L’ex-PDG de la SAAQ est resté muet pendant une rencontre à laquelle participait le conseiller politique de l’ex-ministre des Transports, François Bonnardel, même s’il a réalisé que de fausses informations sur les coûts du projet CASA lui étaient fournies. Ce n’est qu’en privé, que Denis Marsolais a jugé bon de corriger de tir.
Le PDG de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), Éric Ducharme, n’a montré aucun intérêt envers le travail d’une auditrice interne qui a exposé des lacunes dans le contrôle et le suivi de la gestion des contrats. L’employée s’est vidé le cœur, déplorant que la transformation numérique ait été « une expérience violente » pour certains de ses collègues.
Nouvelles révélations chocs à la commission Gallant. Malgré la controverse SAAQclic, le PDG Éric Ducharme avait peu d’intérêt pour les travaux de la Direction de la vérification interne, qui est le chien de garde de la saine gestion de la société d’État, selon une ex-vérificatrice interne. « C’était l’équivalent de me faire cracher dessus », a lancé Marie-Line Lalonde, qui a quitté ses fonctions dans la foulée de sa première rencontre avec M. Ducharme.
Devant un contexte de guerre tarifaire, les milieux économique et municipal font front commun pour demander à Ottawa et Québec d’abolir les récentes restrictions pour l’accueil de travailleurs étrangers temporaires.
Qualifiant de « troublant » ce qu’il entend à la commission Gallant, François Legault refuse de réitérer sa confiance envers le grand patron de la SAAQ, Éric Ducharme. Le premier ministre s’est montré ouvert à prolonger le mandat du commissaire.
Québec maintiendra les seuils d’immigration permanente à la baisse tant qu’Ottawa ne réduira pas de moitié le nombre d’immigrants temporaires présents sur le sol québécois. Le gouvernement est même prêt à retirer des services aux demandeurs d’asile.
Le gouvernement Legault brandit la menace de retirer des services offerts aux demandeurs d’asile si Ottawa ne réduit pas de moitié le nombre de résidents temporaires présents sur le territoire québécois.
En pleine crise des surdoses, le projet de loi du ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, risque de « freiner » le développement de nouveaux sites de consommation supervisée (SCS), déplorent les directeurs régionaux de santé publique. La Maison Benoît Labre doit profiter d’une clause de droit acquis pour ne pas être forcée de déménager, selon eux.
Relocaliser le site de consommation supervisée (SCS) de la Maison Benoît Labre coûtera au moins 6,6 millions de dollars, estime l’organisme qui devra déménager à plus de 150 mètres de l’école Victor-Rousselot pour respecter la future loi du gouvernement Legault.
Le gouvernement Legault attaque l’autonomie des villes en voulant interdire l’aménagement de sites de consommation supervisée (SCS) à moins de 150 mètres des écoles et des garderies, selon Montréal et Québec. Ces contraintes pourraient même « aggraver les problèmes qu’il cherche à résoudre ».
La Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) est en deuil de son vice-président, le Dr Serge Legault, qui est décédé subitement le week-end dernier. Le chirurgien a souvent pris la parole pour dénoncer le manque d’accès des médecins spécialistes aux blocs opératoires.