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  • Un motocycliste perd la vie à Sainte-Flavie
    Un motocycliste a perdu la vie à la suite d’un accident survenu samedi (2 août), vers 18 h 15, sur la route 132 en direction Est à Sainte-Flavie. Par La Presse Canadienne Les services d’urgences ont été appelés après une collision entre une motocyclette et un petit véhicule récréatif. Ce dernier était immobilisé en bordure de la route, les voies de circulations étaient libres. Le motocycliste est tout de même entré en collision avec le véhicule pour une raison inconnue. À l’arrivée d
     

Un motocycliste perd la vie à Sainte-Flavie

3 août 2025 à 07:00

Un motocycliste a perdu la vie à la suite d’un accident survenu samedi (2 août), vers 18 h 15, sur la route 132 en direction Est à Sainte-Flavie.

Par La Presse Canadienne

Les services d’urgences ont été appelés après une collision entre une motocyclette et un petit véhicule récréatif.

Ce dernier était immobilisé en bordure de la route, les voies de circulations étaient libres. Le motocycliste est tout de même entré en collision avec le véhicule pour une raison inconnue.

À l’arrivée des policiers, le conducteur de 50 ans a été conduit à l’hôpital dans un état critique, son décès y a finalement été constaté.

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  • Incendie à Saint-René-de-Matane
    Un incendie a fait rage le 31 juillet dernier dans l’arrière-pays de Saint-René-de-Matane. Le feu qui s’étend sur une distance de 2.8 hectares a été aperçu par l’équipe de la SOPFEU qui est intervenue sur place. Par la suite, un appel généralisé a été placé afin que les pompiers du Service régional de sécurité incendie de La Matanie et les pompiers de Matane puissent intervenir. L’incendie s’est déclaré le 31 juillet vers 11 h 50 dans un secteur boisé de l’arrière-pays de Saint-René-de-Mat
     

Incendie à Saint-René-de-Matane

1 août 2025 à 10:00

Un incendie a fait rage le 31 juillet dernier dans l’arrière-pays de Saint-René-de-Matane.

Le feu qui s’étend sur une distance de 2.8 hectares a été aperçu par l’équipe de la SOPFEU qui est intervenue sur place. Par la suite, un appel généralisé a été placé afin que les pompiers du Service régional de sécurité incendie de La Matanie et les pompiers de Matane puissent intervenir.

L’incendie s’est déclaré le 31 juillet vers 11 h 50 dans un secteur boisé de l’arrière-pays de Saint-René-de-Matane à la hauteur du Chemin du 10e et 11e rang. La SOPFEU indique que le feu aurait été causé par des opérations industrielles, sans apporter davantage de détails.

Bien que le feu soit contenu, le risque que l’incendie reprenne de la vigueur demeure élevé. C’est pour cette raison que des équipes des services d’incendie restent sur place pour éviter la propagation. On parle d’une opération qui pourrait durer quelques jours et qui mobilisent 16 pompiers.

Afin de soutenir les pompiers au travail, le maire de Saint-René-de-Matane, Rémi Fortin et son équipe municipale ont ouvert les portes du centre communautaire. Les pompiers peuvent y accéder à leur guise pour y recevoir des repas offerts.

D’ailleurs, le directeur du Service régional de la Sécurité incendie de La Matanie, Dany Bouchard, remercie la municipalité de Saint-René-de-Matane pour le support apporté pendant cette intervention de longue haleine.

16 pompiers sont toujours mobilisés. (Photo Courtoisie – Dany Bouchard)
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  • 171 km/h sur la 20 : un conducteur de 19 ans sanctionné
    Un jeune automobiliste de 19 ans devra s’acquitter d’un constat d’infraction de 1 461 $, assorti de 14 points d’inaptitude, pour avoir circulé à 171 km/h sur l’autoroute 20 en direction est, mercredi (30 juillet) vers 14 h, dans le secteur de Cacouna. Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une période de sept jours, conformément au Code de la sécurité routière. Cette infraction survient alors que la Sûreté du Québec a lancé, plus tôt cette semaine, un appel à la prudence s
     

171 km/h sur la 20 : un conducteur de 19 ans sanctionné

31 juillet 2025 à 09:00

Un jeune automobiliste de 19 ans devra s’acquitter d’un constat d’infraction de 1 461 $, assorti de 14 points d’inaptitude, pour avoir circulé à 171 km/h sur l’autoroute 20 en direction est, mercredi (30 juillet) vers 14 h, dans le secteur de Cacouna.

Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une période de sept jours, conformément au Code de la sécurité routière.

Cette infraction survient alors que la Sûreté du Québec a lancé, plus tôt cette semaine, un appel à la prudence sur les routes.

Le nombre de décès enregistrés depuis le début des vacances de la construction dépasse celui de la même période l’an dernier.

« Si on veut renverser la tendance, il faut absolument que chacun fasse sa part. On doit ralentir, être vigilant et, surtout, être en état de conduire lorsqu’on prend le volant », rappelle la sergente Ève Brochu-Joubert dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux de la SQ.

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  • Percé : un septuagénaire perd la vie en VTT
    Le conducteur d’un véhicule tout-terrain (VTT) âgé de 75 ans a perdu la vie mardi (29 juillet), vers 18 h, à la suite d’une embardée survenue sur le chemin des Côteaux à Percé, en Gaspésie. « Il aurait perdu la maîtrise de son véhicule alors qu’il tentait de traverser l’intersection pour se rendre sur la route Blondin », explique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies. Lors de la perte de maîtrise, la victime, originaire de Percé, aurait été éjectée de son VTT. Les serv
     

Percé : un septuagénaire perd la vie en VTT

30 juillet 2025 à 15:00

Le conducteur d’un véhicule tout-terrain (VTT) âgé de 75 ans a perdu la vie mardi (29 juillet), vers 18 h, à la suite d’une embardée survenue sur le chemin des Côteaux à Percé, en Gaspésie.

« Il aurait perdu la maîtrise de son véhicule alors qu’il tentait de traverser l’intersection pour se rendre sur la route Blondin », explique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.

Lors de la perte de maîtrise, la victime, originaire de Percé, aurait été éjectée de son VTT. Les services d’urgence ont pris en charge la victime.

« L’homme a été amené vers un centre hospitalier où, malheureusement, son décès a été constaté », ajoute le porte-parole de la SQ.

Un enquêteur en scènes de collisions a été dépêché sur les lieux.

« Le dossier est dans les mains du coroner. Pour le moment, il est trop tôt pour déterminer les causes exactes de l’accident », précise Frédéric Deshaies.

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  • Trois-Pistoles se dote d’un premier camion à grande échelle
    Le Service des incendies et sécurité civile de la Ville de Trois-Pistoles a mis en service cette semaine un tout nouveau véhicule d’élévation, communément appelé « camion à grande échelle ». Ce véhicule spécialisé représente une avancée majeure pour la sécurité publique. Jusqu’à maintenant, la Ville devait faire appel aux services de Rivière-du-Loup pour ce type d’intervention, ce qui entraînait des délais d’environ 45 minutes. Grâce à l’acquisition de ce nouveau camion, le temps de répo
     

Trois-Pistoles se dote d’un premier camion à grande échelle

30 juillet 2025 à 07:30

Le Service des incendies et sécurité civile de la Ville de Trois-Pistoles a mis en service cette semaine un tout nouveau véhicule d’élévation, communément appelé « camion à grande échelle ». Ce véhicule spécialisé représente une avancée majeure pour la sécurité publique.

Jusqu’à maintenant, la Ville devait faire appel aux services de Rivière-du-Loup pour ce type d’intervention, ce qui entraînait des délais d’environ 45 minutes.

Grâce à l’acquisition de ce nouveau camion, le temps de réponse est désormais réduit à quelques minutes seulement, offrant une capacité d’intervention rapide et efficace en hauteur, notamment pour les incendies et les sauvetages complexes.

Question de sécurité

Cette acquisition s’inscrit dans une volonté du conseil municipal d’accroître la sécurité des citoyens.

En mars 2024, le conseil municipal a autorisé l’adjudication du contrat à l’entreprise Aéro-Feu Ltée, au coût de 774 931,50 $ taxes incluses, pour l’achat d’un véhicule d’élévation usagé, équipé et conforme aux besoins du Service.

Grâce à l’acquisition de ce nouveau camion à grande échelle, le temps de réponse est désormais réduit à quelques minutes seulement à Trois-Pistoles. (Photo courtoisie)

Ce nouvel équipement marque une première historique pour le Service des incendies et sécurité civile de la Ville de Trois-Pistoles, qui n’avait jamais disposé d’un tel véhicule depuis sa fondation.

