Cassidy, His Job in Peril, Scrutinizes Kennedy on Vaccines
© Tierney L. Cross/The New York Times
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La première moitié de 2025 a été marquée par une forte volatilité sur les marchés financiers. L’incertitude entourant les politiques tarifaires et d’autres mesures gouvernementales a pesé sur le moral des investisseurs. Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche s’est accompagné de décisions économiques marquantes, notamment l’imposition de nouveaux droits de douane sur des partenaires commerciaux majeurs tels que le Mexique, le Canada et la Chine. Ces mesures protectionnistes ont ravivé les tensions commerciales et engendré une volatilité accrue sur les marchés, affectant les devises, les matières premières et les principaux indices boursiers.
Entre le 19 février et le 8 avril, le S&P 500 a chuté de 19 %, frôlant la zone de marché baissier. Pourtant, ce recul n’a été que temporaire. Dès le mois d’avril, les marchés ont entamé un redressement soutenu, porté par des données économiques encourageantes, une baisse de la volatilité et des attentes de politiques monétaires plus accommodantes. Les principaux indices américains, dont le S&P 500, le Nasdaq et le Dow Jones, ont ainsi effacé leurs pertes et atteint de nouveaux sommets dès le début juillet. Depuis le 8 avril, le S&P 500 a progressé de près de 30 % et affiche un rendement de +10,50 % depuis le début de l’année.
Ce regain de confiance a été renforcé par l’entrée en vigueur du « Big Beautiful Bill », favorable à l’investissement, ainsi que par la conclusion d’accords commerciaux stratégiques avec l’Union européenne, la Chine, le Japon, le Vietnam et la Corée du Sud. Ensemble, ces éléments ont contribué à repositionner les marchés dans une dynamique haussière, malgré les incertitudes persistantes.
Investir lorsque les marchés atteignent des niveaux records suscite naturellement des inquiétudes. Beaucoup redoutent une correction imminente, une bulle qui éclaterait ou un essoufflement du marché haussier. Ce malaise est compréhensible : acheter au plus haut semble contre-intuitif.
Pourtant, l’histoire des marchés nous enseigne une leçon surprenante. Depuis 1950, les rendements du S&P 500 après des sommets historiques ont été supérieurs à ceux d’une journée moyenne. Cela peut sembler paradoxal, mais c’est logique : les sommets surviennent généralement dans des périodes de vigueur économique et de confiance des investisseurs.
Les données montrent que les rendements annualisés du S&P 500 sur des périodes de 1, 3 et 5 ans sont souvent aussi bons, voire meilleurs, lorsqu’on investit à un sommet que lorsqu’on investit à une date aléatoire.
Tenter de synchroniser ses placements avec les fluctuations du marché est une stratégie risquée. Les investisseurs qui attendent le bon moment se retrouvent souvent à manquer les journées où les marchés boursiers enregistrent leurs meilleurs résultats, qui surviennent fréquemment près des sommets. En restant sur la touche, on risque de compromettre ses objectifs financiers à long terme.
Le graphique suivant montre qu’une stratégie d’investissement continue et à long terme surpasse largement celle qui consiste à vendre ses actions chaque fois que le marché atteint un sommet. Une telle approche, consistant à se retirer systématiquement du marché à chaque nouveau record, détruirait près de 90 % de votre patrimoine sur le très long terme.
Ce n’est pas le moment où vous investissez qui compte le plus, mais le temps pendant lequel vous conservez vos placements. Les marchés sont volatils à court terme, mais historiquement haussiers à long terme. Miser sur la croissance à long terme, c’est miser sur l’innovation, la productivité et la résilience des économies.
Les investisseurs qui ont su « tenir le cap » à travers les hauts et les bas ont souvent été récompensés. Par exemple, sur les 91 dernières années, le S&P 500 a connu des années négatives dans 33 % des cas. Pourtant, plus l’horizon d’investissement s’allonge, plus les probabilités de rendement positif augmentent. Les placements sur un an ont produit des résultats négatifs bien plus souvent que ceux conservés sur des périodes de 3, 5 ou 10 ans.
Fait marquant : sur les 82 dernières années, 100 % des périodes de 10 ans ont généré des rendements positifs.
Autrement dit, les investisseurs qui conservent leurs placements à travers les cycles, même pendant les périodes de baisse, améliorent considérablement leurs chances de succès. La patience et la discipline sont des alliées puissantes dans la construction de patrimoine.
Plutôt que de redouter les sommets historiques, les investisseurs devraient les voir comme un rappel du potentiel de croissance à long terme des marchés boursiers. Ceux qui attendent un « meilleur point d’entrée » se retrouvent souvent à rater des occasions et à obtenir des rendements moindres.
Ne laissez pas la crainte des plus hauts historiques vous empêcher d’investir. Conserver ses placements, les diversifier et maintenir une perspective à long terme est une stratégie efficace pour bâtir votre patrimoine.
