Alors que la consommation d’alcool des Québécois diminue, la vente de bière sans alcool, elle, le vent dans les voiles. Selon l'Association des microbrasseries du Québec, le produit représente maintenant entre 10 et 12 % des ventes totales des microbrasseurs.
Le syndicat représentant plus de 10 000 agents de bord d’Air Canada a annoncé que ses membres ont amorcé une grève, faute d’avoir pu conclure une entente de dernière minute avec la compagnie aérienne.
Par Sammy Hudes- La Presse Canadienne
La grève a officiellement débuté samedi, peu avant 1 h, au petit matin.
La compagnie aérienne a annoncé que tous les vols d’Air Canada et d’Air Canada Rouge seront annulés en raison de l’arrêt de travail.
« Air Canada regrette profondément les répercussions de la grève sur ses clients », a déclaré la compagnie dans un communiqué tôt samedi matin.
Les vols d’Air Canada Express, exploités par les compagnies aériennes tierces Jazz et PAL, ne sont pas touchés.
Piquets de grève
La section Air Canada du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) a indiqué que des piquets de grève seront déployés dans des aéroports du Canada, notamment à Montréal, Toronto, Calgary et Vancouver.
Les agents de bord en grève prévoient également des piquets de grève dans les aéroports d’Halifax, d’Ottawa et de Winnipeg.
En plus des restrictions à l’embauche, Québec sacrifie une des deux cohortes de formation de 32 futurs agents en 2026. On ne compte plus que 325 agents, alors qu’il en faudrait le double pour assurer une protection efficace de la faune, et répondre rapidement aux plaintes du public.
Et éviter de « vider » des districts en mobilisant les agents à des opérations anti-braconnage, laissant personne dans les bureaux pour répondre aux dénonciations.
En 2018, le Québec comptait quelque 500 à 600 agents, de six à huit par bureau, à l’année.
« Avec les coupes budgétaires pour éponger le déficit du gouvernement, la fermeture dans le temps de quelque 40 des 68 bureaux, les départs à la retraite et volontaires, c’est de plus en plus difficile de faire notre travail. J’espère que l’autre cohorte ne sera pas éliminée », commente le président du Syndicat des agents de protection de la faune, Martin Perreault.
« Faune en péril »
Les effectifs fondent dans plusieurs régions. Sur la Côte-Nord, de 28 agents en 2013, ils étaient 18 en 2022. En Gaspésie, le bureau de Chandler pourrait compter qu’un seul agent. Le syndicat évoque une possible fermeture complète d’ici un an. À Matagami, dans le Nord-du-Québec, le bureau devrait fermer d’ici janvier 2026.
En 2018, le Québec comptait entre 500 et 600 agents de protection de la faune. Il en reste maintenant 325 pour couvrir l’entièreté de la province. (Photo courtoisie)
« Depuis l’annonce, les signalements ont diminué de 30 % dans cette région. La relocalisation de services, comme de Saint-Jérôme vers Saint-Eustache, allonge les temps de déplacements », déplore la Fédération québécoise des chasseurs et des pêcheurs, qui estime que « la faune est en péril et la baisse des effectifs est inquiétante ».
Schefferville et l’île aux cerfs, Anticosti, n’ont plus d’agents.
Trop loin pour arriver à temps
Sur la Basse-Côte-Nord, en début d’année, une plainte en lien avec des caribous forestiers a été portée.
« Les agents les plus proches étaient à Baie-Comeau et à Forestville, de sept à huit heures de route, trop loin pour arriver à temps », tranche Martin Perreault.
Les heures supplémentaires auraient pu aider la cause. « Faut oublier ça. Si une plainte nécessite du surtemps, la demande doit être autorisée par le directeur adjoint, le directeur général et le sous-ministre. Les délais sont trop longs et le temps supplémentaire est coupé au maximun ».
Le président du Syndicat des agents de protection de la faune, Martin Perreault. (Photo courtoisie)
Le ministère affirme qu’un district peut aller prêter main forte.
« Chandler est dans le district de la Gaspésie, qui inclut Chaudière-Appalaches et le Bas-Saint-Laurent. Un agent de Laurier-Station, dans Lotbinière, va aller couvrir une plainte à Chandler ? Voyons donc. Pour répondre aux plaintes, ça prend des agents là où ça se passe », déplore monsieur Perreault.
Ministre qui agit
Année après année, dénonciation après dénonciation, le bateau des agents de protection de la faune ne cesse de couler.
« Ça va nous prendre un ministre, qui va agir en conséquence. On n’a pas de monde pour intervenir et même, on nous demande de ne pas intervenir, comme pour la chasse de nuit de l’orignal dans la réserve Matane, où des chasseurs autochtones sont soupçonnés. Le ministre de la Faune a déclaré que ce n’était pas vrai ce que j’ai dit, mais on m’a ensuite demandé une copie des directives. Voyons, il me traite de menteur et je vais l’aider », ironise le président.
Des agents de protection de la faune sur le terrain. (Photo courtoisie)
Les « gardes-chasse » composent avec une convention de travail échue depuis avril 2023.
« Là on négocie jusqu’en 2028 », précise Martin Perreault, satisfait de cette prolongation de deux ans. « Quand on signait pour trois ans, on commençait à renégocier le lendemain. Ça n’avait pas d’allure ». Il rencontre le nouveau sous-ministre de la faune bientôt. « Pour savoir où on s’en va ».
Le dossier pour la relance de la traverse Rimouski-Forestville continue d’évoluer. C’est que rapporte Maïté Blanchette Vézina, au terme d’une rencontre sur le sujet jugée productive.
« J’ai discuté avec Forestville, Rimouski et l’organisme à but non lucratif (OBNL) créé pour la relance de la traverse. Les partenaires sont mobilisés, nous avons travaillé sur des suggestions pour les aider au cheminement d’un projet de relance et je suis vraiment contente de pouvoir jouer mon rôle de députée-ministre pour que des projets porteurs puissent cheminer positivement. C’est ce que je vais continuer de faire, en travaillant avec les partenaires », explique la députée-ministre de Rimouski.
Le projet sera déposé par la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville, soit l’organisme à but non lucratif créé il y a deux ans pour la relance de la traverse.
Pour cette raison, elle n’est pas en mesure de se prononcer sur le moment où la relance pourrait aboutir.
Pas d’information pour 2026
« De notre côté, on travaille avec une étude, notamment pour le port de Rimouski, pour s’assurer d’avoir une compréhension précise du bateau qui pourrait accoster à Rimouski, avec les infrastructures actuelles que nous avons. Les choses avancent, mais il demeure que le projet va être déposé par la Corporation, lorsque cette dernière sera prête à le faire. »
La députée-ministre de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina (Photo Le Soir.ca- archives)
Quant à savoir si elle a espoir que le tout se règle d’ici les prochaines élections provinciales, la réponse demeure la même.
« Je n’ai pas cette information », indique Maïté Blanchette Vézina.
Une entente verbale était même survenue avec l’ancien propriétaire du CNM Évolution, Hilaire Journault, pour la reprise du navire, mais son décès a compliqué la suite du dossier.
L’entrepreneur rimouskois s’est donc rendu en Europe pour réserver un navire avec une capacité d’accueil de 300 passagers et 90 véhicules. Il a alors déposé un projet au ministère des Transports pour une aide financière de 7 M$, plus un montant de 1,9 M$ en taxes non remboursables.
L’entrepreneur rimouskois, Louis-Olivier Carré, des Entreprises Rilec, la mairesse de Forestville, Micheline Anctil et le maire de Rimouski, Guy Caron. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)
« La première mouture de notre projet a été rejetée, mais la porte n’est pas fermée. On doit maintenant revenir avec le projet sous une autre forme. Ce qu’on souhaite, c’est que le gouvernement considère que Rimouski est la capitale régionale et que ça n’a pas de bon sens de ne pas avoir de traverse », avait mentionné monsieur Carré.