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  • La SQ lance un appel à la prudence
    Les nombreux accidents de la route survenus depuis le début des vacances de la construction poussent la Sûreté du Québec (SQ) à lancer un nouvel appel à la prudence pour la suite des vacances estivales. Par La Presse Canadienne Le corps policier provincial rapporte que 17 décès sont survenus dans 14 collisions depuis le début des vacances de la construction, qui sont en cours depuis un peu plus d’une semaine. Ce bilan inclut les collisions sur route et hors route. En 2024, pour l’entièr
     

La SQ lance un appel à la prudence

30 juillet 2025 à 06:30

Les nombreux accidents de la route survenus depuis le début des vacances de la construction poussent la Sûreté du Québec (SQ) à lancer un nouvel appel à la prudence pour la suite des vacances estivales.

Par La Presse Canadienne

Le corps policier provincial rapporte que 17 décès sont survenus dans 14 collisions depuis le début des vacances de la construction, qui sont en cours depuis un peu plus d’une semaine. Ce bilan inclut les collisions sur route et hors route.

En 2024, pour l’entièreté des vacances de la construction, 14 personnes avaient perdu la vie lors de 13 collisions mortelles sur le réseau routier, tandis que quatre décès étaient survenus dans des collisions impliquant un véhicule hors route.

Selon la SQ, le bilan de la première semaine des vacances de la construction de cette année commande un rappel des conseils de prudence de base.

«Si on veut renverser la tendance, il faut absolument que chacun fasse sa part. On doit ralentir, être vigilant et, surtout, être en état de conduire lorsqu’on prend le volant», affirme la sergente Ève Brochu-Joubert dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux de la SQ.

«On le sait, plusieurs sont en vacances. Si vous voulez tous les continuer avec votre famille et vos amis dans le plaisir, s’il vous plaît, soyez prudents sur les routes», ajoute-t-elle.

Réseau routier, plans d’eau et sentiers

Selon la SQ, la période des vacances de la construction représente toujours un moment où le nombre de collisions mortelles et avec blessés est particulièrement élevé.

Les policiers visent les comportements des plaisanciers sur les plans d’eau. (Photo courtoisie SQ)

Le corps policier provincial avait déjà annoncé qu’il intensifierait ses interventions sur le réseau routier, sur les plans d’eau et sur les sentiers du 18 juillet au 3 août.

En 2024, pendant les vacances estivales, le non-respect de la signalisation, le non-respect des limites de vitesse, la conduite avec facultés affaiblies et le non-port des équipements de sécurité étaient à l’origine de la plupart des accidents mortels et avec blessés graves, selon la SQ.

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  • Quand toute la famille combat les feux
    Deux pompiers dans une même famille, c’est remarquable, trois c’est encore plus spécial. Mais le clan Ouellet-Mongeon a rien de moins que quatre membres de leur famille au sein des pompiers de Sainte-Félicité. Yanick Ouellet a fait ses débuts chez les pompiers en 2003 à une époque où il y avait un manque criant de volontaires. C’est d’ailleurs en allant faire du lettrage pour les camions de pompiers qu’il a été recruté par le chef de caserne de l’époque. « Ça m’intéressait déjà. La décisio
     

Quand toute la famille combat les feux

29 juillet 2025 à 18:00

Deux pompiers dans une même famille, c’est remarquable, trois c’est encore plus spécial. Mais le clan Ouellet-Mongeon a rien de moins que quatre membres de leur famille au sein des pompiers de Sainte-Félicité.

Yanick Ouellet a fait ses débuts chez les pompiers en 2003 à une époque où il y avait un manque criant de volontaires. C’est d’ailleurs en allant faire du lettrage pour les camions de pompiers qu’il a été recruté par le chef de caserne de l’époque.

« Ça m’intéressait déjà. La décision n’a pas été difficile à prendre », indique monsieur Ouellet, aujourd’hui chef de la caserne 19 de Sainte-Félicité.

Sa conjointe, Nadine Mongeon, a entamé sa carrière en 2015. Après avoir arrêté quelques années pour s’occuper de sa famille, elle occupe maintenant le poste de pompière recrue et d’agente de prévention à temps plein, en plus de s’occuper du volet administratif.

« Mon intérêt pour le service incendie a commencé pas mal en même temps que le début de ma relation avec Yanick. Je trouvais les interventions assez impressionnantes. De plus, tant qu’à m’inquiéter chaque fois que Yanick allait sur un appel, aussi bien y aller avec lui », rigole-t-elle.

Sur les traces du père 

Maxime Ouellet, fils de Yanick, a suivi les traces de son père en devenant pompier à temps partiel. C’est en 2017 qu’il a officiellement intégré le service incendie de la MRC de La Matanie à la caserne de Sainte-Félicité.

« Quand j’avais à peine sept ou huit ans, j’ai eu l’occasion de le voir à l’œuvre. Je l’observais à distance et ça me fascinait. Autant les habits de combat que les gros camions et aussi d’aider les gens. Je savais déjà que je voulais intégrer les pompiers lorsque je serais assez vieux. »

Finalement, le fils de Nadine, Luka Savard, est le dernier membre de la famille à intégrer les pompiers. Fraîchement arrivé dans le service incendie, il a débuté, cette année, sa formation comme pompier recrue. Il a eu la piqûre du métier alors qu’une intervention s’est déroulée tout juste devant chez lui. « Dès ce moment-là, je savais que je ferais partie du service incendie plus tard. »

Intervenir en famille

Les pompiers sont déjà reconnus pour être une grande famille. Lorsqu’un clan familial en fait partie, il y a une énergie et une dynamique particulière qui s’ajoute.

« Très souvent, nous sommes appelés à intervenir ensemble puisque nous sommes trois à habiter au même endroit. Étant de la même famille, on connaît nos forces et on veille les uns sur les autres. Par exemple, je n’ai jamais eu peur d’aller droit dans l’action, mais j’ai moins de plaisir à être en hauteur. Je laisse ça à Max », raconte Yanick.

Pour sa part, le côté maternel de Nadine entre en jeu.

« Je suis déjà maman poule de nature, donc oui c’est inquiétant quand ils partent sur un appel. C’était encore pire quand je n’étais pas dans les pompiers. Aujourd’hui, je suis un peu plus rassurée quand je suis avec eux. Et c’est réciproque. Ça arrive souvent que Luka me garde à l’œil », ajoute-t-elle.

Des flammes qui marquent à jamais

S’il y a des interventions troublantes qu’on préfère oublier, d’autres restent marquantes chez les pompiers. 

« Deux de mes interventions les plus marquantes sont les trois édifices de la rue Saint-Pierre (en 2005 à Matane) qui avaient brûlé et le feu aux Fruits de mer de l’Est (en 2024 à Matane). Toutes les fois qu’on a à intervenir et qu’on limite les dégâts, c’est toujours satisfaisant, parce que notre but est d’aider les gens », indique Yanick Ouellet. 

Les pompiers sont déjà reconnus pour être une grande famille. Lorsqu’un clan familial en fait partie, il y a une énergie et une dynamique particulière qui s’ajoute. (Photo Le Soir.ca- Dominique Fortier)

Même constat pour son fils, Maxime, qui est aussi intervenu aux Fruits de mer de l’Est. « C’était presque 28 heures d’intervention. C’était très long, mais en même temps, on carbure à l’adrénaline, alors ce le genre d’intervention que je recherche. J’étais en arrière du bâtiment et on s’apprêtait à rentrer quand ç’a explosé. D’ailleurs, ça explosait de partout. C’était une de mes interventions les plus mémorables. »

Toujours s’améliorer

Tous les pompiers ont le même objectif : intervenir rapidement, sécuriser les lieux, aider les gens et sauver le matériel le plus possible.

« Lorsqu’on a terminé le travail, on revient à la caserne, on fait notre “débriefing” où on analyse ce qui a bien été et ce qui est à améliorer, on nettoie les camions et on se serre la main avant de retourner à la maison », indique Yanick Ouellet.

D’ailleurs, le service incendie de La Matanie est toujours à la recherche de nouveaux pompiers. Les intéressés qui souhaitent se dépasser, vivre des interventions stimulantes, vivre le sentiment d’aider les autres, et surtout, de travailler avec Yanick, Nadine, Max et Luka peuvent contacter Dany Bouchard au 418 562-6734, poste 425.

