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Reçu aujourd’hui — 4 septembre 2025Bas Saint-Laurent
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  • Une Rimouskoise dans le Forbes France
    Quand la propriétaire de la boutique La Vie Laine à Rimouski s’est fait contacter par Forbes France, elle croyait être la cible d’une fraude en ligne. Mais le grand magazine avait réellement un œil sur l’entreprise pour un reportage. Incursion dans la petite boutique de Paule Lemieux.
     
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  • Nouveau quartier à Mont-Joli : des mandats accordés
    La Ville de Mont-Joli avance dans ses démarches vers la mise en place d’un nouveau quartier résidentiel au nord de l’avenue Joliette, sur un terrain acquis par la Ville au cours des dernières années. Le conseil municipal a octroyé deux mandats de services professionnels, mardi soir, pour procéder à l’analyse du milieu naturel du terrain, une étape préalable à la confection des plans et devis. « Nous avons octroyé des mandats de services professionnels en aménagement et en études environnem
     

Nouveau quartier à Mont-Joli : des mandats accordés

La Ville de Mont-Joli avance dans ses démarches vers la mise en place d’un nouveau quartier résidentiel au nord de l’avenue Joliette, sur un terrain acquis par la Ville au cours des dernières années.

Le conseil municipal a octroyé deux mandats de services professionnels, mardi soir, pour procéder à l’analyse du milieu naturel du terrain, une étape préalable à la confection des plans et devis.

« Nous avons octroyé des mandats de services professionnels en aménagement et en études environnementales. Cela fait partie des démarches préliminaires pour faire avancer le dossier de ce nouveau développement domiciliaire dans lequel on prévoit 34 unités de logement, au bout de l’avenue Joliette. On accélère le processus parce qu’il ne reste que six terrains à vendre dans le développement Beaupré », affirme le maire de Mont-Joli, Martin Soucy.

Des autorisations à obtenir

Avant de pouvoir mettre des terrains en vente et permettre des constructions, la Ville de Mont-Joli doit obtenir les autorisations nécessaires de divers ministères, notamment celui de l’Environnement, de la Faune et des Parcs, puisque le projet implique un prolongement des réseaux d’aqueduc et égouts.

« Il va falloir démontrer au ministère que nous avons la capacité de fournir l’eau et de gérer les eaux usées. Nous savons que nous sommes en mesure de le faire avec nos infrastructures, mais il va falloir le démontrer », affirme monsieur Soucy.

La Ville a décidé d’y aller avec des constructions unifamiliales, bigénérationnelles ou des jumelées dans ce secteur.

« Il n’y aura pas d’immeubles à logements à cet endroit. Ce choix s’explique par la vocation de ce secteur », précisait le maire, dans une précédente entrevue à Le Soir.ca.

De la demande pour des terrains

Lorsque Martin Soucy a été élu à la mairie en 2017, la Ville de Mont-Joli ne détenait aucun terrain.

« Nous n’avions pas de terrain à vendre. Nous avons travaillé pendant trois ans pour démarrer et mettre en place le développement Beaupré comptant 34 terrains. Comme il ne reste que six terrains de disponibles, nous avons décidé de commencer à préparer un autre projet ».

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo courtoisie Ville de Mont-Joli)

Le maire indique que la Ville a des surplus accumulés spécialement pour le développement domiciliaire.

« Nous sommes à l’étape d’embaucher des professionnels pour faire la caractérisation des sols. Il y a notamment un milieu humide qu’il va falloir démarquer. Ensuite, ce sera la confection des plans et devis pour pouvoir aller en appels d’offres. Ça fait un certain temps que le projet était dans nos cartons. On prévoyait débuter lorsque nous aurions plus de la moitié des terrains vendus dans le développement Beaupré », explique Martin Soucy.

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  • La deuxième cohorte des Flambettes part en tournée
    Le ROSEQ présente les candidats de la deuxième mouture de Les Flambettes. Le projet, réunissant quatre artistes de la relève musicale, est porté cette fois-ci par Héron, Laurianne Charbonneau, Sandrine Masse et Simon Boisseau qui amorcent une grande tournée avec plusieurs prestations dans l’Est-du-Québec. Artistes uniques aux horizons variés, ils charment le public par leur pertinence et leur interprétation. Les Flambettes permet aux artistes sélectionnés de vivre une expérience professionnel
     

La deuxième cohorte des Flambettes part en tournée

Le ROSEQ présente les candidats de la deuxième mouture de Les Flambettes. Le projet, réunissant quatre artistes de la relève musicale, est porté cette fois-ci par Héron, Laurianne Charbonneau, Sandrine Masse et Simon Boisseau qui amorcent une grande tournée avec plusieurs prestations dans l’Est-du-Québec.

Artistes uniques aux horizons variés, ils charment le public par leur pertinence et leur interprétation. Les Flambettes permet aux artistes sélectionnés de vivre une expérience professionnelle complète, en passant par des résidences de création et de production d’un spectacle à sa diffusion, le tout accompagné par différents professionnels du milieu. Le spectacle réunit donc les quatre univers distincts de ces auteurs-compositeurs-interprètes, en communion scénique et musicale.

Les membres des Flambettes

Héron est l’exutoire créatif d’Henri Kinkead : une exploration du folklore québécois sous toutes ses formes et un voyage au cœur des territoires d’ici qui parlent d’une quête d’identité profonde.

Diplômée en Jeu du Conservatoire d’art dramatique de Québec et membre du collectif queer féministe Les Allumeuses, Lauriane Charbonneau est une artiste militante multidisciplinaire.

Exploration d’un éventail de genres musicaux allant du folk au rock progressif, en passant par les musiques traditionnelles, l’autrice-compositrice-interprète Wendat Sandrine Massé se passionne pour la fusion des sonorités variées. Sa musique transcende les frontières culturelles et linguistiques.

Autodidacte depuis l’âge de huit ans, Simon Boisseau calque au piano les rock bands des années 60-70, comme les Beatles ou Supertramp de ce monde. Il compose déjà ses premiers morceaux vers l’âge de 10 ans et à 21 ans lance son deuxième album, Le déjeuner.

Les Flambettes en spectacle :

  • Vendredi 5 septembre Moulin du portage, Lotbinière
  • Samedi 6 septembre Centre culturel Georges-Deschênes, Dégelis
  • Lundi 8 septembre La Salle Comble, Ste-Anne-des-Monts
  • Mardi 9 septembre Centre de création et de diffusion, Gaspé
  • Mercredi 10 septembre Studio du Quai des Arts, Carleton-sur-Mer
  • Jeudi 11 septembre Salle Jean-Cossette, Amqui
  • Vendredi 12 septembre Centre d’art Le Barachois, Matane
  • Dimanche 14 septembre Pavillon des arts, Forestville
  • Lundi 15 septembre Salle Jean-Marc-Dion, Sept-Îles
  • Mardi 16 septembre La Shed à Morue, Havre-St-Pierre
  • Jeudi 18 septembre Maison de la culture, Rivière-du-Loup
  • Samedi 20 septembre Au Vieux Treuil, Iles-de-la-Madeleine
  • Samedi 27 septembre Cabaret la Basoche, Gatineau
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  • Nouveau souffle pour l’éolien dans l’Est-du-Québec
    Aux premières loges de la transition énergétique dans la province, l’Institut de recherche gaspésien Nergica salue le partenariat éolien annoncé par le premier ministre François Legault. Le directeur général Frédéric Côté souligne que cette décision concrétise de nombreuses années de démarches et de représentations. « C’est une excellente nouvelle pour la région. Cela fait écho aux représentations que nous faisons depuis plusieurs années pour que la région puisse accueillir davantage de p
     

Nouveau souffle pour l’éolien dans l’Est-du-Québec

4 septembre 2025 à 10:00

Aux premières loges de la transition énergétique dans la province, l’Institut de recherche gaspésien Nergica salue le partenariat éolien annoncé par le premier ministre François Legault.

Le directeur général Frédéric Côté souligne que cette décision concrétise de nombreuses années de démarches et de représentations.

« C’est une excellente nouvelle pour la région. Cela fait écho aux représentations que nous faisons depuis plusieurs années pour que la région puisse accueillir davantage de projets éoliens. Les investissements annoncés sont majeurs et structurants : ils amèneront ici des infrastructures stratégiques qui vont positionner la région de manière positive pour le futur. »

Présent lors de l’annonce, monsieur Frédéric Côté souligne que cette décision concrétise de nombreuses années de démarches et de représentations.

Frédéric Côté, le directeur général de Nergica. (Photo Le Soir.ca – Jean-Philippe Thibault)

La Gaspésie bien positionnée

Bien qu’aucun projet en particulier n’ait été annoncé, le potentiel de développement éolien serait de l’ordre de 6000 MW dans l’Est-du-Québec, pour des investissements représentant quelque 18 milliards de dollars. Le nombre de 20 milliards a été avancé en incluant les lignes de transport.

Chez les manufacturiers comme LM Wind Power à Gaspé et Marmen Énergie à Matane, aucune exigence de contenu local n’est dans la mire pour le moment, bien que François Legault dise vouloir encourager autant que possible les retombées économiques locales et régionales.

Ce partenariat entre la Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation, l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec devrait tout de même générer d’importantes retombées pour la région, estime Nergica.

Le centre de recherche appliquée en matière d’énergies renouvelables note que la formation de main-d’œuvre spécialisée au Cégep de la Gaspésie et des Îles sera notamment un atout. Il y a 14 jours à peine, l’institution a présenté son nouveau concept de laboratoire nomade qui permet de former des élèves en maintenance d’éoliennes à peu près n’importe où au Québec, là où les besoins se font sentir.

Exploiter pleinement le potentiel

À l’image des propos prononcés par la présidente-directrice générale d’Hydro-Québec, Claudine Bouchard, Nergica soutient lui aussi que la Gaspésie est le berceau de l’éolien au Québec et qu’elle a réussi à démontrer, depuis plus de 25 ans « son potentiel exceptionnel et son expertise unique. »

Le 6000 MW dans l’Est-du-Québec combiné à la volonté de doubler la production d’énergie solaire d’ici 2050 est une balle qui devra être saisie au bond, note Nergica. La concertation et les compétences développées au fil du temps devront, toujours selon l’organisation, servir à créer un véritable vecteur de développement économique, social et environnemental pour les décennies à venir. François Legault a indiqué mercredi à Gaspé que « le prochain siècle sera celui de l’énergie ».

