Le ministère des Transports et de la Mobilité durable entamera, dès ce lundi 4 août, des travaux d’asphaltage et de remplacement d’un ponceau sur le chemin Perreault (route 132), dans le secteur est de Sainte-Flavie. Le chantier s’échelonnera sur une période de cinq semaines.
Les travaux s’étendront également à une portion de l’avenue Perreault Est à Mont-Joli.
Pour permettre le remplacement du ponceau, le chemin Perreault sera complètement fermé à la circulation les 6, 7 et 8 août, ainsi
Le ministère des Transports et de la Mobilité durable entamera, dès ce lundi 4 août, des travaux d’asphaltage et de remplacement d’un ponceau sur le chemin Perreault (route 132), dans le secteur est de Sainte-Flavie. Le chantier s’échelonnera sur une période de cinq semaines.
Les travaux s’étendront également à une portion de l’avenue Perreault Est à Mont-Joli.
Pour permettre le remplacement du ponceau, le chemin Perreault sera complètement fermé à la circulation les 6, 7 et 8 août, ainsi que les 11 et 12 août.
Un détour par la route 132 sera mis en place afin de permettre aux usagers de circuler d’un côté à l’autre de l’entrave. En dehors de ces dates, la circulation s’effectuera en alternance.
Les dates et la durée des travaux pourraient être modifiées en cas de conditions météorologiques défavorables.
Dans le cadre du 14e Week-end des anciennes organisé par le Club de voitures anciennes Le Fiacre du Bas-Saint-Laurent, le groupe rétro rimouskois Les Années Jukebox proposera une soirée théâtrale et humoristique, ce samedi 9 août à la Salle Desjardins-TELUS.
En plus de présenter des classiques des années 50 à 70, il réserve de nombreuses surprises aux spectateurs.
Composé de 10 musiciens et chanteurs, ce groupe existe depuis 11 ans. Bien qu’il offre plusieurs représentations à l’année, i
Dans le cadre du 14e Week-end des anciennes organisé par le Club de voitures anciennes Le Fiacre du Bas-Saint-Laurent, le groupe rétro rimouskois Les Années Jukebox proposera une soirée théâtrale et humoristique, ce samedi 9 août à la Salle Desjardins-TELUS.
En plus de présenter des classiques des années 50 à 70, il réserve de nombreuses surprises aux spectateurs.
Composé de 10 musiciens et chanteurs, ce groupe existe depuis 11 ans. Bien qu’il offre plusieurs représentations à l’année, il monte sur scène pour une représentation unique chaque été.
« C’est toujours un spectacle créé sur mesure pour Desjardins-TELUS. Nous essayons de nous renouveler parce que c’est souvent les mêmes personnes qui viennent nous voir. Nous avons des partisans vraiment fidèles. Nous espérons qu’ils seront au rendez-vous encore cette année », indique la chanteuse et metteuse en scène pour Les Années Jukebox, Marylène Thériault.
Ce spectacle original est présenté à la Salle Desjardins-TELUS pour une troisième année consécutive.
« La première année, nous y étions allés avec des danseurs comme invités spéciaux. Cette fois-ci, nous voulions aller ailleurs. C’est, selon moi, notre meilleur spectacle des trois. Nous avons de nouveaux membres dans le groupe depuis quelques mois et nous pratiquons beaucoup. Nous avons plusieurs nouvelles chansons à présenter », ajoute la chanteuse.
Le groupe compte 10 artistes. (Photo courtoisie)
Deux invitées participeront à cette soirée festive. Il s’agit des comédiennes de la Troupe du Roy Berthe de Saint-Fabien, Noëlline Thériault et Carmelle Beauchêne.
« Elles vont faire quelques petites apparitions pendant le spectacle pour faire référence aux années 50, 60, 70. Le but est de faire vivre cette époque aux spectateurs. C’est un spectacle immersif avec de petites anecdotes et notre répertoire rétro de ces années-là », explique madame Thériault.
Pour tous les goûts
L’artiste précise que le groupe Les Années Jukebox s’adresse à un public de tous les âges.
« Nous allons chercher les gens qui aiment Elvis Presley et les Beatles, mais aussi CCR, Queen, Ginette Reno et Édith Piaf. Nous allons vraiment partout et nous en avons pour tous les goûts. Nous sommes cinq chanteurs. Nous couvrons un éventail assez large et chacun a son style. »
Les membres du groupe sont âgés de 30 à 77 ans et passionnés de musique. Marylène Thériault trouve enrichissant de prendre part à ce projet qui rassemble les générations.
« Les plus âgés ont des références musicales à nous donner que nous n’avons pas. Chaque membre du groupe a une mission et apporte sa petite touche. Nous sommes tous des amis. Même si nous avons tous notre métier en dehors de la musique, nous sommes plus que des amateurs. »
Les billets sont en vente à la billetterie de Spect’Art et à la porte, le soir du spectacle. La représentation de trois heures commencera à 19 h 30.
Grande première ce vendredi 1er août 2025 dans les annales de la chasse du cerf sur l’île d’Anticosti, (zone 20), c’est le premier jour de l’achat en ligne du permis à deux coupons de transport, ce qui était impossible auparavant, et disponible une fois rendu sur l’île, comme à Port-Menier.
Les chasseurs devront acheter leur permis sur la plateforme « Mon dossier chasse et pêche ».
L’achat des permis, sans coupons de transport, étaient disponibles en ligne depuis 2021. Or maintenant, ce s
Grande première ce vendredi 1er août 2025 dans les annales de la chasse du cerf sur l’île d’Anticosti, (zone 20), c’est le premier jour de l’achat en ligne du permis à deux coupons de transport, ce qui était impossible auparavant, et disponible une fois rendu sur l’île, comme à Port-Menier.
Les chasseurs devront acheter leur permis sur la plateforme « Mon dossier chasse et pêche ».
Le Directeur ventes et service à la clientèle de SÉPAQ-Anticosti, Daniel Lévesque, estime que l’achat des permis en ligne « sera une bonne chose », tant pour les chasseurs, que le personnel qui n’aura plus à compléter les permis requis, souvent à la dernière minute.
Des modalités s’imposent
Toutefois, des modalités et obligations s’imposent.
« Le permis et les coupons de transport des cerfs devront être imprimés sur papier avant d’arriver à l’île, les chasseurs devront s’assurer de l’intégrité du coupon de transport avant de l’apposer sur l’animal récolté. L’idéal est de plastifier permis et coupons au préalable. Les coupons doivent demeurer lisibles, en bon état, lorsqu’apposés sur les cerfs récoltés », indique Daniel Lévesque, récemment en entrevue à « Rendez-Vous Nature ».
Le responsable du service à la clientèle du parc national d’Anticosti et de Sépaq Anticosti, Daniel Lévesque. (Photo courtoisie)
À un mois de l’ouverture de la saison de la chasse sur Anticosti, les chasseurs auront donc amplement le temps de remplir ces obligations.
Aussi, le ministère de la Faune exige que chaque chevreuil soit désormais enregistré en entier par le chasseur, avant sa mise en boîte et son transport vers l’aéroport.
« Le chasseur aura la responsabilité d’enregistrer en ligne le gibier récolté, via un code QR affiché dans chaque aéroport de l’île. Chaque cerf prélevé doit être enregistré avant d’arriver sur le continent », précise Daniel Lévesque.
Le Marché public de Rimouski entame sa 10e semaine d’activités en 2025 avec la présentation de son premier marché de soirée, prévu ce jeudi 31 juillet, de 16 h à 19 h, au parc de la Gare.
L’événement devait avoir lieu jeudi dernier, mais il avait été reporté en raison de la pluie.
Voici les exposants prévus sur place :
Pour manger
Shamra, cuisine syrienne
La Fermenterie du Père Canuel
Saison deli Pizza Mobile
La Caboche
Pour boire
Vignoble de La FETE
Café du
Le Marché public de Rimouski entame sa 10e semaine d’activités en 2025 avec la présentation de son premier marché de soirée, prévu ce jeudi 31 juillet, de 16 h à 19 h, au parc de la Gare.
L’événement devait avoir lieu jeudi dernier, mais il avait été reporté en raison de la pluie.
Du même coup, le Marché public de Rimouski célébrera la première journée de la 17e Semaine des Marchés publics du Québec. En tout, plus de 2 500 producteurs et artisans bioalimentaires vendent leurs produits dans les marchés publics de la province.
Une très forte proportion de citoyens du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie sont en faveur des projets éoliens. C’est le constat qui émane d’un sondage mené entre janvier et mars auprès de 1014 adultes, à la demande de l’Alliance de l’énergie de l’Est.
Pas moins de 87% des personnes sondées appuient l’installation d’éoliennes dans leur région.
À noter cependant que la proportion diminue à 67 % pour des éoliennes directement dans leur propre municipalité.
« Ce sondage nous confirme de
Une très forte proportion de citoyens du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie sont en faveur des projets éoliens. C’est le constat qui émane d’un sondage mené entre janvier et mars auprès de 1014 adultes, à la demande de l’Alliance de l’énergie de l’Est.
Pas moins de 87% des personnes sondées appuient l’installation d’éoliennes dans leur région.
À noter cependant que la proportion diminue à 67 % pour des éoliennes directement dans leur propre municipalité.
« Ce sondage nous confirme des hypothèses que nous avions depuis un bon moment. La majorité des résidents de l’Est-du-Québec veulent participer à la transition énergétique, notamment par le développement éolien. C’est super motivant », note le président de l’Alliance, Michel Lagacé.
Acceptabilité sociale
Ce ne sont pas tous les projets qui passent comme une lettre à la poste. À Saint-Ferréol-des-Neiges par exemple, près du parc du Mont-Sainte-Anne, un mégaprojet de 1200 MW a suscité la grogne auprès de certains citoyens.
Les éoliennes les plus proches devaient être installées à environ 500 mètres de la station alpine. Le village était divisé sur la question, les opposants craignant pour l’impact visuel sur le paysage. Québec a finalement donné le feu vert en novembre.
Au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, les projets éoliens sont généralement très bien vus. En février, Québec a autorisé la construction du parc éolien Mesgig Ugju’s’n 2 pouvant atteindre jusqu’à 102 MW, derrière Escuminac. Peu de voix se sont élevées contre le projet.
Les 56 éoliennes du projet PPAW1 seront érigées dans l’ouest du Bas-Saint-Laurent, dans les MRC de Kamouraska, Témiscouata et Rivière-du-Loup. (Photo Invenergy)
Il faut dire que le modèle d’affaires bénéficie directement aux collectivités faisant partie de l’Alliance de l’énergie de l’Est. Celles-ci se partagent une part des bénéfices.
Depuis 2017, l’organisation a permis aux communautés du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et aux Premières Nations de toucher plus de 90 M $ en bénéfices éoliens.
Avantages bien reçus
Au départ, dans les années 2000, les projets éoliens étaient entièrement privés. C’est en 2010 que les premières ententes intermunicipales ont vu le jour, sous la pression du milieu qui réclamait une part des retombées, rappelait tout récemment le collègue Bruno St-Pierre.
Depuis 2023, les régies intermunicipales du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie ont uni leurs forces pour mieux coordonner leurs projets, augmenter leur capacité de financement et maximiser leurs retombées.
Le président de l’Alliance de l’énergie de l’Est, Michel Lagacé (Photo courtoisie)
Aujourd’hui, l’Alliance regroupe la quasi-totalité des 227 municipalités et nations autochtones du territoire. Les revenus éoliens sont partagés à hauteur d’un tiers pour la Gaspésie et deux tiers pour le Bas-Saint-Laurent.
Selon le sondage de l’Alliance, ce sont 60% des citoyens qui perçoivent les avantages des éoliennes; que ce soit pour la création d’emplois locaux ou la hausse de revenus pour les municipalités.
Aspect environnemental
Une minorité de résidents ont des inquiétudes sur la perte de valeur des propriétés (22 %), la pollution visuelle ou sonore (24 %), les impacts sur les milieux naturels et humides (27 %) ou encore les impacts sur la faune et la flore (33 %).
D’autre part, ce sont 60 % des citoyens qui ont confiance que les communautés et les procédures environnementales seront respectées dans le développement des projets.
« Nous sommes conscients que la population s’attend à des développements qui respectent les communautés dans lesquels ils se déploient et qui respectent les procédures environnementales. C’est exactement ce que l’Alliance s’efforce de faire de concert avec ses partenaires », précise monsieur Lagacé.
Par ailleurs, 68 % des sondés sont d’avis que les éoliennes peuvent contribuer significativement à la transition énergétique.
Les nageuses du Club Les Dauphins de Rimouski, Maxim Bélanger et Emma Ducharme, ont respectivement obtenu des médailles d’argent et de bronze lors du Grand Prix du Québec qui avait lieu, du 24 au 27 juillet, à Montréal.
Bélanger s’est classée deuxième au 50 mètres brasse. Elle a pris part à une autre finale chez les 16-17 ans, soit au 100 mètres brasse. La Rimouskoise a également obtenu deux meilleurs temps au 50 mètres papillon et au 50 mètres brasse.
Pour sa part, Ducharme a pris part à
Les nageuses du Club Les Dauphins de Rimouski, Maxim Bélanger et Emma Ducharme, ont respectivement obtenu des médailles d’argent et de bronze lors du Grand Prix du Québec qui avait lieu, du 24 au 27 juillet, à Montréal.
Bélanger s’est classée deuxième au 50 mètres brasse. Elle a pris part à une autre finale chez les 16-17 ans, soit au 100 mètres brasse. La Rimouskoise a également obtenu deux meilleurs temps au 50 mètres papillon et au 50 mètres brasse.
Pour sa part, Ducharme a pris part à quatre finales sur cinq épreuves. C’est au 50 mètres dos qu’elle a obtenu sa médaille. Elle a réussi un meilleur temps au 100 mètres papillon.
Un autre nageur des Dauphins était de la compétition. Hugo Brouillet a participé à trois finales à la brasse en plus de réussir quatre meilleurs temps sur cinq épreuves. Il a terminé 6e au 100 mètres brasse.
Nouveaux records et standards
Grâce à sa performance au 50 mètres brasse (30,43), Brouillet pourra participer aux Championnats canadiens en petit bassin de 25 mètres qui auront lieu, du 7 au 10 août, à Sherbrooke. C’était le dernier standard national qu’il lui manquait.
Il a, par le fait même, battu ses records de club et de l’Est-du-Québec à cette épreuve.
Maxim Bélanger a aussi abaissé ses records de club et de l’Est-du-Québec au 50 mètres brasse avec son temps de 33,33.
Emma Ducharme et Maxim Bélanger au Complexe aquatique du parc Jean-Drapeau. (Photo courtoisie)
Le Grand Prix du Québec était présenté pour une première fois. Cette nouvelle compétition, organisée par la Fédération de natation du Québec, est réservée aux athlètes juniors et seniors qui répondent aux critères de performance de haut niveau national.
Près de 400 nageurs d’un peu partout au pays y participaient au Complexe aquatique du parc Jean-Drapeau.
Le 24e festival Concerts aux Îles du Bic débute, ce samedi 2 août, avec huit spectacles prévus jusqu’au 10 août.
Le spectacle Gala d’ouverture « Suite tango : Bach à Buenos Aires » se tiendra le samedi 2 août à 20 h à l’église du Bic. Le bandonéoniste québécois Denis Plante s’est inspiré des suites de Bach pour écrire de la musique de tango. Il sera accompagné du violoncelliste virtuose Stéphane Tétreault.
« Émile Quimper-Bouchard : le violoncelle qui chante » présente l’un des talents is
Le 24e festival Concerts aux Îles du Bic débute, ce samedi 2 août, avec huit spectacles prévus jusqu’au 10 août.
Le spectacle Gala d’ouverture « Suite tango : Bach à Buenos Aires » se tiendra le samedi 2 août à 20 h à l’église du Bic. Le bandonéoniste québécois Denis Plante s’est inspiré des suites de Bach pour écrire de la musique de tango. Il sera accompagné du violoncelliste virtuose Stéphane Tétreault.
« Émile Quimper-Bouchard : le violoncelle qui chante » présente l’un des talents issus de la région, le pianiste Jules-Alex Banville, le dimanche 3 août à 15 h. dans le chœur de la cathédrale de Rimouski. « Soirée chez les Schumann » met en vedette le pianiste Mathieu Gaudet, la violoniste Élise Lavoie et Stéphane Tétreault. Ils convient le public le mercredi 6 août à 20 h à l’église du Bic.
« Le Quatuor Myriade célèbre Ravel » rend hommage aux 150 ans de la naissance du compositeur français, le jeudi 7 août à 20 h à l’église de Saint-Fabien, tandis que « Perles du minimalisme », de l’Ensemble Paramirabo, aura lieu le vendredi 8 août à 21 h à la salle Jack-Herbert du Conservatoire de musique de Rimouski.
Répertoire baroque français
« Musiques intimes pour la chambre du Roy » présente, dans une ambiance matinale champêtre, un répertoire baroque français du 17e et du 18e siècle. Trois spécialistes de la musique ancienne unissent leur talent : le haute-contre Philippe Gagné, la gambiste Mélisande Corriveau et le claveciniste Eric Milnes.
Philippe Gagné, à gauche, participera au festival Concerts aux Îles du Bic. (Photo courtoisie)
Ce concert se tiendra à la chapelle de Saint-Fabien-sur-Mer, le samedi 9 août à 10 h. « Les Vêpres à la vierge de Claudio Monteverdi » réunira 26 chanteurs et musiciens dans une œuvre fondatrice de la grande tradition occidentale, le samedi 9 août à 14 h dans la cathédrale de Rimouski.
Le festival se terminera avec un gala de « Musiques américaines », le dimanche 10 août à 16 h à l’église du Bic.
Un jeune automobiliste de 19 ans devra s’acquitter d’un constat d’infraction de 1 461 $, assorti de 14 points d’inaptitude, pour avoir circulé à 171 km/h sur l’autoroute 20 en direction est, mercredi (30 juillet) vers 14 h, dans le secteur de Cacouna.
Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une période de sept jours, conformément au Code de la sécurité routière.
Cette infraction survient alors que la Sûreté du Québec a lancé, plus tôt cette semaine, un appel à la prudence s
Un jeune automobiliste de 19 ans devra s’acquitter d’un constat d’infraction de 1 461 $, assorti de 14 points d’inaptitude, pour avoir circulé à 171 km/h sur l’autoroute 20 en direction est, mercredi (30 juillet) vers 14 h, dans le secteur de Cacouna.
Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une période de sept jours, conformément au Code de la sécurité routière.
Le nombre de décès enregistrés depuis le début des vacances de la construction dépasse celui de la même période l’an dernier.
« Si on veut renverser la tendance, il faut absolument que chacun fasse sa part. On doit ralentir, être vigilant et, surtout, être en état de conduire lorsqu’on prend le volant », rappelle la sergente Ève Brochu-Joubert dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux de la SQ.
Le Shaker de Rimouski a connu un mercredi soir fructueux à plus d’un point de vue quand il a gagné pendant que ses deux principaux rivaux au classement s’inclinaient.
Il a disposé du Bérubé GM de Trois-Pistoles par la marque de 10-9 dans un festival de coups de circuit. Pendant ce temps, les Braves Batitech du Témiscouata ont perdu 3-1 à Edmundston pendant que le CIEL FM de Rivière-du-Loup s’inclinait 11-8 au Kamouraska.
