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  • Saint-Gabriel : toutes les taures ont été retrouvées
    Les trois taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau)  qui manquaient à l’appel mercredi ont retrouvé le confort de leur ferme de Saint-Gabriel-de-Rimouski, jeudi, après une cavale d’environ quatre jours. Par Alex Fontaine- Initiative de journalisme local La fugue entreprise samedi soir dernier par les 24 taures est donc terminée. Celles-ci s’étaient enfuies de leur enclos de la ferme Guyloise, dans le Bas-Saint-Laurent, effrayées par des feux d’artifice. L’essentiel du troupea
     

Saint-Gabriel : toutes les taures ont été retrouvées

3 juillet 2025 à 22:00

Les trois taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau)  qui manquaient à l’appel mercredi ont retrouvé le confort de leur ferme de Saint-Gabriel-de-Rimouski, jeudi, après une cavale d’environ quatre jours.

Par Alex Fontaine- Initiative de journalisme local

La fugue entreprise samedi soir dernier par les 24 taures est donc terminée. Celles-ci s’étaient enfuies de leur enclos de la ferme Guyloise, dans le Bas-Saint-Laurent, effrayées par des feux d’artifice.

L’essentiel du troupeau avait été ramené à bon port dans les jours suivants, mais trois bêtes étaient toujours manquantes mercredi. Elles ont été retrouvées dans un boisé environnant et sont rentrées au bercail saines et sauves, jeudi matin.

Le propriétaire de la ferme, François Morissette, s’est dit soulagé de la tournure des événements. « On va pouvoir retourner à notre routine normale », a-t-il dit en entrevue à l’antenne du 98,5 FM.

La traque a mobilisé la famille Morissette ainsi que des amis, des voisins et des entreprises du coin, tous à l’affût d’indices permettant de retrouver les vaches égarées. Des drones ont notamment été utilisés pour tenter de les repérer.

François Morissette attire ses taures avec un sceau de moulée pour les ramener vers la grange. (Photo courtoisie)

Des membres de la famille ont tenu à remercier tous ceux ayant aidé à l’atteinte de cet heureux dénouement.

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  • Le chantier du « Quartier maritime » avance très bien
    La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot, est de passage à Rimouski et elle se dit très heureuse de l’avancement du chantier de construction du « Quartier maritime » qui respecte tous les échéanciers jusqu’à maintenant. Le projet prévoit la construction de deux tours de logements que feront entre quatre et 10 étages. Elles seront reliées par un stationnement souterrain. Les travaux se chiffrent à 130 M$. La Société de dévelop
     

Le chantier du « Quartier maritime » avance très bien

La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot, est de passage à Rimouski et elle se dit très heureuse de l’avancement du chantier de construction du « Quartier maritime » qui respecte tous les échéanciers jusqu’à maintenant.

Le projet prévoit la construction de deux tours de logements que feront entre quatre et 10 étages. Elles seront reliées par un stationnement souterrain. Les travaux se chiffrent à 130 M$. La Société de développement Angus peut compter sur une aide de 64,3 M$ du gouvernement du Québec.

« Nous sommes vraiment que les échéanciers soient respectés. Nous venons de coffrer la dalle du rez-de-chaussée que nous allons couler en partie avant les vacances de la construction et qui sera complété au retour des vacances. Une fois que la dalle sera finie, nous allons voir la structure de coffrage monter. Ça va aller jusqu’à l’automne. Nous sommes toujours dans les mêmes échéanciers qui prévoient que la structure soit montée d’ici la fin de l’année. On s’attend à commencer à poser l’enveloppe de béton préfabriquée en décembre », commente madame Hudon-Huot.

La pose de l’enveloppe de béton ne peut commencer avant que la structure soit totalement complétée.

« C’est à ce moment que les gens pourront voir la pleine hauteur du bâtiment. On devrait en avoir pour quatre mois pour mettre le revêtement extérieur du bâtiment qui sera en panneau préfabriqué de béton », indique la chargée de projet.

Les travaux de décontamination ont commencé au début de février, pour une période de 10 semaines.

« En même temps que la décontamination, nous avons fait l’excavation et le soutènement pour nous assurer qu’il n’y ait pas de glissements de terrain. Ensuite, ce fut les fondations. La dalle du sous-sol sera coulée à la fin de l’année. On commence par celle du rez-de-chaussée. On va voir les étages se construire dans les prochains mois », précise la chargée de projet.

Occupation à l’hiver 2027

Le promoteur vise toujours une fermeture de l’enveloppe du bâtiment pour avril 2026.

« En ce moment, nous n’avons pas de délais sur notre échéancier. Le vent pourrait jouer sur le respect des échéanciers. Les grues ne peuvent pas fonctionner à partir d’une certaine vitesse des vents. Nous avons prévu un certain nombre de journées de vent, mais s’il est plus élevé que nos prévisions, ça pourrait nous retarder. On espère avoir visé juste même si on ne contrôle pas la météo », souligne Marilou Hudon-Huot.

La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

« Nous sommes en plein dans notre échéancier pour une occupation à l’hiver 2027. Il y aura des travaux de finition intérieure une fois que le bâtiment sera fermé. »

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  • Relève assurée pour la Cantine ASL
    a Cantine ASL de Saint-Anaclet-de-Lessard est une affaire familiale depuis 35 ans. Gabrielle et André Lévesque viennent tout juste d’acheter le commerce de leur père, Serge. Les Lévesque ont à cœur d’offrir de la qualité à leurs clients de plus en plus nombreux. L’entreprise a été fondée par le grand-père des nouveaux propriétaires. Il s’était lancé en affaires avec ses deux frères. Ses fils, Serge et Alain Lévesque, ont pris la relève. Aujourd’hui, ce sont les enfants de Serge qui sont deven
     

Relève assurée pour la Cantine ASL

3 juillet 2025 à 17:00

a Cantine ASL de Saint-Anaclet-de-Lessard est une affaire familiale depuis 35 ans. Gabrielle et André Lévesque viennent tout juste d’acheter le commerce de leur père, Serge. Les Lévesque ont à cœur d’offrir de la qualité à leurs clients de plus en plus nombreux.

L’entreprise a été fondée par le grand-père des nouveaux propriétaires. Il s’était lancé en affaires avec ses deux frères. Ses fils, Serge et Alain Lévesque, ont pris la relève. Aujourd’hui, ce sont les enfants de Serge qui sont devenus à la tête de l’entreprise familiale. 

« Il y a sept ans, mon frère André et moi avons acheté les actions de mon oncle et maintenant nous achetons celles de mon père. C’est familial depuis le début. Je suis fébrile et fière que ça reste dans la famille », exprime Gabrielle Lévesque.

Même s’il a vendu ses parts de l’entreprise à ses enfants, Serge Lévesque n’a pas l’intention de quitter sa cantine pour autant. Il restera dans l’entourage pour les soutenir. 

« C’est positif et mes parents seraient très contents de voir ça. Ils sont décédés aujourd’hui, mais ils seraient fiers. Ça se transmet et nous aimerions qu’il y ait une autre relève plus tard. Nous espérons que les gens vont continuer de nous encourager. »

La poutine de la cantine ASL est l’un des produits préférés des clients. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Après un incendie qui a détruit leur commerce en 2013, Serge Lévesque et son frère l’ont fait reconstruire au même endroit. 

« Nous avons une bâtisse beaucoup plus moderne, plus efficace et mieux adaptée. Nous avons 60 places à l’intérieur en plus de la terrasse l’été. Les vendredis, nous manquons de places parfois. »

Toujours plus de clients

Gabrielle Lévesque se réjouit de voir que la clientèle est en constante augmentation. 

« Depuis les dernières années, peut-être en raison des réseaux sociaux, ça se passe tellement bien, c’est incroyable. Nous avons une clientèle de plus en plus grande et nous voyons des gens qui viennent de plus en plus loin. Ils viennent du Bic et de Sainte-Flavie, notamment. Je crois qu’il y a beaucoup de bouche à oreille. »

Les employés étaient à l’oeuvre jeudi avant-midi. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

La Cantine ASL compte une vingtaine d’employés. Les nouveaux propriétaires sont sur le plancher 75 % du temps. Ils se font un devoir d’offrir des produits de qualité. 

« Nous faisons nous-même nos patates. Nous partons de zéro et pour nous ça change quelque chose. Tout est local. Nous essayons de conserver les quantités en ayant des prix pas trop élevés malgré la hausse des coûts des dernières années. »

Si les clients se déplacent principalement pour les produits offerts, Gabrielle Lévesque soutient que l’ambiance est également appréciée. 

« Nous avons du plaisir à travailler et nous avons une belle équipe. Nous avons des étudiants qui reviennent chaque été et ils sont contents de venir travailler. Je travaille en restauration depuis plusieurs années et je n’ai rien vu comme ça. Il n’y a rien comme la bonne humeur et la joie de vivre des gens qui viennent nous voir. »

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  • Guillaume Sirois intéressé par la politique
    L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, démontre de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, actuellement occupé par Rodrigue Joncas. Bien qu’il confirme son intérêt, monsieur Sirois indique être toujours en réflexion en vue d’une éventuelle candidature à l’élection municipale du 2 novembre prochain. « J’ai demeuré presque toute ma vie à Nazareth. C’est mon quartier. J’y ai un f
     

Guillaume Sirois intéressé par la politique

L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, démontre de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, actuellement occupé par Rodrigue Joncas.

Bien qu’il confirme son intérêt, monsieur Sirois indique être toujours en réflexion en vue d’une éventuelle candidature à l’élection municipale du 2 novembre prochain.

« J’ai demeuré presque toute ma vie à Nazareth. C’est mon quartier. J’y ai un fort attachement. C’est là que j’ai exploité mon commerce (Metro). Je connais bien les gens du quartier et leurs besoins », affirme-t-il.

Au cours des dernières années, Guillaume Sirois a été impliqué dans de nombreux organismes.

« J’ai toujours eu à cœur le développement de notre région, que ce soit à titre de président de la Chambre de commerce ou en affaires. L’implication communautaire fait aussi partie de mon ADN. C’est un peu une suite logique de mes dernières implications et un désir de participer au développement de Rimouski », précise celui qui est maintenant courtier immobilier à la Société québécoise des infrastructures (SQI) pour le Bas-Saint-Laurent.

Sollicité pour se présenter

Guillaume Sirois dit avoir été approché par des gens pour une candidature aux prochaines élections municipales.

Les 12 membres actuels du conseil municipal de Rimouski, incluant le maire Guy Caron, 2e à partir de la gauche dans la dernière rangée. (Photo Le Soir.ca)

« Mais même avant cela, j’avais un intérêt. Le poste de conseiller municipal est très important pour moi. C’est lui qui prend le pouls de ce qui se passe sur le terrain. Comme conseiller, tu es la voix des citoyens de ton quartier. Je serais le porteur des enjeux de Nazareth. J’ai eu la chance de côtoyer des gens de différentes allégeances politiques. Le municipal est intéressant parce qu’on n’a pas à être collés à une étiquette politique. Un conseiller n’est pas de gauche ou de droite, il répond aux besoins de ses citoyens ».

Le quartier de Nazareth est représenté par Rodrigue Joncas depuis 2005.

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  • Relève assurée pour la Cantine ASL
    La Cantine ASL de Saint-Anaclet-de-Lessard est une affaire familiale depuis 35 ans. Gabrielle et André Lévesque viennent tout juste d’acheter le commerce de leur père, Serge. Les Lévesque ont à cœur d’offrir de la qualité à leurs clients de plus en plus nombreux. L’entreprise a été fondée par le grand-père des nouveaux propriétaires. Il s’était lancé en affaires avec ses deux frères. Ses fils, Serge et Alain Lévesque, ont pris la relève. Aujourd’hui, ce sont les enfants de Serge qui sont deve
     

Relève assurée pour la Cantine ASL

3 juillet 2025 à 17:00

La Cantine ASL de Saint-Anaclet-de-Lessard est une affaire familiale depuis 35 ans. Gabrielle et André Lévesque viennent tout juste d’acheter le commerce de leur père, Serge. Les Lévesque ont à cœur d’offrir de la qualité à leurs clients de plus en plus nombreux.

L’entreprise a été fondée par le grand-père des nouveaux propriétaires. Il s’était lancé en affaires avec ses deux frères. Ses fils, Serge et Alain Lévesque, ont pris la relève. Aujourd’hui, ce sont les enfants de Serge qui sont devenus à la tête de l’entreprise familiale. 

« Il y a sept ans, mon frère André et moi avons acheté les actions de mon oncle et maintenant nous achetons celles de mon père. C’est familial depuis le début. Je suis fébrile et fière que ça reste dans la famille », exprime Gabrielle Lévesque.

