Le nom de la circonscription électorale de Rivière-du-Loup–Témiscouata change pour Rivière-du-Loup–Témiscouata–Les Basques. Le projet de loi afin de remplacer l’appellation du comté a été adopté à l’Assemblée nationale.
La députée Amélie Dionne avait déposé un mémoire aux audiences publiques de la Commission de la représentation électorale, puis en le présentant à la Commission de l’Assemblée nationale.
Le projet avait été appuyé par de nombreux élus des trois MRC concernées, soit Rivière
Le nom de la circonscription électorale de Rivière-du-Loup–Témiscouata change pour Rivière-du-Loup–Témiscouata–Les Basques. Le projet de loi afin de remplacer l’appellation du comté a été adopté à l’Assemblée nationale.
La députée Amélie Dionne avait déposé un mémoire aux audiences publiques de la Commission de la représentation électorale, puis en le présentant à la Commission de l’Assemblée nationale.
Le projet avait été appuyé par de nombreux élus des trois MRC concernées, soit Rivière-du-Loup, Témiscouata et Les Basques.
Une démarche similaire avait été entreprise en 2014 par le député provincial en poste à l’époque, Jean D’Amour, sans toutefois aboutir.
« J’ai toujours considéré que l’appellation Rivière-du-Loup–Témiscouata–Les Basques était essentielle pour refléter pleinement l’ensemble du territoire de la circonscription et pour renforcer le sentiment d’appartenance. Ce nouveau nom sera rassembleur pour l’ensemble de la population de la circonscription », commente madame Dionne.
La députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata-Les Basques, Amélie Dionne (Photo courtoisie)
En juin, le nom de la circonscription de Matane-Matapédia a aussi changé pour devenir « Matane-Matapédia-Mitis ».
Depuis quatre semaines maintenant, l’Océanic de Rimouski nous fait part de nominations.
L’opinion de Robin Lebel
Sébastien Noël à titre de président. Il a mené de main de maître le tournoi de la Coupe Memorial. Il y a aussi Luc Michaud, qui devient adjoint au directeur général.
Le directeur général de la Coupe Memorial 2025, Sébastien Noël. (Photo Vincent Éthier-LCH)
Autre nomination, Daniel Demers, anciennement recruteur pour les Saguenéens de Chicoutimi. Danny Dupont a déclaré, à so
Depuis quatre semaines maintenant, l’Océanic de Rimouski nous fait part de nominations.
L’opinion de Robin Lebel
Sébastien Noël à titre de président. Il a mené de main de maître le tournoi de la Coupe Memorial. Il y a aussi Luc Michaud, qui devient adjoint au directeur général.
Le directeur général de la Coupe Memorial 2025, Sébastien Noël. (Photo Vincent Éthier-LCH)
Autre nomination, Daniel Demers, anciennement recruteur pour les Saguenéens de Chicoutimi. Danny Dupont a déclaré, à son sujet, qu’il aime avoir un point de vue différent qui forcera la réflexion au 2e étage du Colisée Financière Sun Life.
Une autre nomination du côté des dépisteurs: Mark Jones, qui devra ratisser l’est des États-Unis. Ça a sûrement un lien à voir avec les nouveaux règlements de la National Collegiate Athletic Association (NCAA), qui permet maintenant aux jeunes de 18 et plus, ayant évolué au niveau junior majeur, de s’expatrier au pays de l’Oncle Sam. Avec Donald Trump au pouvoir, ils ne sont pas nerveux. Moi, j’y penserais deux fois avant de courir pareil risque civil.
J’allais oublier Carolyn Claveau, qui agira à titre de thérapeute sportive.
Autres postes à pourvoir à l’Océanic
Il y a aussi des postes à pourvoir, qui sont annoncés sur leur site Web, dont une offre d’emploi de directeur des communications et de l’engagement communautaire ainsi qu’une autre de coordonnateur marketing numérique.
Je parlais d’évaluation au début juin, tout de suite après le tournoi de la Coupe Memorial. Mais, je ne croyais pas qu’il y aurait autant de mouvements de personnel et encore moins qu’il y aurait autant d’ouvertures de postes. Rappelez-vous que l’on parle d’une équipe junior.
Comme moi, vous vous demandez sûrement pourquoi autant de nominations et de changements de personnel. Par-dessus tout, il doit bien y avoir des gens qui sont partis. Qui sont-ils?
Est-ce que l’on doit faire un lien avec le manque de lustre sur la patinoire pendant la présentation du tournoi de la Coupe Memorial? Personnellement, il y avait, pour moi, quatre équipes de hockey junior majeur tout simplement formidables.
La nomination d’un nouveau président en relève à M. Tanguay s’explique assez bien. Tanguay Immobilier prend probablement plus de son temps. C’est un homme d’affaires qui a tout un pactole à gérer. Mark Jones, ça va de soi. Jusque là, tout baigne.
Mais, les nouveaux postes, dont celui qui mène à l’arrivée de Daniel Demers, venu tout droit de Chicoutimi? Il aura des preuves à faire. Disons que Chicoutimi n’a pas gagné grand-chose depuis 25 ans.
Dans les faits, soyons honnêtes, il nous manque un bout de l’histoire. Qui est parti? Souvent, lors de nominations, on prend le temps de remercier les gens pour leurs années de service ou, à tout le moins, on explique le fondement de nos décisions.
Tout ça me rappelle une compagnie pour laquelle j’ai travaillé quelques années et où, tous les trimestres, on nous présentait un nouveau représentant sur un territoire donné. On applaudissait de peur, en attendant que notre tour vienne pour prendre la porte.
En terminant, on parle d’embaucher un nouveau directeur des communications. Je dis cela sans malice, mais ça va faire du bien.
Le collectif musical Approche Chromatique, formé de jeunes musiciens issus du programme de Jazz Pop du Cégep de Rimouski, dévoile son tout premier album, intitulé « Chez Fleur », disponible dès maintenant sur toutes les plateformes numériques.
Composé de Lucas Pelletier, Juliette Clermont, Jad Khaddour, Raphaël Carré-Lacasse et Cédric Lebel, le groupe fusionne les sonorités du jazz, du funk et du progressif pour créer un univers « vibrant, coloré et résolument audacieux. »
Depuis leur renc
Le collectif musical Approche Chromatique, formé de jeunes musiciens issus du programme de Jazz Pop du Cégep de Rimouski, dévoile son tout premier album, intitulé « Chez Fleur », disponible dès maintenant sur toutes les plateformes numériques.
Composé de Lucas Pelletier, Juliette Clermont, Jad Khaddour, Raphaël Carré-Lacasse et Cédric Lebel, le groupe fusionne les sonorités du jazz, du funk et du progressif pour créer un univers « vibrant, coloré et résolument audacieux. »
Depuis leur rencontre sur les bancs du cégep, leur complicité musicale n’a cessé de grandir, donnant naissance à des compositions originales.
Approche chromatique est formé de Juliette Clermont (guitare), Raphaël Carré-Lacasse (batterie), Jad Khaddour (saxophone), Lucas Pelletier (basse) et Cédric Lebel (guitare). (Photo courtoisie Cégeps en spectacles)
En 2024, ils se sont démarqués en remportant la deuxième place à la finale nationale de Cégeps en spectacle.
Aux Grandes Fêtes TELUS
Depuis, ils continuent de tracer leur chemin avec énergie et créativité, cumulant les prestations, notamment au Festi-Jazz International de Rimouski, aux mercredis musicaux en marge du Festi-Jazz d’Edmundston, et bientôt sur la scène Hydro-Québec des Grandes Fêtes TELUS, le 1er août à 14 h 30.
Le spectacle est gratuit, et toute la population est invitée à y découvrir les jeunes artistes.
Québec prévoit des hausses de loyer coupe-gorge aux chasseurs, pêcheurs et amateurs de plein air qui détiennent des baux de location dans une forêt publique qui leur appartiendra de moins en moins, et de plus en plus inaccessible avec les zones prioritaires d’aménagement du futur régime forestier.
« On veut nous sortir de la forêt qui nous appartient », rage le président du Regroupement des locataires des terres publiques du Québec (RLTP), Arthur Fortin, sous le choc des hausses du loyer annu
Québec prévoit des hausses de loyer coupe-gorge aux chasseurs, pêcheurs et amateurs de plein air qui détiennent des baux de location dans une forêt publique qui leur appartiendra de moins en moins, et de plus en plus inaccessible avec les zones prioritaires d’aménagement du futur régime forestier.
« On veut nous sortir de la forêt qui nous appartient », rage le président du Regroupement des locataires des terres publiques du Québec (RLTP), Arthur Fortin, sous le choc des hausses du loyer annuel des baux du ministère des Ressources naturelles et des Forêts (MRNF).
Le président Fortin est sonné. Dès 2026, la ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette-Vézina, qui ne se fait pas d’amis chez les usagers et gestionnaires des zecs, pourvoiries, fédérations et associations de chasseurs et pêcheurs avec son régime forestier, prévoit des prix minimums des loyers des terrains sous-location avec une hausse de 46 % pour le bail minimum qui passera de 343 $ à 500 $ le 1er janvier 2026, affectant 17 000 des 33 000 détenteurs de baux de villégiature.
« Et de 52 %, de 198 $ à 300 $, pour les 9 900 baux d’abris sommaires installés sur de petits terrains de 100 m2. L’Abitibi-Témiscamingue sera la plus touchée avec ses 6 500 baux d’abris sommaires », estime Arthur Fortin, qui qualifie ces hausses inacceptables et irréalistes.
« Ces augmentations rentrent dans le corps des villégiateurs les moins fortunés et des camps, dont la valeur foncière est la plus faible. »
Le projet du MRNF a été publié dans la Gazette officielle du 9 juillet, en période des vacances. C’est un journaliste qui a informé Arthur Fortin pour obtenir ses commentaires. Le MRNF a ajouté l’insulte à l’injure, deux synonymes appropriés dans la situation, en retenant aucune des recommandations du RLTP lors de la consultation, qui a pris fin le 11 avril.
« Nous avons déposé un mémoire sur les modifications envisagées. Ce qu’on nous a présenté comme une consultation n’aura été qu’un document d’information. »
De 397 $ à 1 213 $
Et les hausses des baux surviennent au moment où les valeurs de références des terrains sont révisées et les chalets réévalués. Les MRC ajouteront leur indexation annuelle.
Le conseil général du RLTP compte sur la mobilisation des 40 000 détenteurs de baux concernés et les autres, par solidarité, afin de renverser les hausses du loyer annuel des baux du ministère des Ressources naturelles et des Forêts dès 2026. (Photo courtoisie RLTP)
« Si un chalet est vendu en 2026, le loyer du bail augmentera de 23 % par rapport à 2025 s’il est supérieur au loyer minimum de 343 $. Les frais de transferts d’un chalet passeront de 397 $ à 1 213 $. Toute une claque », tonne Arthur Fortin. Environ 1 900 chalets changent de propriétaires par an.
Dès 2026, le MRNF et les MRC soutireront quelque 4 M$ par an des villégiateurs, une hausse de 20 % de leurs revenus annuels de location.
« Pourquoi ce taux exorbitant et pour qui ces 4 M$ par année ? Pour la bureaucratie gouvernementale. On n’en sait rien ». De nombreuses MRC seraient contre ces hausses, craignant la furie de ses locataires.
« Lettre à mon député »
Le RLTP va se battre, mais il lui reste moins de 45 jours pour renverser les hausses projetées.
Première démarche : les 40 000 détenteurs de baux concernés et les autres par solidarité, touchés par ces augmentations, doivent faire parvenir une lettre à leur député provincial avant le 22 août.
Selon le RLTP, les hausses projetées vont affecter les portefeuilles des familles, des moins fortunés, et des propriétaires de camps dont la valeur foncière est la plus faible. Des propriétaires de chalets n’auront plus la richesse de leur avoir. (Photo courtoisie RLTP)
« Suivez ce lien pour un exemplaire de la lettre à mon député. Les coordonnées des députés sont accessibles en suivant ce lien. Faut surtout pas attendre », implore Arthur Fortin.
Le président du RLTP souhaite l’appui de la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs, dont la plupart des 145 000 membres ont des chalets ou/et des abris en forêt publique comme sur les zecs. Il nous a été impossible de rejoindre le président Marc Renaud.
Gabriel Gallant et son fils Jordan font partie de l’équipe de baseball de l’Est-du-Québec qui participe aux Jeux du Québec 2025, à Trois-Rivières.
Entraîneur dans le baseball mineur depuis six ans, le Rimouskois transmet sa passion sur le terrain tout en accompagnant son fils, qui joue depuis qu’il est tout petit. Jordan a gravi les échelons et évolue maintenant avec les Riverains du Bas-Saint-Laurent, secteur Est, dans la catégorie U13 AA.
Gabriel a été sélectionné comme l’un des quatre
Gabriel Gallant et son fils Jordan font partie de l’équipe de baseball de l’Est-du-Québec qui participe aux Jeux du Québec 2025, à Trois-Rivières.
Entraîneur dans le baseball mineur depuis six ans, le Rimouskois transmet sa passion sur le terrain tout en accompagnant son fils, qui joue depuis qu’il est tout petit. Jordan a gravi les échelons et évolue maintenant avec les Riverains du Bas-Saint-Laurent, secteur Est, dans la catégorie U13 AA.
Gabriel a été sélectionné comme l’un des quatre entraîneurs de l’équipe de l’Est-du-Québec, aux côtés de Carl Côté, Simon Ouellet et Thommy Lévesque.
