Spect’Art Rimouski lancera sa saison culturelle automnale, ce mercredi 17 septembre, avec des prestations musicales d’Alphonse Bisaillon et de Julie Houde ainsi qu’une performance de l’humoriste Silvi Tourigny.
La population est invitée dès 19 h, à la Salle Desjardins, pour souligner cette rentrée culturelle. L’événement festif est offert gratuitement, mais les spectateurs doivent réserver leur place. Il sera possible de découvrir les nouveautés, les incontournables et les coups de cœur de l
Spect’Art Rimouski lancera sa saison culturelle automnale, ce mercredi 17 septembre, avec des prestations musicales d’Alphonse Bisaillon et de Julie Houde ainsi qu’une performance de l’humoriste Silvi Tourigny.
La population est invitée dès 19 h, à la Salle Desjardins, pour souligner cette rentrée culturelle. L’événement festif est offert gratuitement, mais les spectateurs doivent réserver leur place. Il sera possible de découvrir les nouveautés, les incontournables et les coups de cœur de l’équipe de Spect’Art pour les mois à venir.
À venir cette semaine
Par ailleurs, le diffuseur rimouskois présentera 100 contrefaçons du chanteur David Corriveau, ce jeudi 18 septembre, à 20 h. Ce spectacle est composé de chansons et d’imitations. Corriveau est souvent reconnu pour des imitations à couper le souffle de Ginette Reno et Céline Dion.
David Corriveau (Photo courtoisie)
Également le 18 septembre, à 20 h, Spect’Art Rimouski offrira L’humoriste Sam Vigneault en rodage, dans le cadre de la série d’humour Fun en salle. La prestation aura lieu aux Bains publics.
Le samedi 20 septembre, la Salle Desjardins accueillera le groupe School qui présentera la soirée hommage Supertramp Memories. Depuis 2002, la formation originaire de la Mauricie foule les planches des salles de spectacles et des festivals du Québec et du reste du Canada à la rencontre des admirateurs de Supertramp.
Les billets sont disponibles en ligne au spectart.com, par téléphone au 418 724-0800 ou à la Salle Desjardins.
Âgé de seulement 19 ans, Xavier Dionne se présente pour devenir conseiller municipal à Amqui. Passionné de politique, il souhaite faire bouger les choses et amener du sang neuf dans sa ville.
L’Amquien fait assurément partie des plus jeunes dans la province à présenter sa candidature en vue des élections municipales du 2 novembre prochain.
« J’ai toujours eu un intérêt envers la politique. Je ne savais pas comment me lancer et depuis quelques mois, les gens me disaient que j’étais un jeu
Âgé de seulement 19 ans, Xavier Dionne se présente pour devenir conseiller municipal à Amqui. Passionné de politique, il souhaite faire bouger les choses et amener du sang neuf dans sa ville.
L’Amquien fait assurément partie des plus jeunes dans la province à présenter sa candidature en vue des élections municipales du 2 novembre prochain.
« J’ai toujours eu un intérêt envers la politique. Je ne savais pas comment me lancer et depuis quelques mois, les gens me disaient que j’étais un jeune qui pouvait faire avancer les choses. Je crois que le niveau municipal est une belle façon de commencer en politique. C’est un monde que je veux essayer de comprendre », mentionne celui qui se présente dans le district 5.
Xavier Dionne est bien engagé dans sa communauté, notamment avec la mise en place du Tournoi de hockey-balle de la Vallée qui en sera à sa quatrième présentation en 2026. Il a créé ce projet dans le cadre d’un cours en quatrième secondaire.
Un match du Tournoi de hockey-balle d’Amqui. (Photo courtoisie)
« Des centaines de joueurs de tous âges des quatre coins de la province participent à cet événement qui fait rayonner Amqui bien au-delà de ses frontières. Être le président et fondateur de ce tournoi m’a permis d’apprendre à gérer des défis, à travailler en équipe et à croire profondément en la force de notre communauté. »
En 2023, le candidat a reçu le titre de Jeune bénévole de l’année par la Ville d’Amqui. Il fait également partie de l’organisation du Festival quad Matapédien et travaille sur un projet de sentier magique. Le jeune homme consacre une grande partie de son temps à arbitrer au hockey.
Ramener les jeunes
S’il est élu, Xavier Dionne a l’intention de travailler à faire revenir les jeunes dans la région après leurs études collégiales et universitaires. Il croit au potentiel de sa ville.
« Ce n’est pas vrai que nous n’avons pas de ressources dans la Vallée. Il faut trouver des façons de faire parler de nous parce que nous avons beaucoup de projets. Parfois, il faut juste une petite tape dans le dos pour faire avancer les choses. Je crois que chacun a un rôle à jouer pour bâtir une municipalité qui nous ressemble. »
Le nouvel hôtel de ville d’Amqui (Photo courtoisie)
Selon lui, la politique municipale a besoin de relève.
« Nous avons besoin d’une relève sérieuse, motivée et prête à investir temps et énergie pour représenter ses concitoyens avec honnêteté et authenticité. Je ferai en sorte d’être toujours à l’écoute, transparent dans mes démarches et déterminé à transformer les idées en projets concrets », dit-il.
Xavier Dionne à l’intention de commencer des études en entrepreneuriat pour éventuellement travailler dans le domaine immobilier.
Les équipes de Mont-Joli et de Rivière-du-Loup sont sorties victorieuses de la deuxième fin de semaine d’activités dans le circuit de football du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec (RSEQ-EQ).
Les deux équipes du Mistral de Mont-Joli visitaient, samedi, les Griffons du Grand Gaspé. Les cadets l’ont emporté par la marque de 29 à 21 et les juvéniles ont écrasé leur adversaire 41 à 6.
Le lendemain, les Guerriers de l’école secondaire de Rivière-du-Loup ont imité les succès du Mi
Les équipes de Mont-Joli et de Rivière-du-Loup sont sorties victorieuses de la deuxième fin de semaine d’activités dans le circuit de football du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec (RSEQ-EQ).
Les deux équipes du Mistral de Mont-Joli visitaient, samedi, les Griffons du Grand Gaspé. Les cadets l’ont emporté par la marque de 29 à 21 et les juvéniles ont écrasé leur adversaire 41 à 6.
Le lendemain, les Guerriers de l’école secondaire de Rivière-du-Loup ont imité les succès du Mistral sur le terrain de l’école secondaire de Matane. Ils ont infligé deux défaites aux Gladiateurs, soit 41 à 6 chez les cadets et 27 à 1 chez les juvéniles.
Le Mistral occupe le premier rang du classement cadet et Rivière-du-Loup de l’autre catégorie.
La fin de semaine prochaine, les deux équipes de Gaspé seront à Rivière-du-Loup. Mont-Joli (cadet) et Rimouski (juvénile) visiteront les Gladiateurs de Matane.
Deux véhicules Communauto seront disponibles dès le 30 septembre, à Rimouski. L’organisme Mobilité partagée Rimouski (MPR) déploie son tout premier service d’autopartage.
Une voiture sera située au parc de la Gare et l’autre à la Coop Paradis. MPR jouera le rôle de gestionnaire de la flotte locale en partenariat avec Communauto.
« Ça fait longtemps que nous travaillons là-dessus et ça devient réel. Nous avons vu des statistiques épouvantables concernant la voiture solo. Communauto est un
Deux véhicules Communauto seront disponibles dès le 30 septembre, à Rimouski. L’organisme Mobilité partagée Rimouski (MPR) déploie son tout premier service d’autopartage.
Une voiture sera située au parc de la Gare et l’autre à la Coop Paradis. MPR jouera le rôle de gestionnaire de la flotte locale en partenariat avec Communauto.
« Ça fait longtemps que nous travaillons là-dessus et ça devient réel. Nous avons vu des statistiques épouvantables concernant la voiture solo. Communauto est un capital de confiance. Nous pensons que c’est la voie à suivre pour que la mobilité devienne quelque chose d’autre », explique le président de MPR, Raphaël Arsenault.
Ce partenariat se veut unique au Québec puisqu’il permet d’élargir le modèle Communauto au-delà des grands centres et de proposer une solution adaptée à la réalité régionale.
« Dans une petite ville comme Rimouski, c’est aussi une bonne idée d’avoir des voitures à partager. Dans les grandes villes, l’offre est grande. Oui nous avons un transport collectif à Rimouski, mais ce n’est pas la panacée. Nous pensons qu’il y aura un engouement. Nous avons déjà beaucoup de gens qui nous approchent. »
Selon les besoins
Les voitures pourront être empruntées pour de courtes ou de longues périodes. Pour accéder au service, les utilisateurs doivent d’abord devenir membres de MPR et s’inscrire au service de Communauto. L’adhésion soutient l’implantation de l’autopartage et contribuera au développement d’autres initiatives de mobilité partagée.
Le président de Mobilité partagée Rimouski, Raphaël Arsenault. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
« L’idée de MPR est d’apporter différentes solutions qui seront plus adaptées en fonction des besoins des gens. Nous allons dévoiler des choses dans les prochains mois et Communauto est très ouverte. Le coût de la vie est tellement grand en ce moment, il y a plein de conjectures qui font que c’est une bonne idée d’offrir ce service », mentionne le président de l’organisme à but non lucratif.
De l’expansion pour Communauto
Communauto compte 8 000 véhicules dans une vingtaine de villes du Canada et de la France. D’abord installé dans les grands centres, le service se dirige de plus en plus vers des villes plus petites.
« Le besoin d’avoir des solutions permettant de ne pas dépendre du véhicule est partout. L’intérêt des villes et des organisations comme MPR nous permet d’expérimenter d’autres façons de faire qui pourraient être des modèles pour d’autres. Rimouski est notre lancement le plus nordique et le plus à l’est de Québec », souligne le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani.
le vice-président développement stratégique chez Communauto, Marco Viviani. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Moniseur Viviani soutient que d’autres véhicules pourraient s’ajouter à la flotte rimouskoise si la demande est présente.
« Normalement, nous cherchons à atteindre des taux d’utilisation d’environ huit heures par jour par véhicule. Quand on arrive à ça, on commence à regarder où et comment ajouter des véhicules. C’est aussi selon le nombre de personnes. On parle d’un véhicule pour 20 ou 25 abonnés. Ici, il y en a 40. »
La Ville de Rimouski collabore également à l’initiative. Les 140 premiers abonnés rimouskois à MPR recevront une réduction de 35 $ grâce au fonds affecté aux projets écoresponsables. Les détails sont en ligne au www.mobilitepartagee.ca.
La remise en service des autobus électriques Lion est reportée jusqu’à nouvel ordre par le Centre de services scolaire (CSS) des Phares.
Les inspections exigées par le fabricant sont toujours en cours et le CCS travaille avec ses transporteurs scolaires afin de rétablir le service dans les meilleurs délais.
« Nous ne sommes actuellement pas en mesure de confirmer la reprise du service le mardi 16 septembre. Les parents dont les enfants utilisent les circuits suivants devront assurer le tr
La remise en service des autobus électriques Lion est reportée jusqu’à nouvel ordre par leCentre de services scolaire (CSS) des Phares.
Les inspections exigées par le fabricant sont toujours en cours et le CCS travaille avec ses transporteurs scolaires afin de rétablir le service dans les meilleurs délais.
« Nous ne sommes actuellement pas en mesure de confirmer la reprise du service le mardi 16 septembre. Les parents dont les enfants utilisent les circuits suivants devront assurer le transport de leur enfant : 205, 22, 14, 55, 57, 60, 109, 11, 117, 27, 116, 105, 023, 026, 115, 102, 101, 009, 008, 121. Dès que nous pourrons confirmer la reprise progressive des circuits, l’information sera diffusée sur notre site web, notre page Facebook et envoyée via le Portail parent », peut-on lire sur la page Facebook du Centre.
Il a annoncé tôt ce lundi 15 septembre, des interruptions pour certains services puisque les transporteurs devaient faire d’autres inspections sur les Autobus Lion après celles de vendredi dernier.
D’autres centres de services scolaires de la province ont aussi annoncé que le transport scolaire demeurerait suspendu pour le 15 septembre.
À la suite d’un accident à Montréal
Des annulations du transport scolaire ont eu lieu, vendredi dernier. Le gouvernement Legault a annoncé jeudi soir que les quelque 1200 autobus scolaires de Lion qui circulent sur les routes du Québec seront à l’arrêt le temps de procéder à des inspections.
Cette décision a été prise à la suite d’un incendie survenu mardi à Montréal, lors duquel un autobus électrique de Lion a pris feu. Quelques enfants et un chauffeur se trouvaient à l’intérieur, mais ils n’ont pas été blessés.
Les transporteurs du Centre de services scolaire des Phares ont reçu d’autres inspections à effectuer sur les Autobus Lion. (Photo courtoisie)
L’entreprise a indiqué dans un communiqué transmis vendredi soir qu’elle était confiante d’« un retour progressif et sécuritaire des autobus scolaires sur les routes du Québec dès lundi ».
La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) avait alors approuvé son plan visant à remettre en circulation les autobus scolaires électriques de marque LION-C.
Après une saison régulière exceptionnelle dans la Ligue de baseball Puribec, le Shaker de Rimouski a connu des séries difficiles en s’inclinant en demi-finale contre le Bérubé GM de Trois-Pistoles. L’équipe prépare déjà sa saison 2026.
Le Shaker a terminé au premier rang de la saison régulière. Une première depuis 2017 pour l’équipe rimouskoise qui comptait bien se reprendre après s’être incliné en finale des séries lors des deux dernières saisons.
« Défensivement, je crois que nous avons
Le Shaker a terminé au premier rang de la saison régulière. Une première depuis 2017 pour l’équipe rimouskoise qui comptait bien se reprendre après s’être incliné en finale des séries lors des deux dernières saisons.
« Défensivement, je crois que nous avons été de loin la meilleure équipe de la ligue. Nous avons été impeccables. Au niveau offensif, nous avons quand même bien fait, mais c’est notre côté défensif qui nous a permis de finir premiers. Les joueurs se sont présentés avec une mentalité de gagnants pendant la saison », affirme le joueur et gérant du Shaker, Jean-Philippe Marcoux-Tortillet.
Le Shaker de Rimouski en action. (Photo courtoisie Alain Tremblay)
En séries éliminatoires, c’est l’inverse qui s’est produit, alors que le Shaker a multiplié les erreurs couteuses.
« Nous avons ouvert des portes à l’autre équipe. Notre force en saison s’est tournée en côté défavorable en séries. Nous sommes peut-être arrivés avec une trop grande confiance d’affronter la dernière équipe au classement général. Nous aurions dû bien jouer comme en saison, mais nous sommes écroulés. »
L’équipe compte tirer des leçons de cette fin de saison décevante. Elle se tourne déjà vers l’été prochain.