Même s’il a vendu ses parts de l’entreprise à ses enfants, Serge Lévesque n’a pas l’intention de quitter sa cantine pour autant. Il restera dans l’entourage pour les soutenir. 

« C’est positif et mes parents seraient très contents de voir ça. Ils sont décédés aujourd’hui, mais ils seraient fiers. Ça se transmet et nous aimerions qu’il y ait une autre relève plus tard. Nous espérons que les gens vont continuer de nous encourager. »

La poutine de la cantine ASL est l’un des produits préférés des clients. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Après un incendie qui a détruit leur commerce en 2013, Serge Lévesque et son frère l’ont fait reconstruire au même endroit. 

« Nous avons une bâtisse beaucoup plus moderne, plus efficace et mieux adaptée. Nous avons 60 places à l’intérieur en plus de la terrasse l’été. Les vendredis, nous manquons de places parfois. »

Toujours plus de clients

Gabrielle Lévesque se réjouit de voir que la clientèle est en constante augmentation. 

« Depuis les dernières années, peut-être en raison des réseaux sociaux, ça se passe tellement bien, c’est incroyable. Nous avons une clientèle de plus en plus grande et nous voyons des gens qui viennent de plus en plus loin. Ils viennent du Bic et de Sainte-Flavie, notamment. Je crois qu’il y a beaucoup de bouche à oreille. »

Les employés étaient à l’oeuvre jeudi avant-midi. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

La Cantine ASL compte une vingtaine d’employés. Les nouveaux propriétaires sont sur le plancher 75 % du temps. Ils se font un devoir d’offrir des produits de qualité. 

« Nous faisons nous-même nos patates. Nous partons de zéro et pour nous ça change quelque chose. Tout est local. Nous essayons de conserver les quantités en ayant des prix pas trop élevés malgré la hausse des coûts des dernières années. »

Si les clients se déplacent principalement pour les produits offerts, Gabrielle Lévesque soutient que l’ambiance est également appréciée. 

« Nous avons du plaisir à travailler et nous avons une belle équipe. Nous avons des étudiants qui reviennent chaque été et ils sont contents de venir travailler. Je travaille en restauration depuis plusieurs années et je n’ai rien vu comme ça. Il n’y a rien comme la bonne humeur et la joie de vivre des gens qui viennent nous voir. »

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  • Un duel au sommet vendredi soir
    Le premier rang de la Ligue senior Puribec sera à l’enjeu, vendredi soir, alors que le CIEL-FM de Rivière-du-Loup visitera le Shaker au stade de baseball du Complexe sportif Guillaume Leblanc.  Le Shaker (8-2), qui atteindra la mi-saison vendredi, possède un demi-match de priorité sur le CIEL FM (8-5). Témiscouata, Kamouraska et Edmundston sont tout juste derrière, si bien que seulement une partie et demie sépare les cinq premières équipes au classement.  Pour le classement : cliquez ici
     

Un duel au sommet vendredi soir

3 juillet 2025 à 16:00

Le premier rang de la Ligue senior Puribec sera à l’enjeu, vendredi soir, alors que le CIEL-FM de Rivière-du-Loup visitera le Shaker au stade de baseball du Complexe sportif Guillaume Leblanc. 

Le Shaker (8-2), qui atteindra la mi-saison vendredi, possède un demi-match de priorité sur le CIEL FM (8-5). Témiscouata, Kamouraska et Edmundston sont tout juste derrière, si bien que seulement une partie et demie sépare les cinq premières équipes au classement. 

Pour le classement : cliquez ici

Duel Borras / Maisonneuve

Un intéressant duel de lanceurs s’annonce alors que le gaucher Émile Maisonneuve (1-2 et MPM de 3,50) sera opposé à l’Argentin Juan Borras (3-0 et MPM de 1,94) qui vient de connaitre trois départs de qualité. En 21 manches et deux tiers depuis le début de la saison, il revendique 29 retraits sur des prises. Pour sa part, Maisonneuve en a 22 en 22 manches. 

Samedi soir, ce sont les Braves Batitech du Témiscouata qui seront les visiteurs du Shaker. Benjamin Roy (1-01 et 2,83) sera le partant de la formation rimouskoise. Les Braves n’ont pas confirmé l’identité de leur lanceur partant, mais ce devrait être Dany Paradis-Giroux (3-0 et 2,80) ou le Japonais, Kodai Kambara (2-2 et 0,61)

Autres matchs

Les parties CIEL FM / Shaker et Braves Batitech / Shaker sont les seules au calendrier, vendredi et samedi.

Dimanche, Matane sera le visiteur au Kamouraska pour un programme double, à La Pocatière à 15 h et à Saint-Pascal à 19 h. Aussi, Trois-Pistoles jouera à Edmundston à 19 h.

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  • Deux blessés dans une collision à Grand-Métis
    Une collision entre deux véhicules a fait deux blessés, jeudi avant-midi, sur la route 132 à Grand-Métis. Les personnes ont été transportées dans un centre hospitalier, mais on ne craint pas pour leur vie. La Sûreté du Québec a été appelée vers 10 h 15. L’accident est survenu à l’intersection de la route 234, en face des Jardins de Métis. « Un véhicule se dirigeant vers l’est s’est engagé pour tourner vers les Jardins de Métis sans s’assurer de l’absence de danger. Il a été percuté par l
     

Deux blessés dans une collision à Grand-Métis

3 juillet 2025 à 14:36

Une collision entre deux véhicules a fait deux blessés, jeudi avant-midi, sur la route 132 à Grand-Métis. Les personnes ont été transportées dans un centre hospitalier, mais on ne craint pas pour leur vie.

La Sûreté du Québec a été appelée vers 10 h 15. L’accident est survenu à l’intersection de la route 234, en face des Jardins de Métis.

« Un véhicule se dirigeant vers l’est s’est engagé pour tourner vers les Jardins de Métis sans s’assurer de l’absence de danger. Il a été percuté par le véhicule se dirigeant vers l’ouest dans lequel il y avait deux occupants. Le véhicule a fait un capotage. Le seul occupant du véhicule qui allait vers l’est n’a pas eu de blessure », explique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.

La circulation s’est faite en alternance pendant quelques heures dans le secteur et le tout est revenu à la normale depuis.

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  • Trinité-des-Monts fête comme à l’époque
    La Trinité-des-Monts accueillera cette fin de semaine, du vendredi 4 juillet au dimanche 6 juillet, la 5e édition du Festival Rétro des 3 Monts. L’agent de vitalisation pour les municipalités de Trinité-des-Monts et d’Esprit-Saint, Stéphane Proulx, explique que le festival, mis sur pied en 2017, se voulait différent des autres événements du genre dans la région. « Trinité-des-Monts a un historique de gros festivals. Il y a eu, pendant des années, la foire de l’agneau, qui attirait des mill
     

Trinité-des-Monts fête comme à l’époque

3 juillet 2025 à 13:00

La Trinité-des-Monts accueillera cette fin de semaine, du vendredi 4 juillet au dimanche 6 juillet, la 5e édition du Festival Rétro des 3 Monts.

L’agent de vitalisation pour les municipalités de Trinité-des-Monts et d’Esprit-Saint, Stéphane Proulx, explique que le festival, mis sur pied en 2017, se voulait différent des autres événements du genre dans la région.

« Trinité-des-Monts a un historique de gros festivals. Il y a eu, pendant des années, la foire de l’agneau, qui attirait des milliers de personnes. Nous avons aussi eu un festival country, pendant une quinzaine d’années. Comme il y a des festivals country partout, ça ne faisait pas original, alors on a décidé de faire un festival rétro. C’est un événement unique, qui n’a pas son pareil dans le secteur. »

Première journée

Ainsi, le festival rétro, qui s’adresse autant aux Trinitois qu’aux citoyens des municipalités environnantes, débutera à 16 h, le vendredi.

« Ça commence avec le 5 à 7 d’ouverture, au chapiteau. Il y aura de la musique et un bingo, qui se tiendra à l’intérieur du centre des loisirs. »

Le gros lot du bingo sera de 500 $.

Le samedi

La deuxième journée du festival sera particulièrement occupée.

« Le samedi après-midi, il y aura une exposition de vieilles voitures, avec des jeux pour les enfants et d’autres pour les adultes. Nous allons inaugurer cette année, un tout nouveau terrain de croquet. »

Ce nouveau terrain pourra d’ailleurs servir de patinoire pendant l’hiver.

« Encore le samedi, des artisans seront sur place pour présenter leurs produits. Il y aura trois kiosques, où des représentants proposeront de l’artisanat aux personnes présentes. »

Le Centre des loisirs de La Trinité-des-Monts (Photo courtoisie)

Pour une deuxième année consécutive, le festival accueillera le groupe Les années Jukebox, comme spectacle central, à la suite du souper du samedi.

« L’an dernier, le groupe a fait un tabac. C’était le meilleur spectacle que nous avions eu à Trinité-des-Monts depuis des dizaines d’années. Nous avons donc misé sur le groupe, encore cette année. L’enthousiasme du band et le talent de ses chanteuses, dont fait partie Anybel Roussy, font que je considère le groupe dans une classe à part », indique monsieur Proulx.

Conclusion du festival

Le dimanche débutera avec la messe de 9 h.

Elle sera suivie d’un brunch, au profit de La Fabrique de Trinité-des-Monts, qui pour sa part viendra clore le festival.

Informations supplémentaires

Notons que la programmation détaillée du festival est décrite sur la page Facebook de l’événement.

Pour plus d’informations, il est aussi possible de contacter Stéphane Proulx, par téléphone au 418-894-6737 ou par courriel à d’adresse stephane.proulx.vitalisation@gmail.com.

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  • Han-Logement : Rimouski cède son rang hypothécaire
    Le conseil municipal de Rimouski accepte à l’unanimité les termes de l’acte de cession de rang hypothécaire à intervenir entre la Ville de Rimouski et la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL) sur le projet d’Han-Logement. « Le promoteur obtient du financement de divers organismes prêteurs. Dans ce cas-ci, il s’agit de la SCHL. Une des conditions pour qu’ils prêtent de l’argent, c’est d’obtenir la priorité au point de vue hypothécaire. La Ville cède donc son rang hypothécaire p
     

Han-Logement : Rimouski cède son rang hypothécaire

Le conseil municipal de Rimouski accepte à l’unanimité les termes de l’acte de cession de rang hypothécaire à intervenir entre la Ville de Rimouski et la Société canadienne d’hypothèque et de logement (SCHL) sur le projet d’Han-Logement.

« Le promoteur obtient du financement de divers organismes prêteurs. Dans ce cas-ci, il s’agit de la SCHL. Une des conditions pour qu’ils prêtent de l’argent, c’est d’obtenir la priorité au point de vue hypothécaire. La Ville cède donc son rang hypothécaire pour qu’Han-Logement puisse accéder à du financement », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.

La cession de son rang hypothécaire signifie que la Ville de Rimouski cède sa priorité à la SCHL comme créancier en cas de faillite.

Terrain donné

La créance de la Ville provient d’un terrain à l’organisme Han-Logement pour permettre la construction de 32 logements abordables principalement destinés aux personnes ayant un handicap.

La convention d’aide financière intervenue entre la Ville et l’organisme prévoyait une cession de rang hypothécaire de la part de la Ville au bénéfice des partenaires financiers de celui-ci afin de permettre le financement et la réalisation du projet.

Une offre de financement a été obtenue par l’organisme auprès de la Société Canadienne d’Hypothèque et de Logement (SCHL).

À Pointe-au-Père

Les 32 logements adaptés et abordables destinés à des personnes en situation de handicap seront répartis dans quatre édifices de huit logements sur la rue des Vétérans à Pointe-au-Père.

Entamés en août 2024, les travaux sont effectués par l’entrepreneur général CB4S de Saint-Arsène. Ils devraient être complétés à l’été 2025.

« À terme, ce projet comprendra 32 logements adaptés et abordables destinés à des personnes en situation de handicap physique, intellectuel, ou vivant avec un trouble du spectre de l’autisme, ainsi qu’à des personnes âgées bénéficiant des adaptations. Chaque logement intégrera 55 adaptations pour optimiser l’accessibilité et le confort de nos locataires », explique la coordinatrice philanthropie et marketing chez Han-Logement, Cindy de Lozzo.

