Les abeilles à miel contre vents et marées
Si les apiculteurs parlent d’une saison de moyenne à faible, les abeilles, elles, sont en très bonne santé.
Si les apiculteurs parlent d’une saison de moyenne à faible, les abeilles, elles, sont en très bonne santé.
Justine Pelletier et ses coéquipières canadiennes se préparent à affronter la sélection anglaise.
Arrivé à Rimouski lors du lancement des Pionniers football en 2002, l’ex-entraîneur-chef de l’équipe, Éric Avon, se lance maintenant en politique municipale. Il mènera la campagne électorale pour se faire élire comme conseiller dans le district Saint-Odile.
Enseignant au Cégep de Rimouski en techniques administratives, monsieur Avon a été travaillé au sein des Pionniers de 2002 à 2004, de 2006 à 2009 et de 2015 à 2021.
Directeur général adjoint des Jeux du Québec en 2023 à Rimouski, il collabore de nouveau avec les Pionniers depuis l’an dernier, maintenant comme vice-président football au sein du conseil d’administration.
« Ca fait 23 ans que je suis ici et je m’implique pour le bien-être de ma ville depuis tout ce temps. Avec mes expériences diverses à travers les organisations auxquelles j’ai collaboré, j’ai vu ce qu’était le rôle de conseiller et ca m’a donné l’envie d’en faire plus pour ma ville », indique monsieur Avon dans un communication avec Le Soir.ca.
S’ils sont élus, Éric Avon pourrait rejoindre son bon ami Jocelyn Pelletier. Le conseiller sortant de Saint-Robert, sur les rangs pour novembre prochain, fait aussi partie du CA des Pionniers football à titre d’administrateur et responsable des événements.
La Société des Transports de Rimouski a pris part à l'initiative en rendant le transport en autobus gratuit.
Evan Dépatie et William Lacelle, de l’Océanic, se retrouvent sur l’Équipe de la semaine dans la LHJMQ grâce à leurs performances contre le Drakkar de Baie-Comeau en levée de rideau de la saison 2025-2026.
Le défenseur de 19 ans a amassant quatre points (1-3) et cumulé un différentiel de +1, vendredi et samedi, dans les rencontres présentées au Colisée Financière Sun Life.
Pour sa part, Lacelle a remporté les deux victoires de la fin de semaine devant le filet rimouskois, avec une moyenne de buts alloués de 2,50 et un pourcentage d’efficacité à ,906%.
En attaque, Matt Gosselin de l’Armada de Blainville-Boisbriand (2PJ-5-2, +2), l’ex-Océanic Tyson Goguen, maintenant avec le Régiment de Terre-Neuve (2PJ-4-2, +3) et Alex Mercier des Wildcats de Moncton (2PJ-4B-1A, +2) font aussi partie de l’Équipe de la semaine en attaque.
Simon-Pier Brunet des Tigres de Victoriaville (2PJ-0B-4A, -1) accompagne Dépatie et Lacelle en défensive.
La mère d’une adolescente de Mont-Joli, victime d’intimidation, dénonce la situation sur les réseaux sociaux. Âgée de 13 ans, Anaïs s’est récemment fait dire de « se mettre la corde au cou » et que « la corde ne tiendrait pas » sous son poids.
C’est à la suite d’une publication sur TikTok que ces commentaires ont été faits.
« Nous avons fait une plainte au criminel et ça n’a pas été retenu parce qu’il n’y avait pas le mot » pendre » dans la phrase », explique la mère d’Anaïs, Jenny Guillemette.
Selon elle, sa fille se fait intimider par rapport à son apparence physique depuis qu’elle a commencé la maternelle, se faisant souvent dire que « la terre tremble quand elle s’en vient ».
« Il y a eu des contrats qui ont été signés et des récidives. Nous sommes rendus aux contrats de non-violence et de non-intimidation qui s’étendent en dehors du territoire de l’école. Ça tourne toujours en rond, ça ne fonctionne pas. Le système d’éducation est désuet. Les contrats et les pancartes contre l’intimidation, ce n’est pas assez. »
Jenny Guillemette demande que des sanctions soient apportées.
« La direction du Mistral et le travailleur social font ce qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont, mais ils ont une loi au-dessus d’eux qui les empêchent probablement d’agir comme il le faudrait. »
La mère d’Anaïs a retiré sa fille de l’école puisqu’elle ne s’y sentait plus en sécurité.
« Les intimidateurs sont scolarisés et ma fille est pognée à la maison. Ça va prendre un bon montant d’argent pour que je puisse la scolariser à la maison. Mon mari travaille et je suis en congé de maternité. Je ne suis pas enseignante, je travaille dans un domaine complètement différent. Nous n’avons pas les ressources pour l’aider. »
La publication a été faite vendredi soir sur Facebook par Jenny Guillemette pour dénoncer ce que vit sa fille. Elle a été partagée à plus de 7 600 reprises en date de ce lundi 22 septembre. Des personnalités publiques ont démontré leur appui.
« Je sens un soutien de la population et ça nous touche beaucoup. Anaïs et moi espérons que ça brasse les choses au niveau de l’intimidation. On ne veut pas juste sensibiliser, on veut que ça bouscule et que les gens se réveillent parce que ça brise des vies. »
Par courriel, le Centre de services scolaire (CSS) des Phares affirme que tous les actes d’intimidation et de violence sont pris avec le plus grand sérieux.
La coordonnatrice aux communications pour la direction générale, Zoé Ross-Lévesque, affirme que chaque situation portée à l’attention du CCS est analysée et traitée conformément au Plan de lutte contre l’intimidation et la violence de chaque école.
« Ce plan encadre nos interventions afin d’assurer une réponse rapide, cohérente et équitable, incluant le soutien à la victime, la prise en charge de l’élève auteur, l’accompagnement des témoins ainsi que la collaboration étroite avec les parents et les partenaires. Notre engagement demeure clair : offrir à chaque élève un environnement d’apprentissage sain, sécuritaire et respectueux », explique-t-elle.
Alors qu’elle semblait vouloir s’implanter dans la Cité des Achats il y a près d’un an, la chaîne de restauration Starbucks affirme qu’il n’y a toujours rien de concret concernant une éventuelle installation à Rimouski.
« Pour le moment, nous n’avons aucune information à partager ou à confirmer, mais nous ne manquerons pas de vous revenir dès que des détails seront disponibles », a répondu Katherine Miller Rowan, directrice des relations publiques chez Exacto Communications, à un courriel du Soir.ca qui cherchait à savoir s’il y avait du nouveau dans ce dossier.
Selon nos informations, Starbucks souhaitait s’établir au centre-ville de Rimouski dans l’ancien restaurant Poulet Frit Kentucky.
Devant cette possibilité, les élus ont toutefois adopté, en janvier dernier, un règlement interdisant les services au volant dans les zones commerciales comprises entre l’avenue Belzile et la rue Lavoie, au nord de la rue de l’Évêché.
Le maire de Rimouski, Guy Caron, avait alors indiqué que l’objectif du règlement était de réduire la congestion routière et d’améliorer la sécurité des piétons au centre-ville.
La Ville voulait notamment prévenir les embouteillages sur la rue Saint-Germain Ouest ainsi que les risques d’accidents liés à la sortie des voitures du service au volant sur le boulevard René-Lepage.
Ce règlement ne s’applique toutefois pas au service au volant du A&W, qui bénéficie d’une « clause grand-père ».
L'homme d'affaires compte briguer le poste de maire de la ville de Rivière-du-Loup.
Cette semaine à « Rendez-Vous Nature », 2025 est une saison de chasse permissive avec plus d’orignaux à récolter, mais moins d’agents pour les protéger.
En entrevue avec Ernie Wells, le président du syndicat des agents, Martin Perreault, estime que la faune est menacée plus que jamais.
Des chasseurs se débarrassent souvent trop vite d’une venaison qui malgré des points blancs, vers ou larves logées dans la viande sauvage, demeure propre à la consommation humaine, selon un spécialiste des maladies de la faune, le médecin vétérinaire Denis Harvey.
Et notre chroniqueur Alexis Nantel propose cinq randonnées au Québec, en Ontario et au Nouveau Brunswick.
Tout cela à « Rendez-Vous Nature ». Cliquez sur le lien ci-bas.
L'homme d'affaires Christian Pelletier sera candidat à la mairie de Rivière-du-Loup. Les passionnées de motoneige préoccupés par des problèmes climatiques et économiques. C'est la Journée sans voiture et le transport collectif est gratuit à Rimouski.
