La remise en service des autobus électriques Lion est reportée jusqu’à nouvel ordre par le Centre de services scolaire (CSS) des Phares.
Les inspections exigées par le fabricant sont toujours en cours et le CCS travaille avec ses transporteurs scolaires afin de rétablir le service dans les meilleurs délais.
« Nous ne sommes actuellement pas en mesure de confirmer la reprise du service le mardi 16 septembre. Les parents dont les enfants utilisent les circuits suivants devront assurer le tr
La remise en service des autobus électriques Lion est reportée jusqu’à nouvel ordre par leCentre de services scolaire (CSS) des Phares.
Les inspections exigées par le fabricant sont toujours en cours et le CCS travaille avec ses transporteurs scolaires afin de rétablir le service dans les meilleurs délais.
« Nous ne sommes actuellement pas en mesure de confirmer la reprise du service le mardi 16 septembre. Les parents dont les enfants utilisent les circuits suivants devront assurer le transport de leur enfant : 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121. Dès que nous pourrons confirmer la reprise progressive des circuits, l’information sera diffusée sur notre site web, notre page Facebook et envoyée via le Portail parent », peut-on lire sur la page Facebook du Centre.
Il a annoncé tôt ce lundi 15 septembre, des interruptions pour certains services puisque les transporteurs devaient faire d’autres inspections sur les Autobus Lion après celles de vendredi dernier.
D’autres centres de services scolaires de la province ont aussi annoncé que le transport scolaire demeurerait suspendu pour le 15 septembre.
À la suite d’un accident à Montréal
Des annulations du transport scolaire ont eu lieu, vendredi dernier. Le gouvernement Legault a annoncé jeudi soir que les quelque 1200 autobus scolaires de Lion qui circulent sur les routes du Québec seront à l’arrêt le temps de procéder à des inspections.
Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu mardi à Montréal, lors duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.
Les transporteurs du Centre de services scolaire des Phares ont reçu d’autres inspections à effectuer sur les Autobus Lion. (Photo courtoisie)
L’entreprise a indiqué dans un communiqué transmis vendredi soir qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».
La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé son plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque LION-C.
La Fondation Jeunesse du Bas-Saint-Laurent tiendra son 21e Cocktail « 5 à Huîtres », le mercredi 15 octobre à 17h, à l’Institut maritime du Québec.
L’an dernier, la populaire activité avait permis d’amasser de récolter la somme record de 35 000$.
Le comité organisateur dévoilera bientôt ses chefs invités. Le coût des billets pour participer à l’évènement est de 160 $ par personne, via le site web de la Fondation au www.fondationcjbsl.com.
Des tables corporatives (6 couverts) sont égal
Le comité organisateur dévoilera bientôt ses chefs invités. Le coût des billets pour participer à l’évènement est de 160 $ par personne, via le site web de la Fondation au www.fondationcjbsl.com.
Des tables corporatives (6 couverts) sont également disponibles en quantité limitée au coût de 900$.
« Nos invités sont heureux du retour de cette activité, qui leur permet de déguster des produits régionaux raffinés. Nous offrons encore cette année la formule dégustation d’huîtres natures, ainsi que la formule découverte d’huîtres apprêtées et cuisinées, qui seront disponibles à des stations bien identifiées. Les personnes qui le préfèrent ou qui n’aiment pas les huîtres ne seront pas en reste alors qu’un buffet dégustation sera également disponible, explique la directrice de la Fondation Jeunesse du Bas-Saint-Laurent, Patricia Allard.
325 000$ dans son histoire
Très prisé par la population et les milieux d’affaires, le « 5 à Huîtres » a déjà permis de distribuer tout près de 325 000$ tout au long des éditions précédentes.
Le comité organisateur dévoilera bientôt ses chefs invités pour son 21e Cocktail « 5 à Huîtres ». (Photo courtoisie)
Tous les profits vont aux jeunes placés sous la protection de la Direction de protection de l’Enfance et de la Jeunesse, du Programme Jeunesse, et ceux de la mission CLSC « Jeunes en difficulté » du Centre intégré de santé et de services sociaux du Bas-Saint-Laurent.
Chaque année, près de 5 000 enfants répartis dans les huit MRC du Bas Saint-Laurent reçoivent des services et ont ainsi accès aux services offerts par la Fondation.
Il est également possible de devenir ami ou commanditaire de l’évènement en nous contactant directement par téléphone au 418-722-1897 ou par courriel.
Le Soir.ca fait partie des partenaires de l’événement.
Pour lancer la 12e saison de « Rendez-Vous Nature », l’animateur Stéphane Monette, de la Ferme Monette, relate son séjour de rêve en Alaska.
En entrevue avec Ernie Wells, Steph raconte qu’il a observé des orignaux géants, démesurés, son contact avec le sockeye, une des cinq espèces de saumons en rivières, admiré des montagnes grandioses et des glaciers actifs.
Tellement en amour avec l’Alaska, il y retourne en 2026 et organise un voyage de groupe.
Et en cette année permissive d
Pour lancer la 12e saison de « Rendez-Vous Nature », l’animateur Stéphane Monette, de la Ferme Monette, relate son séjour de rêve en Alaska.
En entrevue avec Ernie Wells, Steph raconte qu’il a observé des orignaux géants, démesurés, son contact avec le sockeye, une des cinq espèces de saumons en rivières, admiré des montagnes grandioses et des glaciers actifs.
Tellement en amour avec l’Alaska, il y retourne en 2026 et organise un voyage de groupe.
Et en cette année permissive de l’orignal, trois zecs de la zone 2 Bas-Saint-Laurent invitent les chasseurs à protéger volontairement la femelle. Comme l’explique leur porte-parole, Guillaume Ouellet.
Certains vignerons s'attendent à une bonne récolte dans la région, d'autres jettent l'éponge. Les autobus électriques Lion ne sont pas en service lundi. La chorégraphe Soraïda Caron présente sa première œuvre mercredi au Théâtre du Bic.
Certains vignerons s'attendent à une bonne récolte dans la région, d'autres jettent l'éponge. Les autobus électriques Lion ne sont pas en service lundi. La chorégraphe Soraïda Caron présente sa première œuvre mercredi au Théâtre du Bic.
Huit athlètes représenteront le Club de patinage artistique de Rimouski, du 18 au 21 septembre, à la compétition provinciale Souvenir Georges-Éthier, présentée du 18 au 21 septembre, au Centre sportif Marc-Simoneau de Québec.
Il s’agit de Rosalie Levesque (junior), Ariane Dubé (juvénile), Angélique Beaulieu (novice), Maude Harrisson (juvénile), Laurence Gagnon (juvénile), Maïlie Hamilton (pré-novice), Meredith Habel (pré-novice) et Élodie Chénard (novice).
L’événement d’envergure rassembl
Huit athlètes représenteront le Club de patinage artistique de Rimouski, du 18 au 21 septembre, à la compétition provinciale Souvenir Georges-Éthier, présentée du 18 au 21 septembre, au Centre sportif Marc-Simoneau de Québec.
Il s’agit de Rosalie Levesque (junior), Ariane Dubé (juvénile), Angélique Beaulieu (novice), Maude Harrisson (juvénile), Laurence Gagnon (juvénile), Maïlie Hamilton (pré-novice), Meredith Habel (pré-novice) et Élodie Chénard (novice).
L’événement d’envergure rassemblera plus de 450 athlètes provenant de partout au Québec, dans les catégories dames, messieurs, couples et danse, du niveau pré-juvénile à sénior.
Sur le plan individuel, Hamilton visera un premier podium cette saison après avoir terminé en cinquième position lors des Championnats d’été tenus à Pierrefonds, en août dernier.
Pour sa part, Lévesque tentera de répéter sa performance de l’an dernier, alors qu’elle avait décroché la troisième marche du prestigieux podium. Dubé ambitionne également une place parmi les trois premières. L’an dernier, elle avait terminé tout près du podium avec une quatrième position, à seulement 1,61 point du bronze.
Depuis le récent remaniement ministériel du gouvernement Legault, l’ex-ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, est présenté comme le ministre de l’Environnement, mais sa responsabilité de la faune passe comme inaperçue.
Le titulaire du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les Changement Climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoit Charette, est devenu ministre des Infrastructures.
Est-ce que le premier ministre François Legault a créé un nouveau ministère, celui de l’Env
Depuis le récent remaniement ministériel du gouvernement Legault, l’ex-ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, est présenté comme le ministre de l’Environnement, mais sa responsabilité de la faune passe comme inaperçue.
Le titulaire du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les Changement Climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoit Charette, est devenu ministre des Infrastructures.
Est-ce que le premier ministre François Legault a créé un nouveau ministère, celui de l’Environnement, écartant les autres volets associés au poste ?
Depuis ce changement de ministère, jamais le mots « parcs et chasse » n’ont été prononcés lors des sorties publiques de Bernard Drainville.
Celui qui est aussi président de la régionale des zecs de l’Est-du-Québec, a de grandes préoccupations et plusieurs sujets à discuter avec le ministre Drainville, comme le futur Plan de gestion de l’orignal, la Restriction de la taille légale des bois chez le cerf et la pérennité du caribou, espèce emblématique du parc de la Gaspésie.
« Je ne le brûlerai pas en partant, mais je souhaite de bonnes discussions. J’espère qu’il va arrêter l’industrialisation de la forêt, qu’il reconnaisse les zecs comme des milieux naturels de chasse, de pêche et de plein air exceptionnels à préserver, à l’abri des éoliennes et du régime forestier en cours », note Guillaume Ouellet.
Le président du Réseau Zec, Guillaume Ouellet (Photo courtoisie Myriam Quenneville / Audet Photo)
La liste est longue et les attentes sont nombreuses pour celui qui représente 44 000 membres de zecs, répartis dans toutes les régions, et qui occupent 48 000 km2 de la sauvagerie québécoise.
« Je vais lui dire que les zecs représentent un modèle de gestion unique au monde, et que ces territoires doivent être reconnus par l’état. J’ai des dossiers chauds sur la table à régler rapidement, comme, comme l’accès des motoneiges dans les zecs, les droits de circulation, la gestion de la grande faune et l’auto-financement des zecs ».
Le président du Réseau Zec souhaite une rencontre en présentielle très rapidement, afin qu’il puisse aussi, dit-il lui offrir toute sa collaboration.
Les actifs du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard sont mis en vente par le syndic Raymond Chabot à la suite de la faillite du marché d’alimentation.
Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre.
Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présent
Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre.
Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présentoirs considérés comme fixes à l’immeuble.
Le lot numéro 2 se compose de l’équipement et du mobilier. Il comprend notamment plusieurs présentoirs réfrigérés, un congélateur vertical de trois portes, un congélateur tombeau, un comptoir et des présentoirs réfrigérés, une machine à barbotine et un ensemble de chariots et de bacs d’épicerie, sans oublier du matériel de cuisine, un système de caisse, du mobilier de bureau et du matériel informatique, le tout évalué à 99 600$.
Enfin, l’inventaire évalué à 20 000$ représente le 3e lot. On y retrouve un ensemble de marchandises diverses, breuvages assortis, croustilles, cannages assortis, nourriture sèche, chocolats et bonbons assortis, produits congelés, pâtisseries assorties, produits pour animaux, produits ménagers et cosmétiques assortis.