Le projet a déjà reçu l’appui de la MRC de la Haute-Côte-Nord et de la Ville de Forestville. La Ville de Rimouski est aussi en faveur du projet. Depuis 2022, les citoyens des deux rives sont orphelins de transport maritime avec l’arrêt des opérations du CNM Évolution.
De plus, il y aura une tente à lire et un moment de bricolage de 10h à 13h pour vous transporter dans un monde de créativité (arts and crafts) où votre imaginaire pourra prendre son envol
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Le coureur de Sainte-Luce Isaac Sirois vient de terminer une saison d’athlétisme exceptionnelle après avoir gagné une médaille d’argent aux Jeux du Québec et participé aux Championnats nationaux pour jeunes de la Légion.
Le membre du Club Coubertin en était à sa deuxième participation aux Jeux du Québec. Il est particulièrement fier de son résultat à l’épreuve 2 000 mètres steeple-chase, à Trois-Rivières, pour laquelle il est monté sur le podium en battant sa marque personnelle de cinq secondes.
« Ça m’a prouvé que même dans mon année faible, parce que je suis à ma première année juvénile, je suis capable de faire des podiums avec les plus vieux. J’ai vraiment aimé mon expérience dans l’ensemble. Ce n’est pas la même ambiance qu’une compétition normale, c’est plus festif. »
L’adolescent de 15 ans a également réussi à battre son record d’une seconde au 3 000 mètres. Il a terminé au 5e rang pour cette course et en 9e position au 1 500 mètres.
Championnats nationaux
Isaac Sirois a obtenu une 10e position au 2 000 mètres steeple-chase aux nationaux de la Légion. Un résultat décevant pour lui, mais qui s’explique par le court délai entre la compétition, qui avait lieu à Calgary du 9 au 11 août, et les Jeux du Québec qui se sont terminés le 29 juillet pour lui.
« C’est difficile parce que tu veux essayer de performer aux deux le mieux possible, mais à un moment donné le corps ne suit plus. On ne peut pas faire de miracle. Si on donne tout et que les jambes ne sont pas là, on se reprend l’année d’après. C’est passé et on ne peut rien y faire. »
Le Rimouskois avec les autres membres d’Équipe Québec, à Calgary. (Photo courtoisie)
Le coureur a malgré tout trouvé son expérience enrichissante en Alberta.
« Ça m’a permis de faire de nouvelles rencontres, de compétitionner avec de nouvelles personnes et de visiter une nouvelle ville. J’étais avec Équipe Québec et c’est différent que d’aller à une compétition en individuel. Si je continue à m’entraîner aussi fort, j’ai des chances d’y retourner l’an prochain », dit-il.
L’entraîneur-chef du Club Coubertin, Samuel Lavoie, se dit plus que satisfait de la saison de Sirois.
« La Légion, on voyait ça comme un bonus et une prise d’expérience puisque nous sommes en année de Jeux du Québec. Il est arrivé là avec beaucoup de fatigue, surtout qu’Issac a fait trois épreuves sur trois jours aux Jeux », indique-t-il.
Le Luçois en était à sa deuxième expérience sur la scène nationale. L’an dernier, il avait pris part aux Championnats canadiens de cross-country. Il vise y retourner en novembre prochain.
Sport de dépassement
Isaac Sirois pratique l’athlétisme depuis quatre ans. Il apprécie le fait que son sport lui permette de se dépasser et de se motiver à l’école étant donné qu’il fait partie du programme sport-études.
« C’est toi contre toi. Tu ne dépends pas d’une équipe. J’aime essayer de battre mon temps à chaque distance et à chaque course. J’essaie toujours de me rendre le plus loin possible et c’est le fun de voir où je suis maintenant par rapport à mes débuts. »
Le jeune athlète en action. (Photo courtoisie)
Selon son entraîneur, l’athlète de Sainte-Luce est très engagé dans son sport.
« Ce n’est pas un jeune que je suis obligé de pousser à aller s’entraîner, mais ce n’est pas un jeune non plus que je dois arrêter. Il suit le plan de match et il est très discipliné. C’est un jeune homme curieux, autonome et il est agréable à entraîner. Il est capable de verbaliser ce qu’il vit, ça permet de faire un bon travail », indique Samuel Lavoie.
Après quelques semaines de pause, Isaac reprendra l’entraînement pour se préparer en vue de la saison de cross-country.
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Maïté Blanchette Vézina réitère son intérêt à poursuivre le travail qu’elle a amorcé comme ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre régionale, alors que son nom revient souvent dans les discussions en coulisses en vue du remaniement caquiste.
Certains poids lourds de la Coalition avenir Québec devront accepter de changer de portefeuille ou céder leur place, afin d’offrir un nouveau souffle à l’équipe de François Legault, « très déçu » du résultat de l’élection partielle dans Arthabaska-L’Érable, où son parti n’a récolté que 7 % des voix.
« Nous avons bien compris le message que les citoyens nous ont envoyé. C’est aussi pour cette raison que le premier ministre souhaite qu’on revoie nos priorités », affirme la députée de Rimouski.
« Je vais donc continuer à travailler, d’ici au remaniement, sur les dossiers de la forêt et des ressources naturelles. Ce sont des dossiers prioritaires pour le Québec et les régions du Québec, alors je vais travailler pour m’assurer que ces priorités sont bien représentées. »
Réforme qui ne fait pas l’unanimité
En ce qui a trait à son projet de loi sur la modernisation du régime forestier, pour lequel elle a dû faire des amendements à la suite de critiques vives provenant de nombreux groupes de pression, Maïté Blanchette Vézina ne voit pas ces changements comme un signe évident qu’elle pourrait perdre le ministère des Ressources naturelles et des Forêts.
La députée de Rimouski et ministre des Ressources naturelles et des Forêts du Québec, Maite Blanchette Vézina (Photo La Presse Canadienne- Jacques Boissinot)
« C’est très difficile dans le contexte de la guerre tarifaire du conflit du bois d’œuvre pour le secteur forestier, alors on est plus aligné que jamais pour avancer dans ce dossier, mais j’ai travaillé tout l’été sur des amendements, à la suite des consultations particulières. C’est tout à fait normal pour une réforme de l’ampleur de celle-là », témoigne-t-elle.
Sur les rangs en 2026
Quoique sera le dénouement du remaniement, Maïté Blanchette Vézina réitère qu’elle représentera la CAQ lors du scrutin provincial de 2026 dans Rimouski.
« J’irai là où on me confiera des mandats. Je vais travailler pour les citoyens. »
La chaîne de restauration Poulet Rouge confirme qu’elle ouvrira un restaurant sous peu à Rimouski, qu’un franchisé a été identifié et qu’un groupe de futurs employés est présentement en formation.
La directrice marketing et communication de Poulet Rouge, Aisha Al-Khabyyr, précise qu’aucune date n’est encore fixée pour l’ouverture et elle refuse de dévoiler l’emplacement du restaurant pour le moment.
Les choses ont évolué rapidement depuis, même s’il est encore trop tôt pour connaître la date prévue de l’ouverture de restaurant ou encore son emplacement.
« Un groupe de futurs employés de Rimouski est présentement en formation », précise la porte-parole.
Grande variété de bols
Madame Al-Khabyyr précise que Poulet Rouge propose une variété de bols pour tous les régimes alimentaires.
