Le policier de la Sûreté du Québec à Montmagny et ancien propriétaire de la Villa des Basques, Ghislain Dorion, a été reconnu coupable au criminel pour des fautes commises lors d’enquêtes policières et il a écopé d’une peine de neuf mois de détention dans la collectivité.
Selon le Journal de Québec, Dorion a reconnu des manquements dans cinq dossiers d’enquête.
Il a notamment jeté de la preuve aux poubelles et fermé un dossier en justifiant sa décision par une fausse rencontre avec un pro
Le policier de la Sûreté du Québec à Montmagny et ancien propriétaire de la Villa des Basques, Ghislain Dorion, a été reconnu coupable au criminel pour des fautes commises lors d’enquêtes policières et il a écopé d’une peine de neuf mois de détention dans la collectivité.
Selon le Journal de Québec, Dorion a reconnu des manquements dans cinq dossiers d’enquête.
Il a notamment jeté de la preuve aux poubelles et fermé un dossier en justifiant sa décision par une fausse rencontre avec un procureur. Ghislain Dorion a été suspendu par la Sûreté du Québec en juin 2021. Le policier avait alors 30 ans d’expérience au sein du corps policier.
Des fautes dans cinq affaires
Il a admis avoir commis des fautes dans cinq affaires distinctes entre 2010 et 2021, certains de ses gestes ayant même mené à l’arrêt des procédures dans des dossiers criminels.
Dorion a reconnu avoir autorisé la libération d’un camion impliqué dans une collision sans l’autorisation du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), ce qui a mené à un arrêt des procédures dans le dossier de négligence criminelle causant la mort, puisque la défense n’avait pas eu la possibilité de contre-expertiser le véhicule.
Neuf mois de prison dans la collectivité
En avril, le tribunal l’a condamné à une peine d’emprisonnement dans la collectivité de neuf mois pour deux chefs d’accusation.
Ghislain Dorion a aussi été impliqué dans l’immobilier et la restauration.
En 2018, de nombreuses plaintes ont touché la Villa des Basques. En 2019, l’entreprise s’est retrouvée en faillite et mise sous séquestre.
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, fait le point sur l’avancement des travaux sur le boulevard Jacques-Cartier qui devraient se poursuivre jusqu’au 25 août.
« C’est le gros chantier que nous avons à l’entrée de la Ville. La pose des drains souterrains est maintenant terminée. Le réseau d’aqueduc temporaire a été démantelé la semaine dernière. Nous allons ensuite faire les travaux de bordure et les trottoirs. Les travaux d’asphaltage pourront donc commencer dès le 4 août et s’échelonner jusq
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, fait le point sur l’avancement des travaux sur le boulevard Jacques-Cartier qui devraient se poursuivre jusqu’au 25 août.
« C’est le gros chantier que nous avons à l’entrée de la Ville. La pose des drains souterrains est maintenant terminée. Le réseau d’aqueduc temporaire a été démantelé la semaine dernière. Nous allons ensuite faire les travaux de bordure et les trottoirs. Les travaux d’asphaltage pourront donc commencer dès le 4 août et s’échelonner jusqu’au 25 août », précise le maire, qui rappelle que les travaux ont débuté au début juin.
Travaux de 6,2 M$
Rappelons que les travaux en cours consistent à remplacer les conduites souterraines sur une distance de 350 mètres, entre l’avenue Lavoie et l’avenue Poirier, et sur une distance de 355 mètres sur l’avenue Benoît-Quimper.
Les investissements nécessaires pour remettre à niveau ces infrastructures sont de l’ordre de 6,2 M$ et la Ville de Mont-Joli a pu compter sur l’appui du gouvernement du Québec pour subventionner une grande partie de la facture.
« Nous avons aussi utilisé une partie de nos revenus de la TECQ (taxe sur l’essence) », souligne monsieur Soucy.
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo courtoisie)
« On demande aux gens d’être patients pendant les travaux », mentionne le maire.
Portés par l’organisme Han-Logement, la construction de 32 logements adaptés et abordables pour des personnes en situation de handicap se compléta comme prévu, à la fin de l’été, dans le district Pointe-au-Père à Rimouski.
Entamés en août 2024, les travaux effectués par l’entrepreneur général CB4S de Saint-Arsène consistent à l’aménagement de quatre édifices de huit logements sur la rue des Vétérans. Ce projet d’envergure répondra à un besoin criant à Rimouski.
« Ils seront adaptés pour
Portés par l’organisme Han-Logement, la construction de 32 logements adaptés et abordables pour des personnes en situation de handicap se compléta comme prévu, à la fin de l’été, dans le district Pointe-au-Père à Rimouski.
Entamés en août 2024, les travaux effectués par l’entrepreneur général CB4S de Saint-Arsène consistent à l’aménagement de quatre édifices de huit logements sur la rue des Vétérans. Ce projet d’envergure répondra à un besoin criant à Rimouski.
« Ils seront adaptés pour des personnes en situation de handicap physique, intellectuel, ou vivant avec un trouble du spectre de l’autisme, ainsi qu’à des personnes âgées bénéficiant des adaptations. Chaque logement intégrera 55 adaptations pour optimiser l’accessibilité et le confort de nos locataires », explique la coordinatrice philanthropie et marketing chez Han-Logement, Cindy de Lozzo.
La Ville cède son rang hypothécaire
Pour concrétiser le projet, le conseil municipal de Rimouski a accepté à l’unanimité les termes de l’acte de cession de rang hypothécaire à intervenir entre la Ville de Rimouski et la Société Canadienne d’Hypothèque et de Logement (SCHL) sur le projet d’Han-Logement.
La cession de son rang hypothécaire signifie que la Ville de Rimouski cède sa priorité à la SCHL comme créancier en cas de faillite.
« Le promoteur obtient du financement de divers organismes prêteurs. Dans ce cas-ci, il s’agit de la SCHL. Une des conditions pour qu’ils prêtent de l’argent, c’est d’obtenir la priorité au point de vue hypothécaire. La Ville cède donc son rang hypothécaire pour qu’Han-Logement puisse accéder à du financement », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo courtoisie UMQ)
Rimouski a aussi donné le terrain à Han-Logement pour permettre la construction des 32 logements abordables.
Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, sort satisfait de sa rencontre de mercredi (23 juillet) avec le maire de Rimouski, Guy Caron. Il estime que la Ville a fait preuve d’ouverture pour deux dossiers chers aux commerçants : le stationnement et l’affichage.
Dix mois après le dépôt d’un rapport de gens d’affaires mandatés pour recommander des mesures afin d’atténuer les impacts liés à l’ouverture de Costco, monsieur Caron a mentionné mard
Le coprésident de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, Simon St-Pierre, sort satisfait de sa rencontre de mercredi (23 juillet) avec le maire de Rimouski, Guy Caron. Il estime que la Ville a fait preuve d’ouverture pour deux dossiers chers aux commerçants : le stationnement et l’affichage.
Dix mois après le dépôt d’un rapport de gens d’affaires mandatés pour recommander des mesures afin d’atténuer les impacts liés à l’ouverture de Costco, monsieur Caron a mentionné mardi (22 juillet), au Soir.ca, que la Ville avait fait ses devoirs.
Parmi les idées évoquées, monsieur St-Pierre indique que la Ville se montre réceptive à la demande d’augmenter la période de gratuité du stationnement à 30 minutes à Rimouski.
« C’est un dossier que la nouvelle ressource que nous allons embaucher à l’automne suivra en collaboration avec le service de développement économique de la Ville », explique-t-il.
Le coprésident souhaite également que l’ouverture de Costco devienne un levier touristique.
« Pour profiter de l’achalandage généré par le nouveau commerce, nous demandons qu’un affichage rapide soit mis en place afin d’inciter les visiteurs à descendre la montée Industrielle-et-Commerciale pour découvrir le centre-ville. On veut que ce soit fait rapidement », insiste Simon St-Pierre.
Vitrine à bâtir
La Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette espère que des actions concrètes pourront être mises en place dans les prochaines semaines.
« Il faut rapidement installer une signalisation claire pour informer les gens que le centre-ville élargi regorge de commerces attrayants : boutiques, restaurants, épiceries fines, produits du terroir, vêtements uniques. L’affichage électronique demande plus de temps, car il nécessite des modifications réglementaires, mais on peut débuter avec un tableau statique pour montrer que notre ville mérite le détour. »
La traverse piétonnière de la rue Saint-Germain Ouest, au centre-ville de Rimouski. (Photo Le Soir.ca)
Un des premiers mandats de la nouvelle direction de la Chambre sera de créer une carte interactive en collaboration avec la Ville.
« On veut un outil simple et accessible pour les visiteurs, qui pourrait proposer des parcours gourmands alliant restaurants, poissonneries, chocolateries ou pâtisseries. Ce genre d’expérience existe à Toronto, et permet aux gens de l’extérieur de découvrir les saveurs locales », mentionne monsieur St-Pierre.
Communication défaillante
Le coprésident de la Chambre déplore une mauvaise communication dans le dossier.
« Nous avions présenté nos recommandations au maire et aux élus en comité plénier. On nous avait dit qu’on nous reviendrait, mais le conseil d’administration n’a jamais eu de suivi. Ce qu’on a appris, c’est que des réponses avaient plutôt été données à Jean-Nicolas Marchand (l’ancien directeur général de la Chambre, congédié pour des présomptions de fraude). Il nous disait que le rapport allait être tabletté, alors que ce n’était pas le cas. La pression des dernières semaines nous a permis d’obtenir cette rencontre constructive. »
Un magasin-entrepôt Costco (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Il admet que le congédiement de son directeur général et les problèmes à la SOPER ont ralenti certains projets.
« Nous avions des collaborations en cours avec la SOPER en lien avec Costco. Tout est tombé à l’eau après leur départ. »
La Ville veut aller de l’avant
Comme le mentionnait le maire Guy Caron mardi, au Soir.ca, la Ville assure avoir pris connaissance des 15 recommandations du comité de gens d’affaires.
« Certaines relèvent de notre juridiction, d’autres non. Le stationnement au centre-ville est un enjeu sur lequel nous travaillons. Le plan particulier d’urbanisme, qui entrera en vigueur l’an prochain, abordera cette question. D’ici là, certaines mesures pourront être mises en œuvre », a indiqué monsieur Caron.
15 recommandations à la Ville de Rimouski
Création d’un outil technologique centralisé portable intégrant une composante d’intelligence artificielle
Mettre en place, pour les entreprises de Rimouski, un véhicule facilitateur d’émission d’incitatifs financiers ou des rabais individuels ou collectifs
Offrir aux commerçants du centre-ville une opportunité d’affichage promotionnel pour les personnes qui arrivent par l’autoroute 20 pour les attirer vers le centre-ville
Jumeler l’achat de publicité par les commerçants et par la Ville de Rimouski puisqu’il s’agit de promouvoir son centre-ville
Faciliter l’orientation et le mouvement des personnes au centre-ville par l’implantation et le développement d’une politique signalétique municipale
Proposer un accompagnement individuel, par une firme marketing, rendu abordable par un financement gouvernemental provincial. Cet accompagnement permet un diagnostic organisationnel personnalisé, une analyse stratégique des opportunités et besoins ainsi que des recommandations marketing
Organiser une série de panels thématiques comprenant entrepreneurs, organisations structurantes et autres joueurs clés expérimentés dans ce type de défi
Implanter rapidement un système de paiement de stationnement simplifié et uniformisé dans tout le centre-ville
Faire passer la période gratuite des 15 premières minutes aux 30 premières minutes de stationnement tout en permettant des déplacements lors de cette période
Garantir le nombre actuel de stationnements au centre-ville
Créer un événement hivernal sur la rue Saint-Germain Ouest, qui ne concurrence pas les Terrasses Cogeco, l’été, sur Saint-Germain Est
Décorer davantage le centre-ville pour la saison hivernale et distribuer des décorations aux commerçants
Garantir la construction d’un nombre de logements suffisant pour répondre à l’augmentation de la demande de main-d’œuvre générée par l’ajout de commerces importants
Assurer une offre de services de francisation pour les travailleurs internationaux correspondant aux besoins de main-d’œuvre supplémentaire
Intégrer des éléments liés aux conditions de travail, à la gestion d’équipe et à la rétention de la main-d’oeuvre dans l’accompagnement proposé aux entrepreneurs pour mieux répondre aux besoins très variables des employeurs de Rimouski.
Un nouveau cabinet d’avocats ouvrira ses portes, ce lundi 28 juillet, tout juste devant le palais de justice de Rimouski.
La firme Juriseo Avocats de Terrebonne s’installera au 180, avenue de la Cathédrale, au bureau 220, afin de couvrir la région du Bas-Saint-Laurent.
Me Céleste Anctil, avocate chez Juriseo depuis 2021, sera responsable du nouveau bureau. Originaire de Saint-Mathieu-de-Rioux, elle revient dans sa région natale pour offrir un accompagnement juridique à la clientèle.
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Un nouveau cabinet d’avocats ouvrira ses portes, ce lundi 28 juillet, tout juste devant le palais de justice de Rimouski.
La firme Juriseo Avocats de Terrebonne s’installera au 180, avenue de la Cathédrale, au bureau 220, afin de couvrir la région du Bas-Saint-Laurent.
Me Céleste Anctil, avocate chez Juriseo depuis 2021, sera responsable du nouveau bureau. Originaire de Saint-Mathieu-de-Rioux, elle revient dans sa région natale pour offrir un accompagnement juridique à la clientèle.
Civil, immobilier et construction
Me Anctil a amorcé sa carrière comme stagiaire chez Juriseo Avocats, avant d’être officiellement embauchée comme avocate en 2021.
Depuis, elle a plaidé dans plusieurs dossiers hautement contestés devant la Cour du Québec, la Cour supérieure et même la Cour d’appel du Québec.
Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Me Céleste Anctil concentre sa pratique dans les domaines du litige civil, du droit immobilier et du droit de la construction.
« Son écoute, sa capacité de vulgarisation et son approche humaine en font également une alliée précieuse dans les dossiers plus sensibles, notamment en matière de droit de la personne », mentionne-t-on.
L’entreprise Immeubles DTM Inc. souhaite construite un bâtiment résidentiel de 15 logements sur le site du 266, rue Saint-Germain Est à Rimouski.
Le projet nécessitant l’adoption d’un Projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) par le conseil municipal, parce qu’il contrevient à certaines normes du règlement d’urbanisme.
Après la séance de consultation publique tenue le 17 juillet dernier, les élus ont adopté, aux fins d’approbation référenda
L’entrepriseImmeubles DTM Inc. souhaite construite un bâtiment résidentiel de 15 logements sur le site du 266, rue Saint-Germain Est à Rimouski.
Le projet nécessitant l’adoption d’un Projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) par le conseil municipal, parce qu’il contrevient à certaines normes du règlement d’urbanisme.
Après la séance de consultation publique tenue le 17 juillet dernier, les élus ont adopté, aux fins d’approbation référendaire, le second projet de résolution en vue d’approuver le PPCMOI à une prochaine séance.
« Lorsqu’on parle de densifier le centre-ville, en voici un bel exemple. C’est un bâtiment existant dont le carnet de santé nous dit qu’il ne peut pas être réhabilité, mais le promoteur, Immeubles DTM va en faire un 15 logements », commente le maire de Rimouski, Guy Caron.
Le maire Guy Caron et le directeur général de la Ville de Rimouski, Marco Desbiens. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Les locataires ont été relocalisés temporairement. L’immeuble avait également une vocation commerciale. Il y avait notamment une boutique d’artisanat qui est maintenant fermée.
« Le bâtiment n’était pas en bon état. Il sera transformé en résidentiel », précise monsieur Caron.
Ce projet particulier contient des dispositions susceptibles d’approbation référendaire.
La Société des alcools du Québec (SAQ) est en processus afin d’implanter une agence à Les Hauteurs, dans La Mitis. Un appel d’offres s’adressant aux commerces en alimentation prenait fin ce mercredi 23 juillet, à 11 h.
« L’analyse de l’ensemble des propositions reçues est en cours. À ce stade, il m’est impossible de confirmer à qui sera attribué le contrat », indique la responsable des opérations contractuelles SAQ Agences, Chantal Paré.
Deux commerces offrent des services en alimentation
La Société des alcools du Québec (SAQ) est en processus afin d’implanter une agence à Les Hauteurs, dans La Mitis. Un appel d’offres s’adressant aux commerces en alimentation prenait fin ce mercredi 23 juillet, à 11 h.
« L’analyse de l’ensemble des propositions reçues est en cours. À ce stade, il m’est impossible de confirmer à qui sera attribué le contrat », indique la responsable des opérations contractuelles SAQ Agences, Chantal Paré.
Deux commerces offrent des services en alimentation à Les Hauteurs, soit le Dépanneur du Coin et l’Épicerie D.F. Rouleau.
Épiceries et dépanneurs visés
Les agences SAQ sont des commerces d’alimentation (épiceries ou dépanneurs) qui obtiennent le droit de vendre des produits de la SAQ dans leur magasin.