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  • Prison de Rimouski : des absences en forte hausse
    Les agents du centre de détention de Rimouski s’absentent nettement plus souvent pour des raisons de santé ou d’accident de travail que dans les autres établissements carcéraux du Québec, révèle Le Journal de Québec. Le syndicat attribue cette situation à une concentration accrue de détenus présentant des « cas lourds » transférés notamment de la Gaspésie. Selon les données préliminaires du ministère de la Sécurité publique, les absences pour maladie ont presque doublé en un an à Rimouski
     

Prison de Rimouski : des absences en forte hausse

29 juillet 2025 à 15:00

Les agents du centre de détention de Rimouski s’absentent nettement plus souvent pour des raisons de santé ou d’accident de travail que dans les autres établissements carcéraux du Québec, révèle Le Journal de Québec.

Le syndicat attribue cette situation à une concentration accrue de détenus présentant des « cas lourds » transférés notamment de la Gaspésie.

Selon les données préliminaires du ministère de la Sécurité publique, les absences pour maladie ont presque doublé en un an à Rimouski, tandis que celles liées aux accidents de travail ont été multipliées par dix, passant d’une vingtaine à plus de 200 jours.

À l’échelle provinciale, ces absences sont pourtant en baisse de 13 %.

Le président du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels, Mathieu Lavoie, souligne que plusieurs agents sont affectés psychologiquement par des menaces répétées de détenus.

Le président du Syndicat des agents de la paix en services correctionnels, Mathieu Lavoie (Photo courtoisie)

Il donne en exemple le cas d’un détenu, transféré à la prison de New Carlisle en Gaspésie. Lors de son passage à Rimouski, il y a cinq ans, ce dernier a complètement démoli un secteur du centre de détention. Celui-ci serait, encore aujourd’hui, toujours inutilisable.

« Je sais où tu habites »

«Tous les cas lourds de la Gaspésie sont souvent transférés vers Rimouski. Ç’a toujours un effet domino. On entend de plus en plus des histoires de: je sais où tu habites, je sais où tes enfants vont à l’école, j’ai des gens à l’extérieur qui pourraient s’en occuper», illustre monsieur Lavoie au Journal de Québec.

Le ministère affirme avoir mis en place diverses mesures de soutien pour les employés et avoir formé plus de 400 nouveaux agents depuis septembre dernier.

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  • Intercepté à 165 km/h sur l’autoroute 20
    Un conducteur rimouskois de 25 ans devra assumer les conséquences de sa témérité. Il a été intercepté à 165 km/h en direction est sur l’autoroute 20, ce lundi 28 juillet vers 22 h, dans le secteur de Notre-Dame-du-Portage. L’automobiliste a reçu un constat d’infraction de 1 386 $, assorti de 14 points d’inaptitude. Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une durée de sept jours, conformément au Code de la sécurité routière. Au moment de l’interception, huit personnes prenai
     

Intercepté à 165 km/h sur l’autoroute 20

29 juillet 2025 à 13:30

Un conducteur rimouskois de 25 ans devra assumer les conséquences de sa témérité. Il a été intercepté à 165 km/h en direction est sur l’autoroute 20, ce lundi 28 juillet vers 22 h, dans le secteur de Notre-Dame-du-Portage.

L’automobiliste a reçu un constat d’infraction de 1 386 $, assorti de 14 points d’inaptitude. Son permis de conduire a été suspendu sur-le-champ pour une durée de sept jours, conformément au Code de la sécurité routière.

Au moment de l’interception, huit personnes prenaient place à bord du véhicule, qui ne comptait que sept ceintures de sécurité.

Un second constat d’infraction, s’élevant à 336 $, a donc été émis au conducteur pour avoir transporté un nombre de passagers excédant le nombre de places équipées de ceintures.

La Sûreté du Québec rappelle que la vitesse excessive et la conduite imprudente figurent toujours parmi les principales causes de décès sur les routes de la province.

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  • Phare de La Martre : 119 ans d’histoire vandalisés
    Une introduction par effraction a été perpétrée au Phare de La Martre, en Gaspésie. On y déplore de nombreux actes de vandalisme. Le lundi matin, lorsque l’employée du Phare s’est rendue au boulot, elle a d’abord constaté que la poignée de porte de l’ancienne maison du gardien, soit la boutique de souvenirs, avait été arrachée. Par la suite, la dame s’est aperçue que la porte du phare avait été fracassée. Il s’agit d’une porte assez solide, qui était d’origine, donc de 1906. À l’intéri
     

Phare de La Martre : 119 ans d’histoire vandalisés

29 juillet 2025 à 11:00

Une introduction par effraction a été perpétrée au Phare de La Martre, en Gaspésie. On y déplore de nombreux actes de vandalisme.

Le lundi matin, lorsque l’employée du Phare s’est rendue au boulot, elle a d’abord constaté que la poignée de porte de l’ancienne maison du gardien, soit la boutique de souvenirs, avait été arrachée.

Par la suite, la dame s’est aperçue que la porte du phare avait été fracassée. Il s’agit d’une porte assez solide, qui était d’origine, donc de 1906.

À l’intérieur, les malfaiteurs ont aussi causé des dommages, notamment en brisant une vieille caisse enregistreuse en plusieurs morceaux. Il y a aussi des cadres d’origine qui ont été subtilisés. Les suspects s’en sont aussi pris aux lentilles de Fresnel situées tout en haut du phare. Ces lentilles sont ces petites rondelles de verre qui éclairent le village.

« Le ou les personnes se sont vraiment acharnées sur ces lentilles. Et ce n’est pas simple puisqu’elles sont en mouvement constant. Donc il fallait qu’ils attendent qu’elles aient fait le tour du phare pour revenir à leur hauteur sur la passerelle pour qu’ils puissent continuer à les arracher », explique le maire de l’endroit Yves Sohier.

Monument historique

Ce dernier se désole qu’on se soit attaqué à un monument historique. 

« C’est du jamais vu. En 119 ans, nous n’avions jamais subi ce genre de méfait. C’est extrêmement navrant. On se demande d’ailleurs quel était le motif derrière ces actions puisqu’il y a eu beaucoup plus de méfaits que de vols », estime monsieur Sohier.

Le secteur du phare de La Martre a été établi en 1876. (Photo courtoisie ministère de la Culture et des Communications)

Le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies confirme que les policiers ont été contactés à la suite des événements malheureux.

« Nous avons ouvert une enquête dans cette affaire, mais nous n’avons pas encore arrêté de suspect. On estime les méfaits à quelques milliers de dollars. »

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  • Chic-Chocs : les motoneigistes décédés par asphyxie
    Le coroner Nicolas Lutzenkirchen conclut que les trois motoneigistes décédés l’an dernier dans les Chic-Chocs sont morts par asphyxie, suite à une avalanche. Joël Crête, 35 ans, Nicolas Vanasse, 30 ans, et Bryan Forgues Morissette 33 ans, trois amis de l’Estrie, s’étaient dirigés vers la Gaspésie pour une expédition de motoneige hors-piste. Ils sont accompagnés d’un quatrième compagnon. Le matin du 26 mars, le quatuor quitte le village de La Martre. Plus tard dans la journée, vers 17 h, le
     

Chic-Chocs : les motoneigistes décédés par asphyxie

29 juillet 2025 à 07:00

Le coroner Nicolas Lutzenkirchen conclut que les trois motoneigistes décédés l’an dernier dans les Chic-Chocs sont morts par asphyxie, suite à une avalanche.

Joël Crête, 35 ans, Nicolas Vanasse, 30 ans, et Bryan Forgues Morissette 33 ans, trois amis de l’Estrie, s’étaient dirigés vers la Gaspésie pour une expédition de motoneige hors-piste. Ils sont accompagnés d’un quatrième compagnon.

Le matin du 26 mars, le quatuor quitte le village de La Martre. Plus tard dans la journée, vers 17 h, les quatre hommes circulent près du mont Médaille dans la réserve faunique des Chic-Chocs.

Après avoir foulé le sommet d’une falaise, l’un d’eux entreprend sa descente mais s’immobilise dans une zone de neige profonde. Ce sera malheureusement le premier maillon d’un enchaînement critique.

Deux de ses compagnons de route vont derechef l’aider à se dépêtrer. Le couvert neigeux ne supporte cependant pas leur poids.

L’avalanche n’a pas laissé la moindre possibilité de fuite aux motoneigistes, note le coroner. (Photo istock)

« La pression cumulée par les interventions successives des membres du groupe sur cette pente marquée par une dépression naturelle avait déjà accru la tension sur une plaque de neige mouillée particulièrement instable », note le coroner.

En conséquence, une avalanche se déclenche à ce moment précis, qui ensevelit les trois amis. Ce type d’avalanche ne laisse que peu de chance à ceux qui en sont empêtrés. Sa masse lourde et sa vitesse soudaine créent une force destructrice et un effet de compression.

Hors Avalanche Québec

Le quatrième membre du groupe resté en retrait tente rapidement de localiser ses amis, mais sans succès. Il contacte sa conjointe qui appelle illico les secours, qui reçoivent les coordonnées GPS du groupe.

