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Le film Fanny en compétition au Festival du film d’Angoulême

Le long métrage Fanny, qui a été tourné à 90% au Bas-Saint-Laurent, a été sélectionné parmi les dix films en compétition officielle au Festival du film francophone d’Angoulême, en France. L’événement se tiendra du 25 au 30 août.

De plus, l’actrice principale, Milya Corbeil Gauvreau, représente le film qui est aussi en compétition officielle au Busan International Kids & Youth Film Festival, en Corée du Sud. L’événement se tient du 15 au 19 juillet.

Tourné dans six municipalités du Bas-Saint-Laurent

L’histoire se déroule dans le village fictif de Sainte-Lorette, dont les images ont été tournées dans six municipalités du Bas-Saint-Laurent, dont Rimouski, Mont-Joli et Métis-sur-Mer. Adapté de la populaire série de livres Fanny Cloutier, écrite par Stéphanie Lapointe et parue aux éditions Les Malins, le film explore des thèmes universels et profondément humains, tels que la famille, les relations père-fille, l’amitié, le deuil et la quête de vérité.

La première du film Fanny a été présentée dans une salle pleine du Cinéma Princesse de Rivière-du-Loup. (Photo Johanne Fournier)

En plus de Milya Corbeil Gauvreau dans le rôle-titre, le film met notamment en vedette Éric Bruneau, Magalie Lépine-Blondeau, Claude Legault, Adélaïde Schoofs et Léokim Beaumier-Lépine.

Fanny continue son ascension

Réalisée par Yan England et scénarisée par Stéphanie Lapointe, l’œuvre cinématographique continue son ascension. Depuis sa sortie en salle le 9 mai, elle a atteint plus de 890 000$ au box-office.

« Fanny poursuivra bientôt sa trajectoire auprès du public québécois en entamant sa fenêtre d’exploitation en vidéo sur demande dès la fin juillet, est-il écrit dans le communiqué de Téléfiction, qui a produit le long métrage. Le film sera alors disponible sur les plateformes de Bell Media, Cogeco, Telus
et Vidéotron. »

Saint-Simon : grande foire de l’art imprimé

L’Expozine de Saint-Simon-de-Rimouski revient pour une 4e année, les 19 et 20 juillet dans l’église de Saint-Simon, avec une grande foire de l’art imprimé.

L’événement est devenu si populaire que le nombre d’exposants atteint la limite de la cinquantaine. Des artistes des Basques et d’ailleurs au Québec se retrouveront dans l’église pour présenter leurs pratiques et vendre leurs œuvres.

Parmi les artistes présents, notons les bédéistes Julie Rocheleau et Jimmy Beaulieu, les artistes visuels Christian Bujold et Émilie Bernard ainsi que La maison du notaire de Trois-Pistoles, la revue Liberté et la Coop pistoloise La Seiche.

L’Expozine dans l’église de Saint-Simon-de-Rimouski en 2023. (Photo journallesoir.ca- Alexandre D’Astous)

« La foire est commerciale, mais elle se veut surtout un lien de rencontres, de découvertes et d’échanges. Six ateliers créatifs seront offerts au public durant le week-end par des exposants et un micro ouvert aura lieu samedi, à 17 h », mentionnent les organisateurs.

« Chaque année, l’événement prend de l’ampleur et on est super fiers de ça », lance le fondateur Sébastien Lépine (SLEP) affichiste et sérigraphe.

Profiter de la région

M. Lépine affirme que les artistes viennent à Saint-Simon pour profiter de la beauté de la région.

« Ils veulent voir le fleuve. Ça fait partie du périple. L’ambiance est incroyable. C’est super dans l’église pour les artistes, mais aussi pour les visiteurs. J’ai parlé avec deux personnes âgées qui m’ont dit qu’elles n’étaient jamais rentrées dans l’église. Ça fait partie des objectifs initiaux de l’événement de faire connaître cette superbe église, tout en contribuant à la vie culturelle des Basques », indique celui qui possède un chalet à Saint-Simon-sur-Mer.

