En retard 0-2 dans la demi-finale de la Ligue de baseball senior Puribec du Bas-Saint-Laurent l’opposant au Bérubé GM de Trois-Pistoles, le Shaker de Rimouski fera confiance à Markus Coastes pour renverser la vapeur devant ses partisans.
Le troisième duel de la série aura lieu ce jeudi 21 août, à 19h30, au Complexe sportif Guillaume-Leblanc.
En cinq apparitions sur le monticule cette saison, Coastes a complié un dossier de 1-0 et enregistré un sauvetage, tous réalisés contre Trois-Pistole
En retard 0-2 dans la demi-finale de la Ligue de baseball senior Puribec du Bas-Saint-Laurent l’opposant au Bérubé GM de Trois-Pistoles, le Shaker de Rimouski fera confiance à Markus Coastes pour renverser la vapeur devant ses partisans.
Le troisième duel de la série aura lieu ce jeudi 21 août, à 19h30, au Complexe sportif Guillaume-Leblanc.
En cinq apparitions sur le monticule cette saison, Coastes a complié un dossier de 1-0 et enregistré un sauvetage, tous réalisés contre Trois-Pistoles.
Le Shaker affrontera l’excellent Stéphane Pouliot. Le lanceur importé a pratiquement éliminé le CIEL-FM de Rivière-du-Loup à lui seul au premier tour, récoltant les trois victoires de son équipe.
Le Shaker espère de retrouver le sentier de la victoire devant ses partisans. (Photo Le Soir – Olivier Therriault)
La troupe de Jean-Philippe Tortillet-Marcoux se doit de l’emporter pour éviter de faire face à l’élimination, vendredi soir, lors du 4e affrontement prévu au Stade Paul-Émile de Trois-Pistoles. Elle a perdu les deux premiers affrontements par les pointages de 7-6 et 4-3.
Dans l’autre demi-finale, les Allées du Boulevard de Matane tenteront de remporter un troisième match consécutif contre les Braves Batitech du Témiscouata. Les lanceurs partants seront Maxime Gauthier et Dany Paradis-Giroux.
Le match débutera à 20 h dans le secteur Cabano à Témiscouata-sur-le-Lac.
Pour une deuxième soirée consécutive, les espoirs de l’Océanic ont été malmenés par leurs adversaires, battus cette fois 4-1 par les Cataractes, mercredi soir, au Centre Gervais Auto de Shawinigan.
Dominés 38-13 dans les tirs, la troupe de Joël Perrault a résisté jusqu’en deuxième période avant d’accorder ses deux premiers buts, ceux d’Elias Scheneider et Félix Lacerte. Scheneider et Raoul Boilard ont récidivé lors du dernier engagement.
Alex Massé a sauvé l’honneur des siens en évitant
Pour une deuxième soirée consécutive, les espoirs de l’Océanic ont été malmenés par leurs adversaires, battus cette fois 4-1 par les Cataractes, mercredi soir, au Centre Gervais Auto de Shawinigan.
Dominés 38-13 dans les tirs, la troupe de Joël Perrault a résisté jusqu’en deuxième période avant d’accorder ses deux premiers buts, ceux d’Elias Scheneider et Félix Lacerte. Scheneider et Raoul Boilard ont récidivé lors du dernier engagement.
Alex Massé a sauvé l’honneur des siens en évitant le blanchissage avec huit secondes à disputer au match.
Comme la veille, les Bas-Laurentiens ont présenté une formation composée presque uniquement de recrues, à l’exception d’Anthony Gaudet, Logan Roop et Maddox Thisdelle. Ce dernier a disputé 45 matchs avec l’Armada de Blainville-Boisbriand, la saison dernière.
Oliver Czaja tente de déjouer un adversaire. (Photo courtoisie Cataractes de Shawinigan)
Le gardien Jacob St-Cyr a été utilisé durant 60 minutes devant le filet rimouskois.
Les joueurs de l’Océanic bénéficieront d’une journée complète de repos, jeudi, avant de disputer leur première rencontre préparatoire à domicile, vendredi, contre les Saguenéens de Chicoutimi au Colisée Financière Sun Life.
La Société des traversiers du Québec (STQ) annonce l’annulation de toutes les traversées prévues ce mercredi 20 août sur la liaison Matane–Baie-Comeau–Godbout en raison d’un problème technique.
Par Anne-Sophie Paquet-T., Le Manic
L’incertitude demeure pour les départs du jeudi 21 août, puisque les traversées pourraient également être annulés selon l’évolution de la situation.
Les clients qui avaient effectué une réservation verront leurs dépôts remboursés, a précisé la STQ dans un commu
La Société des traversiers du Québec (STQ) annonce l’annulation de toutes les traversées prévues ce mercredi 20 août sur la liaison Matane–Baie-Comeau–Godbout en raison d’un problème technique.
L’incertitude demeure pour les départs du jeudi 21 août, puisque les traversées pourraient également être annulés selon l’évolution de la situation.
Les clients qui avaient effectué une réservation verront leurs dépôts remboursés, a précisé la STQ dans un communiqué.
La direction de la traverse se dit consciente des inconvénients occasionnés, mais rappelle que la sécurité des passagers et des équipages prime dans les décisions de service.
Nouvelles journées de grève
Cette situation survient alors que le conflit de travail qui oppose la Société des traversiers du Québec aux travailleurs de la Traverse Matane-Côte-Nord affiliés à la CSN traîne en longueur, avec une convention collective échue depuis avril 2023.
De nouvelles journées de grève pourraient survenir d’ici les prochaines semaines.
Après avoir paralysé le service de traverse pendant les vacances de la construction avec une grève de 10 jours, perturbant les saisons touristiques au Bas-Saint-Laurent, en Gaspésie et sur la Côte-Nord, le syndicat des travailleurs de la CSN a repris les négociations.
Des syndiqués en grève à la traverse Matane-Baie-Comeau-Godbout. (Photo courtoisie)
Le salaire est l’enjeu principal de ce conflit. Alors que le gouvernement déposait une proposition de hausse salariale de 12,7 % sur cinq ans, les concessions demandées aux travailleurs n’étaient pas raisonnables selon le syndicat.
Bien qu’un projet de loi permettant au ministre du Travail de disposer de leviers supplémentaires pour mettre fin à des conflits pourrait être adopté à l’automne, n’en reste pas moins que de nouvelles journées de grève ne sont pas à exclure d’ici là, ce qui bouleversera de nouveau les activités économiques sur les deux rives.
Le Centre interdisciplinaire de développement en cartographie des océans (CIDCO) reçoit un appui financier d’approximativement 1,8 million de dollars pour poursuivre son projet de sous-marin robotisé.
Le Centre interdisciplinaire de développement en cartographie des océans (CIDCO) reçoit un appui financier d’approximativement 1,8 million de dollars pour poursuivre son projet de sous-marin robotisé.
La construction de l’édifice de Mission Unitaînés, qui accueillera 100 logements sociaux sur la rue Corneau à Rimouski, tire à sa fin.
« Nous sommes dans les travaux de finition intérieure. D’ici deux semaines, nous allons commencer l’aménagement paysager et les bordures de trottoirs. Nous sommes dans nos échéanciers. Le bâtiment devrait être livré cet automne, pour une arrivée des locataires au début de 2026 », indique la présidente-directrice générale de Mission Unitéaînés, Caroline Sauriol
La construction de l’édifice de Mission Unitaînés, qui accueillera 100 logements sociauxsur la rue Corneau à Rimouski, tire à sa fin.
« Nous sommes dans les travaux de finition intérieure. D’ici deux semaines, nous allons commencer l’aménagement paysager et les bordures de trottoirs. Nous sommes dans nos échéanciers. Le bâtiment devrait être livré cet automne, pour une arrivée des locataires au début de 2026 », indique la présidente-directrice générale de Mission Unitéaînés, Caroline Sauriol.
Ces logements sont destinés aux personnes aînées autonomes à faible revenu. C’est l’Office municipal d’habitation Rimouski-Neigette (OHMR) qui va gérer la sélection des futurs locataires.
À cet effet, Mme Sauriol demande aux intéressés d’attendre les indications de l’OHMR pour les inscriptions.
L’inauguration officielle aura lieu d’ici la fin de 2025. Cinq autres projets de Mission Unitéaînés au Québec seront inaugurés avant la fin de l’année. « Nos chantiers vont rondement partout », lance madame Sauriol.
La Ville de Rimouski cède le terrain qui lui appartenait, en plus d’offrir certains congés de taxes et de coûts de raccordement.
Un don philanthropique de 500 000$ de Luc Maurice complète le montage financier.
Le maire de Rimouski, Guy Caron, la présidente-directrice générale de Mission Unitaînés, Caroline Sauriol, la députée de Rimouski, Maïté Blanchette-Vézina et le directeur général de l’OHRN, Alain Boulianne. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
« Après la réalisation de ce projet, le bâtiment sera donné à la Ville qui le cédera à l’Office d’habitation pour l’opérer, avec un fonds de prévoyance », mentionnait le maire de Rimouski, Guy Caron, lors de la première pelletée de terre en septembre 2024.
Le loyer mensuel sera fixé à 595$ pour un studio et 900 $ pour un logement de deux chambres.
L’ébéniste-artisan bien connu du Bic, David Lauzier, obtiendra une greffe cardiaque, mercredi, une opération hautement risquée représentant la seule option pour lui sauver la vie en raison de la faiblesse extrême de son cœur.
Inscrit en priorité absolue sur la liste de Transplant Québec dans l’attente d’un donneur compatible, monsieur Lauzier a appris la bonne nouvelle lundi, en fin de journée, comme l’a rapporté TVA Nouvelles.
Depuis plusieurs semaines, il recevait des soins à l’unité de
L’ébéniste-artisan bien connu du Bic, David Lauzier, obtiendra une greffe cardiaque, mercredi, une opération hautement risquée représentant la seule option pour lui sauver la vie en raison de la faiblesse extrême de son cœur.
Inscrit en priorité absolue sur la liste de Transplant Québec dans l’attente d’un donneur compatible, monsieur Lauzier a appris la bonne nouvelle lundi, en fin de journée, comme l’a rapporté TVA Nouvelles.
Depuis plusieurs semaines, il recevait des soins à l’unité de soins intensifs coronariens de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec, où il avait été admis en urgence le 23 juillet dernier en état d’insuffisance cardiaque sévère.