« On bâtit là-dessus. On ne peut pas s’apitoyer sur notre sort et se dire qu’on aurait dû. C’est fait et on pense déjà à 2026. Nous sommes en train de regarder pour nos joueurs importés et pour nous assurer de nous améliorer avec nos petits points faibles. »
« Notre receveur partait cette année. Nous nous sommes donc tournés vers Mathew et nous n’avons vraiment pas été déçus. Il a probablement été le gars qui nous a le plus tiré vers le haut, même en séries. Il a transformé notre équipe défensivement. Les autres équipes redoutaient le bras de Ramos », exprime le joueur et entraîneur-chef.
Le receveur du Shaker, Mathew Ramos (Photo courtoisie Alain Tremblay)
Les deux mêmes joueurs importés devraient être de retour avec l’équipe l’an prochain.
En réflexion
Jean-Philippe Marcoux-Tortillet est en réflexion à savoir s’il reviendra pour une troisième saison avec un double mandat ou s’il sera uniquement joueur ou entraîneur.
« L’intérêt est là et j’adore ça, mais c’est une tâche assez difficile de coacher des amis et des gars avec qui j’ai tissé des liens. Ce n’est pas toujours facile de devoir prendre des décisions. Par contre, ça permet aux autres joueurs de davantage s’impliquer dans les décisions et de garder un excellent esprit d’équipe. »
La série finale de la Ligue de baseball Puribec est en cours entre Trois-Pistoles et Témiscouata.
Le Centre d’hébergement d’urgence de Rimouski sera prêt à accueillir les personnes en situation d’itinérance dès le 17 septembre. Situé sur la rue de l’Évêché Ouest, il ouvrira tous les jours de 17 h à 9 h.
Géré par l’organisme En tout C.A.S, l’endroit pourra accueillir 12 personnes à la fois et même aller jusqu’à 16 si nécessaire.
L’équipe d’employés compte une douzaine de personnes, dont une coordonnatrice, des intervenants et des veilleurs de nuit. Le centre sera à « haut seuil ».
Le Centre d’hébergement d’urgence de Rimouski sera prêt à accueillir les personnes en situation d’itinérance dès le 17 septembre. Situé sur la rue de l’Évêché Ouest, il ouvrira tous les jours de 17 h à 9 h.
Géré par l’organisme En tout C.A.S, l’endroit pourra accueillir 12 personnes à la fois et même aller jusqu’à 16 si nécessaire.
L’équipe d’employés compte une douzaine de personnes, dont une coordonnatrice, des intervenants et des veilleurs de nuit. Le centre sera à « haut seuil ».
« C’est en lien avec le seuil de tolérance par rapport aux situations auxquelles peuvent être confrontées les personnes qui vont venir. Nous allons accepter des personnes qui sont modérément intoxiquées. Nous n’accueillerons pas des gens avec des problématiques très intenses, comme des problèmes de violence », indique le directeur d’En tout C.A.S, Luc Jobin.
Le directeur d’En tout C.A.S, Luc Jobin (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Le Centre d’hébergement d’urgence sera situé dans un bâtiment appartenant à la Ville à proximité du Cégep de Rimouski et des Ateliers Saint-Louis. Les besoins de base des visiteurs seront comblés.
« Ils vont pouvoir prendre une douche, dormir, accéder à la buanderie et recevoir un souper ainsi qu’un déjeuner qui seront offerts par Moisson Rimouski-Neigette. Ils auront aussi accès à un ordinateur pour pouvoir faire des démarches. Les séjours seront d’une durée variable et temporaire pour qu’on puisse s’assurer d’une certaine stabilité », souligne monsieur Jobin.
Une marge de manœuvre
En raison du financement accordé, la décision a été prise d’ouvrir seulement pour les soirées et les nuits. Luc Jobin explique que le trou de service était particulièrement dans ces heures.
« En grande canicule et dans les grands froids, nous avons prévu une marge de manœuvre pour que le centre puisse rester ouvert et que nous n’ayons pas à mettre ces personnes-là à risque. Nous allons les garder au chaud », ajoute le directeur des programmes santé mentale et dépendance du CISSS du Bas-Saint-Laurent, Éric St-Jean.
Des employés de la Ville complétaient, jeudi, les derniers préparatifs avant l’ouverture du bâtiment. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Le CISSS ne ferme pas la porte à éventuellement ouvrir le centre 24 heures sur 24.
« C’est une question de financement, mais aussi de bonne pratique pour permettre aux gens de profiter des autres organismes à Rimouski de jour. Nous y réfléchissons et nous y travaillons. »
L’itinérance toujours présente
Bien qu’elle soit moins visible depuis la fin du camp au parc de la Gare, Luc Jobin signale que l’itinérance est toujours bien présente à Rimouski.
« Il y a plus de jeunes, il y a même des gens qui travaillent à temps partiel, des aînés et plus de femmes. Le portrait est éclaté. On constate qu’il y a une dégradation de la qualité de vie de ces gens-là depuis la pandémie. D’avoir un lieu de centralisation devrait donner des résultats. Ça remplit un trou de service qui perdurait. »
Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, avait annoncé, en 2024, un financement récurrent de 347 000 $ pour le fonctionnement du service. De son côté, la Ville de Rimouski a investi 500 000 $ pour la mise à niveau et l’entretien du bâtiment.
Des jeunes de la concentration tennis de Rimouski vivront une expérience d’envergure internationale, le printemps prochain. Ils se rendront au Mexique pour participer à un camp d’entraînement au Rafa Nadal Tennis Center.
Un total de 30 personnes, incluant 17 joueurs de tennis âgés de 13 à 17 ans ainsi que deux entraîneurs et des accompagnateurs, vivront la chance d’une vie en avril.
« C’est un jeune qui m’est arrivé avec cette idée l’an passé. Il voulait faire un camp d’entraînement à l’
Des jeunes de la concentration tennis de Rimouski vivront une expérience d’envergure internationale, le printemps prochain. Ils se rendront au Mexique pour participer à un camp d’entraînement au Rafa Nadal Tennis Center.
Un total de 30 personnes, incluant 17 joueurs de tennis âgés de 13 à 17 ans ainsi que deux entraîneurs et des accompagnateurs, vivront la chance d’une vie en avril.
« C’est un jeune qui m’est arrivé avec cette idée l’an passé. Il voulait faire un camp d’entraînement à l’extérieur. J’ai trouvé ça intéressant. Les jeunes vont tisser des liens. Nous avons choisi un hôtel juste à côté du site », indique le directeur et professionnel aux Tennis de Rimouski, André-Michel Proulx.
Le camp d’une semaine permettra aux joueurs rimouskois de vivre une expérience enrichissante sur le plan sportif, mais aussi humain.
« Il y aura des entraînements tous les matins avec les entraîneurs de là-bas. Ce sera un camp uniquement en anglais, donc ce sera aussi une expérience culturelle pour les jeunes. Pour certains, ce sera un premier voyage à l’extérieur et pour d’autres, les parents nous laissent voyager seuls avec leur enfant. Nous apprécions cette confiance envers nous. »
Une autre façon de voir le sport
André-Michel Proulx explique que ces entraînements à l’étranger pourront amener une vision différente du tennis.
« Chaque pays a une façon d’entraîner qui est un peu différente, ce n’est pas standard. De travailler avec des entraîneurs qui peuvent avoir un autre œil sur le tennis, ce sera bénéfique sur les plans technique et tactique. Il y aura aussi des entraînements physiques. De voir le tennis différemment peut possiblement allumer certaines lumières pour des jeunes. »
Différentes campagnes de financement seront mises en place au cours des prochains mois pour diminuer les coûts du voyage pour les participants. Les détails seront communiqués sur la page Facebook des Tennis de Rimouski. Les organisateurs sont aussi à la recherche de commanditaires pour réaliser le projet. Les entreprises intéressées peuvent écrire à info@tennisrimouski.com.
La députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, n’a pas caché que sa confiance envers François Legault était affectée au lendemain de la perte de son poste de ministre des Ressources naturelles et des Forêts.
« Ma confiance envers le premier ministre et son équipe rapprochée est ébranlée en ce moment. Je pense avoir livré ce que l’on m’avait demandé avec les orientations qu’on m’avait données, mais je vais réserver mes commentaires pour le caucus la semaine prochaine. »
Maïté Blanchette
« Ma confiance envers le premier ministre et son équipe rapprochée est ébranlée en ce moment. Je pense avoir livré ce que l’on m’avait demandé avec les orientations qu’on m’avait données, mais je vais réserver mes commentaires pour le caucus la semaine prochaine. »
Maïté Blanchette Vézina est également déchue de ses fonctions de ministre responsable du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine dans le cadre du remaniement ministériel de François Legault. Elle a rappelé qu’elle était avant tout la députée de Rimouski.
« Je vais l’être jusqu’à la fin de mon mandat. Mon allégeance est envers les citoyens et ceux qui m’ont fait confiance. Je vais continuer de porter les valeurs de régionaliste en moi et de faire avancer les dossiers de Rimouski. Je félicite Amélie Dionne, les ministres qui ont été nommés et ceux encore en place. »
Maïté Blanchette Vézina a pris part à une conférence de presse à l’hôtel de ville de Rimouski, jeudi après-midi. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
La députée de Rimouski a été contrainte de reculer en juin dernier. Elle a promis des « amendements importants » à son projet de loi, repoussant son adoption à une date ultérieure.
« J’ai donné mon 110 % pour la région avec les partenaires. Il y a des députés en place qui exercent aussi leur rôle d’influence envers leurs parties prenantes. J’ai défendu chacun de leurs dossiers et chacun des dossiers qui m’ont été présentés dans le respect des compétences de mes collègues députés. »
Bilan positif en logement
Députée provinciale depuis 2022, Maïté Blanchette Vézina est particulièrement fière de son bilan en logement.
« Nous avons un record à Rimouski en termes de construction et j’ai une part importante de la réalisation de ces projets. J’en suis très fière. Le travail se poursuit en développement économique. Pour moi, c’est la clé et la priorité. Nous avons maintenant des logements disponibles », dit-elle.
Le premier ministre François Legault est entouré des ministre Maöté Blanchette-Vézina et Simon Jolin-Barette. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)
La perte de son titre de ministre ne remet pas en question la candidature de madame Blanchette Vézina pour les prochaines élections provinciales.
« Je suis toujours sur les rangs pour 2026. J’ai encore envie de représenter les citoyens de Rimouski-Neigette. Je pense encore que la Coalition avenir Québec (CAQ) est un très bon véhicule pour ramener les gens qui souhaitent travailler à l’avenir du Québec », conclut-elle.
L’enseignant en sciences politiques au Cégep de Rimouski, Jean-François Fortin, est d’avis que Maïté Blanchette Vézina a perdu son poste de ministre en raison de la réforme du régime forestier.
Vivement critiquée par de nombreuses organisations environnementales, autochtones et citoyennes, la députée de Rimouski a été accusée d’avoir une approche trop favorable à l’exploitation industrielle des forêts publiques, au détriment de la biodiversité et des des usagers du territoire.
Face à cette
Face à cette fronde, madame Blanchette Vézina a été contrainte de reculer en juin dernier. Elle a promis des « amendements importants » à son projet de loi, repoussant son adoption à une date ultérieure. Selon monsieur Fortin, ce recul lui aura été fatal.
« Son passage à la tête du ministère n’a pas été une grande réussite. Elle est allée au bâton pour le gouvernement. On peut la qualifier de très loyale et de porte-étendard du gouvernement, mais elle en a également payé le prix », estime l’ex-député fédéral et maire de Sainte-Flavie.
Le maire de Sainte-Flavie, Jean-François Fortin. (Photo courtoisie)
Jean-François Fortin explique que le premier ministre n’avait pas le choix de l’écarter, puisque sa performance n’a pas été à la hauteur des attentes.
« C’était un dossier qui était très difficile pour n’importe quel ministre des Ressources naturelles. François Legault est en mode préélectoral. La prochaine année va être déterminante et il doit envoyer le message qu’il a donné une meilleure impression de performance. Il va vouloir s’entourer de gens qui vont lui permettre d’atteindre cet objectif. »
Changement important pour l’Est-du-Québec
Pour le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie, ce remaniement ministériel à Québec aura certainement un impact, selon monsieur Fortin.
« Dans une année préélectorale, le gouvernement tente le plus possible de plaire à la population et d’avoir quelqu’un autour de la table du conseil des ministres aurait pu nous conférer un avantage concurrentiel. »
La députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, avec le maire de Rimouski, Guy Caron et le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Jean-François Fortin estime toutefois que la députée de Rimouski doit continuer d’exercer son rôle de manière assidue auprès des électeurs.
« Elle devra démontrer qu’elle est à l’écoute de la population et qu’elle est capable de conclure des dossiers. Le fait qu’elle ait été au conseil des ministres, même si elle n’y siège plus, pourra lui donner un avantage dans la connaissance des personnes qui peuvent parfois régler les dossiers. »
Une ministre régionale au Tourisme
C’est la députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata, Amélie Dionne, qui devient la ministre responsable du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. Elle a été nommée ministre du Tourisme.
La députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata, Amélie Dionne (Photo journallesoir.ca- Alexandre D’Astous)
« Pour une région touristique importante, c’est quand même une bonne nouvelle au niveau du développement économique que la ministre responsable de notre région soit également ministre responsable du tourisme. Madame Dionne a relativement bien performé même si elle était dans l’ombre parce qu’elle n’était pas ministre », explique Jean-François Fortin.
Le député de Montmorency, Jean-François Simard, prend la place de Maïté Blanchette Vézina à titre de ministre des Ressources naturelles et des Forêts.
La salle de spectacle de Rimouski portera maintenant exclusivement le nom de Salle Desjardins grâce à une nouvelle entente entre la Ville et l’institution financière. D’une durée de 10 ans, elle est d’une valeur de 606 100 $.
Cet argent permettra d’assurer l’entretien du bâtiment qui célèbre son 20e anniversaire cette année.
« On sait que l’entretien doit être fait de façon régulière. Après un certain temps, des travaux sont nécessaires. Pour minimiser l’impact sur les épaules des contri
La salle de spectacle de Rimouski portera maintenant exclusivement le nom de Salle Desjardins grâce à une nouvelle entente entre la Ville et l’institution financière. D’une durée de 10 ans, elle est d’une valeur de 606 100 $.
« On sait que l’entretien doit être fait de façon régulière. Après un certain temps, des travaux sont nécessaires. Pour minimiser l’impact sur les épaules des contribuables, ces fonds seront placés dans une réserve. L’engagement continu de Desjardins vient nous donner un bon coup de main », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Le maire de Rimouski, Guy Caron, et la directrice générale de la Caisse Desjardins de Rimouski, Véronique Pelletier. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
La consolidation de cette entente entre la Ville et la coopérative financière se veut la continuité d’un partenariat établi il y a 20 ans.
