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Reçu aujourd’hui — 17 septembre 2025
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  • L’enseignante Natalie Roberts est absoute
    Plus de deux ans après son arrestation le 11 mai 2023 lors d’une perquisition en matière de stupéfiants à Rimouski, l’enseignante Natalie Roberts, 58 ans, a été absoute de l’accusation de possession de cannabis en vrac à laquelle elle faisait face. L’absolution inconditionnelle, c’est-à-dire sans aucune condition, a été prononcée vendredi dernier (12 septembre) par le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard. Le dossier a traîné en longueur parce que l’accusée a changé d’avocat à plusieur
     

L’enseignante Natalie Roberts est absoute

17 septembre 2025 à 06:30

Plus de deux ans après son arrestation le 11 mai 2023 lors d’une perquisition en matière de stupéfiants à Rimouski, l’enseignante Natalie Roberts, 58 ans, a été absoute de l’accusation de possession de cannabis en vrac à laquelle elle faisait face.

L’absolution inconditionnelle, c’est-à-dire sans aucune condition, a été prononcée vendredi dernier (12 septembre) par le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard.

Le dossier a traîné en longueur parce que l’accusée a changé d’avocat à plusieurs reprises. Me Damir Mousaefendic a pris la relève de Me Robert Doré, qui lui avait succédé à Me Jean-Pierre Sharpe et à Me Marco Robert, qui avait dû se désister parce qu’il représentait le fils de l’accusée, Jonathan Lapointe-Roberts arrêté lors de la même opération.

Arrêtée en même temps que son fils

Natalie Roberts a été arrêtée en même temps que son fils Jonathan Lapointe-Roberts, 37 ans et David Lévesque. Ce dernier a été reconnu coupable et il a été condamné à un an de prison.

Seule Natalie Roberts avait alors pu retrouver sa liberté pour la suite du processus judiciaire moyennant certaines conditions à respecter.

Les enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs assistés des policiers du poste MRC de Rimouski-Neigette, d’un maitre-chien et d’un technicien du service de l’identité judiciaire de la Sureté du Québec, ont procédé le 11 mai 2023 à une importante opération en matière de trafic de stupéfiants.

« Le but de cette opération était de mettre fin aux activités de revente d’un réseau organisé de trafiquants de stupéfiant qui opérait dans la grande région de Rimouski », indiquait alors le sergent de la SQ, Claude Doiron.

Reçu hier — 16 septembre 2025
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  • Un infirmier auxiliaire de Rimouski radié pour sept mois
    Le Conseil de discipline de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec a imposé, le 5 août dernier, une période de radiation temporaire de sept mois à Maxime Verreault-Hébert, de Rimouski, pour sa culpabilité à deux chefs d’accusation. Il a été déclaré coupable d’avoir établi des liens amoureux et/ou sexuels avec une patiente, entre avril 2022 et février 2024, dans la région du CISSS de la Montérégie Est ainsi que d’avoir tenu des propos et/ou posé des gestes irrespectueux en
     

Un infirmier auxiliaire de Rimouski radié pour sept mois

16 septembre 2025 à 08:30

Le Conseil de discipline de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec a imposé, le 5 août dernier, une période de radiation temporaire de sept mois à Maxime Verreault-Hébert, de Rimouski, pour sa culpabilité à deux chefs d’accusation.

Il a été déclaré coupable d’avoir établi des liens amoureux et/ou sexuels avec une patiente, entre avril 2022 et février 2024, dans la région du CISSS de la Montérégie Est ainsi que d’avoir tenu des propos et/ou posé des gestes irrespectueux envers des patients et/ou des collègues, entre mai et novembre 2024, au Centre hospitalier régional du Portage à Rivière-du-Loup.

La radiation a est de sept mois pour le premier chef et de trois mois concurrents à la première peine sur le second chef.

Verreault-Hébert est donc radié temporairement du Tableau de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec depuis le 6 septembre. Sa peine se terminera le 6 avril 2026.

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  • Nouvel organisme en travail de rue dans La Mitis
    Les services de travail de rue sont officiellement de retour dans La Mitis avec la création de l’organisme Travail de rue de La Mitis, issu d’une démarche citoyenne et partenariale amorcée en décembre 2023 à la suite du retrait de l’organisme qui assumait ce rôle depuis 2008. Après une période de transition soutenue par le Collectif régional de développement (CRD) et Tandem-Jeunesse, un comité citoyen s’est mobilisé pour mettre en place une structure solide et autonome. Cette mobilisation
     

Nouvel organisme en travail de rue dans La Mitis

15 septembre 2025 à 19:15

Les services de travail de rue sont officiellement de retour dans La Mitis avec la création de l’organisme Travail de rue de La Mitis, issu d’une démarche citoyenne et partenariale amorcée en décembre 2023 à la suite du retrait de l’organisme qui assumait ce rôle depuis 2008.

Après une période de transition soutenue par le Collectif régional de développement (CRD) et Tandem-Jeunesse, un comité citoyen s’est mobilisé pour mettre en place une structure solide et autonome.

Cette mobilisation a mené, en juin 2024, à une assemblée de constitution formalisant la naissance de l’organisme et l’élection d’un conseil d’administration représentatif.

À l’automne suivant, une direction a été embauchée et un premier travailleur de rue est entré en fonction.

Depuis son entrée en poste, le travailleur de rue Bertrand Deslauriers a rencontré plus de 500 personnes, tous genres confondus.

La grande majorité s’est déroulée sous forme d’écoute, de soutien et d’échanges (60,5%), suivie de rencontres axées sur l’information, la sensibilisation et la prévention (23,9%). Les sujets abordés touchaient principalement les relations interpersonnelles (11,2%), le logement, l’hébergement ou les déménagements (6,5 %), ainsi que la santé mentale (6,2 %) et la santé physique (5,4%).

Enfin, les réalités socio-économiques ont été discutées dans près de 21 % des rencontres.

« Derrière chaque statistique, il y a une histoire, une personne qui a besoin d’écoute, de soutien ou simplement de parler. Les chiffres montrent l’ampleur de notre action, mais ce qui compte vraiment, ce sont ces moments de confiance où quelqu’un se sent moins seul. C’est là que le travail de rue prend tout son sens. », exprime Bertrand Deslauriers.

Une année marquée par des épreuves

Malgré une année marquée par des épreuves, dont le décès d’une personne siégeant sur le conseil d’administration, Mélilot de Repentigny, en plus d’un changement de direction, l’organisme maintient le cap sur sa mission, soit de soutenir et accompagner les personnes dans leur milieu de vie, sur l’ensemble du territoire mitissien, dans le respect de leur rythme, de leur dignité et de leurs besoins.

Bertrand Deslauriers, travailleur de rue et Geneviève Royer, directrice de l’organisme. (Photo courtoisie)

« Ensemble, nous construisons les bases d’un service qui se veut humain et durable », souligne Bertrand Deslauriers.

À sa séance du 16 juin dernier, le conseil municipal de Mont-Joli a autorisé la location d’un local situé au 300, avenue du Sanatorium à Travail de rue de la Mitis pour une durée d’une année débutant le 15 juin 2025 et se terminant le 14 juin 2026.

Première assemblée générale

Travail de rue de La Mitis tiendra sa première assemblée générale annuelle (AGA) le 24 septembre sous la formule conviviale d’un 5 à 7.

L’événement permettra de présenter les réalisations de la dernière année, de définir les priorités pour l’avenir et même de voter pour le tout premier logo officiel.

L’organisme en profitera aussi pour recruter de nouvelles personnes au sein de son conseil d’administration.

Les profils recherchés sont variés, que ce soit pour en gestion, en ressources humaines, en finances, en droit ou tout un intérêt marqué pour la mission.

« Cette assemblée est bien plus qu’une rencontre administrative. C’est une invitation à bâtir ensemble un organisme ancré dans sa communauté et à célébrer la force du collectif dans La Mitis », mentionne la directrice, Geneviève Royer.

Pour infos par courriel (gestion.tr.lamitis@gmail.com) ou par téléphone (418-896-7085).

Pour joindre le travailleur de rue Bertrand Deslauriers : 418-740-2984, bertrand.tr.lamitis@gmail.com et Bertrand TRmitis sur Messenger.

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  • Marché familial : les actifs sont mis en vente
    Les actifs du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard sont mis en vente par le syndic Raymond Chabot à la suite de la faillite du marché d’alimentation. Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre. Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présent
     

Marché familial : les actifs sont mis en vente

15 septembre 2025 à 12:00

Les actifs du Marché familial de Saint-Anaclet-de-Lessard sont mis en vente par le syndic Raymond Chabot à la suite de la faillite du marché d’alimentation.

Les actifs sont séparés en trois lots distincts pour lesquels les intéressés ont jusqu’au 7 octobre à 14 h pour déposer une offre.

Le premier lot est constitué de l’immeuble et du terrain situé au 10, rue Principale Est. L’immeuble construit en 1978 est évalué à 331 700$. Ce lot inclut les chambres froides, les comptoirs et les présentoirs considérés comme fixes à l’immeuble.

Le lot numéro 2 se compose de l’équipement et du mobilier. Il comprend notamment plusieurs présentoirs réfrigérés, un congélateur vertical de trois portes, un congélateur tombeau, un comptoir et des présentoirs réfrigérés, une machine à barbotine et un ensemble de chariots et de bacs d’épicerie, du matériel de cuisine, un système de caisse, du mobilier de bureau et du matériel informatique, le tout évalué à 99 600$.

Enfin, l’inventaire évalué à 20 000$ représente le 3e lot. On y retrouve un ensemble de marchandises diverses, breuvages assortis, croustilles, conserves assortis, nourriture sèche, chocolats et bonbons assortis, produits congelés, pâtisseries assorties, produits pour animaux, produits ménagers et cosmétiques assortis.

Les biens pourront être examinés sur place, le jeudi 25 septembre, entre 10 h à 13 h.

Les soumissions doivent être reçues au bureau du syndic, 217, avenue Léonidas Sud, Bureau 3-A à Rimouski, avant le 7 octobre à 14 h.

Le syndic prendra connaissance des soumissions à ce moment, sans la présence des soumissionnaires

Dette de 470 000$

Raymond Chabot précise que le montant de la créance est de 470 000$ et que les trois principaux créanciers garantis sont la BDC, la SADC de la Neigette et la MRC Rimouski-Neigette.

« L’entreprise doit également environ 50 000$ à son principal fournisseur Sobeys et à quelques petits fournisseurs », souligne le responsable du dossier chez Raymond Chabot, Guyllaume Amyot.

Le Marché Familial de Saint-Anaclet (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Ce dernier explique que la diminution des ventes se fait sentir depuis quelques années et qu’il n’y a pas de lien à faire avec l’ouverture de Costco à Rimouski.

« La cause provient de problématiques qui traînent depuis un certain temps. Les revenus étaient insuffisants et on voyait une diminution des ventes dans les derniers mois et les dernières années. Cela a fragilisé la situation financière de l’entreprise ».

Des repreneurs ?

« Nous sommes déjà en contact avec des gens la MRC de Rimouski-Neigette et d’autres personnes qui nous ont contactés. On sent un certain intérêt à voit un commerce de proximité reprendre les actifs. C’est le processus qui va déterminer de la suite des choses », affirme monsieur Amyot.

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  • David Dumais fait de nouveau face à la justice
    Condamné à sept ans de prison en août 2022 à la suite de son arrestation lors de l’opération Oursin de lutte au trafic de stupéfiants, David Dumais fait de nouveau face à la justice. L’accusé de 45 ans de Rimouski a été accusé d’avoir eu en sa possession de la cocaïne, le 6 mars dernier, à Rimouski. Lorsque le juge Jérôme Simard lui a demandé s’il était au courant de l’accusation portée contre lui, il a mentionné la possession de cocaïne. Dumais a informé le juge que son avocat, Me Pie
     

David Dumais fait de nouveau face à la justice

15 septembre 2025 à 11:00

Condamné à sept ans de prison en août 2022 à la suite de son arrestation lors de l’opération Oursin de lutte au trafic de stupéfiants, David Dumais fait de nouveau face à la justice.

L’accusé de 45 ans de Rimouski a été accusé d’avoir eu en sa possession de la cocaïne, le 6 mars dernier, à Rimouski.

Lorsque le juge Jérôme Simard lui a demandé s’il était au courant de l’accusation portée contre lui, il a mentionné la possession de cocaïne.

Dumais a informé le juge que son avocat, Me Pierre Joyal, ne pouvait pas être présent. Il lui avait demandé de prendre la preuve du ministère public et de faire repousser le dossier à une date ultérieure.

Le procureur de la Couronne, Me Alex Turcotte, lui a remis la preuve et le dossier a été reporté au 20 octobre.

Hells Angels

Dumais est l’un des 32 individus arrêtés dans le cadre de l’Opération Oursin, tenue en 2019. Il a reçu une peine de sept ans de prison pour des accusations de complot, trafic de stupéfiants et recel de sommes d’argent issues de la criminalité.

Cette sentence tenait compte de son degré d’implication dans l’organisation dirigée par les Hells Angels, de ses nombreux antécédents judiciaires et des peines imposées aux autres individus de même réseau.

Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Dumais a dirigé le réseau de distribution de Rimouski et de Mont-Joli entre le 28 août et le 31 décembre 2018.

La preuve amassée contre lui consistait en de nombreuses conversations avec un agent civil d’infiltration, un homme de confiance de l’organisation qui a collaboré avec les forces policières.

Réseau de revendeurs

Dumais écoulait de la cocaïne, des méthamphétamines, de l’extasy et du cannabis à Rimouski et à Mont-Joli.

« Il devait fournir une » quote « de 13 000 $ à l’organisation pour avoir le droit de vendre des stupéfiants dans le secteur. Il a perdu son droit de vendre des stupéfiants le 31 décembre 2018 après que plusieurs de ses revendeurs avaient été arrêtés dans une opération précédente (Périmètre) et que ses ventes étaient en baisse », racontait la procureure de la Couronne, Me Martine Savard, de Québec.

En tenant compte de la détention préventive, il lui restait 716 jours de prison à faire lors de l’imposition de la peine en août 2022. La peine comprenait également une interdiction de posséder des armes de 10 ans.

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  • Sayabec : l’école Sainte-Marie remporte le défi des Cubes énergie
    L’école Sainte-Marie de Sayabec, gagnante du défi des Cubes énergie du Grand défi Pierre Lavoie au Bas-Saint-Laurent, recevra la visite de l’équipe du Grand défi, ce mardi 16 septembre. Cette récompense, issue de la compétition qui a eu lieu en mai dernier partout au Québec, permettra aux élèves de vivre une journée d’activités et de recevoir des prix pour leur engagement. Chaque enfant recevra notamment une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie, conçus pour l’occasion par le
     

Sayabec : l’école Sainte-Marie remporte le défi des Cubes énergie

14 septembre 2025 à 17:00

L’école Sainte-Marie de Sayabec, gagnante du défi des Cubes énergie du Grand défi Pierre Lavoie au Bas-Saint-Laurent, recevra la visite de l’équipe du Grand défi, ce mardi 16 septembre.

Cette récompense, issue de la compétition qui a eu lieu en mai dernier partout au Québec, permettra aux élèves de vivre une journée d’activités et de recevoir des prix pour leur engagement.

Chaque enfant recevra notamment une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie, conçus pour l’occasion par le Grand défi Pierre Lavoie.

La tournée La Grande récompense à ton école récompensera plus de 3 400 jeunes à travers la province.

Chaque enfant de Sayabec recevra une paire exclusive de souliers de sport Cube énergie. (Photo courtoisie)

Le Grand défi Pierre Lavoie débutera sa tournée ce lundi 15 septembre à l’école Saint-Paul-de-Pabos, à Chandler.