Le deuxième camp d’entraînement officiel de Maxim Massé avec les Ducks d’Anaheim aura été de courte durée. Le Rimouskois a fait partie de la première vague de retranchements effectuée samedi, tout comme son coéquipier chez les Saguenéens de Chicoutimi, Émile Guité.
Choix de troisième tour des Ducks en 2024, Massé entame sa 4e saison dans les Saguenéens. Il a disputé son premier match, dimanche, blanchi contre les Remparts de Québec.
L’an dernier, Maxim Massé avait compilé une fiche de 33-26-59 en 47 parties. Une blessure à la cheville l’a tenu à l’écart du jeu pendant sept semaines, en octobre et novembre.
Il pourrait affronter son frère Alex, maintenant membre de l’Océanic, alors que les Saguenéens disputeront un programme double, en fin de semaine prochaine, au Colisée Financière Sun Life.
À Rimouski, les services Citébus et Taxibus sont gratuits pour l'ensemble des trajets du réseau, lundi.
La Ville de Rimouski confirme qu’aucune stratégie n’a été établie, pour le moment, afin de vendre ou promouvoir les deux terrains commerciaux, situés aux abords du magasin-entrepôt Costco, qui pourraient accueillir d’autres gros détaillants qui souhaitent s’installer dans la Cité des achats.
« La stratégie n’est pas encore établie et ne le sera pas à court terme. Il appartiendra au nouveau conseil municipal de consolider cette stratégie dans les prochains mois », rapporte son conseiller aux communications et relations médias, Frédéric Savard.
Il s’agit des terrains pour lesquels le boulevard Arthur-Buies a été prolongé vers l’est, au printemps 2024. En vue de l’arrivée de Costco, il était prévu que le boulevard soit allongé de 200 mètres pour afin d’y développer autant de terrains commerciaux pour des ventes éventuelles.
À Lévis, l’ouverture du Costco en 2015 a permis d’accélérer le développement du Carrefour Saint-Romuald, qui contient aujourd’hui plusieurs enseignes réputées, dont Avril, Latulippe, Mondou et Cochon Dingue.
« Costco faisait partie d’un projet quand même important de développement dans le Grand Lévis. Évidemment, recevoir une bannière aussi importante que celle de Costco était vue d’un bon œil à l’époque. Aujourd’hui, d’autres bannières se sont installées au Carrefour Saint-Romuald parce qu’elles ont vu qu’il y avait une opportunité. On sait qu’un Costco, c’est attractif. Les gens y vont et ils viennent parfois de loin », mentionnait la présidente-directrice générale de la Chambre de commerce du Grand Lévis, Marie-Josée Morency, en entrevue avec Le Soir en novembre 2024.
En ce qui concerne la possibilité que l’achalandage du centre-ville de Rimouski se déplace vers la Cité des achats où se trouve Costco, d’une manière semblable à ce qui est arrivé à Lévis, madame Morency précisait qu’il s’agit d’une question de stratégie.
« Notre centre-ville constitue un drôle de débat. Lorsqu’on regarde Lévis, on voit que c’est une ville très longitudinale. Le vrai centre-ville se trouve au quai Paquet, mais il n’est pas à proximité des ponts, alors qu’ils ont toujours constitué le centre-ville. Il y avait une opportunité d’implantation à proximité aussi de l’autoroute 73 et de l’autoroute 20. C’était donc stratégique de se positionner-là. »
Elle estimait d’ailleurs que l’arrivée de Costco à Rimouski demeurait un avantage pour les commerces locaux, à condition qu’ils puissent se démarquer.
« Les petits commerçants qui s’implantent autour d’un Costco, je ne le répèterai jamais assez : il faut qu’ils se fassent voir. Ils doivent avoir des sites Internet, des cartes de visite et qu’il y ait une différenciation dans les services qu’ils offrent, peut-être même des cartes de fidélisation. Ces commerces peuvent toujours se démarquer d’un Costco, j’y crois, mais il faut aller chercher, justement, notre différenciation. »
La période de mises en candidature pour les élections municipales du 2 novembre débute qu’on voit une lutte intéressante se dessiner à Sainte-Luce où Yolande Hould s’oppose à la mairesse sortante, Micheline Barriault, à la tête d’un nouveau parti, l’Alliance citoyenne.
La candidature de madame Hould est officialisée sur le site d’Élections Québec, tout comme celle de Keven Gagnon et d’Alexandre Dionne aux postes de conseillers 1 et 5 respectivement. Les deux sous les couleurs de l’Alliance citoyenne.
Alexandre Dionne est bien connu pour son implication en tant qu’ancien directeur général de la zec de la rivière Mitis.
Selon nos informations, l’Alliance citoyenne aura un candidat à chaque poste contre l’équipe de Micheline Barriault.
Louise Boulay, de Sayabec, a été condamnée, le 15 septembre septembre, à 12 mois de prison ferme au palais de justice d’Amqui pour avoir fraudé un octogénaire analphabète de près de 40 000$.
La femme de 65 ans, qui s’est notamment fait connaître comme membre de l’exécutif et « directrice de politique » de l’Association du Parti conservateur du Québec de la circonscription de Matane-Matapédia lors des dernières élections provinciales, devra également une probation de 36 mois à sa sortie.
Le juge James Rondeau a également imposé plusieurs conditions strictes, notamment l’interdiction de communiquer avec sa victime et les membres de sa famille ainsi que l’obligation de se soumettre à un suivi psychologique.
La fraude remonte à décembre 2021. Louise Boulay, qui était la voisine de sa victime, avait gagné la pleine confiance de cet homme, aujourd’hui âgé de 86 ans, qui ne savait ni lire ni écrire.
Ayant obtenu ses informations personnelles, elle a effectué 12 transactions sur la carte de crédit de sa victime pour un montant total de 36 180 $.
L’octogénaire avait également prêté 3200 $ à sa voisine, qui ne lui a remboursé que 100$ depuis. Considérant que la victime avait volontairement divulgué ses informations bancaires, Desjardins n’a jamais cessé de lui réclamer la somme qui, avec les intérêts, s’élevait à plus de 50 000$.
Malgré un revenu annuel d’environ 75 000$ et le prix de son loyer, qui n’est que de 375$, la fraudeuse a indiqué au tribunal être incapable de rembourser la dette.
« Ça ne vous a pas empêchée d’aller en République dominicaine pendant six mois », a fait remarquer le procureur de la poursuite, Me Simon Blanchette, à l’endroit de l’accusée.
La fille de la victime a témoigné des conséquences dévastatrices de cette fraude sur son père.
Harcelé par les agences de recouvrement, l’homme de 86 ans a sombré dans une détresse si profonde qu’il a fait l’objet de deux interventions ambulancières et policières, après avoir exprimé des idées suicidaires.
« Il disait que ça ne valait plus la peine de continuer, que tout était ligué contre lui », a relaté sa fille d’une voix brisée par l’émotion. Son père est si démuni financièrement, que la femme doit désormais assumer le remboursement du prêt qu’il a contracté pour l’achat de sa voiture.
Louise Boulay a présenté un parcours de vie contrasté lors de son témoignage. Ancienne militaire pendant 11 ans dans les Forces armées canadiennes, elle détient une maîtrise en sciences de l’orientation obtenue en 1994.
Depuis un accident de travail dont elle a été victime en 2000, elle vit d’indemnités de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST). Récemment, l’accusée a effectué trois missions bénévoles en Côte d’Ivoire pour la protection des enfants.
La contrevenante souffre de multiples problèmes de santé physique et mentale, incluant des troubles anxieux et de stress post-traumatique, notamment pour des agressions sexuelles qu’elle aurait subies par le passé. Elle a été suivie en psychiatrie à plusieurs reprises et prend de nombreux médicaments.
Louise Boulay a tenté d’expliquer ses gestes en invoquant sa propre victimisation dans une fraude amoureuse. Elle a affirmé avoir été manipulée par un homme qui prétendait avoir des problèmes médicaux et financiers.
« J’ai été naïve, a-t-elle déclaré, ajoutant souffrir d’amnésie concernant les détails de la fraude qu’elle a commise en 2021. J’étais dans une situation vulnérable. Je n’étais pas dans une situation pour prendre des décisions éclairées. Je m’en veux. J’ai honte. Je suis une victime. »
Le juge James Rondeau n’a accordé aucune crédibilité au témoignage de la sexagénaire. « Vous êtes une personne contrôlante. Vous sélectionnez les questions auxquelles vous voulez répondre. Vous êtes une manipulatrice. C’est le propre des fraudeurs pour arriver à leurs fins. »
Le magistrat a souligné le caractère prémédité de la fraude. « Vous avez choisi votre victime, qui avait confiance en vous. Vous avez utilisé tout votre pedigree pour obtenir sa confiance. Vous avez effectué douze transactions frauduleuses. Pas une transaction, mais douze! »
Concernant l’histoire entourant la fraude amoureuse invoquée par la défense, le juge l’a qualifiée d’«inventée de toutes pièces», ajoutant du même souffle qu’il avait de la difficulté à croire aux regrets exprimés par l’inculpée.
