Rivière-du-Loup assouplit son règlement sur les patinoires
Les patinoires temporaires de moins de 300 mètres carrés seront temporairement permises en façade des maisons.

Les patinoires temporaires de moins de 300 mètres carrés seront temporairement permises en façade des maisons.


Les représentations sur sentence d’Alcide Fournier, 80 ans, de Rimouski, qui a plaidé coupable à des accusations en matière de pornographie juvénile, sont reportées au 27 avril 2026 puisque l’avocat de l’accusé, Me Hugo Caissy, est toujours en attente du rapport du Dr Sylvain Faucher, qui doit statuer sur l’aptitude à comparaître où non de l’accusé.
« Le Dr Faucher a mentionné son rapport ne serait pas prêt avant mars », a indiqué Me Caissy, ce lundi matin, au palais de justice de Rimouski.
Il s’agit d’une contre-expertise demandée par la défense à la suite d’une première évaluation, qui a conclu à l’aptitude à comparaître de l’accusé.
L’accusé a de la difficulté à répondre aux questions pour la confection des rapports sexologique et présentenciel ordonné par le regretté juge Jules Berthelot.
« Monsieur Fournier n’est pas capable de répondre aux questions, même sur son adresse courriel », a mentionné son avocat.
Alcide Fournier a été arrêté le 15 mars 2023 par la Sûreté du Québec en lien avec de la pornographie juvénile.
Il a comparu le jour même au palais de justice de Rimouski sous divers chefs d’accusation, tels que d’avoir accédé, d’avoir possédé et d’avoir distribué de la pornographie juvénile. Le ministère public ne s’est pas objecté à sa remise en liberté. Il n’a donc jamais été détenu.
« Les policiers ont réalisé une perquisition au domicile du suspect et du matériel informatique a été saisi pour analyse », précise la SQ.


En réponse aux nombreux accidents sur la route 132 dans le secteur de Saint-Fabien, le ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) du Québec annonce la mise en place de haies brise-vent ou de clôtures pare-neige à l’est et à l’ouest de la municipalité.
Lettre ouverte du Comité en faveur de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski (Le Bic)
Le comité de citoyens pour le prolongement de l’autoroute 20, bien qu’il souligne que la mesure, particulièrement dans la partie ouest du tronçon, pourrait avoir des impacts bénéfiques, souhaite rappeler au MTMD que les enjeux de sécurité majeurs le long de la 132 entre Trois-Pistoles et Rimouski ne sauraient être adressés avec des clôtures à neige.
Selon les chiffres du MTMD, sur la portion de route à l’est de Saint-Fabien, 32 accidents ont été recensés entre 2018 et 2022, dont 18 en hiver.
Ces statistiques révèlent que les accidents sont presque aussi fréquents en période estivale qu’en période hivernale. Le problème de sécurité, à la face même des données du MTMD, n’apparaît pas être saisonnier et ne peut donc être adressé par l’installation de clôtures à neige.
Le comité tient à rappeler que les enjeux de sécurité de la 132 entre Trois-Pistoles et Rimouski sont pourtant connus bien documentés:
Plutôt que de détourner l’attention avec des clôtures à neige, le comité de citoyens demande au
MTQ d’adresser les causes profondes de la sécurité sur la 132 et de faire avancer le dossier de la
finalisation de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski.
Il est urgent de reprendre les études, particulièrement pour la partie la moins avancée : Rimouski (Bic) – Trois-Pistoles.
Cette infrastructure est la seule qui assurerait une véritable sécurité pour les citoyens et les usagers.


En réponse aux nombreux accidents sur la route 132 dans le secteur de Saint-Fabien, le ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) annonce la mise en place de haies brise-vent ou de clôtures pare-neige à l’est et à l’ouest de la municipalité.
Lettre ouverte du Comité en faveur de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski (Le Bic)
Le comité de citoyens pour le prolongement de l’autoroute 20, bien qu’il souligne que la mesure, particulièrement dans la partie ouest du tronçon, pourrait avoir des impacts bénéfiques, souhaite rappeler au MTMD que les enjeux de sécurité majeurs le long de la 132 entre Trois-Pistoles et Rimouski ne sauraient être adressés avec des clôtures à neige.
Selon les chiffres du MTMD, sur la portion de route à l’est de Saint-Fabien, 32 accidents ont été recensés entre 2018 et 2022, dont 18 en hiver.
Ces statistiques révèlent que les accidents sont presque aussi fréquents en période estivale qu’en période hivernale. Le problème de sécurité, à la face même des données du MTMD, n’apparaît pas être saisonnier et ne peut donc être adressé par l’installation de clôtures à neige.
Le comité tient à rappeler que les enjeux de sécurité de la 132 entre Trois-Pistoles et Rimouski sont pourtant connus bien documentés:
Plutôt que de détourner l’attention avec des clôtures à neige, le comité de citoyens demande au
MTQ d’adresser les causes profondes de la sécurité sur la 132 et de faire avancer le dossier de la
finalisation de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski.
Il est urgent de reprendre les études, particulièrement pour la partie la moins avancée : Rimouski (Bic) – Trois-Pistoles.
Cette infrastructure est la seule qui assurerait une véritable sécurité pour les citoyens et les usagers.
Le gouvernement du Québec confie à l’Université du Québec (UQ) en 1968 un triple mandat : augmenter le niveau de formation de la population par une accessibilité accrue à l’université, assurer l’essor scientifique du Québec et contribuer au développement de ses régions. Le troisième volet de ce mandat, le développement des régions, constitue encore aujourd’hui un aspect central de sa mission.
Détour conceptuel
Le concept de « territoire » renvoie à une partie délimitée de la surface terrestre qui présente une unité. Un glissement conceptuel est néanmoins opéré depuis le territoire comme référent géographique vers le territoire en tant que lieu de pratiques collectives1. Il s’agit là d’une perspective culturaliste où le territoire est d’abord considéré d’un point de vue social plutôt que géographique.
Le concept de « région » fait référence à la portion d’un territoire délimité par ses caractéristiques physiques ou humaines. Les territoires dits « vécus » sont définis par les pratiques des populations alors que les territoires « aliénés » relèvent de critères administratifs2. Le Québec est découpé en 17 régions administratives. Au fil du temps, ces territoires aliénés deviennent des territoires vécus.
Les territoires de l’UQAR
Le territoire « naturel » de l’UQAR est constitué des régions du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches, de la Gaspésie – Îles-de-la-Madeleine et du secteur ouest de la Côte-Nord. Sa superficie est équivalente à celle de l’Islande.
L’UQAR est ainsi présente dans l’est du Québec avec un campus à Rimouski et un autre à Lévis, et des antennes à Baie-Comeau et en Gaspésie – Îles-de-la-Madeleine. Elle accueille près de 6 900 étudiants et étudiantes dans 170 programmes. Les recherches réalisées par ses quelque 235 professeurs sont souvent caractérisées par leur structuration autour d’axes d’excellence.
Éléments de contexte
Voici d’abord quelques données statistiques.
Sur le plan de l’accessibilité sociale, la proximité des personnes avec leur université favorise la conciliation études-travail-famille, selon l’argumentaire utilisé par l’UQAR à la suite d’enquêtes auprès de sa population étudiante.
Une des dimensions de l’accessibilité sociale concerne les étudiants de première génération (EPG) appartenant à des familles à faible capital scolaire. À l’Université du Québec, c’est le cas d’environ 50 % d’entre eux. L’UQAR est une des universités en Amérique du Nord qui accueille le plus d’EPG, soit 64 % de sa population étudiante, selon les statistiques qu’elle collige. De plus, près de 80 % des personnes diplômées demeurent dans la région où elles ont fait leurs études.
Nouvelles approches : formation et recherche
Au moment de la création de l’UQAR en 1968, l’offre des programmes de premier cycle est marquée par des pratiques universitaires conditionnées par le découpage disciplinaire des savoirs.
Dès les années 1970, la nécessité de développer la programmation aux cycles supérieurs s’impose afin de soutenir la mission de recherche de l’UQAR, mais surtout pour que celle-ci s’affirme comme université à part entière.
Comme les universités déjà existantes ne souhaitaient pas que l’UQ déploie ses programmes à tous les cycles et dans toutes les disciplines, l’UQAR s’investira dans des domaines qui se distinguent de la logique disciplinaire en privilégiant la multidisciplinarité et l’approche « objet » fondée sur la résolution de problèmes. « L’université met d’emblée délibérément l’accent sur la recherche pratique, ce qui la conduit à expérimenter plus précocement que les autres les enjeux bien contemporains que sont les liens entre recherche universitaire et milieux industriels, les rapports entre liberté critique et commandites3. »
Une telle « contextualisation » de la recherche s’accompagne d’une « professionnalisation » de la formation, en ce sens que celle-ci sera davantage orientée vers les compétences utiles en situation d’emploi. Ce mouvement se renforce à compter des années 1990 grâce à la planification institutionnelle, qui se traduit dans des plans stratégiques assortis d’indicateurs de suivis.
Aujourd’hui, l’UQAR mise sur quelques axes d’excellence :
Formation
Le concept de formation, plus générique que celui d’enseignement, repose sur le paradigme de l’apprentissage, qui, lui, remplace graduellement celui de l’enseignement. De fait, l’enseignement universitaire dans sa forme traditionnelle tend, de nos jours, à devenir désuet, une situation que la crise sanitaire a accélérée. On constate maintenant un mouvement de délocalisation de la formation universitaire avec une offre hors campus ou sous d’autres formes que le mode présentiel. C’est là un enjeu existentiel quant à cette première mission d’une université. Et pour l’UQAR, cet enjeu sous-tend plusieurs défis étant donné la volonté de proximité.
Recherche
À l’UQAR, la dimension collective de la recherche est promue, ce qui se traduit par différentes formes de regroupements. Au moins deux personnes peuvent former une équipe de recherche, qui ne dispose toutefois pas d’une reconnaissance institutionnelle. Le groupe de recherche est un collectif ayant atteint un stade de développement plus avancé : il réunit une dizaine de personnes et est soutenu par l’UQAR et des organismes externes. La chaire de recherche est organisée autour d’un professeur de réputation et soutenue par un organisme externe. Enfin, plusieurs équipes, groupes ou chaires de recherche peuvent se constituer en réseau de recherche.
Un portrait de la situation dans huit universités francophones québécoises dénombre, il y a une dizaine d’années, 736 collectifs de recherche. Il ressort d’une analyse de leurs pratiques4 que l’UQAR est l’université qui pratique le plus la science ouverte : « Une production commune de connaissances par des chercheuses et chercheurs de disciplines variées, mais aussi par des acteurs non scientifiques (État, industrie, société civile), et dont les résultats (bruts ou transformés) sont accessibles gratuitement pour tous les citoyens et citoyennes et, de préférence, dans leur langue d’origine5 ». La localisation des universités dans les régions et la présence d’équipes multidisciplinaires et interuniversitaires expliquent notamment ce constat.
Service à la collectivité
Le service à la collectivité s’institutionnalise au cours des années 1970 et devient la troisième mission de l’université. À l’UQAR, la définition de tâche de chaque professeur est adoptée par les collègues. La tâche d’enseignement annuelle prescrite correspond à l’offre de quatre cours de trois crédits. Les professeurs sont tenus de la compléter avec des activités de recherche, de service à la collectivité ou d’administration pédagogique. Ces volets sont modulés en pourcentages. Les professeurs consacrent de 5 % à 15 % de leur tâche aux activités de service à la collectivité.
Conclusion
L’UQAR a le mandat de rendre accessible une formation pertinente et de qualité aux populations des territoires qu’elle dessert, et de contribuer au développement de sa région grâce à ses activités de recherche et de service à la collectivité.
Sur le plan financier, offrir des formations sur un vaste territoire et à de petites cohortes coûte cher. La formule de financement actuelle des universités n’est pas adaptée à cette situation.
Sur le plan de l’équité, la planification des universités conduit à des choix stratégiques à l’échelle institutionnelle, mais ségrégatifs à l’échelle des individus. Pour sa part, la définition d’axes d’excellence impose de concentrer les ressources institutionnelles dans un nombre limité de secteurs : nordicité, sciences de la mer et des zones côtières, ruralité et maritimité, prévention et inclusion en pratiques sociales et en santé. Certaines personnes y trouvent leur profit, alors que d’autres se retrouvent à la marge, puisqu’elles ont moins accès, hors des grands axes, aux ressources institutionnelles.
L’UQAR est ancrée dans le territoire dont elle se réclame, mais les attentes à son endroit sont parfois démesurées. La recherche ne peut contribuer à régler tous les problèmes, elle ne peut être le seul recours. De plus, elle se construit à long terme, alors que les personnes aux prises avec les problèmes souhaitent des solutions rapides. Les professeurs et les professeures doivent respecter des normes rigoureuses et éthiques, et jouer la joute de la publication savante dans un environnement hautement concurrentiel. C’est là une exigence qui ne coïncide pas toujours avec la finalité d’agir sur le monde pour le transformer, ici et maintenant.
1. Frédéric Giraut, « Conceptualiser le territoire », Historiens et Géographes, no 403, 2008, p. 57-68.
2. Ibid.
3. Lucia Ferretti, L’université en réseau. Les 25 ans de l’Université du Québec, Presses de l’Université du Québec, 1994, p. 70.
4. Nancy Émond, « Aperçu de la pratique de la science ouverte dans les universités francophones au Québec », Globe, vol. 17, no 2, 2014, p. 143-172.
5. Ibid., p. 146.
L'avis d'imposition moyen sur le territoire de la municipalité va augmenter de 1,86 %.