« Nous sommes convaincus que la salle de spectacle est un levier pour la diffusion et le rayonnement de la culture. C’est aussi un moyen de venir en aide aux organismes qui se produisent ici. Lorsque nous avons consulté nos membres l’hiver dernier, ils ont nommé l’importance de la culture pour eux », mentionne la directrice générale de la Caisse Desjardins de Rimouski, Véronique Pelletier.
Pilier culturel régional
Pour Guy Caron, la salle Desjardins représente la vitalité du milieu culturel à Rimouski.
« C’est l’expression culturelle. Ça a été un long débat pour ouvrir la salle de spectacle, mais lorsqu’elle a été ouverte, les Rimouskois l’ont adoptée immédiatement. La beauté architecturale, la localisation de l’endroit et le dynamisme de la programmation grâce à Spect’Art font en sorte d’assurer un rayonnement de la ville à la grandeur du Québec. »
Une conférence de presse s’est tenue mardi après-midi. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
La salle de spectacle rimouskoise portait le nom de salle Desjardins-TELUS depuis son inauguration le 26 août 2005. Les deux entreprises avaient accepté de débourser chacune 150 000 $ pour que leur nom soit associé au bâtiment pendant 20 ans.
L’entente de dénomination de la salle Desjardins n’a aucun impact sur les opérations régulières de Spect’Art qui est toujours le diffuseur et gestionnaire de l’endroit.
Le conseiller municipal du district Sacré-Cœur, Sébastien Bolduc, est en réflexion à savoir s’il se représentera comme conseiller ou s’il tentera de devenir maire de Rimouski lors des prochaines élections. Il devrait confirmer sa décision dans les prochains jours.
Après le Marathon de Rimouski, le président de l’événement dit vouloir prendre quelques jours de réflexion avant d’annoncer officiellement son intention en vue des élections municipales du 2 novembre prochain.
« J’aime beaucoup
Le conseiller municipal du district Sacré-Cœur, Sébastien Bolduc,est en réflexion à savoir s’il se représentera comme conseiller ou s’il tentera de devenir maire de Rimouski lors des prochaines élections. Il devrait confirmer sa décision dans les prochains jours.
Après le Marathon de Rimouski, le président de l’événement dit vouloir prendre quelques jours de réflexion avant d’annoncer officiellement son intention en vue des élections municipales du 2 novembre prochain.
« J’aime beaucoup les courses. Je me concentrais d’abord sur le marathon. J’aime aussi beaucoup la politique municipale et je suis conscient que le fil d’arrivée s’en vient rapidement. Je me laisse quelques jours de congé. »
De l’intérêt pour la politique municipale
Résident du quartier Sacré-Cœur depuis 2002, le père de trois enfants a à cœur de s’engager dans sa communauté.
« J’ai de l’intérêt pour la politique municipale. J’aime contribuer à l’amélioration du milieu dans lequel je vis. Il y aura une annonce assez rapidement », dit-il.
Sébastien Bolduc est conseiller du district Sacré-Cœur depuis 2017. Il a été élu une seconde fois lors des élections municipales de 2021 avec 65,48 % des votes.
Le conseiller du district Sacré-Coeur, Sébastien Bolduc. (Photo courtoisie)
En plus d’être président du Marathon de Rimouski, il est membre fondateur et ex-président de la Coopérative de ski de fond Mouski.
Sébastien Bolduc a aussi été président de la Société des transports de Rimouski, responsable notamment du service Citébus.
Le club Boxe Rimouski est au troisième rang au Québec pour le développement de la pratique sportive. Cet honneur lui permettra de poursuivre sa croissance.
Le classement a été établi par la Fédération québécoise de boxe olympique. Il comprend 148 clubs de partout dans la province.
« À l’est de Montréal, nous sommes les premiers. C’est une belle victoire pour notre club et nous sommes très fiers. C’est beaucoup de travail parce que la boxe n’est pas toujours un sport très populaire, comme
Le club Boxe Rimouski est au troisième rang au Québec pour le développement de la pratique sportive. Cet honneur lui permettra de poursuivre sa croissance.
Le classement a été établi par la Fédération québécoise de boxe olympique. Il comprend 148 clubs de partout dans la province.
« À l’est de Montréal, nous sommes les premiers. C’est une belle victoire pour notre club et nous sommes très fiers. C’est beaucoup de travail parce que la boxe n’est pas toujours un sport très populaire, comme peut l’être le hockey par exemple », indique la responsable du volet compétitif du club, Sabrina Charest.
Cette dernière souligne le fait que cet honneur apporte une grande visibilité à Boxe Rimouski.
« Au Québec, nous sommes un club respecté et en compétition nous sommes parmi les meilleurs. Ça vient aussi avec une bourse de 4 000 $. Ça nous incite à poursuivre notre développement. »
Un combat d’un athlète de Boxe Rimouski. (Photo courtoisie)
La responsable du volet compétitif à Boxe Rimouski remarque un grand engouement pour son sport depuis quelques années.
« Nous valorisons beaucoup notre sport et nous voyons que ça fonctionne. Le nombre d’inscriptions surpasse nos attentes. C’est un sport qui apporte une discipline de vie. Plusieurs parents nous disent que nous avons sauvé leur enfant qui avait des difficultés à l’école. Nous sommes une famille à laquelle les membres s’identifient. »
Une progression constante
Boxe Rimouski compte 260 membres et 6 entraîneurs. D’année en année, le rang du club au classement de la Fédération québécoise de boxe olympique augmente.
« Quand nous avons relancé l’équipe de compétition, au retour de la pandémie, nous avons été 11e au classement. Il n’y avait pas beaucoup de clubs au Québec, donc nous pensions que c’était pour ça. L’année passée, nous avons monté 7e et cette année nous sommes 3e », affirme madame Charest.
Le boxeur Alexis Laroche, accompagné des entraîneurs Sébastien Talbot et Sabrina Charest. (Photo Facebook)
Plusieurs aspects sont évalués pour établir ce palmarès, dont le nombre de membres et d’entraîneurs, le programme sport-études et le nombre de galas de boxe organisés.
« Ça comprend aussi les ateliers dans les écoles et les activités de découverte comme lorsqu’on fait une journée de boxe féminine. Tout ça vaut des points. Cette année, comme ils veulent développer la pratique sportive, ils ont accordé plus de points pour les catégories inférieures. C’est l’ensemble de tout ça qui a fait que nous sommes au troisième rang », mentionne Sabrina Charest.
L’équipe compétitive de Boxe Rimouski vient d’être complétée. À ses débuts, en 2022-2023, elle comptait 6 boxeurs comparativement à 26 cette année. Les inscriptions pour le volet récréatif sont en cours. Les détails sont au www.boxerimouski.com.
Les Industries Rilec annoncent l’acquisition des installations portuaires de Rimouski et de Forestville pour relancer le service de traversier qui est arrêté depuis 2022. L’entreprise rimouskoise du promoteur Louis-Olivier Carré a pour objectif de le ramener dès mai 2026.
Les opérations de traverse font aussi partie de cette acquisition. Les installations seront adaptées pour accueillir le nouveau navire d’une capacité de 300 passagers et de 90 véhicules qui a déjà été réservé.
« Les ins
Les Industries Rilec annoncent l’acquisition des installations portuaires de Rimouski et de Forestville pour relancer le service de traversier qui est arrêté depuis 2022. L’entreprise rimouskoise du promoteur Louis-Olivier Carré a pour objectif de le ramener dès mai 2026.
Les opérations de traverse font aussi partie de cette acquisition. Les installations seront adaptées pour accueillir le nouveau navire d’une capacité de 300 passagers et de 90 véhicules qui a déjà été réservé.
« Les installations comprennent tout ce que la traverse Rimouski-Forestville avait, c’est-à-dire bureaux, débarcadère et rampe d’embarquement des passagers », indique le président-directeur général des Industries Rilec, Louis-Olivier Carré.
Une affiche sur les bureaux de la traverse indique le retour du service en 2026. (Photo Le Soir-ca – Annie Levasseur)
Il soutient que des mises à niveau sont à faire pour assurer un service de qualité aux futurs utilisateurs du service.
« Nous avons eu des rencontres avec la Société portuaire Bas-Saint-Laurent–Gaspésie pour leur faire part de ce que l’on veut faire. Nous allons faire une demande de plans et devis pour une rampe d’embarquement, les assises de rampe d’embarquement et la disposition. »
Financement
Concernant le financement, Les Industries Rilex s’en remettent à la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville qui s’occupe des échanges avec Québec pour le financement.
Le ministère des Transports a refusé, en mai dernier, une demande d’aide financière de 7 M$ plus un montant de 1,9 M$ en taxes non remboursables.
Le navire réservé par Louis-Olivier Carré. (Photo archives)
« L’OSBL, créé par les deux villes, chapeaute très bien le dossier. Ils travaillent avec le gouvernement pour aller chercher le succès de cette traverse. Je pense que c’est une bonne approche parce que ça permet d’avoir tous les acteurs qui travaillent dans le même sens et ça vient donner un devoir à chaque personne impliquée dans le projet de faire ses devoirs pour que ça se concrétise », souligne monsieur Carré.
Service essentiel
Pour Louis-Olivier Carré, ce service est essentiel pour l’Est-du-Québec. Il a l’intention de travailler d’arrache-pied pour assurer son retour.
« Je l’ai à cœur depuis le début. Ça nous prend cette traverse entre Rimouski et Forestville. Si tout le monde se met de la partie, nous allons avoir un succès dès 2026. »
Le projet a déjà reçu l’appui de la MRC de la Haute-Côte-Nord et de la Ville de Forestville. La Ville de Rimouski est aussi en faveur du projet.
La rampe d’accès au quai de Rimouski. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
La population de La Mitis pourra découvrir la nouvelle caserne de Price le samedi 13 septembre. Mis en service en février, ce nouveau bâtiment vient répondre à un besoin concernant la sécurité incendie dans la région.
L’ancienne caserne, vieillissante et située à proximité d’une école primaire, ne respectait plus les normes actuelles et représentait un risque lors des interventions d’urgence, selon le Regroupement incendie Mitis Est.
Le nouvel emplacement, sur la rue William-Evan-Price en
La population de La Mitis pourra découvrir la nouvelle caserne de Price le samedi 13 septembre. Mis en service en février, ce nouveau bâtiment vient répondre à un besoin concernant la sécurité incendie dans la région.
L’ancienne caserne, vieillissante et située à proximité d’une école primaire, ne respectait plus les normes actuelles et représentait un risque lors des interventions d’urgence, selon le Regroupement incendie Mitis Est.
Le nouvel emplacement, sur la rue William-Evan-Price en face du poste de la Sûreté du Québec, permet un accès plus sécuritaire et efficace vers l’ensemble des municipalités desservies.
Le bâtiment comprend des garages adaptés aux véhicules d’urgence, une salle de formation, un gymnase, ainsi que des espaces dédiés à l’entretien et à la décontamination des équipements.
Intervention plus rapide
Ces améliorations permettent d’intervenir plus rapidement et dans de meilleures conditions pour les citoyens de Price, de Sainte-Angèle-de-Mérici, de Métis-sur-Mer, de Grand-Métis, de Saint-Octave-de-Métis, de Padoue et de Sainte-Jeanne-d’Arc.
La première pelletée de terre du 3 juin 2024. (Photo courtoisie MRC de La Mitis)
« Cette caserne moderne nous permet de travailler dans des conditions optimales. Cela fait toute une différence pour la préparation et l’efficacité de nos équipes. On invite chaleureusement toute la population de La Mitis et des environs à venir visiter la caserne et rencontrer nos pompiers lors de cette journée toute spéciale », souligne ledirecteur du Regroupement incendie Mitis Est, Michel Desrosiers.
La caserne porte le nom d’Albert Côté, en hommage à l’ancien chef pompier de Price qui a consacré près de 55 ans de sa vie à la sécurité de sa communauté.
La journée portes ouvertes se tiendra de 8 h à 16 h. Les visiteurs pourront explorer les lieux à travers des visites guidées de la caserne et des camions, assister à des démonstrations d’équipements et profiter d’animations familiales incluant des jeux gonflables et des parcours ludiques pour les enfants.
Les Pionniers du Collège de Rimouski n’hésitent pas à piger dans leur propre cour et misent sur de nombreux joueurs régionaux. Parmi les 50 joueurs de l’alignement, plusieurs proviennent de l’Est-du-Québec, dont Liam Adam-Xavier de Rimouski, André-Philippe Dubé de Matane et Dolan Kennedy de Gaspé.
Pour Adam-Xavier, qui en est à sa deuxième saison avec l’équipe après avoir évolué avec le Sélect de l’école Paul-Hubert, représenter sa ville au niveau collégial est une grande source de fierté.
Les Pionniers du Collège de Rimouski n’hésitent pas à piger dans leur propre cour et misent sur de nombreux joueurs régionaux. Parmi les 50 joueurs de l’alignement, plusieurs proviennent de l’Est-du-Québec, dont Liam Adam-Xavier de Rimouski, André-Philippe Dubé de Matane et Dolan Kennedy de Gaspé.
Pour Adam-Xavier, qui en est à sa deuxième saison avec l’équipe après avoir évolué avec le Sélect de l’école Paul-Hubert, représenter sa ville au niveau collégial est une grande source de fierté.
« J’ai confiance en notre équipe cette année et en nos entraîneurs. Nous avons une belle alchimie et je crois que nous allons être capables de réaliser de belles choses », affirme celui qui entreprend sa première année en sciences de la nature.
Liam Adam-Xavier (Photo Le Soir.ca – Annie Levaseur)
Même s’il accorde une place importante à ses études, le demi défensif consacre la majorité de son temps au football.
« Je planifie mes études pour ne pas trop empiéter sur mes heures de foot. J’aime le côté compétitif. C’est un sport très stratégique qui amène une grosse dose d’adrénaline. Il faut toujours analyser ce que font les autres équipes », souligne-t-il.
Grande famille
À 19 ans, Dubé amorce une troisième année avec les Pionniers.
« Je n’ai aucun regret. C’est une super expérience. Les Pionniers, c’est une organisation merveilleuse. C’est une grande famille. On s’ennuie l’été et on garde le contact. Les vétérans essaient toujours d’intégrer les nouveaux », souligne l’ancien des Gladiateurs de Matane, étudiant en techniques policières.
Joueur de ligne offensive, Kennedy fait partie des 18 vétérans de retour en 2025. Recruté il y a trois ans alors qu’il jouait à Gaspé, il se réjouit du choix qu’il a fait.
« C’est plaisant que l’équipe ait la philosophie de recruter en région. Venir à Rimouski, ce n’est pas un énorme changement par rapport à Gaspé. Je referais le même choix. Je me sens chez moi et j’aime ça », confie l’étudiant en technologie de l’architecture.
Liam Adam-Xavier, André-Philippe Dubé et Dolan Kennedy se préparent pour un entraînement. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Il croit que les Pionniers peuvent connaître une bonne saison malgré la présence de nombreux jeunes joueurs.