Une vaste opération de recherche se déploie. Un premier corps est retrouvé vers 22 h 30. Le lieu de la tragédie est isolé et difficile d’accès, très loin de l’hôpital de Sainte-Anne-des-Monts.

« L’avalanche ensevelit rapidement les trois motoneigistes sans leur laisser la moindre possibilité de fuite », analyse Nicolas Lutzenkirchen.

Dans son rapport, il rappelle que pareille expédition hors-piste en autonomie complète expose les adeptes « à des risques importants, à la fois imprévisibles et mal encadrés ».

Ce secteur échappe par ailleurs à la couverture officielle d’Avalanche Québec. Conséquemment, aucun suivi récent des conditions de neige n’était disponible.

Un policier en motoneige (Photo archives Sûreté du Québec)

Une veille de danger d’avalanche avait tout de même été émise une semaine avant la tragédie dans des zones similaires en raison de la fragilité du manteau neigeux. L’avertissement demeure pertinent, selon le coroner, puisqu’il révèle le contexte global et le risque inhérent.

L’absence d’équipements spécialisés comme une balise, un détecteur de victime d’avalanche ou une sonde « scelle irrémédiablement l’issue », des motoneigistes, conclut le coroner.

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  • L’ex-Océanic Mikaël Denis pose un geste courageux
    L’ex-joueur de l’Océanic et cadet de la Sûreté du Québec, Mikaël Denis, a contribué à ranimer une femme qui avait perdu connaissance au parc de la Chute-Montmorency, à Québec. Par Nelson Sergerie- Le Soir.ca Le drame s’est produit le 12 juillet dernier sur la passerelle qui surplombe la chute située aux limites de Québec et de Boischatel. Denis et sa collègue, Maude Fournier, font de la prévention dans l’exercice de leur fonction. Ils interviennent dans différents lieux publics. « Ve
     

L’ex-Océanic Mikaël Denis pose un geste courageux

27 juillet 2025 à 17:00

L’ex-joueur de l’Océanic et cadet de la Sûreté du Québec, Mikaël Denis, a contribué à ranimer une femme qui avait perdu connaissance au parc de la Chute-Montmorency, à Québec.

Par Nelson Sergerie- Le Soir.ca

Le drame s’est produit le 12 juillet dernier sur la passerelle qui surplombe la chute située aux limites de Québec et de Boischatel.

Denis et sa collègue, Maude Fournier, font de la prévention dans l’exercice de leur fonction. Ils interviennent dans différents lieux publics.

« Vers 19 h, on est allés au parc de la Chute-Montmorency faire une surveillance. On travaille du côté de Boischatel et on est arrivés du côté est. On est embarqués sur la passerelle et des gens du côté ouest faisaient des signes pour attirer notre attention. C’est là qu’on s’est déplacés vers eux pour comprendre ce qui se passait et on a aperçu une dame par terre », explique le cadet de 21 ans en entrevue avec Le Soir.ca.

Immédiatement, la recrue policière se met en action.

« On a fait de l’espace autour de la victime et personnellement, je me suis penché pour prendre ses signes vitaux et son état de conscience. La dame avait un pouls très faible et était complètement inconsciente. On l’a mise en position latérale de sécurité », poursuit Mikaël Denis.

Heureusement, le hasard a voulu qu’un médecin se présente sur les lieux.

« Il est venu m’aider et au téléphone, la répartition nous a demandé à faire des manœuvres cardiaques et le médecin et moi, on s’alternait, jusqu’à tant que les ambulanciers prennent la situation en charge. J’ai fait ce que j’étais en mesure de faire. On a donné le meilleur qu’on pouvait et tout le monde était satisfait », analyse Denis.

Du théorique à la pratique

Durant sa formation, il a reçu une formation en secourisme d’urgence.

« C’est un cours qu’on a au cégep et c’est ce qui m’a aidé à intervenir. Les symptômes, ce sont quelque chose qu’on avait vu durant la formation. Ça m’a permis de rester en contrôle de la situation », explique la recrue.

Avec cet événement, son choix de carrière ne s’est que confirmé.

Mikaël Denis, dans l’uniforme de l’Océanic, dans un match contre l’Armada de Blainville-Boisbriand. (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)

Le Gaspésien étudie au programme en accéléré de deux ans en Techniques policières au Cégep Garneau à Québec.

Il entreprendra sa dernière année au cégep en août et devra finaliser sa formation à l’École nationale de police de Nicolet.

En fin de compte, le futur agent aimerait faire sa carrière à Gaspé ou à tout le moins en Gaspésie, même s’il n’a pas le contrôle sur les assignations qu’il recevra à la Sûreté du Québec une fois qu’il sera diplômé.

Dans sa carrière de hockeyeur, Mikaël Denis a joué trois saisons complètes dans la LHJMQ avec l’Armada de Blainville-Boisbriand avant d’être échangé à l’Océanic, où il a disputé 23 parties en 2023-2024. Il a aussi endossé l’uniforme des Corsaires de Forillon dans la Ligue de hockey senior Desjardins de la Gaspésie. 

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  • Sécurité nautique : la SQ tient une opération nationale
    La Sûreté du Québec intensifiera ses interventions, ce samedi 26 et ce dimanche 27 juillet, dans le cadre d’une opération nationale en sécurité nautique. Elle vise les comportements des plaisanciers qui contribuent à mettre leur propre sécurité et celle des autres en danger. Au cours de cette fin de semaine, les policiers réaliseront diverses interventions auprès de la clientèle nautique autant à quai que sur les plans d’eau. Des interventions en matière de capacités affaiblies par le
     

Sécurité nautique : la SQ tient une opération nationale

25 juillet 2025 à 09:00

La Sûreté du Québec intensifiera ses interventions, ce samedi 26 et ce dimanche 27 juillet, dans le cadre d’une opération nationale en sécurité nautique.

Elle vise les comportements des plaisanciers qui contribuent à mettre leur propre sécurité et celle des autres en danger.

Au cours de cette fin de semaine, les policiers réaliseront diverses interventions auprès de la clientèle nautique autant à quai que sur les plans d’eau.

Des interventions en matière de capacités affaiblies par les drogues et/ou l’alcool seront aussi effectuées sur la route lors du retour à la maison.

« À quai, sur les plans d’eau, comme sur la route, l’achalandage ne cesse d’augmenter. Dans la majeure partie des collisions, chavirements et noyades, le comportement humain est un facteur important. Connaître son embarcation et se familiariser avec ses équipements lors d’activités nautiques peut éviter des situations déplorables dues à l’inexpérience », indique la SQ dans un communiqué.

Pour de plus amples informations sur les conseils et règles en matière de sécurité nautique, consultez le guide de sécurité nautique au : https://tc.canada.ca/sites/default/files/migrated/tp_511f.pdf

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  • Incendie et explosion au camping de La Martre
    Un incendie et une explosion se sont déclarés dans une roulotte au Camping Rivière La Martre, le 24 juillet, causant une perte totale du véhicule récréatif. L’incident, qui n’a pas fait de blessé, a mobilisé les services d’incendie de Marsoui et de Sainte-Anne-des-Monts. Ayant aperçu « une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs » depuis sa résidence, le maire de La Martre s’est précipité sur les lieux avec deux employés municipaux. Selon Yves Sohier, le sinistre a débuté dans le
     

Incendie et explosion au camping de La Martre

24 juillet 2025 à 15:00

Un incendie et une explosion se sont déclarés dans une roulotte au Camping Rivière La Martre, le 24 juillet, causant une perte totale du véhicule récréatif. L’incident, qui n’a pas fait de blessé, a mobilisé les services d’incendie de Marsoui et de Sainte-Anne-des-Monts.

Ayant aperçu « une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs » depuis sa résidence, le maire de La Martre s’est précipité sur les lieux avec deux employés municipaux.

Selon Yves Sohier, le sinistre a débuté dans le panneau électrique situé dans la salle de toilette d’une roulotte installée sur le terrain de camping.

« Le propriétaire est sorti à la course », témoigne-t-il.

Scène spectaculaire

Les flammes se sont rapidement propagées à l’ensemble du véhicule récréatif. La situation s’est compliquée lorsque les bouteilles de propane ont explosé, créant une scène à la fois spectaculaire et inquiétante.

« C’était très impressionnant, relate M. Sohier. La première bouteille de propane qui a explosé se vidait par coup et ça faisait un bruit vraiment intense. »

Ayant aperçu «une boucane noire foncée qui s’élevait dans les airs» depuis sa résidence, le maire de La Martre, Yves Sohier, s’est précipité sur les lieux. (Photo courtoisie Yves Sohier)

Dans un geste téméraire, un campeur s’est aventuré à proximité du brasier pour retirer la bouteille de propane de sa tente-roulotte située à environ 20 pieds (6 mètres) du feu. «C’était, quant à moi, très dangereux», fait savoir l’élu.

