La Ville de Rimouski convie la population à une grande vente de livres d’occasion, qui se tiendra du 19 au 21 septembre, à la bibliothèque Lisette-Morin.
Des milliers de livres retirés des collections des bibliothèques seront offerts en échange d’une contribution volontaire. Des romans, des documentaires et des albums jeunesse seront notamment disponibles.
Tous les dons recueillis seront versés à Centraide, qui soutient un vaste réseau d’organismes engagés dans la lutte contre la pauvreté et l’isolement social dans la région.
Le chef de section aux Bibliothèques, David Nadeau, estime qu’il s’agit d’une occasion de promouvoir le plaisir de lire, en collaboration avec Centraide.
« J’invite la population rimouskoise à venir fouiller parmi les trésors littéraires! Une belle occasion de faire le plein de lecture tout en appuyant des organismes de la région. »
Informations supplémentaires
La grande vente de livres d’occasion aura lieu le vendredi, de 9 h 30 à 20 h, ainsi que le samedi et dimanche de 9 h 30 à 16 h 30.
Rappelons que l’activité est gratuite et qu’il est suggéré d’apporter un sac réutilisable afin de transporter les achats. Les dons en argent comptant et par carte de débit seront possibles. Les personnes qui désirent plus d’informations sont invitées à communiquer au 418 724-3164.
Le centre d'hébergement d'urgence pour personnes itinérantes à Rimouski a ouvert ses portes mercredi. Comment assurer une cohabitation harmonieuse? Le directeur de l'organisme le Point de rue à Trois-Rivières témoigne de l'acceptabilité sociale requise.
La Sûreté du Québec confirme être à la recherche d’un suspect en lien avec l’incendie qui a atteint un bâtiment abritant des logements, la pizzeria Italia et le bar Au Vieux Loup de Matane.
Une vidéo de surveillance permet d’apercevoir un individu circuler dans le stationnement arrière du bâtiment qui donne sur la rue Saint-Pierre. Or, sur ces images, on voit l’individu qui déclenche un feu à même un bac de recyclage situé aux abords du bâtiment.
La violence de l’incendie a été telle que le feu s’est propagé jusqu’en haut du bâtiment. De la fumée a aussi pénétré à l’intérieur de l’établissement, provoquant la fermeture de celui-ci.
L’enquête a été transférée à la Sûreté du Québec puisque la cause du sinistre demeure indéterminée. (Photo Le Soir.ca- Dominique Fortier)
Heureusement, personne n’a été blessé lors de l’incendie. Les locataires ont été relocalisés chez des proches ou dans un hôtel de la région.
Collaboration du public
La Sûreté du Québec demande la collaboration du public afin de retrouver l’individu qu’on voit sur les images de mauvaise qualité.
« Nous sommes conscients que la qualité de l’image n’est pas optimale, mais il est possible que certains puissent tout de même reconnaître cet individu à partir de son allure ou de ses déplacements », conclut le porte-parole de la SQ.
Les gens qui pensent avoir reconnu l’individu peuvent contacter la Centrale d’information criminelle au 1-800 659-4264.
« Nous avons eu des discussions avec la défense. Le ministère public doit faire certaines vérifications afin de s’assurer que la preuve soit complète », a mentionné la procureure de la Couronne, Me Frédérique Audet, le 27 juin dernier.
Premières accusations
Au départ, Marquis était accusé d’avoir observé et/ou produit un enregistrement visuel de quatre femmes alors qu’elles se trouvaient dans un lieu où l’on peut s’attendre à ce qu’une personne soit nue.
Les événements se seraient produits à Saint-Anaclet-de-Lessard et à Rimouski entre le 1er novembre 2023 et le 1er juillet 2024.
On reproche également à Stéphane Marquis d’avoir flâné et/ou rôdé dans la nuit sur la propriété d’autrui, près de deux maisons et de s’être commis à du harcèlement criminel envers une cinquième femme.
La dénonciation stipule que l’accusé aurait soit suivi cette femme, communiquée de façon répétée avec elle, cerné ou surveillé un lieu où elle réside ou travaille, ou se serait comporté de manière menaçante envers elle.
Sous le thème « Ensemble pour Sainte-Luce », madame Barriault exprime vouloir poursuivre le travail amorcé avec son équipe, par voie de communiqué.
« Depuis quatre ans, j’ai eu l’honneur de travailler aux côtés de nos citoyens, de porter des projets qui nous ressemblent et de bâtir ensemble une Sainte-Luce dynamique, accueillante et tournée vers l’avenir. »
La mairesse sortante estime que les prochaines années seront porteuses de nouvelles réussites pour sa municipalité.
« Sainte-Luce a encore tant de potentiel à faire rayonner. Je souhaite continuer à travailler avec vous, à écouter vos idées et à mettre en valeur notre milieu de vie exceptionnel. Ensemble, nous avons démontré que la force d’une communauté unie permet d’accomplir de grandes choses. »
Critiques parfois dures
Au début de juillet, Micheline Barriault avait aussi mis en relief les aspects plus difficiles de son travail.
« Comme bien des élus, j’ai été confrontée à des critiques parfois dures sur les réseaux sociaux. J’ai reçu des commentaires souvent injustes et parfois blessants, mais je ne laisse pas ces cas isolé définir qui nous sommes comme population. »
Elle avait cependant soulevé que le soutien qui lui avait été accordé de la part de citoyens, d’entrepreneurs et de membres de comité, l’avait convaincu de continuer.
La promenade de l’Anse-aux-coques de Sainte-Luce (Photo courtoisie)
Finalement, la mairesse sortante, candidate à la mairie, annonce qu’elle dévoilera prochainement l’ensemble des membres qui se présenteront à ses côtés pour former la nouvelle équipe de conseillers municipaux.
« Ensemble, nous formerons une équipe forte et dévouée, prête à porter ce beau projet collectif pour les quatre prochaines années », affirme-t-elle.
La chorégraphe et interprète Soraïda Caron aborde les complexités de l’adoption internationale, la quête d'identité et le sentiment d'appartenance à travers la danse contemporaine dans son spectacle Les petits désordres en première mercredi soir au Théâtre du Bic.
L’enquête entourant les présumées irrégularités financières et administratives de l’ex-directeur général de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Jean-Nicolas Marchand, progresse au point où la Sûreté du Québec pourrait procéder à son arrestation d’ici les prochaines semaines, selon des sources policières.
Puisqu’il a été transféré à la Division des crimes économiques, les enquêteurs affectés au dossier compléteraient sous peu l’analyse des différentes preuves colligées dans les derniers mois.
Officiellement, la SQ ne peut confirmer l’information ni identifier de suspects. Le corps policier explique que ce genre d’enquête prend souvent des mois, voire des années dans certains cas, avant d’en arriver à de possibles accusations contre un individu.
Restaurants, voyages, hôtels, bars, chalets, de nombreux retraits au guichet à toute heure du jour et de la nuit, transferts Interac de la Chambre à des comptes personnels : les premières transactions qui font l’objet du litige actuel remontent à son entrée en poste, en octobre 2022.
Des enquêteurs de la Sûreté du Québec (Photo courtoisie SQ)
Sentant possiblement qu’il tomberait de son piédestal, Marchand aurait tenté de récupérer des sommes d’argent en sollicitant des gens d’affaires, dans les semaines précédant son congédiement, prétextant que l’organisation se dirigeait « vers la faillite » sans leurs interventions immédiates.
Selon nos informations, une autre personne, proche de Jean-Nicolas Marchand, serait aussi impliquée dans cette affaire.
Québec permet que des travaux de dragage d'urgence soient effectués au port de Rimouski, avant que le processus d'évaluation et d'examen des impacts sur l'environnement soit terminé.
