Les trois taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) qui manquaient à l’appel mercredi ont retrouvé le confort de leur ferme de Saint-Gabriel-de-Rimouski, jeudi, après une cavale d’environ quatre jours.
Par Alex Fontaine- Initiative de journalisme local
La fugue entreprise samedi soir dernier par les 24 taures est donc terminée. Celles-ci s’étaient enfuies de leur enclos de la ferme Guyloise, dans le Bas-Saint-Laurent, effrayées par des feux d’artifice.
L’essentiel du troupea
Les trois taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) qui manquaient à l’appel mercredi ont retrouvé le confort de leur ferme de Saint-Gabriel-de-Rimouski, jeudi, après une cavale d’environ quatre jours.
Par Alex Fontaine- Initiative de journalisme local
La fugue entreprise samedi soir dernier par les 24 taures est donc terminée. Celles-ci s’étaient enfuies de leur enclos de la ferme Guyloise, dans le Bas-Saint-Laurent, effrayées par des feux d’artifice.
L’essentiel du troupeau avait été ramené à bon port dans les jours suivants, mais trois bêtes étaient toujours manquantes mercredi. Elles ont été retrouvées dans un boisé environnant et sont rentrées au bercail saines et sauves, jeudi matin.
Le propriétaire de la ferme, François Morissette, s’est dit soulagé de la tournure des événements. « On va pouvoir retourner à notre routine normale », a-t-il dit en entrevue à l’antenne du 98,5 FM.
La traque a mobilisé la famille Morissette ainsi que des amis, des voisins et des entreprises du coin, tous à l’affût d’indices permettant de retrouver les vaches égarées. Des drones ont notamment été utilisés pour tenter de les repérer.
François Morissette attire ses taures avec un sceau de moulée pour les ramener vers la grange. (Photo courtoisie)
Des membres de la famille ont tenu à remercier tous ceux ayant aidé à l’atteinte de cet heureux dénouement.
La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot, est de passage à Rimouski et elle se dit très heureuse de l’avancement du chantier de construction du « Quartier maritime » qui respecte tous les échéanciers jusqu’à maintenant.
Le projet prévoit la construction de deux tours de logements que feront entre quatre et 10 étages. Elles seront reliées par un stationnement souterrain. Les travaux se chiffrent à 130 M$. La Société de dévelop
La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot, est de passage à Rimouski et elle se dit très heureuse de l’avancement du chantier de construction du « Quartier maritime » qui respecte tous les échéanciers jusqu’à maintenant.
Le projet prévoit la construction de deux tours de logements que feront entre quatre et 10 étages. Elles seront reliées par un stationnement souterrain. Les travaux se chiffrent à 130 M$. La Société de développement Angus peut compter sur une aide de 64,3 M$ du gouvernement du Québec.
« Nous sommes vraiment que les échéanciers soient respectés. Nous venons de coffrer la dalle du rez-de-chaussée que nous allons couler en partie avant les vacances de la construction et qui sera complété au retour des vacances. Une fois que la dalle sera finie, nous allons voir la structure de coffrage monter. Ça va aller jusqu’à l’automne. Nous sommes toujours dans les mêmes échéanciers qui prévoient que la structure soit montée d’ici la fin de l’année. On s’attend à commencer à poser l’enveloppe de béton préfabriquée en décembre », commente madame Hudon-Huot.
La pose de l’enveloppe de béton ne peut commencer avant que la structure soit totalement complétée.
« C’est à ce moment que les gens pourront voir la pleine hauteur du bâtiment. On devrait en avoir pour quatre mois pour mettre le revêtement extérieur du bâtiment qui sera en panneau préfabriqué de béton », indique la chargée de projet.
« En même temps que la décontamination, nous avons fait l’excavation et le soutènement pour nous assurer qu’il n’y ait pas de glissements de terrain. Ensuite, ce fut les fondations. La dalle du sous-sol sera coulée à la fin de l’année. On commence par celle du rez-de-chaussée. On va voir les étages se construire dans les prochains mois », précise la chargée de projet.
Occupation à l’hiver 2027
Le promoteur vise toujours une fermeture de l’enveloppe du bâtiment pour avril 2026.
« En ce moment, nous n’avons pas de délais sur notre échéancier. Le vent pourrait jouer sur le respect des échéanciers. Les grues ne peuvent pas fonctionner à partir d’une certaine vitesse des vents. Nous avons prévu un certain nombre de journées de vent, mais s’il est plus élevé que nos prévisions, ça pourrait nous retarder. On espère avoir visé juste même si on ne contrôle pas la météo », souligne Marilou Hudon-Huot.
La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
« Nous sommes en plein dans notre échéancier pour une occupation à l’hiver 2027. Il y aura des travaux de finition intérieure une fois que le bâtiment sera fermé. »
a Cantine ASL de Saint-Anaclet-de-Lessard est une affaire familiale depuis 35 ans. Gabrielle et André Lévesque viennent tout juste d’acheter le commerce de leur père, Serge. Les Lévesque ont à cœur d’offrir de la qualité à leurs clients de plus en plus nombreux.
L’entreprise a été fondée par le grand-père des nouveaux propriétaires. Il s’était lancé en affaires avec ses deux frères. Ses fils, Serge et Alain Lévesque, ont pris la relève. Aujourd’hui, ce sont les enfants de Serge qui sont deven
a Cantine ASL de Saint-Anaclet-de-Lessard est une affaire familiale depuis 35 ans. Gabrielle et André Lévesque viennent tout juste d’acheter le commerce de leur père, Serge. Les Lévesque ont à cœur d’offrir de la qualité à leurs clients de plus en plus nombreux.
L’entreprise a été fondée par le grand-père des nouveaux propriétaires. Il s’était lancé en affaires avec ses deux frères. Ses fils, Serge et Alain Lévesque, ont pris la relève. Aujourd’hui, ce sont les enfants de Serge qui sont devenus à la tête de l’entreprise familiale.
« Il y a sept ans, mon frère André et moi avons acheté les actions de mon oncle et maintenant nous achetons celles de mon père. C’est familial depuis le début. Je suis fébrile et fière que ça reste dans la famille », exprime Gabrielle Lévesque.
Même s’il a vendu ses parts de l’entreprise à ses enfants, Serge Lévesque n’a pas l’intention de quitter sa cantine pour autant. Il restera dans l’entourage pour les soutenir.
« C’est positif et mes parents seraient très contents de voir ça. Ils sont décédés aujourd’hui, mais ils seraient fiers. Ça se transmet et nous aimerions qu’il y ait une autre relève plus tard. Nous espérons que les gens vont continuer de nous encourager. »
La poutine de la cantine ASL est l’un des produits préférés des clients. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Après un incendie qui a détruit leur commerce en 2013, Serge Lévesque et son frère l’ont fait reconstruire au même endroit.
« Nous avons une bâtisse beaucoup plus moderne, plus efficace et mieux adaptée. Nous avons 60 places à l’intérieur en plus de la terrasse l’été. Les vendredis, nous manquons de places parfois. »
Toujours plus de clients
Gabrielle Lévesque se réjouit de voir que la clientèle est en constante augmentation.
« Depuis les dernières années, peut-être en raison des réseaux sociaux, ça se passe tellement bien, c’est incroyable. Nous avons une clientèle de plus en plus grande et nous voyons des gens qui viennent de plus en plus loin. Ils viennent du Bic et de Sainte-Flavie, notamment. Je crois qu’il y a beaucoup de bouche à oreille. »
Les employés étaient à l’oeuvre jeudi avant-midi. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
La Cantine ASL compte une vingtaine d’employés. Les nouveaux propriétaires sont sur le plancher 75 % du temps. Ils se font un devoir d’offrir des produits de qualité.
« Nous faisons nous-même nos patates. Nous partons de zéro et pour nous ça change quelque chose. Tout est local. Nous essayons de conserver les quantités en ayant des prix pas trop élevés malgré la hausse des coûts des dernières années. »
Si les clients se déplacent principalement pour les produits offerts, Gabrielle Lévesque soutient que l’ambiance est également appréciée.
« Nous avons du plaisir à travailler et nous avons une belle équipe. Nous avons des étudiants qui reviennent chaque été et ils sont contents de venir travailler. Je travaille en restauration depuis plusieurs années et je n’ai rien vu comme ça. Il n’y a rien comme la bonne humeur et la joie de vivre des gens qui viennent nous voir. »
L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, démontre de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, actuellement occupé par Rodrigue Joncas.
Bien qu’il confirme son intérêt, monsieur Sirois indique être toujours en réflexion en vue d’une éventuelle candidature à l’élection municipale du 2 novembre prochain.
« J’ai demeuré presque toute ma vie à Nazareth. C’est mon quartier. J’y ai un f
L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, démontre de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, actuellement occupé par Rodrigue Joncas.
Bien qu’il confirme son intérêt, monsieur Sirois indique être toujours en réflexion en vue d’une éventuelle candidature à l’élection municipale du 2 novembre prochain.
« J’ai demeuré presque toute ma vie à Nazareth. C’est mon quartier. J’y ai un fort attachement. C’est là que j’ai exploité mon commerce (Metro). Je connais bien les gens du quartier et leurs besoins », affirme-t-il.
Au cours des dernières années, Guillaume Sirois a été impliqué dans de nombreux organismes.
« J’ai toujours eu à cœur le développement de notre région, que ce soit à titre de président de la Chambre de commerce ou en affaires. L’implication communautaire fait aussi partie de mon ADN. C’est un peu une suite logique de mes dernières implications et un désir de participer au développement de Rimouski », précise celui qui est maintenant courtier immobilier à la Société québécoise des infrastructures (SQI) pour le Bas-Saint-Laurent.
Sollicité pour se présenter
Guillaume Sirois dit avoir été approché par des gens pour une candidature aux prochaines élections municipales.
Les 12 membres actuels du conseil municipal de Rimouski, incluant le maire Guy Caron, 2e à partir de la gauche dans la dernière rangée. (Photo Le Soir.ca)
« Mais même avant cela, j’avais un intérêt. Le poste de conseiller municipal est très important pour moi. C’est lui qui prend le pouls de ce qui se passe sur le terrain. Comme conseiller, tu es la voix des citoyens de ton quartier. Je serais le porteur des enjeux de Nazareth. J’ai eu la chance de côtoyer des gens de différentes allégeances politiques. Le municipal est intéressant parce qu’on n’a pas à être collés à une étiquette politique. Un conseiller n’est pas de gauche ou de droite, il répond aux besoins de ses citoyens ».
Le quartier de Nazareth est représenté par Rodrigue Joncas depuis 2005.
La Cantine ASL de Saint-Anaclet-de-Lessard est une affaire familiale depuis 35 ans. Gabrielle et André Lévesque viennent tout juste d’acheter le commerce de leur père, Serge. Les Lévesque ont à cœur d’offrir de la qualité à leurs clients de plus en plus nombreux.
L’entreprise a été fondée par le grand-père des nouveaux propriétaires. Il s’était lancé en affaires avec ses deux frères. Ses fils, Serge et Alain Lévesque, ont pris la relève. Aujourd’hui, ce sont les enfants de Serge qui sont deve
La Cantine ASL de Saint-Anaclet-de-Lessard est une affaire familiale depuis 35 ans. Gabrielle et André Lévesque viennent tout juste d’acheter le commerce de leur père, Serge. Les Lévesque ont à cœur d’offrir de la qualité à leurs clients de plus en plus nombreux.
L’entreprise a été fondée par le grand-père des nouveaux propriétaires. Il s’était lancé en affaires avec ses deux frères. Ses fils, Serge et Alain Lévesque, ont pris la relève. Aujourd’hui, ce sont les enfants de Serge qui sont devenus à la tête de l’entreprise familiale.
« Il y a sept ans, mon frère André et moi avons acheté les actions de mon oncle et maintenant nous achetons celles de mon père. C’est familial depuis le début. Je suis fébrile et fière que ça reste dans la famille », exprime Gabrielle Lévesque.
Même s’il a vendu ses parts de l’entreprise à ses enfants, Serge Lévesque n’a pas l’intention de quitter sa cantine pour autant. Il restera dans l’entourage pour les soutenir.
« C’est positif et mes parents seraient très contents de voir ça. Ils sont décédés aujourd’hui, mais ils seraient fiers. Ça se transmet et nous aimerions qu’il y ait une autre relève plus tard. Nous espérons que les gens vont continuer de nous encourager. »
La poutine de la cantine ASL est l’un des produits préférés des clients. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Après un incendie qui a détruit leur commerce en 2013, Serge Lévesque et son frère l’ont fait reconstruire au même endroit.
« Nous avons une bâtisse beaucoup plus moderne, plus efficace et mieux adaptée. Nous avons 60 places à l’intérieur en plus de la terrasse l’été. Les vendredis, nous manquons de places parfois. »
Toujours plus de clients
Gabrielle Lévesque se réjouit de voir que la clientèle est en constante augmentation.
« Depuis les dernières années, peut-être en raison des réseaux sociaux, ça se passe tellement bien, c’est incroyable. Nous avons une clientèle de plus en plus grande et nous voyons des gens qui viennent de plus en plus loin. Ils viennent du Bic et de Sainte-Flavie, notamment. Je crois qu’il y a beaucoup de bouche à oreille. »
Les employés étaient à l’oeuvre jeudi avant-midi. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
La Cantine ASL compte une vingtaine d’employés. Les nouveaux propriétaires sont sur le plancher 75 % du temps. Ils se font un devoir d’offrir des produits de qualité.
« Nous faisons nous-même nos patates. Nous partons de zéro et pour nous ça change quelque chose. Tout est local. Nous essayons de conserver les quantités en ayant des prix pas trop élevés malgré la hausse des coûts des dernières années. »
Si les clients se déplacent principalement pour les produits offerts, Gabrielle Lévesque soutient que l’ambiance est également appréciée.
« Nous avons du plaisir à travailler et nous avons une belle équipe. Nous avons des étudiants qui reviennent chaque été et ils sont contents de venir travailler. Je travaille en restauration depuis plusieurs années et je n’ai rien vu comme ça. Il n’y a rien comme la bonne humeur et la joie de vivre des gens qui viennent nous voir. »
Le premier rang de la Ligue senior Puribec sera à l’enjeu, vendredi soir, alors que le CIEL-FM de Rivière-du-Loup visitera le Shaker au stade de baseball du Complexe sportif Guillaume Leblanc.
Le Shaker (8-2), qui atteindra la mi-saison vendredi, possède un demi-match de priorité sur le CIEL FM (8-5). Témiscouata, Kamouraska et Edmundston sont tout juste derrière, si bien que seulement une partie et demie sépare les cinq premières équipes au classement.
Pour le classement : cliquez ici
Le premier rang de la Ligue senior Puribec sera à l’enjeu, vendredi soir, alors que le CIEL-FM de Rivière-du-Loup visitera le Shaker au stade de baseball du Complexe sportif Guillaume Leblanc.
Le Shaker (8-2), qui atteindra la mi-saison vendredi, possède un demi-match de priorité sur le CIEL FM (8-5). Témiscouata, Kamouraska et Edmundston sont tout juste derrière, si bien que seulement une partie et demie sépare les cinq premières équipes au classement.
Un intéressant duel de lanceurs s’annonce alors que le gaucher Émile Maisonneuve (1-2 et MPM de 3,50) sera opposé à l’Argentin Juan Borras (3-0 et MPM de 1,94) qui vient de connaitre trois départs de qualité. En 21 manches et deux tiers depuis le début de la saison, il revendique 29 retraits sur des prises. Pour sa part, Maisonneuve en a 22 en 22 manches.
Samedi soir, ce sont les Braves Batitech du Témiscouata qui seront les visiteurs du Shaker. Benjamin Roy (1-01 et 2,83) sera le partant de la formation rimouskoise. Les Braves n’ont pas confirmé l’identité de leur lanceur partant, mais ce devrait être Dany Paradis-Giroux (3-0 et 2,80) ou le Japonais, Kodai Kambara (2-2 et 0,61)
Autres matchs
Les parties CIEL FM / Shaker et Braves Batitech / Shaker sont les seules au calendrier, vendredi et samedi.
Dimanche, Matane sera le visiteur au Kamouraska pour un programme double, à La Pocatière à 15 h et à Saint-Pascal à 19 h. Aussi, Trois-Pistoles jouera à Edmundston à 19 h.
Une collision entre deux véhicules a fait deux blessés, jeudi avant-midi, sur la route 132 à Grand-Métis. Les personnes ont été transportées dans un centre hospitalier, mais on ne craint pas pour leur vie.
La Sûreté du Québec a été appelée vers 10 h 15. L’accident est survenu à l’intersection de la route 234, en face des Jardins de Métis.
« Un véhicule se dirigeant vers l’est s’est engagé pour tourner vers les Jardins de Métis sans s’assurer de l’absence de danger. Il a été percuté par l
Une collision entre deux véhicules a fait deux blessés, jeudi avant-midi, sur la route 132 à Grand-Métis. Les personnes ont été transportées dans un centre hospitalier, mais on ne craint pas pour leur vie.
La Sûreté du Québec a été appelée vers 10 h 15. L’accident est survenu à l’intersection de la route 234, en face des Jardins de Métis.
« Un véhicule se dirigeant vers l’est s’est engagé pour tourner vers les Jardins de Métis sans s’assurer de l’absence de danger. Il a été percuté par le véhicule se dirigeant vers l’ouest dans lequel il y avait deux occupants. Le véhicule a fait un capotage. Le seul occupant du véhicule qui allait vers l’est n’a pas eu de blessure », explique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.
