« Ce sont des mentors auprès de ces étudiants, et ils les prennent en otage », dit la ministre de l’Enseignement supérieur.

Elle pourrait s’arrêter après «un certain nombre de mois», a déjà évoqué François Legault.

Sans emploi, alors qu’on disait avoir besoin d’elles, certaines ont l’impression d’avoir été formées pour rien.

Cette somme ne permettra pas de réinvestissement dans un secteur, mais bien la limitation du déficit de Santé Québec.