La MRC de La Mitis relance cet été sa série « Découverte du territoire », une initiative destinée à mieux faire connaître les richesses locales aux résidents de la région.
Proposées gratuitement, ces journées d’exploration visent à mettre en valeur des lieux emblématiques ou méconnus du territoire mitissien.
« On oublie souvent la richesse des lieux qui nous entourent. Avec cette série, on veut offrir aux gens la possibilité de découvrir ou redécouvrir leur coin de pays, mais aussi de crée
La MRC de La Mitis relance cet été sa série « Découverte du territoire », une initiative destinée à mieux faire connaître les richesses locales aux résidents de la région.
Proposées gratuitement, ces journées d’exploration visent à mettre en valeur des lieux emblématiques ou méconnus du territoire mitissien.
« On oublie souvent la richesse des lieux qui nous entourent. Avec cette série, on veut offrir aux gens la possibilité de découvrir ou redécouvrir leur coin de pays, mais aussi de créer des liens, d’échanger, de partager des moments en groupe dans des cadres uniques. Ce sont des activités qui contribuent à nourrir le sentiment d’appartenance, tout en valorisant le patrimoine naturel, historique et humain de notre région », explique la conseillère en attractivité et promotion territoriale à la MRC de La Mitis, Véronique Olivier.
Des participants, à l’issue d’une sortie d’autocueillette chez Silva-Herbo, organisée par la MRC de La Mitis en 2024. (Photo courtoisie – MRC de La Mitis)
Première sortie
La première activité de la saison se déroulera le samedi 12 juillet, avec une journée complète consacrée à la découverte de Métis-sur-Mer.
Le départ aura lieu à 9 h en autobus, à partir du stationnement de la MRC à Mont-Joli. Au fil d’un parcours d’environ deux kilomètres à pied, les participants seront invités à marcher jusqu’au phare patrimonial de Métis, avant de longer la route McLaren.
La visite se poursuivra avec un arrêt à la Ferme-Atelier Silva Herbo, spécialisée en herboristerie artisanale, suivi d’une promenade sur la rue Beach, artère emblématique de la ville. L’itinéraire inclut également un passage au Café sur Mer, au cœur du village, ainsi qu’une présentation des installations sportives locales.
Chaque arrêt permettra de découvrir des lieux porteurs d’histoire, de culture ou d’initiatives locales.
Les participants sont invités à apporter leur lunch, mais des collations et boissons seront offertes pendant l’activité pour agrémenter les moments de pause.
Cette fois, cap sur le Haut-Pays mitissien avec une activité qui mènera les participants à la découverte des villages de Sainte-Jeanne-d’Arc et de La Rédemption.
Les détails de cette excursion seront annoncés au courant de l’été sur le site www.lamitis.ca.
Informations supplémentaires
Toutes les activités sont offertes gratuitement, mais les places sont limitées. L’inscription est donc essentielle.
Pour s’inscrire : Véronique Olivier au volivier@mitis.qc.ca ou 418 775 – 8445 poste 2254. P
Spect’Art Rimouski, en collaboration avec le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire de la Ville de Rimouski, présente les 5 à l’Angélus : une série de six spectacles gratuits, d’artistes de la région.
Ces spectacles, destinés à la population rimouskoise et à ses visiteurs, se tiendront tous les mercredis, du 9 juillet au 13 août, à 17 h.
Informations
Les spectacles auront lieu à la Place du 6-Mai-1950, soit la place publique voisine de la Salle Desjardins-TELUS.
Spect’Art Rimouski, en collaboration avec le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire de la Ville de Rimouski, présente les 5 à l’Angélus : une série de six spectacles gratuits, d’artistes de la région.
Ces spectacles, destinés à la population rimouskoise et à ses visiteurs, se tiendront tous les mercredis, du 9 juillet au 13 août, à 17 h.
Informations
Les spectacles auront lieu à la Place du 6-Mai-1950, soit la place publique voisine de la Salle Desjardins-TELUS.
Les spectacles prévus cet été sont :
Mercredi, 9 juillet : Marc-Antoine Lévesque
Mercredi, 16 juillet : MLou
Mercredi, 23 juillet : Benoît Gautier
Mercredi, 30 juillet : Saisons (en collaboration avec Concerts aux Îles du Bic)
Mercredi, 6 août : Pascal Demalsy et l’Orchestre Antarctique
Mercredi, 13 août : Éric Normand
La Place du 6-Mai-1950, située entre la Cathédrale et la Salle Desjardins-TELUS à Rimouski. (Photo courtoisie)
En cas de mauvais temps, les activités auront lieu à l’intérieur de la Salle Desjardins-TELUS, toujours à 17 heures.
Paraloeil, cinéma et centre de production, convie la population à un parcours gratuit de courts métrages projetés sur les murs d’immeubles dans les rues de Mont-Joli, les 30 juin et 1er juillet, à 20 h 30, au Château Landry.
Le parcours d’environ 1,4 kilomètre aura pour thématique le chemin de fer.
« Le chemin de fer est un motif récurrent qui traverse toute l’histoire du cinéma. Il est un moteur narratif autant qu’un décor indémodable. L’histoire de Mont-Joli étant liée au développement
Paraloeil, cinéma et centre de production, convie la population à un parcours gratuit de courts métrages projetés sur les murs d’immeubles dans les rues de Mont-Joli, les 30 juin et 1er juillet, à 20 h 30, au Château Landry.
Le parcours d’environ 1,4 kilomètre aura pour thématique le chemin de fer.
« Le chemin de fer est un motif récurrent qui traverse toute l’histoire du cinéma. Il est un moteur narratif autant qu’un décor indémodable. L’histoire de Mont-Joli étant liée au développement de chemin de fer, on vous propose une sélection de courts métrages qui racontent les trains, d’ici et d’ailleurs, d’hier et d’aujourd’hui » souligne l’équipe de Paraloeil.
Notons que l’équipe visitera aussi cet été, en plus de Mont-Joli, les municipalités de Trois-Pistoles, Bic et Cacouna.
Aide-mémoire
Dates : 30 juin et 1er juillet à 20 h 30
Point de départ au Château Landry, 1588, boul. Jacques-Cartier
Durée totale : environ 120 minutes
Distance à marcher : 1,4 km
Les gens sont invités à apporter des chaises de camping ou des couvertures s’ils souhaitent s’assoir pour les projections.
Les copropriétaires de la Brasserie La Baraque de Lévis, Simon St-Pierre et son fils Éliott ont pu procéder à l’ouverture officielle de leur nouvelle brasserie, le 25 juin dernier.
Pour l’occasion, ils ont reçu la visite de la communauté politique et de la communauté d’affaires de Lévis. Le maire de Lévis, Gilles Lehouilllier, était notamment présent. Il était accompagné d’élus municipaux, de la chambre de commerce et de gens du milieu économique de Lévis.
Rappelons qu’il s’agit de la tro
Les copropriétaires de la Brasserie La Baraque de Lévis, Simon St-Pierre et son fils Éliott ont pu procéder à l’ouverture officielle de leur nouvelle brasserie, le 25 juin dernier.
Pour l’occasion, ils ont reçu la visite de la communauté politique et de la communauté d’affaires de Lévis. Le maire de Lévis, Gilles Lehouilllier, était notamment présent. Il était accompagné d’élus municipaux, de la chambre de commerce et de gens du milieu économique de Lévis.
Rappelons qu’il s’agit de la troisième brasserie des entrepreneurs, qui ont déjà une succursale de La Baraque au Bas-Saint-Laurent, à Rimouski et une seconde dans la Capitale-Nationale à Saint-Augustin-de-Desmaures.
La Brasserie La Baraque de Rimouski (Photo courtoisie)
« Un local du Vieux-Lévis venait de se libérer et nous en avons profité. Nous sommes heureux de pouvoir offrir notre produit aux Lévisiennes et aux Lévisiens », affirme monsieur Simon St-Pierre.
Son fils Éliott, qui était déjà le gestionnaire de la Brasserie de St-Augustin, assurera aussi la gestion de la Brasserie de Lévis.
La Baraque
Les copropriétaires réitèrent leur concept : un menu complet avec burger et bière de microbrasseries, dans une ambiance chaleureuse et sans prétention.
Les clients pourront aussi assister à des spectacles de chansonniers les fins de semaines.
« Nous voulons que le client puisse vivre un beau moment, avec un bon repas, lors d’une belle soirée avec des saveurs réconfortantes, des bières gouteuses et une atmosphère conviviale », conclut Simon St-Pierre, qui souhaite la bienvenue aux gens, à la Brasserie La Baraque.
La Sûreté du Québec rapporte qu’une collision impliquant un automobiliste et un orignal est survenue plus tôt ce matin, dans le secteur de Sainte-Flavie.
« Vers 6 h 30, les services d’urgences ont été appelés à se rendre sur l’autoroute 20, en direction est, dans le secteur de Sainte-Flavie. […] Selon les premières informations, le conducteur circulait en direction est avant d’entrer en collision avec l’orignal, qui tentait de traverser la chaussée », indique la sergente Audrey-Anne Bilodeau
La Sûreté du Québec rapporte qu’une collision impliquant un automobiliste et un orignal est survenue plus tôt ce matin, dans le secteur de Sainte-Flavie.
« Vers 6 h 30, les services d’urgences ont été appelés à se rendre sur l’autoroute 20, en direction est, dans le secteur de Sainte-Flavie. […] Selon les premières informations, le conducteur circulait en direction est avant d’entrer en collision avec l’orignal, qui tentait de traverser la chaussée », indique la sergente Audrey-Anne Bilodeau.
Le conducteur, un homme de la quarantaine, était seul à bord de son véhicule.
« Il a été transporté vers un centre hospitalier de la région pour traiter des blessures sérieuses qui pouvaient mettre sa vie en danger. Toutefois, un suivi de son état de santé indique qu’on ne craindrait plus pour sa vie. L’animal avec lequel son véhicule est entré en collision est cependant décédé. »
Planifier ses déplacements
La sergente ajoute qu’un policier formé en enquête-collision s’est rendu sur place afin de mieux comprendre les causes et les circonstances de la collision.
« Un détour était à prévoir. On invite donc les gens à consulter le Québec 511. »
La deuxième édition de la Fête de la Mer, coordonnée par l’équipe de RikiFest, débute ce dimanche 29 juin, à la marina de Rimouski. L’événement gratuit, qui se tiendra sur trois jours, invite la population à « célébrer la richesse du milieu maritime avec une programmation bonifiée. »
Rappelons que la Fête – dont la première édition s’était tenue sur une seule journée – a été mise sur pied par ses organisateurs en raison du caractère maritime de la Ville de Rimouski. La décision de tenir la Fê
La deuxième édition de la Fête de la Mer, coordonnée par l’équipe de RikiFest, débute ce dimanche 29 juin, à la marina de Rimouski. L’événement gratuit, qui se tiendra sur trois jours, invite la population à « célébrer la richesse du milieu maritime avec une programmation bonifiée. »
Rappelons que la Fête – dont la première édition s’était tenue sur une seule journée – a été mise sur pied par ses organisateurs en raison du caractère maritime de la Ville de Rimouski. La décision de tenir la Fête sur trois jours a pour sa part été prise, en raison du succès de l’événement.
« Nous avons nous-même été surpris du succès de cette journée, l’an dernier. Elle avait alors lieu le 1er juillet et il y avait énormément de gens. Tout le monde, que ce soit des exposants, des pêcheurs, des membres d’organismes scientifiques ou même des élus de la région, nous a fait savoir qu’ils trouvaient important de faire perdurer la Fête, en la faisant revenir chaque année. De notre côté, du moment que la Marina et le Port étaient d’accord de collaborer avec nous pour remettre ça, on était partant », raconte le porte-parole de l’événement, Jean-Louis Chaumel.
À l’horaire cette fin de semaine
Il mentionne aussi que plusieurs exposants ont contribué à l’élaboration de la programmation de la Fête.
« On parle autant de la SÉPAQ que de la Réserve navale, que de la Garde côtière canadienne, que plusieurs restaurants. »
Le fait que la programmation soit étalée sur trois jours permet aussi à l’organisation de dédier des thèmes à chacune d’entre elles.
Des centaines de visiteurs ont apprécié les activités offertes au port et à la marina de Rimouski, lors de la Fête de la Mer, en 2024. (Photo courtoisie d’archives)
« Il peut ainsi arriver que certains exposants ou certains participants soient présents pour une journée, mais pas pour les autres. Par exemple, le dimanche, la journée d’ouverture, se fera sous le thème de la culture et du patrimoine artistique, avec d’anciens bateaux en bois, qui constituent une partie de l’héritage de notre région. Le lundi et le mardi, il y aura la possibilité de visiter les chaloupiers et de faire la découverte de certains fruits de mer moins courants », mentionne monsieur Chaumel.
Il précise que les seules activités qui auront lieu en continu, tous les jours, sont les sorties en mer.
« Les sorties en mer, offertes par la Marine canadienne auront lieu à tous les jours, qu’ils fassent beau ou non. »
Être à l’affut des changements
Ainsi, la programmation détaillée, décrite sur le site internet de RikiFest, est sujette à modification. Jean-Louis Chaumel indique toutefois que les changements devraient être mineurs.
En ce qui concerne les activités qui pourraient être modifiées en raison des conditions météorologiques, l’organisation s’assurera de publier une annonce des modifications de la journée, chaque matin de l’événement, avant 10 h.
Il sera possible de s’y référer en consultant la page Facebook de RikiFest.
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine ainsi que députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, annonce qu’une somme de 1 088 400 $ a été accordée à la Ville de Rimouski pour des travaux d’infrastructures d’eau.
Le montant de cette aide, faite au nom de la ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, servira, entre autres, à financer le prolongement des conduites prin
La ministre des Ressources naturelles et des Forêts, ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine ainsi que députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, annonce qu’une somme de 1 088 400 $ a été accordée à la Ville de Rimouski pour des travaux d’infrastructures d’eau.
Le montant de cette aide, faite au nom de la ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, servira, entre autres, à financer le prolongement des conduites principales d’aqueduc et d’égout sous la rue Gauvreau en vue de raccorder les réseaux au projet de construction d’un complexe de logements abordables entre la rue Saint-Germain et le boulevard René-Lepage Est.
Ces nouvelles infrastructures permettront de desservir un total de 324 nouvelles unités d’habitation abordables.
Un moyen de vaincre la crise du logement
Le maire de Rimouski, Guy Caron, rappelle que les infrastructures d’eau sont des éléments qui accompagnent les mises en chantier, notamment celles de logements.
« Nous sommes heureux de recevoir cette aide financière qui contribuera à la réalisation d’un projet porteur au centre-ville de Rimouski. La lutte contre la pénurie de logements est un enjeu auquel nous consacrons beaucoup d’efforts depuis les trois dernières années. Ceux-ci portent leurs fruits, alors que nous avons connu une année record de mises en chantier en 2024 et que 2025 s’annonce très positive. Les projets doivent bien entendu être soutenus par des infrastructures d’eau permettant leur mise en place. Le Programme de financement d’infrastructures en eau pour la réalisation d’habitations abordables joue donc un rôle clé pour favoriser l’accès au logement. »
Le comité organisateur de l’Exposition agricole de Rimouski dévoile la programmation de sa 80e édition, qui se tiendra du 30 juillet au 3 août prochain.
En tête d’affiche, les humoristes Dominic Paquet et P.A. Méthot seront en spectacle sur la scène du Pavillon Romuald-St-Pierre, respectivement le jeudi 31 juillet à 21 h et le vendredi 1er août à 20 h.
Le comité organisateur annonce aussi le retour d’activités favorites du public, telles le Milot Land Tour, le jeudi 31 juillet à 18 h, le v
Le comité organisateur de l’Exposition agricole de Rimouski dévoile la programmation de sa 80e édition, qui se tiendra du 30 juillet au 3 août prochain.
En tête d’affiche, les humoristes Dominic Paquet et P.A. Méthot seront en spectacle sur la scène du Pavillon Romuald-St-Pierre, respectivement le jeudi 31 juillet à 21 h et le vendredi 1er août à 20 h.
Le comité organisateur annonce aussi le retour d’activités favorites du public, telles le Milot Land Tour, le jeudi 31 juillet à 18 h, le vendredi 1er août à 17 h et le samedi 2 août à 15 h, sur la Piste Propulse Énergies. Aux mêmes moments et au même endroit se tiendra l’académie Milot Land, un concept unique au Québec qui permet à des jeunes de 4 à 13 ans de faire leur premier tour de piste, sur des motocross 100 % électriques.
Le gala de lutte de la NSPW sera pour sa part présenté au Pavillon Romuald-St-Pierre le samedi 2 août à 20 h 30 et les prestations d’acrobaties de BMX Spectacle auront lieu le 1er août à 15 h et 19 h et le lendemain à 13 h et à 17 h.
De plus, suite au succès de l’an passé, le comité organisateur revient à la charge avec la présentation de la 6e étape du circuit national du circuit Hommes Forts professionnels.
Entre autres, les athlètes Simon Pratte, Keven Malenfant-Caron, Jasmin Desjardins et les frères Gabriel et Frédérick Rhéaume se produiront devant les admirateurs rimouskois, avec Jean-François Caron à l’animation.
Retour des classiques
Finalement, les tires de camions 4×4, les tires de tracteurs, les spectacles de chansonniers à la terrasse chaque soir et les manèges de Beauce Carnaval seront aussi de retour.
L’Expo agricole de Rimouski (Photo courtoisie Beauce Carnaval)
Il faudra toutefois attendre quelques semaines pour connaitre quels manèges seront présents sur le site de l’Exposition en 2025.
Prendre contact avec le milieu
Si l’événement propose une foule d’activités variées, le volet agricole demeure le cœur de l’Exposition. Son directeur général, Simon St-Pierre, rappelle d’ailleurs que les activités offertes en marge de l’exposition, ont justement pour but d’établir un contact entre la population et le milieu agricole.
« L’Exposition agricole est un événement organisé par la Société d’agriculture de Rimouski et la mission de la Société est de promouvoir l’agriculture auprès des gens. On propose plusieurs activités variées, pour inciter les gens à se déplacer et ainsi leur donner une occasion de prendre contact avec le milieu agricole, soit en allant voir les animaux ou en prenant part à des activités éducatives découvertes agroalimentaires. »
Programmation agricole
Quatre activités seront d’ailleurs présentées en continu pendant l’exposition, à l’intérieur du Pavillon Polyvalent, qui porte cette année le nom de Pavillon Maïté-Blanchette-Vézina.