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  • Le Marché des Saveurs déménage au Carrefour Rimouski
    Pour sa 20e présentation, le Marché des Saveurs du Bas-Saint-Laurent doit déménager au Carrefour Rimouski, du 4 au 7 décembre, après avoir connu un achalandage record en 2024 aux Tennis de Rimouski. Dès la fin de l’événement, l’an dernier, Les Tennis de Rimouski avaient évoqué la possibilité de ne plus être en mesure d’accueillir le Marché des Saveurs à la suite de travaux pour améliorer les surfaces de jeux. « La Ville de Rimouski doit d’abord faire quelques travaux, notamment pour l’écla
     

Le Marché des Saveurs déménage au Carrefour Rimouski

11 septembre 2025 à 18:00

Pour sa 20e présentation, le Marché des Saveurs du Bas-Saint-Laurent doit déménager au Carrefour Rimouski, du 4 au 7 décembre, après avoir connu un achalandage record en 2024 aux Tennis de Rimouski.

Dès la fin de l’événement, l’an dernier, Les Tennis de Rimouski avaient évoqué la possibilité de ne plus être en mesure d’accueillir le Marché des Saveurs à la suite de travaux pour améliorer les surfaces de jeux.

« La Ville de Rimouski doit d’abord faire quelques travaux, notamment pour l’éclairage. Ensuite, nous allons changer les surfaces. Si les surfaces sont remplacées avant le salon, nous ne pourrons pas l’accueillir. L’achalandage risquerait d’abîmer les nouvelles surfaces de jeu », mentionnait le directeur et professionnel des Tennis, André-Michel Proulx, au Soir.ca, en décembre 2024.

Monsieur Proulx rappelle que la Ville de Rimouski avait autorisé Les Tennis à accueillir des salons à une époque où le sport était moins populaire.

« La popularité du tennis est en forte croissance. Nos membres veulent jouer. Nous devons prioriser le tennis puisque c’est notre raison d’être. Il n’y a aucun conflit avec Les Saveurs du Bas-Saint-Laurent. Nous sommes conscients des retombées majeures du Marché des Saveurs pour plusieurs entreprises de la région, mais nous devons revenir à notre mission ».

L’Association Les Saveurs du Bas-Saint-Laurent, qui organise le Marché des Saveurs du Bas-Saint-Laurent, indique que l’événement permet à plusieurs entreprises régionaux de générer plus de 30 % de leur chiffre d’affaires annuel.

La directrice générale de L’Association Les Saveurs du Bas-Saint-Laurent, Nicole Lavoie. (Photo courtoisie)

« Le Marché des Saveurs incarne un levier essentiel pour leur vitalité. Assurer sa tenue, c’est non seulement soutenir nos producteurs et nos transformateurs, mais aussi préserver un rendez-vous rassembleur qui reflète la richesse et la fierté de notre territoire », déclare sa directrice générale, Nicole Lavoie.

Cinquantaine d’exposants

Cette année encore, plus d’une cinquantaine d’entreprises bioalimentaires de la région seront réunies afin de faire découvrir aux visiteurs la richesse et la diversité des produits locaux.

Les visiteurs auront l’occasion de déguster, d’acheter et de commander une vaste sélection de produits régionaux, parfaits pour préparer les repas des Fêtes ou offrir des cadeaux gourmands.

« S’associer au Marché des Saveurs rejoint pleinement notre mission de créer un lieu de rencontre vivant et de soutenir l’achat local. Nous sommes fiers d’accueillir cette 20e édition au Carrefour Rimouski, offrant ainsi aux exposants une vitrine de premier plan au cœur de notre offre commerciale, tout en proposant aux visiteurs une expérience gourmande unique à l’approche des Fêtes », affirme Pascal St-Pierre, directeur du Carrefour Rimouski.

« Le Marché des Saveurs, c’est une tradition que nous avons hâte de partager chaque année. L’engouement pour les produits locaux ne cesse de croître. Mais au-delà des ventes, c’est surtout un moment privilégié pour rencontrer les gens, leur raconter nos histoires et les inviter à goûter nos produits », souligne Claude Ouellet, président de l’Association et propriétaire de Porc O’Rye.

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  • Steve Chassé : sa dangerosité reste toujours à établir
    Déclaré non responsable criminellement du meurtre de son voisin Pierre Bélisle, Steve Chassé, était de retour à la cour à Rivière-du-Loup pour établir son degré de dangerosité, mais cette étape a été reportée au 8 décembre. La Commission d’examen des troubles mentaux (CETM) doit déterminer si Steve Chassé représente un risque important pour la sécurité du public. Au terme de cette évaluation, l’accusé pourra être libéré inconditionnellement, libéré sous conditions, par exemple avec un en
     

Steve Chassé : sa dangerosité reste toujours à établir

11 septembre 2025 à 08:30

Déclaré non responsable criminellement du meurtre de son voisin Pierre Bélisle, Steve Chassé, était de retour à la cour à Rivière-du-Loup pour établir son degré de dangerosité, mais cette étape a été reportée au 8 décembre.

La Commission d’examen des troubles mentaux (CETM) doit déterminer si Steve Chassé représente un risque important pour la sécurité du public.

Au terme de cette évaluation, l’accusé pourra être libéré inconditionnellement, libéré sous conditions, par exemple avec un encadrement, ou détenu à l’hôpital.

Rappelons que la responsabilité criminelle de Steve Chassé, semblait difficile à déterminer puisque les deux parties n’arrivaient pas à statuer même après avoir reçu le rapport de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel de Montréal, en novembre 2024.

Suggestion commune

Les deux parties ont finalement suggéré de manière commune au juge Jean-Louis Lemay de déclarer l’accusé non responsable criminellement en raison de troubles mentaux.

Il vivait notamment une perte de la réalité et il était aux prises avec un délire de persécution.

Le palais de justice de Rivière-du-Loup (Photo journallesoir.ca- Olivier Therriault)

Steve Chassé avait tenu les policiers en haleine pendant près de 24 heures à la Place Saint-Georges à Cacouna, le 11 octobre 2023.

Les restes humains de Pierre Bélisle ont été retrouvés au lieu d’enfouissement technique de Cacouna quelques jours après l’arrestation de Steve Chassé.

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  • Huit logements au-dessus de Vélo Plein Air
    L’entreprise Vélo Plein Air, située sur l’avenue de la Cathédrale, a déposé une demande à la Ville de Rimouski afin ajouter deux étages au-dessus du commerce existant afin d’y aménager huit logements. Le projet déroge à certaines normes du Règlement de zonage, ce qui nécessite l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI). Un premier projet de résolution a été adopté lundi soir par le conseil municipal. « Le PPCMOI est nécessaire
     

Huit logements au-dessus de Vélo Plein Air

10 septembre 2025 à 19:00

L’entreprise Vélo Plein Air, située sur l’avenue de la Cathédrale, a déposé une demande à la Ville de Rimouski afin ajouter deux étages au-dessus du commerce existant afin d’y aménager huit logements.

Le projet déroge à certaines normes du Règlement de zonage, ce qui nécessite l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI). Un premier projet de résolution a été adopté lundi soir par le conseil municipal.

« Le PPCMOI est nécessaire lorsque certains éléments de notre règlement de zonage ne sont pas respectés. Le projet est intéressant. On ne veut cependant pas « scooper » les entreprises sur leur projet, mais l’adoption du PPCMOI en séance publique est nécessaire », indique le maire de Rimouski, Guy Caron.

Sept dérogations

Selon le projet de résolution, le projet déroge à sept normes du règlement sur le zonage, soit la distance des marges, l’empiétement maximal permis pour une construction secondaire, l’emplacement d’un conteneur à matières résiduelles ainsi que l’aménagement d’un enclos sur trois côtés.

Un avis concernant le projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble a été affiché dans la vitrine de Vélo Plein Air. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Il est aussi question de la profondeur minimale d’une bande de verdure le long de la ligne avant secondaire, la distance minimale entre une aire de stationnement et la ligne arrière, le nombre de cases de stationnement requis pour un usage mixte commercial et multifamilial et la superficie minimale exigée pour une aire d’agrément.

Réduire la pénurie de logements

Le conseil municipal estime que ce projet particulier contribuera à réduire la pénurie de logements en offrant des logements en périphérie du centre-ville. Le comité consultatif d’urbanisme (CCU) de la Ville recommande au conseil municipal de l’accepter sous certaines conditions.

Ce projet particulier contient des dispositions susceptibles d’approbation référendaire. Une assemblée publique de consultation aura lieu lors d’une prochaine séance du conseil municipal.

Le conseil municipal adopte, aux fins de consultation publique, un premier projet de résolution visant à approuver le PPCMOI demandé par l’entreprise.

Vélo Plein Air est une boutique spécialisée dans la vente de vélos, de skis, de raquettes, de vêtements d’activité extérieures et d’équipements de plein air.

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  • Stationnements : Guy Caron mise sur la rotation, pas sur l’argent
    Rimouski se prépare à réglementer sur le stationnement afin d’instaurer la gratuité à compter de 17 h et hausser le temps temporaire sans frais de 15 à 30 minutes. Pour le maire Guy Caron, ces mesures répondent à la demande formulée par le comité mis en place par la Chambre de commerce, l’an dernier, pour amenuiser les impacts de l’ouverture de Costco. « Le comité demandait 30 minutes, nous avons analysé la chose et décidé d’aller de l’avant avec cette demande. La gratuité à compter de 17 h,
     

Stationnements : Guy Caron mise sur la rotation, pas sur l’argent

Rimouski se prépare à réglementer sur le stationnement afin d’instaurer la gratuité à compter de 17 h et hausser le temps temporaire sans frais de 15 à 30 minutes. Pour le maire Guy Caron, ces mesures répondent à la demande formulée par le comité mis en place par la Chambre de commerce, l’an dernier, pour amenuiser les impacts de l’ouverture de Costco.

« Le comité demandait 30 minutes, nous avons analysé la chose et décidé d’aller de l’avant avec cette demande. La gratuité à compter de 17 h, du lundi au vendredi, vise à favoriser la restauration et les spectacles pour qui les stationnements payants étaient un irritant. Il y a moins de compétitions pour les places disponibles après 17 h de la part du Cégep, de l’IMQ et des employés de l’Hôpital », précise monsieur Caron.

Le maire réitère que le principal objectif des stationnements payants est de favoriser une rotation et d’éviter que des gens se stationnent le matin pour toute la journée.

Les automobilistes profitent déjà des espaces gratuitement lors des fins de semaine.

300 000$ sur un budget de 125 M$

Selon Guy Caron, les stationnements payant ne servent pas à garnir les coffres de la Ville. Les contraventions reliées au stationnement représentent environ 300 000$ de revenus sur un budget de 125 M$.

Des voitures stationnées sur la rue Saint-Germain Ouest. (Photo courtoisie Ville de Rimouski)

« L’objectif, c’est vraiment d’assurer une rotation. Cependant, il faut faire attention. Il y a des gens qui réclament 90 minutes gratuits. Cela voudrait dire, par exemple, qu’un étudiant du Cégep pourrait se stationner au centre-ville à 13 h 30, mettre 3 $ et rester sur place jusqu’à 10 h 30 le lendemain matin en tenant compte d’une gratuité de 90 minutes. Il faut faire attention avec les mesures et bien analyser les impacts. Si on crée une pénurie de stationnements, nous ne serons pas plus avancés », affirme monsieur Caron, qui rappelle qu’au moment de la fermeture du PFK, le stationnement s’est rapidement rempli d’usagers.

Allonger davantage la période de gratuité

Le maire n’exclut pas, si ça fonctionne bien, que le conseil puisse analyser l’option d’allonger la période de gratuité dans un prochain mandat.

« Pour l’instant, le conseil municipal s’est rendu à la demande de la Chambre de commerce », dit-il.

Présentement, les stationnements sont payants jusqu’à 18 h du lundi au mercredi et jusqu’à 21 h les jeudis et vendredis.

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  • Stade multisports de Rimouski : emprunt de 10,8 M$ adopté
    Après l’avis de motion donné le 25 août, le conseil municipal de Rimouski a adopté lundi soir le règlement décrétant une dépense de 28 M$ et un emprunt de 10 789 419 $ pour la réalisation des travaux de construction du stade multisports. Le règlement prévoit l’utilisation d’un montant de 12,5 M$ provenant de la réserve des actifs immobilisés de la Ville et de 4,7 M$ qui seront pris à travers les soldes disponibles de certains règlements d’emprunt déjà complétés. « Les gens ont une période
     

Stade multisports de Rimouski : emprunt de 10,8 M$ adopté

Après l’avis de motion donné le 25 août, le conseil municipal de Rimouski a adopté lundi soir le règlement décrétant une dépense de 28 M$ et un emprunt de 10 789 419 $ pour la réalisation des travaux de construction du stade multisports.

Le règlement prévoit l’utilisation d’un montant de 12,5 M$ provenant de la réserve des actifs immobilisés de la Ville et de 4,7 M$ qui seront pris à travers les soldes disponibles de certains règlements d’emprunt déjà complétés.

« Les gens ont une période de temps où ils peuvent s’opposer au règlement. Malgré l’augmentation du 3 M$ pour la réalisation du projet, il n’y a pas de hausse pour le règlement d’emprunt prévu afin de minimiser l’impact sur les contribuables. Le projet va de l’avant », commente le maire de Rimouski, Guy Caron.

PPCMOI nécessaire

Toujours lundi soir, le conseil municipal a adopté un premier projet de résolution vers l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) pour le futur stade multisports.

« Il y a divers éléments pour lesquels nous pouvons déjà procéder via un PPCMOI, dont, entre autres, la question des stationnements », indique monsieur Caron.

Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Une assemblée publique de consultation permettra d’en connaître davantage sur le contenu du PPCMOI à une séance ultérieure du conseil municipal.

Impact sur le compte de taxes

Le maire de Rimouski estime que l’impact de la réalisation du stade multisports sur le compte de taxes d’une propriété moyenne évaluée à 253 000$ sera de 38$ par année.

« Si on compare avec le Complexe Desjardins, la Ville avait emprunté 7 M$ pour un projet de 40 M$. L’impact fiscal pour une propriété moyenne était de 21$ ».

Un entraînement de hockey au Complexe sportif Desjardins. (Photo courtoisie)

Guy Caron mentionne que ce projet est prioritaire puisque Rimouski est la seule ville de plus de 50 000 habitants au Québec à ne pas avoir ce type d’installation.

Au Complexe sportif Guillaume-Leblanc

Le stade multisports sera situé sur les terrains du complexe sportif Guillaume-Leblanc. Il prévoit des plateaux sportifs qui pourront servir à plusieurs sports comme le soccer, le football, le rugby et le disque volant d’équipe.

« Nous sommes toujours dans la préparation du devis de construction. Par la suite, il y aura un appel d’intérêts selon les paramètres qui auront été fixés par le devis de construction. On vise le début des travaux de construction en 2026 pour une livraison en 2028 », précise monsieur Caron.

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  • Richard Perreault recevra sa sentence le 26 septembre
    Reconnu coupable d’avoir agressé sexuellement une fillette de 3 à 7 ans entre janvier 2000 et décembre 2004 à Saint-Gabriel-de-Rimouski, Richard Perreault était de retour en cour ce mardi matin, au palais de justice de Rimouski, pour l’imposition de sa sentence, mais le prononcé de la peine par le juge Richard Côté a été reporté au 26 septembre. Le juge Côté a écouté les arguments des deux parties le 23 juin, lors des représentations sur sentence, en plus de prendre connaissance du rapport pr
     

Richard Perreault recevra sa sentence le 26 septembre

Reconnu coupable d’avoir agressé sexuellement une fillette de 3 à 7 ans entre janvier 2000 et décembre 2004 à Saint-Gabriel-de-Rimouski, Richard Perreault était de retour en cour ce mardi matin, au palais de justice de Rimouski, pour l’imposition de sa sentence, mais le prononcé de la peine par le juge Richard Côté a été reporté au 26 septembre.