La circulation s’est faite en alternance pendant quelques heures dans le secteur et le tout est revenu à la normale depuis.
La Trinité-des-Monts accueillera cette fin de semaine, du vendredi 4 juillet au dimanche 6 juillet, la 5e édition du Festival Rétro des 3 Monts.
L’agent de vitalisation pour les municipalités de Trinité-des-Monts et d’Esprit-Saint, Stéphane Proulx, explique que le festival, mis sur pied en 2017, se voulait différent des autres événements du genre dans la région.
« Trinité-des-Monts a un historique de gros festivals. Il y a eu, pendant des années, la foire de l’agneau, qui attirait des mill
La Trinité-des-Monts accueillera cette fin de semaine, du vendredi 4 juillet au dimanche 6 juillet, la 5e édition du Festival Rétro des 3 Monts.
L’agent de vitalisation pour les municipalités de Trinité-des-Monts et d’Esprit-Saint, Stéphane Proulx, explique que le festival, mis sur pied en 2017, se voulait différent des autres événements du genre dans la région.
« Trinité-des-Monts a un historique de gros festivals. Il y a eu, pendant des années, la foire de l’agneau, qui attirait des milliers de personnes. Nous avons aussi eu un festival country, pendant une quinzaine d’années. Comme il y a des festivals country partout, ça ne faisait pas original, alors on a décidé de faire un festival rétro. C’est un événement unique, qui n’a pas son pareil dans le secteur. »
Première journée
Ainsi, le festival rétro, qui s’adresse autant aux Trinitois qu’aux citoyens des municipalités environnantes, débutera à 16 h, le vendredi.
« Ça commence avec le 5 à 7 d’ouverture, au chapiteau. Il y aura de la musique et un bingo, qui se tiendra à l’intérieur du centre des loisirs. »
Le gros lot du bingo sera de 500 $.
Le samedi
La deuxième journée du festival sera particulièrement occupée.
« Le samedi après-midi, il y aura une exposition de vieilles voitures, avec des jeux pour les enfants et d’autres pour les adultes. Nous allons inaugurer cette année, un tout nouveau terrain de croquet. »
Ce nouveau terrain pourra d’ailleurs servir de patinoire pendant l’hiver.
« Encore le samedi, des artisans seront sur place pour présenter leurs produits. Il y aura trois kiosques, où des représentants proposeront de l’artisanat aux personnes présentes. »
Le Centre des loisirs de La Trinité-des-Monts (Photo courtoisie)
Pour une deuxième année consécutive, le festival accueillera le groupe Les années Jukebox, comme spectacle central, à la suite du souper du samedi.
« L’an dernier, le groupe a fait un tabac. C’était le meilleur spectacle que nous avions eu à Trinité-des-Monts depuis des dizaines d’années. Nous avons donc misé sur le groupe, encore cette année. L’enthousiasme du band et le talent de ses chanteuses, dont fait partie Anybel Roussy, font que je considère le groupe dans une classe à part », indique monsieur Proulx.
Conclusion du festival
Le dimanche débutera avec la messe de 9 h.
Elle sera suivie d’un brunch, au profit de La Fabrique de Trinité-des-Monts, qui pour sa part viendra clore le festival.
Informations supplémentaires
Notons que la programmation détaillée du festival est décrite sur la page Facebook de l’événement.
Pour plus d’informations, il est aussi possible de contacter Stéphane Proulx, par téléphone au 418-894-6737 ou par courriel à d’adresse stephane.proulx.vitalisation@gmail.com.
Le conseil municipal de Rimouski accepte à l’unanimité les termes de l’acte de cession de rang hypothécaire à intervenir entre la Ville de Rimouski et la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL) sur le projet d’Han-Logement.
« Le promoteur obtient du financement de divers organismes prêteurs. Dans ce cas-ci, il s’agit de la SCHL. Une des conditions pour qu’ils prêtent de l’argent, c’est d’obtenir la priorité au point de vue hypothécaire. La Ville cède donc son rang hypothécaire p
Le conseil municipal de Rimouski accepte à l’unanimité les termes de l’acte de cession de rang hypothécaire à intervenir entre la Ville de Rimouski et la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL) sur le projet d’Han-Logement.
« Le promoteur obtient du financement de divers organismes prêteurs. Dans ce cas-ci, il s’agit de la SCHL. Une des conditions pour qu’ils prêtent de l’argent, c’est d’obtenir la priorité au point de vue hypothécaire. La Ville cède donc son rang hypothécaire pour qu’Han-Logement puisse accéder à du financement », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
La cession de son rang hypothécaire signifie que la Ville de Rimouski cède sa priorité à la SCHL comme créancier en cas de faillite.
Terrain donné
La créance de la Ville provient d’un terrain à l’organisme Han-Logement pour permettre la construction de 32 logements abordables principalement destinés aux personnes ayant un handicap.
La convention d’aide financière intervenue entre la Ville et l’organisme prévoyait une cession de rang hypothécaire de la part de la Ville au bénéfice des partenaires financiers de celui-ci afin de permettre le financement et la réalisation du projet.
Une offre de financement a été obtenue par l’organisme auprès de la Société Canadienne d’Hypothèque et de Logement (SCHL).
À Pointe-au-Père
Les 32 logements adaptés et abordables destinés à des personnes en situation de handicap seront répartis dans quatre édifices de huit logements sur la rue des Vétérans à Pointe-au-Père.
Entamés en août 2024, les travaux sont effectués par l’entrepreneur général CB4S de Saint-Arsène. Ils devraient être complétés à l’été 2025.
« À terme, ce projet comprendra 32 logements adaptés et abordables destinés à des personnes en situation de handicap physique, intellectuel, ou vivant avec un trouble du spectre de l’autisme, ainsi qu’à des personnes âgées bénéficiant des adaptations. Chaque logement intégrera 55 adaptations pour optimiser l’accessibilité et le confort de nos locataires », explique la coordinatrice philanthropie et marketing chez Han-Logement, Cindy de Lozzo.
La MRC de Rimouski-Neigette annonce l’adoption de sa toute première Politique des familles et des aînés, une démarche portée par la volonté d’améliorer la qualité de vie des citoyens et de mieux coordonner les actions sur l’ensemble du territoire.
Guidée par la vision des élus de placer le bien-être des familles et des aînés au cœur de leur engagement, cette politique s’accompagne d’un plan d’action 2025-2029 qui trace la voie vers des milieux de vie « plus inclusifs, adaptés et bienveillants
La MRC de Rimouski-Neigette annonce l’adoption de sa toute première Politique des familles et des aînés, une démarche portée par la volonté d’améliorer la qualité de vie des citoyens et de mieux coordonner les actions sur l’ensemble du territoire.
Guidée par la vision des élus de placer le bien-être des familles et des aînés au cœur de leur engagement, cette politique s’accompagne d’un plan d’action 2025-2029 qui trace la voie vers des milieux de vie « plus inclusifs, adaptés et bienveillants. »
Cette démarche est devenue possible grâce au soutien de l’Entente sectorielle pour le développement social du Bas-Saint-Laurent 2023-2026, qui a permis l’embauche d’une ressource dédiée au développement social au sein de la MRC.
Un comité de pilotage formé d’élus, de partenaires du milieu et d’employés de la MRC a été mis sur pied pour encadrer les travaux et veiller à la mise en œuvre du plan d’action.
Les membres du comité de pilotage sont :
Chantal Gagnon, élue responsable des questions aînées
Vanessa Lepage-Leclerc, élue responsable des questions familles
Cécille Corbin, Table de concertation des aînés du Bas-Saint-Laurent
Sarah Toulouse, Accueil et Intégration BSL
Tracy Thibeault, Maison des Familles de Rimouski-Neigette
Isabelle Deschênes et Maylinda Turcotte, CISSS du Bas-Saint-Laurent
Véronique Thibault et Mikaël Jacques, MRC de Rimouski-Neigette
Le préfet de la MRC de Rimouski-Neigette, Francis St-Pierre, affirme que cette politique démontre le souhait de la MRC d’agir en complémentarité avec ses partenaires pour offrir tout le soutien nécessaire aux citoyens du territoire.
« Il ne s’agit pas seulement d’un cadre de référence, mais d’un engagement collectif à bâtir des milieux de vie où chacun, peu importe son âge ou son parcours, peut trouver sa place et s’épanouir », indique monsieur St-Pierre.
Connaitre les priorités
Deux journées de concertation réunissant des organismes du milieu ainsi qu’un sondage citoyen ont permis de cerner les priorités et les valeurs essentielles aux yeux de la population.
« Ces moments d’échange ont permis de définir les grandes orientations de la politique et d’identifier des actions concrètes en phase avec les réalités et les aspirations des familles et des aînés », soulignent Vanessa Lepage-Leclerc et Chantal Gagnon, élues responsables des dossiers familles et aînés.
La Politique des familles et des aînés, ainsi que le plan d’action 2025-2029, sont disponibles sur le site web de la MRC de Rimouski-Neigette : www.mrcrimouskineigette.qc.ca/la-mrc/politiques/
Le défenseur rimouskois Timothy St-Pierre poursuivra sa carrière en France. L’athlète de 21 ans vient de s’entendre avec le Phénix de Reims en division 2.
Jamais repêché dans la LHJMQ, St-Pierre a fait tout son parcours dans le programme de hockey scolaire du Centre de services scolaires des Phares avec les équipes du Sélect de Rimouski et du Mistral de Mont-Joli, de la 6e année jusqu’en 5e secondaire.
Après une campagne dans la Ligue junior A des Maritimes avec le Blizzard d’Edmundston, l
Le défenseur rimouskois Timothy St-Pierre poursuivra sa carrière en France. L’athlète de 21 ans vient de s’entendre avec le Phénix de Reims en division 2.
Jamais repêché dans la LHJMQ, St-Pierre a fait tout son parcours dans le programme de hockey scolaire du Centre de services scolaires des Phares avec les équipes du Sélect de Rimouski et du Mistral de Mont-Joli, de la 6e année jusqu’en 5e secondaire.
Après une campagne dans la Ligue junior A des Maritimes avec le Blizzard d’Edmundston, le fils de Simon St-Pierre et Julie Proulx a évolué dans la Ligue junior AAA du Québec lors des deux dernières saisons, terminant sa carrière junior avec 37 points, dont 19 buts, en 50 matchs en 2024-2025 avec l’Everest de la Côte-du-Sud, le Titan de Princeville et l’Indigo de Granby.
Il a ajouté 17 points (9-8) en 14 rencontres en séries éliminatoires à Granby.
Saisons convaincantes
« Timothy est décrit comme un défenseur à caractère très offensif, comme un troisième ailier. Il était considéré comme un des cinq meilleurs défenseurs de la ligue et un capitaine exemplaire à Princeville. Il sera un élément de premier plan pour la brigade défensive des Phénix », mentionne la formation française sur sa page Facebook.
Timothy St-Pierre, à gauche, en action sur la patinoire. (Courtoisie Mathieu MP Photo)
Timothy St-Pierre a participé à des camps d’entraînement dans la LHJMQ avec les Tigres de Victoriaville et l’Océanic.
L’ex-hockeyeur et maintenant chroniqueur et animateur à RDS, André Roy, sera à Rimouski, le 5 juillet, dans le cadre du deuxième Festi-Bob. Avec ses collègues du balado La Poche Bleu Blanc Rouge, Steve Bégin et Éric Bélanger, il rencontrera les amateurs de hockey.
Les trois anciens de la Ligue nationale de hockey (LNH) participeront à une séance de questions-réponses, dès 20 h, au centre communautaire de Rimouski-Est.
« Les gens sur place vont pouvoir nous poser des questions sur les Cana
L’ex-hockeyeur et maintenant chroniqueur et animateur à RDS, André Roy, sera à Rimouski, le 5 juillet, dans le cadre du deuxième Festi-Bob. Avec ses collègues du balado La Poche Bleu Blanc Rouge, Steve Bégin et Éric Bélanger, il rencontrera les amateurs de hockey.
Les trois anciens de la Ligue nationale de hockey (LNH) participeront à une séance de questions-réponses, dès 20 h, au centre communautaire de Rimouski-Est.
« Les gens sur place vont pouvoir nous poser des questions sur les Canadiens, notre carrière et toutes sortes de sujets. Ils vont pouvoir prendre des photos et nous rencontrer en un à un. Nous allons aussi assister au spectacle de Salut Bob Gorgée! qui suivra. Peut-être que je vais m’essayer pour chanter avec eux », exprime André Roy.
Celui qui a joué neuf saisons dans la LNH était un ami de Roberto Bissonnette, l’ancien hockeyeur devenu chanteur qui est décédé à 35 ans à la suite d’un accident d’hélicoptère en 2016. Roy trouvait important de se déplacer jusqu’à Rimouski pour participer au Festi-Bob dont les profits sont remis à La Fondation Bob Bissonnette qui vient en aide aux jeunes sportifs et artistes de partout au Québec.
« On se parlait à l’occasion et on s’envoyait des textos. À l’époque, je prenais des chansons de son répertoire et je les faisais à RDS. Il trouvait ça bien comique. Quand nous avons été approchés pour aller à Rimouski, nous avons tout de suite accepté. C’est pour une bonne cause, donc nous souhaitons que les gens viennent nous voir. »
Des passionnés de hockey
Le balado La Poche Bleu Blanc Rouge a cumulé plus d’un demi-million d’écoutes et de vues en 2023-2024.
« Nous faisons les après-matchs en saison régulière des Canadiens la semaine et nous parlons de ce que nous avons vu pendant les matchs. Les auditeurs peuvent interagir avec nous. S’il arrive quelque chose dans l’actualité sportive, on en parle aussi », explique André Roy.
André Roy a remporté la Coupe Stanley avec le Lightning de Tampa Bay en 2004. (Photo courtoisie)
Les trois retraités du hockey n’en seront pas à leur première expérience devant un public lorsqu’il seront à Rimouski.
« Nous nous sommes déplacés quelques fois déjà, à Sherbrooke, à Trois-Rivières et à Montréal pendant des matchs. Il y avait des amateurs de hockey et c’est ça qu’on veut faire. On commence tranquillement et on aime bien ça. On veut jaser de hockey avec les gens. Nous sommes des passionnés de hockey. »
Étant bien conscients de l’intérêt des Rimouskois envers leur équipe de la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ), Roy, Bégin et Bélanger ont l’intention de discuter de l’Océanic avec les partisans.
« Nous avons joué tous les trois dans la LHJMQ et Bélanger a entraîné à Drummondville récemment. L’Océanic a eu un beau parcours dans les séries. J’ai joué avec Vincent Lecavalier, Brad Richards et même Sidney Crosby. Ils me parlaient de Rimouski comme étant une belle ville de hockey. Je connais bien Michel Ouellet aussi », affirme André Roy.
Journée familiale
Le Festi-Bob vise un large public cette année. Les jeunes et les moins jeunes pourront participer à un festival de hockey de rue et de soccer au centre communautaire Adhémar-Saint-Laurent pendant la journée du 5 juillet. Les deux tournois seront amicaux. Il y aura un camion-restaurant, une maquilleuse et un DJ sur place.
L’événement se voudra familial cette année. (Photo courtoisie)
Le coût d’inscription pour participer aux activités sportives est de seulement d’une quinzaine de dollars par personne et l’entrée sur le site est gratuite.
Les personnes qui aimeraient se procurer des billets pour la soirée (La Poche Bleue Blanc Rouge + Salut Bob Gorgée!) ou s’inscrire pour le festival de hockey ou de soccer peuvent le faire en ligne : lepointdevente.com/billets/festibob2025.
Le CIEL-FM de Rivière-du-Loup a vu sa série de six victoires consécutives prendre fin dans un revers de 11-0 à domicile, face aux Braves Batitech du Témiscouata.
Gabriel Cyr a limité ses adversaires à trois coups sûrs, tous des simples, en six manches de travail pour sa deuxième victoire de la saison. Dave Voyer, qui a lancé quatre manches, encaisse le revers.
Un simple de Dany Paradis-Giroux a donné les devants aux visiteurs en 3e manche qui ont ajouté cinq points à leur tour au bâton au
Le CIEL-FM de Rivière-du-Loup a vu sa série de six victoires consécutives prendre fin dans un revers de 11-0 à domicile, face aux Braves Batitech du Témiscouata.
Gabriel Cyr a limité ses adversaires à trois coups sûrs, tous des simples, en six manches de travail pour sa deuxième victoire de la saison. Dave Voyer, qui a lancé quatre manches, encaisse le revers.
Un simple de Dany Paradis-Giroux a donné les devants aux visiteurs en 3e manche qui ont ajouté cinq points à leur tour au bâton au suivant, dont deux sur le double de Takuto Kanno. Les Braves ont complété avec deux points en 6e et trois autres en 7e.
Kanno, avec trois coups sûrs en cinq et trois points produits, ainsi que Paradis-Giroux, avec quatre en quatre et cinq points produits, ont mené la charge en offensive.
Ce résultat fait en sorte que le CIEL FM glisse à un demi-match du Shaker, qui est de nouveau seul en tête. Les deux clubs s’affronteront vendredi soir à Rimouski.
Pour leur part, les Braves portent leur dossier à 8-6, un match seulement derrière le Shaker. Et, les Braves s’amèneront à leur tour au Complexe sportif Guillaume Leblanc, samedi soir.