Gonflés à bloc

Frédéric Côté rappelle pour sa part que non seulement la Gaspésie est une valeur sûre pour le déploiement des énergies renouvelables, mais que la région, ses acteurs et ses communautés sont gonflés à bloc pour relever ce défi.

« Les projets d’énergie renouvelable réussissent lorsqu’ils sont ancrés dans le partenariat avec les communautés locales et portés par une vision de développement durable à long terme. Aujourd’hui, cette annonce met la table pour exploiter pleinement le potentiel éolien de notre territoire. La Gaspésie est prête, l’industrie est prête, et les gens sont prêts à passer à l’action », conclut le directeur général.

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  • Le Géouïdire : la revue étudiante en géographie
    Voilà déjà 20 ans que Le Géouïdire, la revue des étudiants et des étudiantes en géographie, ouvre ses pages à la publication d’articles en science et de récits de voyage! Le premier numéro du Géouïdire a vu le jour en mars 2005 et le dix-neuvième en novembre 2019. Aucun numéro n’a été publié depuis la pandémie, mais quelques membres du Regroupement des étudiant.e.s en géographie (REEG) de l’UQAR ont décidé de reprendre le flambeau et lancent un appel de textes pour la publication en septembre du
     

Le Géouïdire : la revue étudiante en géographie

4 septembre 2025 à 08:36

Voilà déjà 20 ans que Le Géouïdire, la revue des étudiants et des étudiantes en géographie, ouvre ses pages à la publication d’articles en science et de récits de voyage! Le premier numéro du Géouïdire a vu le jour en mars 2005 et le dix-neuvième en novembre 2019. Aucun numéro n’a été publié depuis la pandémie, mais quelques membres du Regroupement des étudiant.e.s en géographie (REEG) de l’UQAR ont décidé de reprendre le flambeau et lancent un appel de textes pour la publication en septembre du 20e numéro!

La revue est un bon moyen de communiquer des idées de manière concrète et de rassembler les connaissances de plusieurs auteurs afin de les rendre accessibles. L’information abonde sur Internet, mais revenir un instant à un média écrit en format papier a ce petit quelque chose de rassembleur et de chaleureux.

Le Géouïdire est toujours imprimé en édition limitée, ce qui le rend unique et authentique. Tous les anciens numéros sont accessibles pour consultation à la bibliothèque de l’UQAR et en format PDF sur le site Internet de l’institution1. La rédaction des articles, leur correction et la mise en page ont été rendues possibles au fil des ans grâce à la contribution bénévole de plusieurs étudiants, de personnes chargées de cours, de professeurs ainsi que de chercheurs et chercheuses. Les contributeurs proviennent de différentes disciplines et ont tous un intérêt pour l’environnement et la géographie en tant que science multidisciplinaire. Le Fonds de soutien aux projets étudiants (FSPE) de l’UQAR, l’Association générale étudiante du campus à Rimouski (AGECAR) et le module de géographie permettent également l’existence de la revue depuis les tout débuts.

Les anciens numéros du Géouïdire portent sur différents sujets tels que la nordicité, le voyage en voilier, la politique, l’aménagement du territoire ou encore la cartographie participative. Les étudiants y parlent de leur expérience de stage sur le terrain, d’échange à l’international, de cours d’été ou d’emploi d’été en science de l’environnement. Certains y résument leur projet de recherche en une courte bande dessinée, simplifient un rapport remis dans un cours ou partagent un entretien avec leur professeur. D’autres encore écrivent sur un sujet de leur choix en lien avec l’environnement ou publient des photographies de nature. Des gens de tous les domaines sont bienvenus pour proposer un article puisque la pluridisciplinarité sur un tronc commun qu’est le territoire est centrale.

La presse écrite étudiante est un outil pédagogique qui permet la vulgarisation scientifique pour la communauté universitaire et la population citoyenne. La géographie est une discipline carrefour à la fois humaine et physique, ce qui en fait une science rassembleuse qui aide à la compréhension du monde sur plusieurs plans.  La revue Géouïdire permet aussi de découvrir les membres du module de géographie à l’UQAR qui offre un programme stimulant et dynamique, avec de nombreuses occasions d’apprentissages sur le terrain, en laboratoire, en stage et à l’international.

Vous avez un intérêt pour les sciences de la nature et l’environnement et vous avez envie de partager vos idées? La revue Géouïdire vous invite dès maintenant à soumettre un article pour son 20e numéro!

Pour toute question ou pour soumettre un article, écrire à geoui.dire@gmail.com

Suivez-nous sur la page Facebook de la revue!

[1]. Géouï-Dire, la revue des étudiantes et étudiants en géographie, UQAR, 2025, https://www.uqar.ca/luniversite/departements/departement-de-biologie-chimie-et-geographie/geoui-dire-la-revue-des-etudiantes-et-etudiants-de-geographie/
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  • François Legault promet de remanier son cabinet « très prochainement »
    C’était vraisemblablement la dernière séance régulière du conseil des ministres à Québec, mercredi. Le premier ministre François Legault a signalé dès son arrivée que le remaniement ministériel qu’il prépare depuis le début de l’été aura lieu « très prochainement ». Par Caroline Plante, La Presse Canadienne « Soyez patients », a-t-il lancé à l’intention des journalistes. L’ambiance était lourde, et les ministres très peu bavards à leur arrivée à cette réunion qui n’aura duré que 45 minu
     

François Legault promet de remanier son cabinet « très prochainement »

4 septembre 2025 à 09:00

C’était vraisemblablement la dernière séance régulière du conseil des ministres à Québec, mercredi. Le premier ministre François Legault a signalé dès son arrivée que le remaniement ministériel qu’il prépare depuis le début de l’été aura lieu « très prochainement ».

Par Caroline Plante, La Presse Canadienne

« Soyez patients », a-t-il lancé à l’intention des journalistes.

L’ambiance était lourde, et les ministres très peu bavards à leur arrivée à cette réunion qui n’aura duré que 45 minutes.

C’est que plusieurs d’entre eux risquent d’être affectés par les changements promis par le premier ministre.

« C’est le temps que ça arrive. On a hâte de voir la décision finale », a d’ailleurs laissé tomber la ministre responsable des Aînés, Sonia Bélanger, au sortir de la rencontre.

« Moi, j’ai dit au premier ministre que je suis sur mon X, mais c’est sa prérogative », a fait savoir de son côté le ministre des Services sociaux, Lionel Carmant.

Le ministre de la Santé, Christian Dubé, a répété qu’il ne souhaitait pas changer de ministère.

Depuis son arrivée au pouvoir en 2018, François Legault n’a fait qu’un seul remaniement ministériel d’importance, en 2020, durant la pandémie.

Il avait alors remplacé Danielle McCann à la Santé par Christian Dubé et nommé Sonia LeBel au Conseil du trésor, notamment.

SAAQclic et Northvolt

Le remaniement tant attendu à Québec survient après le témoignage de monsieur Legault devant la commission Gallant sur le fiasco SAAQclic, et l’annonce de la mort du projet Northvolt.

Le premier ministre pourrait aussi proroger la session parlementaire censée débuter le 16 septembre pour donner le temps à ses nouveaux ministres de se familiariser avec leurs dossiers.

Le premier ministre du Québec, François Legault (Photo courtoisie Émilie Nadeau)

À un an des prochaines élections générales, monsieur Legault souhaite présenter aux Québécois une image de renouveau, alors que son gouvernement connaît une très forte baisse dans les sondages.

Selon l’agrégateur de sondages Qc125, si les élections avaient lieu aujourd’hui, la CAQ de François Legault récolterait entre zéro et trois sièges. Elle en détient actuellement 86.

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  • Vol d’un véhicule : procès à venir pour Marc-Antoine Cloutier
    L’individu arrêté le 24 juin 2024 à Rimouski relativement à un vol de véhicule survenu au cours de la même journée à Saint-Alexandre-de-Kamouraska, Marc-Antoine Cloutier, était de retour à la Cour mardi à Rivière-du-Loup pour fixer une date de procès. Cette étape a été reportée au 27 octobre. En janvier 2025, Cloutier a plaidé non coupable et opté pour un procès devant un juge seul. L’accusé a été remis en liberté sous conditions le 12 août 2024 au palais de justice de Rivière-du-Loup. Il
     

Vol d’un véhicule : procès à venir pour Marc-Antoine Cloutier

L’individu arrêté le 24 juin 2024 à Rimouski relativement à un vol de véhicule survenu au cours de la même journée à Saint-Alexandre-de-Kamouraska, Marc-Antoine Cloutier, était de retour à la Cour mardi à Rivière-du-Loup pour fixer une date de procès. Cette étape a été reportée au 27 octobre.

En janvier 2025, Cloutier a plaidé non coupable et opté pour un procès devant un juge seul.

L’accusé a été remis en liberté sous conditions le 12 août 2024 au palais de justice de Rivière-du-Loup. Il fait face à des accusations de vol qualifié, de possession d’une arme prohibée et de menaces.

Des blessures mineures

Le suspect armé de 19 ans aurait menacé la propriétaire d’une voiture dans le secteur du Lac Morin à Saint-Alexandre, le lundi 24 juin vers 18 h 30, avant de s’enfuir avec celle-ci. La femme a subi des blessures mineures.

(Photo courtoisie SQ)

Les policiers de la Sûreté du Québec ont arrêté le suspect vers 20 h 45 le jour même sur la rue du Phare dans le district Pointe-au-Père, à Rimouski.

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  • L’acceptabilité au cœur des retombées éoliennes
    La Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation (MMBC), l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec amorcent une démarche conjointe pour évaluer l’acceptabilité sociale et environnementale au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie. L’Alliance de l’énergie de l’Est avait déjà préparé le terrain en juillet en partageant les résultats d’un sondage. Celui-ci montrait que 87 % des personnes interrogées dans ces deux secteurs appuyaient l’installation d’éoliennes dans leur région. La proportion diminu
     

L’acceptabilité au cœur des retombées éoliennes

4 septembre 2025 à 07:00

La Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation (MMBC), l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec amorcent une démarche conjointe pour évaluer l’acceptabilité sociale et environnementale au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie.

