L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, qui mentionnait, plus tôt cet été, avoir de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, a annoncé qu’il ne se présenterait pas aux élections du 2 novembre prochain.
Dans une publication Facebook, monsieur Sirois réitère qu’il y réfléchissait, mais qu’au terme de sa réflexion, il a pris la décision de ne pas déposer sa candidature, du moins, pas
L’ex-président de la Chambre de commerce et de l’industrie de Rimouski-Neigette, Guillaume Sirois, qui mentionnait, plus tôt cet été, avoir de l’intérêt pour la politique municipale et pour le siège de conseiller du district de Nazareth, a annoncé qu’il ne se présenterait pas aux élections du 2 novembre prochain.
Dans une publication Facebook, monsieur Sirois réitère qu’il y réfléchissait, mais qu’au terme de sa réflexion, il a pris la décision de ne pas déposer sa candidature, du moins, pas aux élections de 2025.
« J’ai eu le privilège de m’impliquer dans de nombreuses causes lors des dernières années. Des causes enrichissantes, aux multiples secteurs et qui m’ont fait voir une réalité de terrain sous plusieurs angles. Un autre dénominateur commun de ces implications est mon désir d’y aller à fond de train. Mes mandats ne sont généralement pas pris à la légère, pour le meilleur et pour le pire », explique Guillaume Sirois dans une même publication Facebook.
Il ajoute que depuis un peu plus de deux ans, il est aux prises avec certains problèmes de santé, « relativement mineurs, mais agaçant. »
« Nazareth est le quartier où j’ai grandi, où j’ai fait en affaires et où je vis encore avec un grand honneur. Ses citoyens méritent d’avoir une voix forte puisque les défis y sont multiples. La quarantaine étant arrivée, je commence à me connaître et à savoir comment j’aborderais un éventuel mandat. Je ne peux donc pas me résoudre à me lancer dans ce nouveau défi si je ne suis pas au sommet de ma forme », poursuit monsieur Sirois, en soulignant que la décision n’a pas été facile à prendre.
Guillaume Sirois conclut en soulevant le fait que sa réflexion à se lancer en politique lui a permis d’en apprendre plus sur les problématiques vécues par les citoyens du quartier Nazareth.
Il remercie également les personnes qui lui ont fait part de leur appui.
La porte reste ouverte
« Ceci dit, ce n’est qu’un au revoir face à une éventuelle implication politique. J’ai justement eu trop de discussions édifiantes avec mes compatriotes pour y mettre une croix à jamais. La seule certitude à court terme est que cette implication ne sera pas en 2025. »
Le Conseil de la magistrature du Québec mène une enquête à la suite d’une plainte visant le juge rimouskois Yves Desaulniers. Celle-ci concerne des comportements qui seraient survenus dans l’exercice de ses fonctions et jugés préoccupants par le plaignant, dont l’identité est caviardée.
Dans une décision rendue le 26 août dernier, le Conseil précise que la plainte vise notamment des attitudes perçues comme intimidantes envers du personnel administratif, des remarques à connotation personnelle
Le Conseil de la magistrature du Québec mène une enquête à la suite d’une plainte visant le juge rimouskois Yves Desaulniers. Celle-ci concerne des comportements qui seraient survenus dans l’exercice de ses fonctions et jugés préoccupants par le plaignant, dont l’identité est caviardée.
Dans une décision rendue le 26 août dernier, le Conseil précise que la plainte vise notamment des attitudes perçues comme intimidantes envers du personnel administratif, des remarques à connotation personnelle ainsi que des situations où le juge se serait présenté partiellement dévêtu devant des collègues, dans un contexte judiciaire.
Aucun enregistrement vidéo ou audio ne permet de documenter les faits allégués et le plaignant n’est pas un témoin direct.
L’analyse repose principalement sur des témoignages transmis au Conseil de la magistrature ou recueillis par lui.
Ces signalements, détaillés et signés, proviennent de personnes occupant des fonctions névralgiques au sein de l’appareil judiciaire.
Deux types de comportements reprochés
La plainte, déposée le 30 janvier 2025, fait état de deux catégories de comportements.
Le premier concerne des interactions jugées inappropriées sur le plan du respect interpersonnel et de la civilité (cris, propos dénigrants et comportements perturbateurs envers le personnel de soutien judiciaire).
Le second a trait à des comportements perçus comme dérangeants sur le plan physique, notamment le fait d’accueillir des interlocuteurs torse nu dans son bureau ou de procéder à des ajustements vestimentaires en leur présence.
Selon la plainte, sur laquelle repose la décision rendue publique, le juge aurait également tenu des propos ambigus à connotation suggestive (« regardez le paysage ») et aurait baissé son pantalon devant un interlocuteur.
Enquête pour clarifier les faits
Le Conseil de la magistrature du Québec estime qu’une enquête est nécessaire « afin de faire pleinement la lumière sur ces événements » et que « seule une enquête permettra d’établir les faits avec précision, d’apprécier leur portée réelle et de déterminer s’il y a eu manquement déontologique. »
La Sûreté du Québec demande l’aide du public afin de retrouver Jessy Corbin, 15 ans et Arianne Gallant-Sicotte, 14 ans, toutes deux de Rimouski.
Elles ont été vues pour la dernière fois le 10 septembre vers 18 h dans le secteur de la rue Ross à Rimouski. Leurs proches ont des raisons de craindre pour leur santé et leur sécurité.
Description de Jessy
Taille : 1, 65 m (5 pi 5 po)
Poids : 52 kg (115 lb)
Cheveux : blonds
Yeux : verts
Au moment de sa disparition, elle portait un
La Sûreté du Québec demande l’aide du public afin de retrouver Jessy Corbin, 15 ans et Arianne Gallant-Sicotte, 14 ans, toutes deux de Rimouski.
Elles ont été vues pour la dernière fois le 10 septembre vers 18 h dans le secteur de la rue Ross à Rimouski. Leurs proches ont des raisons de craindre pour leur santé et leur sécurité.
Description de Jessy
Taille : 1, 65 m (5 pi 5 po)
Poids : 52 kg (115 lb)
Cheveux : blonds
Yeux : verts
Au moment de sa disparition, elle portait un pantalon beige et un coton ouaté rose. Elle a deux piercings au nez.