Elles pourraient grandement contribuer à améliorer l’accès aux soins dans la région.


Diffusion Mordicus a le vent dans les voiles dans La Matapédia. Les prévisions de ventes de billets sont déjà dépassées de 40 % pour les spectacles à venir et les records de 2023, année du 40e anniversaire du diffuseur, sont en train d’être battus.
« On ne se gêne pas pour dire que la culture dans l’Est-du-Québec et dans le ROSEQ se porte extrêmement bien. Les gens ont besoin de rire, de se divertir et de voir des spectacles à grand déploiement. On voit qu’ils offrent des cadeaux pour les Fêtes, mais aussi qu’ils s’offrent des cadeaux à eux-mêmes pour se faire du bien », exprime le directeur général et artistique de Diffusion Mordicus, Michel Coutu.
Une programmation de 16 spectacles a été lancée le 24 novembre en plus d’une série de cinq spectacles d’humour et de la série des grands spectacles annoncées les semaines suivantes.
Ce sont toutes des représentations qui seront offertes, à la Salle Jean-Cossette d’Amqui, au printemps et à l’automne 2026 ainsi que quelques-unes au printemps 2027.
« Nous avons des spectacles comme Bruno Pelletier ou Pour une autre histoire d’un soir, avec Marie-Denise Pelletier, Joe Bocan et Marie Carmen, qui sont demandés et qui seront présentés en 2027. De plus en plus, nous sommes appelés à programmer longtemps d’avance. Quand les productions nous appellent, nous devons lever la main pour avoir une place dans la tournée », explique monsieur Coutu.
Le diffuseur dit avoir à cœur d’offrir des spectacles d’artistes originaires du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. « Je pense, entre autres, à P-A Méthot. Nous avons lancé son spectacle Pardon ? récemment. Il est en rodage pour une première partie. C’était à guichet fermé en moins de 48 heures et nous avons annoncé une supplémentaire. Les gens l’attendaient beaucoup », indique le directeur.
Michel Coutu souligne que la programmation offerte par Diffusion Mordicus est la même que celle présentée dans les grands centres.
« Toutes les productions entrent ici à quelques exceptions près quand le décor est trop gros. Tous les artistes en musique et en humour passent à Amqui autant au printemps qu’à l’automne 2026. »

Le directeur général et artistique est fier de proposer une programmation aussi diversifiée qui attire plusieurs types de spectateurs.
« C’est une programmation riche parce que nous offrons de tout, autant des artistes de la relève, que du théâtre, que de l’humour, que de la chanson. Les gens viennent à la rencontre des artistes, ils sont curieux et il y a une découvrabilité qui s’est réinstallée au fil du temps. »
Diffusion Mordicus continue de travailler pour rendre la culture accessible aux jeunes des niveaux primaire, secondaire et collégial.
« Nous travaillons beaucoup avec le Centre matapédien d’études collégiales pour que les jeunes assistent à des pièces de théâtre. Nous sommes en train de regarder pour avoir un cours en humour, l’an prochain. Nous avons aussi des rencontres avec Émile Bourgault, en avril, avec des élèves du secondaire », souligne monsieur Coutu.
Les jeunes du primaire et du secondaire vont assister à 19 représentations scolaires, cette année, en dehors de la programmation régulière.
D’autres lancements pour l’automne 2026 sont à prévoir dans les prochains mois. La programmation est en ligne au www.diffusionmordicus.ca.

Deux mois après que les créanciers impliqués dans la faillite du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard aient accepté une des six offres déposées pour les actifs du marchand en alimentation, la transaction n’est toujours pas conclue.
L’offre acceptée est conditionnelle à certaines conditions qui n’ont toujours pas été remplies.
« Il demeure des détails à régler pour la levée des conditions de vente. Pour l’instant, l’identité de l’acquéreur ne peut être dévoilée », indique le responsable du dossier chez Raymond Chabot, Guyllaume Amiot.
Les actifs étaient séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés avaient jusqu’au 7 octobre pour déposer une offre.
Le premier lot était constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot incluait aussi les chambres froides, les comptoirs et les présentoirs considérés comme fixes à l’immeuble.
Le lot numéro 2 se composait de l’équipement et du mobilier. Il comprend notamment plusieurs présentoirs réfrigérés, un congélateur vertical de trois portes, un congélateur tombeau, un comptoir et des présentoirs réfrigérés, une machine à barbotine et un ensemble de chariots et de bacs d’épicerie, sans oublier du matériel de cuisine, un système de caisse, du mobilier de bureau et du matériel informatique, le tout évalué à 99 600$.

Enfin, l’inventaire évalué à 20 000$ représentait le 3e lot. On y retrouve un ensemble de marchandises diverses, breuvages assortis, croustilles, cannages assortis, nourriture sèche, chocolats et bonbons assortis, produits congelés, pâtisseries assorties, produits pour animaux, produits ménagers et cosmétiques assortis.
Raymond Chabot précise que le montant de la créance était de 470 000$ et que les trois principaux créanciers garantis sont la BDC, la SADC de la Neigette et la MRC Rimouski-Neigette.
L’entreprise devait également environ 50 000$ à Sobeys et à quelques petits fournisseurs.

Un restaurant africain ouvrira ses portes avant Noël à Rimouski. C’est ce confirme le propriétaire du Bloc Africain, Amadou Napo, qui possède un restaurant semblable qui connaît du succès à Trois-Rivières.
Le nouveau restaurant s’installe au 134 rue Saint-Germain Ouest, dans l’ancien Küto. Monsieur Napo est persuadé que son restaurant va répondre à un besoin à Rimouski parce qu’il n’y avait aucune offre de mets africains jusqu’à maintenant.
« Nous allons proposer de la fine cuisine africaine avec des mets typiques de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique centrale. En grande majorité, des mets du Sénégal, de la Côte-d’Ivoire et du Mali et un peu de la République démocratique du Congo. Nous venons à Rimouski en raison de l’absence d’offre sur le marché », indique monsieur Napo, en entrevue dans Le Soir.ca
C’est lors d’un passage à Rimouski avec sa conjointe qu’il a pris conscience du potentiel d’un tel restaurant, notamment en raison des centaines d’Africains qui y vivent, particulièrement au sein de la communauté étudiante de l’UQAR.
« On voyait qu’il n’y avait pas vraiment d’offres pour la cuisine africaine ici. Ça nous a donné l’idée et nous avons commencé à nous intéresser à l’été 2025 et nous avons trouvé ce local », raconte le propriétaire, qui est aussi cuisinier et qui s’occupera de la cuisine au départ. Je vais former mon équipe avant de laisser ma place en cuisine », dit-il.
L’équipe est déjà complète. Il ne reste que quelques préparatifs avant de pouvoir annoncer officiellement la date de l’ouverture.
« On va l’annoncer cette semaine sur nos réseaux sociaux. Pour commencer, nous serons ouverts du mercredi au dimanche de 16 h à 22 h. On verra par la suite ».

Amadou Napo se dit convaincu de pouvoir tirer son épingle du jeu à travers l’offre de la restauration à Rimouski.
« Notre première année a super bien été à Trois-Rivières. Nous avons été bien accueillis, autant par les Africains que par les locaux. C’est une cuisine qui va prendre sa place ».
Le menu du Bloc Africain sera composé de plats typiquement africains.
« Nous aurons le mafé au poulet avec une sauce d’arachides. Pour une initiation, je dirais que c’est le produit à découvrir en premier pour s’habituer aux saveurs de l’Afrique parce que c’est assez facile à manger. Nous aurons aussi des grillades avec des marinades africaines qui sont assez faciles, même pour les ceux qui sont moins habitués avec la cuisine africaine. Nous aurons des assiettes de poulet braisé avec salade et du riz brun, un riz de style sénégalais. C’est un peu comme du riz frit », indique monsieur Napo.

Pour une deuxième semaine consécutive, Maxim Massé a été nommé sur l’Équipe d’étoiles de la semaine dans la LHJMQ. Le Rimouskois évoluant pour les Saguenéens de Chicoutimi ne dérougit pas avec sept points, dont cinq buts, en trois matchs.
Massé a notamment inscrit un tour du chapeau en plus d’amasser une passe à domicile, le 11 décembre, contre les Sea Dogs de Saint John. Il a aussi récolter un but et une passe, deux jours plus tard, face aux Cataractes à Shawinigan, avant de marquer de nouveau le lendemain, contre les Voltigeurs de Drummondville.
Après avoir remporté le titre d’attaquant par excellence en novembre dans la LHJMQ avec ses 20 points en 12 rencontres, Maxim Massé en compte déjà 12 (8-4) en cinq parties jusqu’à maintenant en décembre.
Au moment d’écrire ces lignes, l’espoir des Ducks d’Anaheim se trouvait au troisième rang du classement des meilleurs pointeurs du circuit avec 45 points (26-19). Il se situe en tête des meilleurs buteurs du circuit.


Cette semaine à « Rendez-Vous Nature », comme tout être vivant, quand le cerf mâle avance en âge, son activité vitale ralentit. Ce processus, aussi appelé la sénescence, se remarque aux dimensions de son panache.
On dit que le cerf régresse. Mais qu’en est-il pour la biche ? Ernie Wells en parle avec la biologiste en gestion des espèces et des habitats terrestres, Sonia de Bellefeuille.
La SÉPAQ donne le coup d’envoi de la prochaine saison de la « grosse chasse » et lance les inscriptions aux tirages des forfaits pour l’orignal dans ses 13 réserves et des cerfs d’Anticosti. Celle de Rimouski s’ouvre à la chasse du chevreuil après une interruption de 10 ans. Le porte-parole de la SÉPAQ, Simon Boivin a tous les détails.
Les Fêtes approchent avec ses beaux moments de bouffe et de visites. Le chroniqueur plein air Alexis Nantel y voit une occasion en or de prendre l’air en famille.
Tout cela et beaucoup plus à « Rendez-Vous Nature ».