« Nous avons bien bâti dans les deux dernières années. Nous sommes une jeune équipe, mais avec nos entraîneurs, je crois qu’on peut aller loin. »
Sur la route
Après sa rentrée locale samedi dernier contre La Pocatière, la troupe de Louis-David Goulet disputera ses deux prochains matchs sur la route, le 6 et 13 septembre à Thetford et à Jonquière. Les Pionniers retrouveront leurs partisans le samedi 20 septembre, à 13 h, en recevant Mérici au Stade du Complexe sportif Guillaume-Leblanc.
Le Casse-croûte la Bonne Bouffe est l’équipe gagnante de la saison 2025 de la Ligue féminine softball de La Mitis « Le Ketch ». Elle a obtenu les grands honneurs, le mardi 2 septembre, lors d’un match présenté à Price.
L’équipe victorieuse l’a emporté 10 à 9 dans une finale qui l’opposait au Taxi Mont-Joli. Le trophée a été remis par les représentants du Ketch, Jean-François Fortin et Guillaume Desmeules.
La Ligue féminine softball de La Mitis « Le Ketch » soulignait son 25e anniversaire
Le Casse-croûte la Bonne Bouffe est l’équipe gagnante de lasaison 2025 de laLigue féminine softball de La Mitis « Le Ketch ». Elle a obtenu les grands honneurs, le mardi 2 septembre, lors d’un match présenté à Price.
L’équipe victorieuse l’a emporté 10 à 9 dans une finale qui l’opposait au Taxi Mont-Joli. Le trophée a été remis par les représentants du Ketch, Jean-François Fortin et Guillaume Desmeules.
La Ligue féminine softball de La Mitis « Le Ketch » soulignait son 25e anniversaire cette année. Elle comptait quatre équipes pour un total d’environ 45 joueuses.
Des joueuses de la Ligue féminine de La Mitis. (Photo courtoisie Caroline Anctil)
La popularité de cette ligue est grandissante de saison en saison. Les participantes envahissent le terrain de Price, les mardis soirs, de fin mai à début septembre. Elles proviennent de La Mitis, de Rimouski et d’Amqui. La plus jeune joueuse avait 16 ans, cet été, et les plus âgées sont dans la cinquantaine.
Quatre citoyens rimouskois ont reçu, ce jeudi 4 septembre, la Médaille de la Députée de l’Assemblée nationale des mains de la ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina. Nathalie Babin, Dr Georges Lévesque, Thérèse Sirois et Alain Rioux ont été récompensés.
Une activité de reconnaissance a eu lieu au Théâtre du Bic en présence des proches des récipiendaires.
« Ces femmes et ces hommes méritent cette reconnaissance pour leur contribution à rendre notre monde meilleur. Ce son
Quatre citoyens rimouskois ont reçu, ce jeudi 4 septembre, la Médaille de la Députée de l’Assemblée nationale des mains de la ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina. Nathalie Babin, Dr Georges Lévesque, Thérèse Sirois et Alain Rioux ont été récompensés.
Une activité de reconnaissance a eu lieu au Théâtre du Bic en présence des proches des récipiendaires.
« Ces femmes et ces hommes méritent cette reconnaissance pour leur contribution à rendre notre monde meilleur. Ce sont des gens significatifs qui ont fait rayonner la circonscription de Rimouski. Leur dévouement envers leur communauté est un modèle pour chacun d’entre nous », s’exclame madame Blanchette Vézina.
Nathalie Babin (Photo courtoisie)
Nathalie Babin a été médaillée pour son parcours philanthropique touchant la culture, la santé, l’économie et le sport. Selon la députée de Rimouski, son passage de dix ans à la direction du Théâtre du Bic a marqué un tournant dans l’histoire culturelle de Rimouski et a permis à l’institution de se moderniser et de retrouver un second souffle.
Dr Georges Lévesque
Pionnier de la médecine en oncologie dans l’Est-du-Québec, le Dr Lévesque est à l’origine de la Fondation de l’Association du cancer de l’Est, de l’Hôtellerie Omer-Brazeau et de nombreux services essentiels pour les patients.
Dr Georges Lévesque (Photo courtoisie)
Maïté Blanchette Vézina soutient que son engagement dans la recherche et la formation a transformé durablement l’offre de soins et de savoir en région. Dr Lévesque a aussi contribué à l’émergence d’un écosystème d’économie bleue en favorisant la recherche en biotechnologies marines et l’innovation liée à la santé et à l’environnement.
Thérèse Sirois
Madame Sirois est reconnue à travers l’Est-du-Québec pour son engagement envers les personnes handicapées. À titre de directrice générale de La Ressource d’aide aux personnes handicapées du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine, elle a contribué à l’intégration sociale de milliers de personnes vivant avec un handicap. Elle est, entre autres, derrière le succès du Téléradiothon de La Ressource.
Alain Rioux
Le bénévole Alain Rioux est engagé depuis plus de 60 ans dans de multiples causes, qui touchent les milieux scolaire, communautaire et municipal. Cofondateur d’Accueil-Maternité et directeur général de l’organisme pendant 15 ans, il a accompagné des générations de jeunes mamans et de familles. Pour la députée, son engagement incarne le dévouement et la solidarité.
La Médaille de la Députée de l’Assemblée nationale vise à reconnaître le mérite de personnes ou d’organismes qui ont mené une action exemplaire utile pour le bien de la communauté de chacune des circonscriptions dans les domaines culturel, sportif, social ou entrepreneurial.
Une nouvelle équipe universitaire de cross-country voit le jour à Rimouski. Le Nordet de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) ajoute cette discipline sportive à son offre dès maintenant.
La demande était grande de la part de la communauté étudiante. La nouvelle équipe sera dirigée par Samuel Lavoie qui est également l’entraîneur-chef du Club d’athlétisme Coubertin et de l’équipe de cross-country des Pionniers du Cégep de Rimouski.
« Le baccalauréat en kinésiologie apporte énormément d
Une nouvelle équipe universitaire de cross-country voit le jour à Rimouski. Le Nordet de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) ajoute cette discipline sportive à son offre dès maintenant.
La demande était grande de la part de la communauté étudiante. La nouvelle équipe sera dirigée par Samuel Lavoie qui est également l’entraîneur-chef du Club d’athlétisme Coubertin et de l’équipe de cross-country des Pionniers du Cégep de Rimouski.
« Le baccalauréat en kinésiologie apporte énormément de sportifs. La course à pied est de plus de plus en plus populaire et les jeunes commencent à beaucoup aimer la région. C’est un programme qui était très attendu par les étudiants de l’UQAR. »
Samuel Lavoie (Photo courtoisie)
La première course de la saison est prévue, le 20 septembre, à l’Universtié McGill. Une autre se tiendra à l’Université Laval et les coureurs rimouskois pourront participer au championnat provincial à la fin de mois d’octobre.
« C’est une première année. Mon rôle sera de monter le programme, de commencer à connaître les athlètes et de faire une planification sur le long terme pour les prochaines années. Il faut mettre les choses en place et voir où le calibre se situe. Je vais être là pour accompagner les athlètes dans tout ça », mentionne l’entraîneur.
Le camp de sélection a lieu les 9 et 12 septembre. Samuel Lavoie s’attend à une grosse participation autant du côté féminin que masculin. Le nombre d’athlètes choisis sera déterminé à la suite de ce camp.
Attirer les jeunes à Rimouski
Selon l’entraîneur, l’ajout de cette équipe favorisera la rétention des jeunes athlètes dans la région.
« Souvent, même avant les Pionniers, les jeunes se faisaient recruter dans un autre cégep. D’autres restaient, mais ils perdaient la passion parce qu’ils n’avaient plus de programme pour eux. Avec le programme universitaire, nous pouvons garder des athlètes qui sont au sommet de leur forme et nous pouvons aller chercher de nouveaux athlètes d’ailleurs. »
Un athlète des Pionniers en action. (Photo courtoisie)
Samuel Lavoie soutient que le cross-country est un sport d’endurance qui en est un d’équipe avant tout.
« L’effort individuel a un impact direct sur le résultat de l’équipe. Cela amène les athlètes à vivre de beaux dépassements de soi », dit-il.
Avec l’ajout d’un stade multisports à Rimouski, dans deux ans, ce dernier se permet de voir grand.
« Est-ce qu’on peut rêver d’avoir une équipe universitaire en athlétisme intérieur? Ce sont de beaux projets. »
Une équipe de cross-country est également formée au campus de Lévis de l’UQAR. Pour s’inscrire, aux camps de sélection, il est possible de consulter le www.uqar.ca/nordet.
Skateboard, musique, humour et arts visuels sont au programme du festival Skate Jam qui se tient du 5 au 7 septembre. L’événement est de retour pour une neuvième présentation au parc de planche à roulettes de Rimouski.
Le Skate Jam a comme objectif d’encourager la pratique de l’activité physique en faisant découvrir la planche à roulettes tout en proposant une programmation musicale qui met en valeur des artistes émergents.
Le punk rock sera au rendez-vous lors de la première soirée du ve
Skateboard, musique, humour et arts visuels sont au programme du festival Skate Jam qui se tientdu 5 au 7 septembre. L’événement est de retour pour une neuvième présentation au parc de planche à roulettes de Rimouski.
Le Skate Jam a comme objectif d’encourager la pratique de l’activité physique en faisant découvrir la planche à roulettes tout en proposant une programmation musicale qui met en valeur des artistes émergents.
Le punk rock sera au rendez-vous lors de la première soirée du vendredi. Jerkswitch de Montréal sera sur place en plus du groupe rimouskois Live Ground. La première partie sera assurée par General Chaos, une formation émergente de jeunes de 16 ans de Montréal qui a déjà participé dans plusieurs festivals au Québec et en Ontario.
Live Ground (Photo courtoisie Les Disques KickFlip)
Le samedi soir, c’est le métal et le rock qui seront au rendez-vous. Bootlegger de Rimouski promet un rock pesant et Steve Pelletier de Rivière-du-Loup présentera un tout nouveau spectacle en formule « plein orchestre ». La première partie est assurée par les Rimouskois Decline.
Bootlegger (Photo courtoisie)
Le festival se conclura le dimanche soir avec un volet humour et la présence du youtubeur WTFKeV. L’artiste rap émergent de Rimouski Drexyyy ouvrira la soirée.
Initiation à la planche à roulettes
Des initiations à la planche à roulettes seront offertes gratuitement par S.U. Rimouski Skateboard, pour les personnes de tous âges, le vendredi (19 h à 20 h) et le samedi (17 h à 18 h). Une compétition amicale de skateboard est également prévue le dimanche (16 h à 18 h) par Alternative Sports. Plusieurs prix seront remis aux participants.
Arts visuels
Les arts visuels seront mis en valeur pendant le Skate Jam. Plusieurs exposants seront sur place pour exposer leurs créations aux visiteurs. L’artiste Nolin Art Addictionproposera également une expérience de peinture en direct sur skateboard.
L’admission à l’événement est gratuite, mais il est encouragé de faire une contribution volontaire au festival afin de supporter l’organisation. Un montant de 15$ / soir est proposé et il est possible de réserver une place en faisant une contribution à l’avance. Plus d’informations et l’horaire sont disponibles au skatejam.ca.
William Tremblay porte les couleurs du Rouge et Or de l’Université Laval pour une troisième saison. Après avoir remporté la Coupe Vanier l’an dernier, le footballeur rimouskois vise encore les plus hauts sommets.
L’ancien porte-couleur du Mistral de Mont-Joli et des Pionniers de Rimouski a commencé sa saison 2025 avec confiance. Secondeur lors de sa première année universitaire, il évolue sur la ligne offensive, depuis l’an dernier, comme centre-arrière.
« Je vois plus ça comme ma deuxiè
William Tremblay porte les couleurs du Rouge et Or de l’Université Laval pour une troisième saison. Après avoir remporté la Coupe Vanier l’an dernier, le footballeur rimouskois vise encore les plus hauts sommets.
L’ancien porte-couleur du Mistral de Mont-Joli et des Pionniers de Rimouski a commencé sa saison 2025 avec confiance. Secondeur lors de sa première année universitaire, il évolue sur la ligne offensive, depuis l’an dernier, comme centre-arrière.
« Je vois plus ça comme ma deuxième année que ma troisième année universitaire. C’est une position nouvelle pour moi, même si j’ai toujours été un gars qui a joué à plusieurs positions. J’espère évoluer au meilleur de mes capacités et mettre en branle tout ce que j’ai appris dans mes deux dernières années. »
Collectivement, Tremblay s’attend à une autre grosse campagne du Rouge et Or, surtout que la majorité des joueurs de l’an dernier sont de retour sur le terrain.
William Tremblay (Photo courtoisie)
« En 2023, nous avons perdu (à la Coupe Dunsmore contre Montréal) et ça nous a ébranlés. L’an dernier, nous avons réparé les lacunes. Nous sommes une équipe assez soudée et tous les gars se connaissent bien. L’excellence est devenue la normalité. Nous en sommes au point de travailler sur les petits détails pour rester au top », dit-il.
Le joueur de 6 pieds 2 pouces et 215 livres compte encore sur sa rapidité pour l’actuelle saison, mais il a appris à mieux l’utiliser.
« Quand je suis arrivée ici, j’appréhendais un peu la vitesse et l’intensité. Je voulais toujours jouer à 100 % de ma vitesse, mais ça faisait que je n’étais pas toujours en contrôle. Après deux ans, je réalise que d’être en contrôle c’est vraiment le secret. Je suis rapide, donc je n’ai pas besoin de toujours utiliser ma vitesse à 100 % », affirme le Rimouskois.
Conciliation football-études
En plus de s’accomplir dans son sport, William Tremblay se sent également à sa place, en génie mécanique, le programme dans lequel il étudie depuis son arrivée à l’Université Laval.
William Tremblay alors qu’il évoluait avec les Pionniers. (Photo Pionniers football)
« Je suis capable de faire des projets étudiants en plus. Ça va super bien dans mes cours, j’ai une très bonne cote et c’est quelque chose que je me vois vraiment faire dans le futur. Après le football, je suis certain d’avoir un bon travail dans un domaine que j’aime. »
À la fin de l’actuelle année scolaire, il lui restera un an et demi avant de compléter son baccalauréat. Il pourra donc jouer avec le Rouge et Or jusqu’à la saison 2027.
Les activités du Club Gigus reprennent pour la saison automnale à Rimouski. Il sera possible de pratiquer la gigue avec des groupes de différents niveaux, dès le 15 septembre.
Toute personne de 12 ans et plus peut s’initier à cette danse traditionnelle. Club Gigus offre des cours dans l’Est-du-Québec depuis 2023.
« Nous avons maintenant un groupe pour les habitués qui sont là depuis le début. Ça gigue en masse à Rimouski. Il y a aussi la possibilité pour les débutants de commencer », ind
Les activités du Club Gigus reprennent pour la saison automnale à Rimouski. Il sera possible de pratiquer la gigue avec des groupes de différents niveaux, dès le 15 septembre.