Description d’Arianne Gallant-Sicotte
Taille : 1, 50 m (4 pi 9 po)
Poids : 45 kg (99 lb)
Cheveux : Noir
Yeux : Brun
Au moment de sa disparition, elle portait un jeans gris, un coton ouaté gris et une tuque vert forêt. Elle a un piercing au nez.
Toute personne qui apercevrait Jessy Corbin ou Arianne Gallant-Sicotte est priée de communiquer avec le 911.
De plus, toute information pouvant permettre de retrouver celle-ci peut être communiquée, confidentiellement, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.
Après 25 années à la barre de Mitis en Affaires, Annick Marquis quitte ses fonctions de directrice générale pour relever un nouveau défi en tant que directrice générale de la MRC de La Mitis.
Le président du conseil d’administration de Mitis en Affaires depuis, lui aussi 25 ans, Jean-Marie Thibeault, souligne le travail de madame Marquis.
« Durant toutes ces années, elle a accompagné des centaines d’entrepreneurs en soutenant leurs idées, leurs projets, leurs ambitions. Elle a permis à des
Après 25 années à la barre de Mitis en Affaires, Annick Marquis quitte ses fonctions de directrice générale pour relever un nouveau défi en tant que directrice générale de la MRC de La Mitis.
Le président du conseil d’administration de Mitis en Affaires depuis, lui aussi 25 ans, Jean-Marie Thibeault, souligne le travail de madame Marquis.
« Durant toutes ces années, elle a accompagné des centaines d’entrepreneurs en soutenant leurs idées, leurs projets, leurs ambitions. Elle a permis à des entreprises de se développer, à La Mitis de se transformer, et à plusieurs générations d’employés de s’épanouir et de trouver leur place. Je puis vous certifier qu’elle a su développer avec le conseil d’administration une complicité et une transparence qui garantit une gestion des plus saines. »
Farah Dargazanli prend la relève
Le conseil d’administration a confié l’intérim de la direction générale à Farah Dargazanli, déjà en poste au sein de l’organisme depuis cinq ans. Elle occupait le rôle de conseillère en entreprise avant d’être nommée directrice générale adjointe en avril 2024.
Par voie de communiqué, Mitis en Affaires mentionne que « son expérience, sa connaissance du milieu et sa proximité avec les entrepreneurs de La Mitis font d’elle le choix naturel pour assurer la continuité. »
Depuis plusieurs mois, madame Dargazanli était déjà appelée à assumer des responsabilités de gestion, ce qui lui a permis de bénéficier des connaissances de madame Marquis.
« C’est une belle marque de confiance du conseil d’administration. Je me sens privilégiée de pouvoir compter sur une équipe compétente et engagée qui travaille chaque jour à soutenir les entrepreneurs de notre région », exprime la nouvelle directrice générale par intérim.
Fière et prête pour la suite
De son côté, Annick Marquis quitte avec le sentiment du devoir accompli et une grande fierté envers le chemin parcouru.
« L’entrepreneuriat est un défi constant et stimulant. J’ai eu la chance, au fil des années, d’accompagner des femmes et des hommes passionnés qui façonnent notre territoire. Je pars sereine, convaincue que Mitis en Affaires est entre de bonnes mains avec Mme Dargazanli et son équipe », conclut madame Marquis.
L’ancienne sacristie de la Cathédrale de Rimouski, la salle Marcel-Gagné, arbore désormais des œuvres de l’artiste bicois VoRo.
Le projet, intitulé « La salle Marcel-Gagné aux couleurs de Rimouski », a été présenté jeudi matin par le président de la Fabrique de la Paroisse de Saint-Germain-de-Rimouski, Jean-Paul Heppell, en compagnie des marguilliers et marguillières de la Fabrique et de l’artiste.
Ce projet de 12 000 $, payé par la Fondation Marcel-Gagné et le mécène du même nom, est né
L’ancienne sacristie de la Cathédrale de Rimouski, la salle Marcel-Gagné, arbore désormais des œuvres de l’artiste bicois VoRo.
Le projet, intitulé « La salle Marcel-Gagné aux couleurs de Rimouski », a été présenté jeudi matin par le président de la Fabrique de la Paroisse de Saint-Germain-de-Rimouski, Jean-Paul Heppell, en compagnie des marguilliers et marguillières de la Fabrique et de l’artiste.
Ce projet de 12 000 $, payé par la Fondation Marcel-Gagné et le mécène du même nom, est né d’une volonté d’ajouter de la couleur à la salle qui permet d’assurer la pérennité de la Cathédrale, avec les revenus qu’elle génère.
« Nous avons trouvé un mécène qui serait prêt à nous appuyer financièrement. Ensuite, nous avons trouvé un artiste qui serait prêt à représenter ce que l’on voudrait voir sur nos murs, pour en arriver au résultat d’aujourd’hui », mentionne monsieur Heppell.
Des œuvres sur Rimouski
VoRo, de son vrai nom Vincent Rioux, est un auteur de bande dessinée originaire de la région.
Les oeuvres qui se trouvent dans la salle représentent des scènes de l’histoire de Rimouski, comme le grand feu (dans le haut) et des paysages de la ville (dans le bas). (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« J’aime raconter des histoires de petits villages, des histoires intimes, de familles et de communautés. Quand on m’a demandé si je voulais faire des illustrations pour décorer cette salle, avec des histoires de Rimouski, ç’a m’a fait plaisir. J’en avais déjà plusieurs d’entamés. […] On aurait simplement pu prendre des photos, mais ce qui est bien avec les dessins, c’est qu’on peut faire une représentation parfaite de ce qu’on en tête, en enlevant les fils électriques et en tassant les arbres. C’est pour cette raison que j’aime beaucoup dessiner. Ça me permet d’illustrer mon imaginaire, en montrant aux gens ce que j’ai dans la tête et ce que j’aime de mon coin de pays », indique l’artiste, qui se dit très content du résultat.
Il ajoute qu’il est plus rare pour lui d’avoir l’occasion de faire des dessins de cette envergure, mais invite les gens à taper son nom d’artiste sur internet, pour voir la centaine d’illustrations qu’il a faites de Rimouski au cours de sa carrière.
L’organisme communautaire Accueil-Maternité a souligné, ce 11 septembre, l’installation récente de thermopompes dans ces locaux, rendue possible par la contribution de trois partenaires locaux : Desjardins, Réfrigération Air C et Malette.