Record d’affluence à Petite-Vallée 

Plus de 15 000 festivaliers ont convergé vers Petite-Vallée pour le 42e Festival en chanson, établissant ainsi un nouveau record d’achalandage. L’événement a aussi marqué l’histoire par l’inauguration du nouveau Théâtre de la Vieille Forge.

Le village de quelque 150 habitants a vécu dix jours d’effervescence culturelle exceptionnelle, selon le directeur général et artistique du Festival, Alan Côté. Petite-Vallée s’est une fois de plus affirmée comme véritable pôle de la musique au Québec.

Du 25 juin au 5 juillet, l’événement a revêtu une importance particulière avec la présentation des premiers spectacles du nouveau Théâtre de la Vieille Forge, reconstruit au coût de près de 20 millions$, huit ans après l’incendie qui avait détruit l’ancien bâtiment. « C’était toute une gymnastique », admet M. Côté en évoquant les défis logistiques que représentaient simultanément l’ouverture du lieu et la tenue du Festival.

Bâtiment moderne

Le retard dans la construction de l’édifice a obligé les organisateurs à composer avec quelques travaux de finition qui n’étaient pas terminés. Mais, le public n’a rien vu de ces inconvénients mineurs, de l’avis du grand manitou du Festival.

« C’est un bâtiment très moderne, où tout est géré par l’informatique, indique Alan Côté. Il y a plein d’applications qu’on ne connaît pas encore par cœur. On apprend à mesure! »

La météo parfois capricieuse n’a nécessité qu’un seul changement de programmation. Un spectacle initialement prévu chez les parents de Marie-Pierre Arthur a dû être déplacé dans le pont couvert de Grande-Vallée,tandis que celui qui était prévu à cet endroit s’est tenu le lendemain à la résidence familiale de l’autrice-compositrice-interprète originaire de l’endroit.

Quelques imprévus

Le Festival en chanson a été marqué par quelques incidents. Le groupe Les Dévadés, formé notamment d’Éric Goulet et Luc De Larochelière, a frappé un orignal sur l’autoroute 20 à Rivière-du-Loup. Si les musiciens s’en sont sortis indemnes, la batteuse a dû être examinée par un médecin pour une possible commotion cérébrale. La formation a néanmoins pu présenter son spectacle en soirée plutôt qu’en après-midi.

Une mésaventure impliquant Ariane Moffatt a mis en lumière l’entraide gaspésienne, alors que son avion a atterri à Bonaventure plutôt qu’à Gaspé, à quelques heures de son spectacle.

« On a appelé des amis et la solidarité gaspésienne a opéré », raconte Alan Côté. Des bénévoles ont conduit l’artiste à Petite-Vallée, donnant lieu à une véritable « saga » lorsque l’artiste a oublié son portefeuille dans la voiture qui l’a conduite à Gaspé. Le précieux objet lui a été rapporté par un festivalier de Gaspé qui a fait demi-tour pour le récupérer. Puis, ironie du sort, le bon samaritain a fini par oublier lui-même son portemonnaie à Petite-Vallée!

Des moments d’exception

Parmi les temps forts de ces dix jours, le directeur artistique souligne la Marée du forgeron, le spectacle de création présenté le 4 juin pour l’inauguration du théâtre. Les performances des chansonneurs ont particulièrement impressionné leur public, notamment celle d’un jeune Français, connu sous le pseudonyme de San-Nom. Grand admirateur des Cowboys fringants, le jeune auteur-compositeur-interprète a livré une chanson très émouvante en hommage à Karl Tremblay.

La soirée du 4 juillet, baptisée Le fil d’Ariane par Alan Côté, mettait successivement à l’affiche Ariane Moffatt et Ariane Roy. Littéralement en feu, l’autrice-compositrice-interprète de « Je veux tout » a livré une prestation électrisante.

Mais, c’est le spectacle hommage à Beau Dommage du 29 juin qui a constitué l’un des moments les plus marquants. « Ça a été tout un tremblement de terre », s’exclame le directeur général, tout en exprimant sa fierté d’avoir réussi à réunir à Petite-Vallée tous les membres du groupe mythique des années 1970 à titre d’artistes-passeurs de ce 42e Festival.