L’Alliance de l’énergie de l’Est avait déjà préparé le terrain en juillet en partageant les résultats d’un sondage.

Celui-ci montrait que 87 % des personnes interrogées dans ces deux secteurs appuyaient l’installation d’éoliennes dans leur région. La proportion diminuait à 67 % pour des éoliennes directement dans leur municipalité.

L’acceptabilité sociale est une condition sine qua non au développement éolien selon plusieurs intervenants, dont la ministre de l’Énergie, Christine Fréchette, présente à Gaspé pour l’annonce.

(Photo Pixabay)

« Il faut saluer à quel point le défi de l’acceptabilité sociale a été relevé avec brio. J’espère que ce modèle va se démultiplier. C’est créatif et innovant. »

« C’est un modèle que je voudrais voir dans toutes les régions du Québec », renchérit François Legault.

L’importance d’acheter localement

Le président de l’Alliance, Michel Lagacé, espère pouvoir tirer parti de 10 % en retombées économiques locales sur les investissements potentiels de 18 milliards, donc 1,8 milliard.

Il s’agit d’un minimum, selon François Legault. Le premier ministre n’a cependant pas voulu se mouiller avec un décret officiel pour une exigence de contenu local. 

« Si ça existe [le produit], ça devrait être acheté ici. Charité bien ordonnée commence par soi-même. »

Reçu hier — 3 septembre 2025Bas Saint-Laurent
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  • Éolien : jusqu’à 20 milliards en investissements 
    L’artillerie lourde a été déployée à Gaspé pour annoncer une entente tripartite qui pourrait mener au développement de 6000 mégawatts (MW) en éolien dans l’Est-du-Québec. L’ampleur des projets envisagés pourrait représenter des investissements pouvant atteindre 18 milliards, voire 20 milliards de dollars. Ce montant inclut les lignes de transport inhérentes au transfert des précieux électrons. Les tenants et aboutissants restent toutefois à définir. La Mi’gmawei Mawiomi Business Corporati
     

Éolien : jusqu’à 20 milliards en investissements 

3 septembre 2025 à 19:00

L’artillerie lourde a été déployée à Gaspé pour annoncer une entente tripartite qui pourrait mener au développement de 6000 mégawatts (MW) en éolien dans l’Est-du-Québec. L’ampleur des projets envisagés pourrait représenter des investissements pouvant atteindre 18 milliards, voire 20 milliards de dollars.

Ce montant inclut les lignes de transport inhérentes au transfert des précieux électrons. Les tenants et aboutissants restent toutefois à définir.

La Mi’gmawei Mawiomi Business Corporation (la MMBC, branche économique des communautés Mi’gmaq), l’Alliance de l’énergie de l’Est et Hydro-Québec travailleront maintenant de pair pour profiter des gisements éoliens encore inexploités dans la région.

Aucun nouveau parc n’a été officialisé lors de l’annonce du 27 août, ni aucun lieu ni aucune précision supplémentaire pour les lignes de transport acheminant l’électricité vers l’ouest de la province.

L’entente entre les trois parties, notamment les Premières Nations, était cependant cruciale pour aller de l’avant dans les futures années, estime le premier ministre François Legault, présent pour l’occasion. Ce dernier n’a pas hésité à qualifier cette annonce de « plus gros projet dans l’histoire de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent ».

Hydro-Québec et partenaires

« Ça va se faire zone par zone. Il y aura ensuite des annonces faites une par une selon les projets individuels, mais c’est énorme comme projet. C’est une nouvelle extraordinaire […] Ça devient de plus en plus réel », se réjouit François Legault.

Le partenariat est séparé entre Hydro-Québec (50 %) et les deux autres partenaires (50 %), précise le premier ministre.

L’événement a été couru par plusieurs élus, ministres et invités. (Photo Le Soir.ca – Jean-Philippe Thibault)

« Ça marque une étape décisive dans le développement de l’éolien dans l’Est-du-Québec », précise pour sa part la présidente-directrice générale d’Hydro-Québec, Claudine Bouchard, elle aussi présente pour l’occasion.

« Le partenariat annoncé aujourd’hui constitue le plus important engagement en matière de développement éolien en Amérique du Nord […] Ça appelle à renforcer le réseau de transport avec des lignes pour soutenir une croissance durable et ambitieuse. »

Pôle stratégique 

Les gisements de vent dans l’Est-du-Québec sont connus depuis belle lurette. Une étude réalisée en 2005 indiquait que le potentiel éolien exploitable en Gaspésie (en dehors de certaines zones restrictives et considérant certaines mesures tampons) était de 17 000 mégawatts.

La région arrivait au quatrième rang, loin derrière le Nord-du-Québec (3,5 millions de MW) et la Côte-Nord (362 000 MW), mais devant la plupart de ses consœurs, exception faite de Saguenay–Lac-Saint-Jean (40 300 MW).

Dans ses communications, le gouvernement provincial parle d’ailleurs de l’Est-du-Québec comme « le pôle stratégique de l’éolien au Québec. »

La capacité d’intégration au réseau intégré d’Hydro-Québec n’est cependant pas infinie. Les sous-réseaux électriques régionaux auxquels les installations de production sont raccordées sont un facteur limitatif. Les contraintes liées à la circulation de l’énergie électrique sur le réseau principal aussi.

Mise en service en 2034

En novembre, Hydro-Québec a annoncé une nouvelle ligne de transport d’environ 260 km de Chaudière-Appalaches jusqu’au Témiscouata (la phase 1).

Le dossier n’en est cependant qu’à la phase d’avant-projet. La mise en service est prévue en 2034. Une autre ligne de 175 km (la phase 2) devrait se rendre jusqu’à Avignon, en 2036.

Le dossier du « goulot d’étranglement » à Rivière-du-Loup a maintes fois fait partie des discussions dans le passé.

« La phase 1 a été lancée, mais si on veut être capable d’avoir 6000 MW, il faut qu’une partie soit exportable. Il faut que la ligne soit faite aussi », souligne François Legault, questionné sur ce dossier.

Ce potentiel de 6000 MW pourrait alimenter jusqu’à 1 million de foyers dans la province.

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  • Djanick Michaud accusé d’agression sexuelle sur une mineure
    L’ancien candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est du Québec (SNEQ), Djanick Michaud, est accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure. Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, les gestes reprochés se seraient produits entre le 1er septembre 2019 et le 10 octobre 2021.   Michaud comparaîtra devant la cour ce lundi 8 septembre pour répondre à ces accusations, mais aussi à celles d’incitation à des contacts de nature sexuelle sur une pers
     

Djanick Michaud accusé d’agression sexuelle sur une mineure

L’ancien candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est du Québec (SNEQ), Djanick Michaud, est accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure.

Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, les gestes reprochés se seraient produits entre le 1er septembre 2019 et le 10 octobre 2021.  

Michaud comparaîtra devant la cour ce lundi 8 septembre pour répondre à ces accusations, mais aussi à celles d’incitation à des contacts de nature sexuelle sur une personne de moins de 16 ans et de voies de fait à l’égard de la même plaignante.

L’identité de la victime présumée est protégée par une ordonnance de non publication.

Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Un mandat d’arrestation a été lancé à son endroit, le 13 juin dernier.

Candidat à la mairie en 2017, Djanick Michaud a aussi été adjoint et attaché politique de Guy Caron alors qu’il était député pour le NPD dans Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques.

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  • Marathon de Rimouski : le peloton le plus relevé de l’histoire 
    Le Marathon de Rimouski devait marquer l’histoire, ce dimanche 7 septembre en bordure du fleuve Saint-Laurent, alors que le peloton le plus relevé de l’histoire de l’événement prendra le départ, chez les hommes, à l’épreuve reine du 42,2 km courue entre l’avenue de la Cathédrale et Sainte-Luce.  « Puisqu’Athlétisme Québec a de nouveau sélectionné l’événement comme le Championnat québécois de marathon, nous accueillerons une vingtaine de coureurs élites, dont cinq qui ont  réussi des temps sou
     

Marathon de Rimouski : le peloton le plus relevé de l’histoire 

3 septembre 2025 à 17:00

Le Marathon de Rimouski devait marquer l’histoire, ce dimanche 7 septembre en bordure du fleuve Saint-Laurent, alors que le peloton le plus relevé de l’histoire de l’événement prendra le départ, chez les hommes, à l’épreuve reine du 42,2 km courue entre l’avenue de la Cathédrale et Sainte-Luce. 

« Puisqu’Athlétisme Québec a de nouveau sélectionné l’événement comme le Championnat québécois de marathon, nous accueillerons une vingtaine de coureurs élites, dont cinq qui ont  réussi des temps sous les 2 heures et 25 minutes dans la dernière année », indique avec fierté le président du Marathon de Rimouski, Sébastien Bolduc.

Parmi eux, le champion en titre des deux dernières années, François Jarry, compétitionnera avec Ahmed Mainy, Marc-Antoine Senneville, Arnaud Francioni, Christopher Busset et David Mutai, champion en 2019.

Le Marathon de Rimouski couronnera une nouvelle championne en 2025, puisque celle de l’an dernier, Roxanne Breton, de Québec, ne défendra pas son titre.

« Parmi les inscrites, quatre femmes ont déjà couru sous les 3 heures, dont la détentrice du record du parcours, Salomé Nyirarukundo. Elle a repris l’entraînement et effectuera son retour à Rimouski après cinq ans d’absence. Elle s’ajoute à Julie Lajeunesse, Rosalie Ménard et Josyane Tessier, qui seront à surveiller », précise monsieur Bolduc. 

Salomé Nyirarukundo (Photo courtoisie)

Nyirarukundo avait remporté les éditions de 2018 et 2019. Dans cette dernière course, elle avait réalisé le record du parcours en 2 h 38 min et 16 secondes, une semaine après avoir gagné le Marathon de Montréal. 

« Je m’attends à voir des temps dans les 2 h 40 min chez les femmes », prédit Sébastien Bolduc.

Retour des autres épreuves

Le Marathon de Rimouski présentera de nouveau les épreuves du demi-marathon (21,1 km), celles du 10, 5 et 1 km ainsi que le Pace du bonheur, une course non compétitive où les participants effectuent le trajet de 42,2 kilomètres en huit heures, à la marche ou à la course, pour le simple plaisir, sans bourse ni récompense de performance.