La directrice générale de l’Accueil, Élodie Christel, mentionne que l’ajout de ces thermopompes aide directement l’organisme dans sa mission, qui est de briser l’isolement des mères, en période périnatale.
« On offre aussi plusieurs services, tels que les
L’organisme communautaire Accueil-Maternité a souligné, ce 11 septembre, l’installation récente de thermopompes dans ces locaux, rendue possible par la contribution de trois partenaires locaux : Desjardins, Réfrigération Air C et Malette.
La directrice générale de l’Accueil, Élodie Christel, mentionne que l’ajout de ces thermopompes aide directement l’organisme dans sa mission, qui est de briser l’isolement des mères, en période périnatale.
« On offre aussi plusieurs services, tels que les repas le midi, qui sont une façon d’économiser, mais aussi de se détendre. Les mamans peuvent venir manger un repas chaud, qu’elles n’ont pas cuisiné, tout en recevant de l’aide pour la gestion de leur enfant. En même temps, nous avons un service de dons, qui nous permet d’équiper les familles en vêtements, en matériel, etc. On a vraiment une grande offre de service, qui fait en sorte que venir ici, c’est un peu comme venir chez grand-maman. Les bénévoles sont les grands-mamans de cœur des utilisatrices de l’Accueil », explique madame Christel.
L’importante quantité d’activités qui se déroule dans ce milieu de vie, situé au 340 de l’avenue Rouleau à Rimouski, fait en sorte que ce dernier doit pouvoir offrir des températures agréables à ses usagères.
« Tous ces services prennent place dans une grande maison, qui n’était pas très bien chauffée et qui n’avait pas de climatisation non plus. Il peut faire très chaud ici, d’autant plus qu’on peut accueillir en moyenne 16 mamans et 16 enfants. Ça fait beaucoup de monde, alors on avait besoin de mettre un système plus économique, mais aussi plus adéquat, qui nous permettrait de rafraichir ou de réchauffer cette maison. On veut être en mesure d’offrir un espace de fraicheur pendant les grandes chaleurs, parce que les mamans qui sont dans de petits appartements, sans climatiseur, en souffrent, tout comme leurs nouveau-nés. »
Trois partenaires au cœur du projet
Comme l’Accueil est un organisme communautaire, il lui était nécessaire de former des partenariats pour accomplir son projet d’installer des thermopompes sur ses trois étages.
Élodie Christel, Johanne Gagnon, Nathan McDonald, Gabrielle Lévesque et Sylvie Renaud. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Nous avons eu la chance de collaborer avec nos trois partenaires : Malette, Réfrigération Air C et Desjardins, qui ont accepté de réaliser ce projet avec nous », ajoute Élodie Christel.
La directrice en certification chez Mallette, Gabrielle Lévesque, rapporte avoir elle-même profité des services de l’Accueil, il y a quelques années.
« Malette aime beaucoup encourager ses clients, lorsque c’est possible de le faire. Ce partenariat nous permet aussi de venir en aide à un organisme qui a une mission qui nous tient à cœur. »
Le représentant aux ventes de Réfrigération Air C, Nathan McDonald, souligne pour sa part que ces nouvelles thermopompes seront bénéfiques à tout point pour l’Accueil.
Bénéfique pour le confort
« Ce sera autant bénéfique pour le confort des mères utilisatrices et de leurs enfants, que pour aider l’organisme à réduire ses coûts d’opération, puisque les coûts du chauffage s’en trouveront diminués. »
Finalement, la conseillère Communication et vie associative chez Desjardins, Sylvie Renaud, soulève le caractère coopératif de ce partenariat.
« Dans la contribution de Desjardins, on retrouve un peu des 39 000 membres de la Caisse, parce que la contribution vient du fond d’aide au développement du milieu, qui est alimenté par la ristourne collective de nos membres. Ce projet est magnifique. Il s’inscrit dans toutes les valeurs de Desjardins : solidarité, entraide, bienveillance et coopération. On aime encourager des projets qui ont aussi plusieurs partenaires financiers, alors c’est un grand bonheur de faire équipe avec Réfrigération Air C et Mallette. Ce projet vient donner du mieux-être aux mamans et aux enfants. Il s’inscrit vraiment dans une perspective de développement durable, parce que lorsqu’on aide la communauté de cette manière-là, on s’assure qu’elle est capable de continuer, en lui donnant des outils pour y parvenir. »
Un citoyen de Rimouski-Est, Sébastien Cyr, confirme qu’il déposera sa candidature au poste de maire de Rimouski, en vue des élections municipales du 2 novembre 2025.
Le Rimouskois, qui a débuté sa carrière dans les loisirs pour ensuite travailler dans le commerce de détail, avant de devenir entrepreneur, indique qu’un ensemble d’éléments l’ont motivé à se lancer dans la course électorale.
« Je lis les nouvelles comme tout le monde, je vois ce qui se passe et je me dis qu’on peut avoir mie
Un citoyen de Rimouski-Est, Sébastien Cyr, confirme qu’il déposera sa candidature au poste de maire de Rimouski, en vue des élections municipales du 2 novembre 2025.
Le Rimouskois, qui a débuté sa carrière dans les loisirs pour ensuite travailler dans le commerce de détail, avant de devenir entrepreneur, indique qu’un ensemble d’éléments l’ont motivé à se lancer dans la course électorale.
« Je lis les nouvelles comme tout le monde, je vois ce qui se passe et je me dis qu’on peut avoir mieux pour notre ville. Ma décision ne date pas d’hier matin. Cela fait deux ans que j’y réfléchis et que j’y travaille », indique monsieur Cyr.
L’aspirant candidat explique qu’il souhaitait recueillir les signatures requises au dépôt de sa candidature avant de faire une sortie publique dans les médias.
« J’étais bien avancé en août, mais il peut toujours arriver des imprévus. Après, je ne voulais pas non plus annoncer ma candidature pour ensuite me rétracter s’il me manquait des appuis. »
Il précise qu’il a maintenant en main toutes les signatures qu’il lui faut.