L’ex-propriétaire de l’Hôtel Rimouski et du Manoir de Baie-Comeau, Daniel Lévesque, est décédé à l’âge de 75 ans. Originaire de Saint-Gabriel, il marqué le milieu entrepreneurial rimouskois pendant plusieurs décennies.
Après avoir fait carrière en service informatique, dans la vente automobile et dans la vente d’équipements agricoles, monsieur Lévesque avait fait l’acquisition de l’Hôtel Rimouski et du Centre de congrès, en compagnie de Gaston Gendreau, en mai 1995.
Il avait annoncé son départ à la retraite, en 2014, après l’acquisition de l’Hôtel Rimouski et du Manoir de Baie-Comeau par le Groupe Blouin.
Daniel Lévesque laisse notamment dans le deuil sa conjointe, Sylvie Morais et leurs deux enfants.

Salon de jeux à Rimouski : selon nos informations, Loto-Québec ne suivra pas la recommandation de la Direction régionale de santé publique concernant le retrait des appareils de loterie-vidéo. L'église de Saint-Alexandre-de-Kamouraska pourrait accueillir la bibliothèque municipale. Un casier de prêt d'équipement de plein air a été installé au Bic, à Rimouski.

Des personnes qui prétendent faire partie de la Fabrique Saint-Patrice recueillent faussement des dons.

On ne peut plus aujourd’hui s’en remettre aux institutions politiques qui nous gouvernent. Les intérêts privés surpassent le bien commun à peu près partout. Les inégalités planétaires et les guerres vont faire céder les derniers barrages de la société de droit, une fois que le bulldozer des conservateurs réactionnaires aura tout rasé Les changements climatiques menacent notre survie dans un horizon de moins de cent ans. Dans le pire des scénarios, aussi tôt qu’en 2050, la civilisation pourrait s’effondrer1.
Une démocratie fictive
Nos institutions politiques visent la concentration de tous les pouvoirs dans un semblant de démocratie où des législateurs professionnels gouvernent le bon peuple, grand et petit. Comme pour le capital, ce pouvoir tend à se concentrer. Il faut voir comment le parlementarisme peut exclure autant de gens et de contributions à la démocratie et à l’avancement social. Quand la démocratie est un club privé de notables, c’est parce que nous en sommes pour la plupart exclus.
Et on a beau nous promettre que les choses vont changer pendant qu’on crie à la nécessité de décentraliser ces organisations bien trop grosses et loin de nos réalités, rien ne bouge. Même scénario pour la réforme du mode de scrutin qui, en quelques années, a fait patate tant au fédéral qu’au provincial. Les décideurs sont friands de leur pouvoir, de leurs privilèges et de leur position confortable assis sur la tête de la classe ouvrière. Toute brèche menace leurs intérêts. Qui ne sont pas les nôtres.
Changer de modèle
Une fois ce sombre constat tiré, la question qui se pose est celle de déterminer la meilleure posture à privilégier si on souhaite la décentralisation.
Pour moi, c’est clair : décentraliser est une nécessité. On doit renforcer à la base nos lieux de démocratie et construire collectivement un modèle de démocratie territoriale incluant les Premières Nations en cogestion. Il s’agit d’assurer la suite du monde, comme l’a dit Pierre Perrault.
Comme anarchiste et écologiste, mon regard s’est porté sur le travail de Murray Bookchin2 qui traite de municipalisme libertaire. Cette approche a un bel avenir au Québec, ne serait-ce que par le travail du mouvement Multitudes qui prend le relais de belles expériences montréalaises en la matière.
Le municipalisme propose d’asseoir l’organisation sociale sur des lieux de proximité, soit les municipalités, qui sont les lieux décisionnels les plus proches des citoyens. L’organisation sociale se ferait en fonction de celles et de ceux qui habitent le territoire, qui seraient libres de mettre en place leur propre modèle de démocratie et d’administrer leurs affaires dans le plus grand nombre de domaines possible. Évidemment, certaines fonctions collectives seraient maintenues, comme notre système de santé ou d’éducation. Ces institutions peuvent très bien s’autogérer en assurant que le bien commun soit le seul objectif recherché.
Mais avant tout, il faut que notre population comprenne les enjeux actuels et puisse participer aux débats collectifs de toutes sortes de façons. La démocratie, ça s’exerce!
Exercice démocratique
Je lance l’appel à celles et à ceux qui seront élus dans nos municipalités. Activez la démocratie dans votre communauté. Organisez des rencontres d’information, des conférences, des débats. Ouvrez les portes de votre hôtel de ville. Combattez la culture de l’opacité et de la bureaucratie. Semez la transparence et animez la discussion. On a absolument besoin de votre contribution.
L’horizon cache mal les tempêtes et les désastres qui nous attendent un peu plus loin. Les solidarités deviendront des facteurs de survie. Nous serons tous contents de pouvoir compter sur elles.
Faute de décentraliser ce modèle politique moribond qui va s’effondrer, on peut construire ce qui, inexorablement, va lui succéder.
1. Selon l’organisation australienne Breaktrough – National center for Climate Restauration, 2019.
2. Lire Le municipalisme libertaire de Murray Bookchin, publié chez Écosociété. Vous pouvez aussi lire les ouvrages de sa collègue Janet Biehl.

Les députés de Rimouski et de Matane-Matapédia, Maïté Blanchette-Vézina et Pascal Bérubé, ont été nommés parmi les meilleurs parlementaires de l’année selon leurs pairs.
Chaque année, La Presse transmet un questionnaire à l’ensemble des 125 députés de l’Assemblée nationale afin de désigner les meilleurs élus dans 10 catégories différentes dans un palmarès.
À la suite de la compilation des votes, madame Blanchette-Vézina a été sacrée députée incarnant le plus l’esprit transpartisan. Elle a aussi terminé troisième au scrutin de la meilleure parlementaire de l’année, derrière la ministre caquiste Christine Fréchette et la péquiste Catherine Gentilcore.
Cette dernière se dit la première surprise de cet honneur. En entrevue à La Presse, l’élue indépendante estime que ce résultat s’explique soit par son départ du caucus de la CAQ, soit par le fait que des députés toujours au sein du gouvernement partagent son point de vue.
Un autre élu familier de ce palmarès est Pascal Bérubé. Le député de Matane–Matapédia a été désigné par ses pairs comme le meilleur représentant de sa circonscription.
Il termine d’ailleurs devant Maïté Blanchette-Vézina, qui se classe au deuxième rang à égalité avec le député de Beauce-Nord, Luc Provençal.

Pour monsieur Bérubé, qui n’en est pas à sa première reconnaissance, son ardeur à défendre ses dossiers explique ce résultat.
Il a toujours compris l’importance d’entretenir de bons liens avec les ministres susceptibles de faire avancer les enjeux de sa circonscription. Il n’a d’ailleurs jamais hésité à souligner la collaboration de ses collègues du gouvernement.
Parmi les autres parlementaires ayant reçu des éloges, mentionnons Catherine Gentilcore, députée péquiste de Terrebonne, le ministre du Travail Jean Boulet ainsi que la présidente du Conseil du trésor, France-Élaine Duranceau.
Au total, 101 des 125 parlementaires ont répondu au questionnaire de La Presse. Par souci d’équité, les députés étaient invités à voter pour un membre de leur formation politique, mais aussi pour un élu d’un autre parti dans chaque catégorie.
La Municipalité veut y intégrer la bibliothèque municipale et en faire un lieu de rassemblement.

David Hunt propose de coiffer gratuitement des citoyens à domicile chaque dimanche de décembre jusqu'à Noel.


Une collision frontale entre deux véhicules a fait un blessé lundi matin, vers 8 h 30, à l’intersection du chemin du Sommet et de la montée Industrielle-et-Commerciale, à Rimouski.
« Un blessé mineur a été transporté à l’Hôpital régional de Rimouski par ambulance et deux véhicules ont été remorqués », mentionne le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.
La circulation a été perturbée dans le secteur pendant l’intervention, mais la situation est revenue à la normale.


Le spectacle du 29e Téléradiothon de La Ressource affiche déjà complet. Prévu le 17 janvier à la Salle Desjardins, il réunira notamment sur scène Paul Piché, Andréanne A. Malette, Damien Robitaille et Marie Carmen.
Sous la direction artistique de Nelson Minville, l’événement accueillera aussi un membre de La Ressource, Philippe Côté, la directrice musicale rimouskoise et bassiste, Marie-Anne Arsenault, le guitariste Raphaël D’Amours, le batteur Marc Chartrain, la claviériste Andréanne Muzzo et la choriste Julie Houde.
Le Choeur Gospel de l’École de musique du Bas-Saint-Laurent complétera la distribution, tandis que l’humoriste Marc-Antoine Lévesque reprendra son rôle comme animateur de la soirée.
La Ressource offrira ensuite le spectacle en boucle, le dimanche 25 janvier, de 10 h à 20 h, sur les télévisions communautaires de l’Est-du-Québec, sur certaines plateformes web de médias partenaires, dont Le Soir.ca, ainsi que sur le site laressource.tv.

Événement de financement phare de l’organisme, le Téléradiothon vise cette année un objectif de 300 000 $.

Élodie Lussier Pellerin et Charles St-Pierre, du Club Les Cyclones de Rimouski, ont remporté respectivement des médailles d’or et d’argent lors de la deuxième étape du circuit provincial de patinage de vitesse courte piste, présentée les 13 et 14 décembre au Centre Georges-Vézina de Saguenay.
Le triomphe de Lussier Pellerin confirme sa progression alors qu’elle en est à sa première année sur ce circuit, tandis que St-Pierre a poursuivi sur sa lancée après ses succès à la Coupe Québec longue piste, les 6 et 7 décembre à Québec, où il a pulvérisé l’ensemble de ses records personnels.
À l’image d’Élodie Lussier Pellerin dans le groupe 2, Cloé Caty a pris le 14e rang, tandis que Daphné Mimeault a conclu la fin de semaine en 18e position au classement cumulatif.
Dans le groupe 1, Julia St-Laurent a su rebondir après une disqualification, lors de la première qualification, en terminant au 9e rang du classement général. Jade Pelletier a suivi de près avec une 11e place.
Chez les garçons, Félix Gagnon, seul représentant rimouskois du groupe 1, a terminé 13e. Dans le groupe 2, Zak Berger et Zachary Tremblay ont complété l’épreuve respectivement aux 6e et 8e rangs, tandis qu’Eliot Lebel a pris la 13e position dans le groupe 4.
Par ailleurs, Pier-Alexis Carvalho (12 ans) et Eliot Lebel (13 ans) ont obtenu leur qualification pour les Jeux du Québec lors de la deuxième étape du circuit régional de la Coupe de l’Est, tenue le 29 novembre à Rimouski.
Lors de cette même compétition, chez les 6-9 ans (groupe 1), Anne-Frédérique Chassé a récolté l’argent à chacune des épreuves, tandis qu’Olivier Lebel a remporté l’or au 400 m et au 800 m. Dans le groupe 2, Anaïs Beauvais et Ludovic Gallant-Côté ont réalisé un triplé de médailles.

Comme Charles St-Pierre, la Coupe Québec longue piste des 6 et 7 décembre a aussi permis à Charlie Tremblay d’améliorer son classement provincial en vue des qualifications pour le Championnat canadien néo-junior.
Les Cyclones profitent maintenant d’une pause avant de reprendre l’action dès janvier, avec un calendrier national bien rempli, notamment les Championnats canadiens junior et néo-junior longue piste, prévus du 8 au 10 janvier à Québec, ainsi que l’Omnium junior canadien, les 24 et 25 janvier, organisé à Rimouski.
Après avoir fréquenté une douzaine d'écoles et autant de milieux de vie, elle se confie sur son parcours.

Seulement 10 % des appareils de loterie vidéo seront retirés en vue de l'ouverture du salon de jeux.