Toute personne de 12 ans et plus peut s’initier à cette danse traditionnelle. Club Gigus offre des cours dans l’Est-du-Québec depuis 2023.
« Nous avons maintenant un groupe pour les habitués qui sont là depuis le début. Ça gigue en masse à Rimouski. Il y a aussi la possibilité pour les débutants de commencer », indique la codirectrice et cofondatrice, Yaëlle Azoulay.
La pratique de la gigue permet de partager une tradition dans le plaisir.
« Comme c’est le cas avec beaucoup d’autres loisirs, une grosse partie du plaisir est de se retrouver en gang pour s’amuser en faisant la même chose tous ensemble. »
Les cours de Club Gigus s’adressent aux 12 ans et plus. (Photo courtoisie)
Les participants apprendront les bases du vocabulaire de la gigue, l’improvisation et de petites séquences dans le plaisir, le rythme et le jeu.
« La gigue québécoise est axée sur le rythme, mais aussi sur la relation avec la musique qui est très importante dans les cours de gigue. Ce n’est pas une danse figée. On ne danse pas comme on dansait il y a 100 ans. Elle a évolué et elle s’est transmise de génération en génération comme n’importe quelle autre forme de patrimoine vivant », souligne madame Azoulay.
Un bon exercice
Les intéressés n’ont pas besoin de souliers particuliers pour venir au cours.
« On apporte sa propre couleur. C’est un exercice super cardio. C’est donc une façon de rester en forme. Nous trouvons que c’est une belle forme de danse et elle s’inscrit à l’intérieur de la grande famille du patrimoine vivant. C’est important d’être conscient de toutes ces belles choses qui existent et qui sont propres à la culture du Québec », explique Yaëlle Azoulay.
Les cours se tiendront, les lundis, au centre communautaire du district Nazareth à Rimouski. Il est possible de s’inscrire au www.clubgigus.com.
Les curieux sont les bienvenues afin de participer au premier cours gratuitement.
Le directeur général du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec, Éric Plourde, est particulièrement fier d’avoir réussi à mettre en place un circuit de football scolaire dans les trois catégories scolaires depuis son arrivée en 2021.
« Le football n’existait presque plus. Nous avions juste du juvénile. Je m’étais donné comme mandat de le faire revivre et nous avons réussi. Nous sommes rendus à près de 500 joueurs de football dans la région. Pour chacun de ces élèves-athlètes, c’est
Le directeur général du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec, Éric Plourde, est particulièrement fier d’avoir réussi à mettre en place un circuit de football scolaire dans les trois catégories scolaires depuis son arrivée en 2021.
« Le football n’existait presque plus. Nous avions juste du juvénile. Je m’étais donné comme mandat de le faire revivre et nous avons réussi. Nous sommes rendus à près de 500 joueurs de football dans la région. Pour chacun de ces élèves-athlètes, c’est une source de motivation. »
Gaspé, Matane, Mont-Joli et Rivière-du-Loup ont des équipes dans les catégories atome, cadet et juvénile pour 2025. L’école Paul-Hubert de Rimouski est représentée seulement en juvénile. Les jeunes de la cinquième année à la première secondaire (atome) s’affrontent dans le cadre de matchs hors concours.
« Ce n’est pas une saison régulière. Ils accompagnent les cadets et les juvéniles sur la route. À la fin de la saison, ils ont un petit tournoi final pour se préparer au niveau suivant », explique monsieur Plourde.
Rétention des jeunes à l’école
Pour une deuxième année, des athlètes J6 s’ajoutent à la catégorie juvénile. Un certain nombre de joueurs par équipe sont acceptés, même s’ils ont une année de plus que celle permise pour jouer dans le football scolaire. Cette mesure vise la rétention des jeunes à l’école.
« Que tu sois petit ou grand, il y a une position pour toi. Bien souvent, ça profite aux jeunes et ça permet de les garder à l’école plus longtemps. Il y a des doubleurs et plusieurs immigrants qui sont arrivés, mais qui sont mis dans une année supérieure à l’école », affirme le directeur général.
Le directeur général du Réseau du sport étudiant du Québec/Est-du-Québec, Éric Plourde (Photo courtoisie)
« Nous avions décidé d’ajouter cette finale autant pour les cadets, qui sont allés affronter les champions de Québec, que pour les juvéniles qui ont gagné contre la Mauricie. Cette année, ces équipes viendront ici affronter nos champions régionaux. D’aller vers une autre région, c’est une motivation supplémentaire pour les jeunes qui souhaitent obtenir les grands honneurs », soutient Éric Plourde.
Le calendrier de football scolaire s’étale sur huit semaines pour la saison régulière. Toutes les parties se joueront selon les règles du football à neuf joueurs.
Les Rimouskois Charles-Étienne Boulet, William Dubé, Justin Gagnon, Émile Rioux et Louis Chénard ont gagné leur place dans l’alignement des Albatros M18 AAA du Collège Notre-Dame de Rivière-du-Loup pour la prochaine saison.
Boulet entamera sa troisième saison avec l’équipe. L’an dernier, l’espoir des Huskies de Rouyn-Noranda avait amassé 18 buts et 14 passes en 42 matchs.
Pour sa part, William Dubé enfilera l’uniforme de la formation bas-laurentienne pour une deuxième année consécutive. I
Les Rimouskois Charles-Étienne Boulet, William Dubé, Justin Gagnon, Émile Rioux et Louis Chénard ont gagné leur place dans l’alignement des Albatros M18 AAA du Collège Notre-Dame de Rivière-du-Loup pour la prochaine saison.
Boulet entamera sa troisième saison avec l’équipe. L’an dernier, l’espoir des Huskies de Rouyn-Noranda avait amassé 18 buts et 14 passes en 42 matchs.
Pour sa part, William Dubé enfilera l’uniforme de la formation bas-laurentienne pour une deuxième année consécutive. Il a récolté huit points (4-4) en 34 parties. En juin dernier, il a été repêché par les Eagles du Cap-Breton.
Gagnon et Rioux font partie de la structure intégrée des Albatros depuis quatre ans, tandis que Chénard évoluait avec le Sélect M18 D1 de l’école Paul-Hubert en 2024-2025.
Un Matanais dans la formation
Tout ce groupe évoluera en compagnie du Matanais Louis Métivier. Sélectionné par les Sea Dogs de Saint John, le défenseur a disputé 19 parties avec les Albatros lors de la dernière saison, réussissant deux buts et quatre passes.
La 20e saison des Albatros M18 AAA du Collège Notre-Dame débutera ce vendredi 5 septembre, à 19 h, avec la visite des Chevaliers de Lévis au Centre Premier Tech.
Le thon Bluefin de 700 livres pêché par un groupe de cinq Rimouskoises a fait fureur dès qu’il a été mis en vente, à 10 h, jeudi, à la Poisonnerie Gagnon. En moins d’une heure, tout a été vendu.
C’est la copropriétaire du commerce rimouskois, Sarah Landry, qui a mis la main sur l’énorme poisson avec ses amies, vendredi dernier, au large de Miscou au Nouveau-Brunswick.
Le poisson de 700 livres est d’une valeur d’environ 8 000$. Bien que cette prise ne soit pas un coup d’argent important po
Le thon Bluefin de 700 livres pêché par un groupe de cinq Rimouskoises a fait fureur dès qu’il a été mis en vente, à 10 h, jeudi, à la Poisonnerie Gagnon. En moins d’une heure, tout a été vendu.
Le poisson de 700 livres est d’une valeur d’environ 8 000$. Bien que cette prise ne soit pas un coup d’argent important pour la Poissonnerie Gagnon en raison des coûts élevés de la pêche, elle se veut un important outil promotionnel pour se faire connaître.
Deuxième prise en deux ans
C’était la deuxième année consécutive que Sarah Landry prenait la mer pour pêcher le thon. L’an dernier, elle était revenue à Rimouski avec une prise de 850 livres.
Le thon rouge a été amené à Grande-Rivière pour être débité après avoir été pêché.
Le thon de 700 livres. (Photo courtoisie)
L’équipe de la Poissonnerie Gagnon sera en mesure d’avoir un demi-thon la semaine prochaine. Il sera partagé avec une autre équipe.
Les nageuses des Dauphins, Emma Ducharme et Maxim Bélanger, ont obtenu leur laisser-passez pour la Coupe du monde de natation World Aquatics qui se tiendra, du 23 au 25 octobre, à Toronto.
Elles sont les premières du club rimouskois à réaliser cet exploit. Même si elles savaient qu’il y avait des possibilités de sélection en raison de leurs performances aux derniers championnats canadiens, les deux athlètes étaient tout de même surprises d’apprendre la bonne nouvelle.
« Ce sera une belle
Les nageuses des Dauphins, Emma Ducharme et Maxim Bélanger, ont obtenu leur laisser-passez pour la Coupe du monde de natation World Aquatics qui se tiendra, du 23 au 25 octobre, à Toronto.
Elles sont les premières du club rimouskois à réaliser cet exploit. Même si elles savaient qu’il y avait des possibilités de sélection en raison de leurs performances aux derniers championnats canadiens, les deux athlètes étaient tout de même surprises d’apprendre la bonne nouvelle.
« Ce sera une belle expérience à vivre en plus que nous y allons toutes les deux », indique Emma Ducharme.
« C’est un peu surréel. Je le souhaitais vraiment. Ça a toujours été un rêve pour moi d’aller sur la scène internationale », ajoute Maxim Bélanger.
Les deux amies vivront cette expérience unique ensemble. (Photo courtoisie)
Lors des essais nationaux, une équipe junior et une autre senior ont été créées pour les championnats mondiaux. Étant donné que la prochaine Coupe du monde est en sol canadien, des invitations supplémentaires ont été envoyées aux meilleurs nageurs au pays.
« Nous avons déjà eu des compétitions internationales, mais c’était de proximité. Cette fois-ci, de gros noms américains, européens et même australiens ont déjà été confirmés. Summer McIntosh sera présente. Ce sera une première expérience pour nous trois, qui permettra de voir où nous nous classons à ce niveau », exprime l’entraîneur-chef des Dauphins, Sébastien Angers.
Profiter de l’expérience
Les deux nageuses rimouskoises évolueront dans la catégorie senior lors de l’événement international. Elles n’ont pas d’objectif précis en termes de performance et veulent surtout prendre de l’expérience.
« Je vais là dans le plaisir et je compte en profiter pleinement. Comme ce sera la première fois pour moi à ce niveau. J’ai hâte de voir où je vais me positionner », explique Bélanger.
Emma Ducharme (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Cette compétition sera la première de la saison pour les membres des Dauphins.
« Ce sera d’excellents nageurs avec qui il faudra compétitionner. J’ai hâte de voir l’ambiance et j’y vais surtout pour accumuler du bagage. Depuis que je suis jeune, j’ai toujours voulu réaliser ce rêve. Je veux être fière de moi et montrer que je suis capable de réaliser de grandes choses », mentionne Ducharme, âgée de 18 ans, étudiante en deuxième année en sciences de la nature au Cégep de Rimouski.
« Pour moi, la natation est une manière de bouger et de me dépasser. C’est un sport qui me permet constamment de donner le meilleur de moi-même autant à l’entraînement qu’en compétition », affirme sa coéquipière de 17 ans, qui en est à sa première année dans le même programme collégial.
Déjà à l’entraînement
Malgré l’effervescence de la rentrée scolaire, les deux nageuses ont l’intention de mettre les bouchées doubles à l’entraînement au cours des prochaines semaines pour bien se préparer en vue de la compétition.
« De voir nos meilleures nageuses continuer à progresser, c’est la beauté de la chose. On voit des athlètes atteindre un certain niveau et tomber en plateau, mais ce n’est pas le cas de nos nageuses qui continuent de s’améliorer », souligne Sébastien Angers.
Maxim Bélanger du Club de natation Les Dauphins de Rimouski (Photo courtoisie)
Ducharme possède les standards canadiens au 50, au 100 et au 200 mètres dos, alors que Bélanger les a atteints au 50 mètres brasse et elle s’y approche au 100 mètres brasse. Elles s’entendront avec leur entraîneur pour déterminer à quelles courses elles participeront à la Coupe du monde de natation World Aquatics. Elles pourraient se rendre jusqu’à trois épreuves chacune.
C’est la rentrée scolaire pour des milliers d’élèves cette semaine. Noah Cimon, Tomàs Côté et Ophélie Verreault-Lechasseur, de Rimouski, entament une nouvelle étape puisqu’ils ont récemment quitté leur garderie pour se diriger vers la maternelle.
Les trois enfants de cinq ans sont impatients de rencontrer de nouveaux amis et surtout de s’amuser dans leur cour d’école.
« J’ai hâte de jouer avec la cuisinette que j’ai vue quand j’ai visité l’école. J’ai aussi hâte de voir mon casier et mon
Les trois enfants de cinq ans sont impatients de rencontrer de nouveaux amis et surtout de s’amuser dans leur cour d’école.
« J’ai hâte de jouer avec la cuisinette que j’ai vue quand j’ai visité l’école. J’ai aussi hâte de voir mon casier et mon bureau dans ma classe », exprime Noah Cimon qui commence la maternelle cinq ans à l’école de l’Estran.
« Je sais que Noah est triste de quitter la garderie, mais qu’en même temps il a hâte de commencer l’école pour revoir des amis qu’il a connus au programme passe-partout et au hockey. J’enseigne au préscolaire donc je sais à quoi m’attendre. Nous sommes prêts », ajoute sa mère, Mireille Levasseur.
Double rentrée
Tomàs Côté fréquentera aussi l’école de l’Estran pendant la prochaine année. Pour lui et sa mère, Véronique Michaud, c’est une double rentrée puisque cette dernière a décidé de changer de carrière et de commencer des études en éducation spécialisée au Cégep de Rimouski.
« Je ne suis pas encore prête à ça et j’essaie de m’habituer. J’ai confiance, mais c’est une nouvelle étape et je suis nerveuse. Mon fils est prêt. C’est aussi un nouveau chapitre de vie qui commence pour moi. »
« J’ai hâte d’apprendre les lettres et de rencontrer ma professeure. J’ai vu qu’il y avait une nouvelle grande glissade bleue à mon école. Je vais glisser dedans vraiment très vite », s’exclame Tomàs.
Noah Cimon et Tomàs Côté (Photo Le soir.ca – Annie Levasseur)
La mère d’Ophélie, Jessica Verreault, a aussi confiance que cette rentrée se passe bien. Sa fille rejoindra sa sœur à l’école du Boisé-des-Prés.
« Nous sommes un peu stressés, mais nous avons hâte en même temps. Ophélie est impatiente de suivre Clara, ma plus vieille, parce que ça avait été un deuil pour elle quand sa sœur est partie de la garderie. Ce sera une belle étape et l’équipe-école nous accompagne bien. »
Bon accompagnement
Les mamans des trois enfants, tous au centre de la petite enfance la Trâlée des Prés, se sont senties bien accompagnées pour la transition entre l’école et la garderie.
