La commission chargée de se pencher sur le fiasco SAAQclic a forcé des intervenants récalcitrants, comme les entreprises LGS et SAP, à répondre à huis clos aux questions d’enquêteurs devant le commissaire. Convoqué lui aussi, l’ancien responsable de la transformation numérique à la SAAQ, Karl Malenfant, demande que son intervention soit publique afin de rectifier des faits et de laver sa réputation.
Les retards se multiplient dans le plus important chantier informatique d’Hydro-Québec. Prévue il y a deux ans, la livraison de la plateforme qui doit orchestrer l’ensemble de la production et du transport d’électricité est repoussée à 2027, a appris La Presse. Les dépassements de coûts anticipés atteignent maintenant 75 millions de dollars, mais Hydro-Québec assure ne « pas avoir perdu le contrôle ».