Présentement en pleine expansion, le casse-croûte Chez Gérard Patates Frites, une franchise présente principalement dans la région des Laurentides, souhaite prendre de l’expansion partout au Québec, dont à Rimouski.
« Nos restaurants offrent une expérience unique et de bon goût. Nous visons une présence partout à travers la province de Québec », lance la propriétaire du restaurant de Brownsburg-Chatham, Sabrina Racette, qui verrait d’un bon œil recevoir une offre d’un franchisé de Rimouski, s
Présentement en pleine expansion, le casse-croûte Chez Gérard Patates Frites, une franchise présente principalement dans la région des Laurentides, souhaite prendre de l’expansion partout au Québec, dont à Rimouski.
« Nos restaurants offrent une expérience unique et de bon goût. Nous visons une présence partout à travers la province de Québec », lance la propriétaire du restaurant de Brownsburg-Chatham, Sabrina Racette, qui verrait d’un bon œil recevoir une offre d’un franchisé de Rimouski, selon un échange de courriels avec Le Soir.ca.
Fondée en 1958
C’est en 1958 que l’entreprise Chez Gérard Patates Frites a vu le jour.
Débutant comme un petit stand à patates basé à Saint-Joseph-du-Lac où famille et amis se rassemblaient autour d’une bonne bouffe, il devient rapidement la référence dans son domaine en se distinguant par ses frites fraîches préparées quotidiennement, mais aussi par son service convivial.
« Vous aimeriez démarrer votre entreprise dans le domaine de l’alimentation et vous associer à une organisation qui a fait ses preuves? Nous avons des franchises disponibles. Nous vous offrons l’opportunité de vous épanouir dans un environnement dynamique et convivial. Vous êtes prêts à démarrer une franchise? Nous serons ravis de discuter avec vous de tous les détails entourant l’ouverture d’un restaurant Chez Gérard », mentionne l’entreprise sur son site Internet.
Menu
Chez Gérard Patates Frites est actuellement présent à Brownsburg-Chatham, Mirabel. Mont-Laurier, Saint-Eustache et Saint-Joseph-du-Lac.
L’entreprise offre un menu de type casse-croûte, soit des hot-dogs, hamburgers, frites, poutines, sous-marins et club sandwichs.
Le Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent (CRD) annonce, au nom des partenaires de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire, les résultats des deux premiers appels à projets du volet 3 du Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, 2024–2026.
Ce volet vise notamment à soutenir des initiatives répondant aux priorités régionales identifiées dans le Plan régional de développement bioalimentaire promu par la Table de concertation bioalimen
Le Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent (CRD) annonce, au nom des partenaires de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire, les résultats des deux premiers appels à projets du volet 3 du Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, 2024–2026.
Ce volet vise notamment à soutenir des initiatives répondant aux priorités régionales identifiées dans le Plan régional de développement bioalimentaire promu par la Table de concertation bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent.
Près de 3 M$ investis
Au total, 28 projets, représentant 4 562 000 $, ont été déposés lors des deux périodes d’appel.
Parmi ceux-ci, 19 (7 d’entreprises privées et 12 à portée collective) se sont qualifiés pour obtenir un financement, pour un montant total distribué par le Fonds de 935 204 $. En tenant compte de la contribution du milieu, le montant global des projets soutenus représente un investissement de près de 3 000 000 $ dans la région.
Des projets d’études, d’achats ou de mutualisation d’équipements ainsi que de mise en marché de proximité ont notamment été soutenus.
Parmi ceux-ci se trouvent :
L’implantation d’un atelier collectif de conditionnement bioalimentaire adapté au secteur mycologique et des produits forestiers non ligneux bas-laurentiens
La poursuite du développement de la filière du lin dans l’Est du Bas-Saint-Laurent
Le soutien à la croissance de la filière biologique
Le projet reconquête ovine de l’Est-du-Québec qui vise à stimuler la compétitivité des entreprises impliquées
Le démarrage de l’entreprise de fabrication de charcuteries artisanales Florent charcuterie
L’optimisation du conditionnement de grains biologiques par la Ferme Geonel.
« Les projets retenus témoignent de la vitalité des entreprises et des collectifs agricoles bas-laurentiens. La région a à cœur de se mobiliser pour l’agriculture. Grâce à l’implication des MRC, du gouvernement et de nos partenaires, le Fonds de soutien au développement bioalimentaire appuie des projets porteurs, en cohérence avec les besoins du territoire, afin de bâtir un secteur bioalimentaire et une région plus autonome », estime la présidente du Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent, également préfète de la MRC de La Matapédia, Chantale Lavoie.
La préfète de la MRC de La Matapédia, Chantale Lavoie. (Photo courtoisie)
L’Entente sectorielle de développement bioalimentaire
Le Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent 2024-2026 s’inscrit dans le cadre de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire 2024-2026.
Cette entente est initiée et financée par le gouvernement du Québec, Santé Québec – Établissement CISSS du Bas-Saint-Laurent, les huit MRC, le CRD, la Fédération de l’UPA, la Table de concertation bioalimentaire et les Saveurs du Bas-Saint-Laurent.
Deux appels de projets sont en cours dans le cadre de ce Fonds. Le premier soutient des projets répondant aux priorités régionales de développement du secteur bioalimentaire ; il est ouvert jusqu’au 26 septembre. Le second, dédié à l’innovation et aux nouvelles technologies dans ce secteur, est quant à lui ouvert jusqu’au 31 octobre 2025.
La Ville de Rimouski lance sa programmation automnale dans ses bibliothèques municipales.
Les citoyens retrouveront plusieurs rendez-vous populaires, notamment les Heures du conte, la Nuit des toutous, la Soirée ados et les rencontres Creuse-ciboulot, destinées aux 60 ans et plus.
La programmation comprend aussi des ateliers variés, une conférence d’auteure et un conte africain. Les traditionnels groupes de tricot feront place cette année aux « rencontres artisanes », un espace pour décou
La Ville de Rimouski lance sa programmation automnale dans ses bibliothèques municipales.
Les citoyens retrouveront plusieurs rendez-vous populaires, notamment les Heures du conte, la Nuit des toutous, la Soirée ados et les rencontres Creuse-ciboulot, destinées aux 60 ans et plus.
La programmation comprend aussi des ateliers variés, une conférence d’auteure et un conte africain. Les traditionnels groupes de tricot feront place cette année aux « rencontres artisanes », un espace pour découvrir et partager différentes formes d’artisanat comme la broderie, le point de croix ou le crochet.
La population peut consulter le calendrier complet des activités offertes gratuitement et sans inscription au www.rimouski.ca.
Outre Lisette-Morin, la Ville de Rimouski possède des bibliothèques dans les districts Le Bic, Sainte-Blandine et Pointe-au-Père.
Le conseil municipal autorise l’achat par la Ville de Rimouski d’un terrain appartenant à la coopérative Riki Bloc sur le site de l’ancienne église de Rimouski-Est pour en faire une place publique pour le quartier de Rimouski-Est.
Il s’agit en fait de deux parties du lot de propriété de la Coopérative de solidarité que la Ville acquiert pour le prix de 35 894,69 $, plus les taxes applicables, selon les conditions prévues à la promesse de vente signée le 23 juillet dernier.
« L’objectif, se
Le conseil municipal autorise l’achat par la Ville de Rimouski d’un terrain appartenant à la coopérative Riki Bloc sur le site de l’ancienne église de Rimouski-Est pour en faire une place publique pour le quartier de Rimouski-Est.
Il s’agit en fait de deux parties du lot de propriété de la Coopérative de solidarité que la Ville acquiert pour le prix de 35 894,69 $, plus les taxes applicables, selon les conditions prévues à la promesse de vente signée le 23 juillet dernier.
« L’objectif, selon notre plan de vitalisation, c’est de faire une mise en valeur du centre urbain de Rimouski-Est en y aménageant une place publique où les citoyens du quartier pourront se rassembler. Riki Bloc nous a vendu une partie de son terrain qui servira à l’aménagement d’une place publique », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Changement de rue au Bic
Par ailleurs, le conseil municipal a entériné, le 25 août, la recommandation du comité de toponymie de la Ville de Rimouski afin que la rue communément appelée « route du Quai », dans le district du Bic, devienne la « rue du Capitaine-Gérard-Côté ».
Le conseil municipal de Rimouski renouvelle sa participation au Programme d’hébergement temporaire et d’aide à la recherche de logement (PHTARL – Volet 2) mis en œuvre par la Société d’habitation du Québec (SHQ).
Ce programme prévoit l’octroi de subventions à des offices d’habitation, afin que ces derniers informent, orientent et accompagnent, dans leurs recherches de logement, tout ménage sans logis ou à risque de l’être.
Une résolution a été adoptée à l’unanimité à ce sujet le 25 août.
Le conseil municipal de Rimouski renouvelle sa participation au Programme d’hébergement temporaire et d’aide à la recherche de logement (PHTARL – Volet 2) mis en œuvre par la Société d’habitation du Québec (SHQ).
Ce programme prévoit l’octroi de subventions à des offices d’habitation, afin que ces derniers informent, orientent et accompagnent, dans leurs recherches de logement, tout ménage sans logis ou à risque de l’être.
Une résolution a été adoptée à l’unanimité à ce sujet le 25 août.
Le conseil municipal rimouskois (Photo journallesoir.ca)
« La Ville de Rimouski souhaite continuer de soutenir l’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN) afin qu’il poursuive son travail auprès des ménages en besoin », mentionne le maire de Rimouski, Guy Caron.
L’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN) est mandaté par la Ville de Rimouski pour offrir et gérer les services en lien avec l’aide à la recherche de logement et d’hébergement d’urgence depuis 2022.
Rénovation des HLM
Par ailleurs, le conseil municipal accorde une aide financière de 31 396 $ à l’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN), en provenance de la Réserve financière relative au développement et au maintien de logements sociaux, abordables ou étudiants, afin de ses HJMQ soutenir l’organisme dans le cadre de ses travaux de rénovation admissibles pour et réalisés au cours de l’année financière 2025.
L’OHRN a déposé une demande d’aide financière à la Société d’habitation du Québec (SHQ) dans le cadre du Programme de rénovation des habitations à loyer modique (PRHLM) – Volet 1. Ce programme exige une contribution municipale de 10 % des dépenses admissibles.
« Ce sont des reconductions de programmes et des investissements de la Ville dans ces programmes. Chaque Québec met des sommes et la Ville doit ajouter des sommes », explique monsieur Caron.
Contribution déficit d’opération
D’autre part, le conseil municipal confirme la participation financière de la Ville de Rimouski au déficit d’exploitation de l’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN) pour l’année 2024, soit pour une somme de 419 158 $.
« La Ville doit payer sa part du déficit », précise le maire.
Les membres du comité Prix littéraire Jovette-Bernier ont retenu trois livres parmi ceux reçus pour l’année 2025 : « L’embouchure » de Myriam de Gaspé, « Écarté » de Michel Landry et « Parmi les femmes » d’Aimée Lévesque.
Le prix Jovette-Bernier s’adresse aux autrices et aux auteurs originaires du Bas-Saint-Laurent – Gaspésie- Îles-de-la-Madeleine ou habitant cette région depuis au moins cinq ans. Il vise à les encourager pour une parution récente exceptionnelle.
« Quoique la cuvée 2025 s
Les membres du comité Prix littéraire Jovette-Bernier ont retenu trois livres parmi ceux reçus pour l’année 2025 : « L’embouchure » de Myriam de Gaspé, « Écarté » de Michel Landry et « Parmi les femmes » d’Aimée Lévesque.
Le prix Jovette-Bernier s’adresse aux autrices et aux auteurs originaires du Bas-Saint-Laurent – Gaspésie- Îles-de-la-Madeleine ou habitant cette région depuis au moins cinq ans. Il vise à les encourager pour une parution récente exceptionnelle.
« Quoique la cuvée 2025 s’est avérée plus modeste que celle de l’an dernier, toutes les propositions nous ont captivés par le sérieux et l’intérêt suscité d’un couvert à l’autre », mentionne la responsable du comité des prix littéraires, Diane Chevrier.
Le prix rend hommage à Jovette-Bernier, journaliste, romancière et poétesse, née à Saint-Fabien, au Bas-Saint-Laurent. Une bourse de 1000 $ est offerte par la ville de Rimouski et le Salon du livre de Rimouski.
Dévoilement
Le nom du lauréat ou de la lauréate sera dévoilé lors de la conférence de presse prévue pour mercredi 22 octobre 2025. Le prix sera remis lors de l’ouverture officielle de la prochaine édition du Salon du livre de Rimouski, le jeudi 6 novembre 2025 à la Mezzanine Hydro-Québec.
La 60e édition du Salon du livre de Rimouski se tiendra du 6 au 9 novembre 2025 au Centre de congrès de l’Hôtel Rimouski.
Le Salon du livre de Rimouski est le plus ancien Salon du livre au Québec.
Le 30 août dernier, peu après minuit, les policiers de la Sûreté du Québec sont intervenus à la suite de plusieurs appels signalant un véhicule circulant à grande vitesse dans le secteur de Haldimand et Sandy-Beach, à Gaspé.
Un véhicule a été capté à 206 km/h dans une zone de 70 km/h sur le boulevard York Sud, alors qu’il effectuait des dépassements dangereux. Le véhicule a finalement été intercepté sur le boulevard Douglas. Le conducteur, âgé de 17 ans et originaire de la région, prenait pla
Le 30 août dernier, peu après minuit, les policiers de la Sûreté du Québec sont intervenus à la suite de plusieurs appels signalant un véhicule circulant à grande vitesse dans le secteur de Haldimand et Sandy-Beach, à Gaspé.
Un véhicule a été capté à 206 km/h dans une zone de 70 km/h sur le boulevard York Sud, alors qu’il effectuait des dépassements dangereux. Le véhicule a finalement été intercepté sur le boulevard Douglas. Le conducteur, âgé de 17 ans et originaire de la région, prenait place à bord avec trois passagers d’âge mineur. Il a été arrêté pour conduite avec les capacités affaiblies par l’alcool.
Conduit au poste, il a échoué les tests à l’éthylomètre avec des résultats de 130 mg d’alcool par 100 ml de sang ou plus. Il a été libéré en attendant la suite des procédures judiciaires et pourrait faire face à des accusations de conduite dangereuse et de conduite avec les capacités affaiblies.
En plus, plusieurs constats d’infraction lui ont été signifiés :
Grand excès de vitesse : 961 $ d’amende et 30 points d’inaptitude
La Sûreté du Québec rappelle que la vitesse et l’alcool au volant sont des comportements à très haut risque qui mettent en danger non seulement les occupants du véhicule, mais également l’ensemble des usagers de la route.
Le policier et militaire rimouskois Alexandre Gagné devra finalement purger sa peine de quatre mois de détention dans la collectivité puisque la Cour d’appel a rejeté sa demande d’en appeler du verdict de culpabilité de la juge de la Cour du Québec, Hélène Bouillon, à une accusation d’agression sexuelle.
Dans un jugement daté du 26 août dont Le Soir.ca a obtenu copie, les juges de la Cour d’appel Jocelyn F. Rancourt, Sophie Lavallée et Éric Hardy concluent que l’accusé a échoué à démontrer qu
Le policier et militaire rimouskois Alexandre Gagné devra finalement purger sa peine de quatre mois de détention dans la collectivité puisque la Cour d’appel a rejeté sa demande d’en appeler du verdict de culpabilité de la juge de la Cour du Québec, Hélène Bouillon, à une accusation d’agression sexuelle.
Dans un jugement daté du 26 août dont Le Soir.ca a obtenu copie, les juges de la Cour d’appel Jocelyn F. Rancourt, Sophie Lavallée et Éric Hardy concluent que l’accusé a échoué à démontrer que le jugement en première instance est entaché d’une erreur révisable.
« La juge a conclu à sa culpabilité en raison d’un geste qui n’avait rien de neutre et dont il a lui-même reconnu la nature sexuelle dans ses messages textes postérieurs. De plus, la preuve de l’attirance sexuelle qu’il ressentait pour la plaignante n’en était pas une de propension et la juge s’est d’ailleurs gardée d’en tirer des conclusions quant à la culpabilité de l’appelant qui ne peut, en appel, répudier la stratégie qu’il a adoptée en première instance au profit d’une nouvelle qui est incompatible avec la première », mentionnent-ils.
Don, ADN et interdiction d’armes
La peine de quatre mois de prison à domicile sera suivie d’une période de probation de deux ans. La sentence comprend également un don de 1 000$ au Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC), un prélèvement d’ADN pour analyse génétique et une interdiction de posséder des armes de 10 ans, sauf pour l’exercice de son travail de militaire ou de policier.
La juge dispense l’accusé de l’obligation de se conformer à la Loi sur l’enregistrement de renseignements sur les délinquants sexuels.
« Il n’appartient pas au tribunal de déterminer si l’accusé pourra continuer à occuper un emploi au sein des Forces armées canadiennes et/ou de la Sûreté du Québec, mais espérons pour lui-même et pour la société qu’il poursuivra son processus de réhabilitation », mentionnait la magistrate de première instance dans son jugement rendu le 15 octobre 2024.
Les prétentions des parties
Rappelons que l’avocate de l’accusé, Me Ariane Gagnon-Rock, avait plaidé pour une absolution conditionnelle assortie d’une probation de deux ans, de l’exécution de 240 heures de travaux communautaires et du versement d’un don de 1 000 $ à La Débrouille.