Sa situation avait mobilisé sa famille et ses amis, qui ont lancé une campagne de sociofinancement sur la plateforme GoFundMe pour soutenir sa conjointe Annie, dont les revenus sont très limités, afin d’assumer les importants frais liés à de longs séjours à Québec.
Longue période de réadaptation
« Le processus d’une greffe du cœur est hautement risqué et, dans ce cas-ci, les médecins estiment ses chances de réussite à environ 75%. Si tout se passe bien, une longue période de réadaptation suivra son cours pendant environ une année et David se trouvera toujours dans l’incapacité d’exercer son métier », indiquent les instigateurs de la campagne, des amis proches du couple.
En date de ce mercredi 20 août, la collecte avait déjà suscité un vaste élan de solidarité, amassant près de 25 000 $, soit à 3 000 $ de l’objectif initial.
L’ébéniste-artisan bien connu du Bic, David Lauzier (Photo courtoisie)
« Souffrant elle-même d’une condition de santé incapacitante depuis plusieurs années, elle dispose de revenus extrêmement limités. La pression financière est énorme. Les factures s’accumulent, d’autant qu’Annie doit maintenant défrayer ses frais de séjour à proximité de l’hôpital. Cette situation nous bouleverse et nous avons décidé de nous mobiliser. David. Nous espérons surtout que son combat pour la vie saura susciter un vaste élan de solidarité régionale et nationale », espèrent les instigateurs.
L’ébéniste-artisan bien connu du Bic, David Lauzier, a reçu une greffe cardiaque, mardi (20 août), une opération hautement risquée représentant la seule option pour lui sauver la vie en raison de la faiblesse extrême de son cœur.
Inscrit en priorité absolue sur la liste de Transplant Québec dans l’attente d’un donneur compatible, monsieur Lauzier a appris la bonne nouvelle lundi, fin de journée, pour une opération prévue dès le lendemain, comme l’a rapporté TVA Nouvelles.
Depuis plusieurs
L’ébéniste-artisan bien connu du Bic, David Lauzier, a reçu une greffe cardiaque, mardi (20 août), une opération hautement risquée représentant la seule option pour lui sauver la vie en raison de la faiblesse extrême de son cœur.
Inscrit en priorité absolue sur la liste de Transplant Québec dans l’attente d’un donneur compatible, monsieur Lauzier a appris la bonne nouvelle lundi, fin de journée, pour une opération prévue dès le lendemain, comme l’a rapporté TVA Nouvelles.
Depuis plusieurs semaines, il recevait des soins à l’unité de soins intensifs coronariens de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec, où il avait été admis en urgence le 23 juillet dernier en état d’insuffisance cardiaque sévère.
Sa situation avait mobilisé sa famille et ses amis, qui ont lancé une campagne de sociofinancement sur la plateforme GoFundMe pour soutenir sa conjointe Annie, dont les revenus sont très limités, afin d’assumer les importants frais liés à de longs séjours à Québec.
Longue période de réadaptation
« Le processus d’une greffe du cœur est hautement risqué et, dans ce cas-ci, les médecins estiment ses chances de réussite à environ 75%. Si tout se passe bien, une longue période de réadaptation suivra son cours pendant environ une année et David se trouvera toujours dans l’incapacité d’exercer son métier », indiquent les instigateurs de la campagne, des amis proches du couple.
En date de ce mercredi 20 août, la collecte avait déjà suscité un vaste élan de solidarité, amassant près de 25 000 $, soit à 3 000 $ de l’objectif initial.
L’ébéniste-artisan bien connu du Bic, David Lauzier (Photo courtoisie)
« Souffrant elle-même d’une condition de santé incapacitante depuis plusieurs années, elle dispose de revenus extrêmement limités. La pression financière est énorme. Les factures s’accumulent, d’autant qu’Annie doit maintenant défrayer ses frais de séjour à proximité de l’hôpital. Cette situation nous bouleverse et nous avons décidé de nous mobiliser. David. Nous espérons surtout que son combat pour la vie saura susciter un vaste élan de solidarité régionale et nationale », espèrent les instigateurs.
Les Fonds régionaux de solidarité FTQ – Bas-Saint-Laurent soutiennent financièrement l’arrivée de Jade Gagné dans l’actionnariat d’Armoires Distinction. Elle se joint à Daphnée et Harold Bélanger.
Fondée en 1998 à Rimouski, l’entreprise se spécialise dans le design, la livraison et l’installation d’armoires de cuisine. Elle distribue également en exclusivité les produits de Miralis.
Harold Bélanger, qui a acquis Armoires Distinction en 2017 avec son partenaire Daniel Drapeau, cumule les fo
Les Fonds régionaux de solidarité FTQ – Bas-Saint-Laurent soutiennent financièrement l’arrivée de Jade Gagné dans l’actionnariat d’Armoires Distinction. Elle se joint à Daphnée et Harold Bélanger.
Fondée en 1998 à Rimouski, l’entreprise se spécialise dans le design, la livraison et l’installation d’armoires de cuisine. Elle distribue également en exclusivité les produits de Miralis.
Harold Bélanger, qui a acquis Armoires Distinction en 2017 avec son partenaire Daniel Drapeau, cumule les fonctions de président et de mentor auprès de ses filles.
Daphnée Bélanger occupera désormais le poste de directrice des opérations, tandis que Jade Gagné, entrée chez Armoires Distinction après cinq années passées chez Miralis, agit comme directrice des finances et prend part aux décisions stratégiques et financières.
« Grâce à leur travail, à notre accompagnement et au rôle important joué par Harold Bélanger dans la planification de la relève, nous permettrons à Armoires Distinction d’atteindre de nouveaux objectifs tout en conservant l’expertise régionale », souligne David Lord, vice-président des Fonds régionaux de solidarité FTQ – Bas-Saint-Laurent, dans un communiqué.
Elle doit offrir un environnement moderne et immersif visant à améliorer l’expérience client.
Le directeur général d’Armoires Distinction, Harold Bélanger (Photo courtoisie)
« Je suis honoré de voir Daphnée et Jade évoluer et accéder à des rôles clés dans l’entreprise, accompagnées par Catherine D’Astous à la direction des ventes. La relève est un processus qui se planifie sur le long terme et nous franchissons aujourd’hui une nouvelle étape de cette transition. Avec le soutien des Fonds régionaux, nous sommes bien positionnés pour miser sur la croissance de l’entreprise et poursuivre notre développement », affirme Harold Bélanger.
La chaîne A&W Canada se mobilise de nouveau cette année au profit de SP Canada, avec le Rendez-vous A&W pour stopper la sclérose en plaques (SP), qui se tiendra ce jeudi 21 août.
Lors de cette journée, pour chaque Teen Burger vendu, 2 $ seront remis à SP (sclérose en plaques) Canada.
Caroline Santerre vivra alors son premier Rendez-vous A&W en tant que propriétaire des restaurants A&W de Rimouski, après l’avoir vécu en occupant d’autres rôles.
« La journée de la SP est
La chaîne A&W Canada se mobilise de nouveau cette année au profit de SP Canada, avec le Rendez-vous A&W pour stopper la sclérose en plaques (SP), qui se tiendra ce jeudi 21 août.
Lors de cette journée, pour chaque Teen Burger vendu, 2 $ seront remis à SP (sclérose en plaques) Canada.
Caroline Santerre vivra alors son premier Rendez-vous A&W en tant que propriétaire des restaurants A&W de Rimouski, après l’avoir vécu en occupant d’autres rôles.
« La journée de la SP est vraiment une grosse journée. Il faut s’investir à 100 % en tant qu’employés. On veut offrir à tout le monde un service impeccable. Ensuite, cette journée permet d’amasser des fonds pour la recherche sur la sclérose en plaques. C’est quelque chose qui me touche aussi beaucoup, puisque j’ai un membre de ma famille qui l’a », explique madame Santerre.
En amont de la journée du 21 août, soit depuis le début de la Campagne A&W en juillet, les équipes ont commencé leurs efforts pour la cause, notamment en proposant aux clients d’arrondir le montant de leur facture au moment du paiement.
Prêt au maximum
« La journée du Rendez-vous, il faut être prêt au maximum. Les employés doivent être présents et répondre à l’appel, parce qu’on sait que le but derrière cette journée est de mobiliser l’ensemble de notre communauté. 2 $ par Teen Burger, c’est quand même énorme, alors on souhaite pouvoir livrer la marchandise correctement et apporter notre aide de cette façon. »
« C’est sûr qu’avant la journée de la SP, il y a toujours des activités qui sont organisées. Par exemple, il y a une année où l’on avait fait un lave-auto pour récolter de l’argent, donc on essaie de trouver d’autres moyens de contribuer », indique madame Santerre.
Tous les A&W du pays participent au Rendez-vous.
« C’est vraiment une association qui est faite entre SP Canada et A&W. Comme on participe tous, on se prépare même toujours quasiment trois mois d’avance. Les A&W, tous ensemble, on se fait des réunions. C’est donc la même date et la même grosse journée pour tout le monde. C’est plaisant, même qu’on s’envoie des photos, d’un restaurant à un autre, pour se motiver entre nous. »
Contribuer dès l’ouverture
Comme le restaurant ouvre assez tôt le matin, à un moment où les Teen Burgers ne sont pas sur le menu, il est quand même possible de contribuer à la cause dès l’ouverture, en faisant un don.
Le Teen Burger de A&W.
(Photo courtoisie)
« Oui, il y a le Teen Burger qui donne 2 $, mais si le client veut venir ici, sans même commander, juste pour faire un don, on rentre le montant comme don dans la caisse, tout simplement. Ce n’est donc pas obligatoire de manger un Teen Burger pour aider. Après, c’est certain que si tu en commandes-un et qu’en plus tu fais un don, sans même t’en rendre compte, tu ajoutes un autre 2 $ à ton don et c’est pour cette raison qu’on souhaite maximiser le burger relié à A&W », relate Caroline Santerre.
Un burger à la fois pour faire avancer la recherche
La participation au Rendez-vous A&W pour stopper la SP permet d’aider les personnes touchées par la sclérose en plaques de différentes façons.
Ils permettent de financer des travaux de recherche au pays, à améliorer des résultats thérapeutiques pour les personnes atteintes de SP et d’assurer la prestation de services comme le Réseau de connaissances sur laSP.
Les fonds amassés contribuent aussi aux travaux de recherche visant à mettre en lumière les causes de la SP, en aidant les scientifiques à déterminer ses facteurs de risque pour trouver les moyens d’entraver la maladie avant qu’elle ne fasse son apparition.
