Bear Injures Hiker at Yellowstone National Park in Surprise Encounter
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A Kenyan athlete ended up in Ukrainian captivity after fighting on behalf of Russia. Ukrainian soldiers from the 57th Separate Motorized Infantry Brigade captured Evans on the frontlines, where he had been serving with Russian occupiers in Kharkiv Oblast.
There are numerous reports from captured Africans indicating that Russia deceptively recruits Africans to participate in the war against Ukraine. Migrants from African countries are offered work or study in Russia, but upon arrival, they are coerced into signing contracts to serve in the Russian armed forces. Many are sent to the frontlines, often to the most dangerous areas, where they frequently become “expendable” due to high casualties.
The athlete ended up in a Russian military camp under the guise of a “tourist trip” organized by his agent and funded by Russia, after which he was forced to sign documents in Russian and join the military.
When he realized what was happening, he tried to refuse but was threatened with execution. Nevertheless, Evans escaped and surrendered to Ukrainian forces.
“Evans is a track and field athlete from Kenya. His sports agent offered him and three other Kenyans a tourist trip to Saint Petersburg, funded by Russia,” reports the 57th Separate Motorized Infantry Brigade named after Kostyantyn Hordiyenko.
At the end of the trip, the person accompanying the group suggested that the foreigners stay in Russia and take up work.
“By signing papers in Russian, without understanding them, he unwittingly became a Russian soldier,” adds the brigade.
“Training lasted a week, during which the Kenyan was taught how to handle an automatic rifle. His commanders and instructors did not speak English, so they would often pull or push him to make him follow orders,” Ukrainian troops said.
Evans tried to refuse service but was told he would be executed if he did not comply.
“On the way to his first combat mission, Evans escaped. He spent two days wandering through forests near Vovchansk, searching for Ukrainian soldiers to surrender to,” said the 57th Brigade.
This is how the athlete ended up safe in Ukrainian hands, becoming a direct witness to the realities on the frontline.
However, the brigade remains cautious.
“Keep in mind, this is a person who fought on the side of the enemy, so whether to trust his words and tears is left to your discretion,” the brigade states.
Plus de deux ans après son arrestation le 11 mai 2023 lors d’une perquisition en matière de stupéfiants à Rimouski, l’enseignante Natalie Roberts, 58 ans, a été absoute de l’accusation de possession de cannabis en vrac à laquelle elle faisait face.
L’absolution inconditionnelle, c’est-à-dire sans aucune condition, a été prononcée vendredi dernier (12 septembre) par le juge de la Cour du Québec, Jérôme Simard.
Le dossier a traîné en longueur parce que l’accusée a changé d’avocat à plusieurs reprises. Me Damir Mousaefendic a pris la relève de Me Robert Doré, qui lui avait succédé à Me Jean-Pierre Sharpe et à Me Marco Robert, qui avait dû se désister parce qu’il représentait le fils de l’accusée, Jonathan Lapointe-Roberts arrêté lors de la même opération.
Natalie Roberts a été arrêtée en même temps que son fils Jonathan Lapointe-Roberts, 37 ans et David Lévesque. Ce dernier a été reconnu coupable et il a été condamné à un an de prison.
Seule Natalie Roberts avait alors pu retrouver sa liberté pour la suite du processus judiciaire moyennant certaines conditions à respecter.
Les enquêteurs de la division des enquêtes sur les crimes majeurs assistés des policiers du poste MRC de Rimouski-Neigette, d’un maitre-chien et d’un technicien du service de l’identité judiciaire de la Sureté du Québec, ont procédé le 11 mai 2023 à une importante opération en matière de trafic de stupéfiants.
« Le but de cette opération était de mettre fin aux activités de revente d’un réseau organisé de trafiquants de stupéfiant qui opérait dans la grande région de Rimouski », indiquait alors le sergent de la SQ, Claude Doiron.
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Le Conseil de la magistrature du Québec mène une enquête à la suite d’une plainte visant le juge rimouskois Yves Desaulniers. Celle-ci concerne des comportements qui seraient survenus dans l’exercice de ses fonctions et jugés préoccupants par le plaignant, dont l’identité est caviardée.
Dans une décision rendue le 26 août dernier, le Conseil précise que la plainte vise notamment des attitudes perçues comme intimidantes envers du personnel administratif, des remarques à connotation personnelle ainsi que des situations où le juge se serait présenté partiellement dévêtu devant des collègues, dans un contexte judiciaire.