Né au Québec et d’origine méditerranéenne, le concept de Poulet Rouge a gagné rapidement de nombreux adeptes dans la province. (Photo Facebook Poulet Rouge)
« Les clients peuvent choisir parmi trois formats et les personnaliser avec du poulet grillé mariné ou des filets végés, sur une base de riz brun, de blé concassé, de quinoa ou de laitue. Le tout peut être garni selon leurs goûts. Le menu s’inspire à la fois des origines méditerranéennes et de la culture nord-américaine des trois fondateurs », poursuit-elle.
Poulet Rouge compte 61 restaurants au Québec, en Ontario et en Alberta.
Le temps d’attente est terminé. Le Shaker amorce ses séries éliminatoires samedi soir en recevant le Bérubé GM de Trois-Pistoles dans le premier match de leur demi-finale au meilleur de sept.
Pendant que le Shaker bénéficiait d’un laissez-passer de première ronde à la suite de son championnat en saison régulière, le Bérubé GM, 7e au classement, a causé la surprise en éliminant le CIEL FM de Rivière-du-Loup, 2e au classement, en cinq parties.
En saison régulière, le Shaker a remporté les quatre parties opposant les deux équipes : 7-3 et 10-9 à Trois-Pistoles ainsi que 6-5 et 10-5 à Rimouski.
Les deux gérants ont confirmé l’identité de leur lanceur partant pour le match de samedi. Chez le Shaker, Jean-Philippe Marcoux-Tortillet donnera la balle à son gaucher, Émile Maisonneuve (2-3 et deux sauvetages avec une moyenne de points mérités de 3,12 en saison).
François Michaud (Photo: Jean-Claude Pelletier)
Pour sa part, Thomas Morin fera appel au gaucher François Michaud (1-3 et 6,66 en saison). Il a aussi obtenu un départ de qualité dans la série contre Rivière-du-Loup, dimanche dernier, avec deux points accordés et deux coups sûrs en quatre manches lancées.
Maisonneuve n’a pas lancé contre le Bérubé GM en 2025, tout comme Michaud face au Shaker.
Marcoux-Tortillet devrait compter sur un alignement en santé pour le début de la série, incluant Yannick Desbiens qui revient d’une blessure. Par contre, Louis Trépanier et Philippe Lavigne ne seront pas disponibles.
Du côté de Trois-Pistoles, l’équipe va se présenter à Rimouski sans pression après une très bonne série face au CIEL FM. Dans ses dix dernières parties, elle présente un dossier positif de 6-4.
En attaque, le Bérubé GM a frappé pour ,320 aux dépens du solide personnel de lanceurs louperivois.
Série B
Dans la série demi-finale B, les Allées du Boulevard de Matane seront les visiteurs à Témiscouata-sur-le-Lac, dimanche soir à 18 h. On connaitra les lanceurs partants demain, mais tout porte à croire que les amateurs auront droit à un duel de Japonais entre Keisuke Takikawa et Kodai Kambara.
Vous savez quoi ? L’aide médicale à mourir vient de faire son entrée dans ma vie.
L’opinion de Robin Lebel
Récemment, mon frère m’a texté pour m’annoncer que notre cousin, Robert Duchesne, avait demandé l’aide médicale à mourir. Robert Duchesne est bien connu à Saint-Narcisse-de-Rimouski où il a été conseiller municipal de 1991 à 1999 et de 2009 à 2013, avant d’accéder à la mairie de 2013 à 2022. Je l’ai croisé à quelques reprises.
Robert Duchesne (Photo courtoisie)
Un homme brillant, mais aussi introverti. Il me faisait penser à une vieille blague lancée par Pierre Bouchard à propos de son coéquipier Henri Richard, l’ancien capitaine du Canadien et frère du célèbre Maurice Richard. Comme le racontait Bouchard, Henri s’était un jour levé dans le vestiaire et avait lancé : « OK les gars, faut gagner ce soir. » Et les joueurs du Canadien de se dire : « Eh bien, Henri a été bien volubile ce soir-là ! » Robert me rappelait un peu ça.
C’était un autodidacte assez exceptionnel. Chaque fois que j’allais chez mon oncle, j’entendais l’un de ses frères dire : « Robert est sur un projet. »
Une fois, c’était une éolienne, rien de moins, pour produire assez d’électricité pour alimenter sa maison. Une autre fois, il avait décidé de se construire un garage. Un garage de 100 par 200 pieds. Chaque fois que je retournais voir mon oncle, le projet avait bel et bien vu le jour. Une belle famille tissée serrée, comme les agriculteurs de mon enfance. Et voilà que c’est ce même homme, que j’ai pourtant peu connu, qui nous arrive avec ça : l’aide médicale à mourir.
Quoi penser de ça ?
Je ne m’étais jamais posé la question. En plus, on nous a prévenus de sa démarche avant que tout ne soit fait. Robert est décédé quelques jours plus tard, comme convenu. Et pourtant, j’écris cette chronique en sachant qu’il est encore vivant à ce moment précis. C’est un drôle de sentiment, contradictoire. D’un côté, on espère qu’il trouvera enfin la paix, après une longue maladie. De l’autre, on se demande comment on en vient à prendre une telle décision.
Personnellement, ce genre de moment ravive en moi le souvenir d’amis ou de membres de ma famille qui sont partis, jeunes ou moins jeunes. Ça me rappelle que le temps n’est, au fond, qu’un emprunt. Mais où place-t-on une telle démarche dans notre vie ?
Quand on entend parler de l’aide médicale à mourir à la télé ou à la radio, ça semble toujours loin de nous. Et puis, un jour, cette loi, ce droit, débarque dans notre propre cour. Dans notre propre vie.
Avoir le droit de mourir. De choisir le jour et l’heure. C’est un poids, une réflexion que chacun porte à sa façon. On a tous nos croyances. Même être non-croyant est une forme de croyance. Alors, je me demande, à quoi croit-on, quelques minutes avant le grand départ ?
Pour mon cousin, il ne doit pas avoir beaucoup de regrets. Il a eu une vie bien remplie.
Comment vais-je me sentir ?
Moi, j’ai toujours eu ce réflexe de m’accuser quand un être cher meurt. Le moindre mot de travers, un banal manque d’attention, ou simplement avoir élevé le ton… c’était suffisant pour que la vie me traverse le cœur comme un poignard.
Alors comment vais-je me sentir si, un jour, je dois moi-même faire ce choix ? Que Dieu m’épargne ce moment.
Si j’avais le choix, je préférerais marcher clopin-clopant dans la rue et être atteint par une roue de secours qui se serait détachée de l’arrière d’une roulotte. Une roue qui n’aurait blessé personne d’autre. Mourir comme une crêpe. Rien vu, rien su. Parti.
Oui, même si je suis croyant, l’approche de la mort me fait peur. Ouvrir la porte de sa propre fin… comment Robert a-t-il fait ?
De nombreux citoyens se sont réunis ce vendredi matin (15 août), à l’hôtel de ville de Rimouski, pour rendre hommage au peuple acadien dans le cadre de sa fête nationale.
Comme c’est le cas depuis maintenant plusieurs années, le drapeau acadien a été hissé au mât de l’hôtel de ville et le trompettiste de 94 ans, Louis Arsenault, a joué l’hymne national acadien, « L’Ave Marie Stella ».
En amont de la cérémonie, l’Acadien d’adoption, Roger Lavallée, a pris la parole pour souligner l’important sentiment d’appartenance qui habite les Acadiens.
