les citoyens de Rimouski-Neigette. Je pense toujours que la CAQ est un véhicule efficace pour rassembler les gens qui souhaitent travailler pour l’avenir du Québec », a-t-elle déclaré devant les médias.
Le député péquiste de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, à gauche, en compagnie du Parti québécois, Paul Saint-Pierre Plamondon (Photo La Presse Canadienne- Jacques Boissinot)
Si elle choisit de briguer un nouveau mandat en 2026, madame Blanchette Vézina devra affronter une machine péquiste bien huilée, selon une source politique jointe par Le Soir.
« Maïté se retrouve face au premier ministre après avoir admis que sa confiance envers lui est “affectée”. Pierre Dufour (député d’Abitibi-Est) a été expulsé de la CAQ pour moins que ça (le 5 septembre). Au lieu de s’asseoir dans la dernière rangée de l’Assemblée nationale et d’attendre une défaite annoncée, Maïté devrait sauter dans l’arène municipale », indique cette source, qui désire conserver l’anonymat.
Reprendre le château fort
Le Parti québécois fourbit déjà ses armes à Rimouski. La défaite de 2022 dans ce château fort a laissé des traces.
« Le PQ aura besoin d’une investiture l’an prochain. De nombreuses personnalités d’influence souhaitent prendre le pouvoir avec Paul St-Pierre Plamondon. Les membres auront l’embarras du choix pour désigner leur candidat », prédit cette même source.
La Sûreté du Québec confirme le décès d’Aubert Paradis, un homme de 72 ans de Rimouski porté disparu en juin dernier. Son corps a été retrouvé, le 26 juillet, sur les berges de l’île d’Anticosti.
Des vérifications ont permis de confirmer son identité. La SQ collabore avec le coroner afin d’établir les circonstances exactes du décès. À ce stade, l’enquête tend à écarter l’intervention d’une tierce personne.
L’individu a été vu pour la dernière fois le 8 juin, vers 20 h 15, dans le secteur d
La Sûreté du Québec confirme le décès d’Aubert Paradis, un homme de 72 ans de Rimouski porté disparu en juin dernier. Son corps a été retrouvé, le 26 juillet, sur les berges de l’île d’Anticosti.
Des vérifications ont permis de confirmer son identité. La SQ collabore avec le coroner afin d’établir les circonstances exactes du décès. À ce stade, l’enquête tend à écarter l’intervention d’une tierce personne.
Introduire des plantes suspendues et des macramés dans un intérieur, c’est insuffler une touche de nature, de douceur et d’originalité à chaque pièce.
En jouant avec la hauteur, les textures et les couleurs, tu peux transformer même l’espace le plus restreint en une véritable jungle intérieure.
Les macramés, avec leurs motifs noués à la main, servent de supports élégants pour vos plantes favorites et créent un effet visuel qui allège l’ambiance tout en y ajoutant une note bohème.
Que
Introduire des plantes suspendues et des macramés dans un intérieur, c’est insuffler une touche de nature, de douceur et d’originalité à chaque pièce.
En jouant avec la hauteur, les textures et les couleurs, tu peux transformer même l’espace le plus restreint en une véritable jungle intérieure.
Les macramés, avec leurs motifs noués à la main, servent de supports élégants pour vos plantes favorites et créent un effet visuel qui allège l’ambiance tout en y ajoutant une note bohème.
Que ce soit au salon, dans la cuisine ou près d’une fenêtre, ces suspensions invitent à la détente et à la relaxation, tout en purifiant l’air et en renouvelant l’énergie environnante.
Les plantes tombantes dans notre décor
Les plantes tombantes sont, selon moi, les plantes qui sont les plus faciles à intégrer dans un décor. Il est facile de les intégrer dans une étagère murale ou encore sur le dessus des armoires de cuisine.
Bien qu’elles nous permettent de les placer en hauteur, il est important de penser à la lumière. Une plante qui manquera de soleil sur le dessus du pot va perdre ses feuilles à la base.
On se retrouve donc souvent avec des plantes qui sont un peu plus dégarnies du dessus et fournies dans le bas (ce que je trouve… pas vraiment beau).
Ce que je suggère si ta plante devient dégarnie, c’est de la couper, faire des boutures avec les tiges coupées et ensuite replanter avec la plante mère.
Quelques variétés de plantes suspendues
Voici quelques variétés de plantes suspendues que j’aime beaucoup mettre sur des étagères ou dans des macramés.
Ce sont des plantes relativement faciles d’entretien, qui restent belles pendant de longues années.
Philodendron Micans : Une plante aux allures de velours! Je l’adore. Elle peut bien supporter les endroits qui sont moins éclairés. C’est une plante très résiliente, qui demande peu d’entretien. Je recommande de faire attention de ne pas trop lui donner d’eau.
Scindapsus Argyraeus : On l’appelle souvent pothos argenté. Je trouve que le motif sur ses feuilles est tout simplement magnifique avec ses petits reflets argentés. Ce que j’aime du scindapsus, c’est qu’il te dira lorsqu’il a besoin d’eau. Ses feuilles roulent vers l’intérieur lorsqu’il aura soif. Par contre, il a tendance à parfois faire de longues tiges sans feuilles. Bien souvent, je coupe les tiges pour que la plante soit plus belle et fournie.
Pothos Cebu Blue : Une belle variété de pothos avec ses feuilles un peu plus allongées et d’une couleur bleutée. Facile d’entretien et original. Ce n’est pas celui qui pousse le plus vite.
Peperomia Hope : Je trouve que cette plante mérite d’être plus connue! Elle demande quand même une bonne luminosité. Je conseille d’arroser seulement quand le terreau est 100 % sec. C’est une plante avec de belles petites feuilles rondes gorgées d’eau.
Pothos Manjula : Une autre variété de pothos qui est un peu plus rare. On va souvent la confondre avec le pothos Marble Queen, mais la Manjula est différente. Ses feuilles sont un peu plus rondes et la variation sur ses feuilles n’est pas tout à fait pareille. C’est une de mes variétés préférées de pothos. Une chose que je recommande, c’est : attention à ne pas sur-arroser. Il n’aime pas le surplus d’eau. Cette variété demande un peu plus de luminosité qu’un pothos Marble Queen.
J’espère que cet article te donnera envie d’ajouter de magnifiques plantes suspendues à ton décor!
Que tu choisisses de les fabriquer toi-même ou d’opter pour des créations toutes faites, les suspensions en macramé sont une façon simple et originale d’amener la nature à hauteur de regard.
En fin de compte, il suffit parfois d’un peu de corde et d’une belle plante pour transformer complètement une pièce et créer un petit coin cozy et relaxant!
Pour répondre à toutes vos questions et pour des conseils de professionnels à l’année, rendez-vous chez Marcel Dionne et Fils de Rimouski, marchand Passion Jardins.
Le Conseil de discipline de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec a imposé, le 5 août dernier, une période de radiation temporaire de sept mois à Maxime Verreault-Hébert, de Rimouski, pour sa culpabilité à deux chefs d’accusation.
Il a été déclaré coupable d’avoir établi des liens amoureux et/ou sexuels avec une patiente, entre avril 2022 et février 2024, dans la région du CISSS de la Montérégie Est ainsi que d’avoir tenu des propos et/ou posé des gestes irrespectueux en
Le Conseil de discipline de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec a imposé, le 5 août dernier, une période de radiation temporaire de sept mois à Maxime Verreault-Hébert, de Rimouski, pour sa culpabilité à deux chefs d’accusation.
Il a été déclaré coupable d’avoir établi des liens amoureux et/ou sexuels avec une patiente, entre avril 2022 et février 2024, dans la région du CISSS de la Montérégie Est ainsi que d’avoir tenu des propos et/ou posé des gestes irrespectueux envers des patients et/ou des collègues, entre mai et novembre 2024, au Centre hospitalier régional du Portage à Rivière-du-Loup.
La radiation a est de sept mois pour le premier chef et de trois mois concurrents à la première peine sur le second chef.
Verreault-Hébert est donc radié temporairement du Tableau de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec depuis le 6 septembre. Sa peine se terminera le 6 avril 2026.
Un incendie s’est déclaré vers 2 h, dans la nuit de lundi à mardi, dans le bâtiment abritant la brasserie Au Vieux Loup et la pizzeria Italia sur l’avenue Saint-Jérôme, à Matane.
Un appel a été logé aux services d’urgence concernant des flammes qui grimpaient le long du bâtiment, à l’arrière où l’on retrouve des logements.
Bien que rien ne soit officiellement confirmé, selon ce qu’il était possible d’apercevoir, l’incendie semble avoir pris naissance au bas du bâtiment puis s’est propagé
Un incendie s’est déclaré vers 2 h, dans la nuit de lundi à mardi, dans le bâtiment abritant la brasserie Au Vieux Loup et la pizzeria Italia sur l’avenue Saint-Jérôme, à Matane.
Un appel a été logé aux services d’urgence concernant des flammes qui grimpaient le long du bâtiment, à l’arrière où l’on retrouve des logements.
Bien que rien ne soit officiellement confirmé, selon ce qu’il était possible d’apercevoir, l’incendie semble avoir pris naissance au bas du bâtiment puis s’est propagé vers le haut.
Selon le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies, sept logements étaient occupés au moment où l’incendie s’est déclaré.
« Tout le monde a pu être évacué et personne n’a été blessé. Les occupants ont été relogés temporairement chez des proches ou dans un hôtel de la région. »
Enquête transférée à la SQ
L’enquête a été transférée à la Sûreté du Québec puisque la cause du sinistre demeure indéterminée. « Un enquêteur a été appelé sur les lieux pour déterminer les causes exactes de l’incendie », poursuit Frédéric Deshaies.
Il est encore trop tôt pour déterminer si l’incendie est d’origine criminelle ou accidentelle.
La Société des transports de Rimouski (STR) lance une plateforme web pour la réservation du service de Taxibus.
Jusqu’ici, les usagers devaient obligatoirement téléphoner à la STR afin de réserver une plage horaire.
Le nouvel outil permet désormais d’effectuer des réservations en tout temps, même en dehors des heures d’ouverture du centre d’appel, pour rendre le processus plus simple et accessible.
La plateforme offre aussi la possibilité de suivre en temps réel le déplacement du Taxibu
La Société des transports de Rimouski (STR) lance une plateforme web pour la réservation du service de Taxibus.
Jusqu’ici, les usagers devaient obligatoirement téléphoner à la STR afin de réserver une plage horaire.
Le nouvel outil permet désormais d’effectuer des réservations en tout temps, même en dehors des heures d’ouverture du centre d’appel, pour rendre le processus plus simple et accessible.
La plateforme offre aussi la possibilité de suivre en temps réel le déplacement du Taxibus. La STR espère que cette modernisation accroîtra l’achalandage du service.
Taxibus assure la liaison entre le centre-ville et plusieurs districts de Rimouski, dont Rimouski-Est, Pointe-au-Père, Sainte-Blandine, Mont-Lebel et Le Bic. Jusqu’à quatre passagers peuvent partager un même trajet.
Les services de travail de rue sont officiellement de retour dans La Mitis avec la création de l’organisme Travail de rue de La Mitis, issu d’une démarche citoyenne et partenariale amorcée en décembre 2023 à la suite du retrait de l’organisme qui assumait ce rôle depuis 2008.
Après une période de transition soutenue par le Collectif régional de développement (CRD) et Tandem-Jeunesse, un comité citoyen s’est mobilisé pour mettre en place une structure solide et autonome.
Cette mobilisation
Les services de travail de rue sont officiellement de retour dans La Mitis avec la création de l’organisme Travail de rue de La Mitis, issu d’une démarche citoyenne et partenariale amorcée en décembre 2023 à la suite du retrait de l’organisme qui assumait ce rôle depuis 2008.
Après une période de transition soutenue par le Collectif régional de développement (CRD) et Tandem-Jeunesse, un comité citoyen s’est mobilisé pour mettre en place une structure solide et autonome.