Le circuit éducatif de la ferme à la table est de retour pour une deuxième année. Comme l’indique son nom, son objectif est de faire connaitre aux jeunes visiteurs tout le processus que les aliments ont à faire avant de se retrouver dans l’assiette.
L’activité sur l’agriculture et l’horticulture urbaine, « Je t’invite dans ma cour ! », permet de découvrir les façons de cultiver chez soi à moindre coût, sa propre nourriture, tandis que l’initiative de jardinage éducatif « On Pousse! » propose un programme éducatif sur le jardinage aéroponique qui comprend diverses activités et des présentations conçues pour tous les publics.
Finalement, l’activité de découverte de la production sylvicole présentera des ateliers pour sensibiliser le public à l’importance sociale, environnementale, économique et culturelle de la forêt ainsi qu’à son développement durable.
Un jugement d’animaux lors de l’Expo agricole de Rimouski (Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)
Enfin, dans la continuation du volet agricole et dans un but de mettre en valeur les réalisations et le savoir-faire des éleveurs et producteurs de la région, six jugements d’animaux seront présentés du jeudi au dimanche. Un évènement 4 à 8 de dégustations de produits agroalimentaires aura lieu le vendredi.
Le Club d’écriture ASO a célébré, le 11 juin dernier, à la bibliothèque Jasmine-Dubé de l’École secondaire Armand-St-Onge (ESASO), la participation de ses membres au concours national « Jeunes auteurs, à vos crayons! », organisé par le Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Cette année, les deux textes soumis – un par cycle du secondaire – ont tous deux été honorés. Le concours a rassemblé plus de 3 860 élèves provenant de 156 écoles à travers le Canada, dont 73 écoles du Saguenay–Lac-Sai
Le Club d’écriture ASO a célébré, le 11 juin dernier, à la bibliothèque Jasmine-Dubé de l’École secondaire Armand-St-Onge (ESASO), la participation de ses membres au concours national « Jeunes auteurs, à vos crayons! », organisé par le Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Cette année, les deux textes soumis – un par cycle du secondaire – ont tous deux été honorés. Le concours a rassemblé plus de 3 860 élèves provenant de 156 écoles à travers le Canada, dont 73 écoles du Saguenay–Lac-Saint-Jean, 82 du reste du Québec et 12 écoles francophones situées dans d’autres provinces.
Dans la région du Bas-Saint-Laurent, seules deux écoles ont participé :
École secondaire Armand-St-Onge (2 participants)
École secondaire de Rivière-du-Loup (6 participants)
Les jeunes auteurs devaient rédiger un texte de 150 à 1500 mots, en suivant les consignes de l’auteur et illustrateur jeunesse, Freg, qui agissait cette année à titre de parrain du concours. Le thème était « La fois où tout est parti en cacahuète…»
Une médaille d’or pour Évelyne Lévesque
Parmi les 12 lauréat·e·s nationaux, Évelyne Lévesque, élève de l’École secondaire Armand-St-Onge, s’est distinguée en remportant la médaille d’or pour le 1er cycle du secondaire.
Une boîte de livres d’une valeur de 900 $ lui été remise ainsi que la chance de participer à une séance de dédicace ainsi qu’à une rencontre V.I.P. avec le parrain du concours. Son texte sera publié dans un recueil collectif lancé lors du prochain Salon du livre, le 28 septembre 2025.
Un second texte, rédigé par Émile Forbes, un élève du 2e cycle du secondaire de l’ESASO, a également été sélectionné et honoré par le jury.
Le Centre de services animaliers de Rimouski (CSAR) tient jusqu’au 30 juin à 23 h 55, une nouvelle édition de sa loterie 50/50 aux profits des animaux du refuge.
Le tirage, qui aura lieu le mardi 1er juillet à 11 h, permettra à la personne gagnante de remporter la moitié du montant amassé depuis le 21 mai dernier, tandis que l’autre moitié ira au CSAR pour lui permettre d’acheter de la nourriture pour ses pensionnaires, mais aussi de leur prodiguer des soins. Le montant remis au refuge lui p
Le Centre de services animaliers de Rimouski (CSAR) tient jusqu’au 30 juin à 23 h 55, une nouvelle édition de sa loterie 50/50 aux profits des animaux du refuge.
Le tirage, qui aura lieu le mardi 1er juillet à 11 h, permettra à la personne gagnante de remporter la moitié du montant amassé depuis le 21 mai dernier, tandis que l’autre moitié ira au CSAR pour lui permettre d’acheter de la nourriture pour ses pensionnaires, mais aussi de leur prodiguer des soins. Le montant remis au refuge lui permettra aussi de faire vacciner, stériliser et micropucer les animaux qui y sont de passage, en plus d’offrir des soins vétérinaires spécialisés à ceux qui en ont besoin.
(Photo Unsplash photos)
Notons qu’un deuxième gagnant remportera un chèque cadeau de 500 $ chez Voyages Daniel.
Pour faire l’achat de billets, visiter le site internet du refuge au csar.ca. Différentes options y sont offertes.
La Ville de Rimouski présente les activités offertes aux citoyens, du jeudi 26 juin au mercredi 2 juillet, dans le cadre de sa programmation estivale.
Les activités proposées sont organisées par le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire de la Ville de Rimouski, en collaboration avec certains organismes.
En tout temps, il est possible de consulter la programmation en ligne, pour découvrir l’offre d’activités estivales à Rimouski.
Jeudi 26 juin
Groupe de marche 5
La Ville de Rimouski présente les activités offertes aux citoyens, du jeudi 26 juin au mercredi 2 juillet, dans le cadre de sa programmation estivale.
Les activités proposées sont organisées par le Service des loisirs, de la culture et de la vie communautaire de la Ville de Rimouski, en collaboration avec certains organismes.
En tout temps, il est possible de consulter la programmation en ligne, pour découvrir l’offre d’activités estivales à Rimouski.
Jeudi 26 juin
Groupe de marche 55 ans et plus
Ce jeudi, à 10 h 30, le groupe de marche se rencontre au stationnement de la rue des Berges pour une marche d’environ une heure sur la Promenade de la mer.
Il s’agit d’une activité idéale pour rencontrer de nouvelles personnes et visitez différents endroits de la ville.
Tous les jeudis du 17 juin au 22 août, ces groupes sont animés par une personne-ressource et respectent le rythme des personnes présentes.
Vendredi 27 juin
Sieste culturelle
Un moment de détente est offert au parc de la bibliothèque Lisette-Morin dès 12 h 15, pour une durée de 45 minutes. C’est l’occasion de rêvasser, lire ou relaxer au son du piano de Jean-Gabriel Otis, élève du Conservatoire de musique de Rimouski. En cas de mauvais temps, l’activité aura lieu à l’intérieur de la bibliothèque Lisette-Morin.
Samedi 28 juin
Qi-Gong et Tai Chi
De 10 h à 11 h 30, une activité d’initiation aux pratiques traditionnelles chinoises basées sur le souffle et la concentration dans des exercices fluides est proposée à la population.
Cette activité animée par un entraîneur qualifié est organisée près des terrains de volley-ball, dans le cadre enchanteur du parc Beauséjour.
Mercredi 2 juillet
Animation de rue : Êtres de bois – Fleuve Espace Danse
Êtres de bois est une animation de rue en hommage à la force, à la puissance et à la beauté de l’emblématique mammifère des bois, maintenant menacé de disparaître : le caribou.
« Utilisant les bois de grèves en allégorie à leurs précieux panaches, la meute de cervidés s’apprivoise, se déplace et lutte ensemble pour la survie de leur espèce. Êtres de bois, c’est la force fragile de nos forêts, de notre nature et de notre liberté d’agir. »
Les quatre interprètes, Geneviève Robitaille, Vicky Gélineau, Marie-Ève Dion et Claudelle Bilodeau proposent une représentation de la femme Nature, inspirée du caribou forestier et de sa puissance. Énergie, esprit de communauté, puissance et vitalité sont mis à l’honneur.
Il sera possible de découvrir cette animation de rue dès 19 h 30, sur la place des Anciens-Combattants.
Danse en ligne
Tous les mercredis du 25 juin au 23 juillet, et les 6 et 13 août, des soirées de danse en ligne sont organisées avec une professeure de 18 h 30 à 20 h 30 à l’agora du parc Beauséjour.
Prendre en note que l’activité est annulée en cas de mauvais temps.
Price en fête est de retour pour une septième année. L’événement se tient du 26 au 29 juin avec les spectacles du Yannick St-Jacques Band, Ben Joncas Band, Les Gars du Nord, Stay Tuned, La Grande Messe et leur hommage aux Cowboys fringants ainsi que David Pineau.
En 2025, les festivités auront lieux sur un seul et même site, soit au parc municipal, derrière le poste de la Sûreté du Québec, que ce soit la journée familiale, la journée autos, les spectacles ou les feux d’artifice. Un tirage 50
Price en fête est de retour pour une septième année. L’événement se tient du 26 au 29 juin avec les spectacles du Yannick St-Jacques Band, Ben Joncas Band, Les Gars du Nord, Stay Tuned, La Grande Messe et leur hommage aux Cowboys fringants ainsi que David Pineau.
En 2025, les festivités auront lieux sur un seul et même site, soit au parc municipal, derrière le poste de la Sûreté du Québec, que ce soit la journée familiale, la journée autos, les spectacles ou les feux d’artifice. Un tirage 50/50, dans le cadre de l’événement, sera aussi mis en ligne. Le tirage se fera le dimanche en fin de journée.
« On ne s’attend pas à récolter un montant comme celui de l’Océanic, mais ça demeure un moyen intéressant pour de jeunes organismes à but non lucratif, comme le nôtre, de faire un peu de sous et ainsi permettre la poursuite de nos activités et nous assurer d’avoir le plus de trucs gratuits possible pour nos jeunes familles de la région », indique la présidente du conseil d’administration de Price en fête, Nancy Banville.
Le comité 2025 de Price en fête. (Photo courtoisie)
Les festivités débuteront ce jeudi 26 juin, à 19 h, avec un bingo sous le chapiteau avec 3000 $ en prix, dont un tour à 1000 $.
Le lendemain, le vendredi 27 juin, les festivités débuteront aussi en soirée, sous le chapiteau, cette fois à 19 h 30 avec le Yanick St-Jacques Band, suivi du Ben Joncas à 20 h 45 et des Gars du Nord à 22 h 30.
« Pour ceux qui veillent plus tard, un chansonnier de fin de soirée, Stéphane Cyr, sera sur place pour étirer les festivités. »
Journée familiale
La journée familiale gratuite se tiendra ce samedi 28 juin, offerte par Bois d’Oeuvre Cèdrico.
« Il y aura des jeux gonflables, des tatouages temporaires, un atelier de fabrication de papier, la tente à lire et la Fermette Au pays des merveilles. On pourra de nouveau compter sur la présence de nos pompiers avec un mini circuit pour les enfants. Nous sommes enchantés d’avoir le Studio de danse orbite, qui viendra faire deux démonstrations. Les 250 premiers jeunes à se rendre sur le site auront droit à des présents », explique madame Banville.
Le samedi soir, les festivités reprendront à 19 h 30 avec le groupe Stay Tuned. Il sera suivi de l’hommage aux Cowboys fringants du groupe La Grand Messe.
« Notre artiste local, David Pineau, viendra conclure la soirée, dès 22 h 30. »
Dimanche 29 juin
La dernière journée, le dimanche 29 juin, s’amorcera avec le traditionnel déjeuner familial du Club des 50 ans et plus, de 8 h à 12 h.
« Pendant ce temps, notre journée autos va se préparer sur le site, pour l’exposition de style show n’shine, qui aura lieu de 13 h à 16 h. Il est important de mentionner que les inscriptions se feront de midi à 13 h, puisque l’exposition débutera ensuite. »
Finalement, Price en fête se conclura à 21 h 45 avec des feux d’artifice présentés par Royal Pyrotechnie.
Pour consulter la programmation ou connaitre les coûts associés aux activités, les gens intéressés peuvent la page Facebook de Price en fête.
Au lendemain de la fin des festivités au Bas-Saint-Laurent, la Société nationale de l’Est-du-Québec (SNEQ) rapporte que 60 célébrations locales de la Fête nationale ont eu lieu les 23 et 24 juin derniers, d’un bout à l’autre de la région.
« Pour qu’un tel déploiement puisse se faire, il faut remercier chacune des collectivités pour leur volonté à organiser toutes ces fêtes ainsi que les centaines de bénévoles déterminés à offrir de magnifiques célébrations dans leurs communautés », indique la
Au lendemain de la fin des festivités au Bas-Saint-Laurent, la Société nationale de l’Est-du-Québec (SNEQ) rapporte que 60 célébrations locales de la Fête nationale ont eu lieu les 23 et 24 juin derniers, d’un bout à l’autre de la région.
« Pour qu’un tel déploiement puisse se faire, il faut remercier chacune des collectivités pour leur volonté à organiser toutes ces fêtes ainsi que les centaines de bénévoles déterminés à offrir de magnifiques célébrations dans leurs communautés », indique la Société par voie de communiqué.
1700 personnes à Mont-Joli
En ce qui concerne la célébration à portée régionale, qui se tenait cette année à Mont-Joli, la SNEQ rapporte que les tout petits se sont émerveillés devant Chantois, tandis que les adultes étaient de leur côté complètement confondus devant les tours de magie de Bob Arseneau. La première partie du grand spectacle de soirée a été assurée par le groupe Attache ta tuque, qui a livré une prestation hommage aux Cowboys fringants.
Le spectacle du groupe Attache ta tuque (Crédit photo : Djanick Michaud)
Yohan Proulx, Zélie Nayran et Soliel Perreault de SLAM Est-du-Québec ont ensuite pris la scène à tour de rôle pour des prestations à la mi-temps.
Pour clore le grand spectacle, Michel Lalonde, fondateur de GAROLOU, a fait revivre les plus grands succès du groupe avec ses musiciens.
Au total, plus de 1700 personnes ont assisté aux différentes parties de cette grande célébration régionale.
La présidente de la SNEQ, Ariane Francoeur, se dit ravie d’un tel succès.
« Cela démontre bien l’importance de rendre accessible cette célébration à portée régionale aux villes principales de la région. Cette grande fête permet de faire rayonner chaque ville hôtesse à l’échelle nationale et sa mobilité assure une plus grande accessibilité à la population à travers notre territoire. C’est la plus vieille fête au Québec et la célébration de l’identité ainsi que du fait français est la pierre angulaire autour de laquelle la population se réunit dans la joie ! »
À Rimouski en 2026
En conclusion de la fête à Mont-Joli avait lieu le tirage au sort pour déterminer quelle ville sera l’hôtesse de la célébration à portée régionale en 2026.
Devant une foule pour témoin, un pile ou face s’est organisé entre les villes de Trois-Pistoles (pile) et Rimouski (face). C’est finalement la Ville de Rimouski qui accueillera à son tour la célébration à portée régionale, tel que l’on fait les villes de Rivière-du-Loup (2024) et Mont-Joli (2025).
« Nous sommes heureux que Rimouski ait accepté la proposition que nous avions faite équitablement aux deux villes pour faire partie du tirage ! Pour Trois-Pistoles, ce n’est que partie remise, car l’objectif est de tenir la célébration à portée régionale dans chacune des 8 villes centrales des 8 MRC. Ce sera en 2026 que la ville hôtesse 2027 sera tirée dans le secteur ouest du Bas-Saint-Laurent », conclut madame Francoeur.
La Fédération des OSBL d’habitation du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles (FOHBGI) souligne le fait que plusieurs bénévoles œuvrant au sein de ses organismes membres ont été honorés par la Médaille de la Lieutenante-gouverneure pour les aînés 2025.
Claude Trottier et Monique Lagacé, au moment de recevoir leurs médailles. (Photos courtoisie)
Ces lauréats, mis en candidature par la FOHBGI, se démarquent par « leur engagement remarquable, leur générosité et leur dévouement au sein
La Fédération des OSBL d’habitation du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles (FOHBGI) souligne le fait que plusieurs bénévoles œuvrant au sein de ses organismes membres ont été honorés par la Médaille de la Lieutenante-gouverneure pour les aînés 2025.
Claude Trottier et Monique Lagacé, au moment de recevoir leurs médailles. (Photos courtoisie)
Ces lauréats, mis en candidature par la FOHBGI, se démarquent par « leur engagement remarquable, leur générosité et leur dévouement au sein de leur communauté. Par leur présence bienveillante, leur entraide et leur chaleur humaine, ils et elles contribuent à faire des milieux de vie des aînés des lieux empreints de solidarité et de dignité », souligne la Fédération par voie de communiqué.
« Ces personnes incarnent les valeurs profondes de notre réseau : l’entraide, le respect et l’humanité. Leur implication fait toute la différence dans la vie de nombreux et nombreuses citoyen·es », soulève pour sa part le directeur général de la FOHBGI, David Barbaza.
Lauréats 2025 – Bas-Saint-Laurent
Madeleine Bernier a reçu la médaille à titre posthume. (Photo courtoisie)
Mme Micheline Rodrigue, MRC de Kamouraska
M. Gérald Pelletier, MRC de Rivière-du-Loup
Mme Lisette Marchand, MRC de Témiscouata
Mme Suzanne Pelletier, MRC des Basques
Mme Madeleine Bernier, MRC de Rimouski-Neigette (médaille remise à titre posthume)
L’entreprise rimouskoise LVL Construction s’associe de nouveau à Habitat pour l’Humanité Québec, en collaboration avec le fournisseur de matériaux GAF, pour une nouvelle édition du projet « Là pour toit. »
L’idée derrière ce projet est de permettre à une famille propriétaire, à revenus modestes, de la région, de remporter une réfection complète et gratuite de leur toiture.
Un chantier de LVL Construction (Photo courtoisie)
Pour être admissible, la famille participante devra répondre aux
L’entreprise rimouskoise LVL Construction s’associe de nouveau à Habitat pour l’Humanité Québec, en collaboration avec le fournisseur de matériaux GAF, pour une nouvelle édition du projet « Là pour toit. »
L’idée derrière ce projet est de permettre à une famille propriétaire, à revenus modestes, de la région, de remporter une réfection complète et gratuite de leur toiture.