« Le CPE nous a offert des documents pour nous donner des pistes et nous aider à ce qu’ils s’adaptent bien à cette rentrée scolaire. En étant en CPE, ils vivaient déjà avec plusieurs routines et plusieurs amis. C’est déjà une bonne préparation », conclut Mireille Levasseur.
Un groupe de cinq Rimouskoises a pêché un thon Bluefin de 700 livres au large de Miscou au Nouveau-Brunswick, le 22 août dernier. La copropriétaire de la Poissonnerie Gagnon, Sarah Landry, et son équipe sont fières de revenir en ville avec cette grosse prise.
Après une première tentative infructueuse jeudi, les pêcheuses, menées par le capitaine gaspésien Richard Desbois, ont connu un dénouement plus heureux le lendemain.
Sarah Landry et ses amies sont parties de Grande-Rivière en Gaspés
Un groupe de cinq Rimouskoises a pêché un thon Bluefin de 700 livres au large de Miscou au Nouveau-Brunswick, le 22 août dernier. La copropriétaire de la Poissonnerie Gagnon, Sarah Landry, et son équipe sont fières de revenir en ville avec cette grosse prise.
Après une première tentative infructueuse jeudi, les pêcheuses, menées par le capitaine gaspésien Richard Desbois, ont connu un dénouement plus heureux le lendemain.
Sarah Landry et ses amies sont parties de Grande-Rivière en Gaspésie vers 15 h 30.
La pêche a été frustueuse pour Sarah Landry et ses amies. (Photo courtoisie)
« On a commencé à pêcher du maquereau frais pour appâter. Après une heure de pêche au thon, ça a mordu. C’est une poussée d’adrénaline. Le combat a duré deux heures. Nous nous sommes relayées parce que c’est très difficile. Il faut travailler pour l’amener tranquillement et le fatiguer. Tu ne veux surtout pas qu’il décroche. »
Valeur de 8 000 $
Si la Rimouskoise avait eu la piqure de la pêche au thon, l’an dernier, lorsqu’elle en a sorti un de 850 livres de l’eau, elle a transmis sa passion à ses amies.
« J’ai mélangé deux groupes d’amies. Certaines ne se connaissaient pas, mais ça a été une belle réussite et ça a rendu l’expérience encore plus drôle. Nous avons passé beaucoup d’heures sur le bateau et sur la route ensemble. C’est certain que nous allons le refaire. Je l’avais vécu l’an dernier et je savais ce que c’était, mais c’était tripant de le faire vivre à mes amies. »
L’équipe de Rimouskoises qui a pris la mer le 21 et le 22 août. (Photo courtoisie)
Le thon de 700 livres est d’une valeur d’environ 8 000 $.
« Les gens pensent que c’est un coup d’argent pour la poissonnerie, mais ce n’est pas le cas. J’en aurais besoin de plus. C’est pour le plaisir de partager cette aventure avec les clients. J’ai toutefois confiance de répondre à la demande. Nous avons plus d’un tour dans notre sac. Nous serons en mesure d’avoir un demi-thon la semaine prochaine question de satisfaire les papilles de tous. Il sera partagé avec une autre équipe », explique Sarah Landry.
Passion familiale
La pêcheuse travaille à la Poissonnerie Gagnon depuis 25 ans. Elle et son frère, Joël Landry, ont acheté le commerce en 2018. Ce dernier avait aussi réussi à capturer des thons en 2022 et en 2023.
« Quand nous avons commencé à en avoir à la poissonnerie, nous achetions des petites parties de thon pour le faire découvrir aux clients parce qu’ils ne connaissaient pas ça à Rimouski. Ensuite, on s’est lancé et on a décidé d’aller en pêcher un. Ça donne beaucoup de viande et il faut l’écouler quand elle est fraîche parce que l’aspect est moins intéressant après la congélation », explique la copropriétaire.
Le thon de 700 livres. (Photo courtoisie)
Sarah Landry a déjà hâte de reprendre la mer dans deux ans.
« C’était au tour de mon frère d’y aller cette année, mais il a eu un enfant la semaine dernière. J’y suis donc allée deux années de suite, mais l’an prochain ce sera son tour avec une gang de gars. Nous nous relayons et nous partageons ce plaisir. »
L’énorme poisson a été amené à Grande-Rivière pour être débité. Il sera ensuite transporté à la Poissonnerie Gagnon de Rimouski et devrait être mis en vente dès jeudi avant-midi. Les détails seront communiqués sur la page Facebook de l’entreprise dans les prochaines heures.
Le nouveau film de la cinéaste rimouskoise, Stéphanie Lessard-Bérubé, est maintenant disponible. Le violoneux et l’ethnologue raconte l’histoire de Thomas Deschênes, un violoneux et luthier de Les Hauteurs qui a vécu entre 1909 et 1993.
Le court-métrage commence avec des rencontres entre Thomas Deschênes et le folkloriste et ethnologue Jean Trudel qui a travaillé à transmettre le savoir-faire du violoneux.
« On est avec Thomas dans les années 70. C’est Jean qui l’a amené dans les grandes
Le nouveau film de la cinéaste rimouskoise, Stéphanie Lessard-Bérubé, est maintenant disponible. Le violoneux et l’ethnologue raconte l’histoire de Thomas Deschênes, un violoneux et luthier de Les Hauteurs qui a vécu entre 1909 et 1993.
Le court-métrage commence avec des rencontres entre Thomas Deschênes et le folkloriste et ethnologue Jean Trudel qui a travaillé à transmettre le savoir-faire du violoneux.
« On est avec Thomas dans les années 70. C’est Jean qui l’a amené dans les grandes villes pour rencontrer le public. On commence avec cet aboutissement pour le ramener ensuite à Les Hauteurs dans son atelier où il explique comment il fabriquait ses violons », indique Stéphanie Lessard-Bérubé.
La cinéaste passionnée de musique traditionnelle a voulu mettre en valeur la relation entre les deux hommes.
« J’ai voulu raconter cette relation entre le créateur et le porteur de traditions », souligne-t-elle.
La cinéaste Stéphanie Lessard-Bérubé. (Photo courtoisie Anthony François)
Cette production de 18 minutes a été réalisée dans le cadre d’un appel de projets portant sur la musique traditionnelle. Le Conseil québécois du patrimoine vivant voulait offrir du contenu artistique en lien avec le lancement du Fonds Jean Trudel, une plateforme web qui comprend des enregistrements audio et vidéo des collectes faites par l’ethnologue au Québec entre 1965 et 1977.
« Il y avait un travail de valorisation des archives produites par Jean Trudel pour les rendre accessibles. Ils voulaient que deux œuvres soient créées à partir de celles-ci. Mon film permet de rentrer dans des archives organisées pour découvrir Thomas Deschênes », explique celle qui œuvre dans le cinéma documentaire depuis une quinzaine d’années.
Autres projets
Ce projet se veut complémentaire et au livre Journal d’une cinéaste-violoneuse et au documentaire Corps à corps musicaux sur lesquels Stéphanie Lessard-Bérubé travaille présentement.
« Avec le film, j’essaie de parler du violon traditionnel aujourd’hui dans le Bas-Saint-Laurent en revalorisant des airs qui ont été collectés à une autre époque. Quelqu’un parle de sa relation au violon traditionnel en jouant un air de Thomas à sa manière. Dans le livre, je raconte sa mémoire », dit-elle.
Avec Le violoneux et l’ethnologue, la cinéaste a décidé d’aller plus loin avec l’histoire du Bas-Laurentien.
« Ce qu’il y a de différent avec mes autres projets, c’est que Thomas se raconte lui-même. Ça va permettre aux gens de le rencontrer, de l’entendre parler et jouer et de retourner à l’époque. Quand il travaille le violon dans son atelier, ce sont les conditions des années 70. Il avait une philosophie qu’il ne peut que raconter par lui-même. »
Le violoneux et l’ethnologue est disponible en ligne sur le site de Stéphanie Lessard-Bérubé et sur celui du Fonds Jean Trudel. Le livre Journal d’une cinéaste-violoneuse sortira prochainement et la Rimouskoise travaille présentement sur le financement postproduction de Corps à corps musicaux.
Le Centre de services scolaire (CSS) des Phares accueille 9 301 élèves en formation générale des jeunes cette année, soit 85 de moins que pour l’année scolaire 2024-2025.
De ce nombre, 31 sont inscrits au programme passe-partout, 206 à la maternelle 4 ans, 648 à la maternelle 5 ans, 4 537 au primaire et 3 879 au secondaire.
« Les inscriptions se poursuivent également en formation générale des adultes et en formation professionnelle. Au total, ce sont plus de 10 000 élèves qui franchiront l
Le Centre de services scolaire (CSS) des Phares accueille 9 301 élèves en formation générale des jeunes cette année, soit 85 de moins que pour l’année scolaire 2024-2025.
De ce nombre, 31 sont inscrits au programme passe-partout, 206 à la maternelle 4 ans, 648 à la maternelle 5 ans, 4 537 au primaire et 3 879 au secondaire.
« Les inscriptions se poursuivent également en formation générale des adultes et en formation professionnelle. Au total, ce sont plus de 10 000 élèves qui franchiront les portes de nos établissements cette année, accompagnés par des équipes-écoles engagées et mobilisées pour soutenir leur réussite », affirme la coordonnatrice aux communications pour la direction générale du CSS des Phares, Zoé Ross-Lévesque.
« Toutes nos équipes, tant dans les écoles que dans les services administratifs, ont mis tout leur cœur à assurer un retour en classe stimulant, sécuritaire et bienveillant. Ces conditions sont essentielles à la réussite et à l’épanouissement de nos élèves. Nous tenons aussi à souligner le rôle essentiel de nos partenaires clés : les parents », ajoute la directrice générale du Centre, Nancy Prévéreault.
Nombre suffisant d’enseignants
Selon Zoé Ross-Lévesque, le recrutement d’enseignants va très bien au CSS des Phares.
« Le taux de comblement des postes d’enseignants atteint maintenant plus de 98,5 %. Il nous reste toutefois à recruter quelques spécialistes, notamment en adaptation scolaire et en éducation physique au secondaire. »
Avec l’interdiction du cellulaire à l’école, instaurée par le gouvernement provincial, le CSS compte mettre en place un climat d’apprentissage serein et propice à la concentration dans ses écoles secondaires.
Québec a interdit l’usage des cellulaires à l’intérieur de l’école ainsi que sur le terrain des établissements scolaires. (Photo courtoisie)
« L’offre d’activités parascolaires, déjà bien ancrée dans nos milieux, continuera de permettre aux élèves de socialiser et de s’épanouir, en développant leurs talents et en nourrissant leur engagement ainsi que leur bien-être », exprime madame Ross-Lévesque.
Communications simplifiées
Les communications seront simplifiées avec le déploiement complet de l’application Clic-École dans tous les établissements primaires et secondaires.
D’autres projets éducatifs poursuivront leur lancée, dont Agrécole, Hémisphère, le programme musique-orchestre à l’école Élisabeth-Turgeon, l’école Grand Défi et le nouveau programme escalade St-Yves.
Au cours de l’été, 16 chantiers et 10 projets d’aménagement de cours d’école, dont la valeur des projets totalise 10 M$, ont été menés afin d’agrandir, de réhabiliter et d’entretenir les établissements.
En formation professionnelle, il est toujours possible de s’inscrire aux différents programmes offerts à Mont-Joli et à Rimouski. Les options disponibles sont détaillées au www.jesuispro.com.
Malgré des résultats décevants, Louis-Olivier St-Pierre revient satisfait de sa première expérience au Championnat canadien junior de golf, qui s’est tenu du 11 au 15 août, à Bathurst.
Le Rimouskois de 16 ans a été retranché après les deux premières rondes avec un résultat de +11, à quatre coups de la coupure. Il a joué 75 lors de la première ronde et 76 à la deuxième.
« Pour les deux rondes, j’ai eu deux mauvaises séquences de trois trous et ça m’a vraiment fait mal. J’ai joué 31 excelle
Malgré des résultats décevants, Louis-Olivier St-Pierre revient satisfait de sa première expérience au Championnat canadien junior de golf, qui s’est tenu du 11 au 15 août, à Bathurst.
Le Rimouskois de 16 ans a été retranché après les deux premières rondes avec un résultat de +11, à quatre coups de la coupure. Il a joué 75 lors de la première ronde et 76 à la deuxième.
« Pour les deux rondes, j’ai eu deux mauvaises séquences de trois trous et ça m’a vraiment fait mal. J’ai joué 31 excellents trous et cinq mauvais. Dans une compétition comme ça, c’est important de limiter les mauvais trous », explique l’espoir du Club de golf Les Saules.
Le tournoi accueillait les 156 meilleurs golfeurs canadiens de 18 ans et moins.
« Ça me prouve que j’ai en masse le niveau national. J’ai fini à quatre coups de la coupure avec un jeu qui n’était pas parfaitement à point et des malchances. Ça me donne le goût de travailler plus fort pour la suite. L’expérience était super et il me reste encore trois années d’admissibilité cet événement », exprime St-Pierre.
Il s’agissait de sa deuxième expérience nationale après le Championnat canadien M15.
Championnat partie par trous junior
Le Rimouskois a également participé Championnat partie par trous junior à Farnham, du 18 au 20 août. Il a été éliminé lors de la deuxième ronde.
« J’ai joué la normale après 10 et j’avais perdu quatre trous. Mon adversaire a joué la partie de sa vie, je pense. J’étais quand même content de mon jeu, mais pas nécessairement du résultat », affirme Louis-Olivier St-Pierre.
Le golfeur rimouskois Louis-Olivier St-Pierre (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Son dernier événement de la saison sera le championnat du Club Les Saules, prévu au début de septembre. Parallèlement, St-Pierre prépare sa prochaine saison de hockey avec le programme du Sélect de l’école Paul-Hubert.
Placés dans l’incertitude à moins d’une semaine de la rentrée scolaire, les parents d’enfants d’âge préscolaire de La Rédemption peuvent crier victoire. Le ministère de l’Éducation autorise l’instauration d’une classe de maternelle pour les enfants de quatre et cinq ans à l’école Clair-Soleil.
Lors des inscriptions au préscolaire, en mars dernier, le nombre d’enfants était insuffisant pour ouvrir une classe dans cet établissement de La Mitis.
« La direction de l’école a alors rencontré l
Placés dans l’incertitude à moins d’une semaine de la rentrée scolaire, les parents d’enfants d’âge préscolaire de La Rédemption peuvent crier victoire. Le ministère de l’Éducation autorise l’instauration d’une classe de maternelle pour les enfants de quatre et cinq ans à l’école Clair-Soleil.
