Vue normale
-
Le Devoir
-
La Fed maintient ses taux, accroissant la frustration de Trump
Le président américain a insulté le président de la Fed, Jerome Powell, répétant qu’il n’y a « pas d’inflation ».
-
Le Devoir
-
Eric Girard ravi par la bonne note de Moody’s
Cette cote de crédit est la preuve de la résilience de l’économie du Québec, selon le ministre des finances.
Eric Girard ravi par la bonne note de Moody’s
-
Journal Le Soir
-
Traverse Rimouski-Forestville : « pas question de baisser les bras »
Le président des Industries Rilec, Louis-Olivier Carré, n’a pas l’intention de laisser tomber le projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville, même si la députée-ministre Maïté Blanchette-Joncas, a confirmé au Soir.ca qu’il était impossible de lui verser près de 9 M$, d’ici un mois, pour procéder à l’achat d’un navire européen pour assurer les opérations dès 2026. Lors d’une conférence de presse, ce lundi 16 juin, l’entrepreneur rimouskois avait fait part de sa volonté d’acheter un
Traverse Rimouski-Forestville : « pas question de baisser les bras »

Le président des Industries Rilec, Louis-Olivier Carré, n’a pas l’intention de laisser tomber le projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville, même si la députée-ministre Maïté Blanchette-Joncas, a confirmé au Soir.ca qu’il était impossible de lui verser près de 9 M$, d’ici un mois, pour procéder à l’achat d’un navire européen pour assurer les opérations dès 2026.
Lors d’une conférence de presse, ce lundi 16 juin, l’entrepreneur rimouskois avait fait part de sa volonté d’acheter un traversier, mais il expliquait avoir besoin de l’aide de Québec pour concrétiser la transaction. Sinon, le bateau retournerait sur le marché.
Rencontrée ce mardi 17 juin, madame Blanchette Vézina déclarait que le projet de relance, dans son format actuel, ne serait pas possible, en expliquant que le financement pourrait être accordé, mais seulement par l’entremise d’un organisme à but non lucratif (OBNL).
L’abandon n’est pas considéré
Malgré le refus exprimé par Québec, Louis-Olivier Carré, refuse de porter le fardeau des délais, comme quoi il est trop tard.
« Ce n’est pas vrai : tout y était, rien ne manquait. C’est comme si on était arrivé à la dernière minute, alors que ça fait deux ans qu’on travaille sur ce projet. Notre entreprise a dépensé plus de 100 000$, seulement pour monter le plan d’affaires, faire faire les études et trouver le bon bateau, afin que ce soit un projet le plus parfait possible et qu’il soit le plus adapté possible à Rimouski. »
Monsieur Carré estime que le travail qui pouvait être effectué par les Industries Rilec a été réalisé.
« L’occasion n’a simplement pas été saisie quand c’était le cas. C’est pour cette raison que nous avons interpellé les médias. Il faut que ça avance. »

En ce qui concerne l’organisme à but non lucratif mis de l’avant par madame Blanchette Vézina, Louis-Olivier Carré est d’avis que ce dernier a un rôle majeur a joué dans la concrétisation du projet.
« Je pense qu’au moment où on se parle, c’est à l’OBNL de faire sa part. De notre côté, on ne peut pas en faire plus. L’organisme est représenté par les deux villes concernées, Rimouski et Forestville. C’est donc à leur tour de prendre la balle au bond et de s’activer le plus rapidement possible pour régler le problème. »
Projet mené pour être réussi
L’homme d’affaires réitère que le projet de relance est » essentiel et justifié. » Depuis la tenue de la conférence de presse, il rapporte avoir reçu des appels pour des réservations sur le bateau.
« Le bateau n’est pas ici, mais il y a déjà des gens qui veulent réserver de la place pour des camions. L’intérêt est là, c’est incroyable. »
Il pense également que le gouvernement devrait user de l’expertise de son entreprise.
« On ne veut pas s’en remettre au gouvernement pour dire plus tard que le projet n’a pas fonctionné, mais que ce n’était pas notre faute. Ce n’est pas notre philosophie : il faut que le projet réussisse et tout ce que nous avons entrepris jusqu’à maintenant a été une réussite. Si on s’investit dans ce projet, c’est dans ce but. On y croit et ça aussi, c’est important. Si on n’était pas certain, s’il y avait trop d’éléments inconnus dans le dossier, nous n’aurions pas entrepris toutes les démarches que nous avons menées depuis les deux dernières années. »
-
Le Devoir
-
Même si l’agriculture s’adapte, les rendements de blé, de riz ou de maïs vont chuter, selon une étude
Les changements climatiques réduiront la capacité de la planète à se nourrir, selon une étude.
Même si l’agriculture s’adapte, les rendements de blé, de riz ou de maïs vont chuter, selon une étude
-
Journal Le Soir
-
Saint-Gabriel : tout est en place pour accueillir les touristes
Saint-Gabriel-de-Rimouski lance sa saison touristique pour l’année 2025, en mettant de l’avant les organismes et les entreprises qui se trouvent sur son territoire et qui ont de l’intérêt pour la clientèle touristique. Pour Étienne Lévesque de Promotion Saint-Gabriel, trois éléments permettent à la municipalité de se démarquer comme destination touristique. « Il y a différents aspects qui distinguent Saint-Gabriel des autres endroits. Premièrement, il y a son côté villégiature et la beaut
Saint-Gabriel : tout est en place pour accueillir les touristes

Saint-Gabriel-de-Rimouski lance sa saison touristique pour l’année 2025, en mettant de l’avant les organismes et les entreprises qui se trouvent sur son territoire et qui ont de l’intérêt pour la clientèle touristique.
Pour Étienne Lévesque de Promotion Saint-Gabriel, trois éléments permettent à la municipalité de se démarquer comme destination touristique.
« Il y a différents aspects qui distinguent Saint-Gabriel des autres endroits. Premièrement, il y a son côté villégiature et la beauté de son paysage. Qu’on soit dans n’importe quel rang à Saint-Gabriel, ou même dans le village, le paysage est magnifique. Dans un deuxième temps, je pense que son aspect événementiel fait en sorte que l’on peut accueillir des gens à Saint-Gabriel-de-Rimouski. Je pense au festival, qui se déroulera cette année sur deux fins de semaine. On invite les gens à sortir de la grande ville et à venir nous rejoindre. On aura du gymkhana, du rodéo et des artistes de hauts niveaux, sous le chapiteau. »

Le dernier élément soulevé par monsieur Lévesque est le marché public des Hauts-Plateaux, pour lequel il est aussi administrateur. Le marché aura lieu tous les jeudis de 16 h à 19 h à compter du 19 juin.
« Ce sont de beaux éléments qui invitent la clientèle touristique à s’éloigner un peu du fleuve. Si elle est en visite dans d’autres endroits de La Mitis, elle voudra faire l’effort de monter dans les terres, afin de découvrir le Haut-Pays, profiter de ses paysages et de ses attractions », estime monsieur Lévesque.
Domaine Valga
Il ajoute que le tourisme va bon train dans son coin de pays, notamment grâce à l’ajout d’un chemin qui permet aux gens de se rendre au Domaine Valga, à partir de Saint-Gabriel.
« À l’époque, le domaine transigeait par Saint-Donat-de-Rimouski. Plusieurs personnes pensaient donc qu’il s’agissait d’une entreprise de Saint-Donat, alors que c’est bien une entreprise qui se situe à Saint-Gabriel et qui y paie des taxes. Tout récemment, en 2023, l’entreprise nous a interpellés pour nous dire qu’elle serait prête à faire affaire avec Saint-Gabriel. Il faut le voir comme une avenue de développement. Il y a environ 10 000 touristes qui passent par chez nous maintenant, ce qui profite à l’Épicerie Saint-Laurent, au Dépanneur central MG et aux stations-service. »
-
Le Devoir
-
Quel avenir pour les relations canado-européennes?
L’ancien ministre français et haut fonctionnaire européen Pierre Moscovici a répondu aux questions du «Devoir».
Quel avenir pour les relations canado-européennes?
-
Le Devoir
-
La Banque du Canada a envisagé une baisse de taux, entravée par l’incertitude tarifaire
Le matin même de la dernière annonce, Trump a fini par doubler les droits de douane sur l’acier et l’aluminium.
La Banque du Canada a envisagé une baisse de taux, entravée par l’incertitude tarifaire
-
Le Devoir
-
Les banques canadiennes financent davantage les énergies fossiles
Elles figurent parmi les principaux bailleurs de fonds du secteur en 2024, année la plus chaude jamais enregistrée.
Les banques canadiennes financent davantage les énergies fossiles
-
Le Devoir
-
Trump accorde un nouveau sursis pour la vente de TikTok, alors que le dossier s’éternise
La vente du réseau social chinois, imposée par le Congrès, tarde à se concrétiser à l’approche d’une énième date butoir.
Trump accorde un nouveau sursis pour la vente de TikTok, alors que le dossier s’éternise
-
Le Devoir
-
De quel pourcentage s’accroîtra la dette actuelle du Québec?
Le total de la dette brute était de 258 milliards de dollars au 31 mars dernier.
De quel pourcentage s’accroîtra la dette actuelle du Québec?
-
Journal Le Soir
-
Des projets de 262 M$ d’ici 2030 pour Rimouski
Le conseil municipal de Rimouski adopte le Programme quinquennal d’immobilisations (PQI) 2026-2030, qui comporte des projets de 262 M$ pour les cinq prochaines années, une augmentation des investissements projetés en comparaison avec le PQI présenté l’an dernier. La Ville prévoit des investissements de 51 M$ en 2026, de 60,8 M$ en 2027, de 58,1 M$ en 2028, de 52,4 M$ en 2029 et de 39,9 M$ en 2030. Son directeur général, Marco Desbiens, indique que cette planification s’articule autour du
Des projets de 262 M$ d’ici 2030 pour Rimouski

Le conseil municipal de Rimouski adopte le Programme quinquennal d’immobilisations (PQI) 2026-2030, qui comporte des projets de 262 M$ pour les cinq prochaines années, une augmentation des investissements projetés en comparaison avec le PQI présenté l’an dernier.
La Ville prévoit des investissements de 51 M$ en 2026, de 60,8 M$ en 2027, de 58,1 M$ en 2028, de 52,4 M$ en 2029 et de 39,9 M$ en 2030.
Son directeur général, Marco Desbiens, indique que cette planification s’articule autour du maintien des actifs pour les 15 prochaines années.
« C’est quelque chose qui prend un peu plus de place dans la planification présentée aujourd’hui, dans la mesure où on rentre dans un cycle où on a des investissements quand même importants dans les 15 prochaines années, qu’on peut prévoir, pour s’assurer du maintien en bon état de nos infrastructures. On a tout près de 200 millions de dollars d’investissements qui sont prévus en aqueduc, en égout, dans nos routes ou dans nos bâtiments, pour nous assurer de maintenir des infrastructures en état. »
En tout, 113 M$ d’investissements serviront à la catégorie d’actif d’aqueduc et égout, tandis que 45 M$ d’investissements serviront au réseau routier et que 25 M$ d’investissements serviront au parc immobilier.
« Par exemple, si on a un réseau d’aqueduc de 85 ans, qui a une durée de vie estimée de 100 ans, on planifie son remplacement dans les 15 prochaines années. On est venu articuler notre planification autour de ces éléments-là pour s’assurer qu’on ne soit pas devant un mur infranchissable dans les 15 ou 20 prochaines années, en ayant sous-investi dans cet entretien. »
Principaux investissements prévus en 2026
En ce qui concerne les principaux investissements prévus en 2026, un projet qui retient l’attention est la construction du centre multisports. À ce sujet, Rimouski recherche des partenaires privés.
« On est présentement en train de travailler sur le devis de performance du centre. Nous avons besoin de contributeurs qui pourraient nous aider à boucler le financement du projet. La Ville a mis une planification de 21 M$ pour réaliser ce projet. Le budget est estimé à 25 M$, donc s’il y a des gens ou de grandes entreprises qui souhaitent nous appuyer dans la réalisation de ce grand projet, il est possible de nous contacter », ajoute monsieur Desbiens.