Louis Arsenault et Roger Lavallée (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Depuis plusieurs semaines, dans les régions acadiennes, le paysage est tapissé du drapeau acadien. Les gens portent des costumes aux couleurs de l’Acadie. Ils sont bien préparés pour leur fête nationale. Aujourd’hui, ces gens vont chanter, danser et giguer, parce que c’est un peuple qui adore sa fête. »
Journée significative
« J’ai vécu 25 ans au Nouveau-Brunswick et tous les ans, le 15 août, il y avait une grande fête et je suis vraiment tombé amoureux des Acadiens et des Acadiennes. Je me suis dit, pourquoi Rimouski ne ferait-elle pas une cérémonie pour souligner cette fête? Depuis plus de 10 ans, on procède à la levée du drapeau acadien et on le fait avec beaucoup de bonheur. Un comité organise cette activité et elle est approuvée par la Ville de Rimouski. Nous en sommes très fières, parce qu’elles sont rares les villes du Québec qui font, comme Rimouski, la levée du drapeau », rapporte monsieur Lavallée.
Le conseiller du district Saint-Germain, Philippe Cousineau Morin, qui a procédé à la levée du drapeau, a lui aussi profité de l’occasion pour souligner l’importance de cette journée.
« Les Acadiens implantés sur le territoire contribuent activement à faire vivre l’héritage acadien et à le promouvoir auprès des Rimouskoises et Rimouskois. Cette journée est très significative et c’est important pour nous d’y prendre part et de la souligner chaque année. »
Les frères Lucien et Gilles Poirier ont conclu la cérémonie tout en musique avec un spectacle de chansons acadiennes.
Chocolats Favoris procède au rappel de ses barres de chocolat Dubaï, à titre préventif, en raison d’un risque de contamination à la salmonelle.
L’entreprise en a fait l’annonce sur sa page Facebook.
Le fournisseur des barres Dubaï en vente dans ses boutiques, dont celle de Rimouski, procède à cet appel volontaire de ses barres.
Certaines pistaches utilisées pour la pâte contenue dans ces tablettes pourraient avoir été contaminées. La situation n’est pas du ressort de la chocolaterie.
Chocolats Favoris s’engage à rembourser les clients qui rapporteront la barre concernée en magasin.
Plusieurs DJ reconnus participeront au festival M DGTL, présenté du 15 au 17 août, sur la plage située à l’arrière du Riôtel de Matane. Pour l’occasion, trois journées de festivités feront le bonheur des amateurs de musique électronique.
Les connaisseurs écouteront, le vendredi soir, Suray Sertin, Key Watch, Mezraa et Flytz, tandis que le fort talentueux Christophe Dubé, aussi connu sous le nom de Cri, animera la soirée du samedi.
Ce dernier a d’ailleurs remporté le Félix de l’album électronique de l’année en 2024. Il sera accompagné de Jonathan Kaspar. Ludo Lacoste, Argia et Nado font aussi partie de la programmation.
Pour clore les festivités, le dimanche a été offert au Couple Créatif, un duo qui marie musique house et yoga. Pendant l’événement, il y aura même un barbier sur place alors que Mathéo Myango mettra ses talents au service des festivaliers. Des tatoueurs seront aussi présents.
Plus grand que nature
Pendant la fin de semaine, on introduira aussi un dôme de projection 360 degrés dans lequel les festivaliers pourront fêter dans une atmosphère complètement éclatée.
Une expérience immersive avec des images inspirantes.
Une photo croquée lors du Festival M DGTL. (Photo courtoisie)
Pour l’initiatrice du festival, Cabrina Marchioni, l’idée de réunir les passionnés de musique électronique était dans sa tête depuis qu’elle était revenue dans la région. Pour se procurer des billets, on peut se rendre sur le site de l’événement au mdgtl.ca.
Une résidence a subi des dommages à la suite d’un incendie survenu jeudi soir (14 août), vers 22 h 25, sur la rue de la Charente à Rimouski.
Le feu, d’origine accidentelle, a rapidement été maîtrisé par les neuf pompiers du Service de sécurité incendie de Rimouski dépêchés sur place. Personne n’a été blessé.
Les sapeurs ont eu une journée particulièrement chargée, jeudi, alors qu’ils ont répondu à 10 autres appels mineurs.
Postes Canada et le syndicat représentant 55 000 travailleurs et travailleuses des postes retournent vendredi à la table de négociations.
Par Craig Lord- La Presse Canadienne
Cela fait deux semaines que les membres du Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) ont rejeté les dernières offres de l’employeur par un vote majoritaire.
Après plus d’un an et demi de négociations, les deux parties ont rencontré des médiateurs fédéraux mardi et d’autres rondes de négociations sont prévues vendredi et lundi.
Les plus récentes offres de la société d’État, datant de la fin mai, comprenaient des augmentations salariales d’environ 13 % sur quatre ans et une restructuration visant à embaucher des travailleurs à temps partiel.
Postes Canada dit attendre avec impatience de recevoir une réponse complète du syndicat qui répond aux défis importants et croissants auxquels le service postal est confronté.
On connait maintenant les quatre équipes demi-finalistes dans la Ligue de baseball senior Puribec. Trois-Pistoles rejoint Matane, Rimouski et Témiscouata dans le carré d’as.
Jeudi soir, le Bérubé GM (7e au classement) a causé la surprise du premier tour des séries en éliminant le CIEL FM de Rivière-du-Loup (2e au classement) dans le 5e et décisif match. Pointage final : 7-3.
Le vétéran Stéphane Pouliot a été le grand artisan de cet accomplissement du Bérubé GM avec les trois victoires des siens dans autant de départs en huit jours au monticule. Jeudi, il a un match complet de 83 lancers.
C’est la victoire pour Trois-Pistoles (Photo archives : Jean-Claude Pelletier)
Au bâton, Ludovic Saucier a un double bon pour deux points pour donner les devants aux siens 3-0 en 4e manche. Il a ajouté un simple pour le point d’assurance en 7e manche.
Juan Borras, qui a lancé cinq manches et un tiers, encaisse la défaite.
La cinquantaine de recrues de l’Océanic ont cassé la glace, jeudi, lors du Jour 1 du camp d’entrainement de l’équipe au Complexe sportif Desjardins.
L’objectif à court terme de ces jeunes est de mériter une place pour le camp avec les vétérans à compter de samedi.
« Je suis très satisfait de l’éthique de travail des gars et c’est ce qu’on demande la première journée. On leur a demandé de jouer dans leur identité et leurs forces », explique Joël Perrault dans son premier point de presse de la nouvelle saison.
Joël Perrault (Photo Le Soir – Olivier Therriault)
« On voit qu’il a beaucoup de talent. Il a un très bon lancer et il a tout le temps marqué des buts. Il devra maintenant ajuster sa partie en conséquence et il est prêt à tout pour être dominant parce qu’il l’a toujours été », souligne l’entraineur-chef.
Ce dernier a aussi beaucoup apprécié l’énergie de Maxwell Branton et de ses belles aptitudes, tout comme pour le défenseur Justin Beaulieu, les deux choix de 2e ronde en juin dernier.
« On l’a vu beaucoup vu dans les deux dernières années. À chaque match, il est là. À Chicoutimi, il jouait dans un rôle un peu plus défensif en arrière de tout le talent qu’ils ont. C’est un joueur que j’apprécie beaucoup avec son coup de patin et son énergie. Je lui ai parlé, il est très content de s’en venir à Rimouski. Il aura un rôle important avec nous. C’est un très bel ajout avec le départ de Maxime Coursol qui a passé quatre ans ici, qui nous a tellement amené de l’expérience et de leadership dans le vestiaire. »
Le camp se poursuit vendredi avec deux séries de trois parties, de 09 h 30 à 12 h 30 ainsi que de 17 h à 20 h. Les premiers retranchements seront annoncés samedi midi.
Le 39e Tournoi de golf Construction Albert affiche complet avec la présence annoncée de 260 joueurs ce samedi 16 août, au Club Les Saules de Rimouski. L’événement promet une journée festive, sportive et généreuse au profit de sept organismes régionaux.
