Départ de la CAQ : entrevue avec Maïté Blanchette Vézina
La députée de Rimouski et ex-ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, quitte le caucus de la Coalition avenir Québec.
La députée de Rimouski et ex-ministre des Ressources naturelles et des Forêts, Maïté Blanchette Vézina, quitte le caucus de la Coalition avenir Québec.
C’est avec un programme double, vendredi et samedi, que l’Océanic entreprendra sa 31e saison dans la LHJMQ avec la visite du Drakkar de Baie-Comeau.
Bonne nouvelle pour commencer : sauf pour Mathis Langevin qui est au camp principal de l’Avalanche du Colorado, tout le personnel est disponible. Ce qui signifie que le choix de première ronde de l’équipe au dernier repêchage, Zack Arsenault, fera sa rentrée.
Blessé au début du camp d’entrainement, il n’a pas disputé de parties préparatoires. Vendredi, il jouera sur un trio complété par Mathys Dubé et l’Américain Oliver Czaja.
« Zack va aussi être sur un de nos deux avantages numériques. On va voir comment il se sent. Ça fait longtemps qu’il n’a pas joué c’est un joueur de 16 ans qui va avoir des hauts et des bas. Mais pour moi, Zack a clairement une capacité offensive extrêmement dominante », estime Joël Perrault.
Après deux saisons compétitives à la barre de l’Océanic, l’entraineur-chef composera avec une tout autre réalité, cette année. Bien des observateurs ne voient pas l’équipe accéder aux séries.
« C’est important que notre groupe s’améliore de match en match. On va vouloir gagner des matchs de hockey. On a des gardiens qui vont nous permettre de le faire, on a une profondeur avec nos vétérans qu’on a ajoutés. Je ne commencerai pas à parler de séries éliminatoires avant le premier match de la saison », souligne l’entraineur-chef.
« Ça va être une autre réalité. J’adore le groupe avec lequel on travaille depuis le jour 1 et on a beaucoup d’enthousiasme à l’aréna. Il y a une petite naïveté quand tu commences dans la ligue. Tout est nouveau et comme entraîneur, c’est plaisant de travailler avec eux. »
La saison va s’amorcer sans capitaine. Émile Duquet, Luke Patterson et Jack Martin porteront un A.
« On ne veut pas mettre la pression sur qui que ce soit pour commencer. On est très confiant avec le groupe de leaders qu’on a nommés. On est allé avec nos trois joueurs de 20 ans qui ont beaucoup d’expérience dans la ligue. Deux de ces gars-là viennent d’arriver de l’extérieur et on aime beaucoup ce qu’ils amènent à chaque journée. Et, on a appris à connaître Jack, l’an dernier, avec tout ce qu’il nous a donné en séries éliminatoires », explique Perrault.
Avec Lacelle et Langevin, l’Océanic va miser sur un des meilleurs duos de gardiens de la ligue, sinon, le meilleur.
Le premier en est à son année de repêchage dans la LNH et déjà, il a été invité à un rendez-vous important avec le Match des Espoirs de la LHJMQ qui se tiendra le 21 octobre.
« Je prends ça une journée à la fois, puis j’essaie de ne pas trop penser en avant, en restant dans le moment présent. C’est toujours le fun de recevoir des invitations, mais, c’est dans un mois et comme j’ai dit avant, je prends ça un jour à la fois », mentionne le gardien.
Lacelle a connu une saison exceptionnelle l’an dernier mettant notamment la main sur le Trophée Jacques-Plante pour la meilleure moyenne de buts alloués (2,38) dans le circuit. Une blessure en fin de saison et le brio de Mathis Langevin l’ont relégué au rang de substitut pour une bonne partie des séries et la Coupe Memorial.
« Je n’avais jamais été blessé. C’était une nouvelle expérience pour moi et j’ai appris beaucoup. Dans un sens, c’était bon pour moi d’avoir vécu ça dans de longues séries et de voir ce que ça prend pour gagner. J’ai eu la chance de voir les guerriers qu’on avait dans notre équipe. J’aurais aimé voir de l’action, c’est sûr, ce n’était pas facile d’être sur le banc. Mais, c’est le hockey. Mathis faisait la job. Ce n’était pas mon moment. »
Le gardien sait que bien des « experts » voient l’Océanic en bas de classement.
« C’est sûr qu’ils peuvent dire ce qu’ils pensent, mais à la fin de la journée, c’est nous qui croyons en nous dans la chambre. On est meilleur que ce que tout le monde va dire et je suis sûr qu’on va constituer une petite surprise cette année. Je suis très impressionné pour notre groupe. Même si j’ai 18 ans, je suis un des vétérans et je veux être là pour nos jeunes. Ils vont être très excités de jouer le premier match et il va y avoir des petites erreurs demain. Mais, je vais être là pour les aider. »
À sa troisième saison, Mathis Dubé en est un qui est appelé à jouer un rôle davantage axé sur l’offensive.
« Il y aura beaucoup d’adversités cette année. Mais, on a un beau groupe et on va être capable de causer plusieurs surprises, j’en suis convaincu. Tous nos jeunes travaillent fort. Si tout le monde embarque là-dedans, je suis convaincu qu’on va aller chercher de grosses victoires », estime le Rimouskois.
Les défenseurs, Luka Romaniak et Guillaume Gleason, ainsi que les attaquants, Alex Massé et Samuel Thibault, seront laissés de côté vendredi… En l’absence de Langevin, Jacob St-Cyr a été rappelé des Dragons du Collège Laflèche (Trois-Rivières), de la Ligue de hockey collégiale du Québec, en division 1… Comme le veut la coutume, un festival d’ouverture va marquer le lancement de la saison, vendredi et samedi, dans le stationnement du Colisée. Il y aura notamment un spectacle de Gab et les Dynamiteurs. Ça commence à 16 h, vendredi et 13 h 30, dimanche…
Depuis 2012, l'équipe du Ministère de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs travaille au repeuplement de la population des tortues des bois pour les réintroduire dans leur milieu naturel au Témiscouata. L'une de nos journalistes, Lisa-Marie Bélanger, les avait suivi en 2022 lors d’une mission d'introduction à leur habitat.
Maïté Blanchette Vézina n’affrontera pas Guy Caron à l’élection à la mairie de Rimouski. En confirmant son départ de la Coalition avenir Québec pour siéger comme députée indépendante, elle a réitéré qu’elle complétera son mandat à l’Assemblée nationale jusqu’en 2026.
« Ce n’est pas pour aller à la mairie de Rimouski », a-t-elle indiqué d’entrée de jeu, en saluant les journalistes présents lors de l’annonce de son départ de la CAQ.
Alors que le navire caquiste prend l’eau et que ses perspectives de réélection en 2026 paraissent minces, des voix s’élevaient pour suggérer à Maïté Blanchette Vézina de défier Guy Caron à la mairie de Rimouski, le 2 novembre prochain.
Plusieurs acteurs proches de l’hôtel de ville et dans certains cercles économiques de Rimouski avaient confié au Soir.ca espérer un tel duel.
Son parcours professionnel, ses contacts politiques et sa connaissance des dossiers lui donnent l’étoffe pour diriger une ville comme Rimouski. Plusieurs candidats potentiels, qui se disent en réflexion, attendent en fait de savoir ce que Maïté décidera », soulignait une source près de l’hôtel de ville.