Une conclusion mémorable

Le festival s’est terminé le 5 juillet avec le spectacle de Paul Piché et ses invités gaspésiens. L’artiste de 71 ans a partagé la scène avec une dizaine de chanteurs et musiciens régionaux pour revisiter ses grands succès. Le spectacle a connu un moment d’inquiétude lorsque le chanteur a quitté la scène, apparemment victime d’un étourdissement. Après l’installation de ventilateurs et de longues minutes d’attente, ce monstre de la chanson québécoise est revenu pour mener son spectacle jusqu’à la fin.

Le dernier Festival en chanson de Petite-Vallée a été marqué par l’inauguration du nouveau Théâtre de la Vieille Forge. (Photo Johanne Fournier)

Les travaux de construction du Théâtre de la Vieille Forge ont repris dès lundi pour une durée estimée d’un mois et demi à deux mois.

Europe launches new €500 million flagship fund for Ukraine after Russian attacks

Ukrainian Prime Minister Denys Shmyhal and the Acting US Special Representative for Ukraine's Economic Recovery, Richard Verma.

Ukraine to receive record-breaking financial aid package from EU and partners for recovery, energy, air defense, and agriculture. Prime Minister Denys Shmyhal has announced multi-billion euro agreements reached during the Ukrine Recovery Conference in Rome.

On 10-11 July, Italy hosted the fourth Ukraine Recovery Conference. The event was dedicated to the country’s recovery and long-term reconstruction. brought together a broad and high-level international delegation of over 6,000 to 8,000 participants from around 70 countries and 100 government delegations.

Among them is the creation of a new European Flagship Fund worth €500 million, set to launch in 2026 with a focus on energy and infrastructure investment.

In addition, under the Ukraine Facility, agreements have been signed for:

  • €1.8 billion in loan guarantees,
  • €580 million in grants,
  • and blended financing mechanisms.

Meanwhile, European Commission President Ursula von der Leyen, commenting on the deal, stated that the EU aims to unlock up to €10 billion in investments to “rebuild destroyed homes, reopen hospitals, support businesses, and ensure energy security.”

Switzerland has committed €5 billion for economic recovery efforts.

The European Investment Bank is providing Ukraine with:

  • €134 million for transport infrastructure,
  • and a €200 million loan to Ukrhydroenergo (with the first €120 million tranche) to help restore hydropower plants.

Separately, the UK is offering a $2.3 billion loan for Ukraine’s air defense needs. The funds will be used to procure weapons and defense materials from the UK. The loan has a 19-year term with a 6-year grace period.

Ukrainian farmers will also receive €50 million in grant aid.

Shmyhal added, “We’ve reached an agreement with the Council of Europe Development Bank to fund €100 million in housing certificates under the eRecovery program, and an additional €200 million loan to support internally displaced persons.”

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À la découverte des Insoumis

L’organisme sans but lucratif, les Insoumis, expose ses œuvres d’art à la galerie d’art Léonard-Parent jusqu’au 11 juillet prochain. Il s’agit d’une occasion de découvrir des œuvres, créées dans le cadre d’une thérapie par l’art, qui s’adresse à des personnes vivant avec une problématique de santé mentale.

L’un des membres des Insoumis, Jacques Soucy, explique la façon dont cette thérapie a été bénéfique pour lui.  

« Que ce soit pour une dépression majeure ou une déficience intellectuelle, ça ne change rien. L’art-thérapie aide vraiment beaucoup. Quand je suis arrivé aux Insoumis, une partie de mon corps était paralysée. J’avais eu un grave accident, donc l’art-thérapie m’a vraiment aidé à évoluer, autant sur le plan physique que mentale. »

Il ajoute que chez les Insoumis, personne ne juge personne.

« L’accueil se fait à bras ouvert, par des cœurs aimants. C’est un aspect du groupe qui aide à reprendre confiance en soi et qui permet d’évoluer. »

Le groupe compte en ce moment 27 membres.

« On aimerait aider plus de gens, mais on manque de temps et d’espace. On se rencontre seulement trois heures par semaine, les jeudis après-midi. Ce moment nous permet de créer, soit par la peinture, l’écriture, la sculpture ou le tricot. L’important est de créer. […] On aimerait bien avoir un mécène qui nous aiderait financièrement, pour avoir un local et se voir plus souvent, mais on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a », indique monsieur Soucy. 

