L’ex-propriétaire de l’Hôtel Rimouski et du Manoir de Baie-Comeau, Daniel Lévesque, est décédé à l’âge de 75 ans. Originaire de Saint-Gabriel, il marqué le milieu entrepreneurial rimouskois pendant plusieurs décennies.
Après avoir fait carrière en service informatique, dans la vente automobile et dans la vente d’équipements agricoles, monsieur Lévesque avait fait l’acquisition de l’Hôtel Rimouski et du Centre de congrès, en compagnie de Gaston Gendreau, en mai 1995.
Il avait annoncé son départ à la retraite, en 2014, après l’acquisition de l’Hôtel Rimouski et du Manoir de Baie-Comeau par le Groupe Blouin.
Daniel Lévesque laisse notamment dans le deuil sa conjointe, Sylvie Morais et leurs deux enfants.
Le spectacle du 29e Téléradiothon de La Ressource affiche déjà complet. Prévu le 17 janvier à la Salle Desjardins, il réunira notamment sur scène Paul Piché, Andréanne A. Malette, Damien Robitaille et Marie Carmen.
Sous la direction artistique de Nelson Minville, l’événement accueillera aussi un membre de La Ressource, Philippe Côté, la directrice musicale rimouskoise et bassiste, Marie-Anne Arsenault, le guitariste Raphaël D’Amours, le batteur Marc Chartrain, la claviériste Andréanne Muzzo et la choriste Julie Houde.
Le Choeur Gospel de l’École de musique du Bas-Saint-Laurent complétera la distribution, tandis que l’humoriste Marc-Antoine Lévesque reprendra son rôle comme animateur de la soirée.
La Ressource offrira ensuite le spectacle en boucle, le dimanche 25 janvier, de 10 h à 20 h, sur les télévisions communautaires de l’Est-du-Québec, sur certaines plateformes web de médias partenaires, dont Le Soir.ca, ainsi que sur le site laressource.tv.
La coordonnatrice aux événements chez La Ressource, Chantal Bastien, en compagnie de la présidente du CA de l’organisme, Carole Pitre. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Élodie Lussier Pellerin et Charles St-Pierre, du Club Les Cyclones de Rimouski, ont remporté respectivement des médailles d’or et d’argent lors de la deuxième étape du circuit provincial de patinage de vitesse courte piste, présentée les 13 et 14 décembre au Centre Georges-Vézina de Saguenay.
Le triomphe de Lussier Pellerin confirme sa progression alors qu’elle en est à sa première année sur ce circuit, tandis que St-Pierre a poursuivi sur sa lancée après ses succès à la Coupe Québec longue piste, les 6 et 7 décembre à Québec, où il a pulvérisé l’ensemble de ses records personnels.
À l’image d’Élodie Lussier Pellerin dans le groupe 2, Cloé Caty a pris le 14e rang, tandis que Daphné Mimeault a conclu la fin de semaine en 18e position au classement cumulatif.
Dans le groupe 1, Julia St-Laurent a su rebondir après une disqualification, lors de la première qualification, en terminant au 9e rang du classement général. Jade Pelletier a suivi de près avec une 11e place.
Chez les garçons, Félix Gagnon, seul représentant rimouskois du groupe 1, a terminé 13e. Dans le groupe 2, Zak Berger et Zachary Tremblay ont complété l’épreuve respectivement aux 6e et 8e rangs, tandis qu’Eliot Lebel a pris la 13e position dans le groupe 4.
Qualifiés pour les Jeux du Québec
Par ailleurs, Pier-Alexis Carvalho (12 ans) et Eliot Lebel (13 ans) ont obtenu leur qualification pour les Jeux du Québec lors de la deuxième étape du circuit régional de la Coupe de l’Est, tenue le 29 novembre à Rimouski.
Lors de cette même compétition, chez les 6-9 ans (groupe 1), Anne-Frédérique Chassé a récolté l’argent à chacune des épreuves, tandis qu’Olivier Lebel a remporté l’or au 400 m et au 800 m. Dans le groupe 2, Anaïs Beauvais et Ludovic Gallant-Côté ont réalisé un triplé de médailles.
Julia St-Laurent et Charlie Tremblay (Photo courtoisie)
Comme Charles St-Pierre, la Coupe Québec longue piste des 6 et 7 décembre a aussi permis à Charlie Tremblay d’améliorer son classement provincial en vue des qualifications pour le Championnat canadien néo-junior.
Les Cyclones profitent maintenant d’une pause avant de reprendre l’action dès janvier, avec un calendrier national bien rempli, notamment les Championnats canadiens junior et néo-junior longue piste, prévus du 8 au 10 janvier à Québec, ainsi que l’Omnium junior canadien, les 24 et 25 janvier, organisé à Rimouski.
Au total, 81 et 56 raccompagnements ont été effectués, vendredi et samedi, dans cette période achalandée en raison des nombreux partys de bureau.
« La forte demande confirme l’importance de notre service durant la période des fêtes. Nous sommes extrêmement reconnaissants envers nos bénévoles, qui donnent généreusement de leur temps pour assurer la sécurité de la population », souligne la porte-parole d’Opération Nez rouge à Rimouski, Julie Boucher.
Jusqu’à maintenant, 321 personnes ont profité du service à Rimouski.
Dernière fin de semaine
Les soirées de raccompagnement se poursuivront pour une dernière fin de semaine, les 18, 19 et 20 décembre en composant le 418-725-2525.
Le secteur desservi inclut Rimouski, mais aussi les districts du Bic et de Sainte-Blandine, ainsi que les municipalités de Saint-Fabien, Saint-Anaclet-de-Lessard et Sainte-Luce.
Tous les profits récoltés seront remis au Club de natation Les Dauphins de Rimouski.
Un dénouement de dernière minute permet finalement aux élèves de 4e et 5e année de l’école Forimont de Causapscal de demeurer dans leur établissement. Une solution a été trouvée pour combler l’absence de personnel.
La directrice générale du Centre de services scolaire des Monts-et-Marées, Marie-Pierre Guénette, a confirmé à Radio-Canada qu’une enseignante, ayant déjà travaillé auprès de ces groupes, s’est portée volontaire pour assurer la prise en charge de la classe.
Cette dernière confiera sa propre classe à une stagiaire qu’elle supervisait pour venir en aide à la vingtaine d’élèves qui se retrouvaient sans titulaire.
La question du manque de personnel enseignant demeure toutefois préoccupante. D’autres scénarios semblables pourraient se reproduire, même si le Centre de services scolaire des Monts-et-Marées espère compter sur le retour de ressources actuellement en absence prolongée.
La directrice générale du Centre de services scolaire des Monts-et-Marées, Marie-Pierre
Guénette (Photo courtoisie)
Ses gestionnaires ont informé les parents par écrit, le 11 décembre dernier, qu’ils relocaliseraient les élèves de 4e et 5e année de l’école Forimont de Causapscal, faute de personnel enseignant pour assurer la poursuite des cours.
Devant cette impasse, les élèves auraient été dirigés dans d’autres classes de l’établissement, vers les écoles de Lac-au-Saumon ainsi que Sainte-Ursule et Caron, à Amqui.
Une mobilisation citoyenne avait été organisée lundi, en fin de journée, devant la polyvalente Forimont. Dans une publication Facebook, la Ville de Causapscal a confirmé l’annulation de l’événement.
Les élèves de 4e et 5e année de l’école Forimont de Causapscal devront être relocalisés dans les prochaines semaines, faute de personnel enseignant pour assurer la poursuite des cours.
Le Centre de services scolaire des Monts-et-Marées a informé les parents par écrit, jeudi soir, qu’il n’avait pas réussi à combler le poste laissé vacant par une enseignante partie en invalidité.
Devant cette impasse, la vingtaine d’élèves du groupe se retrouveront dans d’autres classes de l’établissement ou dirigée vers les écoles de Lac-au-Saumon ainsi que Sainte-Ursule et Caron, à Amqui.
Dans la lettre envoyée aux parents, dont Le Soir.ca a obtenu copie, la direction précise que la répartition se fera en fonction du cheminement et des besoins de chaque élève, dans l’objectif de limiter les impacts scolaires et personnels. Les directions concernées auront la responsabilité d’évaluer les options les plus appropriées.
Cette annonce survient alors que ce groupe vit déjà une année scolaire mouvementée. En raison de travaux, les élèves avaient quitté l’école primaire Saint-Rosaire de Causapscal, en début d’année scolaire, pour être transférés à l’école secondaire Forimont.
Selon nos informations, cette première adaptation avait déjà suscité des inquiétudes.
Une rencontre d’information avec les parents doit se tenir lundi, à Causapscal, afin d’expliquer les raisons ayant mené à cette décision et les mesures envisagées pour la suite de l’année scolaire.
Présentée par Desjardins, la 7e Guignolée du Petit repère, centre de pédiatrie sociale en communauté de Rimouski-Neigette, revient cette année. La grande collecte se tient ce samedi 13 décembre, avec l’aide de 200 bénévoles qui sillonneront les rues et les commerces de Rimouski.
La communauté est invitée à contribuer généreusement à l’événement. Des activités de la Guignolées se tiennent jusqu’au 11 janvier.
Elle constitue une importante levée de fonds pour assurer l’offre de services gratuits aux jeunes de 0 à 18 ans en situation de vulnérabilité, de notre région.