Un chantier de LVL Construction (Photo courtoisie)
Pour être admissible, la famille participante devra répondre aux critères suivants :
Être propriétaire de la maison dont le toit a besoin de réparations: votre toiture doit être en bardeaux (toit en pente)
Avoir un revenu familial brut modeste
Être prêt à fournir les documents suivants : a. Photos de votre toiture; b. Preuve de propriété (compte de taxes foncières, acte notarié); c. Preuve de revenus modestes (avis de cotisations des trois dernières années);
Avoir la capacité de débourser un certain montant en cas d’imprévus (ex: changement de bois dû à la pourriture) au prix coûtant;
Accepter de fournir des photos et témoignages de différents types quant à votre expérience avec ce programme.
Il est aussi nécessaire qu’elle remplisse le formulaire qui se trouve sur le site internet d’Habitat pour l’Humanité Québec. Au cours des prochaines semaines, Habitat pour l’humanité Québec évaluera toutes les demandes pour ensuite sélectionner les familles admissibles au programme.
Les demandes qui ne contiendraient pas tous les renseignements requis ne seront pas traitées. Il est donc extrêmement important qu’elles contiennent toute l’information nécessaire.
Les familles participantes doivent aussi avoir un besoin pressant et réel quant aux conditions de leur toit.
La MRC de La Mitis et ses 16 municipalités se sont unies pour le lancement du projet régional « Loisirs pour tous, Active ta Mitis! », qui vise à bonifier l’accès aux loisirs pour l’ensemble de la population mitissienne, peu importe la taille ou les ressources de chaque municipalité.
Le projet repose sur une idée simple : mutualiser des équipements de loisirs pour les rendre disponibles à l’ensemble des municipalités du territoire.
Concrètement, trois remorques mobiles, identifiables par l
La MRC de La Mitis et ses 16 municipalités se sont unies pour le lancement du projet régional « Loisirs pour tous, Active ta Mitis! », qui vise à bonifier l’accès aux loisirs pour l’ensemble de la population mitissienne, peu importe la taille ou les ressources de chaque municipalité.
Le projet repose sur une idée simple : mutualiser des équipements de loisirs pour les rendre disponibles à l’ensemble des municipalités du territoire.
Concrètement, trois remorques mobiles, identifiables par le slogan « Active ta Mitis », circuleront à travers la région.
Elles sont remplies d’équipements sportifs et récréatifs tels que des fatbikes, des planches à pagaie, un skate park mobile, des équipements de frisbee-golf, des luges, et bien plus.
Les municipalités pourront les emprunter gratuitement pour animer leurs événements publics, tels que des fêtes locales, des festivals, des événements municipaux, et ainsi de suite.
Les objectifs sont de rendre accessibles des activités de sport et de plein air aux citoyen·nes vulnérables sans frais d’inscription, promouvoir les saines habitudes de vie, assurer une mixité sociale dans les événements municipaux, et favoriser l’inclusion de toutes et tous, notamment les personnes en situation de précarité.
Ces actions visent directement l’amélioration de la santé globale, l’estime de soi et la cohésion communautaire sur l’ensemble du territoire mitissien.
Historique du projet
« Loisirs pour tous » a pris racine en 2021, alors que les coordonnateurs et coordonnatrices en loisirs de La Mitis se sont réunis autour d’une même préoccupation : comment favoriser l’inclusion des personnes en situation de précarité économique dans les activités sportives et de loisir.
Le conseiller au développement social à la MRC de La Mitis, Renaud Bisson-Dion, rapporte que le manque d’accès à l’équipement constituait alors un obstacle majeur, qui a rapidement été identifié.
(Photo courtoisie Ville de Mont-Joli)
« C’est ainsi qu’est né le projet Loisirs pour tous, avec pour mission de faciliter l’accès à des activités physiques accessibles et inclusives, de contribuer à briser l’isolement, à développer tôt de saines habitudes de vie, et à favoriser l’épanouissement des personnes, sans stigmatisation », explique monsieur Bisson-Dion, qui a chapeauté la mise en place du projet.
Depuis, la MRC et la Ville de Mont-Joli ont coordonné l’achat et l’organisation de trois remorques mobiles d’équipements sportifs mises à la disposition des municipalités.
Les réservations se font directement via une plateforme à laquelle tous les coordonnateurs en loisirs ont accès.
L’organisme communautaire Accueil-Maternité tenait, ce samedi 21 juin, une marche poussette intergénérationnelle, au parc Lepage de Rimouski.
L’objectif de l’événement était de célébrer les liens entre les générations, tout en récoltant des fonds qui soutiendront l’organisme dans sa mission, qui est notamment de briser l’isolement des mères, en période périnatale.
Un peu avant le premier départ de la marche, la présidente du conseil d’administration, Johanne Gagnon, a annoncé aux pe
L’organisme communautaire Accueil-Maternité tenait, ce samedi 21 juin, une marche poussette intergénérationnelle, au parc Lepage de Rimouski.
L’objectif de l’événement était de célébrer les liens entre les générations, tout en récoltant des fonds qui soutiendront l’organisme dans sa mission, qui est notamment de briser l’isolement des mères, en période périnatale.
Un peu avant le premier départ de la marche, la présidente du conseil d’administration, Johanne Gagnon, a annoncé aux personnes présentes que non seulement l’objectif de 20 000 $ fixé par l’équipe de l’Accueil a été atteint, mais qu’en plus, presque le double de ce montant a été récolté.
Johanne Gagnon, la présidente de l’Accueil-Maternité (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Grâce à de généreux donateurs, la marche nous rapporte aujourd’hui 39 000 $. C’est beaucoup d’argent pour un organisme comme l’Accueil, qui a un petit budget. »
Un lieu unique
La marche de ce samedi était aussi une occasion de mettre de l’avant l’importance de l’organisme pour la communauté rimouskoise. Émilie Martel, qui est une maman utilisatrice de l’Accueil et qui fait aussi partie de son conseil d’administration, estime que l’organisme gagnerait à être davantage connu.
« C’est le seul endroit du genre au Québec. C’est à la fois un lieu d’accueil, un lieu de répit, un lieu de formation et de douceur. C’est vraiment un endroit où les mamans peuvent se rendre – avec ou sans leurs enfants – pour prendre le temps de dormir, de manger gratuitement. Il y aussi des ateliers qui sont offerts gratuitement, alors l’organisme vient répondre à toutes sortes de besoins. C’est aussi un lieu sans jugement, ouvert à tous », décrit madame Martel.
L’un des parrains de la marche, Daniel Bénéteau, abonde dans le même sens.
« La mission d’Accueil-Maternité est grande et importante pour le début de la vie. On influence la vie des enfants tout au long de leur croissance et il y a tellement de mamans qui ont besoin d’aide à ces moments de leurs vies, alors c’est magnifique qu’elles puissent l’obtenir. L’équipe en place est extraordinaire. Beaucoup de bénévoles contribuent à l’Accueil et effectuent un travail extraordinaire pour notre communauté. C’est pour ça qu’il faut les soutenir », mentionne monsieur Bénéteau.
Des retrouvailles ont eu lieu le vendredi 13 juin dernier afin de souligner les 25 ans du programme de concentration Harmonie et Guitare de l’école secondaire du Mistral de Mont-Joli.
En amont de cette célébration, il a été possible de discuter avec l’enseignante de la concentration harmonie, Noëlline Banville, du programme et des raisons qui font de cet anniversaire un événement à souligner.
Elle explique qu’à l’automne 1999, deux concentrations ont vu le jour au même moment : celle de l’
Des retrouvailles ont eu lieu le vendredi 13 juin dernier afin de souligner les 25 ans du programme de concentration Harmonie et Guitare de l’école secondaire du Mistral de Mont-Joli.
En amont de cette célébration, il a été possible de discuter avec l’enseignante de la concentration harmonie, Noëlline Banville, du programme et des raisons qui font de cet anniversaire un événement à souligner.
Elle explique qu’à l’automne 1999, deux concentrations ont vu le jour au même moment : celle de l’harmonie, dont elle a encore la responsabilité aujourd’hui et celle de guitare, qui est toujours sous la responsabilité de Berthier Francoeur.
« Au début, en compétition, les élèves de secondaire 1 à 5 jouaient ensemble. Je me rappelle qu’on était seulement une quarantaine d’élèves. En guitare, il y avait une vingtaine d’élèves. Aujourd’hui, nous avons 180 élèves en harmonie et nous en aurons 210 l’an prochain. Je pense qu’ils sont environ 80 élèves en guitare. Notre nombre d’élèves a toujours augmenté avec les années. »
25 années à évoluer
Avec cette croissance, une nouvelle collègue à temps plein s’est jointe à l’équipe en 2011 : Josée Plante, qui est une ancienne élève. D’autres enseignants de musique, à temps partiel, ont aussi mis la main à la pâte depuis la création du programme.
« Durant ces 25 dernières années, nous nous sommes rendus à plusieurs compétitions. Nous allons toujours au Festival des Harmonies, à Sherbrooke en mai. Les guitaristes font pour leur part le MusicFest provincial chaque année. On fait aussi des camps musicaux, avec les plus jeunes élèves, de secondaire 1, 2 et 3, une fois par an. Il y a aussi un gros voyage final, une grosse compétition, qui est réservé aux élèves de quatrième et cinquième secondaire, autant en guitare qu’en harmonie. »
New York, Disney World et Virginia Beach sont quelques-unes des destinations visitées par la concentration Harmonie au cours de ses 25 ans d’existences.
« Que ce soit l’harmonie ou la guitare, on donne une dizaine de spectacles par année. Nous avons aussi toujours plusieurs activités de financement : on fait des soupers-spaghettis et des déjeuners musicaux. »
L’équipe-école au cœur du succès
25 ans plus tard, elle attribue la croissance du programme et sa longévité au travail effectué par l’équipe-école du Mistral.
La concentration guitare, au MusicFest de 2006. (Photo courtoisie – École du Mistral)
« Je pense que pour qu’un programme comme celui-ci perdure et continue de croitre avec le temps, ça prend vraiment une équipe-école qui y croit. On veut d’ailleurs que les projecteurs soient placés sur l’équipe école. Autant le personnel de soutien, que le personnel professionnel, les directions et les enseignants, parce que c’est vraiment demandant pour tout le monde.
Elle estime que la quantité importante d’élèves inscrits dans une concentration au Mistral représente un défi supplémentaire, que l’équipe-école réussit à relever.
« Ces jeunes-là doivent quitter pour des tournois et des compétitions à l’extérieur, mais ils ne partent pas tous pendant les mêmes fins de semaine. C’est donc beaucoup de logistique et d’organisation pour toute l’équipe école ici. C’est quelque chose qui est très important pour nous et c’est grâce à cette équipe que ça fonctionne. »
Une expérience marquante
Finalement, la célébration du vendredi 13 juin représentait une occasion de souligner la contribution du programme dans le parcours de près de 800 jeunes.
« La plupart du temps, ces élèves passent cinq ans avec nous. Quand vient le temps de quitter, ils partent avec des sanglots et on est triste de les laisser aller, mais on sait aussi qu’ils sont prêts pour la vie adulte. Ce qui est beau là-dedans, c’est que ces élèves sont aujourd’hui des collègues de travail. Ce sont nos comptables, nos mécaniciens. On les côtoie et ce sont de bons humains, de bonnes personnes et on a le sentiment d’avoir joué un petit rôle dans tout ça, considérant le sentiment d’appartenance et le raccrochage scolaire auquel contribue la concentration musique. »
Le Syndicat de l’enseignement de la région de la Mitis (SERM-CSQ) souligne le départ de son président, Jean-François Gaumond, élu au poste de vice-présidence aux relations de travail de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) le 13 juin dernier.
Monsieur Gaumond a été élu par les représentantes et représentants de tous les syndicats membres de la FSE-CSQ, réunis à Thetford Mines à l’occasion de la dernière réunion du conseil fédéral pour l’année scolaire 2024-2025.
Présiden
Le Syndicat de l’enseignement de la région de la Mitis (SERM-CSQ) souligne le départ de son président, Jean-François Gaumond, élu au poste de vice-présidence aux relations de travail de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) le 13 juin dernier.
Monsieur Gaumond a été élu par les représentantes et représentants de tous les syndicats membres de la FSE-CSQ, réunis à Thetford Mines à l’occasion de la dernière réunion du conseil fédéral pour l’année scolaire 2024-2025.
Président du SERM depuis cinq ans
Formé au baccalauréat en enseignement au secondaire de l’UQAR, Jean-François Gaumond exerce les fonctions de président du Syndicat de l’enseignement de la région de la Mitis (SERM-CSQ) depuis 2020. Il a été responsable de nombreux dossiers dont ceux des relations de travail et de la négociation locale.
« Sa rigueur, sa capacité de rassembler, de vulgariser les enjeux complexes ainsi que son sens politique ont su marquer son passage à la présidence du SERM-CSQ. Les défis ont été nombreux ces cinq dernières années et monsieur Gaumond a su les relever avec brio », déclare le vice-président de la zone des Monts-et-Marées, Nicolas Fournier.
Jean-François Gaumond était le président du Syndicat de la région de la Mitis (Photo Facebook)
« En passant par la pandémie, les négociations nationales et locales et les multiples enjeux auxquels les enseignantes et enseignants ont été confrontés, son aptitude à faire ressortir les forces des membres de son équipe, son écoute, son leadership et son esprit d’analyse hors du commun ont su faire rayonner le SERM-CSQ tant au niveau local qu’au niveau national. Ses profondes convictions syndicales et sa détermination auront certainement marqué l’esprit des membres qu’il a représenté avec fierté! »
Monsieur Fournier et les membres du Conseil d’administration du SERM souhaitent bon succès à monsieur Gaumond dans l’exercice de ses nouvelles fonctions et le remercient pour ces cinq années passées à la présidence du syndicat.
Le conseil d’administration a nommé Sylvie Lefebvre au poste de présidente par intérim du SERM-CSQ. Enseignante en adaptation scolaire et sociale, elle exerce la fonction de vice-présidente de la zone des Phares depuis 2018-2019. Elle a notamment été responsable des dossiers ACTES, EHDAA, SST ainsi que du calendrier scolaire de la zone qu’elle représente.
De plus, le conseil d’administration a nommé Marie-Ève Doucet au poste de vice-présidente par intérim de la zone des Phares. Enseignante en anglais au secondaire et membre du conseil d’administration depuis les cinq (5) dernières années, Mme Doucet a exercé les fonctions de secrétaire-trésorière et de représentante du secteur Mitis.
Enfin, les membres du conseil d’administration se joignent à M. Nicolas Fournier pour souhaiter un bon succès à madame Lefebvre et madame Doucet dans l’exercice de leurs nouvelles fonctions respectives.
Le Centre de services scolaires des Phares confirme que la parade des finissants de l’école Paul-Hubert, prévue cet après-midi, le vendredi 20 juin 2025, est maintenue.
L’horaire de la parade reste le même et le passage des finissants sur le tapis rouge aura aussi lieu : celui-ci sera placé sous le toit couvert de l’entrée principale.
Un défilé de finissants dans les rues de Rimouski, il y a quelques années. (Photo: Pierre Michaud-archives)
Puisque la zone famille sera à découvert, en r
Le Centre de services scolaires des Phares confirme que la parade des finissants de l’école Paul-Hubert, prévue cet après-midi, le vendredi 20 juin 2025, est maintenue.
L’horaire de la parade reste le même et le passage des finissants sur le tapis rouge aura aussi lieu : celui-ci sera placé sous le toit couvert de l’entrée principale.
Un défilé de finissants dans les rues de Rimouski, il y a quelques années. (Photo: Pierre Michaud-archives)
Puisque la zone famille sera à découvert, en raison du manque d’espace, il est demandé de se prévoir des parapluies. Le Centre de services rappelle que l’accès au Colisée est réservé uniquement aux finissants et que cette consigne demeure la même, malgré la météo.
Horaire de l’après-midi
13h30 – Arrivée au Paul-Hubert – possibilité d’être dans le gymnase D-146
Les centres de services scolaires et la commission scolaire des régions du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine feront face à une réduction importante de leur budget s’élevant à près de 39,5 millions de dollars.
Cette réduction pourrait d’ailleurs être revue à la hausse puisque l’indexation des coûts de système pour les dépenses autres que salariales n’est pas incluse dans ce montant.
Notons qu’à la suite du dépôt de projet des règles budgétaires du ministère de l’
Les centres de services scolaires et la commission scolaire des régions du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine feront face à une réduction importante de leur budget s’élevant à près de 39,5 millions de dollars.
Cette réduction pourrait d’ailleurs être revue à la hausse puisque l’indexation des coûts de système pour les dépenses autres que salariales n’est pas incluse dans ce montant.
Notons qu’à la suite du dépôt de projet des règles budgétaires du ministère de l’Éducation, le réseau de l’éducation devra fournir un effort budgétaire qui pourrait totaliser près d’un demi-milliard de dollars.
Une analyse rigoureuse à faire
Par voie de communiqué, la coordonnatrice aux communications du Centre de services scolaire des Phares, Zoé Ross-Lévesque, rapporte que les centres de services scolaires ainsi que la commission scolaire amorcent une analyse rigoureuse des paramètres communiqués par le ministère de l’Éducation.
« Cette démarche vise à assurer une évaluation responsable, objective et concertée des impacts sur l’organisation des services administratifs et éducatifs. Nos organisations demeurent mobilisées et s’engagent à faire connaître, en temps opportun, les orientations qui découleront de cette analyse. »
La directrice générale du Centre de services scolaire des Phares, Nancy Prévéreault, souligne pour sa part l’ampleur du défi.
« Les orientations annoncées représentent pour notre organisation des compressions budgétaires importantes, d’une ampleur nettement supérieure à ce que nous avons connu au cours des dernières années et qui pourraient atteindre 10 M$. Bien que notre souhait soit de minimiser l’impact sur le service aux élèves, nous aurons de grands défis à relever. Nous sommes très conscients des inquiétudes que cette situation peut soulever. »
Madame Prévéreault assure que le Centre procédera avec rigueur, transparence et équité.
Le stationnement sur la rue Saint-Germain Ouest, au centre-ville de Rimouski, constitue un véritable fléau pour de nombreux commerçants qui ont choisi d’y installer leur entreprise.
Alors que tous les commerçants questionnés à ce sujet par Le Soir.ca abondent dans le même sens, aucun d’entre eux ne souhaitent s’exprimer publiquement, par craintes de représailles envers leur magasin et parfois même, envers leur personne.