Le juge Côté a écouté les arguments des deux parties le 23 juin, lors des représentations sur sentence, en plus de prendre connaissance du rapport présententiel. Il fera connaître sa décision le 26 septembre.

La victime a demandé la levée de l’ordonnance de non-publication qui empêchait les médias de rapporter les faits qui auraient permis de l’identifier, puisque les agressions ont été commises alors que l’accusé était en situation d’autorité par rapport à elle.

Le 31 janvier 2025, le juge Richard Côté a reconnu Perreault, aujourd’hui âgé de 66 ans et résident à Saint-Donat-de-Rimouski, coupable d’agressions sexuelles et de violence à l’encontre d’une fillette âgée de seulement trois ans au début des abus.

Des agressions quasi hebdomadaires

La preuve présentée au procès indique que la fillette a été agressée de manière quasi hebdomadaire dans la chambre et la douche de la résidence de l’accusé en 2000 et 2001.

Perreault a aussi été reconnu coupable d’avoir incité un autre homme à abuser de l’enfant.

L’avocate de l’accusé, Me Caroline Bérubé, a déjà porté le verdict de culpabilité à l’encontre de son client en appel.

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  • Pornographie juvénile : contre-expertise pour Alcide Fournier
    Les représentations sur sentence d’Alcide Fournier, 80 ans, qui a plaidé coupable à des accusations en matière de pornographie juvénile, ont été reportées au 15 décembre, lundi, au palais de justice de Rimouski. Son avocat, Me Hugo Caissy, a demandé une contre-expertise à la suite d’une première évaluation qui a conclu à l’aptitude à comparaître de l’accusé. Le nouveau spécialiste n’étant pas disponible avant novembre, Me Caissy a demandé un report en décembre en renonçant à invoquer les d
     

Pornographie juvénile : contre-expertise pour Alcide Fournier

Les représentations sur sentence d’Alcide Fournier, 80 ans, qui a plaidé coupable à des accusations en matière de pornographie juvénile, ont été reportées au 15 décembre, lundi, au palais de justice de Rimouski.

Son avocat, Me Hugo Caissy, a demandé une contre-expertise à la suite d’une première évaluation qui a conclu à l’aptitude à comparaître de l’accusé.

Le nouveau spécialiste n’étant pas disponible avant novembre, Me Caissy a demandé un report en décembre en renonçant à invoquer les délais puisqu’il s’agit d’une demande de la défense.

L’accusé a de la difficulté à répondre aux questions pour la confection des rapports sexologique et présentenciel ordonné par le regretté juge Jules Berthelot.

« Monsieur Fournier n’est pas capable de répondre aux questions, même sur son adresse », a mentionné son avocat.

Jamais détenu

Le Rimouskois a été arrêté le 15 mars 2023 par les enquêteurs spécialisés de l’Équipe d’enquête sur l’exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du Québec en lien avec de la pornographie juvénile.

(Photo courtoisie Sûreté du Québec)

Il a comparu le jour même à Rimouski sous divers chefs d’accusation tels que d’avoir accédé, d’avoir possédé et d’avoir distribué de la pornographie juvénile.

Le ministère public ne s’est pas objecté à sa remise en liberté. Il n’a donc jamais été détenu.

« Les policiers ont réalisé une perquisition au domicile du suspect et du matériel informatique a été saisi pour analyse », précise la Sûreté du Québec.

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  • Djanick Michaud opte pour un procès devant jury
    L’ex-candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est-du-Québec (SNEQ), Djanick Michaud, opte pour un procès devant jury précédé d’une enquête préliminaire, qui se tiendra le 4 novembre, après avoir été accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure. Après une mise au pied du rôle en milieu d’avant-midi, le dossier a été appelé peu avant 18 h. L’avocat de l’accusé, Me Marc-Antoine Duchaine, qui représentait Me Marie-Pierre Boulet, de Laval, a deman
     

Djanick Michaud opte pour un procès devant jury

L’ex-candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est-du-Québec (SNEQ), Djanick Michaud, opte pour un procès devant jury précédé d’une enquête préliminaire, qui se tiendra le 4 novembre, après avoir été accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure.

Après une mise au pied du rôle en milieu d’avant-midi, le dossier a été appelé peu avant 18 h.

L’avocat de l’accusé, Me Marc-Antoine Duchaine, qui représentait Me Marie-Pierre Boulet, de Laval, a demandé que l’enquête préliminaire prévue pour une journée se tienne sous la forme d’un interrogatoire au préalable.

Cette nouvelle méthode est permise seulement lorsque la citation au procès n’est pas contestée par la défense.

Contrairement à une enquête préliminaire traditionnelle, les procédures se tiennent sans juge et sans public. La défense peut interroger les témoins de son choix en présence du procureur de la Couronne afin de se préparer pour le procès à venir.

Les gestes reprochés à Djanick Michaud se seraient produits entre le 1er septembre 2019 et le 10 octobre 2021.

Autres accusations

Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, Djanick Michaud est aussi accusé d’incitation à des contacts de nature sexuelle sur une personne de moins de 16 ans et de voies de fait à l’égard de la même plaignante dont l’identité est protégée par une ordonnance de non-publication.

Djanick Michaud (Photo Le Soir.ca- archives)

Un mandat d’arrestation a été lancé à l’endroit de Michaud, le 13 juin dernier. Il a comparu une première fois le 18 juin dernier.

Candidat à la mairie en 2017, Djanick Michaud a aussi été adjoint et attaché politique de Guy Caron alors qu’il était député pour le NPD dans Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques.

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  • Décès du juge Jules Berthelot à 67 ans
    La Cour du Québec confirme le décès, à l’âge de 67 ans, de Jules Berthelot, juge suppléant de la Cour du Québec dont le port d’attache était Carleton-sur-Mer. Il siégeait jusqu’à tout récemment dans plusieurs palais de justice du Bas-Saint-Laurent, dont à Rimouski et à Matane. Pendant sa carrière de juge, il était responsable des palais de justice de Matane et d’Amqui. Jules Berthelot a été nommé juge de la Cour du Québec le 15 décembre 2010 à Matane. Il agissait à titre de juge suppléant
     

Décès du juge Jules Berthelot à 67 ans

La Cour du Québec confirme le décès, à l’âge de 67 ans, de Jules Berthelot, juge suppléant de la Cour du Québec dont le port d’attache était Carleton-sur-Mer. Il siégeait jusqu’à tout récemment dans plusieurs palais de justice du Bas-Saint-Laurent, dont à Rimouski et à Matane.

Pendant sa carrière de juge, il était responsable des palais de justice de Matane et d’Amqui.

Jules Berthelot a été nommé juge de la Cour du Québec le 15 décembre 2010 à Matane. Il agissait à titre de juge suppléant depuis son départ à la retraite, le 1er juillet 2024.

Le juge Berthelot est décédé le 25 août dernier des suites d’un cancer.

Il a fait ses débuts en droit comme avocat chez Michaud et Côté à Gaspé, avant de devenir procureur de la Couronne au palais de justice de New Carlisle, en 1985, poste qu’il a occupé jusqu’à sa nomination comme juge en 2010.

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  • Trois-Pistoles : Philippe Guilbert sollicite un 2e mandat
    Le maire de Trois-Pistoles, Philippe Guilbert, sollicitera un deuxième mandat lors des élections de novembre prochain. « Au cours de mon premier mandat, j’ai eu le privilège d’être accueilli et soutenu par une communauté engagée, solidaire et fière de ses racines. Je tiens à vous remercier sincèrement pour votre confiance, votre collaboration et vos encouragements qui m’ont porté dans ce rôle exigeant, mais profondément enrichissant », a-t-il écrit sur sa page Facebook. En 2021, à l’âge d
     

Trois-Pistoles : Philippe Guilbert sollicite un 2e mandat

Le maire de Trois-Pistoles, Philippe Guilbert, sollicitera un deuxième mandat lors des élections de novembre prochain.

« Au cours de mon premier mandat, j’ai eu le privilège d’être accueilli et soutenu par une communauté engagée, solidaire et fière de ses racines. Je tiens à vous remercier sincèrement pour votre confiance, votre collaboration et vos encouragements qui m’ont porté dans ce rôle exigeant, mais profondément enrichissant », a-t-il écrit sur sa page Facebook.

En 2021, à l’âge de 29 ans, monsieur Guilbert avait défait son adversaire Yves Lauzier par 754 votes contre 610.

Il succédait à Jean-Pierre Rioux, qui a occupé ce poste pendant 20 ans.

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  • Pornographie juvénile : retour pour Alcide Fournier
    Alcide Fournier, qui a plaidé coupable à des accusations en matière de pornographie juvénile, revient en cour ce lundi 8 septembre, au palais de justice de Rimouski, pour les représentations sur sentence. Puisque l’homme de 80 ans a de la difficulté à répondre aux questions pour la confection des rapports sexologique et présentenciel, ordonné par le juge Jules Berthelot, la défense avait demandé une évaluation sur l’aptitude à comparaître de son client, le 13 août dernier. « Monsieur Four
     

Pornographie juvénile : retour pour Alcide Fournier

Alcide Fournier, qui a plaidé coupable à des accusations en matière de pornographie juvénile, revient en cour ce lundi 8 septembre, au palais de justice de Rimouski, pour les représentations sur sentence.

Puisque l’homme de 80 ans a de la difficulté à répondre aux questions pour la confection des rapports sexologique et présentenciel, ordonné par le juge Jules Berthelot, la défense avait demandé une évaluation sur l’aptitude à comparaître de son client, le 13 août dernier.

« Monsieur Fournier n’est pas capable de répondre aux questions, même sur son adresse », a mentionné son avocat, Me Hugo Caissy.

Le Rimouskois a été arrêté le 15 mars 2023 par les enquêteurs spécialisés de l’Équipe d’enquête sur l’exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du Québec en lien avec de la pornographie juvénile.

Jamais détenu

Il a comparu le jour même à Rimouski sous divers chefs d’accusation tels que d’avoir accédé, d’avoir possédé et d’avoir distribué de la pornographie juvénile.

Le ministère public ne s’est pas objecté à sa remise en liberté. Il n’a donc jamais été détenu.

En avril, l’octogénaire a plaidé coupable. Le juge Bertholot a ordonné la confection d’un rapport sexologique et d’un rapport présentenciel afin de guider le tribunal dans l’imposition de la peine appropriée.

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  • Agression sexuelle sur une mineure : Djanick Michaud en cour
    L’ex-candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est du Québec (SNEQ), Djanick Michaud, accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure, comparaîtra ce lundi 8 septembre au palais de justice de Rimouski. Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, les gestes reprochés se seraient produits entre le 1er septembre 2019 et le 10 octobre 2021.   Michaud fait aussi face à des accusations d’incitation à des contacts de nature sexuelle sur une personne de
     

Agression sexuelle sur une mineure : Djanick Michaud en cour

L’ex-candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est du Québec (SNEQ), Djanick Michaud, accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure, comparaîtra ce lundi 8 septembre au palais de justice de Rimouski.

Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, les gestes reprochés se seraient produits entre le 1er septembre 2019 et le 10 octobre 2021.  

Michaud fait aussi face à des accusations d’incitation à des contacts de nature sexuelle sur une personne de moins de 16 ans et de voies de fait à l’égard de la même plaignante.

L’identité de la victime présumée est protégée par une ordonnance de non publication.

Djanick Michaud (Photo courtoisie)

Un mandat d’arrestation a été lancé à son endroit, le 13 juin dernier.

Candidat à la mairie en 2017, Djanick Michaud a aussi été adjoint et attaché politique de Guy Caron alors qu’il était député pour le NPD dans Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques.

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  • La Ferme Ravito accueille la visite
    La Ferme Ravito, de Sainte-Flavie, accueille la visite ce dimanche 7 septembre de 10 h à 16 h à l’occasion des Portes ouvertes Mangeons local de l’UPA qui prennent cette année une saveur biologique et maraîchère au Bas-Saint-Laurent. Les propriétaires Olivia Bernier et Jimmy Lepage promettent une immersion complète dans leur univers agricole à petite échelle axé sur la culture des légumes et des verdures de saison. La Ferme Ravito est en activité depuis 2022 sur la terre familiale d’Olivia
     

La Ferme Ravito accueille la visite

La Ferme Ravito, de Sainte-Flavie, accueille la visite ce dimanche 7 septembre de 10 h à 16 h à l’occasion des Portes ouvertes Mangeons local de l’UPA qui prennent cette année une saveur biologique et maraîchère au Bas-Saint-Laurent.

Les propriétaires Olivia Bernier et Jimmy Lepage promettent une immersion complète dans leur univers agricole à petite échelle axé sur la culture des légumes et des verdures de saison.

La Ferme Ravito est en activité depuis 2022 sur la terre familiale d’Olivia.

Le nom de l’entreprise est librement inspiré du mot ravitaillement, un beau clin d’œil au kiosque en libre-service de la ferme qui permet aux locaux et aux gens de passage de faire une escale nourricière dès que le besoin s’en fait sentir.

En régie biologique

Le tandem de maraîchers se spécialise dans la culture de légumes et de verdures en régie biologique sur une quinzaine de petites surfaces, pour un total de deux hectares. Cette approche permet de réduire considérablement leur empreinte écologique et de favoriser une meilleure biodiversité.

La saisonnalité, une autre des valeurs portées par le couple, permet de faire découvrir de nouvelles saveurs à la clientèle et d’être en harmonie avec le terroir régional de La Mitis.

Le kiosque de vente à la ferme de Ravito. (Photo Alexandre D’Astous)

« Depuis nos débuts, nous cultivons plus de 150 variétés de légumes, fleurs, fruits et fines herbes dans le but de créer une plus grande biodiversité sur le territoire. Nous souhaitons offrir un environnement sain, du champ à l’assiette, pour notre communauté et les restaurants locaux. Nous sommes heureux d’accueillir les Portes ouvertes Mangeons local au Bas-Saint-Laurent afin de représenter un modèle d’agriculture à échelle humaine qui a sa place dans le paysage agricole du Québec », affirment Olivia et Jimmy.

Diversité de l’agriculture régionale

« La résilience en agriculture s’exprime dans la diversité de nos modèles et de nos types de production. La Ferme Ravito est un exemple à ce chapitre puisqu’elle met de l’avant un modèle de mise en marché unique et de proximité ainsi que des pratiques culturales respectueuses de l’environnement. Les Portes ouvertes Mangeons local constituent une belle vitrine pour faire découvrir cette entreprise aux Bas-Laurentiens, à un moment où l’achat local est plus que jamais valorisé », mentionne Yannick Côté, 2e vice-président de la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent et président du Syndicat de l’UPA de La Mitis.

À Olivia et Jimmy se joindront des membres de leurs familles respectives, des bénévoles du Syndicat et des employés de la Fédération régionale afin de faire de cette journée un incontournable pour les familles, les curieux et les épicuriens.

La visite des installations de la Ferme Ravito, la présence de kiosques en lien avec l’agriculture, de l’animation et un volet artistique avec Mélissa C Pettigrew permettront aux visiteurs de découvrir l’envers du décor de différentes productions agricoles au Bas-Saint-Laurent et de repartir alimenter en produits locaux. L’entrée est gratuite.

La Ferme Ravito est située au 121 Route de la Mer, à Sainte-Flavie (le long de la Route 132.