D’ailleurs, cet événement se tiendra dans plus de 40 centres de pédiatrie sociale en communauté déployés partout au Québec.
Bénévoles mobilisés
Pour cette septième présentation, il est possible de contribuer de différentes manières.
Des bénévoles seront mobilisés dans les rues et les commerces afin de permettre à la population rimouskoise de faire un don.
Des bénévoles du Guignolée du petit repère pour financer le Centre de pédiatrie sociale en communauté de Rimouski-Neigette. (Photo courtoisie)
L’équipe du petit repère rencontrera aussi la population au Marché de Noël, au parc de la Gare, en ce samedi 13 décembre.
Les dons en ligne sont possibles sur notre site Internet www.lepetitrepere.ca, sous la rubrique « Faire un don ».
Fondé en 2019, Le petit repère a pour mission de donner une voix aux enfants en situation de vulnérabilité de notre communauté et favoriser leur plein potentiel en offrant un accompagnement médical, social et juridique.
Le Centre est un milieu de vie dans lequel ils reçoivent gratuitement un accompagnement personnalisé de même que des ateliers et des activités qui favorisent le développement de leur plein potentiel.
Depuis son ouverture, c’est plus de 210 enfants qui ont bénéficié de services gratuits.
« La Guignolée du Petit repère, c’est près de 200 généreux bénévoles engagés, dont 150 à l’extérieur samedi le 14 décembre. Tous les dons, petits ou grands, en argent ou en temps, sont précieux. C’est plus qu’une activité de financement. C’est un grand mouvement de solidarité de la population de Rimouski Neigette envers ses enfants. », précise Nancy Renaud, coordonnatrice.
Le petit repère tient à remercier chaleureusement ses partenaires qui soutiennent nos enfants, dont Le Soir.ca!
Les secteurs à l’intérieur des terres devaient recevoir encore 10 centimètres de neige d’ici la fin de la journée, vendredi, après toutes les accumulations reçues depuis mercredi au Bas-Saint-Laurent.
Dans Rimouski et La Mitis, des vents du nord-ouest souffleront à près de 30 km/h, avec des rafales atteignant 50 km/h. Le mercure avoisinera les –5 degrés Celsius, mais le refroidissement éolien fera chuter la température ressentie à –17 degrés Celsius en matinée et à –12 degrés Celsius en après-midi.
Les secteurs près du fleuve devraient recevoir moins de neige. Les autorités préviennent que les déplacements pourraient être difficiles. La poudrerie devrait réduire la visibilité par moments.
Le temps se calmera samedi avec une alternance de soleil et de nuages ainsi qu’un maximum de –5 degrés Celsius.
Alors qu’il devait être vendu cet automne à deux frères œuvrant dans le secteur de l’immobilier, le refus de leur institution financière de leur accorder le prêt nécessaire à l’acquisition du Club de golf Val-Neigette force les dirigeants actuels à remettre l’établissement sur le marché, au coût de 2 M$, a appris Le Soir.ca.
La famille Roy, qui souhaite se départir du club, devra donc patienter en attendant un nouvel acheteur. La vente a été confiée au courtier immobilier Simon Bélanger.
Bien que le président du conseil d’administration et actionnaire du Club, Guillaume Roy, soutenait qu’aucune entente n’avait été conclue, en octobre dernier, des négociations sérieuses étaient pourtant bel et bien en cours.
Après l’avoir acquis avec d’autres actionnaires dans le cadre d’une organisation à but non lucratif, son père, Pierre Roy, en est ensuite devenu le seul propriétaire. Guillaume affirmait en 2022 ne pas pouvoir prendre la relève.
« Je ne veux pas voir le parcours de golf être fermé. Je ne dis pas que ça n’arrivera pas si jamais, un jour, je tombe malade et je n’ai pas le choix, mais le but présent, c’est de garder le club ouvert. On pourrait faire un centre de plein air hivernal avec la partie golf. Je m’en allais vers ça. Val-Neigette est un très beau coin de pays qui mérite d’être développé davantage », mentionnait Pierre Roy à ce moment.
Jean-Francois Hins, Guillaume Roy et Claude Ouellet. (Photo courtoisie)
Après s’être illustrées lors des championnats de sous-section en novembre, Angélique Beaulieu (catégorie novice) et Maïlie Hamilton (catégorie pré-novice), du Club de patinage artistique de Rimouski tenteront de se classer parmi les huit meilleures patineuses de leur catégorie afin de décrocher une place au sein d’Équipe du Québec, lors des Championnats de section qui se tiennent, jusqu’à dimanche, à Sherbrooke.
Au même moment, les patineuses des catégories sans limites à juvénile rivaliseront pour le titre de championne québécoise dans leur discipline.
Laurence Gagnon, Maude Harrisson et Ariane Dubé, toutes trois en catégorie juvénile, représenteront Rimouski pour accéder à la finale.
Depuis le début de la saison, chacune est montée sur la plus haute marche du podium lors de différentes compétitions.
Dubé a décroché l’or à la Classique Invitation Carole Gauthier à Lévis, Gagnon a également remporté une première position dans le second groupe de cette même compétition, tandis qu’Harrisson a gagné les grands honneurs lors de l’Invitation de Trois-Pistoles, tenue au début décembre.
Le Centre de formation professionnelle (CFP) de Mont-Joli – Mitis annonce l’ouverture officielle des inscriptions pour son tout nouveau diplôme d’études professionnelles (DEP) en charpenterie-menuiserie. Les premiers élèves amorceront leur formation dès le 26 janvier.
Le centre accueillera un premier groupe pour une formation d’une durée d’un an et demi.
Le programme, attendu depuis longtemps par les entreprises de construction, permettra de former les futurs charpentiers-menuisiers.
Pour toute question liée au programme ou aux conditions d’admissibilité, la conseillère d’orientation Amélie Boudreau est joignable au 418 722-4922, poste 1235, ou par courriel.
Répondre à un besoin criant
« Nous sommes extrêmement fiers d’ouvrir les inscriptions. Ce programme répond à un besoin criant de main-d’œuvre qualifiée dans notre région et offrira aux élèves des carrières intéressantes et bien rémunérées », estime le directeur des Centres de formation professionnelle Mont-Joli – Rimouski, Jean-Pierre Doucet.
Les Centres de formation professionnelle Mont-Joli – Rimouski offrent près d’une trentaine de programmes répartis dans divers domaines, dont la santé, la mécanique, le dessin de bâtiment, les télécommunications, la production animale et l’esthétique.
Ils comprennent deux centres principaux à Mont-Joli et Rimouski, en plus d’un atelier de mécanique agricole et d’une ferme-école situés à Saint-Joseph-de-Lepage.
Figure bien connue du monde du sport et de l’enseignement à Rimouski, Rodrigue St-Pierre est décédé le 9 décembre dernier, à l’âge de 82 ans.
Très impliqué dans le développement du sport régional, monsieur St-Pierre a occupé des rôles de premier plan au sein de la Ligue de baseball Puribec du Bas-Saint-Laurent ainsi qu’auprès de l’équipe senior de Rimouski.
Malgré ses ennuis de santé, il demeurait un partisan assidu des matchs du Shaker, chaque été, au Complexe sportif Guillaume-Leblanc.
En parallèle, Rodrigue St-Pierre a mené une carrière remarquable dans le milieu scolaire au sein des écoles Mgr-Blais et Paul-Hubert.
Il a marqué des générations d’élèves par son approche humaine et son engagement envers la réussite des jeunes. Ses collègues se souviennent d’un homme intègre, réfléchi et profondément dévoué à sa communauté.
Les prévisions de neige ont été revues à la hausse pour l’Est-du-Québec. Alors qu’Environnement Canada prévoyait d’abord environ 15 centimètres, les accumulations totales pourraient finalement atteindre entre jusqu’à 25 centimètres d’ici vendredi soir.
Selon le dernier avertissement météorologique publié jeudi en début de journée, les précipitations se poursuivront tout au long de la journée.
Pour vendredi, les secteurs situés à l’intérieur des terres, où le relief est plus élevé, recevront les plus fortes accumulations, alors que les municipalités près du fleuve Saint-Laurent devraient en enregistrer un peu moins.
Concernant l’état des routes, en ce jeudi matin, il passe d’enneigé à partiellement enneigé, selon les secteurs, partout au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie.
De la poudrerie par endroits pourrait également réduire la visibilité, compliquant les déplacements sur le réseau routier. Les autorités recommandent aux automobilistes de prévoir plus de temps pour leurs trajets.
S’il n’en tenait qu’à Éric Duhaime, Maïté Blanchette Vézina défendrait les couleurs du Parti conservateur lors de l’élection provinciale d’octobre prochain.
« On a des valeurs communes. C’est une femme qui a des valeurs conservatrices. J’ai beaucoup apprécié ce qu’elle a dit en quittant la CAQ, notamment lorsqu’elle a parlé des régions. Elles sont les grandes oubliées de ce gouvernement-là. Moi, le premier, j’ai voté pour la CAQ il y a sept ans. On s’attendait tous à ce que ce soit, enfin, un gouvernement des régions. C’était sa grande frustration et elle a eu le courage de le dire haut et fort. Je ne la connaissais pas personnellement, mais quand j’ai entendu son discours, j’ai communiqué avec elle et nous sommes allés dîner ensemble », a raconté le chef conservateur.
Étape exploratoire
En novembre dernier, Maïté Blanchette Vézina disait être prête à aider Éric Duhaime à faire entendre sa voix à l’Assemblée nationale en affirmant « certaines valeurs conservatrices ».
