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  • Mont-Joli : encore un mois de travaux
    Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, fait le point sur l’avancement des travaux sur le boulevard Jacques-Cartier qui devraient se poursuivre jusqu’au 25 août. « C’est le gros chantier que nous avons à l’entrée de la Ville. La pose des drains souterrains est maintenant terminée. Le réseau d’aqueduc temporaire a été démantelé la semaine dernière. Nous allons ensuite faire les travaux de bordure et les trottoirs. Les travaux d’asphaltage pourront donc commencer dès le 4 août et s’échelonner jusq
     

Mont-Joli : encore un mois de travaux

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, fait le point sur l’avancement des travaux sur le boulevard Jacques-Cartier qui devraient se poursuivre jusqu’au 25 août.

« C’est le gros chantier que nous avons à l’entrée de la Ville. La pose des drains souterrains est maintenant terminée. Le réseau d’aqueduc temporaire a été démantelé la semaine dernière. Nous allons ensuite faire les travaux de bordure et les trottoirs. Les travaux d’asphaltage pourront donc commencer dès le 4 août et s’échelonner jusqu’au 25 août », précise le maire, qui rappelle que les travaux ont débuté au début juin.

Travaux de 6,2 M$

Rappelons que les travaux en cours consistent à remplacer les conduites souterraines sur une distance de 350 mètres, entre l’avenue Lavoie et l’avenue Poirier, et sur une distance de 355 mètres sur l’avenue Benoît-Quimper.

Les investissements nécessaires pour remettre à niveau ces infrastructures sont de l’ordre de 6,2 M$ et la Ville de Mont-Joli a pu compter sur l’appui du gouvernement du Québec pour subventionner une grande partie de la facture.

« Nous avons aussi utilisé une partie de nos revenus de la TECQ (taxe sur l’essence) », souligne monsieur Soucy.

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo courtoisie)

« On demande aux gens d’être patients pendant les travaux », mentionne le maire.

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  • Volte-face de Québec : est-il trop tard?
    Il aura fallu une levée de boucliers générale pour que le gouvernement Legault entende finalement raison. Devant la grogne généralisée, Québec a annoncé, la semaine dernière, qu’il injectera 540 M$ supplémentaires dans le réseau scolaire pour préserver les services aux élèves. Une volte-face qui soulève une question fondamentale: est-il trop tard? L’opinion de Johanne Fournier J’ai posé la question à une maman du Bic, dont les services sur lesquels pouvait compter son fils seront supprimés
     

Volte-face de Québec : est-il trop tard?

25 juillet 2025 à 15:00

Il aura fallu une levée de boucliers générale pour que le gouvernement Legault entende finalement raison. Devant la grogne généralisée, Québec a annoncé, la semaine dernière, qu’il injectera 540 M$ supplémentaires dans le réseau scolaire pour préserver les services aux élèves. Une volte-face qui soulève une question fondamentale: est-il trop tard?

L’opinion de Johanne Fournier

J’ai posé la question à une maman du Bic, dont les services sur lesquels pouvait compter son fils seront supprimés à la rentrée. La classe de Jeffrey-Lou, dont le personnel était spécialisé dans le trouble du spectre de l’autisme, n’existera plus. « Le ministre a annoncé qu’il ajouterait des millions pour les services aux élèves, convient Marie-Josée Aubin. Mais, le mal est déjà fait: les postes sont déjà supprimés. »

Vent de panique

Rappelons les faits. En mars, le budget 2025-2026 a annoncé des compressions en éducation. En juin, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, a passé une commande aux centres de services scolaires: réduire leurs dépenses de 570 M$.

Le résultat? Un vent de panique a soufflé sur les écoles. Des directions ont imploré Québec de reculer sur ces coupes dévastatrices, sans quoi des services essentiels aux élèves seraient annulés à la rentrée. Les centres de services scolaires ont dû préparer des listes de suppressions qui donnent le vertige: postes d’enseignants, services d’orthopédagogie, aide aux élèves en difficulté, transport scolaire.

Une injection salutaire, mais…

Le recul du gouvernement constitue certes un pas dans la bonne direction. Mais, cette somme de 540 M$ est-elle suffisante? 

La réponse des syndicats est non, car cette injection de dernière minute ne réparera pas les dégâts collatéraux causés par les coupes draconiennes planifiées pendant des mois par les directions d’école: du personnel licencié, des services annulés, des projets éducatifs mis en veilleuse. Peut-on remettre la machine en marche comme si de rien n’était? Personne ne semble y croire.

Problème de gouvernance?

Cette crise révèlerait-elle un problème de gouvernance plus profond? Comment un gouvernement qui clame faire de l’éducation sa priorité peut-il en arriver à menacer les services aux élèves?

(Photo Unsplash.com – crédit : Element5 Digital)

Plus inquiétant encore: comment, avec cette volte-face, arrivera-t-on à résoudre l’équation budgétaire de fond? Si Québec injecte 540 M$, d’où viendra cet argent? Dans un contexte où le Québec nage en plein déficit, cette rallonge budgétaire ne risque-t-elle pas de créer des tensions ailleurs ou de pelleter le problème dans la cour de quelqu’un d’autre?

Pour les acteurs du milieu scolaire, cette façon d’aller de l’avant du gouvernement pour ensuite rétropédaler est épuisante. Ils ont besoin de prévisibilité, de planification à long terme. En éducation comme ailleurs, gouverner, c’est prévoir. Or, à ce chapitre, le ministre de l’Éducation aurait-il une leçon à apprendre?

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  • Des châteaux de sable pour Sainte-Luce
    La municipalité de Sainte-Luce tient demain, le samedi 26 juillet 2025, son concours de Châteaux de sable, présenté par le Navigateur Ste-Luce. L’événement, qui prendra place à la plage de l’Anse-aux-Coques, s’adresse aux petits comme aux grands. Les inscriptions se feront sur place dès 9 h la journée du concours et plusieurs prix sont à gagner, selon deux catégories : adulte et famille. Les prix à remporter Le premier prix de la catégorie adulte est un séjour aux Îles-de-la-Madelein
     

Des châteaux de sable pour Sainte-Luce

25 juillet 2025 à 14:00

La municipalité de Sainte-Luce tient demain, le samedi 26 juillet 2025, son concours de Châteaux de sable, présenté par le Navigateur Ste-Luce.

L’événement, qui prendra place à la plage de l’Anse-aux-Coques, s’adresse aux petits comme aux grands.

Les inscriptions se feront sur place dès 9 h la journée du concours et plusieurs prix sont à gagner, selon deux catégories : adulte et famille.

Les prix à remporter

Le premier prix de la catégorie adulte est un séjour aux Îles-de-la-Madeleine au Navigateur Millerand. Il s’agit d’un prix d’une valeur de 2000 $ offert par le Navigateur Ste-Luce. Le deuxième prix de cette même catégorie est un montant de 600 $ et le troisième est un montant de 300 $.

De magnifiques structures de sable sont réalisées, chaque année, lors du traditionnel concours de châteaux de sable de Sainte-Luce (Photo courtoisie)

Dans la catégorie famille, le premier prix est un montant de 500 $, tandis que le second est un montant de 300 $ et le troisième un montant de 250 $.

Plusieurs prix de participation seront aussi remis.

Notons qu’en cas de pluie, le concours sera remis au lendemain, soit le dimanche 27 juillet.

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  • Chantier de Han-Logement : les échéanciers sont respectés
    Portés par l’organisme Han-Logement, la construction de 32 logements adaptés et abordables pour des personnes en situation de handicap se compléta comme prévu, à la fin de l’été, dans le district Pointe-au-Père à Rimouski. Entamés en août 2024, les travaux effectués par l’entrepreneur général CB4S de Saint-Arsène consistent à l’aménagement de quatre édifices de huit logements sur la rue des Vétérans. Ce projet d’envergure répondra à un besoin criant à Rimouski. « Ils seront adaptés pour
     

Chantier de Han-Logement : les échéanciers sont respectés

25 juillet 2025 à 12:00

Portés par l’organisme Han-Logement, la construction de 32 logements adaptés et abordables pour des personnes en situation de handicap se compléta comme prévu, à la fin de l’été, dans le district Pointe-au-Père à Rimouski.

Entamés en août 2024, les travaux effectués par l’entrepreneur général CB4S de Saint-Arsène consistent à l’aménagement de quatre édifices de huit logements sur la rue des Vétérans. Ce projet d’envergure répondra à un besoin criant à Rimouski.

« Ils seront adaptés pour des personnes en situation de handicap physique, intellectuel, ou vivant avec un trouble du spectre de l’autisme, ainsi qu’à des personnes âgées bénéficiant des adaptations. Chaque logement intégrera 55 adaptations pour optimiser l’accessibilité et le confort de nos locataires », explique la coordinatrice philanthropie et marketing chez Han-Logement, Cindy de Lozzo.

La Ville cède son rang hypothécaire

Pour concrétiser le projet, le conseil municipal de Rimouski a accepté à l’unanimité les termes de l’acte de cession de rang hypothécaire à intervenir entre la Ville de Rimouski et la Société Canadienne d’Hypothèque et de Logement (SCHL) sur le projet d’Han-Logement.

La cession de son rang hypothécaire signifie que la Ville de Rimouski cède sa priorité à la SCHL comme créancier en cas de faillite.

« Le promoteur obtient du financement de divers organismes prêteurs. Dans ce cas-ci, il s’agit de la SCHL. Une des conditions pour qu’ils prêtent de l’argent, c’est d’obtenir la priorité au point de vue hypothécaire. La Ville cède donc son rang hypothécaire pour qu’Han-Logement puisse accéder à du financement », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.

Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo courtoisie UMQ)

Rimouski a aussi donné le terrain à Han-Logement pour permettre la construction des 32 logements abordables.

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  • Des pipelines, des pipelines, toujours des pipelines
    Alors que le Canada prétend vouloir se redéfinir comme superpuissance énergétique, un examen lucide s’impose sur les véritables bénéficiaires de cette stratégie. Pendant ce temps, au Québec, le paysage énergétique est profondément secoué par l’adoption sous bâillon du projet de loi 69, ouvrant la porte à une dénationalisation progressive d’Hydro-Québec en permettant la vente d’électricité d’une compagnie privée à une autre. Une fois de plus, dans la logique implacable des décisions actuelles, c’
     

Des pipelines, des pipelines, toujours des pipelines

25 juillet 2025 à 10:53

Alors que le Canada prétend vouloir se redéfinir comme superpuissance énergétique, un examen lucide s’impose sur les véritables bénéficiaires de cette stratégie. Pendant ce temps, au Québec, le paysage énergétique est profondément secoué par l’adoption sous bâillon du projet de loi 69, ouvrant la porte à une dénationalisation progressive d’Hydro-Québec en permettant la vente d’électricité d’une compagnie privée à une autre. Une fois de plus, dans la logique implacable des décisions actuelles, c’est notre souveraineté, notre démocratie, et, au bout du compte, notre avenir collectif qui risquent d’être sacrifiés.

Le Québec importe la totalité de ses besoins en hydrocarbures du Canada et des États-Unis, dans une proportion d’environ 55 % et 45 %. Inutile de rappeler que l’essentiel des hydrocarbures produits en sol nord-américain est de type non conventionnel, donc plus coûteux, tant sur le plan économique qu’environnemental. Cet or noir est entre les mains, en grande majorité, d’actionnaires préoccupés avant tout par leurs intérêts privés, bien avant toute autre considération sociale ou liée au bien commun.

S’il est un point sur lequel tous ceux qui croient encore à l’importance d’un État souverain peuvent s’entendre, c’est que les ressources naturelles et l’énergie sont des leviers stratégiques fondamentaux pour assurer la souveraineté politique d’un pays.

Globalement, nous en sommes à extraire les dernières réserves de pétrole et de gaz de la planète, à l’image d’un fumeur grattant les mégots dans le cendrier pour une dernière bouffée. Pourtant, nulle remise en question réelle ne semble poindre à l’horizon quant à l’économie capitaliste fondée sur les hydrocarbures.

Technologie « zombie »

En observant la tendance depuis 250 ans, il est permis de croire que la révolution thermo-industrielle pourrait bien se terminer comme elle a commencé : par l’exploitation du charbon. Le système mondialisé, tel qu’on le connaît, se serait probablement déjà effondré en grande partie avant même d’en arriver là. Bref, tout semble aujourd’hui converger vers une accélération effrénée de la croissance ou, du moins, vers le maintien coûte que coûte d’un système reposant sur des technologies et des matériaux que le physicien José Halloy qualifie de « zombies » : des technologies déjà mortes, car dépendantes de ressources non renouvelables, comme le pétrole.

Et ce, malgré la réalité physique, malgré l’urgence climatique, malgré l’érosion de la biodiversité, malgré l’accroissement des inégalités sociales, et malgré la déplétion inexorable des ressources naturelles. Le Canada, sous l’impulsion de son nouveau premier ministre Mark Carney, semble néanmoins vouloir profiter de la tempête australe Trump pour faire du pays une superpuissance énergétique. Think Big!

Projet de loi C-5

Dans sa volonté de « recentraliser » le Canada, en gardant l’esprit extractiviste qui donna naissance à la fédération canadienne, le gouvernement fédéral a adopté sous le bâillon son projet de loi C‑5 contournant ainsi les règles démocratiques habituelles. Ce projet de loi, visant à accélérer l’approbation de grands projets dits nationaux, va donner au gouvernement les outils nécessaires pour rassurer les investisseurs de projets « zombifiés », comme de nouveaux pipelines, par exemple.

Les premiers ministres provinciaux, pour leur part, semblent séduits par ce leadership incarné par Mark Carney. Même François Legault, soudainement, évoque l’existence d’une acceptabilité sociale favorable à l’approbation d’un projet d’oléoduc au Québec. Serait-ce que notre premier ministre caquiste aurait négocié un « deal » en coulisses? Un tuyau en échange d’une ligne de transport électrique dans le cadre du nouvel accord sur Churchill Falls? On peut se poser la question.

Il ne faut pas oublier la forte opposition citoyenne aux projets GNL Québec et Énergie Est, tous deux avortés en territoire québécois. Peu importe les projets de loi adoptés à la hâte ou sous bâillon, la population doit et devra conserver le dernier mot. Car ces projets visent essentiellement à désenclaver la production pétrolière et gazière canadienne pour mieux l’exporter vers les marchés internationaux.

Des pipelines comme projet d’avenir politique et économique pour le Canada… vraiment?

Comme je l’écrivais dans un précédent article : « Alors que l’on tente d’accélérer l’approbation de nouveaux pipelines vers l’Europe et l’Asie, il est légitime de douter de la volonté réelle de favoriser la prospérité des Canadiens. Ces projets semblent surtout servir les intérêts des grandes entreprises et ne s’inscrivent pas dans une volonté de bâtir une économie viable, fondée sur une durabilité forte. »

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  • Début des consultations sur le phoque
    Les consultations publiques dans le cadre des états généraux sur le phoque du Saint-Laurent débutent dans les prochaines semaines. Cette initiative mise en place par le musée marin Exploramer, l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec (ACPIQ) et l’Agence Mamu Innu Kakussesht a pour but de rassembler tous les points de vue, d’en faire découler un consensus pour parler d’une seule voix aux différents paliers des gouvernement. Ainsi, les gens de tous les horizons sont invités à s’in
     

Début des consultations sur le phoque

25 juillet 2025 à 10:00

Les consultations publiques dans le cadre des états généraux sur le phoque du Saint-Laurent débutent dans les prochaines semaines.