Elles sont situées dans des municipalités où il n’y a pas de succursale de la SAQ et permettent un meilleur accès aux produits.
La SAQ détient 423 agences réparties au Québec, dont 42 au Bas-Saint-Laurent. La MRC de La Mitis compte actuellement quatre succursales à Sainte-Luce (Marché Ste-Luce et Épicerie C.H. Bernier (secteur Luceville), Saint-Gabriel (Épicerie DB), La Rédemption (Dépanneur Chez Ti-Noir).
La Corporation Les amis des aînés de L’Isle-Verte ont inauguré récemment la Résidence de l’Ancrage, un immeuble de 20 logements sociaux et abordables destinés à des personnes âgées en légère perte d’autonomie à L’Isle-Verte. Ce chantier a nécessité un investissement de plus de 12,4 M$.
Québec a versé plus de 5,6 M$ par l’entremise de la Société d’habitation du Québec (SHQ) pour la construction de cet immeuble. La SHQ garantit également le prêt hypothécaire contracté par la Corporation.
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La Corporation Les amis des aînés de L’Isle-Verte ont inauguré récemment la Résidence de l’Ancrage, un immeuble de 20 logements sociaux et abordables destinés à des personnes âgées en légère perte d’autonomie à L’Isle-Verte. Ce chantier a nécessité un investissement de plus de 12,4 M$.
Québec a versé plus de 5,6 M$ par l’entremise de la Société d’habitation du Québec (SHQ) pour la construction de cet immeuble. La SHQ garantit également le prêt hypothécaire contracté par la Corporation.
Ottawa a aussi participé au projet à hauteur de 5,1 M$, tandis que la Municipalité de L’Isle-Verte accorde à la Corporation un crédit de taxes d’une durée de 35 ans, d’une valeur totalisant 1,2 M$.
« La Résidence de l’Ancrage représente bien plus qu’un bâtiment. C’est un lieu de réconfort, de dignité et de proximité pour nos aînés. La Municipalité de L’Isle-Verte est fière d’avoir contribué à ce projet porteur, qui répond à un besoin réel dans notre communauté », affirme la mairesse de l’Isle-Verte, Ginette Caron, dans un communiqué
Accueillant et sécuritaire
Présente lors de l’inauguration, la ministre responsable des Aînés, Sonia Bélanger, estime que le projet est porteur d’espoir, rappelant la tragédie survenue à L’Isle-Verte, le 24 janvier 2014.
À ce moment, un violent incendie avait éclaté au cœur de la nuit dans la Résidence du Havre, comprenant à l’époque 52 logements occupés par des personnes âgées autonomes et semi-autonomes. En tout, 32 personnes avaient perdu la vie.
Le drame a notamment permis de resserrer les règles et les normes de sécurité dans les résidences pour aînés afin d’éviter une nouvelle tragédie.
« Grâce à l’engagement de tous les partenaires, les résidents et leurs proches peuvent aujourd’hui compter sur un environnement accueillant et sécuritaire », a indiqué Sonia Bélanger.
Arrêté le 22 mai dernier lors d’une perquisition en matière de lutte au trafic de stupéfiants, Dave Martel, 51 ans, de Saint-Léandre, a plaidé non coupable. Il a demandé que son procès soit précédé d’une enquête préliminaire, dont la date devrait être fixée le 16 septembre prochain.
Martel est détenu depuis son arrestation. Il est représenté par Me Caroline Bérubé. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine compte à 1,5 jour par jour purgé.
Les policiers de
Arrêté le 22 mai dernier lors d’une perquisition en matière de lutte au trafic de stupéfiants, Dave Martel, 51 ans, de Saint-Léandre, a plaidé non coupable. Il a demandé que son procès soit précédé d’une enquête préliminaire, dont la date devrait être fixée le 16 septembre prochain.
Martel est détenu depuis son arrestation. Il est représenté par Me Caroline Bérubé. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine compte à 1,5 jour par jour purgé.
Les policiers de la MRC de la Matanie, assistés d’enquêteurs de la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de Rimouski, en plus du Groupe tactique d’intervention, le Service d’identité judiciaire et d’un maître-chien, ont effectué une perquisition dans un immeuble résidentiel de la route des Érables, le 22 mai dernier, à Saint-Léandre.
Coke et médicaments
Sur place, les policiers ont procédé à la saisie de 21 000$ en argent canadien, plus de 275 grammes de cocaïne, plus de 100 de médicaments sous ordonnance, une arme de chasse et trois armes de poing.
Intercepté sur place, Martel fait face à des accusations en matière de trafic de stupéfiants et de possession d’armes prohibées et non autorisées.
Quatre entreprises bien établies dans l’industrie du camion lourd, soit Gaspésie Diesel (New Richmond), Centre du Camion JL (Amqui), Carrefour du Camion Saint-Quentin et Carrefour du Camion RDL, confirment leur fusion sous une nouvelle bannière commune : Carrefour du Camion.
Cette union stratégique doit permettre d’offrir un service de proximité encore plus fort à l’échelle de l’Est-du-Québec et du Nouveau-Brunswick.
Les quatre points de service mettent en commun leurs expertises, leurs re
Quatre entreprises bien établies dans l’industrie du camion lourd, soit Gaspésie Diesel (New Richmond), Centre du Camion JL (Amqui), Carrefour du Camion Saint-Quentin et Carrefour du Camion RDL, confirment leur fusion sous une nouvelle bannière commune : Carrefour du Camion.
Cette union stratégique doit permettre d’offrir un service de proximité encore plus fort à l’échelle de l’Est-du-Québec et du Nouveau-Brunswick.
Les quatre points de service mettent en commun leurs expertises, leurs ressources et leur engagement à accompagner les camionneurs et les entreprises du transport, peu importe leur localisation.
« En unissant nos forces sous une seule bannière, on ne fait pas que changer de nom. Carrefour du Camion, c’est le résultat d’une vision partagée, d’années de collaboration entre des équipes d’expérience et d’une volonté commune d’être un vrai partenaire pour ceux qui roulent l’Est-du-Québec au quotidien. On comprend bien les réalités du terrain et on s’engage dans le développement régional », déclare le président du Carrefour du Camion, Gabriel Morin.
Nouvelle bannière, même engagement
Les clients de chaque région retrouveront la même fiabilité qu’ils ont toujours connue, bonifiée par la force du regroupement.
L’entreprise effectue le service de mécanique pour camions lourds, la vente de camions neufs et usagés avec un large inventaire de pièces disponibles.
« Ce regroupement nous donne les moyens d’agir encore plus rapidement pour nos clients. Quand un camion s’immobilise, c’est toute une entreprise qui ralentit. Que ce soit pour une réparation urgente, une pièce difficile à trouver ou l’achat d’un camion prêt à rouler, notre but reste le même : remettre les camionneurs sur la route, le plus vite possible », commente le directeur des opérations, Carrefour du Camion Rivière-du-Loup, Pierre Morin.
Le conseil municipal de Rimouski a adopté, jeudi dernier (17 juillet), un premier projet de règlement pour permettre la rénovation extérieure de l’immeuble situé au 128, rue de l’Évêché Ouest.
Le projet soumis à la Ville prévoit le changement du revêtement extérieur, de la toiture, le remplacement de l’ensemble des ouvertures, l’agrandissement de certaines fenêtres, ainsi que l’aménagement des aires extérieures, notamment l’aire de stationnement, en vue de régulariser un total de 29 logements
Le conseil municipal de Rimouski a adopté, jeudi dernier (17 juillet), un premier projet de règlement pour permettre la rénovation extérieure de l’immeuble situé au 128, rue de l’Évêché Ouest.
Le projet soumis à la Ville prévoit le changement du revêtement extérieur, de la toiture, le remplacement de l’ensemble des ouvertures, l’agrandissement de certaines fenêtres, ainsi que l’aménagement des aires extérieures, notamment l’aire de stationnement, en vue de régulariser un total de 29 logements.
Ce projet particulier déroge à certaines normes du Règlement de zonage, notamment le nombre de logements autorisés, les marges de recul, le nombre minimal d’arbres exigés pour un terrain à usage résidentiel, l’emplacement d’une aire de stationnement, la présence d’une bordure et d’une bande de verdure pour une aire de stationnement comportant plus de cinq cases, l’implantation d’un conteneur à matières résiduelles et la réduction du nombre de cases de stationnement exigé au centre-ville.
« C’est un bâtiment qui est actuellement résidentiel. Mais dont il faut régulariser sa capacité de pouvoir accueillir 29 logements. Pour ce faire, ça prend des modifications au bâtiment qui requiert un PPCMOI (projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble) », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Dans un site patrimonial
Le bâtiment visé est situé dans le site patrimonial cité de l’Ensemble-Institutionnel-du-Centre-Ville-de-Rimouski.
L’aspect actuel du bâtiment, de même que l’aménagement de ses aires extérieures (stationnement et végétation), ne correspond plus aux attentes contemporaines en matière de qualité urbaine et d’intégration.
Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir archives)
Dans sa résolution, la Ville estime que le projet proposé constitue une bonification qualitative de l’ensemble bâti, en favorisant une meilleure insertion dans le milieu par une mise à niveau tant sur le plan architectural que paysager et qu’il respecte les objectifs du Plan d’urbanisme.
Recommandé par le CCU
Le 8 juillet 2025, ce projet particulier a été soumis au comité consultatif d’urbanisme (CCU) de la Ville qui recommande au conseil municipal de l’accepter.
À noter que ce projet particulier contient des dispositions susceptibles d’approbation référendaire.
Aux commerçants qui estiment que Rimouski tarde à réagir aux recommandations du comité de gens d’affaires du centre-ville pour atténuer les impacts liés à l’ouverture du Costco, le maire Guy Caron répond que la Ville a fait ses devoirs et que, de surcroît, aucune réponse formelle n’avait été demandée par ce comité.
En septembre 2024, ce comité, mis en place pour aider les commerces locaux à tirer parti de l’arrivée de Costco et piloté par la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neig
Aux commerçants qui estiment que Rimouski tarde à réagir aux recommandations du comité de gens d’affaires du centre-ville pour atténuer les impacts liés à l’ouverture du Costco, le maire Guy Caron répond que la Ville a fait ses devoirs et que, de surcroît, aucune réponse formelle n’avait été demandée par ce comité.
En septembre 2024, ce comité, mis en place pour aider les commerces locaux à tirer parti de l’arrivée de Costco et piloté par la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, avait présenté 15 recommandations à la Ville.
Parmi celles-ci, ses membres proposaient notamment le lancement d’une application mobile et l’aménagement d’un espace publicitaire partagé sur l’autoroute 20 pour attirer les visiteurs au centre-ville, un système simplifié de paiement du stationnement ainsi que la création d’un événement hivernal sur la rue Saint-Germain Ouest.
« Nous avons proposé 15 recommandations. On souhaite que les 15 soient mises de l’avant. Certaines peuvent être réalisées rapidement, comme le stationnement, l’affichage et l’événementiel. Il faut un signal clair, le plus tôt possible », soulignait alors l’ex-directeur général de la Chambre, Jean-Nicolas Marchand.
Plan pour le stationnement
Dix mois après le dépôt du rapport, le maire Caron affirme que la Ville en a bel et bien pris connaissance des 15 recommandations.
« Certaines recommandations relèvent de la Ville, d’autres non. Le stationnement au centre-ville est un enjeu sur lequel nous travaillons actuellement. Le plan particulier d’urbanisme, qui entrera en vigueur l’an prochain, abordera cette question. D’ici là, certaines mesures peuvent être mises en œuvre », explique-t-il.
Des panneaux invitent les usagers du stationnement à se rendre effectuer leur paiement aux horodateurs. (Photo archives Le Soir.ca)
Concernant l’affichage électronique, Guy Caron affirme que la Ville est intéressée, mais doit d’abord adapter sa réglementation.
« Si on va dans cette direction, ce qui n’est pas exclu, un appel d’offres devra être lancé pour déterminer qui est intéressé à soumissionner et à quelles conditions. »
La signalétique au centre-ville, qui concerne l’ensemble des éléments visuels tels que les panneaux visant à orienter les visiteurs, figure aussi parmi les priorités de Rimouski.
« Ce dossier est déjà bien avancé. Une nouvelle signalétique sera installée pour mieux diriger les automobilistes vers le centre-ville. Ce sont trois éléments que nous jugeons pertinents », ajoute-t-il.
Pas de la responsabilité de la Ville
Guy Caron rappelle toutefois que plusieurs recommandations ne relèvent pas de la compétence municipale.
Des membres du comité formé pour que les commerces locaux tirent avantage de l’arrivée de Costco à Rimouski. (Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)
« Par exemple, la francisation de la main-d’œuvre, mentionnée dans le rapport, ne relève pas de la Ville. D’autres recommandations sont de la responsabilité du gouvernement du Québec ou de la Chambre de commerce. Nous avons pris le rapport au sérieux. Pour plusieurs points, nous allons de l’avant. Le comité n’a jamais demandé de réponse officielle. Si les commerçants souhaitent une réponse écrite, nous pouvons leur en fournir une. »
Développement résidentiel et vitalisation
Parmi les autres recommandations, le comité souhaitait aussi un développement résidentiel pour répondre aux besoins liés à la main-d’œuvre.
« Je crois que nous avons fait notre part avec 1 200 unités en chantier. Ce sont des projets en cours. Quant à l’étude sur la vitalisation du centre-ville, financée par le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, nous devons relancer un appel d’offres puisque la soumission la plus basse reçue était trop élevée. Ce sont cinq des 15 recommandations pour lesquelles nous allons de l’avant », souligne monsieur Caron.
Membres du comité
Andréanne Pelletier- Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette
Andrée Blouin- Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette (à l’époque)
Brian Maguire- Clinique Opto-Réseau En vue Rimouski
David D’Astous- Service Ruest Babin
Denis Gigault- Alimentation Coop Rimouski
Francis Chouinard- Réseau Accès Crédit (à l’époque)
Jean-Nicolas Marchand- Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette (à l’époque)
Lisianne St-Pierre- SADC de la Neigette (membre observateur)
15 recommandations à la Ville de Rimouski
Création d’un outil technologique centralisé portable intégrant une composante d’intelligence artificielle
Mettre en place, pour les entreprises de Rimouski, un véhicule facilitateur d’émission d’incitatifs financiers ou des rabais individuels ou collectifs
Offrir aux commerçants du centre-ville une opportunité d’affichage promotionnel pour les personnes qui arrivent par l’autoroute 20 pour les attirer vers le centre-ville
Jumeler l’achat de publicité par les commerçants et par la Ville de Rimouski puisqu’il s’agit de promouvoir son centre-ville
Faciliter l’orientation et le mouvement des personnes au centre-ville par l’implantation et le développement d’une politique signalétique municipale
Proposer un accompagnement individuel, par une firme marketing, rendu abordable par un financement gouvernemental provincial. Cet accompagnement permet un diagnostic organisationnel personnalisé, une analyse stratégique des opportunités et besoins ainsi que des recommandations marketing
Organiser une série de panels thématiques comprenant entrepreneurs, organisations structurantes et autres joueurs clés expérimentés dans ce type de défi
Implanter rapidement un système de paiement de stationnement simplifié et uniformisé dans tout le centre-ville
Faire passer la période gratuite des 15 premières minutes aux 30 premières minutes de stationnement tout en permettant des déplacements lors de cette période
Garantir le nombre actuel de stationnements au centre-ville
Créer un événement hivernal sur la rue Saint-Germain Ouest, qui ne concurrence pas les Terrasses Cogeco, l’été, sur Saint-Germain Est
Décorer davantage le centre-ville pour la saison hivernale et distribuer des décorations aux commerçants
Garantir la construction d’un nombre de logements suffisant pour répondre à l’augmentation de la demande de main-d’œuvre générée par l’ajout de commerces importants
Assurer une offre de services de francisation pour les travailleurs internationaux correspondant aux besoins de main-d’œuvre supplémentaire
Intégrer des éléments liés aux conditions de travail, à la gestion d’équipe et à la rétention de la main-d’oeuvre dans l’accompagnement proposé aux entrepreneurs pour mieux répondre aux besoins très variables des employeurs de Rimouski.
Rimouski demande au ministère de la Culture et des Communications de procéder à la citation patrimoniale du pont couvert de Mont-Lebel, mieux connu comme le pont des Draveurs, afin de pouvoir obtenir des subventions pour pouvoir le rénover.
« Le pont a besoin de rénovation et pour accéder aux subventions en lien avec son cachet patrimonial, ça prendrait une citation. Comme le pont appartient au gouvernement du Québec, la Ville ne peut pas le citer elle-même. Elle doit demander au ministère de
Rimouski demande au ministère de la Culture et des Communications de procéder à la citation patrimoniale du pont couvert de Mont-Lebel, mieux connu comme le pont des Draveurs, afin de pouvoir obtenir des subventions pour pouvoir le rénover.