Le départ du 5 kilomètres, en 2024, au Marathon de Rimouski. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Sanctionné niveau OR par la Fédération québécoise d’athlétisme et certifié par Athlétisme Canada, le Marathon de Rimouski servira de nouveau de temps de qualification pour les marathons d’envergure de Boston et de New York.

Revivre le suspense de 2024

Avec un contingent relevé de coureurs inscrits en 2025, le Marathon de Rimouski pourrait revivre l’intensité de sa finale historique de l’an dernier.

En 2024, dans la fin de course la plus serrée en 20 ans, le Montréalais François Jarry avait remporté un deuxième titre au 42,2 km avec un chrono de 2 h 31 min et 11 s, devançant Anthony Larouche de Québec et le Marocain Ahmed Mainy par seulement trois et huit secondes.

Derrière ce trio, Samuel Saint-Antoine, de Mont-Saint-Hilaire, avait raté le podium par seulement 23 secondes.

Des coureurs arrivent au fil d’arrivée du Marathon de Rimouski. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Moins inquiétée chez les dames, Roxanne Breton, de Québec, a gagné la course de Rimouski avec un temps de 3 heures, 2 minutes et 55 secondes, surpassant Joanie Charland de Longueuil et Ana Matkovic de Boischatel par sept et 14 minutes. Néophyte en athlétisme, Breton a commencé à courir pour le plaisir en 2022. 

Marc-Antoine Senneville de Trois-Rivières et Marianne Boivin de Pont-Rouge (demi-marathon), Philippe Brochu et Nayeli Lapierre de Québec (10 km), Isaac Sirois de Sainte-Luce et Rose-Marie Michaud de Saint-Anaclet (5 km), ainsi que Liam Dion de Saint-Cyprien et Julianne Turgeon de Rimouski (1 km), sont les tenants des autres titres en jeu.

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  • Investissement Québec s’intéresse à Mont-Joli
    La Ville de Mont-Joli a reçu une délégation d’Investissement Québec, dont son vice-président aux Investissements directs étrangers, Daniel Sylverman, le 26 août dans le but de valoriser les nombreuses opportunités que son parc industriel est en mesure d’offrir aux entreprises. Au cours de cette rencontre, le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, a fait valoir les multiples atouts de la ville et son parc industriel, qu’il s’agisse de son emplacement géographique stratégique à proximité de l’aéropo
     

Investissement Québec s’intéresse à Mont-Joli

La Ville de Mont-Joli a reçu une délégation d’Investissement Québec, dont son vice-président aux Investissements directs étrangers, Daniel Sylverman, le 26 août dans le but de valoriser les nombreuses opportunités que son parc industriel est en mesure d’offrir aux entreprises.

Au cours de cette rencontre, le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, a fait valoir les multiples atouts de la ville et son parc industriel, qu’il s’agisse de son emplacement géographique stratégique à proximité de l’aéroport et des possibilités d’investissements pour les secteurs stratégiques de l’économie locale et nationale.

« On travaille avec Investissement Québec depuis plus d’un an pour mettre en valeur les atouts de notre parc industriel. M. Sylverman a démontré beaucoup d’intérêt pour l’aéroport régional qui est tout près et par l’intermodalité historique de la ville avec le train, le bateau (Matane), l’autoroute 20, le chemin de fer. Il s’est montré intéressé au développement du parc et à son historique militaire. Mont-Joli, avec son parc industriel de 12 millions de pieds carrés, pourrait permettre au Québec de tirer son épingle du jeu au plan fédéral », rapporte monsieur Soucy.

Une rencontre positive

Le maire mentionne que le représentant d’Investissement Québec est reparti, enchanté de sa visite à Mont-Joli.

« Nous sommes très positifs. Nous semons des graines qui devraient nous permettre de récolter plus tard ».

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Des opportunités

Le maire Soucy mentionne que le terrain vierge du parc industriel offre énormément de possibilités.

« La force de notre parc industriel, c’est qu’il est possible d’y produire de l’électricité à proximité. Il y a une quinzaine d’années, Hydro-Québec a décidé de fermer les centrales Mitis 1 et Mitis 2 parce qu’elle avait un surplus d’énergie. À l’époque, elle produisait 10 MW. On estime qu’on pourrait aller chercher jusqu’à 15 MW avec une modernisation des installations. L’apport en électricité est un enjeu pour développer des parcs industriels. Sans énergie, c’est impossible de développer un parc industriel parce que ça n’attire pas les investisseurs ».

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  • Initiation à la voile sur dériveur
    Les propriétaires du Centre de plein air du grand Lac Ferré à Saint-Narcisse-de-Rimouski accueillent le Club de voile de Rimouski, les 6 et 7 septembre, pour une initiation à la pratique de la voile sur dériveur. Cet évènement est offert au grand public pour s’initier à la pratique de la voile sur dériveur. Les gens pourront faire de la voile libre sur un dériveur ou embarquer sur un dériveur accompagné d’un animateur ou d’un instructeur de voile certifié. Pour les deux journées, l’accueil
     

Initiation à la voile sur dériveur

Les propriétaires du Centre de plein air du grand Lac Ferré à Saint-Narcisse-de-Rimouski accueillent le Club de voile de Rimouski, les 6 et 7 septembre, pour une initiation à la pratique de la voile sur dériveur.

Cet évènement est offert au grand public pour s’initier à la pratique de la voile sur dériveur. Les gens pourront faire de la voile libre sur un dériveur ou embarquer sur un dériveur accompagné d’un animateur ou d’un instructeur de voile certifié.

Pour les deux journées, l’accueil des participants se fera à 9 h 30 et les sorties d’initiation auront lieu à 10 h 30, 11 h 15, 13 h, 14 h 15 et 15 h.

L’activité est gratuite et il n’est pas nécessaire de réserver.

Portes ouvertes

Le Centre de plein air du grand lac Ferré profite de l’événement pour tenir une journée portes ouvertes avec un accès gratuit au site au grand public. Une boite sera installée sur place pour permettre aux participants de faire une contribution volontaire. Les fonds serviront au développement de l’École de voile du Bas-Saint-Laurent.

Il y aura un service de restauration sur place de 11 h 30 à 14 h.

Le Centre de plein air du grand lac Ferré est situé au 971, route Taché, à Saint-Narcisse-de-Rimouski.

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  • Salon des artisans : les inscriptions sont lancées
    La MRC de La Matapédia et la SADC de La Matapédia annoncent l’ouverture de la période d’inscription en vue du prochain Salon des artistes et des artisans de La Matapédia qui aura lieu les 15 et 16 novembre prochain à la salle communautaire d’Amqui. Les personnes souhaitant s’inscrire doivent se procurer le formulaire d’inscription sur le site Internet de la MRC de La Matapédia (www.mrcmatapedia.qc.ca) ou sur la page Facebook du Salon. Elles peuvent aussi obtenir la documentation en communi
     

Salon des artisans : les inscriptions sont lancées

3 septembre 2025 à 14:00

La MRC de La Matapédia et la SADC de La Matapédia annoncent l’ouverture de la période d’inscription en vue du prochain Salon des artistes et des artisans de La Matapédia qui aura lieu les 15 et 16 novembre prochain à la salle communautaire d’Amqui.

Les personnes souhaitant s’inscrire doivent se procurer le formulaire d’inscription sur le site Internet de la MRC de La Matapédia (www.mrcmatapedia.qc.ca) ou sur la page Facebook du Salon.

Elles peuvent aussi obtenir la documentation en communiquant directement avec les organisateurs de l’événement.

Informations supplémentaires

La date limite pour faire parvenir le dossier d’inscription est le 30 septembre 2025. Le paiement total de l’inscription doit obligatoirement être transmis en même temps que le formulaire.

Les personnes souhaitant des informations supplémentaires peuvent s’adresser à Madame Karine Lévesque, conseillère en développement culturel à la MRC de La Matapédia, membre du comité organisateur, au 418 629-2053, poste 1036 ou à culture@mrcmatapedia.quebec.

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  • Pourquoi court-on autant au quotidien?
    Au Québec, quatre personnes sur cinq affirment que notre société devrait valoriser un rythme de vie plus lent. Et malgré cela, 39 % disent être stressées par leur mode de vie. Un intervenant en santé mentale prône un ralentissement collectif, ou du moins une remise en question de nos habitudes.
     
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  • Nouveau projet de construction à Pointe-au-Père
    La Ville de Rimouski amorce le processus visant l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) pour permettre la construction de deux immeubles de trois étages, totalisant 12 unités résidentielles, sur le boulevard Saint-Anne à Pointe-au-Père. Les promoteurs du projet sont Christophe Malouin et Pierre-Luc Proulx. Ils ont soumis à la Ville une demande d’approbation relative à un projet particulier qui déroge à certaines normes du R
     

Nouveau projet de construction à Pointe-au-Père

La Ville de Rimouski amorce le processus visant l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) pour permettre la construction de deux immeubles de trois étages, totalisant 12 unités résidentielles, sur le boulevard Saint-Anne à Pointe-au-Père.

Les promoteurs du projet sont Christophe Malouin et Pierre-Luc Proulx.

Ils ont soumis à la Ville une demande d’approbation relative à un projet particulier qui déroge à certaines normes du Règlement de zonage soit : le nombre de bâtiments principaux autorisés sur un même terrain; le nombre d’étages autorisés; le nombre de logements autorisés; les escaliers extérieurs ouverts menant aux étages supérieurs; la bande de verdure entre une aire de stationnement de plus de cinq cases et une ligne latérale et le nombre d’aires de stationnement.

Le maire de Rimouski, Guy Caron, rappelle que la Ville a adopté, en janvier 2023, le Plan de lutte contre la pénurie de logements, notamment en misant sur la construction de 2 500 unités de logement dans les prochaines années.

Recommandé par le CCU

Le projet particulier a été soumis au comité consultatif d’urbanisme (CCU) de la Ville, le 12 août. Ce dernier recommande au conseil municipal de l’accepter sous certaines conditions.

Le conseil municipal a donc adopté, aux fins de consultation publique, un premier projet de résolution en vue d’approuver, le PPCMOI. Une consultation publique aura lieu à une prochaine séance du conseil.