Pier-Luc Perreault, CFA, M. Sc.
Conseiller associé en gestion de patrimoine
Groupe Gagnon Arsenault, Valeurs mobilières Desjardins
Sources :
Lamont, D. (2025, 20 juillet). Scared of investing when the stock market is at an all-time high? You shouldn’t be. Schroders. https://www.schroders.com/en/global/individual/insights/scared-of-investing-when-the-stock-market-is-at-an-all-time-high-you-shouldn-t-be/
RBC Global Asset Management. (2024). Investing at all-time highs. https://www.rbcgam.com/en/ca/learn-plan/investment-basics/investing-at-all-time-highs/detail
Carlson, B. (2025, 4 juillet). Investing a lump sum at all-time highs – A Wealth of Common Sense. A Wealth of Common Sense. https://awealthofcommonsense.com/2025/07/investing-a-lump-sum-at-all-time-highs-2/
Manley, J. (2022). U.S. equities: How to invest in a market near all-time highs? J.P. Morgan Asset Management. https://am.jpmorgan.com/us/en/asset-management/adv/insights/market-insights/guide-to-the-markets/portfolio-discussions-u-s-equities/
Capital Group. (n.d.). Time, not timing, is what matters. https://www.capitalgroup.com/individual/planning/investing-fundamentals/time-not-timing-is-what-matters.html
BNY Mellon. (2025). Don’t fear investing at new highs. https://www.bny.com/investments/fi/en/institutional/news-and-insights/chart-of-the-week/dont-fear-investing-at-new-highs.html
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Verkhovna Rada’s finance committee chair Danylo Hetmantsev announced the program on Sunday, building on previous warnings from officials that “the lack of coverage for military risks is a significant obstacle to attracting investors for Ukraine’s reconstruction and economic development,” as former deputy economy minister Oleksiy Sobolev, now Ukraine’s minister of economy, environment, and agriculture, noted last year.
The plan splits coverage into two tracks: direct state compensation for war damage in frontline areas through Ukraine’s Export Credit Agency, and premium subsidies elsewhere to make insurance affordable for businesses and households.
As Hetmantsev’s announcement suggests, Ukraine is ready to solve the insurance conundrum with state backing, following successful smaller programs that have already proven the concept works.
Frontline zones: The Export Credit Agency will directly compensate damaged property in the highest-risk areas near active combat through a claims-based system.
Safer regions: The government will subsidize insurance premiums across the rest of the country, making commercial coverage affordable for both Ukrainian businesses and foreign investors.
The program still needs legislative amendments to expand the Export Credit Agency’s mandate and a Cabinet decision on budget allocation. Hetmantsev described the costs as “moderate” but provided no specific figures.
“This was a challenging path. Thanks to the Cabinet of Ministers and NBU for constructive cooperation, and I expect final decisions,” he wrote on social media.
Ukraine isn’t building this system from scratch.
The country has been testing war-risk coverage in targeted sectors with impressive results.
Maritime success: The Unity facility, built with Marsh, Lloyd’s, and Ukrainian state banks, drove down war-risk rates for Black Sea shipping and expanded in March 2024 to cover all non-military cargo.
International backing: The World Bank’s MIGA expanded political-risk insurance for Ukraine in 2024, while broker Aon and the US Development Finance Corporation unveiled a $350 million scheme for Ukrainian businesses earlier this year.
Private market entry: A London-backed reinsurance program launched this year, offering property coverage—but only for assets more than 100 kilometers from the front lines. This shows how distance-to-combat still shapes pricing.
The new system aims to unify these fragmented pilot programs into comprehensive rules that private insurers and international reinsurers can price against. According to Oleksiy Sobolev, the goal is to create “a single pool, clear rules, and ultimately the ability to attract international reinsurers to this market.”
The original concept, developed last autumn by Ukraine’s National Bank, Ministry of Economy, and Ministry of Finance, envisioned financing through mandatory insurance payments and international donor support.
Coverage would protect against physical war damage, with mandatory insurance initially covering mortgaged property and residential construction projects.
If Ukraine can deliver predictable budget support and attract international reinsurer participation, the program could shift investment calculations from “uninsurable” to “expensive but manageable”—unlocking bank lending and foreign direct investment far beyond the maritime corridor.
However, the program’s scale and speed will determine whether this becomes a genuine turning point or just another limited pilot in a market still fundamentally priced for war.
The legislative timeline, budget envelope size, and reinsurer participation remain unclear.
Ukraine’s approach builds on proven models—the Unity shipping facility demonstrated that strategic state participation can dramatically reduce private market pricing while attracting commercial capital. The question is whether Ukraine can scale this from ships to the entire economy while the war continues.
For international investors who have spent three years watching Ukrainian opportunities from the sidelines, the program represents the missing piece that could finally make the risk calculable rather than simply unacceptable.