Les Insoumis prennent le large

L’exposition présentée en ce moment a été conçue dans le cadre des 10 ans du groupe. Son nom et son thème, « Les Insoumis prennent le large », peut avoir plusieurs significations.

Des tableaux de l’exposition (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

« Les tableaux ont tous un lien avec les voyages. Cependant, je disais à un moment donné qu’il est possible de prendre le large de plusieurs façons : on peut déménager, se séparer, changer d’emploi, d’appartement ou même rester sur place. Prendre le large peut signifier de profiter largement que ce soit de la famille, des amis, du paysage. C’est donc aussi d’en profiter, dans le bon sens. Peindre permet ainsi de prendre le large, tout en restant sur place. »

Comme l’exposition se termine bientôt, le groupe est à la recherche d’un autre endroit où exposer ses œuvres, d’ici la fin de l’été.

Si des personnes ou des organismes ont un local qu’ils souhaitent mettre à la disposition des Insoumis, il est possible de contacter monsieur Soucy, par courriel au soucyjacques@hotmail.com.

Le Vieux-Terrebonne est en voie de devenir un site patrimonial 

C’est ce qu’a annoncé le ministre de la culture Mathieu Lacombe. 

Il vient de recommander au gouvernement d’en faire le 14e site patrimonial du Québec. 

Un site patrimonial est un site protégé en raison de sa valeur historique, archéologique, architecturale et paysagère. 

  • Lacombe a souligné que le Vieux-Terrebonne est un exemple «exceptionnellement bien préservé d’un bourg ancien ayant joué un rôle important dans l’histoire». 

Conséquence: les propriétaires des bâtiments du site ont dès à présent de nouvelles obligations. 

  • Ils devront désormais obtenir une autorisation avant d’y effectuer des travaux.

[L'article Le Vieux-Terrebonne est en voie de devenir un site patrimonial  a d'abord été publié dans InfoBref.]

« Les enfants » : une pièce qui invite à la réflexion

La pièce Les enfants est présentée, jusqu’au 9 août, au Théâtre du Bic. Ce suspense confrontant invite les spectateurs dans des retrouvailles improbables entre trois ingénieurs nucléaires à la retraite. 

Écrite par l’auteure britannique Lucy Kirkwood, elle met en scène trois personnages interprétés par Marie-France Lambert, Monique Spaziani et Richard Thériault. 

« C’est une histoire très captivante qui commence de façon humoristique. Les personnages ont beaucoup d’esprit et de sens de la répartie. En même temps, il y a un côté intriguant dans un lieu isolé au bord de la mer. Il y a tout ce caractère mystérieux et un peu hypnotisant », indique la metteuse en scène de la pièce, Véronique Côté.

Dans leur chalet, le couple composé d’Adèle et de Robert reçoit la visite d’une amie qu’ils n’ont pas vue depuis 40 ans. 

« Pendant la pièce, on se demande pourquoi elle est revenue, ce qu’elle veut et ce qu’elle cherche. Les questions soulevées sont très profondes, mais en même temps la forme est assez bonbon », affirme la metteuse en scène. 

Des thèmes qui font réfléchir

Celle qui incarne Rose, Marie-France Lambert, était satisfaite après la première de la pièce qui s’est tenue le 5 juillet. 

« Il y a eu une écoute extraordinaire. Je pense que les spectateurs sont captivés par cette histoire. Nous avons pu jaser avec les gens après. Ils étaient bouleversés et très touchés par les propos de la pièce. Nous sommes tous concernés et on ne peut pas avoir trop de distance par rapport à ça. Ce sont des préoccupations tellement actuelles. »

Les représentations se poursuivent jusqu’au 9 août. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Le thème de la responsabilité intergénérationnelle est abordé dans cette histoire qui entraîne les spectateurs dans un monde traversé par l’amour et les dégâts d’une catastrophe nucléaire.