En s’adressant au caucus de la CAQ, jeudi, Maïté Blanchette Vézina a de nouveau dénoncé le manque de vision claire du premier ministre François Legault envers les régions du Québec pour expliquer sa décision.
La semaine dernière, madame Blanchette Vézina a perdu son poste de ministre des Ressources naturelles et des Forêts et de ministre responsable de l’Est-du-Québec.
L'élue caquiste siégera comme indépendante.
Une amitié improbable est née du bénévolat obligatoire entre un étudiant en techniques policières et un octogénaire qui demeure au CHSLD de Rimouski. Michel-Félix Tremblay est allé les rencontrer.
La députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, quitte la Coalition Avenir Québec (CAQ) et agira comme indépendante à l’Assemblée nationale. Elle a dénoncé le manque de vision claire du premier ministre François Legault envers les régions du Québec.
Madame Blanchette Vézina s’est adressée au caucus de la CAQ, jeudi, pour annoncer la décision qu’elle a prise dans les derniers jours après avoir perdu son poste de ministre des Ressources naturelles et des Forêts et de ministre régionale. Elle a réitéré sa perte de confiance envers le premier ministre François Legault.
« J’ai défendu les défis qui m’étaient confiés avec engagement et loyauté, n’hésitant pas à prendre des coups pour l’équipe lorsqu’il le fallait. Pour aller au combat ensemble, il faut savoir clairement ce qu’on défend, y adhérer et surtout avoir confiance en son chef et sa garde rapprochée. Malheureusement, ce n’est plus le cas pour moi », a-t-elle affirmé en point de presse à Québec.
La députée s’interrogeait depuis plusieurs mois sur la direction de la CAQ. Elle soutient que le parti a besoin d’un leadership qui veut faire des régions une priorité.
« Malgré les nombreuses suggestions, force est de constater qu’aucune vision claire et porteuse ne s’est imposée. Confier à une seule ministre la responsabilité d’un territoire plus grand qu’un pays comme la Suisse, alors que de nombreux députés de la CAQ y sont élus, illustre bien ce manque de considération. Ce sont pourtant les régions qui ont fait élire le parti », dit-elle.
Maïté Blanchette Vézina a notamment déploré l’inaction pour la finalisation de l’autoroute 20 ainsi que sa sécurisation sur un tronçon entre Mont-Joli et Rimouski, le chemin de fer en Gaspésie, le déploiement du transport aérien au Bas-Saint-Laurent, la réfection des ports régionaux et la déserte maritime entre les deux rives de l’Est-du-Québec.
« Je ne peux plus continuer d’endosser des décisions qui sont prises sur le dos des régions. Les régions éloignées ne peuvent pas être vues comme périphériques. Elles doivent être au cœur du projet québécois. »
La députée élue en 2022 invite le premier ministre à entreprendre une grande réflexion quant à son avenir au sein de la CAQ.
« Un chef doit savoir reconnaître le moment de préparer la relève pour assurer la continuité et la vitalité de ce qu’il a bâti. J’invite le premier ministre à réfléchir sérieusement à ce plan de relève. Pour moi, le lien de confiance est brisé. »
Maïté Blanchette Vézina déplore aussi que la place des femmes au sein du conseil des ministres n’ait pas été mieux affirmée.
« Nous avons dans nos rangs de nombreuses femmes compétentes et inspirantes qui auraient pu occuper un rôle accru. Le Québec doit être exemplaire en matière de parité et de représentativité. Ce sont des valeurs fortes pour les citoyens du Québec et ce n’est pas le cas en ce moment. »
La réforme du régime forestier de la politicienne, dévoilé le printemps dernier, a été vivement critiquée par de nombreuses organisations environnementales, autochtones et citoyennes. Plusieurs d’entre elles ont dénoncé une approche trop favorable à l’exploitation industrielle des forêts publiques, au détriment de la biodiversité et des usagers du territoire.
Face à cette fronde, Maïté Blanchette Vézina a été contrainte de reculer en juin dernier. Elle a promis des « amendements importants » à son projet de loi, repoussant son adoption à une date ultérieure.
Maïté Blanchette Vézina a confirmé qu’elle terminera son mandat et qu’elle ne se présentera pas à la mairie de Rimouski. Elle a aussi mentionné son intention de se représenter en 2026, mais n’a pas précisé si ce serait avec un autre parti politique. Elle n’a pas écarté un retour avec la CAQ si le chef était différent.
Emma Ducharme est la nageuse de l’année du club de natation Les Dauphins de Rimouski pour une quatrième année consécutive. Cette fois-ci, elle obtient ce titre en duo avec Maxim Bélanger.
Les deux nageuses participeront à la Coupe du monde de natation World Aquatics qui se tiendra, du 23 au 25 octobre, à Toronto. Elles ont été récompensées lors du gala méritas des Dauphins qui s’est tenu le 13 septembre.
Pendant la dernière saison, Emma Ducharme a remporté quatre médailles aux championnats provinciaux en plus de revenir avec le titre de championne provinciale au 50 mètres dos. Elle a participé pour une deuxième fois aux essais canadiens où elle s’est classée 8e au 50 mètres dos en finale A. La nageuse a aussi pris part à quatre finales à la compétition Ontario Junior International et à trois finales lors des championnats canadiens en petit bassin. Elle a battu 16 records de club et 6 records de l’Est-du-Québec.
De son côté, Maxim Bélanger a participé pour la première fois aux essais canadiens. Elle a été de cinq finales B sur la scène nationale. La Rimouskoise a également gagné la médaille de bronze aux provinciaux au 50 mètres brasse. Finalement, elle a battu 11 records de club en plus de 2 records de l’Est-du-Québec.
Le trophée Julie-Couture, qui souligne la persévérance, la ténacité, la discipline, l’attitude positive et l’esprit d’équipe, a été remis aux athlètes François Bolduc et Anaé Cassista.
François Bolduc s’est démarqué par sa détermination à toujours vouloir en faire plus qui entraine les autres nageurs à le suivre dans de nouveaux objectifs. Il a participé aux Jeux du Québec en natation en eau libre et en triathlon remportant d’ailleurs une nomination pour son esprit d’équipe lors du 2e bloc.
Anaé Cassista, quant à elle, a démontré une éthique de travail impeccable et un bon esprit d’équipe tout au long de l’année. Son objectif d’être sélectionnée à l’âge de 12 ans seulement pour aller aux Jeux du Québec a été atteint.
Lors de cette soirée de gala, 66 trophées ont été remis aux nageurs des Dauphins.
Au total, 109 unités pourront être habitées d’ici le 1er octobre à Rimouski.
Les employés des supermarchés d’Alimentation Coop Rimouski sous la bannière IGA, situés sur le boulevard Jessop et de l’avenue Sirois, changent d’allégeance syndicale pour se joindre aux Travailleurs et travailleuses unis de l’alimentation et du commerce (TUAC) 500.
Ce virage a été confirmé à la suite d’un scrutin secret tenu les 10 et 11 septembre. Les employés étaient auparavant représentés par la CSN sous une même accréditation syndicale.
Le TUAC 500 représente déjà les travailleurs de 600 épiceries au Québec.
