Law enforcement finds weapon used to kill Parubiy – prosecutor general





Rob Reiner, 78 ans, avait réalisé de nombreux films à succès ou devenus culte, dont Quand Harry rencontre Sally et Des hommes d’honneur.
Lui et sa femme ont été retrouvés morts chez eux, à Los Angeles.
La police a arrêté leur fils Nick Reiner, 32 ans.
Avant l’annonce de l’arrestation, Donald Trump avait critiqué Rob Reiner en écrivant qu’il «aurait» été victime de «la colère qu’il avait provoquée» par ce qui aurait été une obsession anti-Trump.
Reiner était connu pour des positions progressistes. Il s’était plusieurs fois opposé au président américain.
[L'article Le réalisateur américain Rob Reiner et sa femme auraient été tués par leur fils a d'abord été publié dans InfoBref.]





Diffusion Mordicus a le vent dans les voiles dans La Matapédia. Les prévisions de ventes de billets sont déjà dépassées de 40 % pour les spectacles à venir et les records de 2023, année du 40e anniversaire du diffuseur, sont en train d’être battus.
« On ne se gêne pas pour dire que la culture dans l’Est-du-Québec et dans le ROSEQ se porte extrêmement bien. Les gens ont besoin de rire, de se divertir et de voir des spectacles à grand déploiement. On voit qu’ils offrent des cadeaux pour les Fêtes, mais aussi qu’ils s’offrent des cadeaux à eux-mêmes pour se faire du bien », exprime le directeur général et artistique de Diffusion Mordicus, Michel Coutu.
Une programmation de 16 spectacles a été lancée le 24 novembre en plus d’une série de cinq spectacles d’humour et de la série des grands spectacles annoncées les semaines suivantes.
Ce sont toutes des représentations qui seront offertes, à la Salle Jean-Cossette d’Amqui, au printemps et à l’automne 2026 ainsi que quelques-unes au printemps 2027.
« Nous avons des spectacles comme Bruno Pelletier ou Pour une autre histoire d’un soir, avec Marie-Denise Pelletier, Joe Bocan et Marie Carmen, qui sont demandés et qui seront présentés en 2027. De plus en plus, nous sommes appelés à programmer longtemps d’avance. Quand les productions nous appellent, nous devons lever la main pour avoir une place dans la tournée », explique monsieur Coutu.
Le diffuseur dit avoir à cœur d’offrir des spectacles d’artistes originaires du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie. « Je pense, entre autres, à P-A Méthot. Nous avons lancé son spectacle Pardon ? récemment. Il est en rodage pour une première partie. C’était à guichet fermé en moins de 48 heures et nous avons annoncé une supplémentaire. Les gens l’attendaient beaucoup », indique le directeur.
Michel Coutu souligne que la programmation offerte par Diffusion Mordicus est la même que celle présentée dans les grands centres.
« Toutes les productions entrent ici à quelques exceptions près quand le décor est trop gros. Tous les artistes en musique et en humour passent à Amqui autant au printemps qu’à l’automne 2026. »

Le directeur général et artistique est fier de proposer une programmation aussi diversifiée qui attire plusieurs types de spectateurs.
« C’est une programmation riche parce que nous offrons de tout, autant des artistes de la relève, que du théâtre, que de l’humour, que de la chanson. Les gens viennent à la rencontre des artistes, ils sont curieux et il y a une découvrabilité qui s’est réinstallée au fil du temps. »
Diffusion Mordicus continue de travailler pour rendre la culture accessible aux jeunes des niveaux primaire, secondaire et collégial.
« Nous travaillons beaucoup avec le Centre matapédien d’études collégiales pour que les jeunes assistent à des pièces de théâtre. Nous sommes en train de regarder pour avoir un cours en humour, l’an prochain. Nous avons aussi des rencontres avec Émile Bourgault, en avril, avec des élèves du secondaire », souligne monsieur Coutu.
Les jeunes du primaire et du secondaire vont assister à 19 représentations scolaires, cette année, en dehors de la programmation régulière.
D’autres lancements pour l’automne 2026 sont à prévoir dans les prochains mois. La programmation est en ligne au www.diffusionmordicus.ca.