« On est à l’étape exploratoire de voir comment on peut collaborer ensemble pour qu’une vision conservatrice qui rejoint mes valeurs puisse être portée à l’Assemblée nationale », affirmait l’ex-ministre de François Legault.
À ce moment, madame Blanchette Vézina réitérait son désir de compléter son mandat comme indépendante. Elle ne ferme toutefois pas la porte à être candidate pour les conservateurs lors des élections de 2026.
« Si je retourne avec un parti, ça va être un parti qui aura une vision solide pour les régions. Je n’ai pas lu la plateforme des conservateurs, donc je ne suis pas rendue à me présenter pour eux », avait-elle indiqué.
Saint-Narcisse-de-Rimouski lance un appel au civisme après plusieurs gestes de manque de savoir-vivre survenus en fin de semaine dernière, lors de l’ouverture du Centre multifonctionnel et de la patinoire.
Dans une publication diffusée sur la page Facebook de la Municipalité, la technicienne en loisirs, Maggy Soucy, rapporte divers incidents observés dans les vestiaires et les espaces communs, notamment des toilettes bouchées avec du papier brun.
Du gaspillage alimentaire a également été constaté autour du Frigo Riki, un service communautaire dont près d’une cinquantaine de personnes bénéficient chaque semaine. Des baguettes, des muffins et d’autres aliments ont été retrouvés au sol — parfois écrasés — à l’intérieur comme à l’extérieur des installations.
« Nous n’avons jamais empêché un jeune de prendre une collation. Le frigo est là pour aider. Ce qui nous attriste, c’est de retrouver de la nourriture gaspillée, alors qu’elle pourrait être précieuse pour des familles qui en ont vraiment besoin », écrit madame Soucy.
Caméras de surveillance
Saint-Narcisse-de-Rimouski rappelle que les caméras de surveillance permettent d’identifier les personnes fautives et de documenter plusieurs comportements problématiques rapportés par des citoyens.
Le centre multifonctionnel de Saint-Narcisse. (Photo: Internet Municipalité de Saint-Narcisse)
Les autorités invitent les parents à sensibiliser leurs jeunes à l’importance de respecter les installations municipales et de protéger un service comme le Frigo Riki, essentiel pour une partie de la communauté.
« Ensemble, nous pouvons garder ces services accessibles, propres et utiles pour tous », conclut la technicienne en loisirs.
Charle-Édouard D’Astous connait véritablement une saison de rêve sur le plan professionnel. À son premier match en carrière au Centre Bell, mardi, le Rimouskois a inscrit un but dans la victoire du Lightning de Tampa Bay par la marque de 6-1 contre le Canadien de Montréal.
D’Astous a accepté une passe de Nikita Kucherov dans l’enclave pour déjouer Samuel Montembault d’un tir précis au début de la 2e période.
En 23 matchs depuis son rappel de Syracuse dans la Ligue américaine de hockey, l’ancien capitaine de l’Océanic a amassé trois buts et six passes pour neuf points.
Charle-Edouard D’Astous avait été retranché au camp du Lightning de Tampa Bay, à la fin de septembre, après avoir signé un contrat à deux volets au printemps dernier.
Charle-Édouard D’Astous célèbre avec ses coéquipiers. (Photo courtoisie)
Le commissaire de la LHJMQ, Mario Cecchini, se dit déçu de constater qu’un seul joueur québécois, Caleb Desnoyers, pourrait défendre les couleurs d’Équipe Canada au prochain Championnat mondial junior prévu durant les fêtes au Minnesota. Malgré tout, il se garde bien de pointer du doigt Hockey Canada.
Invité à l’émission de Mario Dumont sur QUB Radio, mardi matin, Cecchini estime que plusieurs joueurs de la LHJMQ méritaient davantage d’attention.
Des joueurs d’importance comme Justin Carbonneau, de l’Armada de Blainville-Boisbriand ou Thomas Lavoie, des Eagles du Cap-Breton, ont aussi été laissés de côté.
Dans le cas de Xavier Villeneuve, qui a passé une partie de sa jeunesse à Rimouski, il pourra se reprendre l’an prochain.
« On souhaite toujours que nos athlètes soient mis en valeur. Jusqu’à la toute fin, on a échangé sur certains noms qui, à notre avis, avaient leur place. Mais on ne peut pas faire porter tout le blâme à Hockey Canada. Les discussions ont été serrées jusqu’aux dernières minutes », a-t-il résumé.
La langue revient hanter le débat
Chaque année où les Québécois se font peu nombreux à percer les rangs d’Équipe Canada, le débat linguistique refait surface. Pour Cecchini, le dossier de langue n’appartient pas seulement à la fédération canadienne.
« J’ai vu ça dans plusieurs milieux professionnels. Mon nom n’est pas Tremblay et je parle très bien anglais. J’ai déjà entendu des commentaires déplacés sur le Québec, parfois de la part de personnes pourtant très respectables », a-t-il confié à Mario Dumont.
Le Rimouskois Maxim Massé a de nouveau été ignoré par les dirigeants de Hockey Canada. (Photo courtoisie Bruno Girard)
Il se demande si un biais inconscient ne persiste pas. « Est-ce que c’est systémique? Peut-être. Pas acceptable, mais présent. Je ne m’en sers pas comme excuse. Les gens chez Hockey Canada font des efforts et on continue d’en discuter chaque semaine », estime Mario Cecchini.
Bassin plus restreint
Le commissaire de la LHJMQ croit que la situation actuelle s’explique en partie par la réalité démographique du hockey québécois.
« Le nombre d’inscriptions a diminué pendant plus d’une décennie, de 2010 à 2023. Avec le plus petit bassin au pays, presque deux fois moindre qu’en Ontario, c’est inévitable. Moins d’entrants dans le système signifiemt moins de talents au sommet. Depuis mon arrivée en 2023, je mets beaucoup d’énergie à faire en sorte que nos joueurs soient vus. Les bureaux de Hockey Canada sont à Calgary. Naturellement, on assiste davantage à des matchs de l’Ouest ou de l’Ontario. C’est une question de familiarité. On se tourne vers ce qu’on connaît », conclut-il.
Le fondateur de l’Épicerie Bernier et de l’abattoir de Luceville, Charles-Henri Bernier, est décédé le 5 décembre dernier à l’âge de 100 ans.
Né le 28 février 1925, monsieur Bernier a vécu dans le monde de l’alimentation dans sa jeunesse alors que son père, Édouard Bernier, possédait une épicerie à Sainte-Angèle en compagnie de sa mère, Blanche Lévesque.
Après avoir lancé l’Épicerie Bernier de Luceville, agrandie trois durant son règne, qu’il affectionnait comme « le plus beau dépanneur de campagne du Bas-Saint-Laurent »,
Puisqu’il effectuait la boucherie directement sur place, le manque d’espace l’a convaincu d’ouvrir un abattoir à Luceville, en 1979. L’entreprise a cédé au Groupe ADEL, en 2020.
Son fils, Carol, avait assuré la relève à l’abattoir, tandis que son autre garçon, Claude, s’est chargé de la gestion de l’épicerie familiale. Il a une autre fille, Charlotte.
Père de quatre enfants, dont un est décédé à la naissance, Charles-Henri Bernier comptait cinq petits-enfants et six arrières-petits-enfants.
Créer les bases d’une filière locale
« Monsieur Bernier a fortement contribué au développement des viandes du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. En mettant sur pied l’abattoir de Luceville, il a créé les bases d’une filière locale plus forte, plus autonome et profondément ancrée dans les valeurs de rigueur, de qualité et de fierté du travail bien fait. Son influence se retrouve dans chaque producteur, chaque employé et chaque famille qui bénéficie d’une chaîne alimentaire locale et plus résiliente grâce à son œuvre », a indiqué le Groupe ADEL.
Charles-Henri Bernier et son fils Claude, à gauche. (Photo courtoisie)
Une femme de 82 ans a perdu la vie lundi, vers 16 h 30, lors d’une collision frontale survenue sur le boulevard Perron Est, à proximité de la rue Champlain, à Sainte-Anne-des-Monts.
Selon la Sûreté du Québec, la voiture dans laquelle elle prenait place circulait vers l’est lorsque le conducteur de celle-ci aurait dévié de sa trajectoire, heurtant de plein fouet une camionnette qui arrivait en sens inverse.
Le conducteur, un homme de 75 ans, a été transporté à l’hôpital pour traiter des blessures qui ne mettraient pas sa vie en danger. La conductrice de la camionnette s’en est sortie indemne.
Les conditions météorologiques pourraient avoir joué un rôle dans l’accident.
Un spécialiste en reconstitution de collisions a examiné la scène afin d’éclaircir les circonstances de l’événement.
Ignoré par les dirigeants de Hockey Canada en vue du prochain Championnat mondial junior, Maxim Massé a tout de même réussi à accumuler, en moins de deux semaines, le titre d’attaquant par excellence de novembre et une nomination sur l’Équipe de la semaine dans la LHJMQ.
Après avoir marqué un but le 5 décembre contre les Remparts de Québec, le Rimouskois des Saguenéens de Chicoutimi a réussi sa meilleure performance de la saison, le 7 décembre, en amassant cinq points (2-3) face au Drakkar de Baie-Comeau.