Cette mobilisation a mené, en juin 2024, à une assemblée de constitution formalisant la naissance de l’organisme et l’élection d’un conseil d’administration représentatif.
À l’automne suivant, une direction a été embauchée et un premier travailleur de rue est entré en fonction.
Depuis son entrée en poste, le travailleur de rue Bertrand Deslauriers a rencontré plus de 500 personnes, tous genres confondus.
La grande majorité s’est déroulée sous forme d’écoute, de soutien et d’échanges (60,5%), suivie de rencontres axées sur l’information, la sensibilisation et la prévention (23,9%). Les sujets abordés touchaient principalement les relations interpersonnelles (11,2%), le logement, l’hébergement ou les déménagements (6,5 %), ainsi que la santé mentale (6,2 %) et la santé physique (5,4%).
Enfin, les réalités socio-économiques ont été discutées dans près de 21 % des rencontres.
« Derrière chaque statistique, il y a une histoire, une personne qui a besoin d’écoute, de soutien ou simplement de parler. Les chiffres montrent l’ampleur de notre action, mais ce qui compte vraiment, ce sont ces moments de confiance où quelqu’un se sent moins seul. C’est là que le travail de rue prend tout son sens. », exprime Bertrand Deslauriers.
Une année marquée par des épreuves
Malgré une année marquée par des épreuves, dont le décès d’une personne siégeant sur le conseil d’administration, Mélilot de Repentigny, en plus d’un changement de direction, l’organisme maintient le cap sur sa mission, soit de soutenir et accompagner les personnes dans leur milieu de vie, sur l’ensemble du territoire mitissien, dans le respect de leur rythme, de leur dignité et de leurs besoins.
Bertrand Deslauriers, travailleur de rue et Geneviève Royer, directrice de l’organisme. (Photo courtoisie)
« Ensemble, nous construisons les bases d’un service qui se veut humain et durable », souligne Bertrand Deslauriers.
À sa séance du 16 juin dernier, le conseil municipal de Mont-Joli a autorisé la location d’un local situé au 300, avenue du Sanatorium à Travail de rue de la Mitis pour une durée d’une année débutant le 15 juin 2025 et se terminant le 14 juin 2026.
Première assemblée générale
Travail de rue de La Mitis tiendra sa première assemblée générale annuelle (AGA) le 24 septembre sous la formule conviviale d’un 5 à 7.
L’événement permettra de présenter les réalisations de la dernière année, de définir les priorités pour l’avenir et même de voter pour le tout premier logo officiel.
L’organisme en profitera aussi pour recruter de nouvelles personnes au sein de son conseil d’administration.
Les profils recherchés sont variés, que ce soit pour en gestion, en ressources humaines, en finances, en droit ou tout un intérêt marqué pour la mission.
« Cette assemblée est bien plus qu’une rencontre administrative. C’est une invitation à bâtir ensemble un organisme ancré dans sa communauté et à célébrer la force du collectif dans La Mitis », mentionne la directrice, Geneviève Royer.
Pour infos par courriel (gestion.tr.lamitis@gmail.com) ou par téléphone (418-896-7085).
Pour joindre le travailleur de rue Bertrand Deslauriers : 418-740-2984, bertrand.tr.lamitis@gmail.com et Bertrand TRmitis sur Messenger.
Jean-François Fortin sollicitera un quatrième mandat à la mairie de Sainte-Flavie, dont un troisième consécutif, en dressant un bilan satisfaisant de ses années à la tête de la municipalité.
Élu en 2006, 2017 et 2021, monsieur Fortin souhaite poursuivre son engagement politique jusqu’en 2029. Pour l’instant, il demeure le seul candidat en lice pour l’élection à Sainte-Flavie prévue le 2 novembre.
Jean-François Fortin souligne notamment que sa municipalité offre l’un des taux de taxation l
Jean-François Fortin sollicitera un quatrième mandat à la mairie de Sainte-Flavie, dont un troisième consécutif, en dressant un bilan satisfaisant de ses années à la tête de la municipalité.
Élu en 2006, 2017 et 2021, monsieur Fortin souhaite poursuivre son engagement politique jusqu’en 2029. Pour l’instant, il demeure le seul candidat en lice pour l’élection à Sainte-Flavie prévue le 2 novembre.
Jean-François Fortin souligne notamment que sa municipalité offre l’un des taux de taxation les plus bas de la MRC de La Mitis, affiche un taux d’endettement de seulement 3,25 %, bénéficie d’une convention collective signée jusqu’en 2028 avec ses employés municipaux et croît trois fois plus rapidement que la MRC.
L’ex-député fédéral, enseignant au Cégep de Rimouski et copropriétaire du Ketch – Microbrasserie du littoral a notamment contribué à la recharge de la plage, à la construction du garage municipal, de l’édifice municipal et de la patinoire multisurface, à l’installation de nouveaux modules de jeux extérieurs, à l’aménagement d’un nouveau gymnase d’entraînement, à la réfection de la toiture du vieux presbytère et au prolongement du réseau d’aqueduc dans le secteur de l’Institut Maurice-Lamontagne.
« Lorsque l’on unit nos forces, on peut transformer nos idées en projets concrets qui améliorent la vie des gens. Qu’il s’agisse de l’enseignement des sciences politiques, des responsabilités parlementaires ou de la gestion municipale, j’ai eu le privilège de travailler dans des environnements exigeants où chaque décision compte », indique Jean-François Fortin dans un communiqué.
20 actions prioritaires
Dans les prochains jours, les citoyens recevront par la poste un document de candidature détaillé, présentant une liste de 20 actions prioritaires pour les prochaines années.
Jean-François Fortin (Photo courtoisie)
« Ma vision pour Sainte-Flavie repose sur la transparence, la proximité et l’action concrète. Bien qu’à ce jour aucun opposant ne se soit déclaré, je tiens à mener une campagne active, parce que c’est une occasion précieuse de partager ma vision pour l’avenir et de permettre aux citoyens de s’exprimer sur leurs attentes et leurs idées », insiste-t-il.
Jean-François Fortin lancera également un site Web pour communiquer avec la population au www.jffortin.info.
La remise en service des autobus électriques Lion est reportée jusqu’à nouvel ordre par le Centre de services scolaire (CSS) des Phares.
Les inspections exigées par le fabricant sont toujours en cours et le CCS travaille avec ses transporteurs scolaires afin de rétablir le service dans les meilleurs délais.
« Nous ne sommes actuellement pas en mesure de confirmer la reprise du service le mardi 16 septembre. Les parents dont les enfants utilisent les circuits suivants devront assurer le tr
La remise en service des autobus électriques Lion est reportée jusqu’à nouvel ordre par leCentre de services scolaire (CSS) des Phares.
Les inspections exigées par le fabricant sont toujours en cours et le CCS travaille avec ses transporteurs scolaires afin de rétablir le service dans les meilleurs délais.
« Nous ne sommes actuellement pas en mesure de confirmer la reprise du service le mardi 16 septembre. Les parents dont les enfants utilisent les circuits suivants devront assurer le transport de leur enfant : 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121. Dès que nous pourrons confirmer la reprise progressive des circuits, l’information sera diffusée sur notre site web, notre page Facebook et envoyée via le Portail parent », peut-on lire sur la page Facebook du Centre.
Il a annoncé tôt ce lundi 15 septembre, des interruptions pour certains services puisque les transporteurs devaient faire d’autres inspections sur les Autobus Lion après celles de vendredi dernier.
D’autres centres de services scolaires de la province ont aussi annoncé que le transport scolaire demeurerait suspendu pour le 15 septembre.
À la suite d’un accident à Montréal
Des annulations du transport scolaire ont eu lieu, vendredi dernier. Le gouvernement Legault a annoncé jeudi soir que les quelque 1200 autobus scolaires de Lion qui circulent sur les routes du Québec seront à l’arrêt le temps de procéder à des inspections.
Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu mardi à Montréal, lors duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.
Les transporteurs du Centre de services scolaire des Phares ont reçu d’autres inspections à effectuer sur les Autobus Lion. (Photo courtoisie)
L’entreprise a indiqué dans un communiqué transmis vendredi soir qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».
La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé son plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque LION-C.
La Fondation Jeunesse du Bas-Saint-Laurent tiendra son 21e Cocktail « 5 à Huîtres », le mercredi 15 octobre à 17h, à l’Institut maritime du Québec.
L’an dernier, la populaire activité avait permis d’amasser de récolter la somme record de 35 000$.
Le comité organisateur dévoilera bientôt ses chefs invités. Le coût des billets pour participer à l’évènement est de 160 $ par personne, via le site web de la Fondation au www.fondationcjbsl.com.
Des tables corporatives (6 couverts) sont égal
Le comité organisateur dévoilera bientôt ses chefs invités. Le coût des billets pour participer à l’évènement est de 160 $ par personne, via le site web de la Fondation au www.fondationcjbsl.com.
Des tables corporatives (6 couverts) sont également disponibles en quantité limitée au coût de 900$.
« Nos invités sont heureux du retour de cette activité, qui leur permet de déguster des produits régionaux raffinés. Nous offrons encore cette année la formule dégustation d’huîtres natures, ainsi que la formule découverte d’huîtres apprêtées et cuisinées, qui seront disponibles à des stations bien identifiées. Les personnes qui le préfèrent ou qui n’aiment pas les huîtres ne seront pas en reste alors qu’un buffet dégustation sera également disponible, explique la directrice de la Fondation Jeunesse du Bas-Saint-Laurent, Patricia Allard.
325 000$ dans son histoire
Très prisé par la population et les milieux d’affaires, le « 5 à Huîtres » a déjà permis de distribuer tout près de 325 000$ tout au long des éditions précédentes.
Le comité organisateur dévoilera bientôt ses chefs invités pour son 21e Cocktail « 5 à Huîtres ». (Photo courtoisie)
Tous les profits vont aux jeunes placés sous la protection de la Direction de protection de l’Enfance et de la Jeunesse, du Programme Jeunesse, et ceux de la mission CLSC « Jeunes en difficulté » du Centre intégré de santé et de services sociaux du Bas-Saint-Laurent.
Chaque année, près de 5 000 enfants répartis dans les huit MRC du Bas Saint-Laurent reçoivent des services et ont ainsi accès aux services offerts par la Fondation.
Il est également possible de devenir ami ou commanditaire de l’évènement en nous contactant directement par téléphone au 418-722-1897 ou par courriel.
Le Soir.ca fait partie des partenaires de l’événement.
Pour lancer la 12e saison de « Rendez-Vous Nature », l’animateur Stéphane Monette, de la Ferme Monette, relate son séjour de rêve en Alaska.
En entrevue avec Ernie Wells, Steph raconte qu’il a observé des orignaux géants, démesurés, son contact avec le sockeye, une des cinq espèces de saumons en rivières, admiré des montagnes grandioses et des glaciers actifs.
Tellement en amour avec l’Alaska, il y retourne en 2026 et organise un voyage de groupe.
Et en cette année permissive d
Pour lancer la 12e saison de « Rendez-Vous Nature », l’animateur Stéphane Monette, de la Ferme Monette, relate son séjour de rêve en Alaska.
En entrevue avec Ernie Wells, Steph raconte qu’il a observé des orignaux géants, démesurés, son contact avec le sockeye, une des cinq espèces de saumons en rivières, admiré des montagnes grandioses et des glaciers actifs.
Tellement en amour avec l’Alaska, il y retourne en 2026 et organise un voyage de groupe.
Et en cette année permissive de l’orignal, trois zecs de la zone 2 Bas-Saint-Laurent invitent les chasseurs à protéger volontairement la femelle. Comme l’explique leur porte-parole, Guillaume Ouellet.
Huit athlètes représenteront le Club de patinage artistique de Rimouski, du 18 au 21 septembre, à la compétition provinciale Souvenir Georges-Éthier, présentée du 18 au 21 septembre, au Centre sportif Marc-Simoneau de Québec.
