À moins d’un revirement, il n’y aura ni service de métro ni service d’autobus durant cette grève des 15 et 16 novembre.

Les premiers ministres ont vanté la collaboration des différents paliers de gouvernement dans ce projet.

La météo et le débrayage des chauffeurs et des opérateurs de métro vont compliquer les déplacements dans la métropole.

Un éventuel débrayage affectera surtout la direction de la STM plutôt que les usagers.

La médiation avec les chauffeurs se poursuit, mais la grève prévue cette fin de semaine paraît difficilement évitable.

«Le Devoir» est allé à la rencontre de ceux qui débrayeront les 15 et 16 novembre prochains.

Les 16 et 17 novembre verront une interruption complète des services, exception faite du transport adapté.

«On doit absolument arrêter de prendre en otage cette ville», a plaidé la mairesse désignée Soraya Martinez Ferrada.

L’offre de service de bus et de métro sera de retour à la normale dès mercredi matin.

Services offerts, conditions des routes et déneigement: «Le Devoir» vous présente quelques pistes de solution.

Le syndicat demande au tribunal d’autoriser qu’il n’y ait pas du tout de service les 15 et 16 novembre.

L’annonce du gouvernement provincial suit un été «terrible» sur les routes du Québec.

La société de transport est prête à se tourner vers l’arbitrage si la grève n’est pas terminée d’ici le 15 novembre.

Le ministre du Travail Jean Boulet veut devancer l’application de sa loi pour mettre fin aux conflits.