« Nous avons huit joueurs de Rimouski avec qui on pratique régulièrement, tandis que les autres viennent davantage du secteur de Rivière-du-Loup. La distance fait en sorte qu’on n’a eu que deux pratiques complètes ensemble, mais on poursuit nos matchs dans le cadre de la saison régulière », explique-t-il.
Pour Jordan, être sélectionné pour ces Jeux représente une grande fierté.
« C’est une belle expérience à vivre. C’est quelque chose qui n’arrive pas souvent dans une vie », lance-t-il avec philosophie.
Même si l’Est-du-Québec n’est pas considéré comme favori pour une médaille, la motivation est bien présente. « Nous sommes ici pour compétitionner. Notre objectif est de faire mieux qu’en 2023. Les jeunes ont beaucoup de talent et on leur répète que tout se joue sur le terrain », croit Gabriel Gallant.
Dynamique particulière
Avoir son père comme entraîneur apporte une dynamique particulière. « C’est un sentiment bien différent. C’est un peu comme si la famille s’invitait dans l’équipe », reconnaît Jordan.
Excellent joueur de baseball et de balle-molle, Gabriel est conscient de la ligne à maintenir entre les rôles de père et d’entraîneur.
Jordan, troisième à partir de la gauche, en compagnie de coéquipiers de l’équipe de l’Est-du-Québec. (Photo courtoisie)
« C’est vraiment agréable de coacher Jordan, car je le connais bien et je sais comment le soutenir. Mais il sait très bien que sur le terrain, c’est Gabriel l’entraîneur, pas le papa », souligne-t-il.
Même s’il y a parfois des discussions après les matchs sur le chemin du retour, il tient à garder ces échanges positifs.
En plus de Jordan, Charles-Olivier Berger, Charles-Éric Maltais, Jordan Gallant, Ryan Murray, Olivier Leblanc, Antoine Poirier et Léon Paquet de Rimouski ainsi que Justin Paquet de Mont-Joli font partie de l’équipe de baseball de l’Est-du-Québec.
Pour sa neuvième semaine d’activités en 2025, le Marché public de Rimouski accueillera 29 exposants, ce samedi 26 juillet, au parc de la Gare.
Voici les exposants prévus sur place :
Le Maître Saucissier
Ça goûte le bois
ViV-Herbes – Herboristerie
Ferme du Fond d’Orme
Le Broutard des Appalaches
La Sage Camomille
Domaine Vallier Robert – Domaine Acer
La Ferme de la Dérive
La Cabottine – Saveurs Indigènes
Pâtisserie La Rose Des Sables de Rimouski
Les Craquantes
Les Allées du Boulevard de Matane continuent de jouer de l’excellent baseball gagnant un autre match, cette fois par 7-6, en huit manches, à Trois-Pistoles.
Il s’agissait d’un 7e gain à leurs huit derniers matchs. La formation matanaise est maintenant 4e au classement, devant Edmundston et Kamouraska.
Avec l’égalité 5-5 après sept manches, un simple de Mathieu Gauthier et un ballon-sacrifice de Michaël Lavoie ont produit deux points. Le Bérubé GM a bien tenté de créer l’égalité en fin de
Les Allées du Boulevard de Matane continuent de jouer de l’excellent baseball gagnant un autre match, cette fois par 7-6, en huit manches, à Trois-Pistoles.
Il s’agissait d’un 7e gain à leurs huit derniers matchs. La formation matanaise est maintenant 4e au classement, devant Edmundston et Kamouraska.
Avec l’égalité 5-5 après sept manches, un simple de Mathieu Gauthier et un ballon-sacrifice de Michaël Lavoie ont produit deux points. Le Bérubé GM a bien tenté de créer l’égalité en fin de 8e, sans succès.
Le vétéran Stéphane Pouliot a été le meilleur au bâton dans la rencontre avec 3 en 3 et deux points produits.
Olivier Sirois (2-1), troisième lanceur utilisé par Matane, enregistre la victoire alors que Tristan Ouellet (0-1) encaisse la défaite.
La jeune équipe du Bérubé GM a livré une belle bataille malgré la défaite. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
À Saint-Pascal
Pendant ce temps, à Saint-Pascal, les Industries Desjardins du Kamouraska ont disposé du Frontière FM d’Edmundston par 8-5.
C’était l’égalité 4-3 pour les locaux quand les trois premiers frappeurs de la 4e manche, Enrick Jomphe, Cédric Lizotte et Émilien Plouffe, ont frappé trois circuits consécutifs aux dépens de Félix Cyr pour faire 7-3.
Garett Parkins a aussi une longue balle pour les visiteurs dont le meilleur au bâton a été Vincent Hébert avec 4 en 4.
Juan Carlos Rodriguez (1-1) a été le lanceur gagnant et Patrick Morin (0-3), le perdant.
Juan Carlos Rodriguez (Photo Le Soir archives – René Alary)
Le match des étoiles de la Ligue Puribec se tiendra samedi, 19 h, à Saint-Pascal. Pour la circonstance, une équipe des joueurs importés de la ligue sera opposée à une formation des meilleurs joueurs locaux du circuit.
Le Shaker sera représenté par trois joueurs : les frères Benjamin et Alexis Roy ainsi que le receveur Mathew Ramos.
À Rimouski, des citoyens ont partagé un moment de détente et de lecture en compagnie de l'auteur Anthony Lacroix. Une sieste littéraire qui fait partie de la série des siestes culturelles organisées par la Ville de Rimouski jusqu'à la fin août. L'objectif : offrir une rencontre entre les artistes locaux et le public. Voici ce qu'a préparé Raphaëlle Ainsley-Vincent.
À Rimouski, des citoyens ont partagé un moment de détente et de lecture en compagnie de l'auteur Anthony Lacroix. Une sieste littéraire qui fait partie de la série des siestes culturelles organisées par la Ville de Rimouski jusqu'à la fin août. L'objectif : offrir une rencontre entre les artistes locaux et le public. Voici ce qu'a préparé Raphaëlle Ainsley-Vincent.
L’artiste-peintre professionnel Michel Leblanc réalise son rêve en revenant au Bas-Saint-Laurent pour ouvrir un atelier-galerie, inauguré en bordure du fleuve au 520 route de la mer, à Sainte-Flavie.
L’inauguration de l’Atelier-Galerie d’art, qui précédait d’une journée l’ouverture officielle au public, était une occasion pour monsieur Leblanc de présenter le concept du lieu.
Ouvert de 10 h à 21 h, sept jours sur sept jusqu’à l’Action de grâce, le Rimouskois accueille les visiteurs pour l
L’artiste-peintre professionnel Michel Leblanc réalise son rêve en revenant au Bas-Saint-Laurent pour ouvrir un atelier-galerie, inauguré en bordure du fleuve au 520 route de la mer, à Sainte-Flavie.
L’inauguration de l’Atelier-Galerie d’art, qui précédait d’une journée l’ouverture officielle au public, était une occasion pour monsieur Leblanc de présenter le concept du lieu.
Ouvert de 10 h à 21 h, sept jours sur sept jusqu’à l’Action de grâce, le Rimouskois accueille les visiteurs pour le voir peindre et acheter ses tableaux.
« L’Atelier-galerie d’art Leblanc n’est pas seulement mon lieu de travail. Il y aura des ateliers d’un jour, s’adressant à des organismes communautaires, des enfants de la DPJ, des ressources intermédiaires. Ce seront de petits ateliers, dans lesquels les jeunes feront une toile en une journée », explique monsieur Leblanc.
L’artiste accordera ainsi une place de choix à la philanthropie. « Quatre fois par année, des œuvres seront remis gracieusement à des entreprises ou des entrepreneurs qui réaliseront des événements de bienfaisance dans la région. Depuis quelques années, ce sont plus de 100 000 $ qui ont été amassés avec les œuvres d’art Leblanc, pour des fondations dues à des encans ou d’activités-bénéfice. »
Michel Leblanc compte aussi mettre en lumière les œuvres de l’homme qui lui a transmis sa passion pour la peinture, soit son père, Ambroise, natif de Maria en Gaspésie.
« C’est le plus bel héritage que mon père pouvait me léguer. Aujourd’hui âgé de 89 ans, il est toujours actif et il verra ses œuvres être exposées. »
Un accident qui a tout changé
Michel Leblanc a traversé de nombreuses épreuves au cours de son parcours, dont un grave accident de la route en 2008.
« Je me suis réveillé à l’hôpital Sacré-Cœur de Montréal, sorti d’un coma, à la suite d’un face-à-face, frappé par un chauffard. Les médecins m’ont sauvé la vie de justesse. À mon réveil, je n’avais plus aucun souvenir du passé. Je ne reconnaissais plus personne, même pas mon frère jumeau identique. »
Les ravages causés par l’accident lui ont enlevé le goût de vivre, jusqu’au jour où il se fait proposer de peindre dans un local désaffecté, au sous-sol de l’hôpital.
Michel Leblanc, lors de l’inauguration de son atelier-Galerie d’Art. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« C’est une animatrice en loisir de l’hôpital de réadaptation qui m’a fait une proposition hors du commun. Sachant que j’étais artiste peintre, elle me dénicha un local désaffecté dans le sous-sol de l’hôpital, en guise d’atelier de peinture clandestin. »
Bien qu’il ne se rappelait plus de personne, il se souvient s’être mis à peindre comme s’il n’avait jamais arrêté.
« J’étais artiste avant d’avoir l’accident, mais l’art m’a aidé à surmonter les épreuves. Quand j’étais à l’hôpital, c’est vrai que je voulais mourir. J’aurais aimé que quelqu’un m’aide à partir pour de bon, parce que j’étais une personne active. Je ne savais pas si j’allais pouvoir marcher à nouveau. Il y avait des infections, des complications, l’amputation était tout le temps probable et je ne pouvais pas concevoir, moi qui étais si actif, entraineur en activité physique, être en fauteuil roulant. L’art m’a aidé. Quand j’ai commencé à peindre dans l’atelier, dans le sous-sol de l’hôpital, je ne me sentais plus comme un patient. »
C’était une façon pour l’artiste de vivre avec sa nouvelle réalité.
« Je n’oubliais pas que j’étais en fauteuil roulant, mais pendant que je peignais, je ne voyais plus noir. Aujourd’hui, je marche, après toutes ces années, je réalise un rêve, celui de construire mon atelier-galerie d’art et c’est pour ça que quand je vois cette réalisation, je trouve ça très émouvant. J’ai voulu mourir, j’ai peint dans des sous-sols délabrés et me voici aujourd’hui dans un atelier de rêve pour un artiste. »
Projet de famille
Michel Leblanc compte sur l’appui de sa conjointe, Kristal Bouvry-Gallant et ses deux enfants, qui, d’une façon ou d’une autre, ont aussi été impactés par l’accident de 2008.
L’Atelier-galerie d’art Leblanc (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Derrière tout rêve d’un homme se cache une femme. J’aimerais donc remercier celle qui a tout orchestré, depuis l’achat de la maison, à la construction de l’atelier. Merci à mes deux enfants, Noah et Stella-Rose, qui nous ont suivis dans cette aventure. »
Le policier de la Sûreté du Québec à Montmagny et ancien propriétaire de la Villa des Basques, Ghislain Dorion, a été reconnu coupable au criminel pour des fautes commises lors d’enquêtes policières et il a écopé d’une peine de neuf mois de détention dans la collectivité.
Selon le Journal de Québec, Dorion a reconnu des manquements dans cinq dossiers d’enquête.
Il a notamment jeté de la preuve aux poubelles et fermé un dossier en justifiant sa décision par une fausse rencontre avec un pro
Le policier de la Sûreté du Québec à Montmagny et ancien propriétaire de la Villa des Basques, Ghislain Dorion, a été reconnu coupable au criminel pour des fautes commises lors d’enquêtes policières et il a écopé d’une peine de neuf mois de détention dans la collectivité.
Selon le Journal de Québec, Dorion a reconnu des manquements dans cinq dossiers d’enquête.
Il a notamment jeté de la preuve aux poubelles et fermé un dossier en justifiant sa décision par une fausse rencontre avec un procureur. Ghislain Dorion a été suspendu par la Sûreté du Québec en juin 2021. Le policier avait alors 30 ans d’expérience au sein du corps policier.
Des fautes dans cinq affaires
Il a admis avoir commis des fautes dans cinq affaires distinctes entre 2010 et 2021, certains de ses gestes ayant même mené à l’arrêt des procédures dans des dossiers criminels.
Dorion a reconnu avoir autorisé la libération d’un camion impliqué dans une collision sans l’autorisation du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), ce qui a mené à un arrêt des procédures dans le dossier de négligence criminelle causant la mort, puisque la défense n’avait pas eu la possibilité de contre-expertiser le véhicule.
Neuf mois de prison dans la collectivité
En avril, le tribunal l’a condamné à une peine d’emprisonnement dans la collectivité de neuf mois pour deux chefs d’accusation.
Ghislain Dorion a aussi été impliqué dans l’immobilier et la restauration.
En 2018, de nombreuses plaintes ont touché la Villa des Basques. En 2019, l’entreprise s’est retrouvée en faillite et mise sous séquestre.
Dans le cadre de la cérémonie d’ouverture de la 59e Finale des Jeux du Québec, la Louperivoise Anabelle Larouche a été choisie pour porter le drapeau de l’Est-du-Québec lors de l’entrée officielle de la délégation au Colisée Vidéotron.