Les biens pourront être examinés sur place, le jeudi 25 septembre, entre 10 h à 13 h.
Les soumissions doivent être reçues au bureau du syndic, 217, avenue Léonidas Sud, Bureau 3-A à Rimouski, avant le 7 octobre à 14 h.
Le syndic prendra connaissance des soumissions à ce moment, sans la présence des soumissionnaires
Dette de 470 000$
Raymond Chabot précise que le montant de la créance est de 470 000$ et que les trois principaux créanciers garantis sont la BDC, la SADC de la Neigette et la MRC Rimouski-Neigette.
« L’entreprise doit également environ 50 000$ à son principal fournisseur Sobeys et à quelques petits fournisseurs », souligne le responsable du dossier chez Raymond Chabot, Guyllaume Amyot.
Le Marché Familial de Saint-Anaclet (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Ce dernier explique que la diminution des ventes se fait sentir depuis quelques années et qu’il n’y a pas de lien à faire avec l’ouverture de Costco à Rimouski.
« La cause provient de problématiques qui traînent depuis un certain temps. Les revenus étaient insuffisants et on voyait une diminution des ventes dans les derniers mois et les dernières années. Cela a fragilisé la situation financière de l’entreprise ».
Des repreneurs ?
« Nous sommes déjà en contact avec des gens la MRC de Rimouski-Neigette et d’autres personnes qui nous ont contactés. On sent un certain intérêt à voit un commerce de proximité reprendre les actifs. C’est le processus qui va déterminer de la suite des choses », affirme monsieur Amyot.
Condamné à sept ans de prison en août 2022 à la suite de son arrestation lors de l’opération Oursin de lutte au trafic de stupéfiants, David Dumais fait de nouveau face à la justice.
L’accusé de 45 ans de Rimouski a été accusé d’avoir eu en sa possession de la cocaïne, le 6 mars dernier, à Rimouski.
Lorsque le juge Jérôme Simard lui a demandé s’il était au courant de l’accusation portée contre lui, il a mentionné la possession de cocaïne.
Dumais a informé le juge que son avocat, Me Pie
Condamné à sept ans de prison en août 2022 à la suite de son arrestation lors de l’opération Oursin de lutte au trafic de stupéfiants, David Dumais fait de nouveau face à la justice.
L’accusé de 45 ans de Rimouski a été accusé d’avoir eu en sa possession de la cocaïne, le 6 mars dernier, à Rimouski.
Lorsque le juge Jérôme Simard lui a demandé s’il était au courant de l’accusation portée contre lui, il a mentionné la possession de cocaïne.
Dumais a informé le juge que son avocat, Me Pierre Joyal, ne pouvait pas être présent. Il lui avait demandé de prendre la preuve du ministère public et de faire repousser le dossier à une date ultérieure.
Le procureur de la Couronne, Me Alex Turcotte, lui a remis la preuve et le dossier a été reporté au 20 octobre.
Hells Angels
Dumais est l’un des 32 individus arrêtés dans le cadre de l’Opération Oursin, tenue en 2019. Il a reçu une peine de sept ans de prison pour des accusations de complot, trafic de stupéfiants et recel de sommes d’argent issues de la criminalité.
Cette sentence tenait compte de son degré d’implication dans l’organisation dirigée par les Hells Angels, de ses nombreux antécédents judiciaires et des peines imposées aux autres individus de même réseau.
Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Dumais a dirigé le réseau de distribution de Rimouski et de Mont-Joli entre le 28 août et le 31 décembre 2018.
La preuve amassée contre lui consistait en de nombreuses conversations avec un agent civil d’infiltration, un homme de confiance de l’organisation qui a collaboré avec les forces policières.
Réseau de revendeurs
Dumais écoulait de la cocaïne, des méthamphétamines, de l’extasy et du cannabis à Rimouski et à Mont-Joli.
« Il devait fournir une » quote « de 13 000 $ à l’organisation pour avoir le droit de vendre des stupéfiants dans le secteur. Il a perdu son droit de vendre des stupéfiants le 31 décembre 2018 après que plusieurs de ses revendeurs avaient été arrêtés dans une opération précédente (Périmètre) et que ses ventes étaient en baisse », racontait la procureure de la Couronne, Me Martine Savard, de Québec.
En tenant compte de la détention préventive, il lui restait 716 jours de prison à faire lors de l’imposition de la peine en août 2022. La peine comprenait également une interdiction de posséder des armes de 10 ans.
Le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) a annoncé la levée de l’interdiction des heures supplémentaires à compter de lundi à minuit et une minute, heure de Montréal, et l’instauration d’une interdiction de la livraison de circulaires commerciales.
Par Craig Lord, La Presse Canadienne
La présidente du STTP, Jan Simpson, exhorte Postes Canada à retourner à la table de négociation dans l’espoir de mettre un terme au conflit avant les Fêtes.
Le syndicat interdit les
Le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) a annoncé la levée de l’interdiction des heures supplémentaires à compter de lundi à minuit et une minute, heure de Montréal, et l’instauration d’une interdiction de la livraison de circulaires commerciales.
Par Craig Lord, La Presse Canadienne
La présidente du STTP, Jan Simpson, exhorte Postes Canada à retourner à la table de négociation dans l’espoir de mettre un terme au conflit avant les Fêtes.
Le syndicat interdit les heures supplémentaires depuis la fin mai, alors qu’il tente d’obtenir une nouvelle convention collective avec Postes Canada.
À la fin du mois dernier, le syndicat a répondu aux dernières offres de la société d’État en avançant une proposition prévoyant des augmentations salariales, mais prévoyant aussi certaines indemnités pour les travailleurs à temps partiel.
Pas de réponse
Le service postal n’a pas encore répondu officiellement à ces propositions, mais a demandé au syndicat d’adapter ses attentes aux réalités financières difficiles de Postes Canada.
La société d’État affirme perdre des millions de dollars par jour, l’incertitude entourant les négociations collectives nuisant à ses activités.
Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme d’autres interruptions pour certains circuits de transport en ce lundi 15 septembre.
Ses transporteurs ont reçu d’autres inspections à faire sur les Autobus Lion, a indiqué le CSS dans une publication Facebook.
Les parents devront aller reconduire les enfants pour les circuits suivants: 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121.
« Nous essayons rapidement d’envoyer un courriel au
Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme d’autres interruptions pour certains circuits de transport en ce lundi 15 septembre.
Ses transporteurs ont reçu d’autres inspections à faire sur les Autobus Lion, a indiqué le CSS dans une publication Facebook.
Les parents devront aller reconduire les enfants pour les circuits suivants: 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121.
« Nous essayons rapidement d’envoyer un courriel aux parents concernés. Nous sommes vraiment désolé de cette situation », peut-on lire sur la page du CSS des Phares.
D’autres centres de services scolaires de la province ont aussi annoncé que le transport scolaire demeurerait suspendu pour le 15 septembre.
À la suite d’un accident à Montréal
Des annulations du transport scolaire ont eu lieu, vendredi dernier. Le gouvernement Legault a annoncé jeudi soir que les quelque 1200 autobus scolaires de Lion qui circulent sur les routes du Québec seront à l’arrêt le temps de procéder à des inspections.
Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu mardi à Montréal, lors duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.
L’entreprise a indiqué dans un communiqué transmis vendredi soir qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».
La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé son plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque LION-C.
Le 12e Challenge Vélo Plein Air, présenté ce samedi 13 septembre, a permis d’amasser 53 605$, dépassant largement l’objectif fixé à 40 000$ pour la Maison Marie-Élisabeth.
Le défi cycliste, réalisé en collaboration avec Vélo Plein Air et sous la présidence d’honneur de Desjardins, se déroulait en deux parcours, par la route sur 80 kilomètres et par la montagne sur 50 kilomètres.
En tout, 90 cyclistes, soit 66 à vélo de montagne et 24 sur route, ont pris part à l’événement tenu de Rimousk
Le 12e Challenge Vélo Plein Air, présenté ce samedi 13 septembre, a permis d’amasser 53 605$, dépassant largement l’objectif fixé à 40 000$ pour la Maison Marie-Élisabeth.
Le défi cycliste, réalisé en collaboration avec Vélo Plein Air et sous la présidence d’honneur de Desjardins, se déroulait en deux parcours, par la route sur 80 kilomètres et par la montagne sur 50 kilomètres.
« La météo était parfaite et les participants enthousiastes. Je remercie personnellement tous les partenaires et les cyclistes, qui, en plus de leur défi, ont réalisé une collecte de fonds au-delà de nos attentes. Nous avons eu aussi une participation exceptionnelle d’équipes qui se sont formées avec six d’entreprises et trois de familles, qui se sont données à fond pour leur levée de fonds », a indiqué le président d’honneur, Pierre Côté, de Desjardins Entreprises – Bas-Saint-Laurent, dans un communiqué.
Reconnaissance à un participant de longue date
Le prix « Endurance », offert pour la quatrième fois dans l’histoire du Challenge, a été remis à Claude Gagné, qui se démarque par sa fidélité à la cause.
« Il est toujours présent d’une façon ou d’une autre. Le comité organisateur du Challenge félicite Claude Gagné et remercie chaleureusement la Fondation Jack Herbert pour ce magnifique prix! », indique la directrice générale de la Maison Marie-Élisabeth, Paule Côté.
Des cyclistes sur route prenant part au Challenge Vélo Plein Air. (Photo courtoisie Carol-Ann Guy)
En 12 ans, le Challenger Vélo Plein Air a permis à la maison Marie-Élisabeth de recueillir plus de 338 000$, destinés aux soins et services offerts gratuitement par l’établissement de soins palliatifs de Rimouski, aux patients et à leurs proches.
Chaque année, la Maison Marie‑Élisabeth doit recueillir plus d’un millions de dollars afin de perpétuer sa mission.
Après Arianne Gallant-Sicotte, la Sûreté du Québec a confirmé, dimanche après-midi, avoir retrouvé Jessy Corbin, saine et sauve, dans le secteur de Mont-Joli. L’adolescente de 15 ans manquait à l’appel depuis le 10 septembre dernier.
Les autorités ont lancé un avis de recherche, le 12 septembre, après leur disparition deux jours plus tôt survenue en début de soirée dans le secteur de l’avenue Ross.
Leurs proches craignaient pour leur santé et leur sécurité.
La SQ avait annoncé avoir l
Après Arianne Gallant-Sicotte, la Sûreté du Québec a confirmé, dimanche après-midi, avoir retrouvé Jessy Corbin, saine et sauve, dans le secteur de Mont-Joli. L’adolescente de 15 ans manquait à l’appel depuis le 10 septembre dernier.
Les autorités ont lancé un avis de recherche, le 12 septembre, après leur disparition deux jours plus tôt survenue en début de soirée dans le secteur de l’avenue Ross.
Leurs proches craignaient pour leur santé et leur sécurité.
C’est avec deux victoires sur les patinoires adverses que les Pionniers du Cégep de Rimouski en hockey ont amorcé la nouvelle saison de la Ligue collégiale du Québec.
Après avoir eu le meilleur sur les Dragons du Collège Laflèche, samedi à Trois-Rivières, ils ont défait les Titans de Limoilou par 6-4, dimanche à Québec.
Samedi, Émerick Allison a marqué deux buts dans une victoire de 5-2. Gabriel-Alexis Bisson, Noah Belzile et Jérémie Leclerc ont complété. Belzile a aussi deux passes.