Ce sont 10 M$ d’investissements qui sont prévus en 2026 pour la construction du centre.
Parmi les autres investissements principaux se trouvent :
- 6 M$ pour la réfection des infrastructures en aqueduc et égout
- 5 M$ pour le programme d’aide à la voirie locale
- 4,5 M$ pour l’amélioration du drainage au lieu d’enfouissement sanitaire (LES)
- 3,5 M$ pour la mise à niveau du bâtiment des Tennis de Rimouski
- 3 M$ pour le programme de réfection du réseau routier
- 1,8 M$ pour des travaux d’extension de services
- 1,8 M$ pour le remplacement d’un camion-citerne du Service de sécurité incendie
Des sommes sont aussi prévues pour le projet de revitalisation et remembrement de Rimouski-Est, la rénovation du presbytère, des travaux de mise à niveau des bâtiments, le réaménagement de l’hôtel de ville, la mise en valeur du centre-ville, des travaux de réfection du terrain de tennis de Nazareth et la poursuite de la conversion de l’éclairage à DEL dans les parcs et sur la promenade de la mer.
-
Journal Le Soir
-
Rimouski-Forestville : Rilec presse Québec de financer la relance
Le président des Industries Rilec presse Québec de l’aider à financer la relance de la traverse Rimouski-Forestville, inopérante depuis trois ans. Louis-Olivier Carré réitère sa demande de subvention auprès du ministère des Transports et de la Mobilité durable et pour laquelle il a essuyé un refus, il y a trois semaines. L’homme d’affaires de Rimouski a besoin de près de 9 M$ d’ici un mois pour faire l’achat d’un traversier européen. « C’est un projet qui nous tient vraiment à cœur », a f
Rimouski-Forestville : Rilec presse Québec de financer la relance

Le président des Industries Rilec presse Québec de l’aider à financer la relance de la traverse Rimouski-Forestville, inopérante depuis trois ans. Louis-Olivier Carré réitère sa demande de subvention auprès du ministère des Transports et de la Mobilité durable et pour laquelle il a essuyé un refus, il y a trois semaines.
L’homme d’affaires de Rimouski a besoin de près de 9 M$ d’ici un mois pour faire l’achat d’un traversier européen.
« C’est un projet qui nous tient vraiment à cœur », a fait savoir monsieur Carré lors d’une conférence de presse tenue, ce lundi 16 juin, dans une salle bondée de gens d’affaires, d’élus et d’intervenants touristiques.
Une analyse du cabinet Blouin comptables professionnels agréés de Rimouski a démontré que de réels besoins justifiaient l’acquisition d’un navire ayant une plus grande capacité que le CNM Évolution, qui a assuré la liaison pendant 24 ans.
Un total de 10 bateaux construits à partir de 2018 ont été sélectionnés. Louis-Olivier Carré s’est rendu en Europe pour faire des inspections techniques et son choix s’est arrêté sur un navire récent, construit l’an dernier.
Puisque rien n’est encore signé, il refuse de fournir son nom et sous quel pavillon il bat.
Ce traversier peut accueillir 90 véhicules et 300 passagers, comparativement au CNM Évolution qui pouvait avoir 30 véhicules et 150 passagers à son bord. Il peut aussi transporter 14 camions-remorques. D’une longueur de 265 pieds (80,8 mètres) et d’une largeur de 52 pieds (15,8 mètres), il est à double entrée, c’est-à-dire qu’il n’a ni proue ni poupe.
« L’un des plus gros avantages de ce bateau, c’est qu’il n’y a pas de manœuvres à faire, a observé monsieur Carré. Il arrive toujours à quai dans le bon sens. Il présente donc une efficacité sur le plan de l’accostage. »
La durée de la traversée devrait être d’environ deux heures. Comme ce type de bateau ne peut naviguer dans les glaces, sa saison d’opération serait de mai à octobre.
Si ce bateau a été choisi, c’est parce qu’il ne nécessite pas de réparation et qu’il est le plus proche des normes canadiennes, de l’avis du patron des Industries Rilec.
Service essentiel
Louis-Olivier Carré martèle que le redémarrage de la traverse est essentiel. Par ailleurs, il croit que le risque financier doit être partagé entre son entreprise et le gouvernement.
S’il a essuyé un refus à sa demande d’aide financière, le promoteur a cependant eu une bonne nouvelle: un mandat officiel a été confié à la Société portuaire du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie pour étudier l’installation d’une traverse au quai de Rimouski.
« On espère qu’une avenue puisse être discutée avec le gouvernement pour dénouer l’impasse afin de rendre possible ce lien humain et économique essentiel pour le Bas-Saint-Laurent et la Côte-Nord, a indiqué l’homme d’affaires. C’est un lien qui est important pour la vitalité socioéconomique de nos régions. »

Comme Louis-Olivier Carré souhaite le retour du service en 2026, il faudrait que le navire soit arrivé à Rimouski au plus tard à la fin septembre. Le promoteur espère donc convaincre le gouvernement Legault d’ici un mois.
S’il n’a pas d’engagement ferme d’ici ce temps pour obtenir le soutien financier nécessaire à son acquisition, le navire retournera sur le marché. Au bout de cette échéance, si Québec dit toujours non, monsieur Carré croit que la population devra faire son deuil de cette traverse.
Élus favorables
Le maire de Rimouski accueille avec enthousiasme le projet et croit que Québec pourrait accepter de subventionner les infrastructures et les mises à niveau, comme il l’a déjà fait avec l’ancien propriétaire du traversier. L’élu nourrit beaucoup d’espoir.
À son avis, cette traverse pourrait venir en relève lorsque l’une des traverses n’est pas en fonction.
« Ça fait plus d’un an qu’on travaille avec monsieur Carré sur le projet, souligne Guy Caron. On est emballé par la viabilité du projet et par sa vision. Il faut maintenant avoir les moyens pour le réaliser. »
La mairesse de Forestville et préfète de La Haute-Côte-Nord s’est dite heureuse de constater la mobilisation du milieu autour du projet. « C’est un signal clair que c’est un service essentiel entre nos deux rives », a réagi Micheline Anctil.
Pour elle, il ne s’agit pas seulement d’un projet pour Forestville, mais pour toute la Côte-Nord et les régions limitrophes.
« C’est un levier de développement économique et touristique. C’est aussi nécessaire pour l’accès à des soins de santé et aux services éducatifs. Ce serait un juste retour pour la Côte-Nord qui, avec toutes ses ressources naturelles, contribue à l’économie du Québec. »
-
Journal Le Soir
-
Métis-Neigette acquiert les bâtiments de Bois BSL
Le Groupement forestier Métis-Neigette confirme l’achat des cinq bâtiments de Bois BSL à Mont-Joli, inoccupés depuis la faillite du fabricant de planchers de bois franc en août 2024. La Cour supérieure a récemment autorisé la transaction évaluée à 2,5 M$. Le Groupement dit avoir saisi l’occasion stratégique d’acquérir ces infrastructures, qui présentent un fort potentiel de développement. Son conseil d’administration dévoilera, au cours des prochains mois, les projets qui verront le jour s
Métis-Neigette acquiert les bâtiments de Bois BSL

Le Groupement forestier Métis-Neigette confirme l’achat des cinq bâtiments de Bois BSL à Mont-Joli, inoccupés depuis la faillite du fabricant de planchers de bois franc en août 2024.
La Cour supérieure a récemment autorisé la transaction évaluée à 2,5 M$.
Le Groupement dit avoir saisi l’occasion stratégique d’acquérir ces infrastructures, qui présentent un fort potentiel de développement. Son conseil d’administration dévoilera, au cours des prochains mois, les projets qui verront le jour sur ce site.
« Nous sommes fiers de contribuer activement au dynamisme économique du Parc industriel de Mont-Joli. Il était essentiel de maintenir un enracinement local en réinvestissant concrètement dans ces infrastructures. Ce geste illustre notre engagement envers le territoire et notre désir de maintenir une proximité réelle avec la population », indique son directeur général, Joël Guimond, dans un communiqué de presse.
Position stratégique
Le maire de Mont-Joli, Martin Soucy, espérait voir un repreneur du secteur forestier pour occuper les bâtiments de l’ancien Bois BSL comprenant des espaces de production et des bureaux, en entrevue avec Le Soir.ca, en novembre dernier.
Le maire Soucy était convaincu que la position stratégique de sa ville va inciter une entreprise à s’installer dans les anciennes usines de Bois BSL.
« Le site est à proximité du chemin de fer et de l’aéroport régional. Il y a un bassin de main-d’œuvre disponible », précisait-il.

Le Groupement forestier Métis-Neigette opère deux usines de sciages à La Rédemption et à Saint-Fabien. L’organisme a fêté ses 50 ans en 2024. Il est issu du regroupement réussi en 2018 entre les sociétés d’exploitation des ressources de la Mitis et de la Neigette.
Avec toutes ses filiales, le Groupement forestier Métis-Neigette emploie 200 personnes, à part des sous-traitants, pour des travaux en forêt, dans ses usines de transformation du bois et en acériculture.
-
Journal Le Soir
-
PQM.net consolide sa clientèle montréalaise
PQM.net poursuit ses acquisitions en prenant le contrôle de l’Agence Webdiffusion, une entreprise montréalaise fondée en 2013 pour faire la promotion d’événements virtuels et en présentiel. L’entreprise rimouskoise consolide ainsi sa base de clients dans la métropole. La fondatrice de l’Agence Webdiffusion, Claudia Baillargeon, se joint à l’équipe de direction de PQM.net àtitre de conseillère principale, relations clients et croissance. Dans les dernières semaines, PQM.net a aussi con
PQM.net consolide sa clientèle montréalaise

PQM.net poursuit ses acquisitions en prenant le contrôle de l’Agence Webdiffusion, une entreprise montréalaise fondée en 2013 pour faire la promotion d’événements virtuels et en présentiel.
L’entreprise rimouskoise consolide ainsi sa base de clients dans la métropole.
La fondatrice de l’Agence Webdiffusion, Claudia Baillargeon, se joint à l’équipe de direction de PQM.net à
titre de conseillère principale, relations clients et croissance.
Dans les dernières semaines, PQM.net a aussi confirmé l’ouverture d’un nouveau studio de webdiffusion à Montréal.
Situé dans l’immeuble 1Chabanel.com, à l’angle de la rue Chabanel et du boulevard Saint-Laurent, le studio permettra à la compagnie d’offrir des productions de qualité télévisuelle.
De père en fils
Louis-Philippe Landry dirige maintenant PQM.net. Son fondateur, Jacques Landry, a passé le flambeau à ses quatre fils, en 2022, après un processus de transfert débuté six ans plus tôt.
PQM.net offre des services de webdiffusion et d’événements hybrides depuis le début des années 2000. La pandémie a augmenté sa croissance avec le développement des services de webdiffusion.
PQM.net demeure aussi derrière la production des matchs de l’Océanic à la chaîne 526 de TELUS.

