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Reçu aujourd’hui — 22 novembre 2025Bas Saint-Laurent
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  • William Lacelle toujours aussi dominant
    Le nom de William Lacelle sera très souvent prononcé d’ici le 6 janvier 2026. Non seulement pour ses performances, mais aussi en marge de la période de transactions qui débutera le 19 décembre dans la LHJMQ. Son éblouissante performance de 39 arrêts dans la victoire de 1-0 à Drummondville, jeudi dernier, a fait beaucoup réagir. Bien qu’il soit devant le filet d’une équipe en reconstruction, Lacelle présente ses statistiques impressionnantes. Avant les matchs de samedi, il détient la meille
     

William Lacelle toujours aussi dominant

22 novembre 2025 à 19:00

Le nom de William Lacelle sera très souvent prononcé d’ici le 6 janvier 2026. Non seulement pour ses performances, mais aussi en marge de la période de transactions qui débutera le 19 décembre dans la LHJMQ.

Son éblouissante performance de 39 arrêts dans la victoire de 1-0 à Drummondville, jeudi dernier, a fait beaucoup réagir. Bien qu’il soit devant le filet d’une équipe en reconstruction, Lacelle présente ses statistiques impressionnantes.

Avant les matchs de samedi, il détient la meilleure moyenne d’efficacité de tous les gardiens de la ligue (,925) et la deuxième dans la colonne des buts alloués (2.41). Il est 4e dans la colonne des victoires (10) et 2e dans celle des blanchissages (2). 

William Lacelle a été sans faille face aux Voltigeurs (Photo Voltigeurs – Ghyslain Bergeron)

Des recruteurs d’une vingtaine d’équipes de la LNH étaient dans les gradins du Centre Marcel-Dionne, jeudi. Lacelle a d’ailleurs déjà parlé à des représentants d’une dizaine d’équipes au cours des dernières semaines.

Ses performances depuis le début de la saison n’ont pas été suffisantes cependant pour qu’il soit invité à participer au Défi des Espoirs LCH / USA qui sera présenté la semaine prochaine à Calgary et Lethbridge. Les meilleurs espoirs de la LCH affronteront alors l’équipe nationale des moins de 18 ans du Programme de développement de USA Hockey. 

Rappelons que, la saison dernière, Lacelle a mérité le trophée Jacques-Plante remis au gardien présentant la meilleure moyenne de buts alloués ainsi que le trophée Raymond-Lagacé pour la recrue défensive.

Plus mature

William Lacelle (Photo Le Soir – René Alary)

« C’est une grosse année, mais je ne peux pas penser trop en avant et plutôt me concentrer sur le moment présent. Je veux m’améliorer de 1 % chaque jour, c’est ma mentalité en ce moment et ça va très bien », a expliqué le gardien dans un point de presse avant le départ de l’équipe pour ses deux derniers matchs sur la route.

Il se dit plus mature. « Je vois le jeu plus rapidement maintenant. L’an passé, j’étais plus jeune, les lancers rentraient plus vite, juste avoir une année de plus, ça m’aide beaucoup. Le jeu a vraiment ralenti pour toi. »


Propos intéressant : le gardien étudie beaucoup ses adversaires.

« Je dois vraiment prendre le temps de voir les autres équipes, d’analyser ce que les joueurs font. Encore plus cette année, parce que je reçois plus de lancers.  Dimanche (le 16 novembre), dans les tirs de barrage, je savais que Reece Peitzsche allait prendre un tir frappé et c’est pour ça que j’ai fait le mouvement que vous avez vu. Quand je l’ai vu partir à gauche, je savais qu’il allait shooter », mentionne le gardien qui s’était beaucoup avancé pour fermer les angles. 

Rotation

Le gardien de l’Océanic, William Lacelle (Photo archives courtoisie Folio Photo – Iften Redjah)

Il doit composer avec une rotation presque régulière avec Mathis Langevin, l’Océanic misant sur deux gardiens étiquetés no 1. Jusqu’au moment d’être blessé le printemps dernier, il jouait presque toutes les parties à son année de 17 ans.

« C’est certain que j’aimerais jouer tous les matchs, mais Iron sharpens iron (les gens s’améliorent et s’affinent mutuellementgrâce aux défis), c’est bon nous deux, explique Lacelle dont la langue première est l’anglais. C’est comme ça que je pense en ce moment. C’est juste deux gardiens de but qui essaient de se pousser et c’est bon pour moi et Mathis en ce moment. » 

Côté scolaire, ça va aussi très bien pour Lacelle qui complète son grade 12 à distance. Il affiche des notes de 90 % et plus dans tous ses cours. 

Transaction

L’Océanic est en reconstruction et il faut s’attendre à ce que l’un des deux gardiens soit inclus dans une transaction. Le contraire est pratiquement impossible.

« Je ne pense pas trop à ça. J’essaie de donner mon meilleur sur la glace. Un de nous deux va se faire transiger. On va voir ce qui va se passer. Je ne le sais pas encore. »

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  • L’Accorderie de Rimouski-Neigette débute sur une belle lancée
    L’Accorderie de Rimouski-Neigette, qui tenait en septembre dernier son Assemblée générale de fondation, compte aujourd’hui 175 membres qui peuvent s’échanger des services en utilisant une banque d’heures comme monnaie d’échange. L’organisme a connu une progression non négligeable depuis un an. Rappelons qu’à pareille date l’an dernier, le comité qui œuvrait pour le retour d’une Accorderie dans Rimouski-Neigette était en campagne de financement pour l’obtention de la franchise d’Accorderie, do
     

L’Accorderie de Rimouski-Neigette débute sur une belle lancée

22 novembre 2025 à 18:00

L’Accorderie de Rimouski-Neigette, qui tenait en septembre dernier son Assemblée générale de fondation, compte aujourd’hui 175 membres qui peuvent s’échanger des services en utilisant une banque d’heures comme monnaie d’échange.

L’organisme a connu une progression non négligeable depuis un an. Rappelons qu’à pareille date l’an dernier, le comité qui œuvrait pour le retour d’une Accorderie dans Rimouski-Neigette était en campagne de financement pour l’obtention de la franchise d’Accorderie, dont le coût s’élevait à 5000 $.

Depuis septembre, il compte un conseil d’administration officiel. Dominique Parisé, qui est impliqué depuis le début dans les démarches pour le retour d’une Accorderie locale, après sa dissolution en 2018, en demeure le président.

Rosanne Lord occupe le poste de vice-présidente, tandis que Robert Lemire est secrétaire, qu’Yves Thériault est trésorier et que Claudette Harvey, Valérie Larose et Vicky Montour sont administratrices.

« On est vraiment démarré, on invite les gens à rejoindre l’Accorderie pour bénéficier des multiples services qui y sont disponibles. En ayant déjà 175 membres, c’est sûr que la gamme de services est de plus en plus grande », rapporte monsieur Parisé.

Conséquemment, plus qu’il y aura de membres dans l’Accorderie et plus qu’il y aura de services offerts.

Rencontrer les autres membres

Pour ceux qui ont envie de rejoindre l’Accorderie, mais qui s’imaginent mal inviter des inconnus dans leur maison pour recevoir un service, quoiqu’il soit (peinture, ménage, jardinage, etc.) l’organisme tient des « pauses-café Accorderie », deux fois par semaine, pour justement permettre aux membres de se rencontrer.

« C’est un bel endroit pour faire connaissance et faire en sorte que les gens puissent se faire confiance et ainsi favoriser les échanges de services. »

L’inauguration de l’Accorderie de Rimouski-Neigette. (Photo courtoisie)

Yves Thériault abonde dans le même sens.

« Ce n’est pas nécessairement évident d’inviter quelqu’un chez vous pour avoir un coup de main si tu ne connais pas la personne. Les cafés sont donc un milieu neutre pour faire ce premier contact. »

Il s’agit d’ailleurs d’une méthode qui a fait ses preuves, selon monsieur Parisé.

« Chaque fois que l’on tient un événement, il y a toujours une augmentation d’échange de services par après, parce que les gens se voient, ils échangent leurs coordonnées et ils discutent des services qu’ils offrent. Même que parfois, des gens vont offrir des services qui ne se trouvaient pas à l’origine dans leur banque d’offres, parce qu’ils prennent confiance après en avoir parlé avec d’autres membres. »

Les offres de services peuvent donc s’élargir de la sorte.

Pour s’inscrire

Les personnes qui souhaitent devenir membres de l’Accorderie Rimouski-Neigette peuvent téléphonez au 418-896-2896, envoyer un courriel au info.rimouskineigette@accorderie.ca ou visiter le site internet accorderie.ca/rimouski-neigette.

Il sera alors possible de remplir un formulaire pour déposer une demande d’inscription. Par après, l’équipe d’inscription communiquera avec les futurs membres pour procéder à leur inscription.

L’organisme a aussi une page Facebook où il est possible de s’informer.

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  • Amqui : Agropur redémarre ses opérations après l’entente
    À la suite de l’acceptation de son offre par 70% des travailleurs de son usine d’Amqui, Agropur indique le retour progressif des employés à l’usine débutera à partir de lundi et que la reprise de la production à Amqui est prévue dans les prochains jours. « Nous nous réjouissons qu’une majorité des employés aient voté en faveur de l’entente de principe pour le renouvellement de la convention collective. Nous estimons avoir conclu une entente juste et équitable pour les employés et qui permet à
     

Amqui : Agropur redémarre ses opérations après l’entente

À la suite de l’acceptation de son offre par 70% des travailleurs de son usine d’Amqui, Agropur indique le retour progressif des employés à l’usine débutera à partir de lundi et que la reprise de la production à Amqui est prévue dans les prochains jours.

« Nous nous réjouissons qu’une majorité des employés aient voté en faveur de l’entente de principe pour le renouvellement de la convention collective. Nous estimons avoir conclu une entente juste et équitable pour les employés et qui permet à la coopérative de demeurer compétitive sur le marché », commente le directeur des relations publiques et communications stratégiques chez Agropur, Guillaume Bérubé.  

Les consommateurs pourront retrouver les produits de fromage cottage et de crème sure fabriqués à Amqui en épicerie dans les prochaines semaines. 

« Nous tenons à remercier nos clients et consommateurs pour leur patience et leur résilience démontrées au cours des dernières semaines. Nous reconnaissons qu’un conflit de travail est difficile pour tous. Nous sommes très heureux de regarder vers l’avenir et souhaitons collaborer étroitement avec nos employés afin de bâtir l’avenir de notre usine d’Amqui. Nous avons de beaux projets », poursuit monsieur Bérubé.

Fierté

Réunis en assemblée générale ce vendredi matin, les travailleurs de l’usine Agropur d’Amqui ont accepté, dans une proportion de 70%, la dernière offre patronale, pour mettre fin au lock-out. La centaine d’employés retourneront donc au travail dans les prochains jours.

« L’assemblée s’est terminée sur le terme de la fierté. Nous avons été solidaires dans cette épreuve et c’est la tête haute que nous allons retourner au travail », a commenté le conseiller à la vie syndicale à la Centrale des syndicats démocratiques du Québec (CSD), Patrick Cyr, au sortir de l’assemblée en fin d’avant-midi.

L’employeur a déclenché un lock-out le 13 octobre au matin en réponse au déclenchement d’une grève de 24 heures la veille par les syndiqués.

Les travailleurs avaient rejeté deux offres avant d’accepter la 3e, une première à 90% et une seconde à 53%.

Les employés de bureau de l’usine Agropur d’Amqui ont aussi accepté l’offre de l’employeur à 100%, le 19 novembre dernier. 

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  • Canadien : l’art de rappeler les bons soldats
    Le Canadien de Montréal traverse une période trouble, mais ce n’est pas la première fois que l’organisation se retrouve dans une impasse. Opinion de Robin Lebel- Le Soir.ca L’histoire montre que les rappels de la filiale ont souvent servi de déclencheur pour relancer l’équipe. Faire monter des joueurs par paire n’était pas qu’une question de logistique : c’était une stratégie psychologique. Deux recrues qui s’épaulent, se motivent et s’acclimatent ensemble au rythme de la LNH, voilà u
     

Canadien : l’art de rappeler les bons soldats

22 novembre 2025 à 15:00

Le Canadien de Montréal traverse une période trouble, mais ce n’est pas la première fois que l’organisation se retrouve dans une impasse.

Opinion de Robin Lebel- Le Soir.ca

L’histoire montre que les rappels de la filiale ont souvent servi de déclencheur pour relancer l’équipe. Faire monter des joueurs par paire n’était pas qu’une question de logistique : c’était une stratégie psychologique.

Deux recrues qui s’épaulent, se motivent et s’acclimatent ensemble au rythme de la LNH, voilà une recette qui a déjà fait ses preuves.

Aujourd’hui, un duo comme Florian Xhekaj et Vincent Arseneau pourrait perpétuer cette tradition.

Leur énergie brute et leur style complémentaire offriraient un électrochoc bien nécessaire pour réveiller un vestiaire montréalais trop prudent.

Florian Xhekaj se prépare à un entraînement du Canadien. (Photo courtoisie)

Justement, le plus jeune des Xhekaj vient officiellement de recevoir l’appel qu’il attendait depuis longtemps par le Canadien. Il fera ses premiers pas dans la LNH samedi soir, au Centre Bell, contre les Maple Leafs de Toronto.