Aucun enregistrement vidéo ou audio ne permet de documenter les faits allégués et le plaignant n’est pas un témoin direct.
L’analyse repose principalement sur des témoignages transmis au Conseil de la magistrature ou recueillis par lui.
Ces signalements, détaillés et signés, proviennent de personnes occupant des fonctions névralgiques au sein de l’appareil judiciaire.
La plainte, déposée le 30 janvier 2025, fait état de deux catégories de comportements.
Le premier concerne des interactions jugées inappropriées sur le plan du respect interpersonnel et de la civilité (cris, propos dénigrants et comportements perturbateurs envers le personnel de soutien judiciaire).
Le second a trait à des comportements perçus comme dérangeants sur le plan physique, notamment le fait d’accueillir des interlocuteurs torse nu dans son bureau ou de procéder à des ajustements vestimentaires en leur présence.
Selon la plainte, sur laquelle repose la décision rendue publique, le juge aurait également tenu des propos ambigus à connotation suggestive (« regardez le paysage ») et aurait baissé son pantalon devant un interlocuteur.
Le Conseil de la magistrature du Québec estime qu’une enquête est nécessaire « afin de faire pleinement la lumière sur ces événements » et que « seule une enquête permettra d’établir les faits avec précision, d’apprécier leur portée réelle et de déterminer s’il y a eu manquement déontologique. »
À l’automne 2021, Yves Desaulniers a été nommé juge à la Chambre criminelle et pénale et à la Chambre de la jeunesse de la Cour du Québec à Rimouski par le ministre de la Justice, Simon Jolin-Barette.
Il pratiquait auparavant sa profession d’avocat associé au cabinet Desaulniers Bérubé de Rimouski.
Fighters from the “Steel Border” brigade are sharing their experience in countering the enemy’s use of fiber-optic FPV drones. According to them, such devices are less vulnerable to electronic warfare systems but are at the same time heavier and less maneuverable, which gives Ukrainian troops certain tactical advantages.
They are used for reconnaissance and precision strikes, posing a serious threat to Ukrainian infantry and armored vehicles. This makes developing effective countermeasures a vital part of Ukraine’s defense effort.
The commander of an intelligence unit with the callsign Veduchyi, serving in the reconnaissance Askold detachment, explained:
UAV operations are a coordinated team effort, where the speed of information exchange and coordination save lives. Border guards said they employ various methods to neutralize fiber-optic copters; sometimes simple tools or accurate fire are enough to disable the device. The report even mentions a case where a drone was destroyed after its fiber cable was cut with scissors.
They also emphasized the difference between mass-produced Russian drones, which come with fixed reels and built-in cameras, and Ukrainian drones, which are modular and can be adapted for specific missions. Because of these differences, Ukrainian units adjust their tactics for using UAVs in urban areas and during clearance operations.
An example from the 225th Separate Assault Regiment describes a method where a fiber-optic FPV drone flies ahead of the infantry to check buildings, significantly reducing risks for assault groups: if the enemy is detected, the drone marks the target and the infantry advance along a safer route. Commanders describe this approach as both safer and more effective in urban combat.
Le Conseil de discipline de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec a imposé, le 5 août dernier, une période de radiation temporaire de sept mois à Maxime Verreault-Hébert, de Rimouski, pour sa culpabilité à deux chefs d’accusation.
Il a été déclaré coupable d’avoir établi des liens amoureux et/ou sexuels avec une patiente, entre avril 2022 et février 2024, dans la région du CISSS de la Montérégie Est ainsi que d’avoir tenu des propos et/ou posé des gestes irrespectueux envers des patients et/ou des collègues, entre mai et novembre 2024, au Centre hospitalier régional du Portage à Rivière-du-Loup.
La radiation a est de sept mois pour le premier chef et de trois mois concurrents à la première peine sur le second chef.
Verreault-Hébert est donc radié temporairement du Tableau de l’Ordre des infirmières et infirmiers auxiliaires du Québec depuis le 6 septembre. Sa peine se terminera le 6 avril 2026.
Lors d’un bref procès hier, la Couronne et la défense se sont entendues sur ce point.