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  • Une Politique des familles et des aînés pour Rimouski-Neigette
    La MRC de Rimouski-Neigette annonce l’adoption de sa toute première Politique des familles et des aînés, une démarche portée par la volonté d’améliorer la qualité de vie des citoyens et de mieux coordonner les actions sur l’ensemble du territoire. Guidée par la vision des élus de placer le bien-être des familles et des aînés au cœur de leur engagement, cette politique s’accompagne d’un plan d’action 2025-2029 qui trace la voie vers des milieux de vie « plus inclusifs, adaptés et bienveillants
     

Une Politique des familles et des aînés pour Rimouski-Neigette

3 juillet 2025 à 09:00

La MRC de Rimouski-Neigette annonce l’adoption de sa toute première Politique des familles et des aînés, une démarche portée par la volonté d’améliorer la qualité de vie des citoyens et de mieux coordonner les actions sur l’ensemble du territoire.

Guidée par la vision des élus de placer le bien-être des familles et des aînés au cœur de leur engagement, cette politique s’accompagne d’un plan d’action 2025-2029 qui trace la voie vers des milieux de vie « plus inclusifs, adaptés et bienveillants. »

Cette démarche est devenue possible grâce au soutien de l’Entente sectorielle pour le développement social du Bas-Saint-Laurent 2023-2026, qui a permis l’embauche d’une ressource dédiée au développement social au sein de la MRC.

Un comité de pilotage formé d’élus, de partenaires du milieu et d’employés de la MRC a été mis sur pied pour encadrer les travaux et veiller à la mise en œuvre du plan d’action.

Les membres du comité de pilotage sont :

  • Chantal Gagnon, élue responsable des questions aînées
  • Vanessa Lepage-Leclerc, élue responsable des questions familles
  • Cécille Corbin, Table de concertation des aînés du Bas-Saint-Laurent
  • Sarah Toulouse, Accueil et Intégration BSL
  • Tracy Thibeault, Maison des Familles de Rimouski-Neigette
  • Isabelle Deschênes et Maylinda Turcotte, CISSS du Bas-Saint-Laurent
  • Véronique Thibault et Mikaël Jacques, MRC de Rimouski-Neigette

Le préfet de la MRC de Rimouski-Neigette, Francis St-Pierre, affirme que cette politique démontre le souhait de la MRC d’agir en complémentarité avec ses partenaires pour offrir tout le soutien nécessaire aux citoyens du territoire.

« Il ne s’agit pas seulement d’un cadre de référence, mais d’un engagement collectif à bâtir des milieux de vie où chacun, peu importe son âge ou son parcours, peut trouver sa place et s’épanouir », indique monsieur St-Pierre.

Connaitre les priorités

Deux journées de concertation réunissant des organismes du milieu ainsi qu’un sondage citoyen ont permis de cerner les priorités et les valeurs essentielles aux yeux de la population.

« Ces moments d’échange ont permis de définir les grandes orientations de la politique et d’identifier des actions concrètes en phase avec les réalités et les aspirations des familles et des aînés », soulignent Vanessa Lepage-Leclerc et Chantal Gagnon, élues responsables des dossiers familles et aînés.

La Politique des familles et des aînés, ainsi que le plan d’action 2025-2029, sont disponibles sur le site web de la MRC de Rimouski-Neigette : www.mrcrimouskineigette.qc.ca/la-mrc/politiques/

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  • Timothy St-Pierre jouera en France
    Le défenseur rimouskois Timothy St-Pierre poursuivra sa carrière en France. L’athlète de 21 ans vient de s’entendre avec le Phénix de Reims en division 2. Jamais repêché dans la LHJMQ, St-Pierre a fait tout son parcours dans le programme de hockey scolaire du Centre de services scolaires des Phares avec les équipes du Sélect de Rimouski et du Mistral de Mont-Joli, de la 6e année jusqu’en 5e secondaire. Après une campagne dans la Ligue junior A des Maritimes avec le Blizzard d’Edmundston, l
     

Timothy St-Pierre jouera en France

Le défenseur rimouskois Timothy St-Pierre poursuivra sa carrière en France. L’athlète de 21 ans vient de s’entendre avec le Phénix de Reims en division 2.

Jamais repêché dans la LHJMQ, St-Pierre a fait tout son parcours dans le programme de hockey scolaire du Centre de services scolaires des Phares avec les équipes du Sélect de Rimouski et du Mistral de Mont-Joli, de la 6e année jusqu’en 5e secondaire.

Après une campagne dans la Ligue junior A des Maritimes avec le Blizzard d’Edmundston, le fils de Simon St-Pierre et Julie Proulx a évolué dans la Ligue junior AAA du Québec lors des deux dernières saisons, terminant sa carrière junior avec 37 points, dont 19 buts, en 50 matchs en 2024-2025 avec l’Everest de la Côte-du-Sud, le Titan de Princeville et l’Indigo de Granby.

Il a ajouté 17 points (9-8) en 14 rencontres en séries éliminatoires à Granby. 

Saisons convaincantes

« Timothy est décrit comme un défenseur à caractère très offensif, comme un troisième ailier. Il était considéré comme un des cinq meilleurs défenseurs de la ligue et un capitaine exemplaire à Princeville. Il sera un élément de premier plan pour la brigade défensive des Phénix », mentionne la formation française sur sa page Facebook.

Timothy St-Pierre, à gauche, en action sur la patinoire. (Courtoisie Mathieu MP Photo)

Timothy St-Pierre a participé à des camps d’entraînement dans la LHJMQ avec les Tigres de Victoriaville et l’Océanic.

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  • Festi-Bob : trois anciens de la LNH s’amènent à Rimouski
    L’ex-hockeyeur et maintenant chroniqueur et animateur à RDS, André Roy, sera à Rimouski, le 5 juillet, dans le cadre du deuxième Festi-Bob. Avec ses collègues du balado La Poche Bleu Blanc Rouge, Steve Bégin et Éric Bélanger, il rencontrera les amateurs de hockey. Les trois anciens de la Ligue nationale de hockey (LNH) participeront à une séance de questions-réponses, dès 20 h, au centre communautaire de Rimouski-Est. « Les gens sur place vont pouvoir nous poser des questions sur les Cana
     

Festi-Bob : trois anciens de la LNH s’amènent à Rimouski

3 juillet 2025 à 11:00

L’ex-hockeyeur et maintenant chroniqueur et animateur à RDS, André Roy, sera à Rimouski, le 5 juillet, dans le cadre du deuxième Festi-Bob. Avec ses collègues du balado La Poche Bleu Blanc Rouge, Steve Bégin et Éric Bélanger, il rencontrera les amateurs de hockey.

Les trois anciens de la Ligue nationale de hockey (LNH) participeront à une séance de questions-réponses, dès 20 h, au centre communautaire de Rimouski-Est.

« Les gens sur place vont pouvoir nous poser des questions sur les Canadiens, notre carrière et toutes sortes de sujets. Ils vont pouvoir prendre des photos et nous rencontrer en un à un. Nous allons aussi assister au spectacle de Salut Bob Gorgée! qui suivra. Peut-être que je vais m’essayer pour chanter avec eux », exprime André Roy. 

Celui qui a joué neuf saisons dans la LNH était un ami de Roberto Bissonnette, l’ancien hockeyeur devenu chanteur qui est décédé à 35 ans à la suite d’un accident d’hélicoptère en 2016. Roy trouvait important de se déplacer jusqu’à Rimouski pour participer au Festi-Bob dont les profits sont remis à La Fondation Bob Bissonnette qui vient en aide aux jeunes sportifs et artistes de partout au Québec. 

« On se parlait à l’occasion et on s’envoyait des textos. À l’époque, je prenais des chansons de son répertoire et je les faisais à RDS. Il trouvait ça bien comique. Quand nous avons été approchés pour aller à Rimouski, nous avons tout de suite accepté. C’est pour une bonne cause, donc nous souhaitons que les gens viennent nous voir. »

Des passionnés de hockey

Le balado La Poche Bleu Blanc Rouge a cumulé plus d’un demi-million d’écoutes et de vues en 2023-2024. 

« Nous faisons les après-matchs en saison régulière des Canadiens la semaine et nous parlons de ce que nous avons vu pendant les matchs. Les auditeurs peuvent interagir avec nous. S’il arrive quelque chose dans l’actualité sportive, on en parle aussi », explique André Roy.

André Roy a remporté la Coupe Stanley avec le Lightning de Tampa Bay en 2004. (Photo courtoisie)

Les trois retraités du hockey n’en seront pas à leur première expérience devant un public lorsqu’il seront à Rimouski.

« Nous nous sommes déplacés quelques fois déjà, à Sherbrooke, à Trois-Rivières et à Montréal pendant des matchs. Il y avait des amateurs de hockey et c’est ça qu’on veut faire. On commence tranquillement et on aime bien ça. On veut jaser de hockey avec les gens. Nous sommes des passionnés de hockey. » 

Étant bien conscients de l’intérêt des Rimouskois envers leur équipe de la Ligue de hockey junior Maritimes Québec (LHJMQ), Roy, Bégin et Bélanger ont l’intention de discuter de l’Océanic avec les partisans.

« Nous avons joué tous les trois dans la LHJMQ et Bélanger a entraîné à Drummondville récemment. L’Océanic a eu un beau parcours dans les séries. J’ai joué avec Vincent Lecavalier, Brad Richards et même Sidney Crosby. Ils me parlaient de Rimouski comme étant une belle ville de hockey. Je connais bien Michel Ouellet aussi », affirme André Roy. 

Journée familiale

Le Festi-Bob vise un large public cette année. Les jeunes et les moins jeunes pourront participer à un festival de hockey de rue et de soccer au centre communautaire Adhémar-Saint-Laurent pendant la journée du 5 juillet. Les deux tournois seront amicaux. Il y aura un camion-restaurant, une maquilleuse et un DJ sur place.

L’événement se voudra familial cette année. (Photo courtoisie)

Le coût d’inscription pour participer aux activités sportives est de seulement d’une quinzaine de dollars par personne et l’entrée sur le site est gratuite.

Les personnes qui aimeraient se procurer des billets pour la soirée (La Poche Bleue Blanc Rouge + Salut Bob Gorgée!) ou s’inscrire pour le festival de hockey ou de soccer peuvent le faire en ligne : lepointdevente.com/billets/festibob2025. 

À partir d’avant-hierBas Saint-Laurent
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  • Gain décisif des Braves Batitech
    Le CIEL-FM de Rivière-du-Loup a vu sa série de six victoires consécutives prendre fin dans un revers de 11-0 à domicile, face aux Braves Batitech du Témiscouata.  Gabriel Cyr a limité ses adversaires à trois coups sûrs, tous des simples, en six manches de travail pour sa deuxième victoire de la saison. Dave Voyer, qui a lancé quatre manches, encaisse le revers. Un simple de Dany Paradis-Giroux a donné les devants aux visiteurs en 3e manche qui ont ajouté cinq points à leur tour au bâton au
     

Gain décisif des Braves Batitech

2 juillet 2025 à 22:27

Le CIEL-FM de Rivière-du-Loup a vu sa série de six victoires consécutives prendre fin dans un revers de 11-0 à domicile, face aux Braves Batitech du Témiscouata. 

Gabriel Cyr a limité ses adversaires à trois coups sûrs, tous des simples, en six manches de travail pour sa deuxième victoire de la saison. Dave Voyer, qui a lancé quatre manches, encaisse le revers.

Un simple de Dany Paradis-Giroux a donné les devants aux visiteurs en 3e manche qui ont ajouté cinq points à leur tour au bâton au suivant, dont deux sur le double de Takuto Kanno. Les Braves ont complété avec deux points en 6e et trois autres en 7e

Kanno, avec trois coups sûrs en cinq et trois points produits, ainsi que Paradis-Giroux, avec quatre en quatre et cinq points produits, ont mené la charge en offensive.

Pour le sommaire : cliquez ici

Ce résultat fait en sorte que le CIEL FM glisse à un demi-match du Shaker, qui est de nouveau seul en tête. Les deux clubs s’affronteront vendredi soir à Rimouski.

Pour leur part, les Braves portent leur dossier à 8-6, un match seulement derrière le Shaker. Et, les Braves s’amèneront à leur tour au Complexe sportif Guillaume Leblanc, samedi soir.

Pour le classement : cliquez ici

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  • Les groupements forestiers défendent leur projet de fusion
    Les Groupements forestiers de Neigette-Métis et du Témiscouata défendent leur projet de fusion. Il sera présenté aux membres, ce jeudi 3 juillet, lors d’une assemblée générale extraordinaire à Rimouski, bien qu’il suscite des réserves chez certains producteurs de bois privés. L’ancien président du Syndicat des producteurs de bois, Jean-Maurice Lechasseur, évoque notamment une perte de contrôle des actionnaires sur leur groupement ainsi qu’une diminution des services. Il affirme que ce projet
     

Les groupements forestiers défendent leur projet de fusion

2 juillet 2025 à 19:00

Les Groupements forestiers de Neigette-Métis et du Témiscouata défendent leur projet de fusion. Il sera présenté aux membres, ce jeudi 3 juillet, lors d’une assemblée générale extraordinaire à Rimouski, bien qu’il suscite des réserves chez certains producteurs de bois privés.