Des projets intéressants

Ce projet suit le même cheminement que ceux de la conversion de l’ancien bar Le Campus en logements étudiants et de la construction d’un bâtiment résidentiel de 15 logements au 266, rue Saint-Germain Est par les Immeubles DTM.

« Ce sont de beaux projets intéressants et qui évoluent. Le PPCMOI est une étape assez fréquente pour ces projets résidentiels privés. Ce sont des projets qui vont ajouter quelques dizaines d’unités de logement sur le territoire de la Ville », indique monsieur Caron.

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  • L’assurance-emploi sur le radar d’Alexis Deschênes
    La réforme du régime d’assurance-emploi est toujours un enjeu d’actualité que le député bloquiste du comté de Gaspésie-Les Îles-de-la-Madeleine, Alexis Deschênes, aimerait régler une fois pour toutes. Même si les problèmes liés à l’assurance-emploi résonnent dans la tête des gens comme une situation créée par le gouvernement conservateur de Stephen Harper, il faut remonter dix ans auparavant, lors de l’ère de Jean Chrétien, pour constater les premiers grands changements au régime d’assurance-
     

L’assurance-emploi sur le radar d’Alexis Deschênes

3 septembre 2025 à 11:00

La réforme du régime d’assurance-emploi est toujours un enjeu d’actualité que le député bloquiste du comté de Gaspésie-Les Îles-de-la-Madeleine, Alexis Deschênes, aimerait régler une fois pour toutes.

Même si les problèmes liés à l’assurance-emploi résonnent dans la tête des gens comme une situation créée par le gouvernement conservateur de Stephen Harper, il faut remonter dix ans auparavant, lors de l’ère de Jean Chrétien, pour constater les premiers grands changements au régime d’assurance-chômage, alors rebaptisé assurance-emploi.

Si le gouvernement libéral de l’époque avait grandement changé les règles du régime, notamment en abaissant les revenus assurables à 55 %, d’autres réformes et modifications viendront toucher directement les travailleurs saisonniers, surtout au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie. On peut penser à l’augmentation du nombre d’heures minimales pour se qualifier à l’assurance-emploi. Malgré la promesse de « réparer » le tout, le gouvernement de Justin Trudeau n’aura jamais ramené le régime là où il était il y a 30 ans.

Maintenir la pression

Pour le député actuel, Alexis Deschênes, il faut maintenir la pression sur le gouvernement fédéral.

« Aujourd’hui, on ne parle plus seulement des prestataires d’assurance-emploi, mais bien des employeurs. Il en va de la compétitivité de nos entreprises. »

Alexis Deschênes donne l’exemple d’une entreprise qui œuvre dans la transformation des produits de la mer.

(Photo: Pierre Michaud-archives)

« Si pour une raison ou une autre, il y a moins de crabes une année, la conséquence est qu’il y a moins d’ouvrage pour ses travailleurs. Et ce qu’on remarque dans notre région est que ces employeurs vont embaucher leurs gens pour une période supérieure à celle dont ils en ont besoin simplement pour permettre aux travailleurs d’avoir suffisamment d’heures pour se qualifier à l’assurance-emploi. »

Ce qui fâche le député est le fait que les employeurs se retrouvent à compenser pour un régime trop rigide, et ce, même s’il y a des surplus dans les coffres.

« Le système canadien est l’un des moins généreux en Occident. On redonne à peine 66 % du salaire contrairement à 80 ou même 90 % dans certains pays d’Europe. Il faut que nos travailleurs puissent y accéder plus facilement et qu’ils en retirent davantage. On doit avoir un minimum de 35 semaines, ce qui permettrait tout le temps de faire ses heures. »

Quant à savoir si un travailleur devrait combler le reste de l’année en occupant un autre emploi, Alexis Deschênes n’est pas contre l’idée si certaines personnes veulent améliorer leur sort, mais l’idée générale est de ne pas voler la caisse de l’assurance-emploi qui est remplie par les travailleurs et les employeurs pour l’utiliser à d’autres fins décidées par le gouvernement. 

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  • Prendre position : l’engagement médiatique de gauche au Québec
    En novembre 2022 se tenait la première édition du Rendez-vous des médias critiques de gauche1. Les artisans et les artisanes d’une vingtaine de publications se sont rencontrés pour discuter des défis auxquels font face les médias engagés de gauche au Québec. De cet événement est né le Regroupement des médias critiques de gauche (RMCG)2 qui se veut un réseau de discussion, de partage et d’organisation pour nos médias au Québec. Depuis, le Regroupement rassemble des publications écrites, imprim
     

Prendre position : l’engagement médiatique de gauche au Québec

3 septembre 2025 à 10:28

En novembre 2022 se tenait la première édition du Rendez-vous des médias critiques de gauche1. Les artisans et les artisanes d’une vingtaine de publications se sont rencontrés pour discuter des défis auxquels font face les médias engagés de gauche au Québec. De cet événement est né le Regroupement des médias critiques de gauche (RMCG)2 qui se veut un réseau de discussion, de partage et d’organisation pour nos médias au Québec.

Depuis, le Regroupement rassemble des publications écrites, imprimées ou numériques, qui partagent une même sensibilité poli­tique progressiste. Plus particulièrement, il s’intéresse aux enjeux et aux défis que nos médias rencontrent, ainsi qu’aux stra­tégies logistiques et politiques à mettre en œuvre au bénéfice du Regroupement et de ses idées. Le RMCG compte actuellement 14 médias membres participants, auxquels s’ajoutent trois membres observateurs3, ainsi qu’un large réseau de collaborateurs et de collaboratrices. Globalement, nos médias s’appuient sur le travail collaboratif de militants, de professionnels des sciences sociales et des personnes ou de communautés directement concernées par les sujets traités, pour la plupart sur une base bénévole.

L’engagement médiatique du Regroupement

La méthode de travail de nos médias se déploie généralement en trois temps : une délibération collective en vue de sélectionner les thèmes à traiter, une restitution des faits, puis une réflexion critique, parfois prescriptive. Ce lien entre recherche objective et analyse engagée structure notre démarche médiatique. Pour le RMCG, le travail médiatique vise une transformation sociale qui implique d’abolir les différents systèmes d’exploitation et d’oppression, et d’œuvrer à l’établissement d’une société égalitaire et solidaire. Ces valeurs justifient le choix des sujets abordés, la manière dont on les traite et les personnes sollicitées pour les développer.

Nous pensons que nos médias doivent fournir les outils de compréhension nécessaires pour transformer nos sociétés. Nous constatons que le mythe de la neutralité journalistique défendu par plusieurs médias grand public contribue à faire le lit d’un système qui détruit notre environnement et reproduit les inégalités socio-écono­miques. Cette prétendue neutralité n’est pas un acte de rigueur intellectuelle. C’est plutôt un faux-fuyant pour justifier le consensus libéral, la dépolitisation des enjeux sociétaux, si ce n’est une ligne éditoriale non assumée ou des convictions idéologiques dissimulées. Nos positions transparentes permettent au lectorat de situer nos contenus sur le spectre idéologique, et donc de favoriser la pensée critique.

Notre vision de l’enquête relève du militantisme et tranche avec la vision établie d’un journalisme prétendant à la neutralité tout en suivant les cadres d’un modèle d’affaires4. Notre but est de nourrir le débat public, un principe au fondement d’une mise en œuvre concrète et directe de la démocratie. En ce sens, il nous paraît important de rappeler, à la suite de Pierre Beaudet, militant de longue date et précurseur de la convergence, qu’il « y a une discussion générale, politique, qu’il faut toujours développer, sur les médias, leur rôle dans notre société ».

Le RMCG, tourné vers l’avenir

L’existence du Regroupement a favorisé la mise en com­mun de ressources afin de promouvoir les événements des médias membres, la concertation logistique pour la réalisation de nos lancements respectifs, l’échange de réflexions sur les contenus et la mobi­lisation autour d’enjeux politiques ou de société (notamment autour de la mise à pied des camarades de la revue Relations). De plus, afin de contrer la censure du groupe Meta sur le contenu généré par les médias canadiens, le RMCG a mis sur pied un site colligeant les publications de nos membres (www.gauche.media). Il agit d’un carrefour donnant accès à l’ensemble de nos productions depuis janvier 2023.

Le Regroupement continue de se développer au gré des rencontres, suivant une philosophie d’organisation col­lective et démocratique. Depuis mars 2024, le RMCG s’appuie sur un comité de liaison constitué de quatre membres dont le mandat vise à développer et à promouvoir les activités du regroupement ainsi qu’à faci­liter les communications internes. Après ceux de 2022 et 2024, nous entrevoyons la tenue d’un troisième Rendez-vous des médias critiques de gauche à l’automne 2025. La mobilisation n’est pas terminée : le rôle de catalyseur du RMCG ne fait que commencer. Vous faites partie d’un média qui se définit comme étant de gauche? Vous vous intéressez au processus? Nous vous invitons à rejoindre le mouvement!

1. À ce propos, nous vous invitons à lire l’article « Rendez-vous des médias critiques de gauche » paru dans le numéro 95 d’À bâbord ! : www.ababord.org/Rendez-vous-des-medias-critiques-de-gauche

2.  La liste complète de nos membres est disponible sur le site www.gauche.media

3.  L’Esprit Libre, Leftwingbooks et la Gazette de la Mauricie s’ajoutent au Regroupement à titre de membres observateurs.

4.  À ce propos, nous vous invitons à lire notre texte paru dans le numéro 47 de la revue Le Trente publiée par la Fédération professionnelle des journalistes du Québec.

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  • Côté-Paradis devrait plaider coupable jeudi
    Un des deux hommes arrêtés le 1er mai 2024 à la suite de trois perquisitions dans le secteur de la 6e rue Est à Dégelis, Keven Côté-Paradis, 31 ans, de Lejeune, était de retour à la Cour lundi à Rivière-du-Loup pour disposer de ses dossiers avec une réponse à l’accusation avant le procès, mais le tout a été reporté à ce jeudi 4 septembre. Les policiers de la MRC Témiscouata, en collaboration avec la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec, ont procédé le 1er mai 20
     

Côté-Paradis devrait plaider coupable jeudi

Un des deux hommes arrêtés le 1er mai 2024 à la suite de trois perquisitions dans le secteur de la 6e rue Est à Dégelis, Keven Côté-Paradis, 31 ans, de Lejeune, était de retour à la Cour lundi à Rivière-du-Loup pour disposer de ses dossiers avec une réponse à l’accusation avant le procès, mais le tout a été reporté à ce jeudi 4 septembre.