À Sainte-Anne-des-Monts une dizaine d'immigrants de l’Est-du-Québec ont reçu mercredi leur citoyenneté canadienne, lors d’une cérémonie organisée par un organisme qui vient en aide aux nouveaux arrivants.
Six organismes se disent lésés par les présumées irrégularités financières et administratives qui visent l’ex-directeur général de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Jean-Nicolas Marchand.
Le Centre de services animaliers de Rimouski, le Théâtre du Bic, l’Association de la construction du Québec – Bas-Saint-Laurent/Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Serviloge et Rimouski Ville Cyclable demandent à être remboursés pour leur participation, entre janvier et juin 2024, à une formation de l’École des entrepreneurs du Québec et organisée en collaboration avec monsieur Marchand.
« Malgré plusieurs rappels adressés à votre organisation, aucun retour de nous n’est parvenu à ce jour. Dans certains cas, il nous a été indiqué qu’un dépôt avait été effectué, mais, à ce jour, cela ne correspond malheureusement pas à la réalité de nos dossiers », écrivent les cosignataires d’une lettre écrite à la Chambre de commerce, le 15 septembre dernier, dont Le Soir.ca a obtenu copie.
De plus, Endurance Hockey, qui réunit une équipe de 25 joueurs affrontant différents adversaires durant 25 heures consécutives au profit de la Fondation Santé Rimouski, le Fonds d’études de l’Océanic et la Fondation Tag, attend toujours une commandite promise par l’ex-directeur général.
Les montants réclamés par chacun des organismes impliqués n’ont pas été détaillés dans la lettre.
Discussions individuelles
Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, confirme au Soir.ca avoir pris connaissance de la lettre.
« J’ai eu des discussions individuelles avec tous les organismes concernés afin de bien leur expliquer la situation. Cette histoire est reliée à 100% à l’enquête en cours sur monsieur Marchand. Tout le monde a très bien compris la situation. Pour l’instant, on ne peut en dire plus, tant et aussi longtemps que l’enquête se poursuit », indique monsieur St-Pierre, sympathisant envers les organismes touchés par la présumée fraude.
Restaurants, voyages, hôtels, bars, chalets, de nombreux retraits au guichet à toute heure du jour et de la nuit, transferts Interac de la Chambre à des comptes personnels : les premières transactions qui font l’objet du litige actuel remontent à son entrée en poste, en octobre 2022.
Selon nos informations, une autre personne, proche de Jean-Nicolas Marchand, serait aussi impliquée dans cette fraude présumée.
L’entreprise Ma Cabane en Gaspésie, dont le siège social est à Mont-Joli, vient d’être vendue à un acheteur qui demeure anonyme pour l’instant, mais qui oeuvre déjà dans le domaine de la transformation alimentaire.
Le fondateur Gino Ouellet confirme que la transaction est conclue même si elle sera officialisée par un notaire seulement dans quelques semaines.
La vente touche les installations du commerce situé dans le Carrefour giratoire de Mont-Joli, mais pas les érablières de la famille Ouellet, ni le bâtiment qui a été vendu à un promoteur immobilier de Rimouski.
La transaction comprend également l’important réseau de distribution comptant plus de 200 points de vente, dont des supermarchés IGA et Maxi.
L’importance de s’assurer d’une continuité
« Des problèmes de santé m’ont incité à penser à la retraite, il y a un an et demi. J’avais prévenu les employés que je pensais à vendre. C’est maintenant officiel. Le nouveau propriétaire va rencontrer les employés mardi prochain. C’était important pour moi de trouver quelqu’un de crédible qui sera en mesure de poursuivre les opérations et d’assurer une continuité. Nous avons été approchés par plusieurs entreprises, mais nous avons pris le temps d’en choisir une en qui nous avons confiance », explique Gino Ouellet, qui entend maintenant se concentrer sur la production acéricole avec ses 80 000 entailles.
Des produits de l’entreprise acéricole Ma Cabane en Gaspésie. (Photo Facebook)
Monsieur Ouellet signale que l’acquéreur va rencontrer l’équipe mardi prochain et que son identité sera dévoilée par la suite. « C’est quelqu’un qui œuvre déjà dans le domaine de la pâtisserie. Les opérations vont continuer de la même manière avec les mêmes produits ».
Entreprise fondée en 2010
L’homme d’affaires Gino Ouellet a fondé l’entreprise Ma Cabane en Gaspésie en 2010. L’entreprise a développé un vaste éventail de produits de l’érable. Elle a pignon sur rue dans le carrefour giratoire de Mont-Joli depuis 2014.
Le Bar Laser de Causapscal revient en force cette année avec Steven Leclerc et Maxime Charest, deux nouveaux présidents qui ont repris les rênes de l’équipe.
Le Laser version 2025 que les partisans verront sur la glace sera rehaussé par le retour de vétérans et l’arrivée de joueurs repêchés dans le nouveau territoire élargi.
« Nous avons mis sous contrat Olivier Gendron et Francis Bérubé. Patrick Tremblay et William Champagne de retour. Devant les buts, Jean-Christophe Parent partagera le travail avec Vincent Morin », explique Steven Leclerc.
Derrière le banc, l’équipe comptera sur Mathieu Morin au poste d’entraîneur-chef assisté de Jason Caron, un ancien joueur de l’Océanic bien connu dans la Vallée de la Matapédia.
Le capitaine de l’équipe, Olivier Gallant, sera aussi de retour avec la formation de Causapscal.
Tradition gagnante
L’an dernier, le Bar Laser avait terminé au cinquième rang du classement général avec une fiche de trois victoires et 13 défaites. Il avait subi l’élimination lors du tournoi à la ronde servant de première ronde des séries éliminatoires.
Steven Leclerc lors de la conquête du championnat en 2022 en compagnie de son père Stéphane, à droite et de son grand-père, Réal. (Photo courtoisie)
« Dans notre cœur, nous avons trois coupes à notre actif (en 2020, l’équipe menait 2-0 en finale avant l’interruption des activités en raison de la COVID-19) et on vise une quatrième cette année. Avec l’équipe qu’on présente cette année, on sera en mesure d’être compétitifs et on souhaite que nos partisans remplissent les estrades », conclut Steven Leclerc.
Des créanciers ne s'entendent pas en lien avec la Distillerie du St. Laurent. Des OBNL veulent être remboursés par la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette. Une partie du dragage au port de Rimouski peut aller de l'avant sans évaluation environnementale.
Spect’Art Rimouski lancera sa saison culturelle automnale, ce mercredi 17 septembre, avec des prestations musicales d’Alphonse Bisaillon et de Julie Houde ainsi qu’une performance de l’humoriste Silvi Tourigny.
La population est invitée dès 19 h, à la Salle Desjardins, pour souligner cette rentrée culturelle. L’événement festif est offert gratuitement, mais les spectateurs doivent réserver leur place. Il sera possible de découvrir les nouveautés, les incontournables et les coups de cœur de l’équipe de Spect’Art pour les mois à venir.
À venir cette semaine
Par ailleurs, le diffuseur rimouskois présentera 100 contrefaçons du chanteur David Corriveau, ce jeudi 18 septembre, à 20 h. Ce spectacle est composé de chansons et d’imitations. Corriveau est souvent reconnu pour des imitations à couper le souffle de Ginette Reno et Céline Dion.
David Corriveau (Photo courtoisie)
Également le 18 septembre, à 20 h, Spect’Art Rimouski offrira L’humoriste Sam Vigneault en rodage, dans le cadre de la série d’humour Fun en salle. La prestation aura lieu aux Bains publics.
Le samedi 20 septembre, la Salle Desjardins accueillera le groupe School qui présentera la soirée hommage Supertramp Memories. Depuis 2002, la formation originaire de la Mauricie foule les planches des salles de spectacles et des festivals du Québec et du reste du Canada à la rencontre des admirateurs de Supertramp.
Les billets sont disponibles en ligne au spectart.com, par téléphone au 418 724-0800 ou à la Salle Desjardins.