« Il y a des personnes qui ont été surprises d’apprendre que je veux devenir maire, d’autres non. Il y en a aussi qui étaient contentes, parce que peu de candidats à la mairie se sont manifestés jusqu’à maintenant. Il y a peut-être Sébastien Bolduc de Sacré-Cœur, mais sinon rien n’est vraiment sortie à ce sujet, donc les gens étaient contents de savoir qu’il y aurait une course à la mairie. »
Ainsi, à moins d’un imprévu majeur, Sébastien Cyr déposera sa candidature dans les jours qui suivront le 19 septembre.
Travailler dans toutes les sphères
Comme la campagne électorale n’est pas encore officiellement commencée, monsieur Cyr ne souhaite pas présenter tout de suite l’ensemble de ses orientations politiques.
« Je veux travailler dans toutes les sphères que la Ville se doit de s’occuper. Que ce soit en transport, en loisirs ou en environnement. J’ai des idées pour presque tous ces dossiers, mais je ne veux pas encore trop m’avancer, tant que la campagne n’est pas encore commencée. »
Sébastien Cyr estime que la Ville de Rimouski aurait intérêt à se rapprocher de ses citoyens. (Photo courtoisie Éric Berger)
Il estime toutefois que la Ville de Rimouski aurait intérêt à se rapprocher de ses citoyens.
« Je lis beaucoup les commentaires des gens sur les réseaux sociaux et je me dis que ce qui manque dans le coin, ce sont des élus qui sont plus proches de leurs citoyens et de leurs réalités. […] Ce que je pense n’est peut-être pas bon non plus. Peut-être que ce que je lis dans les médias et sur les réseaux sociaux n’est pas représentatif de ce que veulent les gens. On ne peut jamais avoir toutes les réponses, mais il faut écouter les citoyens. Dans une ville comme Rimouski, il faut aussi faire des projets, qui sont réalistes et qu’on est capable de se payer. »
Logements : « il y a place à l’amélioration »
Tandis que la lutte à la crise du logement a été l’un des points centraux du mandat du maire Guy Caron, avec Rimouski qui se trouve désormais au premier rang provincial pour le nombre de mises en chantier par habitant, Sébastien Cyr est d’avis que de ce côté, la Ville peut s’améliorer.
« C’est un peu mitigé. Oui, on a ajouté des unités de logement, mais je pense qu’il y a des places où on rate la cible et c’est quelque chose qui doit être travaillé. Je vais présenter mes idées sur la question plus tard, mais c’est certain qu’il y a place à l’amélioration. »
Pour le reste, il invite les Rimouskois à suivre la campagne électorale, pour se faire une idée des candidats et voter en fonction de leurs convictions.
Le maire de Rimouski, Guy Caron, souhaite que la transition se fasse sans heurts avec la nouvelle ministre régionale, Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata, après le départ de Maïté Blanchette Vézina.
« Je pense que j’ai bien travaillé avec madame Blanchette Vézina et je m’attends à ce que ça continue, tout comme elle continuera son travail de députée. De ma part, je vais continuer à travailler avec madame Dionne, comme je l’ai fait dans le passé. Je connais son équipe et je m
Le maire de Rimouski, Guy Caron, souhaite que la transition se fasse sans heurts avec la nouvelle ministre régionale, Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata, après le départ de Maïté Blanchette Vézina.
« Je pense que j’ai bien travaillé avec madame Blanchette Vézina et je m’attends à ce que ça continue, tout comme elle continuera son travail de députée. De ma part, je vais continuer à travailler avec madame Dionne, comme je l’ai fait dans le passé. Je connais son équipe et je m’attends à ce que les besoins de Rimouski, tout comme ceux de Rivière-du-Loup, Matane, Mont-Joli et du reste la région, soient bien entendus de la part du gouvernement », indique monsieur Caron.
Le maire ne voit pas la nomination d’Amélie Dionne comme étant un frein au retour de la traverse Rimouski-Forestville, tout comme le prolongement de l’autoroute 20.
Dans une entrevue accordée à Radio-Canada en 2024, la représentante caquiste avait laissé planer le doute sur la suite envisagée entre Notre-Dame-des-Neiges vers le district Bic à Rimouski, avant de rectifier le tir par la suite.
« C’est quelque chose qui a été soulevé (la traverse), mais à ce stade-ci du dossier, nous n’avons pas vraiment besoin d’une intervention ministérielle. On travaille un peu avec le ministère des Transports, mais nous n’avons pas besoin d’une intervention de la ministre responsable de la région. L’autoroute 20 est un enjeu important, pour lequel l’intervention de madame Dionne serait appréciée. Pour le reste, nous verrons une fois qu’elle aura pris connaissance de ces dossiers », estime Guy Caron.
« Maïté a bien travaillé plusieurs dossiers, pour Rimouski et toute la région, particulièrement pour le logement, qui est un dossier qu’elle a porté avec madame Duranceau (France, ex-ministre de l’Habitation). Il faut rendre à César ce qui appartient à César. Son travail a permis de belles avancées de ce côté. »
La députée de Rimouski, Maïté Blanchette-Vézina, le président de la corporation Logerie, Rodrigue Joncas et le maire de Rimouski, Guy Caron. (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Guy Caron estime que la rétrogradation de Maïté Blanchette Vézina ne nuira pas à sa ville.
« Le fait d’être ministre a pour avantage de faciliter la conversation dans les gros dossiers. Par contre, c’est aussi un poste qui des inconvénients. Il y a ce qu’on appelle la solidarité ministérielle. Si le gouvernement prend une décision qui n’est pas appréciée des villes, un ministre ne peut aller à l’encontre de cette décision, en raison de la solidarité ministérielle. Il y a donc des avantages et des inconvénients. »
Le maire Caron ajoute que pour être un avantage pour une ville, un ministre doit être efficace. « Je n’ai pas peur de dire que pour Rimouski et l’habitation, Maïté l’a été. »
Le Centre de prévention du suicide et d’intervention de crise du Bas-Saint-Laurent (CPSICBSL) devient le Centre de prévention du suicide de l’Est (CPSE) et inaugure, dans le cadre de la Journée mondiale de la prévention du suicide, ses nouveaux locaux, où se situe désormais son centre administratif.
Ce dernier se trouve au 180, rue des Gouverneurs, bureau 7, à Rimouski.