« Le pont a besoin de rénovation et pour accéder aux subventions en lien avec son cachet patrimonial, ça prendrait une citation. Comme le pont appartient au gouvernement du Québec, la Ville ne peut pas le citer elle-même. Elle doit demander au ministère de le faire. Lorsqu’il sera cité, la Ville pourra demander des subventions pour le rénover », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Le pont couvert de Mont-Lebel a été construit en 1930. Il enjambe la petite rivière Neigette.
L’abri de sa structure, dite Town, du nom de l’inventeur Ithiel Town, protège des intempéries et évite ainsi la dégradation du bois.
La MRC Rimouski-Neigette mentionne que le pont « apparaît dans toute sa splendeur en bas d’une forte descente sur une petite route verdoyante reliant le Rang-Double au 5e rang , au Mont-Lebel. »
Le maire de Rimouski, Guy Caron, confirme avoir été approché pour se présenter à la chefferie du NPD et avoir décliné l’offre puisqu’il entend solliciter un deuxième mandat à la mairie de Rimouski en novembre prochain.
« Il y a des militants qui m’ont approché et qui m’ont demandé de le considérer, mais pour moi, je me suis engagé en politique municipale pour aider Rimouski à se transformer et à faire face aux défis du futur. Ce n’est pas possible de le faire en un seul mandat. C’est la raiso
Le maire de Rimouski, Guy Caron, confirme avoir été approché pour se présenter à la chefferie du NPD et avoir décliné l’offre puisqu’il entend solliciter un deuxième mandat à la mairie de Rimouski en novembre prochain.
« Il y a des militants qui m’ont approché et qui m’ont demandé de le considérer, mais pour moi, je me suis engagé en politique municipale pour aider Rimouski à se transformer et à faire face aux défis du futur. Ce n’est pas possible de le faire en un seul mandat. C’est la raison pour laquelle je sollicite un deuxième mandat », commente-t-il.
Rappelons que monsieur Caron avait été défait par Jagmeet Singh lors de la course à la chefferie du NPD en 2017. Celui-ci a quitté ses fonctions à la suite des piètres résultats de son parti aux dernières élections fédérales.
Lors de la vague orange en 2011, Guy Caron avait surpris en battant le bloquiste Claude Guimond comme député de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques après avoir été candidat en 2004, 2006 et 2008.
Guy Caron lors d’une intervention à la Chambre des communes. (Photo courtoisie)
Il a ensuite été député de 2011 à 2019 avant d’être battu par Maxime Blanchette-Joncas du Bloc Québécois. Guy Caron a notamment occupé le poste de chef parlementaire du NPD.
Beaucoup de travail à faire
« Je souhaite la meilleure des chances au parti pour les prochaines années. Il y a beaucoup de travail à faire pour reconstruire, mais mon avenir, à court et à moyen terme, on verra par la suite, c’est pour aider Rimouski à croître », indique monsieur Caron.
Arrêté le 7 mai dernier lors d’une perquisition en matière de stupéfiants dans une maison de chambres située sur l’Allée du Rosaire à Rimouski, Robert Arsenault était de retour à la cour vendredi dernier (18 juillet) pour son enquête sur remise en liberté, mais cette dernière a été remise au 5 août.
Son avocate, Me Maryse Beaulieu, à l’intention de demander l’ouverture des paquets scellés, notamment pour analyser les motifs ayant menés à l’émission du mandat de perquisition.
Le Rimouskois
Arrêté le 7 mai dernier lors d’une perquisition en matière de stupéfiants dans une maison de chambres située sur l’Allée du Rosaire à Rimouski, Robert Arsenault était de retour à la cour vendredi dernier (18 juillet) pour son enquête sur remise en liberté, mais cette dernière a été remise au 5 août.
Son avocate, Me Maryse Beaulieu, à l’intention de demander l’ouverture des paquets scellés, notamment pour analyser les motifs ayant menés à l’émission du mandat de perquisition.
Le Rimouskois de 51 ans était en liberté sous condition au moment de son arrestation. Cette liberté pourrait lui être révoquée. En attendant la décision d’un juge, il est détenu depuis le 7 mai.
Il s’agit d’un 7e report de cette étape visant à déterminer si l’accusé sera remis en liberté pour la suite du processus judiciaire ou s’il demeurera détenu.
La perquisition a permis de saisir environ 45 grammes de cocaïne, 145 médicaments d’ordonnance, 45 grammes de cannabis illicite, divers équipements servant au trafic de stupéfiants et environ 800$ en argent comptant
Arsenault est accusé de possession de stupéfiants en vue de trafic et de possession d’une somme d’argent sachant qu’elle avait été obtenue de la perpétration d’une infraction.
Une femme de 59 ans de Rimouski a également été arrêtée durant l’opération. Elle a été libérée pour la suite des procédures.
La suspecte pourrait faire face à une accusation de possession de stupéfiants. Son identité ne peut pas être révélée tant qu’elle n’aura pas comparu.
Le conseil municipal de Mont-Joli octroie un mandat de caractérisation des matériaux avant la démolition du réservoir d’eau potable à la firme EMS Ingénierie inc. de Québec.
« C’est une étude de faisabilité pour évaluer combien ça va nous coûter pour démolir ce réservoir d’eau potable situé sur le Chemin de Price qui n’est plus utilisé depuis très longtemps. Nous avons la responsabilité de le démolir. On se prépare pour le faire. Probablement que ça va se faire en 2026. Avant de la démolir, n
Le conseil municipal de Mont-Joli octroie un mandat de caractérisation des matériaux avant la démolition du réservoir d’eau potable à la firme EMS Ingénierie inc. de Québec.
« C’est une étude de faisabilité pour évaluer combien ça va nous coûter pour démolir ce réservoir d’eau potable situé sur le Chemin de Price qui n’est plus utilisé depuis très longtemps. Nous avons la responsabilité de le démolir. On se prépare pour le faire. Probablement que ça va se faire en 2026. Avant de la démolir, nous avons besoin de savoir s’il y a des contaminants afin de pouvoir l’inclure au devis qui sera préparé pour aller en appel d’offres pour la démolition », explique le maire de Mont-Joli, Martin Soucy.
Puisque la Ville a reçu une seule soumission qui était élevée, soit 71 859$, elle a négocié avec le soumissionnaire pour un montant de 57 487$.
Ajouts d’arrêts et de stationnements interdits
Par ailleurs, le conseil municipal de Mont-Joli juge opportun d’ajouter des arrêts obligatoires sur l’avenue Hébert et de modifier des espaces de stationnements sur les avenues Léonard et Sainte-Anne.
Un règlement en ce sens a été adopté lundi dernier. Il a pour objet de modifier le règlement no 2020-1436 concernant la circulation et le stationnement et applicable, entre autres, par la Sûreté du Québec afin d’y ajouter des arrêts obligatoires sur l’avenue Hébert et de modifier des espaces de stationnements sur les avenues Léonard et Sainte-Anne.
Plus précisément, un arrêt obligatoire est ajouté à l’intersection de l’avenue Hébert et de la rue Ménard, dans les deux directions. Des interdictions de stationnement s’ajoutent sur l’avenue Léonard, entre la rue des Oblats et le boulevard Jacques-Cartier, des deux côtés de l’avenue Léonard.et sur le côté Sud de l’avenue Sainte-Anne.
Les observations sur la peine de René Doskas qui a plaidé coupable d’avoir conduit son quadriporteur électrique le 1er avril 2024 à Rimouski alors que ses capacités étaient affaiblies par l’alcool devaient se tenir ce vendredi au palais de justice de Rimouski, mais elles ont été reportées au 22 septembre puisque l’avocate de l’accusé, Me Jacinthe Maurice, est en arrêt de travail.
Lors d’une précédente comparution, Me Maurice avait annoncé son intention de déposer une requête pour contester la
Les observations sur la peine de René Doskas qui a plaidé coupable d’avoir conduit son quadriporteur électrique le 1er avril 2024 à Rimouski alors que ses capacités étaient affaiblies par l’alcool devaient se tenir ce vendredi au palais de justice de Rimouski, mais elles ont été reportées au 22 septembre puisque l’avocate de l’accusé, Me Jacinthe Maurice, est en arrêt de travail.
Lors d’une précédente comparution, Me Maurice avait annoncé son intention de déposer une requête pour contester la durée de l’interdiction de conduire minimum obligatoire puisqu’en raison de problèmes physiques, son client doit se déplacer en quadriporteur électrique, ce qui est considéré comme un véhicule moteur dans la Loi. Le rapport présentenciel est achevé dans ce dossier.
Doskas a plaidé coupable le 27 février dernier au palais de justice de Rimouski, avant la tenue de son procès.
« Les policiers ont reçu un appel vers 14 h le 1er avril 2024 pour signaler qu’un homme dans un état d’ébriété avancé s’était rendu au dépanneur Shell du boulevard de la Rivière pour aller chercher de la bière en quadriporteur électrique », raconte la procureure de la Couronne, Me Marie-Pier Chicoine-Côté.
Plus du double de la limite d’alcool permise
Les policiers ont intercepté l’homme dans le stationnement d’un immeuble résidentiel.
(Photo courtoisie SQ)
« Il avait une démarche chancelante. Les policiers l’ont mis en état d’arrestation et amené au poste de police où l’alcootest a révélé un taux de 170 milligrammes d’alcool par 100 millilitres de sang, soit plus du double de la limite permise.
Le ministère public a déposé un avis de récidive, ce qui habituellement augmente la peine.
Le conseil municipal de Mont-Joli a adopté une motion de félicitations, le 14 juillet, s’adressant à Johanne Gagnon, fondatrice de la Maison des naissances Colette-Julien, pour l’obtention d’un doctorat honoris causa de l’Université du Québec.
Johanne Gagnon a été la première sage-femme à avoir exercé son métier légalement au Québec. Elle vient tout juste de recevoir un prestigieux doctorat honoris causa de l’Université du Québec afin de souligner son parcours personnel et professionnel des p
Le conseil municipal de Mont-Joli a adopté une motion de félicitations, le 14 juillet, s’adressant à Johanne Gagnon, fondatrice de la Maison des naissances Colette-Julien, pour l’obtention d’un doctorat honoris causa de l’Université du Québec.
Johanne Gagnon a été la première sage-femme à avoir exercé son métier légalement au Québec. Elle vient tout juste de recevoir un prestigieux doctorat honoris causa de l’Université du Québec afin de souligner son parcours personnel et professionnel des plus inspirants.
Véritable pionnière dans l’univers des sages-femmes au Québec, elle a mis sur pied et coordonné la maternité de Povungnituk en 1986, le premier service de sage-femme dans le système de santé du Québec, dont le mandat était de desservir la côte est de la baie d’Hudson et de former dans la communauté la relève de sages-femmes autochtones.
Johanne Gagnon est aussi la présidente de l’Accueil-Maternité (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Visionnaire et engagée auprès des femmes des communautés, madame Gagnon a créé un modèle dont les résultats ont permis de faire avancer la cause des sages-femmes dans l’ensemble du Québec. Depuis, son modèle a été recopié à de nombreuses reprises.
Centaines de familles
Au-delà des centaines de familles qu’elle a accompagnées directement en tant que sage-femme, madame Gagnon a joué un rôle déterminant lors de l’élaboration des fondements législatifs et réglementaires de la profession de sage-femme, notamment en tant que présidente du Comité d’admission à la pratique sage-femme et membre du Conseil consultatif de l’Office des professions du Québec.
Récipiendaire du prix Mérite du Conseil interprofessionnel du Québec, qui souligne son apport significatif à la profession, elle a également joué un rôle de premier plan dans l’implantation de la formation en pratique sage-femme de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) en 1999.
Le conseil municipal de Trois-Pistoles a décidé, le 14 juillet, de nommer le centre culturel au nom de Victor-Lévy Beaulieu afin de rendre hommage à l’auteur décédé le 9 juin à l’âge de 79 ans.
« Victor-Lévy Beaulieu nous lègue une œuvre dense et lumineuse qui résiste au passage du temps par la richesse de sa langue et son enracinement dans notre culture. Sa plume, libre et fière, a porté haut les couleurs de notre littérature et de notre identité. Par la puissance de son œuvre, il a contribu
Le conseil municipal de Trois-Pistoles a décidé, le 14 juillet, de nommer le centre culturel au nom de Victor-Lévy Beaulieu afin de rendre hommage à l’auteur décédé le 9 juin à l’âge de 79 ans.
« Victor-Lévy Beaulieu nous lègue une œuvre dense et lumineuse qui résiste au passage du temps par la richesse de sa langue et son enracinement dans notre culture. Sa plume, libre et fière, a porté haut les couleurs de notre littérature et de notre identité. Par la puissance de son œuvre, il a contribué à faire rayonner notre coin de pays bien au-delà de nos frontières », mentionne-t-on.
Auteur prolifique
L’œuvre de Victor-Lévy Beaulieu (VLB) comprend les téléromans L’Héritage, Bouscotte, Race de monde et Montréal P.Q., qui ont marqué la télévision québécoise.
Considéré comme l’un des plus grands écrivains de l’histoire du Québec, monsieur Beaulieu a amorcé sa carrière littéraire en 1967 en remportant le prix Larousse-Hachette pour un essai sur Victor Hugo.
Le centre culturel de Trois-Pistoles. (Photo Alexandre D’Astous)
Il compte à son actif 30 romans, une vingtaine d’essais littéraires et 13 pièces de théâtre. Il s’est également démarqué dans le domaine de l’édition en fondant VLB éditeur en 1976.
Victor-Lévy Beaulieu est né en 1945 à Saint-Paul-de-la-Croix. Il a vécu à Montréal avant de revenir s’installer à Notre-Dame-des-Neiges.
Indépendantiste convaincu, il avait mis en scène le Parti des régions dans son téléroman Bouscotte. Il s’est présenté comme candidat indépendant dans la circonscription de Rivière-du-Loup en 2008 et en 2009.
Cérémonie d’adieu
Il y aura une cérémonie d’adieu en hommage à Victor-Lévy Beaulieu le 30 août à l’église de Notre-Dame-des-Neiges.
Likenson Grégoire, 23 ans, accusé de tentative de meurtre relativement à une agression armée survenue le 25 avril 2024 dans une résidence de la rue Laurent Thibault à Saint-Angèle de Mérici a demandé un procès devant un jury ce vendredi matin au palais de justice de Rimouski.
Son avocate, Me Kristina Markovic, a demandé que le procès soit précédé d’une enquête préliminaire puisqu’elle entend contester la citation au procès pour le chef de tentative de meurtre pesant contre son client.
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Likenson Grégoire, 23 ans, accusé de tentative de meurtre relativement à une agression armée survenue le 25 avril 2024 dans une résidence de la rue Laurent Thibault à Saint-Angèle de Mérici a demandé un procès devant un jury ce vendredi matin au palais de justice de Rimouski.
Son avocate, Me Kristina Markovic, a demandé que le procès soit précédé d’une enquête préliminaire puisqu’elle entend contester la citation au procès pour le chef de tentative de meurtre pesant contre son client.
Estimée à plusieurs jours, l’enquête préliminaire commune pour Grégoire et sa présumée complice Doxanne Maherline Racine sera fixée le 22 septembre prochain.
Détenu pendant les procédures
Lors d’un précédent passage à la Cour, Me Markovic, de la Capitale-Nationale, a indiqué au juge de la Cour du Québec, Alexandre Germain, ne pas être en mesure de convaincre le tribunal de remettre son client en liberté pendant les procédures judiciaires. Le juge a donc ordonné la détention de Grégoire jusqu’à la fin des procédures.
Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine compte à 1,5 jour par jour purgé. Grégoire est détenu depuis son arrestation le 25 avril 2024.
Tentative de meurtre
La procureure de la Couronne, Me Marie-Pier Chicoine-Côté, a déposé une nouvelle accusation de voies de faits graves en août 2024.
Grégoire faisait déjà face à une accusation de tentative de meurtre et à une autre de possession d’une arme prohibée.
Blessé par arme à feu
Les policiers sont intervenus le 25 avril 2024 vers 9 h 30 concernant un homme de 31 ans ayant été blessé par arme à feu à Sainte-Angèle-de-Mérici.
Une heure plus tard, le suspect a été interpellé à Notre-Dame-des-Neiges.
Des blessures sérieuses
« La victime a été transférée vers un centre hospitalier afin de soigner des blessures sérieuses, mais qui ne mettraient pas sa vie en danger actuellement. Nous avons immédiatement déclenché une opération policière dans le but de localiser le véhicule suspect sur les différents axes routiers du Bas-Saint-Laurent », rapportait le service des communications de la SQ au moment des faits.
Un pistolet de calibre 9 mm a été saisi par les policiers. Le suspect et la victime sont connus des milieux policiers. Likenson Grégoire a notamment été reconnu coupable de tentative de meurtre l’an dernier pour des événements remontant à 2020.