La peine étant immédiate, Louise Boulay a quitté la salle d’audience escortée par deux constables spéciaux pour être conduite directement au centre de détention.
Le juge a estimé qu’une peine à purger dans la collectivité, comme le demandait la défense, « n’aurait pas eu de conséquences dissuasives » pour ce type de crime visant des personnes vulnérables.
Pour souligner son anniveraire, le Comité Zip est à la recherche d'histoires de pêche sur son territoire.
Malgré le départ fracassant de son ancienne ministre Maïté Blanchette Vézina, François Legault assure que la « grande majorité des députés » caquistes sont derrière lui et son nouveau plan pour relancer son gouvernement.
Par Thomas Laberge- La Presse Canadienne
Le premier ministre répondait aux questions de Guy A. Lepage sur le plateau de «Tout le monde en parle» dimanche soir.
Madame Blanchette Vézina a provoqué un coup de tonnerre à l’Assemblée nationale, jeudi, en annonçant qu’elle quittait le caucus caquiste une semaine après avoir perdu son poste de ministre des Ressources naturelles et des Forêts. Elle a aussi invité le premier ministre à céder sa place.
François Legault a affirmé que ce qui s’est passé avec son ancienne ministre fait partie des risques de faire un remaniement ministériel et qu’il s’attendait à une « réaction très négative ».
« Il peut peut-être y avoir encore quelques députés qui sont déçus de ne pas avoir été choisis comme ministres », a tout de même admis François Legault.
Monsieur Legault a aussi exclu de son cabinet François Bonnardel, qui a été ministre des Transports et ministre de la Sécurité publique. Monsieur Bonnardel s’est dit « extrêmement déçu de la tournure des événements ».
La Coalition avenir Québec est malmenée dans les intentions de vote. Selon l’agrégateur de sondages Qc125, si des élections avaient lieu aujourd’hui, le parti de François Legault serait rayé de la carte.
François Legault a également indiqué que son gouvernement allait déposer un projet de loi qui vise à accélérer les grands projets à l’instar du projet de loi C-5 du premier ministre canadien Mark Carney.
«On va déposer un projet de loi équivalent. Entre nous, on l’appelle Q-5, et où on veut que les projets démarrent plus rapidement, entre autres avec les autorisations environnementales», a expliqué le premier ministre.
Rappelons que François Legault a nommé le ministre Bernard Drainville à l’Environnement avec comme mandat de réduire la bureaucratie et les délais des autorisations environnementales.
« Avec Donald Trump, on est en train de perdre beaucoup d’emplois partout au Canada. Il faut remplacer ces emplois-là. On a entre autres 200 milliards de projets chez Hydro-Québec. On a des projets dans les minéraux critiques. On a des projets dans la défense, dans l’intelligence artificielle, mais actuellement, ça prend des années pour avoir les autorisations environnementales », a ajouté monsieur Legault.
Le projet de loi C-5 du fédéral a été adopté en juin dernier pour devenir la Loi visant à bâtir le Canada. Il y a deux semaines, Ottawa a annoncé les cinq premiers projets d’intérêt national qui seront accélérés avec la nouvelle loi.
Formule Subaru de Rimouski annonce la nomination de Ian Guité à titre de directeur des ventes adjoint.
Longtemps associé à Bell Média comme directeur de comptes multiplateformes, monsieur Guité travaille depuis 17 ans en vente, représentation, publicité et marketing.
Il épaulera Clermont Pigeon dans la gestion quotidienne de la concession, avec pour mandat d’assurer la continuité des opérations.
Cette nomination survient moins d’une semaine après l’inauguration, par l’Équipe Formule, de sa nouvelle concession Formule Kia, un projet de 6 M$ construit sur le boulevard Sainte-Anne.
Un comité tente d'assurer la pérennité du service d'obstétrique à Notre-Dame-du-Lac.
La campagne électorale municipale est lancée. Caroline Cyr et Charles Alexandre Tisseyre nous parlent des responsabilités grandissantes des municipalités, dans un contexte où les défis financiers sont importants.
Même si la construction des cinq bâtiments totalisant 30 unités de logements du projet de C Métis à Métis-sur-Mer est presque complétée, les logements ne seront pas disponibles avant le printemps 2026, puisque la Ville ne pourra pas faire les travaux d’infrastructures avant cela.
« Les plans et devis sont terminés, mais on va devoir aller en appel d’offres afin de connaître les coûts et ensuite faire un règlement d’emprunt pour combler le financement qui manquera une fois que nous connaîtrons le montant des subventions via les programmes gouvernementaux où nous avons appliqué », indique le maire Jean-Pierre Pelletier, qui quitte la mairie après 35 ans en politique municipale.
Il assure qu’il ne quitte pas en raison de ce dossier et il mentionne que les relations sont toujours au beau fixe avec le promoteur C Métis.
« C’est sûr qu’ils ont hâte de pouvoir accueillir des locataires, mais ils comprennent que la Ville a un processus à respecter ».
Parlant d’étapes et de processus, la Ville doit entamer un processus de rétrocession du terrain de la rue menant à la Place des Marroniers qu’elle avait donné à C Métis.
Pour adopter un règlement d’emprunt, la Ville de Métis-sur-Mer doit être propriétaire du terrain où seront installées les infrastructures.
Le président-directeur général de C Métis, Philippe Dufort, comprend la situation dans laquelle se trouve la Ville de Métis-sur-Mer.
« Rien ne change de notre côté. Nous serons prêts lorsque notre partenaire municipal le sera. C’est évident que nous voudrions tous que les logements soient disponibles au plus vite étant donné que les besoins sont urgents. Toutefois, il faut se rappeler que ce n’est qu’un délai de quelques mois. Il faut laisser le temps à la municipalité de bien faire son travail », a-t-il réagi aux propos du maire Pelletier.
« Nous nous adapterons aux échéances de la municipalité et nous serons prêts à livrer les 30 unités abordables lorsque la ville aura terminé ces travaux. Nous savons que leur administration travaille fort à l’avancement de ce dossier », précise monsieur Dufort.
« L’ensemble des logements totalisent six unités de 4 et 1/2 et 24 unités des 3 1/2. Chaque appartement à son balcon avec vue sur le fleuve. Il y a un grand engouement pour ces unités, particulièrement auprès des familles et des aînées. De nombreuses familles nous ont aussi déjà confirmé qu’elles souhaitent construire leurs maisons dans ce nouveau développement », poursuit-il.
Rappelons qu’en mars dernier, le conseil municipal de Métis-sur-Mer avait décidé d’annuler le processus menant à l’adoption d’un règlement d’emprunt de 3 M$ devant servir à installer les infrastructures d’aqueduc et d’égout à la Place des Marronniers, là où l’organisme CMétis a déjà érigé cinq immeubles de six logements pour son projet d’écoquartier.
De nombreux citoyens avaient signé le registre afin de demander la tenue d’un référendum sur la question.
Ils mentionnaient manquer d’information. Le promoteur s’était engagé à transmettre davantage d’information.
L’attente est terminée pour les 56 appartements de Logeri alors que les premiers occupants ont commencé à aménager sur la rue Alcide C. Horth, le 13 septembre dernier.
Le retard dans le financement du projet avait retardé l’arrivée des premiers occupants. Tous les logements devraient être habités à la fin du mois de septembre.
« C’est un projet de 20 M$ que nous réalisons en collaboration avec le Groupe Tanguay, qui est le promoteur et qui le revendra à la Logeri une fois complétée », indiquait Marc Pigeon, de Technipro BSL, au moment de la construction.
La Société d’habitation du Québec (SHQ) a investit 9,3 M$ pour l’érection de cet édifice destiné aux personnes autonomes de 65 ans et plus. Il contient principalement des appartements de trois pièces et demie.
La Ville de Rimouski s’acquitte de 3,8 M$ en permettant des congés de taxes foncières pour les 35 prochaines années. Le reste de la facture, soit près de 7 M$, appartient à Logeri Inc.