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  • Frédérick Robichaud : du Témiscouata à Occupation Double
    Le coanimateur d’Occupation Double (OD) Chypre, qui débute ce dimanche 7 septembre avec un tapis rouge réinventé, Frédérick Robichaud, est originaire de Témiscouata-sur-le-Lac, secteur de Notre-Dame-du-Lac. Il en sera à sa 3e année à l’animation avec sa conjointe, la chanteuse Alicia Moffet. Frédérick raconte que son passage à OD comme candidat a changé sa vie. « Je ne me dirigeais pas vers l’animation ou la télévision. J’ai un parcours assez atypique. J’ai été candidat d’OD dans l’Ouest,
     

Frédérick Robichaud : du Témiscouata à Occupation Double

Le coanimateur d’Occupation Double (OD) Chypre, qui débute ce dimanche 7 septembre avec un tapis rouge réinventé, Frédérick Robichaud, est originaire de Témiscouata-sur-le-Lac, secteur de Notre-Dame-du-Lac. Il en sera à sa 3e année à l’animation avec sa conjointe, la chanteuse Alicia Moffet.

Frédérick raconte que son passage à OD comme candidat a changé sa vie.

« Je ne me dirigeais pas vers l’animation ou la télévision. J’ai un parcours assez atypique. J’ai été candidat d’OD dans l’Ouest, il y a quatre ans. Ç’a été une saison incroyable. Cette participation a changé ma vie. À l’époque, j’étudiais pour devenir ambulancier à Rivière-du-Loup, mais je n’étais plus certain que c’était pour moi. Je suis parti étudier à l’université en marketing à Lévis. Depuis 2017, j’ai mon entreprise de vente de vêtements et de bijoux en ligne », raconte-t-il.

Après son passage à OD, Frédérick est aussi devenu chroniqueur à l’émission Bonsoir bonsoir!, animée par Jean-Philippe Wauthier sur les ondes de Radio-Canada.

« J’ai été chroniqueur pendant un été. À la fin de l’été, j’ai reçu un appel de Productions J qui m’offrait d’animer OD avec Alicia. C’est comme ça que c’est parti. J’avais quand même de gros souliers à chausser puisque Jay du Temple avait marqué l’émission. Il était très aimé. »

Frédérick Robichaud a été candidat, en 2021, à Occupation Double dans l’Ouest. (Photo courtoisie Noovo)

Depuis ce temps, le Bas-Laurentien a fait plusieurs apparitions à la télévision. « J’ai découvert une passion pour la télé. »

Frédérick explique que le fait d’animer avec sa conjointe représente un défi.

« Travailler avec sa blonde, ça veut dire être avec elle 24 heures sur 24. On habite ensemble et nous avons les mêmes activités. Le fait que nous soyons à OD, c’est une forme de zone de confort. On se retrouve là-dedans et nous avons une bonne balance. Une de nos forces, c’est d’être capable de faire la coupure. Nous avons une belle complicité. Ce qu’on voit à l’écran, c’est vraiment ce que nous sommes », a-t-il mentionné lorsque rejoint par Le Soir.ca à Chypre où il en est déjà à la quatrième semaine de tournage.

Grande première

La saison sera officiellement lancée ce dimanche à 18 h 30 sur les ondes de Noovo.

« Pour la grande première, on propose un tapis rouge réinventé. D’habitude, les filles choisissent les gars ou l’inverse, mais cette année, l’émission a été tournée sur trois jours, dans trois lieux différents. C’est une première dans l’histoire d’OD. On mise sur des connexions dès le début de l’aventure. Marie-Pierre Morin fera son apparition pendant la grande première. Nous avons neuf gars et neuf filles en partant. Ça commence avec une grosse « twist » qui déstabilise tout le monde. Le public va capoter. Ça commence en force dès le tapis rouge », lance le coanimateur, en voulant garder le suspense.

Familles et amis

Frédérick revient régulièrement au Témiscouata, voir famille et amis.

Alicia Moffet et Frédérick Robichaud, à Rimouski, en 2023. (Photo Le Soir.ca- Véronique Bossé)

« J’ai cinq sœurs. J’ai une grande famille, dont plusieurs membres sont au Témiscouata. Je descends aux trois mois. Je suis très proche de ma famille. C’est très important pour moi. Je suis parrain. J’adore aller au Témis. Ça me permet de connecter. Le lac, c’est tellement beau ».

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  • Le BAPE autorise le Parc éolien Canton MacNider
    Au terme de ses travaux, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) estime que le projet de parc éolien Canton MacNider, dans la Matapédia, devrait être autorisé, à condition que lui soient apportés certains ajustements destinés à réduire ses effets. À la demande du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoit Charette, le BAPE a publié son rapport d’enquête et d’audience publique le vendredi 5 septembre. La c
     

Le BAPE autorise le Parc éolien Canton MacNider

Au terme de ses travaux, le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) estime que le projet de parc éolien Canton MacNider, dans la Matapédia, devrait être autorisé, à condition que lui soient apportés certains ajustements destinés à réduire ses effets.

À la demande du ministre de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, Benoit Charette, le BAPE a publié son rapport d’enquête et d’audience publique le vendredi 5 septembre.

La commission estime que le projet aurait des retombées économiques positives sur les deux communautés d’accueil. L’Alliance de l’énergie de l’Est distribuerait ses profits à ses membres. Cet argent pourrait servir au financement de projets visant à soutenir la vitalité économique des collectivités de la région.

« Malgré cela, il n’existe pas d’analyse pour mesurer l’effet du développement de la filière éolienne au Bas-Saint-Laurent sur la vitalité économique des collectivités. Il serait pertinent de développer un indicateur à cet égard, considérant que plusieurs municipalités de la région sont dévitalisées et que la filière éolienne est utilisée comme un instrument de développement régional », mentionne-t-on dans le rapport.

Plus de transparence

Toujours selon le rapport, les informations divulguées par l’Alliance et ses membres ne suffisent pas pour instaurer la pleine confiance du public à l’égard du modèle d’affaires du projet.

« L’Alliance devrait faire preuve d’une plus grande transparence en diffusant ses états financiers. Le partenariat public-privé soulève des questionnements chez plusieurs participants quant au modèle d’affaires à privilégier. La commission d’enquête estime toutefois que ce débat dépasse le cadre de son mandat et qu’une telle réflexion devrait être menée à l’occasion d’une consultation publique élargie sur le développement de la filière éolienne. »

Projet de 400 M$

Le projet, dont la réalisation coûterait environ 400 M$, consiste en l’installation d’un maximum de 21 éoliennes d’une hauteur de 200 mètres sur les territoires de Saint-Noël et Saint-Damase dans la MRC de La Matapédia.

(Photo Pixabay)

Il comprend également l’aménagement d’un réseau collecteur enfoui, d’un chemin d’accès, d’une sous-station ainsi que d’un bâtiment d’exploitation et d’entretien avec stationnement.

Il est porté par Parc éolien Canton MacNider S.E.C., qui réunit, dans un partenariat à parts égales, l’entreprise privée Clearlight Energy et la société en commandite Alliance de l’énergie de l’Est. Cette dernière regroupe plusieurs MRC du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine ainsi que la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk.

Mise en service en 2026

Le parc éolien serait mis en service à la fin de 2026 et il fournirait 122,32 mégawatts d’énergie à Hydro-Québec pour une période de 25 ans. Sa construction entraînerait la création de 150 emplois temporaires, tandis que son exploitation et son entretien généreraient de 5 à 10 emplois permanents.

La commission d’enquête chargée de l’examen du projet était composée de Mireille Paul, présidente, et de Pierre Benoit, commissaire. Son mandat s’est étalé du 22 avril au 22 août 2025. Grâce à son travail, elle a offert aux citoyens des conditions propices et respectueuses pour qu’ils puissent s’informer et s’exprimer.

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  • Denis Desrosiers accusé d’homicide
    Denis Desrosiers, 69 ans, qui faisait déjà face à cinq chefs d’accusation relatifs à une altercation survenue le 10 février 1979 à Causapscal et qui avait conduit au décès d’Adrien Allard, a été formellement accusé d’homicide le vendredi 5 septembre au palais de justice d’Amqui. Le juge de la Cour du Québec, Yves Desaulniers, a ordonné la remise en liberté sous conditions de l’accusé, qui devra notamment verser une caution de 2000$. Il devra demeurer à son appartement de la rue des Pins à Cau
     

Denis Desrosiers accusé d’homicide

Denis Desrosiers, 69 ans, qui faisait déjà face à cinq chefs d’accusation relatifs à une altercation survenue le 10 février 1979 à Causapscal et qui avait conduit au décès d’Adrien Allard, a été formellement accusé d’homicide le vendredi 5 septembre au palais de justice d’Amqui.

Le juge de la Cour du Québec, Yves Desaulniers, a ordonné la remise en liberté sous conditions de l’accusé, qui devra notamment verser une caution de 2000$. Il devra demeurer à son appartement de la rue des Pins à Causapscal et il lui sera interdit de quitter le Québec. Il lui est aussi interdit de posséder des armes.

L’avocate de l’accusé, Me Claudie Gallant-Bergeron, a réservé son choix. L’étape d’orientation et déclaration, c’est-à-dire l’enregistrement du plaidoyer, a été reportée au 30 septembre, date à laquelle étaient déjà prévus les autres dossiers de l’accusé.

Autres accusations

Desrosiers fait aussi face à des accusations d’introduction par effraction, d’avoir porté une cagoule dans l’intention de commettre un acte criminel, de voies de fait, de vol, d’utilisation illégale d’une carabine de calibre 30-30 et de possession d’une arme à feu dans un dessein dangereux.

Invasion de domicile

Le 10 février 1979, vers 19 h 15, deux individus vêtus d’habits de motoneige et cagoulés se sont présentés à la résidence des frères Adrien et André Allard, à Causapscal.

Adrien Allard est décédé en 1979. Son meurtre n’a jamais été résolu. (Photo courtoisie SQ)

Les suspects étaient en possession d’armes à feu. Lors de l’évènement, les frères se sont défendus et Adrien Allard est décédé de ses blessures.

De l’ADN recueilli à l’époque, combiné à la technologie et au travail d’aujourd’hui, a permis aux enquêteurs de procéder à l’arrestation de Desrosiers en février et d’ultimement pouvoir porter des accusations contre lui.

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  • Nouveau quartier à Mont-Joli : des mandats accordés
    La Ville de Mont-Joli avance dans ses démarches vers la mise en place d’un nouveau quartier résidentiel au nord de l’avenue Joliette, sur un terrain acquis par la Ville au cours des dernières années. Le conseil municipal a octroyé deux mandats de services professionnels, mardi soir, pour procéder à l’analyse du milieu naturel du terrain, une étape préalable à la confection des plans et devis. « Nous avons octroyé des mandats de services professionnels en aménagement et en études environnem
     

Nouveau quartier à Mont-Joli : des mandats accordés

La Ville de Mont-Joli avance dans ses démarches vers la mise en place d’un nouveau quartier résidentiel au nord de l’avenue Joliette, sur un terrain acquis par la Ville au cours des dernières années.

Le conseil municipal a octroyé deux mandats de services professionnels, mardi soir, pour procéder à l’analyse du milieu naturel du terrain, une étape préalable à la confection des plans et devis.

« Nous avons octroyé des mandats de services professionnels en aménagement et en études environnementales. Cela fait partie des démarches préliminaires pour faire avancer le dossier de ce nouveau développement domiciliaire dans lequel on prévoit 34 unités de logement, au bout de l’avenue Joliette. On accélère le processus parce qu’il ne reste que six terrains à vendre dans le développement Beaupré », affirme le maire de Mont-Joli, Martin Soucy.

Des autorisations à obtenir

Avant de pouvoir mettre des terrains en vente et permettre des constructions, la Ville de Mont-Joli doit obtenir les autorisations nécessaires de divers ministères, notamment celui de l’Environnement, de la Faune et des Parcs, puisque le projet implique un prolongement des réseaux d’aqueduc et égouts.

« Il va falloir démontrer au ministère que nous avons la capacité de fournir l’eau et de gérer les eaux usées. Nous savons que nous sommes en mesure de le faire avec nos infrastructures, mais il va falloir le démontrer », affirme monsieur Soucy.

La Ville a décidé d’y aller avec des constructions unifamiliales, bigénérationnelles ou des jumelées dans ce secteur.

« Il n’y aura pas d’immeubles à logements à cet endroit. Ce choix s’explique par la vocation de ce secteur », précisait le maire, dans une précédente entrevue à Le Soir.ca.

De la demande pour des terrains

Lorsque Martin Soucy a été élu à la mairie en 2017, la Ville de Mont-Joli ne détenait aucun terrain.

« Nous n’avions pas de terrain à vendre. Nous avons travaillé pendant trois ans pour démarrer et mettre en place le développement Beaupré comptant 34 terrains. Comme il ne reste que six terrains de disponibles, nous avons décidé de commencer à préparer un autre projet ».

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo courtoisie Ville de Mont-Joli)

Le maire indique que la Ville a des surplus accumulés spécialement pour le développement domiciliaire.

« Nous sommes à l’étape d’embaucher des professionnels pour faire la caractérisation des sols. Il y a notamment un milieu humide qu’il va falloir démarquer. Ensuite, ce sera la confection des plans et devis pour pouvoir aller en appels d’offres. Ça fait un certain temps que le projet était dans nos cartons. On prévoyait débuter lorsque nous aurions plus de la moitié des terrains vendus dans le développement Beaupré », explique Martin Soucy.

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  • La deuxième cohorte des Flambettes part en tournée
    Le ROSEQ présente les candidats de la deuxième mouture de Les Flambettes. Le projet, réunissant quatre artistes de la relève musicale, est porté cette fois-ci par Héron, Laurianne Charbonneau, Sandrine Masse et Simon Boisseau qui amorcent une grande tournée avec plusieurs prestations dans l’Est-du-Québec. Artistes uniques aux horizons variés, ils charment le public par leur pertinence et leur interprétation. Les Flambettes permet aux artistes sélectionnés de vivre une expérience professionnel
     

La deuxième cohorte des Flambettes part en tournée

Le ROSEQ présente les candidats de la deuxième mouture de Les Flambettes. Le projet, réunissant quatre artistes de la relève musicale, est porté cette fois-ci par Héron, Laurianne Charbonneau, Sandrine Masse et Simon Boisseau qui amorcent une grande tournée avec plusieurs prestations dans l’Est-du-Québec.

Artistes uniques aux horizons variés, ils charment le public par leur pertinence et leur interprétation. Les Flambettes permet aux artistes sélectionnés de vivre une expérience professionnelle complète, en passant par des résidences de création et de production d’un spectacle à sa diffusion, le tout accompagné par différents professionnels du milieu. Le spectacle réunit donc les quatre univers distincts de ces auteurs-compositeurs-interprètes, en communion scénique et musicale.

Les membres des Flambettes

Héron est l’exutoire créatif d’Henri Kinkead : une exploration du folklore québécois sous toutes ses formes et un voyage au cœur des territoires d’ici qui parlent d’une quête d’identité profonde.

Diplômée en Jeu du Conservatoire d’art dramatique de Québec et membre du collectif queer féministe Les Allumeuses, Lauriane Charbonneau est une artiste militante multidisciplinaire.

Exploration d’un éventail de genres musicaux allant du folk au rock progressif, en passant par les musiques traditionnelles, l’autrice-compositrice-interprète Wendat Sandrine Massé se passionne pour la fusion des sonorités variées. Sa musique transcende les frontières culturelles et linguistiques.

Autodidacte depuis l’âge de huit ans, Simon Boisseau calque au piano les rock bands des années 60-70, comme les Beatles ou Supertramp de ce monde. Il compose déjà ses premiers morceaux vers l’âge de 10 ans et à 21 ans lance son deuxième album, Le déjeuner.