Les commerçants rencontrés sont pour la plupart d’accord que le statio
Le stationnement sur la rue Saint-Germain Ouest, au centre-ville de Rimouski, constitue un véritable fléau pour de nombreux commerçants qui ont choisi d’y installer leur entreprise.
Alors que tous les commerçants questionnés à ce sujet par Le Soir.ca abondent dans le même sens, aucun d’entre eux ne souhaitent s’exprimer publiquement, par craintes de représailles envers leur magasin et parfois même, envers leur personne.
Les commerçants rencontrés sont pour la plupart d’accord que le stationnement payant a sa place au centre-ville, pour des raisons semblables à celles évoqués par le maire de Rimouski, Guy Caron, lorsque la question a été soulevé, l’an dernier.
Il mentionnait alors que d’y rendre le stationnement gratuit aurait pour effet de diminuer les cases disponibles aux clients des commerces, puisque des étudiants de l’Institut maritime du Québec, du Cégep ou encore des employés de l’Hôpital régional auraient alors la possibilité de se stationner en ville.
Ce que propose les marchands, ce serait plutôt d’accorder une période de grâce de 90 minutes, à la place de celle de 15 minutes, présentement instaurée.
Lors de la séance du conseil municipal du 2 juin dernier, c’est quelque chose que l’ancien président de l’Association des Marchands de Rimouski – qui a fusionnée avec la Chambre de commerce de Rimouski-Neigette, il y a quelques année – Jean-Yves Beaulieu, a fait part à la Ville.
Monsieur Caron a alors répondu qu’en raison du nombre de cases de stationnement limité au centre-ville, il demeurait important d’assurer une rotation.
« Une trappe à contraventions »
Les commerçants désignent aussi qu’un manque d’affiche des consignes de paiement du stationnement pose un problème.
Un commerçant rapporte d’ailleurs qu’il demande à ses clients s’ils ont payé leur stationnement quand ils rentrent dans son magasin. Si ce n’est pas le cas, il lui arrive de le payer à leur place.
« Quelqu’un qui ne vient pas d’ici n’a aucune indication qu’il doit aller à l’horodateur pour payer. On dirait une trappe à contraventions. »
D’autres commerces de la rue St-Germain Ouest ont aussi constaté la même chose.
Les commerçants considèrent aussi qu’un manque d’affiche des consignes de paiement du stationnement pose un problème au centre-ville. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Les tickets à 82 $, lorsque tu en reçois un, tu ne veux pas en avoir d’autres. J’ai des clients qui en ont reçu et qui ne viennent plus pour cette raison. »
L’arrivée du Costco, prévue au début du mois d’août, inquiète aussi beaucoup, d’autant plus que les commerçants reçoivent déjà des commentaires de gens qui privilégient la cité des achats au centre-ville, en raison du stationnement.
« Les gens de l’extérieur vont aller au Costco et ils pourront s’y stationner gratuitement, mais nous, on n’a pas accès à ça. »
La clientèle ne voyage pas à vélo
Finalement, un enjeu qui retient également beaucoup l’attention des commerçants est la place que la Ville accorde au vélo, en retirant des espaces de stationnements pour voiture.
Encore une fois, tous sont d’accord sur un point : ils n’ont rien contre les vélos. Toutefois, ils estiment que de retirer du stationnement pour voiture, pour y installer des supports pour vélos pose un problème.
« Quand tu habites à Sainte-Blandine ou à Saint-Valérien, tu ne viens pas magasiner au centre-ville de Rimouski à vélo. »
Il est plutôt proposé d’installer les supports, sur des endroits du trottoir qui ne dérangeraient pas non plus la circulation des piétons.
Le président des Industries Rilec, Louis-Olivier Carré, n’a pas l’intention de laisser tomber le projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville, même si la députée-ministre Maïté Blanchette Vézina, a confirmé au Soir.ca qu’il était impossible de lui verser près de 9 M$, d’ici un mois, pour procéder à l’achat d’un navire européen pour assurer les opérations dès 2026.
Lors d’une conférence de presse, ce lundi 16 juin, l’entrepreneur rimouskois avait fait part de sa volonté d’acheter un
Le président des Industries Rilec, Louis-Olivier Carré, n’a pas l’intention de laisser tomber le projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville, même si la députée-ministre Maïté Blanchette Vézina, a confirmé au Soir.ca qu’il était impossible de lui verser près de 9 M$, d’ici un mois, pour procéder à l’achat d’un navire européen pour assurer les opérations dès 2026.
Lors d’une conférence de presse, ce lundi 16 juin, l’entrepreneur rimouskois avait fait part de sa volonté d’acheter un traversier, mais il expliquait avoir besoin de l’aide de Québec pour concrétiser la transaction. Sinon, le bateau retournerait sur le marché.
Rencontrée ce mardi 17 juin, madame Blanchette Vézina déclarait que le projet de relance, dans son format actuel, ne serait pas possible, en expliquant que le financement pourrait être accordé, mais seulement par l’entremise d’un organisme à but non lucratif (OBNL).
L’abandon n’est pas considéré
Malgré le refus exprimé par Québec, Louis-Olivier Carré, refuse de porter le fardeau des délais, comme quoi il est trop tard.
« Ce n’est pas vrai : tout y était, rien ne manquait. C’est comme si on était arrivé à la dernière minute, alors que ça fait deux ans qu’on travaille sur ce projet. Notre entreprise a dépensé plus de 100 000$, seulement pour monter le plan d’affaires, faire faire les études et trouver le bon bateau, afin que ce soit un projet le plus parfait possible et qu’il soit le plus adapté possible à Rimouski. »
Monsieur Carré estime que le travail qui pouvait être effectué par les Industries Rilec a été réalisé.
« L’occasion n’a simplement pas été saisie quand c’était le cas. C’est pour cette raison que nous avons interpellé les médias. Il faut que ça avance. »
Voici le traversier réservé par Louis-Olivier Carré, dont la capacité d’accueil est de 300 passagers et 90 véhicules. (Photo courtoisie)
En ce qui concerne l’organisme à but non lucratif mis de l’avant par madame Blanchette Vézina, Louis-Olivier Carré est d’avis que ce dernier a un rôle majeur a joué dans la concrétisation du projet.
« Je pense qu’au moment où on se parle, c’est à l’OBNL de faire sa part. De notre côté, on ne peut pas en faire plus. L’organisme est représenté par les deux villes concernées, Rimouski et Forestville. C’est donc à leur tour de prendre la balle au bond et de s’activer le plus rapidement possible pour régler le problème. »
Projet mené pour être réussi
L’homme d’affaires réitère que le projet de relance est » essentiel et justifié. » Depuis la tenue de la conférence de presse, il rapporte avoir reçu des appels pour des réservations sur le bateau.
« Le bateau n’est pas ici, mais il y a déjà des gens qui veulent réserver de la place pour des camions. L’intérêt est là, c’est incroyable. Il faut que le projet réussisse et tout ce que nous avons entrepris jusqu’à maintenant a été une réussite. Si on s’investit dans ce projet, c’est dans ce but. On y croit et ça aussi, c’est important. Si on n’était pas certain, s’il y avait trop d’éléments inconnus dans le dossier, nous n’aurions pas entrepris toutes les démarches que nous avons menées depuis les deux dernières années. »
La 4e édition de La Journée du Bizz Glacé, qui se déroulait le samedi 14 juin dernier, aura permis de verser 7546 $ à La Ressource d’aide aux personnes handicapées.
Chacune des entreprises participantes, soit 23 bars laitiers situés au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie s’étaient engagés à verser 1$ par cornet « Bizz » vendu, à La Ressource.
Le montant total de la cueillette représente une augmentation 824 $ par rapport à l’édition précédente.
« Un tel succès est le fruit de l’implicatio
La 4e édition de La Journée du Bizz Glacé, qui se déroulait le samedi 14 juin dernier, aura permis de verser 7546 $ à La Ressource d’aide aux personnes handicapées.
Chacune des entreprises participantes, soit 23 bars laitiers situés au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie s’étaient engagés à verser 1$ par cornet « Bizz » vendu, à La Ressource.
Le montant total de la cueillette représente une augmentation 824 $ par rapport à l’édition précédente.
« Un tel succès est le fruit de l’implication des bars laitiers de notre grand territoire. Plusieurs des bars laitiers partenaires de cette année collaborent depuis les débuts de la Journée du Bizz Glacé il y a 4 ans. Nous avons également réussi à ajouter de nouveaux partenaires cette année et nous espérons bien en avoir encore plus lors de notre 5e édition! Il ne faut surtout pas oublier la générosité de la population. Bien que notre activité annuelle principale soit le Téléradiothon, c’est aussi grâce à ce type d’activité de financement que La Ressource dépasse ses objectifs et rallie les gens d’une communauté à sa mission. C’est ensemble que nous pouvons faire la différence ! » rappelle la directrice de La Ressource, Thérèse Sirois.
Les sommes amassées dans le cadre de La Journée du Bizz Glacé sont directement réinvesties en services aux membres de chacun des secteurs de La Ressource.
Créée l’an dernier, l’École de voile Rimouski Bas-Saint-Laurent tiendra un deuxième camp estival, en 2025, tout en poursuivant le développement de ses activités pour répondre à la demande dans la région.
Son responsable et porte-parole, Hans-F. Ellefsen, indique que la voile prend de l’ampleur depuis la présentation des Jeux du Québec à Rimouski en 2023.
« Il y avait une compétition de deux classes de voiliers dériveurs. Évidemment, les Jeux du Québec ont mobilisé des bénévoles, donc des
Créée l’an dernier, l’École de voile Rimouski Bas-Saint-Laurent tiendra un deuxième camp estival, en 2025, tout en poursuivant le développement de ses activités pour répondre à la demande dans la région.
Son responsable et porte-parole, Hans-F. Ellefsen, indique que la voile prend de l’ampleur depuis la présentation des Jeux du Québec à Rimouski en 2023.
« Il y avait une compétition de deux classes de voiliers dériveurs. Évidemment, les Jeux du Québec ont mobilisé des bénévoles, donc des gens autour de la navigation et de la garde-cotière auxiliaire. Après leur présentation, des parents nous ont demandé pourquoi il n’y avait aucun représentant ni aucune offre de formation pour les jeunes et les adultes dans le Bas-Saint-Laurent. C’est de cette façon qu’un comité bénévole a été créé pour développer l’offre », indique monsieur Ellefsen.
Rendre ce sport accessible permettra d’assurer une relève locale.
Activité récréative et plaisante
« Nous avons tellement de beaux plans d’eau, que ce soit les lacs ou le fleuve Saint-Laurent. La voile est aussi une activité récréative et plaisante. Contrairement aux bateaux à moteur, les voiliers se déplacent grâce à la force du vent, donc ça aussi, c’est intéressant. Pohénégamook offrait la possibilité de louer catamarans et dériveurs, mais il n’y a plus d’offre dans la région pour répondre aux demandes des adultes. C’est pour cette raison qu’on trouve important et intéressant que notre expertise locale soit transmise aux jeunes et aux adultes. »
Une photo du camp de 2024.
(Photo courtoisie – École de voile du Bas-Saint-Laurent)
Les intéressés peuvent profiter des dernières places disponibles pour le camp d’été.
Par la suite, l’École de voile Rimouski Bas-Saint-Laurent travaillera à former des partenariats pour optimiser la station de prêt gratuit de dériveurs, qui ouvrira cet été en collaboration avec le Centre plein air du lac Ferré sur le territoire de Saint-Narcisse-de-Rimouski.
Le Club de voile de Rimouski regroupe plus de 125 membres annuellement ce qui en fait un des clubs les plus actifs au Québec.
Saint-Gabriel-de-Rimouski lance sa saison touristique pour l’année 2025, en mettant de l’avant les organismes et les entreprises qui se trouvent sur son territoire et qui ont de l’intérêt pour la clientèle touristique.
Pour Étienne Lévesque de Promotion Saint-Gabriel, trois éléments permettent à la municipalité de se démarquer comme destination touristique.
« Il y a différents aspects qui distinguent Saint-Gabriel des autres endroits. Premièrement, il y a son côté villégiature et la beaut
Saint-Gabriel-de-Rimouski lance sa saison touristique pour l’année 2025, en mettant de l’avant les organismes et les entreprises qui se trouvent sur son territoire et qui ont de l’intérêt pour la clientèle touristique.
Pour Étienne Lévesque de Promotion Saint-Gabriel, trois éléments permettent à la municipalité de se démarquer comme destination touristique.
« Il y a différents aspects qui distinguent Saint-Gabriel des autres endroits. Premièrement, il y a son côté villégiature et la beauté de son paysage. Qu’on soit dans n’importe quel rang à Saint-Gabriel, ou même dans le village, le paysage est magnifique. Dans un deuxième temps, je pense que son aspect événementiel fait en sorte que l’on peut accueillir des gens à Saint-Gabriel-de-Rimouski. Je pense au festival, qui se déroulera cette année sur deux fins de semaine. On invite les gens à sortir de la grande ville et à venir nous rejoindre. On aura du gymkhana, du rodéo et des artistes de hauts niveaux, sous le chapiteau. »
Saint-Gabriel-de-Rimouski durant le Festival Country-Western (Photo courtoisie)
Le dernier élément soulevé par monsieur Lévesque est le marché public des Hauts-Plateaux, pour lequel il est aussi administrateur. Le marché aura lieu tous les jeudis de 16 h à 19 h à compter du 19 juin.
« Ce sont de beaux éléments qui invitent la clientèle touristique à s’éloigner un peu du fleuve. Si elle est en visite dans d’autres endroits de La Mitis, elle voudra faire l’effort de monter dans les terres, afin de découvrir le Haut-Pays, profiter de ses paysages et de ses attractions », estime monsieur Lévesque.
Domaine Valga
Il ajoute que le tourisme va bon train dans son coin de pays, notamment grâce à l’ajout d’un chemin qui permet aux gens de se rendre au Domaine Valga, à partir de Saint-Gabriel.
« À l’époque, le domaine transigeait par Saint-Donat-de-Rimouski. Plusieurs personnes pensaient donc qu’il s’agissait d’une entreprise de Saint-Donat, alors que c’est bien une entreprise qui se situe à Saint-Gabriel et qui y paie des taxes. Tout récemment, en 2023, l’entreprise nous a interpellés pour nous dire qu’elle serait prête à faire affaire avec Saint-Gabriel. Il faut le voir comme une avenue de développement. Il y a environ 10 000 touristes qui passent par chez nous maintenant, ce qui profite à l’Épicerie Saint-Laurent, au Dépanneur central MG et aux stations-service. »
Le projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville, tel que proposé par le président des Industries Rilec, Louis-Olivier Carré, pour lequel l’homme d’affaires rimouskois espérait convaincre Québec de lui accorder une subvention pour l’achat d’un traversier d’ici un mois, ne pourra pas se concrétiser dans ces délais, selon Maïté Blanchette Vézina.
C’est ce que la députée-ministre de Rimouski a confirmé en entrevue, mardi matin, avec Le Soir.ca.
« En un mois, on ne donne pas 7 ou 9 M$,
Le projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville, tel que proposé par le président des Industries Rilec, Louis-Olivier Carré, pour lequel l’homme d’affaires rimouskois espérait convaincre Québec de lui accorder une subvention pour l’achat d’un traversier d’ici un mois, ne pourra pas se concrétiser dans ces délais, selon Maïté Blanchette Vézina.
C’est ce que la députée-ministre de Rimouski a confirmé en entrevue, mardi matin, avec Le Soir.ca.
« En un mois, on ne donne pas 7 ou 9 M$, comme ce qui est demandé. D’ailleurs, le promoteur a reçu une lettre de refus officielle. Ce n’est pas parce qu’on ne souhaite pas une relance : c’est parce qu’avec le format dans lequel le projet a été présenté, ce ne serait pas possible. »
Elle est d’avis que le projet peut en être un bon, mais elle rappelle qu’un organisme à but non lucratif (OBNL) avait été créé à l’époque pour la relance de la traverse.
Voici le navire réservé par Louis-Olivier Carré, dont la capacité d’accueil est de 300 passagers et 90 véhicules. (Photo courtoisie)
« Récemment, j’ai mentionné au maire (de Rimouski, Guy Caron) que si un projet devait être financé, ce serait par l’entremise d’un OBNL et non pas directement par un acheteur privé qui souhaite acquérir un bateau. Il s’agit de fonds publics, alors il faut quand même s’assurer de la viabilité, à long terme, du projet. »
Maïté Blanchette Vézina précise que c’est pour cette raison qu’une étude a été mandatée dans les dernières semaines.
« Il faut être certain de bien comprendre quelles étaient les particularités techniques d’un bateau qui pourrait assurer la desserte, avec les installations actuelles du port de Rimouski. L’idée est d’avoir rapidement une réponse sur ce qui serait le type de bateau qui pourrait vraiment assurer cette traverse. »
D’ici la fin de 2025
Puisque l’étude en question est déjà en cours, madame Blanchette Vézina a bon espoir d’en obtenir les résultats d’ici la fin de 2025.
L’entrepreneur rimouskois, Louis-Olivier Carré, des Entreprises Rilec, la mairesse de Forestville, Micheline Anctil et le maire de Rimouski, Guy Caron. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)
« C’est certain que l’échéancier d’un mois donné par le partenaire est trop rapide et encore une fois, comme il est question de fonds publics, il faut prendre le temps de s’assurer d’avoir le bon bateau, la bonne spécificité et de connaitre les coûts projetés pour une mise à niveau, par exemple d’une rampe d’embarquement. Tout ça devra passer par un OBNL. Je vais continuer à inviter la Ville de Rimouski à s’impliquer auprès de cet OBNL, pour pouvoir effectuer une relance, avec la Ville de Forestville également. »
Elle souhaite d’ailleurs rencontrer les deux villes lors des prochaines semaines afin « qu’elles comprennent bien comment pourrait être financé un tel projet. »
Le conseil municipal de Rimouski adopte le Programme quinquennal d’immobilisations (PQI) 2026-2030, qui comporte des projets de 262 M$ pour les cinq prochaines années, une augmentation des investissements projetés en comparaison avec le PQI présenté l’an dernier.
La Ville prévoit des investissements de 51 M$ en 2026, de 60,8 M$ en 2027, de 58,1 M$ en 2028, de 52,4 M$ en 2029 et de 39,9 M$ en 2030.