Pompiers et campeurs très réactifs

Les pompiers de Marsoui, premiers arrivés sur les lieux en raison de leur proximité, ont été rapidement rejoints par leurs collègues de Sainte-Anne-des-Monts ainsi que par des policiers de la Sûreté du Québec (SQ).

Une dizaine de pompiers ont participé aux opérations qui ont duré près d’une heure. Trois camions de pompiers et deux autopatrouilles de la SQ ont convergé vers le lieu du sinistre.

Selon le corps policier, le brasier a été maîtrisé vers 12h15.

Grâce à la réactivité des campeurs et des premiers intervenants, les dégâts ont pu être limités. Tous les véhicules et motocyclettes stationnés aux alentours ont été déplacés par leurs propriétaires avant que les flammes ne les atteignent.

Des structures avoisinantes ont été épargnées, dont la tente-roulotte située à proximité. Mais, elles ont « probablement chauffé un peu », selon le maire Sohier.

Seul un abri-moustiquaire pourrait possiblement avoir subi des dommages, soupçonne-t-il. 

Le propriétaire de la roulotte, qui serait un ancien résident de La Martre qui était en visite, a tout perdu dans le sinistre.

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  • Un motocycliste perd la vie à Saint-Alexandre-de-Kamouraska
    Un motocycliste dans la quarantaine a perdu la vie à la suite d’une sortie de route survenue mardi soir (22 juillet), vers 20 h, sur le rang Saint-Charles Est à Saint-Alexandre-de-Kamouraska. Seul à bord de son engin, l’homme a percuté un ponceau après en avoir perdu la maîtrise. Grièvement blessé, il a été transporté d’urgence à l’hôpital où son décès a été constaté quelques heures plus tard. La Sûreté du Québec mène actuellement une enquête pour déterminer les causes et les circonsta
     

Un motocycliste perd la vie à Saint-Alexandre-de-Kamouraska

23 juillet 2025 à 06:30

Un motocycliste dans la quarantaine a perdu la vie à la suite d’une sortie de route survenue mardi soir (22 juillet), vers 20 h, sur le rang Saint-Charles Est à Saint-Alexandre-de-Kamouraska.

Seul à bord de son engin, l’homme a percuté un ponceau après en avoir perdu la maîtrise.

Grièvement blessé, il a été transporté d’urgence à l’hôpital où son décès a été constaté quelques heures plus tard.

La Sûreté du Québec mène actuellement une enquête pour déterminer les causes et les circonstances de l’accident.

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  • Baie des Chaleurs : des adolescentes secourues des eaux
    Plus de peur que de mal mardi après-midi (22 juillet), sur la plage des Beaux sables dans le secteur de Newport à Chandler, alors que deux jeunes adolescentes ont été secourues des eaux de la baie des Chaleurs. Par Nelson Sergerie- Le Soir.ca Selon la Sûreté du Québec, l’alerte a été donnée vers 13 h 30. Les adolescentes se trouvaient en difficulté en mer. Les sauveteurs sont intervenus rapidement pour éviter un drame. Les deux jeunes ont été transportées par les ambulanciers à l’hôpita
     

Baie des Chaleurs : des adolescentes secourues des eaux

22 juillet 2025 à 16:30

Plus de peur que de mal mardi après-midi (22 juillet), sur la plage des Beaux sables dans le secteur de Newport à Chandler, alors que deux jeunes adolescentes ont été secourues des eaux de la baie des Chaleurs.

Par Nelson Sergerie- Le Soir.ca

Selon la Sûreté du Québec, l’alerte a été donnée vers 13 h 30. Les adolescentes se trouvaient en difficulté en mer. Les sauveteurs sont intervenus rapidement pour éviter un drame.

Les deux jeunes ont été transportées par les ambulanciers à l’hôpital de Chandler puisqu’elles étaient en état de choc.

Les héros n’ont pas eu besoin de transport vers le centre hospitalier. La plage a été fermée pour le reste de la journée.

Déjà 37 décès au Québec

Avant le début des vacances de la construction, 37 personnes avaient perdu la vie par noyade jusqu’à maintenant en 2025 au Québec, contre 31 à pareille date, l’an dernier.

Les rivières demeurent les sites les plus dangereux.

Dans le cadre de la 32e Semaine nationale de prévention de la noyade qui se tient jusqu’au 26 juillet, la Société de sauvetage rappelle notamment de ne jamais être seul lorsqu’on pratique une activité près de l’eau, de porter une veste de flottaison individuelle (VFI) lorsqu’on pratique une activité nautique et de ne pas sous-estimer les courants en profondeur, qui sont imperceptibles à la surface de l’eau.

Avec l’aide de Quentin Dufranne- La Presse Canadienne

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  • La SQ veut identifier un suspect à Amqui
    La Sûreté du Québec (SQ) demande l’aide du public afin d’identifier un homme en lien avec un événement d’incitation à des contacts sexuels envers une personne mineure. Les faits se seraient produits le 6 juillet dernier, en fin de soirée, au Camping Amqui situé sur la route 132. Le suspect serait âgé entre 50 et 65 ans, mesurerait environ 1,68 mètre (5 pi 6 po), aurait les cheveux blancs et courts, souffrirait de calvitie, porterait une légère barbe ainsi qu’une moustache blanche. Au mo
     

La SQ veut identifier un suspect à Amqui

21 juillet 2025 à 12:00

La Sûreté du Québec (SQ) demande l’aide du public afin d’identifier un homme en lien avec un événement d’incitation à des contacts sexuels envers une personne mineure.

Les faits se seraient produits le 6 juillet dernier, en fin de soirée, au Camping Amqui situé sur la route 132.

Le suspect serait âgé entre 50 et 65 ans, mesurerait environ 1,68 mètre (5 pi 6 po), aurait les cheveux blancs et courts, souffrirait de calvitie, porterait une légère barbe ainsi qu’une moustache blanche.

Au moment des événements, il revêtait un chandail et des pantalons courts de couleur foncée.

Toute personne détenant de l’information permettant de l’identifier est invitée à communiquer confidentiellement avec la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264 ou par courriel à l’adressecic@surete.qc.ca.

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  • Saint-Anaclet : l’incendie serait de nature criminelle
    La Sûreté du Québec rapporte qu’une enquête menée à la suite de l’incendie du 18 juillet à Saint-Anaclet-de-Lessard, confirme qu’il s’agirait d’un incendie de nature criminelle. « Les policiers de la MRC de Rimouski-Neigette ont été appelés vers 5 h 15, le vendredi 18 juillet, concernant un incendie de résidence sur la rue Ross, à Saint-Anaclet-de-Lessard. Il n’y avait personne dans la résidence au moment de l’événement, mais certains indices laissaient croire qu’il pourrait s’agir d’un ince
     

Saint-Anaclet : l’incendie serait de nature criminelle

21 juillet 2025 à 10:00

La Sûreté du Québec rapporte qu’une enquête menée à la suite de l’incendie du 18 juillet à Saint-Anaclet-de-Lessard, confirme qu’il s’agirait d’un incendie de nature criminelle.

« Les policiers de la MRC de Rimouski-Neigette ont été appelés vers 5 h 15, le vendredi 18 juillet, concernant un incendie de résidence sur la rue Ross, à Saint-Anaclet-de-Lessard. Il n’y avait personne dans la résidence au moment de l’événement, mais certains indices laissaient croire qu’il pourrait s’agir d’un incendie suspect », indique la porte-parole de la Sûreté du Québec, la sergente Audrey-Anne Bilodeau.

« Un technicien en scène d’incendie s’est rendu sur place pour procéder à l’analyse de la scène. La direction des enquêtes sur les crimes majeurs a pris le dossier en charge. L’enquête s’est poursuivi une bonne partie de la journée samedi. L’expertise de la scène s’est terminée vers 18 h 30 et on confirme qu’il s’agirait d’un incendie de nature criminelle », rapporte la sergente Bilodeau, qui ajoute que l’enquête se poursuit.

L’incendie à Saint-Anaclet. (Crédit photo : Steeve Breton)

Rappelons que vendredi, le maire de la municipalité, Francis Saint-Pierre, confirmait pour sa part que la maison était une perte totale.

Une publication Facebook, demandant aux citoyens de Saint-Anaclet de réduire leur utilisation d’eau, pour aider les pompiers à vaincre le brasier, avait aussi été partagée, tout comme le GoFundMe, mis sur pied en soutien à la famille.