L’ancien président du Syndicat des producteurs de bois, Jean-Maurice Lechasseur, évoque notamment une perte de contrôle des actionnaires sur leur groupement ainsi qu’une diminution des services. Il affirme que ce projet inquiète plusieurs producteurs.

Par voie de communiqué, les deux groupements forestiers rejettent les arguments des opposants.

Les Groupements forestiers de Neigette-Métis et du Témiscouata défendent un projet auquel ils travaillent depuis trois ans.

Ils invoquent un contexte difficile marqué par la pénurie de main-d’œuvre, la pression sur les forêts publique et privée, ainsi que l’instabilité des marchés.

« La fusion est un levier de solidarité, de renforcement collectif et de protection régionale », affirme la porte-parole, Anne-Marie Dionne.

L’an dernier, le même projet avait été rejeté par un seul vote lors d’une assemblée des membres du Groupement Métis-Neigette.

Cette année, les deux sociétés reviennent à la charge en réaffirmant que le regroupement offrira de nombreux avantages.

Madame Dionne cite, entre autres, le maintien et l’amélioration des services aux propriétaires-actionnaires, une plus grande force de négociation avec les grands acheteurs, une meilleure stabilité financière ainsi qu’une capacité accrue d’investissement dans la diversification et l’innovation.

« La fusion n’est pas un choix d’expansion, c’est un geste de résilience et de stratégie », soutient-elle.

Objectif de croissance

Les deux groupements forestiers affirment être en excellente santé financière. « Contrairement à certaines perceptions, la démarche actuelle n’est aucunement motivée par des difficultés économiques », précise Anne-Marie Dionne.

Elle rappelle que plusieurs fusions ont été menées avec succès au cours des dernières années, notamment celle de 2018 entre la Société d’exploitation des ressources de la Neigette et celle de La Mitis, ou encore celle de 2010 entre les Groupements forestiers de l’Est du Témiscouata et du Transcontinental.

« Ces regroupements ont démontré que l’union permet de renforcer la gouvernance locale, d’améliorer les services offerts aux membres, de créer des emplois de qualité et d’accroître la résilience des communautés régionales. »

Selon elle, peu de choses changeront pour les membres. Le nouveau Groupement forestier Métis-Neigette–Témiscouata entend maintenir tous les bureaux actuels ouverts, y compris celui de Saint-Gabriel-de-Rimouski.

« Nous tenons à réaffirmer que la proximité avec les membres, la gouvernance démocratique et la présence active sur le territoire demeurent au cœur de notre mission. Cette fusion ne remet nullement cela en question. »

Anne-Marie Dionne dit comprendre que cet objectif de croissance puisse susciter des craintes chez certains producteurs, mais elle insiste pour faire la distinction entre le désir de « devenir plus gros » et une évolution réfléchie, au service des membres.

« Dans notre cas, la fusion ne dilue pas notre mission, elle l’amplifie. »

Elle ajoute qu’un groupement plus important pourra mieux défendre les intérêts des collectivités locales.

Poids majeur au Québec

Le projet présenté aux actionnaires prévoit notamment la création d’un fonds forestier pour soutenir la réalisation de travaux sylvicoles sur les lots privés.

Lors des rencontres préparatoires avec les producteurs, les groupements ont aussi mis de l’avant les retombées économiques locales accrues et de meilleurs débouchés pour le bois feuillu.

Avec cette fusion, le nouveau Groupement forestier Métis-Neigette–Témiscouata deviendrait le plus important au Québec, avec plus de 2 600 producteurs de bois privés à titre d’actionnaires et un chiffre d’affaires de 150 M$.

Les deux groupements possèdent cinq usines de sciage de feuillus mous, une usine de copeaux, 155 000 entailles en acériculture et deux compagnies de transport de bois par camion. Celui de Métis-Neigette a d’ailleurs fait l’acquisition récente des installations de Bois BSL à Mont-Joli.

Les travaux d’aménagement forestier atteindraient 12 millions de dollars par année, alors que la récolte annuelle est estimée à 850 000 mètres cubes de bois, en forêt publique et privée.

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  • À la veille de la 18e Fête des Guitares
    La 18e édition de la Fête des Guitares, qui se tiendra au Parc du Centennaire de Lac-Au-Saumon, débutera demain, le jeudi 3 juillet dès 19 h et se poursuivra sur trois jours. La programmation, dévoilée en décembre dernier, avait été décrite par le comité organisateur de la Fête comme étant la plus importante de son histoire. Les trois soirées de festivités permettront à l’auditoire d’assister à trois spectacles par soir, pour un total de neuf spectacles. Il sera possible d’y entendre, ent
     

À la veille de la 18e Fête des Guitares

2 juillet 2025 à 18:00

La 18e édition de la Fête des Guitares, qui se tiendra au Parc du Centennaire de Lac-Au-Saumon, débutera demain, le jeudi 3 juillet dès 19 h et se poursuivra sur trois jours.

La programmation, dévoilée en décembre dernier, avait été décrite par le comité organisateur de la Fête comme étant la plus importante de son histoire.

Les trois soirées de festivités permettront à l’auditoire d’assister à trois spectacles par soir, pour un total de neuf spectacles. Il sera possible d’y entendre, entre autres, Guylaine Tanguay, Brett Kissel et Marc Dupré.

Programmation

Jeudi, 3 juillet 2025

  • 19h – High Voltage (hommage à AC/DC)
  • 20h – Lendemain de veille
  • 22h – Talk

Vendredi, 4 juillet 2025

  • 20h – Guylaine Tanguay
  • 22h – Brett Kissel
  • 24h – DJ P-O Paquet 

Samedi, 5 juillet 2025

  • 20h – Bleu Jeans Bleu
  • 22h – Marc Dupré
  • 24h – DJ P-O Paquet

Informations

Rappelons que les bracelets à l’entrée seront au coût de 40 $ par soir et de 100 $ pour la fin de semaine. L’entrée est cependant gratuite pour les enfants de 12 ans et moins.

Un service de navette est encore offert cette année, lors du festival. Le coût, de 5 $ l’aller, se paie en comptant.

Deux départs par soir, plus un troisième au besoin, se feront à Sayabec et à Causapscal. L’horaire détaillé du service est disponible sur la page Facebook de l’événement.


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  • Trois en trois pour Danny Dupont
    Le directeur-gérant de l’Océanic, Danny Dupont, était comblé lorsqu’il s’est entretenu avec Le Soir.ca au terme du repêchage international de la Ligue canadienne de hockey (LCH) qui s’est tenu mercredi. Il a pu sélectionner les trois joueurs qu’il avait ciblés. Cette séance de sélection a ceci de particulier que les équipes ont généralement des ententes avec les joueurs qu’elles visent à la suite de contacts avec des agents. Par contre, quand on repêche aux rangs nos 51, 112 et 137, le risque
     

Trois en trois pour Danny Dupont

2 juillet 2025 à 17:00

Le directeur-gérant de l’Océanic, Danny Dupont, était comblé lorsqu’il s’est entretenu avec Le Soir.ca au terme du repêchage international de la Ligue canadienne de hockey (LCH) qui s’est tenu mercredi. Il a pu sélectionner les trois joueurs qu’il avait ciblés.

Cette séance de sélection a ceci de particulier que les équipes ont généralement des ententes avec les joueurs qu’elles visent à la suite de contacts avec des agents. Par contre, quand on repêche aux rangs nos 51, 112 et 137, le risque est plus grand de les voir partir ailleurs.

« J’ai mes joueurs visés, trois joueurs qu’on va développer, qui ont du potentiel. Les trois ont de l’expérience avec leur équipe nationale », mentionne Danny Dupont.

Dovydas Jukna (Photo Équipe Genève)

Son premier choix, Dovydas Jukna, est un gros ailier gauche de la Lituanie qui s’est amené en Suisse avec sa famille, il y a cinq ans, pour se développer comme joueur de hockey. 

« Il est un attaquant de puissance en devenir avec un excellent lancer qui est responsable sur la patinoire. On est très heureux de cette sélection. Il est un gars qui devrait rentrer dans notre top 6 très rapidement », explique Dupont.

Il a ensuite sélectionné Raphaël Achermann, un attaquant de 17 ans de la Suisse. 

Raphaël Achermann (Photo équipe Fribourg-Gottéron)

« Lui aussi a un très bon physique, il manie très bien la rondelle avec une belle vision et un bon patin. Il va y avoir une acclimatation au niveau junior. Il n’a pas peur du travail. On va le rentrer, travailler avec lui pour le développer », poursuit le d.g.

La troisième sélection est Luca Nappiot, un défenseur droitier, aussi de la Suisse. 

Luca Nappiot (Photo Planète Hockey)

« Un excellent patineur, qui bouge très bien la rondelle. Si j’avais à la comparer, il y a des similitudes avec Evan Dépatie, un défenseur qu’on a acquis de Val-D’Or. On place beaucoup d’espoir en lui. » 

Ils parlent français

Les trois joueurs sélectionnés par l’Océanic parlent le français. Dans deux des trois cas, Achermann et Nappiot, le directeur gérant de l’Océanic a pu les voir jouer en personne lors de compétitions internationales.

Achermann devrait faire partie de l’équipe de la Suisse lors du championnat mondial des moins de 18 ans, en août prochain.

Basile le conseiller

Après Basile Sansonnens l’an dernier, l’Océanic vient de miser sur trois autres joueurs évoluant en Suisse dans ce repêchage européen.

« On a une belle relation qui s’est établie avec la présence de Basile, la saison dernière. Même qu’il nous a pointés dans une bonne direction quand je me suis assis avec lui en début de saison. Basile, c’est une bibite de hockey, il connait tout le monde dans son pays. Il pouvait faire une bonne évaluation des autres joueurs. Il connaissait très bien Achermann et Nappiot et a pu leur expliquer l’expérience de jouer pour l’Océanic », observe Dupont.

Au terme d’une saison très chargée et de quelques semaines de préparation en vue de la prochaine, le directeur-gérant va profiter de vacances avant le retour de l’équipe sur la glace pour le camp des recrues, le 13 août.

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  • Saint-Gabriel : six taures retrouvées, il en manque trois
    Les propriétaires de la Ferme Guyloise de Saint-Gabriel confirment être parvenus à ramener six des neuf taures manquantes, ce mardi 1er juillet, en fin de journée. Trois taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) étaient toujours en cavale ce mercredi à midi. Rappelons que 24 taures ont brisé leur clôture, samedi dernier, pour s’enfuir dans le bois vers le secteur du Mont-Comi après avoir été effrayées par des feux d’artifice. Les propriétaires ont d’abord été capables, depuis l
     

Saint-Gabriel : six taures retrouvées, il en manque trois

Les propriétaires de la Ferme Guyloise de Saint-Gabriel confirment être parvenus à ramener six des neuf taures manquantes, ce mardi 1er juillet, en fin de journée. Trois taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) étaient toujours en cavale ce mercredi à midi.

Rappelons que 24 taures ont brisé leur clôture, samedi dernier, pour s’enfuir dans le bois vers le secteur du Mont-Comi après avoir été effrayées par des feux d’artifice.

Les propriétaires ont d’abord été capables, depuis la fin de semaine, d’en ramener 15 au bercail.

Ce n’est pas facile de ramener des taures qui ont perdu leur repère et qui sont effrayées.

« Quand on approche, elles se sauvent. Il faut leur parler et les attirer avec de la moulée pour qu’elles nous suivent tranquillement. Nous en avons ramené sur une distance de 2 km lundi. Pour les autres, elles ont été vues sur la route menant vers Sainte-Angèle, mais lorsque nous sommes arrivés, elles s’étaient sauvées dans le bois. Il y avait un champ juste à côté. Si elles s’étaient déplacées là, on aurait pu les voir, mais dans le bois, c’est comme courir après un orignal. On essaie de suivre les traces, mais elles vont plus vite que nous », explique le propriétaire de la ferme laitière de race Holstein, François Morissette.

Affamées

Les taures ne s’arrêtent pas pour manger ou se coucher, ce qui facilement les recherches.

« Elles sont perdues. Elles tentent probablement de revenir vers la grange, mais elles ne retrouvent pas le chemin. Celles que nous avons ramenées avaient le ventre vide. Elles n’avaient pas mangé depuis samedi », souligne le producteur laitier.