Il s’agit de Rosalie Levesque (junior), Ariane Dubé (juvénile), Angélique Beaulieu (novice), Maude Harrisson (juvénile), Laurence Gagnon (juvénile), Maïlie Hamilton (pré-novice), Meredith Habel (pré-novice) et Élodie Chénard (novice).
L’événement d’envergure rassembl
Huit athlètes représenteront le Club de patinage artistique de Rimouski, du 18 au 21 septembre, à la compétition provinciale Souvenir Georges-Éthier, présentée du 18 au 21 septembre, au Centre sportif Marc-Simoneau de Québec.
Il s’agit de Rosalie Levesque (junior), Ariane Dubé (juvénile), Angélique Beaulieu (novice), Maude Harrisson (juvénile), Laurence Gagnon (juvénile), Maïlie Hamilton (pré-novice), Meredith Habel (pré-novice) et Élodie Chénard (novice).
L’événement d’envergure rassemblera plus de 450 athlètes provenant de partout au Québec, dans les catégories dames, messieurs, couples et danse, du niveau pré-juvénile à sénior.
Sur le plan individuel, Hamilton visera un premier podium cette saison après avoir terminé en cinquième position lors des Championnats d’été tenus à Pierrefonds, en août dernier.
Pour sa part, Lévesque tentera de répéter sa performance de l’an dernier, alors qu’elle avait décroché la troisième marche du prestigieux podium. Dubé ambitionne également une place parmi les trois premières. L’an dernier, elle avait terminé tout près du podium avec une quatrième position, à seulement 1,61 point du bronze.
Depuis le récent remaniement ministériel du gouvernement Legault, l’ex-ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, est présenté comme le ministre de l’Environnement, mais sa responsabilité de la faune passe comme inaperçue.
Le titulaire du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les Changement Climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoit Charette, est devenu ministre des Infrastructures.
Est-ce que le premier ministre François Legault a créé un nouveau ministère, celui de l’Env
Depuis le récent remaniement ministériel du gouvernement Legault, l’ex-ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, est présenté comme le ministre de l’Environnement, mais sa responsabilité de la faune passe comme inaperçue.
Le titulaire du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les Changement Climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoit Charette, est devenu ministre des Infrastructures.
Est-ce que le premier ministre François Legault a créé un nouveau ministère, celui de l’Environnement, écartant les autres volets associés au poste ?
Depuis ce changement de ministère, jamais le mots « parcs et chasse » n’ont été prononcés lors des sorties publiques de Bernard Drainville.
Celui qui est aussi président de la régionale des zecs de l’Est-du-Québec, a de grandes préoccupations et plusieurs sujets à discuter avec le ministre Drainville, comme le futur Plan de gestion de l’orignal, la Restriction de la taille légale des bois chez le cerf et la pérennité du caribou, espèce emblématique du parc de la Gaspésie.
« Je ne le brûlerai pas en partant, mais je souhaite de bonnes discussions. J’espère qu’il va arrêter l’industrialisation de la forêt, qu’il reconnaisse les zecs comme des milieux naturels de chasse, de pêche et de plein air exceptionnels à préserver, à l’abri des éoliennes et du régime forestier en cours », note Guillaume Ouellet.
Le président du Réseau Zec, Guillaume Ouellet (Photo courtoisie Myriam Quenneville / Audet Photo)
La liste est longue et les attentes sont nombreuses pour celui qui représente 44 000 membres de zecs, répartis dans toutes les régions, et qui occupent 48 000 km2 de la sauvagerie québécoise.
« Je vais lui dire que les zecs représentent un modèle de gestion unique au monde, et que ces territoires doivent être reconnus par l’état. J’ai des dossiers chauds sur la table à régler rapidement, comme, comme l’accès des motoneiges dans les zecs, les droits de circulation, la gestion de la grande faune et l’auto-financement des zecs ».
Le président du Réseau Zec souhaite une rencontre en présentielle très rapidement, afin qu’il puisse aussi, dit-il lui offrir toute sa collaboration.
Les actifs du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard sont mis en vente par le syndic Raymond Chabot à la suite de la faillite du marché d’alimentation.
Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre.
Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présent
Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre.
Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présentoirs considérés comme fixes à l’immeuble.
Le lot numéro 2 se compose de l’équipement et du mobilier. Il comprend notamment plusieurs présentoirs réfrigérés, un congélateur vertical de trois portes, un congélateur tombeau, un comptoir et des présentoirs réfrigérés, une machine à barbotine et un ensemble de chariots et de bacs d’épicerie, du matériel de cuisine, un système de caisse, du mobilier de bureau et du matériel informatique, le tout évalué à 99 600$.
Enfin, l’inventaire évalué à 20 000$ représente le 3e lot. On y retrouve un ensemble de marchandises diverses, breuvages assortis, croustilles, conserves assortis, nourriture sèche, chocolats et bonbons assortis, produits congelés, pâtisseries assorties, produits pour animaux, produits ménagers et cosmétiques assortis.
Les biens pourront être examinés sur place, le jeudi 25 septembre, entre 10 h à 13 h.
Les soumissions doivent être reçues au bureau du syndic, 217, avenue Léonidas Sud, Bureau 3-A à Rimouski, avant le 7 octobre à 14 h.
Le syndic prendra connaissance des soumissions à ce moment, sans la présence des soumissionnaires
Dette de 470 000$
Raymond Chabot précise que le montant de la créance est de 470 000$ et que les trois principaux créanciers garantis sont la BDC, la SADC de la Neigette et la MRC Rimouski-Neigette.
« L’entreprise doit également environ 50 000$ à son principal fournisseur Sobeys et à quelques petits fournisseurs », souligne le responsable du dossier chez Raymond Chabot, Guyllaume Amyot.
Le Marché Familial de Saint-Anaclet (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Ce dernier explique que la diminution des ventes se fait sentir depuis quelques années et qu’il n’y a pas de lien à faire avec l’ouverture de Costco à Rimouski.
« La cause provient de problématiques qui traînent depuis un certain temps. Les revenus étaient insuffisants et on voyait une diminution des ventes dans les derniers mois et les dernières années. Cela a fragilisé la situation financière de l’entreprise ».
Des repreneurs ?
« Nous sommes déjà en contact avec des gens la MRC de Rimouski-Neigette et d’autres personnes qui nous ont contactés. On sent un certain intérêt à voit un commerce de proximité reprendre les actifs. C’est le processus qui va déterminer de la suite des choses », affirme monsieur Amyot.
Condamné à sept ans de prison en août 2022 à la suite de son arrestation lors de l’opération Oursin de lutte au trafic de stupéfiants, David Dumais fait de nouveau face à la justice.
L’accusé de 45 ans de Rimouski a été accusé d’avoir eu en sa possession de la cocaïne, le 6 mars dernier, à Rimouski.
Lorsque le juge Jérôme Simard lui a demandé s’il était au courant de l’accusation portée contre lui, il a mentionné la possession de cocaïne.
Dumais a informé le juge que son avocat, Me Pie
Condamné à sept ans de prison en août 2022 à la suite de son arrestation lors de l’opération Oursin de lutte au trafic de stupéfiants, David Dumais fait de nouveau face à la justice.
L’accusé de 45 ans de Rimouski a été accusé d’avoir eu en sa possession de la cocaïne, le 6 mars dernier, à Rimouski.
Lorsque le juge Jérôme Simard lui a demandé s’il était au courant de l’accusation portée contre lui, il a mentionné la possession de cocaïne.
Dumais a informé le juge que son avocat, Me Pierre Joyal, ne pouvait pas être présent. Il lui avait demandé de prendre la preuve du ministère public et de faire repousser le dossier à une date ultérieure.
Le procureur de la Couronne, Me Alex Turcotte, lui a remis la preuve et le dossier a été reporté au 20 octobre.
Hells Angels
Dumais est l’un des 32 individus arrêtés dans le cadre de l’Opération Oursin, tenue en 2019. Il a reçu une peine de sept ans de prison pour des accusations de complot, trafic de stupéfiants et recel de sommes d’argent issues de la criminalité.
Cette sentence tenait compte de son degré d’implication dans l’organisation dirigée par les Hells Angels, de ses nombreux antécédents judiciaires et des peines imposées aux autres individus de même réseau.
Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Dumais a dirigé le réseau de distribution de Rimouski et de Mont-Joli entre le 28 août et le 31 décembre 2018.
La preuve amassée contre lui consistait en de nombreuses conversations avec un agent civil d’infiltration, un homme de confiance de l’organisation qui a collaboré avec les forces policières.
Réseau de revendeurs
Dumais écoulait de la cocaïne, des méthamphétamines, de l’extasy et du cannabis à Rimouski et à Mont-Joli.
« Il devait fournir une » quote « de 13 000 $ à l’organisation pour avoir le droit de vendre des stupéfiants dans le secteur. Il a perdu son droit de vendre des stupéfiants le 31 décembre 2018 après que plusieurs de ses revendeurs avaient été arrêtés dans une opération précédente (Périmètre) et que ses ventes étaient en baisse », racontait la procureure de la Couronne, Me Martine Savard, de Québec.
En tenant compte de la détention préventive, il lui restait 716 jours de prison à faire lors de l’imposition de la peine en août 2022. La peine comprenait également une interdiction de posséder des armes de 10 ans.
Le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) a annoncé la levée de l’interdiction des heures supplémentaires à compter de lundi à minuit et une minute, heure de Montréal, et l’instauration d’une interdiction de la livraison de circulaires commerciales.
Par Craig Lord, La Presse Canadienne
La présidente du STTP, Jan Simpson, exhorte Postes Canada à retourner à la table de négociation dans l’espoir de mettre un terme au conflit avant les Fêtes.
Le syndicat interdit les
Le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) a annoncé la levée de l’interdiction des heures supplémentaires à compter de lundi à minuit et une minute, heure de Montréal, et l’instauration d’une interdiction de la livraison de circulaires commerciales.
Par Craig Lord, La Presse Canadienne
La présidente du STTP, Jan Simpson, exhorte Postes Canada à retourner à la table de négociation dans l’espoir de mettre un terme au conflit avant les Fêtes.
Le syndicat interdit les heures supplémentaires depuis la fin mai, alors qu’il tente d’obtenir une nouvelle convention collective avec Postes Canada.
À la fin du mois dernier, le syndicat a répondu aux dernières offres de la société d’État en avançant une proposition prévoyant des augmentations salariales, mais prévoyant aussi certaines indemnités pour les travailleurs à temps partiel.
Pas de réponse
Le service postal n’a pas encore répondu officiellement à ces propositions, mais a demandé au syndicat d’adapter ses attentes aux réalités financières difficiles de Postes Canada.
La société d’État affirme perdre des millions de dollars par jour, l’incertitude entourant les négociations collectives nuisant à ses activités.
Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme d’autres interruptions pour certains circuits de transport en ce lundi 15 septembre.
Ses transporteurs ont reçu d’autres inspections à faire sur les Autobus Lion, a indiqué le CSS dans une publication Facebook.
Les parents devront aller reconduire les enfants pour les circuits suivants: 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121.
« Nous essayons rapidement d’envoyer un courriel au
Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme d’autres interruptions pour certains circuits de transport en ce lundi 15 septembre.
Ses transporteurs ont reçu d’autres inspections à faire sur les Autobus Lion, a indiqué le CSS dans une publication Facebook.
Les parents devront aller reconduire les enfants pour les circuits suivants: 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121.
« Nous essayons rapidement d’envoyer un courriel aux parents concernés. Nous sommes vraiment désolé de cette situation », peut-on lire sur la page du CSS des Phares.
D’autres centres de services scolaires de la province ont aussi annoncé que le transport scolaire demeurerait suspendu pour le 15 septembre.
À la suite d’un accident à Montréal
Des annulations du transport scolaire ont eu lieu, vendredi dernier. Le gouvernement Legault a annoncé jeudi soir que les quelque 1200 autobus scolaires de Lion qui circulent sur les routes du Québec seront à l’arrêt le temps de procéder à des inspections.
Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu mardi à Montréal, lors duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.
L’entreprise a indiqué dans un communiqué transmis vendredi soir qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».
La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé son plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque LION-C.
Le 12e Challenge Vélo Plein Air, présenté ce samedi 13 septembre, a permis d’amasser 53 605$, dépassant largement l’objectif fixé à 40 000$ pour la Maison Marie-Élisabeth.
Le défi cycliste, réalisé en collaboration avec Vélo Plein Air et sous la présidence d’honneur de Desjardins, se déroulait en deux parcours, par la route sur 80 kilomètres et par la montagne sur 50 kilomètres.
En tout, 90 cyclistes, soit 66 à vélo de montagne et 24 sur route, ont pris part à l’événement tenu de Rimousk
Le 12e Challenge Vélo Plein Air, présenté ce samedi 13 septembre, a permis d’amasser 53 605$, dépassant largement l’objectif fixé à 40 000$ pour la Maison Marie-Élisabeth.
Le défi cycliste, réalisé en collaboration avec Vélo Plein Air et sous la présidence d’honneur de Desjardins, se déroulait en deux parcours, par la route sur 80 kilomètres et par la montagne sur 50 kilomètres.
« La météo était parfaite et les participants enthousiastes. Je remercie personnellement tous les partenaires et les cyclistes, qui, en plus de leur défi, ont réalisé une collecte de fonds au-delà de nos attentes. Nous avons eu aussi une participation exceptionnelle d’équipes qui se sont formées avec six d’entreprises et trois de familles, qui se sont données à fond pour leur levée de fonds », a indiqué le président d’honneur, Pierre Côté, de Desjardins Entreprises – Bas-Saint-Laurent, dans un communiqué.
Reconnaissance à un participant de longue date
Le prix « Endurance », offert pour la quatrième fois dans l’histoire du Challenge, a été remis à Claude Gagné, qui se démarque par sa fidélité à la cause.
« Il est toujours présent d’une façon ou d’une autre. Le comité organisateur du Challenge félicite Claude Gagné et remercie chaleureusement la Fondation Jack Herbert pour ce magnifique prix! », indique la directrice générale de la Maison Marie-Élisabeth, Paule Côté.
Des cyclistes sur route prenant part au Challenge Vélo Plein Air. (Photo courtoisie Carol-Ann Guy)
En 12 ans, le Challenger Vélo Plein Air a permis à la maison Marie-Élisabeth de recueillir plus de 338 000$, destinés aux soins et services offerts gratuitement par l’établissement de soins palliatifs de Rimouski, aux patients et à leurs proches.
Chaque année, la Maison Marie‑Élisabeth doit recueillir plus d’un millions de dollars afin de perpétuer sa mission.
Après Arianne Gallant-Sicotte, la Sûreté du Québec a confirmé, dimanche après-midi, avoir retrouvé Jessy Corbin, saine et sauve, dans le secteur de Mont-Joli. L’adolescente de 15 ans manquait à l’appel depuis le 10 septembre dernier.
Les autorités ont lancé un avis de recherche, le 12 septembre, après leur disparition deux jours plus tôt survenue en début de soirée dans le secteur de l’avenue Ross.
Leurs proches craignaient pour leur santé et leur sécurité.
La SQ avait annoncé avoir l
Après Arianne Gallant-Sicotte, la Sûreté du Québec a confirmé, dimanche après-midi, avoir retrouvé Jessy Corbin, saine et sauve, dans le secteur de Mont-Joli. L’adolescente de 15 ans manquait à l’appel depuis le 10 septembre dernier.
Les autorités ont lancé un avis de recherche, le 12 septembre, après leur disparition deux jours plus tôt survenue en début de soirée dans le secteur de l’avenue Ross.
Leurs proches craignaient pour leur santé et leur sécurité.
C’est avec deux victoires sur les patinoires adverses que les Pionniers du Cégep de Rimouski en hockey ont amorcé la nouvelle saison de la Ligue collégiale du Québec.
Après avoir eu le meilleur sur les Dragons du Collège Laflèche, samedi à Trois-Rivières, ils ont défait les Titans de Limoilou par 6-4, dimanche à Québec.
Samedi, Émerick Allison a marqué deux buts dans une victoire de 5-2. Gabriel-Alexis Bisson, Noah Belzile et Jérémie Leclerc ont complété. Belzile a aussi deux passes.
L
C’est avec deux victoires sur les patinoires adverses que les Pionniers du Cégep de Rimouski en hockey ont amorcé la nouvelle saison de la Ligue collégiale du Québec.
Après avoir eu le meilleur sur les Dragons du Collège Laflèche, samedi à Trois-Rivières, ils ont défait les Titans de Limoilou par 6-4, dimanche à Québec.
Samedi, Émerick Allison a marqué deux buts dans une victoire de 5-2. Gabriel-Alexis Bisson, Noah Belzile et Jérémie Leclerc ont complété. Belzile a aussi deux passes.
Les Pionniers ont largement dominé dans la colonne des lancers avec 45 contre 20.
Dimanche, les Pionniers ont connu un autre bon match offensif avec les trois premiers buts de la rencontre en première période. Robin Henry en a deux dans le match, les autres allant à Gabriel Dumais, Jérémie Leclerc, Samuel Miousse et Gabriel-Alexis Bisson.
Les deux gardiens, William Castonguay et Mathieu Albert, ont inscrit chacun une victoire à leur dossier en ce début de saison.
« Nous avons eu un premier week-end fort satisfaisant. L’effort et l’application du système de jeu, particulièrement dans les phases de jeux offensives, ont été excellents pendant les deux matchs. Nous avons eu de bons moments avec nos quatre trios et nos trois paires de défenseurs. C’est donc encourageant pour les semaines à venir. Nous avons quelques ajustements défensifs à faire, mais, si l’attitude et l’éthique de travail demeurent ainsi, les résultats seront positifs », a commenté le nouvel entraineur-chef, Nicholas Duchesne, dans un bilan de la fin de semaine au journal numérique Le Soir.
À venir
Les Pionniers inaugureront leur calendrier local samedi prochain, 18 h 45, en recevant les Titans au Complexe sportif Desjardins.
Pour leur part, les Pionnières amorceront leur saison 25-26 en accueillant les Lynx du Cégep Édouard-Montpetit samedi à 15 h 30 et les Filons du Cégep de Thetford, dimanche à midi.
Une étude recommande de pratiquement tripler le nombre de stations de lavage des embarcations au Bas-Saint-Laurent pour freiner la propagation des espèces exotiques envahissantes. Le portrait élaboré par le Collectif régional de développement (CRD) du Bas-Saint-Laurent est inquiétant.
Les espèces envahissantes sont déjà installées dans plusieurs plans d’eau de la région. De nombreux lacs à risque de propagation ne sont pas protégés par des stations de lavage et les municipalités n’ont pas tou
Une étude recommande de pratiquement tripler le nombre de stations de lavage des embarcations au Bas-Saint-Laurent pour freiner la propagation des espèces exotiques envahissantes. Le portrait élaboré par le Collectif régional de développement (CRD) du Bas-Saint-Laurent est inquiétant.
Les espèces envahissantes sont déjà installées dans plusieurs plans d’eau de la région. De nombreux lacs à risque de propagation ne sont pas protégés par des stations de lavage et les municipalités n’ont pas toutes la volonté d’agir.
Actuellement, la moule zébrée est présente dans le lac Témiscouata. Des tests menés en 2023 ont répertorié des traces d’ADN de moules zébrées dans huit autres plans d’eau, dont le lac des Aigles, le lac Matapédia, le lac Mitis, le lac Saint-Mathieu et le Grand Lac Squatec.
À l’est, ce sont les vivipares géorgiens et chinois, de gros escargots, qui envahissent les lacs Matapédia, du Gros-Ruisseau, Casault et Causapscal.
La présence d’ADN environnemental ne confirme pas la présence de moules zébrées, mais les risques sont élevés. Pour les autres lacs, on ne sait pas. Le portrait dressé par le CRD illustre le manque de données pour la détection des espèces envahissantes.
La mairesse de Saint-Marcellin, Julie Thériault. (Photo Facebook)
Cet été, des capteurs ont été installés dans certains lacs, comme le lac Noir à Saint-Marcellin. La mairesse, Julie Thériault, est inquiète.
« C’est un enjeu préoccupant, avec la difficulté de contrôler tout ça. Les lave-bateaux, c’est un beau projet, mais ce n’est pas facile d’avoir un vrai contrôle sur les déplacements des gens. C’est un projet qui est sur la table depuis au moins quatre ans. Il faut travailler fort! » La mairesse espère y arriver l’an prochain.
Multiplier les stations de lavage
Les plaisanciers, qui vont de lac en lac, sont le principal vecteur de propagation des espèces exotiques envahissantes.
Les larves voyagent en se collant à la coque des bateaux. La solution: laver les embarcations et les équipements à l’entrée et à la sortie du lac.
Actuellement, il y 17 stations de lavage des embarcations au Bas-Saint-Laurent, concentrées au Témiscouata et dans la Matapédia. Il en faudrait au moins 45 et non seulement autour des lacs, selon la biologiste au CRD, Océane Perillous.
« C’est irréaliste d’en mettre partout. Il faut cibler des axes routiers stratégiques, où il y a beaucoup de circulation, pour intercepter les plaisanciers et obliger le lavage des embarcations. »
Moules zébrées provenant du lac Témiscouata. (Photo prise par l’OBVNEBSL)
La prévention passe aussi par la sensibilisation des propriétaires de bateaux, explique Alexa Bérubé Deschênes de l’Organisme des bassins versants du Nord-Est du Bas-Saint-Laurent. « Il va falloir des changements de comportements. Les sensibiliser et les resensibiliser. Et ça va prendre du temps. »
Du temps qui risque de manquer, rappelle Océane Perillous. « On essaie de tout mettre en œuvre pour éviter que les espèces se propagent. La moule zébrée fait de gros dégâts et coûte très cher. Il faut éviter à tout prix qu’elle s’installe partout. »
Au total, 15 emplacements de stations ont été identifiés, dont 4 sont déjà envisagés par les municipalités. Les 11 nouvelles stations suggérées sont localisées à Trois-Pistoles, à Saint-Ulric, à Saint-Damase, dans la Zec Casault, à Mont-Joli, au parc du Bic, à Rimouski et à Saint-Narcisse.
Le CRD propose aussi des stations mobiles pour desservir les Zecs. Aucune station de lavage n’est présente sur les territoires fauniques du Bas-Saint-Laurent, alors qu’ils sont fortement fréquentés et qu’ils possèdent des sites exceptionnels.
Les coûts d’exploitation font peur
Actuellement, sept municipalités ont déposé une demande d’aide financière pour mettre en place une station de lavage, qui coûte autour de 50 000$. Huit autres ont montré un intérêt, mais n’ont pas demandé de subvention, alors qu’une dizaine n’ont aucun intérêt dans le projet, bien que les stations soient considérées comme prioritaires.
C’est un grand défi pour les organismes de bassins versants, souligne Alexa Bérubé Des-chênes. « C’est difficile en raison des frais d’exploitation, en plus de devoir embaucher du per-sonnel pour les faire fonctionner. Les municipalités sont réticentes à embarquer. On est à l’étape de les mobiliser parce qu’on a un besoin urgent de stations de lavage. »
Le CRD recommande d’ailleurs de créer un fonds régional pour aider les municipalités et les MRC à couvrir les coûts d’installation et d’exploitation. L’organisme suggère aussi aux munici-palités de partager leurs ressources.
Les plaisanciers, qui vont de lac en lac, sont le principal vecteur de propagation des espèces exotiques envahissantes. (Photo Le Soir.ca – Bruno St-Pierre)
Au Bas-Saint-Laurent, 40% des lacs présentent un risque élevé ou très élevé d’être envahis par les espèces exotiques envahissantes.
La MRC de Rimouski-Neigette présente la proportion la plus élevée de lacs classés à haut risque, suivie par La Mitis et La Matapédia.