« Cette catastrophe s’est passée quelques mois avant le début de la pièce. Les questionnements sont plus larges que la situation. Ça pose toute la question de ce que l’on veut dans nos vies, ce qui est désirable. Est-ce que ces choses que nous avons appris à vouloir sont les bonnes ? C’est une pièce qui est là pour démarrer des discussions et soulever un débat plutôt philosophique », explique Véronique Côté.

« Je pense que les gens vont voir un spectacle avec un propos très chargé, mais je trouve que l’écriture de Lucy Kirkwood est très naturelle. On dirait presque qu’on improvise. Les dialogues sont vifs. Il y a une légèreté, mais ça aborde des enjeux majeurs de notre société contemporaine », ajoute Marie-France Lambert.

« C’est le paradis »

Après avoir joué une première fois au Bic dans les années 90, la comédienne est ravie d’être de retour sur les planches du théâtre bas-laurentien cet été. 

« On s’installe pour une partie de l’été. C’est vraiment un exil pour moi. Quand Véronique Côté m’a approché pour jouer au Bic, cet été, j’ai tout de suite accepté avant même de lire la pièce. C’est le paradis, c’est tellement beau. J’ai apporté ma bicyclette et je compte bien en profiter. »

La programmation estivale du Théâtre du Bic est disponible au theatredubic.com

Ukraine’s Defense Intelligence: Russia loots ancient treasures from Crimea’s UNESCO heritage site

Ruins of the 6th century Roman basilica built on the site of an earlier temple in the ancient city of Tauric Chersonesus (also Chersonese or Chersonesos) in Russia-occupied Sevastopol, Ukraine (Image: Wikimedia)

Russian occupiers have appropriated 110 cultural artifacts discovered during illegal archaeological excavations in occupied Crimea between 2014 and 2025, Ukraine’s Defense Intelligence reports.

This primarily concerns Chersonesus Taurica, inscribed on the UNESCO World Heritage List, an ancient city-state founded by Greek colonists in the 6th century BCE in what is now Sevastopol. The site preserves archaeological landmarks, including remnants of fortifications, temples, baths, a mint, and a city reservoir, spanning from antiquity to the medieval era.

Details about the stolen items have been published in the Stolen Heritage section of the War&Sanctions portal. The website was launched to expose and document individuals, companies, and entities that support or facilitate Russian aggression against Ukraine. 

The artifacts were uncovered by the occupiers during unauthorized digs at archaeological sites such as the Artezian Settlement, Genoese Fortress of Chembalo, and the Southern Suburb of Chersonesus Taurica,” the report states.

Among the stolen findings are cultural items from the Kadykivske settlement, the site of a Roman military camp where the occupation authorities in Sevastopol are planning to build a shopping mall. Additionally, some of the stolen artifacts were removed from the National Preserve of Chersonesus Taurica.

Interestingly, Chersonesus Taurica has unique urban planning based on the principles of ancient democracy, with equal land allotments forming the basis for citizenship rights and political participation. Years after its rise, the Russian annexation of Crimea had a devastating impact on the site. The occupation authorities destroyed large parts of the ancient archaeological remains, including a cemetery dating back to the Roman Empire. 

“The portal section has been updated with details on the locations of illegal digs, theft of cultural heritage, and other unlawful actions by the Russian occupation regime in Crimea,” Ukraine’s military intelligence adds.

The agency emphasizes that each war crime committed against the Ukrainian people will be justly punished.

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Sayabec fête en musique et en humour

La chanteuse Carolanne D’Astous Paquet est la tête d’affiche de la programmation estivale de la boîte à chansons La Caboose de Sayabec qui célèbre son 10e anniversaire en 2025. 

Située au sous-sol de la Gare patrimoniale/Maison de la culture de Sayabec, La Caboose se veut un lieu de rassemblement pour les citoyens de la Vallée de La Matapédia.  

« Nous n’avons plus de bars à Sayabec. Les gens se cherchent un endroit pour se rassembler. À La Caboose, ils peuvent écouter de la belle musique et prendre une petite bière. Nous avons une très belle participation de notre communauté et des paroisses environnantes », affirme la présidente de la Maison de la culture, Marielle Roy. 