Les Flambettes en spectacle :

  • Vendredi 5 septembre Moulin du portage, Lotbinière
  • Samedi 6 septembre Centre culturel Georges-Deschênes, Dégelis
  • Lundi 8 septembre La Salle Comble, Ste-Anne-des-Monts
  • Mardi 9 septembre Centre de création et de diffusion, Gaspé
  • Mercredi 10 septembre Studio du Quai des Arts, Carleton-sur-Mer
  • Jeudi 11 septembre Salle Jean-Cossette, Amqui
  • Vendredi 12 septembre Centre d’art Le Barachois, Matane
  • Dimanche 14 septembre Pavillon des arts, Forestville
  • Lundi 15 septembre Salle Jean-Marc-Dion, Sept-Îles
  • Mardi 16 septembre La Shed à Morue, Havre-St-Pierre
  • Jeudi 18 septembre Maison de la culture, Rivière-du-Loup
  • Samedi 20 septembre Au Vieux Treuil, Iles-de-la-Madeleine
  • Samedi 27 septembre Cabaret la Basoche, Gatineau
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  • Vol d’un véhicule : procès à venir pour Marc-Antoine Cloutier
    L’individu arrêté le 24 juin 2024 à Rimouski relativement à un vol de véhicule survenu au cours de la même journée à Saint-Alexandre-de-Kamouraska, Marc-Antoine Cloutier, était de retour à la Cour mardi à Rivière-du-Loup pour fixer une date de procès. Cette étape a été reportée au 27 octobre. En janvier 2025, Cloutier a plaidé non coupable et opté pour un procès devant un juge seul. L’accusé a été remis en liberté sous conditions le 12 août 2024 au palais de justice de Rivière-du-Loup. Il
     

Vol d’un véhicule : procès à venir pour Marc-Antoine Cloutier

L’individu arrêté le 24 juin 2024 à Rimouski relativement à un vol de véhicule survenu au cours de la même journée à Saint-Alexandre-de-Kamouraska, Marc-Antoine Cloutier, était de retour à la Cour mardi à Rivière-du-Loup pour fixer une date de procès. Cette étape a été reportée au 27 octobre.

En janvier 2025, Cloutier a plaidé non coupable et opté pour un procès devant un juge seul.

L’accusé a été remis en liberté sous conditions le 12 août 2024 au palais de justice de Rivière-du-Loup. Il fait face à des accusations de vol qualifié, de possession d’une arme prohibée et de menaces.

Des blessures mineures

Le suspect armé de 19 ans aurait menacé la propriétaire d’une voiture dans le secteur du Lac Morin à Saint-Alexandre, le lundi 24 juin vers 18 h 30, avant de s’enfuir avec celle-ci. La femme a subi des blessures mineures.

(Photo courtoisie SQ)

Les policiers de la Sûreté du Québec ont arrêté le suspect vers 20 h 45 le jour même sur la rue du Phare dans le district Pointe-au-Père, à Rimouski.

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  • Djanick Michaud accusé d’agression sexuelle sur une mineure
    L’ancien candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est du Québec (SNEQ), Djanick Michaud, est accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure. Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, les gestes reprochés se seraient produits entre le 1er septembre 2019 et le 10 octobre 2021.   Michaud comparaîtra devant la cour ce lundi 8 septembre pour répondre à ces accusations, mais aussi à celles d’incitation à des contacts de nature sexuelle sur une pers
     

Djanick Michaud accusé d’agression sexuelle sur une mineure

L’ancien candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est du Québec (SNEQ), Djanick Michaud, est accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure.

Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, les gestes reprochés se seraient produits entre le 1er septembre 2019 et le 10 octobre 2021.  

Michaud comparaîtra devant la cour ce lundi 8 septembre pour répondre à ces accusations, mais aussi à celles d’incitation à des contacts de nature sexuelle sur une personne de moins de 16 ans et de voies de fait à l’égard de la même plaignante.

L’identité de la victime présumée est protégée par une ordonnance de non publication.

Le palais de justice de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Un mandat d’arrestation a été lancé à son endroit, le 13 juin dernier.

Candidat à la mairie en 2017, Djanick Michaud a aussi été adjoint et attaché politique de Guy Caron alors qu’il était député pour le NPD dans Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques.

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  • Investissement Québec s’intéresse à Mont-Joli
    La Ville de Mont-Joli a reçu une délégation d’Investissement Québec, dont son vice-président aux Investissements directs étrangers, Daniel Sylverman, le 26 août dans le but de valoriser les nombreuses opportunités que son parc industriel est en mesure d’offrir aux entreprises. Au cours de cette rencontre, le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, a fait valoir les multiples atouts de la ville et son parc industriel, qu’il s’agisse de son emplacement géographique stratégique à proximité de l’aéropo
     

Investissement Québec s’intéresse à Mont-Joli

La Ville de Mont-Joli a reçu une délégation d’Investissement Québec, dont son vice-président aux Investissements directs étrangers, Daniel Sylverman, le 26 août dans le but de valoriser les nombreuses opportunités que son parc industriel est en mesure d’offrir aux entreprises.

Au cours de cette rencontre, le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, a fait valoir les multiples atouts de la ville et son parc industriel, qu’il s’agisse de son emplacement géographique stratégique à proximité de l’aéroport et des possibilités d’investissements pour les secteurs stratégiques de l’économie locale et nationale.

« On travaille avec Investissement Québec depuis plus d’un an pour mettre en valeur les atouts de notre parc industriel. M. Sylverman a démontré beaucoup d’intérêt pour l’aéroport régional qui est tout près et par l’intermodalité historique de la ville avec le train, le bateau (Matane), l’autoroute 20, le chemin de fer. Il s’est montré intéressé au développement du parc et à son historique militaire. Mont-Joli, avec son parc industriel de 12 millions de pieds carrés, pourrait permettre au Québec de tirer son épingle du jeu au plan fédéral », rapporte monsieur Soucy.

Une rencontre positive

Le maire mentionne que le représentant d’Investissement Québec est reparti, enchanté de sa visite à Mont-Joli.

« Nous sommes très positifs. Nous semons des graines qui devraient nous permettre de récolter plus tard ».

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

Des opportunités

Le maire Soucy mentionne que le terrain vierge du parc industriel offre énormément de possibilités.

« La force de notre parc industriel, c’est qu’il est possible d’y produire de l’électricité à proximité. Il y a une quinzaine d’années, Hydro-Québec a décidé de fermer les centrales Mitis 1 et Mitis 2 parce qu’elle avait un surplus d’énergie. À l’époque, elle produisait 10 MW. On estime qu’on pourrait aller chercher jusqu’à 15 MW avec une modernisation des installations. L’apport en électricité est un enjeu pour développer des parcs industriels. Sans énergie, c’est impossible de développer un parc industriel parce que ça n’attire pas les investisseurs ».

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  • Initiation à la voile sur dériveur
    Les propriétaires du Centre de plein air du grand Lac Ferré à Saint-Narcisse-de-Rimouski accueillent le Club de voile de Rimouski, les 6 et 7 septembre, pour une initiation à la pratique de la voile sur dériveur. Cet évènement est offert au grand public pour s’initier à la pratique de la voile sur dériveur. Les gens pourront faire de la voile libre sur un dériveur ou embarquer sur un dériveur accompagné d’un animateur ou d’un instructeur de voile certifié. Pour les deux journées, l’accueil
     

Initiation à la voile sur dériveur

Les propriétaires du Centre de plein air du grand Lac Ferré à Saint-Narcisse-de-Rimouski accueillent le Club de voile de Rimouski, les 6 et 7 septembre, pour une initiation à la pratique de la voile sur dériveur.

Cet évènement est offert au grand public pour s’initier à la pratique de la voile sur dériveur. Les gens pourront faire de la voile libre sur un dériveur ou embarquer sur un dériveur accompagné d’un animateur ou d’un instructeur de voile certifié.

Pour les deux journées, l’accueil des participants se fera à 9 h 30 et les sorties d’initiation auront lieu à 10 h 30, 11 h 15, 13 h, 14 h 15 et 15 h.

L’activité est gratuite et il n’est pas nécessaire de réserver.

Portes ouvertes

Le Centre de plein air du grand lac Ferré profite de l’événement pour tenir une journée portes ouvertes avec un accès gratuit au site au grand public. Une boite sera installée sur place pour permettre aux participants de faire une contribution volontaire. Les fonds serviront au développement de l’École de voile du Bas-Saint-Laurent.

Il y aura un service de restauration sur place de 11 h 30 à 14 h.

Le Centre de plein air du grand lac Ferré est situé au 971, route Taché, à Saint-Narcisse-de-Rimouski.

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  • Nouveau projet de construction à Pointe-au-Père
    La Ville de Rimouski amorce le processus visant l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) pour permettre la construction de deux immeubles de trois étages, totalisant 12 unités résidentielles, sur le boulevard Saint-Anne à Pointe-au-Père. Les promoteurs du projet sont Christophe Malouin et Pierre-Luc Proulx. Ils ont soumis à la Ville une demande d’approbation relative à un projet particulier qui déroge à certaines normes du R
     

Nouveau projet de construction à Pointe-au-Père

La Ville de Rimouski amorce le processus visant l’adoption d’un projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) pour permettre la construction de deux immeubles de trois étages, totalisant 12 unités résidentielles, sur le boulevard Saint-Anne à Pointe-au-Père.

Les promoteurs du projet sont Christophe Malouin et Pierre-Luc Proulx.

Ils ont soumis à la Ville une demande d’approbation relative à un projet particulier qui déroge à certaines normes du Règlement de zonage soit : le nombre de bâtiments principaux autorisés sur un même terrain; le nombre d’étages autorisés; le nombre de logements autorisés; les escaliers extérieurs ouverts menant aux étages supérieurs; la bande de verdure entre une aire de stationnement de plus de cinq cases et une ligne latérale et le nombre d’aires de stationnement.

Le maire de Rimouski, Guy Caron, rappelle que la Ville a adopté, en janvier 2023, le Plan de lutte contre la pénurie de logements, notamment en misant sur la construction de 2 500 unités de logement dans les prochaines années.

Recommandé par le CCU

Le projet particulier a été soumis au comité consultatif d’urbanisme (CCU) de la Ville, le 12 août. Ce dernier recommande au conseil municipal de l’accepter sous certaines conditions.

Le conseil municipal a donc adopté, aux fins de consultation publique, un premier projet de résolution en vue d’approuver, le PPCMOI. Une consultation publique aura lieu à une prochaine séance du conseil.

Des projets intéressants

Ce projet suit le même cheminement que ceux de la conversion de l’ancien bar Le Campus en logements étudiants et de la construction d’un bâtiment résidentiel de 15 logements au 266, rue Saint-Germain Est par les Immeubles DTM.

« Ce sont de beaux projets intéressants et qui évoluent. Le PPCMOI est une étape assez fréquente pour ces projets résidentiels privés. Ce sont des projets qui vont ajouter quelques dizaines d’unités de logement sur le territoire de la Ville », indique monsieur Caron.

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  • Côté-Paradis devrait plaider coupable jeudi
    Un des deux hommes arrêtés le 1er mai 2024 à la suite de trois perquisitions dans le secteur de la 6e rue Est à Dégelis, Keven Côté-Paradis, 31 ans, de Lejeune, était de retour à la Cour lundi à Rivière-du-Loup pour disposer de ses dossiers avec une réponse à l’accusation avant le procès, mais le tout a été reporté à ce jeudi 4 septembre. Les policiers de la MRC Témiscouata, en collaboration avec la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec, ont procédé le 1er mai 20
     

Côté-Paradis devrait plaider coupable jeudi

Un des deux hommes arrêtés le 1er mai 2024 à la suite de trois perquisitions dans le secteur de la 6e rue Est à Dégelis, Keven Côté-Paradis, 31 ans, de Lejeune, était de retour à la Cour lundi à Rivière-du-Loup pour disposer de ses dossiers avec une réponse à l’accusation avant le procès, mais le tout a été reporté à ce jeudi 4 septembre.

Les policiers de la MRC Témiscouata, en collaboration avec la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de la Sûreté du Québec, ont procédé le 1er mai 2024 à trois perquisitions qui ont permis de saisir :

  • Environ 50 grammes de cannabis illicite ;
  • Environ 40 grammes de cocaïne ;
  • Environ 100 graines de cannabis ;
  • Un certain montant d’argent comptant ;
  • Divers équipements servant au trafic de stupéfiants ;
  • 1 arme prohibée ;
  • 1 véhicule Chevrolet Colorado 2017 à titre de bien infractionnel
(Photo courtoisie)

En liberté depuis le 6 mai 2024

Côté-Paradis a été remis en liberté sous conditions le 6 mai 2024. Il a comparu une première fois le 2 mai pour faire face à des accusations en matière de stupéfiants. Il est demeuré détenu avant de revenir au tribunal le 3 mai pour son enquête sur remise en liberté qui avait alors été remise au 6 mai. Il a donc été détenu du 1er au 6 mai.

La SQ signale que ce sont des informations reçues du public qui ont permis de mener à bien cette opération.

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  • Chez Gérard Patates Frites lorgne Rimouski
    Présentement en pleine expansion, le casse-croûte Chez Gérard Patates Frites, une franchise présente principalement dans la région des Laurentides, souhaite prendre de l’expansion partout au Québec, dont à Rimouski. « Nos restaurants offrent une expérience unique et de bon goût. Nous visons une présence partout à travers la province de Québec », lance la propriétaire du restaurant de Brownsburg-Chatham, Sabrina Racette, qui verrait d’un bon œil recevoir une offre d’un franchisé de Rimouski, s
     

Chez Gérard Patates Frites lorgne Rimouski

Présentement en pleine expansion, le casse-croûte Chez Gérard Patates Frites, une franchise présente principalement dans la région des Laurentides, souhaite prendre de l’expansion partout au Québec, dont à Rimouski.

« Nos restaurants offrent une expérience unique et de bon goût. Nous visons une présence partout à travers la province de Québec », lance la propriétaire du restaurant de Brownsburg-Chatham, Sabrina Racette, qui verrait d’un bon œil recevoir une offre d’un franchisé de Rimouski, selon un échange de courriels avec Le Soir.ca.

Fondée en 1958

C’est en 1958 que l’entreprise Chez Gérard Patates Frites a vu le jour.

Débutant comme un petit stand à patates basé à Saint-Joseph-du-Lac où famille et amis se rassemblaient autour d’une bonne bouffe, il devient rapidement la référence dans son domaine en se distinguant par ses frites fraîches préparées quotidiennement, mais aussi par son service convivial.

« Vous aimeriez démarrer votre entreprise dans le domaine de l’alimentation et vous associer à une organisation qui a fait ses preuves? Nous avons des franchises disponibles. Nous vous offrons l’opportunité de vous épanouir dans un environnement dynamique et convivial. Vous êtes prêts à démarrer une franchise? Nous serons ravis de discuter avec vous de tous les détails entourant l’ouverture d’un restaurant Chez Gérard », mentionne l’entreprise sur son site Internet.

Menu

Chez Gérard Patates Frites est actuellement présent à Brownsburg-Chatham, Mirabel. Mont-Laurier, Saint-Eustache et Saint-Joseph-du-Lac.

L’entreprise offre un menu de type casse-croûte, soit des hot-dogs, hamburgers, frites, poutines, sous-marins et club sandwichs.

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  • La Ville achète un terrain de Riki Bloc
    Le conseil municipal autorise l’achat par la Ville de Rimouski d’un terrain appartenant à la coopérative Riki Bloc sur le site de l’ancienne église de Rimouski-Est pour en faire une place publique pour le quartier de Rimouski-Est. Il s’agit en fait de deux parties du lot de propriété de la Coopérative de solidarité que la Ville acquiert pour le prix de 35 894,69 $, plus les taxes applicables, selon les conditions prévues à la promesse de vente signée le 23 juillet dernier. « L’objectif, se
     

La Ville achète un terrain de Riki Bloc

Le conseil municipal autorise l’achat par la Ville de Rimouski d’un terrain appartenant à la coopérative Riki Bloc sur le site de l’ancienne église de Rimouski-Est pour en faire une place publique pour le quartier de Rimouski-Est.

Il s’agit en fait de deux parties du lot de propriété de la Coopérative de solidarité que la Ville acquiert pour le prix de 35 894,69 $, plus les taxes applicables, selon les conditions prévues à la promesse de vente signée le 23 juillet dernier.

