Ukraine’s long-range strikes inside Russia have cost Moscow over $74 billion since January, according to fresh data from the General Staff of the Armed Forces of Ukraine. The military says the economic toll equals more than 4% of Russia’s annual GDP, with most hits landing deep inside its territory.
Ukraine has been using its domestically produced long-range drones for deep strikes inside Russia. The targets include military sites, defense industry facilities, railway infrastructure, oil refiner
Ukraine’s long-range strikes inside Russia have cost Moscow over $74 billion since January, according to fresh data from the General Staff of the Armed Forces of Ukraine. The military says the economic toll equals more than 4% of Russia’s annual GDP, with most hits landing deep inside its territory.
Ukraine has been using its domestically produced long-range drones for deep strikes inside Russia. The targets include military sites, defense industry facilities, railway infrastructure, oil refineries, and fuel depots. These attacks come as Russia’s full-scale invasion of Ukraine passes the three-and-a-half-year mark.
Military publishes breakdown of targets and distances
On 15 August, the General Staff released infographics detailing the scope and impact of deep strikes carried out since 1 January 2025. The figures show that 42% of the attacks targeted oilrefineries, making them the single most-hit category. Storage facilities were the second most common target at 37%, followed by oil pumping stations at 10%, terminals and ports at 7%, and other facilities at 4%.
Infographic: Ukrainian Army’s General Staff.
The data also breaks down the distances of strikes from Ukraine’s border. Nearly 39.22% of hits landed between 500 and 1,000 km inside Russia, while 37.25% were between 200 and 500 km. Only 13.73% were within 200 km of the border. More than 10% of the strikes reached beyond 1,000 km, a range that underscores Ukraine’s long-range capabilities.
Infographic: Ukrainian Army’s General Staff.
Kyiv links economic losses to targeted infrastructure
The General Staff’s report estimates that the strikes have reduced Russia’s GDP by 4.11% in annual terms. Officials credit the damage to a focus on high-value infrastructure such as refineries, depots, and transport hubs. The statement thanked all personnel involved in the operations and stressed that Ukrainian defense forces are continuing the campaign.
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Les Pionniers du Cégep de Rimouski en hockey accueilleront 35 joueurs à leur camp d’entrainement qui se tient à compter de vendredi au Complexe sportif Desjardins.
Nicholas Duchesne, qui a dirigé les Pionnières en 2023-2024, est le nouvel entraineur-chef de l’équipe masculine. L’an dernier, il agissait comme coordonnateur du programme Sélect de l’école Paul-Hubert, en plus de diriger l’équipe M18 D1.
Il succède à Frédérick Bergeron, qui avait assumé l’intérim de Sébastien Dénommé en deuxiè
Les Pionniers du Cégep de Rimouski en hockey accueilleront 35 joueurs à leur camp d’entrainement qui se tient à compter de vendredi au Complexe sportif Desjardins.
Nicholas Duchesne, qui a dirigé les Pionnières en 2023-2024, est le nouvel entraineur-chef de l’équipe masculine. L’an dernier, il agissait comme coordonnateur du programme Sélect de l’école Paul-Hubert, en plus de diriger l’équipe M18 D1.
Il succède à Frédérick Bergeron, qui avait assumé l’intérim de Sébastien Dénommé en deuxième moitié de saison, l’an dernier. Bergeron a accepté le poste d’entraineur des gardiens et responsable de la vidéo avec les Albatros M18 AAA.
Des 35 joueurs présents, une vingtaine sont des vétérans ou des joueurs qui ont signé des lettres d’engagement. Deux ou trois autres joueurs participent à des camps d’entrainement dans le junior majeur ou le collégial D1 et pourraient s’amener avec les Pionniers.
« Il reste de la place pour environ quatre joueurs. Le plan est de compter sur 14 attaquants, sept ou huit défenseurs et trois gardiens », mentionne Duchesne qui sera assisté par William Massé et Simon Deschênes.
La très grande majorité des joueurs sont du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie.
L’accueil se fera vendredi avec des séances d’entrainement en soirée et le samedi avant-midi. Suivront, deux matchs intra équipe, en fin d’après-midi et dimanche en début d’après-midi.
Division 2
Nicholas Duchesse (Photo Facebook Pionniers)
Les Pionniers évoluent dans la division 2 de la Ligue collégiale du RSEQ. Deux nouvelles équipes s’ajoutent avec le Collège Laflèche (Trois-Rivières), dans la section Nord-Est, et Joliette, dans la Sud-Ouest. Le calendrier passe de 26 à 30 parties par équipe.
« On peut s’attendre à une belle saison. On sera relativement jeune avec de bonnes recrues qui rentrent et de bons résultats, mais la fenêtre pour être très compétitif devrait s’ouvrir en 2026-2027. Mais, dès cette année, on devrait lutter dans le top 4 de notre section et l’objectif sera de se rendre au championnat provincial », poursuit Duchesne.
Parties préparatoires
Les Pionniers disputeront trois parties hors-concours : le samedi 30 août à Lévis ainsi que les 6 et 7 septembre, à domicile, contre le Cégep du Vieux Montréal.