L
C’est avec deux victoires sur les patinoires adverses que les Pionniers du Cégep de Rimouski en hockey ont amorcé la nouvelle saison de la Ligue collégiale du Québec.
Après avoir eu le meilleur sur les Dragons du Collège Laflèche, samedi à Trois-Rivières, ils ont défait les Titans de Limoilou par 6-4, dimanche à Québec.
Samedi, Émerick Allison a marqué deux buts dans une victoire de 5-2. Gabriel-Alexis Bisson, Noah Belzile et Jérémie Leclerc ont complété. Belzile a aussi deux passes.
Les Pionniers ont largement dominé dans la colonne des lancers avec 45 contre 20.
Dimanche, les Pionniers ont connu un autre bon match offensif avec les trois premiers buts de la rencontre en première période. Robin Henry en a deux dans le match, les autres allant à Gabriel Dumais, Jérémie Leclerc, Samuel Miousse et Gabriel-Alexis Bisson.
Les deux gardiens, William Castonguay et Mathieu Albert, ont inscrit chacun une victoire à leur dossier en ce début de saison.
« Nous avons eu un premier week-end fort satisfaisant. L’effort et l’application du système de jeu, particulièrement dans les phases de jeux offensives, ont été excellents pendant les deux matchs. Nous avons eu de bons moments avec nos quatre trios et nos trois paires de défenseurs. C’est donc encourageant pour les semaines à venir. Nous avons quelques ajustements défensifs à faire, mais, si l’attitude et l’éthique de travail demeurent ainsi, les résultats seront positifs », a commenté le nouvel entraineur-chef, Nicholas Duchesne, dans un bilan de la fin de semaine au journal numérique Le Soir.
À venir
Les Pionniers inaugureront leur calendrier local samedi prochain, 18 h 45, en recevant les Titans au Complexe sportif Desjardins.
Pour leur part, les Pionnières amorceront leur saison 25-26 en accueillant les Lynx du Cégep Édouard-Montpetit samedi à 15 h 30 et les Filons du Cégep de Thetford, dimanche à midi.
Une étude recommande de pratiquement tripler le nombre de stations de lavage des embarcations au Bas-Saint-Laurent pour freiner la propagation des espèces exotiques envahissantes. Le portrait élaboré par le Collectif régional de développement (CRD) du Bas-Saint-Laurent est inquiétant.
Les espèces envahissantes sont déjà installées dans plusieurs plans d’eau de la région. De nombreux lacs à risque de propagation ne sont pas protégés par des stations de lavage et les municipalités n’ont pas tou
Une étude recommande de pratiquement tripler le nombre de stations de lavage des embarcations au Bas-Saint-Laurent pour freiner la propagation des espèces exotiques envahissantes. Le portrait élaboré par le Collectif régional de développement (CRD) du Bas-Saint-Laurent est inquiétant.
Les espèces envahissantes sont déjà installées dans plusieurs plans d’eau de la région. De nombreux lacs à risque de propagation ne sont pas protégés par des stations de lavage et les municipalités n’ont pas toutes la volonté d’agir.
Actuellement, la moule zébrée est présente dans le lac Témiscouata. Des tests menés en 2023 ont répertorié des traces d’ADN de moules zébrées dans huit autres plans d’eau, dont le lac des Aigles, le lac Matapédia, le lac Mitis, le lac Saint-Mathieu et le Grand Lac Squatec.
À l’est, ce sont les vivipares géorgiens et chinois, de gros escargots, qui envahissent les lacs Matapédia, du Gros-Ruisseau, Casault et Causapscal.
La présence d’ADN environnemental ne confirme pas la présence de moules zébrées, mais les risques sont élevés. Pour les autres lacs, on ne sait pas. Le portrait dressé par le CRD illustre le manque de données pour la détection des espèces envahissantes.
La mairesse de Saint-Marcellin, Julie Thériault. (Photo Facebook)
Cet été, des capteurs ont été installés dans certains lacs, comme le lac Noir à Saint-Marcellin. La mairesse, Julie Thériault, est inquiète.
« C’est un enjeu préoccupant, avec la difficulté de contrôler tout ça. Les lave-bateaux, c’est un beau projet, mais ce n’est pas facile d’avoir un vrai contrôle sur les déplacements des gens. C’est un projet qui est sur la table depuis au moins quatre ans. Il faut travailler fort! » La mairesse espère y arriver l’an prochain.
Multiplier les stations de lavage
Les plaisanciers, qui vont de lac en lac, sont le principal vecteur de propagation des espèces exotiques envahissantes.
Les larves voyagent en se collant à la coque des bateaux. La solution: laver les embarcations et les équipements à l’entrée et à la sortie du lac.
Actuellement, il y 17 stations de lavage des embarcations au Bas-Saint-Laurent, concentrées au Témiscouata et dans la Matapédia. Il en faudrait au moins 45 et non seulement autour des lacs, selon la biologiste au CRD, Océane Perillous.
« C’est irréaliste d’en mettre partout. Il faut cibler des axes routiers stratégiques, où il y a beaucoup de circulation, pour intercepter les plaisanciers et obliger le lavage des embarcations. »
Moules zébrées provenant du lac Témiscouata. (Photo prise par l’OBVNEBSL)
La prévention passe aussi par la sensibilisation des propriétaires de bateaux, explique Alexa Bérubé Deschênes de l’Organisme des bassins versants du Nord-Est du Bas-Saint-Laurent. « Il va falloir des changements de comportements. Les sensibiliser et les resensibiliser. Et ça va prendre du temps. »
Du temps qui risque de manquer, rappelle Océane Perillous. « On essaie de tout mettre en œuvre pour éviter que les espèces se propagent. La moule zébrée fait de gros dégâts et coûte très cher. Il faut éviter à tout prix qu’elle s’installe partout. »
Au total, 15 emplacements de stations ont été identifiés, dont 4 sont déjà envisagés par les municipalités. Les 11 nouvelles stations suggérées sont localisées à Trois-Pistoles, à Saint-Ulric, à Saint-Damase, dans la Zec Casault, à Mont-Joli, au parc du Bic, à Rimouski et à Saint-Narcisse.
Le CRD propose aussi des stations mobiles pour desservir les Zecs. Aucune station de lavage n’est présente sur les territoires fauniques du Bas-Saint-Laurent, alors qu’ils sont fortement fréquentés et qu’ils possèdent des sites exceptionnels.
Les coûts d’exploitation font peur
Actuellement, sept municipalités ont déposé une demande d’aide financière pour mettre en place une station de lavage, qui coûte autour de 50 000$. Huit autres ont montré un intérêt, mais n’ont pas demandé de subvention, alors qu’une dizaine n’ont aucun intérêt dans le projet, bien que les stations soient considérées comme prioritaires.
C’est un grand défi pour les organismes de bassins versants, souligne Alexa Bérubé Des-chênes. « C’est difficile en raison des frais d’exploitation, en plus de devoir embaucher du per-sonnel pour les faire fonctionner. Les municipalités sont réticentes à embarquer. On est à l’étape de les mobiliser parce qu’on a un besoin urgent de stations de lavage. »
Le CRD recommande d’ailleurs de créer un fonds régional pour aider les municipalités et les MRC à couvrir les coûts d’installation et d’exploitation. L’organisme suggère aussi aux munici-palités de partager leurs ressources.
Les plaisanciers, qui vont de lac en lac, sont le principal vecteur de propagation des espèces exotiques envahissantes. (Photo Le Soir.ca – Bruno St-Pierre)
Au Bas-Saint-Laurent, 40% des lacs présentent un risque élevé ou très élevé d’être envahis par les espèces exotiques envahissantes.
La MRC de Rimouski-Neigette présente la proportion la plus élevée de lacs classés à haut risque, suivie par La Mitis et La Matapédia.
L’école Sainte-Marie de Sayabec, gagnante du défi des Cubes énergie du Grand défi Pierre Lavoie au Bas-Saint-Laurent, recevra la visite de l’équipe du Grand défi, ce mardi 16 septembre.
Cette récompense, issue de la compétition qui a eu lieu en mai dernier partout au Québec, permettra aux élèves de vivre une journée d’activités et de recevoir des prix pour leur engagement.
Chaque enfant recevra notamment une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie, conçus pour l’occasion par le
L’école Sainte-Marie de Sayabec, gagnante du défi des Cubes énergie du Grand défi Pierre Lavoie au Bas-Saint-Laurent, recevra la visite de l’équipe du Grand défi, ce mardi 16 septembre.
Cette récompense, issue de la compétition qui a eu lieu en mai dernier partout au Québec, permettra aux élèves de vivre une journée d’activités et de recevoir des prix pour leur engagement.
Chaque enfant recevra notamment une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie, conçus pour l’occasion par le Grand défi Pierre Lavoie.
La tournée La Grande récompense à ton école récompensera plus de 3 400 jeunes à travers la province.
Chaque enfant de Sayabec recevra une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie. (Photo courtoisie)
Le Grand défi Pierre Lavoie débutera sa tournée ce lundi 15 septembre à l’école Saint-Paul-de-Pabos, à Chandler.
Il y a des départs qui laissent un vide immense et d’autres qui révèlent soudain l’ampleur d’une présence qu’on n’avait peut-être pas assez mesurée. La mort de Guy Rocher, survenue le 3 septembre à l’âge vénérable de 101 ans, appartient à cette seconde catégorie.
Son legs dans nos régions
Dans les grandes villes, on salue le géant de la sociologie, l’architecte de la Révolution tranquille, l’homme qui a contribué à façonner le rapport Parent. Ces hommages sont mérités, bien évidemment. Mai
Il y a des départs qui laissent un vide immense et d’autres qui révèlent soudain l’ampleur d’une présence qu’on n’avait peut-être pas assez mesurée. La mort de Guy Rocher, survenue le 3 septembre à l’âge vénérable de 101 ans, appartient à cette seconde catégorie.
Son legs dans nos régions
Dans les grandes villes, on salue le géant de la sociologie, l’architecte de la Révolution tranquille, l’homme qui a contribué à façonner le rapport Parent. Ces hommages sont mérités, bien évidemment. Mais, c’est peut-être dans nos régions, loin des projecteurs et des tribunes officielles, que l’œuvre de cet homme prend sa dimension la plus touchante.
Quand Guy Rocher parlait de démocratisation de l’éducation, il ne philosophait pas dans l’abstrait. Il dessinait l’avenir de milliers de jeunes qui, sans ses idées révolutionnaires, auraient peut-être renoncé à leurs rêves, faute d’accès.
Ces cégeps qui ponctuent aujourd’hui notre territoire, de Rimouski à Gaspé, en passant par Matane et Amqui, sont autant de phares allumés par sa vision. Avant lui, combien de nos enfants devaient s’exiler vers les grands centres pour poursuivre leurs études collégiales ? Pire encore, combien y renonçaient tout simplement ?
Le Cégep de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Son legs se lit dans chaque diplôme remis dans nos établissements régionaux, dans chaque programme délocalisé qui permet à un étudiant de maîtriser les sciences ou les arts sans quitter sa terre natale.
Quand l’Université du Québec à Rimouski accueille ses étudiants, quand le Cégep de Matane ou celui de Gaspé ouvre ses portes chaque automne, c’est un peu l’esprit de Guy Rocher qui anime ces lieux d’apprentissage.