En 2024, la députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, en avait fait l’annonce en compagnie du maire Guy Caron ainsi que du président de la corporation Logeri Inc. et conseiller du district Nazareth, Rodrigue Joncas.
Le conseil municipal de Rimouski a entériné la nomination de Marina Soubirou au poste de directrice du Service du développement économique et touristique de la Ville de Rimouski, elle qui avait été embauché à titre de conseillère stratégique en décembre 2024, à la suite de la faillite de la SOPER.
Son premier mandat avait justement été de mettre en place le Service du développement économique et touristique de la Ville de Rimouski qu’elle va officiellement diriger à la suite de sa nouvelle promotion.
« Nous avons une entente intermunicipale entre la ville et la MRC dans laquelle la ville va gérer sur son territoire et la MRC pour les autres municipalités rurales. Il y a donc deux guichets uniques pour les entreprises selon leur emplacement, soit la Ville ou la MRC. Il n’y aura pas de nouveaux organismes. Ce sont des services qui vont être intégrés aux équipes municipales », mentionnait madame Soubirou au Soir.ca dans les semaines suivants son embauche.
Elle estime que le développement économique passe par une bonne planification et une promotion du territoire.
« Il y a le soutien à l’entrepreneuriat, mais la compétence en développement économique va au-delà de cela. Nous allons faire un travail de planification de stratégies économiques et d’intelligence économique pour notre territoire. Nous allons faire un travail de promotion économique pour notre territoire. Tous ces aspects seront traités par le service de développement économique de la Ville de Rimouski », précise Marina Soubirou.
Embauchée comme directrice générale de la SOPER en juin 2024, madame Soubirou faisait partie des 14 employés remerciés à la suite de la faillite de l’organisme.
Avant de se joindre à la SOPER, elle a été directrice générale de Technopole maritime du Québec, organisme à but non lucratif qui travaille à la promotion et au développement des secteurs maritimes innovants.
Marina Soubirou a aussi été coordonnatrice de Groupe récréotourisme durable, un organisme environnemental, en 2020-2021.
Elle a aussi oeuvré en France en développement durable des territoires et en entrepreneuriat.
Les Pionniers du Cégep de Rimouski en hockey ont porté à trois leur série de victoires en ce début de saison dans la Ligue collégiale du Québec.
Samedi au Complexe sportif Desjardins, ils ont remporté leur première partie à la maison en ayant le meilleur sur les Titans du Cégep de Limoilou par la marque de 5-1 après avoir concédé le premier filet de la rencontre.
Jérémie Leclerc a dirigé l’offensive avec deux buts et une passe. Nicholas Laliberté, Emerick Ellyson et Émile Vachon ont aussi marqué. Le gardien William Castonguay a repoussé 28 rondelles dans la victoire.
« Un premier match à la maison réussi. Je suis satisfait du niveau d’effort des joueurs qui ont su se relever après un premier but rapide de Limoilou. Tous les joueurs ont contribué à cette première victoire à domicile. Un merci à tous les partisans qui nous ont accueillis pour ce match d’ouverture », mentionne l’entraineur-chef, Nicholas Duchesne.
Pour leur part, les Pionnières jouaient leurs premières parties de la saison. Elles ont perdu par des pointages serrés de 2-1 et 2-0.
Samedi, ce sont les Lynx du Cégep Édouard-Montpetit qui ont eu le meilleur. Amy D’Amours a le seul but des Pionnières. Ariel Fortin, qui a fait face à 38 lancers, a bien fait dans la défaite.
« On a joué un bon match dans l’ensemble. L’effort était au rendez-vous, mais quelques erreurs défensives auront permis à notre adversaire de prendre les devants 2-0. On a eu un bel effort ensuite pour revenir dans le match avec plusieurs chances, mais c’était trop peu trop tard », explique Jean-François Duchesne.
Dimanche, les Filons du Cégep de Thetford ont gagné par blanchissage. Ce fut le tour de Laurence Charest de s’illustrer devant son filet avec 40 arrêts.
« Nous avons joué deux bonnes périodes. En deuxième, nous avons arrêté de bien travailler et avons relâché nos habitudes de travail, ce qui nous a fait très mal. Nous devrons trouver des manières de capitaliser », souligne l’entraineur-chef tout en ajoutant que ses deux gardiennes ont été impeccables devant le filet.
Les Pionnières prendront la direction de Gatineau pour un double contre les Hurricanes du Cégep Heritage, samedi (17 h) et dimanche (15 h).
Pour leur part, les Pionniers tenteront de poursuivre leur séquence victorieuse en visitant les Jeannois d’Alma, samedi (14 h) et dimanche (13 h)
Il arrive parfois qu’un nom gravé sur une plaque de rue cache une histoire extraordinaire. C’est le cas de Séraphin Morissette, dont une voie de Rimouski perpétue la mémoire, sans que la plupart des citoyens connaissent véritablement l’homme derrière ce patronyme.
Né à Saint-Donat-de-Rimouski en 1893, Séraphin Morissette incarne l’esprit d’entreprise et l’engagement social de sa génération. Diplômé de l’Académie commerciale de Mont-Joli en 1911, il n’a que 20 ans lorsqu’il s’installe à Rimouski en 1914 pour travailler dans le domaine des assurances. Il ne se doutait pas qu’il deviendrait, quelques semaines plus tard, le témoin privilégié de la plus grande tragédie maritime de l’histoire canadienne.
Le 29 mai 1914, l’Empress of Ireland sombre au large de Sainte-Luce, emportant avec lui plus de 1000 vies. Fraîchement arrivé à Rimouski, Séraphin observe les conséquences du drame sur sa ville d’adoption.
Selon le jeune homme, la paisible municipalité, qui comptait à l’époque quelque 3200 habitants, s’est transformée en un théâtre de désolation. Ses écrits nous livrent un témoignage saisissant. « La ville était remplie de rescapés. Il y en avait dans toutes les maisons ou presque et les hôtels en regorgeaient. »
Mais, c’est au quai de Rimouski que Séraphin voit l’horreur dans sa forme la plus pure. Sa description du hangar où s’entassaient les corps des victimes est poignante. Devant lui gisent une soixantaine de cadavres d’hommes, de femmes et d’enfants, plus ou moins recouverts de laizes de coton jaune. « Ces images se sont photographiées dans mon esprit pour ne plus jamais le quitter », écrit-il.
Au-delà de ce témoignage historique exceptionnel, Séraphin Morissette était un homme aux multiples talents.
Agent d’assurance devenu gérant de la Compagnie de transport du Bas-Saint-Laurent, propriété de l’homme d’affaires Jules-A. Brillant, il était aussi journaliste sous le pseudonyme d’Oncle Pierre, auteur de sketches radiophoniques à la station CJBR de Rimouski et acteur.
Autodidacte passionné, il s’investissait dans de nombreuses causes sociales, présidant tour à tour le Club Richelieu-Rimouski, la Société Saint-Jean-Baptiste et le Comité de Rimouski de l’Institut national canadien pour les aveugles.
Rencontrée par Le Soir, sa petite-fille, Michèle Gagnon, garde de son grand-père maternel le souvenir d’un intellectuel curieux, sarcastique et ironique, qui tenait même une liste des personnes qu’il avait rencontrées dans sa vie. Un détail qui en dit long sur l’illustre personnage, « avantageusement connu à Rimouski », notamment pour son érudition et pour son succès en carrière.
Décédé en 1954 à l’âge de 59 ans, Séraphin Morissette a eu droit à des funérailles dignes de son statut : cinq voitures de fleurs accompagnaient sa dépouille.
Aujourd’hui, seule une rue de Rimouski perpétue son souvenir. Mais, ses écrits et son témoignage sur la tragédie de l’Empress of Ireland, que sa petite-fille Michèle conserve jalousement, demeurent des documents historiques d’une valeur inestimable.
Ainsi, la mémoire de Séraphin Morissette nous rappelle que derrière chaque époque se cachent des témoins dont les mots traversent les générations pour exprimer l’indicible.
Le défi Ensemble vers le sommet, organisé le 20 septembre par la Fondation de l’école Paul-Hubert, a permis d’amasser 4 590$ pour soutenir la réussite scolaire des élèves de l’école.
Grâce à la mobilisation des participants et à la générosité des donateurs, une douzaine de marcheurs ont parcouru le sentier des Murailles et gravi le pic Champlain, deux randonnées emblématiques du parc national du Bic.
Les fonds recueillis permettront à la Fondation d’appuyer des initiatives favorisant la persévérance scolaire, particulièrement pour les jeunes issus de familles en situation financière précaire.