Markus Coates est surpris de la décision de l’arbitre sur cette séque
Le Shaker de Rimouski a connu un mercredi soir fructueux à plus d’un point de vue quand il a gagné pendant que ses deux principaux rivaux au classement s’inclinaient.
Il a disposé du Bérubé GM de Trois-Pistoles par la marque de 10-9 dans un festival de coups de circuit. Pendant ce temps, les Braves Batitech du Témiscouata ont perdu 3-1 à Edmundston pendant que le CIEL FM de Rivière-du-Loup s’inclinait 11-8 au Kamouraska.
Markus Coates est surpris de la décision de l’arbitre sur cette séquence. (Photo Jean-Claude Pelletier)
À Trois-Pistoles, Ludovic Dubé, avec deux, Pier-Luc Ouellet et Philippe Lavigne ont frappé de longues balles, tout comme Élie Belzile, du Bérubé GM qui en a deux en plus de quatre points produits.
Le Shaker a bien failli laisser filer une avance de 7-1 en 5e manche. Markus Coates est venu fermer le match avec une manche 1-2-3 en 7e manche pour le sauvetage.
Élie Belzile (28) a frappé deux coups de circuit (Photo Jean-Claude Pelletier)
Benjamin Roy (4 manches) est le lanceur gagnant pendant qu’Anthony Fournier encaissait le revers malgré une bonne sortie (deux points accordés).
À Saint-Pascal, le CIEL FM a laissé filer une avance de 8-2 en 4e manche pour s’incliner 11-8. Le coup décisif est venu du bâton de Thomy Lévesque avec un double de trois points qui a porté la marque à 10-8 pour les Industries Desjardins.
Maxime Bourgelas a une longue balle bonne pour un point dans la victoire.
Martin Bossé, qui a lancé les trois dernières manches, enregistre la victoire pendant que la défaite est portée au dossier de Guillaume Chénard.
À Edmundston, dans un superbe duel de lanceurs, le Frontière FM a disposé des Braves Batitech par 3-1.
Garett Parkins a limité ses adversaires à quatre coups sûrs en plus de réussir 12 retraits au bâton. C’est Kodai Kambara (9K en 5 manches) qui encaisse le revers.
Garett Parkins (Photo archives Le Soir – René Alary)
Parkins s’est aussi signalé avec un circuit en solo pour le circuit qui donnait les devants aux siens par 2-1. Sam Cyr, avec deux coups sûrs, a produit les deux autres points.
Avec seulement six parties à disputer au calendrier, une seule équipe (Trois-Pistoles) ne peut plus bouger de sa 7e position. Pour le reste, les scénarios sont nombreux. L’un d’eux veut même qu’une quadruple égalité en tête lundi soir est possible !
Ce qu’on sait, c’est que le Shaker sera champion du calendrier s’il gagne un de ses deux derniers matchs à la maison, vendredi contre Matane et lundi prochain contre Edmundston.
Matane, qui est actuellement 4e, peut encore finir 2e, mais aussi glisser au 6e rang !
La récolte de médailles pour l’Est-du-Québec s’est poursuivie à cette 59e Finale des Jeux du Québec à Trois-Rivières. Louis-Olivier St-Pierre de Rimouski et Charles Lizotte de Rivière-du-Loup ont obtenu une troisième position grâce à leur performance en golf à l’épreuve deux balles, meilleure balle.
Le duo a décroché le bronze dans la catégorie juvénile grâce à un pointage de 71 lors de la ronde présenté au Club Ki-8-Eb.
Le parcours comportait son lot de défis, notamment avec plusieurs ve
La récolte de médailles pour l’Est-du-Québec s’est poursuivie à cette 59e Finale des Jeux du Québec à Trois-Rivières. Louis-Olivier St-Pierre de Rimouski et Charles Lizotte de Rivière-du-Loup ont obtenu une troisième position grâce à leur performance en golf à l’épreuve deux balles, meilleure balle.
Le duo a décroché le bronze dans la catégorie juvénile grâce à un pointage de 71 lors de la ronde présenté au Club Ki-8-Eb.
Le parcours comportait son lot de défis, notamment avec plusieurs verts très ondulés. Malgré une pluie intense au dernier trou, ils ont su tirer leur épingle du jeu.
« On est très contents, et on reste aussi très concentrés pour demain », ont-ils ajouté en référence à l’épreuve Vegas à deux qui aura lieu, jeudi.
Natation
Le nageur Oly Morneau de Notre-Dame-du-Portage a brillé à la piscine en remportant deux médailles, en plus de réaliser deux records personnels. Il a fini au premier rang au 50 mètres libre grâce à un chrono de 24.43, son meilleur temps et également un record de son club les Loups-marins de Rivière-du-Loup.
Le nageur Oly Morneau (Photo courtoisie)
Morneau a également gagné le bronze au 50 mètres papillon avec 26.69 secondes, son meilleur chrono sur cette distance.
Anthony Roy de Rivière-du-Loup a réalisé une belle performance au 200 mètres papillon. Il a terminé en 7e position avec un temps de 22 :23.98.
Soccer féminin
Les filles ont amorcé leur participation aux Jeux du Québec avec une victoire de 2 à 1 contre l’équipe de la Mauricie après une séance de tirs au but.
Camille Werstink de Sainte-Luce a marqué le but de l’Est-du-Québec dans cette partie lors de laquelle l’équipe de l’Est-du-Québec a démontré une solide défensive et des efforts constants.
La qualité de la relance et la gestion de la profondeur ont été des atouts durant cette partie.
Soccer masculin
Les garçons ont sauté rapidement sur le terrain à leur arrivée aux Jeux du Québec, avec une partie le jour même de leur arrivée, mardi soir, à Trois-Rivières.
Les Rimouskois Antoine Bencosme Boudreau, Logan Fournier et William Proulx ont chacun marqué un but, menant l’équipe à une victoire de 3 à 0 contre l’équipe de Sud-Ouest. Les joueurs de l’Est-du-Québec ont été en contrôle la grande majorité de la partie. Ils ont fait peu d’erreurs et concédé très peu d’occasions à l’adversaire.
Les représentants de la région ont ensuite perdu contre l’équipe des Laurentides, mercredi, par la marque de 3-1. Ils ont débuté la partie avec intensité et détermination, parvenant à marquer le premier but grâce à un tir de Logan Fournier de Rimouski. Les joueurs de l’équipe adverse sont toutefois revenus de l’arrière et ont marqué trois buts sans riposte.
Marcello Cano Ortiz de Rimouski a été le joueur du match pour l’Est-du-Québec. Il a gagné ses duels en plus d’effectuer un beau travail défensif et de faire preuve de persévérance tout au long de la partie.
Basketball féminin
Les joueuses de l’Est-du-Québec ont remporté la victoire par un pointage de 42 à 38 contre l’équipe de l’Abitibi-Témiscamingue. Elles ont par la suite subi la défaite contre la puissante équipe de la Capitale-Nationale au compte de 73 à 9.
Basketball masculin
L’équipe masculine de la région a perdu contre celle de l’Abitibi-Témiscamingue par la marque de 59 à 46. Les joueurs ont par la suite gagné face aux représentants de la Côte-Nord avec un pointage de 52 à 41.
Volleyball de plage masculin
Après une partie serrée contre Lanaudière et une défaite contre le Centre-du-Québec, les garçons ont su bien rebondir contre l’Abitibi-Témiscamingue. L’entraîneur s’est dit fier de leur progression pendant la journée et des efforts qu’ils ont fournis.
Volleyball de plage féminin
Malgré une belle exécution, les filles ont été vaincues lors de leurs trois parties de la journée. Elles seront de nouveau en action demain et affronteront de nouvelles équipes.
Acheter une première maison est un rêve que de moins en moins de jeunes familles peuvent réaliser. Malgré la baisse des taux d’intérêt et les différentes mesures mises en place pour favoriser l’accès à la propriété, l’écart entre le prix des maisons et les revenus ne cesse de se creuser.
En cinq ans, le prix moyen d’une résidence a presque quadruplé, alors que les salaires n’ont pas suivi la même progression.
Plusieurs facteurs expliquent cette hausse fulgurante des prix. La principale dem
Acheter une première maison est un rêve que de moins en moins de jeunes familles peuvent réaliser. Malgré la baisse des taux d’intérêt et les différentes mesures mises en place pour favoriser l’accès à la propriété, l’écart entre le prix des maisons et les revenus ne cesse de se creuser.
En cinq ans, le prix moyen d’une résidence a presque quadruplé, alors que les salaires n’ont pas suivi la même progression.
Plusieurs facteurs expliquent cette hausse fulgurante des prix. La principale demeure la pénurie de logements, qui génère une forte demande. L’arrivée de nombreux nouveaux résidents exerce aussi une pression sur le marché.
« Des gens qui ont vendu une propriété à Montréal pour 1 M$ arrivent ici et vont payer une maison 500 ou 600 000 $. Pour eux, ce n’est pas énorme », explique la directrice de l’agence RE/MAX à Rimouski, Manon Labrie.
Le marché est donc très favorable aux vendeurs. « Dès qu’une propriété est inscrite à un prix juste, il y a rapidement plusieurs promesses d’achat. Tout le monde la veut, parce qu’il n’y en a pas tant que ça sur le marché », ajoute-t-elle.
Cette surenchère continue d’alimenter la flambée des prix.
Génération à loyer
À Rimouski, le prix moyen d’une maison s’élevait à 380 000 $ en juin, une hausse de 10 % en seulement deux mois. Les salaires stagnent et les jeunes doivent désormais épargner deux fois plus longtemps pour accumuler une mise de fonds suffisante, ce qui cause une nette dégradation du pouvoir d’achat.
« Si on compare avec les générations précédentes, c’était plus facile de devenir propriétaire. De moins en moins de jeunes dans la vingtaine ou au début de la trentaine peuvent accéder à la propriété. On parle carrément d’une génération de locataires », estime l’économiste chez Desjardins, Maëlle Boulais Préseault.
Un travailleur de la construction (Photo Freepik)
Au premier trimestre, 80 % des mises en chantier au Québec visaient des immeubles à logements, ce qui accentue encore la rareté des maisons unifamiliales. Cette pression accrue sur le parc locatif fait aussi grimper les loyers.
Aujourd’hui, les ménages doivent consacrer en moyenne 40 % de leur revenu au logement, comparativement à 25 % il y a 20 ans. Même avec deux revenus, plusieurs familles peinent à boucler leur budget.
Marché toujours vigoureux
Malgré la situation, le marché immobilier ne montre aucun signe de ralentissement. En moyenne, une maison reste moins d’un mois sur le marché.
En juin, 600 propriétés ont changé de mains au Bas-Saint-Laurent, une hausse de 5 % par rapport à l’an dernier.
Selon le Registre foncier du Québec, la région détient même le record provincial pour les ventes de maisons entre 250 000 $ et 500 000 $, avec une augmentation de près de 40 %. À noter : 37 résidences ont été vendues à plus d’un demi-million de dollars.
La pièce d’un loft du centre-ville de Rimouski. (Photo courtoisie)
Cette flambée des prix fait aussi grimper les évaluations foncières, et donc les comptes de taxes municipales. En juin, l’évaluation moyenne d’une résidence unifamiliale au Bas-Saint-Laurent atteignait 240 000 $, soit 80 000 $ de plus qu’il y a cinq ans.
La hausse est particulièrement marquée dans les grands centres. À Rimouski-Neigette, la valeur foncière moyenne d’une maison a bondi de 110 000 $ depuis 2020, tandis qu’elle atteint près de 100 000 $ dans la MRC de Rivière-du-Loup.
Le prix de l’espoir
Tous deux dans la mi-vingtaine, Océane Vienneau et son conjoint, Anthony Ferrero, caressent depuis longtemps le rêve d’acheter une maison pour y construire leur vie avec leur petite fille de 8 mois, Abigaëlle.
« Ma fille grandit, pis on ne trouve rien qui nous convient, rien dans notre budget. Le marché va trop vite. Les maisons se vendent à une vitesse folle. On n’a même pas le temps de réfléchir ou de faire une inspection complète. Ça nous glisse entre les doigts », confie Océane, visiblement découragée.
Anthony Ferrero, sa conjointe Océane Vienneau et leur petite fille, Abigaëlle. (Photo courtoisie)
Et les rares propriétés jugées « abordables » sont loin d’être des aubaines.
« Il y en a à 120 000 $, mais c’est insalubre. C’est des maisons à refaire au complet. On ne veut pas embarquer là-dedans, on n’a pas les moyens de rénover de la cave au grenier. »
Déménager en Gaspésie
Face à l’impasse, le couple a choisi de louer un logement, en espérant que la situation se stabilise un peu d’ici l’été prochain. Une autre option envisagée : déménager en Gaspésie ou dans une région plus éloignée, où les prix seraient encore à la portée de jeunes acheteurs.
« Payer un loyer, ce n’est pas un investissement. C’est de l’argent qui s’envole. On veut bâtir quelque chose pour notre fille, pas juste survivre mois après mois. »
Remettre ce rêve de propriété est une grande déception pour la jeune mère.
« Ça me fait vraiment de la peine. Pour nous, mais aussi pour mes amis. On est plusieurs à avoir ce rêve-là. La petite maison, la famille, le chien dans la cour. Mais on n’y arrive pas. On est pris en appartement, pis on se demande si un jour ça va changer. »
Les Grandes Fêtes TELUS feront de nouveau vibrer le parc Beauséjour de Rimouski pour leur 19e présentation, du 31 juillet au 3 août, en accueillant les DJs deadmau 5 et Robin Schulz, les groupes X Ambassadors et Billy Talent ainsi que le chanteur country Matt Lang.
Les festivaliers profiteront aussi de nouveautés sur le site, dont des stationnements pour les motos offerts par Harley-Davidson et pour les vélos, proposés par Desjardins.
« Du côté de l’alimentation, il y aura le restaurant
Les Grandes Fêtes TELUS feront de nouveau vibrer le parc Beauséjour de Rimouski pour leur 19e présentation, du 31 juillet au 3 août, en accueillant les DJs deadmau 5 et Robin Schulz, les groupes X Ambassadors et Billy Talent ainsi que le chanteur country Matt Lang.
Les festivaliers profiteront aussi de nouveautés sur le site, dont des stationnements pour les motos offerts par Harley-Davidson et pour les vélos, proposés par Desjardins.
« Du côté de l’alimentation, il y aura le restaurant des Grandes Fêtes, qui propose un menu traditionnel de festival : hamburgers, hot-dogs, etc. La cantine Le Rallye sera aussi sur place, tout comme BBQ’s sur la route. Les portes ouvrent à 18 h, donc il est possible de se rendre sur le site pour manger. Nous allons aménager un coin avec un espace pour s’alimenter et il y aura aussi Les Bienfaits, pour s’acheter de la crème glacée », indique la directrice générale des Grandes Fêtes TELUS, Annie-Claude Beaulieu.
Thématique chaque soir
Comme c’est le cas depuis quelques années, la programmation des Grandes Fêtes TELUS propose une thématique chaque soir.
« Le jeudi sera notre soirée électro/DJ/nostalgie avec K-Maro, qui est un porteur de succès incroyables. En ce moment, on épluche tous les devis techniques et on procède à l’installation de tout ce qui est pyrotechnie, écrans, projection et lasers. Ce sera donc une soirée visuellement très agréable », mentionnait madame Beaulieu, la semaine dernière.
Annie-Claude Beaulieu est la nouvelle directrice générale des Grandes Fêtes TELUS. (Photo courtoisie)
Le lendemain, le pop et le rock seront à l’honneur. « La soirée du vendredi sera beaucoup dans l’émotion, avec de beaux textes et une ambiance assez universelle. On commence le tout avec Christine Morency, qui est l’une des humoristes de l’heure. Ce sera donc une heure de spectacle, mais à petit prix, donc on est super content. »
La directrice générale du Festival décrit le samedi comme étant la journée qui « grafigne. »
« Jérôme 50 semble être un habitué des premières parties de spectacle avec Québec Redneck Bluegrass Project (QRBP). Ils sont souvent ensemble dans des programmations, alors ils ont déjà une belle complicité et ils seront l’un en arrière de l’autre. On regarde aussi avec QRBP la façon dont il compte habiter la scène. Et bien sûr, Billy Talent, dont les membres du groupe sont super contents de venir à Rimouski. »
Le groupe Billy Talent se produira aux Grandes Fêtes TELUS 2025. (Photo courtoisie)
Le dimanche 3 août est pour sa part la journée à thématique country. « On espère que les gens vont porter leurs bottes et leurs chapeaux ! »
La scène Hydro-Québec
Les spectacles sur la scène Hydro-Québec sont gratuits pour tous, dans l’agora du parc Beauséjour.
« La programmation est très chouette, parce qu’elle met de l’avant quand même plusieurs groupes de Rimouski, ainsi qu’un groupe de la Gaspésie, Alex et Caro. Il y a donc un rayonnement local super agréable. Il y aura aussi des jeunes, comme Approche Chromatique, qui a remporté Cégeps en spectacle, il y a deux ans et qui viennent de sortir un album. On aura aussi Julep Julep qui vient de Rimouski et qui est excellent », conclut la directrice générale.
Récemment classé parmi les cinq meilleures expositions de voitures anciennes au Québec, le Week-end des anciennes s’annonce spectaculaire pour sa 14e présentation, prévue les 9 et 10 août, à la place des Anciens-Combattants de Rimouski.
Le comité organisateur espère accueillir plus de 250 véhicules de plus de 25 ans si les conditions météorologiques sont au rendez-vous.
Présenté par le Club de voitures anciennes Le Fiacre du Bas-Saint-Laurent, l’événement reçoit des passionnés du Québec,
Récemment classé parmi les cinq meilleures expositions de voitures anciennes au Québec, le Week-end des anciennes s’annonce spectaculaire pour sa 14e présentation, prévue les 9 et 10 août, à la place des Anciens-Combattants de Rimouski.
Le comité organisateur espère accueillir plus de 250 véhicules de plus de 25 ans si les conditions météorologiques sont au rendez-vous.
Présenté par le Club de voitures anciennes Le Fiacre du Bas-Saint-Laurent, l’événement reçoit des passionnés du Québec, du Nouveau-Brunswick et de l’état américain du Maine.
Parmi les modèles à l’honneur cette année, le Week-end des anciennes célèbrera les 60 ans de la Ford Mustang, avec la participation annoncée d’une vingtaine de voitures grâce au Club Mustang du Bas-Saint-Laurent et sa présidente, Nadia Gagnon.
Yannick Thériault et Gérald Pelletier s’activent à rassembler des Dodge Challenger, qui célèbrent leur 55e anniversaire cette année. Une dizaine de propriétaires ont déjà confirmé qu’ils présenteraient leurs voitures à Rimouski.
Le club B.A.H. de Québec, présidé par Gilles Allard, prévoit aussi une visite avec une dizaine de véhicules, en plus du retour des jeeps militaires, confirmé par Michel Pouliot, toujours apprécié des visiteurs.
Spectacle et hommage
Les inscriptions ouvriront le samedi 9 août, à 8 h 30, au coût de 10 $ par véhicule. Le comité compte sur une cinquantaine de bénévoles pour assurer le bon déroulement.