Son message demeure vivant
Mais, au-delà des pierres et des programmes, c’est une philosophie profondément humaine que ce sociologue a semée dans notre société. Dans un Québec qui cherchait encore son identité, il a affirmé que nos accents, nos expressions, nos façons particulières d’être au monde méritaient respect et reconnaissance.
Pour nous, qui portons parfois nos origines comme un fardeau dans un monde qui privilégie l’uniformité urbaine, son message demeure bien vivant.
Guy Rocher n’était pas né dans l’Est-du-Québec. Encore mieux, il était l’homme de tous les territoires du Québec, de toutes ces communautés qu’on disait jadis vouées au sous-développement. Il a cru en nous avant que nous n’osions pleinement croire en nous-mêmes.
L’Université du Québec à Rimouski (Photo archives)
Aujourd’hui, quand une étudiante de Rimouski obtient son diplôme universitaire, quand un chercheur de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski publie ses travaux, quand un créateur de Gaspé ou de Percé voit son œuvre reconnue, il y a un peu de Guy Rocher dans cette réussite. Car, il a contribué à bâtir un système qui rend ces parcours possibles, qui transforme les rêves en réalités.
Héritiers de Guy Rocher
Dans le grand concert d’hommages qui accompagne son départ, nos voix régionales peuvent sembler modestes. Pourtant, nous sommes peut-être ceux qui incarnons le mieux sa réussite : une société où l’excellence intellectuelle n’est plus l’apanage d’une élite géographique, où l’on peut naître n’importe où au Québec et prétendre aux plus hautes sphères du savoir.
Guy Rocher s’en est allé, mais son écho résonne encore dans nos écoles, nos universités, nos ambitions collectives. Nous sommes tous un peu ses héritiers et c’est là le plus bel hommage que nous puissions lui rendre.
Le Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 exprime son mécontentement face à l’absence d’engagement clair de la MRC de Rimouski-Neigette. Ses membres marcheront de nouveau sur la Promenade de la mer, le samedi 11 octobre prochain, afin de réclamer des actions concrètes des différents paliers gouvernementaux.
« Comment peut-on rester silencieux devant des enjeux aussi cruciaux que la sécurité routière, le développement économique et la qualité de vie des citoyens? », s’interroge le comi
Le Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 exprime son mécontentement face à l’absence d’engagement clair de la MRC de Rimouski-Neigette. Ses membres marcheront de nouveau sur la Promenade de la mer, le samedi 11 octobre prochain, afin de réclamer des actions concrètes des différents paliers gouvernementaux.
« Comment peut-on rester silencieux devant des enjeux aussi cruciaux que la sécurité routière, le développement économique et la qualité de vie des citoyens? », s’interroge le comité, dans un communiqué transmis aux médias.
Les participants parcourront la distance entre la place des Anciens-combattants et l’avenue Julien-Réhel.
Celui-ci réclame des mesures immédiates pour compléter les kilomètres manquants entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski. En cas de pluie, l’activité sera reporté au lendemain.
En août dernier, Le Soir.ca rapportait que la MRC de Rimouski-Neigette a fait savoir qu’elle n’offre pas son soutien au Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski, invoquant « l’absence de projets concrets ou d’avancées tangibles dans ce dossier ». La position des élus provoque la grogne du comité citoyen.
Plus nuancé par la suite, le préfet Francis Saint-Pierre a rétorqué, dans les jours suivant, qu’il préférait attendre avant de donner son soutien au comité, évoquant notamment qu’il n’avait pas consulté tous les maires de la région.
Reprise des études
Depuis l’arrêt du financement au printemps dernier, le comité demande que des études soient reprises, notamment pour la portion la moins avancée du projet, soit le segment de 47 kilomètres entre Trois-Pistoles et Rimouski.
Ce tronçon, qui traverse des zones densément fréquentées comme Saint-Simon et Saint-Fabien, enregistre plus de 12 000 véhicules par jour en période estivale, avec un volume croissant de transport lourd.
Des véhicules circulent sur la route 132 à Saint-Simon. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
« À cela s’ajoute le secteur de Notre-Dame-des-Neiges, entre la rue du Sault, la rue de la Grève et la rue Notre-Dame, à l’entrée de Trois-Pistoles. Le trafic atteint 13 700 véhicules durant l’été. Ces chiffes démontrent l’urgence d’agir », indique le comité.
Le comité appelle tous les citoyens concernés ainsi que les acteurs économiques et politiques à se joindre au mouvement.
Partout dans la province et ailleurs sur Internet, la plus importante émission radiophonique hebdomadaire consacrée à la chasse, à la pêche et au plein air au Québec, « Rendez-Vous Nature », revient à la radio et au web pour une 12e saison.
En 2025-2026, « Rendez-Vous Nature » sera diffusée sur 30 fréquences radio et web à travers la province, dont FLO 96,5, chaque dimanche, à 11 h.
Animée par Ernie Wells, l’émission donne la parole aux acteurs de la chasse, de la pêche, du piégeage, du c
Partout dans la province et ailleurs sur Internet, la plus importante émission radiophonique hebdomadaire consacrée à la chasse, à la pêche et au plein air au Québec, « Rendez-Vous Nature », revient à la radio et au web pour une 12e saison.
En 2025-2026, « Rendez-Vous Nature » sera diffusée sur 30 fréquences radio et web à travers la province, dont FLO 96,5, chaque dimanche, à 11 h.
Animée par Ernie Wells, l’émission donne la parole aux acteurs de la chasse, de la pêche, du piégeage, du camping, de la motoneige et du plein air au Québec.
Elle s’appuie sur une équipe de collaborateurs réguliers et sur la plateforme Rendez-vous Nature.ca, le seul site Web offrant des nouvelles quotidiennes sur la chasse, la pêche et le plein air au Québec.
Parmi les collaborateurs, on retrouve notamment Stéphane Monette, Alexis Nantel, Jean Larivière, Julien Cabana et Mario Ross.
« Rendez-Vous Nature » accueille des biologistes et des experts du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs.
Sur Le Soir.ca et Rendez-Vous Nature.ca
Toutes les émissions seront également disponibles en balado, chaque semaine, sur le site du Soir.ca et de rendez-vousnature.ca.
Des orignaux en forêt (Photo courtoisie Réseau Zec)
Produite à Rimouski, « Rendez-Vous Nature » est l’émission de référence au Québec en matière de chasse, pêche et plein air.
Grâce à son réseau d’antennes et à sa diffusion sur le web, elle rejoint chaque semaine des milliers de passionnés, tout en contribuant à la promotion, à l’éducation et à la sécurité des activités de plein air.
Depuis la tragédie de L'Isle-Verte, les petites municipalités se sont mobilisées dans nos régions pour se donner de meilleurs moyens pour combattre les incendies. La municipalité de Price a officiellement inauguré samedi sa nouvelle caserne qui va desservir six autres municipalités des environs.
Depuis la tragédie de L'Isle-Verte, les petites municipalités se sont mobilisées dans nos régions pour se donner de meilleurs moyens pour combattre les incendies. La municipalité de Price a officiellement inauguré samedi sa nouvelle caserne qui va desservir six autres municipalités des environs.
Portée disparue depuis vendredi, Arianne Gallant-Sicotte a été retrouvée saine et sauve dans le secteur de Mont-Joli, confirme la Sûreté du Québec.
Les autorités recherchent toujours Jessy Corbin, 15 ans, toujours manquante. Elles demandent à la population de rester vigilante et de signaler toute information pertinente.
Les deux adolescentes de Rimouski avaient été vues pour la dernière fois le 10 septembre dernier, vers 18 h, dans le secteur de l’avenue Ross. Leurs proches craignaient pou
Les deux adolescentes de Rimouski avaient été vues pour la dernière fois le 10 septembre dernier, vers 18 h, dans le secteur de l’avenue Ross. Leurs proches craignaient pour leur santé et leur sécurité.
Jessy Corbin mesure 1,65 m (5 pi 5 po) et pèse 52 kg (115 lb). Elle a les cheveux blonds, les yeux verts et porte deux piercings au nez. Au moment de sa disparition, elle portait un pantalon beige et un coton ouaté rose. Elle a deux piercings au nez
Toute personne qui apercevrait Jessy Corbin est priée de composer immédiatement le 911.
Il est également possible de transmettre toute information, de manière confidentielle, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec, au 1 800 659-4264.
La Ligue de hockey senior de l’Est-du-Québec fait maintenant cavalier seul depuis qu’elle s’est désaffiliée de Hockey Québec. Comme annoncé le printemps dernier par Le Soir, l’organisation a décidé d’adopter ses propres règles.
On reprochait à Hockey Québec son manque de flexibilité, notamment en ce qui a trait aux règlements sur les batailles qui n’étaient pas adaptés à des adultes. Hockey Québec applique les mêmes règles dans toutes ses ligues, qu’il s’agisse de mineurs ou de seniors.
L
La Ligue de hockey senior de l’Est-du-Québec fait maintenant cavalier seul depuis qu’elle s’est désaffiliée de Hockey Québec. Comme annoncé le printemps dernier par Le Soir, l’organisation a décidé d’adopter ses propres règles.
On reprochait à Hockey Québec son manque de flexibilité, notamment en ce qui a trait aux règlements sur les batailles qui n’étaient pas adaptés à des adultes. Hockey Québec applique les mêmes règles dans toutes ses ligues, qu’il s’agisse de mineurs ou de seniors.
Les gouverneurs des équipes des Excavations Léon Chouinard de Mont-Joli, du Bar Laser de Causapscal, des Castors Côté Automobiles de Matane, des Fondations B.A. de Trois-Pistoles, des Corsaires de Forillon et des Vikings du Rocher se sont mis d’accord sur les orientations que le circuit devait prendre.
« Il n’était pas question de retourner à ce que la ligue était à ses débuts. Ça veut dire que nous ne voulons pas de joueurs qui sont uniquement en uniforme pour se battre », explique le directeur général des Castors Côte Automobiles, Brian Bernier.
Nouveaux règlements
Dorénavant, un joueur qui se bat lors d’un match sera expulsé, mais sera suspendu seulement après trois occurrences. Les matchs de suspension seront cumulatifs.
« Ça veut dire qu’une fois la suspension purgée, le joueur ne bénéficie pas de trois autres batailles avant d’être suspendu à nouveau », précise Bernier. L’an dernier, sous Hockey Québec, une bataille équivalait à une suspension automatique.
De plus, dans le cas où un joueur entamerait une bataille avec un autre joueur qui ne voulait pas se battre, l’instigateur écopera d’un match de suspension.
Une séquence du match entre les Corsaires de Forillon et le Bar Laser de Causapscal. (Photo courtoisie Maxime Amyot)
« On ne veut pas des pères de famille qui se font arracher la tête par un joueur qui ne sait pas jouer au hockey alors qu’il travaille le lundi matin. C’est hors de question », martèle Brian Bernier.
Ce dernier est d’avis que la ligue est en mesure d’établir ses propres règles qui sont adaptées pour des adultes, ce que Hockey Québec n’était pas en mesure d’offrir.