Cette initiative mise en place par le musée marin Exploramer, l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec (ACPIQ) et l’Agence Mamu Innu Kakussesht a pour but de rassembler tous les points de vue, d’en faire découler un consensus pour parler d’une seule voix aux différents paliers des gouvernement.

Ainsi, les gens de tous les horizons sont invités à s’inscrire pour participer à l’une des consultations en ligne qui se tiendront les 19, 20 et 26 août en français ainsi qu’en anglais le 27 août.

« Nous voulons la plus grande représentativité possible. Ça inclut les Maritimes. On veut aussi que les communautés autochtones soient là. Il faut aussi que les scientifiques, les chasseurs et que les producteurs de matière première fassent partie de ces consultations » explique Sandra Gauthier, directrice d’Exploramer.

Les aspects qui seront abordés par les trois présidents sont la règlementation, la science et la valorisation de la ressource. Ces présidents sont d’ailleurs des experts dans leur domaine, soit Patrick Vincent, Mike Hammil ainsi que Geneviève Myles. Le tout se fait sous la supervision d’un ancien juge de la Cour Supérieure, Me Robert Pidgeon.

La perception par rapport à la chasse aux phoques a changé au fil des années. Les intervenants œuvrant de près dans le milieu sont d’avis que la règlementation officielle actuelle n’est pas au diapason avec les réalités.

À titre d’exemple, Gil Thériault de l’ACPIQ mentionnait qu’une seule entreprise, la boucherie Côte-à-Côte aux Îles-de-la-Madeleine a le droit de commercialiser le phoque au Québec.

« Elle aurait de la demande pour 3 000 phoques annuellement, alors qu’elle n’a accès qu’à 800 bêtes. »

Sandra Gauthier va un peu plus loin quant à la perception vis-à-vis la chasse aux phoques.

« On veut entendre tous les discours incluant ceux qui sont davantage animalistes. Leurs données sont importantes pour la discussion. D’ailleurs c’est grâce à eux si on ne chasse plus le blanchon au Québec. C’est aussi grâce à eux si on ne chasse plus le phoque pour la fourrure. Toutefois, aujourd’hui, c’est davantage pour la viande qu’on chasse le phoque. On utilise aussi la graisse pour faire de l’Oméga-3. On sert de l’entièreté de la carcasse. Les choses ont donc beaucoup changé au fil du temps. »

Accompagner le gouvernement

Selon la perception de Sandra Gauthier, les états généraux sur le phoque du Saint-Laurent permettront d’adopter des résolutions claires qui seront présentées aux gouvernements, autant du Québec que du Canada. « C’est un sujet qui est délicat, mais on sent que le gouvernement est prêt à faire avancer le dossier. Ces états généraux sont réalisés pour trouver un consensus. »

Le phoque est en quantité importante dans le Saint-Laurent. (Photo Archives – Stéphane Quintin)

Lorsque le processus sera terminé, les trois présidents compileront les informations reçues dans les consultations publiques et les mémoires et émettront des recommandations préliminaires.

C’est lors d’une ultime assemblée qui se tiendra à Matane en novembre que des résolutions seront adoptées.

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  • Sécurité nautique : la SQ tient une opération nationale
    La Sûreté du Québec intensifiera ses interventions, ce samedi 26 et ce dimanche 27 juillet, dans le cadre d’une opération nationale en sécurité nautique. Elle vise les comportements des plaisanciers qui contribuent à mettre leur propre sécurité et celle des autres en danger. Au cours de cette fin de semaine, les policiers réaliseront diverses interventions auprès de la clientèle nautique autant à quai que sur les plans d’eau. Des interventions en matière de capacités affaiblies par le
     

Sécurité nautique : la SQ tient une opération nationale

25 juillet 2025 à 09:00

La Sûreté du Québec intensifiera ses interventions, ce samedi 26 et ce dimanche 27 juillet, dans le cadre d’une opération nationale en sécurité nautique.

Elle vise les comportements des plaisanciers qui contribuent à mettre leur propre sécurité et celle des autres en danger.

Au cours de cette fin de semaine, les policiers réaliseront diverses interventions auprès de la clientèle nautique autant à quai que sur les plans d’eau.

Des interventions en matière de capacités affaiblies par les drogues et/ou l’alcool seront aussi effectuées sur la route lors du retour à la maison.

« À quai, sur les plans d’eau, comme sur la route, l’achalandage ne cesse d’augmenter. Dans la majeure partie des collisions, chavirements et noyades, le comportement humain est un facteur important. Connaître son embarcation et se familiariser avec ses équipements lors d’activités nautiques peut éviter des situations déplorables dues à l’inexpérience », indique la SQ dans un communiqué.

Pour de plus amples informations sur les conseils et règles en matière de sécurité nautique, consultez le guide de sécurité nautique au : https://tc.canada.ca/sites/default/files/migrated/tp_511f.pdf

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  • Les entreprises délaissent Postes Canada
    Alors que les conflits de travail et les grèves assombrissent le ciel de Postes Canada, les entreprises se tournent de plus en plus vers des solutions alternatives pour leurs besoins de livraison. La Fédération canadienne des entreprises indépendantes a mené une étude auprès de 2 317 commerces afin de déterminer l’impact des ruptures de services chez Postes Canada. Le sondage s’est tenu au cours des mois de juin et juillet. À la lumière des réponses obtenues, il est révélé que quatre PME s
     

Les entreprises délaissent Postes Canada

25 juillet 2025 à 08:00

Alors que les conflits de travail et les grèves assombrissent le ciel de Postes Canada, les entreprises se tournent de plus en plus vers des solutions alternatives pour leurs besoins de livraison.

La Fédération canadienne des entreprises indépendantes a mené une étude auprès de 2 317 commerces afin de déterminer l’impact des ruptures de services chez Postes Canada. Le sondage s’est tenu au cours des mois de juin et juillet.

À la lumière des réponses obtenues, il est révélé que quatre PME sur cinq utilisent toujours les services de Postes Canada, mais que la grève de 2024, a provoqué certains changements d’habitude. Le sondage indique que 55 % des répondants font moins appel à Postes Canada depuis la dernière grève.

On y apprend que le courrier régulier tel des chèques ou papiers administratifs sont toujours envoyés par Postes Canada alors que les colis sont davantage confiés à des entreprises privées comme FedEx ou Purolator. Toutefois, l’incertitude face aux services de Postes Canada ont poussé certaines entreprises à se tourner vers le courrier numérique.

D’ailleurs, une nouvelle grève pousserait 67 % des petites et moyennes entreprises à délaisser Postes Canada au profit d’une solution plus fiable. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’à peine une entreprise sur cinq estime que Postes Canada est un service essentiel.

Les 53 000 membres de Postes Canada pourraient déclencher une nouvelle grève au moment qu’ils jugeront opportun lorsque le vote sur les offres patronales sera conclu. La date butoir imposée est le 1er août. Rappelons qu’en 2024, une grève avait paralysé la livraison du courrier pendant un mois. Lors du retour au travail, il avait fallu plusieurs semaines avant de rattraper le temps perdu.

Hier — 24 juillet 2025Flux importants
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  • Richard Z. Sirois se souvient d’Ozzy Osbourne
    Le populaire animateur radio et humoriste, Richard Z. Sirois, est un grand amateur de musique. Parmi les artistes qui l’ont marqué, Ozzy Osbourne fait inévitablement partie du lot. Le légendaire chanteur de Black Sabbath ou en solo, surnommé le « Prince des ténèbres », est mort le 22 juillet dernier à l’âge de 76 ans. Richard Z. Sirois est un grand amateur de Black Sabbath. Il leur attribue pratiquement l’invention du heavy métal. Pour lui, le premier album du groupe d’Ozzy Osbourne r
     

Richard Z. Sirois se souvient d’Ozzy Osbourne

24 juillet 2025 à 19:00

Le populaire animateur radio et humoriste, Richard Z. Sirois, est un grand amateur de musique. Parmi les artistes qui l’ont marqué, Ozzy Osbourne fait inévitablement partie du lot.

Le légendaire chanteur de Black Sabbath ou en solo, surnommé le « Prince des ténèbres », est mort le 22 juillet dernier à l’âge de 76 ans.

Richard Z. Sirois est un grand amateur de Black Sabbath. Il leur attribue pratiquement l’invention du heavy métal.

Pour lui, le premier album du groupe d’Ozzy Osbourne revêt, pour le style, la même importance que Nevermind de Nirvana pour le grunge et Never mind the bollocks, de Sex Pistols, pour le punk.

C’est à 14 ans que Richard Z. Sirois a découvert Black Sabbath.  

« À cet âge-là, on est tous un peu rebelles et Black Sabbath arrivait avec un son lourd et très différent de ce qu’on connaissait. Déjà la pochette annonçait ce qui se retrouvait à l’intérieur. D’ailleurs, l’album commence avec du tonnerre et la voix d’outre-tombe d’Ozzy Osbourne. »

Sombre et diabolique

Le côté sombre et diabolique rempli de messages voilés qui déplaisaient aux parents était une raison supplémentaire pour adopter le groupe qui tire d’ailleurs son nom d’un film d’horreur de l’époque.  

« J’ai pu voir Black Sabbath à la place des Nations à Montréal en 1971 pour la modique somme de deux dollars. Ozzy, c’est un des personnages les plus fascinants de l’histoire du rock. Il a passé à travers toutes les surdoses de drogues et d’alcool et subi des accidents puis en est ressorti très diminué physiquement. Malgré tout, il continuait de monter sur scène car c’est là qu’il était le plus heureux » , ajoute l’animateur radio.

Ozzy Osbourne est décédé le 22 juillet dernier à l’âge de 76 ans. (Photo Getty Images)

Évidemment, la musique de Black Sabbath a tourné beaucoup à la maison. À l’aube des 16 ans de son fils Émile, Richard Z. Sirois lui a demandé ce qu’il souhaitait pour son anniversaire. « Il m’a répondu qu’il voulait voir un spectacle de Black Sabbath. Je savais alors que j’avais réussi son éducation », rigole-t-il.

Les présences sur scène d’Ozzy Osbourne étaient toujours ressenties.

« Lorsque je l’ai vu pour la dernière fois en spectacle avec mon fils il y a neuf ans, on voyait déjà qu’il avait de la misère. Il tenait à peine debout. Mais il a toujours eu un don pour manipuler la foule à sa guise et son charisme était légendaire » , ajoute Richard Z. Sirois.

L’héritage d’Ozzy

Le dernier show de Black Sabbath à peine quelques semaines avant le décès d’Ozzy est fort représentatif de l’influence du groupe sur tout ce qui a découlé dans le rock au fil des années.

« Tout le monde était présent. Sa famille au complet, ses amis et tous les membres du groupe incluant le batteur original qu’on n’avait pas vu depuis très longtemps », souligne Richard Z. Sirois.

Des fleurs et des bougies autour de l’étoile d’Ozzy Osbourne sur le célèbre « Hollywood Walk of Fame » (Photo AFP)

D’ailleurs, de nombreux groupes étaient aussi de la représentation, dont Metallica, Alice in chains et Pantera.

Ce spectacle est, selon Richard, le chant du cygne d’Ozzy Osbourne qui aura pu monter une dernière fois sur scène, avec la même voix d’outre-tombe même si le corps ne suivait plus. « Ozzy Osbourne, c’est la naissance du heavy métal. C’est un son qui transcende les générations. »

« Nécrologiste musical »

L’ex-membre du groupe humoristique RBO anime Les Grands bazous, une émission 100 % musicale diffusée sur toutes les stations O du réseau Arsenal, du lundi au vendredi de midi à 13 h. Les classiques du rock sont au cœur de cette émission.

Le sympathique animateur a aussi écrit le livre « Le vinyle de l’insomniaque », en 2022, où il relate des tranches de vie liées à des souvenirs musicaux.

Devenu une véritable encyclopédie au fil du temps, Richard Z. est souvent sollicité dans les médias lors du décès d’un chanteur ou d’un groupe, inspirant son fils à lui donner le surnom de « nécrologiste musical ».

On peut aussi suivre Richard Z. Sirois et son acolyte Maude Emie Sirois dans leurs capsules humoristiques « On décroche », diffusées sur NousTV, ainsi que sur la page Facebook et la chaîne YouTube. On voit le duo qui va à la rencontre de gens d’ici et fait découvrir des lieux de La Matanie.

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  • Impacts de Costco : Rimouski tend l’oreille aux commerçants
    Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, sort satisfait de sa rencontre de mercredi (23 juillet) avec le maire de Rimouski, Guy Caron. Il estime que la Ville a fait preuve d’ouverture pour deux dossiers chers aux commerçants : le stationnement et l’affichage. Dix mois après le dépôt d’un rapport de gens d’affaires mandatés pour recommander des mesures afin d’atténuer les impacts liés à l’ouverture de Costco, monsieur Caron a mentionné mard
     

Impacts de Costco : Rimouski tend l’oreille aux commerçants

Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, sort satisfait de sa rencontre de mercredi (23 juillet) avec le maire de Rimouski, Guy Caron. Il estime que la Ville a fait preuve d’ouverture pour deux dossiers chers aux commerçants : le stationnement et l’affichage.

Dix mois après le dépôt d’un rapport de gens d’affaires mandatés pour recommander des mesures afin d’atténuer les impacts liés à l’ouverture de Costco, monsieur Caron a mentionné mardi (22 juillet), au Soir.ca, que la Ville avait fait ses devoirs.

Parmi les idées évoquées, monsieur St-Pierre indique que la Ville se montre réceptive à la demande d’augmenter la période de gratuité du stationnement à 30 minutes à Rimouski.

« C’est un dossier que la nouvelle ressource que nous allons embaucher à l’automne suivra en collaboration avec le service de développement économique de la Ville », explique-t-il.

Le coprésident souhaite également que l’ouverture de Costco devienne un levier touristique.

« Pour profiter de l’achalandage généré par le nouveau commerce, nous demandons qu’un affichage rapide soit mis en place afin d’inciter les visiteurs à descendre la montée Industrielle-et-Commerciale pour découvrir le centre-ville. On veut que ce soit fait rapidement », insiste Simon St-Pierre.

Vitrine à bâtir

La Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette espère que des actions concrètes pourront être mises en place dans les prochaines semaines.

« Il faut rapidement installer une signalisation claire pour informer les gens que le centre-ville élargi regorge de commerces attrayants : boutiques, restaurants, épiceries fines, produits du terroir, vêtements uniques. L’affichage électronique demande plus de temps, car il nécessite des modifications réglementaires, mais on peut débuter avec un tableau statique pour montrer que notre ville mérite le détour. »

La traverse piétonnière de la rue Saint-Germain Ouest, au centre-ville de Rimouski. (Photo Le Soir.ca)

Un des premiers mandats de la nouvelle direction de la Chambre sera de créer une carte interactive en collaboration avec la Ville.