C’est le 11 juillet que se tiendra la soirée spéciale pour souligner le 10e anniversaire de La Caboose. 

« Nous avons choisi Carolanne D’Astous Paquet parce que nous voulions quelqu’un qui nous parlait. Elle a été élevée à Sayabec, c’est une artiste qui a participé à Star Académie et c’est une chanteuse extraordinaire. Elle est déjà venue à La Caboose et nous avons dû faire une supplémentaire parce qu’elle avait fait salle comble », souligne madame Roy. 

Alexandre Dumont, Jean-Mathieu Sénéchal, René Jacques Gallant ainsi que le groupe Les Voyageurs font, entre autres, partie de la programmation. Les spectacles sont présentés les vendredis soir à l’exception du 9 août.

« Un de nos buts est de faire connaître les artistes de la région. Nous pouvons même offrir le micro aux jeunes de la relève qui aimeraient chanter pendant nos soirées de spectacle », explique la présidente. 

Festival d’humour

L’été 2025 marque le retour des spectacles d’humour à Sayabec avec le festival Là où il fait bon rire et chanter qui se tiendra le 18 et le 19 juillet. L’événement est également organisé par la Maison de la culture. Il mettra en vedette Réal Béland le premier soir ainsi que trois humoristes de la relève, Olivia Leclerc, Alex Hamel et Sam Vitulano Arsenault, la deuxième soirée.

L’humoriste, Réal Béland. (Photo courtoisie)

 « Nous voulons créer un événement qui pourrait revenir d’année en année. Nous avons nos habitués qui ont déjà réservé leur place », indique la responsable des communications pour la Maison de la culture, Ginette Lemieux. 

Entre 2012 et 2022, 14 humoristes tels que Mario Jean, Mike Ward, Jean-François Mercier et Jérémie Demay ont fait rire les spectateurs au centre communautaire de Sayabec. Depuis l’incendie du bâtiment en 2023, aucun spectacle d’humour n’avait été présenté. Le festival se tiendra au centre sportif David-Pelletier. 

« Nous avions une tradition et nous voulions la conserver en faisant quelque chose pour faire revivre l’humour à Sayabec. Nous allons essayer de recréer la scène que nous avions dans notre centre communautaire. Les gens seront comme dans un cabaret. Les billets sont vendus en table ou individuellement. Ce sera convivial », ajoute madame Lemieux. 

Les deux soirées se termineront en chanson avec Marco Calliari le 18 juillet et Karma, un groupe local, le 19 juillet. 

« Les gens ont l’habitude de finir les soirées en musique. Ça leur permet de bouger et de lâcher leur fou », mentionne la responsable des communications. 

Les détails pour l’achat de billets pour le festival d’humour et les spectacles à La Caboose sont disponibles sur la page Facebook « Gare patrimoniale – Maison de la culture de Sayabec ».

JF Otis se raconte « Avec plaisir ! »

L’humoriste rimouskois, Jean-François Otis (JF Otis), est présentement en rodage pour son tout premier spectacle solo, intitulé Avec plaisir !

Dans son spectacle, le fier représentant de la région de Rimouski met à profit ses talents de conteur. Il y cosigne les textes avec l’auteur-humoriste, Simon Delisle.

« Je raconte des anecdotes, alors pour plusieurs de mes numéros, je m’inspire de ma famille, de ce qui passe autour de moi et de ce que je vis. Je raconte ça et c’est tellement absurde que ça fait un numéro d’humour. »

Comme il est encore en rodage, le spectacle est sujet à modification, pour lui permettre de progresser. Le résultat final sera présenté en tournée, aux environs de janvier 2026.

« On est en train de le travailler, de le peaufiner, d’ajouter des numéros, d’en enlever, d’ajouter des gags, d’en retirer », explique l’humoriste.

Jean-François Otis sur la scène Hydro-Québec aux Grandes Fêtes TELUS (Photo courtoisie Alexandre Pineau)

Si cela fait maintenant quelques mois qu’il présente son spectacle, il avoue que sa première représentation a été stressante, en raison de l’engouement du public.