En plus des voitures et camions d’époque, les visiteurs admireront de vieux tracteurs et des engins stationnaires.
En marge du Week-end des anciennes, le groupe Les Années Jukebox offrira le spectacle « Rétro-spective », le samedi 9 août à 19 h 30, à la Salle Desjardins-TELUS. La mise en scène est assurée par Marylène Thériault.
Le député fédéral Maxime Blanchette-Joncas prend la pose en compagnie de Jacques, à gauche et Tony D’Anjou. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Avant la représentation, un hommage sera rendu Jacques D’Anjou, fondateur de Remorquage Provincial Jacques D’Anjou en 1972.
Les billets sont en vente à la billetterie de Spect’Art, au dépanneur ESSO 7/24 et auprès des membres du groupe.
Le conducteur d’un véhicule tout-terrain (VTT) âgé de 75 ans a perdu la vie mardi (29 juillet), vers 18 h, à la suite d’une embardée survenue sur le chemin des Côteaux à Percé, en Gaspésie.
« Il aurait perdu la maîtrise de son véhicule alors qu’il tentait de traverser l’intersection pour se rendre sur la route Blondin », explique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.
Lors de la perte de maîtrise, la victime, originaire de Percé, aurait été éjectée de son VTT. Les serv
Le conducteur d’un véhicule tout-terrain (VTT) âgé de 75 ans a perdu la vie mardi (29 juillet), vers 18 h, à la suite d’une embardée survenue sur le chemin des Côteaux à Percé, en Gaspésie.
« Il aurait perdu la maîtrise de son véhicule alors qu’il tentait de traverser l’intersection pour se rendre sur la route Blondin », explique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.
Lors de la perte de maîtrise, la victime, originaire de Percé, aurait été éjectée de son VTT. Les services d’urgence ont pris en charge la victime.
« L’homme a été amené vers un centre hospitalier où, malheureusement, son décès a été constaté », ajoute le porte-parole de la SQ.
Un enquêteur en scènes de collisions a été dépêché sur les lieux.
« Le dossier est dans les mains du coroner. Pour le moment, il est trop tôt pour déterminer les causes exactes de l’accident », précise Frédéric Deshaies.
Le tournoi de golf « Formule Rita » revient pour une 27e année, le vendredi 19 et le samedi 20 septembre au Club Les Saules, de nouveau sous la présidence d’honneur de Line Marcoux et de son fils William Doucet, de Rimouski Toyota.
L’un des plus importants événements caritatifs du genre à Rimouski devrait accueillir plus de 300 joueurs et partenaires pour les deux départs, prévus chaque journée à 13 h.
Toujours sous la responsabilité de Rita Marquis, du Club Lions de Rimouski, le tournoi
Le tournoi de golf « Formule Rita » revient pour une 27e année, le vendredi 19 et le samedi 20 septembre au Club Les Saules, de nouveau sous la présidence d’honneur de Line Marcoux et de son fils William Doucet, de Rimouski Toyota.
L’un des plus importants événements caritatifs du genre à Rimouski devrait accueillir plus de 300 joueurs et partenaires pour les deux départs, prévus chaque journée à 13 h.
En 2025, « Formule Rita » offrira 3 000$ à l’Association des personnes handicapées visuelles du Bas-Saint-Laurent, 1 500$ à Centraide et 1 000$ à Moisson Rimouski-Neigette, Sclérose en plaques Canada- Bas Saint-Laurent et Pro-Jeune-Est.
Les profits du tournoi servent aussi à l’achat de lunettes de vision durant toute l’année et à l’entretien de la Maison Lions, qui abrite deux organismes communautaires.
Fondation Marcel-Gagné
La Fondation Marcel-Gagné collaborera encore avec le tournoi « Formule Rita » en versant 6 000$, à la cagnotte finale, servant à venir en aide aux personnes démunies.
Comme par les années passées, les golfeurs participeront à de nombreux « trous chanceux », de soupers BBQ et steak sur gril ainsi que de généreuses tables de cadeaux. La chanteuse Isabelle Proulx fera partie de la programmation festive en soirée.
William Doucet et Line Marcoux de Rimouski Toyota, Louise Tremblay Marcel Gagné et Rita Marquis. (Photo courtoisie Jean-Claude Leclerc- Muffin et Café)
Plus de détails suivront dans les prochaines semaines.
Pour plus d’informations, contactez Rita Marquis au 418-723-1452, au 418-750-8594 ou au marquisrita@hotmail.com.
Il y a 20 ans, le 30 juillet 2005, les Penguins de Pittsburgh sélectionnaient Sidney Crosby au tout premier rang du repêchage de la LNH. L’adolescent de 17 ans faisait déjà vibrer Rimouski et la LHJMQ. Encore aujourd’hui, ce geste résonne dans le monde du hockey, tant l’héritage du joueur est profondément ancré.
Huit jours après avoir remporté une loterie spéciale tenue à la suite du lock-out de l’année précédente, les Penguins repêchaient Crosby, eux qui avaient terminé au dernier rang du cl
Il y a 20 ans, le 30 juillet 2005, les Penguins de Pittsburgh sélectionnaient Sidney Crosby au tout premier rang du repêchage de la LNH. L’adolescent de 17 ans faisait déjà vibrer Rimouski et la LHJMQ. Encore aujourd’hui, ce geste résonne dans le monde du hockey, tant l’héritage du joueur est profondément ancré.
Huit jours après avoir remporté une loterie spéciale tenue à la suite du lock-out de l’année précédente, les Penguins repêchaient Crosby, eux qui avaient terminé au dernier rang du classement général en 2003-2004. Pittsburgh faisait partie des quatre équipes ayant trois chances dans le boulier pour décrocher le premier choix au total.
Crosby n’a disputé que deux saisons avec l’Océanic, entre 2003 et 2005, mais son empreinte demeure indélébile avec 303 points et sa conquête de la Coupe du Président (aujourd’hui le trophée Gilles-Courteau).
Sidney Crosby alors qu’il portait l’uniforme de l’Océanic. (Photo courtoisie NHL.com)
Pour les Penguins, cette sélection allait transformer une équipe moribonde en véritable dynastie. Fort de plus de 1 600 points en carrière et de trois conquêtes de la Coupe Stanley à Pittsburgh, Crosby a redéfini les standards de l’organisation après le départ de Mario Lemieux.
L’exemple parfait
« Crosby, c’est l’exemple parfait du joueur complet, humble et travaillant. Il n’a jamais pris de raccourcis. Ce qu’il a fait à Pittsburgh, il l’a d’abord fait ici », a déjà souligné Doris Labonté, ex-directeur général et entraîneur-chef de l’Océanic.
Les Penguins ont été sauvés de la faillite grâce à lui. Leur amphithéâtre, le PPG Paints Arena, n’aurait peut-être jamais vu le jour sans la relance qu’il a incarnée. Crosby a porté l’organisation sur ses épaules dès le jour 1, surpassant toujours les attentes.
Sidney Crosby a remporté la Coupe Stanley à trois reprises avec les Penguins. (Photo courtoisie LNH)
Vingt ans plus tard, Sidney Crosby n’a jamais coupé les ponts avec Rimouski. Il revient régulièrement de façon discrète, soutient des initiatives locales et garde un œil attentif sur l’organisation.
Devenu un monument du hockey, il restera à jamais « Sid the Kid » dans le cœur des partisans de l’Océanic.
Cogeco Communications élargit son offre de services en lançant son réseau de téléphonie mobile dans 13 marchés au Québec et en Ontario, dont celui de Rimouski.
Le déploiement graduel de Cogeco Mobile doit se poursuivre jusqu’à l’automne, moment où l’ensemble des territoires desservis par le câblodistributeur auront accès au service.
Pour se tailler une place dans un marché déjà dominé par les géants des télécommunications, Cogeco mise sur des forfaits « concurrentiels » et des fonctionnal
Cogeco Communications élargit son offre de services en lançant son réseau de téléphonie mobile dans 13 marchés au Québec et en Ontario, dont celui de Rimouski.
Le déploiement graduel de Cogeco Mobile doit se poursuivre jusqu’à l’automne, moment où l’ensemble des territoires desservis par le câblodistributeur auront accès au service.
Pour se tailler une place dans un marché déjà dominé par les géants des télécommunications, Cogeco mise sur des forfaits « concurrentiels » et des fonctionnalités « pensées pour les clients », selon ce qu’avance l’entreprise.
« Ce lancement démontre clairement notre volonté d’être un joueur de plus en plus présent sur la scène canadienne des télécommunications », déclare le président et chef de la direction de Cogeco, Frédéric Perron.
Le réseau mobile de Cogeco repose sur un accord avec TELUS, l’une des trois principales sociétés de communications du pays. L’entreprise s’est aussi alliée à Eastlink pour ses infrastructures technologiques.
Les poètes Anick Arsenaut, Annie Landreville, Marie-Hélène Voyer ainsi que le photographe Steve Leroux, s’unissent pour lancer un recueil de poésie appelé Regards obliques, disponible en librairie dès ce mercredi 6 août.
Publié aux éditions Poètes de brousse, le recueil de poésie collaboratif comprend des photos de Steve Leroux et prend racine dans des bâtiments emblématiques de La Mitis, soit la Villa Estevan des Jardins de Métis, le Vieux presbytère de Sainte-Flavie et le Château Landry de
Les poètes Anick Arsenaut, Annie Landreville, Marie-Hélène Voyer ainsi que le photographe Steve Leroux, s’unissent pour lancer un recueil de poésie appelé Regards obliques, disponible en librairie dès ce mercredi 6 août.
Publié aux éditions Poètes de brousse, le recueil de poésie collaboratif comprend des photos de Steve Leroux et prend racine dans des bâtiments emblématiques de La Mitis, soit la Villa Estevan des Jardins de Métis, le Vieux presbytère de Sainte-Flavie et le Château Landry de Mont-Joli.
Né d’une exposition présentée en 2024 dans plusieurs lieux phares du Bas-Saint-Laurent dont les Jardins de Métis, la Galerie d’art Desjardins de l’UQAR et le Complexe culturel Joseph-Rouleau de Matane, les artistes posent un Regard oblique sur le patrimoine, l’histoire et l’architecture patrimoniale de ces lieux dont la vocation a bien changé au fil des ans.
Lors de sa présentation, l’exposition présentait une vingtaine d’œuvres poétiques et photographiques.
Un lancement officiel se tiendra ce dimanche 10 août, à 17 h, à la librairie l’Alphabet de Rimouski. L’événement est ouvert à tous.
Le Service des incendies et sécurité civile de la Ville de Trois-Pistoles a mis en service cette semaine un tout nouveau véhicule d’élévation, communément appelé « camion à grande échelle ». Ce véhicule spécialisé représente une avancée majeure pour la sécurité publique.
Jusqu’à maintenant, la Ville devait faire appel aux services de Rivière-du-Loup pour ce type d’intervention, ce qui entraînait des délais d’environ 45 minutes.
Grâce à l’acquisition de ce nouveau camion, le temps de répo
Le Service des incendies et sécurité civile de la Ville de Trois-Pistoles a mis en service cette semaine un tout nouveau véhicule d’élévation, communément appelé « camion à grande échelle ». Ce véhicule spécialisé représente une avancée majeure pour la sécurité publique.
Jusqu’à maintenant, la Ville devait faire appel aux services de Rivière-du-Loup pour ce type d’intervention, ce qui entraînait des délais d’environ 45 minutes.
Grâce à l’acquisition de ce nouveau camion, le temps de réponse est désormais réduit à quelques minutes seulement, offrant une capacité d’intervention rapide et efficace en hauteur, notamment pour les incendies et les sauvetages complexes.
Question de sécurité
Cette acquisition s’inscrit dans une volonté du conseil municipal d’accroître la sécurité des citoyens.
En mars 2024, le conseil municipal a autorisé l’adjudication du contrat à l’entreprise Aéro-Feu Ltée, au coût de 774 931,50 $ taxes incluses, pour l’achat d’un véhicule d’élévation usagé, équipé et conforme aux besoins du Service.
Grâce à l’acquisition de ce nouveau camion à grande échelle, le temps de réponse est désormais réduit à quelques minutes seulement à Trois-Pistoles. (Photo courtoisie)
Ce nouvel équipement marque une première historique pour le Service des incendies et sécurité civile de la Ville de Trois-Pistoles, qui n’avait jamais disposé d’un tel véhicule depuis sa fondation.
Les nombreux accidents de la route survenus depuis le début des vacances de la construction poussent la Sûreté du Québec (SQ) à lancer un nouvel appel à la prudence pour la suite des vacances estivales.
Par La Presse Canadienne
Le corps policier provincial rapporte que 17 décès sont survenus dans 14 collisions depuis le début des vacances de la construction, qui sont en cours depuis un peu plus d’une semaine. Ce bilan inclut les collisions sur route et hors route.
En 2024, pour l’entièr
Les nombreux accidents de la route survenus depuis le début des vacances de la construction poussent la Sûreté du Québec (SQ) à lancer un nouvel appel à la prudence pour la suite des vacances estivales.
Par La Presse Canadienne
Le corps policier provincial rapporte que 17 décès sont survenus dans 14 collisions depuis le début des vacances de la construction, qui sont en cours depuis un peu plus d’une semaine. Ce bilan inclut les collisions sur route et hors route.
En 2024, pour l’entièreté des vacances de la construction, 14 personnes avaient perdu la vie lors de 13 collisions mortelles sur le réseau routier, tandis que quatre décès étaient survenus dans des collisions impliquant un véhicule hors route.
Selon la SQ, le bilan de la première semaine des vacances de la construction de cette année commande un rappel des conseils de prudence de base.
«Si on veut renverser la tendance, il faut absolument que chacun fasse sa part. On doit ralentir, être vigilant et, surtout, être en état de conduire lorsqu’on prend le volant», affirme la sergente Ève Brochu-Joubert dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux de la SQ.
«On le sait, plusieurs sont en vacances. Si vous voulez tous les continuer avec votre famille et vos amis dans le plaisir, s’il vous plaît, soyez prudents sur les routes», ajoute-t-elle.
Réseau routier, plans d’eau et sentiers
Selon la SQ, la période des vacances de la construction représente toujours un moment où le nombre de collisions mortelles et avec blessés est particulièrement élevé.
Les policiers visent les comportements des plaisanciers sur les plans d’eau. (Photo courtoisie SQ)
Le corps policier provincial avait déjà annoncé qu’il intensifierait ses interventions sur le réseau routier, sur les plans d’eau et sur les sentiers du 18 juillet au 3 août.
En 2024, pendant les vacances estivales, le non-respect de la signalisation, le non-respect des limites de vitesse, la conduite avec facultés affaiblies et le non-port des équipements de sécurité étaient à l’origine de la plupart des accidents mortels et avec blessés graves, selon la SQ.
L’Est-du-Québec a remporté trois autres médailles, en ce mardi 29 juillet, lors de la dernière journée du premier bloc des compétitions à la 59e Finale des Jeux du Québec à Trois-Rivières.
Deux athlètes de la région se sont illustrés sur la pelouse. Laurent Bélanger de Pohénégamook a effectué un lancer de 46,41 mètres grâce auquel il a gagné la médaille d’or au lancer du marteau.
Emma Dubé de Saint-Arsène a décroché sa deuxième médaille d’argent à des Jeux de Trois-Rivières. Après son 2e
L’Est-du-Québec a remporté trois autres médailles, en ce mardi 29 juillet, lors de la dernière journée du premier bloc des compétitions à la 59e Finale des Jeux du Québec à Trois-Rivières.
Deux athlètes de la région se sont illustrés sur la pelouse. Laurent Bélanger de Pohénégamook a effectué un lancer de 46,41 mètres grâce auquel il a gagné la médaille d’or au lancer du marteau.
Emma Dubé de Saint-Arsène a décroché sa deuxième médaille d’argent à des Jeux de Trois-Rivières. Après son 2e rang au lancer du disque, elle s’est également distinguée au lancer du marteau. Joalie Tanguay de Rivière-Bleue a également bien fait, terminant en 6e place à cette même épreuve.
Avec un chrono de 49.83 secondes, les filles ont effectué une belle performance au relais de 4 x 100 mètres. L’équipe composée d’Anabelle Larouche (Rivière-du-Loup), Rose Bélanger (Rivière-du-Loup), Florence Bernier (Rimouski) et Juliette Dionne (Saint-Arsène) a terminé en 7e position.
Mathias Caron de La Pocatière a pris la 7e place au marteau grâce à un lancer de 30,60 mètres. Pour sa part, Henri Loiseau de Saint-Antonin a fini en 9e position au triple saut avec une performance de 11,41 mètres.
Natation artistique
Les nageuses de Rimouski Maélie Arseneau, Audrey Blanchette, Béatrice Chénard, Alexanne Cyr, Évelyne Fortin, Lily Leblanc, Mia Leblanc et Alice Mathurin ont réalisé une excellente performance qui leur a permis de gagner la médaille de bronze en équipe dans la catégorie jeunesse.
« Les filles ont livré une performance incroyable. Elles ont gardé leur énergie jusqu’à la fin de la routine et ont amélioré leur synchronisation par rapport à l’épreuve préliminaire. Au-delà de leur 2e place en routine qui leur a permis d’obtenir la médaille de bronze au cumulatif, nous sommes fières de les avoir vu s’amuser en nageant pour souligner leur dernière performance ensemble », ont mentionné les entraîneures.
Les résultats de toutes les nageuses à l’ensemble des épreuves ont permis à l’Est-du-Québec de terminer au 2e rang du classement des régions dans cette discipline et de remporter une bannière d’excellence de 2e position.
Tir à l’arc
Les archers de l’Est-du-Québec se sont démarqués par leur comportement, leur attitude, ainsi que leur esprit sportif en lien avec les valeurs du sport et des Jeux du Québec.
C’est ce qui a permis à la région d’obtenir la bannière de l’éthique de cette discipline parmi l’ensemble des régions.
Vélo de montagne
Au relais féminin par équipe, Stella Binet de Sainte-Flavie et Alice Harvey de Rimouski ont terminé en 12e position avec un temps de 42 :00.90.
Du côté du relais par équipe masculin, la meilleure performance de la région appartient à Louis Bernard de Maria et Philippe Gagnon de Rimouski qui ont terminé l’épreuve en 37 :25.58, prenant ainsi la 23e position.
Sept médailles en athlétisme
« Comme première finale auprès de ma nouvelle délégation, je suis très fière de voir l’esprit d’équipe et de camaraderie qui règne entre les représentants du bleu et jaune. Les jeunes sont motivés et prennent très au sérieux les compétitions. C’est magnifique de les voir se dépasser et réaliser des records personnels. Quel accomplissement! », mentionne la cheffe de délégation, Alexandra Gagnon-Tillard.
Laurent Bélanger a gagné l’or pour l’Est-du-Québec. (Photo courtoisie)
Les représentants de la région en athlétisme ont récolté sept médailles, alors que l’équipe de volleyball masculin a réalisé une première depuis 26 ans en remportant la médaille de bronze. La dernière fois que l’Est-du-Québec a gagné une médaille dans cette discipline était en 1999 à Alma.
En natation artistique, l’équipe a remporté la médaille de bronze dans la catégorie jeunesse et la bannière d’excellence de 2e position parmi l’ensemble des régions.