La saison régulière débutera le 13 septembre à Trois-Rivières.
Pionnières
Pour ce qui est des Pionnières, l’alignement 2025-2026 est finalisé depuis le camp de printemps.
Jean-François Duchesne accueillera son personnel pour des premières pratiques, les 18 et 19 août. Un match préparatoire est à l’horaire pour le 30 août, à Lévis, contre Thetford.
La saison régulière se mettra en branle le samedi 20 septembre, à Rimouski, contre les Lynx du Cégep Édouard Montpetit.
Les 3L de Rivière-du-Loup miseront Olivier Bellavance-Roy devant le filet, pour la prochaine saison, dans la Ligue de nord-américaine de hockey. Le gardien de Causapscal effectue un retour au Québec après avoir passé les 14 dernières années dans différents circuits professionnels.
Âgé de 34 ans, l’ancien choix de 5ᵉ ronde des Oilers d’Edmonton a notamment évolué dans la Ligue américaine de hockey, la Ligue de la Côte-Est et en Europe.
Ses succès dans la LHJMQ avec les Eagles du Cap-Breto
Les 3L de Rivière-du-Loup miseront Olivier Bellavance-Roy devant le filet, pour la prochaine saison, dans la Ligue de nord-américaine de hockey. Le gardien de Causapscal effectue un retour au Québec après avoir passé les 14 dernières années dans différents circuits professionnels.
Âgé de 34 ans, l’ancien choix de 5ᵉ ronde des Oilers d’Edmonton a notamment évolué dans la Ligue américaine de hockey, la Ligue de la Côte-Est et en Europe.
Ses succès dans la LHJMQ avec les Eagles du Cap-Breton et le Titan d’Acadie-Bathurst lui avaient aussi permis de représenter le Canada au Championnat du monde junior, où il a remporté la médaille d’argent en 2011.
Maintenant résident de Rimouski, Bellavance-Roy a été acquis du Bataillon de Saint-Hyacinthe lors de la dernière saison. Il partagera le travail à Rivière-du-Loup avec Étienne Montpetit.
Toute une feuille de route
« C’est une grosse signature. On ajoute un joueur du Bas-Saint-Laurent qui possède toute une feuille de route. Avec Émilien Boily qui n’était pas de retour, on a travaillé fort afin de s’assurer d’avoir deux gardiens de qualité. Roy a les outils pour avoir du succès et il nous permet d’avoir encore une fois un excellent duo devant la cage. C’est un gagnant et il arrive avec beaucoup d’expérience et de leadership », a indiqué le directeur général des 3L, Fabien Dubé.
Il s’agira d’un retour pour Bellavance-Roy à Rivière-du-Loup pour Olivier Bellavance-Roy après avoir défendu les couleurs des Albatros du Collège Notre-Dame, au niveau midget AAA.
Avant le match de Supercoupe d'Europe entre le PSG et Tottenham, l'UEFA a fait déployer une banderole sur le terrain pour sensibiliser au sort des enfants et des civils en zone de conflits. Des enfants réfugiés en Italie, venus notamment de Palestine, d’Afghanistan, d’Irak et d’Ukraine étaient invités sur la pelouse.
Avant le match de Supercoupe d'Europe entre le PSG et Tottenham, l'UEFA a fait déployer une banderole sur le terrain pour sensibiliser au sort des enfants et des civils en zone de conflits. Des enfants réfugiés en Italie, venus notamment de Palestine, d’Afghanistan, d’Irak et d’Ukraine étaient invités sur la pelouse.
Transparent pendant les 70 premières minutes du match, mercredi à Udine, le PSG a d'abord trouvé les ressources pour égaliser contre Tottenham (2-2) avant de remporter la Supercoupe d'Europe lors de la séance de tirs au but.
Transparent pendant les 70 premières minutes du match, mercredi à Udine, le PSG a d'abord trouvé les ressources pour égaliser contre Tottenham (2-2) avant de remporter la Supercoupe d'Europe lors de la séance de tirs au but.
La Confédération africaine de football a annoncé mercredi sanctionner le Kenya d'une amende de 50 000 dollars après plusieurs incidents impliquant des supporteurs dans un stade de Nairobi, lors de rencontres du Championnat d'Afrique des nations (CHAN).
La Confédération africaine de football a annoncé mercredi sanctionner le Kenya d'une amende de 50 000 dollars après plusieurs incidents impliquant des supporteurs dans un stade de Nairobi, lors de rencontres du Championnat d'Afrique des nations (CHAN).
Le Club de patinage de vitesse Les Cyclones de Rimouski recevra l’Omnium canadien junior courte piste lors de sa prochaine saison. Les meilleurs jeunes de 16 à 18 ans au pays seront en ville les 24 et 25 janvier 2026.
La compétition regroupera 80 patineurs de vitesse courte piste, soit 40 garçons et 40 filles. C’est la deuxième fois que les Cyclones reçoivent un événement national. L’autre était en mars 2024.