L’école Sainte-Marie de Sayabec, gagnante du défi des Cubes énergie du Grand défi Pierre Lavoie au Bas-Saint-Laurent, recevra la visite de l’équipe du Grand défi, ce mardi 16 septembre.
Cette récompense, issue de la compétition qui a eu lieu en mai dernier partout au Québec, permettra aux élèves de vivre une journée d’activités et de recevoir des prix pour leur engagement.
Chaque enfant recevra notamment une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie, conçus pour l’occasion par le
L’école Sainte-Marie de Sayabec, gagnante du défi des Cubes énergie du Grand défi Pierre Lavoie au Bas-Saint-Laurent, recevra la visite de l’équipe du Grand défi, ce mardi 16 septembre.
Cette récompense, issue de la compétition qui a eu lieu en mai dernier partout au Québec, permettra aux élèves de vivre une journée d’activités et de recevoir des prix pour leur engagement.
Chaque enfant recevra notamment une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie, conçus pour l’occasion par le Grand défi Pierre Lavoie.
La tournée La Grande récompense à ton école récompensera plus de 3 400 jeunes à travers la province.
Chaque enfant de Sayabec recevra une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie. (Photo courtoisie)
Le Grand défi Pierre Lavoie débutera sa tournée ce lundi 15 septembre à l’école Saint-Paul-de-Pabos, à Chandler.
Il y a des départs qui laissent un vide immense et d’autres qui révèlent soudain l’ampleur d’une présence qu’on n’avait peut-être pas assez mesurée. La mort de Guy Rocher, survenue le 3 septembre à l’âge vénérable de 101 ans, appartient à cette seconde catégorie.
Son legs dans nos régions
Dans les grandes villes, on salue le géant de la sociologie, l’architecte de la Révolution tranquille, l’homme qui a contribué à façonner le rapport Parent. Ces hommages sont mérités, bien évidemment. Mai
Il y a des départs qui laissent un vide immense et d’autres qui révèlent soudain l’ampleur d’une présence qu’on n’avait peut-être pas assez mesurée. La mort de Guy Rocher, survenue le 3 septembre à l’âge vénérable de 101 ans, appartient à cette seconde catégorie.
Son legs dans nos régions
Dans les grandes villes, on salue le géant de la sociologie, l’architecte de la Révolution tranquille, l’homme qui a contribué à façonner le rapport Parent. Ces hommages sont mérités, bien évidemment. Mais, c’est peut-être dans nos régions, loin des projecteurs et des tribunes officielles, que l’œuvre de cet homme prend sa dimension la plus touchante.
Quand Guy Rocher parlait de démocratisation de l’éducation, il ne philosophait pas dans l’abstrait. Il dessinait l’avenir de milliers de jeunes qui, sans ses idées révolutionnaires, auraient peut-être renoncé à leurs rêves, faute d’accès.
Ces cégeps qui ponctuent aujourd’hui notre territoire, de Rimouski à Gaspé, en passant par Matane et Amqui, sont autant de phares allumés par sa vision. Avant lui, combien de nos enfants devaient s’exiler vers les grands centres pour poursuivre leurs études collégiales ? Pire encore, combien y renonçaient tout simplement ?
Le Cégep de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Son legs se lit dans chaque diplôme remis dans nos établissements régionaux, dans chaque programme délocalisé qui permet à un étudiant de maîtriser les sciences ou les arts sans quitter sa terre natale.
Quand l’Université du Québec à Rimouski accueille ses étudiants, quand le Cégep de Matane ou celui de Gaspé ouvre ses portes chaque automne, c’est un peu l’esprit de Guy Rocher qui anime ces lieux d’apprentissage.
Son message demeure vivant
Mais, au-delà des pierres et des programmes, c’est une philosophie profondément humaine que ce sociologue a semée dans notre société. Dans un Québec qui cherchait encore son identité, il a affirmé que nos accents, nos expressions, nos façons particulières d’être au monde méritaient respect et reconnaissance.
Pour nous, qui portons parfois nos origines comme un fardeau dans un monde qui privilégie l’uniformité urbaine, son message demeure bien vivant.
Guy Rocher n’était pas né dans l’Est-du-Québec. Encore mieux, il était l’homme de tous les territoires du Québec, de toutes ces communautés qu’on disait jadis vouées au sous-développement. Il a cru en nous avant que nous n’osions pleinement croire en nous-mêmes.
L’Université du Québec à Rimouski (Photo archives)
Aujourd’hui, quand une étudiante de Rimouski obtient son diplôme universitaire, quand un chercheur de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski publie ses travaux, quand un créateur de Gaspé ou de Percé voit son œuvre reconnue, il y a un peu de Guy Rocher dans cette réussite. Car, il a contribué à bâtir un système qui rend ces parcours possibles, qui transforme les rêves en réalités.
Héritiers de Guy Rocher
Dans le grand concert d’hommages qui accompagne son départ, nos voix régionales peuvent sembler modestes. Pourtant, nous sommes peut-être ceux qui incarnons le mieux sa réussite : une société où l’excellence intellectuelle n’est plus l’apanage d’une élite géographique, où l’on peut naître n’importe où au Québec et prétendre aux plus hautes sphères du savoir.
Guy Rocher s’en est allé, mais son écho résonne encore dans nos écoles, nos universités, nos ambitions collectives. Nous sommes tous un peu ses héritiers et c’est là le plus bel hommage que nous puissions lui rendre.
Le Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 exprime son mécontentement face à l’absence d’engagement clair de la MRC de Rimouski-Neigette. Ses membres marcheront de nouveau sur la Promenade de la mer, le samedi 11 octobre prochain, afin de réclamer des actions concrètes des différents paliers gouvernementaux.
« Comment peut-on rester silencieux devant des enjeux aussi cruciaux que la sécurité routière, le développement économique et la qualité de vie des citoyens? », s’interroge le comi
Le Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 exprime son mécontentement face à l’absence d’engagement clair de la MRC de Rimouski-Neigette. Ses membres marcheront de nouveau sur la Promenade de la mer, le samedi 11 octobre prochain, afin de réclamer des actions concrètes des différents paliers gouvernementaux.
« Comment peut-on rester silencieux devant des enjeux aussi cruciaux que la sécurité routière, le développement économique et la qualité de vie des citoyens? », s’interroge le comité, dans un communiqué transmis aux médias.
Les participants parcourront la distance entre la place des Anciens-combattants et l’avenue Julien-Réhel.
Celui-ci réclame des mesures immédiates pour compléter les kilomètres manquants entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski. En cas de pluie, l’activité sera reporté au lendemain.
En août dernier, Le Soir.ca rapportait que la MRC de Rimouski-Neigette a fait savoir qu’elle n’offre pas son soutien au Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski, invoquant « l’absence de projets concrets ou d’avancées tangibles dans ce dossier ». La position des élus provoque la grogne du comité citoyen.
Plus nuancé par la suite, le préfet Francis Saint-Pierre a rétorqué, dans les jours suivant, qu’il préférait attendre avant de donner son soutien au comité, évoquant notamment qu’il n’avait pas consulté tous les maires de la région.
Reprise des études
Depuis l’arrêt du financement au printemps dernier, le comité demande que des études soient reprises, notamment pour la portion la moins avancée du projet, soit le segment de 47 kilomètres entre Trois-Pistoles et Rimouski.
Ce tronçon, qui traverse des zones densément fréquentées comme Saint-Simon et Saint-Fabien, enregistre plus de 12 000 véhicules par jour en période estivale, avec un volume croissant de transport lourd.
Des véhicules circulent sur la route 132 à Saint-Simon. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
« À cela s’ajoute le secteur de Notre-Dame-des-Neiges, entre la rue du Sault, la rue de la Grève et la rue Notre-Dame, à l’entrée de Trois-Pistoles. Le trafic atteint 13 700 véhicules durant l’été. Ces chiffes démontrent l’urgence d’agir », indique le comité.
Le comité appelle tous les citoyens concernés ainsi que les acteurs économiques et politiques à se joindre au mouvement.
Partout dans la province et ailleurs sur Internet, la plus importante émission radiophonique hebdomadaire consacrée à la chasse, à la pêche et au plein air au Québec, « Rendez-Vous Nature », revient à la radio et au web pour une 12e saison.
En 2025-2026, « Rendez-Vous Nature » sera diffusée sur 30 fréquences radio et web à travers la province, dont FLO 96,5, chaque dimanche, à 11 h.
Animée par Ernie Wells, l’émission donne la parole aux acteurs de la chasse, de la pêche, du piégeage, du c
Partout dans la province et ailleurs sur Internet, la plus importante émission radiophonique hebdomadaire consacrée à la chasse, à la pêche et au plein air au Québec, « Rendez-Vous Nature », revient à la radio et au web pour une 12e saison.
En 2025-2026, « Rendez-Vous Nature » sera diffusée sur 30 fréquences radio et web à travers la province, dont FLO 96,5, chaque dimanche, à 11 h.
Animée par Ernie Wells, l’émission donne la parole aux acteurs de la chasse, de la pêche, du piégeage, du camping, de la motoneige et du plein air au Québec.
Elle s’appuie sur une équipe de collaborateurs réguliers et sur la plateforme Rendez-vous Nature.ca, le seul site Web offrant des nouvelles quotidiennes sur la chasse, la pêche et le plein air au Québec.
Parmi les collaborateurs, on retrouve notamment Stéphane Monette, Alexis Nantel, Jean Larivière, Julien Cabana et Mario Ross.
« Rendez-Vous Nature » accueille des biologistes et des experts du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs.
Sur Le Soir.ca et Rendez-Vous Nature.ca
Toutes les émissions seront également disponibles en balado, chaque semaine, sur le site du Soir.ca et de rendez-vousnature.ca.
Des orignaux en forêt (Photo courtoisie Réseau Zec)
Produite à Rimouski, « Rendez-Vous Nature » est l’émission de référence au Québec en matière de chasse, pêche et plein air.
Grâce à son réseau d’antennes et à sa diffusion sur le web, elle rejoint chaque semaine des milliers de passionnés, tout en contribuant à la promotion, à l’éducation et à la sécurité des activités de plein air.
Portée disparue depuis vendredi, Arianne Gallant-Sicotte a été retrouvée saine et sauve dans le secteur de Mont-Joli, confirme la Sûreté du Québec.
Les autorités recherchent toujours Jessy Corbin, 15 ans, toujours manquante. Elles demandent à la population de rester vigilante et de signaler toute information pertinente.
Les deux adolescentes de Rimouski avaient été vues pour la dernière fois le 10 septembre dernier, vers 18 h, dans le secteur de l’avenue Ross. Leurs proches craignaient pou
Les deux adolescentes de Rimouski avaient été vues pour la dernière fois le 10 septembre dernier, vers 18 h, dans le secteur de l’avenue Ross. Leurs proches craignaient pour leur santé et leur sécurité.
Jessy Corbin mesure 1,65 m (5 pi 5 po) et pèse 52 kg (115 lb). Elle a les cheveux blonds, les yeux verts et porte deux piercings au nez. Au moment de sa disparition, elle portait un pantalon beige et un coton ouaté rose. Elle a deux piercings au nez
Toute personne qui apercevrait Jessy Corbin est priée de composer immédiatement le 911.
Il est également possible de transmettre toute information, de manière confidentielle, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec, au 1 800 659-4264.
La Ligue de hockey senior de l’Est-du-Québec fait maintenant cavalier seul depuis qu’elle s’est désaffiliée de Hockey Québec. Comme annoncé le printemps dernier par Le Soir, l’organisation a décidé d’adopter ses propres règles.
On reprochait à Hockey Québec son manque de flexibilité, notamment en ce qui a trait aux règlements sur les batailles qui n’étaient pas adaptés à des adultes. Hockey Québec applique les mêmes règles dans toutes ses ligues, qu’il s’agisse de mineurs ou de seniors.