Âgé de seulement 19 ans, Xavier Dionne se présente pour devenir conseiller municipal à Amqui. Passionné de politique, il souhaite faire bouger les choses et amener du sang neuf dans sa ville.
L’Amquien fait assurément partie des plus jeunes dans la province à présenter sa candidature en vue des élections municipales du 2 novembre prochain.
« J’ai toujours eu un intérêt envers la politique. Je ne savais pas comment me lancer et depuis quelques mois, les gens me disaient que j’étais un jeune qui pouvait faire avancer les choses. Je crois que le niveau municipal est une belle façon de commencer en politique. C’est un monde que je veux essayer de comprendre », mentionne celui qui se présente dans le district 5.
Xavier Dionne est bien engagé dans sa communauté, notamment avec la mise en place du Tournoi de hockey-balle de la Vallée qui en sera à sa quatrième présentation en 2026. Il a créé ce projet dans le cadre d’un cours en quatrième secondaire.
Un match du Tournoi de hockey-balle d’Amqui. (Photo courtoisie)
« Des centaines de joueurs de tous âges des quatre coins de la province participent à cet événement qui fait rayonner Amqui bien au-delà de ses frontières. Être le président et fondateur de ce tournoi m’a permis d’apprendre à gérer des défis, à travailler en équipe et à croire profondément en la force de notre communauté. »
En 2023, le candidat a reçu le titre de Jeune bénévole de l’année par la Ville d’Amqui. Il fait également partie de l’organisation du Festival quad Matapédien et travaille sur un projet de sentier magique. Le jeune homme consacre une grande partie de son temps à arbitrer au hockey.
Ramener les jeunes
S’il est élu, Xavier Dionne a l’intention de travailler à faire revenir les jeunes dans la région après leurs études collégiales et universitaires. Il croit au potentiel de sa ville.
« Ce n’est pas vrai que nous n’avons pas de ressources dans la Vallée. Il faut trouver des façons de faire parler de nous parce que nous avons beaucoup de projets. Parfois, il faut juste une petite tape dans le dos pour faire avancer les choses. Je crois que chacun a un rôle à jouer pour bâtir une municipalité qui nous ressemble. »
Le nouvel hôtel de ville d’Amqui (Photo courtoisie)
Selon lui, la politique municipale a besoin de relève.
« Nous avons besoin d’une relève sérieuse, motivée et prête à investir temps et énergie pour représenter ses concitoyens avec honnêteté et authenticité. Je ferai en sorte d’être toujours à l’écoute, transparent dans mes démarches et déterminé à transformer les idées en projets concrets », dit-il.
Xavier Dionne à l’intention de commencer des études en entrepreneuriat pour éventuellement travailler dans le domaine immobilier.
Des aurores boréales ont été observées lors des nuits précédentes au Bas-Saint-Laurent, attirant de nombreux curieux. Ce phénomène céleste devrait se poursuivre dans les prochaines nuits puisqu'il s'agit d'une période propice à la formation de celles-ci.
L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, qui mentionnait, plus tôt cet été, avoir de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, a annoncé qu’il ne se présenterait pas aux élections du 2 novembre prochain.
Dans une publication Facebook, monsieur Sirois réitère qu’il y réfléchissait, mais qu’au terme de sa réflexion, il a pris la décision de ne pas déposer sa candidature, du moins, pas aux élections de 2025.
« J’ai eu le privilège de m’impliquer dans de nombreuses causes lors des dernières années. Des causes enrichissantes, aux multiples secteurs et qui m’ont fait voir une réalité de terrain sous plusieurs angles. Un autre dénominateur commun de ces implications est mon désir d’y aller à fond de train. Mes mandats ne sont généralement pas pris à la légère, pour le meilleur et pour le pire », explique Guillaume Sirois dans une même publication Facebook.
Il ajoute que depuis un peu plus de deux ans, il est aux prises avec certains problèmes de santé, « relativement mineurs, mais agaçant. »
« Nazareth est le quartier où j’ai grandi, où j’ai fait en affaires et où je vis encore avec un grand honneur. Ses citoyens méritent d’avoir une voix forte puisque les défis y sont multiples. La quarantaine étant arrivée, je commence à me connaître et à savoir comment j’aborderais un éventuel mandat. Je ne peux donc pas me résoudre à me lancer dans ce nouveau défi si je ne suis pas au sommet de ma forme », poursuit monsieur Sirois, en soulignant que la décision n’a pas été facile à prendre.
Guillaume Sirois conclut en soulevant le fait que sa réflexion à se lancer en politique lui a permis d’en apprendre plus sur les problématiques vécues par les citoyens du quartier Nazareth.
Il remercie également les personnes qui lui ont fait part de leur appui.
La porte reste ouverte
« Ceci dit, ce n’est qu’un au revoir face à une éventuelle implication politique. J’ai justement eu trop de discussions édifiantes avec mes compatriotes pour y mettre une croix à jamais. La seule certitude à court terme est que cette implication ne sera pas en 2025. »
L’Océanic n’aura pas de capitaine pour entamer la nouvelle saison. Les trois vétérans de 20 ans, Jack Martin, Émile Duquet et Luke Patterson agiront comme assistant.
Martin, Duquet et Patterson entreprendront tous leur quatrième saison dans la LHJMQ.
Si Martin s’est joint à la brigade défensive de l’Océanic l’an dernier, Duquet a été acquis des Saguenéens de Chicoutimi, tandis que Patterson a été réclamé au ballottage après son passage avec les Eagles du Cap-Breton.
La troupe de Joël Perrault lancera sa campagne 2025-2026 avec un programme double contre le Drakkar de Baie-Comeau, vendredi et samedi, au Colisée Financière Sun Life.
L’édition 2025-2026 de l’Océanic avec ses assistants, Jack Martin, Émile Duquet et Luke Patterson, au cours d’une activité au Club de golf Les Saules. (Photo courtoisie)
Exploramer vient de franchir un cap symbolique en célébrant son 30e anniversaire.
Pour souligner cet anniversaire, les administrateurs du musée scientifique de Sainte-Anne-des-Monts ont organisé une journée spéciale réunissant une trentaine d’invités, dont quelques membres de la famille du fondateur de l’institution, Charles-Eugène Marin.
Les invités ont pris part à la cérémonie commémorative au sein d’un bâtiment nouvellement rénové au coût de 8 M$.
La journée d’activités a débuté par une excursion à bord du C.-E.-Marin-Exploramer. Le responsable de la collection vivante du musée, Mathieu Lemonde-Landry, a guidé les passagers dans une exploration marine.
Rendu au large, le biologiste et plus ancien employé de l’équipe, qui compte 24 ans d’expérience au sein du musée scientifique, a remonté les casiers. Les excursionnistes ont ainsi pu observer de près et toucher des homards, des crabes communs et un oursin.
Cette sortie en mer a été suivie d’un cocktail d’honneur et de dégustations principalement composées de produits certifiés Fourchette bleue, avant de se conclure par une présentation historique intitulée Du terre-plein à aujourd’hui, pendant laquelle la directrice générale d’Exploramer depuis 20 ans, Sandra Gauthier, a retracé les moments marquants de l’évolution du musée.
Héritage d’une vision audacieuse
« Exploramer est une belle réussite et c’est ce qu’on veut souligner », a déclaré le président du conseil d’administration depuis quatre ans, Yves de Lafontaine. Le scientifique à la retraite a tenu à rendre hommage à son prédécesseur, Gilles Thériault, qui a dirigé l’organisme pendant 17 ans.
Le directeur général de la Société d’histoire de la Haute-Gaspésie a replacé la création d’Exploramer dans le contexte du développement touristique régional.