Objectif commun
« Chaque année, on souhaite récolter un montant plus grand que l’année précédente. C’est différent d’un restaurant à un autre, mais nous avons tous un objectif commun au Canada qu’on veut atteindre. Après, on se fixe nos propres objectifs et on motive nos propres employés dans le but d’atteindre ce montant », explique Caroline Santerre.
L'Université du Québec à Rimouski encadre l'IA, comme le recommande le ministère de l'Enseignement supérieur. Le sous-marin robotisé conçu à Rimouski passe de projet pilote à l'étape de commercialisation dans la prochaine année. Les aînés sont plus nombreux à recourir aux services de Moisson Rimouski-Neigette.
L'Université du Québec à Rimouski encadre l'IA, comme le recommande le ministère de l'Enseignement supérieur. Le sous-marin robotisé conçu à Rimouski passe de projet pilote à l'étape de commercialisation dans la prochaine année. Les aînés sont plus nombreux à recourir aux services de Moisson Rimouski-Neigette.
La STQ pourrait devoir maintenir le service de traversier à Rivière-du-Loup plus longtemps que prévu. Deux jeunes de la région ont été élus comme conseiller au Conseil national pour les jeunes du Parti québécois. Les Pionniers Football du Cégep de Rimouski lancent leur saison.
La STQ pourrait devoir maintenir le service de traversier à Rivière-du-Loup plus longtemps que prévu. Deux jeunes de la région ont été élus comme conseiller au Conseil national pour les jeunes du Parti québécois. Les Pionniers Football du Cégep de Rimouski lancent leur saison.
Québec assouplit ses règles pour la construction de logements près des voies ferrées. De nouvelles directives qui interdisaient toute construction à moins de 300 mètres des rails en raison du bruit avaient provoqué la colère d'élus municipaux. Les explications d'Édouard Beaudoin.
Québec assouplit ses règles pour la construction de logements près des voies ferrées. De nouvelles directives qui interdisaient toute construction à moins de 300 mètres des rails en raison du bruit avaient provoqué la colère d'élus municipaux. Les explications d'Édouard Beaudoin.
Le pow-wow annuel de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk se déroulait cette fin de semaine à Cacouna. Un événement où les membres de la Nation célèbrent leur culture, se la réapproprient et la partagent. Émie Bélanger et Pier-Olivier Busque sont allés à leur rencontre.
Le pow-wow annuel de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk se déroulait cette fin de semaine à Cacouna. Un événement où les membres de la Nation célèbrent leur culture, se la réapproprient et la partagent. Émie Bélanger et Pier-Olivier Busque sont allés à leur rencontre.
Super Karting Rivière-du-Loup est de retour après une pause de cinq ans. L’évènement de karting urbain unique au Canada accueille cette année 107 pilotes de karting et plus de 50 motocyclistes. Au-delà de 10 000 spectateurs sont attendus pour assister aux différentes courses organisées cette fin de semaine.
Super Karting Rivière-du-Loup est de retour après une pause de cinq ans. L’évènement de karting urbain unique au Canada accueille cette année 107 pilotes de karting et plus de 50 motocyclistes. Au-delà de 10 000 spectateurs sont attendus pour assister aux différentes courses organisées cette fin de semaine.
La sécheresse qui sévit depuis début août inquiète les producteurs agricoles au Bas-Saint-Laurent. Les maraîchers doivent irriguer davantage, et les producteurs de grains craignent l’impact sur le rendement de leurs récoltes. Les chaleurs accablantes demandent aussi des investissements aux producteurs pour s'adapter.
La sécheresse qui sévit depuis début août inquiète les producteurs agricoles au Bas-Saint-Laurent. Les maraîchers doivent irriguer davantage, et les producteurs de grains craignent l’impact sur le rendement de leurs récoltes. Les chaleurs accablantes demandent aussi des investissements aux producteurs pour s'adapter.
Des producteurs de grains sont inquiets à cause du peu de précipitations reçues depuis le début du mois d'août, des villes de la région limitent l'utilisation de l'eau potable et l'Océanic commence son camp d'entraînement.
Des producteurs de grains sont inquiets à cause du peu de précipitations reçues depuis le début du mois d'août, des villes de la région limitent l'utilisation de l'eau potable et l'Océanic commence son camp d'entraînement.
Les tensions entre les États-Unis et le Canada modifient les choix de destinations vacances des Bas-Laurentiens. Si la hausse du nombre de touristes canadiens à Montréal est tangible, une tendance s’observe aussi dans la région, alors que les voyageurs s'évadent ailleurs que chez nos voisins du sud.
Les tensions entre les États-Unis et le Canada modifient les choix de destinations vacances des Bas-Laurentiens. Si la hausse du nombre de touristes canadiens à Montréal est tangible, une tendance s’observe aussi dans la région, alors que les voyageurs s'évadent ailleurs que chez nos voisins du sud.
Alors que la consommation d’eau potable a bondi avec les chaleurs, la Ville de Rimouski demande à ses résidents de se limiter. Un avis d’interdiction d’arrosage sur tout le territoire rimouskois est en vigueur, et ce, jusqu’à nouvel ordre, en raison de l’absence de précipitations des derniers jours.
Alors que la consommation d’eau potable a bondi avec les chaleurs, la Ville de Rimouski demande à ses résidents de se limiter. Un avis d’interdiction d’arrosage sur tout le territoire rimouskois est en vigueur, et ce, jusqu’à nouvel ordre, en raison de l’absence de précipitations des derniers jours.
Des exterminateurs ont vu les demandes d’éradication de nids de guêpes bondir cet été. En raison de la chaleur, les guêpes à papier au Québec sont plus actives et leurs nids sont plus gros, plus tôt dans la saison, confirme un entomologiste.
Des exterminateurs ont vu les demandes d’éradication de nids de guêpes bondir cet été. En raison de la chaleur, les guêpes à papier au Québec sont plus actives et leurs nids sont plus gros, plus tôt dans la saison, confirme un entomologiste.
Groupe Océan souhaite pourvoir une trentaine de nouveaux postes à son chantier naval des Méchins. L'entreprise soutient que ses effectifs actuels ne suffisent pas, et ce, même si elle a créé près de 50 emplois au cours de la dernière année.
Groupe Océan souhaite pourvoir une trentaine de nouveaux postes à son chantier naval des Méchins. L'entreprise soutient que ses effectifs actuels ne suffisent pas, et ce, même si elle a créé près de 50 emplois au cours de la dernière année.
Le service d’incendie de Trois-Pistoles a dû intervenir à plusieurs reprises dans les derniers jours pour des feux à ciel ouvert sur les différentes grèves de Notre-Dame-des-Neiges. Dans un contexte de sécheresse ou l’indice de feu est très élevé, les conséquences d'un feu à ciel ouvert peuvent être grave.
Le service d’incendie de Trois-Pistoles a dû intervenir à plusieurs reprises dans les derniers jours pour des feux à ciel ouvert sur les différentes grèves de Notre-Dame-des-Neiges. Dans un contexte de sécheresse ou l’indice de feu est très élevé, les conséquences d'un feu à ciel ouvert peuvent être grave.
Tandis que l’idée d’un Québec indépendant a perdu de la vitesse au cours des dernières années, on constate que de plus en plus de jeunes se mobilisent pour la cause souverainiste. Un sondage de la firme CROP a révélé la semaine dernière dans La Presse que 56 % des Québécois âgés de 18 à 34 ans se disent favorables à l’indépendance. Le sondage a été réalisé entre juillet et août dernier auprès de 1000 Québécois. Ce genre de progression n'avait pas été observée depuis 30 ans. Au passage, rappelons
Tandis que l’idée d’un Québec indépendant a perdu de la vitesse au cours des dernières années, on constate que de plus en plus de jeunes se mobilisent pour la cause souverainiste. Un sondage de la firme CROP a révélé la semaine dernière dans La Presse que 56 % des Québécois âgés de 18 à 34 ans se disent favorables à l’indépendance. Le sondage a été réalisé entre juillet et août dernier auprès de 1000 Québécois. Ce genre de progression n'avait pas été observée depuis 30 ans. Au passage, rappelons aussi que le Parti québécois, dont le chef promet un référendum dans le premier mandat, a remporté lundi l’élection dans la circonscription d’Arthabaska. On rejoint Charlotte Pépin-Tanguay, membre de l’organisation OUI Québec, originaire de Sainte-Anne-des-Monts, 26 ans, ainsi que Renée-Lou Canuel présidente du conseil exécutif pour le Parti québécois dans la circonscription provinciale de Matane-Matapédia, qui a 19 ans.
Les chaleurs accablantes enregistrées au Bas-Saint-Laurent, la semaine dernière, ont entraîné des conséquences sur le milieu agricole et ses producteurs.
La propriétaire de la Ferme Ciboulette Inc. à Saint-Pierre-de-Lamy dans le Témiscouata, Julie Gagnon, vit un été sans véritable équilibre pour les récoltes.
« Au début de l’année, il y a eu beaucoup de pluie. Le printemps a été plus tardif que l’année dernière. Pendant un bout de temps, on avait un surplus hydrique. Il y avait beaucoup d
Les chaleurs accablantes enregistrées au Bas-Saint-Laurent, la semaine dernière, ont entraîné des conséquences sur le milieu agricole et ses producteurs.
La propriétaire de la Ferme Ciboulette Inc. à Saint-Pierre-de-Lamy dans le Témiscouata, Julie Gagnon, vit un été sans véritable équilibre pour les récoltes.
« Au début de l’année, il y a eu beaucoup de pluie. Le printemps a été plus tardif que l’année dernière. Pendant un bout de temps, on avait un surplus hydrique. Il y avait beaucoup d’eau dans le sol, alors qu’en ce moment, on est en période de sécheresse. Le système d’évaporation est à son maximum », indique madame Gagnon, aussi première vice-présidente de l’UPA du Bas-Saint-Laurent, responsable du comité de prévention et trésorière.
Ces conditions météorologiques forcent les producteurs à irriguer leurs champs, mais que le processus demeure complexe puisqu’ils doivent aussi s’assurer de ne pas manquer d’eau. Ce ne sont pas non plus tous les agriculteurs qui sont équipés pour le faire.
« Ça représente des coûts et des heures supplémentaires. On a aussi semé plus tard, donc la saison a débuté plus tard, mais la chaleur fait en sorte que la maturité va beaucoup plus vite. Ainsi, la taille des légumes sera plus petite. »
Baisse de rendement
C’est le même enjeu pour les productions animales. L’excès de chaleur affecte notamment les vaches laitières.