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  • Stupéfiants : 7e report pour Robert Arsenault
    Arrêté le 7 mai dernier lors d’une perquisition en matière de stupéfiants dans une maison de chambres située sur l’Allée du Rosaire à Rimouski, Robert Arsenault était de retour à la cour vendredi dernier (18 juillet) pour son enquête sur remise en liberté, mais cette dernière a été remise au 5 août. Son avocate, Me Maryse Beaulieu, à l’intention de demander l’ouverture des paquets scellés, notamment pour analyser les motifs ayant menés à l’émission du mandat de perquisition. Le Rimouskois
     

Stupéfiants : 7e report pour Robert Arsenault

Arrêté le 7 mai dernier lors d’une perquisition en matière de stupéfiants dans une maison de chambres située sur l’Allée du Rosaire à Rimouski, Robert Arsenault était de retour à la cour vendredi dernier (18 juillet) pour son enquête sur remise en liberté, mais cette dernière a été remise au 5 août.

Son avocate, Me Maryse Beaulieu, à l’intention de demander l’ouverture des paquets scellés, notamment pour analyser les motifs ayant menés à l’émission du mandat de perquisition.

Le Rimouskois de 51 ans était en liberté sous condition au moment de son arrestation. Cette liberté pourrait lui être révoquée. En attendant la décision d’un juge, il est détenu depuis le 7 mai.

Il s’agit d’un 7e report de cette étape visant à déterminer si l’accusé sera remis en liberté pour la suite du processus judiciaire ou s’il demeurera détenu.

Le 8 mai, le ministère public s’était opposé à la remise en liberté de l’accusé et il a fait part de son intention de demander une révocation de sa liberté sous condition en vertu de l’article 524 du Code criminel.

Coke, médicaments et cannabis

La perquisition a permis de saisir environ 45 grammes de cocaïne, 145 médicaments d’ordonnance, 45 grammes de cannabis illicite, divers équipements servant au trafic de stupéfiants et environ 800$ en argent comptant

Arsenault est accusé de possession de stupéfiants en vue de trafic et de possession d’une somme d’argent sachant qu’elle avait été obtenue de la perpétration d’une infraction. 

Une femme de 59 ans de Rimouski a également été arrêtée durant l’opération. Elle a été libérée pour la suite des procédures. 

La suspecte pourrait faire face à une accusation de possession de stupéfiants. Son identité ne peut pas être révélée tant qu’elle n’aura pas comparu.

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  • Incendie dans une résidence de Saint-Anaclet
    Le maire de la municipalité de Saint-Anaclet-de-Lessard, Francis St-Pierre, confirme qu’un incendie s’est déclenché plus tôt aujourd’hui, le vendredi 18 juillet , dans une résidence de la rue Ross. « Je suis allé sur place ce matin. Je n’ai pas beaucoup de détails, sauf qu’on sait que les résidents n’étaient pas là, parce qu’ils sont partis en vacances », mentionne monsieur St-Pierre. Il ajoute que la maison est une perte totale. « Quand je suis allé, les pompiers étaient encore actifs,
     

Incendie dans une résidence de Saint-Anaclet

18 juillet 2025 à 11:00

Le maire de la municipalité de Saint-Anaclet-de-Lessard, Francis St-Pierre, confirme qu’un incendie s’est déclenché plus tôt aujourd’hui, le vendredi 18 juillet , dans une résidence de la rue Ross.

« Je suis allé sur place ce matin. Je n’ai pas beaucoup de détails, sauf qu’on sait que les résidents n’étaient pas là, parce qu’ils sont partis en vacances », mentionne monsieur St-Pierre.

Il ajoute que la maison est une perte totale.

« Quand je suis allé, les pompiers étaient encore actifs, alors je n’ai pas voulu les déranger, ce qui fait que je n’ai pas plus de détails pour le moment. »

L’incendie à Saint-Anaclet. (Crédit photo : Steeve Breton)

La municipalité a d’ailleurs fait une publication Facebook pour demander à ses citoyens de réduire leur utilisation de l’eau, afin de prêter main-forte au service incendie.

Il est possible que davantage de détails soient communiqué au courant de la journée.

Un GoFundMe est lancé

Peu de temps après que la nouvelle ait été partagée, un GoFundMe a été mis sur pied par une amie de la famille pour leur venir en aide.

Au moment d’écrire ces lignes, 33 dons avaient été effectués, pour un montant de 1 895 $, soit 38 % de l’objectif de 5000 $.

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  • Excès de vitesse à Saint-Donat-de-Rimouski
    La Sûreté du Québec confirme que des policiers de la MRC de La Mitis ont intercepté un véhicule, le lundi 14 juillet vers 19 h, sur l’avenue Bérubé, à Saint-Donat-de-Rimouski, pour un excès de vitesse. Un conducteur de 24 ans, de Saint-Angèle-de-Mérici, conduisait son véhicule à 96 km/h, dans la zone de 40 km/h de l’avenue. Il s’est vu remettre un constat d’infraction d’un montant de 1099$, ainsi que 10 points d’inaptitude. « La vie humaine, au cœur de nos actions »  La Stratégie en
     

Excès de vitesse à Saint-Donat-de-Rimouski

16 juillet 2025 à 12:00

La Sûreté du Québec confirme que des policiers de la MRC de La Mitis ont intercepté un véhicule, le lundi 14 juillet vers 19 h, sur l’avenue Bérubé, à Saint-Donat-de-Rimouski, pour un excès de vitesse.

Un conducteur de 24 ans, de Saint-Angèle-de-Mérici, conduisait son véhicule à 96 km/h, dans la zone de 40 km/h de l’avenue.

Il s’est vu remettre un constat d’infraction d’un montant de 1099$, ainsi que 10 points d’inaptitude.

« La vie humaine, au cœur de nos actions »

 La Stratégie en sécurité des réseaux de transport 2021-2026, « La vie humaine, au cœur de nos actions », a pour objectif de diminuer le nombre de collisions mortelles et avec blessés graves sur les réseaux routiers et récréotouristiques.

(Photo courtoisie Sûreté du Québec)

Des pistes d’action sont mises en œuvre dans chacun des axes distincts : Partenariat, Intervention, Sensibilisation, Technologie, Évaluation (PISTE) par la Sûreté du Québec ainsi que ses partenaires, afin de collaborer pour tendre vers un objectif commun, celui de rendre les routes, les sentiers et les plans d’eau plus sécuritaires.

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  • La dangerosité de Steve Chassé reste à établir
    Déclaré non responsable criminellement du meurtre de son voisin Pierre Bélisle, Steve Chassé, était de retour à la Cour le 4 juillet à Rivière-du-Loup pour établir son degré de dangerosité, mais cette étape a été reportée au 5 septembre. La Commission d’examen des troubles mentaux (CETM) doit déterminer si Steve Chassé représente un risque important pour la sécurité du public. Au terme de cette évaluation, l’accusé pourra être libéré inconditionnellement, libéré sous conditions, par exemple a
     

La dangerosité de Steve Chassé reste à établir

Déclaré non responsable criminellement du meurtre de son voisin Pierre Bélisle, Steve Chassé, était de retour à la Cour le 4 juillet à Rivière-du-Loup pour établir son degré de dangerosité, mais cette étape a été reportée au 5 septembre.

La Commission d’examen des troubles mentaux (CETM) doit déterminer si Steve Chassé représente un risque important pour la sécurité du public. Au terme de cette évaluation, l’accusé pourra être libéré inconditionnellement, libéré sous conditions, par exemple avec un encadrement, ou détenu à l’hôpital.

Le palais de justice de Rivière-du-Loup (Photo Le Soir.ca- Alexandre D’Astous)

Rappelons que la responsabilité criminelle de Steve Chassé semblait difficile à déterminer puisque les deux parties n’arrivaient pas à statuer même après avoir reçu le rapport de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel de Montréal, en novembre 2024.

Une suggestion commune

Les deux parties ont finalement suggéré de manière commune au juge Jean-Louis Lemay de déclarer l’accusé non responsable criminellement en raison de troubles mentaux. Il vivait notamment une perte de la réalité et il était aux prises avec un délire de persécution.

Rappelons que Steve Chassé avait tenu les policiers en haleine pendant près de 24 heures à la Place Saint-Georges à Cacouna le 11 octobre 2023.

Corps retrouvé au lieu d’enfouissement technique

Rappelons que les restes humains de Pierre Bélisle ont été retrouvés au lieu d’enfouissement technique de Cacouna quelques jours après l’arrestation de Steve Chassé.