-
Le Devoir
-
François Legault soutient Bombardier au Salon du Bourget
Le premier ministre québécois souhaite que la compagnie profite des investissements massifs d’Ottawa en défense.
François Legault soutient Bombardier au Salon du Bourget
-
Journal Le Soir
-
La traverse Rimouski-Forestville est relancée
L’entrepreneur rimouskois, Louis-Olivier Carré, des Entreprises Rilec, présente un projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville. Depuis 2022, les Rimouskois et les Forestvillois sont orphelins de transport maritime depuis l’arrêt des opérations du CNM Évolution, propriété de feu Hilaire Journault. Jusqu’à maintenant, les tentatives de relance du service ont été en vain. C’est à ce moment que Rilec entre en jeu. Ayant repris l’entreprise de son père depuis maintenant 21 ans, Louis-
La traverse Rimouski-Forestville est relancée

L’entrepreneur rimouskois, Louis-Olivier Carré, des Entreprises Rilec, présente un projet de relance de la traverse Rimouski-Forestville.
Depuis 2022, les Rimouskois et les Forestvillois sont orphelins de transport maritime depuis l’arrêt des opérations du CNM Évolution, propriété de feu Hilaire Journault. Jusqu’à maintenant, les tentatives de relance du service ont été en vain.
C’est à ce moment que Rilec entre en jeu. Ayant repris l’entreprise de son père depuis maintenant 21 ans, Louis-Olivier Carré est un acteur de premier plan en ce qui a trait à la traverse Rimouski-Forestville.
« À partir de la mise en service du CNM Évolution en 1997 jusqu’en 2022, c’est notre entreprise qui a toujours réalisé les travaux et interventions sur le navire. Nous avions alors évalué de multiples scénarios pour sa remise en service jusqu’à ce qu’on en vienne à la conclusion qu’un transfert d’entreprise devait être fait. »
Une entente verbale était même survenue avec Hilaire Journault pour la reprise du navire, mais suite à son décès, les choses ont changé.
« Nous avons poussé nos analyses et nous en sommes venus à la conclusion que la meilleure solution était de se tourner vers un autre bateau pour relancer la traverse. »
Après une séance de magasinage, Louis-Olivier Carré s’est rendu en Europe pour réserver un navire qui a la capacité d’accueil de 300 passagers et 90 véhicules.

Pour l’instant, le navire est réservé, mais comme le mentionne le propriétaire de Rilec, « il est minuit moins une, parce que la réservation a une date d’échéance. »
Service essentiel à la population
Considérant que la traverse représente un service essentiel à offrir à la population, Louis-Olivier Carré a déposé un projet au ministère des Transports pour une aide financière de 7 M$, plus un montant de 1,9 M$ en taxes non remboursables.
« La première mouture de notre projet a été rejetée, mais la porte n’est pas fermée. On doit maintenant revenir avec le projet sous une autre forme. Ce qu’on souhaite, c’est que le gouvernement considère que Rimouski est la capitale régionale et que ça n’a pas de bon sens de ne pas avoir de traverse. »
Le projet a déjà reçu l’appui de la MRC de la Haute-Côte-Nord et de la Ville de Forestville. La Ville de Rimouski est aussi en faveur du projet.
-
Le Devoir
-
La diversification du commerce international en marche au Port de Montréal
Les exportations vers la Chine, l’Europe et l’Afrique sont en hausse.
La diversification du commerce international en marche au Port de Montréal
-
Le Devoir
-
Les Innus revendiquent l’un des derniers clubs américains de pêche au saumon encore actifs
Ils ont tenté de déloger les propriétaires du camp Adams, installé sur la plus grosse rivière intacte de la Côte-Nord.
Les Innus revendiquent l’un des derniers clubs américains de pêche au saumon encore actifs
-
Journal Le Soir
-
Bic sur Mer : l’art de se réinventer
En faisant peau neuve, le terrain de golf du Bic fait aujourd’hui place à Bic sur Mer. Nouvellement devenu la propriété de l’homme d’affaires Éric Fournier, le lieu emblématique, reconnu pour sa vue imprenable sur les îles du Bic, a subi d’importantes transformations et l’ajout de nouvelles installations. L’automne dernier, alors qu’il venait tout juste de prendre sa retraite de l’entreprise Moment Factory de Montréal, pour laquelle il était l’un des trois actionnaires, Éric Fournier apprend
Bic sur Mer : l’art de se réinventer

En faisant peau neuve, le terrain de golf du Bic fait aujourd’hui place à Bic sur Mer. Nouvellement devenu la propriété de l’homme d’affaires Éric Fournier, le lieu emblématique, reconnu pour sa vue imprenable sur les îles du Bic, a subi d’importantes transformations et l’ajout de nouvelles installations.
L’automne dernier, alors qu’il venait tout juste de prendre sa retraite de l’entreprise Moment Factory de Montréal, pour laquelle il était l’un des trois actionnaires, Éric Fournier apprend que le Club de golf du Bic est à vendre, qu’il est techniquement en faillite.
« Moi qui ai grandi ici, je trouvais ça triste qu’un terrain de cette qualité, situé dans un site fabuleux, ferme ses portes parce qu’il n’y a plus personne d’intéressé à s’en occuper. Le club de golf du Bic, ça fait partie de mon ADN. Le décor est magnifique ! »
Avant d’acheter l’entreprise, il a élaboré une liste de priorités afin d’étudier et de comprendre la situation dans laquelle se trouvait le club de golf.
« C’était pour que, le jour où je serais propriétaire, je puisse commencer tout de suite les travaux, explique-t-il. Il ne fallait pas que je me retrouve au printemps avec rien qui ne soit fait. »
Bien qu’il aime le golf, Éric Fournier n’est pas un golfeur. Il préfère jouer au hockey. Jusqu’à l’an dernier, son emploi du temps ne lui permettait pas de jouer au golf.
« J’ai eu une carrière hyper exigeante, raconte l’homme d’affaires. J’ai travaillé chez Bombardier et au Cirque du Soleil. Avec les enfants et les déplacements, ça ne rentrait pas dans mon agenda. J’arrivais d’Europe le vendredi, j’étais sur le décalage horaire. Je ne pouvais pas aller jouer au golf le samedi ! »
Investissements importants
Éric Fournier s’est porté acquéreur du lieu le 31 octobre au coût de 1 M$.
« J’ai accordé des droits de jeu aux anciens actionnaires, précise le nouveau propriétaire de Bic sur Mer. Ils ont des rabais de jeu et des gratuités. Comme autre condition d’achat, il y a une promesse d’investissement de 1,2 M$. Cette promesse était sur cinq ans et je l’ai remplie en un an. Ils voulaient s’assurer que j’allais entretenir le site et le garder en bon état. »

Fournier a notamment fait construire un bâtiment qui accueillera une cantine avec service de bar et autres services aux golfeurs.
« Ça vient ajouter à la qualité de l’expérience et à la personnalité du lieu. ». L’intérieur du Club House a aussi été rafraîchi, le mobilier a été changé et la boutique y a déménagé.
Le Club de golf du Bic a été fondé en 1932. À l’origine, le parcours était de 9 trous. En 1962, on y a ajouté 9 autres trous. Ces dernières années, il se jouait autour de 18 000 rondes par saison. Éric Fournier a pour objectif d’atteindre 23 000 rondes.
« Je veux attirer de nouveaux golfeurs et des touristes. »
Nouveau pro et nouveau chef
Le nouveau professionnel de Bic sur Mer est Martin Landry de Rimouski, pour qui le terrain n’a plus de secret, puisqu’il s’est initié à ce sport à cet endroit à l’âge de 10 ans.
Après avoir œuvré au Club de golf La Vallée du Richelieu en Montérégie, M. Landry fait un retour dans son alma mater.
Le chef Adrian Pastor a conçu l’offre alimentaire basée sur des produits provenant de la région.

L’approvisionnement se fera notamment chez Florent charcuteries artisanales, une nouvelle boutique qui ouvrira bientôt ses portes au centre-ville de Rimouski. Le propriétaire est l’ancien chef de l’Auberge du Mange-Grenouille, Antoine Landry.
Une place pour les arts
Pour l’homme d’affaires, un club de golf est un lieu de contemplation. Lui et sa conjointe, Carole Deniger, ont donc décidé d’ajouter des œuvres d’art sur le terrain.
C’est la raison pour laquelle on peut faire la rencontre de la sculpture d’un jeune orignal. Il s’agit d’une œuvre de l’artiste Ludovic Boney de Lévis.

Autre première pour le terrain de golf. Le spectacle Kàsalà et poutine sera offert le 26 juillet sur le terrain de pratique dans le cadre des Concerts aux îles du Bic.
Pour Éric Fournier, le site rappelle un véritable amphithéâtre, qui propose une vue imprenable sur le fleuve et le parc national du Bic. Le coucher de soleil ajoutera au spectacle, imagine l’homme d’affaires.
-
Le Devoir
-
Des créateurs québécois reprochent à Shein et Temu de les copier
Face à ces géants du commerce en ligne, les recours sont minces, et aussi coûteux qu’incertains.
Des créateurs québécois reprochent à Shein et Temu de les copier
-
Le Devoir
-
Le Canada devrait-il s’inspirer de la France pour s’attaquer à la mode de l’ultrajetable?
Le Canada devrait-il aussi légiférer pour freiner les Shein et Temu de ce monde ?
Le Canada devrait-il s’inspirer de la France pour s’attaquer à la mode de l’ultrajetable?
-
Le Devoir
-
Une «optimiste lucide» à la tête de la Chambre de commerce de Montréal
La nouvelle p.-d.g. Isabelle Dessureault dévoile les grandes lignes de sa feuille de route.
Une «optimiste lucide» à la tête de la Chambre de commerce de Montréal
-
Journal Le Soir
-
Des vins de La Mitis qui se distinguent
Les vins du vignoble la FETE (Ferme expérimentale Terre-Eau) ravissent de plus en plus le palais des fins dégustateurs. S’étendant sur une superficie de 4 hectares située à Saint-Joseph-de-Lepage, les 10 000 plants de raisins issus de 13 cépages, qui sont cultivés à des fins expérimentales, permettent de produire 16 vins différents. L’un de ces vins, le Bel-Chas 2023, a séduit les membres du jury de la Sélection mondiale des vins 2024, organisée par la Société des alcools du Québec. Le Bel-Ch
Des vins de La Mitis qui se distinguent

Les vins du vignoble la FETE (Ferme expérimentale Terre-Eau) ravissent de plus en plus le palais des fins dégustateurs. S’étendant sur une superficie de 4 hectares située à Saint-Joseph-de-Lepage, les 10 000 plants de raisins issus de 13 cépages, qui sont cultivés à des fins expérimentales, permettent de produire 16 vins différents.
L’un de ces vins, le Bel-Chas 2023, a séduit les membres du jury de la Sélection mondiale des vins 2024, organisée par la Société des alcools du Québec. Le Bel-Chas a obtenu 86 points, se classant ainsi tout juste au pied du podium.

Le jury composé de 60 membres de la filière internationale et canadienne des vins a goûté aux 1630 vins proposés par des producteurs de 31 pays. Pour la vinificatrice et cheffe de cuves du vignoble de La Mitis, il s’agit d’une réussite qui ouvrira la voie d’une nouvelle aventure, espère-t-elle.
« Pour un vin dont on n’avait aucune idée, comment il allait se positionner dans le paysage des vins, c’est comme un sceau d’approbation », réagit la chimiste Anne Corminboeuf. Plus récemment, la FETE a lancé certains de ses produits lors du Salon des vins de Rimouski, organisé par la Fondation Maison Marie-Élisabeth de Rimouski. Les visiteurs ont pu déguster des vins blancs, rosés et rouges issus d’au moins cinq des 13 cépages cultivés à la FETE.