« On veut un outil simple et accessible pour les visiteurs, qui pourrait proposer des parcours gourmands alliant restaurants, poissonneries, chocolateries ou pâtisseries. Ce genre d’expérience existe à Toronto, et permet aux gens de l’extérieur de découvrir les saveurs locales », mentionne monsieur St-Pierre.

Communication défaillante

Le coprésident de la Chambre déplore une mauvaise communication dans le dossier.

« Nous avions présenté nos recommandations au maire et aux élus en comité plénier. On nous avait dit qu’on nous reviendrait, mais le conseil d’administration n’a jamais eu de suivi. Ce qu’on a appris, c’est que des réponses avaient plutôt été données à Jean-Nicolas Marchand (l’ancien directeur général de la Chambre, congédié pour des présomptions de fraude). Il nous disait que le rapport allait être tabletté, alors que ce n’était pas le cas. La pression des dernières semaines nous a permis d’obtenir cette rencontre constructive. »

Un magasin-entrepôt Costco (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Il admet que le congédiement de son directeur général et les problèmes à la SOPER ont ralenti certains projets.

« Nous avions des collaborations en cours avec la SOPER en lien avec Costco. Tout est tombé à l’eau après leur départ. »

La Ville veut aller de l’avant

Comme le mentionnait le maire Guy Caron mardi, au Soir.ca, la Ville assure avoir pris connaissance des 15 recommandations du comité de gens d’affaires.

« Certaines relèvent de notre juridiction, d’autres non. Le stationnement au centre-ville est un enjeu sur lequel nous travaillons. Le plan particulier d’urbanisme, qui entrera en vigueur l’an prochain, abordera cette question. D’ici là, certaines mesures pourront être mises en œuvre », a indiqué monsieur Caron.

15 recommandations à la Ville de Rimouski

  • Création d’un outil technologique centralisé portable intégrant une composante d’intelligence artificielle
  • Mettre en place, pour les entreprises de Rimouski, un véhicule facilitateur d’émission d’incitatifs financiers ou des rabais individuels ou collectifs
  • Offrir aux commerçants du centre-ville une opportunité d’affichage promotionnel pour les personnes qui arrivent par l’autoroute 20 pour les attirer vers le centre-ville
  • Jumeler l’achat de publicité par les commerçants et par la Ville de Rimouski puisqu’il s’agit de promouvoir son centre-ville
  • Faciliter l’orientation et le mouvement des personnes au centre-ville par l’implantation et le développement d’une politique signalétique municipale
  • Proposer un accompagnement individuel, par une firme marketing, rendu abordable par un financement gouvernemental provincial. Cet accompagnement permet un diagnostic organisationnel personnalisé, une analyse stratégique des opportunités et besoins ainsi que des recommandations marketing
  • Organiser une série de panels thématiques comprenant entrepreneurs, organisations structurantes et autres joueurs clés expérimentés dans ce type de défi
  • Implanter rapidement un système de paiement de stationnement simplifié et uniformisé dans tout le centre-ville
  • Faire passer la période gratuite des 15 premières minutes aux 30 premières minutes de stationnement tout en permettant des déplacements lors de cette période
  • Garantir le nombre actuel de stationnements au centre-ville
  • Créer un événement hivernal sur la rue Saint-Germain Ouest, qui ne concurrence pas les Terrasses Cogeco, l’été, sur Saint-Germain Est
  • Décorer davantage le centre-ville pour la saison hivernale et distribuer des décorations aux commerçants
  • Garantir la construction d’un nombre de logements suffisant pour répondre à l’augmentation de la demande de main-d’œuvre générée par l’ajout de commerces importants
  • Assurer une offre de services de francisation pour les travailleurs internationaux correspondant aux besoins de main-d’œuvre supplémentaire
  • Intégrer des éléments liés aux conditions de travail, à la gestion d’équipe et à la rétention de la main-d’oeuvre dans l’accompagnement proposé aux entrepreneurs pour mieux répondre aux besoins très variables des employeurs de Rimouski.
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  • Arcades : le jeu commence au Centre Vézina
    Le Salon de quilles Vézina a récemment procédé à l’ouverture officielle de sa nouvelle section d’arcades, marquant leur retour à Rimouski après plusieurs années de tentatives infructueuses. Cette section du Salon de quilles porte le nom de Centre d’amusement Vézina, sur la montée Industrielle-et-Commerciale. Depuis que l’établissement opère à son endroit actuel, la Ville de Rimouski avait toujours refusé que des arcades y soient aménagées. « C’était toujours un non catégorique. Il y a cinq
     

Arcades : le jeu commence au Centre Vézina

24 juillet 2025 à 17:00

Le Salon de quilles Vézina a récemment procédé à l’ouverture officielle de sa nouvelle section d’arcades, marquant leur retour à Rimouski après plusieurs années de tentatives infructueuses.

Cette section du Salon de quilles porte le nom de Centre d’amusement Vézina, sur la montée Industrielle-et-Commerciale. Depuis que l’établissement opère à son endroit actuel, la Ville de Rimouski avait toujours refusé que des arcades y soient aménagées.

« C’était toujours un non catégorique. Il y a cinq ans, nous avons fait l’acquisition d’une section au nord. Nous avons retenté d’avoir l’accord de la Ville, mais encore une fois, c’était un non catégorique. Finalement, ce qui a permis d’avoir une certaine ouverture de la part de la Ville, c’est probablement la venue du Salon de jeux au Centre des congrès de Rimouski », raconte l’un des copropriétaires, Frédéric Vézina, en compagnie de son père Florent et son frère Nicolas.

Une offre qui pourrait évoluer

L’ouverture du 18 juillet était donc l’aboutissement d’un long processus.

« Nous avons voulu attendre le plus longtemps possible, car il nous manque encore quatre machines, en provenance de gros vendeurs », précise monsieur Vézina.

(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)

Lorsque toutes seront arrivées à bon port, les usagers pourront choisir entre 34 jeux d’arcades.

« Il pourrait y avoir des modifications, par exemple si on voit qu’il y a des machines qui ne fonctionnent pas, on pourrait les retirer pour en mettre une autre. Si on retire une machine qui prenait beaucoup de place, il est possible qu’on soit en mesure d’en mettre deux pour la remplacer. C’est pour ça que notre offre devrait évoluer dans les prochains mois et les prochaines années. »

Connaitre le marché à Rimouski

Sachant que les arcades étaient disparues du paysage rimouskois depuis plusieurs années, Frédéric Vézina explique avoir usé de ses contacts dans le milieu du divertissement afin de magasiner des machines appropriées.

« Je travaille à l’extérieur et cela fait 27 ans que je construis des salons de quilles à la grandeur du Canada. J’ai vu beaucoup de salons de quilles qui ont déjà des machines, alors en parlant avec les propriétaires des établissements, j’ai pu me renseigner sur les compagnies et leurs distributeurs. »

Il demeure cependant que les recommandations n’ont pas été éprouvées en sol rimouskois.

(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)

« Une bonne machine pour Montréal peut en être une mauvaise à Rimouski et vice-versa. Même qu’une machine qui est populaire à Rimouski pourrait ne pas convenir à Matane. C’est ce qu’on m’a expliqué, alors c’est un peu de l’essai-erreur. Au début, on met moins de machines, puis on ajuste selon l’évolution de la situation. »

Il estime qu’entre 20 % et 30 % de ses machines peuvent être utilisées par des usagers de trois ans et plus.

5 000 pieds carrés

En janvier, Le Soir.ca avait dévoilé le désir du Salon de quilles Vézina d’investir dans un agrandissement, comprenant une salle de jeux et quatre allées de mini quilles, pour faire de l’établissement le plus important centre récréatif dans l’Est-du-Québec.

Finalement, la famille Vézina a injecté 2 M$ dans le projet, dont 600 000$ dans l’achat des jeux d’arcades dans un nouvel espace de 5 000 pieds carrés.

(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)

En juin, la Ville de Rimouski a adopté le règlement final pour permettre le retour des arcades dans un établissement licencié sur son territoire. Elles étaient interdites sur le territoire depuis le printemps 2000.

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  • Le jeu des arcades commence au Salon Vézina
    Le Salon de quilles Vézina a récemment procédé à l’ouverture officielle de sa nouvelle section d’arcades, marquant leur retour à Rimouski après plusieurs années de tentatives infructueuses. Cette section du Salon de quilles porte le nom de Centre d’amusement Vézina. Depuis que l’établissement opère à son endroit actuel, la Ville de Rimouski avait toujours refusé que des arcades y soient aménagées. « C’était toujours un non catégorique. Il y a cinq ans, nous avons fait l’acquisition d’une s
     

Le jeu des arcades commence au Salon Vézina

24 juillet 2025 à 17:00

Le Salon de quilles Vézina a récemment procédé à l’ouverture officielle de sa nouvelle section d’arcades, marquant leur retour à Rimouski après plusieurs années de tentatives infructueuses.

Cette section du Salon de quilles porte le nom de Centre d’amusement Vézina. Depuis que l’établissement opère à son endroit actuel, la Ville de Rimouski avait toujours refusé que des arcades y soient aménagées.

« C’était toujours un non catégorique. Il y a cinq ans, nous avons fait l’acquisition d’une section au nord. Nous avons retenté d’avoir l’accord de la Ville, mais encore une fois, c’était un non catégorique. Finalement, ce qui a permis d’avoir une certaine ouverture de la part de la Ville, c’est probablement la venue du Salon de jeux au Centre des congrès de Rimouski », raconte l’un de ses copropriétaires et gestionnaire principal depuis 2019, Frédéric Vézina, en compagnie de son père Florent et son frère Nicolas.

Une offre qui pourrait évoluer

Depuis que l’annonce de l’arrivée prochaine d’un Salon de jeux de Loto-Québec, l’automne dernier, monsieur Vézina a réitéré l’intérêt de son entreprise à avoir une section de jeux d’arcades entre ses murs.

L’ouverture du 18 juillet était donc l’aboutissement d’un long processus.

« Nous avons voulu attendre le plus longtemps possible, car il nous manque encore quatre machines, en provenance de gros vendeurs », précise Frédéric Vézina.

(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)

Lorsque toutes seront arrivées à bon port, les usagers pourront choisir entre 34 jeux d’arcades.

« Il pourrait y avoir des modifications, par exemple si on voit qu’il y a des machines qui ne fonctionnent pas, on pourrait les retirer pour en mettre une autre. Si on retire une machine qui prenait beaucoup de place, il est possible qu’on soit en mesure d’en mettre deux pour la remplacer. C’est pour ça que notre offre devrait évoluer avec le temps, dans les prochains mois et les prochaines années. »

Connaitre le marché à Rimouski

Sachant que les arcades étaient disparues du paysage rimouskois depuis plusieurs années, Frédéric Vézina explique avoir usé de ses contacts dans le milieu du divertissement afin de magasiner des machines appropriées.

« Je travaille à l’extérieur et cela fait 27 ans que je construis des salons de quilles à la grandeur du Canada. J’ai vu beaucoup de salons de quilles qui ont déjà des machines, alors en parlant avec les propriétaires des établissements, j’ai pu me renseigner sur les compagnies et leurs distributeurs. »

Il demeure cependant que les recommandations n’ont pas été éprouvées en sol rimouskois.

(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)

« Une bonne machine pour Montréal peut en être une mauvaise à Rimouski et vice-versa. Même qu’une machine qui est populaire à Rimouski pourrait ne pas convenir à Matane. C’est ce qu’on m’a expliqué, alors c’est un peu de l’essai-erreur. Au début, on met moins de machines, puis on ajuste selon l’évolution de la situation. »

Il estime qu’entre 20 % et 30 % de ses machines peuvent être utilisées par des usagers de trois ans et plus.

5 000 pieds carrés

En janvier, Le Soir.ca avait dévoilé le désir du Salon de quilles Vézina d’investir dans un agrandissement, comprenant une salle de jeux et quatre allées de mini quilles, pour faire de l’établissement le plus important centre récréatif dans l’Est-du-Québec.

Finalement, la famille Vézina a injecté 2 M$ dans le projet, dont 600 000$ dans l’achat des jeux d’arcades dans un nouvel espace de 5 000 pieds carrés.

(Photo courtoisie – Salon de quilles Vézina)

En juin, la Ville de Rimouski a adopté le règlement final pour permettre le retour des arcades dans un établissement licencié sur son territoire. Elles étaient interdites sur le territoire depuis le printemps 2000.

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  • Quoi faire aux Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai?
    Pour sa troisième semaine d’activités en 2025, les Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai proposent musique, animation et danse au menu de sa programmation. Troisième semaine – Vendredi 25 juillet au jeudi 31 août Vendredi 25 juillet 2025 11 h à 20 h Calie et Hoya Atelier Halte Artisans Puribec Boîte musicale Méga Scène 16 h – Animation en direct avec Dany (Présenté par FLO 96,5 FM) 20 h – Danse dans la rue (École de danse Quatre Temps) Samedi 26 juillet 2025 (Fin de sem
     

Quoi faire aux Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai?

24 juillet 2025 à 16:00

Pour sa troisième semaine d’activités en 2025, les Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai proposent musique, animation et danse au menu de sa programmation.

Troisième semaine – Vendredi 25 juillet au jeudi 31 août

  • Vendredi 25 juillet 2025
    • 11 h à 20 h
      • Calie et Hoya Atelier
      • Halte Artisans Puribec
    • Boîte musicale Méga Scène
      • 16 h – Animation en direct avec Dany (Présenté par FLO 96,5 FM)
      • 20 h – Danse dans la rue (École de danse Quatre Temps)
  • Samedi 26 juillet 2025 (Fin de semaine de la famille, présentée par Desjardins)
    • 11 h à 20 h
      • Calie et Hoya Atelier
      • Halte Artisans Puribec
    • 13 h 30
      • La Fée Binette | Maquillage
      • Halte Urbaine Via Capitale Horizon
    • 13 h 30 à 16 h Party Mousse Hawaïenne (Au coin de la rue Belzile)
      • Glissade gonflable
      • Présence d’Abibeille, mascotte Desjardins
    • Boîte musicale Méga Scène
      • 13 h 30 – Mini-Cyclone – Initiation au vélo (Rimouski Ville Cyclable)
      • 16 h – CardioDanse | Thématique Familiale
      • 17 h 30 – CardioDanse | Thématique Latino
      • 20 h – Joelle Robichaud, autrice, compositrice, interprète, prestation musicale
  • Dimanche 27 juillet 2025 (Fin de semaine de la famille, présentée par Desjardins)
    • 11 h à 20 h
      • Calie et Hoya Atelier
      • Halte Artisans Puribec
    • 13 h 30 à 16 h 30
      • La Fée Binette | Maquillage
      • Halte Urbaine Via Capitale Horizon
    • 13 h 30 à 16 h 30 – Le Défi Interactif BUNKER IPS
    • 13 h 30
      • Atelier de dessin
      • Halte Via Capitale Horizon
    • Boîte musicale Méga Scène
      • 13 h 30 à 16 h 30 – Bingo familial gratuit (Présenté par FLO 96,5 FM)
  • Lundi 28 juillet 2025
  • Mardi 29 juillet 2025
  • Mercredi 30 juillet 2025
    • 11 h à 20 h
      • POGARTS | Francis Soucy
      • Halte Artisans Puribec
    • 17 h
      • Saisons | Les 5 à l’Angélus (Place du 6-mai-1950)
    • Boîte musicale Méga Scène
      • 17 h 30 – Danse dans la rue (École de danse Quatre Temps)
  • Jeudi 31 juillet 2025
    • 11 h à 20 h
      • POGARTS | Francis Soucy
      • Halte Artisans Puribec
    • 16 h
      • Kiosque de sensibilisation à l’interculturalité (Présenté par AIBSL)
    • Boîte musicale Méga Scène
      • 15 h 30  – Danse dans la rue, troupe des 4 à 9 ans (École de danse Quatre Temps)
      • 16 h – Houblon-sur-Rue, dégustation de bières (microbrasseries L’Octant et Le Bien le Malt)

Informations supplémentaires

La programmation des Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai est en constante évolution et des événements peuvent y être ajoutés. Des changements peuvent aussi y être faits, sans préavis.