Action Autonomie, l’organisme montréalais de défense des droits en santé mentale, rappelle que les personnes ayant subi une garde préventive de plus de 72 heures en psychiatrie contre leur gré ont jusqu’au 10 août pour faire une réclamation. Un montant de 3 M$ est disponible via ce recours collectif s’étendant à l’ensemble du Québec.
Toutes les personnes qui ont été hospitalisées en psychiatrie au Québec au-delà de 72 heures sans leur consentement et sans une autorisation du tribunal peuvent
Action Autonomie, l’organisme montréalais de défense des droits en santé mentale, rappelle que les personnes ayant subi une garde préventive de plus de 72 heures en psychiatrie contre leur gré ont jusqu’au 10 août pour faire une réclamation. Un montant de 3 M$ est disponible via ce recours collectif s’étendant à l’ensemble du Québec.
Toutes les personnes qui ont été hospitalisées en psychiatrie au Québec au-delà de 72 heures sans leur consentement et sans une autorisation du tribunal peuvent avoir droit à une indemnité de 1000 $ par journée ou partie de journée qui excède 72 heures.
« Pour la période couverte par l’entente, soit entre le 1er janvier 2015 et le 4 novembre 2024, cela représente environ 50 000 personnes », explique Jean-François Plouffe, porte-parole d’Action Autonomie.
« Nous souhaitons faire connaitre l’entente et surtout la possibilité de faire une réclamation à toutes les personnes qui ont vécu la situation décrite précédemment. Faire une réclamation peut paraître complexe. Mais, Action Autonomie et d’autres groupes communautaires en défense des droits en santé mentale sont là pour aider les personnes qui en ont besoin. C’est gratuit! », ajoute M. Plouffe, qui déplore le fait que trop peu de personnes ont, jusqu’à maintenant, présenté une demande de réclamation.
Cas probables au Bas-Saint-Laurent
En entrevue avec Le Soir en février, l’avocat responsable du dossier, Me Martin Ménard, mentionnait qu’il y avait sûrement des cas au Bas-Saint-Laurent. Il invitait donc les personnes concernées à joindre l’action collective, qui est le nouveau vocable pour ce que l’on appelait un recours collectif jusqu’en 2015.
« Notre action collective vise tous les établissements hospitaliers de la province. Nous alléguions des pratiques systémiques donnant lieu à des situations de non-respect du délai de garde préventive prévu à la loi. C’est tout à fait probable qu’il y ait des membres du groupe au Bas-Saint-Laurent », indiquait Me Ménard.
L’argent est là
Il est fréquent que les personnes qui ont reçu des soins en psychiatrie préfèrent oublier ce difficile moment de leur vie.
« C’est pourquoi nous insistons pour faire connaître le règlement et inviter toutes les personnes qui pourraient être concernées à communiquer avec nous ou à faire une demande d’indemnité. L’argent des indemnités est là pour elles », confie Jean-François Plouffe.
La gestion des demandes d’indemnité est faite par une firme indépendante. Il faut remplir un court formulaire en ligne. Les personnes visées ont jusqu’au 10 août pour soumettre une demande. Les personnes qui auraient besoin d’aide pour remplir le formulaire, qui ont des questions, qui n’ont pas accès à Internet ou autres peuvent communiquer avec Action
Autonomie à Montréal ou avec l’Association des groupes en intervention des droits en santé mentale du Québec (AGIDD-SMQ) pour les autres régions du Québec.
Le Mitis Lab, qui est en pause depuis le printemps, déménagera dans les locaux de la Bibliothèque Jean-Louis-Desrosiers de Mont-Joli à l’automne.
« Nous allons faire des travaux cet automne à la Bibliothèque pour y aménager le Mitis Lab, qui se trouve à être un laboratoire où les gens pourront obtenir des conseils en électronique. Nous allons y développer les sciences technologiques à la Bibliothèque. Il va y avoir des ordinateurs et de l’animation numérique et graphique. Il y aura de l’ensei
Le Mitis Lab, qui est en pause depuis le printemps, déménagera dans les locaux de la Bibliothèque Jean-Louis-Desrosiers de Mont-Joli à l’automne.
« Nous allons faire des travaux cet automne à la Bibliothèque pour y aménager le Mitis Lab, qui se trouve à être un laboratoire où les gens pourront obtenir des conseils en électronique. Nous allons y développer les sciences technologiques à la Bibliothèque. Il va y avoir des ordinateurs et de l’animation numérique et graphique. Il y aura de l’enseignement et des ateliers pour les jeunes et les moins jeunes », explique le maire de Mont-Joli, Martin Soucy.
Temporairement au Mistral
D’ici là, l’organisme s’installera temporairement à l’école Le Mistral. Créé en 2020, le Mitis Lab logeait jusqu’à maintenant au Château Landry.
Le Château Landry (Photo courtoisie – crédit : Léo Caron)
La relocalisation du Mitis Lab se fait en collaboration avec la MRC de La Mitis. Elle s’accompagne d’une révision de la mission de l’organisme. « Un grand dévoilement du projet aura lieu à l’automne », précise monsieur Soucy.
Hommage à Sonia Lévesque
Le maire de Mont-Joli rend hommage à Sonia Lévesque, qui quitte la direction des communications de la Ville de Mont-Joli pour une retraite bien méritée.
« C’est une personne très compétente, une fidèle collaboratrice qui était très disponible. Elle a rendu de grands services à la Ville. Elle a été à la hauteur de ce à quoi on s’attendait. Nous sommes tristes de la voir quitter, mais nous sommes heureux pour elle ».
Le conseil municipal a confirmé, le 14 juillet, l’embauche de Jérôme Lévesque-Boucher à la direction des communications. Il occupait un poste semblable au bureau de la députée Kristina Michaud au cours des dernières années.
« Il a de l’expérience dans le monde politique et dans le domaine des communications », lance monsieur Soucy.
Le doyen des membres du conseil municipal de Rimouski, le conseiller de Nazareth, Rodrigue Joncas, a annoncé, jeudi soir, qu’il ne se présentera pas à l’élection de novembre prochain après 20 ans comme conseiller municipal.
Monsieur Joncas a pris la parole tout juste avant la période de questions de la séance du conseil municipal de jeudi soir pour faire part de sa décision. Il déplore le harcèlement dont les membres du conseil sont victimes sur les réseaux sociaux.
« Bien que j’aurais la
Le doyen des membres du conseil municipal de Rimouski, le conseiller de Nazareth, Rodrigue Joncas, a annoncé, jeudi soir, qu’il ne se présentera pas à l’élection de novembre prochain après 20 ans comme conseiller municipal.
Monsieur Joncas a pris la parole tout juste avant la période de questions de la séance du conseil municipal de jeudi soir pour faire part de sa décision. Il déplore le harcèlement dont les membres du conseil sont victimes sur les réseaux sociaux.
« Bien que j’aurais la disponibilité et les capacités cognitives pour continuer, j’en ai perdu le goût. Ce goût de faire des choses que l’adversité ne peut atteindre ou ébranler. Les derniers mois ont été éprouvants alors que les attaques de mépris de citoyens se sont multipliées sur les réseaux sociaux ou aux réunions du conseil. L’intimidation étant de plus en plus présente dans les relations citoyens et élus, ce qui se répercute parfois à la table du conseil », a affirmé le conseiller de Nazareth.
Les poursuites liées à la SOPER
Monsieur Joncas parle également des poursuites judiciaires contre les administrateurs de l’ex-SOPER, dont il fait partie.
« Ces poursuites contre des administrateurs dévoués ont eu l’effet d’une bombe sur ma motivation à continuer à servir, surtout lorsque notre intégrité est mise à mal par des partenaires ou promoteurs économiques significatifs de notre communauté que nous côtoyons régulièrement ».
De plus en plus difficile pour les élus
Le maire de Rimouski, Guy Caron, qui a déjà confirmé sa candidature pour la prochaine élection, estime que c’est devenu difficile pour les élus.
« Il y a presque 15% des élus en 2021 au Québec qui ont démissionné en cours de mandat. Monsieur Joncas a la couenne dure. C’est un avocat. L’accumulation de tout cela, et je ne parle pas des critiques qui sont constructives. Les gens ont le droit de ne pas être d’accord avec nos décisions, mais c’est la manière de la faire qui est souvent incorrecte. L’accumulation de ce qui se passe sur les réseaux sociaux et lors des séances du conseil municipal fait hésiter de nombreuses personnes à faire de la politique. La manière dont se font les débats aujourd’hui, ce sont des accusations directes sans même prendre le temps de poser des questions. On voit les impacts. À moins de quatre mois des élections, ça ne se bouscule pas pour se présenter au conseil municipal ».
Le conseil municipal rimouskois (Photo journallesoir.ca)
« Les gens voient ce qui se passe et à quel point ils sont exposés sur les réseaux sociaux de la part de gens qui sont agressifs et harcelants ou qui sont intimidants et insultants. Les gens y pensent à deux fois et je peux les comprendre », poursuit monsieur Caron.
La majorité des membres du conseil vont se représenter
Malgré tout, le maire précise que la majorité des membres du conseil municipal vont se représenter.
« Ça démontre que nous avons confiance à notre capacité de pouvoir livrer pour Rimouski. On sait qu’on travaille bien ensemble et qu’on peut faire progresser Rimouski, mais on le fait en tenant compte de l’atmosphère qui n’est pas toujours rose ».
Guillaume Sirois en réflexion
Il y a quelques semaines, l’ancien copropriétaire du marché Métro de Nazareth, indiquait être en réflexion pour une éventuelle candidature dans Nazareth.
Est-ce que le départ du conseiller sortant aura un impact sur sa réflexion? À suivre!
Stéphane Dupuis, 55 ans, de Saint-Anaclet-de-Lessard, arrêté le 12 septembre relativement à du trafic de stupéfiants, a été cité à son procès le 14 juillet par le juge Yves Desaulniers à la suite de la tenue de son interrogatoire qui, au préalable, s’est tenu la semaine précédente.
La date du procès devrait être fixée le 8 septembre. Dupuis a opté pour un procès devant un juge de la Cour du Québec (sans jury).
Une ouverture des paquets scellés a eu lieu dans ces dossiers pour permettre à l
Stéphane Dupuis, 55 ans, de Saint-Anaclet-de-Lessard, arrêté le 12 septembre relativement à du trafic de stupéfiants, a été cité à son procès le 14 juillet par le juge Yves Desaulniers à la suite de la tenue de son interrogatoire qui, au préalable, s’est tenu la semaine précédente.
La date du procès devrait être fixée le 8 septembre. Dupuis a opté pour un procès devant un juge de la Cour du Québec (sans jury).
Une ouverture des paquets scellés a eu lieu dans ces dossiers pour permettre à la défense d’avoir accès aux arguments ayant mené à l’émission du mandat de perquisition.
Me Caroline Bérubé remplace Me Pierre Gagnon, qui a présenté une requête pour cesser d’occuper en décembre.
Nouvelles accusations
Quatre nouvelles accusations ont été portées contre Dupuis, le 20 septembre.
Il est accusé de possession dans le but de faire le trafic de cocaïne et de métamphétamines, d’avoir eu en sa possession de l’argent en sachant qu’il a été obtenu par la perpétration d’un acte criminel et d’avoir eu en sa possession une arme à feu sans détenir de permis.
L’accusé a été remis en liberté sous conditions le 20 septembre. Dupuis a comparu une première fois le 13 septembre pour face à des accusations en matière de trafic de stupéfiants.
1,3 kg de coke
Le 12 septembre en avant-midi, des enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs de Rimouski ainsi que des policiers du poste de la MRC de Rimouski-Neigette ont procédé à l’arrestation de Stéphane Dupuis.
Lors d’une perquisition à son domicile, les policiers ont saisi un peu plus de 1300 grammes de cocaïne, environ 1500 comprimés de métamphétamine, près de 65 000$ en argent, une dizaine d’armes de chasse, deux arbalètes, une camionnette de style pickup saisie comme bien infractionnel, une liste de comptabilité et trois téléphones cellulaires.
Nouveau dossier de vol
Un nouveau dossier a été présenté à la cour le 24 février pour une accusation de vol de moins de 5000$. Pour cette infraction, il est admissible au Programme de mesure de rechange (PMRG).
Il reviendra en cour le 8 septembre pour vérifier si la mesure de rechange (généralement un don ou des travaux communautaires) a été exécutée. Si c’est le cas, le dossier sera rayé et il n’y aura pas de peine.
Noah Jalbert, un homme de 19 ans de Rivière-du-Loup arrêté lors d’une opération policière dans le secteur de la rue Témiscouata à Rivière-du-Loup et accusé notamment d’extorsion et de séquestration, était de retour au palais de justice de Rivière-du-Loup le 14 juillet pour la tenue de son enquête sur remise en liberté. Celle-ci a finalement été reportée au 1er août.
Les policiers de la division des crimes majeurs de Rimouski, en partenariat avec ceux de la MRC de Rivière-du-Loup, ont procédé
Noah Jalbert, un homme de 19 ans de Rivière-du-Loup arrêté lors d’une opération policière dans le secteur de la rue Témiscouata à Rivière-du-Loup et accusé notamment d’extorsion et de séquestration, était de retour au palais de justice de Rivière-du-Loup le 14 juillet pour la tenue de son enquête sur remise en liberté. Celle-ci a finalement été reportée au 1er août.
Les policiers de la division des crimes majeurs de Rimouski, en partenariat avec ceux de la MRC de Rivière-du-Loup, ont procédé à l’arrestation de Jalbert le 13 mai. Celui-ci a été interrogé relativement à des actes de violence qui auraient été commis dans les jours précédents dans le secteur de Rivière-du-Loup.
Plusieurs chefs d’accusation
Il a comparu le jour même sous plusieurs chefs d’accusation, notamment de séquestration, d’extorsion et de voie de fait.
Dans le cadre de cette opération, environ 140 grammes de cocaïne, près de 2000$ en argent et de l’équipement servant à la vente ont également été saisis. Il pourrait aussi faire face à des accusations relatives au trafic de stupéfiants.
Violences armées
Selon la Sûreté du Québec, les enquêtes en cours tendent à démontrer que les actes de violence seraient liés aux violences armées opposant le groupe Blood Family Mafia et les Hells Angels pour le trafic de stupéfiants dans l’Est-du-Québec.
« La Sûreté du Québec continuera d’assurer une pression constante sur le crime organisé et, ainsi, lutter activement contre la violence armée sur l’ensemble de notre territoire », mentionne le service de police par voie de communiqué.
Le conseil municipal de Rimouski rejette les soumissions déposées dans le cadre de l’appel d’offres relatif à la fourniture de services professionnels dans le cadre du projet d’accompagnement et de conseils en appui au repositionnement stratégique des commerces de détail de Rimouski en raison d’un dépassement des coûts par rapport aux sommes budgétées.
« Nous avions une subvention de 150 000$ du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation pour ce projet. Nous avions estimé les coûts
Le conseil municipal de Rimouski rejette les soumissions déposées dans le cadre de l’appel d’offres relatif à la fourniture de services professionnels dans le cadre du projet d’accompagnement et de conseils en appui au repositionnement stratégique des commerces de détail de Rimouski en raison d’un dépassement des coûts par rapport aux sommes budgétées.
« Nous avions une subvention de 150 000$ du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation pour ce projet. Nous avions estimé les coûts du mandat que nous voulions confier à 140 000$, mais la plus basse des soumissions conformes était de près de 200 000$ », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Modification des termes
La ville est en train de modifier les termes d’attributions de son appel d’offres afin de pouvoir retourner en soumissions et d’obtenir des offres dans les limites de la subvention disponible.
(Photo courtoisie Ville de Rimouski)
Ce mandat vise à revoir le commerce de détail sur le territoire de la Ville, particulièrement au centre-ville.
Recommandations du comité de la Chambre de commerce
Le repositionnement stratégique des commerces de détail à Rimouski est l’une des 15 recommandations du comité initié par la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette pour amenuiser les impacts de l’ouverture du Costco.
Prévues le 14 juillet, les observations sur la peine de Jean-Philippe Lepage, 33 ans, de Rimouski, qui a plaidé coupable à sept des huit chefs d’accusation relatifs à de la pornographie juvénile auxquels il fait face, sont reportées au 3 octobre, puisque les rapports sexologique et présententiel devant guider le tribunal dans l’imposition de la peine ne sont pas prêts.
Lepage a admis avoir eu des discussions à connotation sexuelle avec deux filles de 13 et 12 ans, qui étaient en fait des agen
Prévues le 14 juillet, les observations sur la peine de Jean-Philippe Lepage, 33 ans, de Rimouski, qui a plaidé coupable à sept des huit chefs d’accusation relatifs à de la pornographie juvénile auxquels il fait face, sont reportées au 3 octobre, puisque les rapports sexologique et présententiel devant guider le tribunal dans l’imposition de la peine ne sont pas prêts.