« Les salariés de ces deux supermarchés nous ont contactés parce qu’ils connaissaient notre approche, nos services et notre réputation en matière de négociation et de soutien aux membres », indique son président, Tony Filato, dans un communiqué.
Des démarches pour améliorer les conditions de travail ont été enclenchées dès la fin du vote.
Bernard Talbot et Janette Rodrigue font partie des locataires à pouvoir emménager dans l'une des 44 unités.
Le maire de Rimouski, qui sollicite un deuxième mandat, a rendu public son bilan des quatre dernières années. Le Guichet d'accès à la première ligne gagne en popularité. La STQ veut entamer des travaux de forage au quai de Gros-Cacouna.
Le maire sortant de Mont-Joli, Martin Soucy, a profité de la dernière séance du conseil municipal pour présenter le bilan de ce mandat de quatre ans qu’il qualifie de positif et d’intéressant pour l’avenir.
« Nous avons redressé les finances publiques et jeté les bases pour du développement, notamment par l’acquisition de terrains par la Ville. Tout est en place pour de grandes réalisations au cours du prochain mandat en termes de développement immobilier et de développement du parc industriel », mentionne-t-il d’entrée de jeu.
Seul candidat à la mairie de Mont-Joli pour l’instant, monsieur Soucy signale que le développement Pelletier/Lebel, situé à l’arrière du centre d’achat et le développement Joliette, au nord-est de la ville, vont accueillir deux plus de 500 unités de logement.
Pour les élus, il s’agissait de la dernière séance publique avant le déclenchement de la campagne électorale municipale.
La conclusion est unanime chez les élus : le dernier mandat fut positif, mais il laisse d’abord et avant tout les coudées franches à la prochaine administration pour veiller à l’édification de nombreux projets porteurs d’avenir.
Parmi les faits saillants, monsieur Soucy souligne que la dette à long terme de la Ville a nettement diminué. Concrètement, après l’exercice budgétaire 2024, la dette de Mont-Joli a fondu de 9,5% pour se situer à 8,7 M$, ce qui place Mont-Joli parmi les villes centres du Québec les moins endettées.
« En ces temps d’incertitude économique, Mont-Joli est en excellente posture financière et sa capacité d’emprunt pour créer de nouveaux projets est des plus enviables », affirme-t-il.
Le maire ajoute que la rigueur budgétaire du conseil municipal sortant a permis de jeter de bonnes bases de développement, notamment par la réalisation de travaux d’infrastructures souterraines, sans augmenter le fardeau fiscal des Mont-Joliens.
« Nous avons travaillé fort pour obtenir du financement gouvernemental pour la réalisation de travaux d’infrastructures souterraines pour 20 M$. Les citoyens peuvent compter sur un réseau beaucoup plus fiable répondant aux normes environnementales et aux besoins de l’ensemble de la population. La dernière réalisation à ce chapitre est la réfection du boulevard Jacques-Cartier et de l’avenue Quimper dont les travaux se sont achevés en août 2025 », affirme monsieur Soucy.
Parmi les grands projets qui ont été réalisés au cours des dernières années à Mont-Joli, le maire sortant parle de l’édification du carrefour giratoire, la construction de l’Amphithéâtre Desjardins, l’inauguration d’une toute nouvelle caserne incendie et l’achat du 300 avenue du Sanatorium (ancien édifice de la MRC de la Mitis) dans le but d’en faire un centre névralgique des loisirs, des sports et de la culture, tout en abritant sous le même toit des organismes sociaux et intermunicipaux.
Parmi les principaux enjeux surmontés par le conseil municipal, monsieur Soucy mentionne la sauvegarde des services de la SAAQ et la lutte pour préserver les services d’urgence au Centre hospitalier de La Mitis.
« Le principal dossier à venir sera de ramener les services de l’administration de la justice dans La Mitis. On continue d’y croire et on ne va pas lâcher », assure Martin Soucy, qui vise un troisième mandat à la mairie de Mont-Joli.
« Je pense avoir prouvé que je peux faire le travail et j’ai encore le goût de m’investir pour un autre quatre ans pour le développement de Mont-Joli », lance-t-il.
Guy Caron tire un bilan positif de son mandat comme maire de Rimouski.
Un suspect de 72 ans a été arrêté en lien avec l’incendie qui a fait rage au bâtiment abritant le Vieux Loup, la pizzeria Italia et 10 logements.
À la suite de la diffusion d’une vidéo montant l’individu mettre le feu dans un bac de recyclage situé à l’arrière du bâtiment, le public a fourni suffisamment d’informations pour que la Sûreté du Québec procède à une arrestation.
L’individu a été épinglé dans le secteur de l’avenue du Phare Ouest à Matane. Il a été escorté au poste de police pour être interrogé. Ce dernier pourrait être accusé d’incendie criminel.
Rappelons que dans la nuit du 16 septembre, un individu s’est rendu dans le stationnement arrière du Vieux Loup. Après avoir inspecté tous les bacs de recyclage, ce dernier a allumé un feu dans l’un deux. Le feu s’est rapidement propagé sur la paroi arrière du bâtiment jusqu’en haut.
Les occupants de sept logements ont été évacués et temporairement relocalisés dans un hôtel ou chez des proches. Aucune personne n’a été blessée mais le bâtiment a subi des dommages importants.
La Sûreté du Québec remercie le public pour sa précieuse collaboration. « Les citoyens ont joué un rôle déterminant dans l’avancement de cette enquête », conclut le porte-parole, Frédéric Deshaies.
La Ville de Rimouski convie la population à une grande vente de livres d’occasion, qui se tiendra du 19 au 21 septembre, à la bibliothèque Lisette-Morin.
Des milliers de livres retirés des collections des bibliothèques seront offerts en échange d’une contribution volontaire. Des romans, des documentaires et des albums jeunesse seront notamment disponibles.
Tous les dons recueillis seront versés à Centraide, qui soutient un vaste réseau d’organismes engagés dans la lutte contre la pauvreté et l’isolement social dans la région.
Le chef de section aux Bibliothèques, David Nadeau, estime qu’il s’agit d’une occasion de promouvoir le plaisir de lire, en collaboration avec Centraide.
« J’invite la population rimouskoise à venir fouiller parmi les trésors littéraires! Une belle occasion de faire le plein de lecture tout en appuyant des organismes de la région. »
La grande vente de livres d’occasion aura lieu le vendredi, de 9 h 30 à 20 h, ainsi que le samedi et dimanche de 9 h 30 à 16 h 30.
Rappelons que l’activité est gratuite et qu’il est suggéré d’apporter un sac réutilisable afin de transporter les achats. Les dons en argent comptant et par carte de débit seront possibles. Les personnes qui désirent plus d’informations sont invitées à communiquer au 418 724-3164.
Le centre d'hébergement d'urgence pour personnes itinérantes à Rimouski a ouvert ses portes mercredi. Comment assurer une cohabitation harmonieuse? Le directeur de l'organisme le Point de rue à Trois-Rivières témoigne de l'acceptabilité sociale requise.
La Sûreté du Québec confirme être à la recherche d’un suspect en lien avec l’incendie qui a atteint un bâtiment abritant des logements, la pizzeria Italia et le bar Au Vieux Loup de Matane.