L
La Ligue de hockey senior de l’Est-du-Québec fait maintenant cavalier seul depuis qu’elle s’est désaffiliée de Hockey Québec. Comme annoncé le printemps dernier par Le Soir, l’organisation a décidé d’adopter ses propres règles.
On reprochait à Hockey Québec son manque de flexibilité, notamment en ce qui a trait aux règlements sur les batailles qui n’étaient pas adaptés à des adultes. Hockey Québec applique les mêmes règles dans toutes ses ligues, qu’il s’agisse de mineurs ou de seniors.
Les gouverneurs des équipes des Excavations Léon Chouinard de Mont-Joli, du Bar Laser de Causapscal, des Castors Côté Automobiles de Matane, des Fondations B.A. de Trois-Pistoles, des Corsaires de Forillon et des Vikings du Rocher se sont mis d’accord sur les orientations que le circuit devait prendre.
« Il n’était pas question de retourner à ce que la ligue était à ses débuts. Ça veut dire que nous ne voulons pas de joueurs qui sont uniquement en uniforme pour se battre », explique le directeur général des Castors Côte Automobiles, Brian Bernier.
Nouveaux règlements
Dorénavant, un joueur qui se bat lors d’un match sera expulsé, mais sera suspendu seulement après trois occurrences. Les matchs de suspension seront cumulatifs.
« Ça veut dire qu’une fois la suspension purgée, le joueur ne bénéficie pas de trois autres batailles avant d’être suspendu à nouveau », précise Bernier. L’an dernier, sous Hockey Québec, une bataille équivalait à une suspension automatique.
De plus, dans le cas où un joueur entamerait une bataille avec un autre joueur qui ne voulait pas se battre, l’instigateur écopera d’un match de suspension.
Une séquence du match entre les Corsaires de Forillon et le Bar Laser de Causapscal. (Photo courtoisie Maxime Amyot)
« On ne veut pas des pères de famille qui se font arracher la tête par un joueur qui ne sait pas jouer au hockey alors qu’il travaille le lundi matin. C’est hors de question », martèle Brian Bernier.
Ce dernier est d’avis que la ligue est en mesure d’établir ses propres règles qui sont adaptées pour des adultes, ce que Hockey Québec n’était pas en mesure d’offrir.
« On ne se cachera pas non plus qu’une adhésion à Hockey Québec coûte excessivement cher en échange d’un soutien qui n’est pas à la hauteur de nos attentes. Maintenant que nous ne donnons plus notre argent à Hockey Québec, on peut l’investir de manière beaucoup plus judicieuse pour notre personnel qui fait un travail incroyable. »
Plus de matchs en séries
La prochaine saison s’entamera au début de novembre. Chaque formation disputera 14 parties en saison régulière, réparties sur 10 fins de semaine, comprenant des rencontres entre Noël et le jour de l’An. En 2025-2026, Causapscal rejoindra Forillon et Le Rocher dans la division Est, alors que Trois-Pistoles, Mont-Joli et Matane composeront la division Ouest.
Le format des séries éliminatoires a aussi été modifié. L’équipe qui termine première de chaque division obtiendra un laissez-passer. La première ronde opposera les 2e et 3e positions de la même division dans des affrontements 2 de 3.
Les Fondations B.A affrontent les Castors Côté Automobiles de Matane à l’Aréna Bertrand-Lepage de Trois-Pistoles. (Photo courtoisie Jean-Claude Pelletier)
Les demi-finales seront des séries 3 de 5, alors que la Ligue de l’Est souhaite que sa finale soit disputée dans un format 4 de 7.
Pour ce qui est de Desjardins, bien que le nom ne soit plus associé directement au nom de la ligue, la coopérative contribue en commanditant les différentes équipes dans chaque territoire.
Paul McCartney est assurément le créateur de chansons le plus populaire et le plus prolifique au monde! Dans ce livre prodigieux, il raconte, dans ses propres mots, des souvenirs personnels et des anecdotes autour de pas moins de 160 chansons qu’il a composées, sur une période de près de 70 ans. Tout un exploit!
Un vrai régal pour tous les maniaques de la discographie de l’ex-Beatles et de l’ex-Wings. En toute franchise et sans pudeur, le génial musicien explique ses sources d’inspiration, qu
Paul McCartney est assurément le créateur de chansons le plus populaire et le plus prolifique au monde! Dans ce livre prodigieux, il raconte, dans ses propres mots, des souvenirs personnels et des anecdotes autour de pas moins de 160 chansons qu’il a composées, sur une période de près de 70 ans. Tout un exploit!
Un vrai régal pour tous les maniaques de la discographie de l’ex-Beatles et de l’ex-Wings. En toute franchise et sans pudeur, le génial musicien explique ses sources d’inspiration, qui remontent parfois à son enfance à Liverpool.
Il cite les grandes influences de sa vie artistique. Ses relations humaines avec son entourage sont amplement racontées, tout comme les relations parfois turbulentes avec son célèbre partenaire John Lennon, pour qui il a toujours eu un grand respect.
Impossible, évidemment, de résumer ce gros bouquin. Contentons-nous de dévoiler quelques éléments sur la façon de travailler de McCartney. Qu’est-ce qui l’inspire ? Comment réussit-il à inventer des chansons, paroles et musique ?
La musique avant les paroles
Première surprise : McCartney affirme que 98 % de ses chansons naissent d’une idée musicale et non d’une idée de paroles. C’est par la suite qu’il écrit les couplets.
Ça lui prend trois à quatre heures pour écrire une chanson, d’un seul trait. Selon lui, ça n’aurait aucun sens de la finir plus tard. Il éprouve toujours un sentiment de vide avant la création d’une chanson. Et il travaille généralement assis.
On peut « apprendre à laisser les cadences, les rythmes, les rimes venir naturellement », dit-il, et c’est ainsi que les chansons s’imposent.
L’une des clés de sa créativité, considère-t-il, c’est qu’il se met facilement dans la peau de différentes personnes pour composer des histoires. Bref, il ne faut pas se contenter de regarder son propre nombril.
Pour les paroles, il est important d’offrir des images visuelles, de « se laisser aller à la fantaisie » et d’accepter que ça prenne des directions inattendues.
Il a toujours voulu rester positif dans ses chansons, avec un style direct et un langage compréhensible.
« J’aime les vérités simples », dit-il. Il arrive facilement à s’identifier à la vie de famille, aux enfants qui jouent dans la cour. Il aime parler à tout le monde. Une rencontre imprévue ou un détail accidentel peuvent inspirer une chanson.
Dès sa jeunesse, McCartney estime qu’il a eu la chance de se familiariser à toutes sortes de réalités sociales et culturelles, par la lecture, la peinture, la télévision ou la musique.
Paul McCartney, à l’époque des Beatles. (Photo Wikipédia)
En musique, par exemple, il avoue avoir été inspiré par le blues et le R&B (Chuck Berry, Little Richard). Il a aussi été attiré par la chanson française de l’époque, avec Piaf et Brel. Il reconnaît également la contribution de Bob Dylan et des Beach Boys.
Comme beaucoup d’habitants de Liverpool, McCartney est fier des origines irlandaises de sa famille. Il a l’impression que son aptitude à jouer avec les mots lui vient en partie de cette fibre ancestrale.
C’est d’ailleurs ce qu’il aime de la langue anglaise : « on peut interpréter les choses de différentes façons ».
Jouer sur les mots
Dans la chanson Penny Lane, par exemple, se trouve un joli calembour en anglais : l’infirmière qui vend sur la rue des coquelicots (puppies) s’est retrouvée pour certains auditeurs à vendre des chiots (poppies).
Ticket to Ride (un billet pour voyager) a fourni un amusant jeu de mots avec « Ticket to Ryde », une petite ville d’Angleterre où sa cousine tenait un pub.
Dans Too Many People, McCartney rigolait du morceau de gâteau (piece of cake) qui pouvait se transformer en vulgaire « Piss off cake ».
Dans She Loves You, il répète plusieurs fois « Yeah, yeah, yeah », une tournure de l’argot américain, alors que son père aurait souhaité qu’il s’exprime correctement, avec des « Yes, yes, yes ».
Pour la chanson Got to Get You Into My Life (Je dois te faire entrer dans ma vie), le compositeur avoue honnêtement qu’il était question de marijuana, substance que son groupe avait découvert en 1964. C’était impossible de le dire ouvertement dans les années 1960, si on voulait passer à la radio.
L’album Sergeant Pepper’s n’a pas du tout été conçu dans un esprit de nostalgie, mais bien dans un besoin de libération. Après la tournée démentielle de la Beatlemania en Amérique, McCartney n’avait pas envie de faire encore un autre album des Beatles, à la façon habituelle.
En 1966, il imagine mettre en place un nouveau groupe musical, avec un contexte très différent, pour se libérer de cette pression de la célébrité. L’orchestre des cœurs solitaires du sergent Pepper est né de ce besoin.
She’s Leaving Home (Elle quitte la maison) aurait été créée à partir d’un article de journal sur une étudiante qui avait disparu de la maison de ses parents.
Why Don’t We Do It in the Road (Pourquoi on ne fait pas ça sur la route ?) a été composée après que McCartney a vu deux singes copuler dans la nature en Inde! Ça semblait « si naturel », affirme-t-il.
L’archi-connue Yesterday (Hier) a bourgeonné avec un air qui s’est déclenché dans sa tête un bon matin. Il croyait qu’il fredonnait une chanson déjà connue et il a dû vérifier avec son entourage.
Les premiers mots qui sont venus pour cette chanson, c’était Scrambled Eggs (Œufs brouillés).
McCartney a aussi connu de virulentes critiques, surtout du temps de Wings, alors qu’il a pondu plusieurs ballades un peu trop sirupeuses. Il a répondu avec Silly Love Songs (Chansons d’amour débiles), affirmant que c’est l’amour qui rend la vie meilleure. Et que c’est trop facile d’être cynique.
C’est une dame qui enseignait le français qui a proposé à McCartney les quelques mots en français qui se retrouvent dans sa chanson Michèle.
Deux des chansons des Beatles, She Loves You et I Want to Hold Your Hand, ont même été enregistrées en version allemande.
À l’époque, pour sortir un disque en Allemagne, « il fallait que les paroles soient en allemand »! C’était avant que l’anglais ne devienne la tentaculaire langue internationale de la chanson populaire.
Paul McCartney, Paroles et souvenirs, de 1956 à aujourd’hui, (traduit en français), écrit dans le cadre de conversations entre Paul McCartney et Paul Muldoon, Buchet Chastel, 2024, 586 pages, 55 $.
Les Braves Batitech n’ont pas dit leur dernier mot. Ils ont comblé des déficits de 6-0 et 13-8, samedi soir, pour finalement l’emporter par 14-13 face au Bérubé GM de Trois-Pistoles qui mène maintenant la série finale par 3-2.
La formation des Basques s’était donné une priorité de 6-0 en milieu de 5e manche grâce notamment aux longues balles en solo d’Élie Belzile et Stéphane Pouliot.
Les Braves Batitech seront de retour à Trois-Pistoles mardi soir (Photo archives – Alain Tremblay)
M
Les Braves Batitech n’ont pas dit leur dernier mot. Ils ont comblé des déficits de 6-0 et 13-8, samedi soir, pour finalement l’emporter par 14-13 face au Bérubé GMde Trois-Pistoles qui mène maintenant la série finale par 3-2.
La formation des Basques s’était donné une priorité de 6-0 en milieu de 5e manche grâce notamment aux longues balles en solo d’Élie Belzile et Stéphane Pouliot.
Les Braves Batitech seront de retour à Trois-Pistoles mardi soir (Photo archives – Alain Tremblay)
Mais, les Braves ont tout de suite répliqué avec une poussée de huit points en fin de 5e, poussée couronnée par un double de deux points de Michaël Morin aux dépens du releveur Tristan Michaud-Thériault, appelé au monticule après avoir effectué 108 lancers la veille.