Selon Marc-Antoine DeRoy, Charles-Eugène Marin s’inscrit dans une lignée de visionnaires qui, dès 1994, a façonné l’attrait touristique de la Gaspésie, après le premier ministre du Québec, Louis-Alexandre Taschereau qui, en 1929, a fait de la Gaspésie une région touristique, qualifiant la péninsule de « la nouvelle Suisse de la Gaspésie ».
Il a aussi rappelé la mémoire d’Alphonse Pelletier, qui est à l’origine de la création du parc national de la Gaspésie.
De l’avis de l’historien, le projet d’Exploramer, qui s’appelait initialement Explorama, est arrivé à point nommé en 1995, puisque l’économie de la région était plombée par le moratoire sur la pêche à la morue décrété en 1993.
Résilience face aux épreuves
Sandra Gauthier a évoqué le parcours semé d’embûches de l’établissement.
Sandra Gauthier et Yves de Lafontaine, respectivement directrice générale et président du conseil d’administration d’Exploramer. (Photo Le Soir.ca – Johanne Fournier)
En trois décennies, Exploramer a survécu à un incendie, à plusieurs tempêtes financières et a même annoncé sa fermeture à deux reprises.
Elle a reconnu que l’histoire d’Exploramer n’a vraiment pas été un long fleuve tranquille. Elle a cependant tenu à souligner l’intervention salutaire de groupes et d’individus qui sont venus à la rescousse de l’institution.
Ambitions internationales
Loin de se contenter de ce bilan, Exploramer nourrit d’ambitieux projets.
« S’il y en a un qui croit à l’internationalisation d’Exploramer, c’est bien moi », a affirmé M. de Lafontaine. L’ancien directeur général de l’Institut Maurice-Lamontagne de Mont-Joli projette d’associer plus fortement et intimement le musée à la science et mise sur l’exportation d’expositions uniques créées localement.
Le projet phare demeure la construction d’un pavillon des requins, « un projet unique qui n’existe pas ailleurs », selon le biologiste de formation. Pour soutenir ses ambitions, l’organisme vient de créer la fondation Les amis d’Exploramer, qui peut déjà compter sur le soutien financier de partenaires comme Telus.
Après 30 ans d’existence, Exploramer semble avoir trouvé son équilibre.
« On a atteint une forme de stabilité et de maturité qui fait qu’on peut maintenant réaliser nos rêves », estime Yves de Lafontaine, confiant dans l’avenir de cette institution devenue un incontournable du paysage culturel, scientifique et touristique de la Gaspésie.
Les équipes de Mont-Joli et de Rivière-du-Loup sont sorties victorieuses de la deuxième fin de semaine d’activités dans le circuit de football du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec (RSEQ-EQ).
Les deux équipes du Mistral de Mont-Joli visitaient, samedi, les Griffons du Grand Gaspé. Les cadets l’ont emporté par la marque de 29 à 21 et les juvéniles ont écrasé leur adversaire 41 à 6.
Le lendemain, les Guerriers de l’école secondaire de Rivière-du-Loup ont imité les succès du Mistral sur le terrain de l’école secondaire de Matane. Ils ont infligé deux défaites aux Gladiateurs, soit 41 à 6 chez les cadets et 27 à 1 chez les juvéniles.
Le Mistral occupe le premier rang du classement cadet et Rivière-du-Loup de l’autre catégorie.
La fin de semaine prochaine, les deux équipes de Gaspé seront à Rivière-du-Loup. Mont-Joli (cadet) et Rimouski (juvénile) visiteront les Gladiateurs de Matane.
Depuis mai, des milliers d’utilisatrices se regroupent sur les réseaux sociaux au Bas-Saint-Laurent pour partager leurs histoires de rencontres en ligne. Shanelle Guérin vous explique le phénomène Are we dating the same guy? et les risques liés.
Plus de deux ans après son arrestation le 11 mai 2023 lors d’une perquisition en matière de stupéfiants à Rimouski, l’enseignante Natalie Roberts, 58 ans, a été absoute de l’accusation de possession de cannabis en vrac à laquelle elle faisait face.
L’absolution inconditionnelle, c’est-à-dire sans aucune condition, a été prononcée vendredi dernier (12 septembre) par le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard.
Le dossier a traîné en longueur parce que l’accusée a changé d’avocat à plusieurs reprises. Me Damir Mousaefendic a pris la relève de Me Robert Doré, qui lui avait succédé à Me Jean-Pierre Sharpe et à Me Marco Robert, qui avait dû se désister parce qu’il représentait le fils de l’accusée, Jonathan Lapointe-Roberts arrêté lors de la même opération.
Arrêtée en même temps que son fils
Natalie Roberts a été arrêtée en même temps que son fils Jonathan Lapointe-Roberts, 37 ans et David Lévesque. Ce dernier a été reconnu coupable et il a été condamné à un an de prison.
Seule Natalie Roberts avait alors pu retrouver sa liberté pour la suite du processus judiciaire moyennant certaines conditions à respecter.
Les enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs assistés des policiers du poste MRC de Rimouski-Neigette, d’un maitre-chien et d’un technicien du service de l’identité judiciaire de la Sureté du Québec, ont procédé le 11 mai 2023 à une importante opération en matière de trafic de stupéfiants.
« Le but de cette opération était de mettre fin aux activités de revente d’un réseau organisé de trafiquants de stupéfiant qui opérait dans la grande région de Rimouski », indiquait alors le sergent de la SQ, Claude Doiron.
Les derniers sont devenus les premiers ! Le Bérubé GMde Trois-Pistoles remporte la Coupe Couture-Verret à la suite de sa victoire en six parties face aux Braves Batitech du Témiscouata dans la série finale de la Ligue senior de baseball Puribec.
Mardi soir, la formation des Basques a mis un terme à la saison en l’emportant 8-5 pour gagner la série en six parties.
Les joueurs-entraineurs, Thomas Morin et Samuel Laforest. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
La formation des Basques, 7e et dernière au classement de la saison, a tour à tour écarté Rivière-du-Loup (2e), Rimouski (1er) et Témiscouata (3e) pour remporter un premier championnat des séries depuis 2017.
Le renversement de situation est historique : d’une fiche de 5-17 en saison, le Bérubé GM a remporté 11 de ses 16 parties en séries.
Le vétéran Stéphane Pouliot a été nommé joueur par excellence des séries. Il a présenté un dossier de 4-1 comme lanceur en plus de s’illustrer au bâton avec une moyenne de ,357, cinq circuits et 17 points produits.
Stephane Pouliot est le joueur par excellence des séries. On le voit ici avec Gilles Lebel et Brian Clavette, du comité exécutif de la Ligue Puribec. (Photo archives – Alain Tremblay)
Élie Belzile, Ludovic Saucier et Tristan Michaud-Thériault ont aussi connu d’excellentes séries pour les champions.
Autre remontée
Les Braves avaient pris les devants 4-0 à leur premier tour au bâton chassant François Michaud du monticule. Comme ce fut souvent le cas dans les dernières semaines, le Bérubé GM a ensuite surmonté un déficit de 5-0 pendant que Tristan Michaud-Thériault, appelé en relève, limitait les Braves à un point, non mérité, en 6 1/3 manches. Il a porté son dossier à 4-0 en séries.
La traditionnelle poignée de main d’après-série. (Photo : Jean-Claude Pelletier)
Pendant ce temps, l’offensive du Bérubé GM s’est mise en marche avec cinq points en fin de 4e manche, quatre sur un grand chelem de Samuel Laforest et l’autre sur le circuit de Nicolas Thibault. Jacob April a brisé l’égalité de 5-5 avec un simple opportun en 5e manche après quoi le même Laforest a produit deux autres points.
Cette série a été ponctuée de 99 points en six parties, dont 56 par Trois-Pistoles.
Maxim Massé participera à son deuxième camp d’entraînement officiel avec les Ducks d’Anaheim. Le Rimouskois fait partie de la liste des 54 joueurs qui se rapporteront à l’état-major de l’équipe dès ce jeudi 18 septembre.