La chef de délégation Alexandra Gagnon-Tillard a annoncé la nouvelle lors de la rencontre réunissant les représentants de la région en fin d’après-midi.
« Je me sens fière et choyée, vu que c’est ma dernière participation aux Jeux du Québec. À Laval, je rega
Dans le cadre de la cérémonie d’ouverture de la 59e Finale des Jeux du Québec, la Louperivoise Anabelle Larouche a été choisie pour porter le drapeau de l’Est-du-Québec lors de l’entrée officielle de la délégation au Colisée Vidéotron.
La chef de délégation Alexandra Gagnon-Tillard a annoncé la nouvelle lors de la rencontre réunissant les représentants de la région en fin d’après-midi.
« Je me sens fière et choyée, vu que c’est ma dernière participation aux Jeux du Québec. À Laval, je regardais les athlètes qui portaient le drapeau et je disais que j’aimerais être comme eux un jour, et aujourd’hui mon rêve se réalise! », a mentionné Anabelle immédiatement après l’annonce.
Une troisième participation aux Jeux
Après Laval et Rimouski, l’athlète de 17 ans de Rivière-du-Loup en est à sa troisième participation aux Jeux du Québec. Médaillée à ses deux premières Finales des Jeux du Québec, elle a remporté l’argent au relais 4 x 100 mètres à Rimouski et deux médailles de bronze au relais 4 x 400 mètres à Laval et Rimouski.
Elle arrive tout juste des Jeux de la Francophonie canadienne à Laval où elle a terminé deuxième au saut en longueur avec une performance de 4 mètres 89 chez les U19.
Elle a également obtenu une quatrième position au 200 mètres dans la catégorie U19. Elle a réalisé un record personnel avec un chrono de 26,28 et ce malgré qu’elle venait de terminer sa course de 800 mètres ou elle a pris la sixième position.
En plus de ses excellentes performances, Anabelle se démarque par son comportement exemplaire. Ses entraîneurs·es la décrivent comme une athlète polyvalente, disciplinée et rigoureuse.
Identifiée au niveau provincial dans sept épreuves en sprint, saut et combiné, elle a été nommée athlète par excellence de l’École secondaire de Rivière-du-Loup, tous sports confondus.
Leader de son groupe d’entraînement, elle représente fièrement l’Est-du-Québec sur les scènes provinciale et canadienne, avec des performances constantes, une attitude irréprochable et un esprit sportif inspirant, ce qui en fait un modèle pour tous les athlètes de la région.
« J’aime l’ambiance, l’esprit d’équipe, et quand tout le monde fait son cri de région à la cafétéria. C’est une expérience autre. C’est comme des mini Jeux Olympiques pour moi. Il y a tous les autres sports au-delà de l’athlétisme, et il y a une fraternité différente. On crée de nouvelles amitiés avec les autres régions et ça, c’est unique », a-t-elle mentionné.
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, fait le point sur l’avancement des travaux sur le boulevard Jacques-Cartier qui devraient se poursuivre jusqu’au 25 août.
« C’est le gros chantier que nous avons à l’entrée de la Ville. La pose des drains souterrains est maintenant terminée. Le réseau d’aqueduc temporaire a été démantelé la semaine dernière. Nous allons ensuite faire les travaux de bordure et les trottoirs. Les travaux d’asphaltage pourront donc commencer dès le 4 août et s’échelonner jusq
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, fait le point sur l’avancement des travaux sur le boulevard Jacques-Cartier qui devraient se poursuivre jusqu’au 25 août.
« C’est le gros chantier que nous avons à l’entrée de la Ville. La pose des drains souterrains est maintenant terminée. Le réseau d’aqueduc temporaire a été démantelé la semaine dernière. Nous allons ensuite faire les travaux de bordure et les trottoirs. Les travaux d’asphaltage pourront donc commencer dès le 4 août et s’échelonner jusqu’au 25 août », précise le maire, qui rappelle que les travaux ont débuté au début juin.
Travaux de 6,2 M$
Rappelons que les travaux en cours consistent à remplacer les conduites souterraines sur une distance de 350 mètres, entre l’avenue Lavoie et l’avenue Poirier, et sur une distance de 355 mètres sur l’avenue Benoît-Quimper.
Les investissements nécessaires pour remettre à niveau ces infrastructures sont de l’ordre de 6,2 M$ et la Ville de Mont-Joli a pu compter sur l’appui du gouvernement du Québec pour subventionner une grande partie de la facture.
« Nous avons aussi utilisé une partie de nos revenus de la TECQ (taxe sur l’essence) », souligne monsieur Soucy.
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo courtoisie)
« On demande aux gens d’être patients pendant les travaux », mentionne le maire.
Il aura fallu une levée de boucliers générale pour que le gouvernement Legault entende finalement raison. Devant la grogne généralisée, Québec a annoncé, la semaine dernière, qu’il injectera 540 M$ supplémentaires dans le réseau scolaire pour préserver les services aux élèves. Une volte-face qui soulève une question fondamentale: est-il trop tard?
L’opinion de Johanne Fournier
J’ai posé la question à une maman du Bic, dont les services sur lesquels pouvait compter son fils seront supprimés
Il aura fallu une levée de boucliers générale pour que le gouvernement Legault entende finalement raison. Devant la grogne généralisée, Québec a annoncé, la semaine dernière, qu’il injectera 540 M$ supplémentaires dans le réseau scolaire pour préserver les services aux élèves. Une volte-face qui soulève une question fondamentale: est-il trop tard?
L’opinion de Johanne Fournier
J’ai posé la question à une maman du Bic, dont les services sur lesquels pouvait compter son fils seront supprimés à la rentrée. La classe de Jeffrey-Lou, dont le personnel était spécialisé dans le trouble du spectre de l’autisme, n’existera plus. « Le ministre a annoncé qu’il ajouterait des millions pour les services aux élèves, convient Marie-Josée Aubin. Mais, le mal est déjà fait: les postes sont déjà supprimés. »
Vent de panique
Rappelons les faits. En mars, le budget 2025-2026 a annoncé des compressions en éducation. En juin, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a passé une commande aux centres de services scolaires: réduire leurs dépenses de 570 M$.
Le résultat? Un vent de panique a soufflé sur les écoles. Des directions ont imploré Québec de reculer sur ces coupes dévastatrices, sans quoi des services essentiels aux élèves seraient annulés à la rentrée. Les centres de services scolaires ont dû préparer des listes de suppressions qui donnent le vertige: postes d’enseignants, services d’orthopédagogie, aide aux élèves en difficulté, transport scolaire.
Une injection salutaire, mais…
Le recul du gouvernement constitue certes un pas dans la bonne direction. Mais, cette somme de 540 M$ est-elle suffisante?
La réponse des syndicats est non, car cette injection de dernière minute ne réparera pas les dégâts collatéraux causés par les coupes draconiennes planifiées pendant des mois par les directions d’école: du personnel licencié, des services annulés, des projets éducatifs mis en veilleuse. Peut-on remettre la machine en marche comme si de rien n’était? Personne ne semble y croire.
Problème de gouvernance?
Cette crise révèlerait-elle un problème de gouvernance plus profond? Comment un gouvernement qui clame faire de l’éducation sa priorité peut-il en arriver à menacer les services aux élèves?
(Photo Unsplash.com – crédit : Element5 Digital)
Plus inquiétant encore: comment, avec cette volte-face, arrivera-t-on à résoudre l’équation budgétaire de fond? Si Québec injecte 540 M$, d’où viendra cet argent? Dans un contexte où le Québec nage en plein déficit, cette rallonge budgétaire ne risque-t-elle pas de créer des tensions ailleurs ou de pelleter le problème dans la cour de quelqu’un d’autre?
Pour les acteurs du milieu scolaire, cette façon d’aller de l’avant du gouvernement pour ensuite rétropédaler est épuisante. Ils ont besoin de prévisibilité, de planification à long terme. En éducation comme ailleurs, gouverner, c’est prévoir. Or, à ce chapitre, le ministre de l’Éducation aurait-il une leçon à apprendre?
La municipalité de Sainte-Luce tient demain, le samedi 26 juillet 2025, son concours de Châteaux de sable, présenté par le Navigateur Ste-Luce.
L’événement, qui prendra place à la plage de l’Anse-aux-Coques, s’adresse aux petits comme aux grands.
Les inscriptions se feront sur place dès 9 h la journée du concours et plusieurs prix sont à gagner, selon deux catégories : adulte et famille.
Les prix à remporter
Le premier prix de la catégorie adulte est un séjour aux Îles-de-la-Madelein
La municipalité de Sainte-Luce tient demain, le samedi 26 juillet 2025, son concours de Châteaux de sable, présenté par le Navigateur Ste-Luce.
L’événement, qui prendra place à la plage de l’Anse-aux-Coques, s’adresse aux petits comme aux grands.
Les inscriptions se feront sur place dès 9 h la journée du concours et plusieurs prix sont à gagner, selon deux catégories : adulte et famille.
Les prix à remporter
Le premier prix de la catégorie adulte est un séjour aux Îles-de-la-Madeleine au Navigateur Millerand. Il s’agit d’un prix d’une valeur de 2000 $ offert par le Navigateur Ste-Luce. Le deuxième prix de cette même catégorie est un montant de 600 $ et le troisième est un montant de 300 $.
De magnifiques structures de sable sont réalisées, chaque année, lors du traditionnel concours de châteaux de sable de Sainte-Luce (Photo courtoisie)
Dans la catégorie famille, le premier prix est un montant de 500 $, tandis que le second est un montant de 300 $ et le troisième un montant de 250 $.
Plusieurs prix de participation seront aussi remis.
Notons qu’en cas de pluie, le concours sera remis au lendemain, soit le dimanche 27 juillet.
Portés par l’organisme Han-Logement, la construction de 32 logements adaptés et abordables pour des personnes en situation de handicap se compléta comme prévu, à la fin de l’été, dans le district Pointe-au-Père à Rimouski.
Entamés en août 2024, les travaux effectués par l’entrepreneur général CB4S de Saint-Arsène consistent à l’aménagement de quatre édifices de huit logements sur la rue des Vétérans. Ce projet d’envergure répondra à un besoin criant à Rimouski.
« Ils seront adaptés pour
Portés par l’organisme Han-Logement, la construction de 32 logements adaptés et abordables pour des personnes en situation de handicap se compléta comme prévu, à la fin de l’été, dans le district Pointe-au-Père à Rimouski.
Entamés en août 2024, les travaux effectués par l’entrepreneur général CB4S de Saint-Arsène consistent à l’aménagement de quatre édifices de huit logements sur la rue des Vétérans. Ce projet d’envergure répondra à un besoin criant à Rimouski.
« Ils seront adaptés pour des personnes en situation de handicap physique, intellectuel, ou vivant avec un trouble du spectre de l’autisme, ainsi qu’à des personnes âgées bénéficiant des adaptations. Chaque logement intégrera 55 adaptations pour optimiser l’accessibilité et le confort de nos locataires », explique la coordinatrice philanthropie et marketing chez Han-Logement, Cindy de Lozzo.
La Ville cède son rang hypothécaire
Pour concrétiser le projet, le conseil municipal de Rimouski a accepté à l’unanimité les termes de l’acte de cession de rang hypothécaire à intervenir entre la Ville de Rimouski et la Société Canadienne d’Hypothèque et de Logement (SCHL) sur le projet d’Han-Logement.
La cession de son rang hypothécaire signifie que la Ville de Rimouski cède sa priorité à la SCHL comme créancier en cas de faillite.
« Le promoteur obtient du financement de divers organismes prêteurs. Dans ce cas-ci, il s’agit de la SCHL. Une des conditions pour qu’ils prêtent de l’argent, c’est d’obtenir la priorité au point de vue hypothécaire. La Ville cède donc son rang hypothécaire pour qu’Han-Logement puisse accéder à du financement », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo courtoisie UMQ)
Rimouski a aussi donné le terrain à Han-Logement pour permettre la construction des 32 logements abordables.
Alors que le Canada prétend vouloir se redéfinir comme superpuissance énergétique, un examen lucide s’impose sur les véritables bénéficiaires de cette stratégie. Pendant ce temps, au Québec, le paysage énergétique est profondément secoué par l’adoption sous bâillon du projet de loi 69, ouvrant la porte à une dénationalisation progressive d’Hydro-Québec en permettant la vente d’électricité d’une compagnie privée à une autre. Une fois de plus, dans la logique implacable des décisions actuelles, c’
Alors que le Canada prétend vouloir se redéfinir comme superpuissance énergétique, un examen lucide s’impose sur les véritables bénéficiaires de cette stratégie. Pendant ce temps, au Québec, le paysage énergétique est profondément secoué par l’adoption sous bâillon du projet de loi 69, ouvrant la porte à une dénationalisation progressive d’Hydro-Québec en permettant la vente d’électricité d’une compagnie privée à une autre. Une fois de plus, dans la logique implacable des décisions actuelles, c’est notre souveraineté, notre démocratie, et, au bout du compte, notre avenir collectif qui risquent d’être sacrifiés.
Le Québec importe la totalité de ses besoins en hydrocarbures du Canada et des États-Unis, dans une proportion d’environ 55 % et 45 %. Inutile de rappeler que l’essentiel des hydrocarbures produits en sol nord-américain est de type non conventionnel, donc plus coûteux, tant sur le plan économique qu’environnemental. Cet or noir est entre les mains, en grande majorité, d’actionnaires préoccupés avant tout par leurs intérêts privés, bien avant toute autre considération sociale ou liée au bien commun.