Lepage a admis avoir eu des discussions à connotation sexuelle avec deux filles de 13 et 12 ans, qui étaient en fait des agents civils d’infiltration s’étant présentés comme de jeunes filles sur Facebook, entre le 11 février 2023 et le 14 mai 2024.
Dans les deux cas, c’est l’accusé qui a envoyé des demandes d’amitié aux filles à partir de deux profils Facebook, soit Jean-Philippe Lepage et Martin Lepage. La preuve démontre que la discussion sur Messenger avec les filles a rapidement tourné vers la sexualité. L’accusé expliquant aux filles ce qu’était la sexualité et l’importance pour elles d’être initiées à la sexualité.
76 photos et vidéos pornographiques
Dans le cas de la première jeune fille de 13 ans, la discussion sur Messenger compte 586 pages. L’accusé a admis le contenu de cette discussion ainsi que de lui avoir envoyé 76 photos et vidéos à caractère pornographique, dont une photo de son pénis.
Pour celle de 12 ans, les échanges sur Messenger totalisent 400 pages. L’accusé a admis leur contenu et dispensé le juge Yves Desaulniers d’en faire la lecture.
L’analyse de matériel informatique de l’accusé a permis d’identifier une troisième victime, une jeune fille de 13 ans.
Non-respect des conditions
Lepage a aussi plaidé coupable à une accusation de non-respect de ses conditions, puisqu’il lui était interdit d’utiliser Internet depuis sa sortie de prison, le 24 juillet 2020, pour une sentence en semblable matière. Il lui était également interdit d’être en contact avec des enfants de moins de 16 ans.
Lepage est notamment accusé d’avoir eu en sa possession de la pornographie juvénile, d’avoir accédé à de la pornographie juvénile et d’avoir produit de la pornographie juvénile.
Pas de procès
Lepage a plaidé coupable avant la tenue de son procès. Le juge Yves Desaulniers l’a déclaré coupable et il a ordonné la confection de rapports sexologique et présentenciel.
« Vous êtes dans la jeune trentaine. Je vous suggère fortement de collaborer avec le sexologue. Ça ne pourra que vous aider », a-t-il lancé.
Examen de la détention
En décembre, Lepage avait renoncé à l’examen de sa détention. Il restera donc détenu pendant le reste des procédures judiciaires.
L’examen de la détention, appelé requête Myers, est prévu au Code criminel après 90 jours de détention pour vérifier si celle-ci est toujours requise pour le prévenu.
« Nous n’avons pas d’éléments nouveaux à soumettre au tribunal pour le convaincre de remettre mon client en liberté », avait mentionné Me Hugo Caissy.
Détenu depuis le 24 mai 2024
Lepage a renoncé à la tenue de son enquête sur remise en liberté, le 24 mai 2024, son avocat estimant ne pas être en mesure de convaincre le tribunal de remettre son client en liberté.
Rappelons que la détention préventive faite avant l’imposition d’une peine équivaut à 1,5 jour pour chaque jour purgé.
Les enquêteurs de la division des enquêtes sur l’exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du Québec ont procédé à l’arrestation de Jean-Philippe Lepage le 15 mai 2024.
L’Expozine de Saint-Simon-de-Rimouski revient pour une 4e année, les 19 et 20 juillet dans l’église de Saint-Simon, avec une grande foire de l’art imprimé.
L’événement est devenu si populaire que le nombre d’exposants atteint la limite de la cinquantaine. Des artistes des Basques et d’ailleurs au Québec se retrouveront dans l’église pour présenter leurs pratiques et vendre leurs œuvres.
Parmi les artistes présents, notons les bédéistes Julie Rocheleau et Jimmy Beaulieu, les artistes visue
L’Expozine de Saint-Simon-de-Rimouski revient pour une 4e année, les 19 et 20 juillet dans l’église de Saint-Simon, avec une grande foire de l’art imprimé.
L’événement est devenu si populaire que le nombre d’exposants atteint la limite de la cinquantaine. Des artistes des Basques et d’ailleurs au Québec se retrouveront dans l’église pour présenter leurs pratiques et vendre leurs œuvres.
Parmi les artistes présents, notons les bédéistes Julie Rocheleau et Jimmy Beaulieu, les artistes visuels Christian Bujold et Émilie Bernard ainsi que La maison du notaire de Trois-Pistoles, la revue Liberté et la Coop pistoloise La Seiche.
L’Expozine dans l’église de Saint-Simon-de-Rimouski en 2023. (Photo journallesoir.ca- Alexandre D’Astous)
« La foire est commerciale, mais elle se veut surtout un lien de rencontres, de découvertes et d’échanges. Six ateliers créatifs seront offerts au public durant le week-end par des exposants et un micro ouvert aura lieu samedi, à 17 h », mentionnent les organisateurs.
M. Lépine affirme que les artistes viennent à Saint-Simon pour profiter de la beauté de la région.
« Ils veulent voir le fleuve. Ça fait partie du périple. L’ambiance est incroyable. C’est super dans l’église pour les artistes, mais aussi pour les visiteurs. J’ai parlé avec deux personnes âgées qui m’ont dit qu’elles n’étaient jamais rentrées dans l’église. Ça fait partie des objectifs initiaux de l’événement de faire connaître cette superbe église, tout en contribuant à la vie culturelle des Basques », indique celui qui possède un chalet à Saint-Simon-sur-Mer.
Le conseil des maires de la MRC de la Mitis a adopté, le 9 juillet, une résolution pour l’embauche d’un architecte afin de réaliser un projet de faisabilité pour la construction d’un palais de justice à Mont-Joli.
« Cet architecte pourra nous dire combien ça pourrait coûter pour répondre aux demandes du ministère pour la construction d’un palais de justice afin de pouvoir retourner vers le ministre pour l’autorisation d’une construction ou la location de locaux qui pourraient appartenir à la
Le conseil des maires de la MRC de la Mitis a adopté, le 9 juillet, une résolution pour l’embauche d’un architecte afin de réaliser un projet de faisabilité pour la construction d’un palais de justice à Mont-Joli.
« Cet architecte pourra nous dire combien ça pourrait coûter pour répondre aux demandes du ministère pour la construction d’un palais de justice afin de pouvoir retourner vers le ministre pour l’autorisation d’une construction ou la location de locaux qui pourraient appartenir à la MRC et à la Ville de Mont-Joli », explique le maire de Mont-Joli. Martin Soucy.
Monsieur Soucy indique qu’une rencontre a eu lieu récemment avec des gens du cabinet du ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette.
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Nous nous sommes entendus que nous allions présenter un plan préliminaire avec des estimés de coûts afin de pouvoir négocier avec eux parce que nous tenons à notre palais de justice et à offrir un service de justice de proximité aux résidents de la Mitis. La nécessité est toujours là. On veut éviter que le déménagement temporaire des activités à Rimouski devienne permanent », affirme le maire Soucy.
Service offert à Rimouski
Rappelons que depuis le 3 février dernier, les activités du palais de justice de Mont-Joli ont été transférées de manière temporaire à Rimouski. Or, le temporaire semble vouloir devenir permanent, du moins dans les opérations quotidiennes de la chambre criminelle.
Jusque-là, les dossiers de Mont-Joli continuaient d’être fixés dans les termes de cour de Mont-Joli, même si ces derniers étaient entendus au palais de justice de Rimouski.
Or, la juge coordonnatrice pour la chambre criminelle à Rimouski, Andrée St-Pierre, a mentionné aux avocats présents qu’à compter du 1er août, les dossiers de Mont-Joli seront intégrés parmi ceux de Rimouski et que la journée à haut volume, aussi appelée le terme de pratique, sera dorénavant les lundis pour tous les dossiers alors qu’elle a toujours été le mardi à Mont-Joli.
Une question de sécurité
Le ministre de la Justice, Simon Jolin-Barette, a pris la décision de transférer les activités judiciaires à Rimouski en raison de problèmes de sécurité à Mont-Joli où les audiences se tenaient à l’Hôtel de Ville de Mont-Joli, dans la salle du conseil.
« De récentes évaluations, réalisées notamment par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail, commandent une action immédiate pour assurer un parcours sécuritaire pour les usagers, pour les personnes victimes et pour le personnel judiciaire. Nous ne pouvons faire aucun compromis sur la sécurité des usagers, des personnes victimes et du personnel qui fréquente régulièrement nos palais de justice », mentionnait alors le ministre.
Pendant que, le 14 juillet, le conseil municipal de Trois-Pistoles a officiellement pris position en faveur de la poursuite du projet de regroupement, celui de Notre-Dame-des-Neiges a décidé de tenir un référendum sur la question.
À la suite de la consultation citoyenne réalisée du 12 au 30 juin dans le cadre de l’étude sur un éventuel regroupement avec la Ville de Trois-Pistoles où 57,6% des Neigeois ont donné leur appui, le conseil municipal de Notre-Dame-des-Neiges a décidé, le 14 juillet,
Pendant que, le 14 juillet, le conseil municipal de Trois-Pistoles a officiellement pris position en faveur de la poursuite du projet de regroupement, celui de Notre-Dame-des-Neiges a décidé de tenir un référendum sur la question.
À la suite de la consultation citoyenne réalisée du 12 au 30 juin dans le cadre de l’étude sur un éventuel regroupement avec la Ville de Trois-Pistoles où 57,6% des Neigeois ont donné leur appui, le conseil municipal de Notre-Dame-des-Neiges a décidé, le 14 juillet, d’enclencher le processus pour la tenue d’un référendum sur la question.
En tenant compte des commentaires formulés par les Neigeois lors des soirées de consultation, le conseil municipal de Notre-Dame-des-Neiges juge important de donner suite à la demande citoyenne en enclenchant la procédure officielle menant à un référendum. Ce processus démocratique permettra à la population de se prononcer sur cette question, selon la règle de la majorité simple.
Le maire de Notre-Dame-des-Neiges, Jean-Marie Dugas, a répondu à de nombreuses questions lors de la rencontre du 10 juin, dont plusieurs citoyens qui demandaient un référendum officiel sur la question. (Photo Alexandre D’Astous)
Par la résolution adoptée le 14 juillet, la Municipalité de Notre-Dame-des-Neiges informe officiellement le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation de la tenue prochaine d’un référendum auprès de ses résidents et propriétaires afin de connaître l’opinion citoyenne sur cette question majeure qu’est le regroupement de la Municipalité de Notre-Dame-des-Neiges avec la Ville de Trois-Pistoles.
Plus serré à Notre-Dame-des-Neiges
En tout, 408 réponses valides ont été reçues (353 en ligne et 55 sur papier). À Trois-Pistoles, 97,1 % des participants se sont prononcés en faveur du regroupement. À Notre-Dame-des-Neiges, les résultats sont plus partagés : 57,6 % des réponses valides sont en faveur du projet.
Au total, avec 74,26% de votes pour, l’adhésion est donc majoritaire, quoique nuancée selon les modalités de participation.
Même liste électorale
Comme la mise à jour de la liste électorale est requise d’emblée pour désigner le prochain préfet de la MRC des Basques ainsi que la constitution du prochain conseil municipal, les coûts liés à la tenue d’un référendum en seront donc réduits, puisque cette même liste pourra également servir de base au scrutin (cette liste est valide pendant 90 jours).
Ce vote référendaire devrait d’ailleurs avoir lieu peu de temps après l’élection générale du 2 novembre.
Démarche rigoureuse et transparente
La Ville de Trois-Pistoles rappelle que ce projet s’inscrit dans une démarche rigoureuse et transparente amorcée en décembre 2022 par l’adoption de résolutions des deux conseils avec le soutien du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH).
En concertation, les deux municipalités ont décidé de tenir une consultation publique qui s’est tenue du 12 au 30 juin.
Elle a combiné une plateforme de vote en ligne et des bulletins papier disponibles dans les deux municipalités. Les résultats ont été colligés et analysés le 2 juillet à l’hôtel de ville de Trois-Pistoles, en présence des deux maires et de membres des conseils municipaux.
Ceux-ci ont convenu de maintenir les résultats confidentiels jusqu’à leur présentation lors des caucus des deux conseils municipaux le 7 juillet.
La Ville de Trois-Pistoles réitère sa conviction profonde : le regroupement représente une voie d’avenir pour assurer la pérennité des services, renforcer la gouvernance locale et parler d’une seule voix dans les dossiers structurants pour la région.
La Ville de Trois-Pistoles dit demeurer disponible et engagée à poursuivre le dialogue dans le respect, la transparence et le sens de l’intérêt collectif.
Il s’agit d’une étape importante, puisque plusieurs études partielles sur le regroupement municipal ont été amorcées depuis les années 1970 sans réelle conclusion.
Pierre-Luc Leclerc devra attendre au 3 novembre avant de voir une date de procès fixé dans ses dossiers. L’ancien attaché politique du député de Rimouski-La Matapédia, Maxime Blanchette-Joncas, est accusé de harcèlement criminel et de non-respect d’engagement.
Le 14 juillet, Leclerc a mentionné au juge Yves Desaulniers que sa nouvelle avocate, Me Jacinthe Maurice, était indisponible pour les prochains mois. Les dossiers ont été reportés au 3 novembre à la même étape, soit celle de fixer une d
Pierre-Luc Leclerc devra attendre au 3 novembre avant de voir une date de procès fixé dans ses dossiers. L’ancien attaché politique du député de Rimouski-La Matapédia, Maxime Blanchette-Joncas, est accusé de harcèlement criminel et de non-respect d’engagement.
Le 14 juillet, Leclerc a mentionné au juge Yves Desaulniers que sa nouvelle avocate, Me Jacinthe Maurice, était indisponible pour les prochains mois. Les dossiers ont été reportés au 3 novembre à la même étape, soit celle de fixer une date de procès.
La première avocate de l’accusé, Me Maryse Beaulieu, avait demandé la permission de cesser d’occuper parce que le lien de confiance avec son client était brisé définitivement à la suite d’un courriel.
Présent au tribunal, Pierre-Luc Leclerc avait alors mentionné au juge qu’il souhaitait maintenant être représenté par Me Jacinthe Maurice et que les choses avanceraient.
Remis en liberté
Pierre-Luc Leclerc a été remis en liberté le 22 novembre à condition de porter un bracelet antirapprochement et de suivre une thérapie, ce qu’il a fait.
Parmi les autres conditions, notons une caution de 500$ sans dépôt, se présenter au tribunal lorsque requis, ne pas quitter la province de Québec, ne pas communiquer avec la plaignante, ne pas se trouver dans un rayon de 500 mètres du lieu de résidence et de travail de cette dernière, s’abstenir de consommer ou d’être en possession d’alcool, de drogue ou de cannabis et une interdiction de posséder des armes.
Toutes ces conditions s’appliquent jusqu’au 3 novembre.
Harcèlement criminel et non-respect d’engagement
Pierre-Luc Leclerc est accusé de harcèlement criminel et de non-respect d’engagement. L’homme de 38 ans a été arrêté pour une première fois le 17 juin 2024 relativement des événements qui se seraient déroulés entre le 26 novembre 2022 et le 16 juin 2024 et qui ont entraîné le dépôt d’accusation de harcèlement criminel.
Des conditions de remise en liberté lui avaient alors été imposées. Il a été arrêté une deuxième fois le 13 septembre. Il est accusé de ne pas avoir respecté ses conditions et d’avoir commis du harcèlement criminel entre le 3 et le 12 septembre.
Le conseil municipal de Rimouski octroie un contrat de gré à gré au Centre de traitement BSL inc. afin de procéder à la gestion des sols contaminés dans le cadre du projet d’extension des services de la rue Gauvreau au prix de 86 000 $.
« C’est un montant supplémentaire de 86 000$ pour la décontamination du site. On savait qu’il fallait décontaminer. Nous avions déjà accordé un montant pour cela, mais il fallait ajouter 86 000$ », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Extension des ser
Le conseil municipal de Rimouski octroie un contrat de gré à gré au Centre de traitement BSL inc. afin de procéder à la gestion des sols contaminés dans le cadre du projet d’extension des services de la rue Gauvreau au prix de 86 000 $.
« C’est un montant supplémentaire de 86 000$ pour la décontamination du site. On savait qu’il fallait décontaminer. Nous avions déjà accordé un montant pour cela, mais il fallait ajouter 86 000$ », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Extension des services
La décontamination s’inscrit dans les travaux d’extension des services sur la rue Gauvreau, qui consistent en l’aménagement des infrastructures d’aqueduc et d’égout afin de pouvoir desservir le projet Quartier maritime de la Société de développement Angus.
Le chantier du « Quartier Maritime » de la Société Angus à Rimouski a débuté aux environs d’avril. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Le contrat a été octroyé à Les Excavations Léon Chouinard et fils, plus bas soumissionnaire conforme, selon le prix soumis de 1 280 258,34 $, avant taxes.
Une partie remboursée par le promoteur
Le conseil municipal avait adopté, le 10 février, un règlement autorisant un investissement de 1,6 M$ pour la réalisation de ces travaux.