Selon le président-directeur général de Terre-Eau, Louis Drainville, l’accueil de ces nouveaux vins a été exceptionnel de la part des participants du Salon des vins, qui s’est tenu le 24 avril.
Commercialisation
La commercialisation récente des vins de la FETE marque le début d’une nouvelle étape pour le vignoble.
« La commercialisation se fait à la FETE et dans les marchés publics, précise monsieur Drainville. Actuellement, on peaufine notre approche auprès des restaurateurs. » Le viticulteur produit principalement des vins blancs et rosés, qui s’harmonisent à merveille avec le poisson et les fruits de mer. Quant au rouge, il peut être bu en consommant des viandes rouges et du maquereau.
De l’avis de l’agronome et biologiste, la personnalité si particulière des vins de la FETE se développe grâce au contexte maritime, au terroir rimouskois, à la proximité du fleuve et à son climat qui donne des hivers plus tempérés.
La FETE
La FETE poursuit principalement comme objectif l’amélioration de la connaissance viticole et vinicole. Dans cette optique, l’agrandissement du chai est déjà dans les cartons de l’entreprise. « L’année passée, on a produit à peu près 4000 à 5000 bouteilles, alors qu’avec les prochaines estimations, on parle de 8000 à 10 000 bouteilles, tous cépages confondus », indique Louis Drainville.
La majeure partie des vignes de la FETE croît en terroir rimouskois. Celui-ci est composé d’un sol plutôt léger et peu profond. Une parcelle de 0,5 hectare se trouve sur un sol plus argileux. Plus de 80 % des raisins poussent sur un sol de la série Rimouski. Peu profond, il repose sur une roche de schiste argileux, qui est propice à la viticulture, selon le dirigeant de Terre-Eau.
Le travail des sols a commencé il y a dix ans, tandis que les vignes ont principalement été implantées en 2016 et 2017. Une dernière parcelle a été ajoutée il y a trois ans, dont la vendange a donné sa première cuvée l’an dernier.
-
Le Devoir
-
La Russie confrontée au ralentissement de son économie militarisée
Le pays continue de subir les effets des sanctions occidentales, malgré un rouble renforcé par la guerre tarifaire.
La Russie confrontée au ralentissement de son économie militarisée
-
Le Devoir
-
La construction massive n’est pas suffisante pour régler la crise du logement, selon l’IRIS
Les gouvernements se bercent d’illusions en ne misant que sur l’augmentation du parc immobilier, selon l’organisme.
La construction massive n’est pas suffisante pour régler la crise du logement, selon l’IRIS
-
Le Devoir
-
La glace de plus en plus mince sous les pieds de Trump, selon Charles Emond
Le patron de la Caisse de dépôt s’est exprimé au sujet de la guerre commerciale, mercredi, devant le Cercle canadien.
La glace de plus en plus mince sous les pieds de Trump, selon Charles Emond
-
Le Devoir
-
Michael Sabia va quitter Hydro-Québec pour le cabinet de Mark Carney
Il deviendra greffier du Conseil privé et secrétaire du cabinet du gouvernement du Canada.
Michael Sabia va quitter Hydro-Québec pour le cabinet de Mark Carney
-
Le Devoir
-
Le Canada doit accélérer et améliorer l’exploitation des minéraux critiques, selon une étude
L’Institut climatique du Canada recommande de réduire les risques environnementaux liés à l’extraction minière.
Le Canada doit accélérer et améliorer l’exploitation des minéraux critiques, selon une étude
-
Le Devoir
-
Face aux tarifs, le Vietnam demande le soutien de marques américaines de vêtements
Trump menace Hanoï d’une surtaxe de 46% sous prétexte que les échanges entre les deux pays ne sont pas «équilibrés».
Face aux tarifs, le Vietnam demande le soutien de marques américaines de vêtements
-
Le Devoir
-
Les gisements de terres rares, l’atout de Pékin face à Trump
La Chine possède des minerais indispensables à l’économie moderne et à la défense, un point de tension avec Washington.
Les gisements de terres rares, l’atout de Pékin face à Trump
-
Le Devoir
-
Nintendo écoule 3,5 millions de consoles Switch 2 en quatre jours, un record
La console portative devance ainsi les records de vente établis par la première Switch et la Playstation 5.
Nintendo écoule 3,5 millions de consoles Switch 2 en quatre jours, un record
-
Journal Le Soir
-
Investissement Québec prête 2,9 M$ à PMI Structures
Investissement Québec confirme l’octroi d’un prêt de 2,9 M$ pour soutenir le rachat de l’entreprise rimouskoise PMI Structures par Josiane Pouliot, la fille de l’actuel propriétaire, Jean Pouliot, aux côtés de ses partenaires Jean-Sébastien Gagné, Gino Picard et Jimmy Ruest. PMI Structures œuvre dans la conception, la fabrication et l’installation d’éléments de structures métalliques dans le marché nord-américain dont des producteurs d’énergie, des transporteurs d’énergie, des industries manu
Investissement Québec prête 2,9 M$ à PMI Structures

Investissement Québec confirme l’octroi d’un prêt de 2,9 M$ pour soutenir le rachat de l’entreprise rimouskoise PMI Structures par Josiane Pouliot, la fille de l’actuel propriétaire, Jean Pouliot, aux côtés de ses partenaires Jean-Sébastien Gagné, Gino Picard et Jimmy Ruest.
PMI Structures œuvre dans la conception, la fabrication et l’installation d’éléments de structures métalliques dans le marché nord-américain dont des producteurs d’énergie, des transporteurs d’énergie, des industries manufacturières et des entreprises de construction de bâtiments.
Elle compte une centaine d’employés au sein de ses usines de Rimouski et Québec.
Fondée en 1951 par Raymond Pouliot et reprise en 1988 par son fils, Jean, PMI Structures avait annoncé, en août 2024, que Josiane Pouliot reprenait le flambeau à titre de présidente-directrice générale.
L’aide d’Investissement Québec arrive dans un contexte économique marqué par l’incertitude et sur fond de guerre tarifaire avec les États-Unis.

Madame Pouliot a gravi les échelons au sein de PMI Structure. Depuis 2008, elle a aussi occupé les postes d’estimatrice, de contrôleuse et d’analyste financière. La PDG souhaitait s’inscrire dans la continuité de la compagnie.
« Le repreneuriat est la première étape de notre plan de croissance. Notre stratégie globale a été discutée avec Investissement Québec assez tôt dans nos démarches. PMI s’appuie sur un partenaire financier de longue date pour atteindre ses ambitions », indique Josiane Pouliot.
De nombreuses réalisations
PMI Structures et PROMETEK, l’une de ses filiales, offrent des services de conception, de dessin, de fabrication et d’installation.
Récipiendaire du prix Construire en 2022 pour le territoire du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine, PMI Structures a notamment participé à la construction de l’usine Duravit à Matane, à la construction du Lab-École de Rimouski, à la rénovation du palais de justice à Rimouski, du clocher de l’Université du Québec à Rimouski ainsi qu’à plusieurs projets privés.

« Je suis fière de poursuivre ce que mon grand-père a créé et ce que mon père a su développer au fil des ans. On ne change pas une recette gagnante. Cependant, chaque génération a ses défis et cela demande d’être ouverte à la nouveauté et d’évoluer. La technologie évolue constamment et cela permet à nos employés de travailler sur le même projet simultanément, malgré les 300 km qui séparent nos usines », affirmait-elle au moment de sa nomination.
-
Journal Le Soir
-
Le retour des arcades est officiellement autorisé
Le processus est officiellement complété. Le conseil municipal de Rimouski a adopté le règlement final pour permettre le retour des jeux d’arcades dans un établissement licencié sur son territoire. « C’est réglé. Les arcades sont maintenant permises au Salon de quilles Vézina », indique le maire de Rimouski, Guy Caron, qui rappelle qu’il n’y a pas eu de questions ou d’inquiétude pendant l’assemblée publique de consultation sur le projet. Le promoteur, Frédéric Vézina, souhaite ouvrir son
Le retour des arcades est officiellement autorisé

Le processus est officiellement complété. Le conseil municipal de Rimouski a adopté le règlement final pour permettre le retour des jeux d’arcades dans un établissement licencié sur son territoire.
« C’est réglé. Les arcades sont maintenant permises au Salon de quilles Vézina », indique le maire de Rimouski, Guy Caron, qui rappelle qu’il n’y a pas eu de questions ou d’inquiétude pendant l’assemblée publique de consultation sur le projet.
Le promoteur, Frédéric Vézina, souhaite ouvrir son centre d’amusement familial alliant les quilles et les jeux d’arcades en juillet.
« C’est la nouvelle tendance. Plusieurs salons de quilles ont ajouté des jeux d’arcades à leur offre et personne ne regrette ce choix. Je ne vois pas pourquoi ce serait différent à Rimouski », précise l’homme d’affaires.
Interdites depuis 2000
Rappelons que les arcades étaient interdites sur le territoire de Rimouski depuis le printemps 2000.
« La réalité est différente aujourd’hui. Nous avons demandé à la Sûreté du Québec pour voir si les enjeux qui avaient été soulevés en 2000 sont encore pertinents aujourd’hui. Il semble que non. Il n’y a pas d’objections à ce qu’on puisse autoriser l’usage, donc modifier le règlement et enlever l’interdiction pour cette zone », indique le maire Caron.

« Je pense que c’est très intéressant d’avoir une offre de divertissement familial qui puisse être mise en place dans ce coin-là. Je pense que ce sera une offre qui sera bien appréciée », commente monsieur Caron.
Projet de 1 M$
En janvier dernier, Le Soir.ca révélait que le Salon de quilles Vézina voulait ramener les arcades à Rimouski en investissant 1 M$ dans un agrandissement de 4 000 pieds carrés comprenant une salle de jeux et quatre allées de mini quilles.
Le Salon de quilles Vézina souhaite augmenter la capacité de son permis de bar et de son permis accessoire dans le cadre de son projet d’ajouter des jeux d’arcades à ses activités. Une demande en ce sens a été soumise à la Régie des alcools, des courses et des jeux.