S’il est un point sur lequel tous ceux qui croient encore à l’importance d’un État souverain peuvent s’entendre, c’est que les ressources naturelles et l’énergie sont des leviers stratégiques fondamentaux pour assurer la souveraineté politique d’un pays.
Globalement, nous en sommes à extraire les dernières réserves de pétrole et de gaz de la planète, à l’image d’un fumeur grattant les mégots dans le cendrier pour une dernière bouffée. Pourtant, nulle remise en question réelle ne semble poindre à l’horizon quant à l’économie capitaliste fondée sur les hydrocarbures.
Technologie « zombie »
En observant la tendance depuis 250 ans, il est permis de croire que la révolution thermo-industrielle pourrait bien se terminer comme elle a commencé : par l’exploitation du charbon. Le système mondialisé, tel qu’on le connaît, se serait probablement déjà effondré en grande partie avant même d’en arriver là. Bref, tout semble aujourd’hui converger vers une accélération effrénée de la croissance ou, du moins, vers le maintien coûte que coûte d’un système reposant sur des technologies et des matériaux que le physicien José Halloy qualifie de « zombies » : des technologies déjà mortes, car dépendantes de ressources non renouvelables, comme le pétrole.
Et ce, malgré la réalité physique, malgré l’urgence climatique, malgré l’érosion de la biodiversité, malgré l’accroissement des inégalités sociales, et malgré la déplétion inexorable des ressources naturelles. Le Canada, sous l’impulsion de son nouveau premier ministre Mark Carney, semble néanmoins vouloir profiter de la tempête australe Trump pour faire du pays une superpuissance énergétique. Think Big!
Projet de loi C-5
Dans sa volonté de « recentraliser » le Canada, en gardant l’esprit extractiviste qui donna naissance à la fédération canadienne, le gouvernement fédéral a adopté sous le bâillon son projet de loi C‑5 contournant ainsi les règles démocratiques habituelles. Ce projet de loi, visant à accélérer l’approbation de grands projets dits nationaux, va donner au gouvernement les outils nécessaires pour rassurer les investisseurs de projets « zombifiés », comme de nouveaux pipelines, par exemple.
Les premiers ministres provinciaux, pour leur part, semblent séduits par ce leadership incarné par Mark Carney. Même François Legault, soudainement, évoque l’existence d’une acceptabilité sociale favorable à l’approbation d’un projet d’oléoduc au Québec. Serait-ce que notre premier ministre caquiste aurait négocié un « deal » en coulisses? Un tuyau en échange d’une ligne de transport électrique dans le cadre du nouvel accord sur Churchill Falls? On peut se poser la question.
Il ne faut pas oublier la forte opposition citoyenne aux projets GNL Québec et Énergie Est, tous deux avortés en territoire québécois. Peu importe les projets de loi adoptés à la hâte ou sous bâillon, la population doit et devra conserver le dernier mot. Car ces projets visent essentiellement à désenclaver la production pétrolière et gazière canadienne pour mieux l’exporter vers les marchés internationaux.
Des pipelines comme projet d’avenir politique et économique pour le Canada… vraiment?
Comme je l’écrivais dans un précédent article : « Alors que l’on tente d’accélérer l’approbation de nouveaux pipelines vers l’Europe et l’Asie, il est légitime de douter de la volonté réelle de favoriser la prospérité des Canadiens. Ces projets semblent surtout servir les intérêts des grandes entreprises et ne s’inscrivent pas dans une volonté de bâtir une économie viable, fondée sur une durabilité forte. »
Les consultations publiques dans le cadre des états généraux sur le phoque du Saint-Laurent débutent dans les prochaines semaines.
Cette initiative mise en place par le musée marin Exploramer, l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec (ACPIQ) et l’Agence Mamu Innu Kakussesht a pour but de rassembler tous les points de vue, d’en faire découler un consensus pour parler d’une seule voix aux différents paliers des gouvernement.
Ainsi, les gens de tous les horizons sont invités à s’in
Les consultations publiques dans le cadre des états généraux sur le phoque du Saint-Laurent débutent dans les prochaines semaines.
Cette initiative mise en place par le musée marin Exploramer, l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec (ACPIQ) et l’Agence Mamu Innu Kakussesht a pour but de rassembler tous les points de vue, d’en faire découler un consensus pour parler d’une seule voix aux différents paliers des gouvernement.
Ainsi, les gens de tous les horizons sont invités à s’inscrire pour participer à l’une des consultations en ligne qui se tiendront les 19, 20 et 26 août en français ainsi qu’en anglais le 27 août.
« Nous voulons la plus grande représentativité possible. Ça inclut les Maritimes. On veut aussi que les communautés autochtones soient là. Il faut aussi que les scientifiques, les chasseurs et que les producteurs de matière première fassent partie de ces consultations » explique Sandra Gauthier, directrice d’Exploramer.
Les aspects qui seront abordés par les trois présidents sont la règlementation, la science et la valorisation de la ressource. Ces présidents sont d’ailleurs des experts dans leur domaine, soit Patrick Vincent, Mike Hammil ainsi que Geneviève Myles. Le tout se fait sous la supervision d’un ancien juge de la Cour Supérieure, Me Robert Pidgeon.
La perception par rapport à la chasse aux phoques a changé au fil des années. Les intervenants œuvrant de près dans le milieu sont d’avis que la règlementation officielle actuelle n’est pas au diapason avec les réalités.
À titre d’exemple, Gil Thériault de l’ACPIQ mentionnait qu’une seule entreprise, la boucherie Côte-à-Côte aux Îles-de-la-Madeleine a le droit de commercialiser le phoque au Québec.
« Elle aurait de la demande pour 3 000 phoques annuellement, alors qu’elle n’a accès qu’à 800 bêtes. »
Sandra Gauthier va un peu plus loin quant à la perception vis-à-vis la chasse aux phoques.
« On veut entendre tous les discours incluant ceux qui sont davantage animalistes. Leurs données sont importantes pour la discussion. D’ailleurs c’est grâce à eux si on ne chasse plus le blanchon au Québec. C’est aussi grâce à eux si on ne chasse plus le phoque pour la fourrure. Toutefois, aujourd’hui, c’est davantage pour la viande qu’on chasse le phoque. On utilise aussi la graisse pour faire de l’Oméga-3. On sert de l’entièreté de la carcasse. Les choses ont donc beaucoup changé au fil du temps. »
Accompagner le gouvernement
Selon la perception de Sandra Gauthier, les états généraux sur le phoque du Saint-Laurent permettront d’adopter des résolutions claires qui seront présentées aux gouvernements, autant du Québec que du Canada. « C’est un sujet qui est délicat, mais on sent que le gouvernement est prêt à faire avancer le dossier. Ces états généraux sont réalisés pour trouver un consensus. »
Le phoque est en quantité importante dans le Saint-Laurent. (Photo Archives – Stéphane Quintin)
Lorsque le processus sera terminé, les trois présidents compileront les informations reçues dans les consultations publiques et les mémoires et émettront des recommandations préliminaires.
C’est lors d’une ultime assemblée qui se tiendra à Matane en novembre que des résolutions seront adoptées.
La Sûreté du Québec intensifiera ses interventions, ce samedi 26 et ce dimanche 27 juillet, dans le cadre d’une opération nationale en sécurité nautique.
Elle vise les comportements des plaisanciers qui contribuent à mettre leur propre sécurité et celle des autres en danger.
Au cours de cette fin de semaine, les policiers réaliseront diverses interventions auprès de la clientèle nautique autant à quai que sur les plans d’eau.
Des interventions en matière de capacités affaiblies par le
La Sûreté du Québec intensifiera ses interventions, ce samedi 26 et ce dimanche 27 juillet, dans le cadre d’une opération nationale en sécurité nautique.
Elle vise les comportements des plaisanciers qui contribuent à mettre leur propre sécurité et celle des autres en danger.
Au cours de cette fin de semaine, les policiers réaliseront diverses interventions auprès de la clientèle nautique autant à quai que sur les plans d’eau.
Des interventions en matière de capacités affaiblies par les drogues et/ou l’alcool seront aussi effectuées sur la route lors du retour à la maison.
« À quai, sur les plans d’eau, comme sur la route, l’achalandage ne cesse d’augmenter. Dans la majeure partie des collisions, chavirements et noyades, le comportement humain est un facteur important. Connaître son embarcation et se familiariser avec ses équipements lors d’activités nautiques peut éviter des situations déplorables dues à l’inexpérience », indique la SQ dans un communiqué.
Alors que les conflits de travail et les grèves assombrissent le ciel de Postes Canada, les entreprises se tournent de plus en plus vers des solutions alternatives pour leurs besoins de livraison.
La Fédération canadienne des entreprises indépendantes a mené une étude auprès de 2 317 commerces afin de déterminer l’impact des ruptures de services chez Postes Canada. Le sondage s’est tenu au cours des mois de juin et juillet.
À la lumière des réponses obtenues, il est révélé que quatre PME s
Alors que les conflits de travail et les grèves assombrissent le ciel de Postes Canada, les entreprises se tournent de plus en plus vers des solutions alternatives pour leurs besoins de livraison.
La Fédération canadienne des entreprises indépendantes a mené une étude auprès de 2 317 commerces afin de déterminer l’impact des ruptures de services chez Postes Canada. Le sondage s’est tenu au cours des mois de juin et juillet.
À la lumière des réponses obtenues, il est révélé que quatre PME sur cinq utilisent toujours les services de Postes Canada, mais que la grève de 2024, a provoqué certains changements d’habitude. Le sondage indique que 55 % des répondants font moins appel à Postes Canada depuis la dernière grève.
On y apprend que le courrier régulier tel des chèques ou papiers administratifs sont toujours envoyés par Postes Canada alors que les colis sont davantage confiés à des entreprises privées comme FedEx ou Purolator. Toutefois, l’incertitude face aux services de Postes Canada ont poussé certaines entreprises à se tourner vers le courrier numérique.
D’ailleurs, une nouvelle grève pousserait 67 % des petites et moyennes entreprises à délaisser Postes Canada au profit d’une solution plus fiable. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’à peine une entreprise sur cinq estime que Postes Canada est un service essentiel.
Les 53 000 membres de Postes Canada pourraient déclencher une nouvelle grève au moment qu’ils jugeront opportun lorsque le vote sur les offres patronales sera conclu. La date butoir imposée est le 1er août. Rappelons qu’en 2024, une grève avait paralysé la livraison du courrier pendant un mois. Lors du retour au travail, il avait fallu plusieurs semaines avant de rattraper le temps perdu.
Le populaire animateur radio et humoriste, Richard Z. Sirois, est un grand amateur de musique. Parmi les artistes qui l’ont marqué, Ozzy Osbourne fait inévitablement partie du lot.
Le légendaire chanteur de Black Sabbath ou en solo, surnommé le « Prince des ténèbres », est mort le 22 juillet dernier à l’âge de 76 ans.
Richard Z. Sirois est un grand amateur de Black Sabbath. Il leur attribue pratiquement l’invention du heavy métal.
Pour lui, le premier album du groupe d’Ozzy Osbourne r
Le populaire animateur radio et humoriste, Richard Z. Sirois, est un grand amateur de musique. Parmi les artistes qui l’ont marqué, Ozzy Osbourne fait inévitablement partie du lot.
Le légendaire chanteur de Black Sabbath ou en solo, surnommé le « Prince des ténèbres », est mort le 22 juillet dernier à l’âge de 76 ans.
Richard Z. Sirois est un grand amateur de Black Sabbath. Il leur attribue pratiquement l’invention du heavy métal.
Pour lui, le premier album du groupe d’Ozzy Osbourne revêt, pour le style, la même importance que Nevermind de Nirvana pour le grunge et Never mind the bollocks, de Sex Pistols, pour le punk.
C’est à 14 ans que Richard Z. Sirois a découvert Black Sabbath.
« À cet âge-là, on est tous un peu rebelles et Black Sabbath arrivait avec un son lourd et très différent de ce qu’on connaissait. Déjà la pochette annonçait ce qui se retrouvait à l’intérieur. D’ailleurs, l’album commence avec du tonnerre et la voix d’outre-tombe d’Ozzy Osbourne. »
Sombre et diabolique
Le côté sombre et diabolique rempli de messages voilés qui déplaisaient aux parents était une raison supplémentaire pour adopter le groupe qui tire d’ailleurs son nom d’un film d’horreur de l’époque.
« J’ai pu voir Black Sabbath à la place des Nations à Montréal en 1971 pour la modique somme de deux dollars. Ozzy, c’est un des personnages les plus fascinants de l’histoire du rock. Il a passé à travers toutes les surdoses de drogues et d’alcool et subi des accidents puis en est ressorti très diminué physiquement. Malgré tout, il continuait de monter sur scène car c’est là qu’il était le plus heureux » , ajoute l’animateur radio.
Ozzy Osbourne est décédé le 22 juillet dernier à l’âge de 76 ans. (Photo Getty Images)
Évidemment, la musique de Black Sabbath a tourné beaucoup à la maison. À l’aube des 16 ans de son fils Émile, Richard Z. Sirois lui a demandé ce qu’il souhaitait pour son anniversaire. « Il m’a répondu qu’il voulait voir un spectacle de Black Sabbath. Je savais alors que j’avais réussi son éducation », rigole-t-il.