Classement par sport
Aux Jeux du Québec, 19 régions sont représentées. Le tableau qui suit présente de façon détaillée le classement de l’Est-du-Québec pour chacun des sports.
Sport
Classement 2025 à Trois-Rivières
Classement 2023à Rimouski
Athlétisme
14e
11e
Baseball masculin
14e
13e
BMX
14e
Discipline absente
Natation artistique
2e
6e
Tir à l’arc
11e
2e
Triathlon
17e
17e
Vélo de montagne
12e
12e
Volleyball féminin
13e
9e
Volleyball masculin
3e
6e
Avant de quitter, les athlètes du premier bloc de compétitions ont passé le flambeau à ceux en provenance de la région qui sont arrivés en après-midi à Rimouski.
Au cours des prochains jours, 90 athlètes participeront à différentes épreuves : basketball féminin, basketball masculin, golf, natation, soccer féminin, soccer masculin, volleyball de plage féminin, volleyball de plage masculin.
Ils seront encadrés par 18 entraîneurs et accompagnateurs, en plus de l’équipe de 13 missionnaires de la délégation.
L’été à Rimouski ne serait pas le même sans l’Exposition agricole, qui célèbre son 80e anniversaire, du 30 juillet au 3 août.
Tout est prêt pour accueillir les visiteurs sur le site de l’avenue de la Cathédrale. Son directeur général, Simon St-Pierre, présente aussi l’événement comme un rendez-vous annuel qui permet aux gens de savoir à quoi s’attendre.
« L’Expo, c’est beaucoup d’activités traditionnelles. Il y a plusieurs éléments qui reviennent d’année en année. Ce sont des éléments aux
L’été à Rimouski ne serait pas le même sans l’Exposition agricole, qui célèbre son 80e anniversaire, du 30 juillet au 3 août.
Tout est prêt pour accueillir les visiteurs sur le site de l’avenue de la Cathédrale. Son directeur général, Simon St-Pierre, présente aussi l’événement comme un rendez-vous annuel qui permet aux gens de savoir à quoi s’attendre.
« L’Expo, c’est beaucoup d’activités traditionnelles. Il y a plusieurs éléments qui reviennent d’année en année. Ce sont des éléments auxquels les gens sont habitués et auxquels ils s’attendent. Les manèges, les compétitions d’animaux, les spectacles d’humoristes, le gala de lutte, le Milot Land Tour, ce sont des activités offertes à l’Expo depuis maintenant plusieurs années. »
En tête d’affiche cette année, les humoristes Dominic Paquet et P.A. Méthot seront en spectacle sur la scène du Pavillon Romuald-St-Pierre, respectivement le jeudi 31 juillet à 21 h et le vendredi 1er août à 20 h.
Les tires de camions 4×4, les tires de tracteurs et les spectacles de chansonniers à la terrasse chaque soir seront aussi de retour.
Le site de l’Expo agricole de Rimouski (Photo courtoisie Beauce Carnaval)
Les amateurs de manèges pourront pour leur part s’amuser grâce à des attractions très familières aux usagers de l’Expo, tel que l’Himalaya, le Zipper, le Bateau, le Super Shot, l’Orbite, le Crazy surf et le Cliff Hanger.
Un manège de Beauce Carnaval, nouveau de l’an dernier, sera présenté pour la première fois en sol rimouskois : le Storm. De leur côté, les plus jeunes auront le choix entre l’Americana, le Raider, Tea cup, Magic maze, Monster truck, Mini scrambler, Drop and twist et Puppy love.
Se rapprocher du monde agricole
Monsieur St-Pierre rappelle aussi que toutes les activités proposées à l’Expo d’établir un contact entre la population et le monde agricole.
« On propose plusieurs activités variées, pour inciter les gens à se déplacer et ainsi leur donner une occasion de prendre contact avec le milieu agricole, soit en allant voir les animaux ou en prenant part à des activités éducatives découvertes agroalimentaires. »
D’ailleurs, les usagers de l’Expo pourront y découvrir en 2025 ces activités éducatives agroalimentaires présentées l’an dernier et qui ont été retravaillées.
Le directeur de la Société d’agriculture de Rimouski et organisateur de l’Expo agricole, Simon St-Pierre. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Quatre activités seront d’ailleurs présentées en continu pendant l’exposition, à l’intérieur du Pavillon polyvalent, qui porte cette année le nom de Pavillon Maïté-Blanchette-Vézina.
Le circuit éducatif de la ferme à la table est de retour pour une deuxième année. Comme l’indique son nom, son objectif est de faire connaitre aux jeunes visiteurs tout le processus que les aliments ont à faire avant de se retrouver dans l’assiette.
Activités de découverte
L’activité sur l’agriculture et l’horticulture urbaine, « Je t’invite dans ma cour ! », permet de découvrir les façons de cultiver chez soi à moindre coût, sa propre nourriture, tandis que l’initiative de jardinage éducatif « On Pousse! » propose un programme éducatif sur le jardinage aéroponique qui comprend diverses activités et des présentations conçues pour tous les publics.
Finalement, l’activité de découverte de la production sylvicole présentera des ateliers pour sensibiliser le public à l’importance sociale, environnementale, économique et culturelle de la forêt ainsi qu’à son développement durable.
Les jugements d’animaux demeurent très populaires à l’Expo agricole de Rimouski. (Photo courtoisie)
Enfin, dans la continuation du volet agricole et dans un but de mettre en valeur les réalisations et le savoir-faire des éleveurs et producteurs de la région, six jugements d’animaux seront présentés du jeudi au dimanche.
Un événement 4 à 8 de dégustations de produits agroalimentaires aura lieu ce vendredi 1er août.
Deux pompiers dans une même famille, c’est remarquable, trois c’est encore plus spécial. Mais le clan Ouellet-Mongeon a rien de moins que quatre membres de leur famille au sein des pompiers de Sainte-Félicité.
Yanick Ouellet a fait ses débuts chez les pompiers en 2003 à une époque où il y avait un manque criant de volontaires. C’est d’ailleurs en allant faire du lettrage pour les camions de pompiers qu’il a été recruté par le chef de caserne de l’époque.
« Ça m’intéressait déjà. La décisio
Deux pompiers dans une même famille, c’est remarquable, trois c’est encore plus spécial. Mais le clan Ouellet-Mongeon a rien de moins que quatre membres de leur famille au sein des pompiers de Sainte-Félicité.
Yanick Ouellet a fait ses débuts chez les pompiers en 2003 à une époque où il y avait un manque criant de volontaires. C’est d’ailleurs en allant faire du lettrage pour les camions de pompiers qu’il a été recruté par le chef de caserne de l’époque.
« Ça m’intéressait déjà. La décision n’a pas été difficile à prendre », indique monsieur Ouellet, aujourd’hui chef de la caserne 19 de Sainte-Félicité.
Sa conjointe, Nadine Mongeon, a entamé sa carrière en 2015. Après avoir arrêté quelques années pour s’occuper de sa famille, elle occupe maintenant le poste de pompière recrue et d’agente de prévention à temps plein, en plus de s’occuper du volet administratif.
« Mon intérêt pour le service incendie a commencé pas mal en même temps que le début de ma relation avec Yanick. Je trouvais les interventions assez impressionnantes. De plus, tant qu’à m’inquiéter chaque fois que Yanick allait sur un appel, aussi bien y aller avec lui », rigole-t-elle.
Sur les traces du père
Maxime Ouellet, fils de Yanick, a suivi les traces de son père en devenant pompier à temps partiel. C’est en 2017 qu’il a officiellement intégré le service incendie de la MRC de La Matanie à la caserne de Sainte-Félicité.
« Quand j’avais à peine sept ou huit ans, j’ai eu l’occasion de le voir à l’œuvre. Je l’observais à distance et ça me fascinait. Autant les habits de combat que les gros camions et aussi d’aider les gens. Je savais déjà que je voulais intégrer les pompiers lorsque je serais assez vieux. »
Finalement, le fils de Nadine, Luka Savard, est le dernier membre de la famille à intégrer les pompiers. Fraîchement arrivé dans le service incendie, il a débuté, cette année, sa formation comme pompier recrue. Il a eu la piqûre du métier alors qu’une intervention s’est déroulée tout juste devant chez lui. « Dès ce moment-là, je savais que je ferais partie du service incendie plus tard. »
Intervenir en famille
Les pompiers sont déjà reconnus pour être une grande famille. Lorsqu’un clan familial en fait partie, il y a une énergie et une dynamique particulière qui s’ajoute.
« Très souvent, nous sommes appelés à intervenir ensemble puisque nous sommes trois à habiter au même endroit. Étant de la même famille, on connaît nos forces et on veille les uns sur les autres. Par exemple, je n’ai jamais eu peur d’aller droit dans l’action, mais j’ai moins de plaisir à être en hauteur. Je laisse ça à Max », raconte Yanick.
Pour sa part, le côté maternel de Nadine entre en jeu.
« Je suis déjà maman poule de nature, donc oui c’est inquiétant quand ils partent sur un appel. C’était encore pire quand je n’étais pas dans les pompiers. Aujourd’hui, je suis un peu plus rassurée quand je suis avec eux. Et c’est réciproque. Ça arrive souvent que Luka me garde à l’œil », ajoute-t-elle.
Des flammes qui marquent à jamais
S’il y a des interventions troublantes qu’on préfère oublier, d’autres restent marquantes chez les pompiers.
« Deux de mes interventions les plus marquantes sont les trois édifices de la rue Saint-Pierre (en 2005 à Matane) qui avaient brûlé et le feu aux Fruits de mer de l’Est (en 2024 à Matane). Toutes les fois qu’on a à intervenir et qu’on limite les dégâts, c’est toujours satisfaisant, parce que notre but est d’aider les gens », indique Yanick Ouellet.
Les pompiers sont déjà reconnus pour être une grande famille. Lorsqu’un clan familial en fait partie, il y a une énergie et une dynamique particulière qui s’ajoute. (Photo Le Soir.ca- Dominique Fortier)
Même constat pour son fils, Maxime, qui est aussi intervenu aux Fruits de mer de l’Est. « C’était presque 28 heures d’intervention. C’était très long, mais en même temps, on carbure à l’adrénaline, alors ce le genre d’intervention que je recherche. J’étais en arrière du bâtiment et on s’apprêtait à rentrer quand ç’a explosé. D’ailleurs, ça explosait de partout. C’était une de mes interventions les plus mémorables. »
Toujours s’améliorer
Tous les pompiers ont le même objectif : intervenir rapidement, sécuriser les lieux, aider les gens et sauver le matériel le plus possible.
« Lorsqu’on a terminé le travail, on revient à la caserne, on fait notre “débriefing” où on analyse ce qui a bien été et ce qui est à améliorer, on nettoie les camions et on se serre la main avant de retourner à la maison », indique Yanick Ouellet.
D’ailleurs, le service incendie de La Matanie est toujours à la recherche de nouveaux pompiers. Les intéressés qui souhaitent se dépasser, vivre des interventions stimulantes, vivre le sentiment d’aider les autres, et surtout, de travailler avec Yanick, Nadine, Max et Luka peuvent contacter Dany Bouchard au 418 562-6734, poste 425.
L’été à Rimouski ne serait pas le même sans l’Exposition agricole, qui célèbre son 80e anniversaire, du 30 juillet au 3 août.
Tout est prêt pour accueillir les visiteurs sur le site de l’avenue de la Cathédrale. Son directeur général, Simon St-Pierre, présente aussi l’événement comme un rendez-vous annuel qui permet aux gens de savoir à quoi s’attendre.
« L’Expo, c’est beaucoup d’activités traditionnelles. Il y a plusieurs éléments qui reviennent d’année en année. Ce sont des éléments aux
L’été à Rimouski ne serait pas le même sans l’Exposition agricole, qui célèbre son 80e anniversaire, du 30 juillet au 3 août.
Tout est prêt pour accueillir les visiteurs sur le site de l’avenue de la Cathédrale. Son directeur général, Simon St-Pierre, présente aussi l’événement comme un rendez-vous annuel qui permet aux gens de savoir à quoi s’attendre.
« L’Expo, c’est beaucoup d’activités traditionnelles. Il y a plusieurs éléments qui reviennent d’année en année. Ce sont des éléments auxquels les gens sont habitués et auxquels ils s’attendent. Les manèges, les compétitions d’animaux, les spectacles d’humoristes, le gala de lutte, le Milot Land Tour, ce sont des activités offertes à l’Expo depuis maintenant plusieurs années. »
En tête d’affiche cette année, les humoristes Dominic Paquet et P.A. Méthot seront en spectacle sur la scène du Pavillon Romuald-St-Pierre, respectivement le jeudi 31 juillet à 21 h et le vendredi 1er août à 20 h.
Les tires de camions 4×4, les tires de tracteurs et les spectacles de chansonniers à la terrasse chaque soir seront aussi de retour.
Le site de l’Expo agricole de Rimouski (Photo courtoisie Beauce Carnaval)
Les amateurs de manèges pourront pour leur part s’amuser grâce à des attractions très familières aux usagers de l’Expo, tel que l’Himalaya, le Zipper, le Bateau, le Super Shot, l’Orbite, le Crazy surf et le Cliff Hanger.
Un manège de Beauce Carnaval, nouveau de l’an dernier, sera présenté pour la première fois en sol rimouskois : le Storm. De leur côté, les plus jeunes auront le choix entre l’Americana, le Raider, Tea cup, Magic maze, Monster truck, Mini scrambler, Drop and twist et Puppy love.
Se rapprocher du monde agricole
Monsieur St-Pierre rappelle aussi que toutes les activités proposées à l’Expo d’établir un contact entre la population et le monde agricole.
« On propose plusieurs activités variées, pour inciter les gens à se déplacer et ainsi leur donner une occasion de prendre contact avec le milieu agricole, soit en allant voir les animaux ou en prenant part à des activités éducatives découvertes agroalimentaires. »
D’ailleurs, les usagers de l’Expo pourront y découvrir en 2025 ces activités éducatives agroalimentaires présentées l’an dernier et qui ont été retravaillées.
Le directeur de la Société d’agriculture de Rimouski et organisateur de l’Expo agricole, Simon St-Pierre. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Quatre activités seront d’ailleurs présentées en continu pendant l’exposition, à l’intérieur du Pavillon polyvalent, qui porte cette année le nom de Pavillon Maïté-Blanchette-Vézina.
Le circuit éducatif de la ferme à la table est de retour pour une deuxième année. Comme l’indique son nom, son objectif est de faire connaitre aux jeunes visiteurs tout le processus que les aliments ont à faire avant de se retrouver dans l’assiette.
Activités de découverte
L’activité sur l’agriculture et l’horticulture urbaine, « Je t’invite dans ma cour ! », permet de découvrir les façons de cultiver chez soi à moindre coût, sa propre nourriture, tandis que l’initiative de jardinage éducatif « On Pousse! » propose un programme éducatif sur le jardinage aéroponique qui comprend diverses activités et des présentations conçues pour tous les publics.
Finalement, l’activité de découverte de la production sylvicole présentera des ateliers pour sensibiliser le public à l’importance sociale, environnementale, économique et culturelle de la forêt ainsi qu’à son développement durable.
Les jugements d’animaux demeurent très populaires à l’Expo agricole de Rimouski. (Photo courtoisie)
Enfin, dans la continuation du volet agricole et dans un but de mettre en valeur les réalisations et le savoir-faire des éleveurs et producteurs de la région, six jugements d’animaux seront présentés du jeudi au dimanche.
Un événement 4 à 8 de dégustations de produits agroalimentaires aura lieu le vendredi.
Le 26e Festival interculturel de Rimouski se tiendra, du 22 au 24 août, au parc Beauséjour. La population pourra vivre différentes cultures du monde à travers la musique, la danse et les saveurs.
Cet événement, organisé par Accueil et Intégration BSL (AIBSL), se veut un prétexte pour créer des espaces de rencontres interculturelles qui favorisent le rapprochement.
« Nous savons que le portrait de Rimouski a beaucoup changé dans les dernières années. Ça vient avec une responsabilité collec
Le 26e Festival interculturel de Rimouski se tiendra, du 22 au 24 août, au parc Beauséjour. La population pourra vivre différentes cultures du monde à travers la musique, la danse et les saveurs.
Cet événement, organisé par Accueil et Intégration BSL (AIBSL), se veut un prétexte pour créer des espaces de rencontres interculturelles qui favorisent le rapprochement.
« Nous savons que le portrait de Rimouski a beaucoup changé dans les dernières années. Ça vient avec une responsabilité collective d’avoir envie de connaître les autres, d’avoir envie de s’ouvrir sur le monde et de dépasser les zones de préjugés. Le festival permet de le faire dans un cadre festif et invitant », exprime la directrice générale d’AIBSL, Sarah Toulouse.
« On sent qu’il y a de plus en plus de gens qui sont intéressés par l’événement, qui y participent et qui en ressortent grandis. Pour nous, c’est une réussite annuellement », ajoute madame Toulouse.
Des musiciens émergents seront à l’honneur pendant la fin de semaine. Une programmation triple est prévue à l’agora du parc Beauséjour, le samedi soir, avec Gabriella Olivo, le groupe montréalais El Guesra et Francbâtards qui propose un mélange d’afrobeat. La soirée se conclura aux Bains Publics avec DJ Mati. Vent du Sud poursuivra la fête en musique, le lendemain.
« C’est la rencontre de huit musiciens originaires du Pérou, de la Bolivie, de la Colombie et du Québec. Ils vont nous faire découvrir des rythmes de l’Amérique latine. Pour clore le festival, nous allons recevoir Boubé qui présente de la musique touarègue nigérienne qui est rythmée et qui ne laissera personne indifférent », précise la chargée de projet à AIBSL, Annie Picard.
Zone marché et ateliers
Pendant tout l’événement, la zone marché permettra de découvrir une trentaine de kiosques d’artisans et de spécialités culinaires, notamment de la Syrie, du Congo et de la Côte d’Ivoire.
« C’est vraiment varié cette année pour la zone marché. Il y aura aussi des animations avec des ateliers de danse et de percussions. C’est un événement qui est principalement gratuit. Les spectacles et les animations sont pour toute la famille », indique la chargée de projet.
Des participants au Festival interculturel de Rimouski l’an dernier. (Photo courtoisie Folio Photo)
Des ateliers de gigue et sur la culture autochtones ainsi qu’une projection de courts-métrages sont également à l’horaire.
« Nous avons une programmation qui va plaire autant aux amoureux de musique qu’aux gens qui viennent avec des enfants. C’est un festival qui vise toute la population de Rimouski et des environs », explique Annie Picard.
Une préouverture est prévue, le samedi 2 août, dès 18 h, dans le cadre des Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai avec un atelier de Djamboola et un spectacle de Kon-Fusion.
La programmation du Festival interculturel de Rimouski est en ligne sur le site d’AIBSL et sur la page Facebook de l’organisme.
Les agents du centre de détention de Rimouski s’absentent nettement plus souvent pour des raisons de santé ou d’accident de travail que dans les autres établissements carcéraux du Québec, révèle Le Journal de Québec.
Le syndicat attribue cette situation à une concentration accrue de détenus présentant des « cas lourds » transférés notamment de la Gaspésie.