De son côté, le ministère public réclamait une peine de 30 à 60 jours de prison ou de quatre mois de détention à domicile, suivie d’une probation de deux ans.
Des attouchements aux fesses
Les gestes reprochés au policier consistent en des attouchements aux fesses de la plaignante lors d’une fouille préalable à un entraînement aux combats rapprochés le 13 avril 2021 au manège militaire de Rimouski.
La preuve démontre que l’accusé et la plaignante ont discuté à plusieurs reprises sur Snapchat entre 2019 et 2021.
« Au début, les discussions sont professionnelles, mais à un certain moment, l’accusé tient des propos à connotation sexuelle émettant notamment le désir de la menotter. La plaignante s’est dite incommodée par ce genre de commentaires », a rappelé la juge Hélène Bouillon dans son verdict de culpabilité.
MTA Immobilier inc peut aller de l’avant avec son projet de conversion de l’ancien Bar Le Campus en 14 logements étudiants puisque le conseil municipal de Rimouski a approuvé, le 25 août, le projet particulier de construction, d’occupation ou de modification d’un immeuble (PPCMOI) nécessaire à la réalisation des travaux.
Le second projet de résolution a été adopté après la tenue de l’assemblée publique de consultation.
Le PPCMOI présenté par MTA Immobilier avait pour but d’autoriser des tr
MTA Immobilier inc peut aller de l’avant avec son projet de conversion de l’ancien Bar Le Campus en 14 logements étudiants puisque le conseil municipal de Rimouski a approuvé, le 25 août, le projet particulier de construction, d’occupation ou de modification d’un immeuble (PPCMOI) nécessaire à la réalisation des travaux.
Le second projet de résolution a été adopté après la tenue de l’assemblée publique de consultation.
Le PPCMOI présenté par MTA Immobilier avait pour but d’autoriser des travaux de modification extérieure, incluant le remplacement du revêtement mural et de la toiture, la conversion du balcon en volume habitable, l’ajout de nouvelles ouvertures ainsi que l’aménagement de l’aire de stationnement, afin d’y accommoder 14 logements étudiants dans l’immeuble situé au 147-149, rue de l’Évêché Ouest.
Susceptible d’approbation référendaire
Le projet est susceptible d’approbation référendaire, mais personne ne s’y est opposé à la suite de l’assemblée publique de consultation.
« Comme ce projet particulier déroge à certaines normes du Règlement de zonage, l’adoption d’un PPCMOI était nécessaire », précise le maire de Rimouski, Guy Caron.
Le bar Le Campus, de la rue de l’Évêché Ouest. (Photo: courtoisie)
La Ville estime que le projet présente une évolution qualitative de l’ensemble bâti, favorisant une meilleure insertion dans son environnement immédiat par une mise à niveau architecturale et paysagère.
Le comité consultatif d’urbanisme de la Ville recommande au conseil municipal d’adopter le projet.
Rappelons que Fabienne Dubé et Luc Pichette ont opéré le bar Le Campus de 1982 à 2022. L’édifice était en vente depuis 2023. En plus de l’espace-bar, il comprenait déjà deux logements à l’étage et un grand stationnement asphalté.
Le 39e Festi Jazz international de Rimouski s’est conclu sur une note positive, le dimanche 31 août. Durant ses quatre jours de festivités, l’événement a rassemblé plus de 16 500 amateurs de musique. Selon les organisateurs, cette hausse de fréquentation, de près de 18% par rapport aux 14 000 festivaliers de l’an dernier, témoigne de la vitalité de l’événement.
Le festival n’a cependant pas été sans embûches. À peine 24 heures avant son lancement, l’organisation a dû gérer un changement de pr
Le 39e Festi Jazz international de Rimouski s’est conclu sur une note positive, le dimanche 31 août. Durant ses quatre jours de festivités, l’événement a rassemblé plus de 16 500 amateurs de musique. Selon les organisateurs, cette hausse de fréquentation, de près de 18% par rapport aux 14 000 festivaliers de l’an dernier, témoigne de la vitalité de l’événement.
Le festival n’a cependant pas été sans embûches. À peine 24 heures avant son lancement, l’organisation a dû gérer un changement de programmation majeur à la suite de l’annulation du groupe Five Alarm Punk parce que le batteur était hospitalisé.
« En dedans de cinq heures, on avait trouvé un remplaçant, raconte le directeur général du Festi Jazz, Sébastien Fournier. Mais, on n’a pas dormi beaucoup le mercredi avant l’événement! »
Dans un aller-retour express entre Montréal et Rimouski en raison d’un spectacle qu’il donnait la veille et un autre le surlendemain, c’est finalement Kizaba, la Révélation Radio-Canada 2024-2025, qui a pris la relève avec son afrobeat futuriste.
Programmation éclectique
Durant les quatre jours du festival, 130 artistes se sont produits dans 50 événements répartis dans 12 lieux de diffusion. La programmation a su allier grandes vedettes et découvertes musicales.
Parmi les temps forts, Betty Bonifassi a profondément ému le public avec sa voix unique lors de son retour sur la scène d’une grande salle après une longue pause.
Le spectacle de Betty Bonifassi a été un moment fort du 39e Festi Jazz international de Rimouski. (CRÉDIT : Photo Festi Jazz international de Rimouski)
« Elle m’a appelé après pour me dire à quel point elle a été très sensible à tout l’amour qu’elle a reçu », confie le directeur général. Le spectacle a été ponctué de plusieurs ovations debout.
La prodige de la basse Mohini Dey a également conquis la foule dans un chapiteau bondé, tandis que le duo italien AFØNK et le groupe Comment Debord ont enflammé leur scène respective. Les concerts des Oiseaux de nuit ont presque tous affiché complet.
Grand Prix de la relève
Le Grand Prix de la relève Festi Jazz 2025 a couronné le trompettiste Rémi Cormier et son quartet, composé de Theo Abellard au piano, Levi Dover à la basse et Louis-Vincent Hamel à la batterie.
Pour le groupe, cette reconnaissance ouvre la voie à diverses opportunités de diffusion, incluant la possibilité d’une tournée provinciale, nationale ou internationale, la tenue d’un kiosque lors de la rencontre d’automne du Réseau des organisateurs de spectacles de l’Est du Québec (ROSEQ).
Le quartet gagne aussi une participation à une clinique dans le cadre du programme du Conseil québécois de la musique, que ce soit à RIDEAU en février à Montréal ou à Jazzahead en avril en Allemagne.
Public intergénérationnel
De l’avis de Sébastien Fournier, l’un des succès notables de ce 39e Festi Jazz réside dans le rajeunissement du public.
Pour Sébastien Fournier, la hausse de fréquentation du dernier Festi Jazz international de Rimouski témoigne de la vitalité de l’événement. (CRÉDIT : Photo Johanne Fournier)
« Quand je suis arrivé, en 2020, c’était mon but d’agrandir le public des 25 à 35 ans. Ce qui est intéressant, c’est qu’on n’a pas perdu notre autre clientèle; les plus vieux restent là. »
Cette stratégie payante permet au festival de maintenir sa raison d’être, tout en conservant son public traditionnel. Selon le directeur général, la pluie de vendredi et de samedi n’a pas découragé les festivaliers, témoignant de leur fidélité à l’événement.
Cap sur le 40e anniversaire
L’organisation se tourne déjà vers la préparation du 40e anniversaire. Des démarches ont déjà été faites auprès de quelques artistes et le comité du 40e s’apprête à prendre forme.
Le Festi Jazz international de Rimouski se positionne comme le deuxième plus ancien festival de jazz au Québec, après celui de Montréal fondé en 1980. Pour le grand manitou de l’événement, l’engagement de plus de 50 bénévoles, dont de nombreux nouveaux visages, confirme une fois de plus la vitalité de ce rendez-vous musical dans l’Est-du-Québec.
Le directeur général du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec, Éric Plourde, est particulièrement fier d’avoir réussi à mettre en place un circuit de football scolaire dans les trois catégories scolaires depuis son arrivée en 2021.
« Le football n’existait presque plus. Nous avions juste du juvénile. Je m’étais donné comme mandat de le faire revivre et nous avons réussi. Nous sommes rendus à près de 500 joueurs de football dans la région. Pour chacun de ces élèves-athlètes, c’est
Le directeur général du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec, Éric Plourde, est particulièrement fier d’avoir réussi à mettre en place un circuit de football scolaire dans les trois catégories scolaires depuis son arrivée en 2021.
« Le football n’existait presque plus. Nous avions juste du juvénile. Je m’étais donné comme mandat de le faire revivre et nous avons réussi. Nous sommes rendus à près de 500 joueurs de football dans la région. Pour chacun de ces élèves-athlètes, c’est une source de motivation. »
Gaspé, Matane, Mont-Joli et Rivière-du-Loup ont des équipes dans les catégories atome, cadet et juvénile pour 2025. L’école Paul-Hubert de Rimouski est représentée seulement en juvénile. Les jeunes de la cinquième année à la première secondaire (atome) s’affrontent dans le cadre de matchs hors concours.
« Ce n’est pas une saison régulière. Ils accompagnent les cadets et les juvéniles sur la route. À la fin de la saison, ils ont un petit tournoi final pour se préparer au niveau suivant », explique monsieur Plourde.
Rétention des jeunes à l’école
Pour une deuxième année, des athlètes J6 s’ajoutent à la catégorie juvénile. Un certain nombre de joueurs par équipe sont acceptés, même s’ils ont une année de plus que celle permise pour jouer dans le football scolaire. Cette mesure vise la rétention des jeunes à l’école.
« Que tu sois petit ou grand, il y a une position pour toi. Bien souvent, ça profite aux jeunes et ça permet de les garder à l’école plus longtemps. Il y a des doubleurs et plusieurs immigrants qui sont arrivés, mais qui sont mis dans une année supérieure à l’école », affirme le directeur général.
Le directeur général du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec, Éric Plourde (Photo courtoisie)
« Nous avions décidé d’ajouter cette finale autant pour les cadets, qui sont allés affronter les champions de Québec, que pour les juvéniles qui ont gagné contre la Mauricie. Cette année, ces équipes viendront ici affronter nos champions régionaux. D’aller vers une autre région, c’est une motivation supplémentaire pour les jeunes qui souhaitent obtenir les grands honneurs », soutient Éric Plourde.
Le calendrier de football scolaire s’étale sur huit semaines pour la saison régulière. Toutes les parties se joueront selon les règles du football à neuf joueurs.
À cette période de l’année, alors que les jeunes goélands nés au printemps quittent leur nid ou s’apprêtent à le faire, il peut être fréquent d’en croiser quelques-uns en ville, au sol. On reconnait ces oiseaux juvéniles à leur plumage gris et il peut arriver que certains d’entre eux semblent hésitants à prendre leur envol.
Les passants peuvent alors y voir un animal en détresse, qui aurait besoin qu’on l’aide. Il est cependant primordial de prendre un pas de recul avant d’entreprendre des d
À cette période de l’année, alors que les jeunes goélands nés au printemps quittent leur nid ou s’apprêtent à le faire, il peut être fréquent d’en croiser quelques-uns en ville, au sol. On reconnait ces oiseaux juvéniles à leur plumage gris et il peut arriver que certains d’entre eux semblent hésitants à prendre leur envol.
Les passants peuvent alors y voir un animal en détresse, qui aurait besoin qu’on l’aide. Il est cependant primordial de prendre un pas de recul avant d’entreprendre des démarches directement auprès de l’animal, en validant auprès d’une ressource appropriée.
Cofondateur du refuge pour animaux sauvages, le Havre de la Faune, Mark-André Pépin indique que les gens vont avoir tendance à faire l’inverse. « C’est arrivé à de nombreuses reprises cette année. Des gens ont pris des animaux en charge et nous contactaient par la suite, alors que les animaux n’avaient pas nécessairement besoin d’aide. Chaque année, nous devons faire beaucoup de prévention là-dessus. »
Anthropomorphisme
Il explique qu’il est important de ne pas attribuer aux animaux des caractéristiques humaines, en faisant de l’anthropomorphisme. Un bébé oiseau seul, au sol, peut être considéré comme abandonné, sans que ce soit le cas. Ils sont alors recueillis par des personnes sont bien intentionnées, mais une mauvaise interprétation de ses besoins.
« Souvent, les gens ne savent pas s’ils doivent faire quelque chose ou non pour venir en aide à l’animal. Il y en a d’autres qui vont nous dire qu’ils ont été capables d’attraper l’animal sans difficulté et qu’il est gentil. Ce n’est pas parce qu’il est gentil, c’est parce qu’il est sous le choc », poursuit monsieur Pépin.
Il est également important de savoir que les chances de survie d’un jeune animal sauvage sont plus élevées lorsque ce dernier reste auprès de ses parents. « Au Havre, on est capable de reproduire un environnement, dans un enclos, qui va les garder en sécurité, contrairement au trafic de la ville, mais leurs chances demeurent plus élevées auprès de leurs parents, que ce soit pour la nourriture ou le comportement. »
Stress inutile
Mark-André Pépin rappelle que pour éviter de porter assistance à un animal qui n’en a pas besoin et ainsi éviter de lui causer un stress inutile, il est important de contacter le Havre de la Faune et d’attendre une réponse du refuge.
« On fait ça bénévolement, en parallèle de nos emplois. Nous sommes une petite équipe. Ça peut prendre un certain temps avant qu’on réponde. Les gens veulent rapidement venir en aide à l’animal qu’ils ont trouvé, mais au refuge, nous en avons plusieurs qui nécessitent notre attention, alors ça peut prendre un certain temps avant d’obtenir une réponse. »
Pour aider le refuge à se faire une idée de la situation, il est demandé de faire parvenir des photos et des vidéos de l’animal sur le Messenger du refuge.
« C’est comme ça qu’on pourra savoir si l’animal a vraiment besoin d’aide et si nous sommes en mesure de faire quelque chose pour lui. »
Un jeune goéland, qui avait encore son duvet, pris en charge par le Havre de la Faune au début de l’été.
(Photo Facebook – Havre de la Faune)
Secourir ou observer : les bons gestes à poser
Tous les cas rapportés au Havre de la Faune ne sont pas nécessairement de fausses alertes. Il peut arriver que des oisillons ou des oiseaux juvéniles tombent dans des endroits dangereux.
« Par exemple, nous avons recueilli un bébé qui était tombé aux alentours de la Chocolaterie Pâtisserie aux Bienfaits (à Rimouski). Il se promenait sur le trottoir. Il était tout près de l’avenue de la Cathédrale, où passent plusieurs voitures. Les toits étaient inaccessibles et il y avait des nids sur chacun d’entre eux, donc il était impossible de savoir lequel était le sien. Dans un cas comme celui-là, où la survie de l’oiseau est en péril, on va essayer de le prendre en charge, jusqu’à ce qu’il soit capable de voler », explique Mark-André Pépin.
Les protéger, pas les nourrir
Lorsque ce sera le cas, le goéland sera remis en liberté, à proximité du fleuve.
« Souvent, quand nous intervenons, c’est parce que les bébés ont encore leur duvet, ce qui signifie qu’à ce moment de leur vie, ça peut leur prendre plusieurs semaines ou plusieurs mois avant de prendre leur envol et d’être en mesure de se débrouiller tout seul. Il y a aussi des endroits où les parents pourront continuer de les protéger, mais pas nécessairement de les nourrir. On demande donc aux gens de nous contacter s’ils ont un doute, si l’animal est orphelin ou s’il semble blessé. »
Si l’animal a besoin d’aide, le refuge sera en mesure de prodiguer des conseils appropriés à sa prise en charge.
Il est possible de contacter le Havre de la Faune par Facebook (Messenger), via son site internet ou encore par téléphone au 418-896-1101.
La Ligue senior de baseball Puribec a dévoilé le calendrier de la série finale 2025 qui opposera le Bérubé GM de Trois-Pistoles (7e) aux Braves Batitech du Témiscouata (3e)
Elle sera lancée vendredi soir au Parc des Braves avant de se poursuivre le lendemain au Stade Paul-Émile Dubé. Si la série se rend à la limite, le match no 7 sera disputé le vendredi 19 septembre dans le quartier Cabano.
Après avoir éliminé les équipes de 2e position (Rivière-du-Loup) et de première place (Rimouski), l
La Ligue senior de baseball Puribec a dévoilé le calendrier de la série finale 2025 qui opposera le Bérubé GM de Trois-Pistoles (7e) auxBraves Batitech du Témiscouata (3e)
Elle sera lancée vendredi soir au Parc des Braves avant de se poursuivre le lendemain au Stade Paul-Émile Dubé. Si la série se rend à la limite, le match no 7 sera disputé le vendredi 19 septembre dans le quartier Cabano.
Après avoir éliminé les équipes de 2e position (Rivière-du-Loup) et de première place (Rimouski), le Bérubé GM va tenter de compléter son tour du chapeau face à l’équipe de troisième place au classement de la saison.
Calendrier de la série finale
Vendredi 5 Trois-Pistoles vs Témiscouata
Samedi 6 Témiscouata vs Trois-Pistoles
Mardi 9 Trois-Pistoles vs Témiscouata
Vendredi 12 Témiscouata vs Trois-Pistoles
*Samedi 13 Trois-Pistoles vs Témiscouata
*Mardi 16 Témiscouata vs Trois-Pistoles
*Vendredi 19 Trois-Pistoles vs Témiscouata
Toutes les parties débuteront à 19 h 30
* : si nécessaire
Beaucoup de points
En saison régulière, la formation des Basques a remporté trois des quatre affrontements entre les deux équipes dont les deux jouées au Témiscouata par des pointages de 16-5 et 10-8.