Cette année, Construction Albert viendra en aide à La Débrouille, à l’Association du hockey mineur de Rimouski, au Centre de prévention du suicide et d’intervention de crise du Bas-Saint-Laurent, au Club de patinage artistique de Rimouski, à la Fondation de l’école Paul-Hubert, à la Fondation Martin D’Astous et à l’Association du cancer de l’Est du Québec.
Le comité organisateur, sous la responsabilité de Mélissa Pelletier et de Louis-Vincent Albert, accueillera les premiers joueurs dès 7 h avec le traditionnel brunch et le départ matinal sous la formule Mulligan à cinq joueurs.
Les autres golfeurs arriveront pour celui de l’après-midi, prévu à 13 h, pour profiter du parcours dans une ambiance conviviale.
Des golfeurs réunis au premier trou du Club Les Saules. (Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)
Depuis près de quatre décennies, le tournoi de golf Construction Albert demeure un rendez-vous incontournable, combinant plaisir du jeu et engagement envers la communauté. En 2024, il avait permis d’amasser 48 000 $ redistribué à six organismes.
L’ouverture du Centre d’hébergement d’urgence de Rimouski est toujours prévue pour le mois de septembre. L’organisme responsable, En tout C.A.S., souhaite aller vite dans la préparation des lieux, une fois que le bâtiment sera livré par le constructeur à la Ville de Rimouski.
« On veut aller vite, mais pas à tout prix. Notre objectif est toujours d’ouvrir en septembre, mais le bâtiment n’est pas encore livré. On veut que ce soit parfaitement fonctionnel lorsque nous allons ouvrir », mentionne le directeur d’En tout C.A.S., Luc Jobin.
« Nous avons embauché une coordonnatrice ainsi qu’une douzaine de personnes qui vont se relayer sur différents quarts d’emplois », poursuit-il.
Sarah Leblond, du service des communications de Rimouski, indique qu’il n’y a pas de date d’ouverture de fixer encore, mais elle précise que la Ville s’est engagée à livrer le bâtiment d’ici la fin de l’été. « Une annonce officielle sera faite sous peu ».
À moyen terme, un organisme sera incorporé pour gérer le Centre d’hébergement, mais pour le moment, la gestion est confiée à En tout C.A.S..
12 personnes en même temps
Le site pourra accueillir 12 personnes entre 17 h et 9 h.
« C’est ce que prévoit notre entente avec Santé Québec, mais on pourrait en prendre quelques-unes de plus lors de circonstances exceptionnelles. On pourrait monter jusqu’à 16. Par exemple, on ne mettra pas quelqu’un dehors par temps de grand froid parce que nous sommes rendus 12 », précise monsieur Jobin.
Luc Jobin (Photo Le Soir.ca)
La grande particularité du Centre de Rimouski, c’est qu’il pourra accueillir des gens intoxiqués par l’alcool ou la drogue, ce qui ne se fait pas ailleurs.
« Une personne intoxiquée qui a pris quelques bières ou qui a fumé un joint ne serait pas nécessairement exclue, en autant qu’elle puisse se comporter convenablement et respecter les consignes. On ne pourra pas accepter des gens désorganisés parce que nous ne sommes pas équipés pour cela. Il n’y aura pas de consommation permise à l’intérieur ou dans l’environnement immédiat du centre », explique Luc Jobin.
Luc Jobin signale que l’itinérance est toujours bien présente à Rimouski cet été, même si elle est moins visible depuis la fin du camp au parc de la Gare.
« La situation n’est pas pire que lors des dernières années. La seule différence c’est que depuis la fin des campements, l’itinérance est redevenue un peu plus cachée. L’itinérance présente de nombreuses formes. Ça va de la personne qui dort sur un banc de parc à celle qui n’a pas de logements, mais qui réussit à dormir chez des amis ».
Le commerce rimouskois Gaïa Épicerie Santé participe à la 10e édition du concours « Les Aliments du Québec dans mon panier ! » dans lequel elle met à l’honneur le kombucha de l’entreprise Les Chants du Fleuve.
Le concours, qui a débuté le 4 août dernier, se poursuit jusqu’au 24 août prochain. Pendant cette période, le grand public est invité à voter chaque jour pour son projet de marchandisage coup de cœur et ainsi courir la chance de remporter l’un des cinq prix de 1000 $ en produits alimentaires québécois.
Du côté des fournisseurs et des détaillants, les duos gagnants auront l’opportunité de faire rayonner leur partenariat, notamment avec un prix de 7 000 $ en valeur publicitaire dans leur région, une capsule à TVA en Mouvement et une vidéo de deux minutes présentant leur initiative.
« En votant pour notre projet, les gens contribuent à la visibilité de notre commerce et aident à faire connaitre Gaïa. Par le fait même, ils encouragent un commerce local qui encourage les producteurs d’ici », précise la fondatrice et copropriétaire de Gaïa Épicerie Santé, Judith Cloutier.
Elle ajoute que plusieurs éléments ont motivé son épicerie à choisir les Chants du Fleuve.
« Nous nous sommes associés en raison des vertus santé du kombucha et de la composition santé super intéressante de leur kombucha framboise-basilic sacré, qui est peu sucré. C’est aussi une entreprise que nous adorons et qui est très populaire auprès de notre clientèle. »
Judith Cloutier mentionne que la participation de son commerce, ouvert depuis maintenant trois mois au centre-ville de Rimouski, rejoint directement les valeurs de son entreprise.
Deux des copropriétaires de Gaïa Épicerie Santé, Judith Cloutier et Leevan Tremblay. (Photo Le Soir.ca – Olivier Therriault)
« Chez Gaïa, nous avons à cœur de travailler avec des producteurs locaux, de faire affaire avec Aliments du Québec et de proposer des produits d’ici. […] Je pense qu’au-delà de notre offre de produits naturels et de prêt-à-manger, je pense qu’en termes de produits locaux, c’était juste normal que Gaïa prenne part au concours. »
Découvrir le produit
Les Chants du Fleuve seront d’ailleurs chez Gaïa, demain, le vendredi 15 août en après-midi, pour une dernière dégustation avant la fin du concours.
Les gens sont ainsi invités à se rendre sur place pour découvrir le produit.
Les Pionniers du Cégep de Rimouski en hockey accueilleront 35 joueurs à leur camp d’entrainement qui se tient à compter de vendredi au Complexe sportif Desjardins.
Nicholas Duchesne, qui a dirigé les Pionnières en 2023-2024, est le nouvel entraineur-chef de l’équipe masculine. L’an dernier, il agissait comme coordonnateur du programme Sélect de l’école Paul-Hubert, en plus de diriger l’équipe M18 D1.
Il succède à Frédérick Bergeron, qui avait assumé l’intérim de Sébastien Dénommé en deuxième moitié de saison, l’an dernier. Bergeron a accepté le poste d’entraineur des gardiens et responsable de la vidéo avec les Albatros M18 AAA.
Des 35 joueurs présents, une vingtaine sont des vétérans ou des joueurs qui ont signé des lettres d’engagement. Deux ou trois autres joueurs participent à des camps d’entrainement dans le junior majeur ou le collégial D1 et pourraient s’amener avec les Pionniers.
« Il reste de la place pour environ quatre joueurs. Le plan est de compter sur 14 attaquants, sept ou huit défenseurs et trois gardiens », mentionne Duchesne qui sera assisté par William Massé et Simon Deschênes.
La très grande majorité des joueurs sont du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.
L’accueil se fera vendredi avec des séances d’entrainement en soirée et le samedi avant-midi. Suivront, deux matchs intra équipe, en fin d’après-midi et dimanche en début d’après-midi.