Les présences sur scène d’Ozzy Osbourne étaient toujours ressenties.
« Lorsque je l’ai vu pour la dernière fois en spectacle avec mon fils il y a neuf ans, on voyait déjà qu’il avait de la misère. Il tenait à peine debout. Mais il a toujours eu un don pour manipuler la foule à sa guise et son charisme était légendaire » , ajoute Richard Z. Sirois.
L’héritage d’Ozzy
Le dernier show de Black Sabbath à peine quelques semaines avant le décès d’Ozzy est fort représentatif de l’influence du groupe sur tout ce qui a découlé dans le rock au fil des années.
« Tout le monde était présent. Sa famille au complet, ses amis et tous les membres du groupe incluant le batteur original qu’on n’avait pas vu depuis très longtemps », souligne Richard Z. Sirois.
Des fleurs et des bougies autour de l’étoile d’Ozzy Osbourne sur le célèbre « Hollywood Walk of Fame » (Photo AFP)
D’ailleurs, de nombreux groupes étaient aussi de la représentation, dont Metallica, Alice in chains et Pantera.
Ce spectacle est, selon Richard, le chant du cygne d’Ozzy Osbourne qui aura pu monter une dernière fois sur scène, avec la même voix d’outre-tombe même si le corps ne suivait plus. « Ozzy Osbourne, c’est la naissance du heavy métal. C’est un son qui transcende les générations. »
« Nécrologiste musical »
L’ex-membre du groupe humoristique RBO anime Les Grands bazous, une émission 100 % musicale diffusée sur toutes les stations O du réseau Arsenal, du lundi au vendredi de midi à 13 h. Les classiques du rock sont au cœur de cette émission.
Le sympathique animateur a aussi écrit le livre « Le vinyle de l’insomniaque », en 2022, où il relate des tranches de vie liées à des souvenirs musicaux.
Devenu une véritable encyclopédie au fil du temps, Richard Z. est souvent sollicité dans les médias lors du décès d’un chanteur ou d’un groupe, inspirant son fils à lui donner le surnom de « nécrologiste musical ».
On peut aussi suivre Richard Z. Sirois et son acolyte Maude Emie Sirois dans leurs capsules humoristiques « On décroche », diffusées sur NousTV, ainsi que sur la page Facebook et la chaîne YouTube. On voit le duo qui va à la rencontre de gens d’ici et fait découvrir des lieux de La Matanie.
Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, sort satisfait de sa rencontre de mercredi (23 juillet) avec le maire de Rimouski, Guy Caron. Il estime que la Ville a fait preuve d’ouverture pour deux dossiers chers aux commerçants : le stationnement et l’affichage.
Dix mois après le dépôt d’un rapport de gens d’affaires mandatés pour recommander des mesures afin d’atténuer les impacts liés à l’ouverture de Costco, monsieur Caron a mentionné mard
Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, sort satisfait de sa rencontre de mercredi (23 juillet) avec le maire de Rimouski, Guy Caron. Il estime que la Ville a fait preuve d’ouverture pour deux dossiers chers aux commerçants : le stationnement et l’affichage.
Dix mois après le dépôt d’un rapport de gens d’affaires mandatés pour recommander des mesures afin d’atténuer les impacts liés à l’ouverture de Costco, monsieur Caron a mentionné mardi (22 juillet), au Soir.ca, que la Ville avait fait ses devoirs.
Parmi les idées évoquées, monsieur St-Pierre indique que la Ville se montre réceptive à la demande d’augmenter la période de gratuité du stationnement à 30 minutes à Rimouski.
« C’est un dossier que la nouvelle ressource que nous allons embaucher à l’automne suivra en collaboration avec le service de développement économique de la Ville », explique-t-il.
Le coprésident souhaite également que l’ouverture de Costco devienne un levier touristique.
« Pour profiter de l’achalandage généré par le nouveau commerce, nous demandons qu’un affichage rapide soit mis en place afin d’inciter les visiteurs à descendre la montée Industrielle-et-Commerciale pour découvrir le centre-ville. On veut que ce soit fait rapidement », insiste Simon St-Pierre.
Vitrine à bâtir
La Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette espère que des actions concrètes pourront être mises en place dans les prochaines semaines.
« Il faut rapidement installer une signalisation claire pour informer les gens que le centre-ville élargi regorge de commerces attrayants : boutiques, restaurants, épiceries fines, produits du terroir, vêtements uniques. L’affichage électronique demande plus de temps, car il nécessite des modifications réglementaires, mais on peut débuter avec un tableau statique pour montrer que notre ville mérite le détour. »
La traverse piétonnière de la rue Saint-Germain Ouest, au centre-ville de Rimouski. (Photo Le Soir.ca)
Un des premiers mandats de la nouvelle direction de la Chambre sera de créer une carte interactive en collaboration avec la Ville.
« On veut un outil simple et accessible pour les visiteurs, qui pourrait proposer des parcours gourmands alliant restaurants, poissonneries, chocolateries ou pâtisseries. Ce genre d’expérience existe à Toronto, et permet aux gens de l’extérieur de découvrir les saveurs locales », mentionne monsieur St-Pierre.
Communication défaillante
Le coprésident de la Chambre déplore une mauvaise communication dans le dossier.
« Nous avions présenté nos recommandations au maire et aux élus en comité plénier. On nous avait dit qu’on nous reviendrait, mais le conseil d’administration n’a jamais eu de suivi. Ce qu’on a appris, c’est que des réponses avaient plutôt été données à Jean-Nicolas Marchand (l’ancien directeur général de la Chambre, congédié pour des présomptions de fraude). Il nous disait que le rapport allait être tabletté, alors que ce n’était pas le cas. La pression des dernières semaines nous a permis d’obtenir cette rencontre constructive. »
Un magasin-entrepôt Costco (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Il admet que le congédiement de son directeur général et les problèmes à la SOPER ont ralenti certains projets.
« Nous avions des collaborations en cours avec la SOPER en lien avec Costco. Tout est tombé à l’eau après leur départ. »
La Ville veut aller de l’avant
Comme le mentionnait le maire Guy Caron mardi, au Soir.ca, la Ville assure avoir pris connaissance des 15 recommandations du comité de gens d’affaires.
« Certaines relèvent de notre juridiction, d’autres non. Le stationnement au centre-ville est un enjeu sur lequel nous travaillons. Le plan particulier d’urbanisme, qui entrera en vigueur l’an prochain, abordera cette question. D’ici là, certaines mesures pourront être mises en œuvre », a indiqué monsieur Caron.
15 recommandations à la Ville de Rimouski
Création d’un outil technologique centralisé portable intégrant une composante d’intelligence artificielle
Mettre en place, pour les entreprises de Rimouski, un véhicule facilitateur d’émission d’incitatifs financiers ou des rabais individuels ou collectifs
Offrir aux commerçants du centre-ville une opportunité d’affichage promotionnel pour les personnes qui arrivent par l’autoroute 20 pour les attirer vers le centre-ville
Jumeler l’achat de publicité par les commerçants et par la Ville de Rimouski puisqu’il s’agit de promouvoir son centre-ville
Faciliter l’orientation et le mouvement des personnes au centre-ville par l’implantation et le développement d’une politique signalétique municipale
Proposer un accompagnement individuel, par une firme marketing, rendu abordable par un financement gouvernemental provincial. Cet accompagnement permet un diagnostic organisationnel personnalisé, une analyse stratégique des opportunités et besoins ainsi que des recommandations marketing
Organiser une série de panels thématiques comprenant entrepreneurs, organisations structurantes et autres joueurs clés expérimentés dans ce type de défi
Implanter rapidement un système de paiement de stationnement simplifié et uniformisé dans tout le centre-ville
Faire passer la période gratuite des 15 premières minutes aux 30 premières minutes de stationnement tout en permettant des déplacements lors de cette période
Garantir le nombre actuel de stationnements au centre-ville
Créer un événement hivernal sur la rue Saint-Germain Ouest, qui ne concurrence pas les Terrasses Cogeco, l’été, sur Saint-Germain Est
Décorer davantage le centre-ville pour la saison hivernale et distribuer des décorations aux commerçants
Garantir la construction d’un nombre de logements suffisant pour répondre à l’augmentation de la demande de main-d’œuvre générée par l’ajout de commerces importants
Assurer une offre de services de francisation pour les travailleurs internationaux correspondant aux besoins de main-d’œuvre supplémentaire
Intégrer des éléments liés aux conditions de travail, à la gestion d’équipe et à la rétention de la main-d’oeuvre dans l’accompagnement proposé aux entrepreneurs pour mieux répondre aux besoins très variables des employeurs de Rimouski.
Le Salon de quilles Vézina a récemment procédé à l’ouverture officielle de sa nouvelle section d’arcades, marquant leur retour à Rimouski après plusieurs années de tentatives infructueuses.
Cette section du Salon de quilles porte le nom de Centre d’amusement Vézina, sur la montée Industrielle-et-Commerciale. Depuis que l’établissement opère à son endroit actuel, la Ville de Rimouski avait toujours refusé que des arcades y soient aménagées.
« C’était toujours un non catégorique. Il y a cinq
Le Salon de quilles Vézina a récemment procédé à l’ouverture officielle de sa nouvelle section d’arcades, marquant leur retour à Rimouski après plusieurs années de tentatives infructueuses.
Cette section du Salon de quilles porte le nom de Centre d’amusement Vézina, sur la montée Industrielle-et-Commerciale. Depuis que l’établissement opère à son endroit actuel, la Ville de Rimouski avait toujours refusé que des arcades y soient aménagées.
« C’était toujours un non catégorique. Il y a cinq ans, nous avons fait l’acquisition d’une section au nord. Nous avons retenté d’avoir l’accord de la Ville, mais encore une fois, c’était un non catégorique. Finalement, ce qui a permis d’avoir une certaine ouverture de la part de la Ville, c’est probablement la venue du Salon de jeux au Centre des congrès de Rimouski », raconte l’un des copropriétaires, Frédéric Vézina, en compagnie de son père Florent et son frère Nicolas.
Une offre qui pourrait évoluer
L’ouverture du 18 juillet était donc l’aboutissement d’un long processus.
« Nous avons voulu attendre le plus longtemps possible, car il nous manque encore quatre machines, en provenance de gros vendeurs », précise monsieur Vézina.
(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)
Lorsque toutes seront arrivées à bon port, les usagers pourront choisir entre 34 jeux d’arcades.
« Il pourrait y avoir des modifications, par exemple si on voit qu’il y a des machines qui ne fonctionnent pas, on pourrait les retirer pour en mettre une autre. Si on retire une machine qui prenait beaucoup de place, il est possible qu’on soit en mesure d’en mettre deux pour la remplacer. C’est pour ça que notre offre devrait évoluer dans les prochains mois et les prochaines années. »
Connaitre le marché à Rimouski
Sachant que les arcades étaient disparues du paysage rimouskois depuis plusieurs années, Frédéric Vézina explique avoir usé de ses contacts dans le milieu du divertissement afin de magasiner des machines appropriées.
« Je travaille à l’extérieur et cela fait 27 ans que je construis des salons de quilles à la grandeur du Canada. J’ai vu beaucoup de salons de quilles qui ont déjà des machines, alors en parlant avec les propriétaires des établissements, j’ai pu me renseigner sur les compagnies et leurs distributeurs. »
Il demeure cependant que les recommandations n’ont pas été éprouvées en sol rimouskois.
(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)
« Une bonne machine pour Montréal peut en être une mauvaise à Rimouski et vice-versa. Même qu’une machine qui est populaire à Rimouski pourrait ne pas convenir à Matane. C’est ce qu’on m’a expliqué, alors c’est un peu de l’essai-erreur. Au début, on met moins de machines, puis on ajuste selon l’évolution de la situation. »
Il estime qu’entre 20 % et 30 % de ses machines peuvent être utilisées par des usagers de trois ans et plus.
5 000 pieds carrés
En janvier, Le Soir.ca avait dévoilé le désir du Salon de quilles Vézina d’investir dans un agrandissement, comprenant une salle de jeux et quatre allées de mini quilles, pour faire de l’établissement le plus important centre récréatif dans l’Est-du-Québec.
Finalement, la famille Vézina a injecté 2 M$ dans le projet, dont 600 000$ dans l’achat des jeux d’arcades dans un nouvel espace de 5 000 pieds carrés.
(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)
En juin, la Ville de Rimouski a adopté le règlement final pour permettre le retour des arcades dans un établissement licencié sur son territoire. Elles étaient interdites sur le territoire depuis le printemps 2000.
Le Salon de quilles Vézina a récemment procédé à l’ouverture officielle de sa nouvelle section d’arcades, marquant leur retour à Rimouski après plusieurs années de tentatives infructueuses.
Cette section du Salon de quilles porte le nom de Centre d’amusement Vézina. Depuis que l’établissement opère à son endroit actuel, la Ville de Rimouski avait toujours refusé que des arcades y soient aménagées.
« C’était toujours un non catégorique. Il y a cinq ans, nous avons fait l’acquisition d’une s
Le Salon de quilles Vézina a récemment procédé à l’ouverture officielle de sa nouvelle section d’arcades, marquant leur retour à Rimouski après plusieurs années de tentatives infructueuses.
Cette section du Salon de quilles porte le nom de Centre d’amusement Vézina. Depuis que l’établissement opère à son endroit actuel, la Ville de Rimouski avait toujours refusé que des arcades y soient aménagées.