(Photo courtoisie Ville de Rimouski)

Il est recommandé de suivre l’organisation des Terrasses Urbaines Rimouski Hyundai sur les réseaux sociaux pour des mises à jour régulières.

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  • Incendie et explosion au camping de La Martre
    Un incendie et une explosion se sont déclarés dans une roulotte au Camping Rivière La Martre, le 24 juillet, causant une perte totale du véhicule récréatif. L’incident, qui n’a pas fait de blessé, a mobilisé les services d’incendie de Marsoui et de Sainte-Anne-des-Monts. Ayant aperçu « une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs » depuis sa résidence, le maire de La Martre s’est précipité sur les lieux avec deux employés municipaux. Selon Yves Sohier, le sinistre a débuté dans le
     

Incendie et explosion au camping de La Martre

24 juillet 2025 à 15:00

Un incendie et une explosion se sont déclarés dans une roulotte au Camping Rivière La Martre, le 24 juillet, causant une perte totale du véhicule récréatif. L’incident, qui n’a pas fait de blessé, a mobilisé les services d’incendie de Marsoui et de Sainte-Anne-des-Monts.

Ayant aperçu « une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs » depuis sa résidence, le maire de La Martre s’est précipité sur les lieux avec deux employés municipaux.

Selon Yves Sohier, le sinistre a débuté dans le panneau électrique situé dans la salle de toilette d’une roulotte installée sur le terrain de camping.

« Le propriétaire est sorti à la course », témoigne-t-il.

Scène spectaculaire

Les flammes se sont rapidement propagées à l’ensemble du véhicule récréatif. La situation s’est compliquée lorsque les bouteilles de propane ont explosé, créant une scène à la fois spectaculaire et inquiétante.

« C’était très impressionnant, relate M. Sohier. La première bouteille de propane qui a explosé se vidait par coup et ça faisait un bruit vraiment intense. »

Ayant aperçu «une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs» depuis sa résidence, le maire de La Martre, Yves Sohier, s’est précipité sur les lieux. (Photo courtoisie Yves Sohier)

Dans un geste téméraire, un campeur s’est aventuré à proximité du brasier pour retirer la bouteille de propane de sa tente-roulotte située à environ 20 pieds (6 mètres) du feu. «C’était, quant à moi, très dangereux», fait savoir l’élu.

Pompiers et campeurs très réactifs

Les pompiers de Marsoui, premiers arrivés sur les lieux en raison de leur proximité, ont été rapidement rejoints par leurs collègues de Sainte-Anne-des-Monts ainsi que par des policiers de la Sûreté du Québec (SQ).

Une dizaine de pompiers ont participé aux opérations qui ont duré près d’une heure. Trois camions de pompiers et deux autopatrouilles de la SQ ont convergé vers le lieu du sinistre.

Selon le corps policier, le brasier a été maîtrisé vers 12h15.

Grâce à la réactivité des campeurs et des premiers intervenants, les dégâts ont pu être limités. Tous les véhicules et motocyclettes stationnés aux alentours ont été déplacés par leurs propriétaires avant que les flammes ne les atteignent.

Des structures avoisinantes ont été épargnées, dont la tente-roulotte située à proximité. Mais, elles ont « probablement chauffé un peu », selon le maire Sohier.

Seul un abri-moustiquaire pourrait possiblement avoir subi des dommages, soupçonne-t-il. 

Le propriétaire de la roulotte, qui serait un ancien résident de La Martre qui était en visite, a tout perdu dans le sinistre.

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  • Un nouveau cabinet d’avocats s’installe à Rimouski
    Un nouveau cabinet d’avocats ouvrira ses portes, ce lundi 28 juillet, tout juste devant le palais de justice de Rimouski. La firme Juriseo Avocats de Terrebonne s’installera au 180, avenue de la Cathédrale, au bureau 220, afin de couvrir la région du Bas-Saint-Laurent. Me Céleste Anctil, avocate chez Juriseo depuis 2021, sera responsable du nouveau bureau. Originaire de Saint-Mathieu-de-Rioux, elle revient dans sa région natale pour offrir un accompagnement juridique à la clientèle. Civ
     

Un nouveau cabinet d’avocats s’installe à Rimouski

Un nouveau cabinet d’avocats ouvrira ses portes, ce lundi 28 juillet, tout juste devant le palais de justice de Rimouski.

La firme Juriseo Avocats de Terrebonne s’installera au 180, avenue de la Cathédrale, au bureau 220, afin de couvrir la région du Bas-Saint-Laurent.

Me Céleste Anctil, avocate chez Juriseo depuis 2021, sera responsable du nouveau bureau. Originaire de Saint-Mathieu-de-Rioux, elle revient dans sa région natale pour offrir un accompagnement juridique à la clientèle.

Civil, immobilier et construction

Me Anctil a amorcé sa carrière comme stagiaire chez Juriseo Avocats, avant d’être officiellement embauchée comme avocate en 2021.

Depuis, elle a plaidé dans plusieurs dossiers hautement contestés devant la Cour du Québec, la Cour supérieure et même la Cour d’appel du Québec.

Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Me Céleste Anctil concentre sa pratique dans les domaines du litige civil, du droit immobilier et du droit de la construction.

« Son écoute, sa capacité de vulgarisation et son approche humaine en font également une alliée précieuse dans les dossiers plus sensibles, notamment en matière de droit de la personne », mentionne-t-on.

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  • Autre projet de logements sur la rue Saint-Germain Est
    L’entreprise Immeubles DTM Inc. souhaite construite un bâtiment résidentiel de 15 logements sur le site du 266, rue Saint-Germain Est à Rimouski. Le projet nécessitant l’adoption d’un Projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) par le conseil municipal, parce qu’il contrevient à certaines normes du règlement d’urbanisme. Après la séance de consultation publique tenue le 17 juillet dernier, les élus ont adopté, aux fins d’approbation référenda
     

Autre projet de logements sur la rue Saint-Germain Est

L’entreprise Immeubles DTM Inc. souhaite construite un bâtiment résidentiel de 15 logements sur le site du 266, rue Saint-Germain Est à Rimouski.

Le projet nécessitant l’adoption d’un Projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) par le conseil municipal, parce qu’il contrevient à certaines normes du règlement d’urbanisme.

Après la séance de consultation publique tenue le 17 juillet dernier, les élus ont adopté, aux fins d’approbation référendaire, le second projet de résolution en vue d’approuver le PPCMOI à une prochaine séance.

« Lorsqu’on parle de densifier le centre-ville, en voici un bel exemple. C’est un bâtiment existant dont le carnet de santé nous dit qu’il ne peut pas être réhabilité, mais le promoteur, Immeubles DTM va en faire un 15 logements », commente le maire de Rimouski, Guy Caron.

Le maire Guy Caron et le directeur général de la Ville de Rimouski, Marco Desbiens. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Les locataires ont été relocalisés temporairement. L’immeuble avait également une vocation commerciale. Il y avait notamment une boutique d’artisanat qui est maintenant fermée.

« Le bâtiment n’était pas en bon état. Il sera transformé en résidentiel », précise monsieur Caron.

Ce projet particulier contient des dispositions susceptibles d’approbation référendaire.

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  • La SAQ veut implanter une agence à Les Hauteurs
    La Société des alcools du Québec (SAQ) est en processus afin d’implanter une agence à Les Hauteurs, dans La Mitis. Un appel d’offres s’adressant aux commerces en alimentation prenait fin ce mercredi 23 juillet, à 11 h. « L’analyse de l’ensemble des propositions reçues est en cours. À ce stade, il m’est impossible de confirmer à qui sera attribué le contrat », indique la responsable des opérations contractuelles SAQ Agences, Chantal Paré. Deux commerces offrent des services en alimentation
     

La SAQ veut implanter une agence à Les Hauteurs

La Société des alcools du Québec (SAQ) est en processus afin d’implanter une agence à Les Hauteurs, dans La Mitis. Un appel d’offres s’adressant aux commerces en alimentation prenait fin ce mercredi 23 juillet, à 11 h.

« L’analyse de l’ensemble des propositions reçues est en cours. À ce stade, il m’est impossible de confirmer à qui sera attribué le contrat », indique la responsable des opérations contractuelles SAQ Agences, Chantal Paré.

Deux commerces offrent des services en alimentation à Les Hauteurs, soit le Dépanneur du Coin et l’Épicerie D.F. Rouleau.

Épiceries et dépanneurs visés

Les agences SAQ sont des commerces d’alimentation (épiceries ou dépanneurs) qui obtiennent le droit de vendre des produits de la SAQ dans leur magasin.

Elles sont situées dans des municipalités où il n’y a pas de succursale de la SAQ et permettent un meilleur accès aux produits.

La SAQ détient 423 agences réparties au Québec, dont 42 au Bas-Saint-Laurent. La MRC de La Mitis compte actuellement quatre succursales à Sainte-Luce (Marché Ste-Luce et Épicerie C.H. Bernier (secteur Luceville), Saint-Gabriel (Épicerie DB), La Rédemption (Dépanneur Chez Ti-Noir).

Il n’y en avait pas Les Hauteurs.

  • ✇Journal Le Soir
  • Isle-Verte : 20 logements abordables pour aînés inaugurés
    La Corporation Les amis des aînés de L’Isle-Verte ont inauguré récemment la Résidence de l’Ancrage, un immeuble de 20 logements sociaux et abordables destinés à des personnes âgées en légère perte d’autonomie à L’Isle-Verte. Ce chantier a nécessité un investissement de plus de 12,4 M$. Québec a versé plus de 5,6 M$ par l’entremise de la Société d’habitation du Québec (SHQ) pour la construction de cet immeuble. La SHQ garantit également le prêt hypothécaire contracté par la Corporation. Ott
     

Isle-Verte : 20 logements abordables pour aînés inaugurés

24 juillet 2025 à 08:00

La Corporation Les amis des aînés de L’Isle-Verte ont inauguré récemment la Résidence de l’Ancrage, un immeuble de 20 logements sociaux et abordables destinés à des personnes âgées en légère perte d’autonomie à L’Isle-Verte. Ce chantier a nécessité un investissement de plus de 12,4 M$.

Québec a versé plus de 5,6 M$ par l’entremise de la Société d’habitation du Québec (SHQ) pour la construction de cet immeuble. La SHQ garantit également le prêt hypothécaire contracté par la Corporation.

Ottawa a aussi participé au projet à hauteur de 5,1 M$, tandis que la Municipalité de L’Isle-Verte accorde à la Corporation un crédit de taxes d’une durée de 35 ans, d’une valeur totalisant 1,2 M$.

« La Résidence de l’Ancrage représente bien plus qu’un bâtiment. C’est un lieu de réconfort, de dignité et de proximité pour nos aînés. La Municipalité de L’Isle-Verte est fière d’avoir contribué à ce projet porteur, qui répond à un besoin réel dans notre communauté », affirme la mairesse de l’Isle-Verte, Ginette Caron, dans un communiqué

Accueillant et sécuritaire

Présente lors de l’inauguration, la ministre responsable des Aînés, Sonia Bélanger, estime que le projet est porteur d’espoir, rappelant la tragédie survenue à L’Isle-Verte, le 24 janvier 2014.

À ce moment, un violent incendie avait éclaté au cœur de la nuit dans la Résidence du Havre, comprenant à l’époque 52 logements occupés par des personnes âgées autonomes et semi-autonomes. En tout, 32 personnes avaient perdu la vie.

Le drame a notamment permis de resserrer les règles et les normes de sécurité dans les résidences pour aînés afin d’éviter une nouvelle tragédie.

« Grâce à l’engagement de tous les partenaires, les résidents et leurs proches peuvent aujourd’hui compter sur un environnement accueillant et sécuritaire », a indiqué Sonia Bélanger.

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  • Drogue à Saint-Léandre : Dave Martel plaide non coupable
    Arrêté le 22 mai dernier lors d’une perquisition en matière de lutte au trafic de stupéfiants, Dave Martel, 51 ans, de Saint-Léandre, a plaidé non coupable. Il a demandé que son procès soit précédé d’une enquête préliminaire, dont la date devrait être fixée le 16 septembre prochain. Martel est détenu depuis son arrestation. Il est représenté par Me Caroline Bérubé. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine compte à 1,5 jour par jour purgé. Les policiers de
     

Drogue à Saint-Léandre : Dave Martel plaide non coupable

Arrêté le 22 mai dernier lors d’une perquisition en matière de lutte au trafic de stupéfiants, Dave Martel, 51 ans, de Saint-Léandre, a plaidé non coupable. Il a demandé que son procès soit précédé d’une enquête préliminaire, dont la date devrait être fixée le 16 septembre prochain.

Martel est détenu depuis son arrestation. Il est représenté par Me Caroline Bérubé. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine compte à 1,5 jour par jour purgé.

Les policiers de la MRC de la Matanie, assistés d’enquêteurs de la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de Rimouski, en plus du Groupe tactique d’intervention, le Service d’identité judiciaire et d’un maître-chien, ont effectué une perquisition dans un immeuble résidentiel de la route des Érables, le 22 mai dernier, à Saint-Léandre.

Coke et médicaments

Sur place, les policiers ont procédé à la saisie de 21 000$ en argent canadien, plus de 275 grammes de cocaïne, plus de 100 de médicaments sous ordonnance, une arme de chasse et trois armes de poing.

Intercepté sur place, Martel fait face à des accusations en matière de trafic de stupéfiants et de possession d’armes prohibées et non autorisées.

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  • Le Shaker se bute à Takikawa
    Dans un excellent match de baseball mercredi soir au Stade Fournier, les Allées du Boulevard de Matane ont eu raison du Shaker de Rimouski par 3-2. L’as gaucher Keisuke Takikawa enregistre une 7e victoire à sa fiche. Il devient le premier artilleur du circuit à atteindre le plateau des sept gains depuis Dany Paradis-Giroux, des Braves Batitech du Témiscouata en 2017. Takikawa a espacé sept coups sûrs et retiré huit frappeurs sur des prises pour porter son dossier à 7-1. Louis Trépanier, ve
     

Le Shaker se bute à Takikawa

24 juillet 2025 à 00:45

Dans un excellent match de baseball mercredi soir au Stade Fournier, les Allées du Boulevard de Matane ont eu raison du Shaker de Rimouski par 3-2. L’as gaucher Keisuke Takikawa enregistre une 7e victoire à sa fiche.

Il devient le premier artilleur du circuit à atteindre le plateau des sept gains depuis Dany Paradis-Giroux, des Braves Batitech du Témiscouata en 2017.