« L’an dernier, nous avions eu un rendez-vous manqué. Nous pensions en avoir une
Le Club de patinage de vitesse Les Cyclones de Rimouski recevra l’Omnium canadien junior courte piste lors de sa prochaine saison. Les meilleurs jeunes de 16 à 18 ans au pays seront en ville les 24 et 25 janvier 2026.
La compétition regroupera 80 patineurs de vitesse courte piste, soit 40 garçons et 40 filles. C’est la deuxième fois que les Cyclones reçoivent un événement national. L’autre était en mars 2024.
« L’an dernier, nous avions eu un rendez-vous manqué. Nous pensions en avoir une et nous n’avions pas pu pour une question d’équité entre provinces. Nous nous étions fait suggérer de postuler pour la prochaine année et c’est ce que nous avons fait. Nous sommes vraiment contents », affirme l’entraîneuse-chef des Cyclones, Geneviève Sirois.
Rivière-du-Loup avait également accueilli une compétition de calibre national en novembre 2024.
« Pour une région comme l’Est-du-Québec, d’avoir des événements nationaux pratiquement chaque année est super positif pour le club, pour la ville et pour la région. Quand Rimouski ou Rivière-du-Loup reçoit un tel événement, ça a des retombées sur l’ensemble de la région », ajoute madame Sirois.
En terrain connu
Organiser ce genre d’événement demande un peu plus de gestion de la part des Cyclones, mais le club est en terrain connu.
« Nous allons devoir sortir des sentiers battus par rapport à ce que nous avons l’habitude d’organiser pour un championnat provincial. Les gens vont arriver des autres provinces la semaine avant. Nous allons devoir mettre en place des plages d’entraînement. Il faut aussi que tout soit bilingue. Par contre, nous recevons plus d’aide quand on accueille un championnat national que lors d’un championnat interrégional », explique l’entraîneuse-chef.
Quatre patineurs des Cyclones, Félix Gagnon, Zachary Tremblay, Samuelle Tremblay et Jade Pelletier pourraient se qualifier pour l’Omnium canadien junior à Rimouski.
Les nageuses du Club Les Dauphins de Rimouski, Maxim Bélanger et Emma Ducharme, ont chacune pris part à trois finales lors du premier Championnat canadien en petit bassin (25m) qui avait lieu à l’Université de Sherbrooke, du 7 au 10 août.
Hugo Brouillet était également de la compétition qui a conclu la saison 2024-2025 des nageurs nationaux du club. Les trois Rimouskois se sont classés à trois épreuves.
Ducharme est triple finaliste au 50, 100 et 200 mètres dos. Pour la deuxième fois cette
Les nageuses du Club Les Dauphins de Rimouski, Maxim Bélanger et Emma Ducharme, ont chacune pris part à trois finales lors du premier Championnat canadien en petit bassin (25m) qui avait lieu à l’Université de Sherbrooke, du 7 au 10 août.
Hugo Brouillet était également de la compétition qui a conclu la saison 2024-2025 des nageurs nationaux du club. Les trois Rimouskois se sont classés à trois épreuves.
Ducharme est triple finaliste au 50, 100 et 200 mètres dos. Pour la deuxième fois cette saison, elle a pris part à deux finales A sur la scène nationale. Elle a terminé 7e à la course de 100 mètres et 8e à celle de 50 mètres. Pour se classer pour cette dernière, un duel en bris d’égalité a été nécessaire et elle a réussi à l’emporter avec son 2e meilleur temps à vie à cette épreuve (30,40). Au 200 mètres dos, elle était de la finale B pour conclure avec une 11e position et un meilleur temps.
Emma Ducharme et Maxim Bélanger lors d’une autre compétition. (Photo courtoisie)
De son côté, Maxim Bélanger a participé à trois finales B. Elle a terminé 10e au 100 mètres, 11e au 200 mètres et 12e au 50 mètres brasse. La Rimouskoise a obtenu son meilleur temps à vie au 50 mètres (33,06).
Hugo Brouillet du Club de natation Les Dauphins de Rimouski (Photo courtoisie)
Hugo Brouillet a obtenu une 37e position au 200 mètres brasse avec un meilleur temps de presque 2 secondes (2:28,55).
Records et nouveaux standards
Bélanger a fracassé deux records du club au 50 mètres et au 100 mètres brasse chez les 17-18 ans.
Emma Ducharme a abaissé son record de l’Est-du-Québec et son record du club tout âge au 200 mètres dos avec un temps de 2:14,87.
Le Championnat canadien en petit bassin (25m) regroupait 305 nageurs de tous les âges confondus provenant de 103 clubs de partout au Canada.
Simon Dion-Viens prendra le départ de la course de la série NASCAR Canada, ce dimanche 10 août dans le cadre du Grand Prix de Trois-Rivières. Il conduira la voiture no 37 pour les 60 tours de l’épreuve disputée sur le circuit urbain.