La présidente du conseil d’administration du CPSE, Caroline Ruest, explique que l’organisme, qui conserve sa maison d’héb
Le Centre de prévention du suicide et d’intervention de crise du Bas-Saint-Laurent (CPSICBSL) devient le Centre de prévention du suicide de l’Est (CPSE) et inaugure, dans le cadre de la Journée mondiale de la prévention du suicide, ses nouveaux locaux, où se situe désormais son centre administratif.
Ce dernier se trouve au 180, rue des Gouverneurs, bureau 7, à Rimouski.
La présidente du conseil d’administration du CPSE, Caroline Ruest, explique que l’organisme, qui conserve sa maison d’hébergement, s’est notamment doté de ce nouvel espace afin de se rapprocher du grand public, tout en conservant la confidentialité des usagers de la Maison.
« Notre mandat premier est la prévention du suicide. C’est quelque chose qu’on fait quotidiennement, que ce soit via notre ligne téléphonique, les consultations ou les rencontres qui se font directement au centre, mais au-delà de ça, on s’est dit : quoi de plus puissant, d’un point de vue préventif, que d’avoir notre propre centre administratif? Ici, on sera en mesure d’afficher nos couleurs et de propager nos messages de prévention. »
Madame Ruest précise que ces nouveaux bureaux seront facilement accessibles pour tous ceux et celles qui auront besoin d’information, peu importe le moment.
« En déménagement les bureaux ici, on libère aussi du pied carré, du côté de la maison d’hébergement qui conserve son lieu actuel. Le tout, afin d’offrir une meilleure expérience. L’espace de vie de la Maison sera beaucoup plus conviviale. L’entrée sera adaptée, la cuisine sera plus sécuritaire et les utilisateurs pourront bénéficier d’une plus grande confidentialité lors des rencontres. »
Pour y arriver, des travaux de rénovation débuteront dès l’automne 2025.
La directrice générale du Centre, Isabelle Albert, mentionne que lors d’une deuxième phase, d’autres façons de faire de l’intervention pourront être développées à la Maison, par exemple des activités dirigées.
La directrice générale du Centre de prévention du suicide de l’Est, Isabelle Albert. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Nous aurons aussi comme nouveauté l’ajout d’une chambre adaptée, ce qui est peu commun dans l’hébergement au Bas-Saint-Laurent. Ça nous permettra d’y accueillir des gens, étant donné que malheureusement, on doit en refuser, en raison de l’absence de cet espace. »
Une nouvelle identité visuelle
La mise en place d’une nouvelle image de marque est née d’une volonté, de la part de madame Albert, d’avoir un logo représentatif de la mission du CPSE.
« Notre but est de soutenir les personnes et de les aider à retomber sur leurs pattes. »
Mois de lancement
Afin de faire connaitre le nouveau logo et le nouveau nom de l’organisme, un mois de lancement, avec des activités, aura lieu.
Le public est invité à suivre la page Facebook du CPSE pour rester à l’affut des événements.
La mairesse de Forestville et présidente de la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville, Micheline Anctil, est d’avis que l’achat d’équipements effectué par les Industries Rilec et son président Louis-Olivier Carré, constitue une étape importante pour le retour du service de traverse entre sa ville et Rimouski.
« Un pas important a été franchi, pour deux raisons différentes. Premièrement, c’est une preuve de l’engagement du promoteur. On voit qu’il est sérieux, puisqu’il achète de
La mairesse de Forestville et présidente de la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville, Micheline Anctil, est d’avis que l’achat d’équipements effectué par les Industries Rilec et son président Louis-Olivier Carré, constitue une étape importante pour le retour du service de traverse entre sa ville et Rimouski.
« Un pas important a été franchi, pour deux raisons différentes. Premièrement, c’est une preuve de l’engagement du promoteur. On voit qu’il est sérieux, puisqu’il achète des équipements. Deuxièmement, il s’agit d’un achat qui sera nécessaire pour le bon fonctionnement des opérations », mentionne madame Anctil.
L’acquisition des infrastructures portuaires existantes sur les deux rives du Saint-Laurent permettra ensuite de les adapter, en vue d’accueillir le nouveau navire.
« Il faut regarder si Louis-Olivier Carré, comme promoteur, a un type de bateau X, pour procéder à des études de navigation, pour déterminer comment navigue ce bateau. Comment entre-t-il au port de Rimouski? Comment entre-t-il au port de Forestville? De quoi avons-nous besoin, du côté de nos infrastructures, pour accueillir ce bateau ? »
Elle suppose que des travaux seront, entre autres, nécessaires à Forestville.
« Notamment pour notre pont d’accostage, parce que les installations ont été conçues pour le CNM Évolution. Si un autre bateau est utilisé, il faudra évidemment prendre le temps de bien étudier comment il naviguera. »
Pas d’échéancier pour Forestville
Bien que Louis-Olivier Carré prévoit le retour du service en mai 2026, la mairesse de Forestville préfère ne pas s’avancer sur un possible échéancier.
La mairesse de Forestville, Micheline Anctil (Photo courtoisie)
« Nous avons tous le même souhait : celui de ramener la traverse le plus rapidement possible, ce qui voudrait dire l’an prochain, mais je ne suis pas rendu à une étape qui me permettrait de confirmer une date. On peut dire que c’est effectivement une vision commune que nous avons, mais il y a encore des étapes à réaliser, dans un délai très court. Je ne m’avance donc pas sur un échéancier, mais je peux confirmer que nous nous engageons à travailler pour faire en sorte que ce soit réalisé le plus rapidement possible. »
Au cœur du projet
Depuis l’entrevue du 15 juillet, Micheline Anctil rapporte qu’un autre aspect important s’est précisé.
« Le gouvernement ne peut financer un promoteur, pour l’achat d’un bateau. C’est quelque chose qui a été clarifié depuis la mi-juillet. Le chemin que nous devons emprunter vers le gouvernement du Québec passe obligatoirement par la Corporation, parce que c’est la clé du projet pour Québec. Le gouvernement souhaite étudier toutes les options possibles d’aides financières et ces dernières doivent obligatoirement passer par la Corporation de liaison maritime. »
La Sûreté du Québec confirme qu’une collision impliquant deux véhicules est survenu plus tôt, mardi matin, à Val-Brillant.
« À 7 h 45, les policiers ont été appelés sur la route 132 est à Val-Brillant, en lien avec une collision impliquant deux véhicules », indique le porte-parole de la SQ, Frédéric Deshaies.