« C’était toujours un non catégorique. Il y a cinq ans, nous avons fait l’acquisition d’une section au nord. Nous avons retenté d’avoir l’accord de la Ville, mais encore une fois, c’était un non catégorique. Finalement, ce qui a permis d’avoir une certaine ouverture de la part de la Ville, c’est probablement la venue du Salon de jeux au Centre des congrès de Rimouski », raconte l’un de ses copropriétaires et gestionnaire principal depuis 2019, Frédéric Vézina, en compagnie de son père Florent et son frère Nicolas.
Une offre qui pourrait évoluer
Depuis que l’annonce de l’arrivée prochaine d’un Salon de jeux de Loto-Québec, l’automne dernier, monsieur Vézina a réitéré l’intérêt de son entreprise à avoir une section de jeux d’arcades entre ses murs.
L’ouverture du 18 juillet était donc l’aboutissement d’un long processus.
« Nous avons voulu attendre le plus longtemps possible, car il nous manque encore quatre machines, en provenance de gros vendeurs », précise Frédéric Vézina.
(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)
Lorsque toutes seront arrivées à bon port, les usagers pourront choisir entre 34 jeux d’arcades.
« Il pourrait y avoir des modifications, par exemple si on voit qu’il y a des machines qui ne fonctionnent pas, on pourrait les retirer pour en mettre une autre. Si on retire une machine qui prenait beaucoup de place, il est possible qu’on soit en mesure d’en mettre deux pour la remplacer. C’est pour ça que notre offre devrait évoluer avec le temps, dans les prochains mois et les prochaines années. »
Connaitre le marché à Rimouski
Sachant que les arcades étaient disparues du paysage rimouskois depuis plusieurs années, Frédéric Vézina explique avoir usé de ses contacts dans le milieu du divertissement afin de magasiner des machines appropriées.
« Je travaille à l’extérieur et cela fait 27 ans que je construis des salons de quilles à la grandeur du Canada. J’ai vu beaucoup de salons de quilles qui ont déjà des machines, alors en parlant avec les propriétaires des établissements, j’ai pu me renseigner sur les compagnies et leurs distributeurs. »
Il demeure cependant que les recommandations n’ont pas été éprouvées en sol rimouskois.
(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)
« Une bonne machine pour Montréal peut en être une mauvaise à Rimouski et vice-versa. Même qu’une machine qui est populaire à Rimouski pourrait ne pas convenir à Matane. C’est ce qu’on m’a expliqué, alors c’est un peu de l’essai-erreur. Au début, on met moins de machines, puis on ajuste selon l’évolution de la situation. »
Il estime qu’entre 20 % et 30 % de ses machines peuvent être utilisées par des usagers de trois ans et plus.
5 000 pieds carrés
En janvier, Le Soir.ca avait dévoilé le désir du Salon de quilles Vézina d’investir dans un agrandissement, comprenant une salle de jeux et quatre allées de mini quilles, pour faire de l’établissement le plus important centre récréatif dans l’Est-du-Québec.
Finalement, la famille Vézina a injecté 2 M$ dans le projet, dont 600 000$ dans l’achat des jeux d’arcades dans un nouvel espace de 5 000 pieds carrés.
(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)
En juin, la Ville de Rimouski a adopté le règlement final pour permettre le retour des arcades dans un établissement licencié sur son territoire. Elles étaient interdites sur le territoire depuis le printemps 2000.
Pour sa troisième semaine d’activités en 2025, les Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai proposent musique, animation et danse au menu de sa programmation.
Troisième semaine – Vendredi 25 juillet au jeudi 31 août
Vendredi 25 juillet 2025
11 h à 20 h
Calie et Hoya Atelier
Halte Artisans Puribec
Boîte musicale Méga Scène
16 h – Animation en direct avec Dany (Présenté par FLO 96,5 FM)
20 h – Danse dans la rue (École de danse Quatre Temps)
Samedi 26 juillet 2025 (Fin de sem
Troisième semaine – Vendredi 25 juillet au jeudi 31 août
Vendredi 25 juillet 2025
11 h à 20 h
Calie et Hoya Atelier
Halte Artisans Puribec
Boîte musicale Méga Scène
16 h – Animation en direct avec Dany (Présenté par FLO 96,5 FM)
20 h – Danse dans la rue (École de danse Quatre Temps)
Samedi 26 juillet 2025 (Fin de semaine de la famille, présentée par Desjardins)
11 h à 20 h
Calie et Hoya Atelier
Halte Artisans Puribec
13 h 30
La Fée Binette | Maquillage
Halte Urbaine Via Capitale Horizon
13 h 30 à 16 h Party Mousse Hawaïenne (Au coin de la rue Belzile)
Glissade gonflable
Présence d’Abibeille, mascotte Desjardins
Boîte musicale Méga Scène
13 h 30 – Mini-Cyclone – Initiation au vélo (Rimouski Ville Cyclable)
16 h – CardioDanse | Thématique Familiale
17 h 30 – CardioDanse | Thématique Latino
20 h – Joelle Robichaud, autrice, compositrice, interprète, prestation musicale
Dimanche 27 juillet 2025 (Fin de semaine de la famille, présentée par Desjardins)
11 h à 20 h
Calie et Hoya Atelier
Halte Artisans Puribec
13 h 30 à 16 h 30
La Fée Binette | Maquillage
Halte Urbaine Via Capitale Horizon
13 h 30 à 16 h 30 – Le Défi Interactif BUNKER IPS
13 h 30
Atelier de dessin
Halte Via Capitale Horizon
Boîte musicale Méga Scène
13 h 30 à 16 h 30 – Bingo familial gratuit (Présenté par FLO 96,5 FM)
Lundi 28 juillet 2025
Mardi 29 juillet 2025
Mercredi 30 juillet 2025
11 h à 20 h
POGARTS | Francis Soucy
Halte Artisans Puribec
17 h
Saisons | Les 5 à l’Angélus (Place du 6-mai-1950)
Boîte musicale Méga Scène
17 h 30 – Danse dans la rue (École de danse Quatre Temps)
Jeudi 31 juillet 2025
11 h à 20 h
POGARTS | Francis Soucy
Halte Artisans Puribec
16 h
Kiosque de sensibilisation à l’interculturalité (Présenté par AIBSL)
Boîte musicale Méga Scène
15 h 30 – Danse dans la rue, troupe des 4 à 9 ans (École de danse Quatre Temps)
16 h – Houblon-sur-Rue, dégustation de bières (microbrasseries L’Octant et Le Bien le Malt)
Informations supplémentaires
La programmation des Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai est en constante évolution et des événements peuvent y être ajoutés. Des changements peuvent aussi y être faits, sans préavis.
(Photo courtoisie Ville de Rimouski)
Il est recommandé de suivre l’organisation des Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai sur les réseaux sociaux pour des mises à jour régulières.
Un incendie et une explosion se sont déclarés dans une roulotte au Camping Rivière La Martre, le 24 juillet, causant une perte totale du véhicule récréatif. L’incident, qui n’a pas fait de blessé, a mobilisé les services d’incendie de Marsoui et de Sainte-Anne-des-Monts.
Ayant aperçu « une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs » depuis sa résidence, le maire de La Martre s’est précipité sur les lieux avec deux employés municipaux.
Selon Yves Sohier, le sinistre a débuté dans le
Un incendie et une explosion se sont déclarés dans une roulotte au Camping Rivière La Martre, le 24 juillet, causant une perte totale du véhicule récréatif. L’incident, qui n’a pas fait de blessé, a mobilisé les services d’incendie de Marsoui et de Sainte-Anne-des-Monts.
Ayant aperçu « une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs » depuis sa résidence, le maire de La Martre s’est précipité sur les lieux avec deux employés municipaux.
Selon Yves Sohier, le sinistre a débuté dans le panneau électrique situé dans la salle de toilette d’une roulotte installée sur le terrain de camping.
« Le propriétaire est sorti à la course », témoigne-t-il.
Scène spectaculaire
Les flammes se sont rapidement propagées à l’ensemble du véhicule récréatif. La situation s’est compliquée lorsque les bouteilles de propane ont explosé, créant une scène à la fois spectaculaire et inquiétante.
« C’était très impressionnant, relate M. Sohier. La première bouteille de propane qui a explosé se vidait par coup et ça faisait un bruit vraiment intense. »
Ayant aperçu «une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs» depuis sa résidence, le maire de La Martre, Yves Sohier, s’est précipité sur les lieux. (Photo courtoisie Yves Sohier)
Dans un geste téméraire, un campeur s’est aventuré à proximité du brasier pour retirer la bouteille de propane de sa tente-roulotte située à environ 20 pieds (6 mètres) du feu. «C’était, quant à moi, très dangereux», fait savoir l’élu.
Pompiers et campeurs très réactifs
Les pompiers de Marsoui, premiers arrivés sur les lieux en raison de leur proximité, ont été rapidement rejoints par leurs collègues de Sainte-Anne-des-Monts ainsi que par des policiers de la Sûreté du Québec (SQ).
Une dizaine de pompiers ont participé aux opérations qui ont duré près d’une heure. Trois camions de pompiers et deux autopatrouilles de la SQ ont convergé vers le lieu du sinistre.
Selon le corps policier, le brasier a été maîtrisé vers 12h15.
Grâce à la réactivité des campeurs et des premiers intervenants, les dégâts ont pu être limités. Tous les véhicules et motocyclettes stationnés aux alentours ont été déplacés par leurs propriétaires avant que les flammes ne les atteignent.
Des structures avoisinantes ont été épargnées, dont la tente-roulotte située à proximité. Mais, elles ont « probablement chauffé un peu », selon le maire Sohier.
Seul un abri-moustiquaire pourrait possiblement avoir subi des dommages, soupçonne-t-il.
Le propriétaire de la roulotte, qui serait un ancien résident de La Martre qui était en visite, a tout perdu dans le sinistre.
Un nouveau cabinet d’avocats ouvrira ses portes, ce lundi 28 juillet, tout juste devant le palais de justice de Rimouski.
La firme Juriseo Avocats de Terrebonne s’installera au 180, avenue de la Cathédrale, au bureau 220, afin de couvrir la région du Bas-Saint-Laurent.
Me Céleste Anctil, avocate chez Juriseo depuis 2021, sera responsable du nouveau bureau. Originaire de Saint-Mathieu-de-Rioux, elle revient dans sa région natale pour offrir un accompagnement juridique à la clientèle.
Civ
Un nouveau cabinet d’avocats ouvrira ses portes, ce lundi 28 juillet, tout juste devant le palais de justice de Rimouski.
La firme Juriseo Avocats de Terrebonne s’installera au 180, avenue de la Cathédrale, au bureau 220, afin de couvrir la région du Bas-Saint-Laurent.
Me Céleste Anctil, avocate chez Juriseo depuis 2021, sera responsable du nouveau bureau. Originaire de Saint-Mathieu-de-Rioux, elle revient dans sa région natale pour offrir un accompagnement juridique à la clientèle.
Civil, immobilier et construction
Me Anctil a amorcé sa carrière comme stagiaire chez Juriseo Avocats, avant d’être officiellement embauchée comme avocate en 2021.
Depuis, elle a plaidé dans plusieurs dossiers hautement contestés devant la Cour du Québec, la Cour supérieure et même la Cour d’appel du Québec.
Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Me Céleste Anctil concentre sa pratique dans les domaines du litige civil, du droit immobilier et du droit de la construction.
« Son écoute, sa capacité de vulgarisation et son approche humaine en font également une alliée précieuse dans les dossiers plus sensibles, notamment en matière de droit de la personne », mentionne-t-on.
À partir du 1er janvier 2026, 1158 locataires de baux de villégiature au Bas-Saint-Laurent feront face à des hausses de coûts de location, affirme le Regroupement des locataires des terres publiques du Québec.
À partir du 1er janvier 2026, 1158 locataires de baux de villégiature au Bas-Saint-Laurent feront face à des hausses de coûts de location, affirme le Regroupement des locataires des terres publiques du Québec.
L’interniste gériatre et chef du service de gériatrie au CISSS du Bas-Saint-Laurent, Dr Christian Campagna, est préoccupé par la hausse du nombre d'aînés qui prennent des antidépresseurs au Québec.
L’interniste gériatre et chef du service de gériatrie au CISSS du Bas-Saint-Laurent, Dr Christian Campagna, est préoccupé par la hausse du nombre d'aînés qui prennent des antidépresseurs au Québec.
L’entreprise Immeubles DTM Inc. souhaite construite un bâtiment résidentiel de 15 logements sur le site du 266, rue Saint-Germain Est à Rimouski.
Le projet nécessitant l’adoption d’un Projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) par le conseil municipal, parce qu’il contrevient à certaines normes du règlement d’urbanisme.
Après la séance de consultation publique tenue le 17 juillet dernier, les élus ont adopté, aux fins d’approbation référenda
L’entrepriseImmeubles DTM Inc. souhaite construite un bâtiment résidentiel de 15 logements sur le site du 266, rue Saint-Germain Est à Rimouski.
Le projet nécessitant l’adoption d’un Projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) par le conseil municipal, parce qu’il contrevient à certaines normes du règlement d’urbanisme.
Après la séance de consultation publique tenue le 17 juillet dernier, les élus ont adopté, aux fins d’approbation référendaire, le second projet de résolution en vue d’approuver le PPCMOI à une prochaine séance.