Division 2
Nicholas Duchesse (Photo Facebook Pionniers)
Les Pionniers évoluent dans la division 2 de la Ligue collégiale du RSEQ. Deux nouvelles équipes s’ajoutent avec le Collège Laflèche (Trois-Rivières), dans la section Nord-Est, et Joliette, dans la Sud-Ouest. Le calendrier passe de 26 à 30 parties par équipe.
« On peut s’attendre à une belle saison. On sera relativement jeune avec de bonnes recrues qui rentrent et de bons résultats, mais la fenêtre pour être très compétitif devrait s’ouvrir en 2026-2027. Mais, dès cette année, on devrait lutter dans le top 4 de notre section et l’objectif sera de se rendre au championnat provincial », poursuit Duchesne.
Parties préparatoires
Les Pionniers disputeront trois parties hors-concours : le samedi 30 août à Lévis ainsi que les 6 et 7 septembre, à domicile, contre le Cégep du Vieux Montréal.
La saison régulière débutera le 13 septembre à Trois-Rivières.
Pionnières
Pour ce qui est des Pionnières, l’alignement 2025-2026 est finalisé depuis le camp de printemps.
Jean-François Duchesne accueillera son personnel pour des premières pratiques, les 18 et 19 août. Un match préparatoire est à l’horaire pour le 30 août, à Lévis, contre Thetford.
La saison régulière se mettra en branle le samedi 20 septembre, à Rimouski, contre les Lynx du Cégep Édouard Montpetit.
Des Acadiens de souche invitent la population à se joindre aux festivités de la Fête nationale de l’Acadie, ce vendredi 15 août, à 10 h, à l’hôtel de ville de Rimouski.
Célébrée chaque année depuis 1881, cette journée met à l’honneur la culture et l’histoire acadiennes.
Pour l’occasion, le drapeau acadien sera hissé au mât de l’hôtel de ville. Louis Arsenault, trompettiste âgé de 94 ans, interprétera l’hymne national acadien, L’Ave Maris Stella.
Un spectacle de chansons traditionnelles, présenté par les frères Lucien et Gilles Poirier, complétera la célébration.
Certains vols d’Air Canada qui devaient décoller jeudi seront annulés, car la compagnie aérienne se prépare à la grève de ses agents de bord qui doit commencer samedi.
Par La Presse Canadienne
Le syndicat qui représente les quelque 10 000 agents de bord d’Air Canada compte déclencher une grève samedi, peu avant 1 heure. Le transporteur aérien imposera quant à lui un lock-out.
Dans ce contexte, Air Canada commencera à annuler des vols dès jeudi. D’autres annulations auront lieu vendredi, puis le service sera complètement interrompu samedi si un accord n’est pas conclu d’ici là.
L’entreprise précise que les clients dont les vols sont annulés auront droit à un remboursement complet. Les plus chanceux se verront offrir une place sur un vol d’une autre compagnie.
Les points en litige portent notamment sur le salaire des agents de bord et le travail non rémunéré lorsque les avions ne sont pas en vol.
Estimant qu’il «ne semble pas qu’une résolution soit envisageable dans un avenir proche», la compagnie aérienne demande à Ottawa d’ordonner un arbitrage exécutoire.
Le fédéral n’a pas indiqué s’il interviendrait dans le conflit. Mardi, la ministre fédérale de l’Emploi, Patty Hajdu, a appelé les deux parties « à rester à la table des négociations jusqu’à ce qu’un accord soit conclu ».
Un nouveau guichet automatique est maintenant en service au Magasin Coop Marché Richelieu de Saint-Fabien.
« À la suite de la fermeture du guichet automatique de la succursale de la Caisse Desjardins de Saint-Fabien, nous avons voulu maintenir cet accès pratique pour la communauté. Les gens peuvent donc retirer de l’argent facilement, sans avoir à vous déplacer en ville », explique le commerce sur sa page Facebook.
Le guichet ATM est situé à l’intérieur du Marché Richelieu et il est accessible selon les heures d’ouverture du magasin.
Le porte-parole du comité de citoyen de Saint-Fabien, Jérôme Bellavance et le maire de Saint-Gabriel-de-Rimouski, Georges Deschênes ont remis deux pétitions à Desjardins. (Photo courtoisie)
Une vaste mobilisation a suivi cette annonce pour réclamer le retour des services d’un guichet automatique de Desjardins à Saint-Fabien et à Saint-Gabriel.
Des comités de citoyens dirigés par Jérôme Bellavance et Georges Deschênes ont protesté, mais sans parvenir à faire fléchir le mouvement Desjardins. Un recours judiciaire a notamment été rejeté.
Le préfet de la MRC de Rimouski-Neigette, Francis Saint-Pierre, préfère attendre avant de donner son soutien au Comité pour le prolongement de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Le Bic.
Les 3L de Rivière-du-Loup miseront Olivier Bellavance-Roy devant le filet, pour la prochaine saison, dans la Ligue de nord-américaine de hockey. Le gardien de Causapscal effectue un retour au Québec après avoir passé les 14 dernières années dans différents circuits professionnels.
Âgé de 34 ans, l’ancien choix de 5ᵉ ronde des Oilers d’Edmonton a notamment évolué dans la Ligue américaine de hockey, la Ligue de la Côte-Est et en Europe.
Ses succès dans la LHJMQ avec les Eagles du Cap-Breton et le Titan d’Acadie-Bathurst lui avaient aussi permis de représenter le Canada au Championnat du monde junior, où il a remporté la médaille d’argent en 2011.
Maintenant résident de Rimouski, Bellavance-Roy a été acquis du Bataillon de Saint-Hyacinthe lors de la dernière saison. Il partagera le travail à Rivière-du-Loup avec Étienne Montpetit.
Toute une feuille de route
« C’est une grosse signature. On ajoute un joueur du Bas-Saint-Laurent qui possède toute une feuille de route. Avec Émilien Boily qui n’était pas de retour, on a travaillé fort afin de s’assurer d’avoir deux gardiens de qualité. Roy a les outils pour avoir du succès et il nous permet d’avoir encore une fois un excellent duo devant la cage. C’est un gagnant et il arrive avec beaucoup d’expérience et de leadership », a indiqué le directeur général des 3L, Fabien Dubé.
Il s’agira d’un retour pour Bellavance-Roy à Rivière-du-Loup pour Olivier Bellavance-Roy après avoir défendu les couleurs des Albatros du Collège Notre-Dame, au niveau midget AAA.
Des agents correctionnels ont saisi, dans les derniers jours, du tabac et des stupéfiants dont la valeur institutionnelle frôle les 92 000 $, à la prison de Rimouski.
L’information a été confirmée par le ministère de la Sécurité publique.
Selon le Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec, il s’agissait alors d’une livraison par drone de tabac et de drogues, emballée dans un bas de nylon, qui avait échoué. Ces livraisons comprennent parfois des armes, des outils et des cellulaires.
En octobre 2023, le ministère de la Sécurité publique avait confirmé des investissements majeurs de 35,8 M$ pour le déploiement de clôtures autoportantes, de grillages aux fenêtres, de détecteurs à balayage corporel et d’arches de sécurité pour s’attaquer à la contrebande dans les établissements de détention.
En juin dernier, une série de mesures technologiques pour lutter contre la livraison de contrebande par drone et faciliter les activités de fouilles par les agents des services correctionnels à travers le Québec ont aussi été annoncés, avec l’implantation d’une nouvelle génération de détecteurs de drones plus performants, des appareils de détection de téléphones cellulaires et des détecteurs mobiles à rayon X.
Rimouski durcit ses règles concernant l’eau potable. La hausse marquée de la consommation durant la vague de chaleur et l’absence de précipitations significatives force la Ville à émettre un avis d’interdiction d’arrosage à l’ensemble du territoire, et ce, jusqu’à nouvel ordre.