Même s’il a été blanchi lors des deux matchs opposant les recrues des Ducks à celles des Sharks de San Jose et des Kings de Los Angeles, le week-end dernier, l’attaquant des Saguenéens a suffisamment bien fait pour poursuivre l’aventure, en compagnie de son coéquipier à Chicoutimi, Émile Guité.
Anaheim disputera sept matchs préparatoires d’ici le 4 octobre afin de se préparer pour la saison 2025-2026.
« Je vois cela comme une opportunité de montrer la progression que j’ai faite par rapport à l’an passé. Lors d’un premier camp, on est toujours un peu stressé, on ne sait pas trop à quoi s’attendre. Cette année, je sais à quoi m’attendre. Je pourrai aussi guider Émile, qui vivra son premier camp », a indiqué le jeune homme de 19 ans au site Internet des Saguenéens, avant son départ pour la Californie.
Maxim Massé (Photo courtoisie NHL)
Choix de troisième tour des Ducks en 2024, Massé a complété sa troisième saison dans la LHJMQ avec une fiche de 33-26-59 en 47 parties. Une blessure à la cheville l’a tenu à l’écart du jeu pendant sept semaines, en octobre et novembre.
« Il y a eu des hauts et des bas. Ça a bien commencé, mais ma blessure est venue chambouler ça. Revenir d’une blessure pareille, c’est un peu plus difficile pour la confiance et la condition physique. Ensuite, un mois, un mois et demi après mon retour, j’ai été en mesure de bien terminer la saison », expliquait-il en avril au collège René-Alary.
Leçon de persévérance
Pour sa part, Mathis Langevin, de l’Océanic, a également été invité par l’Avalanche du Colorado à son camp principal. Il fait partie des six gardiens convoqués par l’organisation.
Ignoré lors du repêchage de la LNH, l’athlète de 20 ans a mené Rimouski en séries éliminatoires le printemps dernier, à la suite de la blessure de William Lacelle. Ses performances en ont fait le gardien numéro un de l’équipe, notamment lors du tournoi de la Coupe Memorial, présenté au Colisée Financière Sun Life.
Mathis Langevin (Photo Le Soir.ca – René Alary)
Il s’agit d’une autre leçon de persévérance dans le monde du hockey.
À pareille date l’an dernier, Mathis Langevin s’était fait dire qu’il n’y avait pas de place pour lui par deux équipes de la LHJMQ, Shawinigan et Sherbrooke. Bathurst l’a ensuite réclamé au ballottage, avant qu’il soit échangé à l’Océanic quelques mois plus tard.
Le service d'autopartage Communauto fait son arrivée dans le paysage rimouskois. Deux véhicules seront disponibles dès le 30 septembre prochain, pour les citoyens.
La sexologue de Club SEXU et chargée d'enseignement de la Faculté de médecine l'Université Laval, Sara Mathieu-Chartier, observe une diminution du port du condom chez les jeunes et une augmentation des infections transmises sexuellement et par le sang.
Deux véhicules Communauto seront disponibles dès le 30 septembre, à Rimouski. L’organisme Mobilité partagée Rimouski (MPR) déploie son tout premier service d’autopartage.
Une voiture sera située au parc de la Gare et l’autre à la Coop Paradis. MPR jouera le rôle de gestionnaire de la flotte locale en partenariat avec Communauto.
« Ça fait longtemps que nous travaillons là-dessus et ça devient réel. Nous avons vu des statistiques épouvantables concernant la voiture solo. Communauto est un capital de confiance. Nous pensons que c’est la voie à suivre pour que la mobilité devienne quelque chose d’autre », explique le président de MPR, Raphaël Arsenault.
Ce partenariat se veut unique au Québec puisqu’il permet d’élargir le modèle Communauto au-delà des grands centres et de proposer une solution adaptée à la réalité régionale.
« Dans une petite ville comme Rimouski, c’est aussi une bonne idée d’avoir des voitures à partager. Dans les grandes villes, l’offre est grande. Oui nous avons un transport collectif à Rimouski, mais ce n’est pas la panacée. Nous pensons qu’il y aura un engouement. Nous avons déjà beaucoup de gens qui nous approchent. »
Selon les besoins
Les voitures pourront être empruntées pour de courtes ou de longues périodes. Pour accéder au service, les utilisateurs doivent d’abord devenir membres de MPR et s’inscrire au service de Communauto. L’adhésion soutient l’implantation de l’autopartage et contribuera au développement d’autres initiatives de mobilité partagée.
Le président de Mobilité partagée Rimouski, Raphaël Arsenault. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
« L’idée de MPR est d’apporter différentes solutions qui seront plus adaptées en fonction des besoins des gens. Nous allons dévoiler des choses dans les prochains mois et Communauto est très ouverte. Le coût de la vie est tellement grand en ce moment, il y a plein de conjectures qui font que c’est une bonne idée d’offrir ce service », mentionne le président de l’organisme à but non lucratif.
De l’expansion pour Communauto
Communauto compte 8 000 véhicules dans une vingtaine de villes du Canada et de la France. D’abord installé dans les grands centres, le service se dirige de plus en plus vers des villes plus petites.
« Le besoin d’avoir des solutions permettant de ne pas dépendre du véhicule est partout. L’intérêt des villes et des organisations comme MPR nous permet d’expérimenter d’autres façons de faire qui pourraient être des modèles pour d’autres. Rimouski est notre lancement le plus nordique et le plus à l’est de Québec », souligne le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani.
le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Moniseur Viviani soutient que d’autres véhicules pourraient s’ajouter à la flotte rimouskoise si la demande est présente.
« Normalement, nous cherchons à atteindre des taux d’utilisation d’environ huit heures par jour par véhicule. Quand on arrive à ça, on commence à regarder où et comment ajouter des véhicules. C’est aussi selon le nombre de personnes. On parle d’un véhicule pour 20 ou 25 abonnés. Ici, il y en a 40. »
La Ville de Rimouski collabore également à l’initiative. Les 140 premiers abonnés rimouskois à MPR recevront une réduction de 35 $ grâce au fonds affecté aux projets écoresponsables. Les détails sont en ligne au www.mobilitepartagee.ca.
Le Centre de services scolaire des Phares (CSS) confirme que plusieurs de ses autobus électriques Lion ont passé avec succès la deuxième inspection exigée par le fabricant, ce qui permettra la reprise du transport pour de nombreux élèves.
Les circuits 205, 22, 14, 60, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008 et 121 recommenceront à partir de ce mercredi 17 septembre.
« Pour les circuits 55, 57 et 109, nous attendons encore la confirmation. Dès que la reprise sera possible, l’information sera communiquée sur notre site web, notre page Facebook et une notification sera envoyée dans le Portail parent aux familles concernées », indique le CSS des Phares dans un communiqué.
Le Bas-Saint-Laurent faisait partie des dernières régions où la reprise du transport scolaire avec les autobus électriques Lion n’était pas complète.
À la suite d’un accident à Montréal
Le gouvernement Legault avait annoncé, jeudi soir, que les quelque 1 200 autobus scolaires Lion circulant sur les routes du Québec seraient temporairement à l’arrêt afin de procéder à des inspections.
Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu la semaine dernière, a Montréal, au cours duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.
Un autobus électrique Lion (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
L’entreprise avait indiqué dans un communiqué qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».
La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé le plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque Lion-C.
C’est jeudi soir à Terre-Neuve que s’amorcera la 57e saison régulière de la LHJMQ alors que le Régiment de l’endroit accueillera les Wildcats de Moncton au Mary Brown’s Centre, à St. John’s.
Le Régiment fait son entrée dans la ligue à la suite du récent déménagement du Titan de Bathurst. Pour sa part, l’Océanic retrouvera ses partisans, vendredi et samedi, lors de la visite du Drakkar de Baie-Comeau.