Les policiers de la MRC Témiscouata, en collaboration avec la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec, ont procédé le 1er mai 2024 à trois perquisitions qui ont permis de saisir :

  • Environ 50 grammes de cannabis illicite ;
  • Environ 40 grammes de cocaïne ;
  • Environ 100 graines de cannabis ;
  • Un certain montant d’argent comptant ;
  • Divers équipements servant au trafic de stupéfiants ;
  • 1 arme prohibée ;
  • 1 véhicule Chevrolet Colorado 2017 à titre de bien infractionnel
(Photo courtoisie)

En liberté depuis le 6 mai 2024

Côté-Paradis a été remis en liberté sous conditions le 6 mai 2024. Il a comparu une première fois le 2 mai pour faire face à des accusations en matière de stupéfiants. Il est demeuré détenu avant de revenir au tribunal le 3 mai pour son enquête sur remise en liberté qui avait alors été remise au 6 mai. Il a donc été détenu du 1er au 6 mai.

La SQ signale que ce sont des informations reçues du public qui ont permis de mener à bien cette opération.

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  • De la gigue pour tous cet automne
    Les activités du Club Gigus reprennent pour la saison automnale à Rimouski. Il sera possible de pratiquer la gigue avec des groupes de différents niveaux, dès le 15 septembre.  Toute personne de 12 ans et plus peut s’initier à cette danse traditionnelle. Club Gigus offre des cours dans l’Est-du-Québec depuis 2023.  « Nous avons maintenant un groupe pour les habitués qui sont là depuis le début. Ça gigue en masse à Rimouski. Il y a aussi la possibilité pour les débutants de commencer », ind
     

De la gigue pour tous cet automne

3 septembre 2025 à 09:00

Les activités du Club Gigus reprennent pour la saison automnale à Rimouski. Il sera possible de pratiquer la gigue avec des groupes de différents niveaux, dès le 15 septembre. 

Toute personne de 12 ans et plus peut s’initier à cette danse traditionnelle. Club Gigus offre des cours dans l’Est-du-Québec depuis 2023. 

« Nous avons maintenant un groupe pour les habitués qui sont là depuis le début. Ça gigue en masse à Rimouski. Il y a aussi la possibilité pour les débutants de commencer », indique la codirectrice et cofondatrice, Yaëlle Azoulay. 

La pratique de la gigue permet de partager une tradition dans le plaisir.

« Comme c’est le cas avec beaucoup d’autres loisirs, une grosse partie du plaisir est de se retrouver en gang pour s’amuser en faisant la même chose tous ensemble. »

Les cours de Club Gigus s’adressent aux 12 ans et plus. (Photo courtoisie)

Les participants apprendront les bases du vocabulaire de la gigue, l’improvisation et de petites séquences dans le plaisir, le rythme et le jeu. 

« La gigue québécoise est axée sur le rythme, mais aussi sur la relation avec la musique qui est très importante dans les cours de gigue. Ce n’est pas une danse figée. On ne danse pas comme on dansait il y a 100 ans. Elle a évolué et elle s’est transmise de génération en génération comme n’importe quelle autre forme de patrimoine vivant », souligne madame Azoulay. 

Un bon exercice

Les intéressés n’ont pas besoin de souliers particuliers pour venir au cours.

« On apporte sa propre couleur. C’est un exercice super cardio. C’est donc une façon de rester en forme. Nous trouvons que c’est une belle forme de danse et elle s’inscrit à l’intérieur de la grande famille du patrimoine vivant. C’est important d’être conscient de toutes ces belles choses qui existent et qui sont propres à la culture du Québec », explique Yaëlle Azoulay. 

Les cours se tiendront, les lundis, au centre communautaire du district Nazareth à Rimouski. Il est possible de s’inscrire au www.clubgigus.com.

Les curieux sont les bienvenues afin de participer au premier cours
gratuitement.

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  • Tomas Gagné évoluera avec les Saguenéens de Chicoutimi
    Le Matanais Tomas Gagné a été sélectionné pour faire partie de la formation des Saguenéens de Chicoutimi au terme d’un camp d’entraînement concluant. L’appel a été logé au cours de l’été. « J’espérais que ça arrive parce que j’ai énormément travaillé pour ça. Donc quand j’ai reçu l’invitation, j’étais très heureux. À partir de ce moment-là, je me disais que j’avais tout à gagner et rien à perdre, donc ça m’a aidé à mettre le stress de côté. En plus, l’organisation nous a mis en confiance
     

Tomas Gagné évoluera avec les Saguenéens de Chicoutimi

3 septembre 2025 à 08:00

Le Matanais Tomas Gagné a été sélectionné pour faire partie de la formation des Saguenéens de Chicoutimi au terme d’un camp d’entraînement concluant.

L’appel a été logé au cours de l’été.

« J’espérais que ça arrive parce que j’ai énormément travaillé pour ça. Donc quand j’ai reçu l’invitation, j’étais très heureux. À partir de ce moment-là, je me disais que j’avais tout à gagner et rien à perdre, donc ça m’a aidé à mettre le stress de côté. En plus, l’organisation nous a mis en confiance dès les premières heures », explique Tomas Gagné.

Le principal intéressé a joué trois demi-matchs préparatoires contre Baie-Comeau et Rimouski. « J’étais fier de ma performance et j’ai réussi à démontrer ce que j’étais capable de faire », ajoute-t-il.

Le jeune gardien de buts a ainsi convaincu le personnel d’entraîneurs de lui faire une place pour la saison 2025-2026. Lors d’un match présaison contre l’Océanic, Tomas Gagné n’a donné qu’un seul but sur 52 lancers.

Lors d’un match présaison contre l’Océanic, Tomas Gagné n’a donné qu’un seul but sur 52 lancers. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Selon lui, son calme est un de ses atouts majeurs.

« Chaque match, mes coéquipiers peuvent compter sur moi pour donner mon maximum. Je vais me battre pour chaque rondelle afin d’être le premier à aller la chercher. Je veux amener une confiance et un calme à mes coéquipiers en zone défensive. Je ne serai pas ce genre de gardien qui s’amuse à jongler avec la rondelle. »

C’est donc une nouvelle aventure qui débute pour le Matanais qui aura le rôle d’épauler le gardien partant de la formation, Raphaël Précourt. Il fait partie du trio de gardiens qui entameront la saison en compagnie de Mathias Hernandez.

Bagage d’expérience

Le gardien a déjà un impressionnant bagage d’expérience malgré son jeune âge.

Il a évolué au sein des Grads de Navan (Ottawa) dans la Central Canadian hockey league où il a conservé une moyenne de 3.02 au cours de la saison régulière et 2.82 pendant les séries éliminatoires.

Auparavant, il a fait partie des Albatros/Océanic dans la catégorie Bantam AAA. Il a également pu perfectionner son art au cœur de de l’Académie internationale de hockey Le Sommet.

Tomas a aussi eu l’occasion de défendre les couleurs des Sieurs de Matane en début de parcours.

Atteindre la Ligue de hockey junior Maritimes Québec était l’un de ses objectifs. C’est maintenant chose faite.

« Je cherche à m’établir comme un bon gardien dans la ligue, mais si je me projette dans l’avenir dans quelques années, j’aimerais intégrer un programme dans une université américaine », conclut-il.

  • ✇Journal Le Soir
  • Quatorze tonnes de déchets retirés du Saint-Laurent
    L’Expédition Saint-Laurent et ses bassins versants 2025 a permis de retirer 30 800 livres de déchets de la nature, de la Montérégie à la Gaspésie. Ce sont 14 tonnes de matières polluantes qui ont été éliminées dans le Saint-Laurent et ses affluents. L’organisation a qualifié l’événement qui se déroulait en août de « franc succès environnemental ». Cette mission de sensibilisation et de recherche scientifique a permis de mobiliser plus de 350 citoyens et élus à travers 22 municipalités côtière
     

Quatorze tonnes de déchets retirés du Saint-Laurent

3 septembre 2025 à 07:00

L’Expédition Saint-Laurent et ses bassins versants 2025 a permis de retirer 30 800 livres de déchets de la nature, de la Montérégie à la Gaspésie. Ce sont 14 tonnes de matières polluantes qui ont été éliminées dans le Saint-Laurent et ses affluents.

L’organisation a qualifié l’événement qui se déroulait en août de « franc succès environnemental ». Cette mission de sensibilisation et de recherche scientifique a permis de mobiliser plus de 350 citoyens et élus à travers 22 municipalités côtières du Québec, dont Rivière-du-Loup, Cacouna, Trois-Pistoles,
Cap-Chat et Bonaventure.

« C’est encourageant de voir autant de citoyens et d’élus se mobiliser pour la protection du Saint-Laurent. Avec les centaines de volontaires et les dizaines de milliers de personnes qui nous ont suivis sur les réseaux sociaux, on a senti la volonté des gens de se réunir pour le changement », rapporte le chef d’expédition, Jimmy Vigneux.

Il s’agissait de la deuxième expédition du genre. Une troisième est dans les cartons, mais rien d’officiel pour le moment.

Dix-huit membres sur le terrain

L’équipe d’Expédition Saint-Laurent est menée par Mission 1000 tonnes et Stratégies Saint-Laurent. Elle comptait cette année 18 membres : restaurateurs écologiques, plongeurs professionnels, artistes multimédias et scientifiques. Une cohorte jeunesse de six personnes étaient aussi présente.

Jimmy Vigneux et Lyne Morissette (Photo courtoisie)

En plus de retirer des déchets, le but est aussi d’offrir des conférences de sensibilisation, effectuer un échantillonnage scientifique des microplastiques, analyser la nature des déchets collectés et inciter les municipalités visitées à ratifier le Défi Saint-Laurent. Ce programme encourage la réduction de l’usage des plastiques et une meilleure gestion des déchets. Trois nouvelles municipalités y ont adhéré cette année.

