Une faille dans le Code civil leur permet d’agir à titre de locataires de logements qu’elles sous-louent à fort prix.

Il n’y a pas que les écoles qui crient famine. Les cégeps aussi.

Québec est venu interdire l’an dernier aux locataires de tirer un profit de la sous-location de leur logement.

Le parti demande à l’Assemblée nationale de reprendre ses travaux afin d’en revoir l’encadrement.

La Ville débloque 100 000$ pour attirer les cerveaux souhaitant quitter les États-Unis de Donald Trump.

Les propriétaires qui font signer de telles ententes à leurs locataires profitent d’une «lacune» dans le Code civil.

Un locataire s’est battu quatre ans devant les tribunaux à la suite d’une éviction qui a été jugée «abusive».

Selon une étude, les demandes d’admission de ces étudiants ont chuté de 45,9% dans les universités québécoises.