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"Sur le terrain" du 22 septembre 2025 : qui pour diriger la Palestine demain ?

Loïc de la Mornais s'intéresse dans cette 4ème partie à la situation politique des territoires palestiniens et aux colonnies israéliennes, parallèlement à la reconnaissance de l'État de Palestine par la France. Une séquence à retrouver dans l'émission "Sur le terrain" diffusée entre 21h et 23h sur la chaine info, canal 16.

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Reconnaissance de l'État de Palestine : "Emmanuel Macron instaure une série de préconditions que je trouve constructives", souligne Amos Gitaï, cinéaste israélien

Sur le plateau du "11/13", le réalisateur et metteur en scène israélien Amos Gitaï fait part de son regard sur la reconnaissance de l'État palestinien, qu'Emmanuel Macron s'apprête à officialiser ce lundi 22 septembre aux Nations unies. Une proposition qu'il estime "constructive" dans cette "situation d'impasse".

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Reconnaissance de l'État palestinien : un symbole, et un pas vers la paix ?

Dans la soirée de ce lundi 22 septembre, plusieurs pays, dont la France, vont reconnaître l'État de Palestine à la tribune de l'ONU, à l'occasion de l'Assemblée générale. L'Hexagone emboîte ainsi le pas au Royaume-Uni, à l'Australie ou encore au Canada, qui ont officiellement acté la reconnaissance de l'État palestinien dimanche.

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Reconnaissance de l'État palestinien : "On peut espérer que ça soit un point de départ pour une future conférence de la paix", réagit Thomas Maineult, enseignant-chercheur en Histoire contemporaine

Comment la reconnaissance de la Palestine par Emmanuel Macron ce lundi 22 septembre au soir à l'ONU pourrait faire évoluer le conflit israélo-palestinien ? Pour en parler Thomas Maineult, docteur en Histoire et enseignant en Histoire contemporaine, livre son regard sur cette décision et ce qu'elle implique dans "La Matinale" de ce lundi.

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Reconnaissance de l'État de Palestine : un geste historique à haute valeur symbolique, mais sans réels effets concrets

La France s'apprête lundi à reconnaître un État palestinien, comme l'ont fait le Royaume-Uni, le Portugal ou le Canada et l'Autsralie quelques heures plus tôt. Ce mouvement d'une dizaine de pays n'est pas sans conséquences, et répond à l'urgence de la situation à Gaza, mais n'aura que très peu d'effets en pratique.

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