Le pilote du Kamouraska, qui affectionne particulièrement ce tracé, devra composer avec un peloton relevé de plus de 28 pilotes, dont plusieurs grands noms québécois de la course automobile, soit Alex Tagliani, Andrew Ranger, Marc-Antoine Camirand et les frères J
Simon Dion-Viens prendra le départ de la course de la série NASCAR Canada, ce dimanche 10 août dans le cadre du Grand Prix de Trois-Rivières. Il conduira la voiture no 37 pour les 60 tours de l’épreuve disputée sur le circuit urbain.
Le pilote du Kamouraska, qui affectionne particulièrement ce tracé, devra composer avec un peloton relevé de plus de 28 pilotes, dont plusieurs grands noms québécois de la course automobile, soit Alex Tagliani, Andrew Ranger, Marc-Antoine Camirand et les frères Jean-François et Louis-Philippe Dumoulin.
Dion-Viens a déjà signé deux victoires dans la série canadienne Supercar au volant d’une Chevrolet Corvette sur le circuit trifluvien. Son meilleur résultat en NASCAR Canada a été une 7e position.
Simon Dion-Viens roule en piste. (Photo courtoisie)
Après les essais effectués samedi, le départ de la course s’effectuera dimanche à 13 h 30. L’épreuve sera diffusée en direct sur les ondes de TVA Sports.
La victoire de Victoria Mboko à l’Omnium Banque Nationale (OBN) a des échos jusque dans le Bas-Saint-Laurent. Aux Tennis de Rimouski, l’intérêt pour le sport risque d’augmenter, surtout du côté féminin.
L’évolution de la jeune joueuse pendant le tournoi de Montréal a été suivie de près par les membres du club rimouskois.
« Plus le tournoi avançait, plus les gens venaient nous voir pour discuter des résultats. Les bonnes performances des Canadiens ont contribué à l’ambiance. C’est un peu
La victoire de Victoria Mboko à l’Omnium Banque Nationale (OBN) a des échos jusque dans le Bas-Saint-Laurent. Aux Tennis de Rimouski, l’intérêt pour le sport risque d’augmenter, surtout du côté féminin.
L’évolution de la jeune joueuse pendant le tournoi de Montréal a été suivie de près par les membres du club rimouskois.
« Plus le tournoi avançait, plus les gens venaient nous voir pour discuter des résultats. Les bonnes performances des Canadiens ont contribué à l’ambiance. C’est un peu comme pour les Canadiens de Montréal en séries. Tout le monde en parle et ça devient plus tranquille quand ils sont éliminés. Cette année, on peut dire que Tennis Canada a remporté sa Coupe Stanley », compare le directeur et professionnel aux Tennis de Rimouski, André-Michel Proulx.
Une quarantaine de personnes se sont réunies au club, jeudi soir, pour assister à la finale entre Mboko et la Japonaise Naomi Osaka.
Des amateurs réunis aux Tennis de Rimouski pour visionner la finale de l’OBN. (Phot courtoisie)
« C’était un événement organisé à la dernière minute, mais la réponse a été super positive. Les participants étaient ravis et plusieurs m’ont dit qu’ils avaient apprécié l’initiative. C’est à refaire pour d’autres occasions », souligne le Rimouskois.
Victoire pour le tennis féminin
Selon André-Michel Proulx, cette victoire va créer un véritable effet d’entraînement auprès des jeunes de la région.
« Pour nous, c’est une occasion exceptionnelle de visibilité gratuite et ça rejoint directement un public que nous cherchons activement à développer, soit les jeunes filles. Il s’agit d’une priorité, autant pour nous que Tennis Canada. Ce le sera encore davantage dans les prochaines années. »
Pour l’instant, le ratio d’inscription est de 80 % de garçons par rapport à 20 % de filles aux Tennis de Rimouski. Il peut même descendre à 85-15 % pour certaines sessions.
Exploit exceptionnel
« C’est quelque chose d’assez exceptionnel de réaliser un tel exploit à seulement 18 ans pour Victoria Mboko. Nous risquons de voir plus de filles dans les groupes cet automne. L’un de nos objectifs, cette année, était justement de créer des groupes exclusivement féminins afin de favoriser leur intégration », ajoute le directeur et professionnel.
Il soutient que cette victoire en est aussi une pour son sport partout au pays.
Les inscriptions pour la session d’automne sont commencées depuis le 10 août aux Tennis de Rimouski. Les détails : www.tennisrimouski.com.
Officials building a Florida detention center appear to be skipping environmental reviews made mandatory decades ago after a fight over an airport at the very same spot.
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Le Rimouskois Riopel Grégoire s’est retrouvé sur le court central de l’Omnium Banque Nationale de Montréal, qui se tenait du 26 juillet au 7 août. Il a agi comme chasseur de balles et a pu côtoyer les meilleures joueuses au monde, dont la championne Victoria Mboko.
L’adolescent de 15 ans a eu l’occasion d’être chasseur de balles pour une douzaine de parties.