Ça n’a aucunement affecté les visiteurs qui ont utilisé leur arme favorite, les bâtons, pour croiser le marbre sept fois en début de 6e manche pour reprendre les devants 13-8. Mais, les Braves n’avaient pas dit leur dernier mot avec une poussée de cinq points pour faire 13-13 après six manches.
En fin de 7e, le simple de Samuel Pearson, avec les buts remplis et aucun retrait, a fait marquer Takuto Kanno qui avait ouvert la manche avec un simple aux dépens du perdant, Ludovic Saucier. C’est Étienne Bergeron qui est le lanceur gagnant dans cette partie ponctuée de sept erreurs.
Alexis Pelletier a frappé quatre coups sûrs pour porter sa moyenne à ,408 dans les présentes séries. (Photo archives – Alain Tremblay)
Le match no 6 sera présenté mardi soir à Trois-Pistoles. Le repos de quelques jours fera grand bien aux deux personnels de lanceurs qui sont visiblement à bout de ressources. Les Braves doivent notamment composer avec l’absence du Japonais Kodai Kambara, blessé en demi-finale.
Cette série a été ponctuée jusqu’ici de 86 points en cinq parties, dont 48 par Trois-Pistoles.
Une collision entre deux véhicules dans une zone de travaux a fait un mort, tard vendredi soir, à Maria, en Gaspésie.
Par La Presse Canadienne
L’intervention des services d’urgence a été demandée vers 23 h 30 sur le boulevard Perron, près de la rue des Engoulevents, sur le bord de l’eau.
« Selon les premières informations, un véhicule circulant en direction est sur le bouvard Perron serait entré en collision avec un véhicule qui était à l’arrêt devant un feu rouge, dans la même directio
Une collision entre deux véhicules dans une zone de travaux a fait un mort, tard vendredi soir, à Maria, en Gaspésie.
Par La Presse Canadienne
L’intervention des services d’urgence a été demandée vers 23 h 30 sur le boulevard Perron, près de la rue des Engoulevents, sur le bord de l’eau.
« Selon les premières informations, un véhicule circulant en direction est sur le bouvard Perron serait entré en collision avec un véhicule qui était à l’arrêt devant un feu rouge, dans la même direction », a expliqué Laurie Avoine, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ).
La victime est un résident de la réserve autochtone de Gesgapegiag. L’homme dans la vingtaine a succombé à ses blessures à l’hôpital.
L’autre conducteur, un homme dans la trentaine, a également été transporté à l’hôpital pour des blessures importantes, mais sa vie n’est pas menacée.
« Un policier formé en enquête collision s’est rendu sur place afin d’éclaircir les circonstances de l’évènement », a précisé Laurie Avoine.
Une étable de la Ferme Chantilly, située sur le rang 2 à L’Isle-Verte, a été complètement détruite par un incendie dans la nuit de vendredi à samedi. Seulement une trentaine d’animaux, sur un troupeau d’une centaine de bêtes, ont pu être sauvés.
L’appel d’urgence a été reçu peu après 22 h. À leur arrivée, les pompiers ont trouvé une partie du bâtiment déjà complètement embrasée.
Au total, 40 sapeurs de L’Isle-Verte, Trois-Pistoles, Saint-Paul-de-la-Croix, Saint-Éloi, Cacouna, Saint-Épiphan
Une étable de la Ferme Chantilly, située sur le rang 2 à L’Isle-Verte, a été complètement détruite par un incendie dans la nuit de vendredi à samedi. Seulement une trentaine d’animaux, sur un troupeau d’une centaine de bêtes, ont pu être sauvés.
L’appel d’urgence a été reçu peu après 22 h. À leur arrivée, les pompiers ont trouvé une partie du bâtiment déjà complètement embrasée.
Au total, 40 sapeurs de L’Isle-Verte, Trois-Pistoles, Saint-Paul-de-la-Croix, Saint-Éloi, Cacouna, Saint-Épiphane, Saint-Arsène, Saint-Antonin et Rivière-du-Loup ont été mobilisés pour combattre les flammes.
Personne n’a été blessé. La cause de l’incendie demeure inconnue.
Les Pionniers du Cégep de Rimouski en football ont connu un très fort match en offensive, mais ce ne fut pas suffisant dans un revers de 61-46, samedi après-midi à Jonquière.
Habilement dirigée par la recrue Roméo Michel, l’attaque des Pionniers y est allée d’une performance collective impressionnante de six touchés face à l’une des bonnes équipes de la Ligue collégiale.
Michel a notamment complété quatre passes de touché. « Il a connu un excellent départ et il a mérité de jouer le match
Les Pionniers du Cégep de Rimouski en football ont connu un très fort match en offensive, mais ce ne fut pas suffisant dans un revers de 61-46, samedi après-midi à Jonquière.
Habilement dirigée par la recrue Roméo Michel, l’attaque des Pionniers y est allée d’une performance collective impressionnante de six touchés face à l’une des bonnes équipes de la Ligue collégiale.
Michel a notamment complété quatre passes de touché. « Il a connu un excellent départ et il a mérité de jouer le match au complet. Plusieurs joueurs en attaque ont connu de très bons matchs. Notre jeu au sol a fonctionné et notre groupe de receveurs a bien fait », indique Louis-David Goulet.
L’offensive des Gaillards a été très efficace avec une production de 61 points. (tirée de la webdiffusion)
Léo Richard a inscrit deux touchés, les autres allant à Anthony Gagnon, Zachary Leblanc, Samuel Normand et Roméo Michel.
Plus difficile en défensive
Ce festival offensif a aussi très bien servi les Gaillards qui ont mal fait paraitre la défensive des visiteurs, notamment sur le jeu aérien.
Les Gaillards à la porte des buts des Pionniers. (tirée de la webdiffusion)
« Offensivement, on a joué un très bon match, mais ce fut beaucoup plus difficile défensivement. Les receveurs de l’autre côté nous ont fait beaucoup de mal. Ce fut moins évident pour nos demis défensifs », poursuit l’entraineur-chef.
Son équipe s’est à nouveau bien battue.
« Dans l’ensemble, c’est encore positif. On a rebondi malgré l’adversité. Avec trois minutes à jouer, c’était un match d’une possession. Mais, on a fait trop d’erreurs pour espérer l’emporter. Cette partie va nous permettre de corriger nos erreurs avant nos deux parties à la maison. »
Les Pionniers (1-2) ont été compétitifs dans leurs trois parties jusqu’ici, malgré le très petit nombre de vétérans dans l’alignement.
« C’est ce que j’ai dit aux gars après la partie. Nos trois premières parties ont démontré qu’on peut battre n’importe qui dans la ligue », a conclu Goulet dans son entretien d’après match avec Le Soir.
Les Pionniers seront de retour devant leurs partisans les deux prochains samedis. C’est le Collège Mérici qui sera le visiteur le samedi 20 septembre à 13 h.
Le gouvernement Legault a bien prévu le coup. Alors que sa cote de popularité est au plus bas, il profite du dévoilement du rapport Pelchat-Rousseau sur la laïcité au Québec afin de changer le mal de place et propose un projet de loi sur un enjeu controversé.
Pendant que le Québec vit un déficit historique, que ses infrastructures publiques sont en ruines, que le réseau collégial subit des compressions historiques et que l’opposition au nouveau régime forestier se poursuit, la Coalition aveni
Le gouvernement Legault a bien prévu le coup. Alors que sa cote de popularité est au plus bas, il profite du dévoilement du rapport Pelchat-Rousseau sur la laïcité au Québec afin de changer le mal de place et propose un projet de loi sur un enjeu controversé.
Pendant que le Québec vit un déficit historique, que ses infrastructures publiques sont en ruines, que le réseau collégial subit des compressions historiques et que l’opposition au nouveau régime forestier se poursuit, la Coalition avenir Québec (CAQ) annonce qu’elle lancera un projet de loi afin d’interdire… les prières de rue.
Quand notre bilan est peu reluisant, quoi de mieux que de faire un drame avec une situation anecdotique qui sème la division et la controverse ? Dans les coulisses politiques, c’est ce qu’on appelle faire du « wedge politics » ou, en français, la stratégie de la division.
Le premier ministre François Legault. (Photo courtoisie Émile Nadeau)
Les gouvernements ne se privent malheureusement pas de sortir un épouvantail du genre quand ça ne va pas bien.
Interdire ce qui est déjà interdit ?
Pour le coup, la CAQ frappe fort. J’oserais ajouter qu’elle gaspille notre temps, notre énergie et notre argent.
Alors que les prières de rue sont déjà légalement interdites au Québec par le Code de la sécurité routière (à moins de demander un permis), au fédéral par le Code criminel (qui élargit même cette question aux espaces publics) et que certaines réglementations municipales l’encadrent, je m’explique difficilement ce que le gouvernement souhaite contrôler de plus.Vous avez bien compris : c’est déjà régi par plusieurs lois.
Au sujet de la nécessité d’interdire les prières de rue, Christiane Pelchat, l’une des deux autrices du rapport sur la laïcité, explique qu’il n’y a pas d’enjeu à ce sujet. Venant d’une défenderesse du renforcement de la laïcité, cette intervention vient confirmer qu’on parle d’un problème qui n’en est pas un.
Histoire montée en épingle
Mais alors, quel est le problème qui nécessitait un tel projet de loi ? Ce n’est pas très compliqué. Il y a actuellement des manifestations fréquentes en soutien à la Palestine qui ont lieu à Montréal, tous les dimanches depuis deux ans. Évidemment, une diaspora importante de personnes arabo-musulmanes qui vivent dans la métropole prend part à ces manifestations.
Ce sont des prières qui ont lieu lors de ces rassemblements dont il est ici essentiellement question. Alors que la CAQ dit que la réalité des prières de rue prend de l’ampleur et que c’est pourquoi on doit s’y attaquer, le Parti québécois (PQ) va plus loin en affirmant que ces prières sont des gestes de provocation.
Soyons honnêtes ; il y a un contexte. Ce ne sont pas des démonstrations religieuses « anticatholiques », ce sont des moments de prières dans un contexte de rassemblement pour la paix en Palestine.
S’il y a des enjeux de sécurité qui doivent être adressés dans les manifestations, intervenons. Nous avons les moyens de le faire. Mais, chercher une cible pour faire peur à la population du Québec et nous faire croire que nous devons régler une urgence qui n’en est pas une, c’est bien bas.
Le PQ et la surenchère
Je ne peux pas m’empêcher de déplorer le choix du PQ de renchérir en proposant un référendum sur la question auprès de ses membres. Après avoir dit qu’il n’était pas tenu de respecter les résultats d’un tel exercice, Paul St-Pierre-Plamondon explique qu’il trouve important d’avoir des méthodes de consultation démocratiques avec la base militante.
Paul St-Pierre Plamondon (Photo Wikipédia)
Je suis loin d’être contre l’idée, mais c’est difficile de croire qu’il est nécessaire, pour le PQ, de procéder à cet exercice, alors que son discours sur la question semble bien clair.
Plusieurs de ses élus l’ont d’ailleurs exprimé dans les médias : ils aideront la CAQ à aller de l’avant et ils auraient souhaité que le gouvernement intervienne plus tôt sur cette question. Que reste-t-il à décider ?
Pour construire une réelle majorité indépendantiste, nous devrons vivre ensemble, reconnaître notre métissage et choisir la solidarité. Nous devrons nous ancrer dans les luttes sociales qui touchent la population québécoise. Se rabattre sur des boucs émissaires pour susciter la haine et la crainte ne nous aidera en rien. Peut-on élever le débat, s.v.p. ?
Après avoir remporté une victoire 44-29 à Thetford, le 6 septembre dernier, les Pionniers de Rimouski rendent visite aux Gaillards de Jonquière dans la Ligue de football collégial division 3 du Québec.
Tout au long de la saison, vous pouvez suivre toutes les rencontres des Pionniers sur le site du Soir.ca.
Après l’affrontement, René Alary vous proposera son résumé de l’action, dans nos pages, avec les commentaires de l’entraîneur-chef Louis-David Goulet.