« On ne se cachera pas non plus qu’une adhésion à Hockey Québec coûte excessivement cher en échange d’un soutien qui n’est pas à la hauteur de nos attentes. Maintenant que nous ne donnons plus notre argent à Hockey Québec, on peut l’investir de manière beaucoup plus judicieuse pour notre personnel qui fait un travail incroyable. »
Plus de matchs en séries
La prochaine saison s’entamera au début de novembre. Chaque formation disputera 14 parties en saison régulière, réparties sur 10 fins de semaine, comprenant des rencontres entre Noël et le jour de l’An. En 2025-2026, Causapscal rejoindra Forillon et Le Rocher dans la division Est, alors que Trois-Pistoles, Mont-Joli et Matane composeront la division Ouest.
Le format des séries éliminatoires a aussi été modifié. L’équipe qui termine première de chaque division obtiendra un laissez-passer. La première ronde opposera les 2e et 3e positions de la même division dans des affrontements 2 de 3.
Les Fondations B.A affrontent les Castors Côté Automobiles de Matane à l’Aréna Bertrand-Lepage de Trois-Pistoles. (Photo courtoisie Jean-Claude Pelletier)
Les demi-finales seront des séries 3 de 5, alors que la Ligue de l’Est souhaite que sa finale soit disputée dans un format 4 de 7.
Pour ce qui est de Desjardins, bien que le nom ne soit plus associé directement au nom de la ligue, la coopérative contribue en commanditant les différentes équipes dans chaque territoire.
Paul McCartney est assurément le créateur de chansons le plus populaire et le plus prolifique au monde! Dans ce livre prodigieux, il raconte, dans ses propres mots, des souvenirs personnels et des anecdotes autour de pas moins de 160 chansons qu’il a composées, sur une période de près de 70 ans. Tout un exploit!
Un vrai régal pour tous les maniaques de la discographie de l’ex-Beatles et de l’ex-Wings. En toute franchise et sans pudeur, le génial musicien explique ses sources d’inspiration, qu
Paul McCartney est assurément le créateur de chansons le plus populaire et le plus prolifique au monde! Dans ce livre prodigieux, il raconte, dans ses propres mots, des souvenirs personnels et des anecdotes autour de pas moins de 160 chansons qu’il a composées, sur une période de près de 70 ans. Tout un exploit!
Un vrai régal pour tous les maniaques de la discographie de l’ex-Beatles et de l’ex-Wings. En toute franchise et sans pudeur, le génial musicien explique ses sources d’inspiration, qui remontent parfois à son enfance à Liverpool.
Il cite les grandes influences de sa vie artistique. Ses relations humaines avec son entourage sont amplement racontées, tout comme les relations parfois turbulentes avec son célèbre partenaire John Lennon, pour qui il a toujours eu un grand respect.
Impossible, évidemment, de résumer ce gros bouquin. Contentons-nous de dévoiler quelques éléments sur la façon de travailler de McCartney. Qu’est-ce qui l’inspire ? Comment réussit-il à inventer des chansons, paroles et musique ?
La musique avant les paroles
Première surprise : McCartney affirme que 98 % de ses chansons naissent d’une idée musicale et non d’une idée de paroles. C’est par la suite qu’il écrit les couplets.
Ça lui prend trois à quatre heures pour écrire une chanson, d’un seul trait. Selon lui, ça n’aurait aucun sens de la finir plus tard. Il éprouve toujours un sentiment de vide avant la création d’une chanson. Et il travaille généralement assis.
On peut « apprendre à laisser les cadences, les rythmes, les rimes venir naturellement », dit-il, et c’est ainsi que les chansons s’imposent.
L’une des clés de sa créativité, considère-t-il, c’est qu’il se met facilement dans la peau de différentes personnes pour composer des histoires. Bref, il ne faut pas se contenter de regarder son propre nombril.
Pour les paroles, il est important d’offrir des images visuelles, de « se laisser aller à la fantaisie » et d’accepter que ça prenne des directions inattendues.
Il a toujours voulu rester positif dans ses chansons, avec un style direct et un langage compréhensible.
« J’aime les vérités simples », dit-il. Il arrive facilement à s’identifier à la vie de famille, aux enfants qui jouent dans la cour. Il aime parler à tout le monde. Une rencontre imprévue ou un détail accidentel peuvent inspirer une chanson.
Dès sa jeunesse, McCartney estime qu’il a eu la chance de se familiariser à toutes sortes de réalités sociales et culturelles, par la lecture, la peinture, la télévision ou la musique.
Paul McCartney, à l’époque des Beatles. (Photo Wikipédia)
En musique, par exemple, il avoue avoir été inspiré par le blues et le R&B (Chuck Berry, Little Richard). Il a aussi été attiré par la chanson française de l’époque, avec Piaf et Brel. Il reconnaît également la contribution de Bob Dylan et des Beach Boys.
Comme beaucoup d’habitants de Liverpool, McCartney est fier des origines irlandaises de sa famille. Il a l’impression que son aptitude à jouer avec les mots lui vient en partie de cette fibre ancestrale.
C’est d’ailleurs ce qu’il aime de la langue anglaise : « on peut interpréter les choses de différentes façons ».
Jouer sur les mots
Dans la chanson Penny Lane, par exemple, se trouve un joli calembour en anglais : l’infirmière qui vend sur la rue des coquelicots (puppies) s’est retrouvée pour certains auditeurs à vendre des chiots (poppies).
Ticket to Ride (un billet pour voyager) a fourni un amusant jeu de mots avec « Ticket to Ryde », une petite ville d’Angleterre où sa cousine tenait un pub.
Dans Too Many People, McCartney rigolait du morceau de gâteau (piece of cake) qui pouvait se transformer en vulgaire « Piss off cake ».
Dans She Loves You, il répète plusieurs fois « Yeah, yeah, yeah », une tournure de l’argot américain, alors que son père aurait souhaité qu’il s’exprime correctement, avec des « Yes, yes, yes ».
Pour la chanson Got to Get You Into My Life (Je dois te faire entrer dans ma vie), le compositeur avoue honnêtement qu’il était question de marijuana, substance que son groupe avait découvert en 1964. C’était impossible de le dire ouvertement dans les années 1960, si on voulait passer à la radio.
L’album Sergeant Pepper’s n’a pas du tout été conçu dans un esprit de nostalgie, mais bien dans un besoin de libération. Après la tournée démentielle de la Beatlemania en Amérique, McCartney n’avait pas envie de faire encore un autre album des Beatles, à la façon habituelle.
En 1966, il imagine mettre en place un nouveau groupe musical, avec un contexte très différent, pour se libérer de cette pression de la célébrité. L’orchestre des cœurs solitaires du sergent Pepper est né de ce besoin.
She’s Leaving Home (Elle quitte la maison) aurait été créée à partir d’un article de journal sur une étudiante qui avait disparu de la maison de ses parents.
Why Don’t We Do It in the Road (Pourquoi on ne fait pas ça sur la route ?) a été composée après que McCartney a vu deux singes copuler dans la nature en Inde! Ça semblait « si naturel », affirme-t-il.
L’archi-connue Yesterday (Hier) a bourgeonné avec un air qui s’est déclenché dans sa tête un bon matin. Il croyait qu’il fredonnait une chanson déjà connue et il a dû vérifier avec son entourage.
Les premiers mots qui sont venus pour cette chanson, c’était Scrambled Eggs (Œufs brouillés).
McCartney a aussi connu de virulentes critiques, surtout du temps de Wings, alors qu’il a pondu plusieurs ballades un peu trop sirupeuses. Il a répondu avec Silly Love Songs (Chansons d’amour débiles), affirmant que c’est l’amour qui rend la vie meilleure. Et que c’est trop facile d’être cynique.
C’est une dame qui enseignait le français qui a proposé à McCartney les quelques mots en français qui se retrouvent dans sa chanson Michèle.
Deux des chansons des Beatles, She Loves You et I Want to Hold Your Hand, ont même été enregistrées en version allemande.
À l’époque, pour sortir un disque en Allemagne, « il fallait que les paroles soient en allemand »! C’était avant que l’anglais ne devienne la tentaculaire langue internationale de la chanson populaire.
Paul McCartney, Paroles et souvenirs, de 1956 à aujourd’hui, (traduit en français), écrit dans le cadre de conversations entre Paul McCartney et Paul Muldoon, Buchet Chastel, 2024, 586 pages, 55 $.
Les Braves Batitech n’ont pas dit leur dernier mot. Ils ont comblé des déficits de 6-0 et 13-8, samedi soir, pour finalement l’emporter par 14-13 face au Bérubé GM de Trois-Pistoles qui mène maintenant la série finale par 3-2.
La formation des Basques s’était donné une priorité de 6-0 en milieu de 5e manche grâce notamment aux longues balles en solo d’Élie Belzile et Stéphane Pouliot.
Les Braves Batitech seront de retour à Trois-Pistoles mardi soir (Photo archives – Alain Tremblay)
M
Les Braves Batitech n’ont pas dit leur dernier mot. Ils ont comblé des déficits de 6-0 et 13-8, samedi soir, pour finalement l’emporter par 14-13 face au Bérubé GMde Trois-Pistoles qui mène maintenant la série finale par 3-2.
La formation des Basques s’était donné une priorité de 6-0 en milieu de 5e manche grâce notamment aux longues balles en solo d’Élie Belzile et Stéphane Pouliot.
Les Braves Batitech seront de retour à Trois-Pistoles mardi soir (Photo archives – Alain Tremblay)
Mais, les Braves ont tout de suite répliqué avec une poussée de huit points en fin de 5e, poussée couronnée par un double de deux points de Michaël Morin aux dépens du releveur Tristan Michaud-Thériault, appelé au monticule après avoir effectué 108 lancers la veille.
Ça n’a aucunement affecté les visiteurs qui ont utilisé leur arme favorite, les bâtons, pour croiser le marbre sept fois en début de 6e manche pour reprendre les devants 13-8. Mais, les Braves n’avaient pas dit leur dernier mot avec une poussée de cinq points pour faire 13-13 après six manches.
En fin de 7e, le simple de Samuel Pearson, avec les buts remplis et aucun retrait, a fait marquer Takuto Kanno qui avait ouvert la manche avec un simple aux dépens du perdant, Ludovic Saucier. C’est Étienne Bergeron qui est le lanceur gagnant dans cette partie ponctuée de sept erreurs.
Alexis Pelletier a frappé quatre coups sûrs pour porter sa moyenne à ,408 dans les présentes séries. (Photo archives – Alain Tremblay)
Le match no 6 sera présenté mardi soir à Trois-Pistoles. Le repos de quelques jours fera grand bien aux deux personnels de lanceurs qui sont visiblement à bout de ressources. Les Braves doivent notamment composer avec l’absence du Japonais Kodai Kambara, blessé en demi-finale.
Cette série a été ponctuée jusqu’ici de 86 points en cinq parties, dont 48 par Trois-Pistoles.
Une collision entre deux véhicules dans une zone de travaux a fait un mort, tard vendredi soir, à Maria, en Gaspésie.
Par La Presse Canadienne
L’intervention des services d’urgence a été demandée vers 23 h 30 sur le boulevard Perron, près de la rue des Engoulevents, sur le bord de l’eau.
« Selon les premières informations, un véhicule circulant en direction est sur le bouvard Perron serait entré en collision avec un véhicule qui était à l’arrêt devant un feu rouge, dans la même directio
Une collision entre deux véhicules dans une zone de travaux a fait un mort, tard vendredi soir, à Maria, en Gaspésie.