Il ajoute qu’un transport hospitalier, pour un blessé léger, a été effectué.
La Sûreté du Québec confirme qu’une collision impliquant deux véhicules est survenu plus tôt, mardi matin, à Val-Brillant.
« À 7 h 45, les policiers ont été appelés sur la route 132 est à Val-Brillant, en lien avec une collision impliquant deux véhicules », indique le porte-parole de la SQ, Frédéric Deshaies.
Il ajoute qu’un transport hospitalier, pour un blessé léger, a été effectué.
La Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette (CCIRN) perdra bientôt son coprésident, Simon St-Pierre, qui démissionne après avoir rempli un mandat qu’il décrit comme ayant été « assez complexe. »
« Je suis encore en poste, mais je vais quitter après l’Assemblée générale annuelle (AGA). La date de cette AGA sera sûrement confirmée cette semaine », indiquait monsieur St-Pierre lundi matin.
Il estime que l’Assemblée devrait avoir lieu assez rapidement, donc à la fin du mois de s
La Chambre de commerce et de l’industrie Rimouski-Neigette (CCIRN) perdra bientôt son coprésident, Simon St-Pierre, qui démissionne après avoir rempli un mandat qu’il décrit comme ayant été « assez complexe. »
« Je suis encore en poste, mais je vais quitter après l’Assemblée générale annuelle (AGA). La date de cette AGA sera sûrement confirmée cette semaine », indiquait monsieur St-Pierre lundi matin.
Il estime que l’Assemblée devrait avoir lieu assez rapidement, donc à la fin du mois de septembre, ou bien au début du mois d’octobre.
Simon St-Pierre et Andréane Pelletier ont été élus comme coprésidents de la CCIRN en octobre 2024.
Quand Simon St-Pierre repense aux efforts qui ont été déployés à la suite de cette annonce, il estime que le temps était venu pour lui de laisser sa place à un autre.
« Andréane et moi avons su détecter cette fraude, qui ne s’est pas produite pendant notre présidence. Par après, il y avait beaucoup de dettes à régler. Plusieurs personnes n’avaient pas été payées. Nous avons réussi à renverser cette situation avec succès, en payant tous les comptes et en remettant de l’argent dans celui de la Chambre. On a aussi réussi à la faire repartir, parce qu’elle sera en mesure d’engager une ressource à l’automne. Donc, d’avoir réussi à remettre la CCIRN sur la carte, en la rendant de nouveau fonctionnelle, ça ne tient pas du miracle, mais presque. »
Retour en politique municipale ?
Étant donné que l’annonce de sa démission coïncide avec la tenue prochaine des élections municipales, la rumeur court que monsieur St-Pierre compte se présenter à nouveau comme conseiller municipal.
L’homme d’affaires Simon Saint-Pierre (Photo journallesoir.ca)
Il s’agit en effet d’un poste qu’il a occupé, au sein du district de Saint-Pie X, de 2017 à 2021. Lors des dernières élections, il avait été défait de peu par la conseillère actuelle, Mélanie Bernier, qui avait obtenu 52,54 % des votes.
Questionné sur ses intentions, Simon St-Pierre ne confirme rien pour l’instant. Il précise toutefois qu’il compte se prononcer sur le sujet, au courant de la semaine du 15 septembre.
Le propriétaire de la Brasserie La Baraque a d’ailleurs abordé la question dans une publication Facebook, dans laquelle il raconte avoir été interpellé à quelques reprises sur sa possible candidature, plus précisément sur la possibilité qu’il brigue la mairie.
Il a par la suite mentionné en commentaire qu’il n’en avait pas l’intention, répondant : « […] Pas à la mairie, voyons, mais… », ouvrant ainsi la porte à une candidature comme conseiller.
Paméla Doucet chasse depuis son plus jeune âge, soit depuis qu’elle a commencé à y accompagner son père, Marius Doucet, dès l’âge de trois ans.
Âgée de 41 ans, elle a maintenant 29 ans d’expérience en tant que chasseuse, soit depuis l’époque où elle a obtenu son port d’armes.
« J’ai toujours aimé tout ce qui concerne la chasse et la pêche », résume Paméla, qui a débuté dans le milieu en chassant des canards etdes outardes.
Elle continue aujourd’hui de vivre en famille cette passion tran
Paméla Doucet chasse depuis son plus jeune âge, soit depuis qu’elle a commencé à y accompagner son père, Marius Doucet, dès l’âge de trois ans.
Âgée de 41 ans, elle a maintenant 29 ans d’expérience en tant que chasseuse, soit depuis l’époque où elle a obtenu son port d’armes.
« J’ai toujours aimé tout ce qui concerne la chasse et la pêche », résume Paméla, qui a débuté dans le milieu en chassant des canards et des outardes.
Elle continue aujourd’hui de vivre en famille cette passion transmise par son père. Son conjoint, Ian Chouinard, est également un chasseur. Leur fille de 8 ans et leur garçon de 11 ans ont bien hâte de pouvoir chasser à leur tour.
« Nous avons toujours emmené nos enfants avec nous, de façon sécuritaire. Ils ont été élevés là-dedans, alors même s’ils ne chassent pas encore, ils ne seront pas projetés dans l’inconnu pour autant, lorsqu’ils commenceront. »
En attendant, la jeune relève peut accompagner les parents et apprendre de cette façon.
« Le plus dur pour les enfants, c’est qu’ils doivent faire preuve de patience. Ils ont l’habitude des jeux vidéos et des tablettes électroniques, mais nous n’avons pas de signal quand on va à la chasse. Ils n’ont pas le choix d’être patients. On travaille nos trous de chasse, on les fait avec eux, parce qu’on veut leur montrer que ce n’est pas seulement une question de chance. Ce n’est pas non plus juste une question de pouvoir tirer. On leur montre qu’il y a un travail en arrière de tout ça. »
Début imminent de leur saison
La famille Doucet-Chouinard se rendra au Nouveau-Brunswick, les 13 et 14 septembre, pour y chasser l’ours, à l’arc.
La fin de l’été et le début de l’automne sont d’ailleurs les périodes de l’année préférées de la famille de pêcheurs qui travaille chaque jour au printemps et en été.