L’incendie est survenu le 16 septembre dernier vers 2 h du matin. À la suite de l’enquête effectuée par la Sûreté du Québec, on est en mesure de conclure qu’il s’agirait d’un acte délibéré.
Une vidéo de surveillance permet d’apercevoir un individu circuler dans le stationnement arrière du bâtiment qui donne sur la rue Saint-Pierre. Or, sur ces images, on voit l’individu qui déclenche un feu à même un bac de recyclage situé aux abords du bâtiment.
La violence de l’incendie a été telle que le feu s’est propagé jusqu’en haut du bâtiment. De la fumée a aussi pénétré à l’intérieur de l’établissement, provoquant la fermeture de celui-ci.
Heureusement, personne n’a été blessé lors de l’incendie. Les locataires ont été relocalisés chez des proches ou dans un hôtel de la région.
La Sûreté du Québec demande la collaboration du public afin de retrouver l’individu qu’on voit sur les images de mauvaise qualité.
« Nous sommes conscients que la qualité de l’image n’est pas optimale, mais il est possible que certains puissent tout de même reconnaître cet individu à partir de son allure ou de ses déplacements », conclut le porte-parole de la SQ.
Les gens qui pensent avoir reconnu l’individu peuvent contacter la Centrale d’information criminelle au 1-800 659-4264.
MISE À JOUR : Incendie à Matane : suspect de 72 ans arrêté
Les dossiers de Stéphane Marquis, accusé de voyeurisme, sont reportés au 6 octobre pour fixer une date de procès.
Cette étape était initialement prévue le 9 et le 12 septembre au palais de justice de Rimouski. L’homme de 47 ans de Saint-Anaclet-de-Lessard a plaidé non coupable à l’ensemble des chefs d’accusation auxquels il fait face.
« Nous avons eu des discussions avec la défense. Le ministère public doit faire certaines vérifications afin de s’assurer que la preuve soit complète », a mentionné la procureure de la Couronne, Me Frédérique Audet, le 27 juin dernier.
Au départ, Marquis était accusé d’avoir observé et/ou produit un enregistrement visuel de quatre femmes alors qu’elles se trouvaient dans un lieu où l’on peut s’attendre à ce qu’une personne soit nue.
Les événements se seraient produits à Saint-Anaclet-de-Lessard et à Rimouski entre le 1er novembre 2023 et le 1er juillet 2024.
On reproche également à Stéphane Marquis d’avoir flâné et/ou rôdé dans la nuit sur la propriété d’autrui, près de deux maisons et de s’être commis à du harcèlement criminel envers une cinquième femme.
La dénonciation stipule que l’accusé aurait soit suivi cette femme, communiquée de façon répétée avec elle, cerné ou surveillé un lieu où elle réside ou travaille, ou se serait comporté de manière menaçante envers elle.
Une amitié est née du bénévolat obligatoire entre un étudiant en techniques policières et un octogénaire.
La mairesse sortante de Sainte-Luce, Micheline Barriault, qui a confirmé en juillet dernier qu’elle solliciterait un deuxième mandat à la mairie de Sainte-Luce, lance sa campagne électorale en vue des élections du 2 novembre prochain.
Sous le thème « Ensemble pour Sainte-Luce », madame Barriault exprime vouloir poursuivre le travail amorcé avec son équipe, par voie de communiqué.
« Depuis quatre ans, j’ai eu l’honneur de travailler aux côtés de nos citoyens, de porter des projets qui nous ressemblent et de bâtir ensemble une Sainte-Luce dynamique, accueillante et tournée vers l’avenir. »
La mairesse sortante estime que les prochaines années seront porteuses de nouvelles réussites pour sa municipalité.
« Sainte-Luce a encore tant de potentiel à faire rayonner. Je souhaite continuer à travailler avec vous, à écouter vos idées et à mettre en valeur notre milieu de vie exceptionnel. Ensemble, nous avons démontré que la force d’une communauté unie permet d’accomplir de grandes choses. »
Au début de juillet, Micheline Barriault avait aussi mis en relief les aspects plus difficiles de son travail.
« Comme bien des élus, j’ai été confrontée à des critiques parfois dures sur les réseaux sociaux. J’ai reçu des commentaires souvent injustes et parfois blessants, mais je ne laisse pas ces cas isolé définir qui nous sommes comme population. »
Elle avait cependant soulevé que le soutien qui lui avait été accordé de la part de citoyens, d’entrepreneurs et de membres de comité, l’avait convaincu de continuer.
Finalement, la mairesse sortante, candidate à la mairie, annonce qu’elle dévoilera prochainement l’ensemble des membres qui se présenteront à ses côtés pour former la nouvelle équipe de conseillers municipaux.
« Ensemble, nous formerons une équipe forte et dévouée, prête à porter ce beau projet collectif pour les quatre prochaines années », affirme-t-elle.
La STQ souhaite mener des travaux en vue du déménagement du service de traversier.
L'organisation amorce sa collecte de dons pour soutenir financièrement près de 50 organismes et projets.
La chorégraphe et interprète Soraïda Caron aborde les complexités de l’adoption internationale, la quête d'identité et le sentiment d'appartenance à travers la danse contemporaine dans son spectacle Les petits désordres en première mercredi soir au Théâtre du Bic.
L’enquête entourant les présumées irrégularités financières et administratives de l’ex-directeur général de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Jean-Nicolas Marchand, progresse au point où la Sûreté du Québec pourrait procéder à son arrestation d’ici les prochaines semaines, selon des sources policières.
Puisqu’il a été transféré à la Division des crimes économiques, les enquêteurs affectés au dossier compléteraient sous peu l’analyse des différentes preuves colligées dans les derniers mois.
Officiellement, la SQ ne peut confirmer l’information ni identifier de suspects. Le corps policier explique que ce genre d’enquête prend souvent des mois, voire des années dans certains cas, avant d’en arriver à de possibles accusations contre un individu.
Le conseil d’administration de la Chambre de commerce a congédié de son directeur général, le 3 février dernier, après avoir effectué des vérifications internes qui ont révélé de nombreuses anomalies et une fraude présumée de 500 000$.
Restaurants, voyages, hôtels, bars, chalets, de nombreux retraits au guichet à toute heure du jour et de la nuit, transferts Interac de la Chambre à des comptes personnels : les premières transactions qui font l’objet du litige actuel remontent à son entrée en poste, en octobre 2022.
Sentant possiblement qu’il tomberait de son piédestal, Marchand aurait tenté de récupérer des sommes d’argent en sollicitant des gens d’affaires, dans les semaines précédant son congédiement, prétextant que l’organisation se dirigeait « vers la faillite » sans leurs interventions immédiates.
Selon nos informations, une autre personne, proche de Jean-Nicolas Marchand, serait aussi impliquée dans cette affaire.
Québec permet que des travaux de dragage d'urgence soient effectués au port de Rimouski, avant que le processus d'évaluation et d'examen des impacts sur l'environnement soit terminé.
À Sainte-Anne-des-Monts une dizaine d'immigrants de l’Est-du-Québec ont reçu mercredi leur citoyenneté canadienne, lors d’une cérémonie organisée par un organisme qui vient en aide aux nouveaux arrivants.
Six organismes se disent lésés par les présumées irrégularités financières et administratives qui visent l’ex-directeur général de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Jean-Nicolas Marchand.