« Lorsqu’on parle de densifier le centre-ville, en voici un bel exemple. C’est un bâtiment existant dont le carnet de santé nous dit qu’il ne peut pas être réhabilité, mais le promoteur, Immeubles DTM va en faire un 15 logements », commente le maire de Rimouski, Guy Caron.
Le maire Guy Caron et le directeur général de la Ville de Rimouski, Marco Desbiens. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Les locataires ont été relocalisés temporairement. L’immeuble avait également une vocation commerciale. Il y avait notamment une boutique d’artisanat qui est maintenant fermée.
« Le bâtiment n’était pas en bon état. Il sera transformé en résidentiel », précise monsieur Caron.
Ce projet particulier contient des dispositions susceptibles d’approbation référendaire.
La Société des alcools du Québec (SAQ) est en processus afin d’implanter une agence à Les Hauteurs, dans La Mitis. Un appel d’offres s’adressant aux commerces en alimentation prenait fin ce mercredi 23 juillet, à 11 h.
« L’analyse de l’ensemble des propositions reçues est en cours. À ce stade, il m’est impossible de confirmer à qui sera attribué le contrat », indique la responsable des opérations contractuelles SAQ Agences, Chantal Paré.
Deux commerces offrent des services en alimentation
La Société des alcools du Québec (SAQ) est en processus afin d’implanter une agence à Les Hauteurs, dans La Mitis. Un appel d’offres s’adressant aux commerces en alimentation prenait fin ce mercredi 23 juillet, à 11 h.
« L’analyse de l’ensemble des propositions reçues est en cours. À ce stade, il m’est impossible de confirmer à qui sera attribué le contrat », indique la responsable des opérations contractuelles SAQ Agences, Chantal Paré.
Deux commerces offrent des services en alimentation à Les Hauteurs, soit le Dépanneur du Coin et l’Épicerie D.F. Rouleau.
Épiceries et dépanneurs visés
Les agences SAQ sont des commerces d’alimentation (épiceries ou dépanneurs) qui obtiennent le droit de vendre des produits de la SAQ dans leur magasin.
Elles sont situées dans des municipalités où il n’y a pas de succursale de la SAQ et permettent un meilleur accès aux produits.
La SAQ détient 423 agences réparties au Québec, dont 42 au Bas-Saint-Laurent. La MRC de La Mitis compte actuellement quatre succursales à Sainte-Luce (Marché Ste-Luce et Épicerie C.H. Bernier (secteur Luceville), Saint-Gabriel (Épicerie DB), La Rédemption (Dépanneur Chez Ti-Noir).
La Corporation Les amis des aînés de L’Isle-Verte ont inauguré récemment la Résidence de l’Ancrage, un immeuble de 20 logements sociaux et abordables destinés à des personnes âgées en légère perte d’autonomie à L’Isle-Verte. Ce chantier a nécessité un investissement de plus de 12,4 M$.
Québec a versé plus de 5,6 M$ par l’entremise de la Société d’habitation du Québec (SHQ) pour la construction de cet immeuble. La SHQ garantit également le prêt hypothécaire contracté par la Corporation.
Ott
La Corporation Les amis des aînés de L’Isle-Verte ont inauguré récemment la Résidence de l’Ancrage, un immeuble de 20 logements sociaux et abordables destinés à des personnes âgées en légère perte d’autonomie à L’Isle-Verte. Ce chantier a nécessité un investissement de plus de 12,4 M$.
Québec a versé plus de 5,6 M$ par l’entremise de la Société d’habitation du Québec (SHQ) pour la construction de cet immeuble. La SHQ garantit également le prêt hypothécaire contracté par la Corporation.
Ottawa a aussi participé au projet à hauteur de 5,1 M$, tandis que la Municipalité de L’Isle-Verte accorde à la Corporation un crédit de taxes d’une durée de 35 ans, d’une valeur totalisant 1,2 M$.
« La Résidence de l’Ancrage représente bien plus qu’un bâtiment. C’est un lieu de réconfort, de dignité et de proximité pour nos aînés. La Municipalité de L’Isle-Verte est fière d’avoir contribué à ce projet porteur, qui répond à un besoin réel dans notre communauté », affirme la mairesse de l’Isle-Verte, Ginette Caron, dans un communiqué
Accueillant et sécuritaire
Présente lors de l’inauguration, la ministre responsable des Aînés, Sonia Bélanger, estime que le projet est porteur d’espoir, rappelant la tragédie survenue à L’Isle-Verte, le 24 janvier 2014.
À ce moment, un violent incendie avait éclaté au cœur de la nuit dans la Résidence du Havre, comprenant à l’époque 52 logements occupés par des personnes âgées autonomes et semi-autonomes. En tout, 32 personnes avaient perdu la vie.
Le drame a notamment permis de resserrer les règles et les normes de sécurité dans les résidences pour aînés afin d’éviter une nouvelle tragédie.
« Grâce à l’engagement de tous les partenaires, les résidents et leurs proches peuvent aujourd’hui compter sur un environnement accueillant et sécuritaire », a indiqué Sonia Bélanger.
Arrêté le 22 mai dernier lors d’une perquisition en matière de lutte au trafic de stupéfiants, Dave Martel, 51 ans, de Saint-Léandre, a plaidé non coupable. Il a demandé que son procès soit précédé d’une enquête préliminaire, dont la date devrait être fixée le 16 septembre prochain.
Martel est détenu depuis son arrestation. Il est représenté par Me Caroline Bérubé. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine compte à 1,5 jour par jour purgé.
Les policiers de
Arrêté le 22 mai dernier lors d’une perquisition en matière de lutte au trafic de stupéfiants, Dave Martel, 51 ans, de Saint-Léandre, a plaidé non coupable. Il a demandé que son procès soit précédé d’une enquête préliminaire, dont la date devrait être fixée le 16 septembre prochain.
Martel est détenu depuis son arrestation. Il est représenté par Me Caroline Bérubé. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine compte à 1,5 jour par jour purgé.
Les policiers de la MRC de la Matanie, assistés d’enquêteurs de la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de Rimouski, en plus du Groupe tactique d’intervention, le Service d’identité judiciaire et d’un maître-chien, ont effectué une perquisition dans un immeuble résidentiel de la route des Érables, le 22 mai dernier, à Saint-Léandre.
Coke et médicaments
Sur place, les policiers ont procédé à la saisie de 21 000$ en argent canadien, plus de 275 grammes de cocaïne, plus de 100 de médicaments sous ordonnance, une arme de chasse et trois armes de poing.
Intercepté sur place, Martel fait face à des accusations en matière de trafic de stupéfiants et de possession d’armes prohibées et non autorisées.
Dans un excellent match de baseball mercredi soir au Stade Fournier, les Allées du Boulevard de Matane ont eu raison du Shaker de Rimouski par 3-2. L’as gaucher Keisuke Takikawa enregistre une 7e victoire à sa fiche.
Il devient le premier artilleur du circuit à atteindre le plateau des sept gains depuis Dany Paradis-Giroux, des Braves Batitech du Témiscouata en 2017.
Takikawa a espacé sept coups sûrs et retiré huit frappeurs sur des prises pour porter son dossier à 7-1. Louis Trépanier, ve
Dans un excellent match de baseball mercredi soir au Stade Fournier, les Allées du Boulevard de Matane ont eu raison du Shaker de Rimouski par 3-2. L’as gaucher Keisuke Takikawa enregistre une 7e victoire à sa fiche.
Il devient le premier artilleur du circuit à atteindre le plateau des sept gains depuis Dany Paradis-Giroux, des Braves Batitech du Témiscouata en 2017.
Takikawa a espacé sept coups sûrs et retiré huit frappeurs sur des prises pour porter son dossier à 7-1. Louis Trépanier, venu en relève de Markus Coates en début de 5e manche, encaisse le revers.
Matane a pris les devants 2-0 en première manche. L’égalité a été créée en début de 5e sur un double bon pour deux points de Markus Coates.
Kevin Roy a constitué le dernier retrait du match avec un coureur en position de marquer (Photo Le Soir – René Alary)
Le point de la victoire a été inscrit en fin de 5e à la suite d’un triple de Michaël Lavoie qui est ensuite venu marquer sur le simple opportun de Louis-Félix Noël.
Au bâton pour les vainqueurs, Noël et François Durette (deux doubles) ont réussi deux coups sûrs chacun. Dans le camp du Shaker, Émile Maisonneuve a trois coups sûrs en quatre présences.
Jeux bizarres
Ce match disputé devant 250 spectateurs a été ponctué de jeux bizarres : un coureur de Matane, qui a quitté le 3e but trop vite sur un ballon-sacrifice, a été retiré sur un jeu d’appel fait par les visiteurs.
Puis, un protêt déposé par le Shaker a mené à un renversement de décision par l’arbitre du marbre. Ce dernier a retiré un frappeur de Matane pour avoir déposé la balle sur un amorti-suicide alors qu’il était en dehors de la boite des frappeurs, tout en accordant le point marqué quand même. Or, après révision, il a donné raison au Shaker qui argumentait que le jeu était mort et que les coureurs devaient retourner à leur but respectif.
Une victoire qui fait du bien pour le Bérubé GM. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
Pendant ce temps, le Bérubé GM a mis un terme à une séquence de huit revers avec une victoire de 4-3 sur les Industries Desjardins du Kamouraska dans un autre très bon match.
C’est un but sur balles avec les buts remplis à Samuel Laforest qui a fait la différence avec un retrait en fin de 7e manche.
Les visiteurs avaient créé l’égalité 3-3 après deux retraits en début de 7e manche sur le double bon pour deux points de Rémi Lévesque.
Ludovic Saucier a fait la distance pour le Bérubé GM enregistrant sa première victoire de la saison et son premier match complet dans la Ligue Puribec.
Ludovic Saucier a lancé un match complet dans la victoire. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
C’est Jérémie Maillé-Bizier qui encaisse le revers. Il s’était amené en relève d’Émilien Plouffe qui a lancé les six premières manches.
En attaque, Samuel Laforest est sans contredit la vedette de son équipe dans cette partie avec deux coups sûrs, deux buts sur balles et trois points produits.
En s’inclinant, le Shaker a glissé au 2e rang, à égalité avec Rivière-du-Loup, un demi-match derrière Témiscouata qui n’a plus que trois parties à disputer.
Le Shaker pourrait rejoindre les Braves Batitech s’il l’emporte jeudi soir face au Frontière FM d’Edmundston qui sera le visiteur à Rimouski. Émile Maisonneuve sera le lanceur partant pour le Shaker. Le match débutera à 19 h 30.
Dans le cadre de la campagne de sensibilisation de SP Canada Bas-Saint-Laurent, intitulée « Parlons de nous », Johanne Campion, une résidente de Rimouski atteinte de la sclérose en plaques (SP), témoigne de ses difficultés avec le marché du travail.
Tout a commencé lorsque madame Campion a obtenu son diagnostic, alors qu’elle avait 27 ans.
« Quand j’ai su que j’avais la sclérose en plaques, j’étais infirmière auxiliaire. C’est sûr que je trouvais ça difficile de travailler, mais je ne com
Dans le cadre de la campagne de sensibilisation de SP Canada Bas-Saint-Laurent, intitulée « Parlons de nous », Johanne Campion, une résidente de Rimouski atteinte de la sclérose en plaques (SP), témoigne de ses difficultés avec le marché du travail.
Tout a commencé lorsque madame Campion a obtenu son diagnostic, alors qu’elle avait 27 ans.
« Quand j’ai su que j’avais la sclérose en plaques, j’étais infirmière auxiliaire. C’est sûr que je trouvais ça difficile de travailler, mais je ne comprenais pas pourquoi. Quand j’ai appris que j’avais la maladie, j’ai quitté mon emploi. »
Elle décide alors de suivre une formation en secrétariat et elle décroche un travail dans une commission scolaire. Si elle connaissait alors le nom de sa maladie, elle ignorait à l’époque qu’elle pouvait causer des troubles cognitifs.
« J’ai travaillé dans des écoles, sur appel. Quand on me disait quoi faire, je n’avais pas de problème et tout allait bien. Puis, j’ai effectué un remplacement et j’ai fait des erreurs. Je ne comprenais pas pourquoi j’en faisais autant. Éventuellement, ils m’ont renvoyé. » Et elle n’était pas au bout de ses peines.
« J’ai tout perdu. Je me suis séparé de mon conjoint aussi et j’ai passé deux ans en dépression. »
Retour aux études
Johanne Campion décide ensuite de faire un retour aux études, en lettres et création littéraire.
« J’ai fait un baccalauréat dans ce domaine. J’ai voulu prolonger mes études le plus possible, parce que j’aimais ça, que j’étais capable de le faire et qu’on ne pouvait pas m’en congédier. »
Elle a aussi amorcé une maîtrise en lettres. Elle n’a cependant pas été en mesure de la terminer, puisqu’avec l’arrivée de la COVID-19, il n’était plus possible qu’elle reçoive l’aide pédagogique qu’elle avait auparavant pour l’aider avec ses troubles cognitifs. Elle a toutefois réussi à travailler pendant la pandémie.
« Je vérifiais les codes QR au restaurant. Après, on m’a embauché pour laver la vaisselle. J’ai donc continué, parce que j’avais besoin d’un emploi et que là, j’en avais un. Pour faire la vaisselle, je n’avais pas besoin de me concentrer, je ne pouvais donc pas faire d’erreurs, mais à un moment donné, je suis tombé et je me suis fait mal au genou. J’ai dû lâcher mon emploi. »
Johanne Campion précise que sa chute n’était pas liée à la maladie.