Erreur stratégique

Et disons-le clairement : échanger Arber Xhekaj serait une erreur stratégique. Ce défenseur n’a pas besoin d’un billet de sortie, mais d’un environnement qui lui accorde soutien et confiance.

Le Canadien a déjà payé cher pour avoir laissé partir des joueurs robustes et combatifs. Chaque fois qu’un dur à cuire a quitté Montréal, il a poursuivi sa progression ailleurs pour devenir un élément important d’une autre organisation.

Nicolas Deslauriers en est l’exemple le plus évident : après son départ, il s’est imposé et a démontré toute sa valeur.

La leçon est simple : Montréal ne peut plus se permettre de répéter ce scénario. Miser sur ses jeunes, leur offrir un cadre où ils peuvent grandir ensemble et protéger ses joueurs de caractère, voilà la voie à suivre.

Dans une ligue où l’intensité et la profondeur font la différence, ce sont souvent les soldats oubliés qui deviennent des héros… mais ailleurs.

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  • Fondation Santé Rimouski : 102 000$ pour La Grande dégustation
    L’une des activités caritatives les plus populaires de la Fondation Santé Rimouski, La Grande dégustation, a amassé 102 013$ pour sa 25e présentation, vendredi soir (21 novembre), au Centre des congrès de l’Hôtel Rimouski. L’événement affichait complet, réunissant 330 convives pour cette soirée gourmande dont l’objectif financier avait été fixé à 85 000$. De généreux donateurs ont ajouté des contributions supplémentaires à celles déjà prévues pour la soirée, permettant de franchir la barr
     

Fondation Santé Rimouski : 102 000$ pour La Grande dégustation

22 novembre 2025 à 12:00

L’une des activités caritatives les plus populaires de la Fondation Santé Rimouski, La Grande dégustation, a amassé 102 013$ pour sa 25e présentation, vendredi soir (21 novembre), au Centre des congrès de l’Hôtel Rimouski.

L’événement affichait complet, réunissant 330 convives pour cette soirée gourmande dont l’objectif financier avait été fixé à 85 000$.

De généreux donateurs ont ajouté des contributions supplémentaires à celles déjà prévues pour la soirée, permettant de franchir la barre des 100 000$.

En 2024, La Grande dégustation avait permis de récolter près de 88 000 $.

Au cours de la soirée, les invités ont notamment profité d’un repas concocté par le chef Martin Ashby, de la Brigade 225 de l’Hôtel Rimouski, de vins sélectionnés par la SAQ Sélection Rimouski et de fromages offerts par Les Fromages d’ici.

Achat d’un appareil unique

Les profits permettront d’investir 75 000 $ dans l’achat d’un appareil d’aphérèse pour la clinique d’hémato-oncologie de l’Hôpital régional de Rimouski.

« C’est un appareil d’une valeur d’environ 125 000 $. C’est le seul que nous avons à l’est de Québec. Comme l’appareil actuel atteindra sa fin de vie utile, il est devenu essentiel de le remplacer. Nous sommes privilégiés de l’avoir ici dans la région et nous voulons maintenir le soin à Rimouski », indique la directrice général de la Fondation Santé Rimouski, Caroline Pelletier.

La directrice générale et le président de la Fondation Santé Rimouski, Caroline Pelletier et Pierre-Luc Harrison. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

La directrice générale de la Caisse Desjardins de Rimouski, Véronique Pelletier et le directeur de Desjardins Entreprises – Bas-Saint-Laurent et Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Ken Henry, assumaient la coprésidence d’honneur de la soirée.

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  • Salon de Trois-Rivières : les moucheurs vivent leur passion
    L’unique Salon de pêche à la mouche de Trois-Rivières est de retour pour une 11e présentation, les 22 et 23 novembre, à la Bâtisse industrielle située au 1760 avenue Gilles-Villeneuve. Cet événement annuel attire des moucheurs des quatre coins de la province, lesquels se retrouvent en Mauricie, à Trois-Rivières, pour échanger sur leur passion et rêver à la prochaine saison. Gaétan Blier est l’organisateur principal de 11e ce Salon de pêche à la mouche 2025. Il est aussi vice-
     

Salon de Trois-Rivières : les moucheurs vivent leur passion

22 novembre 2025 à 11:00

L’unique Salon de pêche à la mouche de Trois-Rivières est de retour pour une 11e présentation, les 22 et 23 novembre, à la Bâtisse industrielle située au 1760 avenue Gilles-Villeneuve.

Cet événement annuel attire des moucheurs des quatre coins de la province, lesquels se retrouvent en Mauricie, à Trois-Rivières, pour échanger sur leur passion et rêver à la prochaine saison.

Gaétan Blier est l’organisateur principal de 11e ce Salon de pêche à la mouche 2025.

Il est aussi vice-président de la Société mauricienne des pêcheurs à la mouche de Trois-Rivières (SMPMTR), un organisme voué à la promotion de la pêche à la mouche artificielle, et à la formation de nouveaux moucheurs et moucheuses, depuis 50 ans.

Animation grand format

« Nous avons 65 kiosques d’exposants spécialisés de produits reliés à la pêche à la mouche. Mais aussi beaucoup d’animation et de conférenciers spécialisés, ainsi que des démonstrations de lancer dans un bassin, comme le lancer de base à la mouche, le lancer en rivière, des démonstrations et des conférences sur la pêche à la mouche sèche, sur la situation du saumon, comment monter des mouches, pêcher la truite en rivière et aussi des démonstrations du lancer SPEY », raconte Gaétan Blier, en entrevue à « Rendez-Vous Nature ».

Un bassin de pêche permet de tester différentes cannes et soies, et aux conférenciers de faire des démonstrations de différents types de lancer à la mouche artificielle. (Photo courtoisie)

Pour tout savoir ou presque de cet événement unique aux moucheurs et moucheuses, et ceux et celle en devenir, on peut entendre et réentendre cette entrevue avec Gaétan Blier en cliquant sur le lien ci-dessus.

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  • Nathaniel Dumoulin-Duguay est prêt à rebondir 
    Le Rimouskois Nathaniel Dumoulin-Duguay vient de terminer sa deuxième année avec les Tiger-Cats de Hamilton dans la Ligue canadienne de football (LCF). Malgré une blessure qui a hypothéqué une partie de sa saison, il a confiance de retrouver sa place sur la ligne offensive de l’équipe en 2026.  « J’ai joué à la position de centre. C’était nouveau pour moi. J’ai appris énormément parce que le centre est celui qui gère la ligne offensive. Je me suis beaucoup amélioré. Avant ma blessure, je pens
     

Nathaniel Dumoulin-Duguay est prêt à rebondir 

22 novembre 2025 à 09:00

Le Rimouskois Nathaniel Dumoulin-Duguay vient de terminer sa deuxième année avec les Tiger-Cats de Hamilton dans la Ligue canadienne de football (LCF). Malgré une blessure qui a hypothéqué une partie de sa saison, il a confiance de retrouver sa place sur la ligne offensive de l’équipe en 2026. 

« J’ai joué à la position de centre. C’était nouveau pour moi. J’ai appris énormément parce que le centre est celui qui gère la ligne offensive. Je me suis beaucoup amélioré. Avant ma blessure, je pense que j’ai réussi à démontrer que je suis capable de jouer dans cette ligue. J’ai eu des rencontres avec les entraîneurs et ils ont confiance en moi », mentionne-t-il en entrevue avec Le Soir.

Cette blessure est survenue en août et il lui reste environ un mois de réhabilitation. Dumoulin-Duguay a confiance de retourner sur le terrain dès le début de la prochaine saison.

« Mon ménisque était fini. J’ai dû être opéré. J’ai passé six semaines avec des béquilles. J’ai suivi et encouragé mon équipe après ma blessure. Ça a été quand même une très belle expérience, même si je ne jouais pas. »

Les Tiger-Cats ont été éliminés par les Alouettes de Montréal en finale de la division Est, le 8 novembre. Le joueur de 26 ans dit avoir un sentiment particulier lorsqu’il affronte l’équipe du Québec.

« J’ai beaucoup d’amis dans l’équipe, donc j’ai tout le temps une petite motivation de plus quand nous jouons contre Montréal. J’étais un peu triste de perdre contre eux, mais nous avons tellement bâti une belle équipe pendant la saison, comparativement à l’année passée, que nous ne pouvons pas avoir la tête basse », indique celui qui est le premier Rimouskois à être repêché dans la LCF. 

Nouvelle vie à Hamilton

Nathaniel Dumoulin-Duguay vit à Hamilton depuis le début de la saison 2024. Après une première année d’adaptation, il se plaît dans sa ville d’adoption.

« La première année a été difficile, notamment avec l’anglais. Cette année, nous étions comme une famille et une équipe plus soudée. J’ai vraiment aimé mon année à Hamilton. Nous avons des partisans incroyables qui sont là à 100 % pour nous encourager », exprime-t-il.  

Nathaniel Dumoulin-Duguay lors de sa sélection par les Tiger-Cats en compagnie de ses parents, Marie-Claude Duguay et Mario Dumoulin Mélancon. (Photo courtoisie)

Dumoulin-Duguay a entamé son apprentissage du football avec les équipes Sélect de l’école Langevin-St-Jean et Paul-Hubert. Il a ensuite fait partie des Pionniers du Cégep de Rimouski, avant de se joindre au Rouge et Or de l’Université Laval, avec qui il a remporté la Coupe Vanier en 2022.

Le fils de Marie-Claude Duguay et Mario Dumoulin Mélancon a finalement été repêché par Hamilton en première ronde, septième au total, lors du repêchage 2024 de la LCF. 

« C’est un autre niveau. Tout est plus rapide, plus physique et tout va plus vite mentalement. Je pense que je suis rendu dans une bonne position pour jouer dans les prochaines années. »

Servir de modèle pour les jeunes

Nathaniel Dumoulin-Duguay estime avoir trouvé sa place grâce au football après un parcours scolaire difficile. « Le football m’a donné une vie complète. »

Comme membre des Tigers-Cats, le Rimouskois se dit bien conscient de l’influence qu’il peut avoir sur les jeunes footballeurs du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.

« Je me cherchais et je ne savais pas vers où me diriger. L’école n’était pas mon fort. J’ai retrouvé dans mon sport un sentiment de famille avec tout le monde qui s’encourage. C’est ma vie et j’adore ça », affirme-t-il. 

Nathaniel Dumoulin-Duguay alors qu’il était avec les Pionniers du Cégep de Rimouski. (Photo gracieuseté)

S’il poursuit sa progression comme joueur de ligne, Dumoulin-Duguay veut aussi servir d’exemple à l’extérieur du terrain, comme d’autres l’ont été avant lui lorsqu’il évoluait au niveau scolaire. 

« Beaucoup de jeunes m’écrivent et ça fait du bien. Certains me regardent en se disant que, même s’ils viennent d’un endroit qui n’est pas trop représenté dans le football, c’est possible de se rendre aussi loin. C’est un honneur pour moi de représenter Rimouski. »

Installé à Québec pendant la saison morte, Nathaniel Dumoulin-Duguay a déjà recommencé l’entraînement en vue de son retour à Hamilton, en mai prochain. 

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  • Nouveautés pour jouer durant les fêtes
    Le père Noël du jeu de société, Marc Fournier, était de passage dans les bureaux du journal Le Soir dernièrement pour discuter des tendances de 2025 et parler des nouveautés des Éditions Gladius, dont il est le président et fondateur.  L’industrie se porte bien, selon monsieur Fournier. Autant les enfants que les adultes peuvent y trouver leur compte. « Il y a eu un gros regain qui n’a pas diminué depuis la pandémie. Ça allait très bien même avant. Il y a tellement de choix et de façons de
     

Nouveautés pour jouer durant les fêtes

22 novembre 2025 à 08:00

Le père Noël du jeu de société, Marc Fournier, était de passage dans les bureaux du journal Le Soir dernièrement pour discuter des tendances de 2025 et parler des nouveautés des Éditions Gladius, dont il est le président et fondateur. 

L’industrie se porte bien, selon monsieur Fournier. Autant les enfants que les adultes peuvent y trouver leur compte.

« Il y a eu un gros regain qui n’a pas diminué depuis la pandémie. Ça allait très bien même avant. Il y a tellement de choix et de façons de jouer. Il y a un jeu, quelque part, qui va plaire à tout le monde. Par contre, le marché est envahi de jeux qui viennent de partout sur la planète. C’est plus difficile de se démarquer pour les fabricants », exprime Marc Fournier. 

Depuis environ huit ans, les jeux pour les 16 ans et les 18 ans et plus ont la cote chez Galdius. 

« Pour le jeu T’aimes-tu ça ?, l’édition 18 ans et plus se vend plus que la régulière. C’est la même chose pour Ent’nous autres ! Sinon, chez les jeunes filles de 6 à 12 ans, la collection Nebulous Stars est extrêmement populaire. Nous avons aussi les jeux de magie de Luc Langevin qui sont très demandés », souligne monsieur Fournier.