« Nous devons faire les canalisations pour desservir ce secteur, en planification de la construction du Quartier maritime. Les coûts seront partagés entre la Ville et le promoteur. C’est la Ville qui doit aller en règlement d’emprunt, mais le promoteur va nous rembourser autour de 700 000 $ », précise le maire Guy Caron.
Prévues le 14 juillet, les observations sur la peine d’Alcide Fournier, 80 ans, de Rimouski, qui a plaidé coupable à des accusations en matière de pornographie juvénile, doivent être reportées, puisque l’accusé a de la difficulté à répondre aux questions pour la confection des rapports sexologique et présentenciel ordonnés par le juge Jules Berthelot.
« Monsieur Fournier n’est pas capable de répondre aux questions. J’envisage de demander une évaluation sur son aptitude à comparaître », a ment
Prévues le 14 juillet, les observations sur la peine d’Alcide Fournier, 80 ans, de Rimouski, qui a plaidé coupable à des accusations en matière de pornographie juvénile, doivent être reportées, puisque l’accusé a de la difficulté à répondre aux questions pour la confection des rapports sexologique et présentenciel ordonnés par le juge Jules Berthelot.
« Monsieur Fournier n’est pas capable de répondre aux questions. J’envisage de demander une évaluation sur son aptitude à comparaître », a mentionné son avocat, Me Hugo Caissy, le 14 juillet au matin, au palais de justice de Rimouski.
Le juge Yves Desaulniers a reporté le dossier à ce vendredi 18 juillet en demandant la présence de l’accusé afin de statuer sur la suite des choses.
Arrestation, comparution et saisie
Alcide Fournier a été arrêté le 15 mars 2023 par les enquêteurs spécialisés de l’équipe d’enquête sur l’exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du Québec relativement à de la pornographie juvé
Il a comparu le même jour au palais de justice de Rimouski sous divers chefs d’accusation, tels que d’avoir accédé, d’avoir possédé et d’avoir distribué de la pornographie juvénile. Le ministère public ne s’est pas opposé à sa remise en liberté. Il n’a donc jamais été détenu.
« Les policiers ont réalisé une perquisition au domicile du suspect et du matériel informatique a été saisi pour analyse », précise la Sûreté du Québec.
La construction d’un immeuble de 18 logements baptisé « Maison sur le lac » va bon train à Lac-des-Aigles. Un investissement de 7,5 M$.
« Les travaux devraient être menés à terme à l’automne. Nous avons déjà une bonne liste de candidats qui ont donné leur nom pour y habiter », indique le maire de Lac-des-Aigles, Pierre Bossé.
La Maison sur le lac offrira des logements abordables pour les personnes autonomes à faible revenu et inclura le service de repas du midi et du soir.
La première p
La construction d’un immeuble de 18 logements baptisé « Maison sur le lac » va bon train à Lac-des-Aigles. Un investissement de 7,5 M$.
« Les travaux devraient être menés à terme à l’automne. Nous avons déjà une bonne liste de candidats qui ont donné leur nom pour y habiter », indique le maire de Lac-des-Aigles, Pierre Bossé.
La Maison sur le lac offrira des logements abordables pour les personnes autonomes à faible revenu et inclura le service de repas du midi et du soir.
La première pelletée de terre pour le projet d’habitation abordable Maison sur le Lac.(Photo Facebook – Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata à l’Assemblée nationale)
Un comité de locataires sera mis sur pied pour être représenté auprès du propriétaire et pourra gérer notamment les activités d’animation. Le locataire pourra se servir de ses propres laveuse et sécheuse ou utiliser celles mises à sa disposition dans les espaces communs.
Montage financier complété
Après plus de six ans de travail, le président d’Habitations économiques Lac-des-Aigles, André Bossé, confirme que le montage financier à la hauteur de 7,5 M$ requis pour la construction a été complété grâce à l’implication de la nouvelle Ville de Lac-des-Aigles, issue de la fusion avec Saint-Guy.
La direction régionale du ministère des Transports et de la Mobilité durable indique que le chantier en cours sur la montée Industrielle-et-Commerciale à Rimouski devrait être complété le 1er août prochain.
Le conseiller régional en communication au ministère rappelle que les travaux sont situés entre le boulevard Arthur-Buies Est et la 2e Rue Est et qu’ils sont en cours depuis la mi-juin.
« L’objectif est de renforcer la chaussée et d’améliorer le confort au roulement. L’an passé, nous av
La direction régionale du ministère des Transports et de la Mobilité durable indique que le chantier en cours sur la montée Industrielle-et-Commerciale à Rimouski devrait être complété le 1er août prochain.
Le conseiller régional en communication au ministère rappelle que les travaux sont situés entre le boulevard Arthur-Buies Est et la 2e Rue Est et qu’ils sont en cours depuis la mi-juin.
« L’objectif est de renforcer la chaussée et d’améliorer le confort au roulement. L’an passé, nous avions refait la portion dans la côte entre le boulevard Arthur-Buies et le chemin du Sommet. Il y a certaines entraves en cours. Des signaleurs sont présents pour tenter d’améliorer la fluidité dans ce secteur. Pendant les travaux à l’ouest du terre-plein, on invite les gens voulant se rendre dans les commerces à emprunter l’avenue Léonidas Sud », affirme Jean-Philippe Langlais.
Monsieur Langlais invite également les automobilistes à faire preuve de courtoisie et de patience et à planifier leurs déplacements en fonction de ce chantier.
La circulation se fait en alternance sur une portion de la montée Industrielle-et-Commerciale. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« On sait que c’est un secteur à forte densité commerciale. Si les usagers de la route sont en mesure de planifier leurs déplacements, cela va permettre d’éviter certains désagréments. On demande aussi d’être attentifs aux consignes données par les signaleurs. Nous sommes en mode action avec l’entrepreneur pour achever les travaux dans les meilleurs délais. »
Ouverture du Costco
Évidemment, le ministère anticipe une augmentation de la circulation dans le secteur avec l’ouverture du magasin Costco, le 5 août.
« On anticipe une hausse de l’achalandage, mais aussi un changement dans les habitudes des usagers de la route. Le ministère a réalisé une analyse de la circulation. Différentes mesures seront implantées au terme des travaux en cours dans le but d’assurer la fluidité dans le secteur. Le ministère a tenu compte de l’ajout de ce commerce de grande surface », assure le porte-parole.
Programmation du feu de circulation modifiée
Le ministère prévoit notamment modifier la programmation du feu de circulation à l’intersection de la montée Industrielle-et-Commerciale et du boulevard Arthur-Buies Est dans le but de tenir compte de l’achalandage anticipé.
« Des travaux de marquage sont aussi prévus pour ajouter des lignes de guidage à cette intersection. Il y aura deux voies de virage à gauche disponible pour les usagers de la route qui s’engageront sur la montée Industrielle-et-Commerciale en provenance du Costco », précise monsieur Langlais.
Le ministère va effectuer un suivi dans les mois suivant l’ouverture du Costco.
« Des ajustements complémentaires pourraient être apportés au terme de ce suivi en fonction des conditions de circulation dans le secteur. Le ministère a fait son travail pour anticiper l’achalandage, mais un suivi sera fait dans les mois suivant l’ouverture du commerce. »
Chantier terminé
Une bonne nouvelle en terminant. Il y a maintenant une entrave de moins sur le territoire de la Ville de Rimouski. En effet, le chantier du ministère des Transports et de la Mobilité durable, à l’intersection de la route 132 et de la 3e avenue Est à Rimouski-Est, est maintenant terminé.
Ces travaux, en cours depuis le 22 mai, visaient le remplacement d’un feu de circulation datant de 1972 et la mise aux normes du système d’éclairage à l’approche de l’intersection.
« L’entrave a été levée hier matin [le 9 août]. Ça circule de manière fluide dans ce secteur. Des panneaux d’arrêt demeurent en place en attendant la mise en service du nouveau feu de circulation prévue dans la semaine du 21 juillet », indique monsieur Langlais.
La Régie intermunicipale de l’énergie du Bas-Saint-Laurent travaille sur un projet de remise en service des centrales hydroélectriques Mitis 1 et 2 situées à Price et à Grand-Métis. Un projet de 95 M$ dans lequel est aussi impliquée l’Alliance de l’énergie de l’Est, mais qui nécessite d’abord une entente avec Hydro-Québec.
Le projet vise également à redonner accès aux installations à la communauté. « Nous sommes toujours en discussion avec Hydro-Québec. Nous avons démontré notre intérêt à vou
La Régie intermunicipale de l’énergie du Bas-Saint-Laurent travaille sur un projet de remise en service des centrales hydroélectriques Mitis 1 et 2 situées à Price et à Grand-Métis. Un projet de 95 M$ dans lequel est aussi impliquée l’Alliance de l’énergie de l’Est, mais qui nécessite d’abord une entente avec Hydro-Québec.
Le projet vise également à redonner accès aux installations à la communauté. « Nous sommes toujours en discussion avec Hydro-Québec. Nous avons démontré notre intérêt à vouloir remettre les centrales en opération. Nous voulons faire une mise à niveau importante et augmenter la capacité de production. On procède actuellement à des résolutions d’intérêt. On parle d’un règlement d’emprunt de 95 M$ au total. Nous avons tellement d’espoirs que nous consultons nos actionnaires et pour l’instant, il y a beaucoup d’enthousiasme », explique le président de la Régie, Michel Lagacé.
Les MRC et les régies de l’énergie membres de l’Alliance de l’énergie de l’Est s’entendent sur le fait que lorsqu’une énergie renouvelable est disponible, elle devrait être exploitée, ou du moins regarder la faisabilité de l’exploiter.
Un potentiel non exploité
« Du côté de l’Alliance, on y voit un potentiel non exploité et on est persuadé qu’il y a une viabilité économique à l’opération de ces centrales, en rehaussant la capacité de production. Les régies ont compétence dans l’éolien, dans les mini centrales hydroélectriques, dans le stockage et dans le solaire. Le seul élément que nous n’avons pas encore regardé, c’est le stockage. Nous avons un succès important dans l’éolien, mais nous travaillons aussi dans le solaire », souligne le président de la Régie.
Le 20 mai, le conseil d’administration de la Régie a adopté un règlement afin d’autorisant un emprunt n’excédant pas 10 168 000$ pour investir dans le redéveloppement des centrales hydroélectriques Mitis 1 et Mitis 2.
La centrale Mitis 2. (Photo Hydro-Québec)
Le règlement est assujetti à l’approbation de la ministre des Affaires municipales. Les contribuables des municipalités où la Régie a compétence peuvent s’opposer à cette approbation en transmettant un avis écrit à la ministre.
Redonner l’accès à la population
Michel Lagacé indique que des discussions sont aussi en cours avec la MRC de la Mitis et la Municipalité de Price qui souhaitent redonner accès aux sites à la population, notamment à la chute.
Hors service depuis 2018
Mitis 1 et Mitis 2 sont des centrales au fil de l’eau, c’est-à-dire qu’elles ne possèdent pas de réservoir pour stocker l’eau. Ensemble, elles produisaient 10 mégawatts d’électricité, mais elles ont été mises hors service en 2018 en raison de leur vétusté.
Mont-Joli démontre un intérêt pour faire l’acquisition de la gare dont VIA Rail cherche à se départir. Les membres du conseil municipal ont récemment octroyé un mandat pour la réalisation d’une expertise des murs de fondation du bâtiment.
« VIA Rail propose de nous céder la gare. Avant de prendre possession de ce bâtiment, nous voulons nous assurer de sa viabilité et d’avoir un projet porteur. Ce sont des choses sur lesquelles on travaille présentement. On veut s’assurer que les fondations so
Mont-Joli démontre un intérêt pour faire l’acquisition de la gare dont VIA Rail cherche à se départir.Les membres du conseil municipal ont récemment octroyé un mandat pour la réalisation d’une expertise des murs de fondation du bâtiment.
« VIA Rail propose de nous céder la gare. Avant de prendre possession de ce bâtiment, nous voulons nous assurer de sa viabilité et d’avoir un projet porteur. Ce sont des choses sur lesquelles on travaille présentement. On veut s’assurer que les fondations sont solides. Nous faisons affaire avec une firme spécialisée qui va nous faire un rapporte sur la situation », explique le maire Martin Soucy.
Maintien des services
Si le rapport est concluant, la Ville va négocier avec VIA Rail et Patrimoine Canada pour faire l’acquisition de la gare.
« On va tenter d’obtenir du financement pour rénover le bâtiment, et ensuite occuper la gare. C’est un dossier qui chemine. Nous avons un intérêt à acquérir et ils veulent s’en départir. La Ville aimerait que les services de VIA Rail soient maintenus dans le bâtiment. Ça fait partie des conditions que nous négocions avec VIA Rail. On devrait être fixé d’ici l’automne », précise monsieur Soucy.
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo courtoisie)
La Ville de Trois-Pistoles a récemment fait l’acquisition de la gare de VIA Rail. Le site accueille le Marché public des Basques depuis cette année, qui profite de nouveaux kiosques de bois pour les exposants et les visiteurs, ce qui n’empêche pas le maintien des services de VIA Rail à Trois-Pistoles. Des projets pourraient éventuellement voir le jour à l’intérieur des installations de la gare.
Le conseil municipal de Rimouski a adopté, lundi, le second projet de résolution pour un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) afin de permettre la conversion du Manège militaire récemment acquis par Must Urbain Inc en immeuble à logements.
« L’objectif du PPCMOI est de légitimer les usages que souhaite mettre en place l’acheteur à l’intérieur. Must Urbain est intéressé à faire un projet résidentiel à l’intérieur. Il faut donc passer par le
Le conseil municipal de Rimouski a adopté, lundi, le second projet de résolution pour un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) afin de permettre la conversion du Manège militaire récemment acquis par Must Urbain Inc en immeuble à logements.
« L’objectif du PPCMOI est de légitimer les usages que souhaite mettre en place l’acheteur à l’intérieur. Must Urbain est intéressé à faire un projet résidentiel à l’intérieur. Il faut donc passer par le processus de modification des usages autorisés », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Un corridor de l’ex-manège militaire de Rimouski (Photo courtoisie)
Une assemblée publique de consultation a eu lieu tout juste avant l’adoption du second projet de résolution. Le règlement final devrait être adopté à la prochaine séance du conseil municipal.
Citation patrimoniale
Par ailleurs, une assemblée publique a eu lieu mardi soir pour la citation du Manège militaire comme immeuble patrimonial.
Maintenant que la transaction a été conclue, le conseil municipal peut relancer le processus pour faire reconnaître l’enveloppe extérieure du bâtiment comme immeuble patrimonial. Ça ne touche pas le projet de logements à l’intérieur.
« Must Urbain avait été avisé de l’intention de la Ville à vouloir demander une citation patrimoniale. L’intérêt du bâtiment est à l’extérieur. C’est un bâtiment qui architecturalement est unique et qui rappelle des éléments historiques de la Ville de Rimouski, particulièrement au niveau militaire. L’intérêt est de le garder. Ça donne un cachet unique dans le secteur et Must Urbain en est conscient », souligne monsieur Caron.
L’édifice, construit en 1910 et connu autrefois comme l’Arsenal, témoigne de la présence du régiment des Fusiliers du Saint-Laurent, qui en avait fait son quartier général jusqu’en 2005.
Noah Jalbert, qui a été arrêté lors d’une opération policière menée le 13 mai dans le secteur de la rue Témiscouata à Rivière-du-Loup, était de retour au palais de justice de Rivière-du-Loup, lundi, pour donner une orientation à ses dossiers. Mais cette étape a été reportée à ce vendredi 11 juillet. L’homme de 19 ans de Rivière-du-Loup est notamment accusé d’extorsion et de séquestration.
L’étape d’orientation et déclaration signifie l’enregistrement d’un plaidoyer et le choix du type de proc
Noah Jalbert, qui a été arrêté lors d’une opération policière menée le 13 mai dans le secteur de la rue Témiscouata à Rivière-du-Loup, était de retour au palais de justice de Rivière-du-Loup, lundi, pour donner une orientation à ses dossiers. Mais cette étape a été reportée à ce vendredi 11 juillet. L’homme de 19 ans de Rivière-du-Loup est notamment accusé d’extorsion et de séquestration.
L’étape d’orientation et déclaration signifie l’enregistrement d’un plaidoyer et le choix du type de procès dans le cas d’un plaidoyer de non-culpabilité.
Jalbert avait été remis en liberté sous conditions pour la suite du processus judiciaire, le 22 mai, neuf jours après son arrestation.
Les policiers de la Division des crimes majeurs de Rimouski, en partenariat avec ceux de la MRC de Rivière-du-Loup, ont procédé à l’arrestation de Jalbert le 13 mai. Celui-ci a été interrogé relativement à des actes de violence qui auraient été commis dans les jours précédents dans le secteur de Rivière-du-Loup.
Plusieurs chefs d’accusation
Il a comparu le jour même sous plusieurs chefs d’accusation, dont de séquestration, d’extorsion et de voie de fait.
