Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s'entretient avec les dirigeants européens présents à Washington avant de rencontrer Donald Trump, lundi. Outre Emmanuel Macron ou encore le chancelier allemand, Friedrich Merz, le président finlandais, Alexander Stubb, est présent. Le dirigeant européen connaît bien Donald Trump.

Plusieurs dirigeants européens de premier plan se rendent à Washington, alors que le président américain presse Kiev d'accepter des concessions après son sommet avec Vladimir Poutine en Alaska, vendredi.

Les Etats-Unis et la Russie sont tombés d'accord sur des garanties de sécurité pour l'Ukraine. Leur contenu et leur mise en œuvre restent cependant sujets à caution.

Le président américain, qui n'a jamais reconnu sa défaite à la présidentielle de 2020 face à Joe Biden, avait dénoncé sans fondement des fraudes électorales massives, notamment dans le vote par correspondance.

Accompagné de sept dirigeants européens, le président ukrainien doit discuter avec son homologue américain des conditions de l'accord de paix souhaité par Moscou, ainsi que des garanties de sécurité offertes à Kiev.

Le musée de la tapisserie de Bayeux bat des records de fréquentation cet été, mais sur fond de polémique : la gigantesque broderie du XIe siècle va bientôt quitter la Normandie pour être prêtée à l'Angleterre. Une promesse d'Emmanuel Macron qui fait craindre à des défenseurs du patrimoine que le voyage n'abime cette pièce historique.

Il est aussi inculpé pour maltraitance dans les relations proches, actes de violence, atteintes à la liberté ou encore pour avoir filmé et enregistré des vidéos sans consentement.

La rencontre sera-t-elle décisive ? Trois jours après le sommet en Alaska, Volodymyr Zelensky retrouve ce lundi Donald Trump à la Maison-Blanche. Un tête-à-tête d’abord, avant d’être rejoint par plusieurs dirigeants européens, dont Emmanuel Macron.

"Les énergies fossiles mènent à la mort et à la destruction", a déclaré l'activiste suédoise dans un communiqué, ajoutant que les producteurs de pétrole comme la Norvège "ont du sang sur les mains".

Depuis son investiture le 20 janvier dernier, Donald Trump ne sait quelle stratégie choisir entre l'alignement avec l'Ukraine ou la Russie pour mettre fin au conflit.

Le président américain, qui estime que son homologue ukrainien peut mettre fin à la guerre avec la Russie "presque immédiatement", le reçoit lundi à la Maison Blanche avec ses alliés européens, dont Emmanuel Macron.

Cette année 2025 est notamment marquée par les méga-incendies qui se sont déclarés début août et qui ont déjà fait quatre morts.

L'organisation de défense de la presse a été déclarée "indésirable" en Russie, jeudi.

Une journée de deuil a été décrétée dans la région de Riazan, qui se situe au sud-est de Moscou.

L'Ukraine partage "le profond désir de mettre fin à cette guerre rapidement", a déclaré le dirigeant ukrainien dimanche soir, à la veille d'une rencontre avec Donald Trump.

Au Portugal, le pompier tué est mort "en service" lors d'un "accident de la route", qui a également fait "deux blessés graves" parmi ses collègues, a précisé lundi le président du pays.

L'idée de Reflect Orbital est de capter les rayons du soleil même lorsqu'il n'éclaire pas la Terre, grâce à des "miroirs orbitaux" qui renvoient les rayons. Ils veulent ainsi produire de l'énergie ou éclairer certaines zones.

L'Espagne est aussi fortement touchée par des incendies alors que 70 000 hectares ont brûlé ces derniers jours. Les fumées sont même visibles jusque dans le Finistère.

Ces attaques dans plusieurs régions du pays ont eu lieu lundi, à quelques heures de la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à Washington.

La réunion qui se tient à Washington, lundi, ne suscite pas de commentaires de la part de Moscou, qui garde les mêmes exigences vis-à-vis de l'Ukraine.

Les réinstallations vont se multiplier au fur et à mesure que les crises climatiques s’intensifient, alerte Human Rights Watch dans un rapport publié lundi.

Manuel Bompard, député des Bouches-du-Rhône, coordinateur national de LFI était l'invité du "8h30 franceinfo" lundi 18 août.

Ce lundi 18 août, Volodymyr Zelensky est reçu à Washington, le nageur suisse Noam Yaron a du abandonner sa traversée Calvi-Monaco juste avant l'arrivée et les secouristes de montagnes s'agacent de la tendance de la rando sur les réseaux.

Le président ukrainien rencontre lundi à Washington Donald Trump, à la suite du sommet du président américain avec son homologue russe en Alaska vendredi. Il sera accompagné de plusieurs chefs d'États européens.

Oleg Kobtzeff, professeur de géopolitique à l'American University of Paris, est l'invité du "10 minutes info" de franceinfo lundi 18 août. Il revient sur les enjeux de la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche.

"Il fallait se créer les conditions pour être à la table des négociations, pas venir quémander", juge le coordinateur national de La France insoumise.