À Trois-Pistoles, le Bérubé GM a gagné 9-8 et perdu 15-4. Il s’est donc marqué pas moins de 75 points dans ces quatre parties pour une moyenne de 18,75.
Un peu d’histoire
Le dernier championnat des séries des Braves Batitech remonte à il y a seulement deux ans (2023) face au Shaker de Rimouski.
La saison précédente, ils avaient eu le meilleur en finale sur le Bérubé GM. Les Braves sont des habitués de la classique annuelle puisqu’ils en seront à une cinquième présence dans les six dernières saisons et une sixième en huit ans.
Pour Trois-Pistoles, le dernier championnat des séries remonte à 2017 en finale contre Rimouski.
Toutes les parties de la série finale seront de nouveau radiodiffusées par le Groupe Radio Simard. Les détails seront connus dans les prochains jours.
La Sûreté du Québec confirme que monsieur Paul Aimé Lefrançois, 78 ans, de Rimouski, a été retrouvé sain et sauf peu avant 13 h dans un secteur boisé de la rue Saint-Pierre Est, à Rimouski.
Celui-ci sera transféré vers un centre hospitalier afin d’y recevoir les soins nécessaires.
La Sûreté du Québec remercie chaleureusement la population et les médias pour leur précieuse collaboration, qui a contribué à ce dénouement positif.
La Sûreté du Québec confirme que monsieur Paul Aimé Lefrançois, 78 ans, de Rimouski, a été retrouvé sain et sauf peu avant 13 h dans un secteur boisé de la rue Saint-Pierre Est, à Rimouski.
Celui-ci sera transféré vers un centre hospitalier afin d’y recevoir les soins nécessaires.
La Sûreté du Québec remercie chaleureusement la population et les médias pour leur précieuse collaboration, qui a contribué à ce dénouement positif.
Retranché à la dernière journée du camp d’entraînement de l’Océanic, le défenseur de 20 ans, Olivier Théberge, signe un contrat pour la prochaine saison avec les Timberwolves de Miramichi, l’une des meilleures organisations de la Ligue de hockey junior A des Maritimes.
Les Timberwolves indiquent que Théberge sera un pilier à la ligue bleue de l’équipe « capable de bien bouger la rondelle et de produire offensivement ».
Décision difficile pour l’Océanic
Le retranchement de Théberge a été
Retranché à la dernière journée du camp d’entraînement de l’Océanic, le défenseur de 20 ans, Olivier Théberge, signe un contrat pour la prochaine saison avec les Timberwolves de Miramichi, l’une des meilleures organisations de la Ligue de hockey junior A des Maritimes.
Les Timberwolves indiquent que Théberge sera un pilier à la ligue bleue de l’équipe « capable de bien bouger la rondelle et de produire offensivement ».
Décision difficile pour l’Océanic
Le retranchement de Théberge a été la décision la plus difficile à prendre pour la direction de l’Océanic.
« Olivier a représenté fièrement l’Océanic lors des deux dernières saisons. Nous l’aimons beaucoup, mais on voulait ajouter un deuxième joueur de 20 ans en attaque (Luke Patterson) », a expliqué le directeur-gérant de l’Océanic, Dany Dupont.
Olivier Théberge (Photo Vincent Éthier- LCH)
Théberge possède plus de 90 matchs d’expérience dans la LHJMQ, dont une course à la Coupe de Président et une participation à la Coupe Memorial avec l’Océanic l’an dernier. Il avait joué 10 matchs avec l’Armada de Blainville-Boisbriand en début de carrière.
L’an dernier, Théberge a marqué 7 buts et a ajouté 6 passes, pour 13 points en 56 matchs. Il avait ajouté six mentions d’aide en 22 rencontres éliminatoires.
Gaudet et Francoeur
Théberge affrontera deux de ses coéquipiers de la dernière saison dans les Maritimes puisque Loïc Francoeur et Anthony Gaudet évolueront respectivement avec les Rapides de Grand-Sault et les Ramblers D’Amherts, sans oublier le gardien rimouskois Cédric Massé qui est allé retrouver Émile Fournier, de Sainte-Luce, et Alexis Chénard, de Rimouski, avec les champions en titre, le Blizzard d’Edmundston.
Même si elle a remporté l’or en fracassant un record au combiné arraché et épaulé-jeté, la semaine dernière, aux Championnats d’haltérophilie du Commonwealth disputés en Inde, Maude Charron n’a pas encore statué si elle désire participer aux Jeux olympiques de 2028 à Los Angeles.
« Ça me prend une motivation pour aller vers de troisièmes Jeux. Ça semble simple quand on est rendus là-bas, mais le chemin est très, très, très difficile. Je ne ferme pas la porte, je n’ouvre pas la porte », a ind
Même si elle a remporté l’or en fracassant un record au combiné arraché et épaulé-jeté, la semaine dernière, aux Championnats d’haltérophilie du Commonwealth disputés en Inde, Maude Charron n’a pas encore statué si elle désire participer aux Jeux olympiques de 2028 à Los Angeles.
« Ça me prend une motivation pour aller vers de troisièmes Jeux. Ça semble simple quand on est rendus là-bas, mais le chemin est très, très, très difficile. Je ne ferme pas la porte, je n’ouvre pas la porte », a indiqué l’athlète de Sainte-Luce au collègue Félix Ledoux, de Radio-Canada, à l’issue de l’épreuve.
La marque réalisée par la Bas-Laurentienne constitue la plus haute jamais atteinte par une compétitrice, dans sa catégorie, lors de l’événement.
Besoin de temps
À son retour de Paris, l’an dernier, Maude Charron indiquait vouloir prendre du temps afin de s’interroger sur ses désirs, ses objectifs et sur ce qu’elle veut faire de sa vie. Puisque les qualifications pour Los Angeles s’entameront en 2026, la diplômée en Technique policière a encore quelques mois devant elle.
« Je me suis entraînée tellement longtemps. Je réfléchis à ce que je veux faire en tant qu’être humain, parce que je ne suis pas juste une athlète. C’est dur après un événement si important de trouver un défi aussi gratifiant. J’ai des blessures à guérir. Une pression à faire redescendre. J’ai besoin de temps avec moi-même », expliquait-elle en entrevue avec Le Soir.
Maude Charron (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Après avoir gagné la médaille d’or dans la catégorie des 64 kg aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo, la diplômée en techniques policières est remontée sur le podium à Paris, en 2024, en mettant la main sur l’argent chez les 59 kg.
Derrière L’Armada de l’Est
En février dernier, Maude Charron a cofondé L’Armada de l’Est, un club d’haltérophilie à but non lucratif basé à Rimouski et affilié à la Fédération d’haltérophilie du Québec, afin de démocratiser le sport et encourager la relève locale.
Avec l’aide de Marie-Pier Gendron, L’Armada de l’Est a offert ses premiers cours de groupe et privés.
« Nous sommes vraiment motivés à rendre accessible l’haltérophilie dans la région d’autant plus avec la vague de popularité que ce sport a gagné dans les dernières années », relatait Charron à ce moment.
La Sûreté du Québec confirme que plusieurs incidents sont survenus depuis dimanche, fin de journée, dans le secteur de Rimouski-Neigette et de La Mitis.
Le porte-parole de la SQ, Frédéric Deshaies, rapporte que la Sûreté du Québec s’est déplacée sur la route 132, à proximité de la route Hudon, à Sainte-Angèle-de-Mérici, dimanche vers 16 h, au sujet d’un incendie de véhicule.
Il ne serait pas question d’un incendie d’origine criminel.
(Photo courtoisie Sûreté du Québec)
Collision à Sai
La Sûreté du Québec confirme que plusieurs incidents sont survenus depuis dimanche, fin de journée, dans le secteur de Rimouski-Neigette et de La Mitis.
Le porte-parole de la SQ, Frédéric Deshaies, rapporte que la Sûreté du Québec s’est déplacée sur la route 132, à proximité de la route Hudon, à Sainte-Angèle-de-Mérici, dimanche vers 16 h, au sujet d’un incendie de véhicule.
Il ne serait pas question d’un incendie d’origine criminel.
(Photo courtoisie Sûreté du Québec)
Collision à Saint-Anaclet
Une collision impliquant un véhicule et un orignal est survenue en fin de soirée, dimanche, dans le secteur de Saint-Anaclet à Rimouski.
« C’est survenu vers 22 h 30, sur l’autoroute 20, au kilomètre 620. Le conducteur a subi des blessures qui ne font pas craindre pour sa vie. L’orignal est bien sûr décédé », mentionne le porte-parole Deshaies.
Collision matérielle à Saint-Joseph-de-Lepage
Une seconde collision, cette fois matérielle, est survenue sur la route 132, à Saint-Joseph-de-Lepage.
« C’est aussi survenu vers 22 h 30 dimanche. Il est question d’une collision matérielle, sans blessé, impliquant deux véhicules. »
Collision à Sainte-Blandine
Une autre collision entre un véhicule et un chevreuil est survenue, lundi matin vers 7 h, sur la route des Pionniers dans le secteur de Sainte-Blandine.
« Le conducteur du véhicule aurait subi des blessures mineures », conclut Frédéric Deshaies.
MISE À JOUR : Monsieur Lefrançois a été retrouvé sain et sauf.
La Sûreté du Québec demande l’aide du public pour retrouver Paul Aimé Lefrançois, 78 ans, de Rimouski autrefois de Matane.
Il a été vu pour la dernière fois le 31 août vers 17h30, alors qu’il se trouvait à pied dans le secteur de l’avenue Belzile à Rimouski.
Ses proches ont des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité.
Description
Taille : 1,60 m (5 pi 2 po)
Poids : 56 kg (123 lb)
Cheveux : Blanc
Yeu
MISE À JOUR : Monsieur Lefrançois a été retrouvé sain et sauf.
La Sûreté du Québec demande l’aide du public pour retrouver Paul Aimé Lefrançois, 78 ans, de Rimouski autrefois de Matane.
Il a été vu pour la dernière fois le 31 août vers 17h30, alors qu’il se trouvait à pied dans le secteur de l’avenue Belzile à Rimouski.
Ses proches ont des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité.
Description
Taille : 1,60 m (5 pi 2 po)
Poids : 56 kg (123 lb)
Cheveux : Blanc
Yeux : Bleu
Particularité : M. Lefrançois se déplace en marchette.
La dernière fois qu’il a été vu, il portait un pantalon bleu, une veste en jeans foncé et des souliers gris avec des semelles blanches.
Paul Aimé Lefrançois a été vu pour la dernière fois le 31 août vers 17 h 30. (Photo SQ)
La Sûreté du Québec demande aux résidents de Rimouski de bien vouloir vérifier leurs terrains, dépendances et caméras de surveillance, notamment :
sous les galeries,
les remises et cabanons,
les garages,
ainsi que tout endroit où une personne pourrait s’abriter,
de même que les enregistrements de caméras de sécurité afin de repérer tout indice.
Chaque vérification, même si elle semble anodine, peut s’avérer déterminante pour retrouver monsieur Lefrançois.
Toute personne qui apercevrait Paul Aimé Lefrançois est priée de communiquer avec le 911.
De plus, toute information pouvant permettre de retrouver Paul Aimé Lefrançois peut être communiquée, confidentiellement, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.
Le Centre de développement et de recherche en imagerie numérique (CDRIN) et La Guilde du jeu vidéo du Québec tiendront un sommet sur l’innovation dans les jeux vidéo.
Ce sommet sur deux jours se déroulera à Montréal le 30 septembre et le 1er octobre. L’idée derrière cet événement est de réunir les créateurs et développeurs de jeux vidéo sous un même toit afin d’échanger sur les différentes techniques et partager les bonnes idées.
Le CDRIN est d’avis qu’il y a urgence pour le Québec de fair
Le Centre de développement et de recherche en imagerie numérique (CDRIN) et La Guilde du jeu vidéo du Québec tiendront un sommet sur l’innovation dans les jeux vidéo.
Ce sommet sur deux jours se déroulera à Montréal le 30 septembre et le 1er octobre. L’idée derrière cet événement est de réunir les créateurs et développeurs de jeux vidéo sous un même toit afin d’échanger sur les différentes techniques et partager les bonnes idées.
Le CDRIN est d’avis qu’il y a urgence pour le Québec de faire ressortir le meilleur de ce qu’il a à offrir dans un contexte où la technologie évolue à vitesse grand V et devient de plus en plus pointue. Les enjeux économiques et la compétition sont aussi des éléments à considérer dans la réflexion.
Ainsi, le 30 septembre, il y aura deux classes de maîtres pour les professionnels ayant déjà un niveau d’expérience avancée. Deux ateliers seront offerts, soit un sur l’intelligence artificielle appliquée et un autre sur le produit final.
Experts et ateliers
Le lendemain, place au sommet qui réunira de nombreux panels d’experts et plusieurs ateliers. On abordera notamment l’intelligence artificielle appliquée, le développement de jeux à petit budget, le bien-être des communautés du jeu et le marketing stratégique.
On parlera aussi de l’optimisation des pipelines; c’est-à-dire, comment améliorer et faciliter le processus de production.
L’idée est de permettre aux participants de repartir du sommet avec des nouvelles idées, des nouveaux contacts et une motivation renouvelée par la suite des choses. Pour y arriver, de nombreux contenus interactifs stimulant la réflexion seront présentés. Il y aura également des moments choisis pour faire du réseautage.
Les intéressés peuvent s’inscrire dès maintenant pour le sommet, les classes de maîtres ou les deux en se rendant sur la page internet
Les Braves Batitech du Témiscouata atteignent la finale de la Ligue senior Puribec à la suite d’une décisive victoire de 15-2 sur les Allées du Boulevard de Matane dans le 7e et ultime match de leur série demi-finale.
Ils complètent ainsi une spectaculaire remontée, eux qui perdaient 3-1 dans la série, en début de semaine, remportant les trois parties suivantes.
Les Braves se sont imposés dès le départ prenant les devants 4-0 en première manche au grand plaisir de la foule de plus de 600 s
Les Braves Batitech du Témiscouata atteignent la finale de la Ligue senior Puribec à la suite d’une décisive victoire de 15-2 sur les Allées du Boulevard de Matane dans le 7e et ultime match de leur série demi-finale.
Ils complètent ainsi une spectaculaire remontée, eux qui perdaient 3-1 dans la série, en début de semaine, remportant les trois parties suivantes.
Les Braves se sont imposés dès le départ prenant les devants 4-0 en première manche au grand plaisir de la foule de plus de 600 spectateurs. C’était 9-1 après la deuxième. Les carottes étaient pas mal cuites.
Samuel Pearson, avec 4 cs en 5 et deux points produits ainsi que Félix Castonguay, avec 2 en 4, un circuit et quatre points produits, ont été les meilleurs en attaque.
Gabriel Cyr, qui a lancé 3 1/3 manches en relève à Kodai Kambara, est le lanceur gagnant. Les trois lanceurs utilisés par les Braves n’ont permis que deux coups sûrs dans la rencontre. La défaite va au dossier du jeune Jérémie Boucher.
Pour Matane, ce revers conclut leur meilleure saison depuis 15 ans. Après avoir joué pour une moyenne de,500 en saison régulière (fiche de 11-11), l’équipe a accédé au carré d’as en écartant Edmundston en première ronde.
Finale
Les Braves Batitech ont maintenant rendez-vous avec le Bérubé GM de Trois-Pistoles dans la série finale 2025. En saison régulière, la formation des Basques a remporté trois des quatre affrontements entre les deux équipes.
La ligue fera connaitre le calendrier de la série lundi.
La Sûreté du Québec confirme que deux véhicules ont été incendiés, vers 3 h 45 dans la nuit de samedi à dimanche, sur l’avenue du Sanatorium à Mont-Joli.
« Les véhicules étaient stationnés dans une cour de résidence de deux logements. Il n’y avait personne à l’intérieur des véhicules et il n’y a pas eu de blessé. Par mesure préventive, deux résidences voisines ont été évacuées, le temps de maitriser l’incendie », rapporte la sergente porte-parole de la SQ, Béatrice Dorsainville.
L’incendie
La Sûreté du Québec confirme que deux véhicules ont été incendiés, vers 3 h 45 dans la nuit de samedi à dimanche, sur l’avenue du Sanatorium à Mont-Joli.
« Les véhicules étaient stationnés dans une cour de résidence de deux logements. Il n’y avait personne à l’intérieur des véhicules et il n’y a pas eu de blessé. Par mesure préventive, deux résidences voisines ont été évacuées, le temps de maitriser l’incendie », rapporte la sergente porte-parole de la SQ, Béatrice Dorsainville.
L’incendie a d’ailleurs été maitrisé aux alentours de 4 h 30.
« Les personnes évacuées ont alors pu réintégrer leur logis. »
Selon la Sûreté du Québec, il s’agirait d’un incendie de nature criminel et une enquête est en cours. Aucune arrestation n’a été effectuée pour le moment.
Ils sont nombreux à y croire. Quitter la salle de rédaction, troquer le salaire mensuel contre la liberté créative, se lancer sur YouTube ou Instagram pour faire du journalisme « différent ».