« J’ai trouvé ça formidable. C’est une expérience que plusieurs joueurs de tennis devraient vivre. Je voulais apprendre des meilleu
Le Rimouskois Riopel Grégoire s’est retrouvé sur le court central de l’Omnium Banque Nationale de Montréal, qui se tenait du 26 juillet au 7 août. Il a agi comme chasseur de balles et a pu côtoyer les meilleures joueuses au monde, dont la championne Victoria Mboko.
L’adolescent de 15 ans a eu l’occasion d’être chasseur de balles pour une douzaine de parties.
« J’ai trouvé ça formidable. C’est une expérience que plusieurs joueurs de tennis devraient vivre. Je voulais apprendre des meilleures joueuses au monde. J’ai rencontré Coco Gauff, Emma Raducanu et Danielle Collins. »
Riopel Grégoire et d’autres chasseurs de balles en compagnie de la joueuse Emma Raducanu. (Photo courtoisie)
En plus de côtoyer ces joueuses qu’il a trouvé particulièrement impressionnantes, Riopel Grégoire a pu comprendre des détails plus techniques sur son sport.
« Nous étions 8 équipes de 12. Chaque matin, nous avions une rencontre et ensuite nous allions chasser. Chaque chasseur a sa position sur le terrain. Il faut s’assurer que les balles sont du bon côté, nourrir les joueuses de balles et avoir une bonne communication. C’est important de savoir bien lancer, attraper et glisser les balles », ajoute le joueur de tennis.
Première expérience
Il s’agissait d’une première expérience pour le jeune rimouskois. Il a été choisi lors d’un camp de sélection qui se tenait au printemps. Maintenant qu’il fait partie du processus, il pourra renouveler l’expérience l’an prochain. Il est le troisième du club Les Tennis de Rimouski à participer à ce tournoi comme chasseur de balles.
« Je vais me souvenir longtemps des amis que je me suis faits et des moments que j’ai eu la chance de vivre. »
L’adolescent rimouskois en action. (Photo courtoisie)
« De voir que c’est possible de perdre même si tu fais partie des meilleurs, j’ai trouvé ça enrichissant pour lui. Il a pu constater tout le travail et toute la rigueur derrière ça. Nous avons eu la chance de voir Victoria Mboko qui a battu des joueuses mieux classées qu’elle. Ça prouve que c’est une question de persévérance et de constance », ajoute la mère de Riopel, Coline Chhay qui était à Montréal avec son fils pendant tout le tournoi.
L’adolescent avait eu l’occasion de se préparer à l’Omnium Banque Nationale en prenant part à un tournoi de la Fédération internationale de tennis, le mois précédent, à Laval.
Un nouveau sport
Riopel Grégoire joue au tennis seulement depuis octobre dernier. Il participait à la ligue locale du club rimouskois lors de la dernière année scolaire et se joindra à la concentration tennis pour son quatrième secondaire, dès la prochaine rentrée.
« C’est un sport unique, ça me fait bouger et j’aime avoir une raquette dans les mains. J’aime aussi la compétition », conclut-il.
Les Rimouskois Martin Sirois et Guy Bernier ont de nouveau démontré leur supériorité aux Championnats canadiens d’athlétisme des maîtres. Comme l’an dernier, le premier a remporté trois médailles d’or, tandis que le second a conservé son titre au saut en longueur lors des 50e Nationaux en plein air, présentés du 1er au 3 août à Laval.
En 2024, Martin Sirois avait terminé premier aux épreuves du 1 500, du 5 000 et du 10 000 mètres dans la catégorie des 50 à 55 ans.
Ses temps cette année rep
Les Rimouskois Martin Sirois et Guy Bernier ont de nouveau démontré leur supériorité aux Championnats canadiens d’athlétisme des maîtres. Comme l’an dernier, le premier a remporté trois médailles d’or, tandis que le second a conservé son titre au saut en longueur lors des 50e Nationaux en plein air, présentés du 1er au 3 août à Laval.
Ses temps cette année représentent respectivement les 2e, 3e et 3e meilleurs de tous les coureurs présents, toutes catégories d’âge confondues.
De plus, avec un chrono de 33 minutes, 34 secondes et 27 centièmes, Sirois a fracassé le record québécois.
Pour sa part, Guy Bernier a réalisé un saut de 5,13 mètres, conservant son titre chez les 45 à 49 ans.
Guy Bernier se prépare avant le début d’une course. (Photo courtoisie)
Il a aussi décroché l’argent au 100 mètres avec un temps de 12 secondes et 74 centièmes, en plus du bronze au 200 mètres avec un chrono de 25 secondes et 74 centièmes.
Ces exploits s’ajoutent à ceux réalisés une semaine plus tôt, lors des Championnats québécois juniors, séniors, maîtres et para, également disputés à Laval.
Martin Sirois sur la plus haute marche du podium. (Photo courtoisie)
À ce moment, Sirois l’avait aussi emporté dans la catégorie des 50 à 55 ans au 5 000 mètres, avec un temps de 15 minutes, 58 secondes et 31 centièmes, tandis que Bernier montait sur la troisième marche du podium au 100 mètres chez les 35 à 49 ans, avec un chrono de 12 secondes et 6 centièmes.