Dans le cadre de cette opération, environ 140 grammes de cocaïne, près de 2000$ en argent et de l’équipement servant à la vente ont également été saisis. Il pourrait aussi faire face à des accusations relatives avec le trafic de stupéfiants.
Violences armées
Selon la Sûreté du Québec, les enquêtes en cours tendent à démontrer que les actes reprochés à Jalbert seraient liés aux violences armées opposant le groupe Blood Family Mafia et les Hells Angels pour le trafic de stupéfiants dans l’Est-du-Québec.
« La Sûreté du Québec continuera d’assurer une pression constante sur le crime organisé et ainsi, lutter activement contre la violence armée sur l’ensemble de notre territoire », mentionne le service de police par voie de communiqué.
Le conseil municipal de Rimouski a franchi une autre étape, lundi soir, vers l’adoption d’un projet particulier de construction, d’occupation ou de modification d’un immeuble (PPCMOI) visant la conversion de l’ancien Bar Le Campus en 14 logements étudiants.
Le second projet de résolution a été adopté après la tenue de l’assemblée publique de consultation.
MTA Immobilier inc., représenté par JD Spécialiste en bâtiment, a soumis à la Ville de Rimouski une demande d’approbation relative à un
Le conseil municipal de Rimouski a franchi une autre étape, lundi soir, vers l’adoption d’un projet particulier de construction, d’occupation ou de modification d’un immeuble (PPCMOI) visant la conversion de l’ancien Bar Le Campus en 14 logements étudiants.
Le second projet de résolution a été adopté après la tenue de l’assemblée publique de consultation.
MTA Immobilier inc., représenté par JD Spécialiste en bâtiment, a soumis à la Ville de Rimouski une demande d’approbation relative à un projet particulier ayant pour objet d’autoriser des travaux de modification extérieure.
Ces travaux inclut le remplacement du revêtement mural et de la toiture, la conversion du balcon en volume habitable, l’ajout de nouvelles ouvertures ainsi que l’aménagement de l’aire de stationnement, afin d’y accommoder 14 logements étudiants dans l’immeuble situé au 147-149, rue de l’Évêché Ouest.
Susceptible d’approbation référendaire
« Comme ce projet particulier déroge à certaines normes du Règlement de zonage, l’adoption d’un PPCMOI est nécessaire. Ce projet particulier contient des dispositions susceptibles d’approbation référendaire », précise le maire de Rimouski, Guy Caron.
La Ville estime que le projet présente une évolution qualitative de l’ensemble bâti, favorisant une meilleure insertion dans son environnement immédiat par une mise à niveau architecturale et paysagère.
Le comité consultatif d’urbanisme de la Ville recommande au conseil municipal d’adopter le projet.
L’édifice qui accueillait l’ancien bar Le Campus sur la rue de l’Évêché Ouest. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Rappelons que Fabienne Dubé et Luc Pichette ont opéré le bar Le Campus de 1982 à 2022. L’édifice était en vente depuis 2023. En plus de l’espace-bar, il comprenait déjà deux logements à l’étage et un grand stationnement asphalté.
C’est en présence d’une cinquantaine de dignitaires et de partenaires que la Corporation de développement de Lac-des-Aigles a procédé, ce mercredi après-midi, à l’ouverture officielle du Centre d’interprétation des salmonidés et des écosystèmes aquatiques, une initiative novatrice qui promet de devenir un attrait touristique incontournable au Bas-Saint-Laurent.
Aménagé dans l’ancienne église du village, entièrement restaurée, le centre propose une exposition immersive qui plonge les visiteurs
C’est en présence d’une cinquantaine de dignitaires et de partenaires que la Corporation de développement de Lac-des-Aigles a procédé, ce mercredi après-midi, à l’ouverture officielle du Centre d’interprétation des salmonidés et des écosystèmes aquatiques, une initiative novatrice qui promet de devenir un attrait touristique incontournable au Bas-Saint-Laurent.
Aménagé dans l’ancienne église du village, entièrement restaurée, le centre propose une exposition immersive qui plonge les visiteurs au cœur de l’univers captivant des salmonidés, cette famille de poissons regroupant les saumons, les truites et les ombles, tout en mettant en valeur la richesse et la complexité des écosystèmes aquatiques qui les abritent.
Une partie des gens présents à l’inauguration de ce mercredi. (Photo Alexandre D’Astous)
« Nous cherchions une idée forte pour dynamiser notre communauté et offrir à la fois aux résidents du Bas-Saint-Laurent et aux touristes de passage une expérience unique. Le Centre répond à cette ambition en mettant en valeur notre héritage culturel, historique et naturel », affirme Réal Vaudry, président de La Corporation de développement de Lac-des-Aigles, l’organisme qui travaillait sur ce projet depuis 2018.
En plus de l’exposition, le site propose déjà la location de chalets et de quelques sites de camping, et prévoit enrichir son offre dans les mois à venir avec des activités complémentaires qui rejoindront tous les publics.
Une effervescence
« Lorsque je suis devenu maire, il y a huit ans, je me disais qu’il fallait trouver un moyen pour faire arrêter le grand nombre de touristes qui traversent le village chaque jour. C’est un grand jour pour notre municipalité. Le Centre s’ajoute au Gîte ouvert dans l’ancien presbytère pour proposer une offre intéressante aux touristes. Je salue le travail des nombreux bénévoles qui ont contribué au projet », commente le maire de Lac-des-Aigles, Pierre Bossé.
Un projet de 5,5 M$
Il s’agit d’un projet de 5,5 M$, incluant une contribution de 3,8 M$ du gouvernement du Québec.
« En 2018, la Fabrique a mis sur pied un comité pour obtenir des idées pour l’avenir de l’église. L’une des idées mentionnées était celle du centre d’interprétation des salmonidés. Nous estimons que c’est un thème vendeur et qu’il représente bien notre territoire », rappelle l’un des initiateurs du projet, Serge Demers.
La Corporation du patrimoine religieux du Québec mentionne qu’il s’agit d’un des plus beaux projets de sauvegarde d’une église dans la province. (Photo Alexandre D’Astous)
« Porté par des membres passionnés de la communauté, ce projet représente un véritable tour de force. La qualité de la réalisation dépasse les attentes et saura assurément étonner les visiteurs par son audace, sa richesse de contenu et ses activités interactives qui plairont à toute la famille. Je suis particulièrement fière de cet accomplissement unique dans notre région, qui met en valeur notre patrimoine naturel et collectif. Je me réjouis que notre gouvernement ait pu contribuer à hauteur de 3,8 M$ à la concrétisation cette nouvelle attraction! » déclare, Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup – Témiscouata – Les Basques.
Une immersion éducative
L’exposition immersive est une réalisation de la firme Matière de Québec.
« Nous proposons une immersion dans les écosystèmes aquatiques, mais aussi beaucoup de contenu. Il y a beaucoup de choses à apprendre », souligne Ghislain Turcotte.
Les premiers visiteurs de l’exposition à l’entrée du parcours de découverte. (Photo Alexandre D’Astous)
Situé à mi-chemin entre le fleuve Saint-Laurent et le Lac-Témiscouata, le long de la route 232, le Centre d’interprétation est une halte incontournable pour les voyageurs curieux, les passionnés de nature, de pêche et d’aventure.
Le maire de Rimouski, Guy Caron, explique les nombreux travaux routiers qui se font en même temps sur le territoire de la Ville de Rimouski et qui font rager de nombreux automobilistes depuis quelques semaines.
« L’avenue de la Cathédrale, c’est de mai à octobre et on le savait depuis longtemps. C’est le réaménagement de la voie et c’était prévu. Nous avons une subvention pour le faire et il fallait absolument que ce soit cette année parce que l’année prochaine, nous aurions perdu la subventi
Le maire de Rimouski, Guy Caron, explique les nombreux travaux routiers qui se font en même temps sur le territoire de la Ville de Rimouski et qui font rager de nombreux automobilistes depuis quelques semaines.
« L’avenue de la Cathédrale, c’est de mai à octobre et on le savait depuis longtemps. C’est le réaménagement de la voie et c’était prévu. Nous avons une subvention pour le faire et il fallait absolument que ce soit cette année parce que l’année prochaine, nous aurions perdu la subvention », affirme-t-il.
Les travaux sur l’avenue de la Cathédral sont en cours depuis le début mai. (Photo Le Soir.ca – Olivier Therriault)
La Ville est aussi responsable des travaux sur l’avenue Rouleau. « Ces travaux sont prévus sur une longue période parce que nous avons besoin de remplacer les canalisations. Nous nous sommes assurés d’avoir des passages alternatifs, entre autres pour l’Hôpital. Ce sont les deux gros chantiers. Les autres chantiers sont des travaux qui se déroulent assez rapidement. Par exemple, sur l’avenue Belzile, ça prit trois jours. Nous avons plané Évêché. Nous allons faire le travail éventuellement. Tout cela fait partie à la planification que nous avons donnée aux firmes à qui les contrats ont été octroyés », précise le maire.
Des chantiers du ministère
Pour ce qui est de la montée Industrielle-et-Commerciale et du boulevard du Rivage, ce sont des travaux effectués par le ministère des Transports et de la Mobilité durable.
« Le ministère ne nous consulte pas pour savoir quand ce serait approprié qu’il le fasse. Il fait les travaux quand il le souhaite. »
À propos de la congestion de la semaine dernière, le maire réfère le Soir.ca au ministère.
« Nous n’avons pas de contrôle sur la montée Industrielle-et-Commerciale. C’est la voie du ministère. C’est leur responsabilité et c’est eux qui ont décidé de l’horaire et de l’échéancier et qui coordonnent les travaux. Ce n’est pas la Ville. »
Accès au Costco
Pour ceux qui s’inquiètent d’un possible débordement dans le secteur avec l’ouverture prochaine du Costco, Guy Caron précise qu’il y a une rampe d’accès au Costco qui est déjà faite à partir de la montée Industrielle-et-Commerciale.
Le maire de Rimouski, Guy Caron, assure que l’avenue de la Cathédrale sera assez large pour y circuler en toute sécurité après la réfection qui est en cours depuis quelques semaines.
De nombreux citoyens estiment que la rue ne sera pas assez large.
« La voie aura 9,5 mètres, ce qui correspond aux normes du Code de la sécurité routière. Il faut savoir qu’avant les travaux, la voie était de 16 mètres de large dans certains secteurs. Des gens nous disent qu’il ne sera plus possible de double
Le maire de Rimouski, Guy Caron, assure que l’avenue de la Cathédrale sera assez large pour y circuler en toute sécurité après la réfection qui est en cours depuis quelques semaines.
De nombreux citoyens estiment que la rue ne sera pas assez large.
« La voie aura 9,5 mètres, ce qui correspond aux normes du Code de la sécurité routière. Il faut savoir qu’avant les travaux, la voie était de 16 mètres de large dans certains secteurs. Des gens nous disent qu’il ne sera plus possible de doubler par la droite lorsqu’un véhicule attend pour tourner à gauche, mais c’est cela qui était dangereux. Dans certains cas, les voies sont plus larges pour permettre du stationnement », commente monsieur Caron.
(Photo Olivier Therriault)
« À 9,5 mètres, ce, ce sera suffisamment large pour que les gens puissent circuler d’un côté et de l’autre. Il n’y aura pas de terre-plein au milieu. La largeur est celle d’une rue à une voie. Ce n’était pas un quatre voies. C’était un deux voies et ça va le demeurer », précise le maire Caron
Il y aura 2,5 mètres dédiés aux stationnements du côté ouest. Le résiduel offre deux voies de 3,25 m, avec accotement de 0,5 mètre à l’est. Par endroit, la chaussée rétrécit à 7,5 mètres en l’absence de stationnement (îlot élargi), mais, dans ce cas, deux voies de 3,25 mètres avec accotement de 0,5 mètre de chaque côté seront maintenues.
Image du type d’aménagement retenu. (Photo Ville de Rimouski)
Des travaux de 5,4 M$
Les travaux sont effectués par Les Excavations Léon Chouinard et fils au coût de 5,4 M$. Le projet prévoyait notamment le rétrécissement du tronçon afin de faire plus de place aux cyclistes, aux piétons et à la verdure.
La Ville souhaitait ajouter des stationnements sur le côté Ouest ainsi que des pistes cyclables unidirectionnelles et des îlots de verdure de chaque côté de la rue.
Largeur totale pavée de 9,5 m;
« Les travaux vont nous permettre d’avoir du verdissement, une piste cyclable et une sécurisation près des écoles. Avec la subvention que nous avons obtenue, cela nous revient moins cher que si nous avions juste paver et asphalter », poursuit monsieur Caron.
Des corridors de sécurité
« L’asphalte devait être changé de toute façon (dans le secteur concerné). On procède à une mise à niveau déjà prévue, mais en même temps, on va réaménager pour nous assurer d’avoir des corridors de sécurité pour les cyclistes. On parle d’un endroit qui s’en va jusqu’à l’école (Élisabeth-Turgeon) qui est très fréquentée. L’axe nord-sud n’existe pas pour le vélo. On va également diminuer les coûts d’entretien annuels pour la Ville. On atteint plusieurs objectifs », expliquait Guy Caron, lors d’une précédente entrevue avec Le Soir.ca.
La Ville de Rimouski estime que le fait de rétrécir les zones asphaltées devrait permettre d’économiser environ 36 000 $ par année en frais d’entretien, de déneigement ou de repavage.
Le Centre de services scolaire (CSS) des Phares devra couper 5,6 M$ à son budget pour la prochaine année scolaire, ce qui représente 3% du budget de l’organisation de 185 M$ par année.
Ces coupures proviennent des compressions budgétaires imposées par le ministère de l’Éducation à tous les centres de services scolaires.
« Selon les données préliminaires que nous avons reçues, nous devons couper 5,6 M$. Nous sommes en travail pour voir si c’est possible. On travaille très fort. Nous n’avons
Le Centre de services scolaire (CSS) des Phares devra couper 5,6 M$ à son budget pour la prochaine année scolaire, ce qui représente 3% du budget de l’organisation de 185 M$ par année.
Ces coupures proviennent des compressions budgétaires imposées par le ministère de l’Éducation à tous les centres de services scolaires.
« Selon les données préliminaires que nous avons reçues, nous devons couper 5,6 M$. Nous sommes en travail pour voir si c’est possible. On travaille très fort. Nous n’avons pas terminé parce qu’on attend les encadrements budgétaires qui devaient arriver la semaine dernière. C’est sûr que ce n’est pas une mince somme, surtout qu’on ne veut pas toucher au service direct à l’élève », commente la directrice générale du CSS des Phares, Nancy Prévéreault.
La directrice déplore devoir revoir une recette gagnante. « Nous avons tout mis en place pour favoriser la réussite des élèves et les résultats démontrent que notre recette fonctionne. Cela veut dire que ce quoi a été mis en place a fonctionné. Il ne faut pas qu’on coupe ce qu’on a mis en place pour le service direct à l’élève ».
Postes vacants non comblés
La première chose envisagée par la direction du CSS, c’est de ne pas combler les postes administratifs vacants.
« On regarde ce qu’on peut faire au niveau administratif, mais notre centre est l’un des plus performants au Québec avec seulement 4,4 % de son budget dédié à des tâches administratives. Si on coupe dans le service administratif, nous allons offrir moins de soutien à nos établissements qui vont devoir faire plus d’administration et moins de pédagogie, mais ce n’est pas ce que nous voulons. On veut qu’il fasse de la pédagogie pour s’occuper des élèves », souligne la directrice.
Madame Prévéreault rassure les membres du personnel.
« Tout le monde qui a un poste va rentrer au travail. Ce sont les postes vacants que nous sommes en train d’examiner. On regarde comment on peut s’organiser si on ne remplace les postes vacants en administration. Dès qu’on aura reçu les règles plus précises, nous serons en mesure de voir si nous sommes corrects ou si on devra couper encore plus. On attend la confirmation de l’encadrement », indique madame Prévéreault.
La directrice générale du Centre de services scolaire des Phares, Nancy Prévéreault (Photo LinkedIn)
La direction attend de recevoir les règles budgétaires dictées par le ministère de l’Éducation avec les budgets disponibles dans chacun des départements.
Le budget pour l’année scolaire 2025-26 sera adopté par le conseil d’administration le 23 septembre. « C’est sûr qu’on aimerait que le montant soit revu à la baisse lors de règles budgétaires », indique madame Prévéreault, qui assure qu’il n’y aura pas de coupures de postes ou de fermetures d’écoles.
39,5 M$ à couper dans l’Est
Les centres de services scolaires et la commission scolaire des régions du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine feront face à une réduction importante de leur budget s’élevant à près de 39,5 M$.
Cette somme pourrait être revue à la hausse puisque l’indexation des coûts de système pour les dépenses autres que salariales n’est pas incluse dans ce montant.