Lors des inscriptions au préscolaire, en mars dernier, le nombre d’enfants était insuffisant pour ouvrir une classe dans cet établissement de La Mitis.
« La direction de l’école a alors rencontré le conseil municipal afin de les sensibiliser à l’importance de se mobiliser pour accueillir de nouvelles familles. En fin d’année scolaire, les parents avaient été informés que, faute d’un nombre suffisant d’élèves, ceux inscrits pour la prochaine année seraient accueillis à l’école de la Rivière à Sainte-Angèle. Le service de transport est offert pour ces élèves », explique la coordonnatrice aux communications pour la direction générale du Centre de services scolaire des Phares, Zoé Ross-Lévesque.
Le CSS des Phares prétend qu’au début août, le nombre d’élèves était toujours insuffisant et que quelques jours plus tard, il a reçu la confirmation d’une nouvelle inscription, portant à six le nombre d’élèves d’âge préscolaire.
« Cette nouvelle inscription permet ainsi d’atteindre le seuil requis pour ouvrir une classe de préscolaire. Nous avons transmis une demande officielle au ministère de l’Éducation dès le lendemain (mardi). Notre intérêt est d’offrir le service de préscolaire tout comme les années antérieures », indique madame Ross-Lévesque.
Mobilisation des parents
Des parents et des citoyens de La Rédemption se sont rassemblés devant l’école, mercredi, pour dénoncer cette situation.
Contrairement à ce que rapporte le CSS des Phares, Mélissa Bérubé avance que sa sœur avait inscrit son fils dès le mois de juin, ce qui portait à six le nombre d’enfants d’âge préscolaire à l’école Clair-Soleil.
« Cette semaine, le directeur de l’école a appelé les parents du préscolaire pour dire qu’une nouvelle inscription s’était ajoutée le 18 août et que nous étions à six élèves, mais nous en avions déjà six avec le fils de ma sœur. Elle l’avait inscrit le 20 juin », indique-t-elle.
Mélissa Bérubé (Photo courtoisie)
Mélissa Bérubé habite l’endroit depuis toujours. Parmi ses quatre enfants, deux fréquentent déjà l’école Clair-Soleil. Ses deux autres ont présentement deux ans et six mois. Elle est inquiète pour l’avenir de l’établissement d’enseignement.
« Je veux m’impliquer pour maintenir la classe ouverte, mais aussi l’école ouverte. Ma sœur veut déménager ici avec sa petite famille. Il y a des projets de développement à La Rédemption , mais sans école, c’est difficile d’attirer des gens », dit-elle.
Sans classe de maternelle, les enfants de La Rédemption auraient été redirigés vers Sainte-Angèle, à une vingtaine de minutes de leur village.
Harold Caissy est propriétaire de 16 portes au centre-ville de Rimouski, réparties dans trois bâtiments. Depuis près de 20 ans, il tente d’offrir le meilleur prix possible à ses locataires malgré les nombreuses contraintes.
Le Rimouskois doit composer avec plusieurs défis en tant que propriétaire.
« Dans la dernière année, j’ai perdu autour de 5 000 $ juste avec une locataire en loyer impayé. Elle ne m’a pas payé de janvier à juin. J’ai refait une toiture à près de 20 000 $. Présentement
Harold Caissy est propriétaire de 16 portes au centre-ville de Rimouski, réparties dans trois bâtiments. Depuis près de 20 ans, il tente d’offrir le meilleur prix possible à ses locataires malgré les nombreuses contraintes.
Le Rimouskois doit composer avec plusieurs défis en tant que propriétaire.
« Dans la dernière année, j’ai perdu autour de 5 000 $ juste avec une locataire en loyer impayé. Elle ne m’a pas payé de janvier à juin. J’ai refait une toiture à près de 20 000 $. Présentement, je repeinture un corridor public pour environ 2 000 $. Il y a tout le temps des frais inhérents liés aux logements qui sont répartis sur la bâtisse », dit-il.
La hausse des coûts des matériaux, depuis quelques années, vient peser fort dans la balance lorsqu’il est question de rentabilité des propriétaires. Les taux d’intérêt ont aussi une grosse influence sur la fixation des prix des loyers.
« Les institutions financières nous obligent à être rentables si nous voulons refinancer. Je ne peux pas refinancer un bloc si je perds de l’argent. J’ai besoin de refinancement pour faire des rénovations », explique Harold Caissy.
Locataires fidèles
Malgré tout, le Rimouskois s’estime chanceux d’avoir des locataires fidèles.
« J’ai une bonne stabilité. Mon père m’a vendu un de ses blocs et j’ai certains locataires qui sont là depuis 40 ans. J’en ai plusieurs qui restent longtemps. Quand un nouveau arrive, j’ajuste mon prix au marché parce que sinon je ne ferai plus d’argent et je ne serai pas capable de revendre. Je n’ai jamais eu de logements libres plus qu’une semaine ou deux si je rénovais. »
L’objectif de monsieur Caissy est toujours d’être le plus abordable possible.
« Je suis le marché, mais je suis toujours en bas. Quand les prix des logements quatre et demi ont monté à 1 000 $ par mois, j’ai monté les miens à 850 $. J’ai un cinq et demi et un six et demi, qui est mon ancienne maison, qui dépassent les 1 000 $ par mois, mais c’est chauffé/éclairé avec câble et Internet. »
De père en fils
Le père d’Harold Caissy, Raynald, connu notamment comme un ancien commissaire scolaire à Rimouski, lui a transmis son intérêt pour la location.
« Mon père faisait ça quand j’étais jeune. J’ai étudié à l’Université de Moncton et je gérais des logements étudiants. Comme j’avais fait ça plus jeune de manière naturelle pour mon père, j’ai eu la job tout de suite. »
Un logement appartenant à monsieur Caissy. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Enseignant dans sa vie professionnelle, Harold Caissy trouve valorisant de pouvoir offrir un lieu de vie agréable et abordable aux gens de sa communauté.
« J’essaie d’aider mes locataires. Il y a beaucoup de gens qui savent que j’ai des logements, donc ils me donnent des électroménagers et des meubles. Je peux redonner aux locataires. Je suis chanceux parce que mon père m’aide énormément et j’ai du soutien d’amis et d’autres membres de la famille », conclut-il.
Le Club de patinage artistique de Rimouski accueillera les Championnats de patinage adulte de la section Québec, du 27 au 29 mars 2026. Entre 500 et 700 patineurs de partout dans la province participeront à cet événement.
La compétition est présentée séparément des championnats STAR pour jeunes pour la première fois. Elle comprendra des programmes en simple, en double, en danse et en patinage synchronisé.
« On parle d’une trentaine d’équipe en synchro. Dans les dernières années, la final
Le Club de patinage artistique de Rimouski accueillera les Championnats de patinage adulte de la section Québec, du 27 au 29 mars 2026. Entre 500 et 700 patineurs de partout dans la province participeront à cet événement.
La compétition est présentée séparément des championnats STAR pour jeunes pour la première fois. Elle comprendra des programmes en simple, en double, en danse et en patinage synchronisé.
« On parle d’une trentaine d’équipe en synchro. Dans les dernières années, la finale STAR incluait les adultes. C’était trop parce que le patinage pour adulte se développe de plus en plus dans la province. Ça devenait trop lourd pour une organisation de préparer les deux finales », explique le président du Club de patinage artistique de Rimouski, Marc Boudreau.
Ce dernier agira également comme président du comité organisateur des Championnats de patinage adulte qui se tiendra au Complexe sportif Desjardins.
« Patinage Québec nous a demandé de postuler et nous l’avons fait. Certains auraient préféré que nous ayons une compétition pour les enfants. Je pense que nous pouvons faire nos preuves sur l’organisation d’une compétition et que ce sera peut-être plus facile d’obtenir une compétition pour jeunes ensuite », dit-il.
Retombées importantes
Avec la tenue de la Classique Jocelyne-Blier depuis 20 ans qui regroupe des athlètes de l’Est-du-Québec et du Nouveau-Brunswick, le Club de patinage artistique de Rimouski a prouvé qu’il pouvait organiser des événements d’envergures. Marc Boudreau s’attend à d’importantes retombées économiques pour Rimouski.
Marc Boudreau (Photo Le Soir.ca- René Alary)
« On parle de 500 à 700 patineurs et ce sont des adultes. Les retombées sont plus importantes que lors d’une compétition de jeunes. Pour le club, grâce aux performances de nos athlètes, ça va bien au niveau provincial. Depuis la pandémie, nous avons une belle augmentation en termes de visibilité et de reconnaissance provinciale. »
Le club rimouskois a déjà reçu des événements provinciaux, la compétition Georges-Éthier dans les années 80 et la finale des Jeux du Québec en 2001.
Des athlètes locaux
Le Club de patinage artistique de Rimouski sera assurément représenté par son équipe de patinage synchronisé Les IceBreakers. Cinq ou six autres adultes devraient également être présents, dont Mireille Parent.
(Photo courtoisie Club de patinage artistique de Rimouski)
« Nous sommes en négociations avec la Ville pour avoir accès à des heures de glace à des prix accessibles pour les adultes », indique le président du club.
Une centaine de bénévoles seront nécessaires pour la tenue de l’événement. « Les principaux défis seront le recrutement de bénévoles et l’accès à différents équipements de la Ville. La compétition va se passer uniquement sur la glace A du Complexe sportif en raison de l’insonorisation de la patinoire. La glace B n’est pas conforme aux demandes de Patinage Québec au niveau du son », mentionne Marc Beaudreau.
Le comité organisateur s’activera dans les prochaines semaines afin de préparer la compétition provinciale.
Le quilleur rimouskois Mathis Blanchette est revenu des Championnats panaméricains juniors, qui avaient lieu au Guatemala, avec des médailles d’or et d’argent au cou. Il réalise ainsi un rêve de remporter un titre à l’international.
L’athlète de 20 ans en était à quatrième sélection sur l’équipe canadienne des moins de 21 ans. Il a décroché la première position en équipe (quatre personnes) et la deuxième en trio lors de cette compétition qui se tenait du 9 au 17 août.
L’équipe masculine
Le quilleur rimouskois Mathis Blanchette est revenu des Championnats panaméricains juniors, qui avaient lieu au Guatemala, avec des médailles d’or et d’argent au cou. Il réalise ainsi un rêve de remporter un titre à l’international.
L’équipe masculine canadienne qui a remporté la médaille d’or. (Photo courtoisie)
« Je ne m’y attendais pas vraiment. De gagner une médaille d’or internationale, c’était un de mes rêves depuis que j’ai commencé à jouer aux quilles. C’était quelque chose pour moi. Nous étions vraiment contents et c’était une grande fierté. Il y avait beaucoup d’émotion. »
Un sport familial
Mathis Blanchette joue aux quilles depuis l’âge de neuf ans. Il a commencé parce que son père, Jean-François Blanchette, travaille au salon de Quilles Rimouski à Pointe-au-Père. C’est d’ailleurs ce dernier qui a lancé un club junior local.
Mathis avec ses soeurs Océance et Florence Blanchette qui jouent aussi aux quilles. (Photo courtoisie)
« Les quilles, c’est comme une grande famille. Tout le monde se connaît, s’entend bien et s’entraide. C’est quelque chose que j’aime de ce sport. C’est aussi beaucoup de technique. Il y a toujours quelque chose à travailler et à apprendre. J’adore ça. C’est autant possible de jouer seul qu’en équipe », exprime Mathis Blanchette.
Des quilles tous les jours
Bien qu’il travaille à temps plein maintenant, le jeune homme arrive à concilier son horaire professionnel avec sa passion.
« Pendant la saison régulière, je joue tous les jours. C’est environ trois heures par jour la semaine et la fin de semaine c’est toute la journée. »
En plus des compétitions provinciales auxquelles il participe, Mathis prend part, pour une première année, à différents événements internationaux de la Professional bowlers association (PBA). Il sera d’ailleurs en Suède la semaine prochaine.
Le Rimouskois en compagnie de ses coéquipiers de trio avec qui il a gagné l’argent, Adam Jodoin de la Colombie-Britannique et Matys Bibeau de Sorel. (Photo courtoisie)
« À mon retour, j’ai plusieurs tournois au Québec de prévus. Je vais probablement en faire quelques-uns aux États-Unis aussi et je vais refaire les qualifications pour l’équipe canadienne en janvier », dit-il.
Prochain objectif
Son prochain défi est d’atteint le top 40 de la PBA pour joindre le circuit professionnel.
Mathis Blanchette a représenté le Canada pour la première fois aux Championnats du monde juniors de 2022 en Suède. L’année suivante, il a participé aux Championnats panaméricains au Pérou, où il a été triple médaillé, et l’an dernier il s’est rendu en Corée du Sud pour les mondiaux.
Le plus petit voilier à avoir entrepris un tour du monde, Baluchon, est présentement amarré à la marina de Rimouski. Son capitaine, Yann Quenet, a rencontré, mardi, les curieux qui voulaient en apprendre un peu plus sur son périple.
L’aventurier français a lui-même conçu sa petite embarcation de quatre mètres. Il est parti de Bretagne, il y a un peu plus d’un an, pour se rendre aux Antilles.
« J’y ai passé l’hiver. Au printemps, je suis remonté vers Saint-Pierre-et-Miquelon, ce qui m’a pri
Le plus petit voilier à avoir entrepris un tour du monde, Baluchon, est présentement amarré à la marina de Rimouski. Son capitaine, Yann Quenet, a rencontré, mardi, les curieux qui voulaient en apprendre un peu plus sur son périple.
L’aventurier français a lui-même conçu sa petite embarcation de quatre mètres. Il est parti de Bretagne, il y a un peu plus d’un an, pour se rendre aux Antilles.
« J’y ai passé l’hiver. Au printemps, je suis remonté vers Saint-Pierre-et-Miquelon, ce qui m’a pris 39 jours. J’ai ensuite rejoint les Îles-de-la-Madeleine et je remonte petit à petit le Saint-Laurent. Pour traverser l’Atlantique, j’ai fait des arrêts sur quelques îles. Du Cap-Vert jusqu’aux Antilles, c’est entre 20 et 30 jours », explique Yann Quenet.
Ce dernier en est à son deuxième tour du monde avec son petit voilier. Le premier a été fait entre 2019 et 2022. Il prévoit que celui-ci dure de trois à quatre ans.
« À l’intérieur, c’est une couchette avec plein de petits bidons de chaque côté où il y a mes affaires mises à l’abri des vagues. J’ai des boîtes de sardines et des nouilles chinoises pour me nourrir. Si on est épicurien, on ne vient pas faire un tour du monde avec moi. J’ai aussi un panneau solaire, je suis bien équipé. »
L’intérieur de la petite embarcation. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
Le plus compliqué pour monsieur Quenet est l’approvisionnement en eau.