Le Centre de services animaliers de Rimouski, le Théâtre du Bic, l’Association de la construction du Québec – Bas-Saint-Laurent/Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Serviloge et Rimouski Ville Cyclable demandent à être remboursés pour leur participation, entre janvier et juin 2024, à une formation de l’École des entrepreneurs du Québec et organisée en collaboration avec monsieur Marchand.
« Malgré plusieurs rappels adressés à votre organisation, aucun retour de nous n’est parvenu à ce jour. Dans certains cas, il nous a été indiqué qu’un dépôt avait été effectué, mais, à ce jour, cela ne correspond malheureusement pas à la réalité de nos dossiers », écrivent les cosignataires d’une lettre écrite à la Chambre de commerce, le 15 septembre dernier, dont Le Soir.ca a obtenu copie.
De plus, Endurance Hockey, qui réunit une équipe de 25 joueurs affrontant différents adversaires durant 25 heures consécutives au profit de la Fondation Santé Rimouski, le Fonds d’études de l’Océanic et la Fondation Tag, attend toujours une commandite promise par l’ex-directeur général.
Les montants réclamés par chacun des organismes impliqués n’ont pas été détaillés dans la lettre.
Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, confirme au Soir.ca avoir pris connaissance de la lettre.
« J’ai eu des discussions individuelles avec tous les organismes concernés afin de bien leur expliquer la situation. Cette histoire est reliée à 100% à l’enquête en cours sur monsieur Marchand. Tout le monde a très bien compris la situation. Pour l’instant, on ne peut en dire plus, tant et aussi longtemps que l’enquête se poursuit », indique monsieur St-Pierre, sympathisant envers les organismes touchés par la présumée fraude.
Le conseil d’administration de la Chambre de commerce a congédié Jean-Nicolas Marchand, le 3 février dernier, après avoir effectué des vérifications internes qui ont révélé de nombreuses anomalies et une fraude présumée de 500 000$.
Restaurants, voyages, hôtels, bars, chalets, de nombreux retraits au guichet à toute heure du jour et de la nuit, transferts Interac de la Chambre à des comptes personnels : les premières transactions qui font l’objet du litige actuel remontent à son entrée en poste, en octobre 2022.
Selon nos informations, une autre personne, proche de Jean-Nicolas Marchand, serait aussi impliquée dans cette fraude présumée.
En 2024, plus de 17 000 Bas-Laurentiens se sont prévalus de ce service.
L’entreprise Ma Cabane en Gaspésie, dont le siège social est à Mont-Joli, vient d’être vendue à un acheteur qui demeure anonyme pour l’instant, mais qui oeuvre déjà dans le domaine de la transformation alimentaire.
Le fondateur Gino Ouellet confirme que la transaction est conclue même si elle sera officialisée par un notaire seulement dans quelques semaines.
La vente touche les installations du commerce situé dans le Carrefour giratoire de Mont-Joli, mais pas les érablières de la famille Ouellet, ni le bâtiment qui a été vendu à un promoteur immobilier de Rimouski.
La transaction comprend également l’important réseau de distribution comptant plus de 200 points de vente, dont des supermarchés IGA et Maxi.
« Des problèmes de santé m’ont incité à penser à la retraite, il y a un an et demi. J’avais prévenu les employés que je pensais à vendre. C’est maintenant officiel. Le nouveau propriétaire va rencontrer les employés mardi prochain. C’était important pour moi de trouver quelqu’un de crédible qui sera en mesure de poursuivre les opérations et d’assurer une continuité. Nous avons été approchés par plusieurs entreprises, mais nous avons pris le temps d’en choisir une en qui nous avons confiance », explique Gino Ouellet, qui entend maintenant se concentrer sur la production acéricole avec ses 80 000 entailles.
Monsieur Ouellet signale que l’acquéreur va rencontrer l’équipe mardi prochain et que son identité sera dévoilée par la suite. « C’est quelqu’un qui œuvre déjà dans le domaine de la pâtisserie. Les opérations vont continuer de la même manière avec les mêmes produits ».
L’homme d’affaires Gino Ouellet a fondé l’entreprise Ma Cabane en Gaspésie en 2010. L’entreprise a développé un vaste éventail de produits de l’érable. Elle a pignon sur rue dans le carrefour giratoire de Mont-Joli depuis 2014.
Le Bar Laser de Causapscal revient en force cette année avec Steven Leclerc et Maxime Charest, deux nouveaux présidents qui ont repris les rênes de l’équipe.
Le Laser version 2025 que les partisans verront sur la glace sera rehaussé par le retour de vétérans et l’arrivée de joueurs repêchés dans le nouveau territoire élargi.
« Nous avons mis sous contrat Olivier Gendron et Francis Bérubé. Patrick Tremblay et William Champagne de retour. Devant les buts, Jean-Christophe Parent partagera le travail avec Vincent Morin », explique Steven Leclerc.
Derrière le banc, l’équipe comptera sur Mathieu Morin au poste d’entraîneur-chef assisté de Jason Caron, un ancien joueur de l’Océanic bien connu dans la Vallée de la Matapédia.
Le capitaine de l’équipe, Olivier Gallant, sera aussi de retour avec la formation de Causapscal.
L’an dernier, le Bar Laser avait terminé au cinquième rang du classement général avec une fiche de trois victoires et 13 défaites. Il avait subi l’élimination lors du tournoi à la ronde servant de première ronde des séries éliminatoires.
Les présidents veulent ainsi ramener la tradition gagnante du hockey senior à Causapscal. Dans son histoire, le Bar Laser a remporté les championnats de 2019 et 2022.
« Dans notre cœur, nous avons trois coupes à notre actif (en 2020, l’équipe menait 2-0 en finale avant l’interruption des activités en raison de la COVID-19) et on vise une quatrième cette année. Avec l’équipe qu’on présente cette année, on sera en mesure d’être compétitifs et on souhaite que nos partisans remplissent les estrades », conclut Steven Leclerc.
Des créanciers ne s'entendent pas en lien avec la Distillerie du St. Laurent. Des OBNL veulent être remboursés par la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette. Une partie du dragage au port de Rimouski peut aller de l'avant sans évaluation environnementale.
Spect’Art Rimouski lancera sa saison culturelle automnale, ce mercredi 17 septembre, avec des prestations musicales d’Alphonse Bisaillon et de Julie Houde ainsi qu’une performance de l’humoriste Silvi Tourigny.
La population est invitée dès 19 h, à la Salle Desjardins, pour souligner cette rentrée culturelle. L’événement festif est offert gratuitement, mais les spectateurs doivent réserver leur place. Il sera possible de découvrir les nouveautés, les incontournables et les coups de cœur de l’équipe de Spect’Art pour les mois à venir.
Par ailleurs, le diffuseur rimouskois présentera 100 contrefaçons du chanteur David Corriveau, ce jeudi 18 septembre, à 20 h. Ce spectacle est composé de chansons et d’imitations. Corriveau est souvent reconnu pour des imitations à couper le souffle de Ginette Reno et Céline Dion.
Également le 18 septembre, à 20 h, Spect’Art Rimouski offrira L’humoriste Sam Vigneault en rodage, dans le cadre de la série d’humour Fun en salle. La prestation aura lieu aux Bains publics.