« C’était stressant, parce que pour la première fois, les gens achetaient des billets et se déplaçaient pour venir me voir, en grande quantité. Je n’étais pas habitué à ça. Je crois que les billets se sont vendus en 12 h : ça m’avait donc stressé de voir qu’on m’attendait à ce point-là. »

Une carrière en plein essor

Avec plaisir ! est d’ailleurs le résultat de beaucoup de travail pour l’humoriste dont la carrière a connu une importante progression, depuis ses débuts.

« J’avais en tête de m’améliorer le plus possible, en faisant le plus de spectacles possible et en m’amusant le plus possible. Pour moi, monter sur scène, c’est une partie de plaisir. Je m’éclate avec les gens qui sont là et c’est de cette façon que je me suis améliorée depuis et que j’ai pu améliorer mon matériel. »

Il a aussi gagné une certaine notoriété au fil du temps, notamment grâce au contenu qu’il partage sur les réseaux sociaux.

« Je me suis toujours fait dire : JF, si tu veux quelque chose que tu n’as jamais eu, tu dois faire des choses que tu n’as jamais faites. Quelque chose que je n’avais jamais fait était de publier une vidéo par jour, sur internet. Ça peut être des vidéos drôles ou autres choses, l’important c’est que ces vidéos font du bien aux gens qui les regardent, en les faisant rire et en leur permettant d’oublier leur tracas quotidien. »

« Le fils de Suzie Boucher » en spectacle

JF Otis sera à Saint-Gabriel-de-Rimouski le 13 août prochain à 20 h, dans le cadre de la 23e édition du Festival Country-Western.

Comme sa mère est originaire de la municipalité Les Hauteurs et qu’ainsi, plusieurs personnes qu’elle a côtoyées à l’école ou avec lesquelles elle a grandi pourront assister au spectacle, Jean-François leur lance le message suivant :

« C’est le fils de Suzie Boucher qui sera en spectacle ! »

Les Petits Chanteurs de Bruxelles s’arrêtent à Rimouski

Les Petits Chanteurs de Bruxelles, en Belgique, offriront un spectacle gratuit ce dimanche 13 juillet prochain à 15 h, à la cathédrale de Rimouski

Les Petits Chanteurs de Bruxelles est le nom d’une chorale en activité depuis 75 ans, composée de près d’une quarantaine de jeunes garçons âgés de 9 à 18 ans et de sept accompagnateurs adultes.

Elle donne régulièrement des concerts en Europe. Cette année, elle effectue une tournée au Québec avec un arrêt à Rimouski.

Les Petits Chanteurs de Bruxelles (photo courtoisie)

L’organisation des Petits Chanteurs décrit sa chorale comme étant plus qu’un chœur.

« C’est avant tout une aventure humaine, une véritable école de vie où les jeunes garçons s’initient à la musique et au chant, mais aussi à la vie de groupe. »

Bien que le concert soit gratuit, les petits chanteurs « passeront le chapeau » à la fin du concert pour recueillir les dons de ceux qui auront apprécié leur prestation.

À la recherche de famille d’accueil

Dans le cadre de la tournée, les responsables de la chorale privilégient l’hébergement en famille d’accueil et procèdent ainsi au recrutement de telles familles.

Celles qui souhaitent accueillir un ou deux choristes en « famille d’accueil » pour un souper familial et deux nuitées avec deux petits déjeuners doivent contacter, par téléphone ou par courriel, dans les meilleurs délais, Alain Tessier. Son numéro est le 418-732-7804 et son courriel est alain.tessier@telus.net.

Pour en savoir davantage sur Les Petits Chanteurs de Bruxelles, consultez leur site internet www.lespetitschanteurs.be. Sur YouTube, visitez « Les Petits Chanteurs de Bruxelles ».

Trinité-des-Monts fête comme à l’époque

La Trinité-des-Monts accueillera cette fin de semaine, du vendredi 4 juillet au dimanche 6 juillet, la 5e édition du Festival Rétro des 3 Monts.

L’agent de vitalisation pour les municipalités de Trinité-des-Monts et d’Esprit-Saint, Stéphane Proulx, explique que le festival, mis sur pied en 2017, se voulait différent des autres événements du genre dans la région.