Le commissaire du circuit, Mario Cecchini, a rencontré les médias, mardi, pour lancer la nouvelle saison.
Il a d’abord fait l’annonce des 12 premiers joueurs qui participeront au tout premier Match des Espoirs LHJMQ, le 21 octobre, à Sherbrooke.
William Lacelle. (Photo archives courtoisie Jonathan L’Heureux)
Pas de divisions
Le plus important changement concerne l’abolition des divisions et le nouveau format des séries éliminatoires. Sauf pour l’élaboration du calendrier afin de favoriser les rivalités géographiques, il ne sera plus question de divisions, mais seulement des associations Est et Ouest.
Le premier tour éliminatoire se fera à nouveau intra-association, mais à partir de la deuxième ronde, les confrontations seront déterminées en fonction du classement général de la saison régulière. (1 vs 8; 2 v 7; 3 vs 6; 4 vs 5).
La prochaine saison marque aussi le retour des matchs interligues avec deux « home and home » entre les Olympiques de Gatineau et 67’s d’Ottawa ainsi que les Huskies de Rouyn-Noranda contre les Wolves de Sudbury.
Le calendrier prévoit aussi la présentation de trois parties locales des Sea Dogs de Saint John au Centre Aitken de Fredericton dans le cadre de la « Capital City Series ». Les adversaires seront Cap-Breton, Gatineau et Baie-Comeau.
Nouveaux programmes
La LHJMQ a aussi annoncé deux nouveaux programmes de valorisation de ses joueurs.
Le premier est avec PEM Hockey (Player Efficiency Model), a été créé par Gabriel et Dany Dubé. Il s’agit d’un système de statistiques avancées qui se concentre sur le modèle d’efficacité du joueur.
Cela fournira un outil de plus aux directeurs généraux et aux entraîneurs pour bien analyser le rendement de leurs patineurs, surtout à cinq contre cinq.
Le deuxième partenariat est avec l’UQTR, avec la mise en place d’un projet d’innovation et d’optimisation de la performance en partenariat avec le Laboratoire de recherche sur le hockey de l’UQTR.
Lors du Match des Espoirs et la Coupe de la 55, les puces fourniront des données probantes dans le but de documenter la charge de travail et ses impacts sur les performances.
Richard Trottier
La saison 2025-2026 sera la 16e et dernière de Richard Trottier comme directeur de l’arbitrage de la LHJMQ.
« Pendant 16 saisons, Richard a travaillé d’arrache-pied pour améliorer le niveau d’arbitrage dans la ligue. La saison 2026-2027 marquera le début d’une nouvelle ère dans l’arbitrage de la LHJMQ. Nous vous annoncerons le nouveau directeur en temps et lieu. Je tiens à remercier du fond du coeur Richard pour son travail acharné. Je lui souhaite que le meilleur pour la suite », a affirmé M. Cecchini.
Assises 2026
Le Commissaire a également confirmé la tenue du repêchage 2026 à Halifax, le vendredi 5 juin, en soirée, et le samedi 6 juin. Il s’agira d’une première pour cette organisation.
« La LHJMQ est très contente et excitée de tenir son Repêchage 2026 présenté par Fenplast dans la magnifique Ville de Halifax, un marché très important dans notre circuit, a mentionné le commissaire. Les joueurs, les familles et les dirigeants présents au Repêchage vont pouvoir pleinement profiter des beaux attraits de la ville. »
Fonds Guy Lafleur
La Ligue a aussi annoncé qu’elle fera un don de 100 000 $ au Fonds Guy Lafleur de la Fondation du CHUM, soit 10 000 $ par année pendant 10 ans. Ce Fonds contribue à la recherche sur le cancer.
Guy Lafleur (gracieuseté LHJMQ)
« Guy Lafleur a grandement contribué à mettre la LHJMQ sur la carte. À lui seul, il l’a fait grandir, a souligné le commissaire Cecchini. D’ailleurs, lors de notre 50e anniversaire, il a été voté le plus grand joueur de notre histoire. J’ai rencontré son fils Martin à quelques reprises au fil des années. Pour nous, à la LHJMQ, la décision de s’associer au Fonds Guy Lafleur a été très facile à prendre. Guy a toujours été impliqué dans la communauté et il était très proche des gens et de notre Ligue. Ce don est une façon, pour nous, de perpétuer son héritage. »
Infrastructures
Le Commissaire s’est aussi réjoui des importants investissements de plus de 40 M$ à Sydney et Drummondville pour la mise à niveau de leur amphithéâtre.
Des travaux importants seront également faits à Halifax pour un centre d’entrainement.
Il a également déposé un dossier en vue de la phase 2 du programme d’aide financière aux infrastructures récréatives, sportives et de plein air (PAFIRSPA) auprès de la ministre des Sports du Québec, Isabelle Charest.
La phase 1 a permis à plusieurs équipes de changer leurs bandes et baies vitrées afin de les rendre plus sécuritaires. À Rimouski, ce fut fait à l’été 2024.
L'entreprise Communauto déploiera ses services à Rimouski. Métis-sur-Mer tente de dénouer l'impasse et rendre habitables les 30 logements construits par CMétis. Le Centre de formation professionnelle du Fleuve-et-des-Lacs lance un projet de formation en production acéricole.
Le Conseil de la magistrature du Québec mène une enquête à la suite d’une plainte visant le juge rimouskois Yves Desaulniers. Celle-ci concerne des comportements qui seraient survenus dans l’exercice de ses fonctions et jugés préoccupants par le plaignant, dont l’identité est caviardée.
Dans une décision rendue le 26 août dernier, le Conseil précise que la plainte vise notamment des attitudes perçues comme intimidantes envers du personnel administratif, des remarques à connotation personnelle ainsi que des situations où le juge se serait présenté partiellement dévêtu devant des collègues, dans un contexte judiciaire.
Aucun enregistrement vidéo ou audio ne permet de documenter les faits allégués et le plaignant n’est pas un témoin direct.
L’analyse repose principalement sur des témoignages transmis au Conseil de la magistrature ou recueillis par lui.
Ces signalements, détaillés et signés, proviennent de personnes occupant des fonctions névralgiques au sein de l’appareil judiciaire.
Deux types de comportements reprochés
La plainte, déposée le 30 janvier 2025, fait état de deux catégories de comportements.
Le premier concerne des interactions jugées inappropriées sur le plan du respect interpersonnel et de la civilité (cris, propos dénigrants et comportements perturbateurs envers le personnel de soutien judiciaire).
Le second a trait à des comportements perçus comme dérangeants sur le plan physique, notamment le fait d’accueillir des interlocuteurs torse nu dans son bureau ou de procéder à des ajustements vestimentaires en leur présence.
Selon la plainte, sur laquelle repose la décision rendue publique, le juge aurait également tenu des propos ambigus à connotation suggestive (« regardez le paysage ») et aurait baissé son pantalon devant un interlocuteur.
Enquête pour clarifier les faits
Le Conseil de la magistrature du Québec estime qu’une enquête est nécessaire « afin de faire pleinement la lumière sur ces événements » et que « seule une enquête permettra d’établir les faits avec précision, d’apprécier leur portée réelle et de déterminer s’il y a eu manquement déontologique. »
Le gardien de l’Océanic, William Lacelle, a été sélectionné pour prendre part au Match des Espoirs de la LHJMQ. Organisé pour une première fois, l’événement réunira les 40 meilleurs espoirs en vue du repêchage de la LNH, le 21 octobre prochain, à Sherbrooke.
Lacelle figure parmi les 12 premiers joueurs choisis par la Centrale de recrutement de la LNH.