Ceux qui souhaitent encore contribuer peuvent le faire en visitant le site de la Fondation de l’école Paul-Hubert.
À chaque saison de la chasse des grands gibiers, des chasseurs déplorent la perte de leur bête et de sa venaison, difficilement et chèrement acquise. Elle peut être minée par des parasites, des kystes et d’infections observés sur la viande sauvage.
À contre-cœur, le chasseur se sent obligé de se débarrasser de cette succulente venaison, souhaitée de longue date en prévision de bons repas de « viande de bois », partagés avec la famille et les amis.
La viande de gibier est une source importante de vitamines A et C, de calcium, de fer, de protéines et qui est bénéfique pour la santé et naturelle.
Cette semaine à « Rendez-Vous Nature », la question se pose : est-ce que le chasseur doit se débarrasser d’une venaison qui malgré son apparence, parfois douteuse et non appétissante, demeure sans danger à la consommation humaine ?
Certaines précautions et de savoir-faire peuvent éviter l’abandon d’une venaison qui n’a pas de prix.
Pour faire de la lumière sur cette question, « Rendez-Vous Nature » interpelle une sommité en la matière.
Le médecin vétérinaire Denis Harvey, ex-professeur-clinicien à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, formateur dans les communautés autochtones et spécialiste des maladies de la faune et de la manipulation de la viande sauvage parle de la normalité des parasites chez les grands gibiers.
Coauteur de l’ouvrage « Orignal, son habitat, sa biologie, sa chasse », ce passionné et guide de chasse au Québec et à Terre-Neuve rappelle qu’ils font partie de la nature et des écosystèmes. Des points blancs, même noirs dans la viande rouge d’un orignal, et même d’un cerf, sont très fréquents. Un orignal sur deux en est porteur.
Mais comment l’orignal ou le cerf en arrive-t-il à se contaminer ? Fort simple. L’orignal mange des plantes et des herbes au sol qui sont infectés par le fumier de coyotes, qui est la principale source de la contamination du grand cervidé.
De plus, les chasseurs vont abandonner sur les lieux de leur récolte, le cœur et le foie d’un orignal ou d’un chevreuil. Les coyotes et les loups, mangent ces abats, ce qui vient favoriser le cycle de la contamination.
Le cycle se poursuit quand les coyotes et loups absorbent des larves qui deviennent des vers adultes qui pondent ensuite leurs orufs.
Après avoir ciblé et récolté son gibier, le chasseur l’éviscère et retire les organes internes de la bête, essentiellement l’estomac, le cœur, le foie et les intestins d’un cervidé qui peut être porteur de parasites.
Le nemrod aurait donc tout intérêt, pouf lui et pour les autres, à enterrer les viscères, coupant ainsi la chaîne de transmission des parasites par les canidés qui dispersent leurs fumiers dans la nature.
Le Dr. Harvey se prononce aussi sur la fréquence de la consommation de la venaison du cerf et de l’orignal, et aussi celle plus complexe de l’ours noir, un gibier de plus en plus prisé par les chasseurs québécois.
Le scientifique fournit des informations sur la cuisson de la viande qui élimine des risques de contamination de la viande sauvage chez l’humain.
Et ne pas consommer de la viande d’ours de couleur rose. Surtout qu’il est impossible de savoir si un ours récolté est porteur ou non de la trichinellose, une maladie causée par un parasite, qui invisible à l’oeil nu, qui peut causer une intoxication alimentaire chez les humains si la viande n’est pas suffisamment cuite.
Et ne jamais donner de viande crue aux animaux domestiques qui peuvent consommer un parasite et ensuite le transmettre aux humains. La viande de gibier se fait sentir. Quand la venaison ne sent pas bon, elle n’est pas bonne?
Une entrevue sur la consommation de la viande sauvage, avec le Dr. Denis Harvey cette semaine à « Rendez-Vous Nature ». Cliquez sur le lien ci-haut.
Enjeux climatiques et économiques marquent profondément l'industrie.
La députée indépendante de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, confirme avoir été sollicitée pour se présenter à la mairie de Rimouski en vue des élections municipales du 2 novembre.
« On m’a beaucoup approché. D’ailleurs, c’est une belle marque de confiance que les gens ont envers moi. Ça me touche beaucoup, mais je n’ai pas envisagé d’aller à la mairie. Ça a toujours été clair que je terminais mon mandat pour les citoyens de Rimouski », a-t-elle confirmé.
Plusieurs acteurs proches de l’hôtel de ville et dans certains cercles économiques de Rimouski avaient confié au Soir espérer un duel entre Maïté Blanchette Vézina et Guy Caron.
« Son parcours professionnel, ses contacts politiques et sa connaissance des dossiers lui donnent l’étoffe pour diriger une ville comme Rimouski. Plusieurs candidats potentiels, qui se disent en réflexion, attendent en fait de savoir ce que Maïté décidera », soulignait une source près de l’hôtel de ville.
La politicienne a indiqué qu’elle allait se représenter aux prochaines élections provinciales de 2026. Elle ne ferme pas la porte à retourner vers la CAQ advenant un départ de François Legault comme chef.
« Si je retourne avec une formation politique, ça devra être en cohérence avec mes valeurs et une vision claire du développement régional. Pour l’instant, je demeure indépendante jusqu’à la fin du mandat. »
Après avoir amené près de 1000 logements financés par le gouvernement depuis le début de son mandat, Maïté Blanchette Vézina souhaite miser sur le développement économique dans la prochaine année.
La députée indépendante de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, confirme avoir été sollicitée pour se présenter à la mairie de Rimouski en vue des élections municipales du 2 novembre.
« On m’a beaucoup approché. D’ailleurs, c’est une belle marque de confiance que les gens ont envers moi. Ça me touche beaucoup, mais je n’ai pas envisagé d’aller à la mairie. Ça a toujours été clair que je terminais mon mandat pour les citoyens de Rimouski », a-t-elle confirmé.
Plusieurs acteurs proches de l’hôtel de ville et dans certains cercles économiques de Rimouski avaient confié au Soir espérer un duel entre Maïté Blanchette Vézina et Guy Caron.
« Son parcours professionnel, ses contacts politiques et sa connaissance des dossiers lui donnent l’étoffe pour diriger une ville comme Rimouski. Plusieurs candidats potentiels, qui se disent en réflexion, attendent en fait de savoir ce que Maïté décidera », soulignait une source près de l’hôtel de ville.
La politicienne a indiqué qu’elle allait se représenter aux prochaines élections provinciales de 2026. Elle ne ferme pas la porte à retourner vers la CAQ advenant un départ de François Legault comme chef.
« Si je retourne avec une formation politique, ça devra être en cohérence avec mes valeurs et une vision claire du développement régional. Pour l’instant, je demeure indépendante jusqu’à la fin du mandat. »
Après avoir amené près de 1000 logements financés par le gouvernement depuis le début de son mandat, Maïté Blanchette Vézina souhaite miser sur le développement économique dans la prochaine année
Imaginez Louis, un gars bien ordinaire qui n’a pas le choix de vivre avec Guillaume (ou simplement Gui…), son frère schizophrène qui lui en fait voir de toutes les couleurs.
Dans l’appartement, leur père, Sylvain, atteint par un grave cancer, tente encore désespérément de rencontrer la femme de sa vie.
Louis, qui gère comme il peut cette famille dysfonctionnelle, occupe un boulot précaire dans un Tim Horton. Il a bien quelques rares amis. Et il aimerait bien devenir humoriste.
C’est la situation, aussi modeste que rocambolesque, qui est décrite dans ce roman. L’humour jaillit dans plusieurs pages, tout comme la résignation devant les contrariétés du quotidien, pimentées par les « esti » et les « calice »…
Pour accompagner le parcours de ces personnages, tout se passe au temps présent. La neige qui tombe, le bol de céréales, l’achat d’un billet de loto ou le petit jogging matinal sont des occasions de raconter la petite vie au quotidien.
Des épisodes abracadabrants surviennent notamment dans un salon funéraire (à cause d’une mauvaise réservation de salle) ou à l’occasion de Noël (quand Guillaume joue imprudemment avec des allumettes).
L’histoire a lieu à Montréal, mais un chapitre se déroule au Mange-Grenouille du Bic.
La blague du siècle… On peut se demander pourquoi l’auteur, Jean-Christophe Réhel, écrivain montréalais, a choisi un tel titre… Oui, on trouve plein d’ironie et de dérision dans ce livre, mais on cherche encore où se cache la meilleure blague en cent ans ! Disons que l’auteur aime les titres surprenants… Il a auparavant publié : Les volcans sentent le coconut, La douleur du verre d’eau et Peigner le feu…
La blague du siècle, par Jean-Christophe Réhel, Delbusso Éditeur, 2023, 250 pages.