Selon l'ex-secrétaire général adjoint de l’Otan, Camille Grand, l'idée des Européens en accompagnant le président ukrainien à Washington est notamment d'"éviter" à Volodymyr Zelenky la "répétition" de l'échange très violent qu'il avait eu avec Donald Trump en février dernier.

Une réunion a lieu lundi à la Maison Blanche, autour de Donald Trump, Volodymyr Zelensky et des dirigeants européens. Des habitants rencontrés à Washington confient ne pas digérer la proximité affichée entre le président américain et le chef du Kremlin.

Pour l'ONG, la dégradation de la santé des Gazaouis "n'est pas une conséquence malheureuse des opérations militaires israéliennes" mais un "résultat intentionnel".

Un mouvement de grève a débuté dans la matinée du dimanche 17 août en Israël, à l'appel de l'opposition et des familles des otages. Selon les organisateurs, 2,5 millions de manifestants se seraient réunis dans le pays, soit plus d'un quart de la population.

Des chercheurs ont filmé en direct l’instant où un embryon humain s’implante dans l’utérus. Ces images inédites de l'implantation d'un embryon humain dans l’utérus ouvrent de nouvelles pistes pour comprendre l’infertilité, les fausses couches précoces et améliorer la procréation médicalement assistée.

Le président américain reçoit Volodymyr Zelensky ainsi que plusieurs autres dirigeants européens, lundi, à la Maison Blanche, pour parler des propositions russes sur un éventuel accord de paix. Dans la capitale ukrainienne, des habitants se montrent fermes sur les conditions d'un tel accord.

Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens, dont Emmanuel Macron, se rendront à la Maison Blanche, lundi 18 août, pour discuter de la guerre en Ukraine avec Donald Trump. Le président français a rappelé la nécessité d'un "front uni" en Europe.

Le millionnaire Samuel Doria Medina, favori dans tous les sondages jusqu'à il y a une semaine, est en revanche relégué à la troisième place avec 19,8% des voix.

La conférence de presse entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky a été apaisée, avec parfois même des sourires, près de six mois après leur échange particulièrement virulent à la Maison Blanche.

Le président ukrainien et plusieurs de ses alliés se rendent à Washington lundi pour s'entretenir avec le dirigeant américain, qui a rencontré vendredi Vladimir Poutine. Au menu figurent notamment les garanties de sécurité qui pourraient être accordées à Kiev en vue d'un accord de paix.

Volodymyr Zelensky sera accompagné d'une délégation constituée entre autres d'Emmanuel Macron, du Premier ministre britannique et du chancelier allemand, lundi 18 août, à Washington. L'Europe veut marquer son soutien à l'Ukraine face à Donald Trump.

Ces engins, utilisés en nombre par la Russie, sont responsables de 70% des blessés ou morts côté ukrainien. Pour les contrer, l'armée de Kiev a modifié ses déplacements et sa formation.

Sa population a triplé en 20 ans, avec aujourd'hui 90% d’étrangers dans l’émirat. On compte parmi eux 60 000 Français, attirés notamment par la fiscalité avantageuse.

Un mouvement de grève a débuté dans la matinée du dimanche 17 août en Israël, à l’appel de l’opposition et des familles des otages. Selon les organisateurs, 2,5 millions de manifestants se seraient réunis dans le pays, soit plus d’un quart de la population.

Une équipe de France Télévisions a pu se rendre au plus près de la ligne de front en Ukraine, afin de constater l’utilisation massive des drones. Les engins sont responsables de 70% des morts et des blessés de la guerre. L’armée ukrainienne s’adapte, avec des techniques parfois rudimentaires. 

Plusieurs dirigeants européens, dont Emmanuel Macron et le chancelier allemand, seront aux côtés de Volodymyr Zelensky face à Donald Trump à la Maison-Blanche, lundi 18 août. À l’issue d’une réunion des alliés de Kiev dans l’après-midi de dimanche, le président français a accusé Vladimir Poutine de ne pas souhaiter la paix. 

De son côté, le Hamas voit dans ces nouvelles opérations de l'armée israélienne "un crime de guerre majeur, reflétant le mépris de l'occupant pour les lois internationales et humanitaires".

Des milliers de manifestants désapprouvent le projet de contrôle de la bande de Gaza du gouvernement israélien et demandent un accord de cessez-le-feu.

Le président français s'est exprimé dimanche, à la veille de la rencontre très attendue entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens au sujet du conflit ukrainien.

Le chef du gouvernement entend ainsi "atténuer les effets du changement climatique et de s'y adapter", a-t-il expliqué dimanche lors de son déplacement en Galice, une des régions les plus touchées par les feux de forêt.

La présidente de la Commission européenne s'est exprimée dimanche au côté de Volodymyr Zelensky, juste avant la réunion de la "Coalition des volontaires".

Le président français entend ainsi "poursuivre le travail de coordination entre les Européens et les Etats-Unis dans le but de parvenir à une paix juste et durable".

La junte militaire au pouvoir affirme que ce ressortissant travaille pour le "service de renseignement français". Paris rejette des '"accusations sans fondement".

Tenu pour responsable de la grave crise économique, le président sortant Luis Arce, autrefois soutenu par Evo Morales mais désormais en conflit avec lui, a renoncé à briguer un second mandat.