Il a été choisi en compagnie d’un autre gardien, Jacoby Weiner (Moncton), des défenseurs Xavier Villeneuve (Blainville-Boisbriand), Benjamin Cossette-Ayotte (Val-d’Or), Cameron Chartrand (Saint John) et Charlie Morrison (Québec) ainsi que Maddox Dagenais (Québec), Olivers Murnieks (Saint John), Rian Chudzinski (Moncton), Lars Steiner (Rouyn-Noranda), Yegor Shilov (Victoriaville) et Thomas Rousseau (Sherbrooke).
Avec un dossier de 27-5-1-2 devant le filet de l’Océanic en 2024-2025, il a aussi mis la main sur le Trophée Jacques-Plante grâce à sa moyenne de buts alloués de 2,38.
Le gardien de l’Océanic, William Lacelle, devant son filet. (Photo courtoisie Océanic/Iften Redjah)
Chez les recrues, il a fini deuxième pour l’efficacité (,909) et troisième au chapitre des matchs joués (36) et des victoires (27), en plus d’aider l’Océanic à terminer au deuxième rang du classement général.
L’Océanic entame la 31e saison de son histoire en disputant un programme double contre le Drakkar de Baie-Comeau, vendredi et samedi, au Colisée Financière Sun Life.
Alors que le bateau caquiste prend l’eau et que ses perspectives de réélection en 2026 paraissent minces, des voix s’élèvent à Rimouski pour suggérer à Maïté Blanchette Vézina de suivre les traces de l’ex-ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, qui a récemment quitté la politique provinciale pour briguer la mairie de Saguenay.
Plusieurs acteurs proches de l’hôtel de ville et dans certains cercles économiques de Rimouski espèrent un tel duel.
« Monsieur Caron présente un bon bilan à certains égards, mais il est au cœur de la faillite de Novarium et de la Société de promotion économique de Rimouski, ainsi que de toutes les poursuites judiciaires qui en découlent », avance l’une de ces sources, bien au fait des discussions entourant l’avenir politique de la ville.
« Les problèmes de stationnements et l’avenir du centre-ville sont préoccupants. Il y a eu l’arrivée de Costco, mais il n’y a pas de plan économique et commercial qui se tient, notamment pour les parcs industriels. La gestion des différents chantiers est catastrophique. On dépense des millions pour des projets comme le “Quartier culturel”, sans en connaître les véritables retombées. Ce sont des échecs qui collent à son administration ».
Mairesse de Sainte-Luce de 2017 à 2021, elle a contribué à positionner Rimouski au premier rang provincial pour les mises en chantier en logement depuis le début de son mandat.
Maïté Blanchette Vézina lors d’une conférence de presse à l’hôtel de ville de Rimouski (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
« Son parcours professionnel, ses contacts politiques et sa connaissance des dossiers lui donnent l’étoffe pour diriger une ville comme Rimouski. Plusieurs candidats potentiels, qui se disent en réflexion, attendent en fait de savoir ce que Maïté décidera », souligne une autre source.
Les candidats intéressés par un poste de maire de conseiller en vue de l’élection municipal peuvent déposer leur déclaration de candidature, du 19 septembre au 3 octobre.
Le PQ l’attend de pied ferme
Au lendemain de sa rétrogradation comme ministre des Ressources naturelles et des Forêts ainsi que responsable de l’Est-du-Québec, Maïté Blanchette Vézina jurait vouloir terminer son mandat comme députée de Rimouski jusqu’en 2026.
« J’ai encore envie de représenter les citoyens de Rimouski-Neigette. Je pense toujours que la CAQ est un véhicule efficace pour rassembler les gens qui souhaitent travailler pour l’avenir du Québec », a-t-elle déclaré devant les médias.
Le député péquiste de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, à gauche, en compagnie du Parti québécois, Paul Saint-Pierre Plamondon (Photo La Presse Canadienne- Jacques Boissinot)
Si elle choisit de briguer un nouveau mandat en 2026, madame Blanchette Vézina devra affronter une machine péquiste bien huilée, selon une source politique jointe par Le Soir.
« Maïté se retrouve face au premier ministre après avoir admis que sa confiance envers lui est “affectée”. Pierre Dufour (député d’Abitibi-Est) a été expulsé de la CAQ pour moins que ça (le 5 septembre). Au lieu de s’asseoir dans la dernière rangée de l’Assemblée nationale et d’attendre une défaite annoncée, Maïté devrait sauter dans l’arène municipale », indique cette source, qui désire conserver l’anonymat.
Reprendre le château fort
Le Parti québécois fourbit déjà ses armes à Rimouski. La défaite de 2022 dans ce château fort a laissé des traces.
« Le PQ aura besoin d’une investiture l’an prochain. De nombreuses personnalités d’influence souhaitent prendre le pouvoir avec Paul St-Pierre Plamondon. Les membres auront l’embarras du choix pour désigner leur candidat », prédit cette même source.
La Sûreté du Québec confirme le décès d’Aubert Paradis, un homme de 72 ans de Rimouski porté disparu en juin dernier. Son corps a été retrouvé, le 26 juillet, sur les berges de l’île d’Anticosti.
Des vérifications ont permis de confirmer son identité. La SQ collabore avec le coroner afin d’établir les circonstances exactes du décès. À ce stade, l’enquête tend à écarter l’intervention d’une tierce personne.
Introduire des plantes suspendues et des macramés dans un intérieur, c’est insuffler une touche de nature, de douceur et d’originalité à chaque pièce.
En jouant avec la hauteur, les textures et les couleurs, tu peux transformer même l’espace le plus restreint en une véritable jungle intérieure.
Les macramés, avec leurs motifs noués à la main, servent de supports élégants pour vos plantes favorites et créent un effet visuel qui allège l’ambiance tout en y ajoutant une note bohème.
Que ce soit au salon, dans la cuisine ou près d’une fenêtre, ces suspensions invitent à la détente et à la relaxation, tout en purifiant l’air et en renouvelant l’énergie environnante.
Les plantes tombantes dans notre décor
Les plantes tombantes sont, selon moi, les plantes qui sont les plus faciles à intégrer dans un décor. Il est facile de les intégrer dans une étagère murale ou encore sur le dessus des armoires de cuisine.
Bien qu’elles nous permettent de les placer en hauteur, il est important de penser à la lumière. Une plante qui manquera de soleil sur le dessus du pot va perdre ses feuilles à la base.
On se retrouve donc souvent avec des plantes qui sont un peu plus dégarnies du dessus et fournies dans le bas (ce que je trouve… pas vraiment beau).
Ce que je suggère si ta plante devient dégarnie, c’est de la couper, faire des boutures avec les tiges coupées et ensuite replanter avec la plante mère.
Quelques variétés de plantes suspendues
Voici quelques variétés de plantes suspendues que j’aime beaucoup mettre sur des étagères ou dans des macramés.
Ce sont des plantes relativement faciles d’entretien, qui restent belles pendant de longues années.
Philodendron Micans : Une plante aux allures de velours! Je l’adore. Elle peut bien supporter les endroits qui sont moins éclairés. C’est une plante très résiliente, qui demande peu d’entretien. Je recommande de faire attention de ne pas trop lui donner d’eau.
Scindapsus Argyraeus : On l’appelle souvent pothos argenté. Je trouve que le motif sur ses feuilles est tout simplement magnifique avec ses petits reflets argentés. Ce que j’aime du scindapsus, c’est qu’il te dira lorsqu’il a besoin d’eau. Ses feuilles roulent vers l’intérieur lorsqu’il aura soif. Par contre, il a tendance à parfois faire de longues tiges sans feuilles. Bien souvent, je coupe les tiges pour que la plante soit plus belle et fournie.
Pothos Cebu Blue : Une belle variété de pothos avec ses feuilles un peu plus allongées et d’une couleur bleutée. Facile d’entretien et original. Ce n’est pas celui qui pousse le plus vite.