« Trinité-des-Monts a un historique de gros festivals. Il y a eu, pendant des années, la foire de l’agneau, qui attirait des milliers de personnes. Nous avons aussi eu un festival country, pendant une quinzaine d’années. Comme il y a des festivals country partout, ça ne faisait pas original, alors on a décidé de faire un festival rétro. C’est un événement unique, qui n’a pas son pareil dans le secteur. »

Première journée

Ainsi, le festival rétro, qui s’adresse autant aux Trinitois qu’aux citoyens des municipalités environnantes, débutera à 16 h, le vendredi.

« Ça commence avec le 5 à 7 d’ouverture, au chapiteau. Il y aura de la musique et un bingo, qui se tiendra à l’intérieur du centre des loisirs. »

Le gros lot du bingo sera de 500 $.

Le samedi

La deuxième journée du festival sera particulièrement occupée.

« Le samedi après-midi, il y aura une exposition de vieilles voitures, avec des jeux pour les enfants et d’autres pour les adultes. Nous allons inaugurer cette année, un tout nouveau terrain de croquet. »

Ce nouveau terrain pourra d’ailleurs servir de patinoire pendant l’hiver.

« Encore le samedi, des artisans seront sur place pour présenter leurs produits. Il y aura trois kiosques, où des représentants proposeront de l’artisanat aux personnes présentes. »

Le Centre des loisirs de La Trinité-des-Monts (Photo courtoisie)

Pour une deuxième année consécutive, le festival accueillera le groupe Les années Jukebox, comme spectacle central, à la suite du souper du samedi.

« L’an dernier, le groupe a fait un tabac. C’était le meilleur spectacle que nous avions eu à Trinité-des-Monts depuis des dizaines d’années. Nous avons donc misé sur le groupe, encore cette année. L’enthousiasme du band et le talent de ses chanteuses, dont fait partie Anybel Roussy, font que je considère le groupe dans une classe à part », indique monsieur Proulx.

Conclusion du festival

Le dimanche débutera avec la messe de 9 h.

Elle sera suivie d’un brunch, au profit de La Fabrique de Trinité-des-Monts, qui pour sa part viendra clore le festival.

Informations supplémentaires

Notons que la programmation détaillée du festival est décrite sur la page Facebook de l’événement.

Pour plus d’informations, il est aussi possible de contacter Stéphane Proulx, par téléphone au 418-894-6737 ou par courriel à d’adresse stephane.proulx.vitalisation@gmail.com.

À la veille de la 18e Fête des Guitares

La 18e édition de la Fête des Guitares, qui se tiendra au Parc du Centennaire de Lac-Au-Saumon, débutera demain, le jeudi 3 juillet dès 19 h et se poursuivra sur trois jours.

La programmation, dévoilée en décembre dernier, avait été décrite par le comité organisateur de la Fête comme étant la plus importante de son histoire.

Les trois soirées de festivités permettront à l’auditoire d’assister à trois spectacles par soir, pour un total de neuf spectacles. Il sera possible d’y entendre, entre autres, Guylaine Tanguay, Brett Kissel et Marc Dupré.

Programmation

Jeudi, 3 juillet 2025

  • 19h – High Voltage (hommage à AC/DC)
  • 20h – Lendemain de veille
  • 22h – Talk

Vendredi, 4 juillet 2025

  • 20h – Guylaine Tanguay
  • 22h – Brett Kissel
  • 24h – DJ P-O Paquet 

Samedi, 5 juillet 2025

  • 20h – Bleu Jeans Bleu
  • 22h – Marc Dupré
  • 24h – DJ P-O Paquet

Informations

Rappelons que les bracelets à l’entrée seront au coût de 40 $ par soir et de 100 $ pour la fin de semaine. L’entrée est cependant gratuite pour les enfants de 12 ans et moins.

Un service de navette est encore offert cette année, lors du festival. Le coût, de 5 $ l’aller, se paie en comptant.

Deux départs par soir, plus un troisième au besoin, se feront à Sayabec et à Causapscal. L’horaire détaillé du service est disponible sur la page Facebook de l’événement.


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