Caractérisation et propreté

Une caractérisation des déchets a eu lieu dans 7 municipalités. Les déchets ont été triés, comptés et pesés selon un protocole scientifique. Les données de ces caractérisations sont transmises à Pêches et Océans Canada (MPO). Le but est de mieux comprendre la nature, la source et l’impact des déchets retrouvés sur les berges du Saint-Laurent.

En quantité de déchets, le plastique arrive au premier rang. Selon les régions, le type peut varier, allant des bouteilles aux emballages, en passant par les sacs, les cartouches de fusil et les produits d’hygiène.

« Nous avons ramassé aussi beaucoup de métal, de canettes et de mégots de cigarettes, précise Lyne Morissette, chef scientifique de l’Expédition Saint-Laurent. Nous sommes fiers d’avoir retiré autant de tonnes de déchets de l’environnement, mais cela veut aussi dire que le problème de pollution côtière par les déchets est important au Québec. Nos nettoyages font une petite différence, mais le réel changement passe par la réduction de production de déchets. »

De nombreux échantillons de sédiments et d’eau ont aussi été prélevés tout au long du parcours. Ceux-ci seront étudiés dans des laboratoires universitaires. Ultimement, leur composition chimique sera déterminée. La quantité de particules de microplastiques qu’ils contiennent sera aussi analysée.

Depuis sa fondation en 2018, Mission 1000 tonnes a permis de retirer 580 tonnes de déchets. Près de 5000 nettoyages collectifs ont été effectués. Plus de 85 000 bénévoles au Québec et à l’international ont mis l’épaule à la roue.

Reçu avant avant-hierBas Saint-Laurent
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  • Charle Truchon sur le mur d’honneur du Colisée Béton Provincial
    Le hockeyeur matanais et ex-Océanic, Charle Truchon, a rejoint un groupe sélect d’une vingtaine de joueurs à avoir leur photo sur le mur d’honneur du Colisée Béton Provincial de Matane. Cette initiative personnelle émane de Denis Gauthier, grand passionné et promoteur de plusieurs événements sportifs dans la région. Il y a une dizaine d’années, avec l’accord de la Ville de Matane, Denis Gauthier avait d’abord monté une petite exposition permanente regroupant des photos de l’histoire du ho
     

Charle Truchon sur le mur d’honneur du Colisée Béton Provincial

2 septembre 2025 à 19:00

Le hockeyeur matanais et ex-Océanic, Charle Truchon, a rejoint un groupe sélect d’une vingtaine de joueurs à avoir leur photo sur le mur d’honneur du Colisée Béton Provincial de Matane.

Cette initiative personnelle émane de Denis Gauthier, grand passionné et promoteur de plusieurs événements sportifs dans la région.

Il y a une dizaine d’années, avec l’accord de la Ville de Matane, Denis Gauthier avait d’abord monté une petite exposition permanente regroupant des photos de l’histoire du hockey à Matane et des grands événements sportifs qui s’étaient tenus au Colisée.

Par la suite est venu le mur des athlètes matanais qui ont évolué au moins un an dans une ligue de niveau supérieur.

« J’ai toujours appelé ça le mur de la persévérance. C’est pour démontrer aux jeunes qu’ils peuvent se fixer des objectifs et les atteindre », confie-t-il.

Pas seulement la LNH

Denis Gauthier tenait aussi à souligner qu’avant de rêver à la Ligue nationale de hockey, il y a d’autres étapes à franchir qui sont importantes dans un parcours, à commencer par la Ligue de hockey junior Maritimes Québec.

« Depuis l’arrivée du Drakkar et de l’Océanic, nos jeunes bas-laurentiens et gaspésiens sont davantage repêchés par la ligue. C’est bon pour nos athlètes, mais aussi pour la ligue qui créé un sentiment d’appartenance avec ses amateurs. »

Charle Truchon a remporté la Coupe Memorial, en 2023, avec les Remparts de Québec. (Photo – Candice Ward/CHL)

C’est tout un travail de moine que Denis Gauthier s’est donné pour retrouver tous les joueurs qui ont commencé leur parcours mineur à Matane et qui ont évolué au moins une année complète dans la Ligue junior Maritimes Québec.

« Le plus récent est Charle Truchon. Il a tout raflé, autant un trophée personnel que la Coupe Memorial et la Coupe du Président. »

Souligner le parcours des athlètes

Il rejoint donc la vingtaine de joueurs présents sur le mur d’honneur qui remonte à l’époque de Serge Bernier et Alain Côté.

Les prochains joueurs à se retrouver sur le mur d’honneur pourraient être Jean-François Bélanger, qui évolue maintenant à Terre-Neuve et Tomas Gagné, qui vient d’être signé par les Saguenéens de Chicoutimi.

« C’est important pour moi de souligner le parcours de nos jeunes athlètes et je vais continuer de le faire tant que je pourrai », conclut Denis Gauthier.

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  • Des garderies qui manquent d'enfants
    Une pénurie d'enfants se fait ressentir dans les services de garde éducatifs à l'enfance au Bas-Saint-Laurent. Une situation bien différente d'il y a quelques années, où les parents ne réussissaient pas à obtenir de place à leur retour au travail. Les explications de Sophie Martin.
     
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  • Délit de fuite à Saint-Ulric : la SQ recherche des témoins
    La Sûreté du Québec est à la recherche de témoins en lien avec le délit de fuite qui s’est produit le 24 août dernier. Afin de recueillir le maximum d’informations concernant ce délit de fuite, la Sûreté du Québec installera un poste de commandement ce mercredi 3 septembre, de 10 h à 18 h, au terrain de balle de Saint-Ulric situé au 370, rue du Centenaire. Les gens sont invités à venir rencontrer les enquêteurs afin de recueillir les témoignages de gens qui auraient des informations relati
     

Délit de fuite à Saint-Ulric : la SQ recherche des témoins

2 septembre 2025 à 18:00

La Sûreté du Québec est à la recherche de témoins en lien avec le délit de fuite qui s’est produit le 24 août dernier.

Afin de recueillir le maximum d’informations concernant ce délit de fuite, la Sûreté du Québec installera un poste de commandement ce mercredi 3 septembre, de 10 h à 18 h, au terrain de balle de Saint-Ulric situé au 370, rue du Centenaire.

Les gens sont invités à venir rencontrer les enquêteurs afin de recueillir les témoignages de gens qui auraient des informations relatives à ce délit de fuite.

On rappelle que tout renseignement, aussi minime soit-il, peut être utile pour l’enquête.

Motocycliste retrouvé inanimé

L’accident s’est produit le 24 août, vers 3 h 45, dans la nuit. Un jeune motocycliste circulait sur la route James lorsqu’il est entré en collision avec un autre véhicule.

Le motocycliste a été retrouvé inanimé sur la chaussée. Il a été transporté d’urgence à l’hôpital pour y soigner des blessures sérieuses. Il est toujours dans un état critique, mais stable pour le moment.

Les gens sont invités à venir rencontrer les enquêteurs afin de recueillir les témoignages de gens qui auraient des informations relatives à ce délit de fuite. (Photo courtoisie SQ)

Selon les informations de la Sûreté du Québec, le conducteur du véhicule impliqué dans l’accident ne serait pas demeuré sur les lieux pour porter assistance à la victime et aurait pris la fuite.

Par ailleurs, rappelons que toute personne possédant de l’information peut aussi appeler la Centrale d’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1-800 659-4264.

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  • L’Est-du-Québec s’enfonce davantage
    Les petites localités éloignées des centres urbains poursuivent leur lent déclin. L’indice de vitalité économique des municipalités québécoises montre encore une fois que les régions de l’Est-du-Québec peinent à rivaliser avec les grands centres.  La population des plus petites localités est vieillissante, les revenus sont faibles et l’emploi rare. Le préfet de la MRC de La Côte-de-Gaspé et maire de Gaspé, Daniel Côté, pointe du doigt la centralisation et réclame davantage de pouvoirs pour le
     

L’Est-du-Québec s’enfonce davantage

2 septembre 2025 à 17:00

Les petites localités éloignées des centres urbains poursuivent leur lent déclin. L’indice de vitalité économique des municipalités québécoises montre encore une fois que les régions de l’Est-du-Québec peinent à rivaliser avec les grands centres. 

La population des plus petites localités est vieillissante, les revenus sont faibles et l’emploi rare. Le préfet de la MRC de La Côte-de-Gaspé et maire de Gaspé, Daniel Côté, pointe du doigt la centralisation et réclame davantage de pouvoirs pour les régions afin de renverser la tendance.

L’indice de vitalité des territoires est compilé par l’Institut de la statistique du Québec. Le plus récent rapport montre que, sur les 229 municipalités affichant l’indice le plus faible, une centaine se trouvent dans l’Est-du-Québec, soit 48 au Bas-Saint-Laurent, 31 en Gaspésie et 20 sur la Côte-Nord.

Les deux tiers des localités gaspésiennes, la moitié de celles de la Côte-Nord et 40 % de celles du Bas-Saint-Laurent figurent parmi les plus dévitalisées au Québec. La municipalité qui affiche l’indice le plus faible de toute la province est La Martre, en Haute-Gaspésie.

« Ce sont des milieux vieillissants. Les jeunes partent en raison de la décomposition des services. Surtout, les personnes les plus susceptibles de bouger sont celles qui en ont les moyens. Ceux qui restent, ce sont les plus défavorisés », constate le directeur scientifique de l’Observatoire des trajectoires territoriales et régionales de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Nicolas Devaux.

Villages frappés de plein fouet

Plusieurs enjeux échappent au contrôle des petites communautés, dont les changements climatiques qui affectent les pêches, le déclin de l’industrie forestière ou encore les bouleversements économiques mondiaux. Ces facteurs frappent de plein fouet les villages.

Le directeur scientifique de l’Observatoire des trajectoires territoriales et régionales de l’Université du Québec à Rimouski, Nicolas Devaux. (Photo courtoisie UQAR)

« Les petites localités ont un pouvoir assez limité. À l’échelle d’une MRC, il y a peut-être des choses à faire de façon coordonnée, mais un village isolé aura du mal. Il n’y a pas de solution universelle », soutient monsieur Devaux. 

Décentralisation : promesse constamment reportée

« C’est plus facile de faire monter une morue à Québec que de faire descendre un fonctionnaire à Gaspé. » Par cette boutade, l’ancien premier ministre René Lévesque illustrait déjà la difficulté de décentraliser les pouvoirs vers les régions. 