Marc Fournier était de passage dans les bureaux du journal Le Soir au début novembre. (Photo Le Soir.ca-Annie Levasseur)

Concepteur, fabricant et distributeur, Gladius part d’une idée pour la mettre en marché. Basée à Lévis, l’entreprise compte une trentaine d’employés. Elle propose une dizaine de nouveautés par année, mais aimerait en développer entre 20 et 30.

« Les gens recherchent énormément la nouveauté. À travers ça, il y a des classiques, comme le Yum, dont nous détenons la licence, que nous pouvons renouveler au fil des années. »

Magie et hockey

Parmi les 10 nouveautés de 2025, Galdius offre les jeux Deviens un incroyable magicien et Deviens maître de l’évasion de la collection créée en collaboration avec l’illusionniste Luc Langevin.

« C’est une belle collaboration parce que Luc s’implique grandement. Il a enregistré des vidéos qui sont accessibles avec des codes QR. On le voit exécuter le tour et il explique comment le faire. On n’a pas besoin de lire des instructions qui ne finissent plus. Selon l’âge, on peut cibler lequel est meilleur dans la collection », explique le président.  

Deux nouveautés 2025. (Photo Le Soir.ca-Annie Levasseur)

L’humoriste et animateur Jean-François Baril collabore aussi avec Gladius pour offrir, cette année, Hockey Superstar. Un jeu à deux joueurs qui s’adresse aux huit ans et plus.

« C’est également une collaboration avec la Ligue de hockey junior Maritimes Québec et les restaurants Normandin. Dans la première partie, c’est un repêchage. On doit miser sur les joueurs qu’on veut pour faire notre équipe et c’est un jeu de hasard. Ensuite, on s’affronte et la partie devient stratégique », indique monsieur Fournier. 

Traître dans le groupe

Le créateur de jeux de société propose également des nouveautés pour adultes, dont Mythos — Une invitation de Dracula de Bryan Perro, l’auteur d’Amos Daragon.

Deux jeux pour les adultes. (Photo Le Soir.ca-Annie Levasseur)

« C’est comme un meurtre et mystère. Il faut être huit joueurs de 16 ans et plus. Ils arrivent déguisés à la soirée et il y a un traître dans le groupe qui n’est pas un vampire. Il faut le démasquer. Nous avons aussi le classique La Boulette 18+, le jeu à boire Pitoune et couleuvres et Raconte-moi une histoire. »

Les jeux de cartes Track 10 — La suite infernale ainsi que Pigeons et Dragons, L’éveil des sang-dragons 2 et Jok-R-Ummy du Mont-Dragon (inspirés des romans du même nom), Pandaland et Le Tricheur — Édition : Les p’tites vites sont les autres nouveautés à offrir pour Noël. 

Reçu hier — 21 novembre 2025Bas Saint-Laurent
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  • Voyage parfait pour l’Océanic
    L’Océanic n’a pas fait les choses à moitié dans son voyage au Centre-du-Québec. Au lendemain d’un gain à Drummondville, il a disposé des Tigres de Victoriaville par la marque de 3-1 devant 2 004 spectateurs réunis, vendredi soir, au Colisée Desjardins. La formation rimouskoise n’aura donc permis qu’un but en deux parties sur des patinoires adverses. Après le jeu blanc de William Lacelle, jeudi, c’est Mathis Langevin qui a brillé avec 34 arrêts face aux Tigres. « Hier (jeudi), c’était une v
     

Voyage parfait pour l’Océanic

21 novembre 2025 à 22:38

L’Océanic n’a pas fait les choses à moitié dans son voyage au Centre-du-Québec. Au lendemain d’un gain à Drummondville, il a disposé des Tigres de Victoriaville par la marque de 3-1 devant 2 004 spectateurs réunis, vendredi soir, au Colisée Desjardins.

La formation rimouskoise n’aura donc permis qu’un but en deux parties sur des patinoires adverses. Après le jeu blanc de William Lacelle, jeudi, c’est Mathis Langevin qui a brillé avec 34 arrêts face aux Tigres.

« Hier (jeudi), c’était une victoire acquise beaucoup grâce à William (Lacelle). Ce soir encore, Mathis a été très bon, il a fait de gros arrêts. Par contre, j’ai trouvé qu’on a été capable de créer beaucoup plus offensivement et notre défensive à cinq joueurs a été très bonne également », a commenté Joël Perrault.

Mathis Langevin a pleinement mérité sa première étoile (Photo Tigres – Alex Garneau)

Lefebvre marque

On a pratiquement eu un copier-coller de la veille avec plus de 39 minutes sans but. Il ne restait que dix secondes à la deuxième période quand Liam Lefebvre a surpris le gardien d’un lancer du haut de l’enclave. 

Quelques secondes après la fin d’un jeu de puissance, Dovydas Jukna a doublé l’avance des visiteurs au milieu de la troisième. Puis, avec le gardien retiré lors d’un jeu de puissance avec plus de quatre minutes à jouer, Alexis Bourque a fait dévier un lancer pour ramener les Tigres à un but. Mais, Lou Lévesque a profité de vitesse pour ensuite marquer dans un filet désert.

Luke Patterson s’occupe de voiler la vue du gardien des Tigres (Photo Tigres – Alex Garneau)

« On a bien travaillé sur les unités spéciales. Le but de Jukna n’est pas dans les statistiques d’avantage numérique, mais le gars venait de sortir du banc des punitions. Pour nous, c’est une victoire morale comme un but en power play », explique l’entraineur-chef dont le jeu de puissance est le pire de la ligue sur le plan des statistiques. 

Gardiens

Mathis Langevin a pleinement mérité sa première étoile. Il s’agissait pour lui d’une deuxième victoire en huit décisions. À l’autre bout, Gabriel D’Aigle a cédé deux fois sur les 39 lancers en sa direction.

Un seul but accordé en 120 minutes de jeu sur la route a de quoi réjouir le coach.

« On a passé beaucoup de temps dans les entrainements sur notre travail en zone défensive. Dans notre territoire, c’est de l’engagement, c’est du vouloir. C’est certain qu’il y a de la compréhension et un système de jeu, mais j’ai vraiment aimé comment les joueurs étaient prêts à se défendre avant d’aller jouer offensivement. »

Alex Massé joue la rondelle face à Korney Korneyev (Photo Tigres – Alex Garneau)

En bref

Deux changements dans l’alignement de l’Océanic avec l’ajout de Maxwell Branton et Luka Romaniak qui ont pris la place de Samuel Thibault et Guillaume Gleason… Connor Sturgeon (blessé) et Raphaël Achermann étaient les autres absents… Le patin-o-thon annuel de l’Océanic se tiendra dimanche à Rimouski (08 h au Pavillon polyvalent), Mont-Joli (08 h 45) et Sayabec (10 h). Une douzaine de joueurs seront partagés aux trois endroits… L’Océanic profite d’une très rare fin de semaine de congé. Il reprendra l’entrainement lundi en vue de son prochain match, vendredi prochain lors de la visite des Olympiques de Gatineau…

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  • Sayabec : Lorenzo Ouellet annonce ses priorités
    Les citoyens de Sayabec ont exprimé leur besoin de changement, le 2 novembre dernier, lors des élections municipales. En place depuis deux mandats, le maire sortant, Marcel Belzile, a été défait par le conseiller sortant, Lorenzo Ouellet, qui a obtenu 67 % des votes.  « C’est un beau mandat qui m’a été donné par la population. Il va falloir livrer la marchandise. Pendant la campagne sur le terrain, j’ai senti que les gens avaient besoin de changement », dit monsieur Ouellet. Il a l’intenti
     

Sayabec : Lorenzo Ouellet annonce ses priorités

21 novembre 2025 à 19:00

Les citoyens de Sayabec ont exprimé leur besoin de changement, le 2 novembre dernier, lors des élections municipales. En place depuis deux mandats, le maire sortant, Marcel Belzile, a été défait par le conseiller sortant, Lorenzo Ouellet, qui a obtenu 67 % des votes. 

« C’est un beau mandat qui m’a été donné par la population. Il va falloir livrer la marchandise. Pendant la campagne sur le terrain, j’ai senti que les gens avaient besoin de changement », dit monsieur Ouellet.

Il a l’intention d’être à l’écoute des électeurs et des différents comités en place dans la communauté. « Je veux connaître leurs besoins réels et travailler en collaboration avec le nouveau conseil en place. »

La moitié des conseillers municipaux étaient sur le précédent conseil alors l’autre est composée de nouveaux élus. 

« Ce sont des gens qui sont dynamiques et je suis convaincu que nous pouvons faire de grandes choses. L’expérience des anciens est toujours bonne parce qu’on ne part pas à zéro et les nouveaux ont déjà une place importante dans la communauté. Ça s’annonce bien », indique Lorenzo Ouellet, qui était conseiller municipal depuis 2021. 

Priorité aux infrastructures

Le nouveau maire affirme que sa priorité sera la reconstruction du centre communautaire de Sayabec qui est passé au feu en 2023.

Le montant total du projet sera déterminé éventuellement, mais Lorenzo Ouellet l’estime à plus de 10 M$. La Municipalité en paiera une partie et elle a besoin du gouvernement provincial pour compléter le financement. 

Une vue de la municipalité de Sayabec. (Photo courtoisie)

« Il faut continuer de faire les pressions politiques pour que les subventions arrivent. Nous continuons le travail avec les architectes et nous devrions avoir des plans prêts à 75 % à la fin novembre. »

Avec un réseau d’aqueducs et d’égouts qui est en fin de vie à certains endroits, monsieur Ouellet compte aussi aller chercher des subventions pour le refaire.

En parallèle à son rôle de maire, l’élu a également un emploi de technicien en génie civil à Amqui. À l’aube de la retraite, l’homme de 64 ans devrait travailler à temps partiel, l’an prochain, pour concilier son travail et son nouveau rôle de maire.

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  • Hockey senior : Mont-Joli lance sa saison à domicile
    Après avoir remporté deux de ses trois matchs disputés sur la route en début de saison, les Excavations Léon Chouinard de Mont-Joli lancent leur saison à domicile dans la Ligue de hockey senior de l’Est-du-Québec, ce samedi 22 novembre à 19 h 30, avec la visite des Castors Côté Automobiles de Matane à l’Amphithéâtre Desjardins. La troupe de Mike Abud a gagné ses deux rencontres contre les Fondations B.A de Trois-Pistoles et les Corsaires de Forillon avant de s’incliner contre les Vikings du R
     

Hockey senior : Mont-Joli lance sa saison à domicile

21 novembre 2025 à 18:00

Après avoir remporté deux de ses trois matchs disputés sur la route en début de saison, les Excavations Léon Chouinard de Mont-Joli lancent leur saison à domicile dans la Ligue de hockey senior de l’Est-du-Québec, ce samedi 22 novembre à 19 h 30, avec la visite des Castors Côté Automobiles de Matane à l’Amphithéâtre Desjardins.

La troupe de Mike Abud a gagné ses deux rencontres contre les Fondations B.A de Trois-Pistoles et les Corsaires de Forillon avant de s’incliner contre les Vikings du Rocher. 

L’attaquant Karel Pelletier semble vouloir reprendre où il a laissé, la saison dernière. Meilleur pointeur du circuit en 2024-2025, le nouveau capitaine des Excavations Léon Chouinard a déjà amassé sept points, dont trois buts, lors de ces trois parties.

Avant celles de la fin de semaine dernière, Pelletier se trouvait de nouveau en tête de ce classement à égalité avec Thomas Loic-Hort, des Vikings.

Ses coéquipiers, David Bérubé (3-3) et Mathieu Loisel (2-4) suivent avec chacun six points. Devant le filet, Mathieu Fraser et Olivier Gauthier ont cumulé les victoires de Mont-Joli jusqu’à maintenant. Les Excavations Léon Chouinard profitaient d’un congé, en fin de semaine dernière. 

Causapscal à Trois-Pistoles

Dans les deux autres matchs à l’horaire, les Castors Côté Automobiles se rendront à Trois-Pistoles, ce vendredi 21 novembre à 20 h 30, dans une reprise de la finale de l’an dernier.

Les Castors Côté Automobiles célèbrent après un but. (Photo courtoisie Tatum Guillermic)

Le Bar Laser de Causapscal fera aussi le voyage aussi dans Les Basques, ce samedi 22 novembre à 19 h 30, pour affronter les Fondations B.A. 

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  • Ruisseau de la Cavée : « impossible d’en arriver à zéro impact »
    Le maire de Rimouski, Guy Caron, déplore que la Ville puisse recevoir des amendes de plusieurs millions de dollars et même des accusations criminelles si elle ne fait pas cesser complètement l’écoulement de contaminants provenant de son ancien lieu d’enfouissement sanitaire (LES).  En activité de 1981 jusqu’à sa fermeture en 2004, le site était à proximité du ruisseau de la Cavée, qui se jette dans la rivière Rimouski. Le maire précise toutefois que les avis de non-conformité reçus par la
     

Ruisseau de la Cavée : « impossible d’en arriver à zéro impact »

21 novembre 2025 à 17:00

Le maire de Rimouski, Guy Caron, déplore que la Ville puisse recevoir des amendes de plusieurs millions de dollars et même des accusations criminelles si elle ne fait pas cesser complètement l’écoulement de contaminants provenant de son ancien lieu d’enfouissement sanitaire (LES). 