L’opinion de Johanne Fournier
Alexane Drolet, Nicolas Pham, Gaspard G, Hugo Décrypte, autant de noms qui ont fait le pari des plateformes numériques. Mais, derrière cette image séduisante du journaliste-entrepreneur, se cache une réalité plus sombre.
C’est ce que révèlent les recherches de Samuel L
Ils sont nombreux à y croire. Quitter la salle de rédaction, troquer le salaire mensuel contre la liberté créative, se lancer sur YouTube ou Instagram pour faire du journalisme « différent ».
L’opinion de Johanne Fournier
Alexane Drolet, Nicolas Pham, Gaspard G, Hugo Décrypte, autant de noms qui ont fait le pari des plateformes numériques. Mais, derrière cette image séduisante du journaliste-entrepreneur, se cache une réalité plus sombre.
C’est ce que révèlent les recherches de Samuel Lamoureux, professeur à l’Université TÉLUQ, qui signe un article sur le sujet publié récemment dans La Conversation.
Premier réveil brutal : l’économie des plateformes ressemble davantage au Far West qu’au salariat traditionnel. Sur YouTube, 20 % des chaînes les plus prospères captent 87 % des revenus. Pour la vaste majorité des autres, c’est la course aux miettes publicitaires. L’illusion de démocratisation s’effrite quand on réalise que seuls les « gros joueurs » signent de vrais contrats avec les marques.
Les autres survivent des pacotilles d’AdSense, une plateforme publicitaire développée par Google qui permet aux propriétaires de sites Web, de chaînes YouTube et d’applications de gagner de l’argent en diffusant des annonces pertinentes sur leur contenu.
Au-delà du cadre économique
Le problème dépasse le cadre économique. Ces plateformes transforment subtilement la pratique journalistique. Quand Google Trends suggère de parler de la mort d’un acteur américain plutôt que de la guerre à Gaza, que reste-t-il de l’indépendance éditoriale ?
YouTube ne se contente pas d’héberger du contenu : il le façonne à travers ses courtes vidéos, ses formats imposés et autres outils qui poussent vers le l’information-spectacle plutôt que vers l’intérêt public.
L’optimisation devient le maître-mot. Fini le temps où le journaliste choisissait ses sujets selon leur importance. Place aux analyses de données, aux graphiques de performance, aux méthodes de comparaison. Le créateur de contenu apprend à décrypter les algorithmes comme autrefois il s’initiait aux techniques d’enquête. Une mutation professionnelle radicale qui transforme le journaliste en ingénieur de l’audience.
« Vie algorithmique »
Cette logique d’optimisation constante ne reste pas cantonnée au travail. Elle s’infiltre dans la vie quotidienne, créant ce qu’Éric Sadin appelle une « vie algorithmique ». Ces jeunes journalistes qui rêvaient de créativité se retrouvent à penser, à sentir et à agir selon les codes des plateformes. Ils deviennent les produits de leurs propres outils.
L’ironie est cruelle : ceux qui voulaient échapper aux contraintes des médias traditionnels se retrouvent prisonniers d’algorithmes plus rigides qu’un rédacteur en chef. Au moins, ce dernier était humain et négociable. L’algorithme, lui, ne connaît que les clics et le temps d’écran.
Cette mutation soulève une question : peut-on parler de journalisme quand l’information devient un produit d’optimisation publicitaire et quand les sujets d’intérêt public cèdent la place aux tendances d’un outil qui permet d’analyser la popularité des recherches sur Google ?
La réponse n’est pas tranchée, mais elle invite à la prudence. Les plateformes numériques ne sont ni le paradis créatif ni l’enfer absolu. Elles sont un outil puissant, mais contraignant, qui redéfinit le métier autant qu’il l’enrichit. Aux journalistes de garder leur boussole déontologique dans cette navigation périlleuse. Car devenir un robot, personne n’avait inscrit cela dans ses objectifs professionnels.
Pour répondre à la question en titre : YouTube ne remplacera pas les médias traditionnels comme Le Soir, pas plus que les journalistes, comme mes collègues et moi, qui vous informent sans se soucier des algorithmes et des outils numériques qui dictent les sujets à traiter.
La transplantation d’un nouveau cœur, la semaine dernière, pour le Rimouskois David Lauzier, met en lumière l’importance des dons d’organes pour sauver des vies. Après quelques semaines d’angoisse, l’artisan-ébéniste a pu bénéficier de la générosité d’un donneur, retrouvant ainsi l’espoir.
Inscrit en priorité absolue sur la liste de Transplant Québec dans l’attente d’un donneur compatible, monsieur Lauzier a appris la bonne nouvelle la veille de son opération.
Il était hospitalisé à l’uni
La transplantation d’un nouveau cœur, la semaine dernière, pour le Rimouskois David Lauzier, met en lumière l’importance des dons d’organes pour sauver des vies. Après quelques semaines d’angoisse, l’artisan-ébéniste a pu bénéficier de la générosité d’un donneur, retrouvant ainsi l’espoir.
Inscrit en priorité absolue sur la liste de Transplant Québec dans l’attente d’un donneur compatible, monsieur Lauzier a appris la bonne nouvelle la veille de son opération.
Il était hospitalisé à l’unité de soins intensifs coronariens de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec, où il avait été admis en urgence le 23 juillet dernier en état d’insuffisance cardiaque sévère.
« Le processus d’une greffe du cœur est hautement risqué et, dans ce cas-ci, les médecins estiment ses chances de réussite à environ 75%. Si tout se passe bien, une longue période de réadaptation suivra son cours pendant environ une année et David se trouvera toujours dans l’incapacité d’exercer son métier », indiquaient les instigateurs.
Chaque année, moins d’une quarantaine de patients sont greffés du cœur au Québec. Le nombre de dons d’organes est en progression.
Transplant Québec rapporte une augmentation de 89 % du nombre de références en 10 ans, ce qui a permis d’accroître le nombre de transplantations. Malgré ces progrès, la liste d’attente demeure longue.
En 2024, au Bas-Saint-Laurent seulement, 16 personnes attendaient un nouveau rein, trois pour un foie et une pour un cœur. Les délais se sont toutefois améliorés. En moyenne, ils atteignent 49 jours pour une greffe pulmonaire et 156 jours pour un cœur.
L’an dernier, 551 Québécois ont été transplantés avec la générosité des donneurs décédés et au consentement de leur famille, dont seulement 37 grâce à un nouveau cœur.
Le Bas-Saint-Laurent progresse
Il y a quelques années, les donneurs d’organes provenant du Bas-Saint-Laurent étaient rares. En 2023, la région a doublé le nombre de références, une remontée spectaculaire.
« Ce fut un travail de sensibilisation auprès des médecins, inhalothérapeutes et infirmières. D’être proactifs. Ça peut sembler banal, mais identifier les donneurs potentiels n’est pas toujours évident dans le vif du sujet », explique la médecin spécialiste ainsi que coordonnatrice en don et en transplantation d’organes et de tissus à l’Hôpital régional de Rimouski, la Dre Christine Touzel.
Parmi les façons de signifier son consentement aux dons d’organes et de tissus, les intéressés doivent signer un autocollant et de l’apposer au dos de leur carte d’assurance maladie. (Photo courtoisie)
Dans son plus récent bilan, Transplant Québec a répertorié 12 références dans la région. De ce nombre, quatre donneurs effectifs ont permis la transplantation de neuf organes, principalement des reins. L’acceptation sociale du don d’organes progresse aussi.
Quatre Québécois sur 10 ont officiellement inscrit leur volonté de donner. Malgré cette ouverture, seule une fraction des références aboutit, notamment en raison du refus des familles ou de problèmes de santé chez le donneur.
Second souffle
« Le don d’organes permet de donner une lueur dans des situations très sombres. De prendre un drame humain et d’offrir un second souffle », dit la Dre Touzel.
Il existe trois façons de signifier son consentement au d’organes et de tissus, soit de de s’inscrire à un registre de la Régie de l’assurance maladie du Québec, de signer un autocollant et de l’apposer au dos de sa carte d’assurance maladie ou de signifier sa décision à la Chambre des notaires du Québec.
À Trois-Pistoles, l’église Notre-Dame-des-Neiges a, le samedi 30 août, vibré au rythme d’un hommage grandiose à l’écrivain Victor-Lévy Beaulieu (VLB), décédé le 9 juin. Entre émotion et célébration, ces « funérailles populaires régionales » ont rendu justice à l’immensité de l’homme et de son œuvre.
L’image restera gravée dans les mémoires: un cheval nain déambulant dans l’allée centrale de l’église, précédant une procession festive où se mêlaient fantaisie et solennité.
Victor-Lévy Beaul
À Trois-Pistoles, l’église Notre-Dame-des-Neiges a, le samedi 30 août, vibré au rythme d’un hommage grandiose à l’écrivain Victor-Lévy Beaulieu (VLB), décédé le 9 juin. Entre émotion et célébration, ces « funérailles populaires régionales » ont rendu justice à l’immensité de l’homme et de son œuvre.
L’image restera gravée dans les mémoires: un cheval nain déambulant dans l’allée centrale de l’église, précédant une procession festive où se mêlaient fantaisie et solennité.
Victor-Lévy Beaulieu n’a pas eu droit à des funérailles nationales, mais il a reçu quelque chose de précieux: l’amour inconditionnel de tous ceux qui ont su profiter de sa générosité, tant comme homme de lettres que comme membre de la famille, comme ami ou comme collègue.
Un spectacle à la hauteur du personnage
Imaginées par Dominic Champagne et animées par Yves Desgagnés, ces funérailles ont pris des allures de grand spectacle populaire, qui a fait « dans les grosseurs », pour reprendre une expression de VLB. L’église bondée a accueilli famille, amis, admirateurs et personnalités venus de tout le Québec pour saluer l’auteur de L’Héritage, de Race de monde et de tant d’autres œuvres.
L’église de Trois-Pistoles était bondée. Plusieurs portaient un couvre-chef et une cravate de Snoopy, à l’image du défunt. (Photo Johanne Fournier)
Au pied de l’autel, une scène symbolique: la machine à écrire de VLB, entourée de ses livres et d’objets personnels, témoins silencieux d’une œuvre qualifiée comme « la plus prolifique de la littérature québécoise ». Les comédiens Pierre Curzi, Marie Tifo, Gilles Renaud, Louise Turcot et bien d’autres ont fait résonner les mots de l’écrivain, donnant vie une dernière fois aux personnages qu’il avait créés.
Témoignages bouleversants
Parmi les moments les plus émouvants, le témoignage de l’ex-députée Lisette Lapointe, veuve de l’ancien premier ministre du Québec Jacques Parizeau, a particulièrement touché l’assemblée. Elle a évoqué leur « coup de foudre amical », leurs passions communes pour les automobiles, pour Victor Hugo et surtout pour « le pays, pas encore pays », comme le disait l’artiste.
Avec tendresse, elle a raconté la visite de Jacques Parizeau chez VLB, quand il les avait accueillis en déclarant: « M. Parizeau, vous êtes un grand bourgeois et moi, un va-nu-pied. C’est ainsi que je vous accueillerai. »
L’historien, auteur et chroniqueur Jean-François Nadeau a brossé un portrait saisissant de «l’ogre de Trois-Pistoles», cet homme qui écrivait « comme il respirait », capable de capter « les fréquences les plus lointaines d’un monde qui exigeait de se faire entendre grâce à sa voix ».
L’hommage de l’autrice de La Servante écarlate, livré par vidéo, a rappelé leur collaboration unique dans les années 1990, témoignage rare d’un dialogue entre les deux solitudes canadiennes. Margaret Atwood n’a pas manqué de souligner l’apport de l’ancienne réalisatrice de Radio-Canada Bas-Saint-Laurent, Doris Dumais, qui avaitréalisé une série radiophonique sur la rencontre de ces deux géants de la littérature.
L’héritage d’un « indomptable géant »
C’est sans doute Mélanie Beaulieu, la fille de l’écrivain, qui a livré les mots les plus poignants. Lisant le testament spirituel de son père, elle a fait entendre sa voix une dernière fois. « Je ne crois ni à Dieu, ni à diable. Je crois simplement au progrès, donc à l’avenir du petit peuple, une fois qu’il se sera libéré des chaînes qu’on l’oblige à porter. »
Dans un moment de forte émotion, elle n’a pas hésité à critiquer le gouvernement du Québec pour « avoir privé le Québec de funérailles nationales » pour son père, dénonçant « la petitesse de la pensée et de la culture de François Legault» , qui n’a pas su reconnaître la grandeur de cet « indomptable géant ».
Dernier geste symbolique
Fidèle aux traditions de VLB lors de ses lancements de livres, Mélanie Beaulieu a lancé à bout de bras des exemplaires des livres de son père dans l’assemblée.
À la sortie, Yves Desgagnés a ouvert le cortège accompagné de son cheval nain, clin d’œil à son personnage de Junior dans L’Héritage. Une fois sur le parvis de l’église, les invités ont libéré des ballons bleus, couleur préférée du défunt, emportant avec eux l’âme d’un géant qui aura consacré sa vie à rêver un pays.
Si Victor-Lévy Beaulieu n’a pas eu droit à des funérailles nationales, il aura eu des obsèques à son image. Car, comme l’a dit Jean-François Nadeau, « VLB demeure, à travers son œuvre immense, le plus vivant d’entre nous tous ».
À la sortie de l’église, des ballons bleus ont été relâchés vers le ciel. (Photo Johanne Fournier)
Pour la population de sa région natale, ce n’était pas les funérailles de l’un des leurs, mais bien plutôt une légende qu’on célébrait. Pour les gens qui l’ont aimé, Victor-Lévy Beaulieu continuera longtemps à faire entendre sa voix unique, celle « du Québec d’en bas qui refuse de se taire ».
Le « Buck Thorax », ou « écarteur » de grand gibier, conçu par un grand adepte de la chasse rimouskois, Denis Proulx, gagne du terrain en province et au pays.
Des centaines appareils sont distribués à travers les boutiques spécialisés du Québec et de l’Ouest canadien. Le marché américain est la prochaine cible de son concepteur.
Selon le concepteur de Rimouski, son écarteur est outil indispensable, après la récolte d’un grand gibier, cerf, ours, orignal ou autre.
Cette « bar
Le « Buck Thorax », ou « écarteur » de grand gibier, conçu par un grand adepte de la chasse rimouskois, Denis Proulx, gagne du terrain en province et au pays.
Des centaines appareils sont distribués à travers les boutiques spécialisés du Québec et de l’Ouest canadien. Le marché américain est la prochaine cible de son concepteur.
Selon le concepteur de Rimouski, son écarteur est outil indispensable, après la récolte d’un grand gibier, cerf, ours, orignal ou autre.
Cette « barre » télescopique, de 14 à 20 puces est, selon Denis Proulx, ultra robuste, 100% acier inoxydable (stainless), écoresponsable, et évitera de tailler de petits arbres, ou utiliser toutes sortes de branches pour écarter les cages thoraciques des animaux sauvages prélevés après chasse.
À vie
« Le « Buck Thorax » est fabriqué pour servir à vie à chaque saison de chasse de grands gibiers.
Le chasseur l’utilise immédiatement après l’abattage de son grand gibier et évite de contaminer le filet mignon avec des bactéries des bouts de bois ramassés au sol », indique l’inventeur.
Tour en poursuivant la promotion active du « Buck Thorax », Denis Proulx vient rapatrier la fabrication de son outil de la Chine à Rimouski, où l’entreprise AMH Canada assurera dorénavant sa production.
Le Buck Thorax, inventé par le Rimouskois Denis Proulx (Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)
Afin de répondre à la demande des chasseurs et accélérer les commandes effectuées par les détaillants, Denis Proulx se devait de rapprocher la fabrication de l’écarteur de son point d’origine et de réduire le temps entre la fabrication et la livraison.
Lors d’une récente entrevue à « Rendez-Vous Nature », Denis Proulx rappelait l’origine de son aventure dans la conception, la fabrication et la commercialisation de son invention qu’il qualifie d’indispensable pour tous les amateurs de grands gibiers.
On peut entendre ou réentendre cette entrevue en cliquant sur le lien ci-dessus.
Bien qu’il se réjouisse de l’aménagement de la piste cyclable sur l’avenue de la Cathédrale, l’ex-greffier de la Ville de Rimouski et cycliste de longue date, Marc Doucet, pointe certains risques liés à la configuration actuelle des voies cyclables et des trottoirs.
Il s’est rendu à la séance du conseil municipal, le 25 août dernier, pour partager ses observations. Il ne comprend pas pourquoi il y a un dénivelé de 1,5 à 3 pouces entre le trottoir et la piste cyclable, ce qui pourrait poser pr
Bien qu’il se réjouisse de l’aménagement de la piste cyclable sur l’avenue de la Cathédrale, l’ex-greffier de la Ville de Rimouski et cycliste de longue date, Marc Doucet, pointe certains risques liés à la configuration actuelle des voies cyclables et des trottoirs.
Il s’est rendu à la séance du conseil municipal, le 25 août dernier, pour partager ses observations. Il ne comprend pas pourquoi il y a un dénivelé de 1,5 à 3 pouces entre le trottoir et la piste cyclable, ce qui pourrait poser problème selon lui.