Massé se trouve actuellement au 5e rang des meilleurs marqueurs de la LHJMQ avec 21 buts, 18 passes et 39 points en 26 rencontres.
Seul Québecois invité au camp d’évaluation d’Équipe Canada junior, Caleb Desnoyers, des Wildcats de Moncton, a reçu le titre de joueur de la semaine dans la LHJMQ.
Après une année éprouvante durant laquelle ses dirigeants ont redoublé d’efforts pour maintenir un bateau à flot, la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette veut terminer 2025 sous le signe de la convivialité et de l’optimisme avec l’organisation d’un cocktail de Noël.
L’organisation convie la communauté d’affaires à l’événement, présenté le mercredi 17 décembre, à 18 h, au Complexe sportif Desjardins.
Les participants pourront y savourer un cocktail dînatoire composé de deux consommations et cinq services de bouchées du restaurant Entre Deux.
La Chambre souhaite un moment festif destiné à rassembler et à relancer les liens entres les décideurs et les acteurs économiques. Elle compte sur la présence d’élus municipaux, provinciaux et fédéraux.
« La demande était forte pour ramener de plus petits événements favorisant les échanges. Le coût de participation a été fixé à 65 $ pour les membres et à 75 $ pour les non-membres. C’est très abordable et ce sera une belle soirée dans l’ambiance des fêtes. La Chambre a aussi besoin de l’appui du milieu socio-économique pour répartir ses activités. On a besoin du soutien de toute la communauté d’affaires pour s’assurer de poursuivre nos activités à long terme », mentionne son directeur général par intérim, Simon St-Pierre.
Deux projets majeurs en 2026
Parallèlement, la Chambre de commerce travaille déjà sur au moins deux projets majeurs prévus pour 2026, dont les détails seront dévoilés sous peu.
Les inscriptions sont ouvertes en ligne au ccrimouski.com ou par courriel à info@ccrimouski.com.
L’officiel rimouskois de la LHJMQ, Jonathan Girard, a vécu une expérience exceptionnelle, le 5 décembre dernier, en officiant sur la patinoire de l’Hippodrome de Trois-Rivières lors de l’un des matchs extérieurs de la Coupe de la 55.
Ce tournoi réunissait les quatre équipes situées le long de l’autoroute 55, soit les Cataractes de Shawinigan, les Tigres de Victoriaville, les Voltigeurs de Drummondville et le Phoenix de Sherbrooke, dans le cadre d’affrontements comptant pour le classement général de la LHJMQ.
L’événement a été remporté par les Voltigeurs avec deux victoires en autant de rencontres.
Girard a officié la deuxième partie de la compétition opposant les Tigres au Phoenix, en compagnie des arbitres en chef Jeff Hopkins et Marc-Antoine Chagnon ainsi que du juge de lignes Antoine Leblanc.
Près de 300 matchs en carrière
Si tout se déroule comme prévu, Jonathan Girard pourrait franchir, d’ici la fin de la saison 2025-2026, le cap des 300 parties en carrière dans la LHJMQ, saison régulière et séries éliminatoires incluses.
En 14 saisons, celui qui porte le numéro 67 a dirigé 89 matchs comme arbitre en chef et 195 comme juge de lignes. Sa première rencontre remonte au 28 septembre 2012 entre les Saguenéens de Chicoutimi et l’Océanic à Rimouski.
Jonathan Girard dans son rôle de juge de lignes durant un match de l’Océanic au Colisée Financière Sun Life. (Océanic / Folio Photo – Iften Redjah)
« Je me sens privilégié d’avoir eu l’opportunité de graduer dans la LHJMQ. À mes débuts au hockey mineur, j’allais voir des matchs de l’Océanic et mon rêve était d’arbitrer dans cette ligue-là. Avec des efforts et des sacrifices, j’ai progressé dans le métier », racontait-il au collègue René Alary, dans un entretien accordé à Le Soir.ca, l’an dernier.
Toujours le seul au Bas-Saint-Laurent
Conseiller en gestion de patrimoine chez Desjardins à Rimouski, Girard demeure le seul officiel du Bas-Saint-Laurent actif dans le circuit Cecchini.
Depuis l’arrivée de l’Océanic en 1995, seulement huit arbitres de la région ont atteint la LHJMQ, soit Luc Langlois, Tony Belzile, Olivier Therriault, Dominic Bélanger, Stéphane Ouellet, David Boucher et Jean-Philippe Michaud.
« Tant que j’aurai la capacité de continuer, je veux être là, j’ai encore la passion. Peu importe le niveau, tu dois donner le meilleur de toi-même à chaque match en restant honnête et authentique. L’objectif n’est pas d’être aimé, mais d’être respecté », expliquait-il.
En plus de la LHJMQ, Jonathan Girard œuvre aussi cette saison dans la Ligue nord-américaine de hockey, en plus des deux circuits seniors dans l’Est-du-Québec et dans le hockey mineur.
Au lendemain de son match à Trois-Rivières, il se trouvait sur la patinoire, à Rimouski, dans le cadre du Tournoi provincial Desjardins réunissant des équipes de calibre simple lettre.
Opération Nez rouge a plus que doublé son nombre de raccompagnements effectués à Rimouski, vendredi et samedi, alors que 130 personnes ont profité du service.
Pour sa première fin de semaine d’activités, ses bénévoles avaient effectué 54 raccompagnements.
Les soirées de raccompagnement se poursuivront les 12, 13, 18, 19 et 20 décembre en composant le 418-725-2525. Le secteur desservi inclut Rimouski, mais aussi les districts du Bic et de Sainte-Blandine, ainsi que les municipalités de Saint-Fabien, Saint-Anaclet-de-Lessard et Sainte-Luce.
Tous les profits récoltés seront remis au Club de natation Les Dauphins de Rimouski.
Le Site historique maritime de la Pointe-au-Père dresse un bilan de saison très positif pour la saison 2025, avec plus de 77 000 visiteurs accueillis au sous-marin Onondaga, au musée Empress of Ireland et au phare de Pointe-au-Père. L’année 2025 a également été marquée par la présentation de plusieurs événements et le soulèvement du sous-marin.
Malgré la fermeture hâtive du sous-marin, le 24 août, pour effectuer les travaux de protection, l’organisme a dépassé ses prévisions.
Juin a établi un record de plus de 10 500 visiteurs et juillet a connu une hausse de 6 % par rapport à 2024 avec 28 000 visiteurs.
L’automne au musée Empress of Ireland et au phare a permis de terminer la saison en force.
La clientèle de groupes a été bien présente, cet été, avec 130 autocars accueillis et 1 140 élèves lors de sorties scolaires. L’expérience d’une nuit à bord du sous-marin a attiré 181 personnes.
« L’année 2025 aura été une année riche en culture et en événements rassembleurs à Pointe-au-Père. Dans le cadre des commémorations du 111ᵉ anniversaire du naufrage de l’Empress of Ireland, le Site historique a réalisé plusieurs activités de médiation, dont la visite de la réserve muséale et une conférence organisée en collaboration avec l’organisme Heritage Lower Saint-Lawrence qui a attiré un large public », indique l’équipe du Site historique maritime de la Pointe-au-Père dans un communiqué.
L’événement a été marqué par le dévoilement d’un don exceptionnel du plongeur Ronald Stopani, soit le télégraphe Marconi utilisé pour envoyer le SOS lors du naufrage du navire.
La muséologue du Site historique maritime de la Pointe-au-Père, Roxane Julien-Friolet et la directrice générale, Hélène Théberge. (Photo courtoisie)
Quatre 5 à 7 musicaux ont animé la terrasse du Hangar 14 durant l’été, mettant en valeur des artistes locaux.
Cette programmation estivale a été bien accueillie par les touristes, comme les résidents de Rimouski, attirant environ 350 participants. L’expérience sera reconduite en 2026.
Soulèvement du sous-marin
L’année a également été marquée par l’avancement de plusieurs projets. Le chantier de soulèvement du sous-marin Onondaga, amorcé à l’automne 2024, a été complété en octobre dernier.
Le sous-marin sera pleinement accessible aux visiteurs dès le 6 juin 2026.
L’équipe de Bédard Laroche qui a travaillé sur le chantier de l’Onondaga. (Photo courtoisie)
« Le Site historique maritime de la Pointe-au-Père a aussi adopté son premier plan d’action en développement durable, déjà déployé à travers une dizaine d’initiatives : actions de sensibilisation, amélioration du bien-être des équipes et des visiteurs, approvisionnement plus responsable ou encore participation à des mesures de mobilité durable, notamment lors des Journées de la culture », explique sa direction.
La Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) blâme l’employeur et la méthode de travail utilisée pour expliquer le décès d’un travailleur de l’entreprise WM Déneigement, survenu le 28 mars 2025 à Témiscouata-sur-le-Lac.
Le jour de l’accident, l’homme déneigeait le toit d’une remorque en utilisant une échelle aérienne installée dans la caisse d’une camionnette. Une fois la tâche terminée, il a repris place dans la partie supérieure de l’équipement.
Lorsque le conducteur a déplacé la camionnette, le travailleur a perdu l’équilibre et a fait une chute d’environ quatre mètres. Transporté à l’hôpital, il a succombé à ses blessures.
Selon la CNESST, le mouvement du véhicule alors que le travailleur se trouvait toujours au sommet de l’échelle a directement entraîné la chute. L’organisme juge que la méthode de travail était déficiente puisqu’elle a exposé le travailleur à un risque élevé de glissade et de perte d’équilibre.