Il s’agit d’une mesure préventive pour éviter que les nappes phréatiques s’affaiblissent dangereusement d’ici l’automne. Les réserves d’eau ont déjà reculé de 5 à 10 %, tandis que la demande a explosé dans les deux dernières semaines.
L’interdiction touche les secteurs desservis par les réseaux municipaux de Rimouski, Sainte-Blandine et Mont-Lebel, incluant Val-Neigette et Bois-Brûlé. Le lavage des véhicules, des entrées et des bâtiments est proscrit, tout comme l’arrosage des pelouses.
Les potagers et plates-bandes peuvent toutefois être arrosés à la main ou à l’aide d’un boyau muni d’un arrêt automatique.
La Ville invite les citoyens à reporter les travaux d’aménagement paysager nécessitant l’utilisation d’eau à une période plus favorable et de limiter toute consommation d’eau potable non nécessaire.
Après avoir passé environ cinq heures en compagnie de ses ministres, mercredi, le premier ministre François Legault passera la journée de jeudi en compagnie des députés de la CAQ, à Québec.
Par La Presse Canadienne
Les élus de la Coalition avenir Québec (CAQ) vont se réunir dès le début de la journée, alors que le premier ministre doit prononcer son allocution d’ouverture à 8 h 35.
Depuis que son parti a subi une défaite cinglante lors de la partielle dans Arthabaska, lundi, monsieur Legault répète qu’il fera preuve d’« humilité » et qu’il sera à l’« écoute » de son caucus et des Québécois.
Avant la réunion du conseil des ministres, mercredi, François Legault a fait savoir qu’il compte profiter de la journée de jeudi pour écouter ses députés, qui ont eux-mêmes écouté les citoyens tout l’été.
Il a dit vouloir les entendre sur « tout, incluant les commentaires négatifs qu’ils ont sûrement eus » dans les dernières semaines.
« Donc, je vais passer toute la journée (…) à écouter leurs propositions de changements. Je vais prendre les semaines qui viennent pour digérer ça », a-t-il ajouté.
Le premier ministre François Legault a rencontré Le Soir.ca en compagnie de la députée-ministre de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina. (Photo courtoisie)
Lundi, la CAQ a perdu la circonscription d’Arthabaska, qu’elle détenait depuis 2012, au terme d’une élection partielle remportée par le Parti québécois.
Le gouvernement a terminé en quatrième position avec seulement 7 % des votes. En 2022, la CAQ avait remporté cette circonscription avec 52 %.
Le premier ministre a dit assumer « l’entière responsabilité de la défaite ».
Deux maisons et autant de garages ont été complètement détruits par les flammes, dans la nuit de mercredi à jeudi, sur la rue Morin à Saint-Léon-le-Grand.
À l’arrivée des pompiers, il y avait un embrasement généralisé. En tout, sept bâtiments ont été touchés. Trois autres résidences ont été affectées, mais ont pu être sauvées.
Les familles touchées par l’incendie ont été prises en charge par la Croix-Rouge.
« L’appel est entré vers 00 h 45. La première maison était déjà en embrasement généralisé et la deuxième maison voisine était allumée en grosse partie du côté de la maison qui brûlait », explique le directeur du Service incendie de la MRC de La Matapédia, Ghislain Paradis.
Vingt-cinq pompiers des casernes d’Amqui, de Causapscal, de Lac-au-Saumon et de Val-Brillant ont combattu le brasier.
« Ça s’est propagé rapidement à cause de l’intensité du feu. Les maisons sont toutes collées. On parle d’un périmètre d’environ 30 pieds », ajoute monsieur Paradis.
La canicule des derniers jours a rendu la tâche difficile aux pompiers. Certains ont été victimes de coups de chaleur pendant l’intervention.
Une enquête est en cours afin de déterminer la cause et les circonstances du brasier, mais le service incendie de la MRC de La Matapédia exclut l’acte criminel.
On connait maintenant trois des quatre équipes demi-finalistes dans la Ligue de baseball senior Puribec. En l’emportant mercredi soir par 4-2 à Edmundston, Matane rejoint Rimouski et Témiscouata dans le carré d’as.
La formation matanaise atteint le carré d’as pour la première fois depuis 2010, année de leur dernier championnat. Michaël Lavoie et Junior Coulombe étaient les seuls joueurs de l’édition actuelle qui faisaient partie de l’équipe.
Mercredi soir, les vétérans Maxime Gauthier et Raphaël Bérubé ont pris les choses en main. Le premier a lancé six très bonnes manches en plus de produire le premier point de la rencontre en 4e manche.
Pour ce qui est de Bérubé, son circuit bon pour trois points à la manche suivante a porté le pointage à 4-0.
Le Frontière FM a bien tenté de remonter la pente avec un point en 5e et un en 7e, mais ça s’est arrêté là. Keisuke Takikawa est venu faire les deux derniers retraits avec deux coureurs sur les buts pour le sauvetage.
Gauthier enregistre la victoire (6 1/3 manches) pendant que Seth Querze (4 2/3 manches) encaisse la défaite.
Edmundston a frappé 14 coups sûrs dans la rencontre, mais l’opportunisme a fait défaut avec 12 coureurs laissés sur les buts.
La première ronde des séries prendra fin jeudi soir alors queTrois-Pistoles (Stéphane Pouliot) sera à Rivière-du-Loup (Juan Borras) pour le 5e et décisif match.
Si Trois-Pistoles gagne, le Bérubé GM affrontera Rimouski pendant que Matane croisera le fer avec Témiscouata.Si Rivière-du-Loup gagne, le CIEL FM affrontera Témiscouata pendant que Rimouski croisera le fer avec Matane.
Les routes touristiques des Monts-Notre-Dame et des Frontières pourraient fusionner en 2026 pour devenir la Route des Lacs et Légendes. Tourisme Bas-Saint-Laurent a déposé un projet en ce sens au ministère du Tourisme. Une réponse est attendue pour septembre ou octobre.
Tourisme Bas-Saint-Laurent souhaite attendre la réponse du ministère avant d’aller plus loin dans la présentation du projet.
En janvier 2024, un comité de travail composé des deux corporations, de la MRC de Témiscouata, de la SADC du Témiscouata et de Tourisme Bas-Saint-Laurent a été mis en place afin de revoir le modèle de gouvernance des deux routes et d’en assurer la pérennité.
La route des Monts Notre-Dame passe dans le haut pays des MRC Rimouski-Neigette, de la Mitis et du Témiscouata, là où l’on retrouve de nombreux lacs.
Un diagnostic portant sur la structure de gouvernance a mené à plusieurs constats et recommandations. À la lumière de ceux-ci, le comité de travail a convenu de créer un nouveau modèle de gouvernance pour une route touristique dont le tracé réunirait les deux routes actuelles.
Les responsabilités seraient partagées entre Tourisme Bas-Saint-Laurent, les MRC, les municipalités et les partenaires économiques du milieu.
« L’objectif ultime dans tout ça, c’est de consolider et de mettre en valeur les attraits et les atouts distinctifs de cette partie du territoire bas-laurentien afin que ce soit attractif pour les visiteurs et bénéfique pour notre région. C’est un projet porteur et mobilisateur qui nécessite l’engagement et l’adhésion de tous les acteurs du milieu », affirmait alors Pierre Levesque président-directeur général de Tourisme Bas-Saint-Laurent.
Le comité de travail a pris la décision de créer une nouvelle route dont la thématique sera représentative et rassembleuse, reliant les tracés existants des routes des Frontières et des Monts-Notre-Dame.
Il a été convenu d’un partage des responsabilités.
Tourisme Bas-Saint-Laurent assurera la gestion et la promotion de la nouvelle route touristique en concertation avec les MRC et les municipalités en ce qui a trait à l’animation du milieu et au développement économique.