Par La Presse Canadienne
L’intervention des services d’urgence a été demandée vers 23 h 30 sur le boulevard Perron, près de la rue des Engoulevents, sur le bord de l’eau.
« Selon les premières informations, un véhicule circulant en direction est sur le bouvard Perron serait entré en collision avec un véhicule qui était à l’arrêt devant un feu rouge, dans la même direction », a expliqué Laurie Avoine, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ).
La victime est un résident de la réserve autochtone de Gesgapegiag. L’homme dans la vingtaine a succombé à ses blessures à l’hôpital.
L’autre conducteur, un homme dans la trentaine, a également été transporté à l’hôpital pour des blessures importantes, mais sa vie n’est pas menacée.
« Un policier formé en enquête collision s’est rendu sur place afin d’éclaircir les circonstances de l’évènement », a précisé Laurie Avoine.
Une étable de la Ferme Chantilly, située sur le rang 2 à L’Isle-Verte, a été complètement détruite par un incendie dans la nuit de vendredi à samedi. Seulement une trentaine d’animaux, sur un troupeau d’une centaine de bêtes, ont pu être sauvés.
L’appel d’urgence a été reçu peu après 22 h. À leur arrivée, les pompiers ont trouvé une partie du bâtiment déjà complètement embrasée.
Au total, 40 sapeurs de L’Isle-Verte, Trois-Pistoles, Saint-Paul-de-la-Croix, Saint-Éloi, Cacouna, Saint-Épiphan
Une étable de la Ferme Chantilly, située sur le rang 2 à L’Isle-Verte, a été complètement détruite par un incendie dans la nuit de vendredi à samedi. Seulement une trentaine d’animaux, sur un troupeau d’une centaine de bêtes, ont pu être sauvés.
L’appel d’urgence a été reçu peu après 22 h. À leur arrivée, les pompiers ont trouvé une partie du bâtiment déjà complètement embrasée.
Au total, 40 sapeurs de L’Isle-Verte, Trois-Pistoles, Saint-Paul-de-la-Croix, Saint-Éloi, Cacouna, Saint-Épiphane, Saint-Arsène, Saint-Antonin et Rivière-du-Loup ont été mobilisés pour combattre les flammes.
Personne n’a été blessé. La cause de l’incendie demeure inconnue.
Les Pionniers du Cégep de Rimouski en football ont connu un très fort match en offensive, mais ce ne fut pas suffisant dans un revers de 61-46, samedi après-midi à Jonquière.
Habilement dirigée par la recrue Roméo Michel, l’attaque des Pionniers y est allée d’une performance collective impressionnante de six touchés face à l’une des bonnes équipes de la Ligue collégiale.
Michel a notamment complété quatre passes de touché. « Il a connu un excellent départ et il a mérité de jouer le match
Les Pionniers du Cégep de Rimouski en football ont connu un très fort match en offensive, mais ce ne fut pas suffisant dans un revers de 61-46, samedi après-midi à Jonquière.
Habilement dirigée par la recrue Roméo Michel, l’attaque des Pionniers y est allée d’une performance collective impressionnante de six touchés face à l’une des bonnes équipes de la Ligue collégiale.
Michel a notamment complété quatre passes de touché. « Il a connu un excellent départ et il a mérité de jouer le match au complet. Plusieurs joueurs en attaque ont connu de très bons matchs. Notre jeu au sol a fonctionné et notre groupe de receveurs a bien fait », indique Louis-David Goulet.
L’offensive des Gaillards a été très efficace avec une production de 61 points. (tirée de la webdiffusion)
Léo Richard a inscrit deux touchés, les autres allant à Anthony Gagnon, Zachary Leblanc, Samuel Normand et Roméo Michel.
Plus difficile en défensive
Ce festival offensif a aussi très bien servi les Gaillards qui ont mal fait paraitre la défensive des visiteurs, notamment sur le jeu aérien.
Les Gaillards à la porte des buts des Pionniers. (tirée de la webdiffusion)
« Offensivement, on a joué un très bon match, mais ce fut beaucoup plus difficile défensivement. Les receveurs de l’autre côté nous ont fait beaucoup de mal. Ce fut moins évident pour nos demis défensifs », poursuit l’entraineur-chef.
Son équipe s’est à nouveau bien battue.
« Dans l’ensemble, c’est encore positif. On a rebondi malgré l’adversité. Avec trois minutes à jouer, c’était un match d’une possession. Mais, on a fait trop d’erreurs pour espérer l’emporter. Cette partie va nous permettre de corriger nos erreurs avant nos deux parties à la maison. »
Les Pionniers (1-2) ont été compétitifs dans leurs trois parties jusqu’ici, malgré le très petit nombre de vétérans dans l’alignement.
« C’est ce que j’ai dit aux gars après la partie. Nos trois premières parties ont démontré qu’on peut battre n’importe qui dans la ligue », a conclu Goulet dans son entretien d’après match avec Le Soir.
Les Pionniers seront de retour devant leurs partisans les deux prochains samedis. C’est le Collège Mérici qui sera le visiteur le samedi 20 septembre à 13 h.
Le gouvernement Legault a bien prévu le coup. Alors que sa cote de popularité est au plus bas, il profite du dévoilement du rapport Pelchat-Rousseau sur la laïcité au Québec afin de changer le mal de place et propose un projet de loi sur un enjeu controversé.
Pendant que le Québec vit un déficit historique, que ses infrastructures publiques sont en ruines, que le réseau collégial subit des compressions historiques et que l’opposition au nouveau régime forestier se poursuit, la Coalition aveni
Le gouvernement Legault a bien prévu le coup. Alors que sa cote de popularité est au plus bas, il profite du dévoilement du rapport Pelchat-Rousseau sur la laïcité au Québec afin de changer le mal de place et propose un projet de loi sur un enjeu controversé.
Pendant que le Québec vit un déficit historique, que ses infrastructures publiques sont en ruines, que le réseau collégial subit des compressions historiques et que l’opposition au nouveau régime forestier se poursuit, la Coalition avenir Québec (CAQ) annonce qu’elle lancera un projet de loi afin d’interdire… les prières de rue.
Quand notre bilan est peu reluisant, quoi de mieux que de faire un drame avec une situation anecdotique qui sème la division et la controverse ? Dans les coulisses politiques, c’est ce qu’on appelle faire du « wedge politics » ou, en français, la stratégie de la division.
Le premier ministre François Legault. (Photo courtoisie Émile Nadeau)
Les gouvernements ne se privent malheureusement pas de sortir un épouvantail du genre quand ça ne va pas bien.
Interdire ce qui est déjà interdit ?
Pour le coup, la CAQ frappe fort. J’oserais ajouter qu’elle gaspille notre temps, notre énergie et notre argent.
Alors que les prières de rue sont déjà légalement interdites au Québec par le Code de la sécurité routière (à moins de demander un permis), au fédéral par le Code criminel (qui élargit même cette question aux espaces publics) et que certaines réglementations municipales l’encadrent, je m’explique difficilement ce que le gouvernement souhaite contrôler de plus.Vous avez bien compris : c’est déjà régi par plusieurs lois.
Au sujet de la nécessité d’interdire les prières de rue, Christiane Pelchat, l’une des deux autrices du rapport sur la laïcité, explique qu’il n’y a pas d’enjeu à ce sujet. Venant d’une défenderesse du renforcement de la laïcité, cette intervention vient confirmer qu’on parle d’un problème qui n’en est pas un.
Histoire montée en épingle
Mais alors, quel est le problème qui nécessitait un tel projet de loi ? Ce n’est pas très compliqué. Il y a actuellement des manifestations fréquentes en soutien à la Palestine qui ont lieu à Montréal, tous les dimanches depuis deux ans. Évidemment, une diaspora importante de personnes arabo-musulmanes qui vivent dans la métropole prend part à ces manifestations.
Ce sont des prières qui ont lieu lors de ces rassemblements dont il est ici essentiellement question. Alors que la CAQ dit que la réalité des prières de rue prend de l’ampleur et que c’est pourquoi on doit s’y attaquer, le Parti québécois (PQ) va plus loin en affirmant que ces prières sont des gestes de provocation.
Soyons honnêtes ; il y a un contexte. Ce ne sont pas des démonstrations religieuses « anticatholiques », ce sont des moments de prières dans un contexte de rassemblement pour la paix en Palestine.
S’il y a des enjeux de sécurité qui doivent être adressés dans les manifestations, intervenons. Nous avons les moyens de le faire. Mais, chercher une cible pour faire peur à la population du Québec et nous faire croire que nous devons régler une urgence qui n’en est pas une, c’est bien bas.
Le PQ et la surenchère
Je ne peux pas m’empêcher de déplorer le choix du PQ de renchérir en proposant un référendum sur la question auprès de ses membres. Après avoir dit qu’il n’était pas tenu de respecter les résultats d’un tel exercice, Paul St-Pierre-Plamondon explique qu’il trouve important d’avoir des méthodes de consultation démocratiques avec la base militante.
Paul St-Pierre Plamondon (Photo Wikipédia)
Je suis loin d’être contre l’idée, mais c’est difficile de croire qu’il est nécessaire, pour le PQ, de procéder à cet exercice, alors que son discours sur la question semble bien clair.
Plusieurs de ses élus l’ont d’ailleurs exprimé dans les médias : ils aideront la CAQ à aller de l’avant et ils auraient souhaité que le gouvernement intervienne plus tôt sur cette question. Que reste-t-il à décider ?
Pour construire une réelle majorité indépendantiste, nous devrons vivre ensemble, reconnaître notre métissage et choisir la solidarité. Nous devrons nous ancrer dans les luttes sociales qui touchent la population québécoise. Se rabattre sur des boucs émissaires pour susciter la haine et la crainte ne nous aidera en rien. Peut-on élever le débat, s.v.p. ?
Le Kamouraska accueille ces jours-ci un événement d'art performance, qui propose la rencontre entre le public et les artistes émergents invités. Le rendez-vous inclut des résidences de création, des médiations culturelles et des performances.
Le Kamouraska accueille ces jours-ci un événement d'art performance, qui propose la rencontre entre le public et les artistes émergents invités. Le rendez-vous inclut des résidences de création, des médiations culturelles et des performances.
Après avoir remporté une victoire 44-29 à Thetford, le 6 septembre dernier, les Pionniers de Rimouski rendent visite aux Gaillards de Jonquière dans la Ligue de football collégial division 3 du Québec.
Tout au long de la saison, vous pouvez suivre toutes les rencontres des Pionniers sur le site du Soir.ca.
Après l’affrontement, René Alary vous proposera son résumé de l’action, dans nos pages, avec les commentaires de l’entraîneur-chef Louis-David Goulet.
Pour visionner l’affrontement en
Après avoir remporté une victoire 44-29 à Thetford, le 6 septembre dernier, les Pionniers de Rimouski rendent visite aux Gaillards de Jonquière dans la Ligue de football collégial division 3 du Québec.
D’autres consultations devront avoir lieu avant de décider du sort de la réforme controversée du régime forestier du gouvernement Legault.
Par Patrice Bergeron, La Presse Canadienne
C’est ce qu’a laissé entendre le nouveau ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Jean-François Simard.
Il a succédé mercredi à Maïté Blanchette Vézina, qui était empêtrée avec ce controversé projet de loi 97 sur la foresterie et qui a été éjectée du cabinet.