« La piste cyclable unidirectionnelle fait 1,5 mètre de large, ce qui rend les dépassements difficiles. C’est un gros handicap parce que tout le monde ne circule pas à la même vitesse. Les cyclistes vont être tentés de dépasser par le trottoir, s’il n’y a pas de piétons. Toutes les autres pistes cyclables sur le territoire de la Ville ont une ligne blanche les séparant du trottoir, mais pas de dénivelé, et cela ne pose pas de problème », explique-t-il.
Des situations dangereuses
Monsieur Doucet craint que les cyclistes soient tentés d’emprunter les entrées donnant accès aux propriétés pour dépasser, où il n’y a pas de dénivelé, ce qui comporte des risques. Il mentionne qu’on lui a répondu que le dénivelé était nécessaire pour les non-voyants.
« Dans ce cas, pourquoi ne pas mettre une bande métallique rugueuse sur le bord du trottoir, comme cela se fait aux intersections ? »
À cet endroit, le dénivelé entre la piste cyclable et le trottoir est de deux pouces. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
Le cycliste rappelle que la piste est également utilisée par les vélos électriques, les trottinettes et les triporteurs ou quadriporteurs, qui ne circulent pas tous à la même vitesse. Marc Doucet estime que la piste cyclable n’est pas assez large.
« Pour une piste unidirectionnelle, la largeur recommandée est de 2 mètres. Il manque donc 50 centimètres pour atteindre cette norme. Il serait possible d’empiéter sur la bande de verdure », précise-t-il.
Pas trop tard
Selon lui, il n’est pas trop tard pour apporter des modifications et il ne serait pas trop compliqué d’élargir la piste et de la mettre au même niveau que le trottoir.
Vue d’ensemble d’une portion sud de l’avenue de la Cathédrale à Rimouski. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
Il invite les cyclistes qui partagent ses préoccupations à se rendre à la séance du conseil municipal du lundi 8 septembre pour transmettre leurs messages aux élus.
L’Institut maritime du Québec (IMQ) amorce l’année scolaire avec 379 étudiants, une vingtaine de plus qu’à la rentrée 2024. Le contingent d’internationaux recule toutefois légèrement en raison de délais liés aux permis d’études.
En tout, 131 étudiants nouvellement inscrits provenant de toutes les régions du Québec et de l’international ont amorcé leur formation dans l’un des quatre programmes techniques offerts par l’établissement.
Cet automne, 45 étudiants des programmes Navigation et Tec
L’Institut maritime du Québec (IMQ) amorce l’année scolaire avec 379 étudiants, une vingtaine de plus qu’à la rentrée 2024. Le contingent d’internationaux recule toutefois légèrement en raison de délais liés aux permis d’études.
En tout, 131 étudiants nouvellement inscrits provenant de toutes les régions du Québec et de l’international ont amorcé leur formation dans l’un des quatre programmes techniques offerts par l’établissement.
Cet automne, 45 étudiants des programmes Navigation et Techniques de génie mécanique de marine poursuivront leur apprentissage grâce aux stages en mer en naviguant sur les eaux canadiennes et internationales.
De plus, près de 150 personnes se tourneront vers le Centre de formation en plongée professionnelle pour développer de nouvelles compétences.
« Chaque rentrée est un moment privilégié où l’on sent l’énergie et l’enthousiasme de la communauté étudiante prête à embarquer dans une aventure unique. À l’IMQ, nous avons à coeur d’accompagner chaque personne dès le départ afin qu’elle se sente rapidement à l’aise et bien entourée. », souligne Mélanie Leblanc, directrice de l’IMQ.
Abordage Océan
L’IMQ a amorcé la nouvelle année scolaire de manière mémorable avec l’événement Abordage Océan, qui s’est tenu le 26 août dernier.
Cette journée d’accueil, véritable miroir de la culture et de la vie à l’IMQ, permet aux étudiants de tisser des liens entre eux ainsi qu’avec le personnel de l’école, dans une ambiance conviviale et dynamique.
Plus de 200 étudiants et membres du personnel se sont rassemblés au Domaine Valga pour une journée d’activités et de dépassement, le 26 août, afin de marquer la rentrée. (Photo courtoisie)
Plus de 200 étudiants et membres du personnel se sont rassemblés au Domaine Valga pour une journée d’activités et de dépassement.
Cette activité est rendue possible grâce au soutien de la Fondation de l’Institut maritime et de Groupe Océan, partenaire de l’événement.
Échange international d’enseignants
L’année scolaire 2025-2026 est également marquée par un échange international d’enseignants avec l’École nationale supérieure maritime (ENSM) de Saint-Malo, en France.
Dans le cadre de cette collaboration, Alexandre Ouellet, enseignant à l’IMQ en Techniques de génie mécanique de marine, s’est envolé pour la France tandis que Jérôme Gaboriau, enseignant en mécanique navale, à l’ENSM, se joint à l’équipe enseignante de l’IMQ pour toute l’année.
« C’est une belle occasion de pouvoir enseigner à l’Institut maritime du Québec et de contribuer à la formation de la relève maritime. Cet échange permet de croiser les expertises, d’enrichir nos pratiques pédagogiques et d’accompagnement scolaire. Ce partenariat permet de renforcer les liens entre nos deux institutions », souligne monsieur Gaboriau.
C’est par un revers de 42-20 face aux Gaulois de La Pocatière que les Pionniers du Cégep de Rimouski en football ont amorcé leur saison 2025 par un temps pluvieux, samedi soir, au Stade du Complexe sportif Guillaume Leblanc.
Le match a bien mal débuté pour la formation rimouskoise qui a accordé un touché sur le deuxième jeu de la rencontre et un autre, quelques instants plus tard, après une interception à l’intérieur de la ligne de 20.
La traditionnelle longue poignée de main d’après-part
C’est par un revers de 42-20 face aux Gaulois de La Pocatière que les Pionniers du Cégep de Rimouski en football ont amorcé leur saison 2025 par un temps pluvieux, samedi soir, au Stade du Complexe sportif Guillaume Leblanc.
Le match a bien mal débuté pour la formation rimouskoise qui a accordé un touché sur le deuxième jeu de la rencontre et un autre, quelques instants plus tard, après une interception à l’intérieur de la ligne de 20.
La traditionnelle longue poignée de main d’après-partie (Photo Le Soir – René Alary)
En déficit 14-0, les Pionniers se sont retroussé les manches pour livrer une belle bataille. Ils ont même resserré le pointage à 28-20, tard au 3e quart.
« On a une équipe très jeune et on savait que ce serait difficile contre La Pocatière qui est une équipe à maturité. Mais, je suis fier des gars, on perdait 14-0 après trois minutes et on n’a pas abandonné. C’est sur les fronts que ça s’est joué », a commenté Louis-David Goulet.
Léo Richard marque le premier de ses deux touchés. (Photo tirée de la webdiffusion)
Quelques joueurs se sont mis en évidence, notamment le porteur de ballon, Léo Richard, qui a inscrit les deux touchés des siens. Anthony Gagnon a réussi deux placements.
« Nos deux quarts-arrière, Nicolas Rioux et Roméo Michel, ont fait de belles choses. Les deux en étaient à un premier match au niveau collégial, ils ont bien contrôlé le match. Défensivement, plusieurs joueurs se sont impliqués au sol. »
Le jeune quart-arrière, Roméo Michel (10), a fait ses débuts avec les Pionniers au 4e quart. (Photo Le Soir – René Alary)
La Pocatière
De l’autre côté, Marc Chouinard était à demi satisfait de la performance de sa troupe.
« On est content d’avoir cette première victoire de la saison. Toutefois, on a eu un match avec beaucoup trop de punitions des deux côtés du ballon, ça nous a enlevé des points du tableau en première demie. Il y a beaucoup de choses à corriger en vue du match de la semaine prochaine contre Jonquière. Nos attentes sont beaucoup plus élevées que ça », observe l’entraineur-chef.
La ligne offensive des Gaulois s’est imposée. (Photo Le Soir – René Alary)
Points positifs ? « On a eu un gros travail de notre ligne offensive et on a gagné de grosses verges au sol avec notre offensive. Et, globalement, on a quand même eu une bonne défensive. »
Les Pionniers seront de retour en action samedi prochain en après-midi à Thetford.
Les Pionniers de Rimouski entament leur saison 2025 devant les partisans, en ce samedi 30 août, en recevant les Gaulois de La Pocatière dans la Ligue de football collégial division 3 du Québec.
Tout au long de la saison, vous pouvez suivre toutes les rencontres des Pionniers sur le site du Soir.ca.
Après l’affrontement, René Alary vous proposera son résumé de l’action avec les commentaires de l’entraîneur-chef Louis-David Goulet.
Pour visionner l’affrontement en direct, cliquez s
Les Pionniers de Rimouski entament leur saison 2025 devant les partisans, en ce samedi 30 août, en recevant les Gaulois de La Pocatière dans la Ligue de football collégial division 3 du Québec.
L’Océanic entame la fin de son calendrier présaison en s’amenant à Matane pour un avant-dernier match préparatoire, ce vendredi 5 septembre, contre le Drakkar de Baie-Comeau.
Joël Perrault confirme que l’alignement complet sera présent sur la glace, si aucun ennui ne survient d’ici là, à l’exception de Zack Arsenault qui demeure un cas incertain.
Le premier choix de l’Océanic au dernier repêchage soigne une blessure au haut du corps subie au début du camp d’entraînement, mais on confirme
L’Océanic entame la fin de son calendrier présaison en s’amenant à Matane pour un avant-dernier match préparatoire, ce vendredi 5 septembre, contre le Drakkar de Baie-Comeau.
Joël Perrault confirme que l’alignement complet sera présent sur la glace, si aucun ennui ne survient d’ici là, à l’exception de Zack Arsenault qui demeure un cas incertain.
Le premier choix de l’Océanic au dernier repêchage soigne une blessure au haut du corps subie au début du camp d’entraînement, mais on confirme qu’il est sur la bonne voie pour faire un retour au jeu incessamment.
Perrault entend profiter du match préparatoire prévu au Colisée Béton Provincial pour consolider l’identité de sa formation sur laquelle son jeune groupe travaille depuis le début du camp.
« Le message a été très clair. Je veux qu’on soit une équipe intense et hargneuse et que ce soit difficile de jouer contre nous. On travaille sur l’éthique de travail et tous les petits détails qui s’acquièrent avec l’expérience », indique l’entraîneur-chef de l’Océanic.
L’affrontement contre le Drakkar permettra à l’état-major de confirmer ou de modifier certaines combinaisons. « On a beaucoup de talent dans notre alignement. Ce qu’il reste à faire maintenant est de trouver les bons jumelages, autant sur nos lignes d’attaque qu’à la défense. Je m’attends à voir certains jeunes s’imposer davantage comme des joueurs dominants alors qu’ils avaient un rôle plus secondaire l’an dernier ».
Bâtir sur la résilience
Perrault sait fort bien que ses joueurs qu’il dirigera cette année sont très différents de ceux de l’an dernier.
« On aspirait à remporter le championnat avec une équipe très mature. Des joueurs comme Maël St-Denis, Jacob Mathieu et Luke Coughlin ont laissé un bel héritage à nos jeunes. On va continuer de bâtir sur cette résilience. Je suis toutefois conscient qu’il faut faire preuve de patience avec nos jeunes joueurs« , estime le pilote rimouskois.
L’entraîneur-chef de l’Océanic, Joël Perrault (Photo Le Soir.ca- René Alary)
D’ailleurs, de nouvelles acquisitions comme Luke Patterson, Evan Dépatie et Émile Duquet devraient très bien se mêler aux jeunes qui étaient présents l’an dernier et qui ont vécu le parcours éliminatoire.
Équipe offensive
Le match contre Baie-Comeau sera intéressant à suivre, puisque la rivalité entre les deux équipes est toujours bien présente, même durant une rencontre préparatoire. Joël Perrault peut en témoigner à titre d’ancien du Drakkar.
« On les rencontre huit fois par année et ils sont bien dirigés. Les gens de Matane vont avoir droit à un beau match. C’est très important pour nous de jouer ailleurs au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie. On a été à Chandler, Paspébiac et Matane. Nous avons beaucoup de partisans partout dans la région et ils sont nombreux à venir nous encourager à Rimouski. C’est important pour nous de redonner à tous nos partisans. »
La Fondation du Cégep de Rimouski dévoile sa nouvelle image de marque et lance sa campagne annuelle 2025-2026, dont sa Loterie-Voyage.
La nouvelle identité visuelle s’accompagne d’un site web repensé, d’une présence renforcée sur les réseaux sociaux et d’un nouveau podcast mensuel, qui donnera la parole à des étudiants, partenaires et membres de la communauté.
L’objectif de la campagne annuelle a été fixé à 140 000$.
Les fonds amassés permettront d’agir sur le soutien alimentaire et de
La Fondation du Cégep de Rimouski dévoile sa nouvelle image de marque et lance sa campagne annuelle 2025-2026, dont sa Loterie-Voyage.
La nouvelle identité visuelle s’accompagne d’un site web repensé, d’une présence renforcée sur les réseaux sociaux et d’un nouveau podcast mensuel, qui donnera la parole à des étudiants, partenaires et membres de la communauté.
L’objectif de la campagne annuelle a été fixé à 140 000$.
Les fonds amassés permettront d’agir sur le soutien alimentaire et de produits essentiels, la santé mentale et le bien-être, l’engagement sportif, culturel, communautaire et académique ainsi que les bourses et soutien à la réussite aux élèves.
Loterie-Voyages 2025-2026
Fière de son succès des dernières années, la Loterie-Voyages 2025-2026 a débuté le 25 août. Au total, 4 500 billets seront en circulation au coût de 20$/chacun et le tirage aura lieu le 23 février 2026.
Cette activité permet de verser une ristourne de plus de 60% des ventes aux personnes étudiantes du Cégep de Rimouski.
Les premiers cyclistes dans la nouvelle salle d’entraînement du Peps du Cégep. (Photo courtoisie)
À gagner, quatre crédits-voyage de 4 000$ chacun, chez notre partenaire Club voyages Inter-Monde. Les billets sont en vente auprès des étudiants et à la Fondation.
» Chaque don devient bien plus qu’un geste financier. Il peut changer un parcours de vie « , souligne coordonnatrice de la Fondation, Hélène Desaulniers.
La version d’un criminel donne toujours l’impression que ses gestes sont justifiés. Ce n’est jamais de sa faute.
L’opinion de Robin Lebel
Je me souviens très bien : j’étais jeune, à peine 10 ou 12 ans. Quelques amis avaient eu l’idée de vendre des dépliants ramassés gratuitement dans une exposition d’entrepreneurs en bâtiment, tout près de chez nous. Après une ou deux visites chez des locataires du coin, j’ai vite compris que le fondement de la démarche n’avait rien d’honnête.
Pour moi,
La version d’un criminel donne toujours l’impression que ses gestes sont justifiés. Ce n’est jamais de sa faute.
L’opinion de Robin Lebel
Je me souviens très bien : j’étais jeune, à peine 10 ou 12 ans. Quelques amis avaient eu l’idée de vendre des dépliants ramassés gratuitement dans une exposition d’entrepreneurs en bâtiment, tout près de chez nous. Après une ou deux visites chez des locataires du coin, j’ai vite compris que le fondement de la démarche n’avait rien d’honnête.
Pour moi, c’était du vol, pur et simple. Sans autre forme de procès, j’ai quitté ces copains pour ne jamais les revoir. Plusieurs années plus tard, j’ai appris qu’ils étaient devenus de « bons cuisiniers » à la prison de partenaires, dans le coin de Québec. De cette histoire, j’ai retenu une chose : il y a toujours quelqu’un qui trouve une bonne raison pour justifier ce qu’il veut faire.
Bien-fondé de son faux pas
Bien des années ont passé, mais ce réflexe m’est revenu en plein visage il y a moins de deux ans.
Un collègue de travail tentait de me convaincre du bien-fondé de son faux pas. Imaginez : il s’était, « bien malgré lui », épris d’une très jolie jeune fille. Selon lui, elle le séduisait, lui faisait les yeux doux, se dandinait pour attirer son attention et il avait fini par céder.
Un soir, il lui proposa de rester chez lui plutôt que de retourner chez ses parents, qui habitaient assez loin. La jeune fille appela ses parents, qui lui donnèrent la permission. Mon collègue me raconta alors, l’air convaincu, que « c’était de sa faute à elle ». J’étais stupéfait. Cet homme faisait déjà l’objet d’une enquête. La jeune fille avait 15 ans.
Je l’écoutais, lui, un homme de plus de 50 ans, me raconter son récit presque crédible… jusqu’à ce que la réalité me saute au visage. Oui, à 15 ans, en pleine puberté, on a besoin de séduire, de plaire, de tester ses limites. Mais la responsabilité n’appartient jamais à l’adolescente : c’est à l’adulte de gérer la situation, de tracer la ligne, de dire non. Lui m’avait charrié, mené en bateau, endormi par ses belles paroles au point que je me suis senti comme un rameur dans une chaloupe, perdu au milieu du fleuve. Un beau parleur, rien de plus.