Gestion adéquate de la santé
La CNESST conclut également que l’employeur n’assurait pas une gestion adéquate de la santé et de la sécurité lors des travaux en hauteur ni lors des déplacements de l’échelle aérienne montée sur véhicule.
À la suite de l’accident, l’organisme a interdit l’utilisation de la camionnette et suspendu les travaux de déneigement des remorques sur le site. Pour autoriser leur reprise, elle a exigé une procédure de travail sécuritaire assortie d’un moyen de contrôle ainsi qu’une attestation d’ingénieur pour l’échelle. L’employeur ne s’est pas conformé à ces demandes.
La CNESST rappelle que l’employeur doit prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger la santé, la sécurité et l’intégrité des travailleurs, et s’assurer que l’organisation du travail de même que les équipements et méthodes utilisés sont sécuritaires.
L’Océanic 1 dans la catégorie M11 C et le Mistral de Mont-Joli dans le M15 A ont remporté les grands honneurs du 38e Tournoi provincial de hockey mineur Desjardins, présenté en fin de semaine dernière à Rimouski.
Dans une finale entièrement rimouskoise, l’Océanic 1 a profité de deux buts de Lorenzo Ruest pour l’emporter 2-1 contre l’Océanic 2. Le filet adverse appartient à Louis Bernier.
L’Océanic 1 a remporté les honneurs du 38e Tournoi provincial Desjardins de Rimouski dans la catégorie M11 C. (Photo courtoisie Josée Gagné)L’Océanic 2 est finaliste dans la catégorie M11 C du 38e Tournoi provincial Desjardins de Rimouski. (Photo courtoisie Josée Gagné)
Évoluant habituellement dans le hockey scolaire, le Mistral M15 D3 a obtenu l’autorisation de participer au tournoi dans la catégorie M15 A. Mont-Joli a finalement eu le dessus 4-1 en finale contre les 33 des Basques.
Tirant de l’arrière 1-0 après une période, le Mistral a répliqué avec quatre buts sans réplique, ceux de François-Xavier Lepage, Logan Desrosiers-Page (2) et Gabriel Morissette.
Le Mistral de Mont-Joli est champion dans la catégorie M15 A du 38e Tournoi provincial Desjardins de Rimouski. (Photo courtoisie Josée Gagné)
Une autre équipe régionale, les 33 des Basques M13 A, a vaincu les Alliés de Montmagny par la marque de 5-2 lors du match ultime.
Un total de 136 parties ont été disputées sur les deux glaces du Complexe sportif Desjardins, au Colisée Financière Sun Life, au Pavillon polyvalent et au Pavillon des Loisirs de Saint-Fabien.
Tous les résultats
M11 A : Rapides Beauce-Nord 1-0 Seigneurs Lotbinière
M11 B : Aigles Côte-De-Beaupré/Île d’Orléans 4-1 Fleur de Lys du Témiscouata
M11 C : Océanic 1 2-1 Océanic 2
M13 A : 33 Basques 5-2 Alliés Montmagny
M13 B : Rapides de Beauce-Nord 3-0 Faucons Beauport
M15A : Mistral de Mont-Joli 4-1 33 Basques
M15 B : Chevaliers Val-Bélair/Val-Cartier 3-1 Voisins Kamouraska
M18 A : Seigneurs Lotbinière 3-2 Gouverneurs Sainte-Foy-Sillery-Ancienne-Lorette
M18 B : Seigneurs Lotbinière 2-1 Rapides Beauce-Nord
La population du grand Rimouski a, une fois de plus, fait preuve d’une solidarité remarquable pour soutenir les familles démunies durant la période des Fêtes, jeudi dernier (4 décembre), en amassant 135 500 $ lors de la Guignolée des médias.
Ces dons viennent d’Immobilia Rimouski, Entretien ménager Émilien Langlois, Armoire Perreault, David Boulianne (courtier immobilier), Danie Truchon (courtière immobilière), Harley-Davidson Rimouski, le Restaurant Haute Ville / Bar Ti-Québec, Beaulieu Décor / D’Astous et Frères, Nissan Rimouski ainsi que des députés Maïté Blanchette Vézina et Maxime Blanchette-Joncas.
De plus, le Restaurant Haute Ville et l’Archidiocèse de Rimouski ont aussi offert des dons majeurs de 10 000 $ et 15 000 $ respectivement.
Des bénévoles à l’œuvre pour la Guignolée des médias à Rimouski (Photo Le Soir.ca)
Au total, 250 bénévoles ont pris part à l’opération orchestrée par le Centre d’action bénévole de Rimouski-Neigette.
Environnement Canada met en garde la population de la région de Rimouski contre des niveaux d’eau plus élevés qu’à la normale qui pourraient survenir, ce samedi 6 décembre, particulièrement autour de la marée haute prévue en mi-journée ou en après-midi.
L’agence fédérale a publié un avertissement météorologique, vendredi, prévoyant que les marées les plus hautes de l’année, combinées aux effets résiduels d’une dépression ayant récemment traversé le golfe du Saint-Laurent, pourraient faire grimper davantage les niveaux d’eau.
Contrairement à d’autres épisodes côtiers, ce risque de débordement ne serait pas causé par les vents ou les vagues, mais bien par la surélévation naturelle du niveau marin accentuée par le contexte météorologique.
Des inondations côtières demeurent possibles le long du littoral du Bas-Saint-Laurent, incluant Rimouski et les secteurs riverains avoisinants.
Des débordements ont eu lieu, jeudi, dans le secteur du Rocher-Blanc à Rimouski.
Le mercure demeurera froid, samedi, avec un refroidissement éolien prévu à -23 degrés Celsius en matinée et de -13 degrés Celsius en après-midi.
Même si l’hiver ne débutera officiellement que vers le 21 décembre, le Bas-Saint-Laurent vit son premier froid polaire de 2025-2026, alors que le ressenti pourrait atteindre -30 degrés Celsius, vendredi matin à Rimouski.
Environnement Canada prévoit de nouvelles averses de neige et de la poudrerie par endroits, en plus d’un mercure à -10 °C. Des rafales pouvant atteindre 50 km/h provoqueront un facteur éolien de -30 °C.
Le facteur éolien s’améliorera toutefois au cours de la journée. Il devrait remonter à -21 °C d’ici le début de la nuit.
L’arrivée du vortex polaire explique la période de grand froid des derniers jours. Le temps devrait graduellement se réchauffer, mais seulement d’ici la semaine prochaine.
Une résidence secondaire de la rue de la Plage a été la proie des flammes, vendredi vers 5 h, dans le district Sacré-Cœur à Rimouski.
À leur arrivée, les pompiers faisaient déjà face à un embrasement généralisé. La résidence est une perte totale.
Une interruption volontaire en électricité a été demandée à Hydro-Québec sur la rue de la Plage afin de permettre au Service incendie de travailler plus sécuritairement. Environ 1 000 résidences du secteur Sacré-Cœur ont été privées d’électricité pendant un peu plus d’une heure. Le service a été rétabli vers 7 h.
Aussitôt lancée, aussitôt refusée. L’initiative présentée par Maïté Blanchette Vézina à l’Assemblée nationale pour réclamer la finalisation de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski a été rejetée par la CAQ.
Appuyée notamment par le maire de Rimouski, Guy Caron, la députée indépendante a déposé mardi une motion avec l’aide de son collègue libéral de Nelligan, Monsef Derraji, dans un geste transpartisan visant à soutenir la mobilisation autour de cet enjeu majeur pour l’Est-du-Québec.
En plus de Guy Caron, la préfète de la MRC de Rimouski-Neigette, Julie Thériault, les maires de Saint-Simon et de Saint-Fabien, Francis Beaulieu et Mario Beauchesne, ainsi que le préfet de la MRC des Basques, Gabriel Belzile, ont participé à la démarche, accompagnés notamment de la co-porte-parole du comité en faveur du prolongement, Blandine Michaud.
« L’Est-du-Québec ne peut plus servir de zone oubliée par un gouvernement qui accumule les retards. Compléter l’autoroute 20, c’est soutenir nos entreprises, protéger nos familles et reconnaître enfin l’importance stratégique du Bas-Saint-Laurent. Or, la semaine dernière, le Vérificateur général du Québec révélait que le Plan québécois des infrastructures (PQI) est sous-évalué de 75 milliards. Une erreur de planification majeure qui explique pourquoi les projets stagnent », estime monsieur Derraji.
Mener le projet à terme
Manifestations, rassemblements, marches, pétitions, promesses : rien ne semble suffire pour faire avancer le prolongement de l’autoroute 20.
Mis sur pause au moins jusqu’en 2030, le projet accumule les retards, principalement en raison des coûts anticipés, malgré les nombreux arguments avancés pour en justifier la réalisation.
La construction du fameux pont au-dessus de la rivière Trois-Pistoles, évaluée à un milliard en 2015, demeure un problème plus que majeur.
À ce moment, le gouvernement libéral de Philippe Couillard avait justement choisi de prioriser l’autoroute 85 qui mène de Rivière-du-Loup au Nouveau-Brunswick.
« Depuis des années, les chiffres sont là : la circulation est en hausse. Au-delà des données, il y a des accidents et des familles endeuillées. L’enjeu de la sécurité et de la circulation au Bas-Saint-Laurent est primordial. C’est important de le dire et de se mobiliser ensemble, peu importe notre allégeance politique, parce qu’il en va de la sécurité des gens et de la fluidité des déplacements », rappelait madame Blanchette Vézina lors d’une activité citoyenne en octobre.