« Pour l’instant, je suis dans l’Atlantique donc ce sont de plus petites distances, mais dans le Pacifique les distances augmentent. La plus grande que j’ai faite est de 77 jours sans toucher terre. Dès qu’il pleut, il faut prévoir de récupérer l’eau de pluie. »
Un rêve d’enfant
Pour Yann Quenet, ce type d’aventure est un rêve d’enfant.
« J’aime le fait d’être contemplatif, de prendre mon temps et de profiter des petits moments présents.On apprend à se connaître soi-même et ce sont des expériences merveilleuses. J’ai appris tout seul à naviguer. Personne ne faisait du bateau dans ma famille. Je ne sais pas si j’ai la bonne méthode, mais j’arrive à faire avancer un bateau », dit-il.
Yann Quenet était de passage à Rimouski. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
La nervosité ne fait pas partie du vocabulaire de l’aventurier qui ne s’est jamais senti en danger à bord de Baluchon. Lorsqu’il prend le large, il est sans moyen de communication avec la terre.
« On va bien arriver quelque part un jour. En Atlantique, en faisant cap à l’ouest au soleil couchant, on finit par arriver en Amérique. Ce n’est pas très confortable, mais ce n’est pas dangereux non plus. Il faut prendre le temps comme il vient. Parfois on va là où l’on n’a pas décidé d’aller. »
Direction Pacifique
Le Français, qui doit s’adapter aux différentes saisons, compte passer l’hiver au Canada.
« Comme mon bateau est tout petit, mon but est de traverser le Canada avec une remorque et une voiture pour rejoindre l’ouest du pays et de poursuivre mon voyage dans le Pacifique », indique l’explorateur.
Yann Quenet et Baluchon devraient quitter Rimouski pour Québec, mercredi, si les vents le permettent.
Le théâtre musical Didascalie prendra vie, cet automne, à Saint-Anaclet-de-Lessard. Une troupe intergénérationnelle de 25 personnes sera formée au cours des prochaines semaines.
Quatre Rimouskoises passionnées de comédie musicale, Émie Ouellette, Jennifer Bussières, Eveliina Rissanen et Maude Chamberland, se sont unies pour créer cette initiative.
« Les projets culturels à Rimouski permettent rarement le côtoiement des générations. Le seul moyen de faire de la comédie musicale est avec l
Le théâtre musical Didascalie prendra vie, cet automne, à Saint-Anaclet-de-Lessard. Une troupe intergénérationnelle de 25 personnes sera formée au cours des prochaines semaines.
Quatre Rimouskoises passionnées de comédie musicale, Émie Ouellette, Jennifer Bussières, Eveliina Rissanen et Maude Chamberland, se sont unies pour créer cette initiative.
« Les projets culturels à Rimouski permettent rarement le côtoiement des générations. Le seul moyen de faire de la comédie musicale est avec la Troupe Amalgame pour les élèves de l’école Paul-Hubert. C’est possible de faire du théâtre, de la musique, de la danse, mais rien ne réunit les trois. Ça va venir chercher ce besoin de faire plusieurs choses en même temps », affirme la directrice vocale et codirectrice musicale, Jennifer Bussières.
Le groupe sera divisé en deux avec une troupe recrue pour les 8 à 16 ans et une troupe principale pour les 16 à 65 ans. Ils présenteront tous ensemble le même spectacle au printemps.
« Les membres de la troupe recrue vont venir toutes les semaines pour les répétitions pendant la première heure et les autres vont rester pour les deux heures. Nous avons une flexibilité intergroupe. Si nous avons des jeunes de 14 ou 15 ans très motivés, ils pourront faire les deux heures. Nous nous sommes assurés, dans la production, d’avoir besoin d’une dizaine d’enfants pour offrir des rôles », explique madame Bussières.
« Les plus jeunes vont avoir un rôle un peu plus petit et un peu moins d’interactions avec les autres membres de la pièce. Nous allons leur donner des scènes réservées à eux. Nous allons tous travailler ensemble sans toujours mélanger les deux groupes », ajoute la directrice artistique et chorégraphe, Émie Ouellette.
Production originale
La troupe Didascalie se voudra un espace de création, d’expression et de plaisir. Les participants travailleront sur une production originale.
« C’est écrit par nous même. C’est une pièce qui n’a jamais été faite ailleurs. Nous allons prendre des chansons de la culture populaire québécoise et américaine avec une composition originale de Maude Chamberland. Je vais m’occuper des arrangements vocaux et musicaux », précise la directrice vocale.
La directrice artistique et chorégraphe, Émie Ouellette, ainsi que la directrice vocale et codirectrice musicale, Jennifer Bussières. (Photo Le Soir.ca- Annie Levasseur)
Cette dernière souligne que la pièce devrait s’appeler La famille Tremblay. Il s’agit d’une comédie grand public.
« C’est une histoire familiale. Chaque personnage est une caricature, que ce soit de l’enfant jusqu’à la grand-mère. Il n’y a pas de second rôle dans la pièce. Tout le monde va avoir quelque chose à faire avec son personnage et pourra développer tout son potentiel avec lui. C’était important pour nous. »
Inscriptions
Les inscriptions sont commencées et elles se poursuivent jusqu’au 1er septembre. Le premier cours est prévu le 16 septembre.
« Nous allons faire des choix selon les inscriptions que nous allons recevoir. Ce ne sera pas nécessairement des choix en fonction des plus grands talents. Nous voulons y aller avec la diversité et l’engagement des gens. Nous allons faire une liste d’attente en cas de désistements », mentionne Jennifer Bussières.
En plus du spectacle final, d’autres activités se tiendront pendant l’année, notamment pour le temps des Fêtes. Les détails sont disponibles sur les réseaux sociaux TM Didascalie.
La 23e Feste médiévale se tient jusqu’à dimanche (17 août) à Saint-Marcellin. Après quelques années d’absence, la Grande bataille est de retour, très attendue des participants.
Plusieurs scénarios seront mis en place pendant la fin de semaine qui se voudra une suite de l’an dernier.
« À la fin de la Feste, le roi est décédé à cause de Jolicoeur et le bourg est maintenant sous son emprise. Il va exercer ses droits tout au long de l’événement. Ça va se conclure avec une grande bataille, le
La 23e Feste médiévale se tient jusqu’à dimanche (17 août) à Saint-Marcellin. Après quelques années d’absence, la Grande bataille est de retour, très attendue des participants.
Plusieurs scénarios seront mis en place pendant la fin de semaine qui se voudra une suite de l’an dernier.
« À la fin de la Feste, le roi est décédé à cause de Jolicoeur et le bourg est maintenant sous son emprise. Il va exercer ses droits tout au long de l’événement. Ça va se conclure avec une grande bataille, le dimanche, avec les Vikings et d’autres clans pour faire tomber Jolicoeur », mentionne la chargée de projet pour la Feste médiévale, Marie-Josée Dubé.
Dans les dernières années, seulement des duels étaient présentés, mais autant les participants que le public demandaient de revivre la Grande bataille.
« Nous avons aussi le retour du trébuchet. Nous avions eu un incident l’année dernière et nous avons dû annuler tous les tirs. Cette année, il est réparé et il sera fonctionnel », indique madame Dubé.
Neuf clans
Les joutes de l’Association médiévale de Québec (AMQ) sont aussi de retour pour cette 23e édition, tout comme la bataille de Stamford Bridge et le traditionnel banquet du Seigneur du samedi soir, à la Maison Sire Roland. De l’animation dans les neuf clans présents sur le site est prévue.
« Les membres de clans ont le privilège d’avoir un bout de terrain qu’ils doivent entretenir tout l’été. Ils peuvent venir quand ils veulent et s’amuser entre eux en faisant des pratiques », souligne la chargée de projet.
Un chevalier de la Feste médiévale de Saint-Marcellin. (Photo courtoisie Bertin Bélanger)
La bière « Grande bataille », qui fait référence au thème de cette année, sera disponible pendant toute la fin de semaine. Elle a été brassée par Le Ketch de Sainte-Flavie.
Reconstitution historique
La Feste médiévale attire entre 4 000 et 6 000 personnes annuellement. Selon les organisateurs, cette popularité s’explique en partie par le fait qu’elle offre uniquement de la reconstitution historique de l’époque médiévale.
« Nous n’avons pas de fantastique et de grandeur nature. Nous sommes un des plus grands au pays. Les gens peuvent passer les trois jours ici et ne jamais voir la même chose. C’est une grande fierté d’offrir ça dans la région », relate Marie-Josée Dubé.
Gagnants de la saison inaugurale de la Ligue provinciale scolaire de Tennis Québec, les jeunes athlètes des Tennis de Rimouski se préparent activement en vue de la deuxième année de ce circuit de compétition provincial, qui a connu un grand succès l’an dernier.
Cette ligue a été fondée pour faciliter l’accès aux jeunes aux compétitions.
« Le voyagement implique beaucoup de frais parce que c’est un sport individuel. Cette ligue nous permet de séparer les coûts. Nous amenons toujours six at
Gagnants de la saison inaugurale de la Ligue provinciale scolaire de Tennis Québec, les jeunes athlètes des Tennis de Rimouski se préparent activement en vue de la deuxième année de ce circuit de compétition provincial, qui a connu un grand succès l’an dernier.
Cette ligue a été fondée pour faciliter l’accès aux jeunes aux compétitions.
« Le voyagement implique beaucoup de frais parce que c’est un sport individuel. Cette ligue nous permet de séparer les coûts. Nous amenons toujours six athlètes avec nous », explique le directeur et professionnel aux Tennis de Rimouski, André-Michel Proulx.
Les joueurs rimouskois devant le Stade IGA. (Photo courtoisie)
Pour la saison inaugurale, les Tennis de Rimouski ont remporté les grands honneurs en finale contre Lévis. La concentration tennis au club rimouskois compte environ 25 élèves du secondaire.
« Les parties se jouent sur les heures scolaires, les vendredis après-midi. Les enfants sont libérés. Quand les matchs sont joués, souvent nous continuons et nous faisons des matchs hors-concours pour que les jeunes aient du volume et qu’ils profitent de cette occasion », dit-il.
Meilleur engagement
Comme seulement six joueurs peuvent participer à chacune des compétitions, les entraîneurs font des sélections. André-Michel Proulx a remarqué un plus grand engagement de la part des joueurs lors de la dernière saison.
« Nous nous étions donné comme défi de faire jouer tout le monde au moins une fois. Ça amène les jeunes à se concentrer davantage sur leur entraînement. Nous sélectionnons par rapport aux performances, mais aussi par rapport à l’attitude et au comportement. »
En comptant une seule l’an dernier, la Ligue provinciale devrait compter deux divisions à des niveaux différents pour 2025-2026. Rimouski souhaite faire rivaliser dans les deux divisions.
Le coureur de Sainte-Luce Isaac Sirois vient de terminer une saison d’athlétisme exceptionnelle après avoir gagné une médaille d’argent aux Jeux du Québec et participé aux Championnats nationaux pour jeunes de la Légion.
Le membre du Club Coubertin en était à sa deuxième participation aux Jeux du Québec. Il est particulièrement fier de son résultat à l’épreuve 2 000 mètres steeple-chase, à Trois-Rivières, pour laquelle il est monté sur le podium en battant sa marque personnelle de cinq secon
Le coureur de Sainte-Luce Isaac Sirois vient de terminer une saison d’athlétisme exceptionnelle après avoir gagné une médaille d’argent aux Jeux du Québec et participé aux Championnats nationaux pour jeunes de la Légion.
Le membre du Club Coubertin en était à sa deuxième participation aux Jeux du Québec. Il est particulièrement fier de son résultat à l’épreuve 2 000 mètres steeple-chase, à Trois-Rivières, pour laquelle il est monté sur le podium en battant sa marque personnelle de cinq secondes.
« Ça m’a prouvé que même dans mon année faible, parce que je suis à ma première année juvénile, je suis capable de faire des podiums avec les plus vieux. J’ai vraiment aimé mon expérience dans l’ensemble. Ce n’est pas la même ambiance qu’une compétition normale, c’est plus festif. »
L’adolescent de 15 ans a également réussi à battre son record d’une seconde au 3 000 mètres. Il a terminé au 5e rang pour cette course et en 9e position au 1 500 mètres.
Championnats nationaux
Isaac Sirois a obtenu une 10e position au 2 000 mètres steeple-chase aux nationaux de la Légion. Un résultat décevant pour lui, mais qui s’explique par le court délai entre la compétition, qui avait lieu à Calgary du 9 au 11 août, et les Jeux du Québec qui se sont terminés le 29 juillet pour lui.
« C’est difficile parce que tu veux essayer de performer aux deux le mieux possible, mais à un moment donné le corps ne suit plus. On ne peut pas faire de miracle. Si on donne tout et que les jambes ne sont pas là, on se reprend l’année d’après. C’est passé et on ne peut rien y faire. »
Le Rimouskois avec les autres membres d’Équipe Québec, à Calgary. (Photo courtoisie)
Le coureur a malgré tout trouvé son expérience enrichissante en Alberta.
« Ça m’a permis de faire de nouvelles rencontres, de compétitionner avec de nouvelles personnes et de visiter une nouvelle ville. J’étais avec Équipe Québec et c’est différent que d’aller à une compétition en individuel. Si je continue à m’entraîner aussi fort, j’ai des chances d’y retourner l’an prochain », dit-il.
L’entraîneur-chef du Club Coubertin, Samuel Lavoie, se dit plus que satisfait de la saison de Sirois.
« La Légion, on voyait ça comme un bonus et une prise d’expérience puisque nous sommes en année de Jeux du Québec. Il est arrivé là avec beaucoup de fatigue, surtout qu’Issac a fait trois épreuves sur trois jours aux Jeux », indique-t-il.
Le Luçois en était à sa deuxième expérience sur la scène nationale. L’an dernier, il avait pris part aux Championnats canadiens de cross-country. Il vise y retourner en novembre prochain.
Sport de dépassement
Isaac Sirois pratique l’athlétisme depuis quatre ans. Il apprécie le fait que son sport lui permette de se dépasser et de se motiver à l’école étant donné qu’il fait partie du programme sport-études.
« C’est toi contre toi. Tu ne dépends pas d’une équipe. J’aime essayer de battre mon temps à chaque distance et à chaque course. J’essaie toujours de me rendre le plus loin possible et c’est le fun de voir où je suis maintenant par rapport à mes débuts. »
Le jeune athlète en action. (Photo courtoisie)
Selon son entraîneur, l’athlète de Sainte-Luce est très engagé dans son sport.
« Ce n’est pas un jeune que je suis obligé de pousser à aller s’entraîner, mais ce n’est pas un jeune non plus que je dois arrêter. Il suit le plan de match et il est très discipliné. C’est un jeune homme curieux, autonome et il est agréable à entraîner. Il est capable de verbaliser ce qu’il vit, ça permet de faire un bon travail », indique Samuel Lavoie.
Après quelques semaines de pause, Isaac reprendra l’entraînement pour se préparer en vue de la saison de cross-country.