Assouvir leurs plus bas instincts
Chaque jour, des histoires tout aussi crédibles et tout aussi criminelles nous passent sous les yeux. C’est notre responsabilité de faire preuve de discernement, et, au besoin, de dénoncer. Ces individus se retrouvent dans toutes les couches de la société. Prenons l’affaire Epstein. Qui étaient vraiment ses « amis »? Que cachent Donald Trump et ses acolytes? « Rien d’intéressant », nous dit Trump, comme le lieutenant Frank Drebin dans L’agent fait la farce : « Circulez, il n’y a rien à voir. »
Pourtant, il n’y a aucune excuse : ils savaient exactement dans quoi ils s’embarquaient. Ils ont payé des millions pour assouvir leurs plus bas instincts. Imaginez le scandale si la liste complète de ceux qui ont visité l’île maudite était rendue publique!
Qu’il s’agisse de petits bums de ruelle ou de personnalités en vue, il ne faut jamais oublier ceci : un acte criminel demeure un acte criminel. Peu importe qui l’a commis.
Peu importe leur version des faits. Et à plus forte raison quand ils ont payé des millions, en toute conscience, pour réaliser leurs fantasmes, au prix de vies brisées.
Et dire que Donald Trump aspire au prix Nobel de la paix… Bâtard, je rêve!
Les Rimouskois Charles-Étienne Boulet, William Dubé, Justin Gagnon, Émile Rioux et Louis Chénard ont gagné leur place dans l’alignement des Albatros M18 AAA du Collège Notre-Dame de Rivière-du-Loup pour la prochaine saison.
Boulet entamera sa troisième saison avec l’équipe. L’an dernier, l’espoir des Huskies de Rouyn-Noranda avait amassé 18 buts et 14 passes en 42 matchs.
Pour sa part, William Dubé enfilera l’uniforme de la formation bas-laurentienne pour une deuxième année consécutive. I
Les Rimouskois Charles-Étienne Boulet, William Dubé, Justin Gagnon, Émile Rioux et Louis Chénard ont gagné leur place dans l’alignement des Albatros M18 AAA du Collège Notre-Dame de Rivière-du-Loup pour la prochaine saison.
Boulet entamera sa troisième saison avec l’équipe. L’an dernier, l’espoir des Huskies de Rouyn-Noranda avait amassé 18 buts et 14 passes en 42 matchs.
Pour sa part, William Dubé enfilera l’uniforme de la formation bas-laurentienne pour une deuxième année consécutive. Il a récolté huit points (4-4) en 34 parties. En juin dernier, il a été repêché par les Eagles du Cap-Breton.
Gagnon et Rioux font partie de la structure intégrée des Albatros depuis quatre ans, tandis que Chénard évoluait avec le Sélect M18 D1 de l’école Paul-Hubert en 2024-2025.
Un Matanais dans la formation
Tout ce groupe évoluera en compagnie du Matanais Louis Métivier. Sélectionné par les Sea Dogs de Saint John, le défenseur a disputé 19 parties avec les Albatros lors de la dernière saison, réussissant deux buts et quatre passes.
La 20e saison des Albatros M18 AAA du Collège Notre-Dame débutera ce vendredi 5 septembre, à 19 h, avec la visite des Chevaliers de Lévis au Centre Premier Tech.
Les zecs Owen, Chapais et Bas-Saint-Laurent, de la zone 2, vont de l’avant pour assurer la protection de la femelle orignal lors de la prochaine saison de chasse 2025, même si le plan de gestion permet une chasse permissive des trois segments du troupeau, soit le mâle, la femelle et le veau.
Les zecs Owen et Chapais ont endossé, le 27 août dernier, le plan B de protection de l’orignal sans bois en 2025, initié et proposé par la ZEC-BSL, en réaction au refus de Québec d’assurer la sauvegar
Les zecs Owen, Chapais et Bas-Saint-Laurent, de la zone 2, vont de l’avant pour assurer la protection de la femelle orignal lors de la prochaine saison de chasse 2025, même si le plan de gestion permet une chasse permissive des trois segments du troupeau, soit le mâle, la femelle et le veau.
Les zecs Owen et Chapais ont endossé, le 27 août dernier, le plan B de protection de l’orignal sans bois en 2025, initié et proposé par la ZEC-BSL, en réaction au refus de Québec d’assurer la sauvegarde de l’orignal sans bois en 2025, par une chasse restrictive, tout en permettant le prélèvement de la femelle avec un permis spécial.
Une décision qui laissait peu de marge de manœuvre à la grande ZEC-BSL, déterminée à prendre les grands moyens et d’aller jusqu’au bout pour protéger la ressource reproductrice.
Zecs solidaires à un même objectif
Le président de la ZEC-BSL, de la régionale des zecs et porte-parole des trois zecs, Guillaume Ouellet, réagit à l’accord, y voyant des marques d’unité et de solidarité des gestionnaires des territoires.
« On démontre encore une fois qu’on a à cœur nos territoires fauniques et la gestion de notre faune », dit-il, ajoutant avoir informé le ministère responsable de la Faune. « Qui a été très collaborateur ».
Cette gestion de l’orignal des trois zecs donne lieu au programme « Chasseur Responsable de la Faune » (CRF), dont l’objectif est de protéger volontairement la femelle orignal, même si la chasse permissive autorise cette année les trois segments du troupeau.
Le président de la ZEC Bas-Saint-Laurent, de la régionale des zecs de l’Est-du-Québec et président de Zecs Québec, Guillaume Ouellet. (Photo courtoisie)
Les chasseurs d’un même groupe décideront d’épargner ou non la femelle, et d’opter pour la récolte du mâle. Ils seront identifiés à leur choix.
Pour inciter la récolte du mâle orignal, les chasseurs CRF et ceux de la relève participeront aux tirages de prix de grande valeur. Un autre tirage de prix s’adressera aux chasseurs non inscrits au CRF.
Face-à-face du président
Cet accord unanime des trois zecs lance une vaste campagne de sensibilisation et de promotion qui sera menée incessamment auprès de leurs chasseurs d’orignaux respectifs.
Le président Guillaume Ouellet s’adressera aux chasseurs via une vidéo en ligne sur la page Facebook de la ZEC-BSL.
Durant 17 minutes, il relate le fil des événements menant à ce choix volontaire de protéger la femelle orignal. Seul devant la caméra, debout, comme dans un face-à-face avec le chasseur, il décrit sa démarche de A à Z.
« Je parle en chasseur et je m’adresse à lui. On ne s’ennuiera pas. J’explique tout, tout, tout, tout. Quiconque ne pourra dire qu’il ne savait pas. Bien au fait de la démarche, 100 % des chasseurs devraient devenir membre CRF », estime Guillaume Ouellet. Un dépliant d’information sera aussi distribué aux chasseurs.
Ce grand virage dans ce type de gestion unique de l’orignal, en accord entre trois zecs d’une même zone, représente la volonté unanime des gestionnaires de se prendre en main.
Ils se en se donnent la liberté… accordée par Québec, de faire des choix sur la récolte d’une espèce comme l’orignal, afin d’assurer sa pérennité et l’avenir de leur territoire, on assiste ainsi à l’amorce d’une autonomie de gestion faunique plus grande pour les 63 zecs de la province.
Le diacre permanent Bruno Lévesque célèbre ses 25 ans d’ordination. Une grande fête a été organisée le 24 août à l’église de Sainte-Angèle-de-Mérici, là même où il a été baptisé et ordonné. Portrait d’un homme de foi dont la mission repose avant tout sur l’amour.
Dans le hall de l’Hôpital régional de Rimouski, Bruno Lévesque salue avec chaleur une employée qui passe, puis rit à gorge déployée devant le conducteur d’un autobus adapté qui le taquine.
À 66 ans, cet homme au sourire naturel c
Le diacre permanent Bruno Lévesque célèbre ses 25 ans d’ordination. Une grande fête a été organisée le 24 août à l’église de Sainte-Angèle-de-Mérici, là même où il a été baptisé et ordonné. Portrait d’un homme de foi dont la mission repose avant tout sur l’amour.
Dans le hall de l’Hôpital régional de Rimouski, Bruno Lévesque salue avec chaleur une employée qui passe, puis rit à gorge déployée devant le conducteur d’un autobus adapté qui le taquine.
À 66 ans, cet homme au sourire naturel connaît bien les couloirs de cet établissement, où il œuvre comme intervenant en soins spirituels depuis 15 ans.
Mais, c’est d’abord le « petit gars de Sainte-Angèle » qui transparaît dans sa façon d’être, celui qui a grandi dans la foi, qui a élevé deux enfants et qui, un jour, a répondu à un appel : celui d’accompagner des gens dans toutes sortes de situations, tant dans les drames que dans les moments joyeux.
« J’ai toujours eu la foi, raconte le diacre permanent, confortablement installé dans son grand bureau du sixième étage de l’hôpital aux murs ornés d’un crucifix plutôt discret et d’une illustration moderne de la Madone. Comme dans le temps, j’ai été élevé dans la foi chrétienne.
C’est dans les moments de souffrance, explique-t-il, qu’il s’est accroché à ses croyances pour aller puiser de la force. Puis, est venu l’appel. Il avait 41 ans. Un élan naturel vers l’engagement, guidé par une conviction profonde. « On dirait que j’ai eu la vie pour aimer, rendre service et prendre soin des autres. »
Bruno Lévesque a été ordonné diacre permanent dans son église de Sainte-Angèle-de-Mérici, le 20 août 2000. Un quart de siècle plus tard, il n’a rien perdu de sa passion pour cette vocation qu’il décrit comme une évidence.
« Le mot diacre vient du mot grec diakonos, qui veut dire serviteur. Je ne suis pas devenu diacre, j’en suis un; c’est dans ma nature d’être un gars de services. »
Un papa qui marie sa fille
Ses deux enfants, Marie-Ève et Jérôme, respectivement âgés de 41 ans et de 40 ans, sont sa fierté. Bruno Lévesque évoque avec émotion ces années où il a dû jongler entre sa mission de diacre et son rôle de père.
« Quand ils étaient jeunes, ce n’était pas facile pour eux de voir autant de réalités de souffrance dans un petit milieu. On m’appelait pour des cancers, des décès, des suicides. »
Mais, jamais il n’a imposé sa foi à sa famille. « Je demande au Bon Dieu de faire avec eux ce qu’il a fait avec moi. Qu’on arrête de mettre une face au Bon Dieu! Pour moi, il est une énergie d’amour. Je sais que mes enfants ont ces valeurs en eux et qu’ils sont aussi des gens de services. Pour moi, c’est ça, le bonheur. Je les vois aller et ils me supportent dans tout. »
Des centaines de citoyens de La Mitis ont célébré le diacre Bruno Lévesque. (Photo courtoisie)
Le témoignage le plus touchant de cette relation père-enfants s’est manifesté le 13 juillet 2024.
« Je suis arrivé en papa avec ma fille à l’église de mon village, relate monsieur Lévesque. Rendu en avant, je suis allé mettre mon aube. Puis, j’ai marié ma fille et mon gendre. » Un moment qu’il n’avait jamais imaginé vivre, une belle surprise de la vie qu’il n’oubliera jamais.
L’art de s’adapter
À l’hôpital de Rimouski, Bruno Lévesque accompagne les gens dans leur dimension spirituelle, quelle que soit leur confession.
« Les gens associent beaucoup mes services au religieux. Je leur dis que le religieux, c’est ma vie privée et que je ne suis pas ici pour ça. »
Un jour, cette ouverture l’a mené à chercher un imam pour une famille algérienne qui en avait besoin avant de débrancher leur proche.
« Jamais je ne dirai que, comme ce n’est pas ma religion, je ne touche pas à ça. »
Cette capacité d’adaptation, le sexagénaire l’applique aussi dans les célébrations qu’il officie.
Des funérailles inspirées du conte Le Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry aux cérémonies où résonnent de la musique et des rythmes qui ne font pas partie de son répertoire, le diacre s’ajuste aux besoins et aux goûts de chacun.
« Une fois, un jeune voulait du heavy metal à ses funérailles. Je ne connais rien là-dedans. Mais, c’était ça qu’il aimait! Je n’allais quand même pas faire jouer une chanson d’Alain Morisod au pauvre garçon! »
L’église de Sainte-Angèle-de-Mérici est remplie pour la célébration des 25 ans d’ordination de Bruno Lévesque. (Photo courtoisie)
Cette expérience a, chez Bruno Lévesque, forgé une vision particulière de sa mission.
« Il faut arrêter de trouver des moyens d’amener des gens à nous. Il faut plutôt se demander comment on peut se rendre à eux. » L’intervenant en soins spirituels rêve d’une Église capable de s’ouvrir davantage, de célébrer la vie sous toutes ses formes.
Il se souvient encore de cette célébration où les gens se sont levés pour valser pendant qu’un pianiste de renommée internationale jouait. « Je suis sorti de là et j’ai appelé ma fille pour lui dire que, quand j’allais mourir, je voulais que ce soit ça. On avait célébré la vie. »
La force de l’amour
Au cœur de sa démarche, Bruno Lévesque puise parfois dans les écrits de saint Paul aux Corinthiens. « Il dit que l’important, c’est l’amour parce que l’amour prend patience, il rend service, il ne jalouse pas. On peut lire ça, peu importe la croyance. Si on n’a pas l’amour dans sa vie, on n’est rien! »
Le diacre continue, depuis 25 ans, de porter cette conviction avec la même passion.
« Je choisis l’amour tous les matins », dit-il simplement. Une philosophie de vie qu’il résume en une phrase, tel un mantra: « Ma mission est d’aimer assez pour m’adapter et non de demander aux autres de s’adapter à moi. »
Dans les corridors de l’hôpital de Rimouski comme dans les allées de son église de Sainte-Angèle-de-Mérici, Bruno Lévesque continue d’incarner cette foi vivante, celle qui se conjugue au présent et qui s’adapte à chaque rencontre. Après tout, comme le dit si bien le renard dans Le Petit Prince: « Apprivoiser, c’est créer des liens. »
Pour sa 14e semaine d’activités en 2025, le Marché public de Rimouski accueillera 32 exposants, ce samedi 29 août, au parc de la Gare.
Voici les exposants présents :
Pommes de terre Bérubé
Manger Saison
Ça goûte le bois
ViV-Herbes – Herboristerie
Le Broutard des Appalaches
Domaine Vallier Robert – Domaine Acer
Pâtisserie La Rose Des Sables de Rimouski
Ferme du Vert Mouton
Domaine Vert Forêt
La Sage Camomille
Juste du Savon
Un Océan de saveurs
Le Champ
Jusqu’à ce dimanche 31 août, c’est le Festi Jazz International de Rimouski ! Ce samedi à 11h30, le Marché public de Rimouski recevra le groupe Lubie et ses reprises colorées, de Chick Corea à Stevie Wonder
Spécialiste en écologie animale, le professeur Martin-Hugues St-Laurent est lauréat d’un Prix canadien d’excellence en conservation remis par la Fédération canadienne de la faune (FCF). Une distinction nationale prestigieuse dans le domaine du développement durable.
Par Jean-François Bouchard- UQAR
Le professeur en biologie de l’UQAR fait partie des huit récipiendaires de cette année. Il a mérité le Prix Roland-Michener pour la conservation.
Les prix ont été remis le 14 juin lors d’une
Spécialiste en écologie animale, le professeur Martin-Hugues St-Laurent est lauréat d’un Prix canadien d’excellence en conservation remis par la Fédération canadienne de la faune (FCF). Une distinction nationale prestigieuse dans le domaine du développement durable.
Par Jean-François Bouchard- UQAR
Le professeur en biologie de l’UQAR fait partie des huit récipiendaires de cette année. Il a mérité le Prix Roland-Michener pour la conservation.
Les prix ont été remis le 14 juin lors d’une cérémonie tenue à Yellowknife, dans les territoires du Nord-Ouest.
Le directeur général de la FCF, Sean Southey, a souligné que l’engagement des récipiendaires de cette année est « un puissant rappel du pouvoir positif des personnes passionnées par la protection de la faune et des habitats pour les générations futures. Elles me donnent espoir en un avenir plus radieux. »
Les personnes lauréates ont fait l’objet d’un reportage dans les récentes éditions des magazines Canadian Wildlife et Biosphère.
Ce prix national de la FCF s’ajoute au prix Harfang des neiges que le professeur St-Laurent a reçu au printemps pour sa contribution à l’avancement des connaissances sur la grande faune.
« J’aime me lancer le défi de comprendre les mécanismes complexes qui lient les espèces animales à leur environnement », mentionne le professeur de l’UQAR. « Et surtout, de trouver des solutions possibles pour favoriser la gestion durable, le rétablissement et la conservation des mammifères, dont plusieurs occupent une place importante dans le patrimoine naturel du Canada. »
Professeur à l’UQAR depuis 2008, Martin St-Laurent a publié une centaine d’articles scientifiques portant sur les conséquences des perturbations naturelles et humaines sur l’habitat et l’écologie des grands mammifères.
Membre du Cercle d’excellence de l’Université du Québec, il a donné plus de 300 conférences dans des congrès internationaux et nationaux sur ses travaux.
Le vice-recteur aux ressources humaines et à l’administration de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Benoit Desbiens, assure que les deux projets de construction de logements de l’institution progressent très bien, dans le respect des échéanciers et surtout des coûts.
Le bâtiment situé sur la rue Notre-Dame, devant l’UQAR, a déjà été transformé en résidences étudiantes. Il s’agit des immeubles de la congrégation des Ursulines, acquis par l’UQAR en janvier 2024 au coûtde 5 M$.