Le samedi 20 septembre, la Salle Desjardins accueillera le groupe School qui présentera la soirée hommage Supertramp Memories. Depuis 2002, la formation originaire de la Mauricie foule les planches des salles de spectacles et des festivals du Québec et du reste du Canada à la rencontre des admirateurs de Supertramp.
Les billets sont disponibles en ligne au spectart.com, par téléphone au 418 724-0800 ou à la Salle Desjardins.
Ce dragage est nécessaire pour permettre au Bella Desgagnés d'accoster à Rimouski pour son ravitaillement.
Âgé de seulement 19 ans, Xavier Dionne se présente pour devenir conseiller municipal à Amqui. Passionné de politique, il souhaite faire bouger les choses et amener du sang neuf dans sa ville.
L’Amquien fait assurément partie des plus jeunes dans la province à présenter sa candidature en vue des élections municipales du 2 novembre prochain.
« J’ai toujours eu un intérêt envers la politique. Je ne savais pas comment me lancer et depuis quelques mois, les gens me disaient que j’étais un jeune qui pouvait faire avancer les choses. Je crois que le niveau municipal est une belle façon de commencer en politique. C’est un monde que je veux essayer de comprendre », mentionne celui qui se présente dans le district 5.
Xavier Dionne est bien engagé dans sa communauté, notamment avec la mise en place du Tournoi de hockey-balle de la Vallée qui en sera à sa quatrième présentation en 2026. Il a créé ce projet dans le cadre d’un cours en quatrième secondaire.
« Des centaines de joueurs de tous âges des quatre coins de la province participent à cet événement qui fait rayonner Amqui bien au-delà de ses frontières. Être le président et fondateur de ce tournoi m’a permis d’apprendre à gérer des défis, à travailler en équipe et à croire profondément en la force de notre communauté. »
En 2023, le candidat a reçu le titre de Jeune bénévole de l’année par la Ville d’Amqui. Il fait également partie de l’organisation du Festival quad Matapédien et travaille sur un projet de sentier magique. Le jeune homme consacre une grande partie de son temps à arbitrer au hockey.
S’il est élu, Xavier Dionne a l’intention de travailler à faire revenir les jeunes dans la région après leurs études collégiales et universitaires. Il croit au potentiel de sa ville.
« Ce n’est pas vrai que nous n’avons pas de ressources dans la Vallée. Il faut trouver des façons de faire parler de nous parce que nous avons beaucoup de projets. Parfois, il faut juste une petite tape dans le dos pour faire avancer les choses. Je crois que chacun a un rôle à jouer pour bâtir une municipalité qui nous ressemble. »
Selon lui, la politique municipale a besoin de relève.
« Nous avons besoin d’une relève sérieuse, motivée et prête à investir temps et énergie pour représenter ses concitoyens avec honnêteté et authenticité. Je ferai en sorte d’être toujours à l’écoute, transparent dans mes démarches et déterminé à transformer les idées en projets concrets », dit-il.
Xavier Dionne à l’intention de commencer des études en entrepreneuriat pour éventuellement travailler dans le domaine immobilier.
Des aurores boréales ont été observées lors des nuits précédentes au Bas-Saint-Laurent, attirant de nombreux curieux. Ce phénomène céleste devrait se poursuivre dans les prochaines nuits puisqu'il s'agit d'une période propice à la formation de celles-ci.
L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, qui mentionnait, plus tôt cet été, avoir de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, a annoncé qu’il ne se présenterait pas aux élections du 2 novembre prochain.
Dans une publication Facebook, monsieur Sirois réitère qu’il y réfléchissait, mais qu’au terme de sa réflexion, il a pris la décision de ne pas déposer sa candidature, du moins, pas aux élections de 2025.
« J’ai eu le privilège de m’impliquer dans de nombreuses causes lors des dernières années. Des causes enrichissantes, aux multiples secteurs et qui m’ont fait voir une réalité de terrain sous plusieurs angles. Un autre dénominateur commun de ces implications est mon désir d’y aller à fond de train. Mes mandats ne sont généralement pas pris à la légère, pour le meilleur et pour le pire », explique Guillaume Sirois dans une même publication Facebook.
Il ajoute que depuis un peu plus de deux ans, il est aux prises avec certains problèmes de santé, « relativement mineurs, mais agaçant. »
« Nazareth est le quartier où j’ai grandi, où j’ai fait en affaires et où je vis encore avec un grand honneur. Ses citoyens méritent d’avoir une voix forte puisque les défis y sont multiples. La quarantaine étant arrivée, je commence à me connaître et à savoir comment j’aborderais un éventuel mandat. Je ne peux donc pas me résoudre à me lancer dans ce nouveau défi si je ne suis pas au sommet de ma forme », poursuit monsieur Sirois, en soulignant que la décision n’a pas été facile à prendre.
Guillaume Sirois conclut en soulevant le fait que sa réflexion à se lancer en politique lui a permis d’en apprendre plus sur les problématiques vécues par les citoyens du quartier Nazareth.
Il remercie également les personnes qui lui ont fait part de leur appui.
« Ceci dit, ce n’est qu’un au revoir face à une éventuelle implication politique. J’ai justement eu trop de discussions édifiantes avec mes compatriotes pour y mettre une croix à jamais. La seule certitude à court terme est que cette implication ne sera pas en 2025. »
L’Océanic n’aura pas de capitaine pour entamer la nouvelle saison. Les trois vétérans de 20 ans, Jack Martin, Émile Duquet et Luke Patterson agiront comme assistant.
L’organisation s’accorde quelques semaines supplémentaires avant de désigner son nouveau meneur, appelé à succéder à Jacob Mathieu comme 33e capitaine de l’histoire de l’équipe. Ce dernier avait obtenu le titre en octobre 2023, prenant la relève de Mathis Gauthier.
Martin, Duquet et Patterson entreprendront tous leur quatrième saison dans la LHJMQ.
Si Martin s’est joint à la brigade défensive de l’Océanic l’an dernier, Duquet a été acquis des Saguenéens de Chicoutimi, tandis que Patterson a été réclamé au ballottage après son passage avec les Eagles du Cap-Breton.
La troupe de Joël Perrault lancera sa campagne 2025-2026 avec un programme double contre le Drakkar de Baie-Comeau, vendredi et samedi, au Colisée Financière Sun Life.
Exploramer vient de franchir un cap symbolique en célébrant son 30e anniversaire.
Pour souligner cet anniversaire, les administrateurs du musée scientifique de Sainte-Anne-des-Monts ont organisé une journée spéciale réunissant une trentaine d’invités, dont quelques membres de la famille du fondateur de l’institution, Charles-Eugène Marin.
Les invités ont pris part à la cérémonie commémorative au sein d’un bâtiment nouvellement rénové au coût de 8 M$.
La journée d’activités a débuté par une excursion à bord du C.-E.-Marin-Exploramer. Le responsable de la collection vivante du musée, Mathieu Lemonde-Landry, a guidé les passagers dans une exploration marine.
Rendu au large, le biologiste et plus ancien employé de l’équipe, qui compte 24 ans d’expérience au sein du musée scientifique, a remonté les casiers. Les excursionnistes ont ainsi pu observer de près et toucher des homards, des crabes communs et un oursin.