En activité de 1981 jusqu’à sa fermeture en 2004, le site était à proximité du ruisseau de la Cavée, qui se jette dans la rivière Rimouski.

Le maire précise toutefois que les avis de non-conformité reçus par la Ville ne concernent pas la rivière.

« On sait qu’il peut y avoir un impact du LES dans la rivière Rimouski, mais les deux dossiers sont différents », mentionne-t-il en ajoutant que la rivière Rimouski ne relève pas des compétences de la Ville, comparativement au LES.

Dans un contexte où l’administration actuelle n’est pas à l’origine de ce qui cause ces résurgences, l’absence d’impact total demandé par le ministère fédéral de l’Environnement semble impossible à atteindre.

« On tente depuis 2017 de corriger la situation au LES, en ce qui a trait aux résurgences, ainsi qu’à l’impact de celles-ci sur le ruisseau de la Cavée », explique monsieur Caron.

La supervision effectuée par le ministère dans ce secteur l’a donc mené à donner à la Ville de Rimouski des avis de non-conformité, lorsqu’il y observe des résurgences qui pourraient affecter la qualité de l’eau.

« Ces avis de non-conformité pourraient entraîner des amendes ou des répercussions, dans l’éventualité où la situation ne serait pas complètement réglée, parce qu’il n’existe pas de discrétion dans la loi. Il doit y avoir zéro impact, mais c’est difficile pour nous d’atteindre cet objectif, parce qu’il est question d’un site qui a été opéré sur le principe d’atténuation naturelle », explique le maire. 

Ce principe fait référence à l’ensemble des mécanismes biologiques, chimiques ou physiques naturels qui conduisent, sans intervention humaine, à une diminution du volume, de la toxicité, de la mobilité ou de la concentration des contaminants dans les sols ou les eaux souterraines.

« La dynamique de la problématique elle-même fait en sorte que c’est impossible d’en arriver à zéro impact. On pourrait avoir une usine d’épuration à côté, à coût de dizaines de millions de dollars pour l’opérer, mais on n’arriverait pas forcément à éliminer l’impact du LES. On tente donc de minimiser le tout, mais la manière dont la loi sur les pêches est libellée et la manière dont la loi est appliquée, nous place en position de vulnérabilité face à une application future », ajoute Guy Caron.

Pas de solution infaillible

« Peu importe les efforts que nous faisons, nous sommes toujours à risque d’avoir ce genre de sanction, parce que nous ne pouvons pas atteindre le degré d’impact zéro qui concerne, d’autant plus, une situation que nous n’avons pas causée. Le site avait été géré selon les normes de l’époque et nous faisons tout notre possible pour remédier à la situation. »

Guy Caron (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Le maire Caron déplore aussi le fait que la Ville ne puisse recevoir de l’accompagnement de la part du ministère.

« J’ai travaillé sur ce dossier quand j’étais député fédéral. On m’avait interpellé afin d’avoir un accompagnement de la part du ministère, pour qu’il puisse nous aider à trouver ou valider des solutions. Le gouvernement semble penser que ce n’est pas son rôle d’accompagner les villes. Tout ce qu’il nous dit, c’est que nous avons un devoir d’atteindre une conformité. »

Et maintenant ?

Le maire de Rimouski rapporte que, pour le moment, la Ville a budgété 2,5 M$ pour l’année prochaine, dans le plan quinquennal des immobilisations, pour des mesures de mitigation et de correction.

« Elles visent à tenter d’améliorer la qualité de l’eau dans le ruisseau, ce qui pourrait inclure une canalisation du ruisseau. »

Ces investissements s’ajoutent au million de dollars déjà investi par la Ville de Rimouski en diverses études et diverses mesures de mitigations depuis 2017-2018.

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  • St-Fab en musique : Sara Dufour et Lendemain de veille confirmés
    St-Fab en musique confirme que Sara Dufour et le groupe Lendemain de veille agiront comme têtes d’affiche lors de sa 4e édition, prévue les 21 et 22 août 2026. Alors qu’il complète le reste de la programmation, le comité organisateur mettra également en vente les billets pour les spectacles présentés sous le chapiteau, tant au Pavillon des Loisirs de Saint-Fabien que sur le site pointdevente.com. Lendemain de veille avait participé à la première édition de St-Fab en musique, en 2023. L’
     

St-Fab en musique : Sara Dufour et Lendemain de veille confirmés

21 novembre 2025 à 16:00

St-Fab en musique confirme que Sara Dufour et le groupe Lendemain de veille agiront comme têtes d’affiche lors de sa 4e édition, prévue les 21 et 22 août 2026.

Alors qu’il complète le reste de la programmation, le comité organisateur mettra également en vente les billets pour les spectacles présentés sous le chapiteau, tant au Pavillon des Loisirs de Saint-Fabien que sur le site pointdevente.com.

Lendemain de veille avait participé à la première édition de St-Fab en musique, en 2023.

L’an dernier, le festival avait accueilli Guylaine Tanguay, Justin Boulet et Breen Leboeuf.

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  • Le Québec en mouvement politique
    Le monde politique québécois est en pleine effervescence. La Coalition Avenir Québec (CAQ), jadis triomphante, bat aujourd’hui de l’aile. Ce qui l’a propulsée au pouvoir semble désormais être la cause de sa chute. L’opinion de Robin Lebel François Legault a échoué là où l’on croyait qu’il serait l’homme de la situation. Le manque de vision en matière d’investissements a mené son parti droit vers le désastre. Gouverner en espérant frapper des coups de circuit à chaque fois n’a rien de strat
     

Le Québec en mouvement politique

21 novembre 2025 à 15:00

Le monde politique québécois est en pleine effervescence. La Coalition Avenir Québec (CAQ), jadis triomphante, bat aujourd’hui de l’aile. Ce qui l’a propulsée au pouvoir semble désormais être la cause de sa chute.

L’opinion de Robin Lebel

François Legault a échoué là où l’on croyait qu’il serait l’homme de la situation. Le manque de vision en matière d’investissements a mené son parti droit vers le désastre. Gouverner en espérant frapper des coups de circuit à chaque fois n’a rien de stratégique. Ces déboires entraînent un effet de rebond.

Le Parti québécois, qu’on croyait moribond, reprend vie et c’est une bonne nouvelle. La démocratie se nourrit de pluralité et voir plus de deux partis réellement actifs est un privilège.

Les libéraux continuent de séduire le milieu anglophone tout en affirmant apprécier les francophones, par nécessité démographique. Leur politique d’immigration massive, tant au provincial qu’au fédéral, s’inscrit dans cette logique.

Pablo Rodriguez. (Photo Facebook)

Je ne suis pas raciste, mais je sais que l’on ne quitte pas son pays par plaisir : dictature, guerre ou famine poussent la majorité des immigrants à chercher ailleurs stabilité et sécurité. Leur vote, par réflexe, se dirige souvent vers le camp du non lors des référendums, car ils craignent l’insécurité politique.

La CAQ, de son côté, voulait incarner le renouveau québécois dans un Canada uni. On pouvait rêver d’un Québec suffisamment fort économiquement pour « acheter » le reste du pays et le revendre à crédit. Mais avec Legault, ce scénario tient de la fantaisie. Le parti est trop centralisé autour de son chef.

Geneviève Guilbault (Photo courtoisie Émilie Nadeau)

Mise à part quelques figures comme Christian Dubé ou Geneviève Guilbault, les autres ont eu peu d’influence réelle. La CAQ risque de disparaître avec Legault.

L’autre option

Face à cela, le Parti québécois demeure l’autre option. Son identité est solidement ancrée, soit de faire du Québec un pays. En 1980, sa force reposait surtout sur l’identité francophone. Aujourd’hui, en 2025, il peut compter sur bien davantage. La langue reste prioritaire, mais le Québec a acquis une maturité nouvelle.

L’instruction est accessible à tous, l’ingénierie et les affaires se sont affirmées, la culture québécoise s’exporte, et nos ressources naturelles jouissent d’une reconnaissance internationale. Bref, nous avons désormais une identité et un savoir-faire de calibre mondial. Rien ne semble hors de portée.

Ce qui nous freine, ce sont les lois et la législation fédérale. Comment contrôler nos exportations, transformer le fleuve en véritable porte vers l’Europe, gérer notre industrie minière ou notre immigration, si nous ne tenons pas le volant ?

L’immigration est essentielle, surtout dans un contexte de dénatalité et de grave pénurie de main-d’œuvre. Mais tant que le contrôle demeurera à Ottawa, qui semble vouloir nous diluer, nous ne pourrons progresser pleinement.

Poser les fondations

Un pays se bâtit comme une maison : il faut en poser les fondations soi-même. Le Québec est rendu à cette étape. L’idée peut inquiéter, mais le véritable danger serait de ne rien faire. Car si nous restons immobiles, nous risquons de devenir des étrangers chez nous.

Et ce jour-là, nous comprendrons que ce n’est pas seulement la langue qui nous distingue, mais bien notre identité tout entière.

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  • François Bérubé boucle Planète olympique 
    François Bérubé vient de lancer sa 30e publication en carrière avec le deuxième et dernier tome de la série Planète olympique. Le livre Les Jeux d’hiver, permettra aux lecteurs de se rendre en Italie.   À l’aube des Jeux olympiques d’hiver de Milan-Cortina, qui se tiendront du 6 au 22 février 2026, la famille Allard est de retour. Cette fois-ci, Maélie a réussi à se qualifier en patinage de vitesse sur courte piste. Elle avait auparavant participé aux Jeux d’été en vélo de montagne.  « Com
     

François Bérubé boucle Planète olympique 

21 novembre 2025 à 14:00

François Bérubé vient de lancer sa 30e publication en carrière avec le deuxième et dernier tome de la série Planète olympique. Le livre Les Jeux d’hiver, permettra aux lecteurs de se rendre en Italie.  

À l’aube des Jeux olympiques d’hiver de Milan-Cortina, qui se tiendront du 6 au 22 février 2026, la famille Allard est de retour. Cette fois-ci, Maélie a réussi à se qualifier en patinage de vitesse sur courte piste. Elle avait auparavant participé aux Jeux d’été en vélo de montagne. 

« Comme la dernière fois, toute la famille se joint à l’aventure pour aller encourager Maélie. Il est question d’anxiété de performance et des attentes parfois démesurées envers les athlètes. Par la force des choses, Maélie ressent beaucoup de pression et elle s’en met aussi, mais ce n’est pas facile de trouver un équilibre », mentionne l’auteur jeunesse rimouskois. 

Son petit frère, Christophe, se découvre une passion pour le volleyball après avoir vu Maélie performer aux Jeux olympiques de Paris.

« Dans le premier tome, Christophe était un petit gars qui préférait les jeux vidéo. Il subissait la pression de ses parents afin de ressembler à sa grande sœur. On voit qu’il commence à s’épanouir dans le sport. Il a compris que Maélie était un beau modèle pour lui et il essaie de faire son chemin à lui à travers le sport », explique François Bérubé. 

Inspiré d’événements réels 

Pour ce roman, ce dernier s’est inspiré d’événements qui se sont réellement passés lors des Jeux olympiques précédents. Ayant à cœur d’intéresser ses élèves à l’actualité, l’enseignant en 6e année à l’école de l’Estran accorde une importance particulière à rendre ses histoires le plus réaliste possible.

« Je veux que ce soit le plus fidèle possible à ce qui va se passer aux Jeux en février. C’est important pour moi, par exemple, que la compétition de 1 000 mètres de Maélie se déroule à la même date que celle prévue dans la réalité. J’ai voulu suivre la chronologie des événements et je me suis assuré que les lieux soient cohérents avec ce qui va se passer. Ce fut un beau défi. » 

Présent au dernier Salon du livre de Rimouski, François Bérubé a encore une fois apprécié ses rencontres avec ses jeunes lecteurs.

L’auteur jeunesse a maintenant 30 publlications à son actif. (Phot Le Soir.ca-Annie Levasseur)

« Ça a été incroyable comme c’est le cas chaque année de voir les lecteurs nombreux et enthousiastes. Je suis très choyé que les jeunes continuent de me suivre année après année et que le public se renouvelle. »

Le Rimouskois a fait paraître son premier roman jeunesse en 2016. Depuis, les histoires s’enchaînent pour le mener à sa 30e publication avec Les Jeux d’hiver. « Je suis hyper reconnaissante de tout ça. C’est une belle marque, mais je suis prêt à me rendre à 50 dans les prochaines années. »

François Bérubé se dit particulièrement fier d’avoir accroché des jeunes à la lecture en racontant des aventures survenues dans différents sports.

« Je crois que le constat est le même qu’il y a 10 ans. Les filles ont une abondance de lecture, mais ça reste un défi de faire lire les garçons autant comme auteur que comme enseignant. Ça paraît aussi que les écrans ont pris de plus en plus de place dans nos vies. »

Publié aux Éditions Hurtubise, Planèteolympique — Les Jeux d’hiver est disponible dans les librairies. Les tomes deux et trois de 100 % soccer de l’auteur paraîtront au printemps et à l’automne 2026. 