Pour sa troisième fin de semaine d’activités, les 18 équipes d’Opération Nez rouge à Rimouski ont réalisé 137 raccompagnements, surpassant la marque établie lors du week-end précédant.
Au total, 81 et 56 raccompagnements ont été effectués, vendredi et samedi, dans cette période achalandée en raison des nombreux partys de bureau.
« La forte demande confirme l’importance de notre service durant la période des fêtes. Nous sommes extrêmement reconnaissants envers nos bénévoles, qui donnent généreusement de leur temps pour assurer la sécurité de la population », souligne la porte-parole d’Opération Nez rouge à Rimouski, Julie Boucher.
Jusqu’à maintenant, 321 personnes ont profité du service à Rimouski.
Les soirées de raccompagnement se poursuivront pour une dernière fin de semaine, les 18, 19 et 20 décembre en composant le 418-725-2525.
Le secteur desservi inclut Rimouski, mais aussi les districts du Bic et de Sainte-Blandine, ainsi que les municipalités de Saint-Fabien, Saint-Anaclet-de-Lessard et Sainte-Luce.
Tous les profits récoltés seront remis au Club de natation Les Dauphins de Rimouski.
D’autre part, Opération Nez rouge Rimouski recherche toujours des bénévoles qui souhaitent s’impliquer.
Il est possible de s’inscrire via le site Internet de Nez Rouge, l’application Opération Nez rouge ou en composant le 418-896-0157.


Un dénouement de dernière minute permet finalement aux élèves de 4e et 5e année de l’école Forimont de Causapscal de demeurer dans leur établissement. Une solution a été trouvée pour combler l’absence de personnel.
La directrice générale du Centre de services scolaire des Monts-et-Marées, Marie-Pierre Guénette, a confirmé à Radio-Canada qu’une enseignante, ayant déjà travaillé auprès de ces groupes, s’est portée volontaire pour assurer la prise en charge de la classe.
Cette dernière confiera sa propre classe à une stagiaire qu’elle supervisait pour venir en aide à la vingtaine d’élèves qui se retrouvaient sans titulaire.
Selon madame Guénette, il s’agit d’un geste déterminant pour la stabilité scolaire des enfants, même si la stagiaire devra à son tour être remplacée pour l’enseignement de l’anglais.
La question du manque de personnel enseignant demeure toutefois préoccupante. D’autres scénarios semblables pourraient se reproduire, même si le Centre de services scolaire des Monts-et-Marées espère compter sur le retour de ressources actuellement en absence prolongée.

Ses gestionnaires ont informé les parents par écrit, le 11 décembre dernier, qu’ils relocaliseraient les élèves de 4e et 5e année de l’école Forimont de Causapscal, faute de personnel enseignant pour assurer la poursuite des cours.
Devant cette impasse, les élèves auraient été dirigés dans d’autres classes de l’établissement, vers les écoles de Lac-au-Saumon ainsi que Sainte-Ursule et Caron, à Amqui.
Une mobilisation citoyenne avait été organisée lundi, en fin de journée, devant la polyvalente Forimont. Dans une publication Facebook, la Ville de Causapscal a confirmé l’annulation de l’événement.

C’est vrai plus que jamais : les fins de semaine se suivent, mais ne se ressemblent pas pour les Excavations Léon Chouinard de Mont-Joli qui ont renversé la vapeur en signant deux importantes victoires à domicile, samedi et dimanche.
La formation dirigée par Mike Abud a disposé des Vikings du Rocher par la marque de 5-4, dimanche après-midi, pour ainsi grimper au premier rang, un point devant Matane qui a cependant deux parties de plus à disputer.
C’est le but de Jean-Simon Turbide, à mi-chemin en troisième période, qui a brisé l’égalité de 4-4. Pierre-Alexandre Boulet, Trystan Tremblay, Anthony Roy et Whilem Côté ont aussi marqué. Devant le filet, très bonne sortie de Mathieu Fraser qui a repoussé 39 des 43 rondelles en sa direction.

« Un match serré. À cinq contre cinq, il faut mieux jouer. Sauf qu’en troisième période, ce fut magnifique, comme hier également. On a bien joué le système de jeu. Mathieu a été très bon, il aurait pu être notre joueur du match, mais ce n’est pas ce qu’il recherche. Il veut des victoires », a commenté l’entraineur-chef.
Samedi soir, les Excavations Léon Chouinard ont remporté un festival offensif par la marque de 11-7 contre les Corsaires de Forillon.
Karel Pelletier s’est signalé en récoltant six mentions d’assistance. Se sont aussi mis en évidence Boulet, trois buts et une passe, Mathieu Loisel, un but et trois passes, ainsi que David Bérubé, trois buts et une passe. Samuel Bourque, deux fois, Louis-Gabriel Migneault et Justin Desrosiers ont aussi marqué.
Christoophe Chiasson a un tour du chapeau dans la défaite aux dépens d’Olivier Gauthier qui a repoussé 31 rondelles pour la victoire.
« Notre jeu de puissance a excellé en fin de semaine avec 6 en 11, samedi, et 2 en 4, dimanche. Notre désavantage a aussi été très bon. Également, nos jeunes commencent à se dégêner. Anthony Roy et Whilem Côté ont joué un très bon match aujourd’hui », observe Abud.

Les deux équipes de la Gaspésie ont également joué à Trois-Pistoles. Les Vikings ont perdu face aux Fondations B.A, samedi soir, par la marque de 3-2. Ils ont donc fait chou blanc dans leur voyage.
Guillaume Bérubé, Charles Bélanger et Jeffrey Desjardins ont marqué pour la formation des Basques. La victoire va au dossier du gardien Anthony Perrault.

Par contre dimanche, Trois-Pistoles s’est fait surprendre (6-2) par les Corsaires pour qui il s’agissait d’un deuxième gain seulement, en neuf parties. Tommy Dumont a pris les choses en main en attaque avec trois buts et une passe aux dépens de Charles-Olivier Lévesque. William Plourde et François Gagnon ont assuré la faible réplique.

Les Excavations Léon Chouinard ont un match au calendrier en fin de semaine prochaine avec une visite à Matane, samedi soir. Le premier rang sera à l’enjeu.
Pour sa part, Trois-Pistoles jouera deux fois sur la route : à Matane, vendredi soir et à Causapscal, le lendemain. Les deux clubs de la Gaspésie seront en congé.
Pour le classement: cliquez ici

Une entente est survenue entre la Société des traversiers du Québec et ses travailleurs affiliés à la CSN pour mettre fin au conflit à la traverse Matane-Baie-Comeau-Godbout.
Les employés ont accepté l’offre faite par le conciliateur au dossier.
Concrètement, la nouvelle convention collective a été signée pour une période de six ans et prévoit des augmentations de salaire de l’ordre de 17,4 % pour les cinq premières années et de 2 % pour la dernière année du contrat. Celle-ci est rétroactive à 2023.
La nouvelle convention comprend également une bonification des échelles salariales, des primes de vacances et de l’assurance-collective.
Le syndicat indique également avoir réussi à faire reculer l’employeur sur plusieurs enjeux qui bloquaient l’avancement des négociations, sans toutefois préciser lesquels. D’ailleurs, le syndicat précise qu’aucune entrevue ne sera donnée sur la question, à la recommandation du conciliateur.
« Je suis heureuse d’apprendre cette excellente nouvelle à l’aube de la période des Fêtes. Cette entente permet d’améliorer les conditions de travail des employés et de sécuriser le service pour les prochaines années », a indiqué la présidente-directrice générale de la STQ, Greta Bédard.
Les dernières années ont été ponctuées de journées de grève, notamment en pleine saison estivale.
Cette nouvelle confirme donc que le service ne subira pas d’interruptions en cette période des fêtes en raison de conflits de travail. Toutefois, le traversier n’est pas à l’abri de bris mécaniques ou des caprices de Dame Nature.

Depuis maintenant un bon moment que les élus demandent que la traverse soit considérée comme un service essentiel.
Jusqu’à maintenant, leurs démarches ont été en vain. Reste à voir si la nouvelle loi du ministre du Travail, Jean Boulet, aura éventuellement un impact si de nouveaux conflits de travail devaient survenir dans le futur.
Le déménagement de la classe de 4e et 5e année annoncé jeudi est évité in extremis, confirme le CSS.


Les personnes qui ont des pensées suicidaires vont, dans une même recherche sur le web, tenter de trouver de l’aide et parallèlement, essayer de trouver des moyens de s’enlever la vie. Ainsi, les outils numériques et l’intelligence artificielle (IA) présentent à la fois des atouts et des dangers en matière de prévention du suicide.
Par Katrine Desautels, La Presse Canadienne
« Quand on est rendu à chercher de l’aide sur Internet plutôt que dans son entourage, c’est soit qu’on n’a pas vraiment d’accès à des ressources dans notre entourage ou soit que notre situation s’est détériorée au point qu’on se tourne vers Internet pour chercher de l’aide », expose Louis-Philippe Côté, chercheur affilié au Centre de recherche et d’intervention sur le suicide, enjeux éthiques et pratiques de fin de vie (CRISE).
Il a expliqué comment les technologies numériques peuvent repérer et intervenir en matière de prévention du suicide dans le cadre de la deuxième édition de la Journée annuelle en santé mentale numérique, qui s’est tenue le 8 décembre dernier, et qui est organisée par le Centre d’expertise en technologie de l’information en santé mentale, dépendance et itinérance (CETI-SMDI) du CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal.
Cécile Bardon, professeure de psychologie à l’UQAM qui a également donné une conférence lors de l’événement, précise que le sentiment de vouloir vivre et mourir en même temps ne s’exprime pas seulement sur le web.
« Dans la vraie vie, on le voit aussi beaucoup. Il y a des gens qui vont faire une tentative de suicide et appeler du secours en même temps. Les deux sont présents en même temps et la job de l’intervention, c’est de faire en sorte que le désir de vivre devienne de plus en plus important dans les pensées et les émotions de la personne de façon à ce que la personne s’engage vers des ressources et vers quelque chose pour l’aider à aller mieux », explique-t-elle en entrevue.
Les informations sur le suicide, telles que des méthodes pour s’enlever la vie, sont qualifiées par des chercheurs de contenu « pro-suicide ».
Ce genre d’information contribue à augmenter le risque suicidaire, a souligné lors de sa conférence Louis-Philippe Côté, également codirecteur scientifique intérimaire au CETI-SMDI.
Il n’est pas clair si l’accès à ce contenu est simple. Certaines études indiquent que trouver ce genre d’information est facile, mais d’autres études disent le contraire. « L’idée qu’il faut garder en tête, c’est que qui veut trouver, va trouver », prévient monsieur Côté.
Mme Bardon, également directrice associée au CRISE, estime qu’il y a « un très beau potentiel » pour rendre les interventions plus efficaces, à condition de s’en servir correctement.
« Quand sur les réseaux, les gens trouvent de l’information sur des méthodes de suicide, c’est une mauvaise utilisation. Quand on utilise des outils d’autogestion pour pallier au manque de ressources et qu’on abandonne des gens à se gérer tout seul avec des ressources en ligne, c’est une mauvaise utilisation », déplore-t-elle.
L’un des bons usages des technologies numériques est dans l’implication des intervenants sur les clavardages de jeux vidéo.