Selon les données préliminaires du ministère de la Sécurité publique, les absences pour maladie ont presque doublé en un an à Rimouski
Les agents du centre de détention de Rimouski s’absentent nettement plus souvent pour des raisons de santé ou d’accident de travail que dans les autres établissements carcéraux du Québec, révèle Le Journal de Québec.
Le syndicat attribue cette situation à une concentration accrue de détenus présentant des « cas lourds » transférés notamment de la Gaspésie.
Selon les données préliminaires du ministère de la Sécurité publique, les absences pour maladie ont presque doublé en un an à Rimouski, tandis que celles liées aux accidents de travail ont été multipliées par dix, passant d’une vingtaine à plus de 200 jours.
À l’échelle provinciale, ces absences sont pourtant en baisse de 13 %.
Le président du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels, Mathieu Lavoie, souligne que plusieurs agents sont affectés psychologiquement par des menaces répétées de détenus.
Le président du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels, Mathieu Lavoie (Photo courtoisie)
Il donne en exemple le cas d’un détenu, transféré à la prison de New Carlisle en Gaspésie. Lors de son passage à Rimouski, il y a cinq ans, ce dernier a complètement démoli un secteur du centre de détention. Celui-ci serait, encore aujourd’hui, toujours inutilisable.
« Je sais où tu habites »
«Tous les cas lourds de la Gaspésie sont souvent transférés vers Rimouski. Ç’a toujours un effet domino. On entend de plus en plus des histoires de: je sais où tu habites, je sais où tes enfants vont à l’école, j’ai des gens à l’extérieur qui pourraient s’en occuper», illustre monsieur Lavoie au Journal de Québec.
Le ministère affirme avoir mis en place diverses mesures de soutien pour les employés et avoir formé plus de 400 nouveaux agents depuis septembre dernier.
Un conducteur rimouskois de 25 ans devra assumer les conséquences de sa témérité. Il a été intercepté à 165 km/h en direction est sur l’autoroute 20, ce lundi 28 juillet vers 22 h, dans le secteur de Notre-Dame-du-Portage.
L’automobiliste a reçu un constat d’infraction de 1 386 $, assorti de 14 points d’inaptitude. Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une durée de sept jours, conformément au Code de la sécurité routière.
Au moment de l’interception, huit personnes prenai
Un conducteur rimouskois de 25 ans devra assumer les conséquences de sa témérité. Il a été intercepté à 165 km/h en direction est sur l’autoroute 20, ce lundi 28 juillet vers 22 h, dans le secteur de Notre-Dame-du-Portage.
L’automobiliste a reçu un constat d’infraction de 1 386 $, assorti de 14 points d’inaptitude. Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une durée de sept jours, conformément au Code de la sécurité routière.
Au moment de l’interception, huit personnes prenaient place à bord du véhicule, qui ne comptait que sept ceintures de sécurité.
Un second constat d’infraction, s’élevant à 336 $, a donc été émis au conducteur pour avoir transporté un nombre de passagers excédant le nombre de places équipées de ceintures.
La Sûreté du Québec rappelle que la vitesse excessive et la conduite imprudente figurent toujours parmi les principales causes de décès sur les routes de la province.
Les producteurs laitiers craignent les impacts éventuels des discussions pour un nouvel accord entre le Canada et les États-Unis, même si la gestion de l’offre est maintenant protégée par une loi au pays.
Par Nelson Sergerie- Le Soir.ca
Le président régional des Producteurs de lait du Québec, Normand Barriault, a participé récemment à Toronto à un congrès national où il a été question notamment de cet enjeu en pleine guerre commerciale avec les voisins du sud, menée par le président Donald
Les producteurs laitiers craignent les impacts éventuels des discussions pour un nouvel accord entre le Canada et les États-Unis, même si la gestion de l’offre est maintenant protégée par une loi au pays.
Par Nelson Sergerie- Le Soir.ca
Le président régional des Producteurs de lait du Québec, Normand Barriault, a participé récemment à Toronto à un congrès national où il a été question notamment de cet enjeu en pleine guerre commerciale avec les voisins du sud, menée par le président Donald Trump.
« On a toujours des menaces. On parle de négociations, mais il n’y a aucune négociation à faire avec lui. Il va imposer ce que lui veut. S’il n’a pas ce qu’il veut, c’est un gros bébé gâté et il va chialer pareil. Peu importe ce que Mark Carney [le premier ministre du Canada] va vouloir y laisser sur la table, il ne sera jamais satisfait », évoque le producteur laitier de Carleton-sur-Mer.
Mais un fait qui n’est pas évoqué par le président Trump est révélateur.
« Les Américains exportent plus chez nous que nous on exporte au net. Publiquement, Trump ne le dira jamais, mais il y a beaucoup plus de produits américains sur nos tablettes ou en surtransformation que nous on exporte avec nos produits de fromages de spécialités que les restaurateurs américains veulent avoir, car ils les adorent », avance Normand Barriault.
Même s’il y a des ententes, le producteur note que les accès donnés sont anecdotiques, citant par exemple un accès au lait entier des Européens, mais qui a une durée de vie limitée, ce qui prend le produit peu accessible à l’exportation outre-mer.
« C’est un hyperprotectionniste. On joue quasiment à mon père qui est plus fort que le tien », lance le président régional.
L’impact de la météo
La météo capricieuse rend difficile la production estivale, même si le producteur garde le moral et croit que la saison sera tout de même bonne pour le foin.
« On pensait avoir une très bonne année. On a eu un printemps hâtif avec peu de neige à fondre, mais Mère Nature a finalement donné un printemps tardif et mouilleux ce qui a donné un délai entre les semences et la première coupe de foin. C’est une année un peu chamboulée. »
Des vaches Jersey (Photo courtoisie)
Le mélange de fortes averses aux trois jours, une chaleur humide et par la suite du froid font que les plantes poussent rapidement.
« Dans les céréales et le maïs, on va avoir des rendements variables étant donné que sur les buttes, ce sera super beau, mais dans les coulées, le rendement sera moins bon », constate Normand Barriault en raison de l’accumulation d’eau dans les basses terres.
La première coupe de foin a été généreuse et la deuxième qui est à nos portes devrait produire aussi une très bonne quantité. « C’est possiblement une année record en termes de volume, mais il faudra voir pour la qualité. »
Le président régional des Producteurs de lait du Québec, Normand Barriault. (Photo courtoisie)
Une troisième coupe pourrait être envisageable, avec les conditions actuelles. Cependant, le volume obtenu des deux premières coupes fait qu’il ne serait pas nécessaire de faucher à la toute fin de l’été. Il est difficile de prédire le reste de la saison puisque Dame Nature a le contrôle sur la suite.
« On s’attend tout de même à une bonne saison », conclut le président.
Une introduction par effraction a été perpétrée au Phare de La Martre, en Gaspésie. On y déplore de nombreux actes de vandalisme.
Le lundi matin, lorsque l’employée du Phare s’est rendue au boulot, elle a d’abord constaté que la poignée de porte de l’ancienne maison du gardien, soit la boutique de souvenirs, avait été arrachée.
Par la suite, la dame s’est aperçue que la porte du phare avait été fracassée. Il s’agit d’une porte assez solide, qui était d’origine, donc de 1906.
À l’intéri
Une introduction par effraction a été perpétrée au Phare de La Martre, en Gaspésie. On y déplore de nombreux actes de vandalisme.
Le lundi matin, lorsque l’employée du Phare s’est rendue au boulot, elle a d’abord constaté que la poignée de porte de l’ancienne maison du gardien, soit la boutique de souvenirs, avait été arrachée.
Par la suite, la dame s’est aperçue que la porte du phare avait été fracassée. Il s’agit d’une porte assez solide, qui était d’origine, donc de 1906.
À l’intérieur, les malfaiteurs ont aussi causé des dommages, notamment en brisant une vieille caisse enregistreuse en plusieurs morceaux. Il y a aussi des cadres d’origine qui ont été subtilisés. Les suspects s’en sont aussi pris aux lentilles de Fresnel situées tout en haut du phare. Ces lentilles sont ces petites rondelles de verre qui éclairent le village.
« Le ou les personnes se sont vraiment acharnées sur ces lentilles. Et ce n’est pas simple puisqu’elles sont en mouvement constant. Donc il fallait qu’ils attendent qu’elles aient fait le tour du phare pour revenir à leur hauteur sur la passerelle pour qu’ils puissent continuer à les arracher », explique le maire de l’endroit Yves Sohier.
Monument historique
Ce dernier se désole qu’on se soit attaqué à un monument historique.
« C’est du jamais vu. En 119 ans, nous n’avions jamais subi ce genre de méfait. C’est extrêmement navrant. On se demande d’ailleurs quel était le motif derrière ces actions puisqu’il y a eu beaucoup plus de méfaits que de vols », estime monsieur Sohier.
Le secteur du phare de La Martre a été établi en 1876. (Photo courtoisie ministère de la Culture et des Communications)
Le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies confirme que les policiers ont été contactés à la suite des événements malheureux.
« Nous avons ouvert une enquête dans cette affaire, mais nous n’avons pas encore arrêté de suspect. On estime les méfaits à quelques milliers de dollars. »
Ajouter des arbres fruitiers à son aménagement paysager apporte beaucoup de bonheur pour les yeux, surtout au printemps quand ils se couvrent de fleurs colorées et odorantes les rendant tellement spectaculaires, mais c’est aussi une façon très intéressante de baisser sa facture d’épicerie tout en consommant des aliments bien frais et ultra locaux.
Les arbres nourriciers sont le complément parfait aux potagers et permettent d’atteindre une meilleure autonomie alimentaire. Beaux, utiles et bon
Ajouter des arbres fruitiers à son aménagement paysager apporte beaucoup de bonheur pour les yeux, surtout au printemps quand ils se couvrent de fleurs colorées et odorantes les rendant tellement spectaculaires, mais c’est aussi une façon très intéressante de baisser sa facture d’épicerie tout en consommant des aliments bien frais et ultra locaux.
Les arbres nourriciers sont le complément parfait aux potagers et permettent d’atteindre une meilleure autonomie alimentaire. Beaux, utiles et bons : quoi demander de mieux?!
Il y a toutefois quelques questions à se poser avant de se lancer dans la culture des arbres fruitiers. Pour s’assurer de faire un choix judicieux, certains éléments sont à prendre en considération :
Pour produire des fruits, les fleurs des arbres fruitiers doivent être pollinisées. Ça semble être une évidence, mais les fruitiers ont quelques particularités.
Plusieurs fruitiers ont besoin d’être pollinisés de manière croisée, c’est-à-dire par un autre arbre de la même espèce mais de variété différente qu’on appelle espèce compatible, afin de produire des fruits.
En simple, pour qu’un pommier de type McIntosh produise des pommes de type McIntosh, il doit être pollinisé par un pommier autre que McIntosh planté à proximité. Sans cette pollinisation croisée, l’arbre produira des fleurs, mais aucun fruit.
Il est donc impératif de s’assurer qu’une espèce compatible soit disponible dans les environs pour que les insectes puissent jouer leur rôle de pollinisateurs.
Ça peut être sur votre propre terrain si vous avez l’espace requis ou dans le voisinage.
Les espèces autofertiles
Certains cultivars d’arbres fruitiers sont autofertiles, ce qui veut dire qu’ils ont tout ce dont ils ont besoin pour que leurs fleurs se fertilisent entre elles.
Dans ces cas précis, un seul arbre peut produire une abondance de fruits, sans pollinisation croisée.
Au moment de vous procurer un nouvel arbre fruitier, assurez-vous de bien vous informer auprès d’un conseiller Passion Jardins.
Les arbres fruitiers demandent un certain entretien pour conserver une bonne forme et une bonne santé et ainsi, produire en quantité.
Emplacement
La majorité des arbres fruitiers requièrent un maximum d’ensoleillement. Il faut être en mesure de leur fournir au moins 6 heures de soleil chaque jour pour assurer leur développement optimal.
Pour préserver les fleurs et les fruits, plantez-les à l’abri des forts vents.
Assurez-vous aussi qu’il y ait un certain dégagement tout autour des arbres pour que l’air circule bien afin d’éviter le développement de certaines maladies fongiques qui attaquent souvent les fruitiers.
Arrosage et fertilisation
Au cours des premières années suivant leur implantation, les arbres fruitiers, comme tous les autres arbres, ont besoin d’eau pour s’enraciner solidement et en profondeur.
Arrosez longtemps pour que l’eau puisse pénétrer loin dans le sol. Une fois bien implanté, assurez-vous simplement de les préserver de la sécheresse intense.
Si votre sol est très argileux, l’ajout de compost annuellement viendra apporter une bonne dose de matières organiques très bénéfiques pour le développement d’arbres forts et sains.
L’application d’engrais spécialement conçus pour ce type de végétaux vous assurera une meilleure santé et un rendement accru. Suivez toujours les consignes du fabricant.
Taille
Les arbres fruitiers ont besoin d’être taillés afin de conserver une bonne forme et de stimuler leur production.
On taille les fruitiers avant le débourrement (l’ouverture des bourgeons), en février ou mars le plus souvent. On peut aussi tailler en été, en juin, juillet, après la fructification des essences qui produisent plus tôt.
Utilisez toujours un sécateur tranchant, coupez les branches d’un seul trait et nettoyez votre lame entre chaque coupe pour éviter la propagation de maladies fongiques.
Pommiers, pruniers, poiriers, cerisiers et autres merveilles de la nature ont certainement une place de choix dans votre aménagement paysager.
Marcel Dionne et Fils, marchand Passion Jardins, pour recevoir des conseils de professionnels à l’année!
Le 2e Festi-Bob de Rimouski a permis de récolter 6 500 $ pour la Fondation Bob Bissonnette.
Petits et grands ont pris part à des tournois amicaux de hockey et de soccer, dans une ambiance festive et familiale, le 5 juillet, au Centre sportif Adhémar-Saint-Laurent du district Rimouski-Est.
Le Festi-Bob a aussi accueilli les anciens joueurs de la LNH André Roy, Steve Bégin et Éric Bélanger, coanimateurs du balado La Poche Bleue Blanc Rouge, en plus du spectacle du groupe hommage Salut Bob
Le 2e Festi-Bob de Rimouski a permis de récolter 6 500 $ pour la Fondation Bob Bissonnette.
Petits et grands ont pris part à des tournois amicaux de hockey et de soccer, dans une ambiance festive et familiale, le 5 juillet, au Centre sportif Adhémar-Saint-Laurent du district Rimouski-Est.
Le Festi-Bob a aussi accueilli les anciens joueurs de la LNH André Roy, Steve Bégin et Éric Bélanger, coanimateurs du balado La Poche Bleue Blanc Rouge, en plus du spectacle du groupe hommage Salut Bob Gorgée!.
Encouragé par l’accueil du public et des invités, le trio d’ex-hockeyeurs a même manifesté son intérêt à revenir pour une future édition.
En deux ans, l’événement a ainsi amassé 15 000 $ à des projets destinés à soutenir la jeunesse sportive et artistique.
« Comme en 2024, la réponse de la communauté d’affaires a été excellente et l’équipe de bénévoles a fait un travail incroyable. Les gens présents vont se souvenir longtemps de leur participation au Festi-Bob », souligne le coordonnateur Serge Dionne, ami d’enfance de Roberto Bissonnette.
Déjà 10 ans
Le comité organisateur prévoit d’ailleurs annoncer sous peu une troisième présentation du Festi-Bob, qui coïncidera avec les 10 ans du décès de Roberto Bissonnette.
« Les bases sont solides pour organiser une autre édition avec des standards très élevés et des prix encore plus accessibles », affirme monsieur Dionne.
Plusieurs personnalités, dont Steve Bégin, Éric Bélanger et André Roy, au centre, accompagnés de Michel Ouellet et Charle-Edouard D’Astous (premier et sixième dans l’ordre, derrière), ont participé au 2e Festi-Bob. (Photo courtoisie)
Le coroner Nicolas Lutzenkirchen conclut que les trois motoneigistes décédés l’an dernier dans les Chic-Chocs sont morts par asphyxie, suite à une avalanche.
Joël Crête, 35 ans, Nicolas Vanasse, 30 ans, et Bryan Forgues Morissette 33 ans, trois amis de l’Estrie, s’étaient dirigés vers la Gaspésie pour une expédition de motoneige hors-piste. Ils sont accompagnés d’un quatrième compagnon.
Le matin du 26 mars, le quatuor quitte le village de La Martre. Plus tard dans la journée, vers 17 h, le
Joël Crête, 35 ans, Nicolas Vanasse, 30 ans, et Bryan Forgues Morissette 33 ans, trois amis de l’Estrie, s’étaient dirigés vers la Gaspésie pour une expédition de motoneige hors-piste. Ils sont accompagnés d’un quatrième compagnon.
Le matin du 26 mars, le quatuor quitte le village de La Martre. Plus tard dans la journée, vers 17 h, les quatre hommes circulent près du mont Médaille dans la réserve faunique des Chic-Chocs.
Après avoir foulé le sommet d’une falaise, l’un d’eux entreprend sa descente mais s’immobilise dans une zone de neige profonde. Ce sera malheureusement le premier maillon d’un enchaînement critique.
Deux de ses compagnons de route vont derechef l’aider à se dépêtrer. Le couvert neigeux ne supporte cependant pas leur poids.
L’avalanche n’a pas laissé la moindre possibilité de fuite aux motoneigistes, note le coroner. (Photo istock)
« La pression cumulée par les interventions successives des membres du groupe sur cette pente marquée par une dépression naturelle avait déjà accru la tension sur une plaque de neige mouillée particulièrement instable », note le coroner.
En conséquence, une avalanche se déclenche à ce moment précis, qui ensevelit les trois amis. Ce type d’avalanche ne laisse que peu de chance à ceux qui en sont empêtrés. Sa masse lourde et sa vitesse soudaine créent une force destructrice et un effet de compression.
Hors Avalanche Québec
Le quatrième membre du groupe resté en retrait tente rapidement de localiser ses amis, mais sans succès. Il contacte sa conjointe qui appelle illico les secours, qui reçoivent les coordonnées GPS du groupe.
Une vaste opération de recherche se déploie. Un premier corps est retrouvé vers 22 h 30. Le lieu de la tragédie est isolé et difficile d’accès, très loin de l’hôpital de Sainte-Anne-des-Monts.
« L’avalanche ensevelit rapidement les trois motoneigistes sans leur laisser la moindre possibilité de fuite », analyse Nicolas Lutzenkirchen.
Dans son rapport, il rappelle que pareille expédition hors-piste en autonomie complète expose les adeptes « à des risques importants, à la fois imprévisibles et mal encadrés ».
Ce secteur échappe par ailleurs à la couverture officielle d’Avalanche Québec. Conséquemment, aucun suivi récent des conditions de neige n’était disponible.
Un policier en motoneige (Photo archives Sûreté du Québec)
Une veille de danger d’avalanche avait tout de même été émise une semaine avant la tragédie dans des zones similaires en raison de la fragilité du manteau neigeux. L’avertissement demeure pertinent, selon le coroner, puisqu’il révèle le contexte global et le risque inhérent.
L’absence d’équipements spécialisés comme une balise, un détecteur de victime d’avalanche ou une sonde « scelle irrémédiablement l’issue », des motoneigistes, conclut le coroner.
Le Bérubé GM de Trois-Pistoles a connu sa meilleure soirée de la saison, lundi soir, quand il est allé gagner par 16-5 face aux Braves Batitech du Témiscouata.