« L’objectif, selon notre plan de vitalisation, c’est de faire une mise en valeur du centre urbain de Rimouski-Est en y aménageant une place publique où les citoyens du quartier pourront se rassembler. Riki Bloc nous a vendu une partie de son terrain qui servira à l’aménagement d’une place publique », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.

Changement de rue au Bic

Par ailleurs, le conseil municipal a entériné, le 25 août, la recommandation du comité de toponymie de la Ville de Rimouski afin que la rue communément appelée « route du Quai », dans le district du Bic, devienne la « rue du Capitaine-Gérard-Côté ».

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  • Recherche de logements : la Ville s’implique
    Le conseil municipal de Rimouski renouvelle sa participation au Programme d’hébergement temporaire et d’aide à la recherche de logement (PHTARL – Volet 2) mis en œuvre par la Société d’habitation du Québec (SHQ). Ce programme prévoit l’octroi de subventions à des offices d’habitation, afin que ces derniers informent, orientent et accompagnent, dans leurs recherches de logement, tout ménage sans logis ou à risque de l’être. Une résolution a été adoptée à l’unanimité à ce sujet le 25 août.
     

Recherche de logements : la Ville s’implique

Le conseil municipal de Rimouski renouvelle sa participation au Programme d’hébergement temporaire et d’aide à la recherche de logement (PHTARL – Volet 2) mis en œuvre par la Société d’habitation du Québec (SHQ).

Ce programme prévoit l’octroi de subventions à des offices d’habitation, afin que ces derniers informent, orientent et accompagnent, dans leurs recherches de logement, tout ménage sans logis ou à risque de l’être.

Une résolution a été adoptée à l’unanimité à ce sujet le 25 août.

Le conseil municipal rimouskois (Photo journallesoir.ca)

« La Ville de Rimouski souhaite continuer de soutenir l’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN) afin qu’il poursuive son travail auprès des ménages en besoin », mentionne le maire de Rimouski, Guy Caron.

L’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN) est mandaté par la Ville de Rimouski pour offrir et gérer les services en lien avec l’aide à la recherche de logement et d’hébergement d’urgence depuis 2022.

Rénovation des HLM

Par ailleurs, le conseil municipal accorde une aide financière de 31 396 $ à l’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN), en provenance de la Réserve financière relative au développement et au maintien de logements sociaux, abordables ou étudiants, afin de ses HJMQ soutenir l’organisme dans le cadre de ses travaux de rénovation admissibles pour et réalisés au cours de l’année financière 2025.

L’OHRN a déposé une demande d’aide financière à la Société d’habitation du Québec (SHQ) dans le cadre du Programme de rénovation des habitations à loyer modique (PRHLM) – Volet 1. Ce programme exige une contribution municipale de 10 % des dépenses admissibles.

« Ce sont des reconductions de programmes et des investissements de la Ville dans ces programmes. Chaque Québec met des sommes et la Ville doit ajouter des sommes », explique monsieur Caron.

Contribution déficit d’opération

D’autre part, le conseil municipal confirme la participation financière de la Ville de Rimouski au déficit d’exploitation de l’Office d’habitation Rimouski-Neigette (OHRN) pour l’année 2024, soit pour une somme de 419 158 $.

« La Ville doit payer sa part du déficit », précise le maire.

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  • Le policier Alexandre Gagné débouté en appel
    Le policier et militaire rimouskois Alexandre Gagné devra finalement purger sa peine de quatre mois de détention dans la collectivité puisque la Cour d’appel a rejeté sa demande d’en appeler du verdict de culpabilité de la juge de la Cour du Québec, Hélène Bouillon, à une accusation d’agression sexuelle. Dans un jugement daté du 26 août dont Le Soir.ca a obtenu copie, les juges de la Cour d’appel Jocelyn F. Rancourt, Sophie Lavallée et Éric Hardy concluent que l’accusé a échoué à démontrer qu
     

Le policier Alexandre Gagné débouté en appel

Le policier et militaire rimouskois Alexandre Gagné devra finalement purger sa peine de quatre mois de détention dans la collectivité puisque la Cour d’appel a rejeté sa demande d’en appeler du verdict de culpabilité de la juge de la Cour du Québec, Hélène Bouillon, à une accusation d’agression sexuelle.

Dans un jugement daté du 26 août dont Le Soir.ca a obtenu copie, les juges de la Cour d’appel Jocelyn F. Rancourt, Sophie Lavallée et Éric Hardy concluent que l’accusé a échoué à démontrer que le jugement en première instance est entaché d’une erreur révisable.

« La juge a conclu à sa culpabilité en raison d’un geste qui n’avait rien de neutre et dont il a lui-même reconnu la nature sexuelle dans ses messages textes postérieurs. De plus, la preuve de l’attirance sexuelle qu’il ressentait pour la plaignante n’en était pas une de propension et la juge s’est d’ailleurs gardée d’en tirer des conclusions quant à la culpabilité de l’appelant qui ne peut, en appel, répudier la stratégie qu’il a adoptée en première instance au profit d’une nouvelle qui est incompatible avec la première », mentionnent-ils.

Don, ADN et interdiction d’armes

La peine de quatre mois de prison à domicile sera suivie d’une période de probation de deux ans. La sentence comprend également un don de 1 000$ au Centre d’aide aux victimes d’actes criminels (CAVAC), un prélèvement d’ADN pour analyse génétique et une interdiction de posséder des armes de 10 ans, sauf pour l’exercice de son travail de militaire ou de policier.

La juge dispense l’accusé de l’obligation de se conformer à la Loi sur l’enregistrement de renseignements sur les délinquants sexuels.

« Il n’appartient pas au tribunal de déterminer si l’accusé pourra continuer à occuper un emploi au sein des Forces armées canadiennes et/ou de la Sûreté du Québec, mais espérons pour lui-même et pour la société qu’il poursuivra son processus de réhabilitation », mentionnait la magistrate de première instance dans son jugement rendu le 15 octobre 2024.

Les prétentions des parties

Rappelons que l’avocate de l’accusé, Me Ariane Gagnon-Rock, avait plaidé pour une absolution conditionnelle assortie d’une probation de deux ans, de l’exécution de 240 heures de travaux communautaires et du versement d’un don de 1 000 $ à La Débrouille.

De son côté, le ministère public réclamait une peine de 30 à 60 jours de prison ou de quatre mois de détention à domicile, suivie d’une probation de deux ans.

Des attouchements aux fesses

Les gestes reprochés au policier consistent en des attouchements aux fesses de la plaignante lors d’une fouille préalable à un entraînement aux combats rapprochés le 13 avril 2021 au manège militaire de Rimouski.

La preuve démontre que l’accusé et la plaignante ont discuté à plusieurs reprises sur Snapchat entre 2019 et 2021.

« Au début, les discussions sont professionnelles, mais à un certain moment, l’accusé tient des propos à connotation sexuelle émettant notamment le désir de la menotter. La plaignante s’est dite incommodée par ce genre de commentaires », a rappelé la juge Hélène Bouillon dans son verdict de culpabilité.

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  • Conversion du Campus : le conseil donne le go
    MTA Immobilier inc peut aller de l’avant avec son projet de conversion de l’ancien Bar Le Campus en 14 logements étudiants puisque le conseil municipal de Rimouski a approuvé, le 25 août, le projet particulier de construction, d’occupation ou de modification d’un immeuble (PPCMOI) nécessaire à la réalisation des travaux. Le second projet de résolution a été adopté après la tenue de l’assemblée publique de consultation. Le PPCMOI présenté par MTA Immobilier avait pour but d’autoriser des tr
     

Conversion du Campus : le conseil donne le go

MTA Immobilier inc peut aller de l’avant avec son projet de conversion de l’ancien Bar Le Campus en 14 logements étudiants puisque le conseil municipal de Rimouski a approuvé, le 25 août, le projet particulier de construction, d’occupation ou de modification d’un immeuble (PPCMOI) nécessaire à la réalisation des travaux.

Le second projet de résolution a été adopté après la tenue de l’assemblée publique de consultation.

Le PPCMOI présenté par MTA Immobilier avait pour but d’autoriser des travaux de modification extérieure, incluant le remplacement du revêtement mural et de la toiture, la conversion du balcon en volume habitable, l’ajout de nouvelles ouvertures ainsi que l’aménagement de l’aire de stationnement, afin d’y accommoder 14 logements étudiants dans l’immeuble situé au 147-149, rue de l’Évêché Ouest.

Susceptible d’approbation référendaire

Le projet est susceptible d’approbation référendaire, mais personne ne s’y est opposé à la suite de l’assemblée publique de consultation.

« Comme ce projet particulier déroge à certaines normes du Règlement de zonage, l’adoption d’un PPCMOI était nécessaire », précise le maire de Rimouski, Guy Caron.

Le bar Le Campus, de la rue de l’Évêché Ouest. (Photo: courtoisie)

La Ville estime que le projet présente une évolution qualitative de l’ensemble bâti, favorisant une meilleure insertion dans son environnement immédiat par une mise à niveau architecturale et paysagère.

Le comité consultatif d’urbanisme de la Ville recommande au conseil municipal d’adopter le projet.

Rappelons que Fabienne Dubé et Luc Pichette ont opéré le bar Le Campus de 1982 à 2022. L’édifice était en vente depuis 2023. En plus de l’espace-bar, il comprenait déjà deux logements à l’étage et un grand stationnement asphalté.

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  • Olivier Théberge se joint aux Timberwolves
    Retranché à la dernière journée du camp d’entraînement de l’Océanic, le défenseur de 20 ans, Olivier Théberge, signe un contrat pour la prochaine saison avec les Timberwolves de Miramichi, l’une des meilleures organisations de la Ligue de hockey junior A des Maritimes. Les Timberwolves indiquent que Théberge sera un pilier à la ligue bleue de l’équipe « capable de bien bouger la rondelle et de produire offensivement ». Décision difficile pour l’Océanic Le retranchement de Théberge a été
     

Olivier Théberge se joint aux Timberwolves

Retranché à la dernière journée du camp d’entraînement de l’Océanic, le défenseur de 20 ans, Olivier Théberge, signe un contrat pour la prochaine saison avec les Timberwolves de Miramichi, l’une des meilleures organisations de la Ligue de hockey junior A des Maritimes.

Les Timberwolves indiquent que Théberge sera un pilier à la ligue bleue de l’équipe « capable de bien bouger la rondelle et de produire offensivement ».

Décision difficile pour l’Océanic

Le retranchement de Théberge a été la décision la plus difficile à prendre pour la direction de l’Océanic.

« Olivier a représenté fièrement l’Océanic lors des deux dernières saisons. Nous l’aimons beaucoup, mais on voulait ajouter un deuxième joueur de 20 ans en attaque (Luke Patterson) », a expliqué le directeur-gérant de l’Océanic, Dany Dupont.

Olivier Théberge (Photo Vincent Éthier- LCH)

Théberge possède plus de 90 matchs d’expérience dans la LHJMQ, dont une course à la Coupe de Président et une participation à la Coupe Memorial avec l’Océanic l’an dernier. Il avait joué 10 matchs avec l’Armada de Blainville-Boisbriand en début de carrière.

L’an dernier, Théberge a marqué 7 buts et a ajouté 6 passes, pour 13 points en 56 matchs. Il avait ajouté six mentions d’aide en 22 rencontres éliminatoires.

Gaudet et Francoeur

Théberge affrontera deux de ses coéquipiers de la dernière saison dans les Maritimes puisque Loïc Francoeur et Anthony Gaudet évolueront respectivement avec les Rapides de Grand-Sault et les Ramblers D’Amherts, sans oublier le gardien rimouskois Cédric Massé qui est allé retrouver Émile Fournier, de Sainte-Luce, et Alexis Chénard, de Rimouski, avec les champions en titre, le Blizzard d’Edmundston.

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  • Réaménagement de Cathédrale : enjeux pour la piste cyclable
    Bien qu’il se réjouisse de l’aménagement de la piste cyclable sur l’avenue de la Cathédrale, l’ex-greffier de la Ville de Rimouski et cycliste de longue date, Marc Doucet, pointe certains risques liés à la configuration actuelle des voies cyclables et des trottoirs. Il s’est rendu à la séance du conseil municipal, le 25 août dernier, pour partager ses observations. Il ne comprend pas pourquoi il y a un dénivelé de 1,5 à 3 pouces entre le trottoir et la piste cyclable, ce qui pourrait poser pr
     

Réaménagement de Cathédrale : enjeux pour la piste cyclable

Bien qu’il se réjouisse de l’aménagement de la piste cyclable sur l’avenue de la Cathédrale, l’ex-greffier de la Ville de Rimouski et cycliste de longue date, Marc Doucet, pointe certains risques liés à la configuration actuelle des voies cyclables et des trottoirs.

Il s’est rendu à la séance du conseil municipal, le 25 août dernier, pour partager ses observations. Il ne comprend pas pourquoi il y a un dénivelé de 1,5 à 3 pouces entre le trottoir et la piste cyclable, ce qui pourrait poser problème selon lui.

« La piste cyclable unidirectionnelle fait 1,5 mètre de large, ce qui rend les dépassements difficiles. C’est un gros handicap parce que tout le monde ne circule pas à la même vitesse. Les cyclistes vont être tentés de dépasser par le trottoir, s’il n’y a pas de piétons. Toutes les autres pistes cyclables sur le territoire de la Ville ont une ligne blanche les séparant du trottoir, mais pas de dénivelé, et cela ne pose pas de problème », explique-t-il.

Des situations dangereuses

Monsieur Doucet craint que les cyclistes soient tentés d’emprunter les entrées donnant accès aux propriétés pour dépasser, où il n’y a pas de dénivelé, ce qui comporte des risques. Il mentionne qu’on lui a répondu que le dénivelé était nécessaire pour les non-voyants.

« Dans ce cas, pourquoi ne pas mettre une bande métallique rugueuse sur le bord du trottoir, comme cela se fait aux intersections ? »

À cet endroit, le dénivelé entre la piste cyclable et le trottoir est de deux pouces. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)

Le cycliste rappelle que la piste est également utilisée par les vélos électriques, les trottinettes et les triporteurs ou quadriporteurs, qui ne circulent pas tous à la même vitesse. Marc Doucet estime que la piste cyclable n’est pas assez large.

« Pour une piste unidirectionnelle, la largeur recommandée est de 2 mètres. Il manque donc 50 centimètres pour atteindre cette norme. Il serait possible d’empiéter sur la bande de verdure », précise-t-il.

Pas trop tard

Selon lui, il n’est pas trop tard pour apporter des modifications et il ne serait pas trop compliqué d’élargir la piste et de la mettre au même niveau que le trottoir.

Vue d’ensemble d’une portion sud de l’avenue de la Cathédrale à Rimouski. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)

Il invite les cyclistes qui partagent ses préoccupations à se rendre à la séance du conseil municipal du lundi 8 septembre pour transmettre leurs messages aux élus.

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  • UQAR : les projets immobiliers avancent rondement
    Le vice-recteur aux ressources humaines et à l’administration de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Benoit Desbiens, assure que les deux projets de construction de logements de l’institution progressent très bien, dans le respect des échéanciers et surtout des coûts. Le bâtiment situé sur la rue Notre-Dame, devant l’UQAR, a déjà été transformé en résidences étudiantes. Il s’agit des immeubles de la congrégation des Ursulines, acquis par l’UQAR en janvier 2024 au coûtde 5 M$. « Il no
     

UQAR : les projets immobiliers avancent rondement

Le vice-recteur aux ressources humaines et à l’administration de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Benoit Desbiens, assure que les deux projets de construction de logements de l’institution progressent très bien, dans le respect des échéanciers et surtout des coûts.