Sur certaines plateformes populaires, comme Twitch, des intervenants vont publier dans les différents canaux de clavardage pour faire savoir aux utilisateurs, surtout des jeunes, qu’ils sont disponibles, et ils vont interagir avec eux.
« Au début, on pensait que développer des outils numériques ça allait être parfait pour rejoindre les hommes, étant donné que souvent les hommes ont plus peur de se montrer vulnérables, de se confier, etc. On se disait que le sentiment d’anonymat qu’allait donner l’écran allait aider à surmonter cet obstacle, mais, dans la réalité, on se rend compte que les grands consommateurs des outils d’intervention numérique, c’est beaucoup les femmes », pointe Louis-Philippe Côté.
Pour aider une personne en crise, il faut d’abord repérer les risques suicidaires. Il faut ensuite faire une évaluation, puis appliquer un plan de traitement.
Au cours de leur vie, la plupart des gens vont vivre plus d’une période avec des idées suicidaires. Il est donc important d’avoir une gestion d’après crise et de travailler à réduire les récurrences.
Selon Cécile Bardon, l’étape du triage, qui se fait notamment par des algorithmes décisionnels sur des sites comme suicide.ca, est efficace. Cela permet de placer une personne en priorité, si son état le requiert.
« Le repérage, c’est quelque chose sur lequel on commence à être pas mal, mais le repérage, ce n’est pas tout. Il faut qu’il soit suivi d’une vraie évaluation des besoins et une vraie prise en charge. Ça, pour l’instant, on n’a pas encore développé des outils généralisés pour faire ces étapes », détaille la chercheuse.
« Il y a des outils d’intelligence artificielle qui sont développés en ce moment pour analyser les composantes non verbales du langage. Par exemple, tout ce qui est en lien avec l’énergie dans la voix, l’hésitation dans les mots, des choses comme ça qui peuvent être associées à des états affectifs de dépression et de l’affaissement émotionnel. […] Mais ça, ce n’est pas des outils qu’on est prêt à généraliser du tout, mais des développements comme ça peuvent être intéressants », spécifie madame Bardon.
Pour Louis-Philippe Côté, il faut réduire l’accès aux méthodes de suicide pour pouvoir agir en prévention.
« Si on l’applique aux technologies numériques, ça se traduit par plusieurs actions. La première, c’est toutes les législations qui entourent l’interdiction de faire de la promotion du suicide sur internet. Il faut que les États votent des lois pour interdire la promotion du suicide sur Internet », dit-il. Or, cela peut être compliqué, notamment parce que les sites web sont hébergés dans de nombreux pays, et il n’est pas possible de faire appliquer les lois d’un pays partout.
Louis-Philippe Côté croit cependant qui si les hébergeurs de sites web évaluaient que d’avoir du contenu « pro-suicide » avait un prix trop élevé à payer, par exemple en termes de réputation, ils seraient capables de faire changer les choses.
Si vous pensez au suicide ou vous inquiétez pour un proche, des intervenants sont disponibles en tout temps au 1 866 APPELLE (1 866 277-3553), par texto (535353) ou par clavardage à suicide.ca.
Selon la SCHL, le prix moyen d'un loyer a augmenté de presque 15 % à Sept-Îles en un an.

Une vingtaine de jeunes joueurs de baseball ont pu expérimenter un entraînement de niveau collégial à Rivière-du-Loup.

Le Petit Repère de Rimouski a amassé des fonds à l'occasion de la Guignolée du Dr Julien, samedi.


Il y a 10 ans, le Québec devenait la première province du Canada à rendre accessible l’aide médicale à mourir, devenant ainsi un précurseur en la matière en Amérique du Nord. Lorsqu’on regarde en arrière, cela a eu pour effet de rendre la fin de vie plus paisible pour des milliers de Québécois.
Par Katrine Desautels- La Presse Canadienne
« Tous mes collègues, on a la même expérience. C’est 99,9 % de gens qui sont (…) apaisés, c’est un bon terme, mais surtout sereins », commente en entrevue Dr Georges L’Espérance, praticien de l’aide médicale à mourir et également président de l’Association québécoise pour le droit de mourir dans la dignité (AQDMD).
« Ça se passe toujours de façon extrêmement sereine pour les patients et pour la famille, poursuit-il. Évidemment pour la famille, c’est toujours triste au moment de l’injection. Il y a toujours des pleurs, mais avant et après, moi j’appelle ça une certaine célébration de la vie parce que les proches comprennent que leur parent, leur proche, leur ami, a fini de souffrir. »
Résumons les moments marquants de l’AMM au Québec et au Canada. La Loi concernant les soins de fin de vie au Québec est adoptée en 2014, puis entre en vigueur le 10 décembre 2015.
Entre-temps, l’AMM n’est pas en voie d’être autorisée au Canada. Des patients se tournent vers les tribunaux. Les projecteurs sont particulièrement braqués lors de l’affaire Carter contre Canada, puis, en février 2015, la Cour suprême reconnaît le droit à l’aide médicale à mourir.
Le gouvernement fédéral modifie le Code criminel, et l’AMM devient légale partout au Canada en 2016. Au fil des ans, d’autres avancées ont été réalisées.
Depuis environ cinq ans, les patients n’ont plus besoin d’être dans une situation de mort imminente pour bénéficier de l’AMM.
Plus récemment, en 2024, Québec autorise les demandes anticipées, ce qui permet entre autres aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer de faire une requête tant que leur état leur permet de faire la demande de manière libre et éclairée.
Toutefois, le gouvernement fédéral n’a pas encore intégré les demandes anticipées dans le Code criminel.
D’ailleurs, l’AQDMD vient tout juste de publier sur son site web un guide pour aider les patients à remplir leur formulaire de demandes anticipées d’aide médicale à mourir.
« C’est une espèce de résumé plus facile à lire pour les objectifs, les grandes règles, aussi des éléments légaux. Et il y a une partie du guide qui est faite pour aider les familles et le patient qui fait la demande anticipée pour savoir comment naviguer dans ça, comment faire sa demande, comment être prêt lorsqu’ils vont rencontrer l’IPS (infirmières praticiennes spécialisées) ou le médecin pour compléter la demande. On prend les gens par la main, si je peux dire, pour les aider à progresser dans leur réflexion », résume Dr L’Espérance.
Depuis l’entrée en vigueur de la loi et jusqu’à aujourd’hui, 28 105 Québécois ont eu recours à l’AMM, selon les données du plus récent rapport de la Commission sur les soins de fin de vie (du 10 décembre 2015 au 31 mars 2025).
Selon l’AQDMD, il n’y a pas de dérive dans la pratique des soins de fin de vie. Elle souligne notamment que 99,7 % des formulaires évalués entre avril 2024 et mars 2025 ont été jugés conformes par la Commission. De plus, en 2024-2025, le pronostic des personnes faisant une demande d’AMM était estimé à trois mois ou moins dans 58 % des cas, et à un an ou moins dans 82 % des cas.
« Personne ne décide de ça le mercredi soir pour le jeudi matin, c’est toujours après une bonne réflexion », fait valoir Dr L’Espérance. Selon son expérience, pour la vaste majorité des patients, ça prend environ un an de réflexion avant d’arriver à une décision.
Dr L’Espérance veut protéger l’accès à l’AMM et il reste aux aguets quant à de potentielles menaces. Il fait un parallèle avec le droit à l’avortement qui s’est effrité aux États-Unis en 2022, lorsque la Cour suprême des États-Unis a annulé l’arrêt Roe c. Wade.
« L’aide médicale à mourir, si on recule là-dessus, ça veut dire quoi? Ça veut dire qu’il y a des gens qui vont encore prendre des armes pour se suicider. Il y a des gens qui vont se tirer du haut de leur balcon, etc. Donc non, il ne faut pas revenir en arrière », affirme le médecin.
Il est conscient que l’aide médicale à mourir continue de susciter des oppositions qui visent à en limiter l’accès ou l’interdire à certaines catégories de citoyens. Il plaide pour que l’on continue d’étendre l’accès à l’AMM tout en l’encadrant.

Au moment où le plus fou d’entre nous est président des États-Unis et qu’il semble avoir en main plus de pouvoir que n’aura jamais eu aucun des autres présidents, croire que la démocratie n’est pas en danger relève de l’angélisme. Nous assistons un peu partout dans le monde à une centralisation des pouvoirs des plus inquiétantes.
De la Révolution tranquille à aujourd’hui
Pendant longtemps, décentraliser, c’était adapter nos lois et nos règles à nos différentes réalités régionales. René Lévesque, qui était un fervent décentralisateur, croyait qu’on devait décentraliser avant de faire l’indépendance. Il savait que si l’on ne décentralisait pas avant l’indépendance, nous serions l’une des sociétés les plus centralisées au monde. Il fallait selon lui préparer les régions à développer des capacités de gestion leur permettant de recevoir de nouveaux pouvoirs provenant de l’indépendance. C’est pourquoi il avait publié en 1977 un Livre blanc sur la décentralisation. Pour lui, la décentralisation était un acte de confiance envers les régionaux, dans leurs capacités d’identifier des solutions et des règles adaptées à leurs réalités et à leurs besoins. Malheureusement, pour toutes sortes de raisons, dont le fait qu’autour de lui, tous n’étaient pas de fervents décentralisateurs, la véritable décentralisation a été reléguée après l’indépendance.
Pendant longtemps et plus récemment, décentraliser est aussi devenu une façon de désengorger les grands États de plus en plus coûteux, inefficaces et incapables de rendre les services auxquels les citoyens et les citoyennes sont en droit de s’attendre. Malgré le fait que tant à Ottawa qu’à Québec, on ait augmenté le nombre de fonctionnaires de plusieurs dizaines de milliers, la machine demeure embourbée, pendant que les scandales s’accumulent à coups de milliards, dans l’impunité la plus totale.
Aujourd’hui, nous devons faire le constat que, durant la Révolution tranquille, la centralisation était de mise afin d’assurer un développement équitable entre chacune des régions, tel n’est plus le cas. Nous avons été à l’extrême limite de la centralisation dans tous les domaines. Manifestement, on doit reconnaître que les résultats ne sont pas au rendez-vous, que ce soit en matière de santé, d’économie ou d’environnement, ça ne marche pas. Le cynisme de plus en plus important de la population, envers le monde politique, en est une résultante.
Si les promoteurs de la décentralisation étaient porteurs d’efficacité, de rationalisation des coûts et de solutions adaptées aux diverses réalités, il faut y ajouter aujourd’hui la nécessité de défendre la démocratie.
Vouloir décentraliser, c’est aussi refuser d’accorder tous les pouvoirs à un dirigeant quel qu’il soit. Un peu partout dans le monde, on voit diverses organisations prendre faits et causes pour la démocratie locale. De plus en plus de gens constatent les dangers de la concentration tant des pouvoirs que de la richesse. Pour eux et elles, la meilleure façon qu’il n’y ait pas de gens qui aient le pouvoir, c’est que le pouvoir et la richesse soient partagés entre le plus de monde possible. Renforcer le pouvoir local, c’est s’attaquer au pouvoir total.
Décentraliser : mode d’emploi
Ce sera sans doute une longue marche, mais parfois l’histoire s’accélère, d’autant plus si ça bouge un peu partout sur la planète. Il n’existe malheureusement pas de livre de recettes pour réussir la décentralisation. Il faudra l’écrire collectivement. Il y a cependant un certain nombre d’éléments de base qui me semblent incontournables.
Pour sauvegarder la démocratie dans le cadre d’une décentralisation réussie, nous devons revenir à la définition d’Abraham Lincoln qui disait que la démocratie était le gouvernement du peuple, pour le peuple et par le peuple. Il s’agit là d’un grand défi, mais je suis persuadé que nous en sommes capables.

Avec l’abondance de neige dans plusieurs régions du Québec, des amateurs de ski de fond ont déjà eu le « go » officiel pour se lancer sur les pistes. Notre spécialiste du plein air, Alexis Nantel, offre ses conseils aux fondeurs.
« Les premiers adeptes de ski de fond peuvent sortir leur équipement et rêver sérieusement à leurs premières glisses », commente notre spécialiste du plein air, Alexis Nantel.
Mais où aller skier au Québec ? Comment bien se préparer pour effectuer un bon départ pour se lancer dans cette saison 2025-2026 ? C’est le contenu d’une entrevue d’Alexis à « Rendez-Vous Nature ».
Dans la Forêt Montmorency à environ une heure au nord de Québec, au Norvégien près de Jonquière, Le Ricochet à Chicoutimi, le Camp Mercier dans la réserve faunique des Laurentides, au Mont-Tremblant dans le secteur la Diable, les sentiers de Saint-Donat, au parc de la Gatineau et au centre de plein air de Valcartier, le début de saison de ski de fond s’effectue graduellement partout au Québec.