« C’est difficile, parce que les employeurs ne comprennent pas nécessairement tout le temps. Il y a aussi le fait que j’ai besoin d’aide, parce que j’ai besoin d’adaptation pour les emplois. Je pense que les employeurs ne sont pas non plus très informés; il n’y a pas beaucoup de sensibilisation. »
S’il existe des ressources pour aider les gens qui sont dans une situation semblable à la sienne, elles sont souvent peu connues.
Faire connaître les ressources
Le Regroupement des organismes spécialisés pour l’emploi des personnes handicapées (ROSEPH) est une association sans but lucratif qui rassemble 25 organisations, dont 22 dédiées spécifiquement à la main-d’œuvre pour les personnes handicapées. Malheureusement, il demeure peu connu. C’est par elle-même que Johanne Campion est tombée sur ce regroupement, qui lui a permis de faire un stage d’un jour à l’Association de sclérose en plaques du Bas-Saint-Laurent. Puis un autre dans un motel.
Il s’agit d’une façon de procéder qui lui convient bien, parce que de cette manière, l’employeur potentiel peut constater par lui-même ses capacités.
« Ça leur donne une idée de ce que je peux faire. C’est plus facile que de juste l’expliquer. »
Madame Campion souhaite donc que l’existence du ROSEPH soit davantage publicisée par Emploi-Québec et les organismes semblables.
« Ça permettrait de tenir les employeurs au courant et de faire savoir aux gens qu’il est possible de faire la demande pour une journée de stage. »
Elle voudrait également avoir un meilleur accompagnement dans ses procédures d’embauche.
« Lorsque je trouve un emploi, j’aimerais que l’intervenante qui est avec moi puisse parler avec l’employeur, avant ou après l’entrevue. Si un professionnel atteste de mes problèmes, en présentant mes capacités, ce serait plus simple que de le faire moi-même, parce que ce serait plus formel. »
Les ressources à contacter
La Société canadienne de la sclérose en plaques (SP Canada) offre différentes ressources aux personnes atteintes de la sclérose en plaques et à leurs proches. Notons d’abord qu’il est possible de contacter le bureau de la division bas-laurentienne de SP Canada en téléphonant au 418 724-5499.
Il est aussi possible de consulter leur site Internet régional ou national au spcanada.cam où il est possible de clavarder avec un agent.
Le numéro de téléphone est le 1 844 859-6789 et le courriel est agentinfo@spcanada.ca. De l’aide juridique, des capsules vidéos et des webinaires sont quelques-unes des ressources disponibles.
Le nombre élevé de joueurs âgés de 18 à 21 ans permet la création d’une deuxième équipe de hockey junior régional à Rimouski.
En 2024, un groupe mené par Dario Côté avait relancé une formation au sein de la Ligue de hockey junior A du Bas-Saint-Laurent.
Portant le nom des Mariniers, elle affrontait Saint-Fabien, Mont-Joli, La Vallée, Rivière-du-Loup et Matane, en plus de disputer des matchs contre des adversaires de la Gaspésie.
L’engouement suscité a été tel que le projet d’une deuxièm
Portant le nom des Mariniers, elle affrontait Saint-Fabien, Mont-Joli, La Vallée, Rivière-du-Loup et Matane, en plus de disputer des matchs contre des adversaires de la Gaspésie.
L’engouement suscité a été tel que le projet d’une deuxième équipe, de calibre inférieur, a rapidement émergé pour permettre à un maximum de jeunes adultes de poursuivre leur parcours au-delà du hockey mineur.
« On a accueilli une quarantaine de joueurs lors de notre premier camp d’entraînement. C’était crève-cœur d’en retrancher autant sans leur offrir d’alternative. Nous avions envisagé de créer deux équipes dans les divisions A et B, l’été dernier, mais le temps et la charge de travail nous ont freinés. L’enthousiasme ne s’est pas estompé, si bien que nous lançons officiellement le projet pour 2025-2026 », explique monsieur Côté
Boulevard Chevrolet dans l’aventure
Cette nouvelle formation comptera sur Boulevard Chevrolet comme partenaire majeur. Dario Côté fait de nouveau partie des fondateurs, accompagné cette fois de Sylvain Leblanc, Steve Ruest et Gaëtan Beaudin.
Si Daniel Lavoie revient derrière le banc des Mariniers, un autre entraîneur-chef s’occupera du deuxième groupe.
L’an dernier, la division B regroupait des équipes à Saint-Cyprien, Rivière-du-Loup et Kamouraska.
Les Mariniers Pub Saint-Barnabé/Ellipse Assurances après un but. (Photo courtoisie)
Les deux équipes tiendront un camp d’entraînement conjoint dès septembre, à l’issue duquel les entraîneurs répartiront les joueurs selon leurs habiletés.
En raison de l’uniformisation des divisions et des classes entre Hockey Québec et Hockey Canada, le terme junior A sera désormais réservé exclusivement à la Ligue de hockey junior AAA du Québec, comme ailleurs au pays. Les ligues qui évoluaient auparavant dans le calibre junior AA porteront dorénavant le nom de junior B.
Dans ce contexte, les Mariniers évolueront à l’automne dans la Ligue de hockey junior C du Bas-Saint-Laurent, alors que Boulevard Chevrolet prendra part à la division junior D.
Le CISSS du Bas-Saint-Laurent et la Fondation Santé Rimouski ont inauguré, le mercredi 23 juillet en après-midi, une nouvelle terrasse adaptée pour les résidents du Centre d’hébergement de Rimouski (CHSLD) leurs familles et leurs proches.
Cet investissement de 100 000$ de la Fondation Santé Rimouski permet d’offrir un lieu sécuritaire et accessible en toute saison.
« C’est un immense plaisir, cet après-midi, d’inaugurer notre terrasse. Cela faisait déjà quelque temps qu’on travaillait sur
Le CISSS du Bas-Saint-Laurent et la Fondation Santé Rimouski ont inauguré, le mercredi 23 juillet en après-midi, une nouvelle terrasse adaptée pour les résidents du Centre d’hébergement de Rimouski (CHSLD) leurs familles et leurs proches.
Cet investissement de 100 000$ de la Fondation Santé Rimouski permet d’offrir un lieu sécuritaire et accessible en toute saison.
« C’est un immense plaisir, cet après-midi, d’inaugurer notre terrasse. Cela faisait déjà quelque temps qu’on travaillait sur le projet et on ne serait pas arrivé à créer ce beau lieu de rassemblement, pour les résidents, sans notre partenaire, la Fondation Santé Rimouski, qui a financé l’entièreté de la terrasse », indique la gestionnaire du CHSLD de Rimouski, Geneviève Côté-Rioux.
Caroline Pelletier, Gilles Turmel et Geneviève Côté-Rioux, lors de l’inauguration de la terrasse. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
La nouvelle terrasse située dans la cour intérieure du Centre est d’une superficie de 1200 pieds carrés et peut accueillir une cinquantaine de personnes. Sa surface en béton est adaptée à la circulation des personnes à mobilité réduite. Une pergola, du mobilier adapté, des bacs à fleurs et un coin repas complètent l’aménagement de la nouvelle terrasse.
Une résidente du Centre, Marthe Bourque, félicite les personnes qui ont conçu le projet.
« La terrasse va être super pour tous les résidents d’ici. Nous n’avons pas d’endroit où nous asseoir et être bien, alors que la terrasse est belle et agréable. C’est aussi accueillant. Je trouve que c’est complet. Il y a des chaises, il y a de tout. J’espère que les gens vont en profiter, parce qu’ils ont désormais quelque chose de beau. »
La campagne de dons majeurs à l’œuvre
La directrice générale de la Fondation Santé Rimouski, Caroline Pelletier, précise que les fonds qui ont permis la mise en place de ce nouvel espace, proviennent des surplus amassés dans le cadre de la campagne de dons majeurs.
« L’investissement a pu être fait grâce à de généreux donateurs, qui sont fidèles à la Fondation, années après années. Cela nous fait plaisir qu’il existe un endroit où nos ainés peuvent profiter du plein air, en allant à l’extérieur et en participant à des activités », mentionne madame Pelletier.
Elle ajoute que la terrasse est le projet qui a été choisi afin de permettre aux résidents du Centre de sortir prendre l’air.
« On sait que c’est aussi important pour la santé mentale d’aller s’oxygéner et l’espace fait en sorte que des activités peuvent y être organisées à tout moment de l’année. »
Finalement, madame Pelletier confirme qu’un autre projet au CHSLD de Rimouski sera annoncé, normalement d’ici la fin de l’année.
Rappelons que la concrétisation de ce projet, par le CISSS du Bas-Saint-Laurent et la Fondation Santé Rimouski, s’ajoute à l’aménagement l’an dernier d’une autre terrasse située à l’arrière du Centre d’hébergement de Rimouski. La Fondation Santé Rimouski a investi un total de 186 000$ dans ces deux projets.
Quatre entreprises bien établies dans l’industrie du camion lourd, soit Gaspésie Diesel (New Richmond), Centre du Camion JL (Amqui), Carrefour du Camion Saint-Quentin et Carrefour du Camion RDL, confirment leur fusion sous une nouvelle bannière commune : Carrefour du Camion.
Cette union stratégique doit permettre d’offrir un service de proximité encore plus fort à l’échelle de l’Est-du-Québec et du Nouveau-Brunswick.
Les quatre points de service mettent en commun leurs expertises, leurs re
Quatre entreprises bien établies dans l’industrie du camion lourd, soit Gaspésie Diesel (New Richmond), Centre du Camion JL (Amqui), Carrefour du Camion Saint-Quentin et Carrefour du Camion RDL, confirment leur fusion sous une nouvelle bannière commune : Carrefour du Camion.
Cette union stratégique doit permettre d’offrir un service de proximité encore plus fort à l’échelle de l’Est-du-Québec et du Nouveau-Brunswick.
Les quatre points de service mettent en commun leurs expertises, leurs ressources et leur engagement à accompagner les camionneurs et les entreprises du transport, peu importe leur localisation.
« En unissant nos forces sous une seule bannière, on ne fait pas que changer de nom. Carrefour du Camion, c’est le résultat d’une vision partagée, d’années de collaboration entre des équipes d’expérience et d’une volonté commune d’être un vrai partenaire pour ceux qui roulent l’Est-du-Québec au quotidien. On comprend bien les réalités du terrain et on s’engage dans le développement régional », déclare le président du Carrefour du Camion, Gabriel Morin.
Nouvelle bannière, même engagement
Les clients de chaque région retrouveront la même fiabilité qu’ils ont toujours connue, bonifiée par la force du regroupement.
L’entreprise effectue le service de mécanique pour camions lourds, la vente de camions neufs et usagés avec un large inventaire de pièces disponibles.
« Ce regroupement nous donne les moyens d’agir encore plus rapidement pour nos clients. Quand un camion s’immobilise, c’est toute une entreprise qui ralentit. Que ce soit pour une réparation urgente, une pièce difficile à trouver ou l’achat d’un camion prêt à rouler, notre but reste le même : remettre les camionneurs sur la route, le plus vite possible », commente le directeur des opérations, Carrefour du Camion Rivière-du-Loup, Pierre Morin.
Coup de théâtre, en pleine période de vacances le ministère des Richesses naturelles et des Forêts (MRNF) vient de publier les tarifs minimums des baux pour 2026.
Lettre ouverte du Regroupement des locataires de terres publiques du Québec
En bref, le loyer minimum plancher pour d’un bail de villégiature augmentera de 46% soit de 343$ à 500$, et tous les loyers des baux d’abris sommaires augmenteront de 52% soit de 198$ à 300$.
Ainsi, environ 27 000 baux sur les 40 000 baux du Québec se
Coup de théâtre, en pleine période de vacances le ministère des Richesses naturelles et des Forêts (MRNF) vient de publier les tarifs minimums des baux pour 2026.
Lettre ouverte du Regroupement des locataires de terres publiques du Québec
En bref, le loyer minimum plancher pour d’un bail de villégiature augmentera de 46% soit de 343$ à 500$, et tous les loyers des baux d’abris sommaires augmenteront de 52% soit de 198$ à 300$.
Ainsi, environ 27 000 baux sur les 40 000 baux du Québec seront affectés par ces augmentations inacceptables. Les baux qui restent seront indexés.
Mais ce n’est pas tout, si vous vendez votre chalet, la facture du bail augmentera d’environ 23% par rapport à 2025 et les frais passeront de 397$ à 1 213$ !
Avec ce nouveau règlement, le MRNF et les MRC viendront soutirer de votre portefeuille autour de 3,9 millions de dollars annuellement ce qui représente une augmentation de 20% de leurs revenus de location dès 2026.
Limiter l’accès au territoire public
En avez-vous assez! On croirait que le MRNF cherche à limiter l’accès au territoire public pour les moins fortunés de notre société.
Le RLTP a déjà fait part au MRNF que cette proposition est inéquitable et que de telles augmentations sont injustifiables et indéfendables mais rien n’a changé.
Le président du RLTP, Arthur Fortin (Photo courtoisie RLTP)
Voici ce que nous vous proposons en tant que membre et par solidarité.
Que vous soyez ou non touchés par ces augmentations, nous vous demandons de faire parvenir la lettre qui est en pièce jointe au député provincial de votre circonscription AVANT LE 22 AOÛT.