Des enfants aussi talentueux
Membres du Club Coubertin de Rimouski, Martin Sirois et Guy Bernier suivent aussi de près les prouesses de leurs enfants respectifs, Isaac et Florence.
Tous deux ont représenté l’Est-du-Québec lors des derniers Jeux du Québec à Trois-Rivières. Isaac a également pris part aux Championnats québécois juniors, séniors, maîtres et para, en plus de représenter la province aux Championnats canadiens de la jeunesse, prévus du 8 au 10 août à Calgary.
Quatre membres du Club de patinage artistique de Rimouski participeront, du 7 au 10 août, aux Championnats québécois d’été présentés à Pierrefonds.
Meredith Habel (pré-Novice), Maïlie Hamilton (pré-novice), Angélique Beaulieu (novice) et Rosalie Levesque (junior) font partie des athlètes inscrits à cet événement d’envergure.
Il réunit des concurrents de provenant de toutes les sections du Canada et des officiels internationaux.
Cette compétition marque aussi le coup d’envoi de la saiso
Quatre membres du Club de patinage artistique de Rimouski participeront, du 7 au 10 août, aux Championnats québécois d’été présentés à Pierrefonds.
Meredith Habel (pré-Novice), Maïlie Hamilton (pré-novice), Angélique Beaulieu (novice) et Rosalie Levesque (junior) font partie des athlètes inscrits à cet événement d’envergure.
Il réunit des concurrents de provenant de toutes les sections du Canada et des officiels internationaux.
Cette compétition marque aussi le coup d’envoi de la saison pour les patineuses de niveaux pré-novice à sénior.
Ukraine has discovered Indian electronics in Iranian-designed Shahed drones used by Russian forces to attack civilian areas. Indian media report that Kyiv raised the issue with both India and the EU, citing specific Indian-made components embedded in these weapons.
Russia uses swarms of Shahed drones in daily attacks on Ukrainian cities. With often hundreds of Shaheds and decoy drones launched at once to target one city, some overwhelm air defenses, killing civilians and destroying infrastructur
Ukraine has discovered Indian electronics in Iranian-designed Shahed drones used by Russian forces to attack civilian areas. Indian media report that Kyiv raised the issue with both India and the EU, citing specific Indian-made components embedded in these weapons.
Russia uses swarms of Shahed drones in daily attacks on Ukrainian cities. With often hundreds of Shaheds and decoy drones launched at once to target one city, some overwhelm air defenses, killing civilians and destroying infrastructure. India—Russia’s ally—continues to trade with Moscow despite Russia’s ongoing full-scale invasion of Ukraine and mounting Western sanctions. The Shaheds are Iranian-designed, but Russia set up their domestic mass production, and has been scaling it up since.
Ukraine flags Indian electronics in Russian drones
Hindustan Times reports that Ukrainian authorities identified parts made or assembled in India inside Shahed 136 unmanned combat aerial vehicles (UCAVs). These drones have been used by Russia in mass strikes on Ukrainian cities since 2022.
According to the documents reviewed by the outlet, a Vishay Intertechnology “bridge rectifier E300359” assembled in India was found in the drone’s voltage regulator. A signal generator chip AU5426A by Aura Semiconductor was located in the satellite navigation system.
The report states that Ukraine raised the issue with India’s external affairs ministry on at least two occasions. Ukrainian diplomats also brought it up with EU sanctions envoy David O’Sullivan during his mid-July visit to New Delhi.
India’s foreign ministry responded that its dual-use exports follow international non-proliferation rules and domestic regulations. Vishay Intertechnology did not respond to the paper’s request for comment.
Aura Semiconductor, whose AU5426A chip was identified in the drones, said in a statement that it complies fully with export control laws and is “deeply disturbed” by the possibility of its components being misused. It added that its chip is plug-and-play, making user tracing difficult, and that an internal audit yielded no conclusive findings.
India says electronics was exported to West Asia
Hindustan Times cites unnamed sources saying some Indian components were legally exported to West Asia, then diverted to Russia or Iran.
Ukraine’s HUR defence intelligence agency has also found electronics from US and Chinese firms in Russian weapons.
Ajay Srivastava from the Global Trade Research Initiative told Hinndustan TImes that tracing dual-use items post-export is almost impossible, and said better exporter awareness is needed. He warned that no export control system can guarantee full oversight once items cross national borders.
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Ukraine’s allies continue flowing billions of dollars into oil trade with Russia. The Indian government, in response to US President Donald Trump’s ultimatum, which threatens secondary sanctions against countries importing Russian energy, says that “the very nations criticizing India are themselves indulging in trade with Russia.”
India began importing more Russian oil after traditional supplies were redirected to Europe due to Russia’s all-out war against Ukraine. At the time, the US not only r
Ukraine’s allies continue flowing billions of dollars into oil trade with Russia. The Indian government, in response to US President Donald Trump’s ultimatum, which threatens secondary sanctions against countries importing Russian energy, says that “the very nations criticizing India are themselves indulging in trade with Russia.”