Le spectacle du 29e Téléradiothon de La Ressource affiche déjà complet. Prévu le 17 janvier à la Salle Desjardins, il réunira notamment sur scène Paul Piché, Andréanne A. Malette, Damien Robitaille et Marie Carmen.
Sous la direction artistique de Nelson Minville, l’événement accueillera aussi un membre de La Ressource, Philippe Côté, la directrice musicale rimouskoise et bassiste, Marie-Anne Arsenault, le guitariste Raphaël D’Amours, le batteur Marc Chartrain, la claviériste Andréanne Muzzo et la choriste Julie Houde.
Le Choeur Gospel de l’École de musique du Bas-Saint-Laurent complétera la distribution, tandis que l’humoriste Marc-Antoine Lévesque reprendra son rôle comme animateur de la soirée.
La Ressource offrira ensuite le spectacle en boucle, le dimanche 25 janvier, de 10 h à 20 h, sur les télévisions communautaires de l’Est-du-Québec, sur certaines plateformes web de médias partenaires, dont Le Soir.ca, ainsi que sur le site laressource.tv.

Événement de financement phare de l’organisme, le Téléradiothon vise cette année un objectif de 300 000 $.






Selon une étude publiée dans la revue scientifique Nature, les hommes préhistoriques auraient appris à faire du feu environ 350 000 ans plus tôt qu’on ne le pensait.
Des archéologues britanniques ont découvert une nouvelle preuve dans l’est de l’Angleterre.
Jusqu’à présent, on pensait que l’homme maitrisait le feu depuis environ 50 000 ans.
Selon cette découverte, les premiers feux auraient été allumés par des Néandertaliens, qui étaient il y a 400 000 ans les seuls à peupler le territoire de l’actuelle Angleterre.
Déterminer à quel moment nos lointains ancêtres ont appris à allumer eux-mêmes un feu est difficile – parce que les traces archéologiques d’un feu, qu’il soit né de la foudre ou de la rencontre de deux silex frottés l’un contre l’autre, sont les mêmes.
Une équipe dirigée par l’archéologue Rob Davis, du British Museum, mène depuis 2013 des fouilles en Angleterre sur le site de Barnham, qui était il y a 400 000 ans en partie occupé par un étang saisonnier.
Les archéologues y avaient trouvé des outils de pierre dès le début des années 1900.
Récemment, ils y ont trouvé des sédiments brûlés et du charbon, signe que des humains y avaient entretenu du feu.
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Entre «domestiquer» un feu, c’est-à-dire préserver un feu qui a pu être allumé par la foudre, et l’allumer soi-même, il y a une grande différence.
La domestication du feu remonte vraisemblablement à plus d’un million d’années.
La maîtrise de l’allumage d’un feu était jusqu’ici datée de moins de 100 000 ans.
Dans l’étude publiée la semaine dernière dans la revue Nature, les chercheurs britanniques révèlent qu’ils ont trouvé au même endroit:
Ce dernier «ingrédient» est fondamental.
Il est possible, avec beaucoup de patience, d’allumer un feu avec deux silex, ou en frottant deux bouts de bois.
En revanche, un minerai de fer de type pyrite donne des étincelles beaucoup plus efficaces.
Or, on ne trouve pas de pyrite de fer dans la région.
Les géologues suggèrent donc que ce minerai aurait été apporté délibérément.
Cette découverte serait, selon l’étude, la première «preuve directe» d’une «fabrication du feu» aussi ancienne.
[L'article Des hommes de Néandertal ont-ils allumé un feu il y a 400 000 ans? a d'abord été publié dans InfoBref.]


Un «laissez-passer» instauré l’été dernier par le gouvernement fédéral pour promouvoir le tourisme au Canada est à nouveau en vigueur jusqu’au 15 janvier.
Pour tous, entrée gratuite dans:
Pour les 17 ans et moins:
Pour les 18 à 24 ans:
[L'article Entrées gratuites pour tous dans les parcs et tarifs réduits pour les jeunes dans les musées a d'abord été publié dans InfoBref.]