« Il no
Le vice-recteur aux ressources humaines et à l’administration de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Benoit Desbiens, assure que les deux projets de construction de logements de l’institution progressent très bien, dans le respect des échéanciers et surtout des coûts.
Le bâtiment situé sur la rue Notre-Dame, devant l’UQAR, a déjà été transformé en résidences étudiantes. Il s’agit des immeubles de la congrégation des Ursulines, acquis par l’UQAR en janvier 2024 au coût de 5 M$.
« Il nous reste encore quelques travaux à l’extérieur, mais le bâtiment est en opération. Les 34 chambres sont occupées depuis le début de la session. Nous avons deux étages de 12 unités et un de 11 unités. Les étudiants disposent chacun d’une chambre et partagent des espaces de vie », précise monsieur Desbiens.
Ces nouvelles chambres ont permis à l’UQAR de répondre à toutes les demandes d’hébergement. « Toutes nos chambres sont pleines, autant les nouvelles que les anciennes. Aucun étudiant ne se retrouve cette année en situation précaire sans logement », ajoute le vice-recteur.
Livraison en octobre
Le deuxième projet consiste en une construction neuve sur la 2e Rue Est.
« On prévoit une livraison à la fin d’octobre de la part de l’entrepreneur. Par la suite, nous ferons la mise en opération du bâtiment. Nous allons offrir des places à partir de janvier. Nous aurons donc 100 places supplémentaires, soit 25 logements de quatre chambres. Nous en sommes aux étapes de peinture et de finition, et le revêtement extérieur est déjà bien avancé », explique Benoît Desbiens.
Le vice-recteur se réjouit particulièrement du respect des budgets.
« Nous sommes contents, surtout avec les dépassements de coûts qu’on voit un peu partout. Les projets se sont réalisés à l’intérieur des montants fixés. Les budgets sont tous respectés. »
Pour clôturer l’exposition Nous sommes tou·te·s signaux, une rencontre interdisciplinaire pour explorer les liens entre la création artistique et la recherche océanographique s’est tenue, le 20 août, dans les locaux du Centre d’artistes Caravansérail de Rimouski.
L’événement a réuni l’artiste en arts visuels Amélie Brindamour ainsi que la professeure et chercheuse Déborah Benkort de l’Institut des sciences de la mer (ISMER) de l’UQAR pour discuter du phénomène mystérieux de la bioluminescence
Pour clôturer l’exposition Nous sommes tou·te·s signaux, une rencontre interdisciplinaire pour explorer les liens entre la création artistique et la recherche océanographique s’est tenue, le 20 août, dans les locaux du Centre d’artistes Caravansérail de Rimouski.
L’événement a réuni l’artiste en arts visuels Amélie Brindamour ainsi que la professeure et chercheuse Déborah Benkort de l’Institut des sciences de la mer (ISMER) de l’UQAR pour discuter du phénomène mystérieux de la bioluminescence.
Ce phénomène, par lequel certains organismes marins génèrent leur propre lumière, constitue l’un des spectacles les plus fascinants de la nature. Comme l’explique Déborah Benkort, cette capacité repose sur une réaction chimique fascinante : « C’est une molécule qui s’appelle la luciférine, qui s’oxyde avec l’oxygène au moyen d’une enzyme qui s’appelle la luciférase. »
Quand la nature devient lumière
Cette réaction chimique produit une lumière d’une efficacité remarquable : 80 % de lumière pour seulement 20 % de chaleur, surpassant ainsi largement la productivité de nos ampoules conventionnelles. Cette lumière froide remplit diverses fonctions dans le monde marin : défense contre les prédateurs, attraction des partenaires reproducteurs ou communication entre espèces.
Des phytoplanctons aux poissons, en passant par les champignons terrestres, la bioluminescence traverse les règnes du vivant avec une diversité particulièrement riche dans les écosystèmes.
L’art comme traducteur scientifique
Pour Amélie Brindamour, cette fascination pour les phénomènes naturels devient source d’inspiration créative. Ses installations électroniques transforment les signaux biologiques en expériences sensorielles. Dans l’une de ses œuvres, un capteur de rythme cardiaque active l’éclairage d’un mycélium cultivé, mimant les communications biochimiques des champignons forestiers. Une autre installation s’inspire des structures luminescentes complexes des pieuvres, traduisant les variations tonales de la voix humaine en signaux lumineux.
L’installation invite le visiteur à placer un doigt dans le capteur de fréquence cardiaque. Celui-ci s’allume selon le pouls de chaque personne.
(Photo Johanne Fournier)
« Comme humain, on est très sensible au langage et à l’écriture comme moyens de communication, indique l’artiste, qui a développé ce projet en collaboration étroite avec des laboratoires et avec des étudiants en électronique du Cégep de Rivière-du-Loup. Je trouvais ça intéressant de transformer ces moyens de communication en signaux lumineux. »
Modéliser l’invisible
Du côté scientifique, Déborah Benkort utilise la modélisation numérique pour comprendre les écosystèmes marins, notamment face aux changements climatiques. Ses recherches explorent comment les modifications environnementales se répercutent sur la chaîne alimentaire, depuis le phytoplancton jusqu’aux espèces supérieures.
Pour la scientifique, il s’agit d’un travail d’autant plus crucial que de nouveaux défis émergent pour celle qui s’intéresse aux éoliennes en mer. Selon elle, ces structures, malgré leur caractère écologique, pourraient modifier les courants marins et affecter la production planctonique.
« Si on modifie la base de notre chaîne alimentaire, qui est le phytoplancton, on peut modifier le zooplancton qui, lui, modifiera les espèces qui vont suivre », anticipe la chercheuse.
Collaboration fructueuse
Cette rencontre entre Amélie Brindamour et Déborah Benkort a mis en lumière l’intérêt grandissant pour les collaborations entre l’art et la science. L’artiste y voit une approche de « science-fiction », en partant de données scientifiques exactes pour développer des questionnements spéculatifs et philosophiques. L’océanographe apprécie cette complémentarité.
« C’est une belle façon d’exprimer la science et de faire passer des informations scientifiques pour toucher plus de monde. »
Les deux domaines partagent finalement plus de points en commun qu’il n’y paraît : la créativité, l’imagination et la capacité à explorer l’inconnu. Que ce soit par la création d’outils de recherche inédits ou par la transformation de phénomènes naturels en installations artistiques, les scientifiques et les artistes peuvent repousser ensemble les frontières de notre compréhension du monde.
Cette synergie ouvre des perspectives prometteuses, notamment dans la sensibilisation aux enjeux environnementaux, où l’émotion artistique peut amplifier l’impact des découvertes scientifiques sur le public.
Le prochain projet d’Amélie Brindamour explorera le bioplastique à base d’algues et de nouvelles formes sculpturales. Ces œuvres seront présentées dès le 4 septembre au Centre d’artistes Panache de Baie-Comeau.
Le vice-recteur aux ressources humaines et à l’administration de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Benoit Desbiens, assure que les deux projets de construction de logements de l’institution progressent très bien, dans le respect des échéanciers et surtout des coûts.
Le bâtiment situé sur la rue Notre-Dame, devant l’UQAR, a déjà été transformé en résidences étudiantes. Il s’agit des immeubles de la congrégation des Ursulines, acquis par l’UQAR en janvier 2024 au coûtde 5 M$.
« Il no
Le vice-recteur aux ressources humaines et à l’administration de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Benoit Desbiens, assure que les deux projets de construction de logements de l’institution progressent très bien, dans le respect des échéanciers et surtout des coûts.
Le bâtiment situé sur la rue Notre-Dame, devant l’UQAR, a déjà été transformé en résidences étudiantes. Il s’agit des immeubles de la congrégation des Ursulines, acquis par l’UQAR en janvier 2024 au coût de 5 M$.
« Il nous reste encore quelques travaux à l’extérieur, mais le bâtiment est en opération. Les 34 chambres sont occupées depuis le début de la session. Nous avons deux étages de 12 unités et un de 11 unités. Les étudiants disposent chacun d’une chambre et partagent des espaces de vie », précise monsieur Desbiens.
Ces nouvelles chambres ont permis à l’UQAR de répondre à toutes les demandes d’hébergement. « Toutes nos chambres sont pleines, autant les nouvelles que les anciennes. Aucun étudiant ne se retrouve cette année en situation précaire sans logement », ajoute le vice-recteur.
Livraison en octobre
Le deuxième projet consiste en une construction neuve sur la 2e Rue Est.
« On prévoit une livraison à la fin d’octobre de la part de l’entrepreneur. Par la suite, nous ferons la mise en opération du bâtiment. Nous allons offrir des places à partir de janvier. Nous aurons donc 100 places supplémentaires, soit 25 logements de quatre chambres. Nous en sommes aux étapes de peinture et de finition, et le revêtement extérieur est déjà bien avancé », explique Benoît Desbiens.
La nouvelle résidence étudiante de l’UQAR située sur la 2e Rue Est. (Photo Le Soir.ca- Véronique Bossé)
Le vice-recteur se réjouit particulièrement du respect des budgets.
« Nous sommes contents, surtout avec les dépassements de coûts qu’on voit un peu partout. Les projets se sont réalisés à l’intérieur des montants fixés. Les budgets sont tous respectés. »
Pendant que la crise du logement fait rage, les propriétaires immobiliers se défendent d’être les responsables de cette situation et proposent des solutions pragmatiques souvent ignorées par les groupes de pression.
Au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, les locataires font face à une réalité de plus en plus difficile : des loyers qui explosent et une offre quasi inexistante. Les chiffres parlent d’eux-mêmes.
À Matane, le taux d’inoccupation a chuté dramatiquement, passant de 2,3% en 2022 à
Pendant que la crise du logement fait rage, les propriétaires immobiliers se défendent d’être les responsables de cette situation et proposent des solutions pragmatiques souvent ignorées par les groupes de pression.
Au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, les locataires font face à une réalité de plus en plus difficile : des loyers qui explosent et une offre quasi inexistante. Les chiffres parlent d’eux-mêmes.
À Matane, le taux d’inoccupation a chuté dramatiquement, passant de 2,3% en 2022 à seulement 0,5% en 2024, alors que la situation à Rimouski est frappante. Les loyers annoncés ont bondi de 49% entre 2020 et 2024, soit la deuxième plus forte hausse au Québec.
Cette flambée des prix touche plus particulièrement une population déjà vulnérable. Selon le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), les locataires du Bas-Saint-Laurent affichent le revenu médian le plus faible du Québec, se situant autour de 38 000$ en 2020, soit près de 10 000$ de moins que la moyenne provinciale.
« Si, avant, la crise du logement se trouvait dans les grands centres, la population s’est déplacée un peu partout suivant la pandémie », explique le porte-parole de la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ), Éric Sansoucy. Ce phénomène post-COVID a créé une pression inédite sur des marchés régionaux, qui n’étaient pas préparés à accueillir autant de nouveaux résidents.
Réalité incontournable
Pour les propriétaires, construire coûte cher en 2025 et ces coûts doivent nécessairement se refléter dans les loyers. Par exemple, un locataire établi depuis 10 ans paie 900$ pour un appartement de quatre pièces et demie, tandis que le même appartement se loue désormais 1400$.
« C’est parce qu’au Québec, avec les augmentations du coût des loyers qui sont régies par le Tribunal administratif du logement, il y a une grande partie des logements qui sont à des prix en dessous de ce qu’ils valent sur le marché », précise monsieur Sansoucy.
Artificiellement maintenus
Contrairement aux idées reçues, la CORPIQ rappelle que le Québec possède « les logements les moins chers au Canada ». Cette situation découle d’un système de contrôle qui maintient artificiellement les prix bas pour les locataires en place, créant une distorsion majeure du marché.
Les propriétaires insistent sur un aspect souvent négligé : la nécessité de rénover le parc existant. Avec 70 % des immeubles locatifs construits avant 1980, ces bâtiments nécessitent des investissements majeurs.
« On ne pourra jamais reconstruire des logements aussi abordables que ceux qui existent déjà », martèle la CORPIQ.
Philippe Pierre Thomas, 49 ans, de Sayabec, qui fait face à plusieurs chefs d’accusation en lien avec plusieurs infractions de nature sexuelle, pourrait plaider coupable à certaines accusations, mais peut-être pas à l’ensemble, selon ce qui a été mentionné jeudi au palais de justice d’Amqui.
Les parties n’ont pas pu disposer des dossiers, comme cela était prévu, puisque l’accusé n’admet pas l’ensemble des faits. Les dossiers ont été reportés au 4 novembre.
Thomas est détenu depuis sa deuxi
Philippe Pierre Thomas, 49 ans, de Sayabec, qui fait face à plusieurs chefs d’accusation en lien avec plusieurs infractions de nature sexuelle, pourrait plaider coupable à certaines accusations, mais peut-être pas à l’ensemble, selon ce qui a été mentionné jeudi au palais de justice d’Amqui.
Les parties n’ont pas pu disposer des dossiers, comme cela était prévu, puisque l’accusé n’admet pas l’ensemble des faits. Les dossiers ont été reportés au 4 novembre.
Thomas est détenu depuis sa deuxième arrestation en semblable matière, le 10 juillet 2024. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine est comptabilisée à 1,5 jour par jour purgé.
Le palais de justice d’Amqui. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)
À la suite de sa deuxième arrestation, Thomas a été accusé d’entrave, voyeurisme, agression sexuelle, harcèlement, voie de fait ainsi que pour bris d’ordonnance.
Arrêté une première fois en décembre 2023
Le suspect avait été arrêté une première fois en décembre 2023 par les enquêteurs lors d’une perquisition réalisée à son domicile. Les policiers avaient à ce moment procédé à la saisie de plusieurs fichiers de pornographie juvénile.
Il avait alors été accusé d’avoir eu en sa possession, d’avoir accédé, d’avoir distribué, d’avoir transmis et d’avoir rendu accessible de la pornographie juvénile.
Via les réseaux sociaux
« L’enquête tend à démontrer qu’il aurait pu avoir fait d’autres victimes à travers la province. D’ailleurs, certaines de ses victimes auraient pu être en contact avec le suspect via les réseaux sociaux alors qu’il utilisait les pseudonymes « Philippe Thomas », « Pierre Thomas» et « Pierre-Philippe Thomas », mentionne la porte-parole de la SQ, Marythé Bolduc.
Les élèves du Québec vivront une première rentrée scolaire les obligeant à prendre des pauses de leurs écrans sur l’ensemble du périmètre de leur école, du matin au soir.
L’opinion de Carol-Ann Kack
Un changement de culture qui a de quoi nous réjouir, mais qui nécessitera des efforts de tout le monde et qui ne se fera probablement pas sans heurts.
C’est après la création d’une première commission spéciale mandatée par l’Assemblée nationale, il y a environ un an, pour étudier les réperc
Les élèves du Québec vivront une première rentrée scolaire les obligeant à prendre des pauses de leurs écrans sur l’ensemble du périmètre de leur école, du matin au soir.
L’opinion de Carol-Ann Kack
Un changement de culture qui a de quoi nous réjouir, mais qui nécessitera des efforts de tout le monde et qui ne se fera probablement pas sans heurts.
C’est après la création d’une première commission spéciale mandatée par l’Assemblée nationale, il y a environ un an, pour étudier les répercussions d’internet et des écrans sur la santé et le développement des jeunes qu’a été déposé un rapport final, le 29 mai dernier. Celui-ci comprenait 56 recommandations, dont 18 portaient sur les écrans à l’école.
Une de ces recommandations, mise de l’avant dans le présent règlement, est que l’usage des cellulaires, des écouteurs et des autres appareils mobiles personnels soit interdit sur le terrain de toutes les écoles primaires et secondaires du début à la fin des cours, y compris pendant les pauses et sur l’heure du diner.
Changement nécessaire
Ça donne envie de dire : « il était temps » ou encore « on n’avait pas de téléphone à l’époque et on ne s’en portait pas plus mal ». Je vous comprends. Je suis aussi d’avis qu’il est plus que temps d’avoir des espaces sans écran, peut-être même pour les adultes.
À défaut d’être rendu là, il semble plus que nécessaire de faire de l’espace d’apprentissage de nos jeunes un contexte de déconnexion. Les études à ce sujet sont de plus en plus claires : l’usage du cellulaire à l’école nuit aux apprentissages des élèves et à leurs résultats scolaires ainsi qu’au développement de leurs compétences sociales.
Même s’il apparait évident que cette réglementation aura fort probablement des impacts positifs, nous avons assisté à de nombreuses réactions d’opposition de la part des jeunes à l’annonce de cette mesure. On peut comprendre. Je salue par ailleurs leur indignation collective devant ce changement qui les concerne. C’est légitime.
Il doit être difficile pour les jeunes qui ont grandi avec cette technologie entre les mains et qui vivent leur socialisation à travers cet outil de communication depuis leur plus jeune âge de s’imaginer vivre leur quotidien autrement. Je pense qu’il faut reconnaitre les défis et le désarroi que ce changement peut soulever pour certains jeunes.
Inconcevable de vivre sans ça
Ne soyons pas hypocrites, combien d’entre-nous utilisent leur téléphone pour briser l’ennui, prendre des nouvelles, magasiner, jouer à des jeux en ligne… nous sommes plusieurs à gérer nos malaises, plus ou moins grands, avec nos appareils.