Les Groupements forestiers de Neigette-Métis et du Témiscouata défendent leur projet de fusion. Il sera présenté aux membres, ce jeudi 3 juillet, lors d’une assemblée générale extraordinaire à Rimouski, bien qu’il suscite des réserves chez certains producteurs de bois privés.
L’ancien président du Syndicat des producteurs de bois, Jean-Maurice Lechasseur, évoque notamment une perte de contrôle des actionnaires sur leur groupement ainsi qu’une diminution des services. Il affirme que ce projet
Les Groupements forestiers de Neigette-Métis et du Témiscouata défendent leur projet de fusion. Il sera présenté aux membres, ce jeudi 3 juillet, lors d’une assemblée générale extraordinaire à Rimouski, bien qu’il suscite des réserves chez certains producteurs de bois privés.
L’ancien président du Syndicat des producteurs de bois, Jean-Maurice Lechasseur, évoque notamment une perte de contrôle des actionnaires sur leur groupement ainsi qu’une diminution des services. Il affirme que ce projet inquiète plusieurs producteurs.
Les Groupements forestiers de Neigette-Métis et du Témiscouata défendent un projet auquel ils travaillent depuis trois ans.
Ils invoquent un contexte difficile marqué par la pénurie de main-d’œuvre, la pression sur les forêts publique et privée, ainsi que l’instabilité des marchés.
« La fusion est un levier de solidarité, de renforcement collectif et de protection régionale », affirme la porte-parole, Anne-Marie Dionne.
L’an dernier, le même projet avait été rejeté par un seul vote lors d’une assemblée des membres du Groupement Métis-Neigette.
Cette année, les deux sociétés reviennent à la charge en réaffirmant que le regroupement offrira de nombreux avantages.
Madame Dionne cite, entre autres, le maintien et l’amélioration des services aux propriétaires-actionnaires, une plus grande force de négociation avec les grands acheteurs, une meilleure stabilité financière ainsi qu’une capacité accrue d’investissement dans la diversification et l’innovation.
« La fusion n’est pas un choix d’expansion, c’est un geste de résilience et de stratégie », soutient-elle.
Objectif de croissance
Les deux groupements forestiers affirment être en excellente santé financière. « Contrairement à certaines perceptions, la démarche actuelle n’est aucunement motivée par des difficultés économiques », précise Anne-Marie Dionne.
Elle rappelle que plusieurs fusions ont été menées avec succès au cours des dernières années, notamment celle de 2018 entre la Société d’exploitation des ressources de la Neigette et celle de La Mitis, ou encore celle de 2010 entre les Groupements forestiers de l’Est du Témiscouata et du Transcontinental.
« Ces regroupements ont démontré que l’union permet de renforcer la gouvernance locale, d’améliorer les services offerts aux membres, de créer des emplois de qualité et d’accroître la résilience des communautés régionales. »
Selon elle, peu de choses changeront pour les membres. Le nouveau Groupement forestier Métis-Neigette–Témiscouata entend maintenir tous les bureaux actuels ouverts, y compris celui de Saint-Gabriel-de-Rimouski.
« Nous tenons à réaffirmer que la proximité avec les membres, la gouvernance démocratique et la présence active sur le territoire demeurent au cœur de notre mission. Cette fusion ne remet nullement cela en question. »
Anne-Marie Dionne dit comprendre que cet objectif de croissance puisse susciter des craintes chez certains producteurs, mais elle insiste pour faire la distinction entre le désir de « devenir plus gros » et une évolution réfléchie, au service des membres.
« Dans notre cas, la fusion ne dilue pas notre mission, elle l’amplifie. »
Elle ajoute qu’un groupement plus important pourra mieux défendre les intérêts des collectivités locales.
Poids majeur au Québec
Le projet présenté aux actionnaires prévoit notamment la création d’un fonds forestier pour soutenir la réalisation de travaux sylvicoles sur les lots privés.
Lors des rencontres préparatoires avec les producteurs, les groupements ont aussi mis de l’avant les retombées économiques locales accrues et de meilleurs débouchés pour le bois feuillu.
Avec cette fusion, le nouveau Groupement forestier Métis-Neigette–Témiscouata deviendrait le plus important au Québec, avec plus de 2 600 producteurs de bois privés à titre d’actionnaires et un chiffre d’affaires de 150 M$.
Les deux groupements possèdent cinq usines de sciage de feuillus mous, une usine de copeaux, 155 000 entailles en acériculture et deux compagnies de transport de bois par camion. Celui de Métis-Neigette a d’ailleurs fait l’acquisition récente des installations de Bois BSL à Mont-Joli.
Les travaux d’aménagement forestier atteindraient 12 millions de dollars par année, alors que la récolte annuelle est estimée à 850 000 mètres cubes de bois, en forêt publique et privée.
La 18e édition de la Fête des Guitares, qui se tiendra au Parc du Centennaire de Lac-Au-Saumon, débutera demain, le jeudi 3 juillet dès 19 h et se poursuivra sur trois jours.
La programmation, dévoilée en décembre dernier, avait été décrite par le comité organisateur de la Fête comme étant la plus importante de son histoire.
Les trois soirées de festivités permettront à l’auditoire d’assister à trois spectacles par soir, pour un total de neuf spectacles. Il sera possible d’y entendre, ent
La 18e édition de la Fête des Guitares, qui se tiendra au Parc du Centennaire de Lac-Au-Saumon, débutera demain, le jeudi 3 juillet dès 19 h et se poursuivra sur trois jours.
La programmation, dévoilée en décembre dernier, avait été décrite par le comité organisateur de la Fête comme étant la plus importante de son histoire.
Les trois soirées de festivités permettront à l’auditoire d’assister à trois spectacles par soir, pour un total de neuf spectacles. Il sera possible d’y entendre, entre autres, Guylaine Tanguay, Brett Kissel et Marc Dupré.
Programmation
Jeudi, 3 juillet 2025
19h – High Voltage (hommage à AC/DC)
20h – Lendemain de veille
22h – Talk
Vendredi, 4 juillet 2025
20h – Guylaine Tanguay
22h – Brett Kissel
24h – DJ P-O Paquet
Samedi, 5 juillet 2025
20h – Bleu Jeans Bleu
22h – Marc Dupré
24h – DJ P-O Paquet
Informations
Rappelons que les bracelets à l’entrée seront au coût de 40 $ par soir et de 100 $ pour la fin de semaine. L’entrée est cependant gratuite pour les enfants de 12 ans et moins.
Un service de navette est encore offert cette année, lors du festival. Le coût, de 5 $ l’aller, se paie en comptant.
Deux départs par soir, plus un troisième au besoin, se feront à Sayabec et à Causapscal. L’horaire détaillé du service est disponible sur la page Facebook de l’événement.
Le directeur-gérant de l’Océanic, Danny Dupont, était comblé lorsqu’il s’est entretenu avec Le Soir.ca au terme du repêchage international de la Ligue canadienne de hockey (LCH) qui s’est tenu mercredi. Il a pu sélectionner les trois joueurs qu’il avait ciblés.
Cette séance de sélection a ceci de particulier que les équipes ont généralement des ententes avec les joueurs qu’elles visent à la suite de contacts avec des agents. Par contre, quand on repêche aux rangs nos 51, 112 et 137, le risque
Le directeur-gérant de l’Océanic, Danny Dupont, était comblé lorsqu’il s’est entretenu avec Le Soir.ca au terme du repêchage international de la Ligue canadienne de hockey (LCH) qui s’est tenu mercredi. Il a pu sélectionner les trois joueurs qu’il avait ciblés.
Cette séance de sélection a ceci de particulier que les équipes ont généralement des ententes avec les joueurs qu’elles visent à la suite de contacts avec des agents. Par contre, quand on repêche aux rangs nos 51, 112 et 137, le risque est plus grand de les voir partir ailleurs.
« J’ai mes joueurs visés, trois joueurs qu’on va développer, qui ont du potentiel. Les trois ont de l’expérience avec leur équipe nationale », mentionne Danny Dupont.
Dovydas Jukna (Photo Équipe Genève)
Son premier choix, Dovydas Jukna, est un gros ailier gauche de la Lituanie qui s’est amené en Suisse avec sa famille, il y a cinq ans, pour se développer comme joueur de hockey.
« Il est un attaquant de puissance en devenir avec un excellent lancer qui est responsable sur la patinoire. On est très heureux de cette sélection. Il est un gars qui devrait rentrer dans notre top 6 très rapidement », explique Dupont.
Il a ensuite sélectionné Raphaël Achermann, un attaquant de 17 ans de la Suisse.
« Lui aussi a un très bon physique, il manie très bien la rondelle avec une belle vision et un bon patin. Il va y avoir une acclimatation au niveau junior. Il n’a pas peur du travail. On va le rentrer, travailler avec lui pour le développer », poursuit le d.g.
La troisième sélection est Luca Nappiot, un défenseur droitier, aussi de la Suisse.
Luca Nappiot (Photo Planète Hockey)
« Un excellent patineur, qui bouge très bien la rondelle. Si j’avais à la comparer, il y a des similitudes avec Evan Dépatie, un défenseur qu’on a acquis de Val-D’Or. On place beaucoup d’espoir en lui. »
Ils parlent français
Les trois joueurs sélectionnés par l’Océanic parlent le français. Dans deux des trois cas, Achermann et Nappiot, le directeur gérant de l’Océanic a pu les voir jouer en personne lors de compétitions internationales.
Achermann devrait faire partie de l’équipe de la Suisse lors du championnat mondial des moins de 18 ans, en août prochain.
Basile le conseiller
Après Basile Sansonnens l’an dernier, l’Océanic vient de miser sur trois autres joueurs évoluant en Suisse dans ce repêchage européen.
« On a une belle relation qui s’est établie avec la présence de Basile, la saison dernière. Même qu’il nous a pointés dans une bonne direction quand je me suis assis avec lui en début de saison. Basile, c’est une bibite de hockey, il connait tout le monde dans son pays. Il pouvait faire une bonne évaluation des autres joueurs. Il connaissait très bien Achermann et Nappiot et a pu leur expliquer l’expérience de jouer pour l’Océanic », observe Dupont.
Au terme d’une saison très chargée et de quelques semaines de préparation en vue de la prochaine, le directeur-gérant va profiter de vacances avant le retour de l’équipe sur la glace pour le camp des recrues, le 13 août.
Les propriétaires de la Ferme Guyloise de Saint-Gabriel confirment être parvenus à ramener six des neuf taures manquantes, ce mardi 1er juillet, en fin de journée. Trois taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) étaient toujours en cavale ce mercredi à midi.
Rappelons que 24 taures ont brisé leur clôture, samedi dernier, pour s’enfuir dans le bois vers le secteur du Mont-Comi après avoir été effrayées par des feux d’artifice.
Les propriétaires ont d’abord été capables, depuis l
Les propriétaires de la Ferme Guyloise de Saint-Gabriel confirment être parvenus à ramener six des neuf taures manquantes, ce mardi 1er juillet, en fin de journée. Trois taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) étaient toujours en cavale ce mercredi à midi.
Rappelons que 24 taures ont brisé leur clôture, samedi dernier, pour s’enfuir dans le bois vers le secteur du Mont-Comi après avoir été effrayées par des feux d’artifice.
Ce n’est pas facile de ramener des taures qui ont perdu leur repère et qui sont effrayées.
« Quand on approche, elles se sauvent. Il faut leur parler et les attirer avec de la moulée pour qu’elles nous suivent tranquillement. Nous en avons ramené sur une distance de 2 km lundi. Pour les autres, elles ont été vues sur la route menant vers Sainte-Angèle, mais lorsque nous sommes arrivés, elles s’étaient sauvées dans le bois. Il y avait un champ juste à côté. Si elles s’étaient déplacées là, on aurait pu les voir, mais dans le bois, c’est comme courir après un orignal. On essaie de suivre les traces, mais elles vont plus vite que nous », explique le propriétaire de la ferme laitière de race Holstein, François Morissette.
Affamées
Les taures ne s’arrêtent pas pour manger ou se coucher, ce qui facilement les recherches.
« Elles sont perdues. Elles tentent probablement de revenir vers la grange, mais elles ne retrouvent pas le chemin. Celles que nous avons ramenées avaient le ventre vide. Elles n’avaient pas mangé depuis samedi », souligne le producteur laitier.
La moitié des taures sont gestantes, c’est-à-dire qu’elles portent leur premier veau. Les autres sont encore trop jeunes. Les taures sont généralement plus fringantes et plus farouches que les vaches en lactation qui doivent se faire traire tous les jours et qui sont forcément moins peureuses.
Les personnes qui verraient les taures sont priées de contacter monsieur Morissette au 418-732-8770.
Alors que la saison estivale est lancée, une grève des employés des traversiers affiliés à la CSN pourrait perturber les déplacements de nombreux usagers, du 4 au 13 juillet, si une entente n’est pas conclue d’ici là. La traverse Matane-Côte-Nord est touchée contrairement aux autres qui ne relèvent pas du même syndicat.
Concrètement, une dernière traversée aura lieu le jeudi 3 juillet à 17 h 30. Par la suite, le service sera entièrement interrompu jusqu’au lundi 14 juillet.
Les gens qui a
Alors que la saison estivale est lancée, une grève des employés des traversiers affiliés à la CSN pourrait perturber les déplacements de nombreux usagers, du 4 au 13 juillet, si une entente n’est pas conclue d’ici là. La traverse Matane-Côte-Nord est touchée contrairement aux autres qui ne relèvent pas du même syndicat.
Concrètement, une dernière traversée aura lieu le jeudi 3 juillet à 17 h 30. Par la suite, le service sera entièrement interrompu jusqu’au lundi 14 juillet.
Les gens qui auront à traverser le fleuve devront utiliser une autre traverse ou faire le grand détour par Québec.
La Société des Traversiers souligne qu’une entente est survenue avec les autres employés des autres traverses affiliés aux Métallos.
« Il est surprenant qu’ils aient recours à ce moyen de pression à ce moment-ci, puisque les négociations se poursuivent selon un calendrier de rencontrés prédéterminées. »
La STQ poursuit en disant qu’elle respecte le droit de grève de ses travailleurs, tout en soulignant que les Métallos ont accepté une entente dans une proportion de 80 %.
« Nous sommes conscients des impacts directs de cette grève sur les communautés desservies en ce début de saison estivale, notamment avec le Festival Eau Grand Air de Baie-Comeau. »
Pour éviter la grève
La STQ conclut en affirmant qu’elle demeure ouverte à discuter avec le syndicat dans le but de trouver une issue à cette situation.
« Nous sommes prêts à continuer les négociations pour éviter la grève qui aura des impacts sur l’ensemble des citoyens. »
(Image par la Société des traversiers du Québec)
La CSN déplore l’absence de convention collective depuis 2023 et d’augmentation de salaire depuis trois ans. Le mandat de grève a été voté à 90 % par les membres.
Avec la 51e sélection de la première ronde du repêchage international de la LCH, l’Océanic a opté pour un attaquant de la Lituanie, Dovydas Jukna.
L’ailier de 6 pieds 3 pouces et 190 livres est âgé de 18 ans. Il a évolué en Suisse au cours des dernières saisons. En 2020, à 14 ans, il a joué avec l’équipe élite U17 de Genève.
La saison dernière avec la formation junior de Genève, il a notamment connu une saison de 35 points, dont 20 buts, en 45 parties.
Jukna a participé à quatre champ
Avec la 51e sélection de la première ronde du repêchage international de la LCH, l’Océanic a opté pour un attaquant de la Lituanie, Dovydas Jukna.
L’ailier de 6 pieds 3 pouces et 190 livres est âgé de 18 ans. Il a évolué en Suisse au cours des dernières saisons. En 2020, à 14 ans, il a joué avec l’équipe élite U17 de Genève.
La saison dernière avec la formation junior de Genève, il a notamment connu une saison de 35 points, dont 20 buts, en 45 parties.
Jukna a participé à quatre championnats du monde avec son équipe nationale dans les dernières saisons chez les moins de 18 ans et les moins de 20 ans.
Avec son choix de 2e ronde (no 112), Danny Dupont a sélectionné Raphaël Achermann, un attaquant de 17 ans de la Suisse qui évoluait avec Fribourg-Gotteron en division junior.
L’attaquant de 5’11 » et 172 livres a toujours évolué en Suisse dans le HC Fribourg-Gottéron (U15 à U20). Il a cumulé des statistiques impressionnantes dans ses dernières saisons, notamment 100 points, dont 67 buts en 30 parties, chez les U15 élite en 2022-2023. L’an dernier chez les U20, son dossier a été de 12-13-25 en 43 parties.
Achermann a aussi participé aux deux derniers championnats du monde junior U16 et U17 avec son équipe nationale.
Troisième ronde
Luca Nappiot (Photo Planète Hockey)
En 3e ronde, au rang no 137, l’Océanic a opté pour Luca Nappiot, un défenseur, mais plus petit à 5 pieds 9 pouces et 152 livres, âgé de 18 ans. Il est également de la Suisse.
Il a joué tout son hockey en territoire national suisse. En 42 parties la saison dernière, il a cumulé un dossier de 6-18 pour 24 points.
On dit de lui qu’il a des qualités de leader. Il a porté le « C » du capitaine lors du championnat international junior U17 et le « A », à deux reprises, lors des championnats mondiaux juniors U18 (WJC et International).
À venir à 17 h : les commentaires de Danny Dupont
Première sélection
Rappelons qu’avec le tout premier choix de ce repêchage, les Rockets de Kelowna ont réclamé l’attaquant tchèque Tomas Poletin, un choix de quatrième tour des Islanders de New York au dernier repêchage.