Maïté Blanchette Vézina (Photo Jacque
Lors de la chaleur du mois d’août, Stéphane Monette était au frais en Alaska, reconnu notamment pour ses orignaux géants et ses cinq espèces de saumons, dont le sockey.
L’animateur et chroniqueur chasse et pêche est bien connu pour sa Ferme Monette, une entreprise familiale spécialisée en recherche et fabrication de produits attractifs pour grands gibiers.
En Alaska, ses découvertes ont porté sur les paysages, les hautes montagnes, les forêts, des glaciers, et sa faune cynégétiq
Lors de la chaleur du mois d’août, Stéphane Monette était au frais en Alaska, reconnu notamment pour ses orignaux géants et ses cinq espèces de saumons, dont le sockey.
L’animateur et chroniqueur chasse et pêche est bien connu pour sa Ferme Monette, une entreprise familiale spécialisée en recherche et fabrication de produits attractifs pour grands gibiers.
En Alaska, ses découvertes ont porté sur les paysages, les hautes montagnes, les forêts, des glaciers, et sa faune cynégétique et halieutique.
Pour la première émission de la 12e saison de « Rendez-Vous Nature », radiodiffusée depuis le 12 septembre, Steph raconte son aventure, encore impressionné par les beautés intrinsèques de cet immense état de 1 700 000 km2, trois fois plus grand que la France.
Un pays reconnu pour la présence d’orignaux géants, d’ours parmi les plus gros du Canada et des États-Unis et ses nombreuses espèces de poissons.
« L’agence Accès Croisières développe un nouveau concept de croisière en Alaska. On a fait appel à moi comme un gars de terrain. Je suis partie à la découverte de cet état américain, avec un regard différent, des endroits où les touristes ne vont pas », relate Steph.
Les paysages uniques, les hautes montagnes, les forêts, les glaciers, tout impressionne en Alaska. (Photo courtoisie)
La rivière Kinai compte habituellement 2,5 millions de saumons. Ils étaient le double. « En 24 heures, les prises quotidiennes sont passées de trois à six saumons.
Un » mauvais « pêcheur pouvait capturer ses six saumons en une demi-heure. Un pêcheur qui avait ferré un sockey m’a laissé sa canne quelques minutes. Incroyable ».
Orignal charpenté
Anchorage est la plus grande ville d’Alaska avec ses 290 000 de population. Les orignaux sont omniprésents. « On compte de 800 à 1 500 orignaux dans les rues.
Un matin, on a compté 12 » géants « en 30 minutes. Tu fais le saut devant le plus grand cervidé au monde. Sa charpente est énorme. Un orignal d’un an et demi en Alaska, c’est la taille d’un orignal adulte au Québec ».
Stéphane Monette en compagnie de sa conjointe, Caroline. (Photo courtoisie)
Au-delà de la faune, Steph a aussi été impressionné par les immenses glaciers, et des « trails dans la roche » de la ruée vers l’or.
« La personne qui veut voir des paysages, une faune sauvage, c’est l’Alaska. Et l’été est court. J’ai dit à ma conjointe Caroline de troquer son maillot de bain pour une doudoune d’hiver. Rendue sur place, elle a vraiment apprécié son voyage. Toute une expérience ».
De retour en 2026
Stéphane est déjà à élaborer son retour en Alaska à l’été 2026. « Avec des amis et des gens qui voudraient se joindre à nous. Je peux les renseigner en m’écrivant à steph.onjase@fermemonette.com.
D’ici là, Steph prépare sa chasse de l’orignal. À » Rendez-Vous Nature », il parle de l’évolution de ses récentes trouvailles et leurs effets attractifs qui favorisent l’achalandage des orignaux aux salines.
« Il n’est jamais trop tard, mais là, c’est le temps de se préparer ». Stéphane Monette manifeste beaucoup d’inquiétudes sur le prochain Plan de gestion de l’orignal en 2026.
Pour entendre son entrevue réalisée dans le cadre de l’émission « Rendez-Vous Nature », cliquez sur le lien ci-haut.
Parmi les treize recrues dans l’alignement 2025-2026 de l’Océanic, une d’entre elles, Alex Massé est un Rimouskois. À 17 ans, il va tenter de faire sa place en contribuant à la reconstruction de l’équipe.
Le hockey est synonyme de hockey chez les Massé. Alex poursuit la tradition.
Son grand-père, Jacques, a été l’un des joueurs des belles années des Feuilles d’Érable dans les ligues régionales et interrives avec la Côte-Nord, son père Luc a dominé dans le hockey mineur local avant d’évolu
Parmi les treize recrues dans l’alignement 2025-2026 de l’Océanic, une d’entre elles, Alex Massé est un Rimouskois. À 17 ans, il va tenter de faire sa place en contribuant à la reconstruction de l’équipe.
Son grand-père, Jacques, a été l’un des joueurs des belles années des Feuilles d’Érable dans les ligues régionales et interrives avec la Côte-Nord, son père Luc a dominé dans le hockey mineur local avant d’évoluer avec les Lynx de Saint-Jean, dans la LHJMQ.
Son frère Maxim amorcera sa quatrième saison avec les Saguenéens de Chicoutimi. Il a été un choix de 3e ronde des Ducks d’Anaheim, de la LNH, en juin 2024.
« Depuis que je suis jeune, mon frère et moi, on avait une patinoire à la maison que mon père faisait. Mon frère et moi, on s’entraine fort et on pratique. J’ai vu aller Maxim, ça m’a permis d’apprendre comment faire pour se rendre à son niveau, où il est rendu », raconte-t-il dans un entretien avec Le Soir.
Alex a principalement fait son parcours dans le réseau scolaire avant de se joindre aux Albatros de Rivière-du-Loup. L’an dernier, sa contribution offensive dans le M18 AAA a été significative avec un dossier de 14-24-38 en 47 parties de saison et séries.
Alex Massé dans l’uniforme des Albatros M18 AAA du Collège Notre-Dame, à Rivière-du-Loup. (Photo courtoisie)
Sa place est maintenant avec l’Océanic. « Je pense avoir connu un très bon camp. Ça va bien. J’ai été bien intégré. Junior, c’est un processus. Quand tu commences, à moins d’être un exceptionnel, il faut que tu te crées des opportunités en travaillant fort dans les pratiques pour essayer d’être habillé le plus de matchs possibles », poursuit l’attaquant gaucher de 5 pieds 10 pouces et 168 livres.
On dit de lui qu’il est un joueur avec du caractère.
« Je suis capable de jouer dans les deux sens de la patinoire. J’ai un bon lancer et un bon sens du jeu (QI hockey) », se définit-il.
Mature pour son âge
Joël Perrault apprécie l’attitude de son numéro 18 qui en est à un deuxième camp d’entrainement après avoir été un choix de 11e ronde au repêchage de juin 2024.
Joël Perrault (Photo Le Soir.ca- René Alary)
« J’adore Alex. Il est le genre de joueur qui fait bien tout ce qu’il a à faire. Il vient à l’aréna, il travaille fort. Il veut s’améliorer et pose de bonnes questions. Il possède un excellent lancer et peut marquer des buts. Il est très mature pour son âge, ça parait dans la façon qu’il joue et se comporte. Nos partisans vont apprendre à l’apprécier très rapidement. J’ai beaucoup aimé son camp d’entrainement », mentionne l’entraineur-chef.
Une première le 27 septembre ?
En raison de la différence d’âge de deux ans, les deux frères Massé n’ont jamais joué l’un contre l’autre dans des ligues organisées. Ça ne devrait pas trop attendre, car les Saguenéens seront les visiteurs à Rimouski les 27 et 28 septembre.
« Ça va être super le fun. Il va y avoir beaucoup de tension, j’ai vraiment hâte », mentionne Alex.
Alex Massé en compagnie de grand frère, Maxim, membre des Saguenéens de Chicoutimi, en juin 2024. (Photo Le Soir.ca archives – René Alary)
Par contre, il n’est pas certain que Maxim soit de retour de son camp avec les Ducks qui est en cours. Ce ne serait alors que partie remise. Sags et Océanic ont huit parties à jouer, un contre l’autre en saison régulière.
Pour sa 16e semaine d’activités en 2025, le Marché public de Rimouski accueillera 31 exposants, ce samedi 13 septembre, de 10h à 14h, au parc de la Gare.
Voici les exposants présents :
Manger Saison
Estran
Pommes de terre Bérubé
ViV-Herbes – Herboristerie
Le Broutard des Appalaches
Domaine Vallier Robert – Domaine Acer
Pâtisserie La Rose Des Sables de Rimouski
Ferme du Vert Mouton
La Sage Camomille
Le Champ Libre
Ferme Pastel
Les Fumoirs J-P
Le Château
Pour sa 16e semaine d’activités en 2025, le Marché public de Rimouski accueillera 31 exposants, ce samedi 13 septembre, de 10h à 14h, au parc de la Gare.
Le Marché public de Rimouski vous invite à une journée festive et savoureuse avec la fameuse épluchette de blé d’inde généreusement offerte, dès 11h, par la Caisse Desjardins de Rimouski.
Le café du marché sera tenu avec soin par l’équipe de Cinéma 4, qui fait bien rayonner la culture à Rimouski. Venez les rencontrer dans une ambiance chaleureuse avec un épi et une tasse à la main!
Le Bérubé GM de Trois-Pistoles n’est plus qu’à une victoire d’un autre championnat à la suite de sa victoire de 11-2, vendredi soir, face aux Braves Batitech du Témiscouata.
La formation des Basques mène la série 3-1 et pourrait en finir samedi soir au parc des Braves.
L’appel de l’arbitre au marbre sur le jeu impliquant Dany Paradis-Giroux. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
C’était 1-0 pour les visiteurs en milieu de troisième manche quand le Bérubé GM y est allé d’une poussée de six poi
Le Bérubé GMde Trois-Pistoles n’est plus qu’à une victoire d’un autre championnat à la suite de sa victoire de 11-2, vendredi soir, face aux Braves Batitech du Témiscouata.
La formation des Basques mène la série 3-1 et pourrait en finir samedi soir au parc des Braves.
L’appel de l’arbitre au marbre sur le jeu impliquant Dany Paradis-Giroux. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
C’était 1-0 pour les visiteurs en milieu de troisième manche quand le Bérubé GM y est allé d’une poussée de six points, dont trois sur un circuit de Stéphane Pouliot, un 4e pour lui dans les présentes séries. Élie Belzile a lui aussi une longue balle dans la rencontre.
Stéphane Pouliot est accueilli après avoir frappé son circuit (Photo : Jean-Claude Pelletier)
Pour les Braves, Anthony Pelletier a frappé un coup de circuit,
La victoire va au dossier de Tristan Michaud-Thériault qui a lancé les six dernières manches avec brio (un seul point accordé) après avoir relevé Pouliot qui a dû quitter le monticule en raison d’une blessure à l’épaule.
Après la rencontre, Hugo Chamberland a confirmé que Dany Paradis-Giroux (3-0 en séries) sera son lanceur partant pour le match de samedi. De l’autre côté, Thomas Morin utilisera le vétéran Anthony Fournier.