Trois routes touristiques
Le Bas-Saint-Laurent compte actuellement trois routes touristiques signalisées sur son territoire.
La route des Navigateurs suit le tracé de la route 132 sur 470 kilomètres, du Centre-du-Québec jusqu’au Bas-Saint-Laurent. Elle met en évidence le fleuve et ses attraits.
La route 132 au centre-ville de Rimouski. (Photo courtoisie Québec en vacances)
La route des Frontières comporte 95 kilomètres, de Saint-André-de-Kamouraska jusqu’à Saint-Jean-de-la-Lande, au Témiscouata. Elle doit son nom à sa contiguïté avec les frontières du Québec, du Nouveau-Brunswick et du Maine aux États-Unis.
La route des Monts-Notre-Dame sillonne l’arrière-pays sur 186 kilomètres, de Sainte-Luce jusqu’à Saint-Jean-de-la-Lande, en passant par le célèbre lac Témiscouata à Dégelis.
Le Club de patinage de vitesse Les Cyclones de Rimouski recevra l’Omnium canadien junior courte piste lors de sa prochaine saison. Les meilleurs jeunes de 16 à 18 ans au pays seront en ville les 24 et 25 janvier 2026.
La compétition regroupera 80 patineurs de vitesse courte piste, soit 40 garçons et 40 filles. C’est la deuxième fois que les Cyclones reçoivent un événement national. L’autre était en mars 2024.
« L’an dernier, nous avions eu un rendez-vous manqué. Nous pensions en avoir une et nous n’avions pas pu pour une question d’équité entre provinces. Nous nous étions fait suggérer de postuler pour la prochaine année et c’est ce que nous avons fait. Nous sommes vraiment contents », affirme l’entraîneuse-chef des Cyclones, Geneviève Sirois.
Rivière-du-Loup avait également accueilli une compétition de calibre national en novembre 2024.
« Pour une région comme l’Est-du-Québec, d’avoir des événements nationaux pratiquement chaque année est super positif pour le club, pour la ville et pour la région. Quand Rimouski ou Rivière-du-Loup reçoit un tel événement, ça a des retombées sur l’ensemble de la région », ajoute madame Sirois.
En terrain connu
Organiser ce genre d’événement demande un peu plus de gestion de la part des Cyclones, mais le club est en terrain connu.
« Nous allons devoir sortir des sentiers battus par rapport à ce que nous avons l’habitude d’organiser pour un championnat provincial. Les gens vont arriver des autres provinces la semaine avant. Nous allons devoir mettre en place des plages d’entraînement. Il faut aussi que tout soit bilingue. Par contre, nous recevons plus d’aide quand on accueille un championnat national que lors d’un championnat interrégional », explique l’entraîneuse-chef.
Quatre patineurs des Cyclones, Félix Gagnon, Zachary Tremblay, Samuelle Tremblay et Jade Pelletier pourraient se qualifier pour l’Omnium canadien junior à Rimouski.
Déjà présent au Bas-Saint-Laurent avec ses bannières Pizza Salvatoré et Topla!, le Groupe Abbatiello, qui possède également les bannières Jack le Coq et de Crèmerie Chez Mamie, confirme avoir d’autres projets pour l’Est-du-Québec, possiblement à Rimouski.
« Nous avons effectivement des projets en cours d’analyse, mais ceux-ci ne peuvent pas encore être dévoilés publiquement », indique la relationniste pour le Groupe Abbatiello, Brigitte Morneau.
« Nous sommes ouverts à recevoir des propositions de sites disponibles et nous sommes à la recherche de franchisés pour nos différentes bannières. Les intéressés peuvent nous écrire à developpement@groupeabbatiello.com« , ajoute madame Morneau.
Le Groupe Abbatiello a acquis la bannière québécoise Jack Le Coq, spécialisée dans le poulet frit, en décembre 2024 avec un plan ambitieux de croissance.
La bannière Crèmerie Chez Mamie est présente à Saint-Anselme, Québec, Saint-Hyacinthe et Sherbrooke. Des ouvertures sont prévues à Sherbrooke (une 2e) et Beauport.
La Crèmerie Chez Mamie (Photo courtoisie)
La bannière propose de la crème molle, cornets, sundaes, coupes glacées et breuvages glacés.
Holding familial
Fondée en 1964, Pizza Salvatoré s’impose dans plusieurs régions du Québec. Le holding familial réunit d’autres marques de restauration, dont Topla!, Jack le Coq et Crèmerie Chez Mamie.
Pizza Salvatoré est présente à Rimouski, Mont-Joli, Matane, Rivière-du-Loup et très bientôt à La Pocatière. Topla! est installé à Rimouski.
C’est le retour au travail pour l’Océanic avec l’accueil d’une cinquantaine de recrues qui sauteront sur la glace du Complexe sportif Desjardins, jeudi.
Les équipes Crosby (blanc), Richards (bleu) et Lafrenière (rouge) pratiqueront en avant-midi (de 09 h à midi) avant de jouer des matchs simulés en soirée (de 17 h à 20 h) ainsi que vendredi (de 09 h 30 à 12 h 30 ainsi que de 17 h à 20 h).
Au total, l’Océanic a invité 63 joueurs, incluant les vétérans qui arriveront samedi pour un premier entrainement à 15 h. Le camp déménagera au Colisée Financière Sun Life à compter de mardi prochain.
Émile Duquet, acquis de Chicoutimi mardi, sera présent tout comme le défenseur Olivier Théberge, aussi âgé de 20 ans, qui ne devait pourtant pas y être après avoir été libéré par l’Océanic.
Le défenseur de l’Océanic, Olivier Théberge (Photo Vincent Éthier- LCH)
« Il est au camp », se limite à dire Danny Dupont lorsque questionné sur le sujet. Il y aura donc trois joueurs de 20 ans en Duquet, Théberge et Jack Martin.
Européens
Les partisans pourront notamment voir à l’œuvre les onze choix de l’équipe au dernier repêchage ainsi que les trois nouveaux Européens en Dovydas Jukna, Luca Nappiot et Raphaël Achermann. Trois Américains invités y seront également.
Achermann arrivera toutefois le 20 août puisqu’il participe actuellement au Tournoi mondial des moins de 18 ans Hlinka/Gretzky avec la Suisse.
Seulement 10 vétérans
Les lendemains d’une saison de performance se feront sentir rapidement. À la suite des mouvements de personnel faits par Dupont, seulement dix vétérans de la dernière saison sont de retour, dont les deux gardiens, William Lacelle et Mathis Langevin.
Les autres sont les défenseurs Jack Martin, Olivier Théberge et Connor Sturgeon ainsi que les attaquants Lou Lévesque, Mathys Dubé, Thomas Belzil, Anthony Gaudet et Logan Roop.
Chez les vétérans, on peut aussi ajouter l’attaquant Duquet, le défenseur Evan Dépatie qui a été acquis des Foreurs de Val-d’Or ainsi que l’attaquant Maddox Thisdelle, un joueur prêté par l’Armada pour le camp d’entrainement.
Ça laisse de la place pour une quinzaine de nouveaux venus dans l’équipe qui amorcera un nouveau cycle de quelques saisons.
Gardiens
Le gardien de l’Océanic, Mathis Langevin (Photo Vincent Éthier- LCH)Le gardien de l’Océanic, William Lacelle (Photo Vincent Éthier- LCH)
Devant le filet, le tandem Lacelle / Langevin va constituer un duo de première qualité, à moins que Danny Dupont n’obtienne son prix pour l’un d’eux d’ici le 24 août. Noah Preston Moore, le troisième gardien de l’organisation, n’est pas disponible pour quelques mois à la suite d’une intervention chirurgicale.