Maïté Blanchette-Vézina (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
Elle souligne également que la circulation continuera d’augmenter. Pour obtenir l’autoroute 20 en 2035, Québec doit financer les études nécessaires, pourtant suspendues par le gouvernement caquiste lors du dernier budget.
Le projet de prolongement de l’autoroute 20 demeure inscrit au Plan québécois des infrastructures (PQI), mais ne recevra aucune nouvelle somme d’ici 2030.
« On a entendu qu’il y a eu des investissements majeurs dans l’éolien, ce qui veut dire que des composantes éoliennes vont circuler dans un tronçon qui n’est pas une autoroute, à côté de maisons et de résidences. Je sais qu’il y a des gens ici qui voient cette circulation chaque jour. Ça n’ira qu’en augmentant. Pour moi, il est primordial qu’on finance les études. C’est ce qu’on avait dit, c’est ce que je vous avais promis : mettre à jour les études. Malheureusement, par des choix électoralistes, le gouvernement a décidé de mettre des fonds ailleurs. Le message qu’on lui envoie aujourd’hui, c’est qu’il est important de prioriser l’Est-du-Québec, parce que la sécurité des gens d’ici compte. »
Un dossier national
Pour Pascal Bérubé, le dossier dépasse les enjeux régionaux.
« Cela fait 18 ans que j’emprunte chaque semaine cette route pour me rendre à l’Assemblée nationale, mais ce n’est pas de moi qu’on doit parler, c’est de nous tous, qui prenons cette route ou qui y habitons. C’est aussi pour nos familles et pour les touristes qui l’empruntent. C’est un enjeu de sécurité, d’abord et avant tout, et uniquement pour cette raison, ça vaut la peine de se mobiliser », déclarait le député de Matane-Matapédia en octobre dernier.
Le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé (Photo Facebook)
Ailleurs au Québec, plusieurs tronçons ont été priorisés malgré des volumes de circulation inférieurs à ceux observés entre Rimouski et Mont-Joli, ou encore entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski.
« Tout au long de la route entre Québec et Chicoutimi, c’est une véritable autoroute : deux voies de chaque côté et un terre-plein central. C’est ça, une autoroute 20. Ce sont des investissements importants, mais la région s’est mobilisée. Elle a bien fait, ça a été long, mais elle a obtenu son autoroute. La Beauce aura des investissements. L’Outaouais aura des investissements. Si on ne demande pas ces investissements et qu’on renonce, l’argent ira ailleurs, et j’apprends que c’est effectivement ce qui se produit. »
Les sept formations de la Ligue de baseball senior Puribec du Bas-Saint-Laurent ont confirmé leur retour pour la 48e saison, en 2026.
Les dirigeants du Shaker de Rimouski, des Allées du Boulevard de Matane, du Bérubé GM de Trois-Pistoles, du CIEL-FM de Rivière-du-Loup, des Braves Batitech du Témiscouata, des Industries Desjardins du Kamouraska et du Frontière FM d’Edmundston ont officialisé leur intention, le 29 novembre dernier, lors de leur assemblée générale annuelle.
Parmi les dossiers discutés, les équipes pourront de nouveau intégrer deux joueurs importés à leur alignement. Cette mesure vise notamment à combler le manque de lanceurs.
Le président de la Ligue de baseball senior Puribec, Denis Bérubé (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
Pour l’instant, le Frontière FM d’Edmundston conserve aussi la possibilité d’en ajouter un troisième, mais cette décision sera réévaluée dans les prochains mois.
Par ailleurs, la Ligue Puribec maintiendra l’usage des bâtons de bois pour l’ensemble de ses matchs, alors que d’autres circuits majeurs au Québec autoriseront les bâtons d’aluminium, l’été prochain.
La Sûreté du Québec, appuyée par plusieurs services policiers ontariens, a procédé à trois arrestations en lien avec le meurtre de Michael Lévesque-Fitzpatrick, survenu le 29 novembre 2024 à Rimouski.
Les services d’urgence avaient été dépêchés dans un appartement de la rue Pierre-D’Anjou, où les policiers avaient constaté le décès de l’homme de 35 ans, lié au crime organisé.
La SQ a d’abord intercepté Guillaume Proulx, 30 ans, de Rimouski, arrêté le 20 novembre dernier à Trois-Rivières en vertu d’un mandat pour meurtre prémédité. Il a comparu le lendemain et demeure détenu.
Deux autres suspects, Doneil-Josiah Levy-Porter et Jahshai Cooper, tous deux âgés de 19 ans et originaires de Brampton, ont été appréhendés le 2 décembre par le service de police de Peel, à l’ouest de Toronto.
Visés par un mandat dans le même dossier, ils sont accusés de meurtre prémédité et demeurent emprisonnés.
Quatrième suspect recherché
Les policiers cherchent un quatrième suspect lié à cette affaire, Ingram Joe Mohamed, de Hamilton en Ontario.
L’homme de 20 ans fait l’objet d’un mandat d’arrestation pour meurtre prémédité. Il pourrait se trouver en Ontario ou au Québec.
Ingram Joe Mohamed est recherché par la police. (Photo courtoisie SQ)
Il mesure 1,67 m (5 pi 6), pèse 64 kg (140 lb) et a les cheveux noirs et les yeux bruns. La Sûreté du Québec demande l’aide du public pour tout renseignement permettant de le retrouver.
Opération policière d’envergure
À la suite du meurtre de Michael Lévesque-Fitzpatrick, une opération policière d’envergure avait eu lieu le 29 novembre 2024 en soirée, sur l’avenue des Goélands dans le district Pointe-au-Père, sans aucun suspect ne soit arrêté.
La victime est Michael Lévesque-Fitzpatrick, de Rimouski. (Photo courtoisie)
Des enquêteurs des crimes majeurs et un technicien spécialisé ont ensuite travaillé dans l’appartement où la victime se trouvait afin d’éclaircir les circonstances du drame.
Le Musique Fest Premier Tech comptera sur Simple Plan, Roxane Bruneau et Matt Lang comme têtes d’affiche pour sa 4e présentation, du 11 au 13 juin 2026, à Rivière-du-Loup.
Le comité organisateur a dévoilé l’intégralité de la programmation musicale. Ses dirigeants proposent une édition ambitieuse avec un budget d’opérations frôlant le million de dollars.
« L’engouement pour le Musique Fest Premier Tech ne cesse de croître. En 2025, nous avons enregistré une croissance des ventes par rapport à 2024. C’est une preuve tangible que notre communauté s’approprie le festival et en redemande », souligne le président des Shows Festifs, l’organisme derrière le Musique Fest Premier Tech, Steeve Drapeau, dans un communiqué.
Kaïn, Jay Scott, Kevin Parent, Classe Moyenne, Savannah Jade et Zagata fouleront aussi la grande scène Desjardins durant les trois soirées de festivités.
Un spectacle du Musique Fest présenté en 2025. (Photo courtoisie)
Les rues Frontenac et Lafontaine deviendront aussi festive avec plusieurs activités, dont des spectacles proposés au public.
Le Musique Fest a mis en vente ses bracelets et ses laisser-passer journaliers sur son site Web.
La LHJMQ a récompensé l’excellent travail de Maxim Massé au cours du dernier mois. L’attaquant rimouskois des Saguenéens de Chicoutimi a été nommé l’attaquant par excellence de novembre.
Durant cette période, Massé a récolté 20 points (10-10) en 12 parties, dont un match de deux buts et deux passes, le 5 novembre, contre le Drakkar de Baie-Comeau.
L’ailier de 19 ans a également réussi une séquence de 10 parties avec au moins un point en novembre.
Deux de ses buts ont procuré la victoire aux Saguenéens, dont un marqué lors de sa 200e rencontre en saison régulière, le 22 novembre, contre les Mooseheads de Halifax.
Après avoir été blanchi à son 11e match du mois, l’espoir des Ducks d’Anaheim a conclu novembre avec un tour du chapeau, dimanche dernier (30 novembre), contre les Foreurs à Val-d’Or.
Maxim Massé tente de pousser la rondelle dans le filet défendu par Mathis Langevin de l’Océanic (Photo courtoisie Bruno Girard)
Maxim Massé occupe actuellement le sixième rang des meilleurs marqueurs de la LHJMQ avec 33 points en 24 matchs. Ses 18 buts représentent le troisième meilleur total jusqu’à maintenant en 2025-2026.
À l’initiative de Maïté Blanchette Vézina, une délégation d’élus et de citoyens du Bas-Saint-Laurent, dont le maire de Rimouski, Guy Caron, a appuyé mardi le dépôt d’une motion à l’Assemblée nationale réclamant la finalisation de l’autoroute 20 entre Notre-Dame-des-Neiges et Rimouski.
Portée par la députée indépendante de Rimouski, cette motion a reçu l’appui de son collègue libéral de Nelligan, Monsef Derraji, dans un geste transpartisan visant à soutenir la mobilisation autour de cet enjeu majeur pour l’Est-du-Québec.
« L’autoroute 20 est bien plus qu’un projet d’infrastructure. C’est une question de sécurité, d’équité et de développement », a indiqué Mme Blanchette Vézina dans un communiqué.