Pour éviter une baisse de rendement, les agriculteurs doivent garder leurs animaux à l’intérieur en installant des systèmes de ventilation.
« Ce sont aussi des coûts supplémentaires qui ne sont pas assumés dans les coûts de production et au bout de la ligne, on fait le même prix », souligne Julie Gagnon.
Il est rare que les producteurs agricoles s’accordent la même courtoisie que leurs animaux. (Photo courtoisie)
Les agriculteurs ont le réflexe de se soucier du bien-être de leurs animaux. Il est plus rare qu’ils s’accordent la même courtoisie.
« Il y en a qui commence tôt, qui vont dans les champs et c’est tout un travail à faire dans des chaleurs comme ça. Il faut prendre des pauses et boire de l’eau. Après, comme il s’agit de notre production et de notre entreprise, il arrive qu’on mette ça de côté, comme producteur. C’est pour ça qu’il faut se rappeler qu’on doit être encore là le mois ou l’an prochain. Le bien-être humain demeure un aspect non négligeable. »
Important nuage de poussière
Yannick Côté de la Ferme Coya et des Bergeries du village, à Les Hauteurs, a également constaté des impacts sur sa production. Ses champs étaient très secs, à un point tel que lors de l’épandage du fumier, un important nuage de poussière s’est formé, ce qui est inhabituel.
L’épandage du fumier et la poussière qui se forme sur la propriété agricole de Yannick Côté. (Photo courtoisie)
« Malgré tout, mes champs ne sont pas jaunes. Ils ne sont pas brûlés par la sécheresse, alors ce n’est pas encore dramatique. Ce qui a été le plus dur, c’était du côté des animaux, dans la ferme. » Le 2e vice-président de l’UPA du Bas-Saint-Laurent rapporte que ses 45 vaches laitières ont vu leur production diminuée pendant la chaleur extrême.
« Dans ces cas-là, on essaie de soigner les vaches plus tôt, avant qu’il ne fasse trop chaud, pour avoir moins de mouvement. Notre système de ventilation fonctionne à 100 %, alors on essaie de diminuer notre présence dans la ferme pour que les animaux bougent moins et aider à garder la fraicheur, parce qu’il faisait extrêmement chaud », ajoute monsieur Côté.
Son système de ventilation qu’il a fait installer devra être revu. « On m’avait dit que ma ventilation était bonne, mais je pense qu’il faudra quand même revoir le tout, en raison des changements climatiques. »
Ces changements se font davantage ressentir dans le milieu depuis quelques années.
« Depuis cinq ou six ans, on s’en rend compte. Ça survient d’un coup sec, sans qu’on s’y attende. Parfois c’est le contraire. Il y a quatre ou cinq ans, j’avais vu ça une fois dans ma vie de gros vents, mais maintenant, il y en a trois ou quatre fois par an. »
À l'approche de la rentrée scolaire, l'Université du Québec à Rimouski prend connaissance des deux documents pour guider les établissements d’enseignement dans un déploiement et une intégration responsables et sécuritaires de l’IA, publiés par le ministère de l'Enseignement supérieur.
À l'approche de la rentrée scolaire, l'Université du Québec à Rimouski prend connaissance des deux documents pour guider les établissements d’enseignement dans un déploiement et une intégration responsables et sécuritaires de l’IA, publiés par le ministère de l'Enseignement supérieur.
À deux semaines de la reprise de ses activités, le 2 septembre prochain, Je Raccroche est toujours en attente de son financement, ce qui complique la vie de ses dirigeants qui doivent puiser dans ses coffres pour payer les salaires de ses employés qui sont entrés au travail lundi pour préparer la rentrée.
Je Raccroche est un organisme de raccrochage scolaire et socioprofessionnel pour les jeunes de 16 à 30 ans qui peuvent continuer leurs études secondaires et élargir leurs connaissances sur l
À deux semaines de la reprise de ses activités, le 2 septembre prochain, Je Raccroche est toujours en attente de son financement, ce qui complique la vie de ses dirigeants qui doivent puiser dans ses coffres pour payer les salaires de ses employés qui sont entrés au travail lundi pour préparer la rentrée.
Je Raccroche est un organisme de raccrochage scolaire et socioprofessionnel pour les jeunes de 16 à 30 ans qui peuvent continuer leurs études secondaires et élargir leurs connaissances sur le monde.
Tout en offrant un accompagnement et un suivi adapté à leurs besoins, Je raccroche s’échelonne d’août à juin, à raison de 30 heures par semaine, dans un local situé au Centre de formation Rimouski-Neigette. Les jeunes peuvent s’inscrire à n’importe quel moment et la durée de leur parcours dépend du temps qui leur sera nécessaire afin d’atteindre leurs objectifs.
« Le ministère ne veut pas qu’on parle de retard, disons qu’il y a des délais inhabituels dans le versement de notre financement. Lors des dernières années, on recevait notre financement à la fin de juin ou au début de juillet. Selon ce qu’on nous dit, ce ne sera pas avant la fin d’août ou le début de septembre. Nous n’avons pas reçu d’explications pour justifier le tout », commente le directeur de l’organisme, Michel Lessard.
Diminuer les heures
« Nous avons dû diminuer nos heures, la coordonnatrice et moi, pour s’assurer d’avoir assez d’argent dans le compte de fonctionnement pour les salaires des employés qui doivent se préparer pour l’arrivée des jeunes. L’ensemble de l’équipe a repris le travail mardi matin. Nous avons beaucoup de choses à préparer et les rencontres d’accueil à faire. On ne voulait pas prendre de retard. On devrait y arriver si l’argent arrive d’ici le début de septembre, mais il ne faudrait pas que ça devienne une habitude », explique le directeur.
Le directeur de Je Raccroche, Michel Lessard (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
L’organisme a reçu la confirmation du montant de son financement.
« C’est bien, mais ça ne nous donne pas d’argent pour préparer la rentrée. Je ne peux pas payer mes employés avec des promesses. Nous aurons une hausse d’une peu moins de 2%. Ce n’est pas énorme, mais c’est satisfaisant dans les circonstances. Au moins, il n’y a pas de coupures », poursuit monsieur Lessard.
« Une chance parce que nous devrions utiliser une marge de crédit, ce qui représente des frais dont nous ne serions pas responsables », précise-t-il.
Michel Lessard souligne avoir toujours eu une très bonne collaboration du ministère de l’Éducation, sans qui l’organisme n’existerait pas.
« On ne sait pas trop pourquoi, mais cela a pris beaucoup de temps cet été avant qu’on obtienne des réponses. Le problème, c’est qu’on ne peut pas stocker de l’argent pour prévenir ce genre de délais ».
Le quilleur rimouskois Mathis Blanchette est revenu des Championnats panaméricains juniors, qui avaient lieu au Guatemala, avec des médailles d’or et d’argent au cou. Il réalise ainsi un rêve de remporter un titre à l’international.
L’athlète de 20 ans en était à quatrième sélection sur l’équipe canadienne des moins de 21 ans. Il a décroché la première position en équipe (quatre personnes) et la deuxième en trio lors de cette compétition qui se tenait du 9 au 17 août.
L’équipe masculine
Le quilleur rimouskois Mathis Blanchette est revenu des Championnats panaméricains juniors, qui avaient lieu au Guatemala, avec des médailles d’or et d’argent au cou. Il réalise ainsi un rêve de remporter un titre à l’international.
L’équipe masculine canadienne qui a remporté la médaille d’or. (Photo courtoisie)
« Je ne m’y attendais pas vraiment. De gagner une médaille d’or internationale, c’était un de mes rêves depuis que j’ai commencé à jouer aux quilles. C’était quelque chose pour moi. Nous étions vraiment contents et c’était une grande fierté. Il y avait beaucoup d’émotion. »
Un sport familial
Mathis Blanchette joue aux quilles depuis l’âge de neuf ans. Il a commencé parce que son père, Jean-François Blanchette, travaille au salon de Quilles Rimouski à Pointe-au-Père. C’est d’ailleurs ce dernier qui a lancé un club junior local.
Mathis avec ses soeurs Océance et Florence Blanchette qui jouent aussi aux quilles. (Photo courtoisie)
« Les quilles, c’est comme une grande famille. Tout le monde se connaît, s’entend bien et s’entraide. C’est quelque chose que j’aime de ce sport. C’est aussi beaucoup de technique. Il y a toujours quelque chose à travailler et à apprendre. J’adore ça. C’est autant possible de jouer seul qu’en équipe », exprime Mathis Blanchette.
Des quilles tous les jours
Bien qu’il travaille à temps plein maintenant, le jeune homme arrive à concilier son horaire professionnel avec sa passion.
« Pendant la saison régulière, je joue tous les jours. C’est environ trois heures par jour la semaine et la fin de semaine c’est toute la journée. »
En plus des compétitions provinciales auxquelles il participe, Mathis prend part, pour une première année, à différents événements internationaux de la Professional bowlers association (PBA). Il sera d’ailleurs en Suède la semaine prochaine.
Le Rimouskois en compagnie de ses coéquipiers de trio avec qui il a gagné l’argent, Adam Jodoin de la Colombie-Britannique et Matys Bibeau de Sorel. (Photo courtoisie)
« À mon retour, j’ai plusieurs tournois au Québec de prévus. Je vais probablement en faire quelques-uns aux États-Unis aussi et je vais refaire les qualifications pour l’équipe canadienne en janvier », dit-il.
Prochain objectif
Son prochain défi est d’atteint le top 40 de la PBA pour joindre le circuit professionnel.
Mathis Blanchette a représenté le Canada pour la première fois aux Championnats du monde juniors de 2022 en Suède. L’année suivante, il a participé aux Championnats panaméricains au Pérou, où il a été triple médaillé, et l’an dernier il s’est rendu en Corée du Sud pour les mondiaux.