« Après, ce sera le temps de l’orignal. Il y a la période pour l’arc et celle pour la carabine. On chasse aussi le chevreuil au Québec et dans l’Ouest canadien. Ce sont des chasses qui sont assez longues. On passe un bon deux mois à chasser. »
La chasse se passe en famille chez les Doucet-Chouinard. (Photo courtoisie)
Si plusieurs aspects du loisir intéressent Paméla Doucet, le fait qu’il permette à la famille d’être ensemble en est un élément important.
« On pourrait participer à des tirages, pour essayer de sortir sur des réserves, parce que l’Est-du-Québec est un secteur assez extraordinaire pour l’orignal. On pourrait, mais nous, on préfère vivre notre chasse en famille et entre amis. On vit le tout à notre chalet. Le plus gros de la chasse, on le prépare avec les enfants. La chasse à l’orignal approche et pour nous, il s’agit vraiment d’une activité familiale. On est dehors, on profite du beau temps. On pourrait aller ailleurs, mais on veut le vivre avec nos enfants, parce qu’on sait que c’est un intérêt qu’ils vont poursuivre. Les plus beaux moments que nous passons, c’est ensemble, pendant la chasse. »
La Ville de Rimouski a inauguré, ce jeudi, les deux projets gagnants de sa première édition en environnement du budget participatif citoyen, soit la création d’un parc d’ombre et de fraîcheur et l’aménagement d’aires de glanage grâce à la plantation d’arbres et d’arbustes fruitiers.
Il s’agit d’initiatives des promotrices Denise Proulx, Hélène Gagnon et Jocelyne Côté.
Un parc luxuriant d’ombre et de fraîcheur
La plantation d’arbres et l’ajout de mobilier urbain font en sorte que le prem
La Ville de Rimouski a inauguré, ce jeudi, les deux projets gagnants de sa première édition en environnement du budget participatif citoyen, soit la création d’un parc d’ombre et de fraîcheur et l’aménagement d’aires de glanage grâce à la plantation d’arbres et d’arbustes fruitiers.
Il s’agit d’initiatives des promotrices Denise Proulx, Hélène Gagnon et Jocelyne Côté.
Un parc luxuriant d’ombre et de fraîcheur
La plantation d’arbres et l’ajout de mobilier urbain font en sorte que le premier projet offre un endroit pour contempler la nature et célébrer la biodiversité autour du bassin de rétention de Saint-Pie-X.
La pergola du premier projet gagnant. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
L’ajout d’une pergola, de vignes fruitières et de mobilier permet aux utilisatrices et utilisateurs de prendre une pause à l’ombre et d’observer la faune et la flore du secteur. Cet aménagement d’ombre et de fraîcheur a été réalisé avec un budget de 65 000 $ et était arrivé premier lors du vote populaire. Ce projet a été proposé par Denise Proulx.
Création d’aires de glanage
Le deuxième projet gagnant de cette édition en environnement consiste en la création de mini‑vergers écoresponsables sur sept terrains municipaux, afin d’offrir à la population des plantations à la fois ornementales et alimentaires.
Ce projet comporte également une portion éducative, avec l’installation de panneaux d’interprétation qui donnent quelques informations sur les plantations fruitières. Ces aménagements sont à découvrir dans les secteurs Le Bic, Nazareth, Sainte-Agnès Nord, Pointe-au-Père, Rimouski-Est, Saint-Pie-X et le parc des Constellations à Sacré-Cœur. Ce projet est en voie d’être complété, à l’intérieur du budget alloué de 65 000 $ et était arrivé deuxième lors du vote populaire. Cette idée est une collaboration de Jocelyne Côté et Hélène Gagnon.
Deux des trois promotrices des projets gagnants. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Le directeur du service des travaux publics à la Ville de Rimouski, Patrick Caron, a souligné l’innovation dont on fait preuve les trois promotrices.
« Pour la quatrième édition de ce budget participatif citoyen, nous avons mis en place une thématique environnementale pour diversifier l’offre de projets. Les citoyens ont répondu à l’appel : le comité a reçu 27 projets à analyser. Ce comité était constitué d’employés de la Ville, provenant des différents services municipaux. Des 10 projets soumis au vote populaire, les deux projets gagnants se sont bien démarqués. Félicitations encore une fois aux promotrices, pour leurs idées innovatrices. »
Le budget participatif citoyen
Mis en place en 2017, le budget participatif citoyen donne l’occasion aux gens de Rimouski de proposer des idées de projets.
Ceux qui respectent les critères d’admissibilité sont ensuite soumis au vote du public. Le ou les projets gagnants sont ceux ayant récolté le plus grand nombre de votes. Les éditions passées ont permis à certains projets de voir le jour comme la piste à rouleaux au parc Beauséjour, le parc pour tous au centre communautaire Saint-Pie-X et le parcours des Braves aux abords du sentier Le Littoral.
L’Association du cancer de l’Est du Québec (ACEQ) annonce que Christopher Coiteux est le parrain d’honneur de sa campagne corporative 2025.
Monsieur Coiteux invite d’ailleurs la communauté d’affaires de tout l’Est du Québec au lancement de la campagne qui aura lieu le jeudi 18 septembre lors d’un 5 à 7 à la Maison du Spaghetti de Rimouski.
Ce sera l’occasion de le rencontrer et de s’entretenir avec lui.
« Monsieur Coiteux a un profil sur mesure pour être le porte-parole de notre campagn
L’Association du cancer de l’Est du Québec (ACEQ) annonce que Christopher Coiteux est le parrain d’honneur de sa campagne corporative 2025.
Monsieur Coiteux invite d’ailleurs la communauté d’affaires de tout l’Est du Québec au lancement de la campagne qui aura lieu le jeudi 18 septembre lors d’un 5 à 7 à la Maison du Spaghetti de Rimouski.
Ce sera l’occasion de le rencontrer et de s’entretenir avec lui.
« Monsieur Coiteux a un profil sur mesure pour être le porte-parole de notre campagne. Car derrière chaque geste de générosité, il y a un cœur qui vient faire toute la différence et Christopher a choisi de marcher avec nous à nos côtés avec compassion et espoir en devenant le Parrain d’honneur de la campagne corporative 2025 et nous en sommes ravis », ajoute la directrice du Financement et des communications, madame Audréane Brillant.