L’autorisation pour les arcades touche uniquement la zone du Salon de quilles Vézina et non pas l’ensemble de la Ville de Rimouski.
-
Journal Le Soir
-
Fermeture à Rivière-Bleue : la SAQ ne reculera pas
Il ne faut pas compter sur la Société des alcools du Québec (SAQ) pour maintenir l’achalandage d’une rue principale ou la revitaliser. Elle maintient sa décision de fermer huit de ses succursales, dont celle de Rivière-Bleue dans le Témiscouata. Par Patrice Bergeron- La Presse Canadienne La société d’État a a fait valoir qu’elle refuse d’imposer le moratoire demandé par une coalition d’élus et d’organismes qui s’oppose à la fermeture de huit succursales situées dans des centres-villes. El
Fermeture à Rivière-Bleue : la SAQ ne reculera pas

Il ne faut pas compter sur la Société des alcools du Québec (SAQ) pour maintenir l’achalandage d’une rue principale ou la revitaliser. Elle maintient sa décision de fermer huit de ses succursales, dont celle de Rivière-Bleue dans le Témiscouata.
Par Patrice Bergeron- La Presse Canadienne
La société d’État a a fait valoir qu’elle refuse d’imposer le moratoire demandé par une coalition d’élus et d’organismes qui s’oppose à la fermeture de huit succursales situées dans des centres-villes. Elle pourrait même en fermer d’autres, selon le grand patron de la SAQ, Jacues Farcy.
« La SAQ ne peut pas, à elle seule, faire battre le cœur d’un centre-ville ou d’une rue principale. La SAQ s’implante dans des secteurs où il y a une vie active, des services de proximité pour le client et de la complémentarité», a indique la SAQ par courriel à la suite d’une série de questions de La Presse Canadienne.
Mercredi, le ministre des Finances, Eric Girard, qui avait aussi été interpellé pour intervenir à titre de responsable de la SAQ, avait également refusé de remettre en question la décision de la SAQ.
En plus de Rivière-Bleue, les cinq succursales condamnées sont celles de Stanstead; de Promenade du Portage, à Gatineau; de Baie-d’Urfé; du Campanile, à Québec; et de Ville-Émard, à Montréal.
Au début du mois, la SAQ avait annoncé la fermeture des succursales du secteur Chicoutimi, à Saguenay et à Brossard, en Montérégie.
Les élus font valoir que la fermeture des huit succursales entraînera notamment la dévitalisation des centres-villes, en raison de l’achalandage qu’elles amenaient dans les commerces avoisinants.
«Lorsque nous choisissons de fermer une succursale, c’est parce que le parcours du client s’est déjà déplacé, écrit la SAQ. Dans les municipalités visées, la baisse de l’achalandage est marquée, et ce, depuis plusieurs années, même si la SAQ était présente.»
On parle donc d’une baisse de l’achalandage et non que la succursale n’est plus rentable. La SAQ a refusé de divulguer les données des chiffres d’affaires des succursales visées, mais les défenseurs de leur maintien ont plaidé qu’il «n’existe pas» de succursales de la SAQ déficitaires.
Lueur d’espoir
La société d’État donne toutefois une petite lueur d’espoir aux tenants des commerces de proximité.
« Nous demeurons à l’affût des changements au niveau de la revitalisation apportés par les municipalités et des mouvements démographiques des villes même après avoir quitté un emplacement », écrit la SAQ.
En commission parlementaire en mai, le président de la SAQ, Jacques Farcy, avait défendu sa décision en affirmant qu’il fallait s’adapter aux comportements changeants des consommateurs et que les volumes de vente étaient en baisse.
Mercredi, le député Guillaume Cliche-Rivard, de Québec solidaire, avait déposé une pétition de plus de 7000 noms à l’Assemblée nationale demandant d’« annuler immédiatement les huit fermetures de succursales annoncées », ainsi qu’un moratoire « sur les fermetures de succursales de la SAQ jusqu’à l’adoption d’une politique de responsabilité territoriale cohérente avec les objectifs de l’État en matière d’aménagement du territoire ».
Le député de QS a dit qu’il allait demander une rencontre avec le ministre des Finances dans les plus brefs délais.

Dans une entrevue avec La Presse Canadienne, Jacues Farcy a expliqué que les fermetures s’expliquent notamment par une décroissance du volume vendu.
Le couperet pourrait encore tomber, puisque la direction examine chaque année le rendement du réseau.
« Tout est sur la table et, pour nous, il n’y a pas de sujet tabou », a-t-il conclu.
-
Journal Le Soir
-
Poulet Rouge courtise le Bas-Saint-Laurent
La chaîne de restauration Poulet Rouge est toujours à la recherche de franchisés pour s’établir au Bas-Saint-Laurent. Dans une publication sur les réseaux sociaux, il est possible de lire : « Vous rêvez de diriger votre propre entreprise tout en étant soutenu par une marque forte et en pleine croissance? Devenez franchisé Poulet Rouge et profitez d’un modèle d’affaires éprouvé, d’un accompagnement personnalisé et d’une clientèle fidèle qui adore nos saveurs uniques. » La région du Bas-
Poulet Rouge courtise le Bas-Saint-Laurent

La chaîne de restauration Poulet Rouge est toujours à la recherche de franchisés pour s’établir au Bas-Saint-Laurent.
Dans une publication sur les réseaux sociaux, il est possible de lire :
« Vous rêvez de diriger votre propre entreprise tout en étant soutenu par une marque forte et en pleine croissance? Devenez franchisé Poulet Rouge et profitez d’un modèle d’affaires éprouvé, d’un accompagnement personnalisé et d’une clientèle fidèle qui adore nos saveurs uniques. »
La région du Bas-Saint-Laurent est mise en évidence.
La populaire bannière avait confirmé au Soir.ca, en janvier dernier, qu’elle était intéressée à s’établir à Rimouski, mais pas en 2025.
« Nous ne prévoyons pas ouvrir un restaurant Poulet Rouge à Rimouski cette année, mais cela fait partie de nos plans d’expansion pour l’avenir », avait alors mentionné la directrice marketing et communication de Poulet Rouge, Aisha Al-Khabyyr.

Né au Québec et d’origine méditerranéenne, le concept a gagné rapidement de nombreux adeptes dans la province avec ses bols au poulet grillé personnalisables.
L’histoire de la chaîne a débuté en 2012 avec l’ouverture d’un restaurant à service rapide aux Galeries Joliette. C’est en 2017 que l’expansion s’est amorcée.
Poulet Rouge compte maintenant des restaurants Québec, en Ontario et en Alberta.
-
Journal Le Soir
-
Les petits entrepreneurs à l’honneur au Carrefour Rimouski
Une vingtaine d’enfants ont pris part, samedi, à La grande journée des petits entrepreneurs au Carrefour Rimouski. Ils ont pu présenter les produits qu’ils ont eux-mêmes fabriqués aux nombreux visiteurs. Le Carrefour participait à ce mouvement provincial pour une deuxième année consécutive. Partout au Québec, des jeunes de 5 à 17 ans ont vécu l’expérience. Les entrepreneurs en herbe rimouskois étaient répartis en 17 kiosques. Celui de Béatrice Lepage offrait des muffins. Avec ses amies, E
Les petits entrepreneurs à l’honneur au Carrefour Rimouski

Une vingtaine d’enfants ont pris part, samedi, à La grande journée des petits entrepreneurs au Carrefour Rimouski. Ils ont pu présenter les produits qu’ils ont eux-mêmes fabriqués aux nombreux visiteurs.
Le Carrefour participait à ce mouvement provincial pour une deuxième année consécutive. Partout au Québec, des jeunes de 5 à 17 ans ont vécu l’expérience.
Les entrepreneurs en herbe rimouskois étaient répartis en 17 kiosques. Celui de Béatrice Lepage offrait des muffins. Avec ses amies, Eliane et Sofia, elles ont vendu toute leur production avant la fin du marché.
« Au départ, je devais faire mon kiosque seule, mais mes amies étaient intéressées. Nous avons pris congé d’école hier après-midi et nous avons fait 96 muffins et 8 pains aux bananes. Ça faisait longtemps que je voulais faire ça et ça m’a permis de faire quelque chose comme si j’étais adulte », mentionne la jeune fille de neuf ans.

Béatrice et ses amies vont remettre une partie de l’argent qu’elles ont récolté à la Société protectrice des animaux du Littoral et se partager le reste.
Une expérience enrichissante
Cette journée a été créée en 2014 pour développer la créativité, la débrouillardise et la confiance des jeunes. En s’inscrivant, ils ont accès au Parcours pour les aider à préparer leur entreprise à leur rythme et à leur image. Une série de thématiques propose des activités pédagogiques pour chacun des cycles scolaires.
La mère de Béatrice, Isabelle Girard, soutient que cette première expérience en entrepreneuriat a été enrichissante pour sa fille.
« C’est énormément de fierté. Je la trouve extrêmement persévérante dans toute la démarche qu’elle a faite depuis le mois de février. Elle a fait les étapes avec sérieux. Ça lui a fait développer beaucoup d’autonomie et elle a pris de la confiance à travers de tout ça », dit-elle.
Du travail et de la passion
Les petits entrepreneurs ont travaillé pendant des semaines et même des mois pour offrir des produits intéressants à leurs clients.

Èva Dionne, 11 ans, a vendu des plantes et des boucles d’oreille à son kiosque. Elle était satisfaite de ses ventes à la fin de la journée.
« C’est plaisant parce que ça permet de faire de l’argent, de s’amuser et de rencontrer de nouvelles personnes. Je suis fière de présenter mes produits que je crée depuis plusieurs mois. Il y a beaucoup de concurrence, mais tout le monde s’encourage. »
Même chose pour Béatrice Langlais. Âgée de seulement huit ans, elle a proposé des bougies et des produits pour le corps avec professionnalisme à son kiosque, Béa Fabrique.
« C’est la deuxième fois que je participe. J’aime faire ça avec ma maman. Ça se passe bien et je vends beaucoup de choses », indique-t-elle.

De son côté, Clémence Denis a fabriqué des pieuvres en crochet et des porte-clés en macramé. Elle s’est jointe au mouvement des petits entrepreneurs parce qu’elle en a entendu parler par ses cousines qui vivaient l’expérience depuis trois ans à Québec.
« C’est plaisant de créer des choses qu’on aime et de pouvoir les présenter. »

En 2024, 10 000 jeunes avaient participé à La grande journée des petits entrepreneurs aux quatre coins de la province.
-
Journal Le Soir
-
39e Soirée Reconnaissance : Construction Albert primée
Construction Albert a été sacrée l’entreprise de l’année lors de la 39e Soirée reconnaissance de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, tenue ce vendredi 6 juin au Complexe sportif Desjardins, en recevant le prestigieux Prix Jules-A.-Brillant. Avant de remporter cet honneur, Construction Albert avait mis la main sur le titre dans la catégorie « Production, transformation et industrie ». La Chambre de commerce souligne la vitalité économique et l’implication soutenue d
39e Soirée Reconnaissance : Construction Albert primée

Construction Albert a été sacrée l’entreprise de l’année lors de la 39e Soirée reconnaissance de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette, tenue ce vendredi 6 juin au Complexe sportif Desjardins, en recevant le prestigieux Prix Jules-A.-Brillant.
Avant de remporter cet honneur, Construction Albert avait mis la main sur le titre dans la catégorie « Production, transformation et industrie ».
La Chambre de commerce souligne la vitalité économique et l’implication soutenue de l’entreprise dans la communauté rimouskoise.