Takikawa a espacé sept coups sûrs et retiré huit frappeurs sur des prises pour porter son dossier à 7-1. Louis Trépanier, venu en relève de Markus Coates en début de 5e manche, encaisse le revers.

Matane a pris les devants 2-0 en première manche. L’égalité a été créée en début de 5e sur un double bon pour deux points de Markus Coates. 

Kevin Roy a constitué le dernier retrait du match avec un coureur en position de marquer (Photo Le Soir – René Alary)

Le point de la victoire a été inscrit en fin de 5e à la suite d’un triple de Michaël Lavoie qui est ensuite venu marquer sur le simple opportun de Louis-Félix Noël. 

Au bâton pour les vainqueurs, Noël et François Durette (deux doubles) ont réussi deux coups sûrs chacun. Dans le camp du Shaker, Émile Maisonneuve a trois coups sûrs en quatre présences.

Jeux bizarres

Ce match disputé devant 250 spectateurs a été ponctué de jeux bizarres : un coureur de Matane, qui a quitté le 3e but trop vite sur un ballon-sacrifice, a été retiré sur un jeu d’appel fait par les visiteurs. 

Puis, un protêt déposé par le Shaker a mené à un renversement de décision par l’arbitre du marbre. Ce dernier a retiré un frappeur de Matane pour avoir déposé la balle sur un amorti-suicide alors qu’il était en dehors de la boite des frappeurs, tout en accordant le point marqué quand même. Or, après révision, il a donné raison au Shaker qui argumentait que le jeu était mort et que les coureurs devaient retourner à leur but respectif. 

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À Trois-Pistoles

Une victoire qui fait du bien pour le Bérubé GM. (Photo : Jean-Claude Pelletier)

Pendant ce temps, le Bérubé GM a mis un terme à une séquence de huit revers avec une victoire de 4-3 sur les Industries Desjardins du Kamouraska dans un autre très bon match.

C’est un but sur balles avec les buts remplis à Samuel Laforest qui a fait la différence avec un retrait en fin de 7e manche. 

Les visiteurs avaient créé l’égalité 3-3 après deux retraits en début de 7e manche sur le double bon pour deux points de Rémi Lévesque.

Ludovic Saucier a fait la distance pour le Bérubé GM enregistrant sa première victoire de la saison et son premier match complet dans la Ligue Puribec.

Ludovic Saucier a lancé un match complet dans la victoire. (Photo : Jean-Claude Pelletier)

C’est Jérémie Maillé-Bizier qui encaisse le revers. Il s’était amené en relève d’Émilien Plouffe qui a lancé les six premières manches.

En attaque, Samuel Laforest est sans contredit la vedette de son équipe dans cette partie avec deux coups sûrs, deux buts sur balles et trois points produits.

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Classement

En s’inclinant, le Shaker a glissé au 2e rang, à égalité avec Rivière-du-Loup, un demi-match derrière Témiscouata qui n’a plus que trois parties à disputer. 

Le Shaker pourrait rejoindre les Braves Batitech s’il l’emporte jeudi soir face au Frontière FM d’Edmundston qui sera le visiteur à Rimouski. Émile Maisonneuve sera le lanceur partant pour le Shaker. Le match débutera à 19 h 30.

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À partir d’avant-hierFlux importants
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  • Le marché du travail et la sclérose en plaques
    Dans le cadre de la campagne de sensibilisation de SP Canada Bas-Saint-Laurent, intitulée « Parlons de nous », Johanne Campion, une résidente de Rimouski atteinte de la sclérose en plaques (SP), témoigne de ses difficultés avec le marché du travail.  Tout a commencé lorsque madame Campion a obtenu son diagnostic, alors qu’elle avait 27 ans. « Quand j’ai su que j’avais la sclérose en plaques, j’étais infirmière auxiliaire. C’est sûr que je trouvais ça difficile de travailler, mais je ne com
     

Le marché du travail et la sclérose en plaques

23 juillet 2025 à 19:00

Dans le cadre de la campagne de sensibilisation de SP Canada Bas-Saint-Laurent, intitulée « Parlons de nous », Johanne Campion, une résidente de Rimouski atteinte de la sclérose en plaques (SP), témoigne de ses difficultés avec le marché du travail. 

Tout a commencé lorsque madame Campion a obtenu son diagnostic, alors qu’elle avait 27 ans.

« Quand j’ai su que j’avais la sclérose en plaques, j’étais infirmière auxiliaire. C’est sûr que je trouvais ça difficile de travailler, mais je ne comprenais pas pourquoi. Quand j’ai appris que j’avais la maladie, j’ai quitté mon emploi. »

Elle décide alors de suivre une formation en secrétariat et elle décroche un travail dans une commission scolaire. Si elle connaissait alors le nom de sa maladie, elle ignorait à l’époque qu’elle pouvait causer des troubles cognitifs.

« J’ai travaillé dans des écoles, sur appel. Quand on me disait quoi faire, je n’avais pas de problème et tout allait bien. Puis, j’ai effectué un remplacement et j’ai fait des erreurs. Je ne comprenais pas pourquoi j’en faisais autant. Éventuellement, ils m’ont renvoyé. » Et elle n’était pas au bout de ses peines.

« J’ai tout perdu. Je me suis séparé de mon conjoint aussi et j’ai passé deux ans en dépression. »

Retour aux études

Johanne Campion décide ensuite de faire un retour aux études, en lettres et création littéraire.

« J’ai fait un baccalauréat dans ce domaine. J’ai voulu prolonger mes études le plus possible, parce que j’aimais ça, que j’étais capable de le faire et qu’on ne pouvait pas m’en congédier. »

Elle a aussi amorcé une maîtrise en lettres. Elle n’a cependant pas été en mesure de la terminer, puisqu’avec l’arrivée de la COVID-19, il n’était plus possible qu’elle reçoive l’aide pédagogique qu’elle avait auparavant pour l’aider avec ses troubles cognitifs. Elle a toutefois réussi à travailler pendant la pandémie.

« Je vérifiais les codes QR au restaurant. Après, on m’a embauché pour laver la vaisselle. J’ai donc continué, parce que j’avais besoin d’un emploi et que là, j’en avais un. Pour faire la vaisselle, je n’avais pas besoin de me concentrer, je ne pouvais donc pas faire d’erreurs, mais à un moment donné, je suis tombé et je me suis fait mal au genou. J’ai dû lâcher mon emploi. »

Johanne Campion précise que sa chute n’était pas liée à la maladie. 

« C’est difficile, parce que les employeurs ne comprennent pas nécessairement tout le temps. Il y a aussi le fait que j’ai besoin d’aide, parce que j’ai besoin d’adaptation pour les emplois. Je pense que les employeurs ne sont pas non plus très informés; il n’y a pas beaucoup de sensibilisation. »

S’il existe des ressources pour aider les gens qui sont dans une situation semblable à la sienne, elles sont souvent peu connues.

Faire connaître les ressources

Le Regroupement des organismes spécialisés pour l’emploi des personnes handicapées (ROSEPH) est une association sans but lucratif qui rassemble 25 organisations, dont 22 dédiées spécifiquement à la main-d’œuvre pour les personnes handicapées. Malheureusement, il demeure peu connu. C’est par elle-même que Johanne Campion est tombée sur ce regroupement, qui lui a permis de faire un stage d’un jour à l’Association de sclérose en plaques du Bas-Saint-Laurent. Puis un autre dans un motel.

Il s’agit d’une façon de procéder qui lui convient bien, parce que de cette manière, l’employeur potentiel peut constater par lui-même ses capacités.

« Ça leur donne une idée de ce que je peux faire. C’est plus facile que de juste l’expliquer. »

Madame Campion souhaite donc que l’existence du ROSEPH soit davantage publicisée par Emploi-Québec et les organismes semblables.

« Ça permettrait de tenir les employeurs au courant et de faire savoir aux gens qu’il est possible de faire la demande pour une journée de stage. »

Elle voudrait également avoir un meilleur accompagnement dans ses procédures d’embauche.

« Lorsque je trouve un emploi, j’aimerais que l’intervenante qui est avec moi puisse parler avec l’employeur, avant ou après l’entrevue. Si un professionnel atteste de mes problèmes, en présentant mes capacités, ce serait plus simple que de le faire moi-même, parce que ce serait plus formel. » 

Les ressources à contacter

La Société canadienne de la sclérose en plaques (SP Canada) offre différentes ressources aux personnes atteintes de la sclérose en plaques et à leurs proches. Notons d’abord qu’il est possible de contacter le bureau de la division bas-laurentienne de SP Canada en téléphonant au 418 724-5499.

Il est aussi possible de consulter leur site Internet régional ou national au spcanada.cam où il est possible de clavarder avec un agent.

Le numéro de téléphone est le 1 844 859-6789 et le courriel est agentinfo@spcanada.ca. De l’aide juridique, des capsules vidéos et des webinaires sont quelques-unes des ressources disponibles. 

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  • Le hockey junior prend de l’expansion à Rimouski
    Le nombre élevé de joueurs âgés de 18 à 21 ans permet la création d’une deuxième équipe de hockey junior régional à Rimouski. En 2024, un groupe mené par Dario Côté avait relancé une formation au sein de la Ligue de hockey junior A du Bas-Saint-Laurent. Portant le nom des Mariniers, elle affrontait Saint-Fabien, Mont-Joli, La Vallée, Rivière-du-Loup et Matane, en plus de disputer des matchs contre des adversaires de la Gaspésie. L’engouement suscité a été tel que le projet d’une deuxièm
     

Le hockey junior prend de l’expansion à Rimouski

23 juillet 2025 à 18:00

Le nombre élevé de joueurs âgés de 18 à 21 ans permet la création d’une deuxième équipe de hockey junior régional à Rimouski.

En 2024, un groupe mené par Dario Côté avait relancé une formation au sein de la Ligue de hockey junior A du Bas-Saint-Laurent.

Portant le nom des Mariniers, elle affrontait Saint-Fabien, Mont-Joli, La Vallée, Rivière-du-Loup et Matane, en plus de disputer des matchs contre des adversaires de la Gaspésie.

L’engouement suscité a été tel que le projet d’une deuxième équipe, de calibre inférieur, a rapidement émergé pour permettre à un maximum de jeunes adultes de poursuivre leur parcours au-delà du hockey mineur.

« On a accueilli une quarantaine de joueurs lors de notre premier camp d’entraînement. C’était crève-cœur d’en retrancher autant sans leur offrir d’alternative. Nous avions envisagé de créer deux équipes dans les divisions A et B, l’été dernier, mais le temps et la charge de travail nous ont freinés. L’enthousiasme ne s’est pas estompé, si bien que nous lançons officiellement le projet pour 2025-2026 », explique monsieur Côté

Boulevard Chevrolet dans l’aventure

Cette nouvelle formation comptera sur Boulevard Chevrolet comme partenaire majeur. Dario Côté fait de nouveau partie des fondateurs, accompagné cette fois de Sylvain Leblanc, Steve Ruest et Gaëtan Beaudin.

Si Daniel Lavoie revient derrière le banc des Mariniers, un autre entraîneur-chef s’occupera du deuxième groupe.

L’an dernier, la division B regroupait des équipes à Saint-Cyprien, Rivière-du-Loup et Kamouraska.

Les Mariniers Pub Saint-Barnabé/Ellipse Assurances après un but. (Photo courtoisie)

Les deux équipes tiendront un camp d’entraînement conjoint dès septembre, à l’issue duquel les entraîneurs répartiront les joueurs selon leurs habiletés.

Les jeunes intéressés à se joindre à l’une des formations pour 2025-2026 peuvent s’inscrire via le site web de l’Association du hockey mineur de Rimouski.

Nouvelle nomenclature des divisions

En raison de l’uniformisation des divisions et des classes entre Hockey Québec et Hockey Canada, le terme junior A sera désormais réservé exclusivement à la Ligue de hockey junior AAA du Québec, comme ailleurs au pays. Les ligues qui évoluaient auparavant dans le calibre junior AA porteront dorénavant le nom de junior B.

Dans ce contexte, les Mariniers évolueront à l’automne dans la Ligue de hockey junior C du Bas-Saint-Laurent, alors que Boulevard Chevrolet prendra part à la division junior D.

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  • Le CHSLD de Rimouski inaugure un nouvel espace
    Le CISSS du Bas-Saint-Laurent et la Fondation Santé Rimouski ont inauguré, le mercredi 23 juillet en après-midi, une nouvelle terrasse adaptée pour les résidents du Centre d’hébergement de Rimouski (CHSLD) leurs familles et leurs proches. Cet investissement de 100 000$ de la Fondation Santé Rimouski permet d’offrir un lieu sécuritaire et accessible en toute saison. « C’est un immense plaisir, cet après-midi, d’inaugurer notre terrasse. Cela faisait déjà quelque temps qu’on travaillait sur
     

Le CHSLD de Rimouski inaugure un nouvel espace

23 juillet 2025 à 17:00

Le CISSS du Bas-Saint-Laurent et la Fondation Santé Rimouski ont inauguré, le mercredi 23 juillet en après-midi, une nouvelle terrasse adaptée pour les résidents du Centre d’hébergement de Rimouski (CHSLD) leurs familles et leurs proches.

Cet investissement de 100 000$ de la Fondation Santé Rimouski permet d’offrir un lieu sécuritaire et accessible en toute saison.

« C’est un immense plaisir, cet après-midi, d’inaugurer notre terrasse. Cela faisait déjà quelque temps qu’on travaillait sur le projet et on ne serait pas arrivé à créer ce beau lieu de rassemblement, pour les résidents, sans notre partenaire, la Fondation Santé Rimouski, qui a financé l’entièreté de la terrasse », indique la gestionnaire du CHSLD de Rimouski, Geneviève Côté-Rioux.

Caroline Pelletier, Gilles Turmel et Geneviève Côté-Rioux, lors de l’inauguration de la terrasse. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

La nouvelle terrasse située dans la cour intérieure du Centre est d’une superficie de 1200 pieds carrés et peut accueillir une cinquantaine de personnes. Sa surface en béton est adaptée à la circulation des personnes à mobilité réduite. Une pergola, du mobilier adapté, des bacs à fleurs et un coin repas complètent l’aménagement de la nouvelle terrasse.

Une résidente du Centre, Marthe Bourque, félicite les personnes qui ont conçu le projet.

« La terrasse va être super pour tous les résidents d’ici. Nous n’avons pas d’endroit où nous asseoir et être bien, alors que la terrasse est belle et agréable. C’est aussi accueillant. Je trouve que c’est complet. Il y a des chaises, il y a de tout. J’espère que les gens vont en profiter, parce qu’ils ont désormais quelque chose de beau. »

La campagne de dons majeurs à l’œuvre

La directrice générale de la Fondation Santé Rimouski, Caroline Pelletier, précise que les fonds qui ont permis la mise en place de ce nouvel espace, proviennent des surplus amassés dans le cadre de la campagne de dons majeurs.

« L’investissement a pu être fait grâce à de généreux donateurs, qui sont fidèles à la Fondation, années après années. Cela nous fait plaisir qu’il existe un endroit où nos ainés peuvent profiter du plein air, en allant à l’extérieur et en participant à des activités », mentionne madame Pelletier.