La moitié des taures sont gestantes, c’est-à-dire qu’elles portent leur premier veau. Les autres sont encore trop jeunes. Les taures sont généralement plus fringantes et plus farouches que les vaches en lactation qui doivent se faire traire tous les jours et qui sont forcément moins peureuses.

Les personnes qui verraient les taures sont priées de contacter monsieur Morissette au 418-732-8770.

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  • Grève imminente à la traverse Matane-Côte-Nord
    Alors que la saison estivale est lancée, une grève des employés des traversiers affiliés à la CSN pourrait perturber les déplacements de nombreux usagers, du 4 au 13 juillet, si une entente n’est pas conclue d’ici là. La traverse Matane-Côte-Nord est touchée contrairement aux autres qui ne relèvent pas du même syndicat. Concrètement, une dernière traversée aura lieu le jeudi 3 juillet à 17 h 30. Par la suite, le service sera entièrement interrompu jusqu’au lundi 14 juillet. Les gens qui a
     

Grève imminente à la traverse Matane-Côte-Nord

2 juillet 2025 à 15:00

Alors que la saison estivale est lancée, une grève des employés des traversiers affiliés à la CSN pourrait perturber les déplacements de nombreux usagers, du 4 au 13 juillet, si une entente n’est pas conclue d’ici là. La traverse Matane-Côte-Nord est touchée contrairement aux autres qui ne relèvent pas du même syndicat.

Concrètement, une dernière traversée aura lieu le jeudi 3 juillet à 17 h 30. Par la suite, le service sera entièrement interrompu jusqu’au lundi 14 juillet.

Les gens qui auront à traverser le fleuve devront utiliser une autre traverse ou faire le grand détour par Québec.

La Société des Traversiers souligne qu’une entente est survenue avec les autres employés des autres traverses affiliés aux Métallos.

« Il est surprenant qu’ils aient recours à ce moyen de pression à ce moment-ci, puisque les négociations se poursuivent selon un calendrier de rencontrés prédéterminées. »

La STQ poursuit en disant qu’elle respecte le droit de grève de ses travailleurs, tout en soulignant que les Métallos ont accepté une entente dans une proportion de 80 %.

« Nous sommes conscients des impacts directs de cette grève sur les communautés desservies en ce début de saison estivale, notamment avec le Festival Eau Grand Air de Baie-Comeau. »

Pour éviter la grève

La STQ conclut en affirmant qu’elle demeure ouverte à discuter avec le syndicat dans le but de trouver une issue à cette situation.

« Nous sommes prêts à continuer les négociations pour éviter la grève qui aura des impacts sur l’ensemble des citoyens. »

(Image par la Société des traversiers du Québec)

La CSN déplore l’absence de convention collective depuis 2023 et d’augmentation de salaire depuis trois ans. Le mandat de grève a été voté à 90 % par les membres.

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  • L’Océanic mise sur Dovydas Jukna
    Avec la 51e sélection de la première ronde du repêchage international de la LCH, l’Océanic a opté pour un attaquant de la Lituanie, Dovydas Jukna. L’ailier de 6 pieds 3 pouces et 190 livres est âgé de 18 ans. Il a évolué en Suisse au cours des dernières saisons. En 2020, à 14 ans, il a joué avec l’équipe élite U17 de Genève.  La saison dernière avec la formation junior de Genève, il a notamment connu une saison de 35 points, dont 20 buts, en 45 parties.  Jukna a participé à quatre champ
     

L’Océanic mise sur Dovydas Jukna

2 juillet 2025 à 12:53

Avec la 51e sélection de la première ronde du repêchage international de la LCH, l’Océanic a opté pour un attaquant de la Lituanie, Dovydas Jukna.

L’ailier de 6 pieds 3 pouces et 190 livres est âgé de 18 ans. Il a évolué en Suisse au cours des dernières saisons. En 2020, à 14 ans, il a joué avec l’équipe élite U17 de Genève. 

La saison dernière avec la formation junior de Genève, il a notamment connu une saison de 35 points, dont 20 buts, en 45 parties. 

Jukna a participé à quatre championnats du monde avec son équipe nationale dans les dernières saisons chez les moins de 18 ans et les moins de 20 ans.

Deuxième ronde

Raphaël Achermann (Photo équipe Fribourg-Gottéron)

Avec son choix de 2e ronde (no 112), Danny Dupont a sélectionné Raphaël Achermann, un attaquant de 17 ans de la Suisse qui évoluait avec Fribourg-Gotteron en division junior. 

L’attaquant de 5’11 » et 172 livres a toujours évolué en Suisse dans le HC Fribourg-Gottéron (U15 à U20). Il a cumulé des statistiques impressionnantes dans ses dernières saisons, notamment 100 points, dont 67 buts en 30 parties, chez les U15 élite en 2022-2023. L’an dernier chez les U20, son dossier a été de 12-13-25 en 43 parties.

Achermann a aussi participé aux deux derniers championnats du monde junior U16 et U17 avec son équipe nationale.

Troisième ronde

Luca Nappiot (Photo Planète Hockey)

En 3e ronde, au rang no 137, l’Océanic a opté pour Luca Nappiot, un défenseur, mais plus petit à 5 pieds 9 pouces et 152 livres, âgé de 18 ans. Il est également de la Suisse. 

Il a joué tout son hockey en territoire national suisse. En 42 parties la saison dernière, il a cumulé un dossier de 6-18 pour 24 points. 

On dit de lui qu’il a des qualités de leader. Il a porté le « C » du capitaine lors du championnat international junior U17 et le « A », à deux reprises, lors des championnats mondiaux juniors U18 (WJC et International).

À venir à 17 h : les commentaires de Danny Dupont

Première sélection

Rappelons qu’avec le tout premier choix de ce repêchage, les Rockets de Kelowna ont réclamé l’attaquant tchèque Tomas Poletin, un choix de quatrième tour des Islanders de New York au dernier repêchage.

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  • « Il a empoisonné ma vie » – Jean-Guy Paquet
    Un citoyen de la 3e rue Est à Rimouski se dit victime de fraude. Jean-Guy Paquet refuse de payer 25 000 $ pour des travaux qu’il juge non nécessaires et mal réalisés dans son entretoit. Le cauchemar de monsieur Paquet a commencé le 8 mars 2024. De présumés entrepreneurs en isolation se sont rendus à son domicile pour inspecter l’entretoit de son duplex gratuitement.  « Ils m’ont présenté une photo sur laquelle il y avait de la moisissure et des champignons. J’ai paniqué ! Ils m’ont fait un
     

« Il a empoisonné ma vie » – Jean-Guy Paquet

2 juillet 2025 à 12:00

Un citoyen de la 3e rue Est à Rimouski se dit victime de fraude. Jean-Guy Paquet refuse de payer 25 000 $ pour des travaux qu’il juge non nécessaires et mal réalisés dans son entretoit.

Le cauchemar de monsieur Paquet a commencé le 8 mars 2024. De présumés entrepreneurs en isolation se sont rendus à son domicile pour inspecter l’entretoit de son duplex gratuitement. 

« Ils m’ont présenté une photo sur laquelle il y avait de la moisissure et des champignons. J’ai paniqué ! Ils m’ont fait un contrat qui disait que les travaux seraient faits pour 25 000 $ au lieu de 35 000 à 40 000 $ parce que nous étions plusieurs à Rimouski », explique l’homme de 75 ans.

Les travaux ont été effectués le lendemain par l’entreprise Nova Habitat de Brossard. 

« Quand j’ai acheté ma maison en 2004, j’avais fait faire l’inspection et j’ai vu qu’il y avait une antenne immense qui couvre tout mon entretoit. C’est l’ancien propriétaire qui l’avait installée. J’ai réalisé que sur la photo qu’il m’avait présentée il n’y avait pas cette antenne », indique Jean-Guy Paquet. 

Le duplex de Jean-Guy Paquet situé sur la 3e rue Est, à Rimouski. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Le Rimouskois a refusé de payer les 25 000 $ demandés. 

« J’ai appelé Alexandre Patoine-Nasfi de Nova Habitat. Je lui ai dit que je savais que ses gars m’avaient menti. Il s’est mis à m’injurier. Il a dit qu’il allait me faire payer et qu’il allait prendre une créance sur ma maison. Depuis ce temps-là, ça n’arrête pas. Il m’a envoyé des mises en demeure et a inscrit une hypothèque légale sur ma maison. »

Lourdes conséquences

Quinze mois plus tard, Jean-Guy Paquet subit toujours les conséquences des événements.

« Il a empoisonné ma vie. Je dors mal, j’ai perdu du poids, je suis déconcentré et j’ai des pertes de mémoire à force de ne pas dormir. »

Son dossier est maintenant dans les mains d’un avocat et de l’Office de la protection du consommateur. Ayant déjà dépensé près de 10 000 $ pour faire valoir sa cause, monsieur Paquet n’a pas l’intention d’abandonner.  

« Si je vais en cour, mon avocat m’a dit que c’est minimum 20 000 $. Je suis retraité depuis des années, je n’ai pas les moyens de payer ça. La police me dit qu’elle ne peut rien faire parce que c’est au civil. »

Les travaux ont été réalisé dans l’entretoit. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)

Après le passage des présumés entrepreneurs, le Rimouskois a fait venir l’entreprise Isolation JPR qui lui a confirmé que les travaux avaient été mal effectués. 

« En temps normal, c’est 3 pouces de polyuréthane pour l’isolation et il a mis 1/4 de pouce. Ça prend de l’aération dans l’entretoit. Ils ont poussé la laine minérale et c’est maintenant que je risque d’avoir de la moisissure parce que l’air ne circule plus », se désole monsieur Paquet.  

Mettre en garde

Jean-Guy Paquet affirme que plusieurs autres victimes ont décidé de payer les 25 000 $ pour acheter la paix. Les plaintes sont nombreuses sur les réseaux sociaux. Il veut dénoncer cette situation pour éviter que d’autres personnes âgées subissent le même sort. 

« Il a fait des victimes partout au Québec et au nord du Nouveau-Brunswick. Ceux qui ont eu affaire avec Nova Habitat de Brossard peuvent communiquer avec moi au 418 723-9199. On pourra aller en cour et faire un recours collectif. »

Une autre résidente de Rimouski, qui préfère garder l’anonymat, confirme avoir subi le même sort que monsieur Paquet. Elle a aussi entrepris des démarches auprès d’un avocat. 

L’Office de la protection du consommateur confirme avoir reçu 60 plaintes au cours des deux dernières années contre l’entreprise 9367-1444 Québec inc., qui fait aussi affaire sous les noms de Nova Habitat et de Gestion AP. Le permis de commerçant itinérant de cette entreprise est inactif depuis avril 2023. 

L’entreprise Nova Habitat n’a pas répondu à nos appels. 

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  • Maïté Blanchette Vézina : retour sur les derniers mois
    La députée de Rimouski, ministre des Ressources naturelles et des Forêts, et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie — Îles-de-la-Madeleine, Maïté Blanchette Vézina, dresse son bilan de fin de session. Parmi les faits marquants de la session, madame Blanchette Vézina souligne les aides financières versées, notamment dans les secteurs de l’économie, des infrastructures, de l’énergie et de l’éducation. Ces sommes, qui totalisent un peu plus de 1
     

Maïté Blanchette Vézina : retour sur les derniers mois

2 juillet 2025 à 11:00

La députée de Rimouski, ministre des Ressources naturelles et des Forêts, et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie — Îles-de-la-Madeleine, Maïté Blanchette Vézina, dresse son bilan de fin de session.

Parmi les faits marquants de la session, madame Blanchette Vézina souligne les aides financières versées, notamment dans les secteurs de l’économie, des infrastructures, de l’énergie et de l’éducation.

Ces sommes, qui totalisent un peu plus de 14,3 M$, répondaient à des demandes d’entreprises, d’organismes et d’institutions sur le territoire de la MRC de Rimouski-Neigette.

Projet de loi 97

La modernisation du régime forestier constitue un autre fait marquant de la session.

« C’est rare qu’on ouvre des lois comme celle sur l’aménagement durable du territoire forestier. C’est donc un moment majeur et marquant pour les régions. On sera là pour protéger l’économie, mais
aussi trouver l’équilibre entre la protection de la biodiversité, la protection du territoire, les autres activités et la filière forestière qui est importante, notamment pour réduire la crise du logement. On a besoin de bois pour la construction, alors c’est important de pouvoir aussi faire cette récolte », témoigne la députée ministre.

Rappelons qu’il est prévu que des amendements soient apportés au projet de loi.

Une entente pour l’acériculture

Toujours dans le domaine de la forêt, la députée de Rimouski se dit aussi fière d’avoir convenu d’une entente avec les Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ) pour permettre le développement de l’acériculture en forêt publique.