Il était une fois une Nicole Testa qui passait son temps à lire aux enfants. Après avoir joué du théâtre au Collège LaSalle et obtenu un bac en animation et recherche culturelle à l’UQAM, elle entre sur le marché du travail. Communication-Jeunesse cherche du monde pour former une escouade d’animation du livre dans les écoles. Les années passent. Elle arrive au Bas-Saint-Laurent. Son bénévolat à la bibliothèque de Sainte-Blandine se transforme en emploi. Le plaisir de lire l’obsède. Elle pousse s
Il était une fois une Nicole Testa qui passait son temps à lire aux enfants. Après avoir joué du théâtre au Collège LaSalle et obtenu un bac en animation et recherche culturelle à l’UQAM, elle entre sur le marché du travail. Communication-Jeunesse cherche du monde pour former une escouade d’animation du livre dans les écoles. Les années passent. Elle arrive au Bas-Saint-Laurent. Son bénévolat à la bibliothèque de Sainte-Blandine se transforme en emploi. Le plaisir de lire l’obsède. Elle pousse sa réflexion jusqu’à la maîtrise, puis monte un cours en littérature jeunesse à l’UQAR. Pour enfin se mettre à l’écriture. Le Gros Méchant Quelque Chose est son quinzième livre depuis 1998. Rencontre avec une éternelle petite fille de quatre ans.
Philippe Garon – Qu’est-ce qui t’a servi de poudre à pâte pour ce nouvel album?
Nicole Testa – C’est la même que pour Papi Noël. Il y a une dizaine d’années, une bourse du CALQ m’a permis de recueillir des histoires auprès de parents. Des papas en fait. Les mamans lisent. Les hommes, eux, inventent. J’avais beaucoup de matériel, mais ça dormait dans mon ordinateur. C’est la source d’inspiration pour ma série Les contes de l’oreiller. Là, on prépare le troisième volume, qui va s’intituler Le hoquet du petit poisson.
P. G. – La lecture à voix haute, c’est une vraie croisade pour toi. Pourquoi?
N. T. – Parce que c’est un partage. Ça rapproche. Quand j’arrive dans une école, je suis une étrangère, puis quinze minutes après, le lien est créé, et ça, juste parce que je lis à voix haute. Depuis 30 ans que je fais ça, à mon avis, c’est la meilleure façon de mettre en scène le plaisir de lire. De partager avec les enfants ce qu’est l’expérience d’un lecteur, peu importe qui on est, peu importe les difficultés. Avec son livre Comme un roman, Daniel Pennac a complètement changé ma vision de la lecture. Parce qu’il dit qu’une fois que t’as éprouvé le plaisir de lire, ça se perd pas. Puis quand le plaisir est là, la motivation pour le reste vient plus facilement.
P. G. – Dans un autre ordre d’idées, le festival littéraire Métropolis bleu t’a invitée…
N. T. – Depuis trois ans, ils veulent se rapprocher des régions. Il fallait que je choisisse un lieu que j’aime et que j’écrive un texte de cinq pages maximum. J’ai pris l’île Saint-Barnabé. Ç’a donné un dialogue entre un grand-père et son petit-fils. Le comédien Sylvain Massé a prêté sa voix à mon histoire. On trouve l’enregistrement sur leur site Internet. Après, je devais aller dans une classe de 3e cycle. N’importe laquelle. J’ai choisi l’école de mon quartier. Je leur ai proposé de vivre un peu la même expérience d’écriture que moi, à partir d’un lieu qu’ils aiment et d’une anecdote, mais en ajoutant un élément imaginaire.
Quand j’approche les enseignantes, je leur demande : « Me prêtes-tu ta classe pour une période? » Des fois, c’est pour trouver des réponses à des questions qui me viennent en écrivant. En général, plus les questions sont saugrenues, plus les discussions sont intéressantes. À quel âge on est grand? À quoi ça sert un papi? Comme ça, je reste connectée sur l’enfance.
Alors que la CAQ espère donner un nouvel élan à son gouvernement en remaniant son conseil des ministres, moins d’un Québécois sur quatre croit que ce jeu de chaises musicales aura un réel impact.
Par Mathieu Paquette, La Presse Canadienne
Selon un nouveau sondage Léger, réalisé pour le compte des médias de Québecor, seuls 23 % des Québécois estiment que le remaniement ministériel promis par le premier ministre François Legault donnera un nouvel élan au gouvernement caquiste.
À l’inverse
Alors que la CAQ espère donner un nouvel élan à son gouvernement en remaniant son conseil des ministres, moins d’un Québécois sur quatre croit que ce jeu de chaises musicales aura un réel impact.
Par Mathieu Paquette, La Presse Canadienne
Selon un nouveau sondage Léger, réalisé pour le compte des médias de Québecor, seuls 23 % des Québécois estiment que le remaniement ministériel promis par le premier ministre François Legault donnera un nouvel élan au gouvernement caquiste.
À l’inverse, 58 % des participants au coup de sonde ont soutenu qu’ils ne s’attendent pas à ce que François Legault réussisse à relancer son gouvernement avec cet exercice.
Monsieur Legault a déjà commencé à rencontrer certains de ses ministres en prévision de ce remaniement, qui est attendu dans les prochaines semaines.
Depuis la défaite cuisante subie par son parti à l’élection partielle dans Arthabaska, la semaine dernière, le premier ministre répète qu’il fera preuve d’« humilité » et qu’il sera à l’« écoute » des Québécois.
Guilbault et Drainville
D’après les résultats du sondage Léger/Québecor, les Québécois espèrent surtout que Geneviève Guilbault et Bernard Drainville changeront de portefeuille.
Plus de la moitié des répondants, 52 % précisément, ont dit vouloir que madame Guilbault quitte le ministère des Transports et de la Mobilité durable. Moins d’un répondant sur quatre souhaite qu’elle garde ce poste.
Quant à monsieur Drainville, 48 % des participants ont dit vouloir qu’il soit délogé du ministère de l’Éducation, contre 29 % qui espèrent le voir poursuivre son mandat.
Le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville (Photo La Presse Canadienne- Jacques Boissinot)
Les répondants étaient plus nombreux à souhaiter que Christian Dubé, à la Santé, Sonia Lebel, au Conseil du Trésor, et Simon Jolin-Barrette, à la Justice, conservent leurs responsabilités actuelles.
Globalement, la proportion de répondants qui ont dit être insatisfaits du travail du gouvernement Legault a continué de s’accroître. Elle s’est établie à 67 %, alors qu’elle était de 65 % en juin.
Près d’un répondant sur deux (49 %) souhaite que François Legault quitte son poste de chef de la Coalition avenir Québec, alors que 26 % des participants ont dit espérer qu’il reste.
Monsieur Legault maintient qu’il sera sur les rangs lors des élections de 2026.
Le PQ gagne des appuis
En ce qui concerne les intentions de vote, le Parti québécois se maintient en tête. Il récolte maintenant 35 % des appuis, en hausse de cinq points par rapport au sondage du mois de juin.
Le Parti libéral a pour sa part perdu deux points et obtient le soutien de 26 % des électeurs décidés. Aucun changement pour la Coalition avenir Québec, qui se maintient à 17 % des intentions de vote.
La baisse la plus marquée est survenue dans le camp du Parti conservateur, qui a vu ses appuis reculer de quatre points pour atteindre 10 %. Québec solidaire ferme la marche, alors que ses appuis restent stables à 9 %.
Le sondage Léger/Québecor a été réalisé en ligne du 15 au 18 août auprès de 977 Québécois.
Puisqu’il a été réalisé en ligne auprès d’un panel, il est impossible de lui attribuer une marge d’erreur. À titre comparatif, la marge d’erreur maximale pour un échantillon de 977 répondants est de ±3,1 %, 19 fois sur 20.
La reprise des vols d’Air Canada en Amérique du Nord doit s’accélérer progressivement, mercredi, alors que la compagnie aérienne poursuit le redémarrage de ses activités après la grève de trois jours de ses agents de bord.
Par La Presse Canadienne
Les avions d’Air Canada ont recommencé à voler mardi en fin de journée, après une interruption complète qui avait commencé samedi.
L’entreprise a fait savoir que, dans un premier temps, elle se concentrait sur la reprise des vols internationau
La reprise des vols d’Air Canada en Amérique du Nord doit s’accélérer progressivement, mercredi, alors que la compagnie aérienne poursuit le redémarrage de ses activités après la grève de trois jours de ses agents de bord.
Par La Presse Canadienne
Les avions d’Air Canada ont recommencé à voler mardi en fin de journée, après une interruption complète qui avait commencé samedi.
L’entreprise a fait savoir que, dans un premier temps, elle se concentrait sur la reprise des vols internationaux au départ. La montée en puissance débutera «véritablement» mercredi matin pour les lignes nord-américaines principales.
La compagnie aérienne a averti que le retour à un service régulier complet prendra de sept à dix jours, car les avions et les équipages ne sont pas positionnés là où ils le devraient.
Certains vols continueront donc d’être annulés jusqu’à ce que l’horaire soit stabilisé.
Plus de 10 000 agents de bord d’Air Canada ont fait la grève. (Photo La Presse Canadienne- Christinne Muschi)
Air Canada offre à ses clients dont les vols ont été annulés un remboursement complet ou un crédit pour un prochain voyage s’ils ne peuvent pas être réacheminés sur un vol d’une compagnie concurrente.
Air Canada et le syndicat qui représente ses plus de 10 000 de ses agents de bord ont conclu une entente de principe avec l’aide d’un médiateur fédéral mardi matin, ce qui a mis fin à la grève déclenchée samedi.
Stéphane Marquis reviendra devant le tribunal, le 9 septembre, pour fixer une date de procès et connaître la décision du juge sur la demande de la défense de tenir des procès séparés pour certaines accusations.
Cette étape était initialement prévue vendredi dernier (15 août) au palais de justice de Rimouski. L’homme de 47 ans, de Saint-Anaclet-de-Lessard, a plaidé non coupable à l’ensemble des chefs d’accusation auxquels il fait face.
« Nous avons eu des discussions avec la défense. Le min
Stéphane Marquis reviendra devant le tribunal, le 9 septembre, pour fixer une date de procès et connaître la décision du juge sur la demande de la défense de tenir des procès séparés pour certaines accusations.
Cette étape était initialement prévue vendredi dernier (15 août) au palais de justice de Rimouski. L’homme de 47 ans, de Saint-Anaclet-de-Lessard, a plaidé non coupable à l’ensemble des chefs d’accusation auxquels il fait face.
« Nous avons eu des discussions avec la défense. Le ministère public doit faire certaines vérifications afin de s’assurer que la preuve soit complète », mentionnait la procureure de la Couronne, Me Frédérique Audet, le 27 juin dernier.
Au départ, Stéphane Marquis était accusé d’avoir observé et/ou produit un enregistrement visuel de quatre femmes alors qu’elles se trouvaient dans un lieu où l’on peut s’attendre à ce qu’une personne soit nue.
Les événements se seraient produits à Saint-Anaclet-de-Lessard et à Rimouski entre le 1er novembre 2023 et le 1er juillet 2024.