Cette sortie en mer a été suivie d’un cocktail d’honneur et de dégustations principalement composées de produits certifiés Fourchette bleue, avant de se conclure par une présentation historique intitulée Du terre-plein à aujourd’hui, pendant laquelle la directrice générale d’Exploramer depuis 20 ans, Sandra Gauthier, a retracé les moments marquants de l’évolution du musée.
« Exploramer est une belle réussite et c’est ce qu’on veut souligner », a déclaré le président du conseil d’administration depuis quatre ans, Yves de Lafontaine. Le scientifique à la retraite a tenu à rendre hommage à son prédécesseur, Gilles Thériault, qui a dirigé l’organisme pendant 17 ans.
Le directeur général de la Société d’histoire de la Haute-Gaspésie a replacé la création d’Exploramer dans le contexte du développement touristique régional.
Selon Marc-Antoine DeRoy, Charles-Eugène Marin s’inscrit dans une lignée de visionnaires qui, dès 1994, a façonné l’attrait touristique de la Gaspésie, après le premier ministre du Québec, Louis-Alexandre Taschereau qui, en 1929, a fait de la Gaspésie une région touristique, qualifiant la péninsule de « la nouvelle Suisse de la Gaspésie ».
Il a aussi rappelé la mémoire d’Alphonse Pelletier, qui est à l’origine de la création du parc national de la Gaspésie.
De l’avis de l’historien, le projet d’Exploramer, qui s’appelait initialement Explorama, est arrivé à point nommé en 1995, puisque l’économie de la région était plombée par le moratoire sur la pêche à la morue décrété en 1993.
Sandra Gauthier a évoqué le parcours semé d’embûches de l’établissement.
En trois décennies, Exploramer a survécu à un incendie, à plusieurs tempêtes financières et a même annoncé sa fermeture à deux reprises.
Elle a reconnu que l’histoire d’Exploramer n’a vraiment pas été un long fleuve tranquille. Elle a cependant tenu à souligner l’intervention salutaire de groupes et d’individus qui sont venus à la rescousse de l’institution.
Loin de se contenter de ce bilan, Exploramer nourrit d’ambitieux projets.
« S’il y en a un qui croit à l’internationalisation d’Exploramer, c’est bien moi », a affirmé M. de Lafontaine. L’ancien directeur général de l’Institut Maurice-Lamontagne de Mont-Joli projette d’associer plus fortement et intimement le musée à la science et mise sur l’exportation d’expositions uniques créées localement.
Le projet phare demeure la construction d’un pavillon des requins, « un projet unique qui n’existe pas ailleurs », selon le biologiste de formation. Pour soutenir ses ambitions, l’organisme vient de créer la fondation Les amis d’Exploramer, qui peut déjà compter sur le soutien financier de partenaires comme Telus.
Après 30 ans d’existence, Exploramer semble avoir trouvé son équilibre.
« On a atteint une forme de stabilité et de maturité qui fait qu’on peut maintenant réaliser nos rêves », estime Yves de Lafontaine, confiant dans l’avenir de cette institution devenue un incontournable du paysage culturel, scientifique et touristique de la Gaspésie.
Les équipes de Mont-Joli et de Rivière-du-Loup sont sorties victorieuses de la deuxième fin de semaine d’activités dans le circuit de football du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec (RSEQ-EQ).
Les deux équipes du Mistral de Mont-Joli visitaient, samedi, les Griffons du Grand Gaspé. Les cadets l’ont emporté par la marque de 29 à 21 et les juvéniles ont écrasé leur adversaire 41 à 6.
Le lendemain, les Guerriers de l’école secondaire de Rivière-du-Loup ont imité les succès du Mistral sur le terrain de l’école secondaire de Matane. Ils ont infligé deux défaites aux Gladiateurs, soit 41 à 6 chez les cadets et 27 à 1 chez les juvéniles.
Le Mistral occupe le premier rang du classement cadet et Rivière-du-Loup de l’autre catégorie.
La fin de semaine prochaine, les deux équipes de Gaspé seront à Rivière-du-Loup. Mont-Joli (cadet) et Rimouski (juvénile) visiteront les Gladiateurs de Matane.
Depuis mai, des milliers d’utilisatrices se regroupent sur les réseaux sociaux au Bas-Saint-Laurent pour partager leurs histoires de rencontres en ligne. Shanelle Guérin vous explique le phénomène Are we dating the same guy? et les risques liés.
Les bâtiments de la Distillerie du St. Laurent font toujours l’objet d’un litige entre créanciers garantis.
Plus de deux ans après son arrestation le 11 mai 2023 lors d’une perquisition en matière de stupéfiants à Rimouski, l’enseignante Natalie Roberts, 58 ans, a été absoute de l’accusation de possession de cannabis en vrac à laquelle elle faisait face.
L’absolution inconditionnelle, c’est-à-dire sans aucune condition, a été prononcée vendredi dernier (12 septembre) par le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard.
Le dossier a traîné en longueur parce que l’accusée a changé d’avocat à plusieurs reprises. Me Damir Mousaefendic a pris la relève de Me Robert Doré, qui lui avait succédé à Me Jean-Pierre Sharpe et à Me Marco Robert, qui avait dû se désister parce qu’il représentait le fils de l’accusée, Jonathan Lapointe-Roberts arrêté lors de la même opération.
Natalie Roberts a été arrêtée en même temps que son fils Jonathan Lapointe-Roberts, 37 ans et David Lévesque. Ce dernier a été reconnu coupable et il a été condamné à un an de prison.
Seule Natalie Roberts avait alors pu retrouver sa liberté pour la suite du processus judiciaire moyennant certaines conditions à respecter.
Les enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs assistés des policiers du poste MRC de Rimouski-Neigette, d’un maitre-chien et d’un technicien du service de l’identité judiciaire de la Sureté du Québec, ont procédé le 11 mai 2023 à une importante opération en matière de trafic de stupéfiants.
« Le but de cette opération était de mettre fin aux activités de revente d’un réseau organisé de trafiquants de stupéfiant qui opérait dans la grande région de Rimouski », indiquait alors le sergent de la SQ, Claude Doiron.
Les derniers sont devenus les premiers ! Le Bérubé GM de Trois-Pistoles remporte la Coupe Couture-Verret à la suite de sa victoire en six parties face aux Braves Batitech du Témiscouata dans la série finale de la Ligue senior de baseball Puribec.
Mardi soir, la formation des Basques a mis un terme à la saison en l’emportant 8-5 pour gagner la série en six parties.
La formation des Basques, 7e et dernière au classement de la saison, a tour à tour écarté Rivière-du-Loup (2e), Rimouski (1er) et Témiscouata (3e) pour remporter un premier championnat des séries depuis 2017.
Le renversement de situation est historique : d’une fiche de 5-17 en saison, le Bérubé GM a remporté 11 de ses 16 parties en séries.
Le vétéran Stéphane Pouliot a été nommé joueur par excellence des séries. Il a présenté un dossier de 4-1 comme lanceur en plus de s’illustrer au bâton avec une moyenne de ,357, cinq circuits et 17 points produits.
Élie Belzile, Ludovic Saucier et Tristan Michaud-Thériault ont aussi connu d’excellentes séries pour les champions.