La députée-ministre de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina. (Photo courtoisie)

« Cela faisait plusieurs années que les producteurs souhaitaient avoir une prévisibilité pour le développement de l’acériculture en forêt publique. On avait des discussions et j’ai d’ailleurs annoncé en début de mandat un plan directeur pour avoir ces discussions de manière plus formelle et on en est arrivé
au printemps, avec une entente pour attribuer des hectares de forêts supplémentaires, soit 50 000 pour un total de 100 000 hectares, pour les 20 prochaines années. C’est une excellente nouvelle pour eux, mais aussi pour tous les usagers aussi, parce que cela va apporter une meilleure prévisibilité dans les usages et ça, ç’a été très bien accueilli par les producteurs acéricoles qui, eux-mêmes, mentionnent le caractère historique de l’entente. »

Voir au développement économique

Maintenant qu’il lui reste un peu plus d’un an avant la fin de son premier mandat comme députée-ministre, Maïté Blanchette Vézina indique vouloir se consacrer au développement économique de Rimouski-Neigette pour la suite des choses.

Pour madame Blanchette Vézina, l’économie bleue demeure un secteur clé de cette économie.

« On a ici un écosystème de chercheurs et nous avons aussi des entreprises qui souhaitent faire du développement. Je pense qu’on peut aussi penser à attirer des entreprises. Je vais travailler avec la Ville de Rimouski et la MRC, pour exercer un certain leadership. Il est important de ne pas laisser tomber l’économie et on doit regarder le tout d’une façon globale, afin de saisir aussi
des opportunités. »

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  • Ivre en quadriporteur : sentence reportée à Rimouski
    Les représentations sur sentence de René Doskas, qui a plaidé coupable d’avoir conduit son quadriporteur électrique alors que ses capacités étaient affaiblies par l’alcool, devaient se tenir le 27 juin au palais de justice de Rimouski, mais elles ont été reportées au 18 juillet. L’avocate de l’accusé, Me Jacinthe Maurice, a annoncé son intention de déposer une requête pour contester la durée de l’interdiction de conduire minimum obligatoire puisqu’en raison de problèmes physiques, son client
     

Ivre en quadriporteur : sentence reportée à Rimouski

Les représentations sur sentence de René Doskas, qui a plaidé coupable d’avoir conduit son quadriporteur électrique alors que ses capacités étaient affaiblies par l’alcool, devaient se tenir le 27 juin au palais de justice de Rimouski, mais elles ont été reportées au 18 juillet.

L’avocate de l’accusé, Me Jacinthe Maurice, a annoncé son intention de déposer une requête pour contester la durée de l’interdiction de conduire minimum obligatoire puisqu’en raison de problèmes physiques, son client doit se déplacer en quadriporteur électrique, ce qui est considéré comme un véhicule moteur dans la loi.

Le rapport présentenciel est complété dans ce dossier.

Doskas a plaidé coupable le 27 février dernier au palais de justice de Rimouski, avant la tenue de son procès.

« Les policiers ont reçu un appel vers 14 h le 1er avril 2024 pour signaler qu’un homme dans un état d’ébriété avancé s’était rendu au dépanneur Shell du boulevard de la Rivière pour aller chercher de la bière en quadriporteur électrique », raconte la procureure de la Couronne, Me Marie-Pier Chicoine-Côté.

Plus du double de la limite d’alcool permise

Les policiers ont intercepté l’homme dans le stationnement d’un bloc appartements.

« Il avait une démarche chancelante. Les policiers l’ont mis en état d’arrestation et amené au poste de police où l’alcootest a révélé un taux de 170 milligrammes d’alcool par 100 millilitres de sang, soit plus du double de la limite permise », indique Me Chicoine-Côté.

Le ministère public a déposé un avis de récidive, ce qui habituellement augmente la peine.

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  • Des dizaines de ménages sans logis dans l’Est-du-Québec
    Alors que la traditionnelle journée du déménagement est à peine passée, quelques dizaines de ménages du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie n’ont pas signé de bail pour un logement.  Dans une région comme dans l’autre, la situation est semblable à celle de l’année passée, estiment les intervenants consultés. « Ce serait exagéré de dire que c’est pire, soulève le cocoordonnateur du Comité logement Bas-Saint-Laurent, Alexandre Cadieux. Statistiquement, c’est dur de baisser plus ! C’est une
     

Des dizaines de ménages sans logis dans l’Est-du-Québec

2 juillet 2025 à 06:30

Alors que la traditionnelle journée du déménagement est à peine passée, quelques dizaines de ménages du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie n’ont pas signé de bail pour un logement. 

Dans une région comme dans l’autre, la situation est semblable à celle de l’année passée, estiment les intervenants consultés.

« Ce serait exagéré de dire que c’est pire, soulève le cocoordonnateur du Comité logement Bas-Saint-Laurent, Alexandre Cadieux. Statistiquement, c’est dur de baisser plus ! C’est une situation qui est en train de s’encrasser, on stagne. »

Dans la Baie-des-Chaleurs, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon le directeur général du Groupe ressource en logements collectifs Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, le bureau de Carleton-sur-Mer a reçu une trentaine de nouvelles demandes au cours des six dernières semaines seulement.

Ambroise Henry constate que, plus on s’approche du 1er juillet, plus les demandes s’accélèrent. Ces demandes ne proviennent pas uniquement de personnes seules, mais incluent également des couples avec enfants.

Ces nouvelles demandes s’ajoutent aux 150 personnes de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine qui sont déjà inscrites sur des listes d’attente depuis la dernière année, portant le total à environ 200 personnes en recherche de logement dans la région.

Parmi elles figurent de nouveaux travailleurs, notamment du domaine de la santé, ainsi que des résidents contraints de chercher un nouveau toit après avoir perdu leur hébergement temporaire.

À Rimouski, à moins d’une semaine du 1er juillet, quelque 120 ménages étaient accompagnés par l’Office d’habitation de Rimouski-Neigette en raison de leur difficulté à se loger. Le 26 juin, une vingtaine de personnes se retrouvaient officiellement sans bail. Mais, M. Cadieux soupçonne que le nombre réel est beaucoup plus élevé.

« On voit plein de gens qui sont contraints de rester dans des logements qui sont inadéquats, dans des conditions de logement qui mettent en danger leur santé, déplore-t-il. Certains vivent dans un logement qui est rendu trop petit ou dont la cohabitation est devenue difficile avec les voisins ou un conjoint violent. »

En Gaspésie, la crise du logement présente une particularité saisonnière.

« Le gros choc n’est pas tant le 1er juillet qu’un peu avant, soit toute la période du printemps, quand les appartements se libèrent pour le tourisme », explique Ambroise Henry. La location saisonnière force donc de nombreux locataires à quitter leur logement bien avant la date traditionnelle de déménagement.

Itinérance cachée

Un aspect particulièrement troublant de cette crise est l’émergence de ce que les intervenants du milieu appellent « l’itinérance cachée ». Il s’agit de personnes qui, faute de logement, dorment sur des divans, dans des sous-sols, retournent vivre chez leurs parents ou s’installent temporairement chez des proches. 

« Ce sont plein de gens qui n’ont pas de logement, mais qui n’apparaissent pas dans les statistiques et qui ne se retrouvent pas à proprement parler dans la rue », explique le porte-parole du Comité logement Bas-Saint-Laurent.

La pénurie de logements donne également lieu à des comportements préoccupants de la part de certains propriétaires. Alexandre Cadieux rapporte des cas d’augmentation de loyer illégale et de pressions exercées sur les locataires pour les forcer à quitter leur logement.

Un abris au parc de la Gare (Photo Le Soir.ca)

« Même si ce n’est pas légal, il y a plusieurs propriétaires qui redoublent d’ardeur et de stratégies mal intentionnées pour que les locataires quittent leur logement pour être capables de faire rentrer du nouveau monde le 1er juillet », s’indigne-t-il.

L’exemple d’un couple installé depuis plus de 20 ans dans un village près de Rimouski illustre ces dérives. L’homme et la femme subissent le harcèlement de leur propriétaire pour quitter leur logement de 4 pièces et demie qu’ils paient 475 $ par mois parce que leur propriétaire sait très bien qu’elle pourra le relouer à 1000 $.

« La propriétaire n’a aucun mandat ni jugement du Tribunal administratif du logement qui permet d’évincer les locataires, dénonce M. Cadieux. Mais, elle fait tout pour leur tomber sur les nerfs ! »

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  • La fusion des groupements forestiers est contestée
    Les dirigeants des Groupements forestiers de Métis-Neigette et de Témiscouata reviennent à la charge avec leur projet de fusion. Une assemblée générale extraordinaire des membres du Groupement de Métis-Neigette aura lieu ce jeudi 3 juillet, à Rimouski. En juin dernier, une proposition semblable avait été soumise, mais elle avait été rejetée par un vote très serré du côté de Métis-Neigette, alors que les membres de Témiscouata s’étaient majoritairement prononcés en faveur de la fusion. Parm
     

La fusion des groupements forestiers est contestée

1 juillet 2025 à 19:00

Les dirigeants des Groupements forestiers de Métis-Neigette et de Témiscouata reviennent à la charge avec leur projet de fusion. Une assemblée générale extraordinaire des membres du Groupement de Métis-Neigette aura lieu ce jeudi 3 juillet, à Rimouski.

En juin dernier, une proposition semblable avait été soumise, mais elle avait été rejetée par un vote très serré du côté de Métis-Neigette, alors que les membres de Témiscouata s’étaient majoritairement prononcés en faveur de la fusion.

Parmi les opposants au projet, Jean-Maurice Lechasseur, ancien président du Syndicat des producteurs de bois du Bas-Saint-Laurent et figure marquante du mouvement coopératif forestier, exprime de vives préoccupations.

Fondateur de plusieurs des premiers groupements forestiers dans la région, il soutient que le projet de fusion suscite une grande méfiance chez plusieurs producteurs.

Il se dit inquiet de l’évolution actuelle de ces structures.

« Les groupements forestiers achètent des lots à bois. Les administrateurs aussi achètent beaucoup de lots. Pire que ça, ils achètent des érablières. En faisant ça, ils viennent déstabiliser pis mettre en danger la survie des petites localités », estime monsieur Lechasseur.

Selon lui, les groupements forestiers cherchent à exercer un contrôle sur la ressource et sur les prix du bois. Étant donné que ces organisations sont désormais propriétaires d’usines de transformation, il craint que les intérêts des producteurs ne soient relégués au second plan, derrière ceux de l’industrie.

« Leur rôle, c’est de vendre le bois des producteurs le plus cher possible à l’usine, mais ils sont aussi acheteurs de bois, donc en conflit d’intérêts. On est en train de se faire passer un sapin. »

Jean-Maurice Lechasseur rappelle qu’il avait participé, dans les années 1970, à la création des organismes de gestion forestière en commun dans le sillage des Opérations Dignité — une réponse des communautés rurales à la volonté du gouvernement de fermer certaines paroisses du Haut-Pays.

Il réaffirme son attachement aux groupements forestiers, mais il craint que cette nouvelle fusion accentue la dépendance des producteurs envers une structure de plus en plus centralisée.

Une logique de croissance questionnée

« Plus ça grossit, moins nous, les producteurs de bois, on a de services. On est plus au service des grosses structures qui sont mises en place avec notre argent », s’interroge Jean-Maurice Lechasseur.

Il déplore également que le bois se vende aujourd’hui à un prix inférieur à celui d’il y a 25 ans, malgré l’augmentation constante des coûts de production.

(Photo Pixabay)

« Pourquoi les industriels de la région ne sont pas capables de payer le même prix qu’on reçoit pour le bois qu’on envoie en Beauce? »

Il critique aussi les stratégies de mobilisation utilisées, selon lui, par les dirigeants du Groupement de Métis-Neigette.

« Ils ont fait signer des procurations. Un paquet de gens ont délégué leurs droits de vote sans trop savoir dans quoi ils s’embarquaient. »

Si elle est entérinée, la fusion mènerait à la création du plus grand groupement forestier privé du Québec : le Groupement forestier Métis-Neigette–Témiscouata.

Cette nouvelle entité représenterait plus de 2 600 propriétaires de forêts privées, avec un chiffre d’affaires estimé à près de 150 millions de dollars et plus de 400 employés. Elle jouerait un rôle majeur dans le sciage des feuillus et dans le secteur acéricole.

Silence des dirigeants avant l’assemblée

Les dirigeants des deux groupements refusent de commenter le projet avant l’assemblée extraordinaire prévue le 3 juillet.

La porte-parole, Anne-Marie Thibeault, affirme que les membres ont tous été rencontrés dans la dernière année et disposent de toute l’information nécessaire pour prendre une décision éclairée.