Elle ajoute que la terrasse est le projet qui a été choisi afin de permettre aux résidents du Centre de sortir prendre l’air.

« On sait que c’est aussi important pour la santé mentale d’aller s’oxygéner et l’espace fait en sorte que des activités peuvent y être organisées à tout moment de l’année. »

Finalement, madame Pelletier confirme qu’un autre projet au CHSLD de Rimouski sera annoncé, normalement d’ici la fin de l’année.

Rappelons que la concrétisation de ce projet, par le CISSS du Bas-Saint-Laurent et la Fondation Santé Rimouski, s’ajoute à l’aménagement l’an dernier d’une autre terrasse située à l’arrière du Centre d’hébergement de Rimouski. La Fondation Santé Rimouski a investi un total de 186 000$ dans ces deux projets.

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  • Quatre garages de camions lourds s’unissent
    Quatre entreprises bien établies dans l’industrie du camion lourd, soit Gaspésie Diesel (New Richmond), Centre du Camion JL (Amqui), Carrefour du Camion Saint-Quentin et Carrefour du Camion RDL, confirment leur fusion sous une nouvelle bannière commune : Carrefour du Camion. Cette union stratégique doit permettre d’offrir un service de proximité encore plus fort à l’échelle de l’Est-du-Québec et du Nouveau-Brunswick. Les quatre points de service mettent en commun leurs expertises, leurs re
     

Quatre garages de camions lourds s’unissent

Quatre entreprises bien établies dans l’industrie du camion lourd, soit Gaspésie Diesel (New Richmond), Centre du Camion JL (Amqui), Carrefour du Camion Saint-Quentin et Carrefour du Camion RDL, confirment leur fusion sous une nouvelle bannière commune : Carrefour du Camion.

Cette union stratégique doit permettre d’offrir un service de proximité encore plus fort à l’échelle de l’Est-du-Québec et du Nouveau-Brunswick.

Les quatre points de service mettent en commun leurs expertises, leurs ressources et leur engagement à accompagner les camionneurs et les entreprises du transport, peu importe leur localisation.

« En unissant nos forces sous une seule bannière, on ne fait pas que changer de nom. Carrefour du Camion, c’est le résultat d’une vision partagée, d’années de collaboration entre des équipes d’expérience et d’une volonté commune d’être un vrai partenaire pour ceux qui roulent l’Est-du-Québec au quotidien. On comprend bien les réalités du terrain et on s’engage dans le développement régional », déclare le président du Carrefour du Camion, Gabriel Morin.

Nouvelle bannière, même engagement

Les clients de chaque région retrouveront la même fiabilité qu’ils ont toujours connue, bonifiée par la force du regroupement.

L’entreprise effectue le service de mécanique pour camions lourds, la vente de camions neufs et usagés avec un large inventaire de pièces disponibles.

« Ce regroupement nous donne les moyens d’agir encore plus rapidement pour nos clients. Quand un camion s’immobilise, c’est toute une entreprise qui ralentit. Que ce soit pour une réparation urgente, une pièce difficile à trouver ou l’achat d’un camion prêt à rouler, notre but reste le même : remettre les camionneurs sur la route, le plus vite possible », commente le directeur des opérations, Carrefour du Camion Rivière-du-Loup, Pierre Morin.

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  • Trop, c’est trop : agissons contre la hausse des baux
    Coup de théâtre, en pleine période de vacances le ministère des Richesses naturelles et des Forêts (MRNF) vient de publier les tarifs minimums des baux pour 2026. Lettre ouverte du Regroupement des locataires de terres publiques du Québec En bref, le loyer minimum plancher pour d’un bail de villégiature augmentera de 46% soit de 343$ à 500$, et tous les loyers des baux d’abris sommaires augmenteront de 52% soit de 198$ à 300$. Ainsi, environ 27 000 baux sur les 40 000 baux du Québec se
     

Trop, c’est trop : agissons contre la hausse des baux

23 juillet 2025 à 15:00

Coup de théâtre, en pleine période de vacances le ministère des Richesses naturelles et des Forêts (MRNF) vient de publier les tarifs minimums des baux pour 2026.

Lettre ouverte du Regroupement des locataires de terres publiques du Québec

En bref, le loyer minimum plancher pour d’un bail de villégiature augmentera de 46% soit de 343$ à 500$, et tous les loyers des baux d’abris sommaires augmenteront de 52% soit de 198$ à 300$.

Ainsi, environ 27 000 baux sur les 40 000 baux du Québec seront affectés par ces augmentations inacceptables. Les baux qui restent seront indexés.

Mais ce n’est pas tout, si vous vendez votre chalet, la facture du bail augmentera d’environ 23% par rapport à 2025 et les frais passeront de 397$ à 1 213$ ! 

Avec ce nouveau règlement, le MRNF et les MRC viendront soutirer de votre portefeuille autour de 3,9 millions de dollars annuellement ce qui représente une augmentation de 20% de leurs revenus de location dès 2026. 

Limiter l’accès au territoire public

En avez-vous assez! On croirait que le MRNF cherche à limiter l’accès au territoire public pour les moins fortunés de notre société.

Le RLTP a déjà fait part au MRNF que cette proposition est inéquitable et que de telles augmentations sont injustifiables et indéfendables mais rien n’a changé.

Le président du RLTP, Arthur Fortin (Photo courtoisie RLTP)

Voici ce que nous vous proposons en tant que membre et par solidarité.

Que vous soyez ou non touchés par ces augmentations, nous vous demandons de faire parvenir la lettre qui est en pièce jointe au député provincial de votre circonscription AVANT LE 22 AOÛT.  

Suivez ce lien pour un exemplaire de la lettre à mon député

Vous pouvez procéder par courriel ou par lettre postale. Les coordonnées des députés sont accessibles en suivant ce lien. 

N’attendez surtout pas.

Nous comptons sur vous pour réagir vite pour nous soutenir dans cette première action. Il en va de la crédibilité de votre organisation.

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  • Mont-Joli gagne 10 000$ d’équipements de hockey
    L’Association de hockey mineur de Mont-Joli fait partie des gagnantes d’un concours organisé par ORÉO, appelé « Partagez la joie ensemble », lui permettant de bénéficier d’un important lot d’équipements d’une valeur de 10 000$. Ce matériel permettra d’initier des jeunes au hockey dont les coûts reliés à l’achat d’équipements représentent un frein financier. L’Association du hockey mineur tentera de répondre à toutes les demandes puisque les équipements disponibles sont dans plusieurs tail
     

Mont-Joli gagne 10 000$ d’équipements de hockey

23 juillet 2025 à 14:00

L’Association de hockey mineur de Mont-Joli fait partie des gagnantes d’un concours organisé par ORÉO, appelé « Partagez la joie ensemble », lui permettant de bénéficier d’un important lot d’équipements d’une valeur de 10 000$.

Ce matériel permettra d’initier des jeunes au hockey dont les coûts reliés à l’achat d’équipements représentent un frein financier.

L’Association du hockey mineur tentera de répondre à toutes les demandes puisque les équipements disponibles sont dans plusieurs tailles jeunesse.

Les familles peuvent déjà bénéficier de programmes d’aide financière pour les frais d’inscription, si elles répondent à certains critères.

L’Association regroupe près de 200 jeunes de La Mitis, chaque saison, dans les niveaux M7 à M21.

Nouveaux venus dans le conseil d’administration

Par ailleurs, le conseil d’administration accueille trois nouveaux membres en vue de la prochaine saison, soit Mathieu Gagné (2e vice-président et gouverneur), Roxanne Rousseau-Letourneau (trésorière) et Guillaume Ross (chargé des équipements).

Ils rejoignent l’équipe composée de Véronique Turcotte (présidente et secrétaire), Ariane Sergerie, (1ère vice-présidente et registraire) et Marie-Ève Ross (coordonnatrice aux événements – renouvellement de mandat).

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  • Rimouski : règlement pour régulariser 29 logements
    Le conseil municipal de Rimouski a adopté, jeudi dernier (17 juillet), un premier projet de règlement pour permettre la rénovation extérieure de l’immeuble situé au 128, rue de l’Évêché Ouest. Le projet soumis à la Ville prévoit le changement du revêtement extérieur, de la toiture, le remplacement de l’ensemble des ouvertures, l’agrandissement de certaines fenêtres, ainsi que l’aménagement des aires extérieures, notamment l’aire de stationnement, en vue de régulariser un total de 29 logements
     

Rimouski : règlement pour régulariser 29 logements

Le conseil municipal de Rimouski a adopté, jeudi dernier (17 juillet), un premier projet de règlement pour permettre la rénovation extérieure de l’immeuble situé au 128, rue de l’Évêché Ouest.

Le projet soumis à la Ville prévoit le changement du revêtement extérieur, de la toiture, le remplacement de l’ensemble des ouvertures, l’agrandissement de certaines fenêtres, ainsi que l’aménagement des aires extérieures, notamment l’aire de stationnement, en vue de régulariser un total de 29 logements.

Ce projet particulier déroge à certaines normes du Règlement de zonage, notamment le nombre de logements autorisés, les marges de recul, le nombre minimal d’arbres exigés pour un terrain à usage résidentiel, l’emplacement d’une aire de stationnement, la présence d’une bordure et d’une bande de verdure pour une aire de stationnement comportant plus de cinq cases, l’implantation d’un conteneur à matières résiduelles et la réduction du nombre de cases de stationnement exigé au centre-ville.

« C’est un bâtiment qui est actuellement résidentiel. Mais dont il faut régulariser sa capacité de pouvoir accueillir 29 logements. Pour ce faire, ça prend des modifications au bâtiment qui requiert un PPCMOI (projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble) », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.

Dans un site patrimonial

Le bâtiment visé est situé dans le site patrimonial cité de l’Ensemble-Institutionnel-du-Centre-Ville-de-Rimouski.

L’aspect actuel du bâtiment, de même que l’aménagement de ses aires extérieures (stationnement et végétation), ne correspond plus aux attentes contemporaines en matière de qualité urbaine et d’intégration.

Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir archives)

Dans sa résolution, la Ville estime que le projet proposé constitue une bonification qualitative de l’ensemble bâti, en favorisant une meilleure insertion dans le milieu par une mise à niveau tant sur le plan architectural que paysager et qu’il respecte les objectifs du Plan d’urbanisme.

Recommandé par le CCU

Le 8 juillet 2025, ce projet particulier a été soumis au comité consultatif d’urbanisme (CCU) de la Ville qui recommande au conseil municipal de l’accepter.

À noter que ce projet particulier contient des dispositions susceptibles d’approbation référendaire.

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  • Les lieux d’ici : l’histoire de chaque nom
    Certains noms de lieux nous intriguent, nous touchent ou nous font sourire. Dans cette série, on s’attarde à quelques lieux de chez nous, choisis pour leur histoire singulière, leur nom évocateur ou simplement parce qu’ils nous parlent. Un clin d’oeil à nos racines et à ceux qui ont donné une identité à notre territoire, un nom à notre coin de pays. Rimouski-Neigette Esprit-Saint (Photo archives) Dans le canton de La Roche, à 50 km au sud de Rimouski, ce petit village du Bas-Saint
     

Les lieux d’ici : l’histoire de chaque nom

23 juillet 2025 à 11:00

Certains noms de lieux nous intriguent, nous touchent ou nous font sourire. Dans cette série, on s’attarde à quelques lieux de chez nous, choisis pour leur histoire singulière, leur nom évocateur ou simplement parce qu’ils nous parlent.

Un clin d’oeil à nos racines et à ceux qui ont donné une identité à notre territoire, un nom à notre coin de pays.

Rimouski-Neigette

Esprit-Saint

(Photo archives)

Dans le canton de La Roche, à 50 km au sud de Rimouski, ce petit village du Bas-Saint-Laurent est situé près de La Trinité-des-Monts. Cette proximité justifie sans doute l’appellation choisie, également appliquée au bureau de poste en 1939. Esprit-Saint a d’abord été un territoire non organisé en 1972 avant d’être érigé en municipalité en 1979.

Auparavant, la paroisse de L’Esprit-Saint, d’abord instituée comme desserte en 1937 puis érigée canoniquement en 1964, regroupait la communauté locale. Le nom d’Esprit-Saint aurait été donné en raison de l’esprit de courage des colons ou en référence directe à la foi.

Au milieu des années 1970, le territoire a été menacé de fermeture et a survécu grâce à la persévérance et à la ténacité de la population locale qui a lutté dignement pour vivre d’une terre avare de ses fruits.

C’est à la faveur de l’aménagement intégré de ses ressources de base, à savoir l’agriculture, l’exploitation forestière et le tourisme qu’il a pu être sauvé in extremis dans la foulée des Opérations-Dignités qui ont marqué le Bas-Saint-Laurent, il y a près de vingt ans.

Aujourd’hui, l’existence de la réserve Duchénier (1977), au nord-ouest d’Esprit-Saint, assure pour une bonne part la prospérité des villageois grâce à ses 150 km2 d’espaces consacrés à la pêche et à la chasse.

Une fabrique de bardeaux de cèdre, qui constituait la principale industrie de l’endroit, a été la proie des flammes en mai 1991. Cette tragédie a affecté une économie déjà mal en point.

 Gentilé : Spiritois, Spiritoise

Saint-Eugène-de-Ladrière

(Photo archives)

La municipalité de Saint-Eugène-de-Ladrière a été implantée à 25 kilomètres au sud-ouest de Rimouski, à la limite est de la MRC de Rimouski-Neigette, au sud de Saint-Fabien. La Petite rivière Rimouski, la rivière du Bic, le lac des Vingt-Quatre Arpents ainsi que de nombreux autres plans d’eau contribuent à marquer la topographie de cet espace municipal.

D’existence récente, quoique le territoire ait été habité dès 1860, tant la paroisse que la municipalité de la paroisse de Saint-Eugène-de-Ladrière remontent sur le plan administratif à 1962. Toutefois, dès 1930, on parlait de la desserte de Saint-Eugène-de-Ladrière.

Le territoire municipal est issu d’une partie de celui de la municipalité de la paroisse de Saint-Fabien. C’est en l’honneur de l’abbé Eugène-Elzéar Pelletier, curé de Saint-Fabien de 1912 à 1937 que l’élément Saint-Eugène a été retenu. Ce prêtre a fortement encouragé des paroissiens à se montrer généreux lors du détachement de Saint-Eugène-de-Ladrière de Saint-Fabien.

Quant à Ladrière, nom du bureau de poste également, ouvert en 1919, il rappelle le souvenir de l’abbé Augustin Ladrière (1826-1884), notamment curé de Saint-Fabien-de-Panet (1855-1870) et de L’Isle-Verte (1870-1875), avec desserte de Saint-Paul-de-la-Croix. Les principales ressources locales proviennent de la culture de la terre, de l’élevage du bœuf de boucherie et de l’exploitation de tourbières. Les sports de plein air occupent une place de choix parmi les activités de loisir pratiquées localement.

Gentilé : Eugénois, Eugénoise

Mont-Lebel

Le Pont des Draveurs de Mont-Lebel. (Crédit photo : Manuel Mendo 2008 – site du répertoire du patrimoine culturel du Québec)

Le nom Mont-Lebel identifie un secteur de la nouvelle ville de Rimouski, créée le 1er janvier 2002. Le territoire de ce secteur correspond à celui de l’ancienne municipalité de Mont-Lebel. Au moment de son annexion avec la Ville de Rimouski, elle compte 334 habitants.