Pour sa 27e présentation, le tournoi de golf « Formule Rita » a réuni un nombre record de 334 joueurs et amassé 42 000$ lors de ses deux journées, les 19 et 20 septembre, au Club Les Saules de Rimouski. L’événement se tenait de nouveau sous la présidence d’honneur de Line Marcoux et William Doucet, de Rimouski Toyota.
L’un des plus importants tournois caritatifs de la région a remis 3 000 $ à l’Association des personnes handicapées visuelles du Bas-Saint-Laurent, 1 500 $ à Centraide et 1 000 $ à Moisson Rimouski-Neigette, Sclérose en plaques Canada – Bas-Saint-Laurent, Pro-Jeune-Est ainsi qu’au Fonds Sourire, qui soutient l’accès à des soins dentaires de qualité.
Les profits du tournoi servent aussi à l’achat de lunettes correctrices tout au long de l’année et à l’entretien de la Maison Lions, qui abrite deux organismes communautaires.
Pour aider à ces causes, l’organisatrice du tournoi, Rita Marquis, a reçu un don anonyme de 5 000$ durant soirée.
Comme les années précédentes, la Fondation Marcel-Gagné a contribué à l’événement en ajoutant 6 000$ à la cagnotte finale destinée aux personnes démunies.
Les golfeurs ont également profité de nombreux « trous chanceux », de soupers BBQ et steak sur le gril, ainsi que de généreuses tables de cadeaux.
La chanteuse Isabelle Proulx a complété la programmation festive en soirée.
Deux matchs ne font pas une saison, mais l’Océanic a réussi sa rentrée en remportant ses deux affrontements face au Drakkar de Baie-Comeau en fin de semaine au Colisée Financière Sun Life.
Après sa victoire de 5-3, vendredi, l’Océanic a eu le meilleur par la marque de 3-2, samedi, devant une galerie de 2 712 spectateurs.
La recrue Zack Arsenault, 2e choix au total du dernier repêchage, a ouvert le pointage sur un tir des poignets de l’enclave. Il a également obtenu une mention d’assistance plus tard dans la rencontre.
« Pour un gars qui n’avait pas joué de matchs hors-concours (NDLR : en raison d’une blessure), je pense que je me suis bien débrouillé en fin de semaine. J’ai montré aux gens ce que je suis capable de faire avec mon but. Je suis vu comme un shooter et je pense que je l’ai bien démontré », a dit le no 57.
Il a marqué son but en présence de son père Ken, un ancien joueur du Drakkar, et de sa mère. « Il faudrait que je revoie la vidéo. Je suis un peu black out ! En plus, ma famille vient de Baie-Comeau. C’est un peu nostalgique d’avoir marqué contre eux en partant. De vivre ce beau moment avec toute ma famille dans les estrades à Rimouski, je vais m’en rappeler toute ma vie », a poursuivi le no 57.
Evan Dépatie, lors d’un jeu de puissance, et Mathys Dubé ont fait bouger les cordages en deuxième pour faire 3-0.
« Notre power play a été productif, on a bien bougé la rondelle et on est resté dans notre plan de match, ça été bien été pour nous dans ces deux matchs. Les quatre points en fin de semaine, ça nous fait plaisir et on va les prendre », a souligné Dépatie, un défenseur de 19 ans à l’instinct offensif appelé à animer le jeu de puissance qui a été 4 en 10 en fin de semaine.
Le Drakkar a tenté une remontée en troisième période avec les buts d’Evan Bellamy et Gleb Semenov. Mais, l’Océanic a ensuite résisté.
« Je suis très satisfait, mais il ne faut pas trop voir la vie parfaite. Ce sont deux matchs de début de saison. Mais, ce que je retiens, c’est la façon dont on a joué au-delà des résultats, surtout côté intensité. On a vu de super belles choses. Partir avec deux victoires contre une équipe comme Baie-Comeau, des rivaux de division, ça va juste continuer à amener de l’enthousiasme à l’aréna », a commenté Joël Perrault.
William Lacelle a repoussé 20 des 22 lancers du Drakkar tandis que son vis-à-vis, Lucas Beckman, était mis à l’épreuve en 37 occasions
Il y avait un changement dans l’alignement avec Alex Massé qui a pris la place de Raphaël Achermann …Mathis Langevin (camp de l’Avalanche du Colorado), ainsi que Luka Romaniak, Guillaume Gleason et Samuel Thibault étaient les autres absents… Blessé en première période, Émile Duquet n’est pas revenu au jeu. Joël Perrault s’est fait rassurant à son sujet après la rencontre… L’Océanic jouera un autre programme double local en fin de semaine prochaine avec la visite des Saguenéens, samedi et dimanche…
Le 51e congrès de la Fédération des clubs de motoneigistes du Québec bat son plein à Rivière-du-Loup.
Les Pionniers du Cégep de Rimouski continuent de jouer du bon football. Samedi après-midi, ils ont défait les Panthères de Mérici par la marque de 41-10 au terrain synthétique du Complexe sportif Guillaume Leblanc.
Après un départ quelque peu brouillon quand un échappé à la porte de leur zone de but a mené au touché de l’adversaire, les Pionniers ont ensuite marqué les 41 points suivants.
Anthony Gagnon a capté une passe de Nicolas Rioux pour un touché après quoi deux touchés de sûreté ont porté la marque à 11-7 à la demie.
Deux majeurs de Maxime Tardif, sur une faufilade et sur un long jeu amorcé par la passe du quart Rioux, ont placé les Pionniers en avance 27-7 avant la fin du 3e quart. Zachary Leblanc et Léo Richard ont aussi inscrit un touché au dernier quart.
« Offensivement, ça a pris un peu plus de temps à se mettre en marche, mais en deuxième demie, je pense que tout le monde exécuté », a commenté Louis-David Goulet.
L’un de ceux qui se sont mis en évidence est le receveur de passes et aussi porteur de ballon, Maxime Tardif.
« Un match serré quand même. Mérici a connu des années assez difficiles, mais ils remontent. On s’attendait à un match difficile, et ça a été difficile. On se retrouve à jouer pour ,500. Je pense que c’est assez réconfortant, surtout que les deux défaites étaient contre de grosses équipes. Je pense qu’on a vraiment des chances de faire les séries », a dit le no 21.
Pendant que l’unité offensive allait chercher les gros jeux, celle en défensive a joué avec aplomb.
« On a eu une performance difficile défensivement la semaine dernière et on a mis nos joueurs au défi cette semaine. Ils ont vraiment répondu aux attentes. On n’a donné qu’un touché lorsque l’autre équipe a pris le ballon à la ligne de 1 après un échappé. On a fait des revirements, mais heureusement, notre défensive a bien répondu », a observé l’entraineur-chef.
Les Pionniers (2-2) montrent un dossier de ,500 à la mi-saison. Ils joueront de nouveau devant leurs partisans, samedi prochain, quand ils vont accueillir les Couguars de Chicoutimi.
« On voit qu’on est capable de battre n’importe qui dans cette ligue-là si on se présente et qu’on joue notre match. Aujourd’hui, on affrontait un adversaire direct au classement et on voulait passer un message. C’est encourageant pour la deuxième moitié de la saison », souligne coach Goulet.
Entre 2005 et 2021, le Bas-Saint-Laurent a fait des progrès constants en termes de représentation féminine en politique municipale.
À la dernière élection municipale, la région suivait la tendance provinciale avec 39,8 % de conseillères municipales élues, mais accusait un certain retard au niveau des mairesses élues, avec un taux de 20 % de femmes à ce titre.
Quelle sera la situation lors des élections du 2 novembre prochain ? Est-ce que les femmes seront au rendez-vous ?
Plusieurs enjeux sont régulièrement soulevés afin d’expliquer pourquoi les femmes ne font pas le saut en politique.
La socialisation différente des filles et des garçons, la répartition des tâches domestiques et les défis liés à la conciliation famille-travail, le manque de ressources financières ou encore le côté rébarbatif de certaines cultures au sein d’institutions politiques sont parmi les éléments qui sont le plus fréquemment abordés pour expliquer ces écarts.
Dans les deux dernières décennies, nous avons plus vu une multitude d’initiatives être financées et prendre place pour soutenir les femmes à se lancer à l’échelle régionale ou provinciale.