Après avoir pris les devants 3-0 à leur premier tour au bâton, la formation des Basques a explosé pour dix points à la manche suivante face à Félix Castonguay qui a alloué 11 coups, 5 buts sur balles et 13 points en deux manches de travail.
Jacob April et Thomas Morin ont frappé chacun un circuit, tout comme Dany Paradis-Giroux, de
Le Bérubé GM de Trois-Pistoles a connu sa meilleure soirée de la saison, lundi soir, quand il est allé gagner par 16-5 face aux Braves Batitech du Témiscouata.
Après avoir pris les devants 3-0 à leur premier tour au bâton, la formation des Basques a explosé pour dix points à la manche suivante face à Félix Castonguay qui a alloué 11 coups, 5 buts sur balles et 13 points en deux manches de travail.
Jacob April et Thomas Morin ont frappé chacun un circuit, tout comme Dany Paradis-Giroux, des Braves. Morin a été le meilleur au bâton avec 4 en 5. Paradis-Giroux a frappé 3 cs en 3 et produit trois points.
Tristan Thériault-Michaud a lancé quatre manches pour la victoire.
Les athlètes de la région ont brillé, en ce lundi 28 juillet, à la 59e Finale des Jeux du Québec à Trois-Rivières, alors qu’ils ont permis à la région d’ajouter des médailles de chaque couleur à son tableau qui en compte désormais six au total.
En athlétisme, Mathias Caron de La Pocatière a remporté la première médaille d’or de la région grâce à sa performance de 41,58 mètres au lancer du disque masculin.
« C’était une très belle compétition, c’était très serré. Je suis resté calme jusqu
Les athlètes de la région ont brillé, en ce lundi 28 juillet, à la 59e Finale des Jeux du Québec à Trois-Rivières, alors qu’ils ont permis à la région d’ajouter des médailles de chaque couleur à son tableau qui en compte désormais six au total.
En athlétisme, Mathias Caron de La Pocatière a remporté la première médaille d’or de la région grâce à sa performance de 41,58 mètres au lancer du disque masculin.
« C’était une très belle compétition, c’était très serré. Je suis resté calme jusqu’à la fin. Je suis très content, très satisfait », a-t-il affirmé après son triomphe. Mathias a décidé de commencer l’athlétisme l’été dernier seulement, après avoir participé – et gagné – aux provinciaux scolaires. Il profite pleinement de son expérience aux Jeux du Québec. « C’est une expérience incroyable, il y a toute une atmosphère ici! Le calibre est élevé, ça me force à me dépasser », mentionne-t-il.
Une autre lanceuse de la région s’est illustrée. En effet, Emma Dubé de Saint-Arsène a réalisé une performance de 28,16 mètres au lancer du disque féminin, ce qui lui a permis de monter sur la deuxième marche du podium. « Je suis vraiment contente et fière de moi ! », dit-elle.
D’autres athlètes ont connu de très belles performances. Après avoir remporté une médaille d’argent au 400 mètres, Juliette Dionne (Saint-Arsène) a complété le 200 mètres en 26.65 secondes pour terminer au 5e rang.
De son côté, Isaac Sirois (Sainte-Luce) a fini en 7e position au 1 500 mètres avec un temps de 4 :10.16. Il avait gagné l’argent au 2 000 mètres steeple hier.
Volleyball masculin
L’excellent parcours des joueurs de la région s’est poursuivi alors qu’ils ont amorcé la journée avec une victoire importante contre l’équipe de Chaudière-Appalaches en deux manches serrées de 25-22 et 31-29. Ils se sont par la suite inclinés en demi-finale contre l’équipe de Capitale-Nationale.
L’Est-du-Québec a joué sa dernière partie contre l’équipe de l’Outaouais. La première manche était très serrée, mais les représentants de la région ont gagné les points cruciaux qui leur ont permis de renverser la vapeur et de l’emporter.
Nos représentants tiraient de l’arrière 21-10 en deuxième manche, alors les entraîneurs ont demandé un temps mort qui a complètement changé l’allure de la partie. Ils ont gagné en deux manches dans une partie chaudement disputée.
L’Est-du-Québec a gagné la médaille de bronze, une première depuis 26 ans pour l’Est-du-Québec dans cette discipline. En effet, la dernière fois que l’Est a remporté une médaille en volleyball masculin, c’était en 1999 à Alma.
Natation artistique
La louperivoise Anaïs Ouellet a réussi une belle performance, se classant 5e en solo dans la catégorie jeunesse.
Chez les 17 ans et moins, Alyss Dubé et Raphaëlle Duguay de Rimouski ont terminé en 7e position en duo, et Anaïs Bossé de Rivière-du-Loup a pris le 8e rang en solo.
Tir à l’arc
Maly Gibara de Rimouski a réalisé une belle remontée à l’épreuve de l’arc recourbé, s’imposant 6-4 en huitième de finale après avoir été menée 0-4. Elle termine au 5e rang.
À l’arc à poulies, Mathys Desgagné Lamy de Saint-Fabien a livré une bataille intense dans la catégorie 12-14 ans, égalisant après trois rondes pour la médaille de bronze.
Malgré un ultime effort, il s’est incliné de justesse 141-140 et a terminé en 4e position. Chez les 15-17 ans, Coralie Tremblay de Rimouski a terminé en 5e position.
BMX
Éliot Beauregard de Saint-André-de-Kamouraska a connu une très belle performance en course. Il a réussi à se tailler une place pour les quarts de finale.
Il s’est très bien adapté au parcours et a gagné plusieurs coude-à-coude, terminant au 10e rang.
Vélo de montagne
Les meilleures performances de la région au cross-country éliminatoires appartiennent à Alice Harvey de Rimouski et Stella Binet de Sainte-Flavie qui ont respectivement terminé en 14e et en 18e position.
Baseball masculin
Les joueurs de la région ont été vaincus par l’équipe de Richelieu-Yamaska par un pointage de 1 à 0. Le lanceur Justin Paquet de Mont-Joli s’est illustré. Il a réalisé une partie complète de 65 lancers en 6 manches et n’a pratiquement pas accordé de coups sûrs.
L’équipe de baseball de l’Est-du-Québec aux Jeux du Québec d’été de Trois-Rivières. (Photo courtoisie)
« L’équipe a malheureusement manqué de solutions pour percer le lanceur adverse qui était très dominant. Toute l’équipe d’entraineurs est vraiment fière de la performance de ses joueurs tout au long du tournoi. Ils ont bien combattu, se sont bien défendus et nous sommes très fiers d’eux », ont-ils affirmé.
Volleyball féminin
Les filles ont terminé la journée avec deux parties de trois manches. Elles ont d’abord perdu contre l’équipe de Laval.
L’Est-du-Québec a fini la compétition avec une victoire contre les joueuses du Lac-Saint-Louis. Nos joueuses terminent donc au 13e rang du classement des régions dans cette discipline.
C’est un montant de 2 000 $ que le Club de baseball senior le Shaker a remis au Fonds Arianne à la suite du match du 4 juillet dernier qui lui était dédié.
En guise de soutien, l’équipe avait décidé de remettre les revenus générés par le tirage moitié-moitié de la partie. Ils ont été de 1 214 $ et Nicholas Lepage, conjointe d’Arianne Dubé, a versé la somme manquante pour en arriver à 2 000 $.
Il s’agissait de la première activité de financement du Fonds créé par son conjoint et la famille
C’est un montant de 2 000 $ que le Club de baseball senior le Shaker a remis au Fonds Arianne à la suite du match du 4 juillet dernier qui lui était dédié.
En guise de soutien, l’équipe avait décidé de remettre les revenus générés par le tirage moitié-moitié de la partie. Ils ont été de 1 214 $ et Nicholas Lepage, conjointe d’Arianne Dubé, a versé la somme manquante pour en arriver à 2 000 $.
Il s’agissait de la première activité de financement du Fonds créé par son conjoint et la famille d’Arianne, décédée accidentellement en novembre 2023.
Le Fonds soutient trois fondations, soit Santé Mitis, Santé Rimouski et celle des personnes déficientes intellectuelles du Bas-Saint-Laurent (CRDI). Arianne était éducatrice spécialisée au CISSS du Bas-Saint-Laurent.
« Il faut se renouveler et trouver du financement pour réussir à amener des sous dans le Fonds. La famille d’Arianne et moi avons encore fait un don de 10 000 $ cette année. Nous le faisons pour un total de cinq ans. En ajoutant le financement que nous faisons avec le Shaker, ça aide beaucoup », explique le conjoint d’Arianne.
Arianne Dubé a perdu la vie sur l’autoroute 20, le 16 novembre 2023. (Photo courtoisie)
Travaillant dans La Mitis auprès d’une clientèle en déficience intellectuelle, plusieurs de ses collègues du milieu de la santé ont louangé son professionnalisme, son intégrité et ses valeurs humaines.
Le copropriétaire de La Cage – Brasserie sportive de Rimouski, Patrick Dionne, déplore que le manque de signalisation durant les travaux routiers sur la montée Industrielle-et-Commerciale, cet été, ait causé une importante diminution de sa clientèle pendant le mois de juillet.
Ces travaux effectués par le ministère des Transports et de la Mobilité durable doivent se terminer cette semaine après plusieurs semaines d’enfer pour les automobilistes et les commerçants.
« Quand les travaux étai
Le copropriétaire de La Cage – Brasserie sportive de Rimouski, Patrick Dionne, déplore que le manque de signalisation durant les travaux routiers sur la montée Industrielle-et-Commerciale, cet été, ait causé une importante diminution de sa clientèle pendant le mois de juillet.
« Quand les travaux étaient de l’autre côté de la rue, les gens pouvaient entrer dans notre stationnement, mais depuis qu’ils sont de notre côté, ils ont bloqué les deux entrées. L’accès se fait par le dépanneur EKO qui est situé à côté de nous. Au début, la signalisation était derrière le dépanneur plutôt que devant », dit-il.
Monsieur Dionne a donc lui-même installé des affiches pour indiquer à ses clients le chemin à prendre.
« Le lendemain, le ministère a ajouté des pancartes. J’ai remarqué que ça a augmenté un peu la clientèle, mais les ventes ne sont pas au niveau habituel des vacances de la construction. Je comprends qu’ils doivent faire la route, mais je pense qu’ils auraient pu mettre la signalisation au début et favoriser l’accès. »
L’homme d’affaires aurait souhaité être mis au courant avant que les travaux commencent pour pouvoir mieux se préparer. Il souligne que les camions à ordures et de recyclage ne peuvent plus se rendre à son commerce.
« Ici, c’est deux fois par semaine habituellement. Ils ne sont pas venus la semaine dernière. Nous entreposons du stock, mais ça a ses limites », explique Patrick Dionne.
Mêmes défis pour l’Empress
La gestionnaire de l’hôtel L’Empress, situé dans le même bâtiment que La Cage, a aussi vu son achalandage et son chiffre d’affaires diminuer.
Les deux entrées pour L’Empress et La Cage sont bloquées. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
« Parfois, les gens ne se présentent pas à leur réservation parce qu’ils ne voient pas l’accès pour entrer dans le stationnement. Habituellement, dans ces dates-ci, nous sommes complets sept jours sur sept, mais ce n’est pas le cas cette année. Plusieurs annulent leur réservation quand ils en entendent parler », mentionne Caroline Couture.
Arrivée de Costco
L’arrivée de Costco à Rimouski est positive pour ces commerces de la montée Industrielle-et-Commerciale qui comptent bien se reprendre pour l’été catastrophique qu’ils sont en train de vivre.
« J’ai beaucoup d’amis en Gaspésie et les gens partaient de loin pour aller magasiner chez Costco à Québec. Je crois que ça va nous amener une clientèle qui va venir magasiner. Ça va augmenter mes ventes et compenser un peu pour l’été, mais ce que l’on perd on ne le rattrape jamais », indique le copropriétaire de La Cage.
Des travaux sont effectués depuis quelques semaines sur la montée Industrielle-et-Commerciale. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
« Nous allons retrouver un fort achalandage parce que les gens vont être curieux et ce sera en continu. Nous pensons avoir un bon roulement cet automne et pour la période des Fêtes », ajoute madame Couture.
Une rampe d’accès au Costco à partir de la montée Industrielle-et-Commerciale est déjà faite pour favoriser la circulation dans le secteur.
L’auteure-compositrice-interprète Klô Pelgag a eu l’honneur de chanter à l’occasion des funérailles nationales de Serge Fiori, le 15 juillet dernier, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts à Montréal.
Klô Pelgag a interprété la chanson Comme un sage, l’un des grands succès d’Harmonium, en compagnie de Kim Richardson et Judi Richards dans un moment empreint d’émotion et d’intensité.
Parsemés à travers cette chanson, les comédiens Luc Picard et Guylaine Tremblay ont livré un vib
L’auteure-compositrice-interprète Klô Pelgag a eu l’honneur de chanter à l’occasion des funérailles nationales de Serge Fiori, le 15 juillet dernier, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts à Montréal.
Klô Pelgag a interprété la chanson Comme un sage, l’un des grands succès d’Harmonium, en compagnie de Kim Richardson et Judi Richards dans un moment empreint d’émotion et d’intensité.
Parsemés à travers cette chanson, les comédiens Luc Picard et Guylaine Tremblay ont livré un vibrant hommage à Serge Fiori, soulignant son apport à la culture québécoise.
Pour l’artiste de Sainte-Anne-des-Monts, ce moment de grâce restera gravé à jamais dans sa mémoire.
« Chanter aux funérailles de Serge Fiori fut l’un des moments les plus forts de ma vie et de ma carrière. Jamais je n’aurais pu même rêver de participer à cet hommage. »
Elle se rappelle avoir été bercée par la voix d’Harmonium tout au long de sa douloureuse adolescence, particulièrement lorsqu’elle arpentait les murs de l’école secondaire.
« Je t’ai écouté alors sans savoir à quoi tu ressemblais et je t’ai imaginé prince, roi, Dieu. Ta voix était pour moi un souffle puissant empreint d’humanité. En t’écoutant, j’ai eu l’impression d’être comprise, comme si on se connaissait. Je t’ai écouté avec mon frère Mathieu, on a rêvé de musique ensemble et notre rêve s’est exaucé. »
Extraordinaire honneur
Klô Pelgag était dans son camion de tournée lorsqu’elle a appris la nouvelle de son décès. À ce moment, elle a écouté l’album L’Heptade, considéré par plusieurs comme l’œuvre phare du groupe.
C’est d’ailleurs sur cet album qu’on retrouve la chanson Comme un sage. L’idée derrière ce disque était de représenter les sept états de conscience d’un personnage, de la folie à la sagesse. On y retrouve plusieurs pièces de plus de 10 minutes.
Tout cela a culminé vers la journée des funérailles nationales.
« Harmonium était là, à la Place-des-Arts et j’étais avec eux. Monique Fauteux a chanté et mon cœur s’est mis à battre très fort. Dans un instant de vie surréaliste, j’ai chanté moi aussi Comme un sage. Je n’ai jamais vécu quelque chose de semblable. Quel honneur, quelle vie! »
Moment marquant de sa carrière, mais aussi une voix qui l’a accompagnée pendant de nombreuses années et qui a laissé une marque importante dans le cœur des Québécois.
« Au-delà de cet héritage musical exceptionnel que tu nous laisses, il y a un exemple de courage et de rêve qui va m’accompagner pour le reste de ma vie. »
Le récent tournoi de golf « Les 12 travaux de Ti-Claude » a permis d’amasser 1 500 $ au profit des équipes du programme de volleyball de l’école secondaire Paul-Hubert de Rimouski.
L’événement, tenu le 19 juillet dernier au Club de golf Les Saules, a réuni une cinquantaine de participants.
Son organisateur, Claude Proulx, est un acteur bien connu du milieu du volleyball dans l’Est-du-Québec, notamment à titre d’officiel.
Le tournoi se distinguait par une formule originale, avec des vari
Le récent tournoi de golf « Les 12 travaux de Ti-Claude » a permis d’amasser 1 500 $ au profit des équipes du programme de volleyball de l’école secondaire Paul-Hubert de Rimouski.
L’événement, tenu le 19 juillet dernier au Club de golf Les Saules, a réuni une cinquantaine de participants.
Le député bloquiste de Gaspésie-Les-Îles-de-la-Madeleine-Listuguj, Alexis Deschênes, poursuit le combat afin de faire invalider le redécoupage électoral qui a mené à la disparition de la circonscription d’Avignon-La Mitis-Matane-Matapédia.
Le 17 juillet dernier, le député, qui poursuit cette lutte à titre citoyen, a déposé un mémoire à la Cour d’appel fédérale dans lequel il reproche au juge de première instance d’avoir erré dans sa décision d’approuver les changements de carte électorale.
Le député bloquiste de Gaspésie-Les-Îles-de-la-Madeleine-Listuguj, Alexis Deschênes, poursuit le combat afin de faire invalider le redécoupage électoral qui a mené à la disparition de la circonscription d’Avignon-La Mitis-Matane-Matapédia.
Le 17 juillet dernier, le député, qui poursuit cette lutte à titre citoyen, a déposé un mémoire à la Cour d’appel fédérale dans lequel il reproche au juge de première instance d’avoir erré dans sa décision d’approuver les changements de carte électorale.
« La Commission a priorisé le critère de la parité relative du pouvoir électoral et a complétement écarté le facteur pourtant obligatoire de la superficie, au lieu de concilier les deux principes. »
Le principal intéressé souligne que la Commission aurait dû se conformer à la Loi sur la révision des limites des circonscriptions électorales qui dicte que les réalités géographiques des régions rurales peu peuplées doivent être considérées.
Escamoter l’argument principal
« Cela impliquait une analyse rationnelle de la superficie de la nouvelle circonscription afin de déterminer si celle-ci était trop vaste ou pas afin d’assurer le respect du droit à une représentation effective. Le fait que la Commission omet de mener une telle analyse et qu’elle se contente d’une inférence grossière pour escamoter l’argument principal de la population concernée est en soi déraisonnable. »
Dans son mémoire, Alexis Deschênes prend le soin d’inclure la description anglaise des obligations de la Commission en ce qui a trait à la superficie, indiquant que la version dans la langue de Shakespeare est encore plus claire quant à l’enjeu de la superficie.
Alexis Deschênes en compagnie du chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet. (Photo courtoisie)
Puisque le Procureur général du Canada est la partie mise en cause dans cet appel, il devra à son tour déposer un mémoire dans les 45 jours.
Par la suite, une audience devra se tenir afin que les deux parties soient entendues dans cette affaire. Celle-ci pourrait se tenir cette année ou au début de l’année 2026.
Après plus de cinq ans de planification, Équipe Formule a ouvert sa nouvelle concession Formule Kia de 6 M$, construite au cours des derniers mois sur le boulevard Sainte-Anne à Rimouski.
L’établissement moderne érigé par Technipro BSL s’étend sur 15 800 pieds carrés et marque un tournant pour l’entreprise, qui célèbre cette année son 25e anniversaire.
L’investissement comprend l’achat du terrain, l’aménagement extérieur, la construction de la bâtisse et l’acquisition d’équipements à la
Après plus de cinq ans de planification, Équipe Formule a ouvert sa nouvelle concession Formule Kia de 6 M$, construite au cours des derniers mois sur le boulevard Sainte-Anne à Rimouski.