Son directeur général, Marco Desbiens, indique que cette planification s’articule autour du
Le conseil municipal de Rimouski adopte le Programme quinquennal d’immobilisations (PQI) 2026-2030, qui comporte des projets de 262 M$ pour les cinq prochaines années, une augmentation des investissements projetés en comparaison avec le PQI présenté l’an dernier.
La Ville prévoit des investissements de 51 M$ en 2026, de 60,8 M$ en 2027, de 58,1 M$ en 2028, de 52,4 M$ en 2029 et de 39,9 M$ en 2030.
Son directeur général, Marco Desbiens, indique que cette planification s’articule autour du maintien des actifs pour les 15 prochaines années.
« C’est quelque chose qui prend un peu plus de place dans la planification présentée aujourd’hui, dans la mesure où on rentre dans un cycle où on a des investissements quand même importants dans les 15 prochaines années, qu’on peut prévoir, pour s’assurer du maintien en bon état de nos infrastructures. On a tout près de 200 millions de dollars d’investissements qui sont prévus en aqueduc, en égout, dans nos routes ou dans nos bâtiments, pour nous assurer de maintenir des infrastructures en état. »
En tout, 113 M$ d’investissements serviront à la catégorie d’actif d’aqueduc et égout, tandis que 45 M$ d’investissements serviront au réseau routier et que 25 M$ d’investissements serviront au parc immobilier.
« Par exemple, si on a un réseau d’aqueduc de 85 ans, qui a une durée de vie estimée de 100 ans, on planifie son remplacement dans les 15 prochaines années. On est venu articuler notre planification autour de ces éléments-là pour s’assurer qu’on ne soit pas devant un mur infranchissable dans les 15 ou 20 prochaines années, en ayant sous-investi dans cet entretien. »
Principaux investissements prévus en 2026
En ce qui concerne les principaux investissements prévus en 2026, un projet qui retient l’attention est la construction du centre multisports. À ce sujet, Rimouski recherche des partenaires privés.
« On est présentement en train de travailler sur le devis de performance du centre. Nous avons besoin de contributeurs qui pourraient nous aider à boucler le financement du projet. La Ville a mis une planification de 21 M$ pour réaliser ce projet. Le budget est estimé à 25 M$, donc s’il y a des gens ou de grandes entreprises qui souhaitent nous appuyer dans la réalisation de ce grand projet, il est possible de nous contacter », ajoute monsieur Desbiens.
Une esquisse du futur complexe multisports de Rimouski (Photo courtoisie)
Ce sont 10 M$ d’investissements qui sont prévus en 2026 pour la construction du centre.
Parmi les autres investissements principaux se trouvent :
6 M$ pour la réfection des infrastructures en aqueduc et égout
5 M$ pour le programme d’aide à la voirie locale
4,5 M$ pour l’amélioration du drainage au lieu d’enfouissement sanitaire (LES)
3,5 M$ pour la mise à niveau du bâtiment des Tennis de Rimouski
3 M$ pour le programme de réfection du réseau routier
1,8 M$ pour des travaux d’extension de services
1,8 M$ pour le remplacement d’un camion-citerne du Service de sécurité incendie
Des sommes sont aussi prévues pour le projet de revitalisation et remembrement de Rimouski-Est, la rénovation du presbytère, des travaux de mise à niveau des bâtiments, le réaménagement de l’hôtel de ville, la mise en valeur du centre-ville, des travaux de réfection du terrain de tennis de Nazareth et la poursuite de la conversion de l’éclairage à DEL dans les parcs et sur la promenade de la mer.
Le projet « Circonflexe : prêt pour bouger », se déploie afin de répondre aux besoins en équipements sportifs et de loisirs de la MRC de La Matapédia.
Il s’agit d’une initiative du Gouvernement du Québec, porté par Loisirs et Sport Bas St-Laurent et le Centre d’action bénévole de la Matapédia, qui représente plus d’un an de mobilisation du milieu.
Le projet fait partie d’un vaste réseau panquébécois de centrales d’équipements destinés à tous, dans toute la province. Il permet d’emprunter d
Le projet « Circonflexe : prêt pour bouger », se déploie afin de répondre aux besoins en équipements sportifs et de loisirs de la MRC de La Matapédia.
Il s’agit d’une initiative du Gouvernement du Québec, porté par Loisirs et Sport Bas St-Laurent et le Centre d’action bénévole de la Matapédia, qui représente plus d’un an de mobilisation du milieu.
Le projet fait partie d’un vaste réseau panquébécois de centrales d’équipements destinés à tous, dans toute la province. Il permet d’emprunter du matériel sportif gratuitement dans les points de service sur tout le territoire matapédien et québécois.
Les équipements peuvent être spécialisés tel que des kayaks pour personnes à mobilité réduite, des fat bikes ou des porte-bébés de randonnée. (Photo Unsplash.com – crédit : Nick Russill)
Les équipements peuvent être spécialisés tels que des kayaks pour personnes à mobilité réduite, des fat bikes ou des porte-bébés de randonnée. Il est possible de louer des équipements plus accessibles tels que des skis de fond, des raquettes, des équipements de ballon-balai, etc.
Fonctionnement
Le principe est simple : il suffit de se présenter dans l’un des points de service, de remplir un formulaire de prêt et de partir avec l’équipement pour le temps de réservation prévu.
Il est possible de consulter le site web https://circonflexe.ca/ pour voir les équipements disponibles dans les points de service partout au Québec. Ceux de La Matapédia sont situés à la Maison des Familles, le club de ski de fond Harfang des Neiges, l’aréna Gérard Duchêne (Causapscal), le club de ski de fond Mont-Climont, la gare d’Amqui, le camping d’Amqui et la gare de Sayabec.
« Ce projet est vraiment intéressant pour nous. Il permet de démocratiser des équipements de sport et de loisirs de plein air. De plus, les équipements sont disponibles sur le lieu de pratique directement. La pratique de sport en plein air reste très importante et bénéfique pour la santé des gens », mentionne le gestionnaire du Club de ski de fond du Mont-Climont, Gilles St-Laurent.
Si certaines organisations ont besoin de plus d’informations pour devenir un point de service d’équipements à prêter gratuitement, il est possible de discuter avec Alexandre Fortin, agent de prévention et promotion des saines habitudes de vie au CISSS du Bas-Saint-Laurent (alexandre.fortin4@sante.quebec).
L’Association québécoise de récupération des contenants de boissons (AQRCB) effectue une tournée au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, au sujet du déploiement de la modernisation du système de consigne dans la région.
L’organisme, responsable de la transition et de la mise en œuvre du nouveau système, est allé à la rencontre de personnes évoluant entre autres dans le domaine municipal, dans les commerces de détails et dans la gestion des matières résiduelles, afin de les informer et de répondr
L’Association québécoise de récupération des contenants de boissons (AQRCB) effectue une tournée au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, au sujet du déploiement de la modernisation du système de consigne dans la région.
L’organisme, responsable de la transition et de la mise en œuvre du nouveau système, est allé à la rencontre de personnes évoluant entre autres dans le domaine municipal, dans les commerces de détails et dans la gestion des matières résiduelles, afin de les informer et de répondre à leurs questions sur la modernisation du système de consigne. Le tout, dans un but d’atteindre un taux de récupération de 90 % des contenants mis en marché, d’ici 2032.
Ajout de contenants
Le vice-président affaires corporatives à l’AQRCB/Consignaction, Jean-François Lefort, explique que pour atteindre l’objectif du 90 %, de nouveaux contenants seront intégrés au système de consigne, comme ce fut le cas, le 1er mars dernier, lors du déploiement de la phase 2 de la modernisation de la consigne.
(Crédit photo : Consignaction)
« Au départ, avec les phases de modernisation, 2 milliards ou 2.5 milliards de contenants étaient consignés. On va doubler cette quantité, pour arriver à 5 milliards de contenants consignés à partir de 2027, avec l’ajout de tous les contenants de boisson prête à boire en plastique : l’eau, l’eau pétillante, le jus, le lait, des bouteilles de spiritueux et éventuellement le verre, qui n’était pas consigné. »
La troisième phase de modernisation prévoit ainsi l’intégration au système des contenants en verre et en carton multicouches, tels que les bouteilles de vin et les cartons de lait.
« En 2027, lorsque nous aurons passé la troisième phase de modernisation, on aura 5 milliards de contenants consignés. C’est-à-dire qu’il y a 4.5 milliards de contenants qu’on doit récupérer et c’est pour cette raison que nous sommes en train de mettre en place le système le plus avancé au monde. »
Des lieux de retour différents
Ce système passe par le déploiement des lieux de retour Consignaction et Consignaction+.
« Il faut que du côté du service, ce soit simple, efficace et que les gens y adhèrent. Lors de la semaine de relâche, en mars, les Consignactions+ étaient une attraction pour les familles avec des enfants. Elles pouvaient découvrir cette technologie et c’est vraiment un système avant-garde, où il est possible, de traiter en quelques minutes, 200-250 contenants, grâce aux machines que l’on met à la disposition des clients dans les Consignactions+. On est très loin de l’expérience client à laquelle nous sommes habitués depuis les 40 dernières années. »
Ces systèmes sont donc adaptés pour répondre à un volume plus important de contenants.
« C’est là qu’on voit qu’avec cette technologie et ces installations, on n’est pas à la même place. Cela vient répondre au volume et ça permet d’offrir un meilleur service aux citoyens, à travers l’application mobile et le retour express, ce qui va nous permettre d’arriver au 90 %. »
Monsieur Lefort précise cependant qu’une personne qui n’a pas de téléphone pourra tout de même faire l’usage des machines.
« Si une personne n’a pas l’application, il est quand même possible d’utiliser les machines partout et de se faire rembourser sur place, en argent comptant. L’application est simplement là pour rendre la tâche plus accessible aux gens qui ne veulent pas d’argent comptant et qui font tout avec leur téléphone. »
Une annonce plus globale, concernant le plan de déploiement des lieux de retour, sera effectuée au cours des prochaines semaines.
L’artiste-peintre professionnel, Michel Leblanc, exposera ses tableaux de voitures de course lors de la fin de semaine du Grand Prix de Formule 1 du Canada 2025, à Montréal, pour une troisième année consécutive.
Originaire de Rimouski, monsieur LeBlanc a été frappé de plein fouet par un chauffard lors d’un face-à-face en 2008, alors qu’il sortait d’un restaurant, en compagnie de sa conjointe enceinte et de leur bambin, âgé de 2 ans.
À la suite de la collision, sa conjointe se retrouve ave
L’artiste-peintre professionnel, Michel Leblanc, exposera ses tableaux de voitures de course lors de la fin de semaine du Grand Prix de Formule 1 du Canada 2025, à Montréal, pour une troisième année consécutive.
Originaire de Rimouski, monsieur LeBlanc a été frappé de plein fouet par un chauffard lors d’un face-à-face en 2008, alors qu’il sortait d’un restaurant, en compagnie de sa conjointe enceinte et de leur bambin, âgé de 2 ans.
À la suite de la collision, sa conjointe se retrouve avec des limitations permanentes à la colonne vertébrale, tandis que leur bébé à naitre ne survit pas.
Leur fils, éjecté de la voiture par la force de l’impact, s’en sort par miracle. Monsieur LeBlanc est pour sa part transporté à l’Hôpital Sacré-Cœur de Montréal entre la vie et la mort. Il se réveillera d’un coma avec les 2 jambes totalement écrasées.
Après une reconstruction des jambes et de nombreux mois à l’hôpital de réadaptation juif de Laval, l’artiste retrouve le goût de vivre lorsqu’une récréologue lui propose un atelier de peinture clandestin au sous-sol de l’hôpital.
Aujourd’hui, il sensibilise les usagers de la route en peignant des voitures de course lors de la F1. Il souhaite ainsi rappeler aux gens que les autoroutes ne sont pas des pistes de course.
Réalisation d’un rêve
Le 18 juillet prochain, l’artiste-peintre procédera à l’ouverture officielle de son atelier/galerie d’art LeBlanc, qui sera sur la route des arts à Sainte-Flavie, au 520 route de la mer.
L’atelier/galerie d’art LeBlanc de Michel Leblanc. (Photo courtoisie)
La Fondation Santé Rimouski a amassé 61 294$ lors son 39e Golf Santé présenté par Construction Albert, le 12 juin, au Club Les Saules.
En tout, 134 joueurs ont pris leur élan pour la santé des gens d’ici.
« Je suis très fier de la réussite financière de l’événement, mais également de la mobilisation du milieu des affaires et des professionnels de la santé qui, une fois de plus, ont répondu présents à notre invitation. Leur engagement montre à quel point la cause de la santé est importante
La Fondation Santé Rimouski a amassé 61 294$ lors son 39e Golf Santé présenté par Construction Albert, le 12 juin, au Club Les Saules.
En tout, 134 joueurs ont pris leur élan pour la santé des gens d’ici.
« Je suis très fier de la réussite financière de l’événement, mais également de la mobilisation du milieu des affaires et des professionnels de la santé qui, une fois de plus, ont répondu présents à notre invitation. Leur engagement montre à quel point la cause de la santé est importante et nous unit », déclare le vice-président de Construction Albert, Louis-Vincent Albert.
La journée s’est conclue dans une ambiance festive avec un 19e trou, présenté par Pôle Santé Rimouski.
Dans un cadre propice au réseautage, les golfeurs ont pu échanger autour d’un repas estival, préparé par BBQ sur la route et son chef, Éric Demers.
Hommage à Doris Labonté
La Fondation a profité de ce moment pour nommer, à titre posthume, Doris Labonté parmi ses membres à vie.
« Ayant marqué sa région, Doris Labonté s’est illustré par sa générosité et son engagement, et ce, jusqu’à la fin de sa vie. Avant son décès, il a légué à la Fondation des pièces de sa collection personnelle, contribuant ainsi à faire rayonner notre cause et soutenir notre mission », explique la directrice générale de la Fondation Santé Rimouski, Caroline Pelletier.
Le frère de Doris Labonté, Gilles, sa conjointe Martine Morissette, la directrice des événements à la Fondation Santé Rimouski, Marie-Josée St-Amand, la directrice générale, Caroline Pelletier et le président, Pierre-Luc Harrison. (Photo courtoisie)
L’encan virtuel du Golf Santé, présenté par Villeneuve Volvo, a également contribué au succès de l’événement.
Grâce à des partenaires locaux, plus de 40 lots, dont deux legs de Doris Labonté, ont été mis aux enchères.
La ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, annonce une aide financière de 313 420 $ à la circonscription de Rimouski, dans le cadre du programme Québec ami des aînés (QADA).
Cette aide financière, faite au nom de la ministre Sonia Bélanger, est attribuée pour soutenir deux projets régionaux : une somme de 261 140 $ servira au projet Développement des compétences numériques des bénévoles de l’organisme Carrefour 50+, tandis qu’une somme de 52 280 $ servira au projet Vieillir
La ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, annonce une aide financière de 313 420 $ à la circonscription de Rimouski, dans le cadre du programme Québec ami des aînés (QADA).
Cette aide financière, faite au nom de la ministre Sonia Bélanger, est attribuée pour soutenir deux projets régionaux : une somme de 261 140 $ servira au projet Développement des compétences numériques des bénévoles de l’organisme Carrefour 50+, tandis qu’une somme de 52 280 $ servira au projet Vieillir en santé et en sécurité le plus longtemps dans son milieu, de l’organisme Club 50+ St-Yves.
« Il s’agit d’un soutien financier majeur, pour des organismes qui sont indispensables et qui s’assurent que les milieux de vie continuent d’être adaptés aux réalités des personnes aînées, pour leur permettre de rester chez elles plus longtemps et de demeurer dans leur communauté, dans un environnement qui est simple, sécuritaire et accueillant. Je tiens donc à saluer les actions portées par les bénévoles. Ce sont des gens qui font des différences majeures et marquées dans la vie des citoyens et dans la communauté, surtout avec le vieillissement de la population que connait le Bas-Saint-Laurent », a mentionné madame Blanchette Vézina en conférence de presse.
S’outiller face au virage numérique
Le président du bureau de direction du conseil d’administration de carrefour 50+, Richard Rancourt, estime que cette aide financière aura des retombées positives pour plusieurs individus.
Le président du bureau de direction du conseil d’administration de carrefour 50+, Richard Rancourt (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Le montant que nous remets QADA permettra aux personnes qui ont des compétences, d’accompagner dans nos différents clubs, notre virage numérique. Une fois que ces bénévoles seront mieux habiletés, ça va se ressentir auprès des autres bénévoles de leur club, ainsi qu’auprès de leur famille et de toutes les personnes qui gravitent autour d’eux », indique monsieur Rancourt.
Conserver l’attractivité du milieu
La vice-présidente du Club 50+ St-Yves, Antonine Michaud, explique pour sa part que l’aide financière reçue permettra de veiller à la santé des aînés.
« Le montant de 52 280 $ que nous avons reçu de QADA servira à garder nos aînés en santé, en leur offrant des activités de yoga sur chaise ou sur tapis, des activités de conditionnement physique, de la Zumba et du pickleball, à des prix moindres. Avec ce montant, nous pourrons aussi faire l’achat de matériel pour remplacer ce qui est désuet. »
La vice-présidente du Club 50+ St-Yves, Antonine Michaud (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Elle ajoute que ces activités seront un moyen pour ses participants de sortir et de socialiser, tout en restant à proximité de leur milieu.
« On veut offrir aux personnes de tous les âges du quartier, des activités afin de les garder ici. On n’est pas loin du centre-ville, mais pour ceux qui n’ont pas de voiture, il peut sembler loin. C’est pour cette raison qu’il est important de leur fournir des moyens de rester près de chez eux, pour socialiser. »
Huit projets soutenus au Bas-Saint-Laurent
Le Carrefour 50+ et le Club 50+ St-Yves sont deux de huit organismes à avoir obtenu une aide financière dans le cadre de l’appel 2024-2025 du programme Québec ami des aînés, pour le volet Soutien aux actions local et régional.
Les autres organismes et leurs projets sont :
École de musique de Matane inc. : 39 768 $ pour les Cafés culturels Brioches et musique visant à contrer l’isolement social;
Centre socioculturel Le Jubé : 64 675 $ pour le Café Web, dont le but est de favoriser notamment le développement des compétences numériques des personnes aînées;
Comité de l’avenir de Saint-Cléophas : 41 847 $ pour le projet Couture et tricot visant à contrer l’isolement social;
ACEF de la Péninsule : 135 910 $ pour le projet Littératie financière pour les personnes aînées;
Association sportive de Saint-Cyprien : 39 070 $ pour le projet Entr’aînés, qui a pour but de soutenir la participation des personnes aînées à la vie sociale et récréative;
École de musique Alain Caron (ÉMAC) : 240 035 $ pour le déploiement des ateliers culturels et musicaux pour personnes aînées de Kamouraska, de Rivière-du-Loup, du Témiscouata et des Basques
Une aide financière totalisant près de 875 000 $ est ainsi accordée à la région du Bas-Saint-Laurent pour le soutien de ces huit projets.