Le bâtiment situé sur la rue Notre-Dame, devant l’UQAR, a déjà été transformé en résidences étudiantes. Il s’agit des immeubles de la congrégation des Ursulines, acquis par l’UQAR en janvier 2024 au coût
de 5 M$.

« Il nous reste encore quelques travaux à l’extérieur, mais le bâtiment est en opération. Les 34 chambres sont occupées depuis le début de la session. Nous avons deux étages de 12 unités et un de 11 unités. Les étudiants disposent chacun d’une chambre et partagent des espaces de vie », précise monsieur Desbiens.

Ces nouvelles chambres ont permis à l’UQAR de répondre à toutes les demandes d’hébergement. « Toutes nos chambres sont pleines, autant les nouvelles que les anciennes. Aucun étudiant ne se retrouve cette année en situation précaire sans logement », ajoute le vice-recteur.

Livraison en octobre

Le deuxième projet consiste en une construction neuve sur la 2e Rue Est.

« On prévoit une livraison à la fin d’octobre de la part de l’entrepreneur. Par la suite, nous ferons la mise en opération du bâtiment. Nous allons offrir des places à partir de janvier. Nous aurons donc 100 places supplémentaires, soit 25 logements de quatre chambres. Nous en sommes aux étapes de peinture et de finition, et le revêtement extérieur est déjà bien avancé », explique Benoît Desbiens.

Le vice-recteur se réjouit particulièrement du respect des budgets.

« Nous sommes contents, surtout avec les dépassements de coûts qu’on voit un peu partout. Les projets se sont réalisés à l’intérieur des montants fixés. Les budgets sont tous respectés. »

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  • UQAR : les projets immobiliers avancent rondement
    Le vice-recteur aux ressources humaines et à l’administration de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Benoit Desbiens, assure que les deux projets de construction de logements de l’institution progressent très bien, dans le respect des échéanciers et surtout des coûts. Le bâtiment situé sur la rue Notre-Dame, devant l’UQAR, a déjà été transformé en résidences étudiantes. Il s’agit des immeubles de la congrégation des Ursulines, acquis par l’UQAR en janvier 2024 au coûtde 5 M$. « Il no
     

UQAR : les projets immobiliers avancent rondement

Le vice-recteur aux ressources humaines et à l’administration de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Benoit Desbiens, assure que les deux projets de construction de logements de l’institution progressent très bien, dans le respect des échéanciers et surtout des coûts.

Le bâtiment situé sur la rue Notre-Dame, devant l’UQAR, a déjà été transformé en résidences étudiantes. Il s’agit des immeubles de la congrégation des Ursulines, acquis par l’UQAR en janvier 2024 au coût
de 5 M$.

« Il nous reste encore quelques travaux à l’extérieur, mais le bâtiment est en opération. Les 34 chambres sont occupées depuis le début de la session. Nous avons deux étages de 12 unités et un de 11 unités. Les étudiants disposent chacun d’une chambre et partagent des espaces de vie », précise monsieur Desbiens.

Ces nouvelles chambres ont permis à l’UQAR de répondre à toutes les demandes d’hébergement. « Toutes nos chambres sont pleines, autant les nouvelles que les anciennes. Aucun étudiant ne se retrouve cette année en situation précaire sans logement », ajoute le vice-recteur.

Livraison en octobre

Le deuxième projet consiste en une construction neuve sur la 2e Rue Est.

« On prévoit une livraison à la fin d’octobre de la part de l’entrepreneur. Par la suite, nous ferons la mise en opération du bâtiment. Nous allons offrir des places à partir de janvier. Nous aurons donc 100 places supplémentaires, soit 25 logements de quatre chambres. Nous en sommes aux étapes de peinture et de finition, et le revêtement extérieur est déjà bien avancé », explique Benoît Desbiens.

La nouvelle résidence étudiante de l’UQAR située sur la 2e Rue Est. (Photo Le Soir.ca- Véronique Bossé)

Le vice-recteur se réjouit particulièrement du respect des budgets.

« Nous sommes contents, surtout avec les dépassements de coûts qu’on voit un peu partout. Les projets se sont réalisés à l’intérieur des montants fixés. Les budgets sont tous respectés. »

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  • Un présumé prédateur pourrait plaider coupable
    Philippe Pierre Thomas, 49 ans, de Sayabec, qui fait face à plusieurs chefs d’accusation en lien avec plusieurs infractions de nature sexuelle, pourrait plaider coupable à certaines accusations, mais peut-être pas à l’ensemble, selon ce qui a été mentionné jeudi au palais de justice d’Amqui. Les parties n’ont pas pu disposer des dossiers, comme cela était prévu, puisque l’accusé n’admet pas l’ensemble des faits. Les dossiers ont été reportés au 4 novembre. Thomas est détenu depuis sa deuxi
     

Un présumé prédateur pourrait plaider coupable

Philippe Pierre Thomas, 49 ans, de Sayabec, qui fait face à plusieurs chefs d’accusation en lien avec plusieurs infractions de nature sexuelle, pourrait plaider coupable à certaines accusations, mais peut-être pas à l’ensemble, selon ce qui a été mentionné jeudi au palais de justice d’Amqui.

Les parties n’ont pas pu disposer des dossiers, comme cela était prévu, puisque l’accusé n’admet pas l’ensemble des faits. Les dossiers ont été reportés au 4 novembre.

Thomas est détenu depuis sa deuxième arrestation en semblable matière, le 10 juillet 2024. Rappelons que la détention préventive purgée avant l’imposition d’une peine est comptabilisée à 1,5 jour par jour purgé.

Le palais de justice d’Amqui. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)

À la suite de sa deuxième arrestation, Thomas a été accusé d’entrave, voyeurisme, agression sexuelle, harcèlement, voie de fait ainsi que pour bris d’ordonnance.

Arrêté une première fois en décembre 2023

Le suspect avait été arrêté une première fois en décembre 2023 par les enquêteurs lors d’une perquisition réalisée à son domicile. Les policiers avaient à ce moment procédé à la saisie de plusieurs fichiers de pornographie juvénile.

Il avait alors été accusé d’avoir eu en sa possession, d’avoir accédé, d’avoir distribué, d’avoir transmis et d’avoir rendu accessible de la pornographie juvénile.

Via les réseaux sociaux

« L’enquête tend à démontrer qu’il aurait pu avoir fait d’autres victimes à travers la province. D’ailleurs, certaines de ses victimes auraient pu être en contact avec le suspect via les réseaux sociaux alors qu’il utilisait les pseudonymes « Philippe Thomas », « Pierre Thomas» et « Pierre-Philippe Thomas », mentionne la porte-parole de la SQ, Marythé Bolduc.

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  • Projet de CMétis : la construction achève
    La construction des cinq bâtiments totalisant 30 unités de logements du projet de CMétis à Métis-sur-Mer est presque complétée. « L’ensemble des logements totalisent six unités de 4 et 1/2 et 24 unités des 3 1/2. Chaque appartement à son balcon avec vue sur le fleuve. Il y a un grand engouement pour ces unités, particulièrement auprès des familles et des aînées. De nombreuses familles nous ont aussi déjà confirmé qu’elles souhaitent construire leurs maisons dans ce nouveau développement », co
     

Projet de CMétis : la construction achève

La construction des cinq bâtiments totalisant 30 unités de logements du projet de CMétis à Métis-sur-Mer est presque complétée.

« L’ensemble des logements totalisent six unités de 4 et 1/2 et 24 unités des 3 1/2. Chaque appartement à son balcon avec vue sur le fleuve. Il y a un grand engouement pour ces unités, particulièrement auprès des familles et des aînées. De nombreuses familles nous ont aussi déjà confirmé qu’elles souhaitent construire leurs maisons dans ce nouveau développement », commente le président-directeur général de C Métis, Philippe Dufort.

Infrastructures attendues 

Le promoteur est en attente auprès de la Ville de Métis-sur-Mer afin qu’elle complète les infrastructures municipales pour le raccordement des logements aux égouts et à l’aqueduc.

« Nous nous adapterons aux échéances de la municipalité et nous serons prêts à livrer les 30 unités abordables lorsque la ville aura terminé ces travaux. Nous savons que leur administration travaille fort à l’avancement de ce dossier », précise monsieur Dufort.

Processus annulé 

En mars dernier, le conseil municipal de Métis-sur-Mer avait décidé d’annuler le processus menant à l’adoption d’un règlement d’emprunt de 3 M$ devant servir à installer les infrastructures d’aqueduc et d’égout à la Place des Marronniers, là où CMétis a déjà érigé cinq immeubles de six logements pour son projet d’écoquartier.

De nombreux citoyens avaient signé le registre afin de demander la tenue d’un référendum sur la question. Ils mentionnaient manquer d’information. Le promoteur s’était engagé à transmettre davantage d’information.

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  • Blouin et Lemieux-Blouin de retour en septembre
    Les deux femmes accusées relativement au décès d’une dame de 96 ans dans une résidence de personnes âgées de Saint-Moïse en 2022, Sylvie Blouin, de Saint-Moïse et Josiane Lemieux-Blouin, de Sayabec, étaient de retour à la cour à Amqui pour fixer une date pour leur enquête préliminaire. Cette étape a été reportée au 30 septembre puisque l’ouverture d’un terme spécial sera nécessaire pour entendre cette enquête dont la durée est estimée à une semaine. Les deux accusées âgées respectivement d
     

Blouin et Lemieux-Blouin de retour en septembre

Les deux femmes accusées relativement au décès d’une dame de 96 ans dans une résidence de personnes âgées de Saint-Moïse en 2022, Sylvie Blouin, de Saint-Moïse et Josiane Lemieux-Blouin, de Sayabec, étaient de retour à la cour à Amqui pour fixer une date pour leur enquête préliminaire.

Cette étape a été reportée au 30 septembre puisque l’ouverture d’un terme spécial sera nécessaire pour entendre cette enquête dont la durée est estimée à une semaine.

Les deux accusées âgées respectivement de 56 et 29 ans ont choisi un procès devant un jury précédé d’une enquête préliminaire. Elles sont accusées de négligence criminelle causant la mort et d’avoir omis de prodiguer les soins nécessaires à la résidente.

La juge de la Cour du Québec, Andrée Saint-Pierre, a prononcé une ordonnance de remise en liberté des deux accusées sous conditions le 10 juillet 2024, le jour de leurs arrestations.

Enquête de deux ans

C’est à la suite d’une enquête ouverte en février 2022 dans une résidence pour personnes âgées de la rue principale à Saint-Moïse, que les policiers de la Division des enquêtes sur les crimes majeurs de Rimouski ont procédé, le 10 juillet 2024, à l’arrestation des deux suspectes qui faisaient l’objet d’un mandat d’arrestation.  

(Photo courtoisie)

Les actes reprochés seraient survenus entre le 18 décembre 2020 et le 15 février 2022.

Les deux femmes étaient préposées aux bénéficiaires à la Résidence Yannick Blouin-Lemieux, du nom du fils de Sylvie Blouin, située à Saint-Moïse. Elle a fermé ses portes depuis ce temps. 

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  • L’ex-manège militaire de Rimouski est protégé
    L’ancien manège militaire de Rimouski est officiellement cité comme bien patrimonial. Cette procédure permet au conseil municipal d’adopter un plan de conservation et un énoncé patrimonial afin d’établir ses orientations quant à l’immeuble qui sera converti en logements par son nouveau propriétaire, Must Urbain. Le maire de Rimouski, Guy Caron, rappelle que la citation ne touche que l’extérieur du bâtiment situé sur la rue Saint-Jean-Baptiste. « Ça ne concerne pas le projet de logements à
     

L’ex-manège militaire de Rimouski est protégé

L’ancien manège militaire de Rimouski est officiellement cité comme bien patrimonial. Cette procédure permet au conseil municipal d’adopter un plan de conservation et un énoncé patrimonial afin d’établir ses orientations quant à l’immeuble qui sera converti en logements par son nouveau propriétaire, Must Urbain.

Le maire de Rimouski, Guy Caron, rappelle que la citation ne touche que l’extérieur du bâtiment situé sur la rue Saint-Jean-Baptiste.

« Ça ne concerne pas le projet de logements à l’intérieur. Must Urbain avait été avisé de l’intention de la Ville de vouloir demander une citation patrimoniale. L’intérêt du bâtiment est à l’extérieur. C’est un bâtiment qui architecturalement est unique et qui rappelle des éléments historiques de la Ville de Rimouski, particulièrement au niveau militaire. L’intérêt est de le garder. Ça donne un cachet unique dans le secteur et Must Urbain en est conscient », souligne monsieur Caron.

PPCMOI approuvé

Parlant du projet de Must Urbain, le conseil municipal a approuvé, le 25 août, le projet particulier de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI) nécessaire pour permettre les travaux souhaités, qui dérogent à certaines règles d’urbanisme.

« L’objectif du PPCMOI est de légitimer les usages que souhaite mettre en place l’acheteur à l’intérieur. Must Urbain souhaite faire un projet résidentiel à l’intérieur. Il faut donc passer par le processus de modification des usages autorisés », explique Guy Caron.

Le maire de Rimouski, Guy Caron (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)

Une assemblée publique de consultation a eu lieu en juin, tout juste avant l’adoption du second projet de règlement. L’adoption du PPCMOI donne le feu vert au promoteur pour aller de l’avant avec son projet.

L’édifice, construit en 1910 et connu autrefois comme l’Arsenal, témoigne de la présence du régiment des Fusiliers du Saint-Laurent, qui en avait fait son quartier général jusqu’en 2005.

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  • Serviloge livre ses 44 logements sociaux
    Les 44 logements sociaux et abordables aménagés dans l’aile est du couvent des Sœurs du Saint-Rosaire, à Rimouski, seront très bientôt occupés. C’est ce que confirme la directrice des communications et du développement chez Serviloge, Isabelle Rioux Beaupré. « Les logements sont prêts. Nous avons commencé les visites. On signe les baux ces jours-ci avec les futurs locataires. C’est très positif. Nous faisons de belles rencontres avec des gens qui attendaient un logement depuis plusieurs a
     

Serviloge livre ses 44 logements sociaux

Les 44 logements sociaux et abordables aménagés dans l’aile est du couvent des Sœurs du Saint-Rosaire, à Rimouski, seront très bientôt occupés.

C’est ce que confirme la directrice des communications et du développement chez Serviloge, Isabelle Rioux Beaupré.

« Les logements sont prêts. Nous avons commencé les visites. On signe les baux ces jours-ci avec les futurs locataires. C’est très positif. Nous faisons de belles rencontres avec des gens qui attendaient un logement depuis plusieurs années. Ils sont très émus de pouvoir s’installer dans des logements neufs. Tout a été refait à neuf dans d’anciens bureaux ou d’anciennes classes », précise-t-elle.

Les déménagements vont commencer le 22 septembre et ils vont s’échelonner sur quelques semaines. La sélection s’est faite via le portail d’accès de l’Office municipal d’habitation Rimouski-Neigette.

Les logements se trouvent sur quatre étages tandis qu’un centre de la petite enfance de 80 places occupe le rez-de-chaussée de l’aile est depuis quelques mois.

Une inauguration officielle aura lieu cet automne.

Nouvelle construction sur Belzile

Serviloge travaille également sur un projet de 47 logements sociaux et abordables dans une nouvelle construction sur l’avenue Belzile à Rimouski.

La directrice des communications et du développement chez Serviloge, Isabelle Rioux Beaupré. (Photo courtoisie Serviloge

« La coquille extérieure est en cours de réalisation afin de pouvoir faire l’intérieur dans les prochains mois. L’échéancier suit son cours. La livraison est prévue à la fin de 2025 ou au début de 2026. Les déménagements suivront en 2026. La sélection des futurs locataires va s’amorcer dans les prochaines semaines », affirme madame Rioux-Beaupré.

En juin 2024, le projet de 21,4 M$ a été confirmé pour la construction de 91 nouveaux logements abordables et 54 nouvelles places en garderie dans une partie de la maison mère de la congrégation des Sœurs de Notre-Dame-du-Saint-Rosaire.