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  • Collision avec un orignal : un motocycliste se tue sur la 20
    Une collision avec un orignal sur l’autoroute 20, à Cacouna, a coûté la vie à un motocycliste. Les services d’urgence ont été appelés à se rendre sur les lieux de l’accident vendredi soir, vers 22 heures. Par La Presse Canadienne « Selon toute vraisemblance, l’orignal aurait tenté de traverser les voies et le motocycliste ne serait pas parvenu à éviter l’animal et le motocycliste s’est retrouvé en collision avec celui-ci », a expliqué la sergente Audrey-Anne Bilodeau, porte-parole de la Sû
     

Collision avec un orignal : un motocycliste se tue sur la 20

5 juillet 2025 à 14:00

Une collision avec un orignal sur l’autoroute 20, à Cacouna, a coûté la vie à un motocycliste. Les services d’urgence ont été appelés à se rendre sur les lieux de l’accident vendredi soir, vers 22 heures.

Par La Presse Canadienne

« Selon toute vraisemblance, l’orignal aurait tenté de traverser les voies et le motocycliste ne serait pas parvenu à éviter l’animal et le motocycliste s’est retrouvé en collision avec celui-ci », a expliqué la sergente Audrey-Anne Bilodeau, porte-parole de la Sûreté du Québec (SQ) en entrevue samedi matin.

Le motocycliste et sa passagère, tous deux dans la trentaine, ont été transportés vers un centre hospitalier pour y soigner « des blessures sérieuses pouvant mettre leur vie en danger ».

« L’homme a malheureusement succombé à ses blessures dans les heures qui ont suivi au centre hospitalier. Quant à la dame, on nous dit qu’elle est hors de danger, mais toujours hospitalisée aux dernières nouvelles », a affirmé la sergente Bilodeau.

L’orignal est mort à la suite à l’impact avec la moto. Un policier spécialisé en enquête collision s’est rendu sur les lieux pour analyser la scène de la collision.

L’enquête de la SQ suit son cours.

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  • Deux blessés dans une collision à Grand-Métis
    Une collision entre deux véhicules a fait deux blessés, jeudi avant-midi, sur la route 132 à Grand-Métis. Les personnes ont été transportées dans un centre hospitalier, mais on ne craint pas pour leur vie. La Sûreté du Québec a été appelée vers 10 h 15. L’accident est survenu à l’intersection de la route 234, en face des Jardins de Métis. « Un véhicule se dirigeant vers l’est s’est engagé pour tourner vers les Jardins de Métis sans s’assurer de l’absence de danger. Il a été percuté par l
     

Deux blessés dans une collision à Grand-Métis

3 juillet 2025 à 14:36

Une collision entre deux véhicules a fait deux blessés, jeudi avant-midi, sur la route 132 à Grand-Métis. Les personnes ont été transportées dans un centre hospitalier, mais on ne craint pas pour leur vie.

La Sûreté du Québec a été appelée vers 10 h 15. L’accident est survenu à l’intersection de la route 234, en face des Jardins de Métis.

« Un véhicule se dirigeant vers l’est s’est engagé pour tourner vers les Jardins de Métis sans s’assurer de l’absence de danger. Il a été percuté par le véhicule se dirigeant vers l’ouest dans lequel il y avait deux occupants. Le véhicule a fait un capotage. Le seul occupant du véhicule qui allait vers l’est n’a pas eu de blessure », explique le porte-parole de la Sûreté du Québec, Frédéric Deshaies.

La circulation s’est faite en alternance pendant quelques heures dans le secteur et le tout est revenu à la normale depuis.

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  • Rimouski : décès d’un septuagénaire dans le fleuve
    Un septuagénaire de Rimouski a perdu la vie après être descendu dans l’eau dans le secteur du brise-lame à Rimouski, ce lundi midi. « Les services d’urgence ont été appelés vers midi pour un homme manquant à l’appel après être descendu dans l’eau dans le secteur du brise-lames. Le septuagénaire a été secouru par le Service de protection contre les incendies de la Ville de Rimouski », rapporte Frédéric Deshaies, de la Sûreté du Québec. Les services d’urgence sont intervenus ce lundi midi. (
     

Rimouski : décès d’un septuagénaire dans le fleuve

30 juin 2025 à 16:07

Un septuagénaire de Rimouski a perdu la vie après être descendu dans l’eau dans le secteur du brise-lame à Rimouski, ce lundi midi.

« Les services d’urgence ont été appelés vers midi pour un homme manquant à l’appel après être descendu dans l’eau dans le secteur du brise-lames. Le septuagénaire a été secouru par le Service de protection contre les incendies de la Ville de Rimouski », rapporte Frédéric Deshaies, de la Sûreté du Québec.

Les services d’urgence sont intervenus ce lundi midi. (Photo courtoisie)

L’homme a été transporté dans un centre hospitalier où son décès a malheureusement été constaté. La SQ assiste le coroner afin de tenter d’établir les causes du décès.

« La défaite de l’Occident » de Todd: quelle crédibilité de ses analyses de la Russie et de l’Ukraine?

1 février 2024 à 04:22

Lorsque L’Obs m’a demandé si j’accepterais de faire une note de lecture sur le dernier livre d’Emmanuel Todd, j’ai d’abord hésité. Qu’est-ce qu’une chercheuse – dont le domaine de compétence est par définition restreint – peut dire sur un essai qui se donne pour but d’embrasser le monde comme il va ? Mais devant l’insistance répétée de Todd à se déclarer historien et anthropologue (et non pas essayiste), je me suis dit que s’il jouait la légitimité scientifique, on lui devait une réponse scientifique. Et même si la Russie et l’Ukraine ne sont pas au centre de son raisonnement, elles ne sont pas non plus à la périphérie, puisque le diagnostic qu’il pose sur ces deux pays fonde aussi son discours général sur la faillite des Etats-Unis, et plus globalement sur les failles occidentales.

Vous trouverez ma note de lecture sur le site de L’Obs . J’ai décidé d’en dire un peu plus ici et dans un fil Twitter. Pourquoi? Parce que quand vous dites qu’un livre est bon, on vous demande rarement de le prouver. Mais quand vous dites qu’il est mauvais, on exige des preuves détaillées. Ma critique se limite strictement à son analyse de la Russie et de l’Ukraine, car c’est sur ces deux pays que j’ai une compétence de chercheuse.

De manière générale, pour un auteur qui se dit anthropologue, historien, qui ne cesse de souligner son « tempérament scientifique » (p.33) et de prétendre présenter les résultats d’une recherche, le livre est d’une pauvreté affligeante en termes de sources et de méthodes. La première chose qui frappe est l’ignorance complète par l’auteur de recherches publiées sur le sujet qu’il aborde. Le chapitre Russie cite bien brièvement quelques livres sans en détailler le contenu (p.58-59), mais tous les ouvrages cités ont au moins un demi-siècle d’âge et datent probablement des lectures étudiantes de l’auteur. Leroy-Beaulieu (texte de 1881) a tout particulièrement les faveurs de l’auteur et fait l’objet d’une longue citation. Tout cela ne serait pas problématique si Todd utilisait aussi des travaux publiés depuis la chute de l’URSS. Vous en trouvez très exactement deux dans le chapitre consacré à la Russie: un papier de James Galbraith sur l’effet des sanctions (ok, pourquoi pas) , et UN livre : l’ouvrage de synthèse du géographe David Teurtrie « Russie, le retour de la puissance » qu’il cite au moins sept fois dans un seul chapitre. Je n’ai absolument rien contre ce livre, écrit par un chercheur et faisant donc partie du débat. C’est quand-même un peu juste au regard de l’énorme littérature produite en anthropologie, démographie, science politique et sociologie sur la Russie contemporaine, que ce soit en français, en anglais, en russe ou dans d’autres langues depuis la fin de l’URSS. Surtout quand on entend poser un diagnostic sur l’état du pays.

Todd ne souhaite pas s’encombrer de décennies de travaux basés sur des enquêtes poussées. A la place, il veut produire un travail original basé sur des statistiques. Soit; ce n’est pas illégitime. Mais le choix des indicateurs et les conclusions qu’il en tire interrogent: il ne sélectionne que des statistiques qui vont dans son sens, et en tire des conclusions infondées.