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  • Agropur à Amqui : offre acceptée à 70%, le lock-out est fini
    Réunis en assemblée générale ce vendredi matin, les travailleurs de l’usine Agropur d’Amqui ont accepté, dans une proportion de 70%, la dernière offre patronale, pour mettre fin au lock-out. La centaine d’employés retourneront donc au travail dans les prochains jours. « L’assemblée s’est terminée sur le terme de la fierté. Nous avons été solidaires dans cette épreuve et c’est la tête haute que nous allons retourner au travail », a commenté le conseiller à la vie syndicale à la Centrale des sy
     

Agropur à Amqui : offre acceptée à 70%, le lock-out est fini

Réunis en assemblée générale ce vendredi matin, les travailleurs de l’usine Agropur d’Amqui ont accepté, dans une proportion de 70%, la dernière offre patronale, pour mettre fin au lock-out. La centaine d’employés retourneront donc au travail dans les prochains jours.

« L’assemblée s’est terminée sur le terme de la fierté. Nous avons été solidaires dans cette épreuve et c’est la tête haute que nous allons retourner au travail », a commenté le conseiller à la vie syndicale à la Centrale des syndicats démocratiques du Québec (CSD), Patrick Cyr, au sortir de l’assemblée en fin d’avant-midi.

Le retour au travail devrait se faire progressivement à compter de ce samedi.

L’employeur a déclenché un lock-out le 13 octobre au matin en réponse au déclenchement d’une grève de 24 heures la veille par les syndiqués.

Pendant le conflit de travail, Agropur a transféré de façon permanente de la production de fromage en grains et de fromage cheddar de l’usine d’Amqui vers d’autres usines de son réseau.

Projet d’investissement

Agropur analyse actuellement un projet d’investissement pour son usine d’Amqui qui vise à augmenter sa capacité de production de fromage cottage.

Des employés manifestent devant l’usine d’Agropur à Amqui. (Photo courtoisie)

« Toutefois, la conclusion d’une entente de travail qui respecte notre cadre financier représente une considération importante dans l’analyse. Il y a une opportunité à saisir : la demande pour les produits riches en protéines est en forte croissance et le fromage cottage gagne en popularité au Canada. Cette opportunité attire aussi d’autres acteurs de l’industrie, ce qui signifie que le temps joue contre nous », précisait le porte-parole de l’employeur, Guillaume Bérubé en faisant référence aux négociations.

Les travailleurs avaient rejeté deux offres avant d’accepter la 3e, une première à 90% et une seconde à 53%.

Par ailleurs, les employés de bureau de l’usine Agropur d’Amqui ont aussi accepté l’offre de l’employeur à 100%, le 19 novembre dernier. 

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  • Agropur à Amqui : offre acceptée à 70%, la grève est finie
    Réunis en assemblée générale ce vendredi matin, les travailleurs de l’usine Agropur d’Amqui ont accepté, dans une proportion de 70%, la dernière offre patronale. La centaine d’employés retourneront donc au travail dans les prochains jours. « L’assemblée s’est terminée sur le terme de la fierté. Nous avons été solidaires dans cette épreuve et c’est la tête haute que nous allons retourner au travail », a commenté le conseiller à la vie syndicale à la Centrale des syndicats démocratiques du Québ
     

Agropur à Amqui : offre acceptée à 70%, la grève est finie

Réunis en assemblée générale ce vendredi matin, les travailleurs de l’usine Agropur d’Amqui ont accepté, dans une proportion de 70%, la dernière offre patronale. La centaine d’employés retourneront donc au travail dans les prochains jours.

« L’assemblée s’est terminée sur le terme de la fierté. Nous avons été solidaires dans cette épreuve et c’est la tête haute que nous allons retourner au travail », a commenté le conseiller à la vie syndicale à la Centrale des syndicats démocratiques du Québec (CSD), Patrick Cyr, au sortir de l’assemblée en fin d’avant-midi.

Le retour au travail devrait se faire progressivement à compter de ce samedi.

L’employeur a déclenché un lock-out le 13 octobre au matin en réponse au déclenchement d’une grève de 24 heures la veille par les syndiqués.

Pendant le conflit de travail, Agropur a transféré de façon permanente de la production de fromage en grains et de fromage cheddar de l’usine d’Amqui vers d’autres usines de son réseau.

Projet d’investissement

Agropur analyse actuellement un projet d’investissement pour son usine d’Amqui qui vise à augmenter sa capacité de production de fromage cottage.

Des employés manifestent devant l’usine d’Agropur à Amqui. (Photo courtoisie)

« Toutefois, la conclusion d’une entente de travail qui respecte notre cadre financier représente une considération importante dans l’analyse. Il y a une opportunité à saisir : la demande pour les produits riches en protéines est en forte croissance et le fromage cottage gagne en popularité au Canada. Cette opportunité attire aussi d’autres acteurs de l’industrie, ce qui signifie que le temps joue contre nous », précisait le porte-parole de l’employeur, Guillaume Bérubé en faisant référence aux négociations.

Les travailleurs avaient rejeté deux offres avant d’accepter la 3e, une première à 90% et une seconde à 53%.

Par ailleurs, les employés de bureau de l’usine Agropur d’Amqui ont aussi accepté l’offre de l’employeur à 100%, le 19 novembre dernier. 

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  • 7 millions et 10 mégawatts pour AEM
    L’entreprise de production d’alumine de haute pureté, AEM Canada, située à Cap-Chat a reçu un coup de pouce important sous la forme d’un investissement de 7 millions de dollars et l’octroi d’un bloc de 10 mégawatts d’électricité. Les dirigeants d’AEM ont reçu la visite du ministre délégué au Développement économique régional, Éric Girard et du représentant du député de Gaspé, Stéphane Sainte-Croix. Ces derniers étaient de passage dans la région pour annoncer un soutien financier de 7 millions
     

7 millions et 10 mégawatts pour AEM

21 novembre 2025 à 12:00

L’entreprise de production d’alumine de haute pureté, AEM Canada, située à Cap-Chat a reçu un coup de pouce important sous la forme d’un investissement de 7 millions de dollars et l’octroi d’un bloc de 10 mégawatts d’électricité.

Les dirigeants d’AEM ont reçu la visite du ministre délégué au Développement économique régional, Éric Girard et du représentant du député de Gaspé, Stéphane Sainte-Croix. Ces derniers étaient de passage dans la région pour annoncer un soutien financier de 7 millions de dollars afin d’aider l’entreprise à augmenter sa production d’alumine. Rappelons que le groupe AEM avait racheté les actifs de l’ancienne usine Orbite qui, malgré les millions octroyés par les deux paliers de gouvernement, n’avait jamais réussi à prendre son élan.

De plus, Hydro-Québec octroie un bloc de 10 mégawatts à l’entreprise pour consolider ses activités et lui permettre de passer à la vitesse supérieure. D’ailleurs, AEM représente actuellement l’une des usines de production d’alumine de haute pureté les plus importantes de la planète. Avec le soutien annoncé, on prévoit augmenter la production d’alumine à neuf tonnes par jour d’ici 2027.

Un soutien apprécié

Le directeur général d’AEM Canada, Mick Adams, accueille ce soutien gouvernemental à bras ouverts.

« Ça constitue un pilier essentiel de notre stratégie de développement et de croissance. C’est avec enthousiasme et une forte motivation que nous poursuivrons cette croissance et réaliserons cette vision avec l’appui du gouvernement du Québec, de nos partenaires régionaux et de la communauté de La Haute-Gaspésie. »

Le ministre Éric Girard découvre les produits d’AEM. (Photo courtoisie)

L’alumine de haute pureté sert notamment à fabriquer des composantes de batteries, de la céramique de spécialité et des semi-conducteurs. L’entreprise possède un éventail d’une cinquantaine de produits différents qui peuvent s’appliquer à une dizaine de domaines d’application.

Un député comblé

Le député de Gaspé, Stéphane Sainte-Croix, était ravi de cette annonce pour une entreprise de sa circonscription.

« La production d’alumine de haute pureté fait partie des domaines qui, au même titre que l’éolien ou le récréotourisme, permettent de diversifier davantage l’économie de la Gaspésie. Je me réjouis que le Groupe AEM Canada ait mis en place ce projet porteur, au bénéfice de toute notre région. Grâce à l’appui de notre gouvernement et à l’attribution de mégawatts, cette entreprise du secteur de l’aluminium pourra contribuer encore plus au développement économique et durable de la Gaspésie. »

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  • La FADOQ a de nouveau un club à Rimouski
    Le Réseau de la Fédération de l’âge d’or du Québec (FADOQ) compte depuis janvier 2025, un nouveau club à Rimouski, soit le Club FADOQ le Littoral de Rimouski (089). Ce club, géré par un conseil d’administration formé de 5 membres bénévoles, est affilié au Regroupement régional FADOQ, ainsi qu’au Réseau FADOQ. En date du 10 octobre, l’organisme sans but lucratif, âgé de moins d’un an, comptait déjà 211 membres. Selon les dernières informations, une trentaine de membres de plus s’y sont déjà
     

La FADOQ a de nouveau un club à Rimouski

21 novembre 2025 à 10:00

Le Réseau de la Fédération de l’âge d’or du Québec (FADOQ) compte depuis janvier 2025, un nouveau club à Rimouski, soit le Club FADOQ le Littoral de Rimouski (089).

Ce club, géré par un conseil d’administration formé de 5 membres bénévoles, est affilié au Regroupement régional FADOQ, ainsi qu’au Réseau FADOQ.

En date du 10 octobre, l’organisme sans but lucratif, âgé de moins d’un an, comptait déjà 211 membres. Selon les dernières informations, une trentaine de membres de plus s’y sont déjà joints depuis.

Le Club a pour mission de rassembler ses membres, qui doivent 50 ans et plus, afin d’améliorer leur qualité de vie. Il a aussi le mandat de représenter et intervenir auprès d’organismes publics, parapublics et privés de son territoire, dans l’intérêt général des personnes de 50 ans et plus.

Ses objectifs sont de contrer l’isolement social, de favoriser un vieillissement actif, en santé, ainsi que d’offrir des activités récréatives, sociales et sportives.

Un club local

La présidente/secrétaire de ce nouveau club, Chantal Rioux, mentionne qu’il est important que les gens soient au courant de son existence, étant donné que Rimouski était dépourvu d’un club local depuis maintenant plusieurs années.

Elle ajoute qu’il est aussi important que les personnes qui souhaitent adhérer au Club FADOQ le Littoral de Rimouski (089) le précise clairement au moment de leur inscription ou du renouvellement de celle-ci.

« Ainsi, vous contribuerez à consolider le Club, puisqu’une part du coût de votre adhésion ou de votre renouvellement membre lui sera transmise, ce qui lui permettra d’offrir à ses membres des activités favorisant un mode de vie actif et en santé », explique madame Rioux.

Quelques membres du Club FADOQ le Littoral de Rimouski (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Il est possible de le faire en s’inscrivant par téléphone au 581 805-5264 ou 418 893-2111, en personne ou en ligne, en visitant le www.fadoq.ca/bas-st-laurent, en cliquant sur la case « Membre d’un club », puis en sélectionnant « Club le littoral de Rimouski ».

Le Club a aussi une page Facebook « Club FADOQ Le Littoral de Rimouski » où il partage ses activités à venir.

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  • Incendie mortel à Saint-Siméon : homme arrêté par la SQ
    Un homme de 43 ans a été arrêté mercredi (19 novembre) par la Sûreté du Québec en lien avec un incendie qui avait fait trois victimes, le 13 octobre 2018, sur la rue Poirier à Saint-Siméon, en Gaspésie. Par Le Soir.ca- Nelson Sergerie Celui-ci a finalement été libéré jeudi. L’individu a été interrogé avant d’être relâché. La SQ indique que l’enquête se poursuit sans donner davantage de détails. Un poste de commandement mobile avait été installé à Saint-Siméon, le 30 octobre, afin de ten
     

Incendie mortel à Saint-Siméon : homme arrêté par la SQ

21 novembre 2025 à 08:00

Un homme de 43 ans a été arrêté mercredi (19 novembre) par la Sûreté du Québec en lien avec un incendie qui avait fait trois victimes, le 13 octobre 2018, sur la rue Poirier à Saint-Siméon, en Gaspésie.

Par Le Soir.ca- Nelson Sergerie

Celui-ci a finalement été libéré jeudi. L’individu a été interrogé avant d’être relâché. La SQ indique que l’enquête se poursuit sans donner davantage de détails.

Un poste de commandement mobile avait été installé à Saint-Siméon, le 30 octobre, afin de tenter d’obtenir des indices pour faire avancer l’enquête.

Le 13 octobre 2018 vers 5 h, les policiers avaient été appelés à se rendre sur place. À ce moment, les agents ont constaté que trois personnes manquaient à l’appel, soit une femme et deux adolescents.

Isabelle Lepage, 40 ans, son fils Philippe, 14 ans ainsi que sa copine, Laurence Lebrasseur, de Paspébiac, avaient été retrouvés dans les décombres. Une personne avait survécu au brasier.