L’établissement moderne érigé par Technipro BSL s’étend sur 15 800 pieds carrés et marque un tournant pour l’entreprise, qui célèbre cette année son 25e anniversaire.
L’investissement comprend l’achat du terrain, l’aménagement extérieur, la construction de la bâtisse et l’acquisition d’équipements à la fine pointe de la technologie.
La nouvelle concession se distingue par un design contemporain, aligné avec le programme d’image de Kia. Le bâtiment intègre une salle de montre spacieuse et lumineuse, un atelier mécanique conçu pour maximiser l’efficacité des techniciens en réduisant leurs déplacements, ainsi qu’un espace d’accueil repensé pour améliorer l’expérience client.
Équipe Formule rendra aussi accessible un lave-auto automatique dès cet automne pour les clients de la concession et pour les employés.
La salle de montre plus grande et spacieuse de la nouvelle concession. (Photo courtoisie)L’accueil de la clientèle se fait dans des nouveaux espaces optimisés. (Photo courtoisie)
« C’est bien plus qu’un bâtiment. C’est un engagement envers nos clients, notre personnel et notre région », soutient monsieur Simard.
Il s’agit par ailleurs de l’une des rares nouvelles constructions, et non rénovations, à voir le jour dans le cadre du programme image de Kia au Québec.
Nouveau chapitre pour l’ancien site
L’actuelle concession de Formule Kia, située au 167, boulevard Sainte-Anne, accueillera cet automne Formule Occasion, une nouvelle bannière dédiée à la vente de véhicules d’occasion de toutes marques.
D’ici là, l’entreprise continue d’offrir ses services de vente de véhicules certifiés Mazda, Subaru, Kia, ainsi que de nombreuses autres marques à travers ses trois concessions existantes.
Carl Richard, expert motoriste en compagnie de Jean-Michel Simard, propriétaire et concessionnaire de Formule Kia. (Photo courtoisie)
Le motoriste reconnu Carl Richard occupera l’espace mécanique de l’ancienne adresse pour y installer son atelier spécialisé en entretien et réparation de véhicules de marques européennes de luxe, telles que BMW, Mini, Audi et Porsche. L’équipe de monsieur Richard, en activité depuis 1998, compte trois mécaniciens expérimentés.
« C’est le meilleur des deux mondes, autant pour monsieur Richard, qui recherchait un lieu clé-en-main, que pour nous, qui souhaitions maximiser l’usage du bâtiment existant », commente Jean-Michel Simard.
L’atelier mécanique moderne est conçu pour optimiser leur travail et limiter les déplacements des techniciens. (Photo courtoisie)
La grande inauguration de la nouvelle concession Formule Kia est prévue en septembre.
L’ex-défenseur de l’Océanic, Spencer Gill, participe jusqu’à samedi (2 août) à la vitrine estivale du Mondial junior de l’équipe canadienne, un événement préparatoire en vue du prochain Championnat mondial, prévu du 26 décembre au 5 janvier à Minneapolis et Saint Paul.
Au total, 44 joueurs ont été invités par Hockey Canada à prendre part à des entraînements, à un match intraéquipe et à trois rencontres hors concours contre la Finlande, la Suède et les États-Unis.
Ces matchs se déroulent a
L’ex-défenseur de l’Océanic, Spencer Gill, participe jusqu’à samedi (2 août) à la vitrine estivale du Mondial junior de l’équipe canadienne, un événement préparatoire en vue du prochain Championnat mondial, prévu du 26 décembre au 5 janvier à Minneapolis et Saint Paul.
Au total, 44 joueurs ont été invités par Hockey Canada à prendre part à des entraînements, à un match intraéquipe et à trois rencontres hors concours contre la Finlande, la Suède et les États-Unis.
Ces matchs se déroulent au Ridder Arena de Minneapolis, au Minnesota.
Gill retrouve son nouveau coéquipier avec l’Armada de Blainville-Boisbriand, Justin Carbonneau, ainsi que le Québécois Sacha Boisvert, attaquant de l’Université du Dakota du Nord. Le centre des Wildcats de Moncton, Caleb Desnoyers, avait également été convié à la vitrine , mais a décliné l’invitation.
L’espoir des Flyers de Philadelphie a été échangé à l’Armada lors du dernier repêchage de la LHJMQ, tenu en juin à Québec. Cette transaction a permis au directeur général de l’Océanic, Danny Dupont, d’obtenir quatre choix élevés afin d’entamer la reconstruction de son équipe.
Spencer Gill a signé son contrat d’entrée avec les Flyers dans les bureaux de l’Océanic. (Photo courtoisie)
Spencer Gill a raté la fin de la saison régulière, les séries éliminatoires et le tournoi de la Coupe Memorial en raison d’une sérieuse blessure à une cheville, subie à la fin de février lors d’un match contre le Drakkar, à Baie-Comeau.
Choix de première ronde de l’Océanic en 2022, il a conclu sa carrière junior à Rimouski avec une récolte de 94 points (19 buts, 75 passes) en 171 matchs, saisons et séries combinées.
Les automobilistes qui circulaient au centre-ville de Percé, dans la dernière semaine, roulaient pare-chocs à pare-chocs, quasiment comme à la belle époque. Au quai, la file s’allongeait pour participer à l’une ou l’autre des croisières offertes par les bateliers.
Ces indicateurs bien que bancals témoignent d’un engouement certain pour la capitale touristique de la Gaspésie. Sur le terrain, les commerçants remarquent eux aussi cet enthousiasme.
« C’est assurément une très, très bonne saiso
Les automobilistes qui circulaient au centre-ville de Percé, dans la dernière semaine, roulaient pare-chocs à pare-chocs, quasiment comme à la belle époque. Au quai, la file s’allongeait pour participer à l’une ou l’autre des croisières offertes par les bateliers.
Ces indicateurs bien que bancals témoignent d’un engouement certain pour la capitale touristique de la Gaspésie. Sur le terrain, les commerçants remarquent eux aussi cet enthousiasme.
« C’est assurément une très, très bonne saison. Les indicateurs démontrent que c’est positif, tant dans les bureaux d’accueil touristique que dans les hébergements et les restaurants selon le son de cloche de nos membres », lance d’emblée Billy Bastien, directeur général par intérim chez Tourisme et Commerce Rocher-Percé et copropriétaire de la Buvette Thérèse.
Au restaurant, chaque journée est plus achalandée de 15% à 20% comparativement à l’an dernier depuis le mois de juin. « Et j’entends autour pas mal ces chiffres-là alors que l’année dernière était déjà une bonne saison. Ça augure bien. »
Hausse des Canadiens hors province
Au bureau d’accueil touristique, la donnée qui ressort du lot est la forte croissance de Canadiens.
« Les touristes américains, européens et québécois, c’est resté relativement stable. C’est vraiment dans le Canada anglais qu’on note une hausse. Ils ont choisi de rester au pays et vraisemblablement vers l’est », analyse Billy Bastien.
Les automobilistes roulent pare-chocs à pare-chocs à Percé. (Photo Le Soir.ca – Jean-Philippe Thibault)
La valeur du dollar canadien et le contexte politique au sud de la frontière pourraient expliquer en partie cet achalandage.
Par ailleurs, si les semaines des vacances de la construction sont toujours populaires à Percé, il faudra attendre de voir si la tendance se maintiendra au-delà du mois d’août, en septembre et même en octobre.
« C’est là la différence entre une bonne et une excellente saison. Il faut que ça tienne la route jusque-là. Tout indique cependant que les réservations sont au rendez-vous dans les hôtels », précise Billy Bastien.
Le propriétaire d’une écurie de Saint-Fabien, Patrick Desgagné, a plaidé coupable à deux chefs d’accusation de contacts sexuels sur une mineure.
Prévues le 18 juillet dernier, les représentations sur sentence ont été reportées au 3 novembre, au palais de justice de Rimouski, puisque le rapport sexologique devant guider le tribunal pour l’imposition de la peine n’est pas terminé.
Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, Desgagné est accusé d’avoir touché une partie du corps de la vict
Le propriétaire d’une écurie de Saint-Fabien, Patrick Desgagné, a plaidé coupable à deux chefs d’accusation de contacts sexuels sur une mineure.
Prévues le 18 juillet dernier, les représentations sur sentence ont été reportées au 3 novembre, au palais de justice de Rimouski, puisque le rapport sexologique devant guider le tribunal pour l’imposition de la peine n’est pas terminé.
Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, Desgagné est accusé d’avoir touché une partie du corps de la victime de moins de 16 ans à des fins sexuelles et d’avoir incité la victime à le toucher aux mêmes fins.
Une ordonnance de non-publication protège l’identité de la victime puisqu’elle était mineure au moment des faits reprochés qui se sont déroulés du 30 juin 2016 au 15 avril 2019.
Pornographie juvénile
L’homme de 54 ans a aussi plaidé coupable à une accusation de possession de matériel de pornographie juvénile.
Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Patrick Desgagné fait face à quatre autres chefs d’accusation. Une décision devrait être annoncée pour ces accusations en même temps que les observations sur la peine, le 3 novembre.
D’ici là, l’homme doit respecter une séries de conditions, notamment l’interdiction de se retrouver en présence de mineurs.
Les représentants de l’Est-du-Québec en athlétisme ont ajouté deux médailles à la récolte de la région en cette deuxième journée des compétitions à la 59e Finale des Jeux du Québec à Trois-Rivières.
Isaac Sirois (Sainte-Luce) a gagné l’argent au 2 000 mètres steeple et Zachary Lepage (Saint-Antonin) a remporté le bronze au 110 mètres haies.
Le tableau de l’Est-du-Québec affiche donc deux médailles d’argent et une de bronze jusqu’à présent.
Athlétisme
« Je suis vraiment content, surto
Les représentants de l’Est-du-Québec en athlétisme ont ajouté deux médailles à la récolte de la région en cette deuxième journée des compétitions à la 59e Finale des Jeux du Québec à Trois-Rivières.
Isaac Sirois (Sainte-Luce) a gagné l’argent au 2 000 mètres steeple et Zachary Lepage (Saint-Antonin) a remporté le bronze au 110 mètres haies.
Le tableau de l’Est-du-Québec affiche donc deux médailles d’argent et une de bronze jusqu’à présent.
Athlétisme
« Je suis vraiment content, surtout d’avoir battu de 5 secondes mon record personnel! », a lancé Isaac Sirois après avoir terminé en deuxième position au 2 000 mètres steeple avec un chrono de 6 :04.85.
La stratégie d’Isaac a été de partir rapidement pour éviter d’être pris dans la fosse, de demeurer accroché par la suite avant de réaliser un sprint à 600 mètres de la ligne d’arrivée. Son entraîneur souligne que le plan a dû être modifié en raison de la chaleur intense en après-midi et qu’Isaac a très bien exécuté ce qui était prévu, a été patient et a tout donné sur le dernier tour.
Pour sa part, Zachary Lepage a terminé en troisième position au 110 mètres haies avec un temps de 13.18 secondes.
Zachary Lepage (Photo Mission Est-du-Québec)
« Je ne m’attendais pas à cela, je suis vraiment heureux ! », a-t-il dit après avoir gagné sa médaille. Pratiquant l’athlétisme depuis quatre ans, Zachary a commencé les haies il y a à peine un an. C’est devenu depuis à la fois l’épreuve qu’il aime le plus autant en entraînement qu’en compétition, et celle dans laquelle il performe le mieux.
Autres belles performances
D’autres athlètes de la région ont réalisé de très belles performances. Madeleine Bernier (Saint-Athanase) a fini au 5e rang au saut en longueur avec une distance de 5,31 mètres. La Louperivoise Anabelle Larouche a complété son heptathlon avec 3 539 points, terminant ainsi au 6e rang.
Pour sa part, Éli Chartrand de Rimouski a pris le 7e rang au 2 000 mètres steeple avec un temps de 6 :24.63 alors qu’il courait cette épreuve pour une première fois. Thomas Puget de Chandler a battu son record personnel de 3 secondes en terminant le 800 mètres masculin avec un chrono de 2 :00.109, le plaçant en 8e position.
Loïk Patry de Rivière-du-Loup a réussi un lancer de 37,46 mètres au javelot, lui permettant de finir au 8erang.
Natation artistique
Le duo composé de Mia Leblanc et Alice Mathurin de Rimouski a réalisé une très belle performance dans la catégorie jeunesse. Les nageuses sont arrivées 4e, tout juste au pied du podium. Avec un pointage de 126.5047, elles avaient seulement 0,1102 point d’écart avec la troisième position. Elles se sont entre autres démarquées par leur belle énergie.
Triathlon
Les athlètes participaient, dimanche, à l’épreuve du triathlon individuel et les représentants de la région ont bien fait compte tenu de leur expérience dans cette discipline qui est en développement dans l’Est-du-Québec.
Vincent Gagnon et Alexandre Desjardins de Rimouski ont respectivement pris le 15e et le 21e rang dans la catégorie 16-17 ans masculin. Le Rimouskois François Bolduc, premier après le 375 mètres de natation, aurait terminé en 5e position, mais il a été disqualifié sur une erreur technique.
Chez les filles, dans la catégorie 13-15 ans, la Rimouskoise Clara Parent a terminé en 22e position avec un chrono de 41.05.
Tir à l’arc
Deux archers de la région ont bien fait lors de la ronde préliminaire de l’arc à poulies. Chez les garçons, Mathys Degagné Lamy (Saint-Fabien) a pris le 4e rang dans la catégorie 12 à 14 ans. Coralie Tremblay (Rimouski) a terminé 5e chez les 15 à 17 ans du côté des filles.
Volleyball masculin
Les représentants de l’Est-du-Québec ont poursuivi leur séquence victorieuse, remportant cinq de leurs six parties en ronde préliminaire. Ils ont gagné en deux manches contre l’équipe de Lanaudière et en trois manches contre celle de Richelieu-Yamaska.
L’Est-du-Québec s’est ensuite incliné en trois manches dans une partie serrée contre les volleyeurs de l’Outaouais. L’équipe de l’Est-du-Québec jouera pour les positions 1 à 8 lundi.
Volleyball féminin
Les joueuses de la région ont fini la journée avec deux défaites et une victoire, toutes les parties se terminant en trois manches. Elles ont perdu contre les équipes de Capitale-Nationale et de Rive-Sud avant de remporter la victoire contre les représentantes de l’Abitibi-Témiscamingue.
L’équipe jouera pour les positions 9 à 14 demain.
Baseball masculin
Après avoir tiré de l’arrière 6-5 après deux manches, l’équipe de l’Est-du-Québec a subi la défaite par un pointage de 23-10 en quatre manches contre les joueurs de Centre-du-Québec.
Les joueurs de la région se sont ensuite inclinés 4-3, en 7 manches, face au Saguenay—Lac-Saint-Jean.
Les entraîneurs soulignent que les athlètes ont bien joué durant les sept manches lors de la deuxième partie de la journée.
Charles-Éric Maltais et Ryan Murray de Rimouski ont bien fait au monticule et les joueurs ont su garder leur sang-froid durant la partie chaudement disputée.
Vélo de montagne
La meilleure performance de la région appartient à Stella Binet de Sainte-Flavie. Elle a terminé en 11e place dans la catégorie U15 féminin au cross-country avec un temps de 33 :49.80.
Le premier bloc de compétition se poursuit lundi à Trois-Rivières.
Le Shaker de Rimouski est, une fois de plus, revenu de l’arrière en 7e manche pour remporter une très importante victoire de 5-3 sur le Frontière FM d’Edmundston, dimanche soir au Stade Turgeon..
Le Shaker rejoint donc les Braves Batitech du Témiscouata au sommet du classement. Les deux clubs ont un dossier de 12-7 avec trois parties à disputer. Et, Rivière-du-Loup est tout juste derrière, à un demi-match.
Pour le classement : cliquez ici
Edmundston menait 3-2 après deux retraits, avec
Le Shaker de Rimouski est, une fois de plus, revenu de l’arrière en 7e manche pour remporter une très importante victoire de 5-3 sur le Frontière FM d’Edmundston, dimanche soir au Stade Turgeon..
Le Shaker rejoint donc les Braves Batitech du Témiscouata au sommet du classement. Les deux clubs ont un dossier de 12-7 avec trois parties à disputer. Et, Rivière-du-Loup est tout juste derrière, à un demi-match.
Edmundston menait 3-2 après deux retraits, avec aucun coureur sur les buts, quand la remontée s’est amorcée en début de 7e. Une erreur de Patrick Morin a permis à Kevin Roy de se retrouver au 2e et il a ensuite croisé le marbre sur un simple de Jean-Philippe Marcoux-Tortillet pour faire 3-3. Mathew Ramos a suivi avec un simple bon pour le point de la victoire avant que Philippe Lavigne cogne un double pour le point d’assurance.
Philippe Lavigne (Photo Alain Tremblay)
Kevin Roy a été le meilleur du Shaker avec trois coups sûrs en quatre et deux points produits.
Émile Maisonneuve a fait la distance pour remporter la victoire. Le releveur Vincent Hébert encaisse le revers. Les cinq points du Shaker sont tous non mérités.
Il ne reste plus que 10 parties à jouer pour compléter le calendrier. Lundi soir, Trois-Pistoles, avec Tristan Michaud-Thériault au monticule, visitera les Braves Batitech au Témiscouata.
Pour sa part, le Shaker jouera contre le Bérubé GM, mercredi soir à Trois-Pistoles. Au même moment, Rivière-du-Loup jouera au Kamouraska pendant que le Témiscouata visitera Edmundston.
De 130 à 140 participants ont bravé la boue du Saint-Laurent, ce samedi 26 juillet, pour rejoindre l’île qui fait face à la ville de Rimouski, établissant un nouveau record pour la Grande Traversée de l’île Saint-Barnabé. Organisé par la Ville de Rimouski, cet événement annuel existe depuis 2004.
Les marcheurs se sont réunis dès 8h15 à la marina de Rimouski avant d’être transportés par trois autobus au départ du sentier du littoral.
Accompagné de quatre guides, le groupe rassemblé à l’emb
De 130 à 140 participants ont bravé la boue du Saint-Laurent, ce samedi 26 juillet, pour rejoindre l’île qui fait face à la ville de Rimouski, établissant un nouveau record pour la Grande Traversée de l’île Saint-Barnabé. Organisé par la Ville de Rimouski, cet événement annuel existe depuis 2004.
Les marcheurs se sont réunis dès 8h15 à la marina de Rimouski avant d’être transportés par trois autobus au départ du sentier du littoral.
Accompagné de quatre guides, le groupe rassemblé à l’embouchure de la rivière Rimouski a entrepris une aventure peu commune: parcourir les 3 km qui séparent le continent de l’île Saint-Barnabé, dans la vase de la marée basse du Saint-Laurent.
Une fois la marée haute revenue, le retour s’est effectué en zodiac.
Si l’événement est offert de façon structurée depuis 2004 par la Ville, le passage à gué vers l’île Saint-Barnabé remonte cependant à des temps immémoriaux.
Cette excursion n’est possible qu’à la marée des « vives-eaux », un phénomène naturel qui permet au niveau de l’eau de descendre plus bas qu’à l’accoutumée, rendant la traversée sécuritaire.