Beaucoup de préoccupation
Pour le Centre de services scolaire du Fleuve-et-des-Lacs, qui dessert les MRC du Témiscouata et des Basques, le montant de l’effort budgétaire s’élève à 4 367 795 de dollars. Il s’agit d’une compression sans précédent pour l’organisation.
« Nous accueillons ces nouvelles mesures avec beaucoup de préoccupation. Les réductions budgétaires demandées auront d’importantes conséquences au sein des différents services offerts par le CSSFL », affirme la directrice générale du CSSFL, Nancy Couture.
Le CSS de Kamouraska–Rivière-du-Loup doit pour sa part couper potentiellement 7 M$ de son budget.
L’audition des arguments de la Société immobilière GP qui conteste la taxe imposée par la Ville de Rimouski sur les immeubles commerciaux inoccupés dans le centre-ville élargi prévu ce lundi 7 juillet a été rayée du rôle.
Le dossier a été rayé lors de l’appel du rôle provisoire du jeudi 3 juillet. Les procédures ne seraient cependant pas abandonnées.
Selon les informations disponibles au palais de justice de Rimouski, il devrait y avoir une réinscription de la part des avocats au dossier
L’audition des arguments de la Société immobilière GP qui conteste la taxe imposée par la Ville de Rimouski sur les immeubles commerciaux inoccupés dans le centre-ville élargi prévu ce lundi 7 juillet a été rayée du rôle.
Le dossier a été rayé lors de l’appel du rôle provisoire du jeudi 3 juillet. Les procédures ne seraient cependant pas abandonnées.
Selon les informations disponibles au palais de justice de Rimouski, il devrait y avoir une réinscription de la part des avocats au dossier pour une future date selon le calendrier judiciaire. Cette date n’est pas encore connue.
Une journée complète était prévue
À la lumière du document de gestion soumis par les deux parties, le juge Daniel Beaulieu avait réservé une journée complète pour l’audition du recours en pourvoi de contrôle judiciaire déposé par GP contre la Ville de Rimouski.
« Grâce à certaines admissions de la partie adverse, nous avons pu ramener la durée prévue de 8 à 5,5 heures puisque nous n’aurons pas besoin de faire témoigner un expert », a mentionné en juillet 2024 Me Karine Dionne, du cabinet Stein Monast, qui représente le demandeur, soit la Société immobilière GP, qui est propriétaire de l’ancienne école d’agriculture située sur la rue Saint-Jean-Baptiste à Rimouski.
C’est le cabinet Tremblay Bois Avocats qui représente la Ville de Rimouski.
Le pourvoi de contrôle judiciaire permet de réexaminer une décision ou une ordonnance prise par un organe administratif afin de vérifier si ce dernier a été juste, raisonnable et conforme à la loi.
Une demande modifiée
Dans la demande modifiée le 24 mai dernier dont le Journal Le Soir.ca a obtenu copie, Me Karine Dionne demande à la Cour d’annuler le règlement de la Ville et de déclarer l’imposition d’une taxe sur les immeubles inoccupés non applicable à l’ancienne école d’agriculture, un immeuble qualifié par la Ville de « terrain vague desservi » pour la taxation municipale.
Un règlement légal
Pour l’administration municipale, c’est un règlement parfaitement légal et « nous allons prendre les moyens pour le défendre ».
« Nous pensons que ce règlement est légitime dans l’objectif que nous voulons atteindre. Il est clair que si des éléments sont contestés, nous allons défendre la légitimité de ce règlement. C’est pourquoi nous avons retenu les services d’une firme d’avocats spécialisée dans la réglementation municipale », mentionnait le maire de Rimouski, Guy Caron avant la judiciarisation du dossier.
Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Depuis l’audition du 3 juin 2024, les deux parties ne commentent plus le dossier puisqu’il est maintenant judiciarisé.
Taxe additionnelle de 65 000$ pour GP
Selon la demande en pourvoi judiciaire obtenu par Le Soir.ca, la Société immobilière GP devra payer une taxe additionnelle de 65 000 $ par année depuis le 18 janvier 2025 en vertu du règlement de la Ville.
Déclaré non responsable criminellement du meurtre de son voisin Pierre Bélisle, Steve Chassé, était de retour à la Cour le 4 juillet à Rivière-du-Loup pour établir son degré de dangerosité, mais cette étape a été reportée au 5 septembre.
La Commission d’examen des troubles mentaux (CETM) doit déterminer si Steve Chassé représente un risque important pour la sécurité du public. Au terme de cette évaluation, l’accusé pourra être libéré inconditionnellement, libéré sous conditions, par exemple a
Déclaré non responsable criminellement du meurtre de son voisin Pierre Bélisle, Steve Chassé, était de retour à la Cour le 4 juillet à Rivière-du-Loup pour établir son degré de dangerosité, mais cette étape a été reportée au 5 septembre.
La Commission d’examen des troubles mentaux (CETM) doit déterminer si Steve Chassé représente un risque important pour la sécurité du public. Au terme de cette évaluation, l’accusé pourra être libéré inconditionnellement, libéré sous conditions, par exemple avec un encadrement, ou détenu à l’hôpital.
Le palais de justice de Rivière-du-Loup (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
Rappelons que la responsabilité criminelle de Steve Chassé semblait difficile à déterminer puisque les deux parties n’arrivaient pas à statuer même après avoir reçu le rapport de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel de Montréal, en novembre 2024.
Une suggestion commune
Les deux parties ont finalement suggéré de manière commune au juge Jean-Louis Lemay de déclarer l’accusé non responsable criminellement en raison de troubles mentaux. Il vivait notamment une perte de la réalité et il était aux prises avec un délire de persécution.
Rappelons que Steve Chassé avait tenu les policiers en haleine pendant près de 24 heures à la Place Saint-Georges à Cacouna le 11 octobre 2023.
Corps retrouvé au lieu d’enfouissement technique
Rappelons que les restes humains de Pierre Bélisle ont été retrouvés au lieu d’enfouissement technique de Cacouna quelques jours après l’arrestation de Steve Chassé.
Les organisateurs du congrès du Bas-Saint-Laurent des Alcooliques anonymes indiquent que l’événement est toujours très pertinent au moment où les effets de la pandémie de la COVID-19 se font encore sentir chez plusieurs membres.
« L’isolement a été très difficile pour les personnes alcooliques. À Rimouski, il y avait sept réunions par semaine en présence, un par soir, où les membres pouvaient obtenir du soutien et il n’y en avait plus du jour au lendemain. Il y a eu plusieurs rechutes. L’alco
Les organisateurs du congrès du Bas-Saint-Laurent des Alcooliques anonymes indiquent que l’événement est toujours très pertinent au moment où les effets de la pandémie de la COVID-19 se font encore sentir chez plusieurs membres.
« L’isolement a été très difficile pour les personnes alcooliques. À Rimouski, il y avait sept réunions par semaine en présence, un par soir, où les membres pouvaient obtenir du soutien et il n’y en avait plus du jour au lendemain. Il y a eu plusieurs rechutes. L’alcoolisme est une maladie dont on ne guérit pas, mais qu’on peut contrôler avec de l’aide. L’objectif du congrès est d’apporter ce soutien avec des conférences, ateliers d’écriture, témoignages et moments de recueillement », affirme la coordonnatrice du congrès, Janick M.
Les organisateurs attendent 1 000 personnes pour le congrès, un événement interprovincial majeur destiné aux membres, à leurs proches, aux professionnels du milieu et au grand public qui se tiendra du 18 au 20 juillet au Cégep de Rimouski.
« Nous aurons des gens de partout au Québec, mais aussi du Nouveau-Brunswick et de l’Ontario. L’an dernier, nous avons eu 800 personnes. Avant la pandémie, on recevait jusqu’à 2 000 personnes. On espère dépasser le cap du 1 000 cette année. Les besoins sont grands. Qui de mieux placé qu’un alcoolique pour comprendre un alcoolique. C’est dans cette optique que nous présentons le congrès avec des témoignages de gens de toutes les catégories d’âge parce que l’alcoolisme, ça touche tout le monde », poursuit la coordonnatrice.
Espace de partage
Sur le thème « Grandir en conscience, Ensemble », le congrès se veut un espace de partage, de cheminement personnel et de solidarité.
« Ce congrès est bien plus qu’un simple événement. C’est une occasion de transformation, d’ouverture, et de soutien mutuel. Nous croyons que l’authenticité et la conscience collective sont des clés puissantes pour le rétablissement », affirme le comité organisateur.
Présentement, il y a trois réunions AA par semaine à Rimouski et au moins une par semaine à Mont-Joli, Amqui, Matane et Sayabec. Il y a aussi plusieurs rencontres Zoom qui permettent de contrer l’isolement.
La ligne d’aide téléphonique provinciale 1-866-544-6322 permet de placer une personne dans le besoin en communication avec un membre des Alcooliques anonymes près de chez lui, et ce, à la grandeur du Québec.
Le propriétaire de la Ferme Guyloise de Saint-Gabriel-de-Rimouski, François Morissette, indique que les 24 taures s’étant enfuies de leur enclos, le 28 juin dernier, apeurées par des feux d’artifice, se remettent bien de leur cavale, qui aurait pu être plus dramatique.
Les trois dernières taures manquantes ont été récupérées ce jeudi 3 juillet.
« Nous les avons localisées mercredi vers 19 h dans une coulée, près d’une rivière, à 6 km de la ferme en direction de Sainte-Angèle. Il était tro
Le propriétaire de la Ferme Guyloise de Saint-Gabriel-de-Rimouski, François Morissette, indique que les 24 taures s’étant enfuies de leur enclos, le 28 juin dernier, apeurées par des feux d’artifice, se remettent bien de leur cavale, qui aurait pu être plus dramatique.
Les trois dernières taures manquantes ont été récupérées ce jeudi 3 juillet.
« Nous les avons localisées mercredi vers 19 h dans une coulée, près d’une rivière, à 6 km de la ferme en direction de Sainte-Angèle. Il était trop tard pour tenter de les ramener. Il fallait se préparer, parce que le sentier de VTT qu’on voulait emprunter pour les ramener sort près de l’intersection où l’on peut aller vers Sainte-Angèle ou Saint-Donat, en arrivant de Saint-Gabriel. Des gens de la municipalité de Saint-Gabriel sont venus ralentir la circulation », raconte le producteur laitier.
« Comme le petit Poucet »
Les taures étaient descendues dans un endroit très accidenté.
« J’ai dû me tenir après des branches pour remonter. Elles n’auraient pas pu remonter seules. Nous avons trouvé un endroit un peu moins accidenté. Je les ai attirées avec du bon foin pour qu’elles me suivent. Une première est venue, et les autres ont suivi. Je mettais du foin pour qu’elles restent sur le chemin, comme le petit Poucet », explique monsieur Morissette.
François Morissette attire ses taures avec un sceau de moulée pour les ramener vers la grange. (Photo courtoisie)
À part une taure qui a mal à une patte, la cavale se termine relativement bien pour le troupeau.
« Elles avaient trouvé de l’eau, mais elles manquaient de foin. Il n’y avait que des feuilles là où elles étaient. Elles seraient probablement mortes si on ne les avait pas trouvées. Elles se remettent bien. Elles ont recommencé à manger normalement. Quand on les a trouvées, elles étaient affaiblies et pleines de taons (grosses mouches) », mentionne le producteur, qui se réjouit de pouvoir reprendre sa routine normale, surtout en plein temps des foins.
Le tour du Québec
Cette histoire insolite, qui a fait le tour du Québec, se termine somme toute assez bien. Précision importante, il s’agissait de taures et non de vaches en lactation.
« Les médias ont parlé de vaches. Beaucoup de gens m’ont parlé de la traite qui ne se faisait pas », lance Françoise Morissette.
La moitié des taures sont gestantes, c’est-à-dire qu’elles portent leur premier veau.
Les autres sont encore trop jeunes. Les taures sont généralement plus fringantes et plus farouches que les vaches en lactation, qui doivent se faire traire tous les jours et qui sont forcément moins peureuses.
La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot, est de passage à Rimouski et elle se dit très heureuse de l’avancement du chantier de construction du « Quartier maritime » qui respecte tous les échéanciers jusqu’à maintenant.
Le projet prévoit la construction de deux tours de logements que feront entre quatre et 10 étages. Elles seront reliées par un stationnement souterrain. Les travaux se chiffrent à 130 M$. La Société de dévelop
La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot, est de passage à Rimouski et elle se dit très heureuse de l’avancement du chantier de construction du « Quartier maritime » qui respecte tous les échéanciers jusqu’à maintenant.
Le projet prévoit la construction de deux tours de logements que feront entre quatre et 10 étages. Elles seront reliées par un stationnement souterrain. Les travaux se chiffrent à 130 M$. La Société de développement Angus peut compter sur une aide de 64,3 M$ du gouvernement du Québec.
« Nous sommes vraiment contents que les échéanciers soient respectés. Nous venons de coffrer la dalle du rez-de-chaussée que nous allons couler en partie avant les vacances de la construction et qui sera complété au retour des vacances. Une fois que la dalle sera finie, nous allons voir la structure de coffrage monter. Ça va aller jusqu’à l’automne. Nous sommes toujours dans les mêmes échéanciers qui prévoient que la structure soit montée d’ici la fin de l’année. On s’attend à commencer à poser l’enveloppe de béton préfabriquée en décembre », commente madame Hudon-Huot.
La pose de l’enveloppe de béton ne peut commencer avant que la structure soit totalement complétée.
« C’est à ce moment que les gens pourront voir la pleine hauteur du bâtiment. On devrait en avoir pour quatre mois pour mettre le revêtement extérieur du bâtiment qui sera en panneau préfabriqué de béton », indique la chargée de projet.
« En même temps que la décontamination, nous avons fait l’excavation et le soutènement pour nous assurer qu’il n’y ait pas de glissements de terrain. Ensuite, ce fut les fondations. La dalle du sous-sol sera coulée à la fin de l’année. On commence par celle du rez-de-chaussée. On va voir les étages se construire dans les prochains mois », précise la chargée de projet.
Occupation à l’hiver 2027
Le promoteur vise toujours une fermeture de l’enveloppe du bâtiment pour avril 2026.
« En ce moment, nous n’avons pas de délais sur notre échéancier. Le vent pourrait jouer sur le respect des échéanciers. Les grues ne peuvent pas fonctionner à partir d’une certaine vitesse des vents. Nous avons prévu un certain nombre de journées de vent, mais s’il est plus élevé que nos prévisions, ça pourrait nous retarder. On espère avoir visé juste même si on ne contrôle pas la météo », souligne Marilou Hudon-Huot.
La vice-présidente location commerciale et développement résidentiel de la Société Angus, Marilou Hudon-Huot (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
« Nous sommes en plein dans notre échéancier pour une occupation à l’hiver 2027. Il y aura des travaux de finition intérieure une fois que le bâtiment sera fermé. »
L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, démontre de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, actuellement occupé par Rodrigue Joncas.
Bien qu’il confirme son intérêt, monsieur Sirois indique être toujours en réflexion en vue d’une éventuelle candidature à l’élection municipale du 2 novembre prochain.
« J’ai demeuré presque toute ma vie à Nazareth. C’est mon quartier. J’y ai un f
L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, démontre de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, actuellement occupé par Rodrigue Joncas.
Bien qu’il confirme son intérêt, monsieur Sirois indique être toujours en réflexion en vue d’une éventuelle candidature à l’élection municipale du 2 novembre prochain.
« J’ai demeuré presque toute ma vie à Nazareth. C’est mon quartier. J’y ai un fort attachement. C’est là que j’ai exploité mon commerce (Metro). Je connais bien les gens du quartier et leurs besoins », affirme-t-il.
Au cours des dernières années, Guillaume Sirois a été impliqué dans de nombreux organismes.
« J’ai toujours eu à cœur le développement de notre région, que ce soit à titre de président de la Chambre de commerce ou en affaires. L’implication communautaire fait aussi partie de mon ADN. C’est un peu une suite logique de mes dernières implications et un désir de participer au développement de Rimouski », précise celui qui est maintenant courtier immobilier à la Société québécoise des infrastructures (SQI) pour le Bas-Saint-Laurent.
Sollicité pour se présenter
Guillaume Sirois dit avoir été approché par des gens pour une candidature aux prochaines élections municipales.
Les 12 membres actuels du conseil municipal de Rimouski, incluant le maire Guy Caron, 2e à partir de la gauche dans la dernière rangée. (Photo Le Soir.ca)
« Mais même avant cela, j’avais un intérêt. Le poste de conseiller municipal est très important pour moi. C’est lui qui prend le pouls de ce qui se passe sur le terrain. Comme conseiller, tu es la voix des citoyens de ton quartier. Je serais le porteur des enjeux de Nazareth. J’ai eu la chance de côtoyer des gens de différentes allégeances politiques. Le municipal est intéressant parce qu’on n’a pas à être collés à une étiquette politique. Un conseiller n’est pas de gauche ou de droite, il répond aux besoins de ses citoyens ».
Le quartier de Nazareth est représenté par Rodrigue Joncas depuis 2005.