Pour visionner l’affrontement en
Après avoir remporté une victoire 44-29 à Thetford, le 6 septembre dernier, les Pionniers de Rimouski rendent visite aux Gaillards de Jonquière dans la Ligue de football collégial division 3 du Québec.
D’autres consultations devront avoir lieu avant de décider du sort de la réforme controversée du régime forestier du gouvernement Legault.
Par Patrice Bergeron, La Presse Canadienne
C’est ce qu’a laissé entendre le nouveau ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Jean-François Simard.
Il a succédé mercredi à Maïté Blanchette Vézina, qui était empêtrée avec ce controversé projet de loi 97 sur la foresterie et qui a été éjectée du cabinet.
Maïté Blanchette Vézina (Photo Jacque
Lors de la chaleur du mois d’août, Stéphane Monette était au frais en Alaska, reconnu notamment pour ses orignaux géants et ses cinq espèces de saumons, dont le sockey.
L’animateur et chroniqueur chasse et pêche est bien connu pour sa Ferme Monette, une entreprise familiale spécialisée en recherche et fabrication de produits attractifs pour grands gibiers.
En Alaska, ses découvertes ont porté sur les paysages, les hautes montagnes, les forêts, des glaciers, et sa faune cynégétiq
Lors de la chaleur du mois d’août, Stéphane Monette était au frais en Alaska, reconnu notamment pour ses orignaux géants et ses cinq espèces de saumons, dont le sockey.
L’animateur et chroniqueur chasse et pêche est bien connu pour sa Ferme Monette, une entreprise familiale spécialisée en recherche et fabrication de produits attractifs pour grands gibiers.
En Alaska, ses découvertes ont porté sur les paysages, les hautes montagnes, les forêts, des glaciers, et sa faune cynégétique et halieutique.
Pour la première émission de la 12e saison de « Rendez-Vous Nature », radiodiffusée depuis le 12 septembre, Steph raconte son aventure, encore impressionné par les beautés intrinsèques de cet immense état de 1 700 000 km2, trois fois plus grand que la France.
Un pays reconnu pour la présence d’orignaux géants, d’ours parmi les plus gros du Canada et des États-Unis et ses nombreuses espèces de poissons.
« L’agence Accès Croisières développe un nouveau concept de croisière en Alaska. On a fait appel à moi comme un gars de terrain. Je suis partie à la découverte de cet état américain, avec un regard différent, des endroits où les touristes ne vont pas », relate Steph.
Les paysages uniques, les hautes montagnes, les forêts, les glaciers, tout impressionne en Alaska. (Photo courtoisie)
La rivière Kinai compte habituellement 2,5 millions de saumons. Ils étaient le double. « En 24 heures, les prises quotidiennes sont passées de trois à six saumons.
Un » mauvais « pêcheur pouvait capturer ses six saumons en une demi-heure. Un pêcheur qui avait ferré un sockey m’a laissé sa canne quelques minutes. Incroyable ».
Orignal charpenté
Anchorage est la plus grande ville d’Alaska avec ses 290 000 de population. Les orignaux sont omniprésents. « On compte de 800 à 1 500 orignaux dans les rues.
Un matin, on a compté 12 » géants « en 30 minutes. Tu fais le saut devant le plus grand cervidé au monde. Sa charpente est énorme. Un orignal d’un an et demi en Alaska, c’est la taille d’un orignal adulte au Québec ».
Stéphane Monette en compagnie de sa conjointe, Caroline. (Photo courtoisie)
Au-delà de la faune, Steph a aussi été impressionné par les immenses glaciers, et des « trails dans la roche » de la ruée vers l’or.
« La personne qui veut voir des paysages, une faune sauvage, c’est l’Alaska. Et l’été est court. J’ai dit à ma conjointe Caroline de troquer son maillot de bain pour une doudoune d’hiver. Rendue sur place, elle a vraiment apprécié son voyage. Toute une expérience ».
De retour en 2026
Stéphane est déjà à élaborer son retour en Alaska à l’été 2026. « Avec des amis et des gens qui voudraient se joindre à nous. Je peux les renseigner en m’écrivant à steph.onjase@fermemonette.com.
D’ici là, Steph prépare sa chasse de l’orignal. À » Rendez-Vous Nature », il parle de l’évolution de ses récentes trouvailles et leurs effets attractifs qui favorisent l’achalandage des orignaux aux salines.
« Il n’est jamais trop tard, mais là, c’est le temps de se préparer ». Stéphane Monette manifeste beaucoup d’inquiétudes sur le prochain Plan de gestion de l’orignal en 2026.
Pour entendre son entrevue réalisée dans le cadre de l’émission « Rendez-Vous Nature », cliquez sur le lien ci-haut.
Parmi les treize recrues dans l’alignement 2025-2026 de l’Océanic, une d’entre elles, Alex Massé est un Rimouskois. À 17 ans, il va tenter de faire sa place en contribuant à la reconstruction de l’équipe.
Le hockey est synonyme de hockey chez les Massé. Alex poursuit la tradition.
Son grand-père, Jacques, a été l’un des joueurs des belles années des Feuilles d’Érable dans les ligues régionales et interrives avec la Côte-Nord, son père Luc a dominé dans le hockey mineur local avant d’évolu
Parmi les treize recrues dans l’alignement 2025-2026 de l’Océanic, une d’entre elles, Alex Massé est un Rimouskois. À 17 ans, il va tenter de faire sa place en contribuant à la reconstruction de l’équipe.
Son grand-père, Jacques, a été l’un des joueurs des belles années des Feuilles d’Érable dans les ligues régionales et interrives avec la Côte-Nord, son père Luc a dominé dans le hockey mineur local avant d’évoluer avec les Lynx de Saint-Jean, dans la LHJMQ.
Son frère Maxim amorcera sa quatrième saison avec les Saguenéens de Chicoutimi. Il a été un choix de 3e ronde des Ducks d’Anaheim, de la LNH, en juin 2024.
« Depuis que je suis jeune, mon frère et moi, on avait une patinoire à la maison que mon père faisait. Mon frère et moi, on s’entraine fort et on pratique. J’ai vu aller Maxim, ça m’a permis d’apprendre comment faire pour se rendre à son niveau, où il est rendu », raconte-t-il dans un entretien avec Le Soir.
Alex a principalement fait son parcours dans le réseau scolaire avant de se joindre aux Albatros de Rivière-du-Loup. L’an dernier, sa contribution offensive dans le M18 AAA a été significative avec un dossier de 14-24-38 en 47 parties de saison et séries.
Alex Massé dans l’uniforme des Albatros M18 AAA du Collège Notre-Dame, à Rivière-du-Loup. (Photo courtoisie)
Sa place est maintenant avec l’Océanic. « Je pense avoir connu un très bon camp. Ça va bien. J’ai été bien intégré. Junior, c’est un processus. Quand tu commences, à moins d’être un exceptionnel, il faut que tu te crées des opportunités en travaillant fort dans les pratiques pour essayer d’être habillé le plus de matchs possibles », poursuit l’attaquant gaucher de 5 pieds 10 pouces et 168 livres.
On dit de lui qu’il est un joueur avec du caractère.
« Je suis capable de jouer dans les deux sens de la patinoire. J’ai un bon lancer et un bon sens du jeu (QI hockey) », se définit-il.
Mature pour son âge
Joël Perrault apprécie l’attitude de son numéro 18 qui en est à un deuxième camp d’entrainement après avoir été un choix de 11e ronde au repêchage de juin 2024.
Joël Perrault (Photo Le Soir.ca- René Alary)
« J’adore Alex. Il est le genre de joueur qui fait bien tout ce qu’il a à faire. Il vient à l’aréna, il travaille fort. Il veut s’améliorer et pose de bonnes questions. Il possède un excellent lancer et peut marquer des buts. Il est très mature pour son âge, ça parait dans la façon qu’il joue et se comporte. Nos partisans vont apprendre à l’apprécier très rapidement. J’ai beaucoup aimé son camp d’entrainement », mentionne l’entraineur-chef.
Une première le 27 septembre ?
En raison de la différence d’âge de deux ans, les deux frères Massé n’ont jamais joué l’un contre l’autre dans des ligues organisées. Ça ne devrait pas trop attendre, car les Saguenéens seront les visiteurs à Rimouski les 27 et 28 septembre.
« Ça va être super le fun. Il va y avoir beaucoup de tension, j’ai vraiment hâte », mentionne Alex.
Alex Massé en compagnie de grand frère, Maxim, membre des Saguenéens de Chicoutimi, en juin 2024. (Photo Le Soir.ca archives – René Alary)
Par contre, il n’est pas certain que Maxim soit de retour de son camp avec les Ducks qui est en cours. Ce ne serait alors que partie remise. Sags et Océanic ont huit parties à jouer, un contre l’autre en saison régulière.
Pour sa 16e semaine d’activités en 2025, le Marché public de Rimouski accueillera 31 exposants, ce samedi 13 septembre, de 10h à 14h, au parc de la Gare.
Voici les exposants présents :
Manger Saison
Estran
Pommes de terre Bérubé
ViV-Herbes – Herboristerie
Le Broutard des Appalaches
Domaine Vallier Robert – Domaine Acer
Pâtisserie La Rose Des Sables de Rimouski
Ferme du Vert Mouton
La Sage Camomille
Le Champ Libre
Ferme Pastel
Les Fumoirs J-P
Le Château
Pour sa 16e semaine d’activités en 2025, le Marché public de Rimouski accueillera 31 exposants, ce samedi 13 septembre, de 10h à 14h, au parc de la Gare.
Le Marché public de Rimouski vous invite à une journée festive et savoureuse avec la fameuse épluchette de blé d’inde généreusement offerte, dès 11h, par la Caisse Desjardins de Rimouski.
Le café du marché sera tenu avec soin par l’équipe de Cinéma 4, qui fait bien rayonner la culture à Rimouski. Venez les rencontrer dans une ambiance chaleureuse avec un épi et une tasse à la main!
Le Bérubé GM de Trois-Pistoles n’est plus qu’à une victoire d’un autre championnat à la suite de sa victoire de 11-2, vendredi soir, face aux Braves Batitech du Témiscouata.
La formation des Basques mène la série 3-1 et pourrait en finir samedi soir au parc des Braves.
L’appel de l’arbitre au marbre sur le jeu impliquant Dany Paradis-Giroux. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
C’était 1-0 pour les visiteurs en milieu de troisième manche quand le Bérubé GM y est allé d’une poussée de six poi
Le Bérubé GMde Trois-Pistoles n’est plus qu’à une victoire d’un autre championnat à la suite de sa victoire de 11-2, vendredi soir, face aux Braves Batitech du Témiscouata.
La formation des Basques mène la série 3-1 et pourrait en finir samedi soir au parc des Braves.
L’appel de l’arbitre au marbre sur le jeu impliquant Dany Paradis-Giroux. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
C’était 1-0 pour les visiteurs en milieu de troisième manche quand le Bérubé GM y est allé d’une poussée de six points, dont trois sur un circuit de Stéphane Pouliot, un 4e pour lui dans les présentes séries. Élie Belzile a lui aussi une longue balle dans la rencontre.
Stéphane Pouliot est accueilli après avoir frappé son circuit (Photo : Jean-Claude Pelletier)
Pour les Braves, Anthony Pelletier a frappé un coup de circuit,
La victoire va au dossier de Tristan Michaud-Thériault qui a lancé les six dernières manches avec brio (un seul point accordé) après avoir relevé Pouliot qui a dû quitter le monticule en raison d’une blessure à l’épaule.
Après la rencontre, Hugo Chamberland a confirmé que Dany Paradis-Giroux (3-0 en séries) sera son lanceur partant pour le match de samedi. De l’autre côté, Thomas Morin utilisera le vétéran Anthony Fournier.
Xavier McNicoll Belzile a été crédité d’un simple après avoir déposé un amorti de qualité. (Photo : Jean-Claude Pelletier)