En plus de Guy Caron, la préfète de la MRC de Rimouski-Neigette, Julie Thériault, les maires de Saint-Simon et de Saint-Fabien, Francis Beaulieu et Mario Beauchesne, ainsi que le préfet de la MRC des Basques, Gabriel Belzile, ont pris part à la démarche, accompagnés notamment de la co-porte-parole du comité en faveur du prolongement de la 20, Blandine Michaud.
« L’Est-du-Québec ne peut plus servir de zone oubliée par un gouvernement qui accumule les retards. Compléter l’autoroute 20, c’est soutenir nos entreprises, protéger nos familles et reconnaître enfin l’importance stratégique du Bas-Saint-Laurent. Or, la semaine dernière, le vérificateur général du Québec révélait que le Plan québécois des infrastructures (PQI) est sous-évalué de 75 milliards. Une erreur de planification majeure qui explique pourquoi les projets stagnent », estime M. Derraji.
Mener le projet à terme
Maïté Blanchette Vézina, en collaboration avec Monsef Derraji et le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, a présenté la motion demandant au gouvernement de réaffirmer le caractère essentiel du projet pour la sécurité routière et le développement économique régional.
La motion fait également écho à celle adoptée à l’unanimité le 24 avril 2024, réaffirmant la nécessité de mener le projet à terme.
La députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina et le maire de Rimouski, Guy Caron. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Le passage de la délégation à Québec visait à rappeler la détermination du milieu bas-laurentien à voir ce chantier prioritaire progresser rapidement et à obtenir l’assurance que le prochain PQI inclura les sommes requises.
« Ce gouvernement doit cesser d’improviser, arrêter de repousser l’échéance et enfin livrer ce qu’il promet », soutient Monsef Derraji.
La Fondation Santé Rimouski lance la 23e Loto Voyage avec 79 250$ en prix, dont un crédit voyage de 10 000$. Chaque année, l’activité permet d’amasser plus de 100 000$ pour soutenir la réalisation de projets à l’Hôpital régional et ses différentes installations.
En 2026, les participants courent la chance de remporter l’un des 22 prix disponibles.
Parmi ceux-ci, ils mettront la main sur une carte-cadeau de 1 250$ chez Coop Alimentation IGA et des crédits voyage chez Club Voyages Inter-Monde Rimouski, dont un crédit exceptionnel de 10 000$, le plus important de l’histoire de la loterie.
Les gagnants de crédits voyage peuvent également choisir 85 % de la valeur du prix en argent.
L’an dernier, la Loto Voyage a notamment permis de financer l’achat de mobilier spécialisé et sécuritaire pour les aires communes de l’unité de psychiatrie 1C ainsi que l’acquisition de chariots de stimulation pour trois résidences privées et ressources intermédiaires pour aînés de Rimouski.
Alors que l’idée de renommer le stade de football du Complexe sportif Guillaume-Leblanc de Rimouski en hommage à Éric Avon a été évoqué depuis le décès de l’ex-entraîneur des Pionniers, sa famille tire un trait sur le projet, invoquant le respect de sa discrétion et de ses valeurs.
Deux figures marquantes de l’histoire de l’équipe, Louis Khalil et Éric Boucher, ont témoigné en faveur de cette initiative pour rappeler l’influence déterminante de l’enseignant du Cégep de Rimouski sur des générations d’athlètes.
Or, la famille précise qu’elle ne souhaite pas voir une telle démarche être menée.
« Elle remercie sincèrement chacun d’entre vous pour l’affection, l’admiration et le respect que vous continuez de lui témoigner. Bien que cette proposition découle d’intentions nobles, elle demande que ce projet ne soit pas poursuivi en son nom », écrit dans un communiqué Jocelyn Pelletier, ami de la famille et membre du conseil d’administration des Pionniers football.
Marques de soutien
La famille remercie la population de toutes les marques de soutien reçues depuis le décès d’Éric Avon.
« Elle souhaite préserver sa mémoire dans la simplicité, la discrétion et le respect de ce qu’il était », poursuit monsieur Pelletier, aussi conseiller municipal du district St-Robert.
Le stade de football du Complexe sportif Guillaume-Leblanc de Rimouski. (Photo courtoisie)
Alors que l’idée de renommer le stade de football du Complexe sportif Guillaume-Leblanc en hommage à Éric Avon a été évoqué depuis le décès de l’ex-entraîneur des Pionniers, sa famille tire un trait sur le projet, invoquant le respect de sa discrétion et de ses valeurs.
Deux figures marquantes de l’histoire de l’équipe, Louis Khalil et Éric Boucher, ont notamment témoigné en faveur de cette initiative pour rappeler l’influence déterminante de l’enseignant du Cégep de Rimouski sur des générations d’athlètes.
Or, la famille précise qu’elle ne souhaite pas voir une telle démarche être menée en son nom.
« Elle remercie sincèrement chacun d’entre vous pour l’affection, l’admiration et le respect que vous continuez de lui témoigner. Bien que cette proposition découle d’intentions nobles, elle demande que ce projet ne soit pas poursuivi en son nom », écrit dans un communiqué envoyé par Jocelyn Pelletier, ami de la famille et membre du conseil d’administration des Pionniers football.
Marques de soutien
La famille remercie tout de même la population de toutes les marques de soutien reçues depuis le décès d’Éric Avon.
« Elle souhaite préserver sa mémoire dans la simplicité, la discrétion et le respect de ce qu’il était », poursuit monsieur Pelletier, aussi conseiller municipal du district St-Robert.
Le stade de football du Complexe sportif Guillaume-Leblanc de Rimouski. (Photo courtoisie)
Les équipes du Mistral de Mont-Joli M13 D1 relève et M15 D2 ont rapporté des bannières de champions et de finalistes lors de la 4e Classique Sphinx, un tournoi de hockey scolaire présenté en fin de semaine dernière à Rivière-du-Loup.
Le M13 D1 a survolé la compétition en remportant cinq victoires consécutives, dont la finale par la marque de 10 à 2 contre la polyvalente La Samare de Plessisville.
Au cours ses rencontres, le Mistral a marqué 40 buts tout en n’en concédant que 12 à ses adversaires. Rémi Thibault (6-7-13), Louis-Charles Émond (8-3-11) et Caleb Brisson (8-3-11) ont notamment dominé la compétition parmi les meilleurs pointeurs.
En saison régulière, la formation dirigée par Vincent Chénard domine la section LHPS du Réseau du sport étudiant du Québec avec 10 victoires en 11 matchs en date du 2 décembre.
Remontée en troisième période
Pour sa part, le Mistral M15 D2 s’est incliné 3 à 2 en finale face à l’école secondaire Cardinal-Roy de Québec. Mont-Joli menait 2 à 0 en troisième période avant de voir son adversaire réussir la remontée, inscrivant le but gagnant en fin de rencontre.
Le Mistral M15 D2 est finaliste de la Classique Sphinx 2025. (Photo courtoisie)
L’équipe de Vincent Thibault occupe également le premier rang de la section LHPS du Réseau du sport étudiant du Québec cette saison, avec une fiche de 11-1-1 en date du 2 décembre.
Aussi présente à Rivière-du-Loup, le Mistral M15 D1 n’a pas franchi le tour préliminaire, terminant avec une fiche de 1-2.
La Sûreté du Québec met en garde les automobilistes qu’un texto frauduleux circule depuis les dernières heures, au Bas-Saint-Laurent, les informant qu’ils auraient commis une infraction routière, accompagné d’un lien les invitant à « régulariser » la situation.
Les autorités confirment qu’il s’agit d’une fraude. Elles rappellent qu’aucun constat d’infraction ni aucune demande de paiement n’est transmis par message texte.
La SQ procède plutôt par courrier ou par contact officiel.
Les policiers invitent les citoyens à ne pas cliquer sur le lien, à supprimer le message et à demeurer vigilants.
En cas de doute, il est recommandé de communiquer directement avec son service de police.
L’attaquant originaire d’Amqui, Romain L’Italien, des Eagles du Cap-Breton, a été nommé joueur de la semaine dans la LHJMQ.
Lors de deux matchs de la route contre Saint John, L’Italien a trois buts et ajouté quatre passes. Il a livré son meilleur match en carrière, samedi dernier contre les Sea Dogs, où il a réalisé son premier tour du chapeau en carrière en plus d’ajouter deux mentions d’aide et en obtenant un rendement de +5.
Il fulgurait sur la liste initiale d’espoirs de la LNH pour le repêchage de 2026, après avoir été sélectionné quatrième au total par les Eagles en 2024.
Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) du Bas-Saint-Laurent exige de nouveau le port du masque de procédure dans certains secteurs de ses centres hospitaliers.
Cette mesure s’applique autant pour les usagers, les visiteurs, les proches aidants, les travailleurs et les médecins lors de soins et services à moins de deux mètres.
Ils comprennent les urgences incluant les salles d’attente, les soins intensifs, les unités d’hospitalisation de courte durée, les unités de réadaptation, les unités de psychiatrie, en hémodialyse, en oncologie et en néonatalogie.
« Selon l’évolution de la situation épidémiologique, d’autres secteurs de nos établissements pourraient s’ajouter à cette liste », indique le CISSS par voie de communiqué.
Le CISSS du Bas-Saint-Laurent explique observer une recrudescence des virus respiratoires dans ses milieux de soins.
En raison de travaux d’entretien dans trois stations de pompage prévus les 3, 4 et 9 décembre, Rimouski déversera ses eaux usées durant cette période dans le fleuve Saint-Laurent.