Xavier McNicoll Belzile a été crédité d’un simple après avoir déposé un amorti de qualité. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
Une famille de l’Estrie s’est donné l’ambitieux défi d’offrir une nouvelle vie à l’ancien magasin général de Saint-Simon-de-Rimouski, au Bas-Saint-Laurent, un bâtiment construit autour de 1890. Lentement, mais sûrement, elle rénove les trois étages avec l’intention d’y ouvrir un commerce qui promet de devenir un lieu de rencontre et d’échange pour les citoyens.
Une famille de l’Estrie s’est donné l’ambitieux défi d’offrir une nouvelle vie à l’ancien magasin général de Saint-Simon-de-Rimouski, au Bas-Saint-Laurent, un bâtiment construit autour de 1890. Lentement, mais sûrement, elle rénove les trois étages avec l’intention d’y ouvrir un commerce qui promet de devenir un lieu de rencontre et d’échange pour les citoyens.
Le Kamouraska accueille ces jours-ci un événement d'art performance, qui propose la rencontre entre le public et les artistes émergents invités. Le rendez-vous inclut des résidences de création, des médiations culturelles et des performances.
Le Kamouraska accueille ces jours-ci un événement d'art performance, qui propose la rencontre entre le public et les artistes émergents invités. Le rendez-vous inclut des résidences de création, des médiations culturelles et des performances.
Les centres de services scolaires de la région sont contraints de suspendre le transport scolaire de certains circuits vendredi, alors que des autobus de l'entreprise Lion électrique ont été mis à l'arrêt.
Les centres de services scolaires de la région sont contraints de suspendre le transport scolaire de certains circuits vendredi, alors que des autobus de l'entreprise Lion électrique ont été mis à l'arrêt.
Pour ouvrir sa saison, Paraloeil cinéma et centre de production de Rimouski a, le mardi 2 septembre, accueilli Annie St-Pierre. La réalisatrice originaire de Rivière-du-Loup est venue présenter son plus récent documentaire intitulé Le plein potentiel. Cette œuvre propose une incursion dans l’univers de la croissance personnelle, véritable reflet de notre époque « métanarcissique ».
Sous un ton plutôt incisif, le documentaire aborde les thèmes de la croissance personnelle et de l’hyperindividu
Pour ouvrir sa saison, Paraloeil cinéma et centre de production de Rimouski a, le mardi 2 septembre, accueilli Annie St-Pierre. La réalisatrice originaire de Rivière-du-Loup est venue présenter son plus récent documentaire intitulé Le plein potentiel. Cette œuvre propose une incursion dans l’univers de la croissance personnelle, véritable reflet de notre époque « métanarcissique ».
Sous un ton plutôt incisif, le documentaire aborde les thèmes de la croissance personnelle et de l’hyperindividualisme de notre société. Sans tomber dans le voyeurisme, Le plein potentiel offre une réflexion philosophique et sociologique sur les maux de notre époque.
Un regard sans jugement
« Je voulais voir, dans le coaching, ce que cette industrie révèle de nous comme société », a expliqué la cinéaste lors d’une causerie qui a suivi la projection de son film et qui était animée par le responsable de la programmation et de la diffusion de Paraloeil, Jean-Philippe Catellier.
Développée avec le directeur de la photographie, Étienne Roussy, sa démarche documentaire mise sur la transparence. « On a été très transparent dans l’approche, souligne Annie St-Pierre. Les gens nous ont accueillis et c’est ce que ça a donné. »
Pour réaliser ce long métrage, la cinéaste a filmé 25 séances de coaching, dont 15 ont été retenues au montage final. Sa rigueur éthique l’a menée à offrir un droit de regard aux participants. « Après chaque tournage, j’ai vérifié auprès de chaque personne coachée s’il y avait des moments qu’elle aimerait garder pour elle. Il n’y en a pas eu. »
Entre réalité et fiction
La réalisatrice assume pleinement sa démarche artistique qui brouille les frontières. « J’aime jouer entre le réel et la fiction. Pour moi, une fiction qui ressemble à du documentaire, c’est super. Puis, un documentaire qui ressemble à de la fiction, c’est tout aussi intéressant. »
Cette stratégie lui permet d’explorer les questions de perception, qui lui apparaissent centrales dans l’univers du coaching.
Hyperindividualisme
Au-delà du coaching lui-même, c’est un certain égocentrisme de notre société qu’Annie St-Pierre interroge. « Ce qui m’intéresse est l’hyperindividualisme que le coaching reflète et à quel point notre cerveau a complètement été conditionné par le néolibéralisme. » Elle met en lumière une « société d’auto-optimisation qui ne s’arrête jamais », où « on veut toujours être meilleur ».
Par ailleurs, la cinéaste identifie un paradoxe contemporain. « Dans une société hyperindividualiste, où tout le monde pense seulement à soi, les gens se demandent qui ils sont. Plus personne ne se regarde. » Or, selon elle, le besoin réel n’est pas la performance promise par l’industrie, mais la validation et le fait « d’être vu ».
Un film qui dérange
Le plein potentiel assume son inconfort. « Je sais que c’est un film qui joue beaucoup sur le malaise, confirme l’artiste. Ce n’est pas une émotion confortable, mais c’est une émotion qui nous force à réfléchir. » Ce processus reflète la philosophie d’Annie St-Pierre, qui privilégie le doute et la curiosité au pamphlet.
Selon elle, la réception du film révèle « beaucoup sur la façon dont on est à l’aise à recevoir la vulnérabilité de l’autre ». Par ailleurs, elle a invité tous les coachs filmés à la première montréalaise et la majorité s’est déplacée.
Le plein potentiel plonge dans l’univers de l’industrie du coaching. (Photo courtoisie)
Annie St-Pierre pointe les dangers de l’industrie. « Ce qui est dangereux, c’est ce qu’on vend et promet, non pas nécessairement ce qu’on fait. » Elle déplore les promesses irréalistes de transformation rapide qui alimentent une responsabilisation excessive des individus.
« De croire que tout est possible crée une responsabilité immense et ça amplifie le nombre de dépressions », estime-t-elle. Elle souligne, au passage, que cette tendance se retrouve même « en allant le plus loin géographiquement, culturellement et linguistiquement de nous, comme le Japon ».
Vers la fiction
Après cinq années consacrées à ce projet documentaire, un laps de temps qu’elle juge « trop long », Annie St-Pierre se tourne désormais vers la fiction. Elle travaille actuellement sur un film avec Florence Longpré et adapte la pièce Manipuler avec soin de Carolanne Foucher, qu’elle décrit comme un « soft » science-fiction. Les deux projets seront produits par Max Films de Montréal.
La Sûreté du Québec demande l’aide du public afin de retrouver Jessy Corbin, 15 ans et Arianne Gallant-Sicotte, 14 ans, toutes deux de Rimouski.
Elles ont été vues pour la dernière fois le 10 septembre vers 18 h dans le secteur de la rue Ross à Rimouski. Leurs proches ont des raisons de craindre pour leur santé et leur sécurité.
Description de Jessy
Taille : 1, 65 m (5 pi 5 po)
Poids : 52 kg (115 lb)
Cheveux : blonds
Yeux : verts
Au moment de sa disparition, elle portait un
La Sûreté du Québec demande l’aide du public afin de retrouver Jessy Corbin, 15 ans et Arianne Gallant-Sicotte, 14 ans, toutes deux de Rimouski.
Elles ont été vues pour la dernière fois le 10 septembre vers 18 h dans le secteur de la rue Ross à Rimouski. Leurs proches ont des raisons de craindre pour leur santé et leur sécurité.
Description de Jessy
Taille : 1, 65 m (5 pi 5 po)
Poids : 52 kg (115 lb)
Cheveux : blonds
Yeux : verts
Au moment de sa disparition, elle portait un pantalon beige et un coton ouaté rose. Elle a deux piercings au nez.
Description d’Arianne Gallant-Sicotte
Taille : 1, 50 m (4 pi 9 po)
Poids : 45 kg (99 lb)
Cheveux : Noir
Yeux : Brun
Au moment de sa disparition, elle portait un jeans gris, un coton ouaté gris et une tuque vert forêt. Elle a un piercing au nez.
Toute personne qui apercevrait Jessy Corbin ou Arianne Gallant-Sicotte est priée de communiquer avec le 911.
De plus, toute information pouvant permettre de retrouver celle-ci peut être communiquée, confidentiellement, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.
Après une saison régulière exceptionnelle dans la Ligue de baseball Puribec, le Shaker de Rimouski a connu des séries difficiles en s’inclinant en demi-finale contre le Bérubé GM de Trois-Pistoles. L’équipe prépare déjà sa saison 2026.
Le Shaker a terminé au premier rang de la saison régulière. Une première depuis 2017 pour l’équipe rimouskoise qui comptait bien se reprendre après s’être incliné en finale des séries lors des deux dernières saisons.
« Défensivement, je crois que nous avons
Le Shaker a terminé au premier rang de la saison régulière. Une première depuis 2017 pour l’équipe rimouskoise qui comptait bien se reprendre après s’être incliné en finale des séries lors des deux dernières saisons.
« Défensivement, je crois que nous avons été de loin la meilleure équipe de la ligue. Nous avons été impeccables. Au niveau offensif, nous avons quand même bien fait, mais c’est notre côté défensif qui nous a permis de finir premiers. Les joueurs se sont présentés avec une mentalité de gagnants pendant la saison », affirme le joueur et gérant du Shaker, Jean-Philippe Marcoux-Tortillet.
Le Shaker de Rimouski en action. (Photo courtoisie Alain Tremblay)
En séries éliminatoires, c’est l’inverse qui s’est produit, alors que le Shaker a multiplié les erreurs couteuses.
« Nous avons ouvert des portes à l’autre équipe. Notre force en saison s’est tournée en côté défavorable en séries. Nous sommes peut-être arrivés avec une trop grande confiance d’affronter la dernière équipe au classement général. Nous aurions dû bien jouer comme en saison, mais nous sommes écroulés. »
L’équipe compte tirer des leçons de cette fin de saison décevante. Elle se tourne déjà vers l’été prochain.
« On bâtit là-dessus. On ne peut pas s’apitoyer sur notre sort et se dire qu’on aurait dû. C’est fait et on pense déjà à 2026. Nous sommes en train de regarder pour nos joueurs importés et pour nous assurer de nous améliorer avec nos petits points faibles. »
« Notre receveur partait cette année. Nous nous sommes donc tournés vers Mathew et nous n’avons vraiment pas été déçus. Il a probablement été le gars qui nous a le plus tiré vers le haut, même en séries. Il a transformé notre équipe défensivement. Les autres équipes redoutaient le bras de Ramos », exprime le joueur et entraîneur-chef.
Le receveur du Shaker, Mathew Ramos (Photo courtoisie Alain Tremblay)
Les deux mêmes joueurs importés devraient être de retour avec l’équipe l’an prochain.
En réflexion
Jean-Philippe Marcoux-Tortillet est en réflexion à savoir s’il reviendra pour une troisième saison avec un double mandat ou s’il sera uniquement joueur ou entraîneur.
« L’intérêt est là et j’adore ça, mais c’est une tâche assez difficile de coacher des amis et des gars avec qui j’ai tissé des liens. Ce n’est pas toujours facile de devoir prendre des décisions. Par contre, ça permet aux autres joueurs de davantage s’impliquer dans les décisions et de garder un excellent esprit d’équipe. »
La série finale de la Ligue de baseball Puribec est en cours entre Trois-Pistoles et Témiscouata.