Selon La Presse, une psychiatre a expliqué au procès qu’au moment d’abandonner sa fille, la mère souffrait d’un «mélange entre la schizophrénie et la maladie bipolaire» qu’elle a qualifié de «trouble sévère et chronique».
Elle reste pour l’instant détenue à l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel, à Montréal.
Le juge devra déterminer ses conditions de sortie.
Pour rappel, la mère avait laissé en juin dernier sa fille de 3 ans au bord d’une autoroute ontarienne.
[L'article La mère de la fillette abandonnée en Ontario a été déclarée non criminellement responsable a d'abord été publié dans InfoBref.]
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L’ancien président brésilien a été reconnu coupable hier d’avoir dirigé une organisation criminelle ayant conspiré pour assurer son «maintien autoritaire» au pouvoir après sa défaite aux élections présidentielles de 2022.
L’ancien président d’extrême droite était jugé par la Cour suprême avec plusieurs de ses ministres et généraux.
Il n’était pas présent lors de son procès pour des raisons de santé.
[L'article Jair Bolsonaro a été condamné à 27 ans de prison pour tentative de coup d’État a d'abord été publié dans InfoBref.]
L’organisme conteste devant la Cour supérieure la validité de la loi fédérale sur les grands projets.
La loi permet au gouvernement de contourner certaines lois pour réaliser des projets d’«intérêt national».
Le CQDE estime qu’elle:
L’organisme craint:
[L'article Le Centre québécois du droit de l’environnement poursuit le gouvernement fédéral a d'abord été publié dans InfoBref.]
Déclaré non responsable criminellement du meurtre de son voisin Pierre Bélisle, Steve Chassé, était de retour à la cour à Rivière-du-Loup pour établir son degré de dangerosité, mais cette étape a été reportée au 8 décembre.
La Commission d’examen des troubles mentaux (CETM) doit déterminer si Steve Chassé représente un risque important pour la sécurité du public.
Au terme de cette évaluation, l’accusé pourra être libéré inconditionnellement, libéré sous conditions, par exemple avec un encadrement, ou détenu à l’hôpital.
Rappelons que la responsabilité criminelle de Steve Chassé, semblait difficile à déterminer puisque les deux parties n’arrivaient pas à statuer même après avoir reçu le rapport de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel de Montréal, en novembre 2024.
Les deux parties ont finalement suggéré de manière commune au juge Jean-Louis Lemay de déclarer l’accusé non responsable criminellement en raison de troubles mentaux.
Il vivait notamment une perte de la réalité et il était aux prises avec un délire de persécution.
Steve Chassé avait tenu les policiers en haleine pendant près de 24 heures à la Place Saint-Georges à Cacouna, le 11 octobre 2023.
Les restes humains de Pierre Bélisle ont été retrouvés au lieu d’enfouissement technique de Cacouna quelques jours après l’arrestation de Steve Chassé.
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Reconnu coupable d’avoir agressé sexuellement une fillette de 3 à 7 ans entre janvier 2000 et décembre 2004 à Saint-Gabriel-de-Rimouski, Richard Perreault était de retour en cour ce mardi matin, au palais de justice de Rimouski, pour l’imposition de sa sentence, mais le prononcé de la peine par le juge Richard Côté a été reporté au 26 septembre.
Le juge Côté a écouté les arguments des deux parties le 23 juin, lors des représentations sur sentence, en plus de prendre connaissance du rapport présententiel. Il fera connaître sa décision le 26 septembre.
La victime a demandé la levée de l’ordonnance de non-publication qui empêchait les médias de rapporter les faits qui auraient permis de l’identifier, puisque les agressions ont été commises alors que l’accusé était en situation d’autorité par rapport à elle.
Le 31 janvier 2025, le juge Richard Côté a reconnu Perreault, aujourd’hui âgé de 66 ans et résident à Saint-Donat-de-Rimouski, coupable d’agressions sexuelles et de violence à l’encontre d’une fillette âgée de seulement trois ans au début des abus.
La preuve présentée au procès indique que la fillette a été agressée de manière quasi hebdomadaire dans la chambre et la douche de la résidence de l’accusé en 2000 et 2001.
Perreault a aussi été reconnu coupable d’avoir incité un autre homme à abuser de l’enfant.
L’avocate de l’accusé, Me Caroline Bérubé, a déjà porté le verdict de culpabilité à l’encontre de son client en appel.