Que ce soit par l’offre de formations, de mentorat ou encore avec des mesures comme l’instauration de quotas au sein des partis politiques, la situation s’améliore, mais reste très fragile.
Il faut se le dire, nous n’avons jamais atteint la zone paritaire (qui se situe au-delà de 40 %) de représentation des femmes dans le milieu municipal au Bas-St-Laurent. Il en est de même dans le reste du Québec. Tout porte à croire que nous devrons continuer de faire des efforts et que la progression n’est pas acquise.
C’est sans mentionner les défis de rétention des femmes élues. Rappelons-nous les démissions des mairesses de Sherbrooke, Chapais et Gatineau pendant les quatre dernières années. Se présenter en politique est une chose, mais y rester en est une autre.
C’est en effet ce que les études nous disent. Les femmes sont plus susceptibles de quitter la politique avant les hommes. Elles tendent à démissionner après un ou deux mandats.
Il semble que l’équilibre travail-famille, les attaques sur leurs images et le manque de soutien sont des défis particuliers qui rendent pénible l’exercice de leurs fonctions.
Nous avons fait tant de chemin pour que les femmes se lancent, nous devrons maintenant faire en sorte qu’elles soient en mesure d’y rester. Nous devons nous attaquer à ces défis.
Le syndicat envisage à nouveau des moyens de pression devant une offre de l’employeur jugée insuffisante.
Après avoir disputé ses deux derniers matchs sur la route, les Pionniers de Rimouski retrouvent leurs partisans au Complexe sportif Guillaume-Leblanc, ce samedi 20 septembre, en recevant les Panthères du Collège de Mérici dans la Ligue de football collégial division 3 du Québec.
Tout au long de la saison, vous pouvez suivre toutes les rencontres des Pionniers sur le site du Soir.ca.
Après l’affrontement, René Alary vous proposera son résumé de l’action, dans nos pages, avec les commentaires de l’entraîneur-chef Louis-David Goulet.
Pour visionner l’affrontement en direct, cliquez sur le lien ci-bas.
Bon match!
L’ancien enseignant du Cégep de Matane, Marco Bernier, 43 ans, de Matane, recevra sa peine le 14 janvier 2026 après avoir été déclaré coupable sur un des trois chefs d’accusation auxquels il faisait face, soit celui de production de pornographie juvénile, le 17 septembre dernier.
Les observations sur la peine se sont poursuivies le lendemain. Le tribunal a pris la cause en délibéré et il fera connaître sa décision au début de la nouvelle année.
L’avocate de l’accusé, Me Jacinthe Maurice, conteste la peine minimale de 12 mois de prison prévue au Code criminel pour cette infraction. Elle explique que son client n’a pas touché d’enfants à proprement dit.
Certaines infractions ont des peines minimales prévues dont les tribunaux doivent tenir compte lors de l’imposition de la sentence, dont celle de production de pornographie juvénile.
Bernier a plaidé coupable avant la tenue de son procès. Le juge a ordonné la confection d’un rapport présentenciel et d’un rapport sexologique afin de guider le tribunal sur la peine appropriée.
Marco Bernier a été arrêté le 22 mars 2023 par des enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs, en collaboration avec l’équipe d’Enquête sur l’exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du Québec.
Celui qui était enseignant au Cégep de Matane n’a pas d’antécédent judiciaire. Dans les jours suivant son arrestation, il a publié une vidéo pour s’expliquer.
Les policiers ont réalisé une perquisition au domicile du suspect où du matériel informatique a été saisi pour analyse.
Après trois semaines de chasse dans l’ile aux cerfs, Anticosti, la tendance de la récolte se poursuit. C’est ce que confirme le directeur du Service à la clientèle de SÉPAQ-Anticosti, Daniel Lévesque.
« Nous en sommes au troisième contingent de chasseurs, et à date, le taux d’observation est excellent. Beaucoup de chevreuils », confirme le porte-parole de la société.
De plus, très peu de renards sont observés dans l’île, signe que peu de cerfs ont péri au cours de dernier hiver.
Depuis quelques années, la chasse du cerf de Virginie sur l’île d’Anticosti réserve aussi d’impressionnantes surprises aux amateurs, qui ont la chance de prélever des mâles aux panaches impressionnants.
Le retrait d’exclos, des réserves de plusieurs kilomètres carrés de végétation protégées des cerfs afin de favoriser la pousse de la végétation, pourrait contribuer à la croissance des bois de certains mâles confinés à l’intérieur de ce type de garde-manger, donc bien nourris et à l’abri de la chasse.
Plusieurs zones de chasse du continent, où l’habitat du cervidé perd du terrain, pourraient s’inspirer de cette méthode.
Une raison plus scientifique veut que, si les mâles terminent la période du rut en conservant une bonne masse musculaire pour passer à travers l’hiver, au printemps, cette masse musculaire dirige aussi l’énergie vers leur couronne.
Comme en 2024. Quant à la récolte, idéalement, les taux souhaités sont de 60 % mâles et de 40 % femelles et veaux. Des trois segments prélevés parmi 6 865 cerfs en 2024 dans les territoires de SÉPAQ-Anticosti, les chasseurs ont récolté 4 723 mâles, soit 68 % de la récolte, 1 611 femelles et 531 faons.
Le taux de succès global est de 1,90 cerf/chasseur et monte à 1,91 cerf/chasseur en plan américain avec guide. En plan européen avec guide, sans repas, le taux de succès est de 1,96 cerf/chasseur.
Pour le plan européen, sans guide ni repas, le taux de succès est de 1,82 cerf/chasseur. Les cerfs d’Anticosti occupent de plus en plus leur paradis.
La hausse du cheptel est de 30 % à 50 % depuis 2018, après six hivers rigoureux. La chasse sur l’île a débuté le 28 août et se poursuit jusqu’au 6 décembre.
Les deux équipes rivales ont lancé leur saison en s'affrontant vendredi.
Le tronçon de l’autoroute 20, entre Rimouski et Mont-Joli, a une fois plus été le théâtre d’une tragédie, le 18 septembre dernier, alors qu’un jeune automobiliste de 17 ans a perdu la vie, jeudi dernier, à la suite d’une collision dans le secteur de Saint-Anaclet-de-Lessard.
Une camionnette, qui circulait en direction ouest, aurait dévié de sa voie pour entrer en collision avec l’autre véhicule, conduit par la victime, en sens inverse. Transporté à l’Hôpital régional de Rimouski, l’adolescent a finalement succombé à ses blessures.
Ce sont maintenant plus de 25 personnes qui ont perdu la vie sur ce tronçon, pour lequel quatre voies sont réclamées depuis plusieurs années.
Le député de Matane-Matapédia-La Mitis, Pascal Bérubé, a d’ailleurs lancé en 2023 une pétition à cet effet. Cette dernière aura récolté 10 201 signatures selon le site internet de l’Assemblée nationale du Québec.
Sa demande n’a pas été retenue par le gouvernement du Québec, même si le rapport de la coroner Monique Tremblay, déposé en juillet 2024, à la suite du décès d’une jeune femme de 28 ans, Arianne Dubé, en novembre 2023, recommandait d’élargir le tronçon et stipulait qu’une autoroute 20 à quatre voies aurait pu lui sauver la vie.
Le député Pascal Bérubé avait alors demandé à la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, de planifier rapidement des travaux d’élargissement du tronçon avec quatre voies et un terre-plein central.
À la suite de quoi, le ministère des Transports et de la Mobilité durable a manifesté son intention d’y ajouter, à la place, des voies de dépassement.
En février dernier, il a été annoncé qu’il faudrait attendre entre cinq et sept ans avant de voir apparaître ces voies de dépassement, dont l’aménagement pourrait coûter entre 25 M$ et 50 M$.
C’est ce qui était ressorti d’une rencontre entre des élus et des représentants du ministère des Transports.
En entrevue à FLO 96,5, le préfet de la MRC de La Mitis, Bruno Paradis avait mentionné que le ministère ajouterait, dans un premier temps, une voie de dépassement vers l’est et une autre vers l’ouest entre Saint-Anaclet-de-Lessard et Mont-Joli.
« Les élus étaient déçus des délais qui étaient demandés pour la réalisation des travaux, mais les raisons évoquées semblaient plausibles. Comme nous ne sommes pas des ingénieurs en génie civil, c’est difficile pour nous de contester les délais », a indiqué monsieur Paradis.
Pour sa 17e semaine d’activités en 2025, le Marché public de Rimouski accueillera 32 exposants, ce samedi 20 septembre, de 10h à 14h, au parc de la Gare.