Au moment où le plus fou d’entre nous est président des États-Unis et qu’il semble avoir en main plus de pouvoir que n’aura jamais eu aucun des autres présidents, croire que la démocratie n’est pas en danger relève de l’angélisme. Nous assistons un peu partout dans le monde à une centralisation des pouvoirs des plus inquiétantes.
De la Révolution tranquille à aujourd’hui
Pendant longtemps, décentraliser, c’était adapter nos lois et nos règles à nos différentes réalités régionales. René Lévesque, qui était un fervent décentralisateur, croyait qu’on devait décentraliser avant de faire l’indépendance. Il savait que si l’on ne décentralisait pas avant l’indépendance, nous serions l’une des sociétés les plus centralisées au monde. Il fallait selon lui préparer les régions à développer des capacités de gestion leur permettant de recevoir de nouveaux pouvoirs provenant de l’indépendance. C’est pourquoi il avait publié en 1977 un Livre blanc sur la décentralisation. Pour lui, la décentralisation était un acte de confiance envers les régionaux, dans leurs capacités d’identifier des solutions et des règles adaptées à leurs réalités et à leurs besoins. Malheureusement, pour toutes sortes de raisons, dont le fait qu’autour de lui, tous n’étaient pas de fervents décentralisateurs, la véritable décentralisation a été reléguée après l’indépendance.
Pendant longtemps et plus récemment, décentraliser est aussi devenu une façon de désengorger les grands États de plus en plus coûteux, inefficaces et incapables de rendre les services auxquels les citoyens et les citoyennes sont en droit de s’attendre. Malgré le fait que tant à Ottawa qu’à Québec, on ait augmenté le nombre de fonctionnaires de plusieurs dizaines de milliers, la machine demeure embourbée, pendant que les scandales s’accumulent à coups de milliards, dans l’impunité la plus totale.
Aujourd’hui, nous devons faire le constat que, durant la Révolution tranquille, la centralisation était de mise afin d’assurer un développement équitable entre chacune des régions, tel n’est plus le cas. Nous avons été à l’extrême limite de la centralisation dans tous les domaines. Manifestement, on doit reconnaître que les résultats ne sont pas au rendez-vous, que ce soit en matière de santé, d’économie ou d’environnement, ça ne marche pas. Le cynisme de plus en plus important de la population, envers le monde politique, en est une résultante.
Si les promoteurs de la décentralisation étaient porteurs d’efficacité, de rationalisation des coûts et de solutions adaptées aux diverses réalités, il faut y ajouter aujourd’hui la nécessité de défendre la démocratie.
Vouloir décentraliser, c’est aussi refuser d’accorder tous les pouvoirs à un dirigeant quel qu’il soit. Un peu partout dans le monde, on voit diverses organisations prendre faits et causes pour la démocratie locale. De plus en plus de gens constatent les dangers de la concentration tant des pouvoirs que de la richesse. Pour eux et elles, la meilleure façon qu’il n’y ait pas de gens qui aient le pouvoir, c’est que le pouvoir et la richesse soient partagés entre le plus de monde possible. Renforcer le pouvoir local, c’est s’attaquer au pouvoir total.
Décentraliser : mode d’emploi
Ce sera sans doute une longue marche, mais parfois l’histoire s’accélère, d’autant plus si ça bouge un peu partout sur la planète. Il n’existe malheureusement pas de livre de recettes pour réussir la décentralisation. Il faudra l’écrire collectivement. Il y a cependant un certain nombre d’éléments de base qui me semblent incontournables.
Pour sauvegarder la démocratie dans le cadre d’une décentralisation réussie, nous devons revenir à la définition d’Abraham Lincoln qui disait que la démocratie était le gouvernement du peuple, pour le peuple et par le peuple. Il s’agit là d’un grand défi, mais je suis persuadé que nous en sommes capables.