Dans un communiqué, la Ville assure qu’elle coordonnera ses opérations afin de minimiser la durée des débordements pour respecter l’ensemble des exigences du ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs.
Les travaux se tiendront ce mercredi 3 décembre au poste de pompage Tessier, de 8 h à 12 h, concernant la zone comprise entre la limite ouest du district de Sacré-Cœur jusqu’à l’avenue de la Cathédrale.
Ils se poursuivront ce jeudi 4 décembre au poste Julien-Réhel, de 8 h à 17 h, concernant le territoire entre la limite ouest du district de Sacré-Cœur jusqu’à la montée Industrielle-et-Commerciale.
Les interventions se termineront le mardi 9 décembre, de 8 h à 21 h, au poste de pompage Pointe-Pouliot, pour la zone du district de Pointe-au-Père, entre l’avenue Joseph-Paradis ainsi que les rues J.-Alexandre-Chevron/des Tournesols
Collaboration demandée à la population
Durant les opérations, la Ville de Rimouski demande aux citoyens des zones concernées de réduire leur consommation d’eau afin de diminuer les volumes déversés.
Les autorités recommandent notamment de reporter le lavage des vêtements, l’utilisation du lave-vaisselle et toute activité importante de consommation d’eau domestique.
Le poste de pompage Julien-Réhel à Rimouski (Photo courtoisie)
Elles rappellent que les résidus de table, les matières solides comme les lingettes humides, les tampons, les serviettes hygiéniques ou la soie dentaire ainsi que les résidus domestiques dangereux, comme l’huile à moteur, la peinture ou les médicaments, ne devraient jamais être jetées dans la toilette ou dans l’évier.
Le Centre de services animaliers de Rimouski lance un nouvel appel à la responsabilité après avoir pris en charge Kira, une chienne volontairement abandonnée, vendredi dernier (28 novembre), dans les rues de la ville.
Dans une publication Facebook, son équipe raconte l’histoire de l’animal, qui fêtera ses deux ans le 13 décembre. Kira a été retrouvé en pleine rue après avoir été laissé à elle-même. « Pas perdue. Pas échappée. Abandonnée », souligne-t-elle.
Kira n’en est pas à sa première rupture. En deux ans, elle aurait connu quatre familles différentes. Sauvée d’une euthanasie parce que sa précédente famille « manquait de temps », elle a ensuite été replacée avant d’être de nouveau abandonnée.
Pas un cas isolé
Le Centre de services animaliers de Rimouski indique que l’histoire de Kira n’est pas isolée. L’organisme observe une hausse des abandons liés à des adoptions impulsives ou à des difficultés d’adaptation jugées trop lourdes par certains propriétaires.
« Un abandon, ce n’est pas un geste banal. C’est un traumatisme. Un chien laissé dehors peut se faire frapper, attaquer, geler ou ne jamais être retrouvé », écrit-on.
Désormais en sécurité, Kira se porte bien, précise l’équipe. Elle sera mise en adoption au cours de la semaine.
Le CSAR invite la population à se rappeler que l’adoption d’un animal représente un engagement à long terme et non « une option qu’on abandonne quand ça devient moins pratique ».
Première fin de semaine couronnée de succès pour l’équipe d’Opération Nez rouge, avec 54 raccompagnements enregistrés lors des soirées de vendredi et samedi à Rimouski.
Dans un communiqué, le comité organisateur souligne que ses équipes ont été accueillies chaleureusement dans tous les endroits visités.
Les soirées de raccompagnement se poursuivront les 5, 6, 12, 13, 18, 19 et 20 décembre en composant le 418-725-2525. Le secteur desservi inclut Rimouski, mais aussi les districts du Bic et de Sainte-Blandine, ainsi que les municipalités de Saint-Fabien, Saint-Anaclet-de-Lessard et Sainte-Luce.
Tous les profits récoltés seront remis au Club de natation Les Dauphins de Rimouski.
Rimouski a accueilli davantage de visiteurs au cours du dernier été comparativement à 2024, selon les données compilées par son bureau d’information touristique.
En tout, 7 639 personnes ont été reçues entre mai et octobre. Elles venaient passer un séjour moyen de trois jours.
Le Service de développement économique et touristique de Rimouski, qui a succédé à la SOPER, indique que la progression du nombre de touristes a été supérieure à 10 % en juin, 29 % en juillet, 13 % en août et 15 % en septembre.
Globalement, les demandes d’information ont bondi de 16 % depuis la réouverture du bureau touristique, en mai dernier, désormais ouvert à l’année.
Les principaux motifs évoqués pour choisir Rimouski demeurent la facilité d’accès, la présence du fleuve et la diversité des activités de plein air.
En 2025, 75 % des touristes provenaient du Québec, 5 % de l’Ontario et 14 % de l’Europe, dont 11 % de la FranceLa présentation de la Coupe Memorial, en mai dernier, a par ailleurs contribué à une hausse de 2 % de la fréquentation.
Île Saint-Barnabé toujours populaire
L’Île Saint-Barnabé a accueilli 3 800 visiteurs en 2025, une augmentation de 8 % par rapport à l’année précédente. De ce lot, 90 % des réservations provenaient de la population locale, dont une majorité vivait une première expérience sur l’île.
Le camping rustique a cumulé 278 nuitées, une hausse de 49 % par rapport à 2024.
Des visiteurs sur l’île Saint-Barnabé (Photo courtoisie)
Pour accentuer encore plus sa promotion touristique, la Ville a récemment lancé un sondage destiné aux entreprises et organisations touristiques. Ses dirigeants souhaitent prendre acte de leurs observations, enjeux et priorités afin de guider les actions futures.
Les entreprises ont jusqu’au 16 décembre pour remplir le sondage.
Les 25 préposés responsables de répondre aux appels 911 au Centre d’appels d’urgence des régions de l’Est-du-Québec (CAUREQ), à Rimouski, ont entamé une grève samedi à minuit. Les négociations pour renouveler leur convention collective, échue depuis mars 2023, demeurent au point mort.
Selon la Fédération du préhospitalier du Québec, 14 journées de discussions ont déjà eu lieu avec le Conseil du Trésor et les représentants patronaux, sans véritable ouverture pour notamment hausser les salaires.
« Nos demandes sont claires. Nous exigeons que les préposés au traitement des appels d’urgence obtiennent des conditions de travail et des conditions salariales équivalentes à celles des autres répartiteurs représentés par la Fédération du préhospitalier », écrit son vice-président exécutif, Jérémie Corneau-Landry, sur la page Facebook du CAUREQ.
Cette grève n’aura aucun impact sur les services offerts à la population, encadrés par la loi des services essentiels. Les syndiqués effectueront plutôt des actions administratives et symboliques.
Conditions inacceptables
« Nous réclamons le statu quo des conventions collectives déjà en vigueur dans les quatre autres unités d’accréditation que nous représentons, notamment en ce qui concerne les conditions salariales et les dispositions normatives. Or, le gouvernement et le comité patronal souhaitent offrir des conditions inférieures, ce qui est inacceptable. Le travail de préposé au traitement des appels d’urgence est un travail de première ligne, essentiel pour assurer des services rapides, efficaces et sécuritaires », explique monsieur Corneau-Landry.
La prochaine journée de négociation a été prévue le 8 décembre à Québec. La grève se poursuivra au moins jusqu’au lendemain. À compter de cette date, les syndiqués vont intensifier les moyens de pression et l’ensemble de la liste de services essentiels sera appliqué.
« Nos membres se mobiliseront afin de démontrer clairement leur insatisfaction envers les conditions proposées par le comité patronal, pour maintenir la pression et permettre aux négociations d’aboutir à une entente juste et respectueuse du travail effectué », indique Jérémie Corneau-Landry.
Chroniqueur plein air à « Rendez-Vous Nature », Alexis Nantel, connu sous le nom d’Alexis le Randonneur par sa série télévisée à RDS, offre 10 suggestions de cadeaux des fêtes aux amateurs de plein air.
« Je me suis amusé à fouiller les boutiques plein air du Québec et à comparer les essentiels pour trouver 10 articles pratiques, fiables et accessibles. Des suggestions qui font vraiment une différence dehors, sans ruiner son portefeuille », indique l’expert en plein air.
Pour entendre les suggestions d’Alexis Nantel, cliquez sur le lien ci-dessus.
Rimouski a célébré l’engagement et le professionnalisme du personnel de son Service de sécurité incendie lors d’une soirée de reconnaissance, le 27 novembre dernier, à l’hôtel de ville.
Au cours de cette cérémonie, la Ville a remis des médailles et des barrettes officielles soulignant les années de service complétées par les pompiers de son service.
« Chaque jour, les membres du Service de sécurité incendie se tiennent prêts à intervenir. En répondant présent, chacun fait preuve d’un engagement remarquable envers les Rimouskois. Cette soirée est l’occasion parfaite de saluer ce dévouement et ce professionnalisme, et de mettre en lumière le travail de ceux qui assurent la protection de notre communauté », indique le directeur du Service sécurité incendie de Rimouski, Jean-Sébastien Meunier, dans un communiqué.
Le directeur du Service de sécurité incendie de la Ville de Rimouski, Jean-Sébastien Meunier (Photo courtoisie)
Une mention particulière a également été décernée aux nouveaux employés ainsi qu’aux membres du personnel ayant obtenu une promotion au cours des deux dernières années