Un citoyen de la 3e rue Est à Rimouski se dit victime de fraude. Jean-Guy Paquet refuse de payer 25 000 $ pour des travaux qu’il juge non nécessaires et mal réalisés dans son entretoit.
Le cauchemar de monsieur Paquet a commencé le 8 mars 2024. De présumés entrepreneurs en isolation se sont rendus à son domicile pour inspecter l’entretoit de son duplex gratuitement.
« Ils m’ont présenté une photo sur laquelle il y avait de la moisissure et des champignons. J’ai paniqué ! Ils m’ont fait un
Un citoyen de la 3e rue Est à Rimouski se dit victime de fraude. Jean-Guy Paquet refuse de payer 25 000 $ pour des travaux qu’il juge non nécessaires et mal réalisés dans son entretoit.
Le cauchemar de monsieur Paquet a commencé le 8 mars 2024. De présumés entrepreneurs en isolation se sont rendus à son domicile pour inspecter l’entretoit de son duplex gratuitement.
« Ils m’ont présenté une photo sur laquelle il y avait de la moisissure et des champignons. J’ai paniqué ! Ils m’ont fait un contrat qui disait que les travaux seraient faits pour 25 000 $ au lieu de 35 000 à 40 000 $ parce que nous étions plusieurs à Rimouski », explique l’homme de 75 ans.
Les travaux ont été effectués le lendemain par l’entreprise Nova Habitat de Brossard.
« Quand j’ai acheté ma maison en 2004, j’avais fait faire l’inspection et j’ai vu qu’il y avait une antenne immense qui couvre tout mon entretoit. C’est l’ancien propriétaire qui l’avait installée. J’ai réalisé que sur la photo qu’il m’avait présentée il n’y avait pas cette antenne », indique Jean-Guy Paquet.
Le duplex de Jean-Guy Paquet situé sur la 3e rue Est, à Rimouski. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Le Rimouskois a refusé de payer les 25 000 $ demandés.
« J’ai appelé Alexandre Patoine-Nasfi de Nova Habitat. Je lui ai dit que je savais que ses gars m’avaient menti. Il s’est mis à m’injurier. Il a dit qu’il allait me faire payer et qu’il allait prendre une créance sur ma maison. Depuis ce temps-là, ça n’arrête pas. Il m’a envoyé des mises en demeure et a inscrit une hypothèque légale sur ma maison. »
Lourdes conséquences
Quinze mois plus tard, Jean-Guy Paquet subit toujours les conséquences des événements.
« Il a empoisonné ma vie. Je dors mal, j’ai perdu du poids, je suis déconcentré et j’ai des pertes de mémoire à force de ne pas dormir. »
Son dossier est maintenant dans les mains d’un avocat et de l’Office de la protection du consommateur. Ayant déjà dépensé près de 10 000 $ pour faire valoir sa cause, monsieur Paquet n’a pas l’intention d’abandonner.
« Si je vais en cour, mon avocat m’a dit que c’est minimum 20 000 $. Je suis retraité depuis des années, je n’ai pas les moyens de payer ça. La police me dit qu’elle ne peut rien faire parce que c’est au civil. »
Les travaux ont été réalisé dans l’entretoit. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Après le passage des présumés entrepreneurs, le Rimouskois a fait venir l’entreprise Isolation JPR qui lui a confirmé que les travaux avaient été mal effectués.
« En temps normal, c’est 3 pouces de polyuréthane pour l’isolation et il a mis 1/4 de pouce. Ça prend de l’aération dans l’entretoit. Ils ont poussé la laine minérale et c’est maintenant que je risque d’avoir de la moisissure parce que l’air ne circule plus », se désole monsieur Paquet.
Mettre en garde
Jean-Guy Paquet affirme que plusieurs autres victimes ont décidé de payer les 25 000 $ pour acheter la paix. Les plaintes sont nombreuses sur les réseaux sociaux. Il veut dénoncer cette situation pour éviter que d’autres personnes âgées subissent le même sort.
« Il a fait des victimes partout au Québec et au nord du Nouveau-Brunswick. Ceux qui ont eu affaire avec Nova Habitat de Brossard peuvent communiquer avec moi au 418 723-9199. On pourra aller en cour et faire un recours collectif. »
Une autre résidente de Rimouski, qui préfère garder l’anonymat, confirme avoir subi le même sort que monsieur Paquet. Elle a aussi entrepris des démarches auprès d’un avocat.
L’Office de la protection du consommateur confirme avoir reçu 60 plaintes au cours des deux dernières années contre l’entreprise 9367-1444 Québec inc., qui fait aussi affaire sous les noms de Nova Habitat et de Gestion AP. Le permis de commerçant itinérant de cette entreprise est inactif depuis avril 2023.
L’entreprise Nova Habitat n’a pas répondu à nos appels.
La députée de Rimouski, ministre des Ressources naturelles et des Forêts, et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie — Îles-de-la-Madeleine, Maïté Blanchette Vézina, dresse son bilan de fin de session.
Parmi les faits marquants de la session, madame Blanchette Vézina souligne les aides financières versées, notamment dans les secteurs de l’économie, des infrastructures, de l’énergie et de l’éducation.
Ces sommes, qui totalisent un peu plus de 1
La députée de Rimouski, ministre des Ressources naturelles et des Forêts, et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie — Îles-de-la-Madeleine, Maïté Blanchette Vézina, dresse son bilan de fin de session.
Parmi les faits marquants de la session, madame Blanchette Vézina souligne les aides financières versées, notamment dans les secteurs de l’économie, des infrastructures, de l’énergie et de l’éducation.
Ces sommes, qui totalisent un peu plus de 14,3 M$, répondaient à des demandes d’entreprises, d’organismes et d’institutions sur le territoire de la MRC de Rimouski-Neigette.
Projet de loi 97
La modernisation du régime forestier constitue un autre fait marquant de la session.
« C’est rare qu’on ouvre des lois comme celle sur l’aménagement durable du territoire forestier. C’est donc un moment majeur et marquant pour les régions. On sera là pour protéger l’économie, mais aussi trouver l’équilibre entre la protection de la biodiversité, la protection du territoire, les autres activités et la filière forestière qui est importante, notamment pour réduire la crise du logement. On a besoin de bois pour la construction, alors c’est important de pouvoir aussi faire cette récolte », témoigne la députée ministre.
Rappelons qu’il est prévu que des amendements soient apportés au projet de loi.
Une entente pour l’acériculture
Toujours dans le domaine de la forêt, la députée de Rimouski se dit aussi fière d’avoir convenu d’une entente avec les Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ) pour permettre le développement de l’acériculture en forêt publique.
La députée-ministre de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina. (Photo courtoisie)
« Cela faisait plusieurs années que les producteurs souhaitaient avoir une prévisibilité pour le développement de l’acériculture en forêt publique. On avait des discussions et j’ai d’ailleurs annoncé en début de mandat un plan directeur pour avoir ces discussions de manière plus formelle et on en est arrivé au printemps, avec une entente pour attribuer des hectares de forêts supplémentaires, soit 50 000 pour un total de 100 000 hectares, pour les 20 prochaines années. C’est une excellente nouvelle pour eux, mais aussi pour tous les usagers aussi, parce que cela va apporter une meilleure prévisibilité dans les usages et ça, ç’a été très bien accueilli par les producteurs acéricoles qui, eux-mêmes, mentionnent le caractère historique de l’entente. »
Voir au développement économique
Maintenant qu’il lui reste un peu plus d’un an avant la fin de son premier mandat comme députée-ministre, Maïté Blanchette Vézina indique vouloir se consacrer au développement économique de Rimouski-Neigette pour la suite des choses.
Pour madame Blanchette Vézina, l’économie bleue demeure un secteur clé de cette économie.
« On a ici un écosystème de chercheurs et nous avons aussi des entreprises qui souhaitent faire du développement. Je pense qu’on peut aussi penser à attirer des entreprises. Je vais travailler avec la Ville de Rimouski et la MRC, pour exercer un certain leadership. Il est important de ne pas laisser tomber l’économie et on doit regarder le tout d’une façon globale, afin de saisir aussi des opportunités. »
Les représentations sur sentence de René Doskas, qui a plaidé coupable d’avoir conduit son quadriporteur électrique alors que ses capacités étaient affaiblies par l’alcool, devaient se tenir le 27 juin au palais de justice de Rimouski, mais elles ont été reportées au 18 juillet.
L’avocate de l’accusé, Me Jacinthe Maurice, a annoncé son intention de déposer une requête pour contester la durée de l’interdiction de conduire minimum obligatoire puisqu’en raison de problèmes physiques, son client
Les représentations sur sentence de René Doskas, qui a plaidé coupable d’avoir conduit son quadriporteur électrique alors que ses capacités étaient affaiblies par l’alcool, devaient se tenir le 27 juin au palais de justice de Rimouski, mais elles ont été reportées au 18 juillet.
L’avocate de l’accusé, Me Jacinthe Maurice, a annoncé son intention de déposer une requête pour contester la durée de l’interdiction de conduire minimum obligatoire puisqu’en raison de problèmes physiques, son client doit se déplacer en quadriporteur électrique, ce qui est considéré comme un véhicule moteur dans la loi.
Le rapport présentenciel est complété dans ce dossier.
Doskas a plaidé coupable le 27 février dernier au palais de justice de Rimouski, avant la tenue de son procès.
« Les policiers ont reçu un appel vers 14 h le 1er avril 2024 pour signaler qu’un homme dans un état d’ébriété avancé s’était rendu au dépanneur Shell du boulevard de la Rivière pour aller chercher de la bière en quadriporteur électrique », raconte la procureure de la Couronne, Me Marie-Pier Chicoine-Côté.
Plus du double de la limite d’alcool permise
Les policiers ont intercepté l’homme dans le stationnement d’un bloc appartements.
« Il avait une démarche chancelante. Les policiers l’ont mis en état d’arrestation et amené au poste de police où l’alcootest a révélé un taux de 170 milligrammes d’alcool par 100 millilitres de sang, soit plus du double de la limite permise », indique Me Chicoine-Côté.
Le ministère public a déposé un avis de récidive, ce qui habituellement augmente la peine.
Alors que la traditionnelle journée du déménagement est à peine passée, quelques dizaines de ménages du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie n’ont pas signé de bail pour un logement.
Dans une région comme dans l’autre, la situation est semblable à celle de l’année passée, estiment les intervenants consultés.
« Ce serait exagéré de dire que c’est pire, soulève le cocoordonnateur du Comité logement Bas-Saint-Laurent, Alexandre Cadieux. Statistiquement, c’est dur de baisser plus ! C’est une
Alors que la traditionnelle journée du déménagement est à peine passée, quelques dizaines de ménages du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie n’ont pas signé de bail pour un logement.
Dans une région comme dans l’autre, la situation est semblable à celle de l’année passée, estiment les intervenants consultés.
« Ce serait exagéré de dire que c’est pire, soulève le cocoordonnateur du Comité logement Bas-Saint-Laurent, Alexandre Cadieux. Statistiquement, c’est dur de baisser plus ! C’est une situation qui est en train de s’encrasser, on stagne. »
Dans la Baie-des-Chaleurs, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon le directeur général du Groupe ressource en logements collectifs Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, le bureau de Carleton-sur-Mer a reçu une trentaine de nouvelles demandes au cours des six dernières semaines seulement.
Ambroise Henry constate que, plus on s’approche du 1er juillet, plus les demandes s’accélèrent. Ces demandes ne proviennent pas uniquement de personnes seules, mais incluent également des couples avec enfants.
Ces nouvelles demandes s’ajoutent aux 150 personnes de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine qui sont déjà inscrites sur des listes d’attente depuis la dernière année, portant le total à environ 200 personnes en recherche de logement dans la région.
Parmi elles figurent de nouveaux travailleurs, notamment du domaine de la santé, ainsi que des résidents contraints de chercher un nouveau toit après avoir perdu leur hébergement temporaire.
À Rimouski, à moins d’une semaine du 1er juillet, quelque 120 ménages étaient accompagnés par l’Office d’habitation de Rimouski-Neigette en raison de leur difficulté à se loger. Le 26 juin, une vingtaine de personnes se retrouvaient officiellement sans bail. Mais, M. Cadieux soupçonne que le nombre réel est beaucoup plus élevé.
« On voit plein de gens qui sont contraints de rester dans des logements qui sont inadéquats, dans des conditions de logement qui mettent en danger leur santé, déplore-t-il. Certains vivent dans un logement qui est rendu trop petit ou dont la cohabitation est devenue difficile avec les voisins ou un conjoint violent. »
En Gaspésie, la crise du logement présente une particularité saisonnière.
« Le gros choc n’est pas tant le 1er juillet qu’un peu avant, soit toute la période du printemps, quand les appartements se libèrent pour le tourisme », explique Ambroise Henry. La location saisonnière force donc de nombreux locataires à quitter leur logement bien avant la date traditionnelle de déménagement.
Itinérance cachée
Un aspect particulièrement troublant de cette crise est l’émergence de ce que les intervenants du milieu appellent « l’itinérance cachée ». Il s’agit de personnes qui, faute de logement, dorment sur des divans, dans des sous-sols, retournent vivre chez leurs parents ou s’installent temporairement chez des proches.
« Ce sont plein de gens qui n’ont pas de logement, mais qui n’apparaissent pas dans les statistiques et qui ne se retrouvent pas à proprement parler dans la rue », explique le porte-parole du Comité logement Bas-Saint-Laurent.
La pénurie de logements donne également lieu à des comportements préoccupants de la part de certains propriétaires. Alexandre Cadieux rapporte des cas d’augmentation de loyer illégale et de pressions exercées sur les locataires pour les forcer à quitter leur logement.
Un abris au parc de la Gare (Photo Le Soir.ca)
« Même si ce n’est pas légal, il y a plusieurs propriétaires qui redoublent d’ardeur et de stratégies mal intentionnées pour que les locataires quittent leur logement pour être capables de faire rentrer du nouveau monde le 1er juillet », s’indigne-t-il.
L’exemple d’un couple installé depuis plus de 20 ans dans un village près de Rimouski illustre ces dérives. L’homme et la femme subissent le harcèlement de leur propriétaire pour quitter leur logement de 4 pièces et demie qu’ils paient 475 $ par mois parce que leur propriétaire sait très bien qu’elle pourra le relouer à 1000 $.
« La propriétaire n’a aucun mandat ni jugement du Tribunal administratif du logement qui permet d’évincer les locataires, dénonce M. Cadieux. Mais, elle fait tout pour leur tomber sur les nerfs ! »
Les dirigeants des Groupements forestiers de Métis-Neigette et de Témiscouata reviennent à la charge avec leur projet de fusion. Une assemblée générale extraordinaire des membres du Groupement de Métis-Neigette aura lieu ce jeudi 3 juillet, à Rimouski.
En juin dernier, une proposition semblable avait été soumise, mais elle avait été rejetée par un vote très serré du côté de Métis-Neigette, alors que les membres de Témiscouata s’étaient majoritairement prononcés en faveur de la fusion.
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Les dirigeants des Groupements forestiers de Métis-Neigette et de Témiscouata reviennent à la charge avec leur projet de fusion. Une assemblée générale extraordinaire des membres du Groupement de Métis-Neigette aura lieu ce jeudi 3 juillet, à Rimouski.
En juin dernier, une proposition semblable avait été soumise, mais elle avait été rejetée par un vote très serré du côté de Métis-Neigette, alors que les membres de Témiscouata s’étaient majoritairement prononcés en faveur de la fusion.
Parmi les opposants au projet, Jean-Maurice Lechasseur, ancien président du Syndicat des producteurs de bois du Bas-Saint-Laurent et figure marquante du mouvement coopératif forestier, exprime de vives préoccupations.
Fondateur de plusieurs des premiers groupements forestiers dans la région, il soutient que le projet de fusion suscite une grande méfiance chez plusieurs producteurs.
Il se dit inquiet de l’évolution actuelle de ces structures.
« Les groupements forestiers achètent des lots à bois. Les administrateurs aussi achètent beaucoup de lots. Pire que ça, ils achètent des érablières. En faisant ça, ils viennent déstabiliser pis mettre en danger la survie des petites localités », estime monsieur Lechasseur.
Selon lui, les groupements forestiers cherchent à exercer un contrôle sur la ressource et sur les prix du bois. Étant donné que ces organisations sont désormais propriétaires d’usines de transformation, il craint que les intérêts des producteurs ne soient relégués au second plan, derrière ceux de l’industrie.
« Leur rôle, c’est de vendre le bois des producteurs le plus cher possible à l’usine, mais ils sont aussi acheteurs de bois, donc en conflit d’intérêts. On est en train de se faire passer un sapin. »
Jean-Maurice Lechasseur rappelle qu’il avait participé, dans les années 1970, à la création des organismes de gestion forestière en commun dans le sillage des Opérations Dignité — une réponse des communautés rurales à la volonté du gouvernement de fermer certaines paroisses du Haut-Pays.
Il réaffirme son attachement aux groupements forestiers, mais il craint que cette nouvelle fusion accentue la dépendance des producteurs envers une structure de plus en plus centralisée.
Une logique de croissance questionnée
« Plus ça grossit, moins nous, les producteurs de bois, on a de services. On est plus au service des grosses structures qui sont mises en place avec notre argent », s’interroge Jean-Maurice Lechasseur.