« Trop de gens sortent trop vite et se blessent avant même que les grandes sorties commencent », dit Alexis Nantel, qui donne trois clés essentielles à un bon départ.
« On a tous tendance à prendre nos skis, nos bottes, nos bâtons et filer dehors. Mais en début de saison, ça vaut la peine de faire un petit « check-up » complet de notre équipement ».
On peut entendre et réentendre cette entrevue avec Alexis Nantel en cliquant sur le lien ci-dessus.

Après le départ de son partenaire devant le filet de l’Océanic, Mathis Langevin, William Lacelle a mentionné vouloir poursuivre sa carrière à Rimouski, même si les portes ne sont pas totalement fermées pour d’autres options, comme la NCAA.
Brillant dans ses études autant que sur la glace, il pourrait être courtisé par des universités américaines pour la saison prochaine, alors qu’il jouera sur ses 19 ans, probablement après une sélection par une équipe de la LNH.
Quels sont ses plans? « Il y a encore de bonnes chances que je reste junior, mais je veux garder mes options ouvertes. Je ne peux pas me fermer les portes tout de suite, mais il y a de bonnes chances que je revienne ici, la saison prochaine », a-t-il répondu.
À l’approche de la période des transactions, Lacelle a été clair. « Je veux rester ici. Je suis à Rimouski depuis l’âge de 16 ans et j’adore ça .»
Le directeur-gérant de l’Océanic, Dany Dupont, a fait savoir au Challenge M18 AAA à Châteauguay, où il se trouve présentement pour faire du recrutement, que William Lacelle ne serait pas échangé.
La présence de nombreux recruteurs d’universités américaines dans les arénas de la LHJMQ inquiète l’entraîneur-chef de l’Océanic, Joël Perrault.

« Je ne peux pas dire que ça ne m’inquiète pas, mais pas seulement pour Will Lacelle, pour tout le monde qui a du succès au hockey. On semble être la place où la NCAA vient recruter nos meilleurs. On a des conversations avec Will, il est très heureux ici, il joue du très bon hockey. Je suis confiant. Avec tout l’encadrement qu’on offre ici à nos joueurs, on fait tout pour qu’ils soient bien. Les valeurs de l’organisation sont parmi les meilleures de la Ligue canadienne [de hockey] », a-t-il mentionné.
William Lacelle sera admissible au prochain repêchage de la LNH. Il a mentionné avoir déjà eu des discussions avec une dizaine d’équipes, dont le Canadien de Montréal.
Le cerbère dit se servir du fait qu’il a été ignoré pour le match des espoirs, ce qui est une aberration pour son entraîneur, comme source de motivation.

Ses chiffres parlent pour lui. Après les défaites de l’Océanic, cette fin de semaine, contre les Voltigeurs et les Olympiques, Lacelle présente avait un dossier de 12-7 dans une équipe en reconstruction. Sa moyenne de buts alloués par match est de 2,59 et son pourcentage d’arrêts de ,921.
Sa fiche globale en carrière demeure impressionnante. En 75 parties, saisons et séries éliminatoires incluses, William Lacelle compile une fiche impressionnante de 45-16, avec une moyenne de 2,68 et un pourcentage d’arrêts de ,907.

Dans l’ambiance excentrique et multicolore des années 1970 et 1980, Raôul Duguay a été une personnalité flamboyante au Québec.
« La Bittt à Tibi », sa chanson la plus connue, lancée en 1975, est devenue un phare de la culture québécoise et un hommage à sa région d’origine, l’Abitibi-Témiscamingue. Mais Raôul n’est pas qu’une chanson.
Il a publié, l’an dernier, un gros livre qui étale sa vie presque au complet. Il y raconte son histoire, à partir de la myriade de chansons qu’il a composées et des expériences souvent flyées qu’il a vécues.
Le titre du livre résume bien sa philosophie pleine d’appétit et d’humour : Touttt est dans touttt. Raôul est né en 1939, d’un père d’origine gaspésienne et d’une mère d’origine acadienne.
Les difficultés de la vie familiale ont fait qu’il a été élevé comme orphelin, à Lévis. Il a commencé à chanter, dit-il, pour apprivoiser la solitude. Et c’est peut-être la soupe à l’alphabet qui lui a ouvert les portes de la poésie.
À Montréal, à la fin des années 1960, Terre des hommes a accueilli le monde entier. À fond de train, Raôul a participé à la quête d’absolu de cette époque psychédélique.
L’amour et la paix étaient des valeurs fortes. Son imagination fébrile s’inscrivait très bien dans le délire créateur des années hippies. Et sa voix s’adapte bien aux différents styles de musique qu’il a expérimentés.
Il a fait partie de L’Infonie, un ensemble contre-culturel qui aimait transgresser les tabous. Il a collaboré au groupe Maneige, fréquenté les Pauline Julien, Raymond Lévesque et Jacques Michel.
Duguay a toujours joué sur l’humour, qui permet selon lui de libérer l’énergie et d’améliorer la santé. Il a même composé une chanson qui comprenait 33 couplets.
Joueur de mots doté d’une grande sensualité, Raôul Duguay fait partie de notre panthéon culturel. On ne peut l’oublier. Le livre se termine par des réflexions sur la créativité et l’imagination. « Ma quête de l’infini tantôt m’aveugle et tantôt m’illumine », conclut-il.
Raôul Duguay, Touttt est dans touttt, Le livre de ma vie, Éditions Sylvain Harvey, 2024, 534 pages.
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En 2026, P-A Méthot montera sur les planches pour le rodage de son troisième one-man-show, Pardon ?!, en plus de s’immiscer dans la peau du Capitaine Crochet dans la comédie musicale Peter Pan.
Le fier représentant de Chandler a ainsi décidé de troquer son siège d’animateur de radio de l’émission du retour au FM 93 de Québec pour renouer avec ce qui l’habite vraiment : la scène.
« J’étais hyper heureux à la radio avec une équipe du tonnerre, mais ce médium-là, tu dois avoir la fibre. Tu dois en manger de la radio et ce n’était pas tant mon cas », concède-t-il en entrevue avec Le Soir.
Si P-A Méthot a repris le micro sporadiquement, il avait quitté la scène un peu usé et fatigué.
« J’avais l’impression que je ne donnais pas au public le meilleur show qu’il pouvait avoir. Je ne voulais pas que ceux à la fin de la tournée aient un P-A à 85 % alors j’ai décidé d’aller me ressourcer. Ça m’a permis de me reposer et de me refaire une santé. »
Son petit bonheur a fait sa guérison, a fleuri et a fait des bourgeons. Contrairement à la chanson, il n’est pas parti sans lui donner la main. Il est resté, et il est plus vivant que jamais.
« Un moment donné, je suis allé faire un show, tout simplement, et en revenant, j’ai dit à ma blonde que je démissionnais de la radio. J’attendais que le feu revienne et je ne savais pas quand ça allait arriver. Il est revenu au début de l’été. J’avais ce goût d’aller revoir le monde et de remonter sur scène. J’ai le couteau entre les dents », assure-t-il.
Après avoir vendu plus de 500 000 billets avec ses deux premières tournées (Plus gros que nature et Faire le beau), il prépare maintenant un spectacle beaucoup plus assumé.
« Je sais ce que j’aime maintenant dans la vie. J’ai le goût d’aller sur des petits terrains sur lesquels je n’osais pas, de peur de blesser ou de choquer. »
Pardon ?! est d’ailleurs présenté pour les personnes de 18 ans et plus.
« Je veux m’adresser à des adultes. Je parle de mon grand-père, qui est né en 1900, alors je veux que tout le monde comprenne. Et si c’est pour être mon dernier spectacle, j’aurai tout donné. »
Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule. Peu de temps après sa décision de retourner sur les planches, le téléphone de P-A Méthot a sonné pour un projet inattendu.

Travaillant avec le groupe Entourage depuis 2011 et avec le même gérant depuis 23 ans, le rôle de Capitaine Crochet lui a été offert dans la comédie musicale Peter Pan, sans aucune audition.
« C’est niaiseux et c’est chien pour tous ceux qui ont fait l’école de théâtre : le gros comique qui arrive et qui ramasse pratiquement le premier rôle. Mais mon équipe sait que je trippe sur les comédies musicales, que je peux chanter et embarquer dans un projet de même. »
Plus jeune, sa mère enregistrait sur VHS des comédies musicales comme Oliver Twist ou La Mélodie du bonheur.
« Et on les réécoutait souvent ! Ça m’intéresse depuis que je suis jeune et, encore aujourd’hui, je suis un trippeux de comédies musicales. Je vais en voir à Montréal, Toronto, New York. C’est impressionnant ! C’est beaucoup de monde, de la musique, tu regardes partout. Ç’a toujours été dans mon ADN, mais je n’aurais jamais pensé qu’on allait penser à moi pour un rôle. »
La version de Peter Pan qui sera présentée à Québec (dont P-A fait partie de la distribution) et Montréal sera la même version que celle produite sur Broadway, mais évidemment adaptée en français. A-t-il lui-même le syndrome de Peter Pan ?
« Oui, un peu, mais ce n’est pas tant ça le point. Avant tout, c’est un bon show ! Même si tu ne sors pas de là en disant que vieillir c’est difficile et que c’est dur de garder son cœur d’enfant, on s’en fout. Est-ce que le show est bon ? Il est écœurant ! Il y a des chanteurs, des acrobates et du monde qui vole dans les airs. Ç’a pas de bon sens comment c’est magnifique ! C’est le fun si tu comprends le message, mais encore plus si tu apprécies le show ! »

Pour un deuxième match en moins de 24 heures devant ses partisans, l’Océanic a subi un revers sans équivoque, cette fois par la marque de 5-2 contre les Olympiques de Gatineau, en présence de 2 818 spectateurs au Colisée Financière Sun Life.
Les visiteurs mettent ainsi fin à une séquence de sept revers. Ils ont marqué leurs cinq premiers buts face à William Lacelle sur les 23 lancers en sa direction. Le gardien de l’Océanic a été retiré par Joël Perrault après 29 minutes de jeu. Le jeune Jacob St-Cyr a fait ses débuts dans la LHJMQ. Il a bien fait avec 16 arrêts sans accorder de but.
« Il n’y a pas beaucoup de positif en fin de semaine. Il y avait beaucoup de lacunes. Il y en a quelques-uns qui ont répondu à l’appel par rapport à hier, mais il y en a beaucoup trop qui ne l’ont pas fait. Ce fut un peu mieux en troisième période. Avec une jeune équipe, tu te dois de prouver que tu appartiens à cette ligue-là. Nos plus vieux doivent montrer le chemin et, dernièrement, ce n’est pas le cas, et je ne trouve pas que nos plus jeunes jouent avec l’urgence de vouloir en avoir plus », explique Joël Perrault.
Quand il a retiré son gardien, on l’a vu aller lui parler tout de suite. « Je n’aime vraiment pas ça sortir un gardien. C’est peut-être la chose que je déteste le plus dans le coaching. Je l’ai sorti pour son bien. Il a compris. Quand on joue comme ce soir, on expose notre gardien. On était en train de faire une vidéo de motivation de highlights. Ça fait plusieurs soirs qu’il nous garde la tête hors de l’eau. »

Le match a mal débuté pour les locaux quand une mauvaise sortie du gardien Lacelle a mené au but de Justin Boisselle. Quelques minutes plus tard, les Olympiques ont doublé leur avance à la suite d’une mauvaise couverture défensive. C’est Nicholas Petrut qui en a profité.
Les visiteurs ont ajouté trois buts en première moitié de deuxième période : ceux de Gabriel Séguin (2) et Lev Gaponov, ce qui a provoqué le changement de gardien. Thomas Belzil a répliqué pour l’Océanic.
Sur un jeu de puissance en tout début de troisième, Evan Dépatie a redonné espoir aux partisans. Malgré une meilleure période dans l’ensemble, la tentative de remontée s’est arrêtée là.