L’enquête a démontré qu’il s’agissait d’un incendie criminel et à la suite de nouvelles informations reçues, un poste de commandement avait été déployé.

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  • Pierre-Luc Leclerc est reconnu coupable
    Pierre-Luc Leclerc, l’ancien attaché politique du député de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, a plaidé coupable jeudi (20 novembre) à des accusations de harcèlement criminel et de bris de promesse, pour des événements survenus entre le 1er mai 2023 et le 12 septembre 2024. L’accusé a admis les faits relatés, au palais de justice de Rimouski, dans une trame factuelle écrite qu’il a également signé. Le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard, a prononcé u
     

Pierre-Luc Leclerc est reconnu coupable

Pierre-Luc Leclerc, l’ancien attaché politique du député de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, a plaidé coupable jeudi (20 novembre) à des accusations de harcèlement criminel et de bris de promesse, pour des événements survenus entre le 1er mai 2023 et le 12 septembre 2024.

L’accusé a admis les faits relatés, au palais de justice de Rimouski, dans une trame factuelle écrite qu’il a également signé.

Le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard, a prononcé une ordonnance de non-publication concernant tous les détails permettant d’identifier la victime.

Les faits relatés par la procureure de la Couronne, Me Marie-Pierre Chicoine-Côté, sont à l’effet que Pierre-Luc Leclerc s’est fait insistant auprès d’une femme qui ne souhaitait pas avoir de contact avec lui par des lettres ou en s’informant auprès de proches de la plaignante.

L’accusation de bris de promesse découle du fait que l’accusé n’a pas respecté une des conditions de sa remise en liberté après son arrestation du 17 juin 2024 en tenant d’entrer en contact avec la plaignante. Il avait été arrêté de nouveau le 12 septembre 2024.

Remis en liberté

Pierre-Luc Leclerc a été remis en liberté, le 22 novembre 2024, à condition de porter un bracelet antirapprochement et de suivre une thérapie, ce qu’il a fait.

Appelé à témoigner au stade des représentations sur sentence, Leclerc a mentionné que la thérapie l’avait aidé à comprendre certaines choses, dont des mécanismes de défense reliés à des blessures du passé.

Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

L’accusé a exprimé avoir des regrets envers la victime et il a mentionné avoir un suivi auprès de l’organisme C-Ta-C venant en aide aux hommes en difficulté.

Il a également mentionné envisager un retour aux études.

Quatre mois de prison

Les parties se sont entendues sur une peine de quatre mois de prison, peine qui est déjà purgée en tenant compte de la détention préventive.

Par contre, les parties ne s’entendent pas sur la durée de la probation à imposer à Pierre-Luc Leclerc et sur une des conditions de la probation, soit le port d’un bracelet antirapprochement.

Le juge fera connaître sa décision ultérieurement.

Reçu avant avant-hierBas Saint-Laurent
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  • William Lacelle au sommet de son art
    Une superbe performance du gardien William Lacelle a guidé l’Océanic à une victoire de 1-0 contre les Voltigeurs de Drummondville devant 1 864 spectateurs réunis, jeudi, au Centre Marcel-Dionne. Le gardien a été intraitable sur les 39 lancers de l’adversaire. Et ce, en présence d’une vingtaine de recruteurs de la LNH venus épier les joueurs éligibles au prochain repêchage comme lui. Il signe ainsi un 2e jeu blanc cette saison et un 5e en carrière dans la LHJMQ. C’est Jack Martin qui a brisé l
     

William Lacelle au sommet de son art

20 novembre 2025 à 22:39

Une superbe performance du gardien William Lacelle a guidé l’Océanic à une victoire de 1-0 contre les Voltigeurs de Drummondville devant 1 864 spectateurs réunis, jeudi, au Centre Marcel-Dionne.

Le gardien a été intraitable sur les 39 lancers de l’adversaire. Et ce, en présence d’une vingtaine de recruteurs de la LNH venus épier les joueurs éligibles au prochain repêchage comme lui. Il signe ainsi un 2e jeu blanc cette saison et un 5e en carrière dans la LHJMQ. C’est Jack Martin qui a brisé l’égalité de 0-0 avec trois minutes à jouer.

« Deux gros points qu’on est allé chercher. Merci à Will qui a été tout à fait exceptionnel. On voit une domination de Drummondville dans les lancers (39-19), par contre, j’ai aimé beaucoup l’aspect défensif de notre jeu dans notre zone. On a travaillé sur des choses à améliorer sans la rondelle dans notre zone. On l’a vu aujourd’hui », a commenté Joël Perrault.

Il s’est dit très content pour Lacelle qui montre des chiffres impressionnants : moyennes de buts alloués de 2,45 et d’efficacité de ,925, au premier rang dans ce département dans le circuit 

Au tour d’Hugo Dufour d’être frustré par le gardien Lacelle (Photo Voltigeurs – Ghyslain Bergeron)

« Il est un compétiteur. Ce genre de situation va le rendre plus allumé. Il est intelligent. On est près de Montréal. Il sait que les dépisteurs allaient pouvoir le voir et il était prêt pour le match. Ce qui m’étonne, c’est qu’il a été ignoré pour le match des espoirs de la semaine prochaine. Avec ses performances depuis le début de saison, il a démontré qu’il était un espoir du prochain repêchage. » 

Le Défi des Espoirs LCH / USA sera présenté mardi et mercredi à Calgary et Lethbridge. Les meilleurs espoirs de la LCH affronteront alors l’équipe nationale des moins de 18 ans du Programme de développement de USA Hockey. 

Bon départ

Aucune des deux équipes n’a réussi à faire bouger les cordages dans les deux premières périodes. L’Océanic a amorcé le match en force avec cinq des six premiers lancers. La suite de la première période a cependant été à l’avantage des locaux qui ont retraité au vestiaire avec 14 tirs au but contre 6. 

Les Voltigeurs ont aussi dominé la deuxième et une bonne partie de la trosième, jusqu’au but de Jack Martin. Le défenseur a fait une belle incursion au filet. En voulant faire une passe devant le filet, la rondelle a touché le bâton du gardien, Dayton Kitchener, qui a redirigé la rondelle dans le fond du filet. Sur le jeu, Czaja est rentré en contact avec le gardien. Après un visionnement, les officiels ont confirmé le but. Avec raison, le contact étant survenu après que la rondelle ait traversé la ligne des buts.

Du même coup, la pire équipe du circuit sur les patinoires adverses depuis le début de la saison fait subir aux Voltigeurs un premier revers à la maison en temps régulier. 

Luke Patterson devant le gardien des Voltigeurs, Dayton Kitchener. (Photo Voltigeurs – Ghyslain Bergeron)

En bref

Mise à jour concernant la blessure de Connor Sturgeon : blessé au haut du corps, son absence sera d’un minimum de trois semaines… Raphaël Achermann, Luka Romaniak et Maxwell Branton étaient les autres absents. Les deux derniers seront en uniforme demain… L’Océanic complète son voyage au Centre-du-Québec en visitant les Tigres, vendredi soir, à Victoriaville… Mathis Langevin sera devant le filet… 

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  • Avenir des urgences : les syndicats tirent la sonnette d’alarme
    Les syndicats se disent très inquiets des annonces formulées par le Centre intégré de santé et de services sociaux du Bas-Saint-Laurent concernant l’avenir des services d’urgence à Trois-Pistoles et à Pohénégamook. Dans un communiqué publié jeudi (20 novembre), le CISSS du Bas-Saint-Laurent assure vouloir maintenir les services 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, mais envisage néanmoins une révision de l’offre de soins dans les deux installations. Le président-directeur général, Jean-Christop
     

Avenir des urgences : les syndicats tirent la sonnette d’alarme

20 novembre 2025 à 19:00

Les syndicats se disent très inquiets des annonces formulées par le Centre intégré de santé et de services sociaux du Bas-Saint-Laurent concernant l’avenir des services d’urgence à Trois-Pistoles et à Pohénégamook.

Dans un communiqué publié jeudi (20 novembre), le CISSS du Bas-Saint-Laurent assure vouloir maintenir les services 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, mais envisage néanmoins une révision de l’offre de soins dans les deux installations.

Le président-directeur général, Jean-Christophe Carvalho, demeure toutefois avare de détails quant aux changements envisagés. Dès janvier, des consultations seront menées auprès des intervenants du réseau et de la population afin d’évaluer les besoins et d’orienter la suite de la démarche.

L’Alliance du personnel professionnel et technique du réseau de la santé et des services sociaux du Bas-Saint-Laurent (APTS BSL), le Syndicat des professionnelles en soins infirmiers et cardiorespiratoires du Bas-Saint-Laurent (FIQ-SPSICR BSL) ainsi que le Syndicat du personnel de bureau, des techniciens et des professionnels de l’administration du CISSS du Bas-Saint-Laurent (SPBTPA BSL–CSN) expriment de vives inquiétudes.

« On nous annonce une refonte en profondeur des services, ce qui met en péril l’accessibilité à des services de proximité essentiels. En affirmant que “le statu quo n’est plus une option”, que compte réellement faire le CISSS du Bas-Saint-Laurent avec les urgences hospitalières de Pohénégamook et de Trois-Pistoles? Quelles seront les prochaines étapes concrètes? Quels services et quels postes risquent d’être touchés au cours des prochains mois? », questionnent-ils.

Le président-directeur général du CISSS du Bas-Saint-Laurent, Jean-Christophe Carvalho, annonce le retour de l’équilibre budgétaire de l’organisation pour 2025-2026. (Photo Johanne Fournier)

Les organisations syndicales rappellent que le CISSS attribue cette réorganisation à ses enjeux de main-d’œuvre et non à des considérations financières. Elles jugent toutefois ces deux aspects indissociables.

« De nouveaux leviers financiers permettraient de développer des solutions à la pénurie de personnel, alors que les coupures budgétaires et le climat d’incertitude qui en découle nuisent fortement à l’attraction et à la rétention », dénoncent-elles dans leur communiqué.

Message clair

Pour les syndicats, les associations et les comités citoyens, réduire ou fermer des services de proximité essentiels ne constitue pas une réponse acceptable à la pénurie de main-d’œuvre.

« Ce matin, le CISSS et Santé Québec ont encore une fois choisi la voie la plus facile et la plus irresponsable : publier un communiqué improvisé et flou, sans plan clair pour rassurer la population, protéger les services de proximité et garantir un véritable maintien du service d’urgence 24/7 », déplore le président par intérim du SPBTPA, Martin Bérubé.

Les organisations affirment qu’elles poursuivront leurs démarches pour faire valoir les besoins de la population bas-laurentienne et des travailleurs du réseau de la santé, et pour défendre des solutions qui protègent les services de proximité.

En février dernier, des membres du personnel de l’Hôpital de Trois-Pistoles avaient fait connaître leurs inquiétudes face à la fermeture de l’urgence en soirée et durant la nuit. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)

« Le CISSS ne transmet aucune information concrète aux professionnelles en soins qui travaillent dans les urgences concernées. Comment peut-on prétendre vouloir attirer et retenir le personnel alors qu’on les plonge dans une telle incertitude? », ajoute le vice-président local du FIQ-SPSICR BSL, Brendon Sirois.

En octobre, des représentants syndicaux et des élus avaient aussi dénoncé des compressions budgétaires à venir au CISSS du Bas-Saint-Laurent, qui pourraient entraîner de nouvelles fermetures à l’urgence de Mont-Joli.

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  • Projet de 3 M$ : l’Hôtel L’Empress de Rimouski sera agrandi
    Le groupe hôtelier Navigateur investira 3 M$ afin d’ajouter 18 chambres à l’Hôtel L’Empress de la montée Industrielle-et-Commerciale de Rimouski. Selon nos informations, l’entreprise utilisera le bâtiment occupé par le commerce Maison en Gros, situé sur la 2e Rue Est derrière la station-service EKO. Construction Albert débutera les travaux en décembre pour une ouverture prévue en 2026. L’Hôtel L’Empress portera sa capacité d’hébergement de 62 à 80 chambres. Le réaménagement implique l
     

Projet de 3 M$ : l’Hôtel L’Empress de Rimouski sera agrandi

20 novembre 2025 à 18:00

Le groupe hôtelier Navigateur investira 3 M$ afin d’ajouter 18 chambres à l’Hôtel L’Empress de la montée Industrielle-et-Commerciale de Rimouski.

Selon nos informations, l’entreprise utilisera le bâtiment occupé par le commerce Maison en Gros, situé sur la 2e Rue Est derrière la station-service EKO. Construction Albert débutera les travaux en décembre pour une ouverture prévue en 2026.

L’Hôtel L’Empress portera sa capacité d’hébergement de 62 à 80 chambres.

Le réaménagement implique le départ de Maison en Gros. Le magasin de décoration et d’ameublement déménagera dans un local situé dans l’édifice du Groupe BMR sur l’avenue Léonidas.