Il déplore également que le bois se vende aujourd’hui à un prix inférieur à celui d’il y a 25 ans, malgré l’augmentation constante des coûts de production.
(Photo Pixabay)
« Pourquoi les industriels de la région ne sont pas capables de payer le même prix qu’on reçoit pour le bois qu’on envoie en Beauce? »
Il critique aussi les stratégies de mobilisation utilisées, selon lui, par les dirigeants du Groupement de Métis-Neigette.
« Ils ont fait signer des procurations. Un paquet de gens ont délégué leurs droits de vote sans trop savoir dans quoi ils s’embarquaient. »
Si elle est entérinée, la fusion mènerait à la création du plus grand groupement forestier privé du Québec : le Groupement forestier Métis-Neigette–Témiscouata.
Cette nouvelle entité représenterait plus de 2 600 propriétaires de forêts privées, avec un chiffre d’affaires estimé à près de 150 millions de dollars et plus de 400 employés. Elle jouerait un rôle majeur dans le sciage des feuillus et dans le secteur acéricole.
Silence des dirigeants avant l’assemblée
Les dirigeants des deux groupements refusent de commenter le projet avant l’assemblée extraordinaire prévue le 3 juillet.
La porte-parole, Anne-Marie Thibeault, affirme que les membres ont tous été rencontrés dans la dernière année et disposent de toute l’information nécessaire pour prendre une décision éclairée.
Dans un courriel, le directeur général du Groupement de Témiscouata, Francis Albert, rappelle que son organisation est elle-même le fruit d’une fusion en 2010 avec le Groupement de l’Est-du-Lac.
« Nous avons triplé notre chiffre d’affaires et nous sommes actionnaires majoritaires de quatre usines de transformation de bois feuillus. L’objectif est d’offrir de meilleurs services et de poursuivre le développement de la filière forestière et de la transformation. »
(Photo Le Soir.ca- Ernie Wells)
Le président du Groupement de Métis-Neigette, Pierre Sirois, assure de son côté que tous les bureaux actuels, dont celui de Saint-Gabriel-de-Rimouski, demeureront ouverts.
Son groupement est issu d’une précédente fusion entre Neigette et La Mitis, réalisée il y a quelques années.
L’an dernier, 97 % des membres du Groupement de Témiscouata avaient voté en faveur de la fusion, tandis que le projet avait été rejeté chez Métis-Neigette par une seule voix.
Le règlement stipule qu’une majorité des deux tiers des membres présents est nécessaire pour approuver la fusion.
Les dirigeants, comme promis, présentent donc à nouveau leur projet, ce jeudi 3 juillet, à l’Hôtel Rimouski.
Le jeune golfeur de Rimouski, Louis-Olivier St-Pierre, prendra part aux Jeux du Québec à Trois-Rivières, à la fin du mois de juillet. Il s’agira de sa deuxième participation à l’événement.
L’adolescent de 15 ans avait remporté une médaille d’argent lors des Jeux de Rimouski, en 2023, à l’épreuve « deux balles, meilleures balles » avec son coéquipier Louis Chénard.
St-Pierre s’est qualifié le 22 juin dernier au Club de golf Bic-sur-Mer dans la catégorie juvénile, qui regroupe les jeunes d
Le jeune golfeur de Rimouski, Louis-Olivier St-Pierre, prendra part aux Jeux du Québec à Trois-Rivières, à la fin du mois de juillet. Il s’agira de sa deuxième participation à l’événement.
L’adolescent de 15 ans avait remporté une médaille d’argent lors des Jeux de Rimouski, en 2023, à l’épreuve « deux balles, meilleures balles » avec son coéquipier Louis Chénard.
St-Pierre s’est qualifié le 22 juin dernier au Club de golf Bic-sur-Mer dans la catégorie juvénile, qui regroupe les jeunes de 15 et de 16 ans.
« Plusieurs de mes amis disaient que j’étais certain d’être qualifié, mais je trouvais que ça venait avec une pression supplémentaire. J’avais des attentes et je voulais me qualifier. Je suis content parce que j’ai vraiment joué une bonne ronde à la qualification. Cette fois-ci, je sais plus à quoi m’attendre par rapport à 2023. »
Le membre du Club Les Saules souhaite, cette fois-ci, récolter deux médailles sur les trois épreuves auxquelles il participera.
« Dans les qualifications, j’ai eu le meilleur pointage au Québec au différentiel du terrain. Je ne me mets pas de pression, mais j’arrive là confiant », dit-il.
Une passion devenue une obsession
Louis-Olivier est le fils d’Éric St-Pierre et de Marie-Josée St-Amand. C’est son père qui a commencé à l’amener sur les terrains de golf quand il avait sept ou huit ans.
« Mes grands-parents et mon frère jouent aussi. J’ai vraiment eu la piqure pour le golf aux Jeux du Québec en 2023. Avant, j’y allais pour m’amuser, mais depuis ce moment-là, je pratique de façon plus sérieuse. C’est plus qu’une passion, c’est devenu une obsession. C’est difficile pour moi de passer une journée sans jouer », mentionne-t-il.
Cette obsession, il la vit tous les jours pendant la saison estivale. Le reste de l’année, il s’entraîne de quatre à cinq fois par semaine à l’intérieur en plus d’évoluer au sein du programme de hockey scolaire du Sélect de l’école Paul-Hubert.
« Je suis aussi dans l’Académine de golf Fred Colgan à Québec. Je vais là une fois par mois et je reçois des conseils sur les choses à travailler quand je reviens à Rimouski », indique celui qui sera en cinquième secondaire lors de la prochaine rentrée scolaire.
Le golfeur rimouskois participera à un tournoi à Québec, jeudi. (Photo courtoisie)
Même s’il apprécie l’esprit d’équipe que lui apporte le hockey, Louis-Olivier St-Pierre aime le côté individuel du golf.
« Quand tu réalises quelque chose, c’est juste grâce à toi. Tu ne dépends pas de personne d’autre. Au hockey, ton équipe peut gagner sans que tu aies bien joué. »
Dans les prochaines années, son objectif ultime est de jouer au golf pour une université américaine.
D’autres jeunes de la région
Cinq autres jeunes représenteront l’Est-du-Québec aux Jeux du Québec à Trois-Rivières. Il s’agit de Charles Lizotte (Rivière-du-Loup), d’Alexy Coulombe (Amqui) et de Théo Richard (Carleton-sur-Mer) chez les garçons ainsi que d’Ève Durette (Matane) et d’Éloïse Huard (Chandler) chez les filles.
Les propriétaires de la Ferme Guyloise sont toujours à la recherche de neuf taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) qui sont en cavale depuis samedi dernier après avoir été effrayé par des feux d’artifice.
« Ça en prend juste une qui prend peur pour que les autres suivent. Elles ont défoncé la clôture et elles ont pris le bois vers le secteur du Mont-Comi. Nous avons réussi à en ramener 15 sur les 24 qui s’étaient sauvées. Il en manque toujours neuf », mentionnait le propriétaire
Les propriétaires de la Ferme Guyloise sont toujours à la recherche de neuf taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) qui sont en cavale depuis samedi dernier après avoir été effrayé par des feux d’artifice.
« Ça en prend juste une qui prend peur pour que les autres suivent. Elles ont défoncé la clôture et elles ont pris le bois vers le secteur du Mont-Comi. Nous avons réussi à en ramener 15 sur les 24 qui s’étaient sauvées. Il en manque toujours neuf », mentionnait le propriétaire de la ferme laitière de race holstein, François Morissette.
Ce n’est pas facile de ramener des taures qui ont perdu leur repère et qui sont effrayées.
Les propriétaires tentent de suivre les traces dans la forêt. (Photo courtoisie)
« Quand on approche, elles se sauvent. Il faut leur parler et les attirer avec de la moulée pour qu’elles nous suivent tranquillement. Nous en avons ramené sur une distance de 2 km lundi. Pour les autres, elles ont été vues sur la route menant vers Sainte-Angèle, mais lorsque nous sommes arrivés, elles s’étaient sauvées dans le bois. Il y avait un champ juste à côté. Si elles s’étaient déplacées là, on aurait pu les voir, mais dans le bois, c’est comme courir après un orignal. On essaie de suivre les traces, mais elles vont plus vite que nous », explique monsieur Morissette.
Affamées
Les taures ne s’arrêtent pas pour manger ou se coucher, ce qui facilite les recherches.
« Elles sont perdues. Elles tentent probablement de revenir vers la grange, mais elles ne retrouvent pas le chemin. Celles que nous avons ramenées avaient le ventre vide. Elles n’avaient pas mangé depuis samedi », souligne le producteur laitier.
15 taures ont été ramenées jusqu’à maintenant, dont ce groupe empruntant la route. (Photo courtoisie)
La moitié des taures sont gestantes, c’est-à-dire qu’elles portent leur premier veau. Les autres sont encore trop jeunes.
Les taures sont généralement plus fringantes et plus farouches que les vaches en lactation qui doivent se faire traire tous les jours et qui sont forcément moins peureuses.
Les personnes qui verraient les taures sont priées de contacter monsieur Morissette au 418-732-8770.
Alex Belzile revient dans l’organisation du Canadien. L’ex-Océanic a signé une entente d’une saison avec Montréal, mardi, lors de la première journée du marché des joueurs autonomes dans la LNH.
Maintenant âgé de 33 ans, Belzile a accepté un pacte d’un an à deux volets. L’attaquant de Saint-Éloi devrait de nouveau se retrouver dans la Ligue américaine de hockey avec le Rocket de Laval, dont il a été le capitaine.
Alex Belzile a porté l’uniforme du club-école du Canadien entre 2018 et 2023
Alex Belzile revient dans l’organisation du Canadien. L’ex-Océanic a signé une entente d’une saison avec Montréal, mardi, lors de la première journée du marché des joueurs autonomes dans la LNH.
Maintenant âgé de 33 ans, Belzile a accepté un pacte d’un an à deux volets. L’attaquant de Saint-Éloi devrait de nouveau se retrouver dans la Ligue américaine de hockey avec le Rocket de Laval, dont il a été le capitaine.
Alex Belzile a porté l’uniforme du club-école du Canadien entre 2018 et 2023 avant d’accepter une offre des Rangers, le 1er juillet 2023, en quête de temps de jeu dans la LNH.
Sans jouer à New York, il a toutefois mené le Wolf Pack de Hartford avec 106 points, dont 38 buts, en 127 matchs.
Alex Belzile (Photo courtoisie Canadiens de Montréal)
En 31 parties en 2022-2023 avec le Canadien, Belzile a cumulé 26 points, dont 14 buts. Il a été le candidat de l’équipe au trophée Bill Masterton remis annuellement au joueur affichant persévérance, esprit sportif et dévouement au hockey.
Appartenant aux Blues, Zachary Bolduc a été échangé au Canadien de Montréal, mardi midi, en retour du défenseur Logan Mailloux. L’ex-Océanic a amassé 36 points la saison dernière, dont 19 buts, en 72 matchs avec Saint-Louis.
Comme Mailloux, l’ailier de 22 ans a été un choix de premier tour en 2021, appelé au 17e rang par les Blues.
Avant de faire le saut chez les professionnels, il avait a joué quatre saisons dans la LHJMQ, dont les deux premières à Rimouski.
Bolduc avait ensuite été é
Appartenant aux Blues, Zachary Bolduc a été échangé au Canadien de Montréal, mardi midi, en retour du défenseur Logan Mailloux. L’ex-Océanic a amassé 36 points la saison dernière, dont 19 buts, en 72 matchs avec Saint-Louis.
Comme Mailloux, l’ailier de 22 ans a été un choix de premier tour en 2021, appelé au 17e rang par les Blues.
Avant de faire le saut chez les professionnels, il avait a joué quatre saisons dans la LHJMQ, dont les deux premières à Rimouski.
Bolduc avait ensuite été échangé à Québec en retour de trois choix de première ronde et un de deuxième. Cette transaction devait mettre la table sur la préparation de l’Océanic vers une équipe aspirante aux grands honneurs en 2024-2025.
Zachary Bolduc dans l’uniforme de l’Océanic (Photo Océanic / Folio Photo – Iften Redjah)
Il a ensuite été un rouage important de la conquête du trophée Jean-Rougeau, du trophée Gilles-Courteau et de la Coupe Memorial par les Remparts.
Originaire de Trois-Rivières, Zachary Bolduc a été sélectionné en première ronde par l’Océanic en 2019. Il avait d’ailleurs été nommé la recrue de l’année dans la LHJMQ, à 16 ans.
« Être repêché par le Canadien serait une grande fierté pour moi. Je regarde jouer cette équipe depuis que je suis jeune. Beaucoup de gens parlent de la pression médiatique et que parfois, c’est difficile pour les joueurs. Mais, je pense que la pression, ça fait partie de la vie d’un joueur de hockey et qu’il faut être capable de gérer ça. J’arrive à m’imaginer ma façon de jouer et mon style de jeu dans cette organisation-là », mentionne-t-il.
Fermé depuis cinq ans, l’Hôtel Gouverneur de Rimouski est maintenant rouvert. Il est possible de réserver une chambre depuis le 23 juin.
Pour l’instant, l’hôtel est ouvert uniquement pour l’été. Les réservations peuvent se faire seulement jusqu’à la mi-septembre.
L’établissement hôtelier avait fermé ses portes pendant la pandémie, en 2020. Depuis un an, de nombreux travailleurs s’activaient pour remettre l’édifice sur pied.
D’après des informations obtenues par Le Soir.ca en mai derni
Fermé depuis cinq ans, l’Hôtel Gouverneur de Rimouski est maintenant rouvert. Il est possible de réserver une chambre depuis le 23 juin.
Pour l’instant, l’hôtel est ouvert uniquement pour l’été. Les réservations peuvent se faire seulement jusqu’à la mi-septembre.
L’établissement hôtelier avait fermé ses portes pendant la pandémie, en 2020. Depuis un an, de nombreux travailleurs s’activaient pour remettre l’édifice sur pied.
Environ 100 chambres seraient disponibles, comparativement aux 160 chambres que comptait l’hôtel lorsqu’il était au maximum de sa capacité.
Travaux effectués
Les travaux comprenaient notamment le remplacement partiel des revêtements de sol, la remise en état de certains aménagements paysagers sur la façade, des réparations ponctuelles du pavage du stationnement, ainsi que des travaux de plomberie, de ventilation, de peinture dans les espaces communs et certaines chambres, en plus d’améliorations en matière de sécurité incendie.
Des bornes de recharge pour véhicules électriques ont été installées l’automne dernier, à proximité de l’hôtel.
L’entrée de l’Hôtel Gouverneur à Rimouski. (Photo Olivier Therriault)
Malgré un certain maintien des communications entre la Ville et la direction de l’hôtel, la municipalité a dû intervenir à plusieurs reprises pour faire respecter les normes d’entretien, notamment en matière d’insalubrité dans les dernières années.
Vide dans l’offre hôtelière
La fermeture prolongée de l’Hôtel Gouverneur a laissé un vide dans l’offre hôtelière locale. Depuis cinq ans, les grands événements sportifs, culturels, touristiques et économiques peinent à composer avec la pénurie de chambres dans la capitale du Bas-Saint-Laurent.
Le retour de l’Hôtel Gouverneur, même partiel, permettra de dynamiser le centre-ville de Rimouski qui attend impatiemment un regain d’activités touristiques et commerciales, surtout avec l’ouverture de Costco et du Salon de jeux de Loto-Québec.
À Trois-Rivières, Sherbrooke, Saguenay et Montréal, des hôtels de la chaîne ont aussi été fermés avant de rouvrir quelques années plus tard.
Le conseil municipal de Rimouski a confié le mandat au cabinet d’avocats Tremblay Bois Mignault Lemay, de Québec, pour représenter la Ville dans les poursuites intentées par le Groupe immobilier Tanguay et Technipro BSL concernant la faillite de l’ex-Société de promotion économique de Rimouski (SOPER).
Les recours ont été déposés à la Cour supérieure du district judiciaire de Rimouski.
Le cabinet Tremblay Bois Mignault Lemay représente aussi la Ville dans le dossier contre la Société immob
Le conseil municipal de Rimouski a confié le mandat au cabinet d’avocats Tremblay Bois Mignault Lemay, de Québec, pour représenter la Ville dans les poursuites intentées par le Groupe immobilier Tanguay et Technipro BSL concernant la faillite de l’ex-Société de promotion économique de Rimouski (SOPER).
Les recours ont été déposés à la Cour supérieure du district judiciaire de Rimouski.
Le cabinet Tremblay Bois Mignault Lemay représente aussi la Ville dans le dossier contre la Société immobilière GP, qui conteste la taxe imposée par Rimouski sur les immeubles commerciaux inoccupés dans le centre-ville élargi.
La MRC de Rimouski-Neigette est également visée par ces deux actions en justice.
En juin, la Ville et la MRC ont annoncé leur intention de contester la poursuite civile déposée par le Groupe Immobilier Tanguay contre elles, ainsi que contre les 14 anciens membres du conseil d’administration de la SOPER.
Les personnes visées disposaient d’un délai de 45 jours pour contester cette poursuite, convenir d’un règlement, proposer une médiation ou encore demander une conférence de règlement à l’amiable.
Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Les ex-membres du conseil d’administration poursuivis à titre individuel sont le maire et ex-président de la SOPER, Guy Caron, le préfet de la MRC, Francis St-Pierre, les conseillers rimouskois Rodrigue Joncas et Mélanie Beaulieu, la mairesse de Saint-Marcellin, Julie Thériault, l’ex-maire de Rimouski, Marc Parent, l’ex-président de la SOPER et de Novarium, Jean Pouliot ainsi que les administrateurs Geneviève Landry, Nancy Morin, Marie-Michèle Bélanger, Josée Laflamme, Eve-Marie Rioux, Nicolas Horth et Camille Leblanc.
Le bail stipule que la Société de promotion économique devait payer un loyer annuel de 675 000$ sur une période de 15 ans, en plus d’assumer les frais d’exploitation qui s’élevaient à près de 200 000$.
Dans sa demande, le Groupe immobilier Tanguay prétend « avoir été piégé » dans ce projet pour lequel il aurait reçu l’assurance qu’il n’y avait aucun autre risque que celui de la construction du bâtiment.
Deux poursuites distinctes
Le Groupe Immobilier Tanguay réclame près de 5 M$ à la Ville de Rimouski, à la MRC de Rimouski-Neigette, aux 14 anciens membres de la SOPER ainsi qu’à BDO Canada Ltée, syndic de la faillite. La faillite a mis fin au bail qui obligeait la SOPER à verser un loyer annuel de 675 000 $ pendant 15 ans pour l’immeuble du Novarium, inauguré en août 2022.
Pour sa part, Technipro BSL réclame 272 472,41 $, plus les intérêts, pour des travaux impayés liés à l’ajout d’une garderie dans le même immeuble.
Inaugurée en janvier 2024, cette installation devait accueillir 78 enfants, dont 20 poupons de moins de 18 mois.
Le projet bénéficiait au départ d’un financement du ministère de la Famille du Québec, notamment pour les salaires des 14 employés, la location des locaux et le budget de fonctionnement.
La Société de promotion économique de Rimouski a confirmé sa faillite, le 28 novembre dernier, alors que ses dettes s’élevaient à environ 4 M$.
Les dossiers de Stéphane Marquis, 47 ans de Saint-Anaclet-de-Lessard, accusé de voyeurisme sont reportés au 15 août pour fixer une date de procès.
Cette étape était initialement prévue le 27 juin, au palais de justice de Rimouski. Marquis a plaidé non coupable à l’ensemble des chefs d’accusation.
« Nous avons eu des discussions avec la défense. Le ministère public doit faire certaines vérifications afin de s’assurer que la preuve soit complète », a mentionné la procureure de la Couronne, M
Les dossiers de Stéphane Marquis, 47 ans de Saint-Anaclet-de-Lessard, accusé de voyeurisme sont reportés au 15 août pour fixer une date de procès.
Cette étape était initialement prévue le 27 juin, au palais de justice de Rimouski. Marquis a plaidé non coupable à l’ensemble des chefs d’accusation.
« Nous avons eu des discussions avec la défense. Le ministère public doit faire certaines vérifications afin de s’assurer que la preuve soit complète », a mentionné la procureure de la Couronne, Me Frédérique Audet.
Au départ, Stéphane Marquis était accusé d’avoir observé et/ou produit un enregistrement visuel de quatre femmes alors qu’elles se trouvaient dans un lieu où l’on peut s’attendre à ce qu’une personne soit nue.
On reproche également à Stéphane Marquis d’avoir flâné et/ou rôdé dans la nuit sur la propriété d’autrui, près de deux maisons et de s’être commis à du harcèlement criminel envers une cinquième femme.
La dénonciation stipule que l’accusé aurait soit suivi cette femme, communiquée de façon répétée avec elle, cerné ou surveillé un lieu où elle réside ou travaille, ou se serait comporté de manière menaçante envers elle.
L’impact de l’ouverture d’un service d’essence par Costco à Rimouski à la mi-juillet est difficile à évaluer sur le prix à la pompe au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, selon le conseiller en communication et porte-parole de CAA-Québec, Simon Bourassa.
« Le premier gagnant, c’est évidemment le consommateur qui est membre chez Costco qui va pouvoir payer son essence moins chère. On sait que Costco est capable d’offrir des prix extrêmement compétitifs à la pompe pour différentes raisons, notamm
L’impact de l’ouverture d’un service d’essence par Costco à Rimouski à la mi-juillet est difficile à évaluer sur le prix à la pompe au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, selon le conseiller en communication et porte-parole de CAA-Québec, Simon Bourassa.
« Le premier gagnant, c’est évidemment le consommateur qui est membre chez Costco qui va pouvoir payer son essence moins chère. On sait que Costco est capable d’offrir des prix extrêmement compétitifs à la pompe pour différentes raisons, notamment des coûts d’exploitation réduits au minimum. Pour ce qui est de savoir si cela aura un effet d’entraînement sur les autres stations-service et créer une pression pour les forcer à baisser leur prix, c’est difficile à dire », commente le spécialiste en entrevue à Le Soir.ca.
Parmi les facteurs à considérer, monsieur Bourassa parle des abonnements.
« Il faut être membre Costco pour profiter de ces prix-là. Est-ce qu’il y a vraiment plus de gens qui vont devenir membres Costco pour profiter de bas prix en essence parce qu’il faut y aller souvent à la station-service de Costco pour rentabiliser son abonnement », mentionne-t-il.
Simon Bourassa estime qu’il faudra voir si des stations-service de Rimouski seront désertées.
« On espère que les prix s’ajustent à la baisse et que ça crée une pression pour que le consommateur paie son essence moins chère, mais c’est difficile de le prédire ».
Avantage à baisser le prix
Le CAA n’a pas constaté de baisse du prix de l’essence à la suite de l’arrivée d’un Costco ailleurs au Québec.
« Si je prends l’exemple du secteur de la rue Bouvier à Québec où se trouvent notre siège social et un Costco, les stations-service environnantes sont souvent les plus chères à Québec. Le prix de Costco n’a aucune incidence sur les stations-service environnantes. Par contre, si certaines stations-service voient une baisse drastique de leur clientèle, elles auront sûrement avantage à baisser leurs prix », explique le porte-parole.
Des pompes à essence de Costco (Photo courtoisie Groupe SM Tardif)
Simon Bourassa réfute la croyance populaire croyant que le prix de l’essence augmente à l’approche du congé de la construction.
« Certaines essenceries, de manière indépendante, vont peut-être décider de profiter d’une augmentation de l’affluence dans leur secteur pour augmenter leur prix, mais le marché des produits pétroliers étant mondialisé, ce ne sont pas les deux petites semaines de la construction au Québec qui influence le marché mondial du pétrole ».
Cours du pétrole à la baisse
Le spécialiste souligne que le cours des produits pétroliers est la baisse depuis quelques jours avec la situation qui tend à se régulariser au Moyen-Orient.
Le cours du pétrole semble vouloir prendre une tournante à la baisse.
Certaines pétrolières se livrent actuellement une guerre de prix à Québec avec des prix qu’on n’avait pas vus depuis plusieurs années à 1,35$ ou 1,36$ du litre.
L’Océanic a complété une transaction mineure avec les Remparts de Québec afin de parler plus tôt lors de la 3e ronde du repêchage international de la LCH qui se déroulera mercredi.
Danny Dupont a cédé son choix de 12e ronde au repêchage midget de 2027 à son homologue des Remparts, Simon Gagné, pour inverser les choix 173 et 137 de l’encan européen de mercredi.
Visiblement, le directeur-gérant de l’Océanic veut mettre toutes les chances de son côté pour mettre la main sur les trois joueur
L’Océanic a complété une transaction mineure avec les Remparts de Québec afin de parler plus tôt lors de la 3e ronde du repêchage international de la LCH qui se déroulera mercredi.
Danny Dupont a cédé son choix de 12e ronde au repêchage midget de 2027 à son homologue des Remparts, Simon Gagné, pour inverser les choix 173 et 137 de l’encan européen de mercredi.
Visiblement, le directeur-gérant de l’Océanic veut mettre toutes les chances de son côté pour mettre la main sur les trois joueurs qu’il a ciblés.
« Je me suis avancé d’une quarantaine de rangs pour un choix de 12e ronde. Ça pourrait me donner l’opportunité d’aller chercher le gars que je veux », explique-t-il.
En théorie, l’Océanic parlera au 51e rang en première ronde, au 112e en deuxième ronde et au 137e, en troisième. Par contre, ça pourrait être devancé, principalement dans les rondes 2 et 3, car des équipes passeront parce qu’elles auront atteint le nombre maximum de trois Européens dans leur alignement.
61 équipes
Cette séance de repêchage, qui réunit les 61 équipes de la LCH, débutera à 11 h, mercredi. Les Warriors de Moose Jaw, de la Ligue de hockey de l’Ouest (WHL) détenaient le tout premier choix. Ils l’ont transigé aux Rockets de Kelowna.
Suivront, les Bulldogs de Brantford (OHL), à la suite également d’une transaction avec les Petes de Peterborough, et les Tigres de Victoriaville (LHJMQ) qui choisiront au troisième rang.
Les clubs de la LCH avaient la possibilité d’échanger des choix en vue de ce repêchage, à condition que ces transactions soient finalisées au plus tard deux jours avant la date du repêchage.
Le Groupe Rioux a annoncé l’entrée de deux nouveaux associés dans le cercle familial des actionnaires d’Habitat Construction.
Ces deux personnes sont loin d’être des étrangers dans l’entreprise puisqu’ils totalisent 23 ans de loyaux services chez Habitat Construction. Il s’agit du directeur des opérations, Christian Morin et du chargé de projet et ingénieur de formation, Vincent Gauthier.
Pour le président de l’entreprise, François Rioux, ces nouveaux associés reflètent la vision de l’aven
Le Groupe Rioux a annoncé l’entrée de deux nouveaux associés dans le cercle familial des actionnaires d’Habitat Construction.
Ces deux personnes sont loin d’être des étrangers dans l’entreprise puisqu’ils totalisent 23 ans de loyaux services chez Habitat Construction. Il s’agit du directeur des opérations, Christian Morin et du chargé de projet et ingénieur de formation, Vincent Gauthier.
Pour le président de l’entreprise, François Rioux, ces nouveaux associés reflètent la vision de l’avenir d’Habitat Construction et marque un tournant majeur sur le plan administratif puisqu’ils sont les deux premiers actionnaires à ne pas porter le nom Rioux. Ainsi, après son père Bertrand et sa mère Mariette ses trois enfants, Marie-Frédérik, Charles-Alexandre et Anne-Sophie, Vincent et Christian viennent s’ajouter à l’équipe.
« Ça marque une étape importante de notre vision de croissance pour le futur. C’est en nous entourant de ressources compétentes et investies comme Christian et Vincent que notre pérennité sera assurée. »
Honneur et responsabilité
Pour les principaux intéressés, cette opportunité unique vient avec de grandes responsabilités.
« Je suis reconnaissant de la confiance qui m’est accordée et je me réjouis de contribuer à façonner l’avenir de notre division aux côtés de collègues aussi talentueux. Cette étape importante reflète non seulement mon parcours, mais aussi le soutien, le mentorat et la collaboration qui m’ont permis d’en arriver là », a déclaré Christian Morin.
Pour Vincent Gauthier, cette nouvelle étape dans sa carrière est majeure.
« Dans notre industrie, nous construisons des milieux de vie et je suis fier de continuer à construire des projets, des relations et désormais l’avenir de cette entreprise – avec une équipe que je respecte et en laquelle je crois. »
Les réalisations d’Habitat Construction sont très visibles dans La Matanie. On peut penser au Canadian Tire, le restaurant McDonalds et le concessionnaire Toyota.
Sinon, il y a tous les projets résidentiels et certaines réalisations institutionnelles hors-Matanie dont l’école de Métis Beach et l’Institut de cardiologie et de pneumologie du Québec.
La MRC de La Mitis relance cet été sa série « Découverte du territoire », une initiative destinée à mieux faire connaître les richesses locales aux résidents de la région.
Proposées gratuitement, ces journées d’exploration visent à mettre en valeur des lieux emblématiques ou méconnus du territoire mitissien.
« On oublie souvent la richesse des lieux qui nous entourent. Avec cette série, on veut offrir aux gens la possibilité de découvrir ou redécouvrir leur coin de pays, mais aussi de crée
La MRC de La Mitis relance cet été sa série « Découverte du territoire », une initiative destinée à mieux faire connaître les richesses locales aux résidents de la région.
Proposées gratuitement, ces journées d’exploration visent à mettre en valeur des lieux emblématiques ou méconnus du territoire mitissien.
« On oublie souvent la richesse des lieux qui nous entourent. Avec cette série, on veut offrir aux gens la possibilité de découvrir ou redécouvrir leur coin de pays, mais aussi de créer des liens, d’échanger, de partager des moments en groupe dans des cadres uniques. Ce sont des activités qui contribuent à nourrir le sentiment d’appartenance, tout en valorisant le patrimoine naturel, historique et humain de notre région », explique la conseillère en attractivité et promotion territoriale à la MRC de La Mitis, Véronique Olivier.
Des participants, à l’issue d’une sortie d’autocueillette chez Silva-Herbo, organisée par la MRC de La Mitis en 2024. (Photo courtoisie – MRC de La Mitis)
Première sortie
La première activité de la saison se déroulera le samedi 12 juillet, avec une journée complète consacrée à la découverte de Métis-sur-Mer.
Le départ aura lieu à 9 h en autobus, à partir du stationnement de la MRC à Mont-Joli. Au fil d’un parcours d’environ deux kilomètres à pied, les participants seront invités à marcher jusqu’au phare patrimonial de Métis, avant de longer la route McLaren.
La visite se poursuivra avec un arrêt à la Ferme-Atelier Silva Herbo, spécialisée en herboristerie artisanale, suivi d’une promenade sur la rue Beach, artère emblématique de la ville. L’itinéraire inclut également un passage au Café sur Mer, au cœur du village, ainsi qu’une présentation des installations sportives locales.
Chaque arrêt permettra de découvrir des lieux porteurs d’histoire, de culture ou d’initiatives locales.
Les participants sont invités à apporter leur lunch, mais des collations et boissons seront offertes pendant l’activité pour agrémenter les moments de pause.
Cette fois, cap sur le Haut-Pays mitissien avec une activité qui mènera les participants à la découverte des villages de Sainte-Jeanne-d’Arc et de La Rédemption.
Les détails de cette excursion seront annoncés au courant de l’été sur le site www.lamitis.ca.
Informations supplémentaires
Toutes les activités sont offertes gratuitement, mais les places sont limitées. L’inscription est donc essentielle.
Pour s’inscrire : Véronique Olivier au volivier@mitis.qc.ca ou 418 775 – 8445 poste 2254. P
Un septuagénaire de Rimouski a perdu la vie après être descendu dans l’eau dans le secteur du brise-lame à Rimouski, ce lundi midi.
« Les services d’urgence ont été appelés vers midi pour un homme manquant à l’appel après être descendu dans l’eau dans le secteur du brise-lames. Le septuagénaire a été secouru par le Service de protection contre les incendies de la Ville de Rimouski », rapporte Frédéric Deshaies, de la Sûreté du Québec.
Les services d’urgence sont intervenus ce lundi midi. (
Un septuagénaire de Rimouski a perdu la vie après être descendu dans l’eau dans le secteur du brise-lame à Rimouski, ce lundi midi.
« Les services d’urgence ont été appelés vers midi pour un homme manquant à l’appel après être descendu dans l’eau dans le secteur du brise-lames. Le septuagénaire a été secouru par le Service de protection contre les incendies de la Ville de Rimouski », rapporte Frédéric Deshaies, de la Sûreté du Québec.
Les services d’urgence sont intervenus ce lundi midi. (Photo courtoisie)
L’homme a été transporté dans un centre hospitalier où son décès a malheureusement été constaté. La SQ assiste le coroner afin de tenter d’établir les causes du décès.
Spect’Art Rimouski, en collaboration avec le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire de la Ville de Rimouski, présente les 5 à l’Angélus : une série de six spectacles gratuits, d’artistes de la région.
Ces spectacles, destinés à la population rimouskoise et à ses visiteurs, se tiendront tous les mercredis, du 9 juillet au 13 août, à 17 h.
Informations
Les spectacles auront lieu à la Place du 6-Mai-1950, soit la place publique voisine de la Salle Desjardins-TELUS.
Spect’Art Rimouski, en collaboration avec le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire de la Ville de Rimouski, présente les 5 à l’Angélus : une série de six spectacles gratuits, d’artistes de la région.
Ces spectacles, destinés à la population rimouskoise et à ses visiteurs, se tiendront tous les mercredis, du 9 juillet au 13 août, à 17 h.
Informations
Les spectacles auront lieu à la Place du 6-Mai-1950, soit la place publique voisine de la Salle Desjardins-TELUS.
Les spectacles prévus cet été sont :
Mercredi, 9 juillet : Marc-Antoine Lévesque
Mercredi, 16 juillet : MLou
Mercredi, 23 juillet : Benoît Gautier
Mercredi, 30 juillet : Saisons (en collaboration avec Concerts aux Îles du Bic)
Mercredi, 6 août : Pascal Demalsy et l’Orchestre Antarctique
Mercredi, 13 août : Éric Normand
La Place du 6-Mai-1950, située entre la Cathédrale et la Salle Desjardins-TELUS à Rimouski. (Photo courtoisie)
En cas de mauvais temps, les activités auront lieu à l’intérieur de la Salle Desjardins-TELUS, toujours à 17 heures.