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  • Le Dépanneur du Coin de Les Hauteurs devient agence SAQ
    La Société des alcools du Québec (SAQ) confirme qu’une agence a été attribuée au Dépanneur du Coin de Les Hauteurs, dans La Mitis. Un appel d’offres s’adressant aux commerces en alimentation de cette municipalité a pris fin le 23 juillet dernier. « À la suite d’une analyse des propositions reçues, le contrat a été attribué à l’entreprise opérant sous le nom Dépanneur du Coin (Les Hauteurs) », confirme la responsable des opérations contractuelles SAQ Agences, Chantal Paré. Accès aux prod
     

Le Dépanneur du Coin de Les Hauteurs devient agence SAQ

La Société des alcools du Québec (SAQ) confirme qu’une agence a été attribuée au Dépanneur du Coin de Les Hauteurs, dans La Mitis.

Un appel d’offres s’adressant aux commerces en alimentation de cette municipalité a pris fin le 23 juillet dernier.

« À la suite d’une analyse des propositions reçues, le contrat a été attribué à l’entreprise opérant sous le nom Dépanneur du Coin (Les Hauteurs) », confirme la responsable des opérations contractuelles SAQ Agences, Chantal Paré.

Accès aux produits

Les agences SAQ sont des commerces d’alimentation (épiceries ou dépanneurs) qui obtiennent le droit de vendre des produits de la SAQ dans leur magasin.

Elles sont situées dans des municipalités où il n’y a pas de succursale de la SAQ et permettent un meilleur accès aux produits de la SAQ.

La SAQ compte quelque 423 agences réparties sur le territoire du Québec, dont 42 au Bas-Saint-Laurent.

Il s’agit de la cinquième agence du genre à être installée dans La Mitis avec celles à Sainte-Luce (Marché Ste-Luce et Épicerie C.H. Bernier à Luceville), Saint-Gabriel (Épicerie DB) et La Rédemption (Dépanneur Chez Ti-Noir).

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  • 3e Rang du Bic : Rimouski revient à la charge
    Le conseil municipal de Rimouski a autorisé, lundi soir, l’envoi d’une nouvelle demande de financement pour la réfection du 3e Rang du Bic au Programme d’aide à la voirie locale (PAVL) du ministère des Transports et de la mobilité durable. Après plusieurs refus au cours des dernières années, le maire de Rimouski, Guy Caron, est convaincu de voir le projet retenu en raison de nouvelles modalités du programme. « Le plan d’intervention pour les routes rurales a été modifié. Nous avons plus d’
     

3e Rang du Bic : Rimouski revient à la charge

Le conseil municipal de Rimouski a autorisé, lundi soir, l’envoi d’une nouvelle demande de financement pour la réfection du 3e Rang du Bic au Programme d’aide à la voirie locale (PAVL) du ministère des Transports et de la mobilité durable.

Après plusieurs refus au cours des dernières années, le maire de Rimouski, Guy Caron, est convaincu de voir le projet retenu en raison de nouvelles modalités du programme.

« Le plan d’intervention pour les routes rurales a été modifié. Nous avons plus d’espoirs maintenant de pouvoir aller chercher des sommes qu’auparavant où nos demandes nos pointaient pas suffisamment pour être retenues. Étant donné la modification du cadre, nous avons bon espoir présentement que ça puisse se faire », commente-t-il.

Des travaux de 10,7 M$

Les travaux sont évalués à 10,7 M$ pour un tronçon de 6,7 km.« La fondation de la route doit être entièrement refaite avant de refaire l’asphaltage. C’est un montant assez élevé », expliquait monsieur Caron, dans une précédente entrevue.

La Ville de Rimouski avait reçu une réponse négative à sa demande de financement au PAVL pour 2024 et 2025.

Le maire de Rimouski, Guy Caron. (Photo Johanne Fournier)

Le maire explique que la Ville ne peut pas aller de l’avant toute seule pour un investissement aussi important alors que le budget annuel de la Ville pour la voirie est 3,5 M$.

Pétition

Une résidante du Chemin du 3e Rang, Émilie Gagné, avait lancé une pétition en avril 2024 sur le site Internet Les lignes bougent.org.

« Cela fait déjà trop longtemps que nous devons attendre. La Ville de Rimouski est incapable de faire quelque chose. Nous sommes patients, mais nous devons faire pression. Le chemin est dangereux et non sécuritaire », déclarait-elle.

En plus du 3e Rang du Bic, le conseil municipal a adopté deux autres résolutions pour autoriser des demandes de financement au PAVL pour la réfection de la route de la Montagne et du chemin Beauséjour ainsi que pour diverses rues du secteur rural.

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  • Cédric Massé terminera sa carrière junior à Edmundston
    Le gardien rimouskois et ancien de l’Océanic, Cédric Massé, terminera sa carrière junior comme joueur de 20 ans avec le Blizzard d’Edmundston, dans la Ligue de hockey junior A des Maritimes. Le Blizzard en a fait l’annonce ce mardi. Avec un total de 61 parties dans la LHJMQ, il est le gardien le plus expérimenté du junior majeur à se joindre au Blizzard qui entamera sa 9e saison, le 13 septembre prochain, en accueillant les Ramblers d’Amherst. Massé a disputé 37 rencontres la saison derniè
     

Cédric Massé terminera sa carrière junior à Edmundston

Le gardien rimouskois et ancien de l’Océanic, Cédric Massé, terminera sa carrière junior comme joueur de 20 ans avec le Blizzard d’Edmundston, dans la Ligue de hockey junior A des Maritimes.

Le Blizzard en a fait l’annonce ce mardi. Avec un total de 61 parties dans la LHJMQ, il est le gardien le plus expérimenté du junior majeur à se joindre au Blizzard qui entamera sa 9e saison, le 13 septembre prochain, en accueillant les Ramblers d’Amherst.

Massé a disputé 37 rencontres la saison dernière avec les Foreurs de Val-d’Or. Il a présenté une moyenne de buts alloués de 4,04, un pourcentage d’arrêts de ,875 et une fiche de 15-11-2.

Le gardien Cédric Massé devant le filet de l’Océanic. (Photo courtoisie Vincent Lévesque-Rousseau- Phoenix de Sherbrooke)

La saison précédente, il s’alignait avec l’Océanic. En 21 parties, Cédric Massé a maintenu une moyenne de buts accordés de 3,69 et un taux d’efficacité de ,869 en plus d’un dossier de 9-8-3. Il avait pris part à trois parties avec Rimouski en 2022-2023.

Le Blizzard entamera son camp d’entraînement ce jeudi 28 août à Edmundston. Les joueurs du nouvel entraîneur-chef, Michael Ward, disputeront trois matchs préparatoires contre les Rapides de Grand-Sault, dont deux au Centre Jean-Daigle, les 30 août et 10 septembre. L

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  • Stade multisports de Rimouski : le projet gonfle de 25 à 28 M$
    Les coûts du stade multisports de Rimouski, dont la construction doit s’entamer en 2026 sur les terrains du Complexe sportif Guillaume-Leblanc, grimpent de 25 à 28 M$ en raison d’ajouts au projet. Le conseil municipal a adopté un avis de motion, lundi soir, ouvrant la voie à l’adoption d’un règlement d’emprunt. La hausse de la facture s’explique par la démolition d’un préau en briques servant d’entrepôt au Complexe Guillaume-Leblanc, qui sera remplacé par de l’entreposage à l’intérieur du
     

Stade multisports de Rimouski : le projet gonfle de 25 à 28 M$

Les coûts du stade multisports de Rimouski, dont la construction doit s’entamer en 2026 sur les terrains du Complexe sportif Guillaume-Leblanc, grimpent de 25 à 28 M$ en raison d’ajouts au projet.

Le conseil municipal a adopté un avis de motion, lundi soir, ouvrant la voie à l’adoption d’un règlement d’emprunt.

La hausse de la facture s’explique par la démolition d’un préau en briques servant d’entrepôt au Complexe Guillaume-Leblanc, qui sera remplacé par de l’entreposage à l’intérieur du stade multisports, ainsi que sa connexion au réseau d’aqueduc de la 8e Rue.

L’avis de motion prévoit un emprunt de 10,8 M$ par la Ville, l’utilisation d’un montant de 12,5 M$ provenant de la réserve des actifs immobilisés de la Ville et de 4,7 M$ qui seront pris à travers les soldes disponibles de certains règlements d’emprunt déjà complétés.

« On espère toujours d’avoir un partenaire privé éventuellement qui va nous aider à partager les coûts », affirme le maire de Rimouski, Guy Caron.

La livraison du stade doit s’effectuer d’ici la fin de 2027.

Impact sur le compte de taxes

Il estime que l’impact de la réalisation du stade multisports sur le compte de taxes d’une propriété moyenne évaluée à 253 000$ sera de 38$ par année.

« Si on compare avec le Complexe Desjardins, la Ville avait emprunté 7 M$ pour un projet de 40 M$. L’impact fiscal pour une propriété moyenne était de 21$ ».

Le maire Caron rappelle que le projet est prioritaire, puisque Rimouski demeure la seule ville de plus de 50 000 habitants au Québec à ne pas avoir ce type d’installation.

En avril dernier, la Ville a confirmé son intention d’entamer prochainement la construction du stade multisports au Complexe sportif Guillaume-Leblanc d’ici la fin de l’année 2027. Le Soir.ca avait dévoilé l’information, le 11 mars, alors que monsieur Guy Caron l’avait aussi évoqué dans nos pages en décembre.

Rimouski souhaite construire le futur complexe multisports à l’intérieur du périmètre du complexe sportif Guillaume-Leblanc. (Photo courtoisie)

L’infrastructure comportera trois plateaux permettant la pratique du soccer à onze joueurs se divisant en trois terrains à sept joueurs, en plus d’une piste de course intérieure de trois corridors.

Les installations permettront d’accueillir des clubs sportifs de plusieurs disciplines dont le football, le baseball, le golf, l’ultimate frisbee, le soccer, le rugby, l’athlétisme et le triathlon, tout en offrant un lieu libre d’accès aux citoyens pour la pratique de la marche et de la course à pied.

Projet initial de 38 M$

Le projet initial soumis par la Ville pour l’obtention d’une financière du gouvernement du Québec était de 38 M$. Il n’a pas été retenu.

« Le message que nous avons du gouvernement est de ne pas espérer de bonifications du programme. Le gouvernement est en train de se serrer la ceinture. Nous n’avons pas trop d’espoirs qu’un projet comme le nôtre soit retenu. Le gouvernement semble vouloir saupoudrer de l’argent dans plusieurs petits projets plutôt que d’investir dans un gros », mentionnait monsieur Caron, dans une précédente entrevue.

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  • Crimes sexuels : Ronald Audet évalué avant son procès
    Le procès de Ronald Audet, de Mont-Joli, qui fait face à trois chefs d’accusation en matière de crimes sexuels, ne débutera finalement pas ce mardi 25 août tel que prévu. Une nouvelle évaluation sur l’aptitude à comparaître de l’octogénaire a été ordonnée par le tribunal, ce lundi, au palais de justice de Rimouski. Les nouvelles dates du procès seront fixées au retour de l’évaluation, si l’accusé de 86 ans est déclaré apte à subir son procès. Prévu initialement à compter du 30 juin, le pr
     

Crimes sexuels : Ronald Audet évalué avant son procès

Le procès de Ronald Audet, de Mont-Joli, qui fait face à trois chefs d’accusation en matière de crimes sexuels, ne débutera finalement pas ce mardi 25 août tel que prévu. Une nouvelle évaluation sur l’aptitude à comparaître de l’octogénaire a été ordonnée par le tribunal, ce lundi, au palais de justice de Rimouski.

Les nouvelles dates du procès seront fixées au retour de l’évaluation, si l’accusé de 86 ans est déclaré apte à subir son procès.

Prévu initialement à compter du 30 juin, le procès avait été reporté du 26 au 29 août au palais de justice de Rimouski. La juge Annick Poirier avait accepté la demande de report formulée par l’avocate de l’accusé, Me Caroline Bérubé, malgré l’objection de la procureure de la Couronne, Me Marie-Pierre Chicoine-Côté.

Audet fait face à deux chefs d’accusation d’attentat à la pudeur et un de grossière indécence. Le vocable attentat à la pudeur n’existe plus aujourd’hui. Il a été remplacé par celui d’agression sexuelle, mais les accusations doivent être celles qui étaient en place au moment des gestes reprochés.

L’octogénaire a été arrêté le 28 septembre 2023 et libéré sous promesse de comparaître le 3 octobre, ce qu’il a fait au palais de justice de Mont-Joli.

Apte à subir son procès

Ronald Audet a été déclaré apte à subir son procès à la suite d’une première évaluation par un spécialiste.

« Mon client a eu des problèmes cardiaques qui ont mené à un ACV. Il a des hauts et des bas. Nous avons tenu l’enquête préliminaire pendant que mon client était hospitalisé à la suite d’un ACV », a mentionné Me Caroline Bérubé, lors d’une précédente comparution.

Le palais de justice de Mont-Joli. (Photo courtoisie FLO 96,5)

Audet a été cité à son procès au terme de son enquête préliminaire. Comme c’est la coutume, les témoignages livrés au stade de l’enquête préliminaire sont frappés d’une ordonnance de non-publication afin de ne pas influencer le procès à venir.

Ronald Audet a choisi un procès devant un juge seul (sans jury).

Les accusations sont en lien avec des événements qui seraient survenus entre septembre 1974 et janvier 1983 à Mont-Joli et à Saint-Zénon-du-Lac Humqui.

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  • Mont-Joli veut une deuxième piscine intérieure
    Mont-Joli souhaite se doter d’une deuxième piscine intérieure, qui s’ajouterait à la piscine Gervais-Rioux déjà existante. Le projet viserait à offrir une installation moderne, qui pourrait également être accessible en été pour permettre aux citoyens de se rafraîchir. Le maire Martin Soucy estime qu’il s’agit d’un projet réalisable au cours d’un prochain mandat. Celui-ci a déjà confirmé qu’il solliciterait un troisième mandat aux élections municipales du 2 novembre. « La Ville a bel et bie
     

Mont-Joli veut une deuxième piscine intérieure

Mont-Joli souhaite se doter d’une deuxième piscine intérieure, qui s’ajouterait à la piscine Gervais-Rioux déjà existante. Le projet viserait à offrir une installation moderne, qui pourrait également être accessible en été pour permettre aux citoyens de se rafraîchir.

Le maire Martin Soucy estime qu’il s’agit d’un projet réalisable au cours d’un prochain mandat. Celui-ci a déjà confirmé qu’il solliciterait un troisième mandat aux élections municipales du 2 novembre.

« La Ville a bel et bien l’intention de développer une nouvelle piscine municipale. Nous travaillons déjà sur ce dossier. L’idée est qu’elle puisse être ouverte sur l’extérieur grâce à un rideau ou une porte, un peu à la manière d’une piscine extérieure. Le design reste à définir, mais nous voulons concrétiser ce projet », explique monsieur Soucy.

Il s’agit d’un vœu du conseil municipal. Actuellement, aucun échéancier financier n’est rattaché au projet.

Mont-Joli dispose également d’une barboteuse peu profonde et de jeux d’eau extérieurs.

« Ces installations ont été très fréquentées par les jeunes et les familles. Elles ont bien répondu à la demande », souligne monsieur Soucy.

Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)

La piscine Gervais-Rioux est le principal bassin de La Mitis, dont le niveau le plus creux atteint 12 pieds, servant pour la natation libre, les cours de natation, les leçons de sauvetage et les programmes d’aquagym.

Ses installations comprennent également une glissade, un tremplin d’un mètre et un mur d’escalade. Il sert aussi de lieu d’entraînement et de compétition pour le Club de natation des Espadons de Mont-Joli.

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