En 2026, P-A Méthot montera sur les planches pour le rodage de son troisième one-man-show, Pardon ?!, en plus de s’immiscer dans la peau du Capitaine Crochet dans la comédie musicale Peter Pan.
Le fier représentant de Chandler a ainsi décidé de troquer son siège d’animateur de radio de l’émission du retour au FM 93 de Québec pour renouer avec ce qui l’habite vraiment : la scène.
« J’étais hyper heureux à la radio avec une équipe du tonnerre, mais ce médium-là, tu dois avoir la fibre. Tu dois en manger de la radio et ce n’était pas tant mon cas », concède-t-il en entrevue avec Le Soir.
Si P-A Méthot a repris le micro sporadiquement, il avait quitté la scène un peu usé et fatigué.
« J’avais l’impression que je ne donnais pas au public le meilleur show qu’il pouvait avoir. Je ne voulais pas que ceux à la fin de la tournée aient un P-A à 85 % alors j’ai décidé d’aller me ressourcer. Ça m’a permis de me reposer et de me refaire une santé. »
Son petit bonheur a fait sa guérison, a fleuri et a fait des bourgeons. Contrairement à la chanson, il n’est pas parti sans lui donner la main. Il est resté, et il est plus vivant que jamais.
« Un moment donné, je suis allé faire un show, tout simplement, et en revenant, j’ai dit à ma blonde que je démissionnais de la radio. J’attendais que le feu revienne et je ne savais pas quand ça allait arriver. Il est revenu au début de l’été. J’avais ce goût d’aller revoir le monde et de remonter sur scène. J’ai le couteau entre les dents », assure-t-il.
Après avoir vendu plus de 500 000 billets avec ses deux premières tournées (Plus gros que nature et Faire le beau), il prépare maintenant un spectacle beaucoup plus assumé.
« Je sais ce que j’aime maintenant dans la vie. J’ai le goût d’aller sur des petits terrains sur lesquels je n’osais pas, de peur de blesser ou de choquer. »
Pardon ?! est d’ailleurs présenté pour les personnes de 18 ans et plus.
« Je veux m’adresser à des adultes. Je parle de mon grand-père, qui est né en 1900, alors je veux que tout le monde comprenne. Et si c’est pour être mon dernier spectacle, j’aurai tout donné. »
Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule. Peu de temps après sa décision de retourner sur les planches, le téléphone de P-A Méthot a sonné pour un projet inattendu.

Travaillant avec le groupe Entourage depuis 2011 et avec le même gérant depuis 23 ans, le rôle de Capitaine Crochet lui a été offert dans la comédie musicale Peter Pan, sans aucune audition.
« C’est niaiseux et c’est chien pour tous ceux qui ont fait l’école de théâtre : le gros comique qui arrive et qui ramasse pratiquement le premier rôle. Mais mon équipe sait que je trippe sur les comédies musicales, que je peux chanter et embarquer dans un projet de même. »
Plus jeune, sa mère enregistrait sur VHS des comédies musicales comme Oliver Twist ou La Mélodie du bonheur.
« Et on les réécoutait souvent ! Ça m’intéresse depuis que je suis jeune et, encore aujourd’hui, je suis un trippeux de comédies musicales. Je vais en voir à Montréal, Toronto, New York. C’est impressionnant ! C’est beaucoup de monde, de la musique, tu regardes partout. Ç’a toujours été dans mon ADN, mais je n’aurais jamais pensé qu’on allait penser à moi pour un rôle. »
La version de Peter Pan qui sera présentée à Québec (dont P-A fait partie de la distribution) et Montréal sera la même version que celle produite sur Broadway, mais évidemment adaptée en français. A-t-il lui-même le syndrome de Peter Pan ?
« Oui, un peu, mais ce n’est pas tant ça le point. Avant tout, c’est un bon show ! Même si tu ne sors pas de là en disant que vieillir c’est difficile et que c’est dur de garder son cœur d’enfant, on s’en fout. Est-ce que le show est bon ? Il est écœurant ! Il y a des chanteurs, des acrobates et du monde qui vole dans les airs. Ç’a pas de bon sens comment c’est magnifique ! C’est le fun si tu comprends le message, mais encore plus si tu apprécies le show ! »
















Le ministre des relations internationales et de la francophonie Christopher Skeete était en mission en Belgique.
Il a signé un accord de coopération avec un organe consultatif qui représente les régions, villes et collectivités locales des États membres de l’Union européenne.
Cet accord établit un cadre de collaboration en vue de réaliser des projets dans des «domaines d’intérêt commun», dont l’économie, la culture et la transition énergétique.
[L'article Le Québec a signé un accord avec le Comité européen des régions a d'abord été publié dans InfoBref.]
L’Assemblée nationale vient d’adopter à l’unanimité une loi qui vise à favoriser la présence, la visibilité et la recommandation des contenus culturels francophones sur Netflix, Spotify ou Disney+.
Cette loi doit permettre au gouvernement d’obliger:
[L'article Québec compte forcer les plateformes numériques à mettre en valeur les contenus francophones a d'abord été publié dans InfoBref.]








Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) a dévoilé les ouvrages qui ont été les plus demandés par ses abonnés en 2025.
Dans la catégorie des romans en français en format de livre imprimé, le podium est occupé par:
Classements des 10 livres les plus empruntés de l’année à la BAnQ en version imprimée dans les catégories:
[Toutes les listes des 20 ouvrages les plus empruntés par catégorie sur le site de BAnQ]
[L'article Voici les romans les plus empruntés cette année a d'abord été publié dans InfoBref.]