La dénonciation stipule que l’accusé aurait soit suivi cette femme, communiquée de façon répétée avec elle, cerné ou surveillé un lieu où elle réside ou travaille, ou se serait comporté de manière menaçante envers elle.
Pour un deuxième match de suite, le Shaker s’est incliné par la marge d’un point face au Bérubé GM de Trois-Pistoles victorieux par 4-3, mardi au Stade Paul-Émile Dubé.
La formation des Basques, dernière au classement en saison régulière, mène la série face aux champions du calendrier par 2-0.
Après que le Shaker ait pris les devants 1-0, le Bérubé GM a marqué deux points en 2e manche et deux autres à la manche suivante pour se donner une priorité de 4-1.
Benjamin Roy tente de retire
Pour un deuxième match de suite, le Shaker s’est incliné par la marge d’un point face au Bérubé GM de Trois-Pistoles victorieux par 4-3, mardi au Stade Paul-Émile Dubé.
La formation des Basques, dernière au classement en saison régulière, mène la série face aux champions du calendrier par 2-0.
Après que le Shaker ait pris les devants 1-0, le Bérubé GM a marqué deux points en 2e manche et deux autres à la manche suivante pour se donner une priorité de 4-1.
Benjamin Roy tente de retirer le coureur adverse (Photo : Jean-Claude Pelletier)
Ludovic Saucier (5 manches lancées) enregistre la victoire pendant que Tristan Michaud-Thériault obtient le sauvetage après avoir fait le travail quand il s’est amené au monticule avec les buts remplis et aucun retrait.
Benjamin Roy encaisse la défaite. Notons l’excellente sortie du releveur rappelé du Baseball ID junior AA, Félix-Antoine Beaudet, qui a lancé 3 2/3 manches blanchissant ses adversaires sur un seul coup sûr et trois buts sur balles avec huit retraits au bâton.
Saucier a deux des coups sûrs des gagnants pendant que Mathew Ramos a frappé trois coups sûrs et produit trois points pour le Shaker.
Alexis Roy glisse sauf au 2e but avec un but volé (Photo : Jean-Claude Pelletier)
Série B
Les Allées du Boulevard de Matane ont aussi pris les devants 2-0 dans leur série à la suite de victoires de 14-6 et 9-4, mardi soir, contre Témiscouata.
Les deux équipes ont d’abord terminé le match suspendu dimanche en raison d’une panne d’électricité. Junior Coulombe a une soirée de 4 en 4 avec quatre points produits tandis que Raphaël Bérubé a un circuit.
Keisuke Takikawa, qui a lancé le match complet, a retiré 16 frappeurs sur les prises. Gabriel Cyr est le lanceur perdant.
Dans la partie no 2 de la série, Coulombe a lancé trois belles manches en relève pour sauvegarder la victoire de Jérémie Boucher. Kodai Kambara encaisse la défaite.
Les deux séries vont se poursuivre jeudi soir, à 19 h 30 à Rimouski, et à 20 h au Témiscouata. Aux deux endroits, l’équipe locale tentera d’éviter de se retrouver dans une situation précaire et de tirer de l’arrière par 3-0 dans leur série.
Face à des adversaires beaucoup plus expérimentés, l’Océanic a raté sa première audition du calendrier préparatoire, s’inclinant 9-2 contre les Tigres, mardi soir, au Complexe Sani-Marc de Victoriaville.
Bien qu’il ne s’agisse que d’un match hors-concours, les jeunes espoirs de Joël Perrault n’ont rien montré de convaincant, dominés 45-20 dans les tirs face à une formation alignant seulement quatre recrues et disputant déjà sa troisième rencontre du camp d’entraînement.
Les Tigres ont ouv
Face à des adversaires beaucoup plus expérimentés, l’Océanic a raté sa première audition du calendrier préparatoire, s’inclinant 9-2 contre les Tigres, mardi soir, au Complexe Sani-Marc de Victoriaville.
Bien qu’il ne s’agisse que d’un match hors-concours, les jeunes espoirs de Joël Perrault n’ont rien montré de convaincant, dominés 45-20 dans les tirs face à une formation alignant seulement quatre recrues et disputant déjà sa troisième rencontre du camp d’entraînement.
Les Tigres ont ouvert la marque dès la 34e seconde grâce à Alexis Bourque. Victoriaville a ensuite poursuivi son travail de démolition avec les filets d’Alexey Vlasov, Jérémy Belleau (2), Théo Gravel, les deuxième et troisième de Bourque ainsi que ceux de Loïk Gariepy (2).
Le premier choix européen de l’Océanic en 2025, Dovydas Jukna, a marqué les deux buts de son équipe.
Devant le filet, Justin Vigneault, choix de 9e ronde de l’équipe en juin dernier, a cédé six fois sur 19 lancers. En relève, Jacob St-Cyr, un espoir de 2024, a arrêté 17 des 20 tirs dirigés vers lui.
Les Bas-Laurentiens n’alignaient que deux vétérans, soit Anthony Gaudet et Logan Roop. Le premier choix de l’organisation au dernier repêchage, Zack Arsenault, n’était pas en uniforme.
L’attaquant de l’Océanic, Anthony Gaudet (Photo courtoisie Océanic/Iften Redjah)
L’Océanic se tourne maintenant vers Shawinigan, où il affrontera les Cataractes mercredi soir, au Centre Gervais Auto. Rimouski jouera devant ses partisans, vendredi soir, en recevant les Saguenéens de Chicoutimi.
La Sculpturales de Sainte-Luce se poursuivent pour une 21e année, jusqu’au 24 août, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques et ses environs.
L’événement, qui a débuté hier, lundi, avec l’arrivée des quatre sculpteurs : Julien Doré, Daniel Gauthier, Jean-François Gauthier et Marc Lepire, s’est poursuit ce mardi matin avec le commencement des activités, marquant ainsi le lancement de la compétition de sculptures.
Jusqu’au dimanche 24 août à 11 h, chaque artiste s’affairera à la création d’un
La Sculpturales de Sainte-Luce se poursuivent pour une 21e année, jusqu’au 24 août, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques et ses environs.
L’événement, qui a débuté hier, lundi, avec l’arrivée des quatre sculpteurs : Julien Doré, Daniel Gauthier, Jean-François Gauthier et Marc Lepire, s’est poursuit ce mardi matin avec le commencement des activités, marquant ainsi le lancement de la compétition de sculptures.
Jusqu’au dimanche 24 août à 11 h, chaque artiste s’affairera à la création d’une sculpture sur bois individuelle, mesurant plus de deux mètres de hauteur.
Au terme de cet échéancier, les membres du public, qui sont invités à observer la progression des sculptures tout au long de la semaine, auront jusqu’à 15 h pour accorder leur vote à leur œuvre favorite.
Le prix « coup de coeur » du public sera ensuite dévoilé à 16 h 30, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques.
Programme des activités
Outre le symposium de sculptures sur bois qui se tient toute la semaine, le Comité des Sculpturales de Sainte-Luce a mis sur pied une programmation marquée par la musique et l’art de sculpter.
Le mercredi 20 août à 20 h sera présenté par les professeurs du Conservatoire de musique de Rimouski, à l’église de Sainte-Luce, le concert « Musique autour du monde. »
« Ce sont des musiciens qui font des spectacles à travers le monde. Nous sommes chanceux de les avoir ici, dans notre municipalité », mentionne la mairesse de Sainte-Luce, Micheline Barriault.
Les billets du concert sont disponibles en ligne, via la plateforme lepointdevente.com, au coût de 20 $.
Le jeudi 21 août sera une journée plein air en famille avec de l’animation. Il sera toujours possible d’admirer le travail des artistes sculpteurs.
L’auteur-compositeur-interprète Michel Pagliaro (Photo courtoisie)
Le vendredi 22 août, la municipalité de Sainte-Luce accueillera dès 20 h le spectacle « Électrique Full Band » de Michel Pagliaro sur la scène extérieure en bordure de mer, en face de l’église de Sainte-Luce. Les billets de ce spectacle sont aussi en vente via la plateforme lepointdevente.com, cette fois au coût de 25 $.
La fin de semaine
Le samedi 23 août, également sur la scène extérieure en bordure de mer, se tiendra dès 19 h « Drums sur Mer », en compagnie du musicien Julien Blais.
« C’est une première au Québec : nous y attendons une cinquantaine de percussionnistes », explique madame Barriault.
L’entrée à cet événement est gratuit. Il précédera à une prestation des quatre artistes sculpteurs qui participent à la Semaine.
Un artiste sculpteur à l’oeuvre. (Photo Facebook – Les Sculpturales Sainte-Luce)
« À la tombée de la nuit, nos quatre sculpteurs nous feront une prestatation particulière avec des sculptures sur glace, même si nous sommes en plein été. »
Le dimanche 24 août, les artistes sculpteurs auront jusqu’à 11 h pour terminer leur œuvre.
« Par la suite aura lieu le vote du public. Vers 15 h, les sculpteurs feront de petites sculptures d’environ 18 à 24 pouces. Ces sculptures seront ensuite vendues à l’encan, directement sur place. On terminera la Semaine avec le prix coup de cœur du public. »
Un rallye sur les sculptures de Sainte-Luce
Comme l’an dernier, un rallye a été préparé spécialement à l’occasion de la Semaine des sculpturales. Le parcours met en vedette les sculptures déjà existantes dans la municipalité de Sainte-Luce.
Il est possible de se procurer le formulaire du rallye dès maintenant au Marché de Sainte-Luce, au coût de 5 $. Le questionnaire devra être retourné au même endroit avant 17 h, le samedi 23 août.
Les gagnants seront ensuite dévoilés à 16 h, le dimanche 24 août.
Le plus petit voilier à avoir entrepris un tour du monde, Baluchon, est présentement amarré à la marina de Rimouski. Son capitaine, Yann Quenet, a rencontré, mardi, les curieux qui voulaient en apprendre un peu plus sur son périple.
L’aventurier français a lui-même conçu sa petite embarcation de quatre mètres. Il est parti de Bretagne, il y a un peu plus d’un an, pour se rendre aux Antilles.
« J’y ai passé l’hiver. Au printemps, je suis remonté vers Saint-Pierre-et-Miquelon, ce qui m’a pri
Le plus petit voilier à avoir entrepris un tour du monde, Baluchon, est présentement amarré à la marina de Rimouski. Son capitaine, Yann Quenet, a rencontré, mardi, les curieux qui voulaient en apprendre un peu plus sur son périple.