À l’issue de la 11e saison de diffusion de l’émission et du balado « Rendez-Vous Nature », certaines entrevues ont été rediffusées en raison de l’intérêt suscité chez de nombreux auditeurs. Comme celle de Mathieu Tremblay, de Forestville, devenu le premier chasseur québécois à l’arc à faire la « une » du populaire magazine « Pope & Young ».
« Du jamais vu pour un chasseur du Québec », affirme le mesureur professionnel André Beaudry, qui a cofondé le site des records Trophée-Québec, un com
À l’issue de la 11e saison de diffusion de l’émission et du balado « Rendez-Vous Nature », certaines entrevues ont été rediffusées en raison de l’intérêt suscité chez de nombreux auditeurs. Comme celle de Mathieu Tremblay, de Forestville, devenu le premier chasseur québécois à l’arc à faire la « une » du populaire magazine « Pope & Young ».
« Du jamais vu pour un chasseur du Québec », affirme le mesureur professionnel André Beaudry, qui a cofondé le site des records Trophée-Québec, un complément aux répertoires « Boone & Crockett Club » et « Pope & Young Club (P&P) », une organisation nord-américaine, fondée en 1961, vouée à la chasse à l’arc.
Et c’est en première page du magazine Ethic P&P, printemps 2025, qu’on admirait la magnifique photo de Mathieu Tremblay, le printemps dernier, avec son orignal trophée au pointage net de 189 1/8, récolté dans la réserve faunique de Matane.
« Je chasse depuis que je suis capable de marcher en forêt avec mon père Michel, qui m’amenait au petit gibier et à la pêche. Quant à l’orignal, je le chasse depuis que j’ai 12 ans; j’en ai 36. Mon père m’a initié et j’ai eu la piqûre. Au début, on chassait dans des caches. Maintenant on se déplace en forêt. L’élève a dépassé le maître », commente Mathieu, sur un air amusé. Pour lui, chasser l’orignal, c’est une religion. « Je prends deux semaines de vacances de chasse par année ». Il préfère l’arc, pour le défi, et aussi l’arme à feu
Comme une religion
Quant à l’orignal qui lui a valu la » une « du magazine Ethic P&P, Mathieu a fait son expédition dans la réserve faunique de Matane en septembre 2023, avec deux amis.
Un tirage entre eux lui accorde le premier choix du secteur dans le territoire 32-A. Une montagne révèle de bons indices et de bonnes chances de cibler un gros « buck » .
Le groupe ne veut rien prélever à moins de 50 pouces de panache. Après une heure de marche à gravir la montagne à 23°C, il commence à « caller » .
Un petit mâle de 50 pouces se dresse, le détecte et s’enfuit. Impossible de le cibler. Après une autre heure de marche, il lance plusieurs appels, observe une femelle et son veau, puis un mâle de 45 pouces.
La première page du magazine Ethic P&P, printemps 2025, avec la photo de Mathieu Tremblay de Forestville. (Photo courtoisie)
« Ce n’est pas ce que je veux » . Un gros mâle répond à ses « calls » , derrière lui. » Je me tourne et je vois de grosses palettes blanches à travers le bois et trois, quatre femelles qui tournent autour.
Je fais de « rattling ». Il ne bouge pas. Je l’approche, il est à 20 verges, j’étire mon arc et la flèche le transperce. J’attends une heure, et il est là, immobile à 300 pieds. Tout un « buck », incroyable. Et je me mets à crier de joie.
Mes chums arrivent et ils capotent « , relate Mathieu.
« C’est incroyable »
« C’est un orignal d’exception, en ce sens qu’il a été récolté à l’arc » , commente le mesureur Éric Tremblay; aucun lien de parenté, de Thetford-Mines, qui enregistre le panache, avec photo au registre P&P.
Ce qui attire l’attention de l’éditeur qui communique en décembre avec Mathieu pour obtenir son autorisation de le publier. Et il se retrouve à la » une « magazine Pope & Young.
« Je ne pensais jamais me rendre là. Je ne suis pas un professionnel de la chasse. C’est incroyable, comme Québécois, de faire le « cover » d’un magazine américain » , commente Mathieu Tremblay.
Est-ce qu’il y aura une prochaine fois à l’automne 2025 ?
Je vous propose un rendez-vous avec deux femmes au parcours singulier : les deux sœurs Élise et Irène Deschênes, qui ont eu une brillante carrière à Mont-Joli.
Opinion de Johanne Fournier
Si les 300 aviatrices de l’aéroport militaire de Mont-Joli portaient d’impeccables uniformes pendant la Deuxième Guerre mondiale, c’était beaucoup grâce à Élise Deschênes, couturière et conceptrice de mode, ainsi qu’à sa sœur Irène, chapelière et couturière.
Avec leur boutique qui avait pignon sur rue
Je vous propose un rendez-vous avec deux femmes au parcours singulier : les deux sœurs Élise et Irène Deschênes, qui ont eu une brillante carrière à Mont-Joli.
Opinion de Johanne Fournier
Si les 300 aviatrices de l’aéroport militaire de Mont-Joli portaient d’impeccables uniformes pendant la Deuxième Guerre mondiale, c’était beaucoup grâce à Élise Deschênes, couturière et conceptrice de mode, ainsi qu’à sa sœur Irène, chapelière et couturière.
Avec leur boutique qui avait pignon sur rue à Mont-Joli, ces deux sœurs étaient aussi des femmes d’affaires. S’inscrivant dans un matriarcat bien assumé, elles ont joué un rôle important dans l’histoire de leur région et ont côtoyé des personnalités publiques significatives de leur époque.
Dans son roman historique intitulé Élise et Irène, Claude Morin nous raconte l’histoire fascinante de deux femmes, qui étaient respectivement sa tante et sa mère. À partir de faits vécus, l’auteur ajoute des éléments de fiction. Cependant, les personnages qu’il décrit ont bel et bien existé et le journaliste à la retraite a conservé, pour la plupart d’entre eux, leur nom d’origine.
Dans ce récit réaliste, Claude Morin dépeint des événements survenus de 1935 à 1945 et qui ont marqué plus particulièrement Mont-Joli, Sainte-Flavie et Sainte-Luce, dont plusieurs aînés de La Mitis n’ont jamais pu oublier.
D’ailleurs, parmi la quarantaine de personnes qui prenaient part au récent lancement de l’ouvrage à Rimouski, certains se souvenaient de faits décrits par l’auteur, mais aussi de plusieurs personnages qui reprennent vie dans le roman. Claude Morin raconte notamment la tragédie ferroviaire qui s’est produite à Mont-Joli le 17 décembre 1941. Celle-ci avait fait 12 morts et une trentaine de blessés.
Personnages marquants
Si le Luçois d’origine dédie cet ouvrage à sa mère et à sa tante, il rend aussi hommage à plusieurs personnages de sa famille.
« Après la publication de mon livre, Sainte-Luce-Station, où je racontais l’histoire de mon père, des gens de mon village natal m’ont dit que je devrais raconter l’histoire de ma mère », indique Claude Morin.
L’auteur ne s’attarde cependant pas uniquement aux carrières de sa mère et de sa tante. À travers les 44 chapitres, il raconte des histoires d’amitié, d’entraide et de persévérance, où la vie et la mort se côtoient. Il y aborde aussi l’amour.
Selon lui, sa mère aurait eu huit prétendants. Puis, Irène se marie une première fois à l’âge de 28 ans à Georges-Édouard Jean. Celui-ci meurt quelques années plus tard. Elle a deux enfants. Elle se remarie, cette fois avec Alexandre Morin qui, quelques années plus tard, meurt à son tour.
« En tout, ma mère n’a pas été mariée 8 ans », spécifie l’auteur.
Claude Morin nous fait découvrir une autre femme de tête : sa cousine Yvette Dionne, qui quitte la région pour poursuivre une illustre carrière de sténographe et dactylographe bilingue au gouvernement fédéral à Ottawa.
Il fait aussi intervenir un quêteux.
« C’est une histoire vraie. Il travaillait à la ferme l’été et il était devenu un grand ami de la famille Deschênes. Ce personnage est un peu un liant dans mon livre. Armand Lévesque est un nom fictif. J’ai romancé son histoire pour en faire un homme de lettres qui avait perdu sa dulcinée. Il provenait de Drummondville et travaillait dans l’industrie du textile au New Hampshire. »
L’ouvrage Élise et Irène de Claude Morin est publié par la maison d’édition Carte blanche. Le livre de 274 pages contient des croquis de mode réalisés par Line Roy. Ces illustrations de vêtements, comme ceux que concevaient Élise et Irène, nous permettent de constater combien la mode des années 1935 à 1945 était belle. Les gens étaient chics !
Un automobiliste montréalais de 28 ans devra payer un constat d’infraction de 1 686$ après avoir été intercepté à 185 km/h sur l’autoroute 85, ce samedi 28 juin, à Témiscouata-sur-le-Lac.
L’individu roulait en pleine nuit, vers 3 h 30, en direction nord.
Avec l’inscription de 18 points d’inaptitude à son dossier de conduite, son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une période de sept jours conformément au Code de la sécurité routière.
La Sûreté du Québec rappelle que l
Un automobiliste montréalais de 28 ans devra payer un constat d’infraction de 1 686$ après avoir été intercepté à 185 km/h sur l’autoroute 85, ce samedi 28 juin, à Témiscouata-sur-le-Lac.
L’individu roulait en pleine nuit, vers 3 h 30, en direction nord.
Avec l’inscription de 18 points d’inaptitude à son dossier de conduite, son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une période de sept jours conformément au Code de la sécurité routière.
La Sûreté du Québec rappelle que la vitesse et la conduite imprudente demeurent les principales causes de décès sur nos routes.
Plusieurs activités extérieures gratuites et des feux d’artifice marqueront de nouveau la fête du Canada, ce mardi 1er juillet, au parc Beauséjour de Rimouski.
Dès 13 h, les familles profiteront de jeux gonflables, maquillage, gâteau aux couleurs du Canada ainsi que des spectacles d’Atchoum et du chansonnier Tom Gagnon. Les feux d’artifice débuteront vers 21 h 45.
Piloté par l’organisation des Grandes Fêtes TELUS, le comité organisateur invite les familles à profiter de l’événement.
Plusieurs activités extérieures gratuites et des feux d’artifice marqueront de nouveau la fête du Canada, ce mardi 1er juillet, au parc Beauséjour de Rimouski.
Dès 13 h, les familles profiteront de jeux gonflables, maquillage, gâteau aux couleurs du Canada ainsi que des spectacles d’Atchoum et du chansonnier Tom Gagnon. Les feux d’artifice débuteront vers 21 h 45.
Piloté par l’organisation des Grandes Fêtes TELUS, le comité organisateur invite les familles à profiter de l’événement.
« Nous voulons que ce soit rassembleur en donnant la chance aux parents et aux enfants de profiter du beau temps. Le Canada est un pays accueillant. Nous avons des gens de l’extérieur qui viennent s’imbiber de tout ça. Ils sont au rendez-vous chaque année. Ça permet de combler une journée de congé. Les feux d’artifice sont toujours l’activité phare de la journée », indique le directeur logistique des Grandes Fêtes TELUS, Simon Lamoureux, responsable des festivités.
Infos sur Facebook
Si les feux d’artifice doivent être annulés, l’information sera publiée sur les réseaux sociaux.
« Sur la page Facebook des Grandes Fêtes TELUS, nous avons créé un événement. Nous recommandons aux gens de le consulter, parce que c’est à cet endroit que les mises à jour seront faites. Si les pompiers nous refusent en raison de l’indice de danger d’incendie, nous allons l’écrire sur cette page. »
En cas de pluie, les activités se tiendront, aux mêmes heures, à l’intérieur du pavillon du parc Beauséjour.
Le CIEL-FM de Rivière-du-Loup a porté à six sa série de victoires, dimanche dans la Ligue Puribec, quand il a explosé pour 15 coups sûrs dans un gain décisif de 16-0 sur les Allées du Boulevard de Matane.
Ce faisant, il rejoint le Shaker au premier rang du classement. Et, les deux clubs vont s’affronter, vendredi soir à Rimouski.
Le pointage était de 2-0 en troisième manche quand Vincent Tardif a claqué une balle loin dans l’allée de droite pour un coup de circuit de trois points. À la m
Le CIEL-FM de Rivière-du-Loup a porté à six sa série de victoires, dimanche dans la Ligue Puribec, quand il a explosé pour 15 coups sûrs dans un gain décisif de 16-0 sur les Allées du Boulevard de Matane.
Ce faisant, il rejoint le Shaker au premier rang du classement. Et, les deux clubs vont s’affronter, vendredi soir à Rimouski.
Le pointage était de 2-0 en troisième manche quand Vincent Tardif a claqué une balle loin dans l’allée de droite pour un coup de circuit de trois points. À la manche suivante, les locaux ont réussi une poussée de sept points avant d’en ajouter quatre autres en cinquième manche.
Au monticule, David Métivier a blanchi l’équipe adverse ne concédant que trois coups sûrs en quatre manches de travail pour mériter sa deuxième victoire de la saison. Simon Rousseau est venu en relève pour compléter le match. Le revers est allé à la fiche d’Olivier Sirois qui n’a lancé que deux manches permettant deux points.
Au bâton, Luca Morin a poursuivi sur sa lancée obtenant quatre coups sûrs en quatre présences en plus de deux points produits. Vincent Tardif aussi a excellé avec trois coups sûrs en trois présences et quatre points produits. Jacob Thériault a pour sa part réussi trois coups sûrs.
À Saint-Pascal
En soirée à Saint-Pascal, les Industries Desjardins ont utilisé leur arme favorite à domicile frappant trois coups de circuit pour vaincre le Bérubé GM de Trois-Pistoles par le pointage de 15-1.
Enrick Jomphe (Photo archives Ligue Puribec)
Les longues balles sont allées à Maxime Bourgelas, Cédric Lizotte et Enrick Jomphe. Ce dernier a connu toute une soirée avec cinq coups sûrs en cinq présences.
Jérémie Maillé-Bizier a mérité la victoire n’accordant que trois coups sûrs en six manches de travail. Le partant Tristan Michaud-Thériault essuie la défaite pour Trois-Pistoles.
L’action reprendra mardi dans le circuit alors que le Bérubé GM visitera les Braves Batitech au Témiscouata. Le lendemain, les Braves visiteront Rivière-du-Loup.
Paraloeil, cinéma et centre de production, convie la population à un parcours gratuit de courts métrages projetés sur les murs d’immeubles dans les rues de Mont-Joli, les 30 juin et 1er juillet, à 20 h 30, au Château Landry.
Le parcours d’environ 1,4 kilomètre aura pour thématique le chemin de fer.
« Le chemin de fer est un motif récurrent qui traverse toute l’histoire du cinéma. Il est un moteur narratif autant qu’un décor indémodable. L’histoire de Mont-Joli étant liée au développement
Paraloeil, cinéma et centre de production, convie la population à un parcours gratuit de courts métrages projetés sur les murs d’immeubles dans les rues de Mont-Joli, les 30 juin et 1er juillet, à 20 h 30, au Château Landry.
Le parcours d’environ 1,4 kilomètre aura pour thématique le chemin de fer.
« Le chemin de fer est un motif récurrent qui traverse toute l’histoire du cinéma. Il est un moteur narratif autant qu’un décor indémodable. L’histoire de Mont-Joli étant liée au développement de chemin de fer, on vous propose une sélection de courts métrages qui racontent les trains, d’ici et d’ailleurs, d’hier et d’aujourd’hui » souligne l’équipe de Paraloeil.
Notons que l’équipe visitera aussi cet été, en plus de Mont-Joli, les municipalités de Trois-Pistoles, Bic et Cacouna.
Aide-mémoire
Dates : 30 juin et 1er juillet à 20 h 30
Point de départ au Château Landry, 1588, boul. Jacques-Cartier
Durée totale : environ 120 minutes
Distance à marcher : 1,4 km
Les gens sont invités à apporter des chaises de camping ou des couvertures s’ils souhaitent s’assoir pour les projections.
Les copropriétaires de la Brasserie La Baraque de Lévis, Simon St-Pierre et son fils Éliott ont pu procéder à l’ouverture officielle de leur nouvelle brasserie, le 25 juin dernier.
Pour l’occasion, ils ont reçu la visite de la communauté politique et de la communauté d’affaires de Lévis. Le maire de Lévis, Gilles Lehouilllier, était notamment présent. Il était accompagné d’élus municipaux, de la chambre de commerce et de gens du milieu économique de Lévis.
Rappelons qu’il s’agit de la tro
Les copropriétaires de la Brasserie La Baraque de Lévis, Simon St-Pierre et son fils Éliott ont pu procéder à l’ouverture officielle de leur nouvelle brasserie, le 25 juin dernier.
Pour l’occasion, ils ont reçu la visite de la communauté politique et de la communauté d’affaires de Lévis. Le maire de Lévis, Gilles Lehouilllier, était notamment présent. Il était accompagné d’élus municipaux, de la chambre de commerce et de gens du milieu économique de Lévis.
Rappelons qu’il s’agit de la troisième brasserie des entrepreneurs, qui ont déjà une succursale de La Baraque au Bas-Saint-Laurent, à Rimouski et une seconde dans la Capitale-Nationale à Saint-Augustin-de-Desmaures.
La Brasserie La Baraque de Rimouski (Photo courtoisie)
« Un local du Vieux-Lévis venait de se libérer et nous en avons profité. Nous sommes heureux de pouvoir offrir notre produit aux Lévisiennes et aux Lévisiens », affirme monsieur Simon St-Pierre.