India began importing more Russian oil after traditional supplies were redirected to Europe due to Russia’s all-out war against Ukraine. At the time, the US not only refrained from objecting but encouraged Indian purchases to help avoid a global energy crisis.
“India’s imports are meant to ensure predictable and affordable energy costs to the Indian consumer… It is revealing that the very nations criticizing India are themselves indulging in trade with Russia,”says the Indian government.
The West keeps trading with Russia: The numbers are striking
India points to the Western blatant double standards.
In 2024, EU–Russia trade in goods reached €67.5 billion.
In 2023, services trade totaled €17.2 billion.
In 2024, Europe imported a record 16.5 million tonnes of Russian LNG, the highest volume since 2022.
Many critical Russian exports remain unsanctioned, including:
Palladium for the US auto industry
Uranium for nuclear power plants
Fertilizers, chemicals, metals, machinery, and equipment, all of which the US continues to import from Russia.
India rejects restrictions
India emphasizes that its decisions are driven by economic necessity, not political alignment. New Delhi is ready to defend its energy security, even if new sanctions are imposed.
“The targeting of India is unjustified and unreasonable. Like any major economy, India will take all necessary measures to safeguard its national interests and economic security,” the Indian government claimed.
Effectively, India has held up a mirror to the US and Europe: stop your own trade with Russia before demanding the same from others.
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The crash of Jeju Air Flight 2216 was the deadliest on Korean soil, killing 179. The disaster may have been worsened by construction choices at the airport.
Le médaillé d’or en golf individuel aux Jeux du Québec, Louis-Olivier St-Pierre, est de retour à Rimouski avec le sentiment du devoir accompli et une grande fierté. Il porte aussi fièrement à son cou une médaille de bronze remportée en duo.
L’adolescent est encore sur un nuage quelques jours après sa victoire historique en prolongation. Il était déjà de retour à l’entraînement au Club Les Saules, ce lundi, alors qu’il célébrait son 16e anniversaire de naissance.
« Je n’en reviens pas enc
Le médaillé d’or en golf individuel aux Jeux du Québec, Louis-Olivier St-Pierre, est de retour à Rimouski avec le sentiment du devoir accompli et une grande fierté. Il porte aussi fièrement à son cou une médaille de bronze remportée en duo.
L’adolescent est encore sur un nuage quelques jours après sa victoire historique en prolongation. Il était déjà de retour à l’entraînement au Club Les Saules, ce lundi, alors qu’il célébrait son 16e anniversaire de naissance.
« Je n’en reviens pas encore de tout ce qui s’est passé dans les derniers jours. J’ai vécu des émotions vraiment fortes, surtout lorsque j’ai gagné la médaille d’or en individuel en prolongation. Je suis vraiment fier de moi. »
Pour St-Pierre, qui évoluait dans la catégorie juvénile (15-16 ans), cette victoire est la preuve que le travail peut mener à de bons résultats.
« J’ai travaillé fort tout l’hiver, tout le début l’été et je suis content que ça ait payé aux Jeux du Québec et à tous mes tournois cette année. Ce n’est pas juste le talent au golf. Les efforts mènent au succès. Quand tu travailles fort, tu mérites ce qui t’arrive », dit-il.
Le golfeur était déjà de retour au Club Les Saules le lendemain de son retour des Jeux. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Après un début de partie difficile, le Rimouskois a réussi à prendre les choses en main pour repartir avec une première médaille d’or en golf pour l’Est-du-Québec depuis 1975.
« Ça avait moins bien commencé. Je ne frappais pas super bien la balle aux cinq ou six premiers trous. Je suis content que ma force de caractère m’ait permis de bien me reprendre. Cinquante ans, c’est long. C’est incroyable et je suis content d’inscrire un peu mon nom dans l’histoire », affirme-t-il.
Objectif deux médailles
Louis-Olivier St-Pierre se rendait à Trois-Rivières avec l’objectif de remporter deux médailles et il peut dire : mission accomplie ! Le golfeur a obtenu le bronze à l’épreuve deux balles, meilleure balle dans la catégorie juvénile, en compagnie de son coéquipier Charles Lizotte, de Rivière-du-Loup. Le duo a aussi terminé en quatrième position à l’épreuve Vegas à deux.
Le jeune golfeur avait pris part aux Jeux du Québec à Rimouski, en 2023. Il avait alors remporté une médaille d’argent en duo avec Louis Chénard.
« À Rimouski, tous les gens étaient derrière nous. C’était différent à Trois-Rivières, mais la dernière journée je me suis senti comme chez nous parce que je me suis fait des amis parmi les autres golfeurs et j’ai parlé à tous les bénévoles et à ceux qui travaillaient sur le terrain. Les gens prenaient pour moi et c’était vraiment le fun », mentionne-t-il.
Louis-Olivier St-Pierre et son coéquipier Charles Lizotte. (Photo courtoisie)
Les performances de Louis-Olivier St-Pierre lui ont permis d’être le porte-drapeau de la délégation de l’Est-du-Québec pour la cérémonie de fermeture des Jeux.