Parmi les autres lauréats de la soirée, la courtière immobilière Rose-Marie Lebrun de Via Capitale Horizon et la Bijouterie Ferland ont aussi gagné deux prix. Madame Lebrun a été honorée dans les catégories « Nouvelle entreprise » et « Jeune personnalité », tandis que la Bijouterie Ferland s’est illustrée dans celles « Commerce de détail et vente en ligne » ainsi que « Relève entrepreneuriale ».
Autres prix de la soirée
Le Crêpe Chignon (Hébergement, restauration et tourisme), Agence Megg!e (Services aux entreprises), Les Cliniques Sylvain Trudel (Services aux individus), le Conservatoire de musique de Rimouski (Culture et divertissement), l’Association du cancer de l’Est du Québec (Organisme à but non lucratif, coopérative et économie sociale) et Aquamation Les belles Étoiles (Travailleur autonome et microentreprise) ont remporté les autres prix de la soirée.
Sous la présidence d’honneur d’Éric Drouin de Promutuel Assurance de l’Estuaire, la Soirée Reconnaissance de la Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette visait à reconnaître et à promouvoir le dynamisme entrepreneurial dans la MRC.
-
Journal Le Soir
-
La Ville de Rimouski réalise un excédent de 2,7 M$
La Ville de Rimouski a déposé lundi soir, lors de la séance régulière du conseil municipal, son bilan de l’exercice financier se terminant le 31 décembre 2024. La Ville enregistre un surplus du budget de fonctionnement de 2,7 M$. « Les résultats financiers démontrent que nous avons su accomplir des projets stimulants et porteurs pour notre milieu de vie, tout en respectant la capacité de payer de la population. Bien que nous disposions d’une marge de manœuvre toujours plus limitée, l’année 20
La Ville de Rimouski réalise un excédent de 2,7 M$

La Ville de Rimouski a déposé lundi soir, lors de la séance régulière du conseil municipal, son bilan de l’exercice financier se terminant le 31 décembre 2024. La Ville enregistre un surplus du budget de fonctionnement de 2,7 M$.
« Les résultats financiers démontrent que nous avons su accomplir des projets stimulants et porteurs pour notre milieu de vie, tout en respectant la capacité de payer de la population. Bien que nous disposions d’une marge de manœuvre toujours plus limitée, l’année 2024 a été marquée par des investissements majeurs comme la mise en chantier de 809 unités de logement et la réalisation de projets d’immobilisations majeurs permettant d’investir dans l’entretien de nos infrastructures municipales », commente le maire Guy Caron.
Vente de terrain et météo clémente
Une partie importante du surplus enregistré provient d’éléments exceptionnels. Le très faible taux de précipitation de neige a permis de dégager un surplus d’opérations record de 1,9 M$ pour les opérations de déneigement. « On parle de 2024 et non de 2025 », lance le maire Caron.
Il y a également eu d’importants revenus liés à la vente de terrain, notamment à Costco et à l’Hôtel Rimouski.
« La politique, c’est de consacrer ces sommes dans des réserves pour les actifs immobilisés, ce qui diminue le besoin d’emprunter pour certains projets comme le complexe multisports, ce qui permet donc de réduite l’impact sur le contribuable », explique monsieur Caron.
Parmi les revenus à souligner au rapport financier 2024, des revenus exceptionnels de fonctionnement de 13,6 M$ ont été affectés à la réserve financière relative aux actifs immobilisés. Une somme qui permettra de bien anticiper et de répondre à de futurs besoins, comme la réalisation du centre multisport et la revitalisation du centre-ville. Également, une subvention de 12 M$ du gouvernement provincial, placée dans une nouvelle réserve financière, soutiendra la mise en place d’actions structurantes pour l’adaptation et la transition climatique.
Investissements en immobilisation
De nombreux projets d’immobilisations ont été réalisés à Rimouski en 2024, pour un total de 34,2 M$. Parmi les projets phares réalisés ou en voie d’être finalisés :
- Extension des services – rue du Coteau et boulevard Arthur-Buies Est (8,3 M$);
- travaux routiers (3,7 M$);
- travaux de réfection et d’amélioration au Colisée (4 M$);
- réfection de la toiture de la bibliothèque Lisette-Morin (1,2 M$);
- réfection des hangars de l’aérodrome (2,6 M$).

Contrôle de la dette
Le taux d’endettement de la Ville est plutôt stable avec une diminution de 2 % en proportion des revenus qui sont, quant à eux, en croissance. L’endettement net de la Ville à la fonde l’année 2024 était porté à 72,8 M$, soit une augmentation de 5,2 M$ comparativement à l’année précédente.
En 2024, la Ville a affecté 6,1 M$ au remboursement de la dette.
De nouveaux emprunts, totalisant 11,3 M$, ont été contractés afin de réaliser plusieurs projets comme la réhabilitation de diverses chaussées sur le territoire, le collecteur pluvial Ross, de même que les réfections des toitures de l’hôtel de ville, de l’édifice Claire-l’Heureux-Dubé et de la bibliothèque Lisette-Morin.
-
Journal Le Soir
-
Geneviève Dionne nommée DG des hôtels Le Navigateur et L’Empress
Geneviève Dionne assurera la direction générale par intérim des hôtels Le Navigateur, L’Empress et du Noah Spa de Rimouski. Elle aura pour mandat d’optimiser les opérations et d’accompagner le repositionnement stratégique des établissements. Madame Dionne aura également la responsabilité de développer un plan de communication marketing, un rôle clé au cœur d’une période de structuration et de repositionnement de la marque des établissements, soit Le Navigateur, L’Empress et le Noah Spa de Rim
Geneviève Dionne nommée DG des hôtels Le Navigateur et L’Empress

Geneviève Dionne assurera la direction générale par intérim des hôtels Le Navigateur, L’Empress et du Noah Spa de Rimouski. Elle aura pour mandat d’optimiser les opérations et d’accompagner le repositionnement stratégique des établissements.
Madame Dionne aura également la responsabilité de développer un plan de communication marketing, un rôle clé au cœur d’une période de structuration et de repositionnement de la marque des établissements, soit Le Navigateur, L’Empress et le Noah Spa de Rimouski.
Après plusieurs années au sein des entreprises du Groupe Drapeau et comme propriétaire d’entreprises, Geneviève Dionne se dit stimulée et motivée par ce nouveau défi professionnel.
« Je débute cette nouvelle aventure avec enthousiasme et je suis privilégiée de pouvoir compter sur une équipe solide et expérimentée déjà en place dans chacune des entités », mentionne-t-elle.

« C’est avec enthousiasme que nous accueillons Geneviève Dionne dans nos établissements et nous sommes certains que son dynamisme, son leadership et ses expériences antérieures sont des atouts majeurs pour nos établissements et qu’elle saura également créer une synergie entre les équipes de travail », mentionne l’un des copropriétaires, Philippe Paris.
-
Journal Le Soir
-
La Quincaillerie Sayabec célèbre son inauguration officielle
La Quincaillerie Sayabec, sous la bannière du Centre de rénovation Home Hardware, a célébré son inauguration officielle. Propriétaires de l’établissement de la route 132 depuis août 2024, Marie-Claude Nicolas et Maxime Rivard, ont accueilli la population pour trois jours d’activités. « L’achalandage a dépassé nos attentes, sentir l’enthousiasme et la reconnaissance des gens confirme que nous avons eu raison d’investir dans notre village. Nous avons fait le bon choix de maintenir ce service e
La Quincaillerie Sayabec célèbre son inauguration officielle

La Quincaillerie Sayabec, sous la bannière du Centre de rénovation Home Hardware, a célébré son inauguration officielle. Propriétaires de l’établissement de la route 132 depuis août 2024, Marie-Claude Nicolas et Maxime Rivard, ont accueilli la population pour trois jours d’activités.
« L’achalandage a dépassé nos attentes, sentir l’enthousiasme et la reconnaissance des gens confirme que nous avons eu raison d’investir dans notre village. Nous avons fait le bon choix de maintenir ce service essentiel à Sayabec. Nous nous engageons à faire de la Quincaillerie Sayabec un endroit où les gens d’ici peuvent trouver des produits de qualité et des conseils fiables pour tous leurs besoins en matière de rénovation domiciliaire », souligne madame Nicolas.
Privée d’une quincaillerie pendant quelques mois à la suite du départ à la retraite de l’ancien marchand, la population de Sayabec et des environs profite d’un point de service local moderne depuis l’acquisition.
Les nouveaux gestionnaires ont investi dans l’agrandissement et l’ajout de services comme le bois d’œuvre, la peinture spécialisée, la plomberie de finition, le taillage de clés, l’estimation de projets et la livraison.
« L’achat local n’a jamais été aussi crucial. Nous sommes fiers d’offrir à la population un commerce rénové, un service humain et enraciné dans notre communauté », affirme monsieur Rivard, aussi propriétaire d’une érablière à Val-Brillant.
Créneau des érablières de petite taille
À ce titre, la Quincaillerie Sayabec compte développer le créneau des érablières de petite taille.
Elle souhaite épauler les gens intéressés à entailler les arbres de leurs terrains en leur fournissant tous les accessoires et les outils nécessaires afin d’arriver à une production artisanale au cours du printemps.

« Nous souhaitons accompagner toute personne qui souhaite récolter la sève de leurs érables à sucre mature pour la transformer en sirop d’érable. C’est de joindre l’utile à l’agréable pour ceux qui veulent stimuler cette passion », indique Marie-Claude Nicolas.
La Quincaillerie Sayabec emploie 12 personnes, dont quatre provenant de l’ancienne administration.
-
Journal Le Soir
-
2,2 M$ pour l’économie maritime
La ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, annonce une aide financière de 2,2 millions de dollars au Centre de recherche sur les biotechnologies marines (CRBM) pour la poursuite de ses activités. Cette aide financière, faite au nom du ministre Christopher Skeete, viendra soutenir les activités de recherche et de développement scientifique de l’organisme dans la filière des biotechnologies marines, ainsi que ses activités de transfert industriel, notamment vers les secteurs
2,2 M$ pour l’économie maritime

La ministre et députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, annonce une aide financière de 2,2 millions de dollars au Centre de recherche sur les biotechnologies marines (CRBM) pour la poursuite de ses activités.
Cette aide financière, faite au nom du ministre Christopher Skeete, viendra soutenir les activités de recherche et de développement scientifique de l’organisme dans la filière des biotechnologies marines, ainsi que ses activités de transfert industriel, notamment vers les secteurs des sciences de la vie et de l’environnement, jusqu’en 2027.
« Le CRBM est une expertise reconnue dans la filière des biotechnologies marines. C’est le seul centre spécialisée du genre au Québec et au Canada et c’est quelque chose que nous avons ici, à Rimouski. Je suis très fière que l’on puisse compter sur sa présence chez nous », a déclaré madame Blanchette Vézina en conférence de presse.
« L’organisme soutient l’essor de cette filière des biotechnologies marines, qui se développent à grande vitesse et qui contribuent aussi au développement durable de l’industrie des pêches et de l’aquaculture commerciale. Ces créneaux font partie de nos forces et sont essentiels au développement économique de Rimouski, du Bas-Saint-Laurent et de tout le Québec. »
La science des biotechnologies marines
La directrice générale du Centre de recherche sur les biotechnologies marines, Julie Dionne, explique que le CRBM œuvre dans une diversité de marchés.

« Ce qui est incroyable avec les biotechnologies marines, c’est qu’elles ont un immense potentiel. On travaille avec diverses bio-ressources, auxquelles ont ajoutent de la valeur et qu’on peut emmener dans différents marchés. Récemment, nous avons fait un projet sur les biocarburants, à base de microalgues. En faisant la culture de microalgues, on peut développer, ultimement un biocarburant. On travaille aussi à isoler des molécules, des composés du St-Laurent, qui ont des capacités anti-vieillisement et qui peuvent alors être inclus dans des produits cosméceutiques. On travaille en santé naturelle, donc il y a une diversité de marchés dans lesquels on applique la science des biotechnologies marines », indique madame Dionne.
L’économie bleue n’est pas disparue avec le Novarium
Questionnée sur la pertinence d’investir dans l’économie bleue, après le refus de Québec d’accorder une zone d’innovation en économie bleue à Rimouski et Grande-Rivière, la ministre et députée est d’avis qu’il s’agit d’une économie qui doit poursuivre son développement.

