Vue lecture
Un nouveau studio de danse à Montréal
Les Tesla sont toujours en grande perte de vitesse au Québec
La SAQ et le vin du Québec
Un médecin retraité à la défense d’un site historique au Lac-Saint-Jean
Osheaga perturbé par les tarifs douaniers
Monsieur Carney, inspirez-vous du Québec en matière de repreneuriat!
Les musées d’histoire culturellement spécifiques, un modèle pour la lutte contre l’injustice sociale
Carney, ou le chêne qui devint roseau
Éviter la perte de contrôle en IA sera difficile
Trop peu, trop tard pour le recul sur les coupes en éducation
Les Orioles ne font qu’une bouchée des Blue Jays
Charlevoix: une motocycliste repose dans un état grave
Un chevreuil s’installe dans un cimetière en ville
Des citoyens exigent la sauvegarde des bâtiments collectifs du quartier Saint-Sauveur
Agrile du frêne: des guêpes à la défense de Québec
Des militants antiavortement mordent la poussière
Disparu depuis 1988: la police confirme avoir retrouvé les restes de Robert St-Louis
Une courte exposition à la pollution atmosphérique suffit pour provoquer des symptômes
Un tireur tue au moins quatre personnes à New York avant d’être retrouvé mort
En Ontario, la plupart des détenus francophones sont incarcérés en anglais
DoorDash demande abandon de l’affaire portée devant le Bureau de la concurrence
La justice maintient l’interdiction de manifester près des cliniques d’avortement
Un jugement de la Cour supérieure du Québec confirme que les militants contre l’avortement ne peuvent pas manifester à moins de 50 mètres des cliniques.
Un regroupement antiavortement contestait la loi québécoise qui prévoyait déjà une zone où ce type de manifestation était interdite.
Le tribunal a jugé que cette zone tampon est nécessaire pour protéger la vie privée et la sécurité des patients et du personnel médical.
[L'article La justice maintient l’interdiction de manifester près des cliniques d’avortement a d'abord été publié dans InfoBref.]
La majorité des habitants de Tuvalu veulent émigrer pour échapper à la montée des eaux

Plus de 80% des 11 000 habitants de l’archipel, situé dans l’océan Pacifique, se sont inscrits à un tirage au sort dans l’espoir d’obtenir un visa australien.
Ce tirage découle d’un accord conclu entre l’Australie et Tuvalu, dont les iles sont vulnérables à l’élévation du niveau de la mer.
L’Australie s’engage à accueillir chaque année 280 Tuvaluans, choisis de façon aléatoire.
[L'article La majorité des habitants de Tuvalu veulent émigrer pour échapper à la montée des eaux a d'abord été publié dans InfoBref.]