« Ce phénomène arrive une fois par mois, mais nous n’organisons l’activité qu’une fois par année », explique le coordonnateur d’Excursion île Saint-Barnabé, François Dufresne.
Le coordonnateur d’Excursion île Saint-Barnabé, François Dufresne. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)
La marche s’avère plus ardue qu’il n’y paraît.
Chaque pas est lourd. Le sable gorgé d’eau crée une sensation de succion qui résiste à chaque pas, transformant les 3 km en un défi d’endurance relatif, selon la forme physique de chaque marcheur.
Il faut compter environ une heure et 45 minutes avant d’atteindre cette bande de terre de 6 km de longueur sur 300 mètres de largeur.
Véritable sanctuaire de biodiversité, l’île abrite notamment des orignaux, des chevreuils, des castors et plus de 120 espèces aviaires, dont le grand héron, qui en est l’oiseau emblématique.
Retour dans le temps
Cette année, l’événement a pris une dimension historique particulière grâce à la présence du titulaire de la Chaire de recherche du Canada en histoire littéraire, création et patrimoine imprimé de l’Université du Québec à Rimouski.
Le roman Toussaint Cartier ou l’ermite de l’île Saint-Barnabé, publié d’après un manuscrit qui a été écrit il y a plus de 150 ans. (Photos Le Soir.ca- Johanne Fournier)
Cette intervention s’inscrit dans la foulée de la publication récente, aux Presses de l’Université Laval, de l’édition critique du roman Toussaint Cartier ou l’ermite de l’île Saint-Barnabé, écrit en 1867 par Louis-Édouard Bois.
Demeurée manuscrite pendant plus d’un siècle et demi, cette œuvre a enfin vu le jour grâce aux recherches du professeur de lettres.
Tradition annuelle
Pour Nathalie Morissette et Stéphane Richard, cette traversée est devenue un rituel. Elle en est à sa troisième participation, lui à sa quatrième.
« C’est une belle activité qu’on aime bien faire ensemble, notamment pour aller visiter l’île Saint-Barnabé», confie madame Morissette.
De son côté, son conjoint apprécie particulièrement la perspective unique qu’offre l’expérience. « C’est une belle randonnée qui nous permet de voir la ville différemment parce qu’on la voit rarement de cet angle-là. »
Au lendemain de la traversée, Nathalie Morissette remarque que « les muscles des mollets ont plus travaillé que si on avait été sur la terre ferme ».
Le couple de Rimouski estime néanmoins l’activité accessible à tous. « Ce n’est pas trop un défi technique, ni physique, d’autant plus qu’il y a des endroits où il y a moins de boue », rassure monsieur Richard.
Le couple profite également de l’excursion pour découvrir des panoramas inaccessibles. « En plus de voir Rimouski sous un autre angle, on a une vue sur la Côte-Nord en allant de l’autre côté de l’île, ce qu’on ne peut pas voir quand on est à Rimouski », précise Nathalie Morissette.
L’activité qui consiste à traverser à gué le fleuve jusqu’à l’île Saint-Barnabé se fait à marée très basse. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier
Malgré la fascination que suscite l’île Saint-Barnabé chez certains visiteurs, le couple demeure pragmatique face aux légendes qui entourent ce territoire et à son célèbre ermite.
L’homme et la femme préfèrent savourer l’expérience pour ce qu’elle offre de concret: une aventure accessible, un point de vue inédit et un moment de communion avec la nature du Saint-Laurent.
L’ex-joueur de l’Océanic et cadet de la Sûreté du Québec, Mikaël Denis, a contribué à ranimer une femme qui avait perdu connaissance au parc de la Chute-Montmorency, à Québec.
Par Nelson Sergerie- Le Soir.ca
Le drame s’est produit le 12 juillet dernier sur la passerelle qui surplombe la chute située aux limites de Québec et de Boischatel.
Denis et sa collègue, Maude Fournier, font de la prévention dans l’exercice de leur fonction. Ils interviennent dans différents lieux publics.
« Ve
L’ex-joueur de l’Océanic et cadet de la Sûreté du Québec, Mikaël Denis, a contribué à ranimer une femme qui avait perdu connaissance au parc de la Chute-Montmorency, à Québec.
Par Nelson Sergerie- Le Soir.ca
Le drame s’est produit le 12 juillet dernier sur la passerelle qui surplombe la chute située aux limites de Québec et de Boischatel.
Denis et sa collègue, Maude Fournier, font de la prévention dans l’exercice de leur fonction. Ils interviennent dans différents lieux publics.
« Vers 19 h, on est allés au parc de la Chute-Montmorency faire une surveillance. On travaille du côté de Boischatel et on est arrivés du côté est. On est embarqués sur la passerelle et des gens du côté ouest faisaient des signes pour attirer notre attention. C’est là qu’on s’est déplacés vers eux pour comprendre ce qui se passait et on a aperçu une dame par terre », explique le cadet de 21 ans en entrevue avec Le Soir.ca.
Immédiatement, la recrue policière se met en action.
« On a fait de l’espace autour de la victime et personnellement, je me suis penché pour prendre ses signes vitaux et son état de conscience. La dame avait un pouls très faible et était complètement inconsciente. On l’a mise en position latérale de sécurité », poursuit Mikaël Denis.
Heureusement, le hasard a voulu qu’un médecin se présente sur les lieux.
« Il est venu m’aider et au téléphone, la répartition nous a demandé à faire des manœuvres cardiaques et le médecin et moi, on s’alternait, jusqu’à tant que les ambulanciers prennent la situation en charge. J’ai fait ce que j’étais en mesure de faire. On a donné le meilleur qu’on pouvait et tout le monde était satisfait », analyse Denis.
Du théorique à la pratique
Durant sa formation, il a reçu une formation en secourisme d’urgence.
« C’est un cours qu’on a au cégep et c’est ce qui m’a aidé à intervenir. Les symptômes, ce sont quelque chose qu’on avait vu durant la formation. Ça m’a permis de rester en contrôle de la situation », explique la recrue.
Avec cet événement, son choix de carrière ne s’est que confirmé.
Mikaël Denis, dans l’uniforme de l’Océanic, dans un match contre l’Armada de Blainville-Boisbriand. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
Le Gaspésien étudie au programme en accéléré de deux ans en Techniques policières au Cégep Garneau à Québec.
Il entreprendra sa dernière année au cégep en août et devra finaliser sa formation à l’École nationale de police de Nicolet.
En fin de compte, le futur agent aimerait faire sa carrière à Gaspé ou à tout le moins en Gaspésie, même s’il n’a pas le contrôle sur les assignations qu’il recevra à la Sûreté du Québec une fois qu’il sera diplômé.
Dans sa carrière de hockeyeur, Mikaël Denis a joué trois saisons complètes dans la LHJMQ avec l’Armada de Blainville-Boisbriand avant d’être échangé à l’Océanic, où il a disputé 23 parties en 2023-2024. Il a aussi endossé l’uniforme des Corsaires de Forillon dans la Ligue de hockey senior Desjardins de la Gaspésie.
Enfin. Après plusieurs mois de tractations à l’Assemblée nationale, le gouvernement Legault s’est résolu à déposer un projet de règlement autorisant la colocation dans les HLM, pratique qui est actuellement interdite.
L’opinion de Carol-Ann Kack
Les organisations de locataires au Québec et de défense des droits le clament haut et fort depuis plusieurs mois, voire plusieurs années : la quantité de mises en chantier de logements à prix modique (HLM) au Québec est bien insuffisante pour répon
Enfin. Après plusieurs mois de tractations à l’Assemblée nationale, le gouvernement Legault s’est résolu à déposer un projet de règlement autorisant la colocation dans les HLM, pratique qui est actuellement interdite.
L’opinion de Carol-Ann Kack
Les organisations de locataires au Québec et de défense des droits le clament haut et fort depuis plusieurs mois, voire plusieurs années : la quantité de mises en chantier de logements à prix modique (HLM) au Québec est bien insuffisante pour répondre aux besoins répertoriés. Cette fois-ci, il semble que la mobilisation citoyenne ainsi que le travail entre les partis d’opposition et la Coalition avenir Québec (CAQ ) ont permis d’aller de l’avant avec une mesure pour améliorer un tant soit peu la situation, et ce, à coût nul.
Changement de règlement
Au courant des derniers mois, le député de Québec solidaire, Guillaume Cliche-Rivard, avait soumis à la ministre France-Élaine Duranceau une idée toute simple qui pouvait permettre de maximiser le taux d’occupation dans les parcs locatifs de HLM. Sa proposition? Que la colocation soit permise dans les logements à loyer modique. C’est, entre autres, la Fédération des locataires d’habitations à loyer modique du Québec qui mettait de l’avant cette proposition depuis plusieurs années. Aussi étonnant que cela puisse paraître, cette pratique était à ce jour interdite.
Après avoir démontré de l’ouverture en session parlementaire et avoir même offert au député Cliche-Rivard une rencontre de travail pour explorer l’idée qu’il mettait de l’avant, la ministre Duranceau a annoncé un changement à ce règlement, qui permettra désormais l’accès à la colocation dans les logements à loyer modique destinés aux familles. Actuellement, la colocation est autorisée uniquement lorsque le ménage comprend un proche aidant, aux personnes âgées de 65 ans et plus, aux personnes handicapées ayant des limitations d’accès ou de mobilité et aux personnes ayant des besoins particuliers nécessitant des installations spéciales ou des services d’assistance.
Évidemment, le changement de règlement proposé par le gouvernement n’est pas une solution magique pour la crise du logement et elle s’adresse à des personnes dans des situations bien précises. Néanmoins, c’est un pas dans la bonne direction qui peut limiter le nombre de personnes en situation d’itinérance et il faut s’en réjouir.
La réalité du travail des député.e.s méconnue
La réalité du travail des député.e.s à l’Assemblée nationale est assez largement méconnue. Il est vrai de dire qu’une partie de ce travail en chambre peut ressembler à une pièce de théâtre ou même parfois à un cirque dans lequel on se lance des questions et des réponses sans trop aller au fond des choses. En effet, les partis cherchent à avoir l’attention médiatique et à obtenir un bon titre d’article pour attirer l’attention. C’est nécessaire pour se faire connaître. À travers les lunettes des journalistes, les partis d’opposition semblent donc plus souvent revendiquer que proposer des solutions.
Pourtant, chaque parti a des idées et un programme en cohérence avec ses valeurs et il arrive que leurs idées puissent se frayer un chemin jusqu’au gouvernement en place. Du côté du gouvernement au pouvoir, ce dernier a rarement avantage à prendre les idées des partis d’opposition, car il souhaite mener ses propres priorités et obtenir le crédit pour ses actions afin d’être réélu. N’empêche que, parfois, il y a des brèches dans lesquelles des opportunités apparaissent et où le travail se fait en collaboration pour faire avancer les choses.
Maintenant, à quand le droit à la cohabitation sans pénalité pour les personnes prestataires d’aide sociale? Cette revendication portée par une récente campagne citoyenne est réclamée par les groupes communautaires au Québec depuis plusieurs années et a été mise de l’avant par des élus de différents partis. On évalue que cette mesure pourrait permettre de libérer jusqu’à 65 000 logements au Québec. Le titre de la campagne en cours, « Cohabiter: un droit, une solution », le dit si bien. J’espère que cette idée finira aussi par se frayer un chemin.
Les joueurs élites de la Ligue de baseball Puribec étaient réunis samedi soir, à Saint-Pascal, pour la présentation du match des étoiles, une première depuis 1998.
Et au-delà du résultat de la rencontre qui s’est terminée par la marque des 4 à 3 en faveur de l’équipe internationale face à l’équipe régionale, le cœur était à la fête pour cet événement couronné de succès.
Pour le grand retour de la classique des étoiles, plus de 350 spectateurs ont pu assister à un bon spectacle de baseball
Les joueurs élites de la Ligue de baseball Puribec étaient réunis samedi soir, à Saint-Pascal, pour la présentation du match des étoiles, une première depuis 1998.
Et au-delà du résultat de la rencontre qui s’est terminée par la marque des 4 à 3 en faveur de l’équipe internationale face à l’équipe régionale, le cœur était à la fête pour cet événement couronné de succès.
Pour le grand retour de la classique des étoiles, plus de 350 spectateurs ont pu assister à un bon spectacle de baseball voyant défiler au monticule les Jimmy Durette, Émilien Plouffe, Juan Borras, Benjamin Roy et Garrett Parkins.
D’ailleurs, Parkins du Frontière FM d’Edmundston a lancé une balle rapide captée à 84 MPH alors que Guillaume Chénard du CIEL-FM de Rivière-du-Loup a explosé le gant du receveur à 83 MPH.
L’allure du match
L’équipe Internationale a pris les devants 2-0 dès la première manche, profitant d’un peu de cafouillage en défensive, mais surtout du double de Takuto Kanno et du simple de Garrett Parkins.
En début de troisième manche, l’Équipe Régionale a créé l’égalité sur le simple de deux points de Jérémie Maillé-Bizier, mais un long circuit de William Pichette et un double de Juan Borras ont redonné une priorité de deux points à l’Équipe Internationale.
À la dernière et sixième manche, Luca Morin a fait produire un point à l’aide d’un simple pour réduire l’écart à 4-3, mais la tentative de remontée a été freinée par le releveur Takuto Kanno.
Au total, dix lanceurs ont été utilisés par les deux formations étoiles, mais officiellement, Garrett Parkins a mérité la victoire et Jérémie Maillé-Bizier a enregistré la défaite.
Le trophée de joueur le plus utile de la partie a été remis à Louis-Félix Noël des Allées du Boulevard de Matane (photo du bas), qui a lancé deux manches sans accorder de points ne permettant qu’un seul coup sûr. Il a reçu le trophée du président de la Ligue de baseball senior Puribec, Denis Bérubé.
Un peu de nostalgie
Le Match des Étoiles a été l’occasion pour quelques anciens de se côtoyer et même de voir un peu d’action sur le terrain.
Joey Alvin Huard et Sébastien Pelletier qui étaient les entraineurs de l’Équipe Internationale ont revêtu leurs vœux uniformes des Escaladeurs de La Pocatière vainqueurs du championnat des séries en 1999, 2000 et 2001, au grand plaisir des amateurs de baseball du Kamouraska.
Ils ont notamment pu échanger de longues minutes avec leur ancien coéquipier des Escaladeurs, Éric Lemelin, qui fait partie de l’organisation des Industries Desjardins du Kamouraska, en plus d’être directeur des loisirs à la Ville de Saint-Pascal.
Pour revenir à Joey Alvin Huard, celui qui jonglait avec la balle sur le monticule a aussi eu une pensée pour une autre de ses anciennes équipes portant l’uniforme blanc de Matane qui remontait à une vingtaine d’années.
Pierre Beaulieu des Industries Desjardins et André Dubé des Braves Batitech, deux anciens joueurs et toujours très impliqués dans leur équipe respective, était les entraineurs de l’Équipe Régionale.
Pour sa part, Claude Bérubé associé pendant plus de 30 ans aux Braves de Cabano a fait un retour au jeu, le temps d’un match. Une présence à titre honorifique grandement apprécié par tous les gens qui étaient sur place y compris les jeunes joueurs.
Sourires sur le terrain
Tout le bureau de direction de la Ligue Puribec était également à Saint-Pascal pour l’événement.
« Bravo aux organisateurs, notamment à Alexandre Laflamme qui a mobilisé plusieurs bénévoles pour tenir un événement comme celui-là. Nous avons vu les sourires sur le terrain, ce qui représentait bien la fierté des joueurs d’être présents pour ce match », a mentionné le président Denis Bérubé après la partie.
En effet, à voir la réaction de tous les joueurs, les entraineurs, les anciens et les spectateurs, c’est sûrement une expérience à répéter dans les prochaines années.
La population est invitée à documenter la période de reproduction de papillons monarques, qui est en cours, afin de permettre aux scientifiques du Canada, des États-Unis et du Mexique de mieux protéger cet insecte menacé.
Par Alexis Drapeau-Bordage- La Presse canadienne
Du 25 juillet au 3 août, le Blitz international de suivi du monarque incite les citoyens à sortir en plein air et trouver ces papillons et des plants d’asclépiades – où le monarque se reproduit – afin d’y répertorier le nom
La population est invitée à documenter la période de reproduction de papillons monarques, qui est en cours, afin de permettre aux scientifiques du Canada, des États-Unis et du Mexique de mieux protéger cet insecte menacé.
Par Alexis Drapeau-Bordage- La Presse canadienne
Du 25 juillet au 3 août, le Blitz international de suivi du monarque incite les citoyens à sortir en plein air et trouver ces papillons et des plants d’asclépiades – où le monarque se reproduit – afin d’y répertorier le nombre d’œufs, de chenilles ou de chrysalides se cachant parmi les feuilles.
« Lorsqu’on collige toutes ces données, chacune de ces petites actions locales nous permet d’avoir un portrait continental de la population durant l’été », explique Maxim Larrivée, directeur de l’Insectarium de Montréal, un des groupes qui chapeaute l’événement au Canada.
« C’était impossible à faire avant que le blitz monarque international existe. Nous n’avions que des mesures de la population durant l’hiver. Cela nous permet d’avoir une meilleure compréhension de la dynamique de population d’une année à l’autre ».
Les données recueillies lors de ces 10 journées permettent entre autres de déterminer les zones prioritaires pour la conservation et d’orienter les actions sur le terrain. Le directeur de l’Insectarium invite les gens à publier leurs trouvailles sur les sites de Mission monarque.
Alors que la population de monarque a baissé de 90 % dans les 25 dernières années, M. Larrivée ajoute que les chiffres récoltés l’hiver dernier au Mexique étaient les deuxièmes plus bas jamais enregistrés.
Il note que, toutes espèces confondues, il y a de 20 % à 30 % moins de papillons eu Canada qu’il y a 20 ans. Bien plus importante que les autres espèces – qu’il s’agisse de papillons migrateurs ou pleinement canadiens –, la perte de population du monarque s’explique d’abord par des facteurs environnementaux.
Celui qui est «identifié comme étant le plus important par la communauté scientifique», indique le directeur de l’Insectarium, c’est l’éradication des asclépiades dans les champs, que ce soit en périphérie des productions ou directement dans les grandes monocultures.
L’utilisation de pesticides, notamment dans l’industrie du maïs aux États-Unis, nuit aussi aux papillons. Bien que ces produits ne tuent pas directement l’insecte volant, ils les font agir «un peu comme s’ils étaient en état d’ébriété en tout temps», rendant la reproduction plus difficile.
La cerise sur le sundae
Parallèlement, des plantes cousines de l’asclépiade trompent les papillons qui y pondent par erreur, la chenille naissante n’arrivant souvent pas à se reproduire par la suite.
L’augmentation du nombre d’événements météorologiques extrême et les changements climatiques représentent alors «la cerise sur le sundae» de leur extinction, selon M. Larrivée.
Mais il reste de l’espoir pour ce papillon orangé. M. Larrivée explique qu’ils pondent en moyenne 200 œufs, il a donc espoir que la population pourrait croître rapidement si les conditions étaient plus favorables à la reproduction.
L’année dernière, près de 6000 personnes ont participé au Blitz, un record pour l’événement. M. Larrivée a confiance que la hausse va continuer, alors qu’il sent que le mouvement de protection des monarques a le vent dans les ailes.