Todd mobilise quatre indicateurs : la mortalité infantile; le décès par alcoolisme; le taux d’homicides; le taux de suicide. L’ensemble de ces indicateurs vont dans le sens de sa démonstration. Oui, la mortalité infantile a fortement décru en Russie, et la comparaison avec les États Unis n’est pas à l’avantage des US. Oui, les taux d’alcoolisme et de suicide ont aussi diminué. Oui, le taux d’homicide est en baisse. Mais s’il s’agit de juger l’état d’une société, on pourrait opposer d’autres indicateurs à ces statistiques. En effet, si les homicides ont continuellement diminué (avant de monter d’ailleurs en 2022), le taux de crimes violents est en augmentation depuis 2017, selon les statistiques officielles. De même, l’alcoolisme a certes diminué en Russie, mais la consommation de drogue a augmenté, notamment chez les jeunes. Les estimations officielles parlent de +60% de narcodépendants chez les mineurs entre 2016 et 2021. Statistique contre statistique…
La sociologue que je suis bute aussi sur la corrélation établie par Todd entre mortalité infantile et niveau de corruption dans la société. « La mortalité infantile, écrit-il, parce qu’elle reflète l’état profond d’une société, est sans doute en elle-même un meilleur indicateur de la corruption réelle que ces indicateurs fabriqués selon on ne sait trop quels critères. » Ce qui l’amène à conclure à un plus haut niveau de corruption aux États-Unis qu’en Russie. Cette corrélation n’est jamais expliquée, et pour la prouver Todd donne les exemples japonais et scandinaves, pays caractérisés à la fois par une faible mortalité infantile et une faible corruption. Il est facile de le contredire par d’autres exemples de pays où la mortalité infantile est très basse pour un index de corruption plutôt élevé (Estonie, Slovénie, Monténégro). La corrélation ne tient pas la route, et aucune autre argumentation ne vient l’étayer. C’est quoi d’ailleurs la définition de cet « état profond d’une société », aurait-on envie de demander à l’anthropologue?

Un autre des indicateurs fétiches de Todd est le nombre d’ingénieurs formés: la comparaison des USA et de la Russie, à l’avantage net de cette dernière, devrait démontrer la force du modèle russe et expliquer sa « supériorité dans la guerre » (que je ne commenterai pas). Là aussi, l’épaisseur et la complexité du monde social échappe à Todd. Oui, la Russie forme beaucoup d’ingénieurs, et a sans doute un système d’accès à l’enseignement supérieur plus ouvert que les Etats-Unis. Cependant, il ignore certainement ce qu’est cette formation d’ingénieur dans le contexte russe, et les nombreuses critiques qui lui sont faites : archaïsme des programmes et déconnexion des défis contemporains, corruption dans la délivrance des diplômes, taux d’insertion très bas (20% au milieu des années 2010) des ingénieurs dans des postes correspondant à leurs métiers. Les ingénieurs français « vont se perdre dans la banque et l’ »ingénierie financière » » (p.50), déplore-t-il. Les ingénieurs russes aussi!

Mais ce sont surtout les conclusions à l’emporte-pièce tirées de toutes ces statistiques (dont la fabrication n’est questionnée que quand elles vont à l’encontre de ses conclusions) qui laissent pantois: ces indicateurs montreraient un état de « paix sociale de l’ère Poutine » (p.63), une société stable et consolidée. Vraiment? Je suis parmi ceux qui prennent au sérieux l’attractivité de la promesse de stabilité et de prospérité faite par le pouvoir poutinien à la population. Cependant, il ne faut pas confondre la promesse formulée par un régime et la réalité du terrain qui est, on s’en doute, différente et plus complexe.

Enfin, le diagnostic de la Russie dans la guerre est totalement déconnecté des données réelles. L’Etat russe aurait « choisi de faire une guerre lente pour économiser les hommes ». Il aurait donc mobilisé « avec parcimonie » (p. 66) pour les préserver. Cette affirmation ignore à la fois les chiffres réels des hommes mobilisés (officiellement plus de 600 000, et non 120 000 comme il l’affirme) et la réalité de l’usage des soldats sur le front: une masse humaine envoyée en première ligne sans formation ni préparation. Là aussi, le discours du pouvoir russe fait office de preuve intangible.

Si le chapitre portant sur la Russie propose une vision partielle et partiale du pays, celui consacré à l’Ukraine est effarant, tant il est pétri de mépris et de méconnaissance totale du terrain. Pour l’analyse de la Russie, Todd s’appuyait sur pas grand-chose. Pour l’analyse de l’Ukraine, il ne s’appuie sur rien, si l’on exclut le même livre de David Teurtrie (qui n’a jamais été un spécialiste de l’Ukraine) et un article portant sur un sujet pérpihérique à la démonstration (l’émigration juive partant de l’URSS). La source principale du chapitre est… Wikipedia dont il tire les cartes de la population et du vote aux présidentielles. Là aussi: la littérature académique sérieuse, y compris critique, portant sur l’Ukraine, est abondante. Mais manifestement, Todd pense pouvoir écrire une analyse nouvelle de ce pays à grands coups de clichés non sourcés et quelques statistiques. Le dénigrement de l’Ukraine est omniprésent dans le texte. Celle-ci est présentée comme un État failli: j’avais consacré un fil à ce sujet l’an dernier. La langue ukrainienne est qualifiée de « langue des paysans » (p. 96), alors que le russe serait « la langue de la haute culture » (p. 111). Todd ignore complètement la situation linguistique de l’Ukraine, son bilinguisme très particulier qui a certes des dimensions régionales, mais aussi urbaines/rurales, générationnelles, professionnelles… Il reproduit le cliché – que j’ai déconstruit à plusieurs reprises – d’une Ukraine divisée entre un Ouest ukrainophone et un Est russophone. Il trace à tort un signe d’équivalence entre « Ukraine de l’est » et « Ukraine russophone »; entre citoyens russophones et citoyens pro-russes.
La guerre dans le Donbass est étrangement absente de tout son raisonnement. Pour prouver l’absence de représentation politique de « l’Ukraine russophone » et la « fin de la démocratie ukrainienne » (p.97), il pointe le taux d’abstention élevé dans le Donbass lors des élections présidentielles en 2014. A aucun moment il ne lui vient à l’esprit que le Donbass connaît au moment de l’élection des actions armées de haute intensité sur son territoire et une fuite de la population pour éviter les combat, et que l’abstention peut y être liée. Bien d’autres dynamiques, notamment politiques et lingiustiques, sont liées à la guerre. Comment peut-on ignorer à ce point le contexte?

Le mépris de Todd est sélectif: ce qu’il reproche à l’Ukraine, il le pardonne à la Russie. Lorsque Todd évoque l’autorisation et l’usage commercial de la gestation pour autrui, cette donnée est pour lui un « signe de décomposition sociale » (p.72) de l’Ukraine, alors que le recours massif à la GPA commerciale en Russie ne lui pose manifestement aucun problème. Todd dénonce, de manière attendue, une « corruption qui atteignait des niveaux insensés » en Ukraine, oubliant de mentionner que la Russie était moins bien classée que l’Ukraine dans les classements de la perception de la corruption par Transparency International.

Voulant démontrer la domination d’Ukrainiens de l’ouest dans la classe politique ukrainienne, il produit une carte des lieux de naissance des élites politiques. La source est sans doute Wikipédia, mais ce n’est pas grave: Wikipédia peut être une bonne source quand elle n’est pas la seule. Cependant, sa démonstration tombe un peu à l’eau.« L’Ouest, l’Ukraine ultranationaliste, est surreprésenté au sein des élites politiques. L’Est et le Sud, l’Ukraine anomique, n’ont pour eux que les oligarques » (p.104). Ce n’est pas ce que sa propre carte montre. Ce que montrent les lieux de naissance des élites politiques, c’est par exemple que le président actuel Volodymyr Zelensky est originaire de l’Ukraine de l’Est. Que son prédécesseur, Petro Porochenko, est originaire de l’Ukraine du Sud et a fait une bonne partie de ses études à Odessa. Les deux présidents sont issus de milieux familiaux à préférence russophone. Aucune représentation de l’Est et du Sud dans les élites politiques, vraiment?

Je pourrais continuer et multiplier les exemples de méconnaissance, déformation, manipulation. Je m’arrête là. Cette note ne prétend pas à l’exhaustivité: elle rassemble juste suffisamment d’éléments pour pouvoir juger de la partie de son texte consacrée à la Russie et l’Ukraine. Je ne vais pas conclure en disant que l’auteur agit pour le solde d’une puissance étrangère; ce n’est pas mon rayon et je n’ai pas collecté d’éléments pour le prouver. Mais puisque Toddse dit chercheur, c’est sur ce terrain-là que porte ma lecture. Les chapitres consacrés à la Russie et à l’Ukraine ne respectent aucune norme de rigueur scientifique ou tout simplement de sérieux intellectuel. On y voit une ignorance complète de la recherche produite sur le sujet, des arrangements méthodologiques à la limite de la manipulation et des jugements de valeur manifestes. Les défauts de ces chapitres, on ne les pardonnerait pas à un étudiant de master. Je ne sais pas ce que cela implique pour le reste du livre, car ma compétence s’arrête là. Mais apparemment, ça n’empêche pas le bouquin de bien se vendre.

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