Le bâtiment occupé par le commerce Maison en Gros, où seront construits les nouvelles chambres de l’Hôtel L’Empress. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

« Nous envisagions un agrandissement de notre hôtel depuis quelques années. L’ouverture du Costco nous a confortés dans cette idée, mais il n’y avait pas assez d’espace sur le site pour faire un agrandissement. Comme nous sommes propriétaires du bâtiment abritant le commerce Maison en Gros et que le bail se terminait le 30 novembre, nous avons décidé de ne pas renouveler le bail et d’utiliser ce terrain pour l’agrandissement de l’hôtel », raconte Philippe Paris, associé chez C Hôtels, copropriétaire de l’Hôtel L’Empress.

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  • Nouvelle ère pour l’industrie du phoque
    Un événement historique s’est déroulé du 12 au 14 novembre avec la tenue des États généraux sur le phoque du Saint-Laurent, à Matane. Quelque 90 chercheurs, chasseurs, pêcheurs autochtones et allochtones ainsi que décideurs se sont penchés sur l’avenir d’une industrie en pleine renaissance. « Les États généraux visaient à moderniser la réglementation et le cadre législatif qui entoure la filière du phoque », explique la directrice générale d’Exploramer et instigatrice de cette démarche partic
     

Nouvelle ère pour l’industrie du phoque

20 novembre 2025 à 17:00

Un événement historique s’est déroulé du 12 au 14 novembre avec la tenue des États généraux sur le phoque du Saint-Laurent, à Matane. Quelque 90 chercheurs, chasseurs, pêcheurs autochtones et allochtones ainsi que décideurs se sont penchés sur l’avenir d’une industrie en pleine renaissance.

« Les États généraux visaient à moderniser la réglementation et le cadre législatif qui entoure la filière du phoque », explique la directrice générale d’Exploramer et instigatrice de cette démarche participative, Sandra Gauthier. Trois enjeux majeurs étaient à l’ordre du jour : la réglementation, la science et la valorisation de la ressource.

Cette initiative est arrivée à un moment charnière. Le déclin des stocks de poissons, comme le maquereau et le hareng, a placé plusieurs pêcheurs pélagiques sous moratoire, les privant de leur gagne-pain. Pour ces travailleurs de la mer, la chasse au phoque représente une nouvelle avenue de diversification économique.

L’objectif est d’utiliser le phoque dans son entièreté. Viande, graisse et fourrure doivent générer des revenus de façon durable.

« C’est comme si c’était bon pour les autres, jamais pour nous », déplore madame Gauthier en évoquant la tendance à privilégier l’exportation. Cette fois, le marché québécois est ciblé en priorité.

27 recommandations

Un total de 27 recommandations ont été débattues. Celles-ci étaient le fruit de consultations publiques et de mémoires déposés durant l’été.

Coorganisé par l’Association des chasseurs de phoques intra-Québec, l’Agence Mamu Innu Kaikusseth et Exploramer, l’événement a bénéficié du financement des gouvernements provincial et fédéral.

Les États généraux ont pris fin sur une assemblée officielle présidée par le juge à la retraite Robert Pidgeon, ancien maire de Gaspé, afin de formaliser les recommandations qui seront présentées aux gouvernements d’Ottawa et de Québec.

La directrice générale d’Exploramer et instigatrice des États généraux sur le phoque du Saint-Laurent, Sandra Gauthier. (Photo Johanne Fournier)

« Je pense que c’est le début d’un temps nouveau », conclut Sandra Gauthier avec optimisme.

Des paramètres pour une chasse durable

Les populations de phoques sont abondantes dans l’est du Canada. C’est ce qui ressort du portrait dressé par Jean-François Gosselin de Pêches et Océans Canada lors des États généraux sur le phoque du Saint-Laurent.

Sa présentation avait notamment pour objectif de définir les paramètres d’une chasse commerciale durable. Selon le biologiste et chef de section des mammifères marins, acoustique et conservation marine à l’Institut Maurice-Lamontagne de Mont-Joli, le phoque du Groenland, qui est l’espèce la plus abondante, a vu sa population chuter dramatiquement depuis 1998.

« Après avoir atteint un sommet de 7,5 millions d’individus, la population est tombée à 4,4 millions en 2024, se situant maintenant dans une » zone de prudence », selon l’approche de précaution adoptée par le ministère », précise monsieur Gosselin.

Plusieurs facteurs

Cette diminution serait liée à plusieurs facteurs, notamment l’absence de glace, les conditions d’alimentation et la mortalité des jeunes. Malgré ce déclin, la chasse commerciale demeure possible avec des quotas stricts. Ainsi, jusqu’à 253 000 phoques du Groenland pourraient être prélevés si 95 % de la récolte cible les jeunes sevrés.

Pour le phoque gris, dont la population est estimée à 366 000 individus en 2021, un quota de 67 300 captures est jugé soutenable dans les mêmes conditions. Les sites de reproduction ont d’ailleurs migré des banquises vers les îles du golfe en raison du réchauffement climatique. Quant au phoque commun, qui est beaucoup moins abondant avec 25 200 individus recensés, les scientifiques adoptent une approche ultraconservatrice, limitant les prélèvements à seulement 720 animaux.

Chasse au blanchon : le débat est relancé

Une question controversée a refait surface aux États généraux sur le phoque. La possibilité de rouvrir la chasse au blanchon, interdite depuis 1987, a soulevé de vifs débats parmi les acteurs de l’industrie du phoque qui ont pris part à l’événement, qui s’est tenu à Matane du 12 au 14 novembre.

Pour le chercheur émérite de Pêches et Océans Canada et retraité de l’Institut Maurice-Lamontagne, Mike Hammill, cette interdiction découle davantage de considérations éthiques que scientifiques.

« Le rapport Malouf, publié en 1987, recommandait de fermer cette chasse, explique-t-il. Ce n’était pas un aspect scientifique, mais plutôt une question d’image. »

Les scènes diffusées à la télévision d’un chasseur frappant un blanchon avec un gourdin avaient profondément choqué l’opinion publique, même si cette méthode était reconnue comme efficace sur le plan du bien-être animal. Depuis la dernière grande vague de chasse, soit de 1995 à 2013, l’industrie a travaillé d’arrache-pied pour démontrer l’évolution de ses pratiques, de l’avis du scientifique.

(Photo Journal Le Soir)

« Toutes les images qui montrent la chasse au blanchon datent des années 1960 et 1970 », précise monsieur Hammill, soulignant les efforts déployés pour éduquer le public sur les nouvelles méthodes employées.

Adopter une nouvelle approche

S’il ne s’oppose pas à une réouverture de la chasse au blanchon, le chercheur demeure néanmoins catégorique : il faudra adopter une approche radicalement différente. Il suggère notamment le pistolet d’abattage, qui est utilisé dans les abattoirs, bien que cette méthode nécessiterait des
tests approfondis.

Sur le plan strictement scientifique, lever l’interdiction serait acceptable, admet le chercheur émérite. Toutefois, « c’est dans l’éthique et les valeurs de la société que ce n’est pas acceptable pour le moment ».

Monsieur Hammill demeure tout de même sceptique quant à la pertinence de rouvrir ce débat.

« Est-ce que le monde veut investir dans une approche qui a été éliminée pour retourner avec la même bataille ? C’est comme courir après le trouble », croit-il, tout en invitant l’industrie à réfléchir sérieusement aux répercussions d’une éventuelle décision.

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  • Aux Trois Mâts démystifie les dépendances
    L’organisme communautaire rimouskois, Aux Trois Mâts, tenait dans le cadre de la semaine nationale de sensibilisation aux dépendances, des journées portes ouvertes pour permettre à la population d’en apprendre plus sur la réinsertion sociale en dépendances. La directrice générale de l’organisme, Candy Desrosiers, mentionne que ces journées ouvertes au public constituent aussi des occasions de faire connaitre à la communauté les différents volets offerts par l’organisme, qui intervient auprès
     

Aux Trois Mâts démystifie les dépendances

20 novembre 2025 à 16:00

L’organisme communautaire rimouskois, Aux Trois Mâts, tenait dans le cadre de la semaine nationale de sensibilisation aux dépendances, des journées portes ouvertes pour permettre à la population d’en apprendre plus sur la réinsertion sociale en dépendances.

La directrice générale de l’organisme, Candy Desrosiers, mentionne que ces journées ouvertes au public constituent aussi des occasions de faire connaitre à la communauté les différents volets offerts par l’organisme, qui intervient auprès d’une clientèle âgée de 15 ans et plus, touchée par un problème de dépendance, dans un contexte volontaire.

« On accompagne les personnes qui désirent faire de la réinsertion sociale, soit avec de l’accompagnement individualisé, par le service du milieu de vie – dans lequel nous donnons une formation pour les équipes en intervention sur la réinsertion sociale au Bas-Saint-Laurent – ou par le volet en prévention et milieu de travail, qui est une nouveauté datant de 2024. »

Elle ajoute que l’organisme est axé sur les démarches concrètes de réinsertion sociale.

L’intervenante sociale, Alexandra Martineau-Duguay, soulève pour sa part que les proches de personnes touchées par un problème de dépendance peuvent aussi bénéficier d’un accompagnement de la part de l’organisme.

« Parfois, les proches doivent aussi entreprendre des démarches en réinsertion sociale, parce qu’ils sont impactés par ce qu’ils vivent. Ce n’est pas toujours évident d’accompagner une personne qui a un problème de dépendance, tout en prenant soin de soi et en gardant ses repères en vue. »

Madame Martineau-Duguay rapporte qu’une partie de son travail qu’elle trouve particulièrement belle est la possibilité de mettre en lumière la vitalité dont elle est témoin dans le cadre de ses fonctions.

La salle commune de l’organisme permet d’en faire un milieu de vie pour ses usagers. (Photo courtoisie – Aux Trois Mâts)

« Il y a une âme qui se crée par la vie qui, elle, est créée par les gens, par le milieu de vie, par l’implication et l’engagement qui découlent des différents ateliers et des différentes implications possibles. Cette vitalité, mais aussi la possibilité de mettre en lumière cet aspect qui se retrouve parfois dans l’ombre, à travers des portes ouvertes comme celles-ci, je pense que c’est une belle partie de mon travail. C’est aussi une chance de travailler en côtoyant des gens qui ont plein d’histoires et de vécus. Cela fait en sorte qu’on peut tous apprendre des uns et des autres. »

Son travail l’amène aussi à être confronté aux préjugés que la population peut avoir à l’égard de ceux qui luttent contre une dépendance.

« Les gens ont tendance à penser qu’il s’agit d’un manque de volonté ou d’engagement que de continuer une certaine habitude ou une certaine problématique, alors qu’en réalité, ça demande énormément d’énergie a une personne de composer avec ça, en plus de tout le reste. Il y a aussi des gens qui pensent que le processus est simple et qu’il suffit d’aller chercher de l’aide ou d’arrêter, alors qu’il y a un gros chemin à parcourir avant d’y arriver. Le processus nécessite aussi de savoir et de comprendre certaines choses. Il est également nécessaire de savoir se montrer vulnérable en échangeant sur le problème avec une autre personne, alors qu’en générale, être vulnérable, ce n’est jamais facile pour qui que ce soit. »

Les dépendances : un enjeu que tous peuvent connaitre

La directrice de l’organisme, madame Desrosiers, soulève que personne n’est à l’abri de se retrouver aux prises avec une dépendance.

« On peut tous vivre, à un moment ou à un autre, une problématique quelconque de dépendance à la suite d’événements. Ça va vite et souvent, les gens que l’on aide ici ont à la fois une problématique en santé mentale et une problématique en dépendance. Il faut se rappeler que nous avons tous une santé mentale qui peut se détériorer, mais qu’en y ajoutant une dépendance, c’est encore plus difficile. On est tous des humains, donc je pense qu’on peut tous être à risque de vivre ces enjeux. C’est aussi pour cette raison qu’on trouve important de sensibiliser la population, parce que du jour au lendemain, tout peut arriver. »

Nancy Vaillancourt, qui a bénéficié de l’aide de l’organisme par le passé, a accepté de parler de son expérience. Elle soulève notamment qu’Aux Trois Mâts a fait du beau travail en lui venant en aide.

« J’ai fait des études en éducation spécialisée. Comme l’a dit Candy, parfois la vie va vite. J’avais deux enfants et lorsqu’ils sont partis, je suis partie moi aussi. Aujourd’hui, je ne me sens pas tout à fait prête à reprendre un horaire de travail de 8 h à 17 h, parce qu’il m’arrive encore d’avoir des crises de panique », témoigne madame Vaillancourt.

C’est quelque chose sur lequel elle travaille à l’aide de l’art thérapie. Elle fait aussi profiter les usagers de l’organisme de ses compétences artistiques, en donnant des ateliers de créativité.

« Le fait d’arrêter une dépendance peut créer un vide. C’est donc important de trouver quelque chose qui saura combler ce vide. »

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  • Harmonie Langevin : hymne national pour appuyer le programme
    Pour une cinquième année de suite, les élèves qui composent l’Harmonie Langevin de Rimouski amasseront des fonds pour leur programme en interprétant l’hymne national lors du prochain match de l’Océanic au Colisée Financière Sun Life, le vendredi 28 novembre à 19 h, contre les Olympiques de Gatineau. Un certain nombre de billets ont été réservés à la billetterie de l’Océanic pour les élèves. Un pourcentage des ventes ira directement à l’harmonie. Son directeur musical, Olivier Albert, rapp
     

Harmonie Langevin : hymne national pour appuyer le programme

20 novembre 2025 à 15:00

Pour une cinquième année de suite, les élèves qui composent l’Harmonie Langevin de Rimouski amasseront des fonds pour leur programme en interprétant l’hymne national lors du prochain match de l’Océanic au Colisée Financière Sun Life, le vendredi 28 novembre à 19 h, contre les Olympiques de Gatineau.