Dans un courriel, le directeur général du Groupement de Témiscouata, Francis Albert, rappelle que son organisation est elle-même le fruit d’une fusion en 2010 avec le Groupement de l’Est-du-Lac.

« Nous avons triplé notre chiffre d’affaires et nous sommes actionnaires majoritaires de quatre usines de transformation de bois feuillus. L’objectif est d’offrir de meilleurs services et de poursuivre le développement de la filière forestière et de la transformation. »

(Photo Le Soir.ca- Ernie Wells)

Le président du Groupement de Métis-Neigette, Pierre Sirois, assure de son côté que tous les bureaux actuels, dont celui de Saint-Gabriel-de-Rimouski, demeureront ouverts.

Son groupement est issu d’une précédente fusion entre Neigette et La Mitis, réalisée il y a quelques années.

L’an dernier, 97 % des membres du Groupement de Témiscouata avaient voté en faveur de la fusion, tandis que le projet avait été rejeté chez Métis-Neigette par une seule voix.

Le règlement stipule qu’une majorité des deux tiers des membres présents est nécessaire pour approuver la fusion.

Les dirigeants, comme promis, présentent donc à nouveau leur projet, ce jeudi 3 juillet, à l’Hôtel Rimouski.

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  • Louis-Olivier St-Pierre retourne aux Jeux du Québec 
    Le jeune golfeur de Rimouski, Louis-Olivier St-Pierre, prendra part aux Jeux du Québec à Trois-Rivières, à la fin du mois de juillet. Il s’agira de sa deuxième participation à l’événement.  L’adolescent de 15 ans avait remporté une médaille d’argent lors des Jeux de Rimouski, en 2023, à l’épreuve « deux balles, meilleures balles » avec son coéquipier Louis Chénard.  St-Pierre s’est qualifié le 22 juin dernier au Club de golf Bic-sur-Mer dans la catégorie juvénile, qui regroupe les jeunes d
     

Louis-Olivier St-Pierre retourne aux Jeux du Québec 

1 juillet 2025 à 18:00

Le jeune golfeur de Rimouski, Louis-Olivier St-Pierre, prendra part aux Jeux du Québec à Trois-Rivières, à la fin du mois de juillet. Il s’agira de sa deuxième participation à l’événement. 

L’adolescent de 15 ans avait remporté une médaille d’argent lors des Jeux de Rimouski, en 2023, à l’épreuve « deux balles, meilleures balles » avec son coéquipier Louis Chénard. 

St-Pierre s’est qualifié le 22 juin dernier au Club de golf Bic-sur-Mer dans la catégorie juvénile, qui regroupe les jeunes de 15 et de 16 ans. 

« Plusieurs de mes amis disaient que j’étais certain d’être qualifié, mais je trouvais que ça venait avec une pression supplémentaire. J’avais des attentes et je voulais me qualifier. Je suis content parce que j’ai vraiment joué une bonne ronde à la qualification. Cette fois-ci, je sais plus à quoi m’attendre par rapport à 2023. »

Le membre du Club Les Saules souhaite, cette fois-ci, récolter deux médailles sur les trois épreuves auxquelles il participera. 

« Dans les qualifications, j’ai eu le meilleur pointage au Québec au différentiel du terrain. Je ne me mets pas de pression, mais j’arrive là confiant », dit-il. 

Une passion devenue une obsession

Louis-Olivier est le fils d’Éric St-Pierre et de Marie-Josée St-Amand. C’est son père qui a commencé à l’amener sur les terrains de golf quand il avait sept ou huit ans. 

« Mes grands-parents et mon frère jouent aussi. J’ai vraiment eu la piqure pour le golf aux Jeux du Québec en 2023. Avant, j’y allais pour m’amuser, mais depuis ce moment-là, je pratique de façon plus sérieuse. C’est plus qu’une passion, c’est devenu une obsession. C’est difficile pour moi de passer une journée sans jouer », mentionne-t-il. 

Cette obsession, il la vit tous les jours pendant la saison estivale. Le reste de l’année, il s’entraîne de quatre à cinq fois par semaine à l’intérieur en plus d’évoluer au sein du programme de hockey scolaire du Sélect de l’école Paul-Hubert. 

« Je suis aussi dans l’Académine de golf Fred Colgan à Québec. Je vais là une fois par mois et je reçois des conseils sur les choses à travailler quand je reviens à Rimouski », indique celui qui sera en cinquième secondaire lors de la prochaine rentrée scolaire.

Le golfeur rimouskois participera à un tournoi à Québec, jeudi. (Photo courtoisie)

Même s’il apprécie l’esprit d’équipe que lui apporte le hockey, Louis-Olivier St-Pierre aime le côté individuel du golf. 

« Quand tu réalises quelque chose, c’est juste grâce à toi. Tu ne dépends pas de personne d’autre. Au hockey, ton équipe peut gagner sans que tu aies bien joué. »

Dans les prochaines années, son objectif ultime est de jouer au golf pour une université américaine. 

D’autres jeunes de la région

Cinq autres jeunes représenteront l’Est-du-Québec aux Jeux du Québec à Trois-Rivières. Il s’agit de Charles Lizotte (Rivière-du-Loup), d’Alexy Coulombe (Amqui) et de Théo Richard (Carleton-sur-Mer) chez les garçons ainsi que d’Ève Durette (Matane) et d’Éloïse Huard (Chandler) chez les filles.

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  • Saint-Gabriel : neuf taures toujours en cavale
    Les propriétaires de la Ferme Guyloise sont toujours à la recherche de neuf taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) qui sont en cavale depuis samedi dernier après avoir été effrayé par des feux d’artifice. « Ça en prend juste une qui prend peur pour que les autres suivent. Elles ont défoncé la clôture et elles ont pris le bois vers le secteur du Mont-Comi. Nous avons réussi à en ramener 15 sur les 24 qui s’étaient sauvées. Il en manque toujours neuf », mentionnait le propriétaire
     

Saint-Gabriel : neuf taures toujours en cavale

Les propriétaires de la Ferme Guyloise sont toujours à la recherche de neuf taures (jeunes vaches n’ayant pas encore eu de veau) qui sont en cavale depuis samedi dernier après avoir été effrayé par des feux d’artifice.

« Ça en prend juste une qui prend peur pour que les autres suivent. Elles ont défoncé la clôture et elles ont pris le bois vers le secteur du Mont-Comi. Nous avons réussi à en ramener 15 sur les 24 qui s’étaient sauvées. Il en manque toujours neuf », mentionnait le propriétaire de la ferme laitière de race holstein, François Morissette.

Ce n’est pas facile de ramener des taures qui ont perdu leur repère et qui sont effrayées.

Les propriétaires tentent de suivre les traces dans la forêt. (Photo courtoisie)

« Quand on approche, elles se sauvent. Il faut leur parler et les attirer avec de la moulée pour qu’elles nous suivent tranquillement. Nous en avons ramené sur une distance de 2 km lundi. Pour les autres, elles ont été vues sur la route menant vers Sainte-Angèle, mais lorsque nous sommes arrivés, elles s’étaient sauvées dans le bois. Il y avait un champ juste à côté. Si elles s’étaient déplacées là, on aurait pu les voir, mais dans le bois, c’est comme courir après un orignal. On essaie de suivre les traces, mais elles vont plus vite que nous », explique monsieur Morissette.

Affamées

Les taures ne s’arrêtent pas pour manger ou se coucher, ce qui facilite les recherches.

« Elles sont perdues. Elles tentent probablement de revenir vers la grange, mais elles ne retrouvent pas le chemin. Celles que nous avons ramenées avaient le ventre vide. Elles n’avaient pas mangé depuis samedi », souligne le producteur laitier.

15 taures ont été ramenées jusqu’à maintenant, dont ce groupe empruntant la route. (Photo courtoisie)

La moitié des taures sont gestantes, c’est-à-dire qu’elles portent leur premier veau. Les autres sont encore trop jeunes.

Les taures sont généralement plus fringantes et plus farouches que les vaches en lactation qui doivent se faire traire tous les jours et qui sont forcément moins peureuses.

Les personnes qui verraient les taures sont priées de contacter monsieur Morissette au 418-732-8770.

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  • Alex Belzile revient avec le Canadien
    Alex Belzile revient dans l’organisation du Canadien. L’ex-Océanic a signé une entente d’une saison avec Montréal, mardi, lors de la première journée du marché des joueurs autonomes dans la LNH. Maintenant âgé de 33 ans, Belzile a accepté un pacte d’un an à deux volets. L’attaquant de Saint-Éloi devrait de nouveau se retrouver dans la Ligue américaine de hockey avec le Rocket de Laval, dont il a été le capitaine. Alex Belzile a porté l’uniforme du club-école du Canadien entre 2018 et 2023
     

Alex Belzile revient avec le Canadien

1 juillet 2025 à 14:30

Alex Belzile revient dans l’organisation du Canadien. L’ex-Océanic a signé une entente d’une saison avec Montréal, mardi, lors de la première journée du marché des joueurs autonomes dans la LNH.

Maintenant âgé de 33 ans, Belzile a accepté un pacte d’un an à deux volets. L’attaquant de Saint-Éloi devrait de nouveau se retrouver dans la Ligue américaine de hockey avec le Rocket de Laval, dont il a été le capitaine.

Alex Belzile a porté l’uniforme du club-école du Canadien entre 2018 et 2023 avant d’accepter une offre des Rangers, le 1er juillet 2023, en quête de temps de jeu dans la LNH.

Sans jouer à New York, il a toutefois mené le Wolf Pack de Hartford avec 106 points, dont 38 buts, en 127 matchs.

Alex Belzile (Photo courtoisie Canadiens de Montréal)

En 31 parties en 2022-2023 avec le Canadien, Belzile a cumulé 26 points, dont 14 buts. Il a été le candidat de l’équipe au trophée Bill Masterton remis annuellement au joueur affichant persévérance, esprit sportif et dévouement au hockey.

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  • L’ex-Océanic Zachary Bolduc échangé au Canadien
    Appartenant aux Blues, Zachary Bolduc a été échangé au Canadien de Montréal, mardi midi, en retour du défenseur Logan Mailloux. L’ex-Océanic a amassé 36 points la saison dernière, dont 19 buts, en 72 matchs avec Saint-Louis. Comme Mailloux, l’ailier de 22 ans a été un choix de premier tour en 2021, appelé au 17e rang par les Blues. Avant de faire le saut chez les professionnels, il avait a joué quatre saisons dans la LHJMQ, dont les deux premières à Rimouski. Bolduc avait ensuite été é
     

L’ex-Océanic Zachary Bolduc échangé au Canadien

1 juillet 2025 à 12:30

Appartenant aux Blues, Zachary Bolduc a été échangé au Canadien de Montréal, mardi midi, en retour du défenseur Logan Mailloux. L’ex-Océanic a amassé 36 points la saison dernière, dont 19 buts, en 72 matchs avec Saint-Louis.

Comme Mailloux, l’ailier de 22 ans a été un choix de premier tour en 2021, appelé au 17e rang par les Blues.

Avant de faire le saut chez les professionnels, il avait a joué quatre saisons dans la LHJMQ, dont les deux premières à Rimouski.

Bolduc avait ensuite été échangé à Québec en retour de trois choix de première ronde et un de deuxième. Cette transaction devait mettre la table sur la préparation de l’Océanic vers une équipe aspirante aux grands honneurs en 2024-2025.

Zachary Bolduc dans l’uniforme de l’Océanic (Photo Océanic / Folio Photo – Iften Redjah)

Il a ensuite été un rouage important de la conquête du trophée Jean-Rougeau, du trophée Gilles-Courteau et de la Coupe Memorial par les Remparts.

Originaire de Trois-Rivières, Zachary Bolduc a été sélectionné en première ronde par l’Océanic en 2019. Il avait d’ailleurs été nommé la recrue de l’année dans la LHJMQ, à 16 ans.

Grande fierté

Au moment de son repêchage dans la LNH, le jeune homme affirmait qu’il se verrait dans l’organisation du Canadien.

« Être repêché par le Canadien serait une grande fierté pour moi. Je regarde jouer cette équipe depuis que je suis jeune. Beaucoup de gens parlent de la pression médiatique et que parfois, c’est difficile pour les joueurs. Mais, je pense que la pression, ça fait partie de la vie d’un joueur de hockey et qu’il faut être capable de gérer ça. J’arrive à m’imaginer ma façon de jouer et mon style de jeu dans cette organisation-là », mentionne-t-il.