L’aventurier français a lui-même conçu sa petite embarcation de quatre mètres. Il est parti de Bretagne, il y a un peu plus d’un an, pour se rendre aux Antilles.
« J’y ai passé l’hiver. Au printemps, je suis remonté vers Saint-Pierre-et-Miquelon, ce qui m’a pris 39 jours. J’ai ensuite rejoint les Îles-de-la-Madeleine et je remonte petit à petit le Saint-Laurent. Pour traverser l’Atlantique, j’ai fait des arrêts sur quelques îles. Du Cap-Vert jusqu’aux Antilles, c’est entre 20 et 30 jours », explique Yann Quenet.
Ce dernier en est à son deuxième tour du monde avec son petit voilier. Le premier a été fait entre 2019 et 2022. Il prévoit que celui-ci dure de trois à quatre ans.
« À l’intérieur, c’est une couchette avec plein de petits bidons de chaque côté où il y a mes affaires mises à l’abri des vagues. J’ai des boîtes de sardines et des nouilles chinoises pour me nourrir. Si on est épicurien, on ne vient pas faire un tour du monde avec moi. J’ai aussi un panneau solaire, je suis bien équipé. »
L’intérieur de la petite embarcation. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Le plus compliqué pour monsieur Quenet est l’approvisionnement en eau.
« Pour l’instant, je suis dans l’Atlantique donc ce sont de plus petites distances, mais dans le Pacifique les distances augmentent. La plus grande que j’ai faite est de 77 jours sans toucher terre. Dès qu’il pleut, il faut prévoir de récupérer l’eau de pluie. »
Un rêve d’enfant
Pour Yann Quenet, ce type d’aventure est un rêve d’enfant.
« J’aime le fait d’être contemplatif, de prendre mon temps et de profiter des petits moments présents.On apprend à se connaître soi-même et ce sont des expériences merveilleuses. J’ai appris tout seul à naviguer. Personne ne faisait du bateau dans ma famille. Je ne sais pas si j’ai la bonne méthode, mais j’arrive à faire avancer un bateau », dit-il.
Yann Quenet était de passage à Rimouski. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
La nervosité ne fait pas partie du vocabulaire de l’aventurier qui ne s’est jamais senti en danger à bord de Baluchon. Lorsqu’il prend le large, il est sans moyen de communication avec la terre.
« On va bien arriver quelque part un jour. En Atlantique, en faisant cap à l’ouest au soleil couchant, on finit par arriver en Amérique. Ce n’est pas très confortable, mais ce n’est pas dangereux non plus. Il faut prendre le temps comme il vient. Parfois on va là où l’on n’a pas décidé d’aller. »
Direction Pacifique
Le Français, qui doit s’adapter aux différentes saisons, compte passer l’hiver au Canada.
« Comme mon bateau est tout petit, mon but est de traverser le Canada avec une remorque et une voiture pour rejoindre l’ouest du pays et de poursuivre mon voyage dans le Pacifique », indique l’explorateur.
Yann Quenet et Baluchon devraient quitter Rimouski pour Québec, mercredi, si les vents le permettent.
Alors que la période de mise en candidature aux prochaines élections municipales est à quelques semaines de commencer, la question demeure à savoir où seront les luttes dans les principales villes du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie ?
À Rimouski, Guy Caron a rapidement manifesté son intention de solliciter un deuxième mandat, en novembre dernier, à un an du scrutin. Jusqu’à maintenant, aucun opposant n’a démontré d’intérêt à lui faire face.
En novembre 2021, l’ex-député néodémocrate av
Alors que la période de mise en candidature aux prochaines élections municipales est à quelques semaines de commencer, la question demeure à savoir où seront les luttes dans les principales villes du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie ?
À Rimouski, Guy Caron a rapidement manifesté son intention de solliciter un deuxième mandat, en novembre dernier, à un an du scrutin. Jusqu’à maintenant, aucun opposant n’a démontré d’intérêt à lui faire face.
En novembre 2021, l’ex-député néodémocrate avait été élu avec 80 % des votes face à l’ancienne conseillère municipale du district Bic, Virginie Proulx.
« C’est clair que je me représente. Il y a beaucoup de travail qui a été fait. Mes priorités étaient le logement et l’harmonie au conseil municipal. Deux les deux cas, c’est au rendez-vous. Il y a le Costco qui a été approuvé. Nous avons fait face à la question de l’itinérance. Je pense que nous avons livré la marchandise pour répondre aux principaux défis et il y en aura d’autres auxquels nous devrons faire face. J’espère avoir quelqu’un qui va se présenter contre moi afin que je puisse mettre mes propositions de l’avant et faire entériner ces propositions par la population », indiquait monsieur Caron au collègue Alexandre D’Astous.
Aboutissement des projets
À Mont-Joli, Martin Soucy a également confirmé, en mars, son intérêt de briguer un troisième mandat à la mairie, mettant fin aux rumeurs voulant qu’il se porte candidat aux élections fédérales. Encore là, il n’y a pas d’adversaire qui s’est manifesté pour l’affronter. L’ex-policier de la Sûreté du Québec a été élu pour la première fois en novembre 2017 et réélu sans opposition en 2021.
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Nous avons accompli différentes avancées, comme le développement de nouveaux quartiers résidentiels (Pelletier-Lebel et Joliette) et du parc aéroportuaire Pierre-De Bané. Il reste encore beaucoup à faire et je souhaite voir l’aboutissement des projets qui sont essentiels pour le futur de notre communauté », expliquait monsieur Soucy par voie de communiqué.
Dédier sa vie à la population
La mairesse sortante d’Amqui, Sylvie Blanchette, est seule sur les rangs pour novembre. En 2021, elle avait remporté son poste avec 59 % des voix contre ses opposants, Normand Boulianne et Jean-Yves Fournier.
Sylvie Blanchette a été élue pour un premier mandat à la mairie d’Amqui en novembre 2021 (Photo courtoisie – Ville d’Amqui)
« On dédie quatre ans de nos vies aux gens qu’on représente. On doit donc faire le bilan de ces dernières années : qu’est-ce qui s’est passé ? Est-ce que c’était long ? Est-ce que ça s’est bien passé ? Je devais d’abord déterminer si j’étais prête à donner 100 % de moi-même à la population d’Amqui et la réponse est oui. Je veux être là pour défendre les dossiers », avait déclaré madame Blanchette lors de l’annonce de sa décision, dans Le Soir, au début de juin.
Des majorités écrasantes
Même scénario à Matane où le maire sortant, Eddy Métivier, est le seul à confirmer le désir de mettre son nom sur le bulletin de vote. En 2021, il avait récolté 66 % des voix face à ses deux adversaires, Annie Veillette et Steven Grant.
À Sainte-Anne-des-Monts, le maire sortant, Simon Deschênes qui a été élu par acclamation en 2021, se présente à nouveau. Lors de sa première élection en 2016, il avait enregistré une écrasante majorité de 94 % lors d’une partielle sur son rival Denis Paquette.
Seriez-vous prêt à faire le tour du monde à bord d’un voilier d’à peine quatre mètres de long? Le navigateur breton, Yann Quenet le fait, et pour la deuxième fois! Venez rencontrer ce personnage d’exception à la marina de Rimouski.
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Jean-François Fortin baigne dans la politique depuis fort longtemps. Ex-député fédéral et enseignant dans ce domaine au Cégep de Rimouski, le maire de Sainte-Flavie sait tout ce qu’implique de se lancer en politique active.
« Il y a une réalité qui existe à l’effet que les candidats potentiels doivent considérer sérieusement s’ils sont prêts à se lancer dans une aventure qui implique une très grosse charge de travail. Ça peut paraître attrayant de vouloir changer les choses dans sa ville, mai
Jean-François Fortin baigne dans la politique depuis fort longtemps. Ex-député fédéral et enseignant dans ce domaine au Cégep de Rimouski, le maire de Sainte-Flavie sait tout ce qu’implique de se lancer en politique active.
« Il y a une réalité qui existe à l’effet que les candidats potentiels doivent considérer sérieusement s’ils sont prêts à se lancer dans une aventure qui implique une très grosse charge de travail. Ça peut paraître attrayant de vouloir changer les choses dans sa ville, mais il y a une complexité accrue et beaucoup plus de tâches qui incombent au milieu municipal. On pense autant à la règlementation qu’aux finances », explique monsieur Fortin.
Il mentionne aussi les attentes des citoyens.
« Les gens croient parfois que les municipalités ont tous les leviers pour faire bouger les choses alors que ce n’est pas le cas. Les villes ont des obligations à remplir et certaines choses ne sont tout simplement pas de notre ressort. Le meilleur exemple qui me vient en tête est la gestion des routes. Si les petites rues sont sous notre responsabilité, les grandes artères comme la route 132 sont dans la cour du gouvernement provincial. »
Rémunération à revoir
Pour Jean-François Fortin, l’ampleur de la tâche d’un élu municipal n’est souvent pas à la hauteur du salaire qui l’accompagne.
« Pour les petites et moyennes villes, la compensation financière n’équivaut pas du tout la charge de travail qui augmente sans cesse. Ce n’est donc pas très attrayant pour un futur candidat, surtout pour quelqu’un qui occupe déjà un emploi. La politique municipale implique que l’élu devra souvent faire des heures pratiquement bénévoles à la municipalité et ainsi sacrifier des heures rémunérées à son autre emploi. »
La politique municipale implique ainsi une grande disponibilité qui n’est pas facilement conciliable avec la vie de famille.
« Et l’exposition des élus à la critique, parfois virulente, n’est pas à négliger non plus. Il y a des gens qui ne sont pas à l’aise avec les critiques parce que celles-ci deviennent parfois des attaques. Et souvent, des personnes vont s’en prendre à un élu sans avoir toute l’information pertinente sur un dossier ou un enjeu précis », poursuit le maire de Sainte-Flavie.
Changer les choses
Sur une note plus positive, monsieur Fortin croit que le milieu municipal offre beaucoup plus de leviers pour changer des choses qui touchent les citoyens dans leur quotidien et qui sont visibles sur le terrain. Contrairement aux niveaux plus élevés.
« On aimerait voir plus de jeunes, plus de femmes, mais il faut mieux les renseigner sur ce qui les attend. Ça peut être très valorisant d’apporter quelque chose de positif à sa municipalité, mais il faut être capable d’aller chercher cette valorisation ailleurs que sur les réseaux sociaux. »
Élus exceptionnels ou manque de relève ?