Dans le cadre de la Journée mondiale de lutte contre la maltraitance envers les personnes aînées, qui a lieu ce dimanche 15 juin, le CISSS du Bas-Saint-Laurent met de l’avant des initiatives du Comité d’action contre la maltraitance envers les personnes aînées de Rimouski-Neigette (CAMPA).
En effet, le CAMPA de Rimouski-Neigette s’associe cette année au milieu scolaire afin de favoriser des liens positifs entre des jeunes et des personnes aînées. Ainsi, des élèves de l’école du Boisé-des-Prés
Dans le cadre de la Journée mondiale de lutte contre la maltraitance envers les personnes aînées, qui a lieu ce dimanche 15 juin, le CISSS du Bas-Saint-Laurent met de l’avant des initiatives du Comité d’action contre la maltraitance envers les personnes aînées de Rimouski-Neigette (CAMPA).
En effet, le CAMPA de Rimouski-Neigette s’associe cette année au milieu scolaire afin de favoriser des liens positifs entre des jeunes et des personnes aînées. Ainsi, des élèves de l’école du Boisé-des-Prés de Rimouski rendront visite à des personnes aînées dans les résidences Saint-Louis et La Roseraie ce vendredi.
De pareilles activités ont aussi eu lieu plus tôt cette semaine à la résidence L’Héritage à Saint-Anaclet avec des élèves de l’école des Sources et au Domaine des érables à St-Fabien avec des élèves de l’école de l’Écho-des-Montagnes.
L’intention est de miser sur des rencontres positives entre les générations pour créer des milieux de vie exempt d’âgisme et d’exclusion sociale.
Contrer la maltraitance
Depuis 2004, les membres du CAMPA planifient et organisent des activités d’information et de sensibilisation auprès de la population. Il regroupe des organismes du milieu, soucieux de travailler à contrer la maltraitance envers les personnes aînées et à promouvoir la bientraitance.
Rappelons que la maltraitance peut prendre plusieurs formes. Elle peut être psychologique, physique, sexuelle, organisationnelle, matérielle ou financière. Elle peut aussi impliquer de l’âgisme ou la violation des droits.
Plusieurs ressources sont également offertes aux personnes victimes de maltraitance :
Ligne aide Maltraitance Adultes Ainés (LAMAA) 1 888-489-2287;
Info-social (811, option 2);
Centre d’assistance et d’accompagnement aux plaintes – Bas-Saint-Laurent : 1 877-767-2227;
Commissaire aux plaintes et à la qualité des services 1 844 255-7568;
La Ville de Rimouski informe la population que le bris majeur d’aqueduc à la conduite principale en eau alimentant l’ouest de la ville – pour lequel la Ville demandait à la population de limiter sa consommation d’eau potable au strict minimum – est maintenant réparé.
Afin de permettre un remplissage complet des réservoirs au cours de la journée, les citoyens sont invités à reprendre progressivement l’utilisation de l’eau potable, autant pour les usages intérieurs qu’extérieurs.
Aucun avis
La Ville de Rimouski informe la population que le bris majeur d’aqueduc à la conduite principale en eau alimentant l’ouest de la ville – pour lequel la Ville demandait à la population de limiter sa consommation d’eau potable au strict minimum – est maintenant réparé.
Afin de permettre un remplissage complet des réservoirs au cours de la journée, les citoyens sont invités à reprendre progressivement l’utilisation de l’eau potable, autant pour les usages intérieurs qu’extérieurs.
Aucun avis d’ébullition n’est en vigueur.
La Ville remercie les citoyens pour leur collaboration pendant cette période de travaux et invite la population à une consommation responsable de l’eau potable tout au long de la période estivale.
Le dossier concernant le retour d’un service de traversier entre Rimouski et Forestville pourrait connaitre des développements imminents.
Les Industries Rilec de Rimouski ont adressée une invitation aux médias pour participer à une conférence de presse, ce lundi 16 juin à 10 h à l’Hôtel Rimouski, précise que le président de l’entreprise, Louis-Olivier Carré.
Il prendra la parole en compagnie de Stéphane Blouin, du Cabinet comptable Blouin, au sujet d’un « projet de relance de la traverse
Le dossier concernant le retour d’un service de traversier entre Rimouski et Forestville pourrait connaitre des développements imminents.
Les Industries Rilec de Rimouski ont adressée une invitation aux médias pour participer à une conférence de presse, ce lundi 16 juin à 10 h à l’Hôtel Rimouski, précise que le président de l’entreprise, Louis-Olivier Carré.
Il prendra la parole en compagnie de Stéphane Blouin, du Cabinet comptable Blouin, au sujet d’un « projet de relance de la traverse entre Rimouski et Forestville. »
Insatisfaite du service offert par le CNM Évolution, la SOPER et la Société d’économie et de développement de Forestville avaient lancé un appel d’intérêt, l’hiver précédant, pour trouver un armateur et monter une corporation à but non lucratif pour un nouveau service que l’on espérait lancer en avril de la même année, mais ce ne fut pas le cas.
En mars dernier, il avait été rapporté que le service de traverse ne serait pas de retour avant 2027.
La mairesse de Forestville, Micheline Anctil, avait expliqué que ce dossier de grande importance nécessitait des années de travail et que les deux municipalités souhaitaient rétablir un service durable, sécuritaire et d’une grande fiabilité aux utilisateurs.
(Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Elle avait ajouté que le travail avançait bien, mais qu’il était trop tôt pour annoncer quoi que ce soit.
Plus récemment, à la fin du mois de mai, des rassemblements aux quais de Rimouski et de Forestville ont été tenus afin de manifester l’intérêt de la clientèle en faveur de la relance.
La porte d’entrée de la Gaspésie, Sainte-Flavie, dévoile sa programmation estivale 2025, qui comportera plusieurs événements artistiques et festifs, du 20 juin au 18 août.
Musique, art visuel, patrimoine et activités sportives seront au rendez-vous sur l’ensemble des sites municipaux.
Le Marché public de La Mitis a débuté sa 18e saison à Sainte-Flavie, le samedi 7 juin dernier. Elle se poursuivra jusqu’au 11 octobre, de 9 h à 13 h, sur le terrain voisin du centre municipal.
Le Marché, l
La porte d’entrée de la Gaspésie, Sainte-Flavie, dévoile sa programmation estivale 2025, qui comportera plusieurs événements artistiques et festifs, du 20 juin au 18 août.
Musique, art visuel, patrimoine et activités sportives seront au rendez-vous sur l’ensemble des sites municipaux.
Le Marché public de La Mitis a débuté sa 18e saison à Sainte-Flavie, le samedi 7 juin dernier. Elle se poursuivra jusqu’au 11 octobre, de 9 h à 13 h, sur le terrain voisin du centre municipal.
Le Marché, lors d’une édition précédente. (Photo courtoisie – Marché public de La Mitis)
« Cette année, nous avons plusieurs nouveautés à vous offrir, notamment dans les légumes. Il y aura des légumes transformés, qui n’étaient pas disponibles l’an dernier. Il y aura entre autres des huiles végétales, aromatisées, qui vont sûrement beaucoup plaire à plusieurs, parce qu’il y aura énormément de choix », indique le coordonnateur du Marché public de La Mitis, François Mercier.
Pour en savoir plus au fil des semaines sur les produits et les exposants, consultez la page Facebook du Marché.
Fête nationale
Dès 16 h, le mardi 24 juin au quai, Sainte-Flavie célébrera la Fête nationale, avec un souper de BBQ sur la route, suivi d’une soirée musicale animée par les chansonniers Mathieu Lavoie et Tom Gagnon. Un service de bar sera offert sur place.
Le chansonnier Tom Gagnon (Photo courtoisie)
Un discours patriotique et un hommage au drapeau seront effectués par le maire de la municipalité, Jean-François Fortin, ainsi que le député Pascal Bérubé.
Le feu de joie sera allumé entre 20 h 30 et 21 h. Les citoyens de la municipalité sont invités à décorer leurs maisons et leurs commerces aux couleurs du Québec.
Notons qu’en cas de pluie, le spectacle sera déplacé à la grande salle de l’édifice municipal, qui se situe au 775, rue Flavie-Drapeau.
Les jeudis soir Ô Quai
Chaque jeudi de 19 h à 20 h 30, du 19 juin au 7 août, les citoyens sont invités à vibrer au rythme de la musique locale en bordure du fleuve. Encore une fois, en cas de pluie, les événements se tiendront dans la grande salle municipale. Les spectacles sont gratuits.
Programmation musicale
19 juin : Les Cousins
26 juin : Trio Karma
3 juillet : Jérôme Corbin
10 juillet : Nelson Ross
17 juillet : Stéphane Cyr
24 juillet : Groupe That Hits
31 juillet : Dany Bélanger
7 août : Yannick Gagnon et ses musiciens
Les spectacles seront précédés d’une activité « Yoga ô quai », donnée par l’enseignante de yoga certifiée, Tamara Roy-Stang. Cette initiative gratuite propose des séances de yoga en plein air, tous les jeudis du 19 juin au 31 juillet, de 17 h 30 à 18 h 30.
Symposium d’Artistes en Fête
Du 24 au 27 juillet se tiendra le symposium d’Artistes en Fête. Les heures d’ouverture sont du jeudi au samedi de 10 h à 17 h 30 et le dimanche de 10 h à 16 h 30. Plus de 40 artistes peintres et sculpteurs provenant des quatre coins du Québec exposeront dans les petites galeries d’art ainsi que dans 6 pavillons de jardin aménagés entre la Galerie d’Art du Vieux Presbytère et la Grange à Dîme au cœur de la municipalité.
Les artistes se verront offrir six bourses pour différentes catégories. De plus, tous ont été invités à créer une œuvre sur le thème « Histoires de Pêche ».
Vous pourrez tout au long du symposium apprécier leur talent et discuter avec eux sur la façon dont ils interprètent leur médium et les voir à l’œuvre. Les bourses seront remises lors de la soirée du samedi soir. L’artiste invitée d’honneur est Manon Tétreault.
Le symposium « Artistes en fête » de Sainte-Flavie (Photo courtoisie)
« Beaucoup d’artistes vont aussi exécuter des œuvres sur place. Ce sera l’occasion de leur poser des questions, d’échanger avec eux et de les rencontrer. Les artistes sont très généreux et ils ont plusieurs conseils à partager, donc ce sera le temps d’en apprendre sur la création artistique », mentionne la présidente d’Artistes en Fête, madame Nina Dussault.
Programmation en rafale
La Galerie d’art au Vieux Presbytère sera ouverte tous les jours, de 10 h à 18 h, du 23 juillet au 3 août. L’entrée est gratuite.
L’artiste Manon Tétrault exposera ses œuvres pendant cette période. Un vernissage de l’exposition de madame Tétrault aura lieu le vendredi 25 juillet 2025 à 14h à la Galerie d’Art du Vieux Presbytère situé au 505, Rte de la Mer. L’entrée est gratuite. La Galerie sera cependant fermée les 28 et 29 juillet.
La Grange à dîme sera ouverte tous les jours, de 10 h à 18 h, du 22 juin au 9 août. L’entrée est gratuite. Une exposition sur le patrimoine militaire de La Mitis, la dîme et les pêcheries y sera présentée.
Deux grands bazars, organisés par la Commission des sports et loisirs de Sainte-Flavie, auront lieu le 21 juin et le 6 septembre de 9 h à 15 h, dans le stationnement de l’édifice municipal. 30 tables seront disponibles, chacune au coût de 25 $.
La Fête des récoltes se tiendra le samedi 6 septembre dès 11 h. Organisée en collaboration avec le marché public, une grande épluchette de maïs se tiendra près de la Grange à dîme. En cas de pluie, l’événement aura lieu dans la grande salle municipale.
Horaire estival – Surfaces sportives – Du 1er juin au 7 septembre
Dek hockey : tous les jours jusqu’à 22 h (dimanches jusqu’à 19 h)
Ligue intermunicipale : mardis 3, 17 juin; 1er, 15, 29 juillet; 12, 26 août (19 h – 21 h)
Pickleball : lundis, mardis et jeudis jusqu’à 22 h Ligue : mêmes jours (13 h – 16 h)
Basketball : mercredis, vendredis, samedis et dimanches jusqu’à 22 h
Les surfaces sont accessibles librement lorsqu’aucune activité de ligue n’est en cours. Le matériel est disponible sur place.
L’équipe de La Ressource d’aide aux personnes handicapées invite la population du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie à la 4e édition de La Journée du Bizz Glacé, qui se déroulera le samedi 14 juin prochain.
Pendant cette journée, la population, pourra se procurer un cornet « Bizz » dans plusieurs bars laitiers du vaste territoire desservi par l’organisme. Les entreprises participantes verseront, à la Ressource, 1 $ par cornet Bizz vendu. Chaque dollar reçu aidera La Ressource à améliorer le
L’équipe de La Ressource d’aide aux personnes handicapées invite la population du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie à la 4e édition de La Journée du Bizz Glacé, qui se déroulera le samedi 14 juin prochain.
Pendant cette journée, la population, pourra se procurer un cornet « Bizz » dans plusieurs bars laitiers du vaste territoire desservi par l’organisme. Les entreprises participantes verseront, à la Ressource, 1 $ par cornet Bizz vendu. Chaque dollar reçu aidera La Ressource à améliorer le quotidien des personnes handicapées d’ici et de leur famille. Toutes les sommes amassées lors de la Journée du Bizz Glacé sont directement réinvesties en services à nos membres.
Les participants
À ce jour, 23 bars laitiers ont accepté de participer à la campagne de financement. D’autres entreprises pourraient s’ajouter d’ici l’événement. Suivez les réseaux sociaux de La Ressource ou consultez son site web pour une liste à jour.
En date du 9 juin 2025, les bars laitiers participants sont :
(Kamouraska – Rivière-du-Loup – Témiscouata – Les Basques)
Snack Bar D’Amours 47, boulevard Cartier, Rivière-du-Loup
Crèmerie du Potager 160, route 132 Ouest, L’Isle-Verte
Le Blizzaroïde Bar laitier givré 560, rue Hudon, Saint-Pascal ET 220, Route 132, Rivière Ouelle
Les petits bonheurs de Marguerite 693, route 289, Saint-Alexandre-de-Kamouraska
Bar laitier de la Fromagerie Le Détour 120, rue Commerciale Nord, Témiscouata-sur-le-Lac
Bar Laitier Fromagerie des Basques 69, route 132, Notre-Dame-des-Neige
(Gaspésie (Côté Nord, Gaspé)
La Banquise 102, boulevard Gaspé, Gaspé
Dépanneur Cotton 201 Montée de Rivière-Morris, Gaspé
Cantine bar laitier le mini 967, avenue du Phare Ouest,
(Matane Rimouski-Neigette – Mont-Joli – Vallée de la Matapédia)
Péchés Mignons 119, rue Saint-Germain Ouest, Rimouski
Bar laitier aux Petits Délices 2-210, boul. St-Benoit Ouest, Amqui
La Crème Folle 16, rue Saint-Germain Est, Rimouski
Les Petits Plaisirs Glacés 126, rue Saint-Jacques Nord, Causapscal
Bar laitier Ashini 228, route 132 Ouest, Sainte-Luce
Cantine et bar laitier Sainte-Odile 328, montée Sainte-Odile, Rimouski
Bar laitier Au Délice 1, rue du Manoir, Saint-Fabien
La Machine à Glace 1660, boulevard Gaboury, Mont-Joli
Cantine Fortier 320, boul. St-Benoît Ouest, Amqui
Maison Lou 1, rue Keable, Sayabec
Naufrage & Cie 471, route de la Mer, Ste-Flavie
(Baie-des-Chaleurs)
Cantine Le Panier à Frites 153, boulevard Perron Est, New Richmond
Cantine Mam’Zelle Maria 597, boulevard Perron, Maria
Churros & Crème glacé 482, boul. Perron, Carleton sur Mer
(Photo Unsplash.com – crédit : Mark Cruz)
Rappelons que La Ressource d’aide aux personnes handicapées du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine est un organisme à but non lucratif, voué à l’intégration sociale des personnes vivant avec un handicap dans toutes les sphères de l’activité humaine.
Les services d’urgences ont été appelés lundi (10 juin), vers à 17 h, pour le sauvetage d’un jeune homme au Dynamo de Rimouski. Les pompiers, les ambulanciers et les policiers se sont rendus sur place.
« L’appel concernait un sauvetage terrestre, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un sauvetage dans un milieu plus isolé. De ce que j’ai reçu comme informations ce matin, c’est l’équipe de sauvetage verticale, de la Ville de Rimouski, qui a été mise à contribution », indique le chef aux opérations du Se
Les services d’urgences ont été appelés lundi (10 juin), vers à 17 h, pour le sauvetage d’un jeune homme au Dynamo de Rimouski. Les pompiers, les ambulanciers et les policiers se sont rendus sur place.
« L’appel concernait un sauvetage terrestre, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un sauvetage dans un milieu plus isolé. De ce que j’ai reçu comme informations ce matin, c’est l’équipe de sauvetage verticale, de la Ville de Rimouski, qui a été mise à contribution », indique le chef aux opérations du Service incendie de la Ville de Rimouski, Marc-Olivier Bilodeau.
« Nous n’avons pas eu à monter en niveau d’alarme, donc l’équipe en devoir avait les ressources suffisantes pour intervenir. »
Pas de blessures graves
Monsieur Bilodeau n’était pas en fonction au moment des faits, mais selon les informations verbales qu’il a pu recevoir, le jeune homme secouru n’a pas subi de blessures graves.
Le chef aux opérations ajoute que pour accéder au jeune homme blessé, l’équipe de sauvetage a dû découper le grillage que la Ville avait installé pour empêcher ses citoyens de grimper aux abords du pont.
Le ministre de la Sécurité publique, François Bonnardel, octroie 1,5 M$ à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) afin de soutenir la recherche scientifique et protéger la population du Québec face à l’érosion et à la submersion côtières.