Mathys Dubé est d’avis que l’équipe n’a pas été à la hauteur en fin de semaine. « On aurait pu amener un meilleur effort. Il faut trouver un moyen de mieux jouer à la maison, d’être plus efficace défensivement et donner moins de chances de marquer à l’adversaire. C’est ce qui nous a fait mal. Depuis le début de la saison, nos gardiens font le travail pour nous garder dans le match. Il faut les aider », a commenté le vétéran de 19 ans.

Le duo Lacelle / St-Cyr a reçu 39 lancers. À l’autre bout, Danai Shaiikov a été mis à l’épreuve en 24 occasions seulement.
Jack Martin a effectué un retour au jeu. C’est Olivier Théberge qui a écopé pour respecter la limite des trois joueurs de 20 ans. Guillaume Gleason a été intégré à la brigade défensive de sept arrières… Les blessés Connor Sturgeon, et Benjamin Rioux n’ont pas joué, tout comme Dovydas Jukna (championnat mondial), Alex Massé et Raphaël Achermann… L’Océanic disputera ses deux derniers matchs avant Noël, mercredi et jeudi à Chicoutimi…
Une vingtaine de jeunes joueurs de baseball ont pu expérimenter un entraînement de niveau collégial samedi.


L’Université du Québec à Rimouski (UQAR) décroche la troisième position parmi les universités de sa catégorie dans le palmarès annuel de la firme indépendante Research Infosource Inc., se démarquant à nouveau à l’échelle nationale sur le plan de la recherche.
Ce classement des établissements universitaires du Canada est établi selon trois catégories : les universités offrant majoritairement des programmes de premier cycle (comme l’UQAR), les universités généralistes sans faculté de médecine et les universités comportant une faculté de médecine.
C’est la douzième fois en quatorze ans que l’UQAR figure dans le top 3 des universités de sa catégorie.
Le recteur de l’Université, François Deschênes, estime qu’il s’agit du résultat de l’engagement des professeurs, mais aussi de leurs équipes et du personnel qui contribue aux activités de recherche.
« Grâce à ces personnes, l’UQAR rayonne parmi les meilleures en recherche, alors que la compétition est féroce autant pour l’accès au financement que pour la course aux idées nouvelles. Il importe donc de les féliciter chaleureusement. »

Plusieurs critères sont utilisés par la firme Research Infosource Inc. pour établir son palmarès, tels que le financement de la recherche en termes du montant total des octrois, le financement moyen par professeur, le financement moyen par étudiant aux cycles supérieurs et le nombre total de publications dans des revues avec des comités de lecture.
Des centaines de projets de recherche sont réalisés chaque année par des équipes de l’UQAR.
La vice-rectrice à la formation et à la recherche, Dominique Marquis, indique que ces travaux portent sur des enjeux qui touchent les populations desservies par l’Université, mais aussi sur des questions scientifiques fondamentales.
« Dans tous les cas, il y a plusieurs partenaires d’ici et d’ailleurs dans le monde qui sont impliqués dans chaque projet. »
La notoriété de l’UQAR en recherche contribue à attirer plusieurs chercheuses et chercheurs pour leurs projets de maîtrise et de doctorat, observe le doyen de la recherche Pietro-Luciano Buono.
« Nombre d’étudiantes et d’étudiants viennent à l’UQAR pour se spécialiser dans leur champ d’études. Ces personnes sont intégrées aux différentes équipes de recherche et jouent un rôle essentiel dans les travaux menés à l’Université. »
Rappelons que l’UQAR a obtenu le titre d’université de l’année en recherche parmi les universités de sa catégorie à quatre reprises, soit en 2011, en 2013, en 2021 et en 2022.
Le centre de pédiatrie sociale en communauté collecte des dons jusqu'au 11 janvier.


Les élèves de 4e et 5e année de l’école Forimont de Causapscal devront être relocalisés dans les prochaines semaines, faute de personnel enseignant pour assurer la poursuite des cours.
Le Centre de services scolaire des Monts-et-Marées a informé les parents par écrit, jeudi soir, qu’il n’avait pas réussi à combler le poste laissé vacant par une enseignante partie en invalidité.
Devant cette impasse, la vingtaine d’élèves du groupe se retrouveront dans d’autres classes de l’établissement ou dirigée vers les écoles de Lac-au-Saumon ainsi que Sainte-Ursule et Caron, à Amqui.
Dans la lettre envoyée aux parents, dont Le Soir.ca a obtenu copie, la direction précise que la répartition se fera en fonction du cheminement et des besoins de chaque élève, dans l’objectif de limiter les impacts scolaires et personnels. Les directions concernées auront la responsabilité d’évaluer les options les plus appropriées.
Cette annonce survient alors que ce groupe vit déjà une année scolaire mouvementée. En raison de travaux, les élèves avaient quitté l’école primaire Saint-Rosaire de Causapscal, en début d’année scolaire, pour être transférés à l’école secondaire Forimont.
Selon nos informations, cette première adaptation avait déjà suscité des inquiétudes.
Une rencontre d’information avec les parents doit se tenir lundi, à Causapscal, afin d’expliquer les raisons ayant mené à cette décision et les mesures envisagées pour la suite de l’année scolaire.


La période des Fêtes est à nos portes et, avec elle, son lot de célébrations, de retrouvailles et de moments festifs, dont les partys de bureau qui sont déjà commencés.
L’opinion de Johanne Fournier
Au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, les routes sinueuses et les conditions hivernales imprévisibles rendent chaque déplacement plus périlleux qu’ailleurs.
C’est précisément dans ce contexte qu’Opération Nez rouge devient bien plus qu’un simple service de raccompagnement : c’est un véritable filet de sécurité pour nos communautés !
Depuis maintenant quatre décennies, Opération Nez rouge incarne la solidarité et la responsabilité collective durant la période des Fêtes. Le principe est simple, mais redoutablement efficace : des bénévoles dévoués raccompagnent gratuitement les personnes qui ont consommé de l’alcool ainsi que leur véhicule jusqu’à leur domicile.
Ce geste apparemment anodin représente pourtant une différence cruciale entre une soirée mémorable et un drame qui pourrait marquer des familles entières pour le reste de leur vie.
Au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, où les distances entre les villages peuvent sembler interminables et où les tempêtes transforment rapidement les routes en véritables patinoires, conduire avec les facultés affaiblies équivaut à jouer à la roulette russe.
Les statistiques parlent d’elles-mêmes : la conduite en état d’ébriété demeure l’une des principales causes d’accidents mortels au Québec durant le temps des Fêtes. Chaque année, des vies sont fauchées, des familles sont brisées. Tout cela pourrait pourtant être évité par un simple appel téléphonique ou en ouvrant l’application mobile d’Opération Nez rouge.
Malgré l’évidence du danger, certains conducteurs continuent de croire qu’ils peuvent prendre le risque. « Je n’habite pas loin », « J’ai juste pris quelques verres », « Je connais bien la route ». Voilà autant d’excuses qui s’évanouissent tragiquement au moment d’un impact.
C’est connu, l’alcool altère le jugement, ralentit les réflexes et donne une fausse impression de contrôle. En hiver, sur nos routes régionales souvent mal éclairées et bordées de fossés profonds, ce cocktail peut être mortel.

Opération Nez rouge représente une solution accessible et sans jugement. À Rimouski, à Matane ou à Gaspé, il suffit d’un appel pour qu’une équipe de trois bénévoles se mette en route : un chauffeur pour votre véhicule, un accompagnateur et un répartiteur.
Ces véritables anges gardiens ne posent pas de questions et ne font pas la morale. Ils offrent simplement un service chaleureux et efficace.
Vous pouvez les remercier par un don à la mesure de vos moyens. L’argent récolté est ensuite versé à un organisme à but non lucratif de la région.
Faire appel à Opération Nez rouge, c’est aussi poser un geste citoyen exemplaire. C’est montrer à nos enfants, à nos amis, à notre entourage que la responsabilité l’emporte sur l’orgueil. C’est contribuer à une culture de prévention, où personne ne devrait avoir honte de demander de l’aide. C’est participer activement à la sécurité collective de nos routes.

Les bénévoles qui donnent de leur temps durant cette période déjà occupée méritent notre reconnaissance et notre soutien.
La meilleure façon de les remercier reste encore d’utiliser leurs services quand nous en avons besoin, sans hésitation ni fausse fierté. Planifier sa soirée en prévoyant un raccompagnement responsable devrait devenir aussi naturel que de boucler sa ceinture de sécurité.
Si vous célébrez à Rimouski 418 725-2525, à Matane 418 562-3333, à Gaspé 418 368-4011 ou à Rivière-au-Renard 418 269-5959, souvenez-vous qu’Opération Nez rouge attend votre appel. Vous pouvez aussi faire votre demande de raccompagnement sur l’application mobile d’Opération Nez rouge. Le service n’est pas offert là où vous êtes ? Appelez un taxi.
Vous rentrerez ainsi chez vous en toute sécurité, laissant derrière vous de précieux souvenirs, plutôt que d’éternels regrets. Rappelez-vous qu’aucune soirée festive ne vaut une vie humaine, que ce soit la vôtre ou celle d’une personne croisée sur votre chemin. Bons partys de Noël et soyez responsables !

L’athlète de Rikigym, Béatrice Bibeau, a terminé en première position lors de la première Coupe Québec de gymnastique de la saison qui avait lieu, les 6 et 7 décembre, à Montmagny.
Évoluant dans la catégorie introduction 14 ans et plus, l’athlète a dominé aux barres, à la poutre et au cumulatif des appareils.
D’autres Rimouskoises ont terminé au premier rang pour certains appareils, c’est le cas de Gabriella Côté Gendron (N6, 15 ans et plus) au sol. Elle s’est classée 5e au cumulatif des appareils. Rosane Appleby (N6, 15 ans et plus) a remporté les grands honneurs au saut et a obtenu une 6e position au cumulatif. Yasmine Cyr et Florence Banville (N7, 15 ans et plus) ont conclu la compétition en première position au saut et au sol.
Tourjours en N7, Thalia Martin s’est classée 2e au saut et 5e à la poutre, Naomi-Jade Guillemette 4e au saut et Léa Deschênes 4e au sol.
Du côté des gymnastes de niveau introduction 14 ans et plus, Delphine Thériault a terminé 3e aux barres, à la poutre et au cumulatif, Alexia Legresley a réussi une 2e position à la poutre pour être 4e au cumulatif, Justine Lévesque est 5e au sol et au cumulatif, Léa-Rose Albert est 2e aux barres et 6e au cumulatif et Lauralie Guillemette est 6e aux barres.

Pour ce qui est des gymnastes N6, 13-14 ans, Alice Belzile a terminé 2e à la poutre et au sol ainsi que 8e au cumulatif, Jade Rioux est 2e à la poutre et 3e au cumulatif, tandis que Sandrine Bujold s’est classée 5e aux barres et 7e au cumulatif.
La compétition regroupait des athlètes des niveaux introduction à N7. Le Club Rikigym était représenté par 16 gymnastes qui étaient accompagnées des entraîneuses Marie-Ève Bérubé et Juliane Marquis. Le prochain rendez-vous de Rikigym est prévu, les 24 et 25 janvier, pour les équipes de cheerleading dans le cadre du Championnat des étoiles à Québec.