© Loren Elliott for The New York Times
Les représentations sur sentence d’Alcide Fournier, 80 ans, qui a plaidé coupable à des accusations en matière de pornographie juvénile, ont été reportées au 15 décembre, lundi, au palais de justice de Rimouski.
Son avocat, Me Hugo Caissy, a demandé une contre-expertise à la suite d’une première évaluation qui a conclu à l’aptitude à comparaître de l’accusé.
Le nouveau spécialiste n’étant pas disponible avant novembre, Me Caissy a demandé un report en décembre en renonçant à invoquer les délais puisqu’il s’agit d’une demande de la défense.
L’accusé a de la difficulté à répondre aux questions pour la confection des rapports sexologique et présentenciel ordonné par le regretté juge Jules Berthelot.
« Monsieur Fournier n’est pas capable de répondre aux questions, même sur son adresse », a mentionné son avocat.
Le Rimouskois a été arrêté le 15 mars 2023 par les enquêteurs spécialisés de l’Équipe d’enquête sur l’exploitation sexuelle des enfants sur Internet de la Sûreté du Québec en lien avec de la pornographie juvénile.
Il a comparu le jour même à Rimouski sous divers chefs d’accusation tels que d’avoir accédé, d’avoir possédé et d’avoir distribué de la pornographie juvénile.
Le ministère public ne s’est pas objecté à sa remise en liberté. Il n’a donc jamais été détenu.
« Les policiers ont réalisé une perquisition au domicile du suspect et du matériel informatique a été saisi pour analyse », précise la Sûreté du Québec.
© Emily Berl for The New York Times
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L’ex-candidat à la mairie de Rimouski et coordonnateur de la Société nationale de l’Est-du-Québec (SNEQ), Djanick Michaud, opte pour un procès devant jury précédé d’une enquête préliminaire, qui se tiendra le 4 novembre, après avoir été accusé d’agression sexuelle sur une personne mineure.
Après une mise au pied du rôle en milieu d’avant-midi, le dossier a été appelé peu avant 18 h.
L’avocat de l’accusé, Me Marc-Antoine Duchaine, qui représentait Me Marie-Pierre Boulet, de Laval, a demandé que l’enquête préliminaire prévue pour une journée se tienne sous la forme d’un interrogatoire au préalable.
Cette nouvelle méthode est permise seulement lorsque la citation au procès n’est pas contestée par la défense.
Contrairement à une enquête préliminaire traditionnelle, les procédures se tiennent sans juge et sans public. La défense peut interroger les témoins de son choix en présence du procureur de la Couronne afin de se préparer pour le procès à venir.
Les gestes reprochés à Djanick Michaud se seraient produits entre le 1er septembre 2019 et le 10 octobre 2021.
Selon la dénonciation obtenue par Le Soir.ca, Djanick Michaud est aussi accusé d’incitation à des contacts de nature sexuelle sur une personne de moins de 16 ans et de voies de fait à l’égard de la même plaignante dont l’identité est protégée par une ordonnance de non-publication.
Un mandat d’arrestation a été lancé à l’endroit de Michaud, le 13 juin dernier. Il a comparu une première fois le 18 juin dernier.
Candidat à la mairie en 2017, Djanick Michaud a aussi été adjoint et attaché politique de Guy Caron alors qu’il était député pour le NPD dans Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques.
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La Cour du Québec confirme le décès, à l’âge de 67 ans, de Jules Berthelot, juge suppléant de la Cour du Québec dont le port d’attache était Carleton-sur-Mer. Il siégeait jusqu’à tout récemment dans plusieurs palais de justice du Bas-Saint-Laurent, dont à Rimouski et à Matane.
Pendant sa carrière de juge, il était responsable des palais de justice de Matane et d’Amqui.
Jules Berthelot a été nommé juge de la Cour du Québec le 15 décembre 2010 à Matane. Il agissait à titre de juge suppléant depuis son départ à la retraite, le 1er juillet 2024.
Le juge Berthelot est décédé le 25 août dernier des suites d’un cancer.
Il a fait ses débuts en droit comme avocat chez Michaud et Côté à Gaspé, avant de devenir procureur de la Couronne au palais de justice de New Carlisle, en 1985, poste qu’il a occupé jusqu’à sa nomination comme juge en 2010.
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