Ces sommes serviront pour la phase deux d’un projet intitulé « Programme de suivi environnemental de recharges de plage dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent. »
Le financement de 1,5 M$, échelonné de 2025-2026 à 2026-2027, provient des crédits bud
Le ministre de la Sécurité publique, François Bonnardel, octroie 1,5 M$ à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) afin de soutenir la recherche scientifique et protéger la population du Québec face à l’érosion et à la submersion côtières.
Ces sommes serviront pour la phase deux d’un projet intitulé « Programme de suivi environnemental de recharges de plage dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent. »
Le financement de 1,5 M$, échelonné de 2025-2026 à 2026-2027, provient des crédits budgétaires du ministère de la Sécurité publique. Il vise à évaluer les solutions d’adaptation liées à l’érosion et à la submersion côtières et à en faire le suivi.
Documenter les recharges de plage
Les recherches de l’UQAR permettront de documenter le comportement et l’évolution de la recharge de plage comme mesure de protection, de déterminer les conditions météo marines explicatives des changements morphosédimentaires de la plage qui ont été observés et de faire des constats sur les effets potentiels de ces changements sur la zone environnante.
(Photo journallesoir.ca- archives)
Ces travaux s’effectueront sur les sites des Îles-de-la-Madeleine, de Percé, de Maria, de Sainte-Luce, de Sainte-Flavie, de Pointe-aux-Outardes, de Tadoussac et de L’Isle-aux-Coudres.
À l’écoute des enjeux du milieu
Le recteur de l’Université, François Deschênes, voit ce soutien financier comme une occasion de poursuivre le travail entamé par l’UQAR.
« L’UQAR, bien ancrée dans les régions maritimes du Québec, a toujours été à l’écoute des enjeux du milieu, comme en témoignent de nombreuses recherches réalisées en ses murs. Au fil du temps, elle a développé une expertise de pointe portant sur les aléas côtiers, en grande partie grâce à la Chaire de recherche en géoscience côtière. Forts du soutien financier annoncé, nous sommes fiers de pouvoir poursuivre sur cette lancée et de servir la collectivité en faisant bénéficier les régions du Québec touchées par les changements climatiques à la fois de cette expertise et des nouvelles connaissances qui seront développées. »
Approfondir le travail
Pascal Bernatchez, professeur à l’UQAR, titulaire de la Chaire de recherche en géoscience côtière et directeur du Laboratoire de dynamique et de gestion intégrée des zones côtières, abonde dans le même sens.
« Grâce à ce financement, le laboratoire pourra approfondir l’étude du comportement des recharges de plage et mesurer leur efficacité en tant que mesure de protection contre l’érosion et la submersion côtières. Cela fait déjà plusieurs années que nous collaborons étroitement avec le MSP dans le cadre de la Chaire de recherche en géoscience côtière de l’Université du Québec à Rimouski. »
Le professeur Bernatchez estime que le travaille, en synergie avec les communautés locales et les partenaires institutionnels, aide à approfondir les recherches sur les dynamiques côtières et à développer des solutions concrètes.
« Ce projet s’inscrit pleinement dans la mission de notre laboratoire, qui vise à renforcer la résilience de notre territoire face aux changements climatiques en cours. Son soutien contribuera également au maintien des engagements didactiques de notre établissement en formant la prochaine génération de chercheurs et de professionnels engagés dans la protection de nos milieux de vie. »
L’organisme communautaire Accueil-Maternité tiendra une marche poussette intergénérationnelle, le samedi 21 juin prochain, de 9 h à 12 h au parc Lepage de Rimouski.
L’objectif de cet événement est de célébrer les liens entre les générations, tout en récoltant des fonds qui soutiendront l’organisme dans sa mission, qui est notamment de briser l’isolement des mères, en période périnatale.
« Ça peut être très isolant de devenir maman. C’est aussi très exigeant. Ici, à l’Accueil, on vise à of
L’organisme communautaire Accueil-Maternité tiendra une marche poussette intergénérationnelle, le samedi 21 juin prochain, de 9 h à 12 h au parc Lepage de Rimouski.
L’objectif de cet événement est de célébrer les liens entre les générations, tout en récoltant des fonds qui soutiendront l’organisme dans sa mission, qui est notamment de briser l’isolement des mères, en période périnatale.
« Ça peut être très isolant de devenir maman. C’est aussi très exigeant. Ici, à l’Accueil, on vise à offrir aux mamans du répit et du soutien », mentionne la directrice générale de l’organisme, Élodie Christel, qui, en tant que mère, a aussi bénéficié des services de l’Accueil.
Espace unique
Le centre est donc un lieu où les mères peuvent se rencontrer, recevoir de l’aide des bénévoles et prendre part aux activités qui sont proposées. Accueil-Maternité a aussi un volet dédié aux dons, qui servent aux familles dans le besoin.
Des bébés de l’Accueil-Maternité (Photo courtoisie MJohn Destin)
« Tout est gratuit, mais dans la vraie vie, rien ne l’est : tout se finance et Accueil-Maternité est un organisme unique, qui n’existe nulle part ailleurs. C’est très précieux et il faut que ça perdure. Il y a donc cette volonté de faire une levée de fond pour cette raison, mais au-delà de ça, on souhaite faire rayonner ses valeurs intergénérationnelles au sein de la population », indique madame Christel.
Atteindre 20 000$
L’événement du 21 juin est gratuit et plusieurs types d’activités seront proposés à ses participants. La Fée Binette et l’entreprise Les Fêtes d’Hugo seront entre autres de la partie. La levée de fonds se fait sur une base volontaire. L’objectif est d’amasser 50 $ par participant ou par équipe. Au moment d’écrire ces lignes, plus de 60 % de l’objectif total de 20 000 $ a été atteint.
Il est demandé de s’inscrire, afin de permettre au comité organisateur d’ajuster la logistique de l’événement.
Pour tous les détails, visiter le site internet d’Accueil-Maternité (accueilmaternite.ca).
La Municipalité de Sainte-Luce a récemment procédé au lancement officiel du projet « Grandir avec son arbre », une initiative du conseil municipal destinée aux enfants de la maternelle.
L’objectif du projet consiste à créer un lien durable entre les tout-petits et la nature, en leur offrant chacun un arbre à planter et à entretenir, qui sera identifié à leur nom.
Ce projet, à la fois éducatif et porteur de sens, vise à sensibiliser les enfants à l’importance de l’environnement, à encourag
La Municipalité de Sainte-Luce a récemment procédé au lancement officiel du projet « Grandir avec son arbre », une initiative du conseil municipal destinée aux enfants de la maternelle.
L’objectif du projet consiste à créer un lien durable entre les tout-petits et la nature, en leur offrant chacun un arbre à planter et à entretenir, qui sera identifié à leur nom.
Ce projet, à la fois éducatif et porteur de sens, vise à sensibiliser les enfants à l’importance de l’environnement, à encourager leur sens des responsabilités et à éveiller leur curiosité face au monde vivant.
Chaque enfant a pu planter son arbre, accompagné de son enseignante, du personnel municipal, de Micheline Barriault, mairesse, de Victor Carrier, conseiller, et de Marie Côté, conseillère.
Célébration communautaire à venir
Les familles et les citoyens de la municipalité sont invités à souligner ce projet lors d’une célébration publique, qui se tiendra dans le cadre de la Fête des voisins, ce samedi 7 juin, au Pavillon des Loisirs de Luceville, à partir de midi.
(Photo Facebook -Municipalité de Sainte-Luce)
Ce sera l’occasion de découvrir les arbres plantés, de partager un moment en famille, et de participer à des activités, organisées tout au long de l’après-midi.
Engagement municipal envers les tout-petits
Ce projet s’inscrit dans la démarche Municipalités amies des tout-petits, à laquelle adhère Sainte-Luce.
« Nous croyons profondément que ce projet contribuera à rapprocher les enfants de la nature, à leur donner le goût d’en prendre soin et à semer dès maintenant les graines de leur engagement envers l’environnement… un arbre à la fois », souligne Micheline Barriault, instigatrice du projet.
Le Chœur de La Mitis invite la population à son concert printanier mixte, qui se tiendra demain, le samedi 7 juin 2025 à 19 h, à l’église La Bible Parle de Mont-Joli.
Il s’agit du deuxième concert printanier tenu par le Chœur, qui est né après la dissolution de l’ensemble vocal Bérard Dupéré et ses amiEs, l’an dernier. Cette nouvelle chorale compte une quinzaine de membres.
Le concert de samedi
« Nous allons présenter un concert mixte : cela signifie que les chansons ont été sélection
Le Chœur de La Mitis invite la population à son concert printanier mixte, qui se tiendra demain, le samedi 7 juin 2025 à 19 h, à l’église La Bible Parle de Mont-Joli.
Il s’agit du deuxième concert printanier tenu par le Chœur, qui est né après la dissolution de l’ensemble vocal Bérard Dupéré et ses amiEs, l’an dernier. Cette nouvelle chorale compte une quinzaine de membres.
Le concert de samedi
« Nous allons présenter un concert mixte : cela signifie que les chansons ont été sélectionnées par les sollistes, en fonction de ce qu’ils souhaitent interpréter. Ainsi, personne ne se fait imposer de chanson et ça se reflète évidemment dans la qualité du spectacle », témoigne le directeur général du Chœur, Bérard Dupéré.
Le spectacle de samedi sera aussi accompagné d’un concours.
« Il y a une chanson à l’intérieur du répertoire – qui compte 18 ou 19 pièces – que j’ai demandé, à une personne inconnue, d’identifier. Lors du concert, une personne sera choisie au hasard. Elle aura alors la possibilité de choisir une chanson. Si elle choisit la chanson mystère, elle remportera un prix de 1000 $. »
Bérard Dupéré. (Photo courtoisie)
Si monsieur Dupéré a remarqué que moins de gens assistent aux concerts du Chœur au fil des années, il demeure que la chorale peut compter sur l’admiration d’encore beaucoup de gens.
« Les gens nous en parlent. Ils nous disent qu’ils étaient présents l’an dernier et que c’était vraiment beau. Dans ces cas-là, on fait ce qu’il faut pour présenter un concert qui soit aussi beau que celui de l’année précédente. Cette année, nous aurons aussi de belles pièces. Nous ferons un hommage à un chanteur français, Herbert Léonard, qui est décédé. Dans nos concerts, on fait aussi chanter le public. C’est important pour nous de le faire, ça nous démontre que notre auditoire ne trouve pas le concert endormant et c’est une bonne chose pour nous », rigole monsieur Dupéré.
Il évoque cependant, avec sérieux, la possibilité que le nombre de personnes présentes au concert de demain, ait un impact sur la suite des activités du Chœur.
« Je n’ai pas l’intention de faire pratiquer et chanter les membres de ma chorale, pour finalement avoir un audience de 50 personnes. Je ne parle pas nécessairement d’abandonner, mais on pourra regarder pour faire un plus petit concert. »
Informations supplémentaires
Pour les personnes qui aimeraient assister au concert, mais qui n’ont pas encore fait l’achat de leur billet, rappelons que quatre points de vente ont été mis en place dans la région. Trois d’entre eux se trouvent à Mont-Joli : Uniprix Centreville, Dépanneur du Carrefour et la librairie L’Hibou-Coup. À Rimouski, le point de vente se situe à la librairie L’Alphabet.
Monsieur Dupéré prévoit aussi que quelques billets seront disponibles à la porte, le soir du concert. L’admission générale est au coût de 15 $.
La Ville de Rimouski procédera, ce samedi 7 juin, à la distribution de 300 barils récupérateurs d’eau de pluie, à prix réduit.
Les résidents de Rimouski pourront se rendre dès 9 h, samedi, à l’édifice du Service des travaux publics (475, 2e Rue Est) pour la distribution. Les barils, qui sont d’une valeur de 85 $, seront disponibles au coût de 30 $ chacun. Ils seront distribués selon la formule du premier arrivé, premier servi.
Fonctionnement de la distribution
Comme la distribution s’a
La Ville de Rimouski procédera, ce samedi 7 juin, à la distribution de 300 barils récupérateurs d’eau de pluie, à prix réduit.
Les résidents de Rimouski pourront se rendre dès 9 h, samedi, à l’édifice du Service des travaux publics (475, 2e Rue Est) pour la distribution. Les barils, qui sont d’une valeur de 85 $, seront disponibles au coût de 30 $ chacun. Ils seront distribués selon la formule du premier arrivé, premier servi.
Fonctionnement de la distribution
Comme la distribution s’adresse aux résidents de la Ville, une preuve de résidence sera demandée sur place. De plus, un seul baril sera vendu par adresse. Il sera possible de payer en argent comptant, par carte de crédit ou de débit. Il est toutefois demandé de privilégier l’argent comptant pour faciliter le déroulement de la distribution.
Noter qu’aucune réservation ne peut être faite.
Pour plus de renseignements sur la distribution des barils récupérateurs d’eau de pluie, communiquez avec la Division environnement au 418 724-3197.
Les policiers de la Sûreté du Québec ont procédé à une perquisition dans un immeuble situé dans le secteur de la rue Belzile à Rimouski, le 5 juin dernier vers 18 h.
La perquisition a permis de saisir 15 grammes de cocaïne, 70 comprimés de méthamphétamine, 25 comprimés de médicament d’ordonnance, 25 grammes sous différente forme de cannabis, 85 comprimés s’apparentant à des stéroïdes, 35 comprimés à identifier, plus de 2000$ en argent canadien, une arme prohibée (taser) et divers équipements
Les policiers de la Sûreté du Québec ont procédé à une perquisition dans un immeuble situé dans le secteur de la rue Belzile à Rimouski, le 5 juin dernier vers 18 h.
La perquisition a permis de saisir 15 grammes de cocaïne, 70 comprimés de méthamphétamine, 25 comprimés de médicament d’ordonnance, 25 grammes sous différente forme de cannabis, 85 comprimés s’apparentant à des stéroïdes, 35 comprimés à identifier, plus de 2000$ en argent canadien, une arme prohibée (taser) et divers équipements servant au trafic de stupéfiants.
Une femme de 31 ans ainsi qu’un homme de 22 ans de la région ont été arrêtés sur place par les policiers. Ils ont été libérés pour la suite des procédures.
Ils pourraient faire face à des accusations en lien avec la possession ainsi que le trafic de stupéfiants.
Notons qu’il s’agit de l’information reçue du public qui a permis aux policiers de mener à terme cette opération.
Pour communiquer de l’information
La Sûreté du Québec rappelle que toute information relative au trafic de stupéfiants peut être communiquée en tout temps, de façon confidentielle, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1-800 659-4264.
Nicolas Cyr et sa famille reviennent au Québec après un périple de 10 mois, au cours duquel ils ont vécu sur un voilier, La Gaspésienne, et ont vogué sur les eaux des Antilles françaises.
L’équipage de La Gaspésienne se constituait de monsieur Cyr, de sa conjointe Marie-Claude Brulotte, de leurs trois enfants, Didier, Maurice et Odile et de leur chienne Nelson, qui vivent à Gaspé.
Tout a commencé lorsque la famille a pris une année sabbatique et a procédé à l’achat du bateau, à Grenade, au
Nicolas Cyr et sa famille reviennent au Québec après un périple de 10 mois, au cours duquel ils ont vécu sur un voilier, La Gaspésienne, et ont vogué sur les eaux des Antilles françaises.
L’équipage de La Gaspésienne se constituait de monsieur Cyr, de sa conjointe Marie-Claude Brulotte, de leurs trois enfants, Didier, Maurice et Odile et de leur chienne Nelson, qui vivent à Gaspé.
Tout a commencé lorsque la famille a pris une année sabbatique et a procédé à l’achat du bateau, à Grenade, au sud des Antilles.
La famille a navigué dans les Antilles. (Photo courtoisie)
« Notre objectif était de remonter l’arche antillaise, donc toutes les îles françaises, soit la Martinique, Guadeloupe, Saint-Martin et de continuer la navigation dans la section caraïbe, vers Porto Rico, pour ensuite se diriger vers les Bahamas. Nous avons rejoint la Floride, il y a environ un mois », raconte Nicolas Cyr.
Passion de la mer
Ce qui a motivé la famille à entreprendre un tel projet a été son amour de la mer.
« On est des passionnés de la mer. En vivant à Gaspé, les enfants font la petite école de voile. On a toujours fait de l’apnée, de la pêche. Nous avons des enfants qui sont passionnés de pêche, donc oui, la navigation à voile est quelque chose qui nous passionne, mais tout ce qui l’accompagne nous passionne autant : le milieu marin, la pêche, la chasse sous-marine, les récifs de corail, le voyage et l’aventure. Donc il y a la navigation, mais il y a aussi la vie de bateau. Tu peux vivre sur ton bateau, sans jamais bouger. Autour, tout est fantastique et comble toutes tes attentes », explique monsieur Cyr.
Paradis partagé
Si vivre sur un voilier pendant plusieurs mois peut sembler ardu pour le commun des mortels, ce n’est pas quelque chose qui a causé des difficultés à l’équipage de La Gaspésienne.
La famille a vécu pleinement sa passion de l’apnée sous-marine pendant son voyage. (Photo courtoisie)
« Lors de la première partie de notre voyage, à l’arche antillaise à Grenade et Saint-Martin, on était plusieurs familles qui avaient des enfants sur leur bateau. La distance de navigation était courte. Ça, c’était le paradis. Les enfants avaient des copains. Pendant la journée, ils pouvaient s’amuser, pêcher, faire de l’apnée et nager. Nous, on faisait les cours le matin », indique Nicolas Cyr.
Absence d’amis
La deuxième partie du voyage, en janvier, a été un peu plus difficile pour la famille.
« Certaines sont retournées dans le sud, d’autres qui ont quitté pour Panama ou d’autres endroits. De Saint-Martin à la Floride, on a été un peu seuls. Les enfants n’avaient pas d’amis, donc le côté social a été plus difficile, malgré le fait que dans les Bahamas, c’est le paradis de la pêche et des eaux cristallines. C’est bien beau être dans un paradis, mais si tu n’as personne avec qui partager et échanger, cela a quand même un impact sur l’équipage. Cela étant dit, nous avons quand même trouvé notre bonheur, jusqu’en Floride. »
Séparation crève-cœur pour la famille Cyr
En arrivant en Floride, la famille Cyr avait déjà prévu de mettre en vente La Gaspésienne. Puisque le voilier a rapidement trouvé preneur, leur épopée a été raccourcie de 12 à 10 mois.