Voici les exposants présents :
Venez découvrir les saveurs de la Tunisie, ce samedi 20 septembre de 11h à 13h, avec Accueil et Intégration BSL. Des membres seront au marché pour une délicieuse dégustation.
Le café du marché sera tenu par nul autre que la Coopérative de solidarité Paradis. Sa direction présentera les différents événements pour les 20 ans de la Coop.
Le nouvel équipage de l’Océanic n’a pas tardé à créer une bonne impression à ses partisans dans une victoire de 5-3 sur le Drakkar de Baie-Comeau devant 2 975 spectateurs au Colisée Financière Sun Life.
Talon d’Achille de l’équipe l’an dernier, le jeu de puissance a fait mouche trois fois en six occasions.
« On est jeune, on a fait beaucoup d’erreurs ce soir, mais ça fait partie du jeu. J’ai aimé notre acharnement. C’est un match de début de saison. Ce fut un peu décousu des deux côtés, mais j’ai aimé notre intensité », a commenté Joël Perrault.
La recrue Liam Lefebvre a marqué ses deux premiers buts en plus d’une passe. Une autre recrue, Dovydas Jukna, a un but et deux mentions d’assistance. Émile Duquet et Luke Patterson ont complété.
Le trio formé de Lefebvre, Jukna et Patterson a connu une très bonne première sortie.
« Ils sont trois gros bonshommes. Dovydas aime beaucoup jouer sur la glace nord-américaine. Luke a l’expérience de la ligue. Il joue la partie comme il le faut et il est excellent dans la chambre avec les plus jeunes. Et Liam, c’est un talent exceptionnel. Il va faire parler de lui cette saison », observe Perrault.
Lefebvre avait le grand sourire quand il s’est présenté dans la salle de presse.
« On a joué cinq parties préparatoires pour s’adapter. Un premier match de saison régulière, c’est une autre coche. Je dois m’adapter à la vitesse, à l’exécution. Ça vient avec les pratiques. J’ai joué bantam AAA au Québec où je n’étais pas reconnu pour mon offensive. J’ai pu développer ça au Prep School aux États-Unis où je jouais », explique l’attaquant originaire de Montréal qui a passé les trois dernières saisons au sud de la frontière.
Pour sa part, Jukna n’a pas, lui non plus, raté sa rentrée.
« C’est une des premières fois que je jouais devant beaucoup de partisans comme ça et je remercie tout le monde qui est venu. Les émotions étaient au top », a dit le Lituanien qui a joué en Suisse au cours des dernières saisons.
À 6 pieds 3 pouces et 197 livres, il ne déteste pas le jeu physique. « On n’est pas la plus grande équipe, mais ce n’est la taille qui compte. C’est le cœur. Je suis un grand joueur et j’aime jouer physique. Sur les glaces européennes, je suis moins physique, je dirais. Ici, j’adore prendre des décisions rapides. C’est le genre de hockey fait pour moi, je pense. »
William Lacelle inscrit une victoire à son dossier avec ses 28 arrêts. Declan Wotton, Jacobo De Luca et Alexis Michaud ont marqué à ses dépens.
À l’autre bout, Lucas Beckman a été mis à l’épreuve en 36 occasions.
Les deux mêmes équipes vont se retrouver samedi, 16 h… Mathis Langevin (camp de l’Avalanche du Colorado), ainsi que Luka Romaniak, Guillaume Gleason, Alex Massé et Samuel Thibault ne jouaient pas pour l’Océanic… Le Matanais Louis-François Bélanger a marqué le but gagnant pour un deuxième soir de suite dans la victoire du Régiment de Terre-Neuve, 5-4 en prolongation, contre Moncton…
Des candidats et candidates ont déjà déposé leur bulletin de mise en candidature au Bas-Saint-Laurent.
Quoi qu'en dise Maïté Blanchette Vézina, le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) est bel et bien le parti des régions, assure le premier ministre François Legault au lendemain de la sortie fracassante de la députée de Rimouski.
Le Club de course à pied La Cavale de Rimouski célèbre son 45e anniversaire cette année. Autant les fondateurs que les membres actuels constatent qu’il a bien évolué.
Il a été créé, en 1980, par Dave Redmond, Antoine Roy, Richard Fournier, Bernard Boissonneault et Robert St-Laurent, tous des rimouskois passionnés de course.
« Ça allait de soi parce qu’il y avait un engouement pour le jogging qui arrivait au Québec. Nous nous connaissions un peu et l’idée est venue de former un club pour mieux nous organiser. Nous faisions des entraînements une fois par semaine avec un petit groupe d’une trentaine de personnes », explique monsieur Fournier.
La Cavale a été soutenue par l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) au départ étant donné que ce dernier y travaillait.
« Il y avait des courses d’organisées dans les grandes villes et nous avons commencé à y participer. À partir de là, nous avons créé un conseil d’administration avec des règlements et nous faisions des sorties chaque semaine. »
Les membres ont ensuite commencé à organiser des événements. Le plus marquant, selon Richard Fournier, est Les 100 km de La Cavale au profit de l’Association du cancer de l’Est du Québec (ACEQ). Les participants de cette course à relais partaient de Matane pour se rendre à Rimouski.
« C’était important parce que nous venions associer La Cavale à un organisme. Les petites familles participaient. Nous voulions que le club ne soit pas juste l’élite de la course, mais qu’il soit aussi composé de gens qui s’impliquent dans leur communauté. »
Monsieur Fournier avait 30 ans lorsqu’il a fondé le club. Il se réjouit de voir que la course à pied est toujours aussi populaire.
« C’est mon sport, je fais encore de la course dans les sentiers. Quand je vois des jeunes qui courent le midi, ça me rend heureux. La course, ça comble une vie. C’est une activité qui s’intègre bien dans la vie familiale et qui apporte un bien-être. De voir que 4 000 personnes ont participé au Marathon de Rimouski, c’est impressionnant. »
La Cavale compte aujourd’hui 70 coureurs assistés par deux entraîneurs. Membres du conseil d’administration, Louise Gendron constate tout le chemin parcouru depuis les débuts.
« Au départ, il y avait des gens très soucieux de développer ce sport. Ils l’ont fait avec les moyens qu’ils avaient à l’époque, mais toujours dans un esprit de nouveauté et de volonté d’être moderne. La Cavale a suivi les tendances. »
Le club est maintenant ouvert à tous les types de coureurs.
« Nous avons des gens qui veulent apprendre à courir, prendre un programme progressif ou reprendre la course. Ce sont des gens de tous âges. Il y a toujours un entraînement qui va les satisfaire par rapport à leurs objectifs personnels. Tout le monde progresse à sa vitesse », indique madame Gendron.
Trois rassemblements par semaine sont organisés à la piste d’athlétisme ou à différents endroits à Rimouski. Les membres peuvent se présenter quand ils veulent. Deux sessions de 24 semaines sont offertes dans l’année. Louise Gendron a commencé la course tardivement dans sa vie. Elle a trouvé sa place au sein de La Cavale il y a cinq ans.
« Ça permet de garder la forme et c’est très socialisant, les gens jasent entre eux. Nous apprenons à connaître différentes personnes. »
Les détails sur le club de course sont en ligne au www.lacavale.ca.
Quoi qu'en dise Maïté Blanchette Vézina, le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) est bel et bien le parti des régions, assure le premier ministre François Legault, au lendemain d'une sortie fracassante de la députée de Rimouski.
Le conseiller municipal du district de Sacré-Cœur, Sébastien Bolduc, annoncera ce mardi 23 septembre, ses intentions en vue des élections municipales du 2 novembre prochain.
Rappelons que monsieur Bolduc a mentionné au Soir.ca, le 9 septembre dernier, qu’il était en réflexion à savoir s’il se représenterait comme conseiller ou s’il tenterait de devenir maire de Rimouski.
En effet, après le Marathon de Rimouski, le président de l’événement disait vouloir prendre quelques jours de réflexion avant d’annoncer officiellement son intention. C’est donc le résultat de cette réflexion, qui sera annoncé mardi.
Si monsieur Bolduc décide de se joindre à la course à la mairie, il y affrontera le maire sortant, Guy Caron, ainsi qu’un autre candidat, Sébastien Cyr.
Tous les ans depuis 1984, les chercheurs de Pêches et Océans Canada se séparent les eaux canadiennes en secteurs de recherche pour évaluer les stocks des différentes espèces de poissons et d’invertébrés. Le but principal est de déterminer les quotas de pêche que pourront prendre les pêcheurs.