Un certain nombre de billets ont été réservés à la billetterie de l’Océanic pour les élèves. Un pourcentage des ventes ira directement à l’harmonie.

Son directeur musical, Olivier Albert, rappelle que cette activité de financement est née lors de la pandémie par l’entremise du directeur administratif de l’Océanic, Jean-Philippe Bérubé.

« On cherchait un moyen original de financer nos activités. J’ai eu un contact avec lui et je le lui ai suggéré. Il trouvait que c’était une super idée, notamment pour augmenter le nombre de spectateurs aux matchs, parce qu’à ce moment-là, on était en zone verte, ce qui voulait dire que le Colisée pouvait être rempli, à condition que tout le monde porte un masque. Il a cru en notre mission et à son potentiel. »

Le professeur de musique souligne que cette prestation au Colisée Financière Sun Life est une occasion pour ses élèves de se dépasser.

« Il s’agit de leur premier concert de l’année et comme ce sont des jeunes de secondaire 1 et 2, pour ceux de secondaire 1, c’est même souvent leur premier concert à vie, surtout devant des milliers de personnes. »

La musique au coeur des efforts

En vue de ce concert, les élèves de monsieur Albert se préparent avec rigueur.

« Toute la préparation au projet, avant même de jouer l’hymne national, représente un vrai travail d’équipe. Les jeunes sont obligés d’être autonomes dans leur pratique, par exemple pour passer à travers des passages plus difficiles, lors de moment de pratique personnel. Il y a tout un travail à structurer avec rigueur, afin d’être synchronisé une fois sur la glace. »

Une prestation de l’Harmonie Langevin au Colisée Financière Sun Life. (Crédit photo Mathieu Gosselin)

En plus d’engranger des sous pour l’Harmonie, l’activité permet de valoriser le travail effectué par les élèves, explique Olivier Albert.

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  • Rendez-Vous Nature- 15-16 novembre 2025
    Cette semaine à « Rendez-Vous Nature », on chasse le cerf de Virginie… en Virginie avec notre collaborateur, Stéphane Monette. Même si aucun cas de maladie débilitante chronique (MDC) des cervidés n’a été détecté chez les cerfs sauvages analysés depuis les sept dernières années, la surveillance se poursuit et rejoint maintenant la zone 2 Bas-Saint-Laurent, comme le précise la biologiste et spécialiste des cervidés, Élise Roussel-Garneau. La saison froide ne refroidit pas les mouche
     

Rendez-Vous Nature- 15-16 novembre 2025

20 novembre 2025 à 13:30

Cette semaine à « Rendez-Vous Nature », on chasse le cerf de Virginie… en Virginie avec notre collaborateur, Stéphane Monette.

Même si aucun cas de maladie débilitante chronique (MDC) des cervidés n’a été détecté chez les cerfs sauvages analysés depuis les sept dernières années, la surveillance se poursuit et rejoint maintenant la zone 2 Bas-Saint-Laurent, comme le précise la biologiste et spécialiste des cervidés, Élise Roussel-Garneau.

La saison froide ne refroidit pas les moucheurs qui nourrissent et partagent leur passion, bien au chaud, les 22 et 23 novembre, au 11e Salon de pêche à la mouche de Trois-Rivières. L’organisateur principal, Gaétan Blier, de la Société mauricienne des pêcheurs à la mouche (SMPMTR).

Le bassin de pêche est un attrait majeur du Salon de pêche à la mouche de Trois-Rivières, les 22 et 23 novembre, qui regroupe 65 exposants spécialisés, les grandes marques du marché, beaucoup d’animation et des conférences incontournables de moucheurs spécialisés. (Photo courtoisie SMPMTR)

Tout ça et encore plus à « Rendez-Vous Nature ». Cliquez sur le lien ci-haut.

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  • Novarium : la procédure judiciaire avance pour le Groupe Tanguay
    La poursuite du Groupe Immobilier Tanguay intentée à la suite des faillites de Novarium et de la SOPER suit son cours, selon son président, Alexandre Tanguay, qui refuse cependant de commenter davantage le dossier puisqu’il est judiciarisé. En mai dernier, le Groupe immobilier Tanguay a déposé une poursuite civile de près de 5 M$ contre la Ville de Rimouski, la MRC de Rimouski-Neigette et 14 ex-membres du conseil d’administration de l’ex-Société de promotion économique de Rimouski (SOPER).
     

Novarium : la procédure judiciaire avance pour le Groupe Tanguay

La poursuite du Groupe Immobilier Tanguay intentée à la suite des faillites de Novarium et de la SOPER suit son cours, selon son président, Alexandre Tanguay, qui refuse cependant de commenter davantage le dossier puisqu’il est judiciarisé.

En mai dernier, le Groupe immobilier Tanguay a déposé une poursuite civile de près de 5 M$ contre la Ville de Rimouski, la MRC de Rimouski-Neigette et 14 ex-membres du conseil d’administration de l’ex-Société de promotion économique de Rimouski (SOPER).

La faillite de la SOPER a mis fin au bail stipulant que l’organisme devait payer un loyer de 675 000 $ par année pour 15 ans au Groupe immobilier Tanguay, qui avait construit l’immeuble de Novarium, inauguré en août 2022.

Technipro BSL poursuit également

Technipro BSL poursuit aussi les mêmes organismes et individus pour 272 472,41 $, plus les intérêts, pour des travaux impayés liés à l’ajout d’une garderie dans l’immeuble du Novarium. Les deux poursuites sont enregistrées à la Cour supérieure du district judiciaire de Rimouski.

Guy Caron (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Les ex-membres du conseil d’administration poursuivis à titre individuel sont le maire et ex-président de la SOPER, Guy Caron, le préfet de la MRC, Francis St-Pierre, les anciens conseillers rimouskois Rodrigue Joncas et Mélanie Beaulieu, la mairesse de Saint-Marcellin, Julie Thériault, l’ex-maire de Rimouski, Marc Parent, l’ex-président de la SOPER et de Novarium, Jean Pouliot ainsi que les administrateurs Geneviève Landry, Nancy Morin, Marie-Michèle Bélanger, Josée Laflamme, Eve-Marie Rioux, Nicolas Horth et Camille Leblanc.

Mandat accordé par la Ville

En juin dernier, le conseil municipal de Rimouski a accordé un mandat au cabinet d’avocats Tremblay Bois Mignault Lemay, de Québec, pour représenter la Ville de Rimouski dans le cadre des demandes introductives d’instance en dommages et intérêts du Groupe Immobilier Tanguay et de Construction Technipro BSL.

Le maire de Rimouski, Guy Caron, a alors précisé que ce sont les assurances qui vont payer les frais juridiques. « Il y a des assurances responsabilité qui seront utilisées tant au niveau de la Ville que des administrateurs », assure-t-il.

Les ex-bureaux de la SOPER sur la rue Saint-Germain Ouest. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Les personnes poursuivies disposaient d’un délai de 45 jours pour contester cette action en justice. Elles pouvaient aussi convenir du règlement de l’affaire, proposer une médiation ou la tenue d’une conférence de règlement à l’amiable. Elles ont décidé de contester.

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  • L’avenir incertain du hockey élite dans l’Est-du-Québec
    Hockey Québec a présenté plus tôt ce mois-ci une réforme du hockey d’excellence dans la province, avec une concentration des meilleurs joueurs de 14 et 15 ans dans le corridor Lévis-Gatineau, pour former plus de joueurs pour la Ligue nationale de hockey, entre autres. Ces changements soulèvent des inquiétudes dans les régions comme le Bas-Saint-Laurent, le Saguenay–Lac-Saint-Jean et l’Abitibi-Témiscamingue.
     

L’avenir incertain du hockey élite dans l’Est-du-Québec

20 novembre 2025 à 09:09

Hockey Québec a présenté plus tôt ce mois-ci une réforme du hockey d’excellence dans la province, avec une concentration des meilleurs joueurs de 14 et 15 ans dans le corridor Lévis-Gatineau, pour former plus de joueurs pour la Ligue nationale de hockey, entre autres. Ces changements soulèvent des inquiétudes dans les régions comme le Bas-Saint-Laurent, le Saguenay–Lac-Saint-Jean et l’Abitibi-Témiscamingue.

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  • Fondation Santé Rimouski : La Grande dégustation affiche complet
    Pour son 25e anniversaire, l’une de ses activités caritatives les plus populaires de la Fondation Santé Rimouski, La Grande dégustation, affiche complet, ce vendredi 21 novembre, à l’Hôtel Rimouski.  Environ 300 convives participeront à cette soirée gourmande, dont l’objectif financier a été fixé à 85 000$. En 2024, La Grande dégustation avait permis de récolter près de 88 000 $. Au menu de La Grande dégustation, un repas concocté par le chef Martin Ashby et sa brigade, des vins sélectionn
     

Fondation Santé Rimouski : La Grande dégustation affiche complet

20 novembre 2025 à 10:00

Pour son 25e anniversaire, l’une de ses activités caritatives les plus populaires de la Fondation Santé Rimouski, La Grande dégustation, affiche complet, ce vendredi 21 novembre, à l’Hôtel Rimouski. 

Environ 300 convives participeront à cette soirée gourmande, dont l’objectif financier a été fixé à 85 000$. En 2024, La Grande dégustation avait permis de récolter près de 88 000 $.

Au menu de La Grande dégustation, un repas concocté par le chef Martin Ashby et sa brigade, des vins sélectionnés par la SAQ Sélection Rimouski et des fromages offerts par Les Fromages d’ici. La soirée se poursuivra avec la projection d’une Histoire d’espoir et une soirée dansante avec DJ Liam.

Encore cette année, un encan virtuel ouvert à toute la population regroupe une grande variété de lots pour tous les goûts et tous les budgets. Les mises aux enchères ont été lancées le 5 novembre.

Les profits de la soirée permettront d’investir 75 000 $ pour l’achat d’un appareil d’aphérèse pour la clinique d’hémato-oncologie de l’Hôpital régional de Rimouski. 

« C’est un appareil d’une valeur d’environ 125 000 $. C’est le seul que nous avons à l’est de Québec. Comme l’appareil actuel atteindra sa fin de vie utile, il est devenu essentiel de le remplacer. Nous sommes privilégiés de l’avoir ici dans la région et nous voulons maintenir le soin à Rimouski », indique la présidente de la Fondation Santé Rimouski, Caroline Pelletier.

Coprésidence d’honneur

La directrice générale de la Caisse Desjardins de Rimouski, Véronique Pelletier et le directeur de Desjardins Entreprises – Bas-Saint-Laurent et Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Ken Henry, assument la coprésidence d’honneur de la soirée. 

La directrice générale de la Fondation Santé Rimouski, Caroline Pelletier, entourée des coprésidents d’honneur de La Grande dégustation 2025, Véronique Pelletier et Ken Henry. (Photo Le Soir.ca-Annie Levasseur)

« Je trouve que c’est une occasion de rassembler la communauté d’affaires derrière une belle cause. Elle tient particulièrement à cœur à toute la région. C’est important pour moi d’être une partie prenante du succès et d’y apporter l’ADN Desjardins. Nous croyons que la santé est un pilier fondamental du mieux-être collectif », indique monsieur Henry.

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  • Trafic de cannabis : arrestation et saisie à Saint-Narcisse
    La Sûreté du Québec a procédé mercredi (19 novembre) à une arrestation ainsi qu’à une perquisition en lien avec le trafic de cannabis sur une propriété de la montée de la Baie, à Saint-Narcisse-de-Rimouski. L’opération a permis de saisir plus de 4 000 grammes de cannabis, environ 125 plants, plus de 240 000 graines de cannabis, près de 40 grammes de concentré de cannabis, environ neuf grammes de haschisch, un téléphone cellulaire, plus de 2 000 $ en devise canadienne, une remorque et une mini
     

Trafic de cannabis : arrestation et saisie à Saint-Narcisse

20 novembre 2025 à 09:30

La Sûreté du Québec a procédé mercredi (19 novembre) à une arrestation ainsi qu’à une perquisition en lien avec le trafic de cannabis sur une propriété de la montée de la Baie, à Saint-Narcisse-de-Rimouski.

L’opération a permis de saisir plus de 4 000 grammes de cannabis, environ 125 plants, plus de 240 000 graines de cannabis, près de 40 grammes de concentré de cannabis, environ neuf grammes de haschisch, un téléphone cellulaire, plus de 2 000 $ en devise canadienne, une remorque et une mini-pelle John Deere considérées comme produits de la criminalité.

Un homme de 45 ans, de Saint-Narcisse, a été arrêté puis interrogé par les enquêteurs. Il a été libéré pour la suite des procédures.

L’individu pourrait faire face à des accusations en lien avec le trafic de cannabis. La SQ a entamé son enquête à la suite d’informations reçues du public.

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