Dix ans après la fermeture de la chasse du cerf dans la réserve faunique de Rimouski, la SÉPAQ confirme la reprise de l’activité en 2026.
Cette nouvelle saison de la chasse du chevreuil sera toutefois écourtée à six jours et réservée à seulement sept groupes choisis lors du tirage au sort de la SÉPAQ.
Les inscriptions sont lancées depuis le 1er décembre jusqu’au 15 janvier pour tous les tirages au sort de la chasse du gros gibier, dont l’orignal, dans les réserves fauniques et à SÉPAQ-Anticosti pour l’automne 2026.
Aucun inventaire du cerf n’a toutefois été effectué dans la réserve faunique de Rimouski.
« Les observations recueillies sur le territoire au cours de la dernière année, par les usagers, font état d’une abondance de chevreuils qui permet cette reprise. Une demande de rouvrir la chasse a donc été faite au ministère responsable de la Faune, qui a accepté », indique le directeur général de la réserve faunique de Rimouski, Dan Gagnon, qui cumule aussi les fonctions de directeur général de la réserve faunique de Matane.
Dan Gagnon précise aussi que la chasse sera autorisée dans des zones ciblées où les observations des cervidés ont été les plus significatives. Et non dans l’ensemble de la réserve qui a déjà accueilli une trentaine de groupes, lors des belles années du chevreuil.
Ce territoire était jadis reconnu comme étant le « paradis du cerf de Virginie », une appellation alors en usage. En plus de la chasse en hébergement, les amateurs pouvaient aussi pratiquer la chasse au quotidien, dans des zones qui leur étaient réservées.
Une succession d’hivers rigoureux devaient précipiter le déclin du chevreuil. Puis des coupes forestières ont favorisé le retour progressif de l’orignal qui a finalement occupé tout le territoire. La chasse de cette espèce a été rouverte en 1987, après des décennies d’interruption. En 2015, la SÉPAQ a mis fin à la chasse du chevreuil.

Pour la reprise en 2026, Dan Gagnon précise que la chasse aura lieu du 9 au 14 octobre inclusivement. Les sept groupes de chasseurs choisis par tirage au sort bénéficieront d’un séjour de sept nuitées, pour six jours de chasse, avec sortie le 15 octobre. « Parce que la chasse du chevreuil se pratique aussi dans les bonnes heures en fin de journée ».
Dans son offre d’inscriptions aux tirages au sort, la SÉPAQ indique aussi une nouvelle offre d’hébergement dans la réserve faunique de Rimouski.
« Deux nouveaux chalets de type Horizon fraîchement construits viennent s’ajouter au lac Castor. Ces chalets, exclusifs à la SÉPAQ, offrent une fenestration généreuse, face au lac, et leur aménagement a été réfléchi afin de répondre aux besoins des pêcheurs et des chasseurs ».
Dans le territoire voisin de la réserve, la ZEC Bas-Saint-Laurent, son directeur général, Peter Camden, confirme une récolte de 45 chevreuils, soit deux lors de la saison arc et arbalète et 43 avec arme à feu. Quelque 215 amateurs ont chassé sur le territoire pour un cumulatif de 1 159 jours de chasse. Il s’agit d’un succès de 21 %.
« En 2024, 48 cerfs furent récoltés par les 241 chasseurs qui avaient fréquenté le territoire, pour un succès de 20 % », ajoute Peter Camden.
Quant aux tirages au sort de la SÉPAQ, les gagnants d’un forfait de chasse de l’orignal auront le loisir de sélectionner leur secteur en premier. Les « non-gagnants » pourront bénéficier d’une seconde chance.
Dès 9 h, le 10 février, tous les participants des tirages au sort qui n’ont pas gagné leur séjour de chasse auront une priorité de réservation sur les séjours encore disponibles. Le coût d’inscription est de 9,27 $ par code de réserve, et une seule inscription par participant.


Présentée par Desjardins, la 7e Guignolée du Petit repère, centre de pédiatrie sociale en communauté de Rimouski-Neigette, revient cette année. La grande collecte se tient ce samedi 13 décembre, avec l’aide de 200 bénévoles qui sillonneront les rues et les commerces de Rimouski.
La communauté est invitée à contribuer généreusement à l’événement. Des activités de la Guignolées se tiennent jusqu’au 11 janvier.
L’an dernier, un montant record de 76 244 $ avait été amassé lors de la 6e Guignolée du Petit repère.
Elle constitue une importante levée de fonds pour assurer l’offre de services gratuits aux jeunes de 0 à 18 ans en situation de vulnérabilité, de notre région.
D’ailleurs, cet événement se tiendra dans plus de 40 centres de pédiatrie sociale en communauté déployés partout au Québec.
Pour cette septième présentation, il est possible de contribuer de différentes manières.
Des bénévoles seront mobilisés dans les rues et les commerces afin de permettre à la population rimouskoise de faire un don.

L’équipe du petit repère rencontrera aussi la population au Marché de Noël, au parc de la Gare, en ce samedi 13 décembre.
Les dons en ligne sont possibles sur notre site Internet www.lepetitrepere.ca, sous la rubrique « Faire un
don ».
Ce grand mouvement est soutenu par différents commerces qui proposent des produits vedettes durant
la période de la Guignolée du Petit repère à savoir Home Hardware Rimouski, Promutuel Assurance de l’Estuaire et le Journal Le Soir.
Fondé en 2019, Le petit repère a pour mission de donner une voix aux enfants en situation de vulnérabilité de notre communauté et favoriser leur plein potentiel en offrant un accompagnement médical, social et juridique.
Le Centre est un milieu de vie dans lequel ils reçoivent gratuitement un accompagnement personnalisé de même que des ateliers et des activités qui favorisent le développement de leur plein potentiel.
Depuis son ouverture, c’est plus de 210 enfants qui ont bénéficié de services gratuits.

« La Guignolée du Petit repère, c’est près de 200 généreux bénévoles engagés, dont 150 à l’extérieur
samedi le 14 décembre. Tous les dons, petits ou grands, en argent ou en temps, sont précieux. C’est plus
qu’une activité de financement. C’est un grand mouvement de solidarité de la population de Rimouski
Neigette envers ses enfants. », précise Nancy Renaud, coordonnatrice.
Le petit repère tient à remercier chaleureusement ses partenaires qui soutiennent nos enfants, dont Le Soir.ca!

Le gouvernement du Québec a récemment confirmé le renouvellement du mandat de François Deschênes à titre de recteur de l’Université du Québec à Rimouski pour les cinq prochaines années.
C’est en février 2021 que monsieur Deschênes a été nommé recteur de l’UQAR pour la première fois.
Son premier mandat a été marqué par un renforcement de l’accessibilité universitaire et une effervescence soutenue en recherche, qui s’est notamment traduit par la création d’antennes universitaires sur la Côte-Nord ainsi qu’en Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, la présence accrue en Beauce et l’élaboration et l’obtention de financements pour des projets de recherche.
L’agrandissement du campus de Rimouski, la construction de résidences étudiantes, le déploiement de nouvelles mesures d’accompagnement vers la réussite, l’intensification de l’internationalisation, ou encore la multiplication des actions de mise en valeur de l’Université, sont d’autres exemples témoignant de l’ampleur du développement réalisé au cours de ce premier mandat.
« L’UQAR joue un rôle essentiel au sein des régions qu’elle dessert et du Québec. Si elle est en mesure de se démarquer dans toutes les dimensions de sa mission, c’est grâce à la passion, à l’engagement et au dynamisme de sa communauté. Je me sens privilégié de faire partie de cette communauté et de pouvoir y apporter ma contribution », souligne le recteur François Deschênes.
« Nombreuses sont les réalisations qui sont issues de partenariats locaux, régionaux, nationaux et même internationaux. Ces collaborateurs de tous les instants sont importants et je leur en suis reconnaissant. »
François Deschênes s’est joint à l’Université du Québec à Rimouski en 2008. Neuvième recteur de l’UQAR, il a d’abord été doyen des études de cycles supérieurs et de la recherche, puis vice-recteur à la formation et à la recherche.
Auparavant, il a entrepris sa carrière en tant que professeur en informatique à l’Université de Sherbrooke avant d’occuper le poste de doyen de la recherche à l’Université du Québec en Outaouais.
Le deuxième mandat du recteur Deschênes débutera officiellement le 1er février 2026.
La situation financière de l’UQAR, le recrutement étudiant, la réussite étudiante, la bonification de la carte des programmes crédités et non crédités, le développement des antennes universitaires et l’établissement de nouveaux partenariats en recherche et en formation figurent parmi ses priorités.
« Les défis auxquels fait face l’UQAR sont des occasions pour se démarquer et se renouveler. La récente planification stratégique qui a été élaborée avec la communauté universitaire servira d’assise pour relever ces défis et faire en sorte que l’Université joue pleinement son rôle dans toutes ses sphères d’activité », conclut le recteur Deschênes.


L’Océanic n’a pas fait le poids face aux Voltigeurs de Drummondville, vendredi soir, s’inclinant par la marque de 4-1 en présence de 2 560 spectateurs au Colisée Financière Sun Life.
Les visiteurs, qui chauffent l’Armada au sommet de l’Association Ouest, ont largement dominé leurs adversaires. Ils ont démontré beaucoup de vitesse et ont embouteillé l’Océanic dans son territoire à plusieurs occasions.
« Un match très difficile, inexcusable. C’est triste pour nos partisans. Peu importe le nombre de blessés et la jeunesse de l’équipe, on affrontait une équipe qui a joué hier et qui a voyagé toute la journée. On a vu un gros manque d’efforts et c’est de tout le monde », a déploré Joël Perrault.
Il n’a vraiment pas aimé le début de match de son équipe qui a bénéficié d’un jeu de puissance dès la 7e seconde en raison d’un alignement de départ illégal des Voltigeurs.
« Nos joueurs n’étaient pas prêts à jouer en power play. On a eu zéro opportunité de marquer. Après ça, j’embarque trois jeunes qui ont zéro attention aux détails dans notre zone et les Voltigeurs marquent », fait-il remarquer.

Hugo Dufour a ouvert le pointage pour les Voltigeurs qui ont ensuite vu Thomas Belzil faire dévier un lancer d’Olivier Théberge. Avant la fin de la première, Dylan Dumont a profité d’un jeu de puissance pour redonner les devants aux Voltigeurs avant la fin de la première période.
Ces derniers ont ajouté deux buts en deuxième, ceux de Dufour, son 2e, et Louis-Philippe Bourque. Comme si ce n’était pas assez, l’Océanic a perdu un autre défenseur, un quatrième, quand Justin Beaulieu a retraité au vestiaire après avoir bloqué un lancer. On ne l’a pas revu.
En avance 4-1, les Voltigeurs ont en fait assez en troisième pour maintenir leur priorité.
« J’aurai des nouvelles après le match concernant Justin. Il y aura des changements demain, on verra quels joueurs seront disponibles », mentionne Perrault qui a toutefois peu d’options dans son jeu.
William Lacelle a fait ce qu’il pouvait sur les 44 lancers en sa direction. Il a évité une défaite plus cuisante à son club. À l’autre bout, Dayton Kitchener a été mis à l’épreuve en 18 occasions seulement.

Les blessés Connor Sturgeon, Jack Martin et Benjamin Rioux n’ont pas joué, tout comme Guillaume Gleason, malade, Dovydas Jukna (championnat mondial) et Raphaël Achermann… Rappelé la semaine dernière en raison des trois blessés à la ligne bleue, Nate Ostridge a disputé un premier match au Colisée Financière Sun Life… L’Océanic a honoré ses joueurs les plus méritants de novembre : le plus utile est Jack Martin et le joueur-étudiant est William Lacelle… Les Olympiques de Gatineau seront les visiteurs, samedi à 16 h…