Je me rappelle, il y a quelques années, alors j’étais psychoéducatrice à l’éducation des adultes, avoir rencontré de nombreux jeunes de 16 à 20 ans qui admettaient ne pas être en mesure de gérer l’utilisation de leur cellulaire s’ils en avaient l’accès.
Ils reconnaissaient le côté nuisible de la chose, même s’ils souhaitaient fortement l’avoir en leur possession. Pour plusieurs, ça aurait été inconcevable de vivre sans leur cellulaire à proximité. C’est toutefois ce qu’ils devront apprendre à faire lors de la prochaine rentrée. J’ose croire que plusieurs apprécieront l’expérience rapidement et que cela leur permettra de vivre des moments d’apaisement lorsque l’habitude sera installée.
Mettre l’épaule à la roue
Pour que le changement de culture s’opère le plus aisément possible, tout le monde devra mettre des efforts. Les directions d’école et le corps enseignant en premier lieu, qui devront exercer la mise en place de cette nouvelle règle. Ce sont des interventions et de l’accompagnement supplémentaire qu’ils devront assurer avec rigueur et discipline en plus de leur mission première : permettre aux jeunes d’apprendre et de socialiser. Soutenons-les.
Cela ne pourra pas advenir si les parents n’acceptent pas d’être des alliés dans ce changement de culture. Intéressons-nous à l’importance de la déconnexion. Parlons-en avec les jeunes. Soutenons les parents que nous connaissons et le corps enseignant qui vivra ce changement.
Ne minimisons pas les défis que cela fera vivre à tout le monde, mais reconnaissons la nécessité de ce changement.
Pour celles et ceux qui aimeraient avoir davantage d’information ou de conseils à ce sujet, je vous invite à visiter l’excellent site https://pausetonecran.com.
Le drapeau du Québec de la tour centrale de l’hôtel du Parlement sera mis en berne le samedi 30 août, de l’aube au crépuscule, à l’occasion des funérailles de l’écrivain, dramaturge et éditeur, Victor-Lévy Beaulieu, décédé le 9 juin dernier.
La présidente de l’Assemblée nationale du Québec, Nathalie Roy, en a fait l’annonce avec le premier ministre François Legault.
Des « Funérailles régionales populaires »
Rappelons que s’il n’a pas eu droit à une cérémonie nationale, Victor-Lévy Bea
Le drapeau du Québec de la tour centrale de l’hôtel du Parlement sera mis en berne le samedi 30 août, de l’aube au crépuscule, à l’occasion des funérailles de l’écrivain, dramaturge et éditeur, Victor-Lévy Beaulieu, décédé le 9 juin dernier.
La présidente de l’Assemblée nationale du Québec, Nathalie Roy, en a fait l’annonce avec le premier ministre François Legault.
Des « Funérailles régionales populaires »
Rappelons que s’il n’a pas eu droit à une cérémonie nationale, Victor-Lévy Beaulieu aura plutôt des « Funérailles régionales populaires » le 30 août à 15 h à l’église Notre-Dame-des-Neiges de Trois-Pistoles.
L’auteur Dominic Champagne en signera la mise en scène, tandis que le comédien Yves Desgagnés animera l’événement, auquel se joindront plusieurs auteurs, acteurs, chanteurs et musiciens de la scène québécoise, ainsi que des parents, amis et complices du dramaturge et éditeur.
Victor-Lévy Beaulieu a marqué le Québec par ses écrits. (Photo courtoisie)
Le grand public est invité à assister à la cérémonie. Un total de 250 billets a été mis à la disposition des citoyens et admirateurs de Victor-Lévy Beaulieu, en vente sur la plateforme Le Point de Vente et au magasin Kadorama, situé sur la rue Jean-Rioux à Trois-Pistoles.
La cérémonie sera suivie d’une réception au Parc du 325e de la Ville de Trois-Pistoles, ouverte aux invités et aux participants à l’hommage.
Étant donné le caractère festif de la journée, ses organisateurs suggèrent aux gens d’opter pour « un code vestimentaire estival, chic et décontracté, avec chapeau, que VLB affectionnait tant. Les chaussures Converse et les cravates de Snoopy sont les bienvenues. »
Considéré comme l’un des plus grands auteurs de l’histoire du Québec, Victor-Lévy Beaulieu vivait toujours à Trois-Pistoles. En plus de ses écrits percutants, il a marqué le milieu de la télévision grâce à ses téléromans « Race de monde », « L’Héritage », « Montréal P.Q » et « Bouscotte », tous diffusés à Radio-Canada.
Grand défenseur de l’indépendance du Québec, il a aussi fondé les Éditions VLB et les Éditions Trois-Pistoles, où ses œuvres ont remporté une multitude de prix.
La construction des cinq bâtiments totalisant 30 unités de logements du projet de CMétis à Métis-sur-Mer est presque complétée.
« L’ensemble des logements totalisent six unités de 4 et 1/2 et 24 unités des 3 1/2. Chaque appartement à son balcon avec vue sur le fleuve. Il y a un grand engouement pour ces unités, particulièrement auprès des familles et des aînées. De nombreuses familles nous ont aussi déjà confirmé qu’elles souhaitent construire leurs maisons dans ce nouveau développement », co
La construction des cinq bâtiments totalisant 30 unités de logements du projet de CMétis à Métis-sur-Mer est presque complétée.
« L’ensemble des logements totalisent six unités de 4 et 1/2 et 24 unités des 3 1/2. Chaque appartement à son balcon avec vue sur le fleuve. Il y a un grand engouement pour ces unités, particulièrement auprès des familles et des aînées. De nombreuses familles nous ont aussi déjà confirmé qu’elles souhaitent construire leurs maisons dans ce nouveau développement », commente le président-directeur général de C Métis, Philippe Dufort.
Infrastructures attendues
Le promoteur est en attente auprès de la Ville de Métis-sur-Mer afin qu’elle complète les infrastructures municipales pour le raccordement des logements aux égouts et à l’aqueduc.
« Nous nous adapterons aux échéances de la municipalité et nous serons prêts à livrer les 30 unités abordables lorsque la ville aura terminé ces travaux. Nous savons que leur administration travaille fort à l’avancement de ce dossier », précise monsieur Dufort.
Processus annulé
En mars dernier, le conseil municipal de Métis-sur-Mer avait décidé d’annuler le processus menant à l’adoption d’un règlement d’emprunt de 3 M$ devant servir à installer les infrastructures d’aqueduc et d’égout à la Place des Marronniers, là où CMétis a déjà érigé cinq immeubles de six logements pour son projet d’écoquartier.
De nombreux citoyens avaient signé le registre afin de demander la tenue d’un référendum sur la question. Ils mentionnaient manquer d’information. Le promoteur s’était engagé à transmettre davantage d’information.
Les deux femmes accusées relativement au décès d’une dame de 96 ans dans une résidence de personnes âgées de Saint-Moïse en 2022, Sylvie Blouin, de Saint-Moïse et Josiane Lemieux-Blouin, de Sayabec, étaient de retour à la cour à Amqui pour fixer une date pour leur enquête préliminaire.
Cette étape a été reportée au 30 septembre puisque l’ouverture d’un terme spécial sera nécessaire pour entendre cette enquête dont la durée est estimée à une semaine.
Les deux accusées âgées respectivement d
Les deux femmes accusées relativement au décès d’une dame de 96 ans dans une résidence de personnes âgées de Saint-Moïse en 2022, Sylvie Blouin, de Saint-Moïse et Josiane Lemieux-Blouin, de Sayabec, étaient de retour à la cour à Amqui pour fixer une date pour leur enquête préliminaire.
Cette étape a été reportée au 30 septembre puisque l’ouverture d’un terme spécial sera nécessaire pour entendre cette enquête dont la durée est estimée à une semaine.
Les deux accusées âgées respectivement de 56 et 29 ans ont choisi un procès devant un jury précédé d’une enquête préliminaire. Elles sont accusées de négligence criminelle causant la mort et d’avoir omis de prodiguer les soins nécessaires à la résidente.
La juge de la Cour du Québec, Andrée Saint-Pierre, a prononcé une ordonnance de remise en liberté des deux accusées sous conditions le 10 juillet 2024, le jour de leurs arrestations.
Enquête de deux ans
C’est à la suite d’une enquête ouverte en février 2022 dans une résidence pour personnes âgées de la rue principale à Saint-Moïse, que les policiers de la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de Rimouski ont procédé, le 10 juillet 2024, à l’arrestation des deux suspectes qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrestation.
(Photo courtoisie)
Les actes reprochés seraient survenus entre le 18 décembre 2020 et le 15 février 2022.
Les deux femmes étaient préposées aux bénéficiaires à la Résidence Yannick Blouin-Lemieux, du nom du fils de Sylvie Blouin, située à Saint-Moïse. Elle a fermé ses portes depuis ce temps.
Le 21e Marathon de Rimouski accueillera près de 4 000 coureurs dans les six courses prévues ce dimanche 7 septembre, en bordure du fleuve Saint-Laurent. Son comité organisateur entame sa dernière période d’inscription.
En date du 29 août, il restait environ 250 places disponibles pour l’épreuve reine, le demi-marathon (21,1 km), celles du 10, 5 et 1 km ainsi qu’au Pace du bonheur, une course non compétitive où les participants effectuent le trajet de 42,2 kilomètres en huit heures, à la marc
Le 21e Marathon de Rimouski accueillera près de 4 000 coureurs dans les six courses prévues ce dimanche 7 septembre, en bordure du fleuve Saint-Laurent. Son comité organisateur entame sa dernière période d’inscription.
En date du 29 août, il restait environ 250 places disponibles pour l’épreuve reine, le demi-marathon (21,1 km), celles du 10, 5 et 1 km ainsi qu’au Pace du bonheur, une course non compétitive où les participants effectuent le trajet de 42,2 kilomètres en huit heures, à la marche ou à la course, pour le simple plaisir, sans bourse ni récompense de performance.
Sanctionné niveau OR par la Fédération québécoise d’athlétisme et certifié par Athlétisme Canada, le Marathon de Rimouski, couru aller-retour de l’avenue de la Cathédrale jusqu’à Sainte-Luce, servira de nouveau de temps de qualification pour les marathons d’envergure de Boston et de New York.
Pour une deuxième année, Athlétisme Québec a aussi sélectionné le Marathon de Rimouski comme Championnat québécois sur la distance du marathon pour de déterminer les meilleurs coureurs de la province au 42,2 kilomètres.
François Jarry franchit le fil d’arrivée dans la course de 42,2 kilomètres la plus serrée de l’histoire du Marathon de Rimouski. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Moins inquiétée que ses collègues masculins, Roxanne Breton a gagné l’épreuve de Rimouski chez les dames, l’an dernier, avec un chrono de 3 heures, 2 minutes et 55 secondes, devançant Joanie Charland de Longueuil et Ana Matkovic de Boischatel par sept et 14 minutes.
Roxanne Breton franchit le fil d’arrivée première au Marathon de Rimouski en 2024. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Marc-Antoine Senneville de Trois-Rivières et Marianne Boivin de Pont-Rouge (demi-marathon), Philippe Brochu et Nayeli Lapierre de Québec (10 km), Isaac Sirois de Sainte-Luce et Rose-Marie Michaud de Saint-Anaclet (5 km), ainsi que Liam Dion de Saint-Cyprien et Julianne Turgeon de Rimouski (1 km), sont les tenants des autres titres en jeu.
L’ancien manège militaire de Rimouski est officiellement cité comme bien patrimonial. Cette procédure permet au conseil municipal d’adopter un plan de conservation et un énoncé patrimonial afin d’établir ses orientations quant à l’immeuble qui sera converti en logements par son nouveau propriétaire, Must Urbain.
Le maire de Rimouski, Guy Caron, rappelle que la citation ne touche que l’extérieur du bâtiment situé sur la rue Saint-Jean-Baptiste.
« Ça ne concerne pas le projet de logements à
L’ancien manège militaire de Rimouski est officiellement cité comme bien patrimonial. Cette procédure permet au conseil municipal d’adopter un plan de conservation et un énoncé patrimonial afin d’établir ses orientations quant à l’immeuble qui sera converti en logements par son nouveau propriétaire, Must Urbain.
Le maire de Rimouski, Guy Caron, rappelle que la citation ne touche que l’extérieur du bâtiment situé sur la rue Saint-Jean-Baptiste.
« Ça ne concerne pas le projet de logements à l’intérieur. Must Urbain avait été avisé de l’intention de la Ville de vouloir demander une citation patrimoniale. L’intérêt du bâtiment est à l’extérieur. C’est un bâtiment qui architecturalement est unique et qui rappelle des éléments historiques de la Ville de Rimouski, particulièrement au niveau militaire. L’intérêt est de le garder. Ça donne un cachet unique dans le secteur et Must Urbain en est conscient », souligne monsieur Caron.
PPCMOI approuvé
Parlant du projet de Must Urbain, le conseil municipal a approuvé, le 25 août, le projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) nécessaire pour permettre les travaux souhaités, qui dérogent à certaines règles d’urbanisme.
« L’objectif du PPCMOI est de légitimer les usages que souhaite mettre en place l’acheteur à l’intérieur. Must Urbain souhaite faire un projet résidentiel à l’intérieur. Il faut donc passer par le processus de modification des usages autorisés », explique Guy Caron.
Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Une assemblée publique de consultation a eu lieu en juin, tout juste avant l’adoption du second projet de règlement. L’adoption du PPCMOI donne le feu vert au promoteur pour aller de l’avant avec son projet.
L’édifice, construit en 1910 et connu autrefois comme l’Arsenal, témoigne de la présence du régiment des Fusiliers du Saint-Laurent, qui en avait fait son quartier général jusqu’en 2005.
Les Braves Batitech du Témiscouata ont provoqué la présentation d’un match ultime dans leur série demi-finale en allant vaincre les Allées du Boulevard de Matane par 3-0, jeudi soir.
La série est maintenant égale 3-3. Le match décisif sera présenté samedi soir, 19 h 30, à Témiscouata-sur-le-Lac.
Dans un duel de lanceurs japonais, Takuto Kanno a eu le meilleur sur Keisuke Takikawa. Kanno a limité Matane à trois coups sûrs en 6 1/3 manches avant d’être relevé par Kodai Kambara qui a effectu
Les Braves Batitech du Témiscouata ont provoqué la présentation d’un match ultime dans leur série demi-finale en allant vaincre les Allées du Boulevard de Matane par 3-0, jeudi soir.
La série est maintenant égale 3-3. Le match décisif sera présenté samedi soir, 19 h 30, àTémiscouata-sur-le-Lac.
Dans un duel de lanceurs japonais, Takuto Kanno a eu le meilleur sur Keisuke Takikawa. Kanno a limité Matane à trois coups sûrs en 6 1/3 manches avant d’être relevé par Kodai Kambara qui a effectué les deux derniers retraits pour le sauvetage.
Kanno n’avait lancé qu’une manche jusqu’ici dans les séries et seulement 15 en saison régulière, dont 4 dans son seul départ au monticule.
Les Braves ont pris les devants 1-0 dès la première manche sur un simple productif de Dany Paradis-Giroux. Ils ont ajouté leurs deux derniers points en début de 7e manche sur un double de Kanno et un simple de Paradis-Giroux.
En arrière 1-0 en 6e, les Allées du Boulevard avaient rempli les buts avec un seul retrait, mais Raphaël Bérubé a été retiré sur un jeu forcé au marbre à la suite d’un roulant à l’avant-champ de Maxime Gauthier avant que Michaël Lavoie soit retiré sur un roulant au lanceur.
Le Festi Jazz international de Rimouski a donné officiellement le coup d’envoi de sa 39e présentation, jeudi soir (28 août), en remettant le Prix du Héron d’Or 2025 à Alain Locas, un bénévole engagé depuis la toute première édition de l’événement.
« Alain est une personne humble qui ne recherche pas la reconnaissance, mais il nous apparaissait tout à fait à propos de souligner sa présence avec nous depuis tout ce temps. Il est un visage connu des habitués et est toujours présent pour diriger
Le Festi Jazz international de Rimouski a donné officiellement le coup d’envoi de sa 39e présentation, jeudi soir (28 août), en remettant le Prix du Héron d’Or 2025 à Alain Locas, un bénévole engagé depuis la toute première édition de l’événement.
« Alain est une personne humble qui ne recherche pas la reconnaissance, mais il nous apparaissait tout à fait à propos de souligner sa présence avec nous depuis tout ce temps. Il est un visage connu des habitués et est toujours présent pour diriger les festivaliers et leur recommander des spectacles », a déclaré le président du conseil d’administration, Raphaël Cousineau-Morin.
Attribué chaque année depuis 2002, le Prix du Héron d’Or souligne l’apport d’une personne ou d’une institution au développement du jazz et du festival.
Pour l’organisation, monsieur Locas incarne l’esprit du Festi Jazz par sa passion, sa générosité et son dévouement.
Toutefois, l’organisation a dû remanier sa programmation à la dernière minute en raison de l’annulation du Five Alarm Funk, pour des raisons de santé. Le groupe devait se produire samedi soir.
Sacré Révélation Radio-Canada 2024-2025, l’auteur-compositeur-interprète Kizaba prendra la relève vendredi soir, tandis que le groupe AFØNK a été déplacé de vendredi à samedi
Mohini Dey, Betty Bonifassi, Jordan Officer font aussi partie de la programmation. Le Rimouskois Pascal Demalsy ouvre les festivités, ce jeudi soir, à la place des Anciens-Combattants.