Il n’a pas été facile pour Nicolas Cyr de se départir de La Gaspésienne. « Quand je l’ai quitté, le dernier matin, c’est sûr que j’ai eu le cœur un peu brisé. C’était comme abandonné quelque chose qui faisait partie de moi, mais on va passer au travers, ça va aller », assure monsieur Cyr.
L’observation de la faune marine était un loisir quotidien pour les Cyr. (Photo courtoisie)
La famille se console de retrouver son foyer après son aventure extraordinaire.
« Je suis partie à l’aventure, chercher autre chose et je reviens dans quelque chose que j’aime et dans lequel je suis bien. Toute la famille a hâte de retrouver la maison et nos amis, donc ça va faire du bien », affirme le madelinot d’origine.
Conseils pour les intéressés
Pour ceux qui souhaiteraient entreprendre un voyage de la même envergure, Nicolas Cyr conseille de ne pas négliger les préparations qui doivent accompagner un périple.
« C’est bien beau de vivre ses rêves, mais il faut rester très éveillé pour le mettre en marche et il faut rester conscient de ce qu’on fait pour faire de son rêve une réalité. C’est un peu comme un plan d’affaire : il y a une planification financière, il y a des choses à aller chercher, à savoir et à planifier, surtout dans la navigation. »
Il précise aussi qu’avoir de l’expérience avec les bateaux est un élément primordial.
« J’ai quand même une bonne expérience de navigation. J’ai fait ça un peu toute ma vie. J’ai mis les pieds sur un bateau alors que j’étais très jeune aux Îles-de-la-Madeleine. J’ai été instructeur de voile. Ce projet-là, on le construisait depuis déjà un petit bout de temps, mais non, je ne recommande pas particulièrement à quelqu’un qui n’a jamais mis les pieds sur un bateau, de partir de cette façon, sans expérience. Il y a quand même des enjeux de sécurité importants. J’ai rencontré différents voyageurs qui quittaient par surdose de travail et de vie quotidienne. Ce n’était pas mon cas. »
La mairesse d’Amqui, Sylvie Blanchette, confirme qu’elle sollicitera un deuxième mandat à la mairie d’Amqui, lors des élections municipales qui auront lieu en novembre prochain.
Cette décision est le fruit d’une longue réflexion entreprise par madame Blanchette.
« En politique, les mandats sont d’une durée de quatre ans. On doit donc faire le bilan de ces dernières années : qu’est-ce qui s’est passé? Est-ce que c’était long? Est-ce que ça s’est bien passé? On dédie quatre ans de nos vies
La mairesse d’Amqui, Sylvie Blanchette, confirme qu’elle sollicitera un deuxième mandat à la mairie d’Amqui, lors des élections municipales qui auront lieu en novembre prochain.
Cette décision est le fruit d’une longue réflexion entreprise par madame Blanchette.
« En politique, les mandats sont d’une durée de quatre ans. On doit donc faire le bilan de ces dernières années : qu’est-ce qui s’est passé? Est-ce que c’était long? Est-ce que ça s’est bien passé? On dédie quatre ans de nos vies aux gens qu’on représente et je devais d’abord déterminer si j’étais prête à donner 100 % de moi-même à la population d’Amqui et la réponse est oui. Je veux être là pour défendre les dossiers, mais je voulais aussi prendre le temps de bien y réfléchir. »
Elle précise que les événements du 13 mars 2023 n’ont pas contribué à la faire hésiter.
« Ce qui est arrivé le 13 mars 2023 ne m’a pas fait douter, parce qu’il s’agit d’un événement isolé. Quand c’est arrivé, j’étais là pour la population d’Amqui. J’ai répété aux gens que la ville d’Amqui demeurait un lieu sécuritaire où il fait bon vivre et que ce qui est arrivé demeure un événement isolé. On ne pensait pas vivre ça à Amqui, mais c’est arrivé, une fois. Je veux donc continuer d’être là pour les gens et leur rappeler que notre ville est belle. »
Améliorer Amqui
Madame Blanchette rapporte que du travail a été amorcé à la mairie, dans le but précis d’améliorer la ville.
« Nous avons fait faire une étude de la rue Dupont, afin de savoir de quelle façon cette rue pourrait être rénovée, notamment pour encourager les commerçants qui s’y trouvent. »
Ses plans de deuxième mandat
Parmi les projets auxquelles elle voudrait prendre part, madame Blanchette mentionne entre autres les travaux qui seront faits à l’aréna d’Amqui. Rappelons cependant que la nature de ces travaux se précisera, une fois que le carnet de santé de l’établissement sera effectué.
Sylvie Blanchette et les membres du conseil municipal de la ville d’Amqui (Photo Ville d’Amqui)
« Il est aussi prévu qu’un plan directeur de nos parcs et de nos espaces verts soit fait, afin de produire un inventaire de ce que nous avons à Amqui et pouvoir déterminer dans quels états se trouvent ces éléments. C’est quelque chose qui nous orientera dans notre développement et qui nous permettra de répondre aux besoins des gens, que ce soit avec d’autres plateaux sportifs ou d’un ajout plus culturel. Il y a plusieurs façons de se développer. »
L’avenir du terrain où se trouve présentement l’hôtel de ville est un autre aspect que le plan directeur pourra spécifier.
« On compte aussi travailler, de sorte à inciter la construction de logements locatifs. On parle beaucoup de logement abordable, mais on doit aussi parler de logements sociaux, donc on travaille avec des organismes pour obtenir des logements sociaux à Amqui. »
Sylvie Blanchette souhaite également mettre l’accent sur l’accessibilité aux bâtiments.
« Que ce soit pour les personnes qui ont un handicap ou pour les ainés, c’est quelque chose qui doit être travaillé. Un comité accessibilité, sur lequel je siège, a été remis sur pied. On veut donc se pencher sur tout ce qui peut rendre certains endroits difficiles d’accès, que ce soit parce que les gens se promènent à l’aide d’une marchette ou parce que certaines portes sont difficiles à ouvrir », conclut la mairesse d’Amqui.
Le Centre de services animaliers de Rimouski (CSAR) a mis sur pied une initiative mobilisant plusieurs commerces de la rue St-Germain Ouest, qui acceptent les chiens en laisse dans leurs établissements, tout au long du mois de juin.
La gestionnaire de projets au CSAR, Sandrine Carrier, indique que ce projet pilote, conçu par l’équipe du refuge, vise deux objectifs.
« On est toujours à la recherche d’idées innovatrices pour récolter des fonds pour les animaux du refuge. C’était donc une be
Le Centre de services animaliers de Rimouski (CSAR) a mis sur pied une initiative mobilisant plusieurs commerces de la rue St-Germain Ouest, qui acceptent les chiens en laisse dans leurs établissements, tout au long du mois de juin.
La gestionnaire de projets au CSAR, Sandrine Carrier, indique que ce projet pilote, conçu par l’équipe du refuge, vise deux objectifs.
« On est toujours à la recherche d’idées innovatrices pour récolter des fonds pour les animaux du refuge. C’était donc une belle façon pour nous de le faire, en plus de rendre la rue Saint-Germain Ouest plus inclusive. »
En effet, les commerçants, qui prennent part à l’initiative, ont déboursé la somme de 50 $ pour recevoir une trousse contenant une gamelle, des sacs à besoin, du produit nettoyant, des essuie-tout, ainsi qu’une pancarte qui permet de les identifier comme commerce participant.
Madame Carrier ajoute que l’idée s’est mise en marche, aussi grâce au succès que connait le concept chez Fripée, la friperie du refuge.
« On s’est donc dit, pourquoi ne pas essayer un genre de projet pilote pour valider, avec les autres commerçants, si ce serait possible d’intégrer les chiens ? On pense que sa peut être bénéfique pour tout le monde, autant pour les consommateurs qui ont des chiens, que pour les commerçants. Il arrive que des gens se privent d’aller magasiner parce qu’ils ont leur chien avec eux. »
Les personnes qui souhaitent profiter de l’initiative doivent cependant respecter certaines règles : leur chien doit être propre, social et tenu en laisse, en tout temps.
Une rétrospective prévue
Comme il s’agit d’un projet pilote, il est prévu que les commerces participants soient rencontrés, une fois le mois terminé.
Une vente-trottoir sur la rue Saint-Germain Ouest. (Photo archives)
« On regardera avec eux ce qu’ils ont retenu du mois et on déterminera si c’est quelque chose qui pourrait être faisable pendant l’ensemble de la période estivale. On voudrait aussi savoir si l’expérience a été bénéfique pour eux et s’ils ont eu plus de passants avec des chiens. »
C’est d’ailleurs pour mobiliser le plus de commerçants possible que le projet se tient sur une période de 30 jours.
La lieutenante-gouverneure du Québec, l’honorable Manon Jeannote, présidait le 24 mai dernier à La Pocatière la remise des Médailles de la Lieutenante-gouverneure pour la région du Bas-Saint-Laurent.
Lors de cette cérémonie, plusieurs distinctions ont été décernées, dont la Médaille du couronnement du roi Charles III, remise à 14 citoyens bas-laurentiens, dont Hugues St-Pierre, Marie-Josée Lavoie, Louis Khalil, Daniel Bénéteau et José Arseault.
Les autres citoyens de Rimouski, qui ont au
La lieutenante-gouverneure du Québec, l’honorable Manon Jeannote, présidait le 24 mai dernier à La Pocatière la remise des Médailles de la Lieutenante-gouverneure pour la région du Bas-Saint-Laurent.
Lors de cette cérémonie, plusieurs distinctions ont été décernées, dont la Médaille du couronnement du roi Charles III, remise à 14 citoyens bas-laurentiens, dont Hugues St-Pierre, Marie-Josée Lavoie, Louis Khalil, Daniel Bénéteau et José Arseault.
Les autres citoyens de Rimouski, qui ont aussi reçu cette distinction, sont : Jeanne-Marie Rugira, Reine-Marie Roy, Robin Pouliot et Dominique Berteaux.
Louis Khalil
C’est l’engagement communautaire de Louis Khalil, auprès de causes telles que la Fondation Ernest-Simard, qui vient en aide aux enfants les plus démunis, ou Moisson Rimouski-Neigette, qui vient en aide aux gens qui n’ont pas les moyens de s’alimenter de façon sécuritaire, qui a été souligné à la cérémonie.
« Les causes auxquelles je me suis impliqué concernent beaucoup la jeunesse et la santé. Récemment, j’ai assuré la présidence de la campagne de dons majeurs de la Fondation de l’hôpital. J’ai aussi été impliqué, pendant une vingtaine d’années, à l’Auberge du Cœur Le Transit, qui vient en aide à des jeunes, sans-abri, de la région. »
Monsieur Khalil a aussi contribué à la fondation du club de football Les Pionniers, du Cégep de Rimouski.
Marie-Josée Lavoie
L’implication de la Marie-Josée Lavoie pour sa communauté, à travers son travail de journaliste, à la télévision et à la radio, a été mise en valeur lors de la cérémonie.
« J’ai commencé à la télévision alors que j’étais très jeune. J’ai débuté à Radio-Canada, je pense que j’avais 16 ans à l’époque. C’était avec Robert Tremblay et l’émission s’appelait Québec-Est. J’animais la partie jeunesse. Ensuite, je suis arrivée à la radio, peu de temps après pour faire des publicités, à CFLP. J’y suis longtemps resté. J’ai animé, autant du côté AM que du côté FM, entre autres avec Jacques Montpetit, le matin très tôt, pendant plusieurs années. J’ai fait un peu de télévision, en présentant la météo à TVA. J’animais l’émission La vie chez nous, aussi à TVA. C’était vraiment une émission d’actualités locales. J’ai fait ça pendant un moment aussi. À l’ouverture de CFYX, j’y ai fait un arrêt et par après, je suis arrivée à Cogeco, en 2011. Je vais probablement terminer ma carrière ici, parce que j’adore ça. »
Les récipiendaires des Médailles de la Lieutenante-gouverneure du Québec et de la Médaille du couronnement du roi Charles III, honorés lors de la cérémonie tenue à La Pocatière dans la région du Bas-Saint-Laurent, le 24 mai 2025. (Groupe CNW/Cabinet de la Lieutenante-gouverneure du Québec)
Daniel Bénéteau
Le président du conseil d’administration de l’Association du cancer de l’Est du Québec, Daniel Bénéteau, s’est fait remarquer pour son engagement dans plusieurs causes.
« Quotidiennement, je rencontre des personnes qui sont très riches de cœur. C’est un bonheur d’aider et c’est très valorisant. De penser que l’on contribue au tissu social, c’est aussi très valorisant. Malgré mes nombreuses implications, j’ai un bon équilibre de vie. Je suis impliqué du côté de l’ACEQ, de la santé mentale, de SAIME, d’Atout Services, de l’Orchestre symphonique de l’Estuaire, de Rimouski Ville cyclable, de la Fondation communautaire du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles, auprès du Centre de recherches en biotechnologie marine et d’Accueil-Maternité. »
Hugues St-Pierre
Le rôle d’Hugues St-Pierre dans la mise sur pied de la Maison Marie-Élisabeth est l’une des raisons qui lui a valu sa médaille.
« Quand j’ai terminé de travailler pour la création de la Maison Marie-Élisabeth, j’y ai travaillé comme bénévole, à temps plein, lors de ses trois ou quatre premières années d’existence. J’ai ensuite été le président, pendant un certain temps, de l’organisme, ce qui fait que je m’y suis impliqué pendant environ sept années au total. Aujourd’hui, je m’implique encore : en ce moment je suis le président du conseil d’administration du Centre de recherches en biotechnologie marine de Rimouski. »
Monsieur St-Pierre est lui aussi venu en aide à Moisson Rimouski-Neigette, en allant chercher des fonds pour permettre son déménagement dans son nouveau local.
José Arsenault
Au cours de la cérémonie, José Arsenault s’est fait remercier d’humaniser l’excellence, en mettant son expertise en comptabilité au profit de sa communauté.
« Cela fait maintenant 40 ans que je travaille pour le groupe Mallette. J’ai donc une belle carrière, ponctuée de beaucoup d’implications sociales et communautaires à travers le temps. Dans mon cas, ce qui a été souligné, c’est l’aspect humain que j’ai pu apporter dans mes implications. »
Il a aussi été le président de la Fondation de l’Université du Québec à Rimouski, pendant six ans, en plus d’avoir été le président du comité d’investissement communautaire de TELUS, également pendant une période de six ans.
Les professeurs de l’UQAR, Jeanne-Marie Rugira et Dominique Berteaux ainsi que Robin Pouliot, policier communautaire pendant plus de 30 ans, ont été honorés, tout comme les citoyens
Ainés et jeunesse
La lieutenante-gouverneure du Québec a aussi profité de l’occasion pour remettre la Médaille des aînés à Feu Madeleine Bernier de Rimouski, Monique Lagacé de Saint-Léon-le-Grand et Claude Trottier de Saint-Octave-de-Métis, pour leur engagement bénévole soutenu. La Médaille de la jeunesse a été remise à Esther Lacroix, Jean-Félix Ouellet, Cassandra Rioux-Couture, Camille Veillette et Edmond Vignola, tous de Rimouski, Maryane Michaud de Sainte-Luce et Juliette Michaud de Saint-Tharcisius, reconnaissant leur détermination sc
La ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, annonce une aide financière de 2,2 millions de dollars au Centre de recherche sur les biotechnologies marines (CRBM) pour la poursuite de ses activités.
Cette aide financière, faite au nom du ministre Christopher Skeete, viendra soutenir les activités de recherche et de développement scientifique de l’organisme dans la filière des biotechnologies marines, ainsi que ses activités de transfert industriel, notamment vers les secteurs
La ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, annonce une aide financière de 2,2 millions de dollars au Centre de recherche sur les biotechnologies marines (CRBM) pour la poursuite de ses activités.
Cette aide financière, faite au nom du ministre Christopher Skeete, viendra soutenir les activités de recherche et de développement scientifique de l’organisme dans la filière des biotechnologies marines, ainsi que ses activités de transfert industriel, notamment vers les secteurs des sciences de la vie et de l’environnement, jusqu’en 2027.
« Le CRBM est une expertise reconnue dans la filière des biotechnologies marines. C’est le seul centre spécialisée du genre au Québec et au Canada et c’est quelque chose que nous avons ici, à Rimouski. Je suis très fière que l’on puisse compter sur sa présence chez nous », a déclaré madame Blanchette Vézina en conférence de presse.
« L’organisme soutient l’essor de cette filière des biotechnologies marines, qui se développent à grande vitesse et qui contribuent aussi au développement durable de l’industrie des pêches et de l’aquaculture commerciale. Ces créneaux font partie de nos forces et sont essentiels au développement économique de Rimouski, du Bas-Saint-Laurent et de tout le Québec. »
La science des biotechnologies marines
La directrice générale du Centre de recherche sur les biotechnologies marines, Julie Dionne, explique que le CRBM œuvre dans une diversité de marchés.
Le Centre de recherche sur les biotechnologies marines (CRBM). (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Ce qui est incroyable avec les biotechnologies marines, c’est qu’elles ont un immense potentiel. On travaille avec diverses bio-ressources, auxquelles ont ajoutent de la valeur et qu’on peut emmener dans différents marchés. Récemment, nous avons fait un projet sur les biocarburants, à base de microalgues. En faisant la culture de microalgues, on peut développer, ultimement un biocarburant. On travaille aussi à isoler des molécules, des composés du St-Laurent, qui ont des capacités anti-vieillisement et qui peuvent alors être inclus dans des produits cosméceutiques. On travaille en santé naturelle, donc il y a une diversité de marchés dans lesquels on applique la science des biotechnologies marines », indique madame Dionne.
L’économie bleue n’est pas disparue avec le Novarium
Questionnée sur la pertinence d’investir dans l’économie bleue, après le refus de Québec d’accorder une zone d’innovation en économie bleue à Rimouski et Grande-Rivière, la ministre et députée est d’avis qu’il s’agit d’une économie qui doit poursuivre son développement.
« Le CRBM est un bel exemple d’un endroit où on peut continuer à contribuer à faire de l’économie bleue. Même s’il n’y a pas de zone d’annoncée, on peut continuer à développer ce créneau économique pour lequel nous avons des forces, ici à Rimouski, dans l’Est-du-Québec. C’est une richesse que nous avons collectivement, bien sûr grâce au fleuve, mais aussi grâce à l’expertise que nous avons ici, notamment avec l’UQAR. On continue donc de croire et d’investir dans l’économie bleue. »