« Le CRBM est un bel exemple d’un endroit où on peut continuer à contribuer à faire de l’économie bleue. Même s’il n’y a pas de zone d’annoncée, on peut continuer à développer ce créneau économique pour lequel nous avons des forces, ici à Rimouski, dans l’Est-du-Québec. C’est une richesse que nous avons collectivement, bien sûr grâce au fleuve, mais aussi grâce à l’expertise que nous avons ici, notamment avec l’UQAR. On continue donc de croire et d’investir dans l’économie bleue. »
-
Journal Le Soir
-
Nouvelle compagnie de taxi à Rimouski
Déjà propriétaires de Taxi Mont-Joli, Olivier Tardif, Mickaël D’Anjou et Sophie D’Astous lancent une nouvelle compagnie de transport appelée Taxi Rimouski. Elle devient la troisième gérée par le groupe. « Mickaël et Sophie ont acheté la compagnie de taxis à Fermont. Par la suite, ces deux dernières années, ils ont acheté quatre permis à Taxis 800 de Rimouski. Comme il s’agit d’une coopérative, chaque propriétaire en est copropriétaire. Finalement, en octobre dernier, nous avons fait l’acquis
Nouvelle compagnie de taxi à Rimouski

Déjà propriétaires de Taxi Mont-Joli, Olivier Tardif, Mickaël D’Anjou et Sophie D’Astous lancent une nouvelle compagnie de transport appelée Taxi Rimouski. Elle devient la troisième gérée par le groupe.
« Mickaël et Sophie ont acheté la compagnie de taxis à Fermont. Par la suite, ces deux dernières années, ils ont acheté quatre permis à Taxis 800 de Rimouski. Comme il s’agit d’une coopérative, chaque propriétaire en est copropriétaire. Finalement, en octobre dernier, nous avons fait l’acquisition de Taxi Mont-Joli. On voulait avoir notre indépendance, puisque dans une coopérative, tout le monde doit être d’accord. Les choses se sont très bien passées à Mont-Joli, alors nous avons voulu être indépendants à Rimouski, en ayant des voitures et un numéro de téléphone qui seraient propres à notre compagnie. Nous avons donc décidé de vendre nos permis à Taxis 800 pour lancer Taxi Rimouski », raconte Olivier Tardif.

Les deux compagnies peuvent présentement compter sur une quinzaine d’employés, avec un total de douze voitures, afin de répondre à une demande encore bien présente, selon monsieur Tardif.
Plusieurs services
Taxi Rimouski propose les services de transport adapté à Mont-Joli et à Rimouski, de livraison de colis express, de déverrouillage de porte ainsi que de survoltage de batterie.
L’entreprise prévoit aussi lancer, d’ici 2027, un service 100 % électrique pour la communauté et les entreprises. Le tout sera accompagné d’une application mobile.
Puisque l’entreprise est désormais en service, il est possible d’appeler un taxi au 418-724-2404.
-
Journal Le Soir
-
Costco : vente des cartes de membres débutée à Rimouski
Costco débutera officiellement la vente de ses cartes de membres à Rimouski, ce mardi 27 mai, en vue de l’ouverture de son magasin-entrepôt prévue le 5 août prochain. Le géant du commerce de détail a installé un chapiteau à proximité de son site de la montée Industrielle-et-Commerciale, en plus d’un autre dans le Quartier général des champions, sur le site de la Coupe Memorial situé dans le stationnement principal du Colisée Financière Sun Life. L’engouement se fait déjà sentir. Lors de la
Costco : vente des cartes de membres débutée à Rimouski

Costco débutera officiellement la vente de ses cartes de membres à Rimouski, ce mardi 27 mai, en vue de l’ouverture de son magasin-entrepôt prévue le 5 août prochain.
Le géant du commerce de détail a installé un chapiteau à proximité de son site de la montée Industrielle-et-Commerciale, en plus d’un autre dans le Quartier général des champions, sur le site de la Coupe Memorial situé dans le stationnement principal du Colisée Financière Sun Life.
L’engouement se fait déjà sentir. Lors de la préouverture du kiosque à la Coupe Memorial, lundi soir, des dizaines de personnes ont procédé à l’achat de leur carte. « La machine marketing est lancée », a lancé un employé, qui souhaite conserver son anonymat.
Costco prévoit tenir plusieurs kiosques d’information à travers le territoire au cours des prochaines semaines afin de rencontrer les citoyens et de répondre à leurs questions.

La mise en vente des cartes représente une étape importante avant l’ouverture officielle de la succursale.
Costco exige l’achat d’une carte de membre pour effectuer des achats dans ses magasins. Les clients doivent présenter celle-ci à l’entrée et peuvent être vérifiés pour s’assurer qu’elle est bien la leur.
Plus gros que Lévis
Après des mois de spéculations et de travaux intensifs, Costco a confirmé, le 21 mai dernier, que son magasin-entrepôt de Rimouski ouvrira officiellement ses portes le mardi 5 août, à 7 h.
L’annonce a été effectuée lors du lancement d’un événement sur Facebook.
La succursale rimouskoise de Costco, construite par l’entrepreneur Divco, un habitué des projets de la multinationale dans l’est du Canada, s’étendra sur une superficie impressionnante de 153 000 pieds carrés, soit 5 000 de plus que celle de Lévis.
À cela s’ajouteront une essencerie et des aménagements extérieurs, dont les constructions se poursuivront dans les prochaines semaines.

En parallèle, Costco s’apprête à lancer dans les prochaines semaines une vaste campagne d’embauche afin de pourvoir les quelque 200 à 250 postes nécessaires à l’ouverture du magasin, comprenant 20 cadres.
Plusieurs dirigeants ont déjà été embauchés pour assurer le lancement des opérations à Rimouski.
-
Journal Le Soir
-
La fin annoncée des fermes familiales ?
Le paysage agricole du Bas-Saint-Laurent change à vue d’œil. Les petites fermes laitières d’antan, à taille humaine, cèdent rapidement leur place à des exploitations de plus en plus imposantes. La ferme familiale traditionnelle, pilier de la ruralité québécoise, est en voie d’extinction. Le constat est brutal : en l’an 2000, on comptait 1050 fermes laitières dans la région. Aujourd’hui, il en reste à peine 505. Une baisse de plus de 50 % en un quart de siècle. Et la tendance ne montre aucun s
La fin annoncée des fermes familiales ?

Le paysage agricole du Bas-Saint-Laurent change à vue d’œil. Les petites fermes laitières d’antan, à taille humaine, cèdent rapidement leur place à des exploitations de plus en plus imposantes. La ferme familiale traditionnelle, pilier de la ruralité québécoise, est en voie d’extinction.
Le constat est brutal : en l’an 2000, on comptait 1050 fermes laitières dans la région. Aujourd’hui, il en reste à peine 505. Une baisse de plus de 50 % en un quart de siècle. Et la tendance ne montre aucun signe de ralentissement.
Pourtant, la production, elle, explose. Les étables grossissent, les troupeaux aussi. La vache moyenne d’aujourd’hui produit deux fois plus de lait qu’il y a 20 ans, grâce aux avancées en génétique et en gestion des troupeaux. Résultat : le Bas-Saint-Laurent a livré 400 millions de litres de lait l’an dernier, l’équivalent de 400 M $ en revenus et de plus de 4 700 emplois directs. Mais derrière cette croissance se cachent des défis de taille.

La question : s’agrandir ou disparaître ? La modernisation des équipements, l’automatisation, les exigences environnementales, le bien-être animal… toutes ces pressions forcent les producteurs à investir massivement. Et qui dit investissements, dit dettes. Beaucoup de dettes. Les fermes du Québec sont aujourd’hui les plus endettées au pays.
« C’est un cercle vicieux, » explique le président du Syndicat des producteurs laitiers du Bas-Saint-Laurent, André St-Pierre. » Plus de vaches, plus de lait, plus de dettes, et il faut encore plus produire pour tenir le coup. «
Une relève qui n’arrive pas
Cette course à la croissance laisse la relève agricole en arrière. » Les fermes sont rendues tellement grosses, c’est pratiquement impossible pour les jeunes de reprendre le flambeau. À moins d’un transfert familial, les coûts sont inabordables », estime Jason Beaupré, jeune producteur à Saint-Valérien
Le prix des terres monte en flèche, tout comme la valeur des bâtiments et des équipements. Résultat : même racheter une ferme désuète devient un exploit. Et pendant ce temps, les producteurs vieillissent. Six sur dix ont aujourd’hui plus de 55 ans. Beaucoup n’ont pas de relève. Épuisés, ils ferment boutique. Une perte à la fois humaine, économique et culturelle. Le modèle de la ferme familiale n’est plus viable, tel quel.
-
Journal Le Soir
-
L’entreprise Buck Thorax tente sa chance
Après Les Herbes salées du Bas-du-Fleuve, une autre entreprise de la région, Buck Thorax, fera un passage remarqué dans la présente saison de l’émission « Dans l’œil du dragon », afin de trouver un investisseur intéressé à contribuer à son essor. Son propriétaire, Denis Proulx, a enregistré son segment dans les studios d’ICI Radio-Canada, le 10 mars dernier, à Montréal. La production lui a confirmé que celui-ci avait été retenu en vue d’une diffusion prévue le 4 juin. Le public saura, à ce m
L’entreprise Buck Thorax tente sa chance

Après Les Herbes salées du Bas-du-Fleuve, une autre entreprise de la région, Buck Thorax, fera un passage remarqué dans la présente saison de l’émission « Dans l’œil du dragon », afin de trouver un investisseur intéressé à contribuer à son essor.
Son propriétaire, Denis Proulx, a enregistré son segment dans les studios d’ICI Radio-Canada, le 10 mars dernier, à Montréal. La production lui a confirmé que celui-ci avait été retenu en vue d’une diffusion prévue le 4 juin. Le public saura, à ce moment, si un ou des investisseurs épauleront le Rimouskois dans son aventure.
Le concept de l’émission « Dans l’œil du dragon » permet à des entrepreneurs de présenter leur entreprise ou leur invention à des investisseurs afin de les convaincre d’y injecter de l’argent ou de contribuer à sa promotion.
Le Buck Thorax est un écarteur de grand gibier, conçu par Denis Proulx, grand adepte de la chasse. La barre télescopique robuste, de 14 à 20 pouces, permet de ventiler sécuritairement les cages thoraciques des animaux sauvages prélevés, des côtes supérieures à inférieures, pour favoriser le refroidissement de la venaison.
Fabriqué pour servir à vie, l’utilisateur s’en sert immédiatement après l’abattage de son grand gibier et évite de contaminer le filet mignon avec des bactéries qui se retrouvent majoritairement sur des bouts de bois ramassés au sol.
Produit populaire
Le produit gagne du terrain en province et au pays, alors que des centaines d’appareils ont été distribués à travers les boutiques spécialisées du Québec et de l’Ouest canadien.
Denis Proulx a récemment reçu la confirmation que son produit ferait son entrée dans les 97 Canadian Tire au Québec. Il tentera maintenant de poursuivre son expansion dans les magasins de la chaîne à travers le Québec, en plus de miser le marché américain et la vente en ligne.

En 2024, l’entrepreneur a rapatrié la fabrication de son outil de la Chine à Rimouski, où l’entreprise AMH Canada assure dorénavant sa production afin de rapprocher la fabrication de l’écarteur de son point d’origine et de réduire le temps entre la fabrication et la livraison.
-
Journal Le Soir
-
Hôtel Rimouski : la Ville autorise finalement les travaux
La Ville de Rimouski a autorisé, mardi soir, le Groupe Blouin à procéder au projet d’agrandissement de l’Hôtel Rimouski, tel que présenté et initialement rejetés. « Le conseil municipal tient compte d’un élément dont le comité consultatif en urbanisme ne pouvait pas tenir compte dans sa recommandation. Le Groupe Blouin nous assure que l’enveloppe extérieure du bâtiment principal actuel sera restaurée après les travaux d’agrandissement pour s’harmoniser aux nouvelles constructions. L’objectif
Hôtel Rimouski : la Ville autorise finalement les travaux

La Ville de Rimouski a autorisé, mardi soir, le Groupe Blouin à procéder au projet d’agrandissement de l’Hôtel Rimouski, tel que présenté et initialement rejetés.
« Le conseil municipal tient compte d’un élément dont le comité consultatif en urbanisme ne pouvait pas tenir compte dans sa recommandation. Le Groupe Blouin nous assure que l’enveloppe extérieure du bâtiment principal actuel sera restaurée après les travaux d’agrandissement pour s’harmoniser aux nouvelles constructions. L’objectif d’avoir un secteur harmonisé au plan architectural sera donc atteint, mais en modifiant le bâtiment actuel plutôt que l’inverse », explique le maire de Rimouski, Guy Caron.
Le Groupe Blouin peut donc amorcer les travaux visant l’ajout de chambres, l’agrandissement du centre des congrès et l’aménagement du Salon de jeux dès maintenant.
« On veut voir une harmonisation de l’ensemble de l’œuvre et c’est ce que le groupe Blouin nous a garanti pour doter Rimouski d’un hôtel et d’un centre des congrès qui n’aura rien à envier à ce qu’on retrouve ailleurs au Québec et même au Canada », précise monsieur Caron.
Nouveau centre de congrès
En novembre 2024, le Groupe Blouin a confirmant le plus important projet de son histoire avec un investissement de 40 M$, dont 5,5 M$ proviennent de la Ville de Rimouski, pour construire l’un des plus grands centres de congrès au Québec dans l’Hôtel Rimouski, dont la superficie passera de 20 000 à 30 000 pieds carrés dès 2026.