Petite localité forestière créée en 1932 dans l’arrière-pays de Rimouski, dont elle est distante d’environ une vingtaine de kilomètres, entre Sainte-Blandine au nord, dont elle a été détachée, et Saint-Narcisse-de-Rimouski au sud. L’endroit doit son nom à son premier maire, Jean-Baptiste Lebel, qui a présidé aux destinées de la municipalité de 1932 à 1934.

Par ailleurs, d’autres municipalités du Québec comportent également l’anthroponyme Lebel dans leur dénomination : Lebel-sur-Quévillon dans le Nord-du-Québec et Pointe-Lebel sur la Côte-Nord, patronyme par ailleurs répandu dans le Bas-Saint-Laurent.

Composé à l’origine de 41 lots situés dans le Troisième Rang des cantons de Macpès et de Neigette et de 33 lots dans le Quatrième Rang des mêmes cantons, le territoire de l’actuelle municipalité était autrefois désigné sous la dénomination de Rang-Double. L’économie locale repose essentiellement sur l’agriculture.

Selon la Société rimouskoise du patrimoine, un premier groupe de six familles s’installe à Sainte-Blandine en 1854, alors appelée la « Montagne. » En 1932, une partie de la municipalité se détache et devient Mont-Lebel. Le pont des Draveurs du Mont-Lebel, reconnu depuis 2000 comme un « bien patrimonial représentatif de la municipalité » a été construit en 1930. Il est situé sur la route du Lac-à-Quenon et enjambe la petite rivière Neigette.

Gentilé : Lebelmontois, Lebelmontoise

Saint-Marcellin 

(Photo courtoisie)

Implantée au sud de Pointe-au-Père et de Saint-Anaclet-de-Lessard, à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Rimouski, Saint-Marcellin compte un grand nombre de lacs (Noir, Carré, Lunettes, à la Poire et Ednard).

Combinée à l’importance de la forêt locale, cette richesse hydrographique, à laquelle il faut ajouter les rivières Neigette et Lunettes, explique l’attrait qu’exerce le territoire marcellinois auprès des pêcheurs et des chasseurs. Ouvert en 1875, l’endroit est considéré comme mission à compter de 1899, laquelle relève territorialement des cantons de Neigette, de Macpès et de Ouimet. La future paroisse est placée sous le vocable de Saint-Marcellin dès 1882.

Voisine de Saint-Anaclet-de-Lessard, le choix de son appellation serait dû au fait qu’Anaclet, ou Clet, et Marcellin sont inscrits le même jour au martyrologe, soit le 26 avril.

Confirmée lors de l’érection canonique de 1921, la dénomination, qui identifiait déjà le bureau de poste depuis 1909, sera transférée à la municipalité créée officiellement en 1924. Elle évoque un pape d’origine romaine qui succède à saint Caïus sur le trône pontifical. Son règne s’est échelonné de 296 à 304.

Gentilé : Marcellinois, Marcellinoise

Le Bic

(Photo courtoisie Tourisme Bas-Saint-Laurent-Mathieu Dupuis)

La municipalité du Bic n’existe plus depuis le 16 septembre 2009. Elle a été annexée à Rimouski. L’appellation Le Bic a toutefois été préservée et elle identifie maintenant un secteur correspondant au territoire de l’ancienne municipalité.

Le gouvernement a établi un parc de conservation d’une superficie de 33 km², le parc de conservation du Bic. La profondeur du havre du Bic en fait un abri sûr et l’un des mouillages importants du Saint-Laurent où le général Wolfe et sa flotte ont fait une halte en 1759.

L’histoire bicoise remonte aux débuts de la colonie et même plus loin dans le temps, car en 1535, Jacques Cartier s’est arrêté au havre du Bic, tout comme Champlain le fera en 1603. Ce dernier est d’ailleurs l’auteur de la dénomination, car il appelle l’endroit le Pic, puis mentionne « dudict pic », à propos d’une montagne assez élevée (347 m) et pointue qui domine le havre.

Par corruption lexicale, Pic serait devenu Bic, d’où le nom Bic repris lors de la création de la seigneurie en 1675 et du bureau de poste en 1832. Ce sommet porte aujourd’hui le nom officiel Pic Champlain.

Sur le plan municipal, Le Bic provient de la fusion, en 1972, des municipalités de la paroisse de Sainte-Cécile-du-Bic et du village de Bic, respectivement créées en 1845 et en 1920. La dénomination Sainte-Cécile-du-Bic provient de celle de la paroisse érigée canoniquement en 1830 et desservie comme mission entre 1793 et 1850.

Gentilé : Bicois, Bicoise

Pointe-au-Père

(Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)

La ville de Pointe-au-Père n’existe plus depuis le 1er janvier 2002, par suite d’un regroupement municipal.

Son territoire fait maintenant partie de la ville de Rimouski et le nom « Pointe-au-Père » a été préservé pour identifier le secteur. Pointe-au-Père, suivant le nom adopté officiellement en 1988, constitue un territoire de plaine échelonnée sur des terrasses se prolongeant en une pointe découpée d’anses qui s’avance dans le fleuve, un peu en aval de Rimouski. À l’exemple d’autres endroits consacrés à sainte Anne, Sainte-Anne-de-la-Pointe-au-Père devenait un lieu de pèlerinage à compter de 1873.

Cette appellation allait également servir à identifier une paroisse érigée canoniquement en 1882, par suite de son détachement de Saint-Germain-de-Rimouski et de Sainte-Luce et une municipalité de paroisse établie la même année.

Le nom choisi, attesté en 1696 dans l’acte de concession de la seigneurie Lessard, en plus de marquer la dévotion des marins à l’endroit de sainte Anne qui assure leur protection, rappelle un événement historique, soit la célébration de la première messe sur la rive sud du Saint-Laurent, le 8 décembre 1663. Les lieux ont également porté les appellations de Pointe-aux-Pères, Father Point (carte de Carver, 1763), Pointe-de-l’Islet-aux-Pères et Pointe-de-l’Isle-aux-Pères.

La première évoque le fait que de nombreux missionnaires s’arrêtaient à cet endroit et la seconde constitue la transposition anglaise de Pointe-au-Père, figurant sur des cartes et identifiant le bureau de poste créé en 1863, jusqu’au début des années 1970 alors qu’il a pris le nom de Pointe-au-Père. La dernière souligne la possibilité qu’à une certaine époque la bande de terre située entre les deux anses qui découpent la pointe au Père en se rejoignant presque ait présenté l’allure d’une petite île,
un islet.

Gentilé (à l’époque où Pointe-au-Père était une ville) : Pèrepointois, Pèrepointoise.

Saint-Anaclet-de-Lessard

Une vue partielle de la municipalité de Saint-Anaclet. (Photo courtoisie)

Saint-Anaclet-de-Lessard est une municipalité qui appartient aujourd’hui à la banlieue de Rimouski. Érigée en 1859, elle doit son nom à la paroisse établie en 1858, laquelle comptait déjà 1 100 habitants en 1861, ainsi qu’un bureau de poste ouvert en 1859 sous l’appellation de Saint-Anaclet. Le pape Anaclet (ou Clet), martyr du Ier siècle, a régné de 76 à 88.

Selon le site internet de la municipalité, le 8 mars 1696, le gouverneur Frontenac concède la seigneurie de Lessard à Pierre de Lessard et à barbe Fortin. Le seigneur n’habitera jamais sa propriété. Des gens de Québec et de l’île d’Orléans développeront ces lieux à compter de 1810.

Ils recevront le surnom de Castors en raison de la présence significative de ces animaux le long des cours d’eau. L’église de la municipalité présente notamment un intérêt patrimonial pour sa valeur historique comme témoin de l’établissement de la communauté de Saint-Anaclet-de-Lessard et de son évolution. Les premiers habitants qui s’y installent sont disséminés sur le territoire.

En raison de leur éloignement des centres de peuplement voisins, soit Sainte-Luce et Saint-Germain, ils réclament la création d’une paroisse distincte. Dès 1854, quelques familles signent une convention s’engageant à construire à leurs frais une église et un presbytère. Les autorités religieuses établissent une mission en 1857 et promulguent l’érection canonique de la paroisse en 1858, sous le vocable de Saint-Anaclet.

L’église actuelle est mise en chantier, tout comme le presbytère qui est aménagé à partir d’une maison existante. Ces édifices religieux sont épargnés par l’incendie de 1945 qui détruit une partie du village.

Gentilé : Anaclois et Anacloise

La Trinité-des-Monts

(Photo courtoisie)

La municipalité de la Trinité-des-Monts se trouve aujourd’hui dans la section Centre-Sud de la MRC de Rimouski-Neigette, au nord-est d’Esprit-Saint, immédiatement au sud-ouest de Saint-Narcisse-de-Rimouski, sous l’angle territorial.

Arrosé par les eaux des rivières du Cenellier, Rimouski et Brisson, le territoire compte la majorité de sa population dans son secteur ouest et son ouverture remonte au début des années 1960 avec l’érection canonique de la paroisse de Trinité-des-Monts en 1963, suivie, deux ans plus tard, de son érection civile tout comme de l’établissement de la municipalité de paroisse qui en a repris la désignation.

Sur le plan municipal, Esprit-Saint (1972) et La Trinité-des-Monts (1965) ont été détachées d’un vaste territoire de l’arrière-pays, pratiquement vide et dont ne subsiste que le territoire non organisé de Lac-Huron. Selon le site internet de la municipalité, la Trinité-des-Monts est née par un été de 1937.

La mission de l’Esprit-Saint était le nom des deux futures paroisses soit Trinité-des-Monts et Esprit-Saint, scindée en deux entités distinctes dès 1941. Le nom de La Trinité-des-Monts arriva en 1941 en même temps que Monseigneur Parent qui visitait la paroisse. Cherchant un site pour construire l’église, il voit en regardant vers l’est, les monts Notre-Dame. Érigée en municipalité en 1965, elle est depuis ce temps la municipalité ayant la plus grande superficie du territoire de la MRC de Rimouski-Neigette.

Pour sa part, le bureau de poste de l’endroit a tour à tour porté les noms d’Esprit-Saint (1938-1939), de Cenellier (1939-1943) et de La Trinité-des-Monts (depuis 1943). L’une des plus jeunes municipalités de l’arrière-pays, La Trinité-des-Monts compte un centre de plein air assez fréquenté.

Gentilé : Trinitois, Trinitoise

La Mitis

La Rédemption

La Rédemption (Photo courtoisie – Tourisme Gaspésie)

En janvier 1956 se créait, dans la région du Bas-Saint-Laurent, au sud-est de Mont-Joli, entre Saint-Cléophas et Saint-Charles-Garnier, la municipalité de la paroisse de La Rédemption. Son nom, qui reprend celui du bureau de poste établi en 1935 et de la paroisse érigée canoniquement et civilement en 1948, évoque le rachat du genre humain par Jésus-Christ suivant la religion chrétienne, événement capital qui inaugure le Nouveau Testament.

Cette appellation est à rapprocher d’autres de même nature comme L’Ascension, La Conception, L’Assomption, attribuées à des paroisses et à des municipalités québécoises. Elle témoigne du sentiment religieux qui animait les Québécois de l’époque, particulièrement dans les milieux ruraux. Le lieu est surtout connu par la présence, dans le Troisième Rang, de phénomènes karstiques (phénomène géologique créé sur la surface terrestre par le drainage de l’eau dans le sol) dans le sentier spéléologique de La Rédemption.

On y rencontre de nombreuses grottes, pertes ou autres types de formations. On peut y visiter une grotte d’une profondeur de près de 47 m et de 300 m de développement, dénommée Spéos de la Fée, qui attire de nombreux spéléologues, conquis par le trou du Lièvre, la Diaclase, le trou du Porc-Épic, la grotte Saint-Laurent… Il s’agit de la plus profonde cavité naturelle connue tant sur le plan régional que provincial.

Gentilé : Rédemptois, Rédemptoise

Les Boules (Métis-sur-Mer)

Le secteur des Boules est inclus dans la ville de Métis-sur-Mer. (Photo Mathieu Dupuis – Tourisme Gaspésie)

Le secteur des Boules, qui, depuis 2002, est inclus dans la ville de Métis-sur-Mer, se situe à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Matane. Le territoire de ce secteur correspond à celui de l’ancienne municipalité des Boules, fondée en 1952.

Cette dénomination, attribuée d’abord au bureau de poste ouvert en 1911, est tributaire de la présence, à tout le moins anciennement, de plusieurs rochers de forme arrondie et de bonne taille sur le bord du fleuve. Il s’agit de blocs erratiques, c’est-à-dire de grosses roches abandonnées par les glaciers, polies par les vagues et souvent déplacées par le mouvement des glaces. Le nom Les Boules et la forme La Boule seraient en usage depuis au moins le début du XIXe siècle.

La forme au singulier a d’ailleurs été relevée sur la carte de 1831 de Joseph Bouchette. Le nom de ce secteur suscite certains problèmes lorsqu’on doit l’intégrer dans une phrase, plusieurs soutenant à tort qu’il faut écrire « je vais à Les Boules » pour respecter intégralement l’appellation municipale, alors que la syntaxe correcte requiert plutôt d’écrire « je vais aux Boules. »

Gentilé : Boulois, Bouloises

Padoue

Vue aérienne de Padoue. (Photo courtoisie – Site Web de la municipalité de Padoue.)

Padoue est le nom d’une ville de la région de la Vénétie, dans le nord de l’Italie. S’il a été attribué à une municipalité de La Mitis, au Bas-Saint-Laurent, c’est davantage pour rendre hommage à saint Antoine de Padoue. Ce dernier s’est illustré par sa prédication surtout en Italie et en France.

De nombreuses légendes concernant sa vie ont pris naissance à sa mort et on l’invoque encore spécialement pour retrouver les objets perdus. On a d’abord donné son nom à la paroisse érigée en 1911, puis à la municipalité de la paroisse de Saint-Antoine-de-Padoue-de-Kempt, établie en 1912.

L’élément Kempt rappelle que le chemin Kempt, qui se rendait jusqu’à Causapscal en longeant la rivière Matapédia, a joué un rôle de premier plan dans la colonisation du territoire matapédien; il permet la distinction avec d’autres Saint-Antoine dans Gaspé et dans Bonaventure.

Ce nom de lieu rendait hommage à sir James Kempt, qui avait notamment été gouverneur en chef de l’Amérique du Nord britannique, entre 1828 et 1830. Avant de recevoir le nom actuel Padoue en 1914, le bureau de poste local, ouvert en 1903, était incidemment dénommé Kempt Station.

L’ampleur spatiale que couvre cette dénomination municipale allait inciter les autorités locales à modifier l’appellation originelle dans le sens de la brièveté en 1981, ne retenant que le constituant le plus significatif, qui identifiait le bureau de poste depuis longtemps, également par souci de pallier toute confusion.