Le peu d’intérêt pour les postes d’élus municipaux est-il une tendance généralisée à l’aube des élections du 2 novembre prochain ? Le Soir a posé la question à quelques spécialistes en la matière.
Alors qu’on ne se rue pas aux portes à un mois de l’ouverture des mises en candidature, il y a lieu de se demander dans combien de grandes municipalités de l’Est-du-Québec que les citoyens assisteront à des couronnements sans opposition.
« Ça peut être un message clair que les maires ou mairesses en place sont appréciés et qu’on ne souhaite pas de grand changement. C’est quelque chose qu’on voit souvent après quelques mandats », indique le président de la Fédération québécoise des municipalités, Jacques Demers.
Des freins à se lancer
D’un autre côté, monsieur Demers observe que les gens sont de plus en plus revendicateurs.
« Lorsqu’on regarde les médias sociaux, on va souvent avoir des opinions bien arrêtées avec un seul côté de la médaille. C’est la résultante du manque de journalistes en région, qui mettraient les choses davantage en perspective. »
Les salaires anémiques sont aussi un frein, selon lui.
Jacques Demers en est à son deuxième mandat en tant que président de la Fédération québécoise des municipalités.
(Photo Facebook)
« Il faut qu’ils soient à la hauteur des tâches qui sont rattachées au rôle des élus. Ça donnerait une chance à tout le monde, autant en augmentant les salaires des élus actuels et de motiver d’autres personnes à se lancer. »
D’ailleurs, plusieurs élus sont des gens à la retraite qui n’ont pas nécessairement un autre emploi à temps plein pour mettre du pain et du beurre sur la table.
« Tout passe par le dialogue. Souvent les gens ignorent la quantité de travail qui a été investie avant d’en venir à une décision. Il y a aussi beaucoup d’impératifs à respecter. »
Après une première saison positive au plan des résultats (fiche de 6-2), les Pionniers du Cégep de Rimouski en football se donnent comme objectifs de demeurer compétitifs et de se tailler une place en séries.
Ce ne sera pas facile avec une équipe plus jeune que la normale au niveau collégial. Le nouvel entraineur-chef, Louis-David Goulet, confirme que de son contingent de 50 joueurs, à peine le tiers portait les couleurs de l’équipe en 2024.
« On est content de la progression des jeunes
Après une première saison positive au plan des résultats (fiche de 6-2), les Pionniers du Cégep de Rimouski en football se donnent comme objectifs de demeurer compétitifs et de se tailler une place en séries.
Ce ne sera pas facile avec une équipe plus jeune que la normale au niveau collégial. Le nouvel entraineur-chef, Louis-David Goulet, confirme que de son contingent de 50 joueurs, à peine le tiers portait les couleurs de l’équipe en 2024.
« On est content de la progression des jeunes depuis le jour 1 du camp d’entrainement. On est à créer une cohésion dans le groupe. On a uniquement 18 joueurs de l’édition 2024 qui sont de retour. On va pouvoir créer une nouvelle identité d’équipe », observe-t-il.
Louis-David Goulet (Photo Le Soir – René Alary)
« L’objectif est de faire les séries éliminatoires. Malgré notre jeune équipe, on a quelques athlètes d’exception et de bons joueurs à plusieurs postes-clés. On veut compétitionner chaque semaine et terminer dans les quatre premiers au classement », poursuit-il.
Six transferts
Aux 18 vétérans, il faut en ajouter six qui arrivent d’autres cégeps à la suite de transferts. L’un d’eux est le quart-arrière, Nicolas Rioux, qui arrive des Géants de Saint-Jean-sur-Richelieu après quatre années passées dans le programme de l’école Le Mistral de Mont-Joli.
« J’avais été recruté par Saint-Jean-sur-Richelieu en division 1. Ça a été un peu plus difficile là-bas. Le niveau est beaucoup plus élevé. J’ai beaucoup appris, mais j’ai décidé de revenir dans la région pour toucher un peu plus au ballon », mentionne ce natif de Luceville.
Nicolas Rioux (Photo Le Soir – René Alary)
Il avait opté pour la division 1 afin d’être recruté au niveau universitaire. « J’ai réalisé là-bas que tant qu’à être en D1 et jouer moins, j’aimais mieux prioriser le fait de jouer. Il y a des exemples de joueurs qui ont passé de la division 3 au collégial à la ligue universitaire. Si tu es bon, ils vont de trouver », observe-t-il.
Mathis Gagnon-Landry
Vétéran de 2e saison, Mathis Gagnon-Landry jouera sur la ligne offensive après avoir été utilisé comme ailier rapproché en 2024. Le recrutement des derniers mois a provoqué ce changement de position.
Mathis Gagnon-Landry (Photo Le Soir – René Alary)
« On a beaucoup d’attentes cette saison en raison de notre fiche de 6-2, l’an dernier. On a une équipe jeune, mais nos recrues sont capables de progresser assez rapidement. On a une équipe prometteuse, même si on a perdu plusieurs finissants », explique-t-il.
Gagnon-Landry s’attend de nouveau à ce que La Pocatière et Jonquière soient les clubs à battre cette saison.
« C’est contre eux qu’on aura le plus de fil à retordre. Ce fut le cas, l’an dernier. Mais, on est confiant de pouvoir compétitionner contre toutes les équipes. On commence contre La Pocatière, on a hâte, on sait que ça va brasser et que ce sera une game tough. On est confiant »,
Les Pionniers, une famille
David Castonguay (Photo Le Soir – René Alary)
Le président de l’équipe, David Castonguay, se dit particulièrement fier de voir la grande famille des Pionniers s’agrandir. Signe que l’équipe amorcera sa 24e saison, il y a même un joueur, Roméo Michel, dont le père, Jean-Philippe, a aussi porté les couleurs du club lors de la saison 1, en 2002. Les deux sont des quarts-arrière.
« On voit le fruit de toutes ces années de travail. On voit des anciens qui reviennent comme entraineurs, d’autres sur le conseil d’administration et dans le groupe de nos partenaires. En plus de cette belle histoire avec le fils d’un d’un ancien Pionnier. Le sentiment d’appartenance au programme est très fort », explique-t-il.
En bref
Les Pionniers ouvriront leur saison le samedi 30 août à 19 h 30 en recevant les Gaulois à l’occasion du match des anciens. Le groupe local MUSH performera lors de la mi-temps… Les trois autres parties locales seront jouées le samedi à 13 h… Les abonnements de saison sont en vente au coût de 25 $… En plus du tirage 50-50 à chaque partie locale, les Pionniers lancent un grand tirage moitié-moitié qui va s’échelonner sur toute la saison…
Après plus de 20 ans de présence, le groupe PhysioÉnergie a confirmé la fermeture définitive de son point de service de Squatec, inactif temporairement depuis mars dernier en raison de contraintes liées au manque de personnel.
Malgré les efforts de l’entreprise pour redéployer les ressources humaines et relancer les activités au situé au 149-B rue Saint-Joseph à Squatec, les conditions nécessaires pour assurer un service de qualité n’ont malheureusement pas pu être réunies.
« Afin de prése
Après plus de 20 ans de présence, le groupe PhysioÉnergie a confirmé la fermeture définitive de son point de service de Squatec, inactif temporairement depuis mars dernier en raison de contraintes liées au manque de personnel.
Malgré les efforts de l’entreprise pour redéployer les ressources humaines et relancer les activités au situé au 149-B rue Saint-Joseph à Squatec, les conditions nécessaires pour assurer un service de qualité n’ont malheureusement pas pu être réunies.
« Afin de préserver ses standards élevés de soins et optimiser son réseau, PhysioÉnergie a pris la décision difficile, mais responsable de mettre un terme définitif aux opérations de ce point de service », explique la propriétaire de PhysioÉnergie, Marie-Andrée Michaud.
Les patients touchés ont été accompagnés vers les autres cliniques de PhysioÉnergie à Témiscouata-sur-le -Lac, Saint-Cyprien ou Dégelis, afin d’assurer une continuité de soins sans interruption.
« La pénurie de main-d’œuvre spécialisée dans notre secteur d’activité dure depuis longtemps et malheureusement notre seule avenue afin de poursuivre des services de qualité en physiothérapie, réside dans une restructuration au niveau de l’entreprise. C’est un service hautement apprécié de la clientèle et des médecins, nous poursuivons dans nos trois autres points de service », précise madame Michaud.
PhysioÉnergie remercie ses clients, la municipalité de Squatec et les médecins pour leur confiance et leur compréhension au cours des derniers mois.
Un délai de financement par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), causé par la campagne électorale fédérale du printemps dernier, retarde le chantier du projet de 32 logements adaptés de Han-Logement, dans le district de Pointe-au-Père à Rimouski.
Le directeur des communications de l’organisme, Yves-Alexandre Comeau, explique que plusieurs décisions de la SCHL, dont celles liées au financement, ont été suspendues pendant la campagne.
« Cela a déplacé certaines phases
Un délai de financement par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), causé par la campagne électorale fédérale du printemps dernier, retarde le chantier du projet de 32 logements adaptés de Han-Logement, dans le district de Pointe-au-Père à Rimouski.
Le directeur des communications de l’organisme, Yves-Alexandre Comeau, explique que plusieurs décisions de la SCHL, dont celles liées au financement, ont été suspendues pendant la campagne.
« Cela a déplacé certaines phases de construction », dit-il.
« C’est notre deuxième projet à Rimouski, après celui de 16 logements sur la rue Grande-Ourse, déjà rempli avant même sa fin de construction. On s’attend au même engouement pour celui de la rue des Vétérans », souligne monsieur Comeau.
Destiné à des personnes en situation de handicap physique, intellectuel, vivant avec un trouble du spectre de l’autisme ou à des aînés nécessitant des adaptations, le complexe comptera 32 logements intégrant chacun 55 aménagements spécifiques pour favoriser accessibilité et confort.
« Ces logements adaptés libéreront des unités régulières actuellement occupées par cette clientèle, faute d’alternatives », ajoute le porte-parole.
La Ville de Rimouski a cédé le terrain pour permettre la réalisation du projet.
Souper-bénéfice à Rivière-du-Loup
Afin de soutenir ses projets dans la région, Han-Logement tiendra un souper-bénéfice le 18 septembre à 18 h, à l’Hôtel Lévesque de Rivière-du-Loup.
L’événement se déroulera en compagnie de l’humoriste Mario Jean et comprendra un spectacle ainsi qu’un encan.