Les Braves avaient pris les devants 4-0 à leur premier tour au bâton chassant François Michaud du monticule. Comme ce fut souvent le cas dans les dernières semaines, le Bérubé GM a ensuite surmonté un déficit de 5-0 pendant que Tristan Michaud-Thériault, appelé en relève, limitait les Braves à un point, non mérité, en 6 1/3 manches. Il a porté son dossier à 4-0 en séries.
Pendant ce temps, l’offensive du Bérubé GM s’est mise en marche avec cinq points en fin de 4e manche, quatre sur un grand chelem de Samuel Laforest et l’autre sur le circuit de Nicolas Thibault. Jacob April a brisé l’égalité de 5-5 avec un simple opportun en 5e manche après quoi le même Laforest a produit deux autres points.
Cette série a été ponctuée de 99 points en six parties, dont 56 par Trois-Pistoles.
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Maxim Massé participera à son deuxième camp d’entraînement officiel avec les Ducks d’Anaheim. Le Rimouskois fait partie de la liste des 54 joueurs qui se rapporteront à l’état-major de l’équipe dès ce jeudi 18 septembre.
Même s’il a été blanchi lors des deux matchs opposant les recrues des Ducks à celles des Sharks de San Jose et des Kings de Los Angeles, le week-end dernier, l’attaquant des Saguenéens a suffisamment bien fait pour poursuivre l’aventure, en compagnie de son coéquipier à Chicoutimi, Émile Guité.
Anaheim disputera sept matchs préparatoires d’ici le 4 octobre afin de se préparer pour la saison 2025-2026.
« Je vois cela comme une opportunité de montrer la progression que j’ai faite par rapport à l’an passé. Lors d’un premier camp, on est toujours un peu stressé, on ne sait pas trop à quoi s’attendre. Cette année, je sais à quoi m’attendre. Je pourrai aussi guider Émile, qui vivra son premier camp », a indiqué le jeune homme de 19 ans au site Internet des Saguenéens, avant son départ pour la Californie.
Choix de troisième tour des Ducks en 2024, Massé a complété sa troisième saison dans la LHJMQ avec une fiche de 33-26-59 en 47 parties. Une blessure à la cheville l’a tenu à l’écart du jeu pendant sept semaines, en octobre et novembre.
« Il y a eu des hauts et des bas. Ça a bien commencé, mais ma blessure est venue chambouler ça. Revenir d’une blessure pareille, c’est un peu plus difficile pour la confiance et la condition physique. Ensuite, un mois, un mois et demi après mon retour, j’ai été en mesure de bien terminer la saison », expliquait-il en avril au collège René-Alary.
Pour sa part, Mathis Langevin, de l’Océanic, a également été invité par l’Avalanche du Colorado à son camp principal. Il fait partie des six gardiens convoqués par l’organisation.
Ignoré lors du repêchage de la LNH, l’athlète de 20 ans a mené Rimouski en séries éliminatoires le printemps dernier, à la suite de la blessure de William Lacelle. Ses performances en ont fait le gardien numéro un de l’équipe, notamment lors du tournoi de la Coupe Memorial, présenté au Colisée Financière Sun Life.
Il s’agit d’une autre leçon de persévérance dans le monde du hockey.
À pareille date l’an dernier, Mathis Langevin s’était fait dire qu’il n’y avait pas de place pour lui par deux équipes de la LHJMQ, Shawinigan et Sherbrooke. Bathurst l’a ensuite réclamé au ballottage, avant qu’il soit échangé à l’Océanic quelques mois plus tard.
Avec l’aide de René Alary
Autre texte à lire : Poursuivre la tradition des Massé
Des organismes à but non lucratif demandent à la Chambre de commerce de Rimouski-Neigette d'être remboursés.
Le service d'autopartage Communauto fait son arrivée dans le paysage rimouskois. Deux véhicules seront disponibles dès le 30 septembre prochain, pour les citoyens.
La sexologue de Club SEXU et chargée d'enseignement de la Faculté de médecine l'Université Laval, Sara Mathieu-Chartier, observe une diminution du port du condom chez les jeunes et une augmentation des infections transmises sexuellement et par le sang.
Deux véhicules Communauto seront disponibles dès le 30 septembre, à Rimouski. L’organisme Mobilité partagée Rimouski (MPR) déploie son tout premier service d’autopartage.
Une voiture sera située au parc de la Gare et l’autre à la Coop Paradis. MPR jouera le rôle de gestionnaire de la flotte locale en partenariat avec Communauto.
« Ça fait longtemps que nous travaillons là-dessus et ça devient réel. Nous avons vu des statistiques épouvantables concernant la voiture solo. Communauto est un capital de confiance. Nous pensons que c’est la voie à suivre pour que la mobilité devienne quelque chose d’autre », explique le président de MPR, Raphaël Arsenault.
Ce partenariat se veut unique au Québec puisqu’il permet d’élargir le modèle Communauto au-delà des grands centres et de proposer une solution adaptée à la réalité régionale.
« Dans une petite ville comme Rimouski, c’est aussi une bonne idée d’avoir des voitures à partager. Dans les grandes villes, l’offre est grande. Oui nous avons un transport collectif à Rimouski, mais ce n’est pas la panacée. Nous pensons qu’il y aura un engouement. Nous avons déjà beaucoup de gens qui nous approchent. »
Selon les besoins
Les voitures pourront être empruntées pour de courtes ou de longues périodes. Pour accéder au service, les utilisateurs doivent d’abord devenir membres de MPR et s’inscrire au service de Communauto. L’adhésion soutient l’implantation de l’autopartage et contribuera au développement d’autres initiatives de mobilité partagée.
« L’idée de MPR est d’apporter différentes solutions qui seront plus adaptées en fonction des besoins des gens. Nous allons dévoiler des choses dans les prochains mois et Communauto est très ouverte. Le coût de la vie est tellement grand en ce moment, il y a plein de conjectures qui font que c’est une bonne idée d’offrir ce service », mentionne le président de l’organisme à but non lucratif.
De l’expansion pour Communauto
Communauto compte 8 000 véhicules dans une vingtaine de villes du Canada et de la France. D’abord installé dans les grands centres, le service se dirige de plus en plus vers des villes plus petites.
« Le besoin d’avoir des solutions permettant de ne pas dépendre du véhicule est partout. L’intérêt des villes et des organisations comme MPR nous permet d’expérimenter d’autres façons de faire qui pourraient être des modèles pour d’autres. Rimouski est notre lancement le plus nordique et le plus à l’est de Québec », souligne le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani.
Moniseur Viviani soutient que d’autres véhicules pourraient s’ajouter à la flotte rimouskoise si la demande est présente.
« Normalement, nous cherchons à atteindre des taux d’utilisation d’environ huit heures par jour par véhicule. Quand on arrive à ça, on commence à regarder où et comment ajouter des véhicules. C’est aussi selon le nombre de personnes. On parle d’un véhicule pour 20 ou 25 abonnés. Ici, il y en a 40. »
La Ville de Rimouski collabore également à l’initiative. Les 140 premiers abonnés rimouskois à MPR recevront une réduction de 35 $ grâce au fonds affecté aux projets écoresponsables. Les détails sont en ligne au www.mobilitepartagee.ca.