Son fils Éliott, qui était déjà le gestionnaire de la Brasserie de St-Augustin, assurera aussi la gestion de la Brasserie de Lévis.
La Baraque
Les copropriétaires réitèrent leur concept : un menu complet avec burger et bière de microbrasseries, dans une ambiance chaleureuse et sans prétention.
Les clients pourront aussi assister à des spectacles de chansonniers les fins de semaines.
« Nous voulons que le client puisse vivre un beau moment, avec un bon repas, lors d’une belle soirée avec des saveurs réconfortantes, des bières gouteuses et une atmosphère conviviale », conclut Simon St-Pierre, qui souhaite la bienvenue aux gens, à la Brasserie La Baraque.
C’est à titre d’invité que le gardien de l’Océanic, Mathis Langevin, vivra une première expérience chez les professionnels avec l’Avalanche du Colorado.
Il prendra part, à compter de mardi, au camp de développement de l’Avalanche du Colorado à Denver.
Langevin n’a pas été appelé lors de la séance de repêchage qui s’est tenue vendredi et samedi. Son excellente fin de saison, en séries et lors du tournoi de la Coupe Memorial, avait ouvert les yeux de bien des recruteurs dans les derniers mo
C’est à titre d’invité que le gardien de l’Océanic, Mathis Langevin, vivra une première expérience chez les professionnels avec l’Avalanche du Colorado.
Il prendra part, à compter de mardi, au camp de développement de l’Avalanche du Colorado à Denver.
Langevin n’a pas été appelé lors de la séance de repêchage qui s’est tenue vendredi et samedi. Son excellente fin de saison, en séries et lors du tournoi de la Coupe Memorial, avait ouvert les yeux de bien des recruteurs dans les derniers mois.
Un bel accomplissement pour celui qui, pas plus tard que l’automne dernier, s’était fait dire qu’il n’y avait pas de place pour lui par deux équipes de la LHJMQ, Shawinigan et Sherbrooke. Bathurst l’a réclamé au ballotage et il a été échangé à l’Océanic quelques mois plus tard.
Également, le capitaine sortant, Jacob Mathieu, a reçu une invitation pour le camp de développement des Golden Knights de Las Vegas.
Repêchage
Ce sont 19 joueurs de la LHJMQ qui ont été repêchés, dont trois en première ronde, soit Caleb Desnoyers (4e par UTAH), Justin Carbonneau (19e par Saint-Louis) et Bill Zonnon (22e par Pittsburgh).
L’attaquant étoile, Caleb Desnoyers, devant le gardien William Lacelle (Photo : Wildcats)
À titre de comparaison, on dénombre 38 joueurs de la Ligue de l’Ontario (OHL) et 33 de la Ligue de l’Ouest (WHL).
C’est la première fois en huit ans que l’Océanic est blanchi dans cette séance de sélection, ce qui met fin à la plus longue séance active parmi les équipes de la LHJMQ. Elle s’était amorcée en 2018 avec la sélection de Dmitri Zavgorodny par les Flames de Calgary.
Lacelle en 2026 ?
Le gardien de l’Océanic, William Lacelle (Photo Vincent Éthier- LCH)
Dans la prochaine année, il faudra notamment surveiller la progression de William Lacelle qui devrait être sélectionné au repêchage de juin 2026.
Mathis Langevin, qui s’est fait un nom dans les derniers mois, représente également un espoir qui continuera d’attirer les regards des dépisteurs professionnels.
Émilie Bernard présente l’exposition Les heures vaporeuses au Centre d’art de Kamouraska. L’artiste multidisciplinaire de Cap-Chat propose une œuvre contextuelle qui emprunte un parcours nocturne, où les textures ouvrent sur la découverte des formes.
Innovante et intimiste, l’exposition Les heures vaporeuses explore les paysages naturels au crépuscule ou dans la nuit, ces moments évanescents où la lumière disparaît ou apparaît.
« C’est une recherche qui a été faite à différents moments de
Émilie Bernard présente l’exposition Les heures vaporeuses au Centre d’art de Kamouraska. L’artiste multidisciplinaire de Cap-Chat propose une œuvre contextuelle qui emprunte un parcours nocturne, où les textures ouvrent sur la découverte des formes.
Innovante et intimiste, l’exposition Les heures vaporeuses explore les paysages naturels au crépuscule ou dans la nuit, ces moments évanescents où la lumière disparaît ou apparaît.
« C’est une recherche qui a été faite à différents moments de la nuit, du coucher au lever du soleil, décrit Émilie Bernard, qui a récemment reçu le titre d’artiste de l’année 2025 en Gaspésie par le Conseil des arts et des lettres du Québec. Donc, j’ai fait des randonnées, des marches et des sorties en forêt à différents moments pour vivre de nouvelles expériences, pour voir ce qui allait se passer. Ce sont surtout des textes qui sont venus spontanément à partir de ce qui m’inspirait à ces différents moments de la nuit, alors que nos facultés sont altérées et que, parfois, on a même des hallucinations et qu’on peut avoir peur. »
À ces textes se sont ajoutés des monotypes, de la découpe de papier, des objets naturels.
L’un des tableaux faisant partie de l’exposition Les heures vaporeuses. (Photo Johanne Fournier)
Du côté visuel, comme sa recherche se faisait à la noirceur, elle ne pouvait pas, comme elle a l’habitude de le faire le jour, récolter des choses dans la nature et les prendre en photo, pour ensuite en faire des dessins.
« Je suis allée dans mes anciennes recherches pour trouver des formes et je les ai redessinées dans une ambiance de nuit, de brunante ou d’aube, avec une palette de couleurs choisie pour correspondre à ces ambiances. »
L’installation de l’artiste multidisciplinaire est en place jusqu’au 1er septembre.
Autres expositions
En plus de l’exposition d’Émilie Bernard, le lieu culturel présente l’œuvre-archive originale Dans l’oeil du béluga de l’artiste Maryse Goudreau d’Escuminac, dans la Baie-des-Chaleurs.
Aussi, à partir d’affiches qui sont le fruit d’une intervention in situ,Marc-Antoine K. Phaneuf de Québec suggère une trajectoire où les œuvres sont apposées ici et là dans le Centre d’art.
De la naissance du Bas-Saint-Laurent aux Premières Nations qui ont occupé le territoire, c’est ce que raconte le nouveau Centre d’interprétation des salmonidés et des écosystèmes aquatiques (CISEA), dans l’ancienne église de Lac-des-Aigles, au Bas-Saint-Laurent.
Ce centre éducatif relate l’histoire de ce grand territoire, depuis la fonte des glaciers, la zoologie, la naissance des différents plans d’eau, la biologie des salmonidés et l’utilisation des cours d’eau, dont le fleuve Saint-Jean, a
De la naissance du Bas-Saint-Laurent aux Premières Nations qui ont occupé le territoire, c’est ce que raconte le nouveau Centre d’interprétation des salmonidés et des écosystèmes aquatiques (CISEA), dans l’ancienne église de Lac-des-Aigles, au Bas-Saint-Laurent.
Ce centre éducatif relate l’histoire de ce grand territoire, depuis la fonte des glaciers, la zoologie, la naissance des différents plans d’eau, la biologie des salmonidés et l’utilisation des cours d’eau, dont le fleuve Saint-Jean, alors une voie d’eau importante du Témiscouata pour se déplacer.
L’idée provient de la spécificité halieutique régionale unique de sept espèces de salmonidés, soit l’omble de fontaine et chevalier, la truite grise ou touladi, la ouananiche, le corégone, le corégone nain et le saumon des rivières du Bas-Saint-Laurent.
Un centre d’entraînement occupe le sous-sol de l’ex-église.
« On avait une église à transformer et la communauté de 500 personnes ne pouvait plus supporter. Avec le biologiste Réal Vaudry, nous avons proposé nos sept espèces de salmonidés pour créer un centre d’interprétation. La Corporation de développement de Lac-des-Aigles a retenu l’idée. On y travaille depuis 2018 », explique le cofondateur et trésorier du centre, conseiller municipal de l’endroit et directeur retraité de l’Institut des sciences de la mer de Rimouski (UQAR), Serge Demers.
Faisable et rentable
Une étude a démontré la faisabilité et la rentabilité du site.
« Comme le Lac-des-Aigles est au cœur de la route touristique des Monts Notre-Dame avec la réserve Duchénier (TERFA) et le parc national du Lac Témiscouata, il y aura suffisamment de visiteurs », estime monsieur Demers.
Le CISEA de Lac-des-Aigles compte sur une spécialiste dans le domaine Geneviève Pineault, originaire de Rimouski, ici devant un présentoir de mouches artificielles. S’ajoutent une animatrice et une responsable de l’accueil. (Photo courtoisie CISEA Serge Demers)
Le maire et ingénieur en aéronautique, Pierre Bossé, l’ingénieur civil André Bossé et le biologiste Réal Vaudry se sont joints à Serge Demers pour partager leurs compétences et leurs expertises, notamment à la recherche du financement public.
La municipalité a financé 75 000 $ du projet de 5,5 M$. Carl Johnson a agi comme conseiller muséal.
Que du virtuel
Autre particularité du centre, les nouvelles technologies habitent les lieux. « Pas d’aquariums ni de poissons, que des réalités virtuelles augmentées.
Entre autres, le visiteur sera amené à plonger dans l’eau douce du lac, puis confronté à un aigle qui le survole et qui plonge pour saisir un corégone, qui s’échappe des griffes de l’oiseau de proie, qui retombe à l’eau et le suit jusqu’à la période de fraie », raconte succinctement Serge Demers.
Des murs de glace interactifs relatent l’histoire des plans d’eau. « Le visiteur va pêcher avec un casque virtuel. Spectaculaire ».
Nouvelle vocation pour l’ex-église de Lac-des-Aigles, convertie en centre éducatif de 5,5 M$, un projet d’une grande complexité technologique, qui a débuté en 2018, et qui ouvre ses portes au public ce 10 juillet. (Photo courtoisie CISEA Serge Demers)
S’ajoutent un camping, quatre chalets en location et un ponton pour amener les visiteurs sur le Lac-des-Aigles à la découverte de la vie scientifique du plan d’eau.
L’église de Lac-des-Aigles deviendra un site touristique incontournable avec l’ouverture, le 10 juillet, du Centre d’Interprétation des salmonidés et des écosystèmes aquatiques.
La première sage-femme à exercer son métier légalement au Québec, Johanne Gagnon, de Sainte-Luce, vient tout juste de recevoir un prestigieux doctorat honoris causa de l’Université du Québec afin de souligner son parcours personnel et professionnel des plus inspirants.
Véritable pionnière dans l’univers des sages-femmes au Québec, Johanne Gagnon a mis sur pied et coordonné la maternité de Povungnituk en 1986, le premier service de sage-femme dans le système de santé du Québec dont le mandat é
La première sage-femme à exercer son métier légalement au Québec, Johanne Gagnon, de Sainte-Luce, vient tout juste de recevoir un prestigieux doctorat honoris causa de l’Université du Québec afin de souligner son parcours personnel et professionnel des plus inspirants.
Véritable pionnière dans l’univers des sages-femmes au Québec, Johanne Gagnon a mis sur pied et coordonné la maternité de Povungnituk en 1986, le premier service de sage-femme dans le système de santé du Québec dont le mandat était de desservir la côte est de l’Hudson et de former dans la communauté la relève de sages-femmes autochtones.
Visionnaire et engagée auprès des femmes des communautés, madame Gagnon a créé un modèle dont les résultats ont permis de faire avancer la cause sage-femme dans l’ensemble du Québec.
Depuis, son modèle a été recopié à de nombreuses reprises.
Des centaines de familles
Au-delà des centaines de familles qu’elle a accompagnées directement en tant que sage-femme, madame Gagnon a joué un rôle déterminant lors de l’élaboration des fondements législatifs et réglementaires de la profession de sage-femme, notamment en tant que présidente du Comité d’admission à la pratique sage-femme et membre du Conseil consultatif de l’Office des professions du Québec.
Johanne Gagnon. (Photo Le Soir.ca- Véronique Bossé)
Récipiendaire du prix Mérite du Conseil interprofessionnel du Québec, qui souligne son apport significatif à la profession, elle a également joué un rôle de premier plan dans l’implantation de la formation en pratique sage-femme à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) en 1999.
Encore aujourd’hui, l’UQTR est, grâce à madame Gagnon, la seule université francophone au Canada à offrir le programme de baccalauréat en pratique sage-femme.
Une source d’inspiration
« Johanne Gagnon laisse derrière elle un patrimoine remarquable qui transcende son domaine et mérite les plus hauts honneurs. Sa contribution est une source d’inspiration durable pour nos étudiants et nos finissants qui ont assisté à la collation des grades cette année », commente le recteur de l’UQTR, Christian Blanchette.
Le doctorat honoris causa de l’Université du Québec est un diplôme honorifique décerné à des personnes au mérite exceptionnel pour l’excellence de leur carrière universitaire, professionnelle, scientifique ou artistique, ou qui ont contribué de façon remarquable au progrès de la société ou à l’avancement du mieux-être de la collectivité.
Il est attribué par l’Assemblée des gouverneurs de l’UQ, sous l’égide d’un des établissements du réseau de l’Université du Québec, à la suite d’une recommandation favorable de ce dernier.
L’artiste Aurélie Côté-Proulx expose ses œuvres à la bibliothèque Jean-Louis-Desrosiers de Mont-Joli. Jusqu’à la fin du mois de juillet, elle présente des peintures sous le signe de l’instinct, de la spontanéité et de l’authenticité.
« Ici, il n’y a pas de règles. Pas de perfection. Pas de logique imposée. Je peins comme on respire, comme on rêve : sans me poser de questions. Mon art est un élan émotionnel, un jeu d’enfant, un instinct. Il peut être éclaté, coloré, abstrait, tendre ou naïf »,
L’artiste Aurélie Côté-Proulx expose ses œuvres à la bibliothèque Jean-Louis-Desrosiers de Mont-Joli. Jusqu’à la fin du mois de juillet, elle présente des peintures sous le signe de l’instinct, de la spontanéité et de l’authenticité.
« Ici, il n’y a pas de règles. Pas de perfection. Pas de logique imposée. Je peins comme on respire, comme on rêve : sans me poser de questions. Mon art est un élan émotionnel, un jeu d’enfant, un instinct. Il peut être éclaté, coloré, abstrait, tendre ou naïf », mentionne Aurélie Côté-Proulx pour parler de son travail.
Une des toiles de l’exposition. (Photo courtoisie)
Dans cette exposition très libre, l’artiste propose une maman animale et son petit, un paysage sous-marin ou une ville éclairée par la lune, des notes de musique dansant dans un tourbillon de couleurs, une variété de toiles créées selon l’inspiration du moment.
« Je ne cherche pas à ce que ce soit beau, réaliste ou parfait. Je cherche à ce que ce soit vrai, à ce que ce soit moi. Je ne suis pas une artiste professionnelle. Je suis simplement une humaine qui crée et j’espère que cela vous rappellera que vous aussi, vous avez le droit de créer. Créez même si vous doutez. Créez pour vous, parce que c’est vivant, parce que c’est libérateur », conclut Aurélie Côté-Proulx.
Le Shaker de Rimouski a manqué d’opportunisme, samedi soir au Témiscouata, où les Braves Batitech ont eu le meilleur par la marque de 3-1.
Les locaux ont inscrit deux points dès la première manche, produits par le simple de Dany Paradis-Giroux. Étienne Bergeron a fait marquer le point d’assurance sur un simple en fin de 5e manche.
Le Shaker, qui a laissé les buts remplis en 5e et 7e manche, a inscrit son seul point à son dernier tour au bâton sur le coup sûr de Benjamin Roy.
Kodai Kamba
Le Shaker de Rimouski a manqué d’opportunisme, samedi soir au Témiscouata, où les Braves Batitech ont eu le meilleur par la marque de 3-1.
Les locaux ont inscrit deux points dès la première manche, produits par le simple de Dany Paradis-Giroux. Étienne Bergeron a fait marquer le point d’assurance sur un simple en fin de 5e manche.
Le Shaker, qui a laissé les buts remplis en 5e et 7e manche, a inscrit son seul point à son dernier tour au bâton sur le coup sûr de Benjamin Roy.
Kodai Kambara a lancé les six premières manches, blanchissant le Shaker sur quatre coups sûrs et trois buts sur balles. Étienne Bergeron enregistre le sauvetage. C’est Émile Maisonneuve qui est débité du revers.
Double divisé
À Matane,Keisuke Takikawa a offert une autre performance de grande qualité ne permettant que trois coups sûrs avec 11 retraits au bâton dans un gain des Allées du Boulevard, 3-0, sur Edmundston.
Takikawa (3-1) possède une moyenne de points mérités de 1,40 avec 40 retraits au bâton en 27 manches de travail.
Kochi Miyazaki a produit le premier point des gagnants et Maxime Gauthier, les deux autres. Patrick Morin est le lanceur perdant.
Dans le deuxième match, l’Américain Arnad Mulamekic n’a permis qu’un coup sûr en six manches de travail dans un gain du Frontière FM, 6-0. Louis-Félix Noël encaisse la défaite.
Tommy Marshall a été le meilleur à la plaque avec trois coups sûrs et deux points produits.
Deux parties sont au calendrier dimanche alors que Matane se rendra à Rivière-du-Loup à 14 h tandis qu’à 19 h, Trois-Pistoles se mesurera au Kamouraska, à Saint-Pascal.