Gentilé : Padovien, Padovienne

La Matapédia

Val-Brillant

(Photo Val-Brillant – Tourisme Gaspésie)

Avant 1883, on parle de Lac-Matapédia, nom repris par le bureau de poste entre 1894 et 1904, en raison de la proximité de ce plan d’eau, alors que débutent l’exploration de la région et la construction du chemin Kempt. Lui succédera, Brochu ou Brouché, ainsi déformé par les anglophones, ou encore Lac-à-Brochu en l’honneur du premier colon de la Vallée, Pierre Brochu (1795-1871), qui s’installe à la tête du lac Matapédia.

Cette appellation subsistera jusqu’en 1871, alors que McGowe s’imposera, tirée du patronyme de l’ingénieur qui entreprend les travaux de la section n° 14 de l’Intercolonial. De 1876 à 1883, Cedar Hall deviendra courant, d’après le hangar en pièces de cèdre qui sert de remise pour les outils à charbon utilisés lors des travaux ferroviaires. À cet égard, soulignons que le bureau de poste a porté cette appellation d’abord entre 1881 et 1894, puis de 1904 à 1912, avant de recevoir sa dénomination actuelle Val-Brillant en 1912.

La création de la mission de Saint-Pierre-du-Lac en 1883 reléguera aux oubliettes Cedar Hall, sauf dans le domaine des postes. Érigée canoniquement en 1889 et civilement en 1890, la paroisse reprend le prénom de l’abbé Pierre Brillant (1852-1911), missionnaire à cet endroit de 1881 à 1889 et curé de 1889 à sa mort.

Son zèle et son amour pour la vallée de la Matapédia lui ont valu le surnom de père de la Vallée. La municipalité de village créée en 1915 reprend la dénomination paroissiale, rapidement modifiée l’année suivante en Val-Brillant, déjà usitée depuis 1913.La fusion survenue en 1986 entre cette dernière et la municipalité de Saint-Pierre-du-Lac, créée en 1890, fixera les limites actuelles du territoire.

Gentilé : Val-Brillantois, Val-Brillantoise

Causapscal

(Photo Causapscal – Tourisme Gaspésie)

La nouvelle ville de Causapscal a été créée le 31 décembre 1997. Elle est issue du regroupement de la ville de Causapscal et de la municipalité de la paroisse de Saint-Jacques-le-Majeur-de-Causapscal. La municipalité du village de Causapscal, créée en 1928 par suite de son détachement de la municipalité de la paroisse de Saint-Jacques-le-Majeur-de-Causapscal (1897) à une vingtaine de kilomètres au sud-est d’Amqui et dont le statut a été modifié en celui de ville en 1965, tire sa dénomination de celle du canton de Casupscull dans la vallée de la Matapédia, proclamé en 1864.

La modification graphique, attestée pour la première fois en 1845 et attribuée au bureau de poste ouvert en 1871, à l’époque des débuts du peuplement, pourrait s’expliquer par interversion du u et du a et remplacement de la lettre u par la lettre a par suite d’un phénomène d’écho phonique.

Par ailleurs, les déformations graphiques sont courantes dans les mots amérindiens adaptés en français. Ce nom provient du micmac Goesôpsiag ou Gesapsgel ou encore Gesôpsgigel ayant pour sens fond pierreux et brillant, eau rapide, pointe caillouteuse, ce dernier sens convenant bien au lit de la rivière Causapscal de nature très caillouteuse.

Des auteurs attribuent cependant à Causapscal et à Casupscull des significations différentes. La situation particulière de la ville, au confluent de la Causapscal et de la Matapédia qui se rejoignent pour former une fourche, lui a valu, vers 1830, le nom de : Les Fourches ou Les Fourches-de-Causapscal, par la suite modifié.

Gentilé : Causapscalien, Causapscalienne

Rivière Patapédia

La Rivière Patapédia (CRÉDIT : Photo site Internet Corporation de gestion des rivières Matapédia et Patapédia)

La rivière Patapédia, qui coule dans la MRC de La Matapédia et qui se jette dans la rivière Ristigouche, porte un nom aux racines autochtones profondes qui témoigne de l’histoire millénaire de ce territoire. Ce cours d’eau, qui marque aujourd’hui la frontière entre le Québec et le Nouveau-Brunswick, a été témoin des passages et des établissements des Premières Nations bien avant l’arrivée des colons européens.

L’étymologie du nom Patapédia trouve ses origines dans la langue parlée par les Mi’kmaq, peuple autochtone qui habitait et fréquentait cette région depuis des temps immémoriaux.

Le terme mi’kmaq « patapegiag » signifie « courant violent et impétueux », une description particulièrement évocatrice qui souligne les caractéristiques naturelles de ce cours d’eau. Une autre interprétation, tout aussi révélatrice, traduit le nom comme « rivière aux courants inégaux et capricieux », mettant en évidence la nature changeante et parfois tumultueuse de ses eaux.

Cette double signification révèle la connaissance intime que les Mi’kmaq avaient de la rivière Patapédia. Leur choix toponymique n’était pas arbitraire, mais résultait d’une observation attentive des comportements de ce cours d’eau. Les courants variables et imprévisibles de la rivière ont influencé les techniques de navigation et de pêche des peuples autochtones, qui ont su s’adapter à ces conditions particulières au fil des générations.

Aujourd’hui, la rivière Patapédia demeure réputée pour ses qualités halieutiques, notamment pour la pêche au saumon atlantique, perpétuant ainsi l’importance de ce cours d’eau dans l’économie régionale et la culture locale, tout en honorant la mémoire des premiers habitants qui lui ont donné son nom.

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  • Le Défi des Monts « À chacun son sommet » de retour
    La Fondation Santé Rimouski lance sa période d’inscriptions en vue prochain Défi des Monts « À chacun son sommet », prévu le samedi 4 octobre au mont Val-Neigette, l’ancienne station de ski du district Sainte-Blandine à Rimouski. Cette journée de randonnée invite entreprises, familles, amateurs de plein air et travailleurs de la santé à soutenir l’organisme dans sa mission. « À chacun son sommet » consiste à choisir parmi sept montagnes connues afin de déterminer le dénivelé qu’ils devront
     

Le Défi des Monts « À chacun son sommet » de retour

23 juillet 2025 à 10:00

La Fondation Santé Rimouski lance sa période d’inscriptions en vue prochain Défi des Monts « À chacun son sommet », prévu le samedi 4 octobre au mont Val-Neigette, l’ancienne station de ski du district Sainte-Blandine à Rimouski.

Cette journée de randonnée invite entreprises, familles, amateurs de plein air et travailleurs de la santé à soutenir l’organisme dans sa mission.

« À chacun son sommet » consiste à choisir parmi sept montagnes connues afin de déterminer le dénivelé qu’ils devront grimper et ainsi relever un défi à la hauteur de leurs ambitions. Du mont Val-Neigette, en passant par le mont Albert, le mont Fuji à l’imposant mont Everest, il y en a pour tous les types de randonneurs.

« On invite les entreprises à rassembler leurs équipes. Chaque année, plusieurs de nos employés participent, et à chaque fois, c’est un moment fort. On se dépasse, on connecte, puis on redonne à une cause qui touche directement la santé de notre communauté », explique l’ergothérapeute et copropriétaire des Cliniques Sylvain Trudel, Geneviève Riou, dans un communiqué.

L’an dernier, les participants ont cumulé l’équivalent de 10 fois l’Everest pour amasser 52 000$.

Récompenser l’engagement

L’inscription a été fixée à 40 $ par adulte et de 30 $ pour les moins de 18 ans. Chaque adulte s’engage à amasser un minimum de 150 $ en dons pour la Fondation Santé Rimouski. L’inscription inclut des collations et le dîner.

Les participants et partenaires du Défi des Monts 2024 présenté à Val-Neigette. (Photo courtoisie)

Chaque tranche de 25 $ supplémentaire en don à la cagnotte minimale offre aux participants une chance de gagner des cartes-cadeaux de différents partenaires.

« On souhaite récompenser l’engagement et motiver les participants dans leur sollicitation. Cette collecte demeure un incontournable de l’activité, chaque dollars compte », souligne la directrice générale de la Fondation Santé Rimouski, Caroline Pelletier.

Infos au www.fondationsanterimouski.com/defidesmonts

Le Soir.ca fait partie des partenaires du Défi des Monts.

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  • Québec soutient Groupe Océan pour 145 M$
    Le Groupe Océan, propriétaire du chantier maritime des Méchins, reçoit la rondelette somme de 145 M$ du gouvernement provincial pour favoriser sa croissance. L’aide financière de Québec se décline en 75 M$ prenant la forme d’actions privilégiées, 34 M$ provenant du Fonds pour la croissance des entreprises québécoises et 36 M$ d’Investissement Québec. Avec ce soutien financier important, Groupe Océan entend prendre le bateau de la stratégie nationale de construction navale du Canada et part
     

Québec soutient Groupe Océan pour 145 M$

23 juillet 2025 à 07:30

Le Groupe Océan, propriétaire du chantier maritime des Méchins, reçoit la rondelette somme de 145 M$ du gouvernement provincial pour favoriser sa croissance.

L’aide financière de Québec se décline en 75 M$ prenant la forme d’actions privilégiées, 34 M$ provenant du Fonds pour la croissance des entreprises québécoises et 36 M$ d’Investissement Québec.

Avec ce soutien financier important, Groupe Océan entend prendre le bateau de la stratégie nationale de construction navale du Canada et participer davantage aux initiatives québécoises sur le plan maritime. Évidemment, le chantier des Méchins sera mis à contribution.

« Cette étape représente l’aboutissement d’un travail rigoureux de planification de la croissance entrepris il y a plusieurs années. Nous sommes fiers de pouvoir compter sur des partenaires solides, ancrés au Québec, pour écrire le prochain chapitre de l’histoire du Groupe Océan. Nous le ferons entourés d’une équipe fabuleuse et de la réputation qui nous précède », souligne le chef de la direction du Groupe Océan, Jacques Tanguay.

Le Groupe Océan voit cette annonce comme une nouvelle étape importante pour sa croissance. En plus de consolider ses 1 000 emplois au Québec, l’entreprise développe des nouveaux partenariats stratégiques avec des acteurs crédibles du milieu économique.

La ministre responsable du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie, Maïté Blanchette Vézina, y voit une marque de confiance pour l’entreprise et une façon de contribuer à l’employabilité dans la région.

« Grâce à cet investissement, on maintient les emplois spécialisés au chantier maritime Verreault, dans le Bas-Saint-Laurent. Depuis plus de cinquante ans, le Groupe Océan fait rayonner le savoir-faire québécois dans l’industrie navale et génère des retombées substantielles chez nous, au bénéfice de l’économie de toute la région et du Québec. »

Acquisition en 2022

Le chantier maritime des Méchins, acquis de la famille Verreault en 2022, continue d’opérer dans la petite municipalité du Bas-Saint-Laurent.

D’ailleurs, des contrats importants ont été décrochés au cours des dernières années dont celui du NGCC Griffon de la Garde côtière canadienne. L’objectif dans ce cas-ci était de prolonger la durée de vie utile du navire fédéral.

D’autres navires comme le Océanex Avalon et le NM Félix-Antoine Savard ont aussi visité récemment le chantier maritime des Méchins pour leurs travaux en cale sèche.

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  • Un motocycliste perd la vie à Saint-Alexandre-de-Kamouraska
    Un motocycliste dans la quarantaine a perdu la vie à la suite d’une sortie de route survenue mardi soir (22 juillet), vers 20 h, sur le rang Saint-Charles Est à Saint-Alexandre-de-Kamouraska. Seul à bord de son engin, l’homme a percuté un ponceau après en avoir perdu la maîtrise. Grièvement blessé, il a été transporté d’urgence à l’hôpital où son décès a été constaté quelques heures plus tard. La Sûreté du Québec mène actuellement une enquête pour déterminer les causes et les circonsta
     

Un motocycliste perd la vie à Saint-Alexandre-de-Kamouraska

23 juillet 2025 à 06:30

Un motocycliste dans la quarantaine a perdu la vie à la suite d’une sortie de route survenue mardi soir (22 juillet), vers 20 h, sur le rang Saint-Charles Est à Saint-Alexandre-de-Kamouraska.

Seul à bord de son engin, l’homme a percuté un ponceau après en avoir perdu la maîtrise.

Grièvement blessé, il a été transporté d’urgence à l’hôpital où son décès a été constaté quelques heures plus tard.

La Sûreté du Québec mène actuellement une enquête pour déterminer les causes et les circonstances de l’accident.

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  • Des victoires pour Témiscouata et Edmundston dans la Ligue Puribec
    Au tour des Braves Batitech du Témiscouata de grimper au premier rang de la Ligue de baseball senior Puribec, à égalité avec le Shaker de Rimouski. Mardi soir, ils ont disposé de Rivière-du-Loup par 4-1. Le CIEL FM glisse ainsi au 3e rang, à seulement ½ partie des co-meneurs. Pour le classement : cliquez ici Un double de deux points de Samuel Pearson et un simple de Félix Castonguay face au perdant Juan Borras ont donné une avance de 3-0 aux Braves dès la première manche.  Gabriel Cy
     

Des victoires pour Témiscouata et Edmundston dans la Ligue Puribec

22 juillet 2025 à 23:24

Au tour des Braves Batitech du Témiscouata de grimper au premier rang de la Ligue de baseball senior Puribec, à égalité avec le Shaker de Rimouski.

Mardi soir, ils ont disposé de Rivière-du-Loup par 4-1. Le CIEL FM glisse ainsi au 3e rang, à seulement ½ partie des co-meneurs.

Pour le classement : cliquez ici

Un double de deux points de Samuel Pearson et un simple de Félix Castonguay face au perdant Juan Borras ont donné une avance de 3-0 aux Braves dès la première manche. 

Gabriel Cyr (Photo archives – Marie-Pier Mailloux-Michaud)

Le reste fut l’affaire des lanceurs Dany Paradis-Giroux (trois manches) et Gabriel Cyr (quatre manches) qui ont espacé six coups sûrs. Cyr obtient le crédit de la victoire.

Concernant Paradis-Giroux, il s’agissait seulement de son 4e départ de la saison et de son premier depuis le 25 juin.

Pour le sommaire : cliquez ici

À Trois-Pistoles

Joshua Desroches (22), du Frontière FM, est retiré sur cette séquence. (Photo : Jean-Claude Pelletier)

Pendant ce temps, le Frontière FM d’Edmundston est allé vaincre le Bérubé GM de Trois-Pistoles par 10-1. 

La formation des Basques a ainsi subi un 8e revers de suite. Elle a tenu son bout jusqu’en 7e manche quand le Frontière FM a marqué six points.

Les neuf frappeurs du rôle ont tous frappé en lieu sûr pour les visiteurs. Le plus productif a été Olivier Boulet avec deux en quatre et trois points produits.

Garett Parkins a retiré 14 frappeurs sur des prises pour la victoire. Tommy Gendron encaisse la défaite.

Pour le sommaire : cliquez ici

Mercredi

Deux parties sont au calendrier mercredi soir. À Matane, le Shaker, avec Markus Coates au monticule, visitera les Allées du Boulevard qui utiliseront leur as gaucher Keisuke Takikawa qui sera en quête d’une 7evictoire cette saison. En 49 manches lancées, il revendique 76 retraits au bâton. 

Pendant ce temps, Kamouraska (Émilien Plouffe) se rendra à Trois-Pistoles.

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