« Si je ne l’avais pas été, ça n’aurait rien enlevé à ce que j’ai fait, mais c’est une super belle reconnaissance et je suis vraiment content de l’avoir été. »
Championnat canadien
St-Pierre a terminé en troisième position lors du Championnat provincial junior de Golf Québec, en juillet. Il s’est qualifié pour le Championnat canadien junior qui se tiendra au Club de golf Gowan Brea de Bathurst, du 11 au 15 août. L’événement accueillera les 156 meilleurs golfeurs canadiens de 18 ans et moins.
« Je veux prendre le plus d’expérience possible pour les prochaines années. »
D’ici là, le golfeur a bien l’intention d’être sur le terrain de golf tous les jours.
India has started buying American, Canadian, and Middle Eastern oil, but has not abandoned Russian supplies. The country’s giant Indian Oil Corp has recently purchased 7 million barrels of oil, Reuters reports.
Russia remains India’s main oil supplier, accounting for about 35% of total imports. Moscow’s energy exports remain its leading source of profits, which it uses to fund its war against Ukraine.
Indian Oil Corp strengthens supplies from the West and the Middle East
According to the lat
India has started buying American, Canadian, and Middle Eastern oil, but has not abandoned Russian supplies. The country’s giant Indian Oil Corp has recently purchased 7 million barrels of oil, Reuters reports.
Russia remains India’s main oil supplier, accounting for about 35% of total imports. Moscow’s energy exports remain its leading source of profits, which it uses to fund its war against Ukraine.
Indian Oil Corp strengthens supplies from the West and the Middle East
According to the latest findings, India’s largest oil refining company has bought4.5 million barrels of American oil, 500,000 barrels of Canadian Western Canadian Select, and 2 million barrels of Das crude from Abu Dhabi. The delivery is scheduled for September 2025.
These large purchases are connected to the country’s intention to replace Russian oil due to falling discounts and new EU sanctions on Russian energy.
Sanctions pressure and trade risks
Earlier, Oil Minister Hardeep Singh Puri said India was ready to meet its oil needs from alternative sources if Russia’s supplies are affected by secondary sanctions.
In July, US President Donald Trump stated that countries continuing to buy Russian oil could face 100% tariffs if Moscow does not agree to a peace deal with Ukraine within at first, 50 days and then 10 days.
NATO Secretary General Mark Rutte confirmed that due to the new economic measures, countries, including India, could suffer losses if they continue to do business with Moscow.
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Western weapons production is under threat. China has cut off critical supplies to the US defense industry by restricting access to vital minerals. Companies are delaying deliveries, searching for new sources worldwide, and prices for some resources have skyrocketed 60-fold, The Wall Street Journal reports.
Ukraine depends on Western weapons supplies in Russia’s long-term war of attrition. China is Russia’s closest economic partner and has openly stated that it will not stop supporting Russia
Western weapons production is under threat. China has cut off critical supplies to the US defense industry by restricting access to vital minerals. Companies are delaying deliveries, searching for new sources worldwide, and prices for some resources have skyrocketed 60-fold, The Wall Street Journal reports.
Ukraine depends on Western weapons supplies in Russia’s long-term war of attrition. China is Russia’s closest economic partner and has openly stated that it will not stop supporting Russia’s war machine. Beijing fears that after the war ends, the United Stat will shift its focus to China, and is determined not to let that happen.
China cuts off access to rare earth elements
In response to the escalating trade war with the US, Beijing tightened export controls on rare earth elements — essential for manufacturing weapons, from drones to fighter jets. Today, China controls about 90% of the global rare earth minerals market. American manufacturers have become dependent on Chinese suppliers.
Companies are already reporting major disruptions. One drone manufacturer had to delay shipments by two months while searching for non-Chinese magnets. Prices for samarium, a mineral needed for magnets that withstand extreme temperatures, have increased 60 times. The mineral restrictions highlight just how dependent the US military is on China.
Ban on germanium, gallium, and antimony hits night vision and munitions
Since December, China has officially banned exports to the US of germanium, gallium, and antimony — minerals used in machine guns, shells, and night vision devices. Manufacturers are already sounding the alarm.
The CEO of American firm Leonardo DRS stated that germanium reserves are at the limit. This element is critical for infrared sensors in missiles. The company is actively searching for substitutes and new sources.
The Pentagon has ordered a phase-out of Chinese rare earth magnets by 2027, but most companies only have a few months of stock left.
Chinese control: How one customs office disrupted US ammunition transit
Even alternative routes are failing. In April, Chinese customs in Ningbo detained 55 tons of antimony in transit, which the United States Antimony Corporation was shipping from Australia to its plant in Mexico. After three months, the cargo was forced to return to Australia. Upon arrival, seals were found damaged, and the company is now investigating whether the antimony was contaminated or counterfeit.
Without new sources of mineral extraction, production will inevitably shrink, defense industry representatives warn.
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