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  • Hôtel Gouverneur de Rimouski : réouverture pour l’été 
    Fermé depuis cinq ans, l’Hôtel Gouverneur de Rimouski est maintenant rouvert. Il est possible de réserver une chambre depuis le 23 juin. Pour l’instant, l’hôtel est ouvert uniquement pour l’été. Les réservations peuvent se faire seulement jusqu’à la mi-septembre.  L’établissement hôtelier avait fermé ses portes pendant la pandémie, en 2020. Depuis un an, de nombreux travailleurs s’activaient pour remettre l’édifice sur pied. D’après des informations obtenues par Le Soir.ca en mai derni
     

Hôtel Gouverneur de Rimouski : réouverture pour l’été 

1 juillet 2025 à 12:00

Fermé depuis cinq ans, l’Hôtel Gouverneur de Rimouski est maintenant rouvert. Il est possible de réserver une chambre depuis le 23 juin.

Pour l’instant, l’hôtel est ouvert uniquement pour l’été. Les réservations peuvent se faire seulement jusqu’à la mi-septembre. 

L’établissement hôtelier avait fermé ses portes pendant la pandémie, en 2020. Depuis un an, de nombreux travailleurs s’activaient pour remettre l’édifice sur pied.

D’après des informations obtenues par Le Soir.ca en mai dernier, le propriétaire de l’Hôtel Gouverneur, Jacques Goupil, envisageait une réouverture partielle de l’établissement.

Environ 100 chambres seraient disponibles, comparativement aux 160 chambres que comptait l’hôtel lorsqu’il était au maximum de sa capacité.

Travaux effectués

Les travaux comprenaient notamment le remplacement partiel des revêtements de sol, la remise en état de certains aménagements paysagers sur la façade, des réparations ponctuelles du pavage du stationnement, ainsi que des travaux de plomberie, de ventilation, de peinture dans les espaces communs et certaines chambres, en plus d’améliorations en matière de sécurité incendie.

Des bornes de recharge pour véhicules électriques ont été installées l’automne dernier, à proximité de l’hôtel.

L’entrée de l’Hôtel Gouverneur à Rimouski. (Photo Olivier Therriault)

Malgré un certain maintien des communications entre la Ville et la direction de l’hôtel, la municipalité a dû intervenir à plusieurs reprises pour faire respecter les normes d’entretien, notamment en matière d’insalubrité dans les dernières années. 

Vide dans l’offre hôtelière

La fermeture prolongée de l’Hôtel Gouverneur a laissé un vide dans l’offre hôtelière locale. Depuis cinq ans, les grands événements sportifs, culturels, touristiques et économiques peinent à composer avec la pénurie de chambres dans la capitale du Bas-Saint-Laurent.

Le retour de l’Hôtel Gouverneur, même partiel, permettra de dynamiser le centre-ville de Rimouski qui attend impatiemment un regain d’activités touristiques et commerciales, surtout avec l’ouverture de Costco et du Salon de jeux de Loto-Québec.

À Trois-Rivières, Sherbrooke, Saguenay et Montréal, des hôtels de la chaîne ont aussi été fermés avant de rouvrir quelques années plus tard.

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  • SOPER : Rimouski défendue par des avocats de Québec
    Le conseil municipal de Rimouski a confié le mandat au cabinet d’avocats Tremblay Bois Mignault Lemay, de Québec, pour représenter la Ville dans les poursuites intentées par le Groupe immobilier Tanguay et Technipro BSL concernant la faillite de l’ex-Société de promotion économique de Rimouski (SOPER). Les recours ont été déposés à la Cour supérieure du district judiciaire de Rimouski. Le cabinet Tremblay Bois Mignault Lemay représente aussi la Ville dans le dossier contre la Société immob
     

SOPER : Rimouski défendue par des avocats de Québec

Le conseil municipal de Rimouski a confié le mandat au cabinet d’avocats Tremblay Bois Mignault Lemay, de Québec, pour représenter la Ville dans les poursuites intentées par le Groupe immobilier Tanguay et Technipro BSL concernant la faillite de l’ex-Société de promotion économique de Rimouski (SOPER).

Les recours ont été déposés à la Cour supérieure du district judiciaire de Rimouski.

Le cabinet Tremblay Bois Mignault Lemay représente aussi la Ville dans le dossier contre la Société immobilière GP, qui conteste la taxe imposée par Rimouski sur les immeubles commerciaux inoccupés dans le centre-ville élargi.

Selon le maire Guy Caron, joint par Le Soir, les assurances de la Ville couvriront les frais juridiques et ceux des anciens administrateurs de la SOPER dans les poursuites contre Tanguay et Technipro.

La MRC de Rimouski-Neigette est également visée par ces deux actions en justice.

En juin, la Ville et la MRC ont annoncé leur intention de contester la poursuite civile déposée par le Groupe Immobilier Tanguay contre elles, ainsi que contre les 14 anciens membres du conseil d’administration de la SOPER.

Les personnes visées disposaient d’un délai de 45 jours pour contester cette poursuite, convenir d’un règlement, proposer une médiation ou encore demander une conférence de règlement à l’amiable.

Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Les ex-membres du conseil d’administration poursuivis à titre individuel sont le maire et ex-président de la SOPER, Guy Caron, le préfet de la MRC, Francis St-Pierre, les conseillers rimouskois Rodrigue Joncas et Mélanie Beaulieu, la mairesse de Saint-Marcellin, Julie Thériault, l’ex-maire de Rimouski, Marc Parent, l’ex-président de la SOPER et de Novarium, Jean Pouliot ainsi que les administrateurs Geneviève Landry, Nancy Morin, Marie-Michèle Bélanger, Josée Laflamme, Eve-Marie Rioux, Nicolas Horth et Camille Leblanc.

Le bail stipule que la Société de promotion économique devait payer un loyer annuel de 675 000$ sur une période de 15 ans, en plus d’assumer les frais d’exploitation qui s’élevaient à près de 200 000$.

Dans sa demande, le Groupe immobilier Tanguay prétend « avoir été piégé » dans ce projet pour lequel il aurait reçu l’assurance qu’il n’y avait aucun autre risque que celui de la construction du bâtiment.

Deux poursuites distinctes

Le Groupe Immobilier Tanguay réclame près de 5 M$ à la Ville de Rimouski, à la MRC de Rimouski-Neigette, aux 14 anciens membres de la SOPER ainsi qu’à BDO Canada Ltée, syndic de la faillite. La faillite a mis fin au bail qui obligeait la SOPER à verser un loyer annuel de 675 000 $ pendant 15 ans pour l’immeuble du Novarium, inauguré en août 2022.

Pour sa part, Technipro BSL réclame 272 472,41 $, plus les intérêts, pour des travaux impayés liés à l’ajout d’une garderie dans le même immeuble.

Ajout d’une garderie

Pour sa part, Construction Technipro BSL a déposé un recours s’élevant à 272 472,41$, plus les intérêts, pour des travaux impayés liés à l’ajout d’une garderie privée subventionnée, baptisée « À chacun son histoire » dans l’immeuble du Novarium.

Inaugurée en janvier 2024, cette installation devait accueillir 78 enfants, dont 20 poupons de moins de 18 mois.

Le projet bénéficiait au départ d’un financement du ministère de la Famille du Québec, notamment pour les salaires des 14 employés, la location des locaux et le budget de fonctionnement.

La Société de promotion économique de Rimouski a confirmé sa faillite, le 28 novembre dernier, alors que ses dettes s’élevaient à environ 4 M$.

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  • Voyeurisme : Stéphane Marquis reviendra en août
    Les dossiers de Stéphane Marquis, 47 ans de Saint-Anaclet-de-Lessard, accusé de voyeurisme sont reportés au 15 août pour fixer une date de procès. Cette étape était initialement prévue le 27 juin, au palais de justice de Rimouski. Marquis a plaidé non coupable à l’ensemble des chefs d’accusation. « Nous avons eu des discussions avec la défense. Le ministère public doit faire certaines vérifications afin de s’assurer que la preuve soit complète », a mentionné la procureure de la Couronne, M
     

Voyeurisme : Stéphane Marquis reviendra en août

Les dossiers de Stéphane Marquis, 47 ans de Saint-Anaclet-de-Lessard, accusé de voyeurisme sont reportés au 15 août pour fixer une date de procès.

Cette étape était initialement prévue le 27 juin, au palais de justice de Rimouski. Marquis a plaidé non coupable à l’ensemble des chefs d’accusation.

« Nous avons eu des discussions avec la défense. Le ministère public doit faire certaines vérifications afin de s’assurer que la preuve soit complète », a mentionné la procureure de la Couronne, Me Frédérique Audet.

Au départ, Stéphane Marquis était accusé d’avoir observé et/ou produit un enregistrement visuel de quatre femmes alors qu’elles se trouvaient dans un lieu où l’on peut s’attendre à ce qu’une personne soit nue.

Les événements se seraient produits à Saint-Anaclet-de-Lessard et à Rimouski entre le 1er novembre 2023 et le 1er juillet 2024.

Flânage et harcèlement criminel

On reproche également à Stéphane Marquis d’avoir flâné et/ou rôdé dans la nuit sur la propriété d’autrui, près de deux maisons et de s’être commis à du harcèlement criminel envers une cinquième femme.

La dénonciation stipule que l’accusé aurait soit suivi cette femme, communiquée de façon répétée avec elle, cerné ou surveillé un lieu où elle réside ou travaille, ou se serait comporté de manière menaçante envers elle.

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  • Essence : l’impact de Costco difficile à évaluer
    L’impact de l’ouverture d’un service d’essence par Costco à Rimouski à la mi-juillet est difficile à évaluer sur le prix à la pompe au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, selon le conseiller en communication et porte-parole de CAA-Québec, Simon Bourassa. « Le premier gagnant, c’est évidemment le consommateur qui est membre chez Costco qui va pouvoir payer son essence moins chère. On sait que Costco est capable d’offrir des prix extrêmement compétitifs à la pompe pour différentes raisons, notamm
     

Essence : l’impact de Costco difficile à évaluer

L’impact de l’ouverture d’un service d’essence par Costco à Rimouski à la mi-juillet est difficile à évaluer sur le prix à la pompe au Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie, selon le conseiller en communication et porte-parole de CAA-Québec, Simon Bourassa.

« Le premier gagnant, c’est évidemment le consommateur qui est membre chez Costco qui va pouvoir payer son essence moins chère. On sait que Costco est capable d’offrir des prix extrêmement compétitifs à la pompe pour différentes raisons, notamment des coûts d’exploitation réduits au minimum. Pour ce qui est de savoir si cela aura un effet d’entraînement sur les autres stations-service et créer une pression pour les forcer à baisser leur prix, c’est difficile à dire », commente le spécialiste en entrevue à Le Soir.ca.

Parmi les facteurs à considérer, monsieur Bourassa parle des abonnements.

« Il faut être membre Costco pour profiter de ces prix-là. Est-ce qu’il y a vraiment plus de gens qui vont devenir membres Costco pour profiter de bas prix en essence parce qu’il faut y aller souvent à la station-service de Costco pour rentabiliser son abonnement », mentionne-t-il.

Simon Bourassa estime qu’il faudra voir si des stations-service de Rimouski seront désertées.

« On espère que les prix s’ajustent à la baisse et que ça crée une pression pour que le consommateur paie son essence moins chère, mais c’est difficile de le prédire ».

Avantage à baisser le prix

Le CAA n’a pas constaté de baisse du prix de l’essence à la suite de l’arrivée d’un Costco ailleurs au Québec.

« Si je prends l’exemple du secteur de la rue Bouvier à Québec où se trouvent notre siège social et un Costco, les stations-service environnantes sont souvent les plus chères à Québec. Le prix de Costco n’a aucune incidence sur les stations-service environnantes. Par contre, si certaines stations-service voient une baisse drastique de leur clientèle, elles auront sûrement avantage à baisser leurs prix », explique le porte-parole.

Des pompes à essence de Costco (Photo courtoisie Groupe SM Tardif)

Simon Bourassa réfute la croyance populaire croyant que le prix de l’essence augmente à l’approche du congé de la construction.

« Certaines essenceries, de manière indépendante, vont peut-être décider de profiter d’une augmentation de l’affluence dans leur secteur pour augmenter leur prix, mais le marché des produits pétroliers étant mondialisé, ce ne sont pas les deux petites semaines de la construction au Québec qui influence le marché mondial du pétrole ».

Cours du pétrole à la baisse

Le spécialiste souligne que le cours des produits pétroliers est la baisse depuis quelques jours avec la situation qui tend à se régulariser au Moyen-Orient.

Le cours du pétrole semble vouloir prendre une tournante à la baisse.

Certaines pétrolières se livrent actuellement une guerre de prix à Québec avec des prix qu’on n’avait pas vus depuis plusieurs années à 1,35$ ou 1,36$ du litre.

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