Les travaux consistent à l’érection d’une nouvelle aile au sud du bâtiment actuel qui comprendra un nouveau centre de congrès transformé et agrandi de 7 500 pieds carrés, pouvant se diviser en trois salles distinctes, ce qui permettra d’ajouter 550 places supplémentaires, portant sa capacité totale à 1 500 personnes.
Cette aile accueillera également le nouveau Salon de jeux de Loto-Québec, financé par la société d’État au coût de 15 M$, dont l’ouverture est prévue à l’été 2026.
-
Journal Le Soir
-
Costco ouvrira le 5 août à Rimouski
Après des mois de spéculations et de travaux intensifs, Costco Wholesale Canada confirme que son magasin-entrepôt de Rimouski ouvrira officiellement ses portes le mardi 5 août, à 7 h. L’annonce confirme les prévisions qui faisaient état d’un lancement au cours de l’été. Costco Wholesale Canada a annoncé la date en lançant un événement sur Facebook. L’arrivée de la multinationale au Bas-Saint-Laurent avait d’abord été pressentie en mai. Des sources proches du dossier, consultées par Le Soi
Costco ouvrira le 5 août à Rimouski

Après des mois de spéculations et de travaux intensifs, Costco Wholesale Canada confirme que son magasin-entrepôt de Rimouski ouvrira officiellement ses portes le mardi 5 août, à 7 h. L’annonce confirme les prévisions qui faisaient état d’un lancement au cours de l’été.
Costco Wholesale Canada a annoncé la date en lançant un événement sur Facebook.
L’arrivée de la multinationale au Bas-Saint-Laurent avait d’abord été pressentie en mai. Des sources proches du dossier, consultées par Le Soir.ca, nous ont ensuite confié que l’ouverture s’effectuerait en juillet ou en août. Jusqu’ici, aucune date officielle n’avait été communiquée au public.
La succursale rimouskoise de Costco, construite par l’entrepreneur Divco, un habitué des projets de la multinationale dans l’est du Canada, s’étendra sur une superficie impressionnante de 153 000 pieds carrés, soit 5 000 de plus que celle de Lévis.
À cela s’ajouteront une essencerie et des aménagements extérieurs, dont les constructions se poursuivront dans les prochaines semaines.
Vaste campagne d’embauche
En parallèle, Costco s’apprête à lancer dans les prochaines semaines une vaste campagne d’embauche afin de pourvoir les quelque 200 à 250 postes nécessaires à l’ouverture du magasin, comprenant 20 cadres dont certains toucheront un salaire allant jusqu’à 85 000 $ par année.

Parmi les postes déjà comblés, celui de directeur du magasin aurait été attribué à Martin Byrns-Hanfield, selon des informations obtenues par Le Soir.ca.
Employé de Costco depuis 12 ans, il occupe actuellement le poste de directeur adjoint à la succursale de Gatineau, fonction qu’il assume depuis mars 2019.
Avec cette ouverture attendue depuis longtemps, Rimouski s’apprête à accueillir l’un des plus importants projets commerciaux de son histoire.
-
Journal Le Soir
-
Le projet de Riôtel est au point neutre
Le maire de Rimouski, Guy Caron, précise qu’il n’y a pas de nouveau pour le projet d’hôtel au centre-ville de Rimouski du Groupe Riôtel de Matane. « Pour l’instant, nous n’avons pas de développement par rapport à cela. La question problématique par rapport à ce projet, c’est le manque de stationnements pour un hôtel. Avec la place des Anciens-Combattants et le fait que le stationnement autour soit réservé à l’Institut maritime du Québec et à la Salle Desjardins-TELUS, ça devient un peu plus c
Le projet de Riôtel est au point neutre

Le maire de Rimouski, Guy Caron, précise qu’il n’y a pas de nouveau pour le projet d’hôtel au centre-ville de Rimouski du Groupe Riôtel de Matane.
« Pour l’instant, nous n’avons pas de développement par rapport à cela. La question problématique par rapport à ce projet, c’est le manque de stationnements pour un hôtel. Avec la place des Anciens-Combattants et le fait que le stationnement autour soit réservé à l’Institut maritime du Québec et à la Salle Desjardins-TELUS, ça devient un peu plus compliqué pour offrir des stationnements. On essaie de trouver des solutions, tout comme le promoteur, mais à date, nous n’en avons pas trouvé », affirme le maire.
Monsieur Caron indique que tant que la question du stationnement ne sera pas réglée, le dossier ne pourra pas avancer.

« Et c’est une question complexe. On connaît les besoins. Nous avons eu des rencontres qui ont été productives. Ce qui nous a été présenté récemment est différent de ce qui nous avait été présenté initialement. Il y a plus de possibilités, mais nous sommes encore loin d’une solution à la satisfaction des deux parties ».
Il y aurait notamment une ouverture de la Ville pour modifier la réglementation sur le nombre d’étages permis dans le secteur.
Acquis en novembre 2020
Riôtel a acquis le bâtiment et le terrain qui accueillaient le restaurant Tim Horton’s du centre-ville, au 64 rue Saint-Germain Ouest, en novembre 2020. Peu après, un projet d’hôtel a été présenté à la Ville de Rimouski.
En février dernier, son président, François Rioux, confiait avoir présenté une nouvelle mouture de projet d’hôtel à la Ville de Rimouski.
Elle comprend un bâtiment de 100 à 120 chambres pouvant aller jusqu’à 14 étages, même si la réglementation municipale actuelle permet des immeubles de seulement quatre étages, en plus de l’aménagement de 80 places de stationnement, dont une partie serait sous terrain.

Guy Caron confiait à ce moment au Soir.ca que le conseil municipal est ouvert à modifier son règlement de zonage.
« Le promoteur est conscient de la situation. Nous avons eu une rencontre avec François Rioux, de Riôtel. Il nous a mentionné qu’il travaillait sur une modification de son projet », confirmait le maire de Rimouski.
-
Journal Le Soir
-
Bas-Saint-Laurent : la fin des petits commerces
La désertification commerciale s’accélère dans les petites municipalités du Bas-Saint-Laurent. Selon les plus récentes données de l’Institut de la statistique du Québec, près du quart des localités de moins de 1000 habitants dans la région ne comptent plus aucun commerce de détail. Sur les 73 municipalités de cette taille recensées par le ministère des Affaires municipales, 18 se retrouvent aujourd’hui sans dépanneur, épicerie ou station-service, soit 24,7 %. La disparition de ces commerc
Bas-Saint-Laurent : la fin des petits commerces

La désertification commerciale s’accélère dans les petites municipalités du Bas-Saint-Laurent. Selon les plus récentes données de l’Institut de la statistique du Québec, près du quart des localités de moins de 1000 habitants dans la région ne comptent plus aucun commerce de détail.
Sur les 73 municipalités de cette taille recensées par le ministère des Affaires municipales, 18 se retrouvent aujourd’hui sans dépanneur, épicerie ou station-service, soit 24,7 %.
La disparition de ces commerces de proximité constitue un signal d’alarme pour la vitalité économique et sociale des villages.
La présence de services de base comme une épicerie ou une station-service fait partie des 17 indicateurs d’occupation et de vitalité des territoires retenus par le gouvernement du Québec.
Ces critères servent à mesurer notamment l’évolution démographique, l’accès à l’emploi, la richesse collective et la qualité de vie.
Une tendance en croissance depuis 20 ans
En 2006, une dizaine des 70 petites localités de la région n’avaient déjà plus de commerce. Depuis, le vieillissement de la population et la baisse démographique ont contribué à l’élargissement de cette catégorie de villages sans services de proximité.
Le phénomène touche désormais toutes les régions du Québec, mais le Bas-Saint-Laurent détient le triste record du plus grand nombre de localités de moins de 1000 habitants.
Les MRC de La Matapédia, de La Mitis et de Kamouraska concentrent à elles seules près des trois quarts des villages considérés comme « dévitalisés » dans la région.
Des impacts sociaux préoccupants
Pour le préfet de la MRC de La Mitis, Bruno Paradis, la situation est critique.
« Dans plusieurs communautés, il devient de plus en plus difficile d’avoir accès à de la nourriture fraîche et de qualité », déplore-t-il. Selon lui, les effets les plus graves de la disparition des commerces de proximité se feront sentir à moyen et long terme. « Cela rend ces localités de moins en moins attractives, surtout pour les jeunes familles. »

Il redoute une spirale de dévitalisation : en l’absence de services, les familles s’installent ailleurs, ce qui accélère le déclin démographique et compromet davantage la survie des villages.
Miser sur les familles pour contrer le déclin
À Saint-Valérien, la fermeture de la seule épicerie du village, survenue à l’automne dernier, a marqué les esprits.
Le maire, Robert Savoie, en reconnaît les impacts, mais comprend aussi les défis auxquels font face les commerçants. « Quand on est à 10 minutes des supermarchés d’un centre urbain, et avec un Costco qui s’en vient, il est extrêmement difficile pour un petit commerce d’assurer sa rentabilité », explique-t-il.
Ce sont les personnes les plus vulnérables, dont les aînés, les ménages à faible revenu ou les citoyens sans moyen de transport, qui souffrent le plus de cette absence de services, surtout dans les villages éloignés.

Malgré tout, Saint-Valérien fait figure d’exception dans la région. La population est passée de 830 à 960 habitants en dix ans. Une croissance que le maire attribue à une stratégie proactive axée sur les services aux familles : construction d’un CPE, aménagement d’un centre communautaire, et développement résidentiel. « Aujourd’hui, mon école primaire est à pleine capacité, et il ne reste plus un seul terrain à bâtir dans le village. »
Tendance provinciale en hausse
À l’échelle du Québec, le pourcentage de petites localités sans commerce de proximité est passé de 11 % en 2006 à près de 23 % en 2024, soit plus du double en moins de vingt ans.
Après le Bas-Saint-Laurent, les régions les plus touchées sont Chaudière-Appalaches (59 localités de moins de 1000 habitants) et la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.
Cette érosion des services de base dans les milieux ruraux soulève des enjeux majeurs d’équité territoriale et pose la question de la responsabilité collective face à l’avenir des petites communautés.
-
Mes signets
-
"En 2040, on aura changé de monde" - Olivier Hamant - Grenoble 2040 - YouTube
Nous avons construit depuis dix mille ans, un monde d’abondance de ressources, un écosystème stable, qui nous a poussé à optimiser et à performer. Le culte d... — Permalien
"En 2040, on aura changé de monde" - Olivier Hamant - Grenoble 2040 - YouTube
— Permalien