Peperomia Hope : Je trouve que cette plante mérite d’être plus connue! Elle demande quand même une bonne luminosité. Je conseille d’arroser seulement quand le terreau est 100 % sec. C’est une plante avec de belles petites feuilles rondes gorgées d’eau.
Pothos Manjula : Une autre variété de pothos qui est un peu plus rare. On va souvent la confondre avec le pothos Marble Queen, mais la Manjula est différente. Ses feuilles sont un peu plus rondes et la variation sur ses feuilles n’est pas tout à fait pareille. C’est une de mes variétés préférées de pothos. Une chose que je recommande, c’est : attention à ne pas sur-arroser. Il n’aime pas le surplus d’eau. Cette variété demande un peu plus de luminosité qu’un pothos Marble Queen.
J’espère que cet article te donnera envie d’ajouter de magnifiques plantes suspendues à ton décor!
Que tu choisisses de les fabriquer toi-même ou d’opter pour des créations toutes faites, les suspensions en macramé sont une façon simple et originale d’amener la nature à hauteur de regard.
En fin de compte, il suffit parfois d’un peu de corde et d’une belle plante pour transformer complètement une pièce et créer un petit coin cozy et relaxant!
Pour répondre à toutes vos questions et pour des conseils de professionnels à l’année, rendez-vous chez Marcel Dionne et Fils de Rimouski, marchand Passion Jardins.
Le Conseil de discipline de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec a imposé, le 5 août dernier, une période de radiation temporaire de sept mois à Maxime Verreault-Hébert, de Rimouski, pour sa culpabilité à deux chefs d’accusation.
Il a été déclaré coupable d’avoir établi des liens amoureux et/ou sexuels avec une patiente, entre avril 2022 et février 2024, dans la région du CISSS de la Montérégie Est ainsi que d’avoir tenu des propos et/ou posé des gestes irrespectueux envers des patients et/ou des collègues, entre mai et novembre 2024, au Centre hospitalier régional du Portage à Rivière-du-Loup.
La radiation a est de sept mois pour le premier chef et de trois mois concurrents à la première peine sur le second chef.
Verreault-Hébert est donc radié temporairement du Tableau de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec depuis le 6 septembre. Sa peine se terminera le 6 avril 2026.
Un incendie s’est déclaré vers 2 h, dans la nuit de lundi à mardi, dans le bâtiment abritant la brasserie Au Vieux Loup et la pizzeria Italia sur l’avenue Saint-Jérôme, à Matane.
Un appel a été logé aux services d’urgence concernant des flammes qui grimpaient le long du bâtiment, à l’arrière où l’on retrouve des logements.
Bien que rien ne soit officiellement confirmé, selon ce qu’il était possible d’apercevoir, l’incendie semble avoir pris naissance au bas du bâtiment puis s’est propagé vers le haut.
Selon le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies, sept logements étaient occupés au moment où l’incendie s’est déclaré.
« Tout le monde a pu être évacué et personne n’a été blessé. Les occupants ont été relogés temporairement chez des proches ou dans un hôtel de la région. »
Enquête transférée à la SQ
L’enquête a été transférée à la Sûreté du Québec puisque la cause du sinistre demeure indéterminée. « Un enquêteur a été appelé sur les lieux pour déterminer les causes exactes de l’incendie », poursuit Frédéric Deshaies.
Il est encore trop tôt pour déterminer si l’incendie est d’origine criminelle ou accidentelle.
La Société des transports de Rimouski (STR) lance une plateforme web pour la réservation du service de Taxibus.
Jusqu’ici, les usagers devaient obligatoirement téléphoner à la STR afin de réserver une plage horaire.
Le nouvel outil permet désormais d’effectuer des réservations en tout temps, même en dehors des heures d’ouverture du centre d’appel, pour rendre le processus plus simple et accessible.
La plateforme offre aussi la possibilité de suivre en temps réel le déplacement du Taxibus. La STR espère que cette modernisation accroîtra l’achalandage du service.
Taxibus assure la liaison entre le centre-ville et plusieurs districts de Rimouski, dont Rimouski-Est, Pointe-au-Père, Sainte-Blandine, Mont-Lebel et Le Bic. Jusqu’à quatre passagers peuvent partager un même trajet.
Les services de travail de rue sont officiellement de retour dans La Mitis avec la création de l’organisme Travail de rue de La Mitis, issu d’une démarche citoyenne et partenariale amorcée en décembre 2023 à la suite du retrait de l’organisme qui assumait ce rôle depuis 2008.
Après une période de transition soutenue par le Collectif régional de développement (CRD) et Tandem-Jeunesse, un comité citoyen s’est mobilisé pour mettre en place une structure solide et autonome.
Cette mobilisation a mené, en juin 2024, à une assemblée de constitution formalisant la naissance de l’organisme et l’élection d’un conseil d’administration représentatif.
À l’automne suivant, une direction a été embauchée et un premier travailleur de rue est entré en fonction.
Depuis son entrée en poste, le travailleur de rue Bertrand Deslauriers a rencontré plus de 500 personnes, tous genres confondus.
La grande majorité s’est déroulée sous forme d’écoute, de soutien et d’échanges (60,5%), suivie de rencontres axées sur l’information, la sensibilisation et la prévention (23,9%). Les sujets abordés touchaient principalement les relations interpersonnelles (11,2%), le logement, l’hébergement ou les déménagements (6,5 %), ainsi que la santé mentale (6,2 %) et la santé physique (5,4%).
Enfin, les réalités socio-économiques ont été discutées dans près de 21 % des rencontres.
« Derrière chaque statistique, il y a une histoire, une personne qui a besoin d’écoute, de soutien ou simplement de parler. Les chiffres montrent l’ampleur de notre action, mais ce qui compte vraiment, ce sont ces moments de confiance où quelqu’un se sent moins seul. C’est là que le travail de rue prend tout son sens. », exprime Bertrand Deslauriers.
Une année marquée par des épreuves
Malgré une année marquée par des épreuves, dont le décès d’une personne siégeant sur le conseil d’administration, Mélilot de Repentigny, en plus d’un changement de direction, l’organisme maintient le cap sur sa mission, soit de soutenir et accompagner les personnes dans leur milieu de vie, sur l’ensemble du territoire mitissien, dans le respect de leur rythme, de leur dignité et de leurs besoins.
Bertrand Deslauriers, travailleur de rue et Geneviève Royer, directrice de l’organisme. (Photo courtoisie)
« Ensemble, nous construisons les bases d’un service qui se veut humain et durable », souligne Bertrand Deslauriers.
À sa séance du 16 juin dernier, le conseil municipal de Mont-Joli a autorisé la location d’un local situé au 300, avenue du Sanatorium à Travail de rue de la Mitis pour une durée d’une année débutant le 15 juin 2025 et se terminant le 14 juin 2026.
Première assemblée générale
Travail de rue de La Mitis tiendra sa première assemblée générale annuelle (AGA) le 24 septembre sous la formule conviviale d’un 5 à 7.
L’événement permettra de présenter les réalisations de la dernière année, de définir les priorités pour l’avenir et même de voter pour le tout premier logo officiel.
L’organisme en profitera aussi pour recruter de nouvelles personnes au sein de son conseil d’administration.
Les profils recherchés sont variés, que ce soit pour en gestion, en ressources humaines, en finances, en droit ou tout un intérêt marqué pour la mission.
« Cette assemblée est bien plus qu’une rencontre administrative. C’est une invitation à bâtir ensemble un organisme ancré dans sa communauté et à célébrer la force du collectif dans La Mitis », mentionne la directrice, Geneviève Royer.
Pour infos par courriel (gestion.tr.lamitis@gmail.com) ou par téléphone (418-896-7085).
Pour joindre le travailleur de rue Bertrand Deslauriers : 418-740-2984, bertrand.tr.lamitis@gmail.com et Bertrand TRmitis sur Messenger.