« Tant qu’on accordera plus de poids à l’opinion de fonctionnaires à Québec qu’à celle des élus régionaux, on se retrouvera avec les mêmes résultats », croit le maire de Gaspé, Daniel Côté.

En 1978, René Lévesque voulait installer la direction des pêches à Gaspé, mais il n’a jamais pu concrétiser son projet. Cinquante ans plus tard, elle est toujours à Québec.

« Il y a une forte tendance centralisatrice. On nous impose des décisions et des programmes mur à mur, loin de nos réalités. C’est là le cœur du problème », déplore monsieur Côté.

Besoins réels des régions

Comme plusieurs autres élus, il réclame plus de latitude pour investir en fonction des priorités et des besoins réels des régions. « Je pense qu’on investirait beaucoup mieux l’argent public si on décentralisait les pouvoirs. »

Aussi préfet de la MRC de la Côte-de-Gaspé, Daniel Côté ouvre aussi la réflexion sur les regroupements municipaux et le partage de services pour créer un plus grand levier économique. « Plus la localité est petite, plus elle se dévitalise. Devrait-on regrouper davantage nos forces ? »

Selon lui, de plus en plus de villages n’ont plus les moyens ni les ressources humaines nécessaires pour stimuler leur développement. 

« On perd beaucoup d’argent si on veut se regrouper, alors qu’on pourrait gagner une véritable force de frappe », déplore monsieur Côté. 

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  • Chez Gérard Patates Frites lorgne Rimouski
    Présentement en pleine expansion, le casse-croûte Chez Gérard Patates Frites, une franchise présente principalement dans la région des Laurentides, souhaite prendre de l’expansion partout au Québec, dont à Rimouski. « Nos restaurants offrent une expérience unique et de bon goût. Nous visons une présence partout à travers la province de Québec », lance la propriétaire du restaurant de Brownsburg-Chatham, Sabrina Racette, qui verrait d’un bon œil recevoir une offre d’un franchisé de Rimouski, s
     

Chez Gérard Patates Frites lorgne Rimouski

Présentement en pleine expansion, le casse-croûte Chez Gérard Patates Frites, une franchise présente principalement dans la région des Laurentides, souhaite prendre de l’expansion partout au Québec, dont à Rimouski.

« Nos restaurants offrent une expérience unique et de bon goût. Nous visons une présence partout à travers la province de Québec », lance la propriétaire du restaurant de Brownsburg-Chatham, Sabrina Racette, qui verrait d’un bon œil recevoir une offre d’un franchisé de Rimouski, selon un échange de courriels avec Le Soir.ca.

Fondée en 1958

C’est en 1958 que l’entreprise Chez Gérard Patates Frites a vu le jour.

Débutant comme un petit stand à patates basé à Saint-Joseph-du-Lac où famille et amis se rassemblaient autour d’une bonne bouffe, il devient rapidement la référence dans son domaine en se distinguant par ses frites fraîches préparées quotidiennement, mais aussi par son service convivial.

« Vous aimeriez démarrer votre entreprise dans le domaine de l’alimentation et vous associer à une organisation qui a fait ses preuves? Nous avons des franchises disponibles. Nous vous offrons l’opportunité de vous épanouir dans un environnement dynamique et convivial. Vous êtes prêts à démarrer une franchise? Nous serons ravis de discuter avec vous de tous les détails entourant l’ouverture d’un restaurant Chez Gérard », mentionne l’entreprise sur son site Internet.

Menu

Chez Gérard Patates Frites est actuellement présent à Brownsburg-Chatham, Mirabel. Mont-Laurier, Saint-Eustache et Saint-Joseph-du-Lac.

L’entreprise offre un menu de type casse-croûte, soit des hot-dogs, hamburgers, frites, poutines, sous-marins et club sandwichs.

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  • Plus de 930 000 $ pour le développement bioalimentaire
    Le Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent (CRD) annonce, au nom des partenaires de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire, les résultats des deux premiers appels à projets du volet 3 du Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, 2024–2026. Ce volet vise notamment à soutenir des initiatives répondant aux priorités régionales identifiées dans le Plan régional de développement bioalimentaire promu par la Table de concertation bioalimen
     

Plus de 930 000 $ pour le développement bioalimentaire

2 septembre 2025 à 15:00

Le Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent (CRD) annonce, au nom des partenaires de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire, les résultats des deux premiers appels à projets du volet 3 du Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, 2024–2026.

Ce volet vise notamment à soutenir des initiatives répondant aux priorités régionales identifiées dans le Plan régional de développement bioalimentaire promu par la Table de concertation bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent.

Près de 3 M$ investis

Au total, 28 projets, représentant 4 562 000 $, ont été déposés lors des deux périodes d’appel.

Parmi ceux-ci, 19 (7 d’entreprises privées et 12 à portée collective) se sont qualifiés pour obtenir un financement, pour un montant total distribué par le Fonds de 935 204 $. En tenant compte de la contribution du milieu, le montant global des projets soutenus représente un investissement de près de 3 000 000 $ dans la région.

Des projets d’études, d’achats ou de mutualisation d’équipements ainsi que de mise en marché de proximité ont notamment été soutenus.

Parmi ceux-ci se trouvent :

  • L’implantation d’un atelier collectif de conditionnement bioalimentaire adapté au secteur mycologique et des produits forestiers non ligneux bas-laurentiens
  • La poursuite du développement de la filière du lin dans l’Est du Bas-Saint-Laurent
  • Le soutien à la croissance de la filière biologique
  • Le projet reconquête ovine de l’Est-du-Québec qui vise à stimuler la compétitivité des entreprises impliquées
  • Le démarrage de l’entreprise de fabrication de charcuteries artisanales Florent charcuterie
  • L’optimisation du conditionnement de grains biologiques par la Ferme Geonel.

« Les projets retenus témoignent de la vitalité des entreprises et des collectifs agricoles bas-laurentiens. La région a à cœur de se mobiliser pour l’agriculture. Grâce à l’implication des MRC, du gouvernement et de nos partenaires, le Fonds de soutien au développement bioalimentaire appuie des projets porteurs, en cohérence avec les besoins du territoire, afin de bâtir un secteur bioalimentaire et une région plus autonome », estime la présidente du Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent, également préfète de la MRC de La Matapédia, Chantale Lavoie.

La préfète de la MRC de La Matapédia, Chantale Lavoie. (Photo courtoisie)

L’Entente sectorielle de développement bioalimentaire

Le Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent 2024-2026 s’inscrit dans le cadre de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire 2024-2026.

Cette entente est initiée et financée par le gouvernement du Québec, Santé Québec – Établissement CISSS du Bas-Saint-Laurent, les huit MRC, le CRD, la Fédération de l’UPA, la Table de concertation bioalimentaire et les Saveurs du Bas-Saint-Laurent.

Deux appels de projets sont en cours dans le cadre de ce Fonds. Le premier soutient des projets répondant aux priorités régionales de développement du secteur bioalimentaire ; il est ouvert jusqu’au 26 septembre. Le second, dédié à l’innovation et aux nouvelles technologies dans ce secteur, est quant à lui ouvert jusqu’au 31 octobre 2025.

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  • Bibliothèques : l’automne est lancé
    La Ville de Rimouski lance sa programmation automnale dans ses bibliothèques municipales.  Les citoyens retrouveront plusieurs rendez-vous populaires, notamment les Heures du conte, la Nuit des toutous, la Soirée ados et les rencontres Creuse-ciboulot, destinées aux 60 ans et plus. La programmation comprend aussi des ateliers variés, une conférence d’auteure et un conte africain. Les traditionnels groupes de tricot feront place cette année aux « rencontres artisanes », un espace pour décou
     

Bibliothèques : l’automne est lancé

2 septembre 2025 à 14:00

La Ville de Rimouski lance sa programmation automnale dans ses bibliothèques municipales. 

Les citoyens retrouveront plusieurs rendez-vous populaires, notamment les Heures du conte, la Nuit des toutous, la Soirée ados et les rencontres Creuse-ciboulot, destinées aux 60 ans et plus.

La programmation comprend aussi des ateliers variés, une conférence d’auteure et un conte africain. Les traditionnels groupes de tricot feront place cette année aux « rencontres artisanes », un espace pour découvrir et partager différentes formes d’artisanat comme la broderie, le point de croix ou le crochet.

La population peut consulter le calendrier complet des activités offertes gratuitement et sans inscription au www.rimouski.ca

Outre Lisette-Morin, la Ville de Rimouski possède des bibliothèques dans les districts Le Bic, Sainte-Blandine et Pointe-au-Père.

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  • La Ville achète un terrain de Riki Bloc
    Le conseil municipal autorise l’achat par la Ville de Rimouski d’un terrain appartenant à la coopérative Riki Bloc sur le site de l’ancienne église de Rimouski-Est pour en faire une place publique pour le quartier de Rimouski-Est. Il s’agit en fait de deux parties du lot de propriété de la Coopérative de solidarité que la Ville acquiert pour le prix de 35 894,69 $, plus les taxes applicables, selon les conditions prévues à la promesse de vente signée le 23 juillet dernier. « L’objectif, se
     

La Ville achète un terrain de Riki Bloc

Le conseil municipal autorise l’achat par la Ville de Rimouski d’un terrain appartenant à la coopérative Riki Bloc sur le site de l’ancienne église de Rimouski-Est pour en faire une place publique pour le quartier de Rimouski-Est.

Il s’agit en fait de deux parties du lot de propriété de la Coopérative de solidarité que la Ville acquiert pour le prix de 35 894,69 $, plus les taxes applicables, selon les conditions prévues à la promesse de vente signée le 23 juillet dernier.

« L’objectif, selon notre plan de vitalisation, c’est de faire une mise en valeur du centre urbain de Rimouski-Est en y aménageant une place publique où les citoyens du quartier pourront se rassembler. Riki Bloc nous a vendu une partie de son terrain qui servira à l’aménagement d’une place publique », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.

Changement de rue au Bic

Par ailleurs, le conseil municipal a entériné, le 25 août, la recommandation du comité de toponymie de la Ville de Rimouski afin que la rue communément appelée « route du Quai », dans le district du Bic, devienne la « rue du Capitaine-Gérard-Côté ».

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