Courtier immobilier résidentiel chez Remax à Rimouski, Christopher s’engage pleinement dans la cause de l’Association du cancer de l’Est du Québec en devenant parrain d’honneur de cette campagne corporative.
« Ce jeune homme d’affaires saura faire la différence et Christopher a d’ailleurs démontré sa solidarité et sa générosité envers les personnes touchées par le cancer avec un don au nom de la Fondation de la famille Coiteux permettant à l’Association de déployer le service Chez Martine sur l’ensemble du territoire de l’Association depuis le début de l’année 2025. La générosité est au cœur de la famille Coiteux », d’ajouter madame Brillant.
Simplifier l’implication
Monsieur Coiteux se dit très heureux d’occuper ces fonctions de parrain d’honneur.
« Cette année, j’ai décidé de m’impliquer! Ici on se serre les coudes pour soutenir, rassembler et agir! On se mobilise et on fait une vraie différence ici, chez nous. Mon rôle, c’est simple, c’est de rallier les entreprises d’ici, de créer des ponts et de simplifier l’implication parce que chaque geste compte. Les prochains mois s’annoncent inspirants, on travaille déjà sur plusieurs projets avec l’Association et j’ai vraiment hâte de vous en dire davantage. Si votre organisation veut embarquer, on se parle, on structure et on avance ensemble. J’ai la tête pleine d’idées, je suis rempli de motivation et j’ai hâte de vous rencontrer. On se dit à bientôt! »
Chaque année, l’Association du cancer de l’Est du Québec lance sa campagne corporative en sollicitant la générosité de la communauté d’affaires du Bas-Saint-Laurent, de la Côte-Nord, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. Les dons recueillis contribuent directement au mieux-être des personnes vivant avec le cancer et de leurs proches.
L’objectif financier de la campagne est de 70 000 $ pour 2025.
Les personnes désirant s’inscrire au lancement de la campagne corporative lors du 5 à 7 à la Maison du Spaghetti de Rimouski peuvent communiquer avec madame Dominique Dionne, adjointe administrative à l’Association, au numéro 418 724-0600, poste 2011.
La MRC de La Matapédia et la SADC de La Matapédia annoncent l’ouverture de la période d’inscription en vue du prochain Salon des artistes et des artisans de La Matapédia qui aura lieu les 15 et 16 novembre prochain à la salle communautaire d’Amqui.
Les personnes souhaitant s’inscrire doivent se procurer le formulaire d’inscription sur le site Internet de la MRC de La Matapédia (www.mrcmatapedia.qc.ca) ou sur la page Facebook du Salon.
Elles peuvent aussi obtenir la documentation en communi
La MRC de La Matapédia et la SADC de La Matapédia annoncent l’ouverture de la période d’inscription en vue du prochain Salon des artistes et des artisans de La Matapédia qui aura lieu les 15 et 16 novembre prochain à la salle communautaire d’Amqui.
Les personnes souhaitant s’inscrire doivent se procurer le formulaire d’inscription sur le site Internet de la MRC de La Matapédia (www.mrcmatapedia.qc.ca) ou sur la page Facebook du Salon.
Elles peuvent aussi obtenir la documentation en communiquant directement avec les organisateurs de l’événement.
Informations supplémentaires
La date limite pour faire parvenir le dossier d’inscription est le 30 septembre 2025. Le paiement total de l’inscription doit obligatoirement être transmis en même temps que le formulaire.
Les personnes souhaitant des informations supplémentaires peuvent s’adresser à Madame Karine Lévesque, conseillère en développement culturel à la MRC de La Matapédia, membre du comité organisateur, au 418 629-2053, poste 1036 ou à culture@mrcmatapedia.quebec.
Le Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent (CRD) annonce, au nom des partenaires de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire, les résultats des deux premiers appels à projets du volet 3 du Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, 2024–2026.
Ce volet vise notamment à soutenir des initiatives répondant aux priorités régionales identifiées dans le Plan régional de développement bioalimentaire promu par la Table de concertation bioalimen
Le Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent (CRD) annonce, au nom des partenaires de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire, les résultats des deux premiers appels à projets du volet 3 du Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent, 2024–2026.
Ce volet vise notamment à soutenir des initiatives répondant aux priorités régionales identifiées dans le Plan régional de développement bioalimentaire promu par la Table de concertation bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent.
Près de 3 M$ investis
Au total, 28 projets, représentant 4 562 000 $, ont été déposés lors des deux périodes d’appel.
Parmi ceux-ci, 19 (7 d’entreprises privées et 12 à portée collective) se sont qualifiés pour obtenir un financement, pour un montant total distribué par le Fonds de 935 204 $. En tenant compte de la contribution du milieu, le montant global des projets soutenus représente un investissement de près de 3 000 000 $ dans la région.
Des projets d’études, d’achats ou de mutualisation d’équipements ainsi que de mise en marché de proximité ont notamment été soutenus.
Parmi ceux-ci se trouvent :
L’implantation d’un atelier collectif de conditionnement bioalimentaire adapté au secteur mycologique et des produits forestiers non ligneux bas-laurentiens
La poursuite du développement de la filière du lin dans l’Est du Bas-Saint-Laurent
Le soutien à la croissance de la filière biologique
Le projet reconquête ovine de l’Est-du-Québec qui vise à stimuler la compétitivité des entreprises impliquées
Le démarrage de l’entreprise de fabrication de charcuteries artisanales Florent charcuterie
L’optimisation du conditionnement de grains biologiques par la Ferme Geonel.
« Les projets retenus témoignent de la vitalité des entreprises et des collectifs agricoles bas-laurentiens. La région a à cœur de se mobiliser pour l’agriculture. Grâce à l’implication des MRC, du gouvernement et de nos partenaires, le Fonds de soutien au développement bioalimentaire appuie des projets porteurs, en cohérence avec les besoins du territoire, afin de bâtir un secteur bioalimentaire et une région plus autonome », estime la présidente du Collectif régional de développement du Bas-Saint-Laurent, également préfète de la MRC de La Matapédia, Chantale Lavoie.
La préfète de la MRC de La Matapédia, Chantale Lavoie. (Photo courtoisie)
L’Entente sectorielle de développement bioalimentaire
Le Fonds de soutien au développement bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent 2024-2026 s’inscrit dans le cadre de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire 2024-2026.
Cette entente est initiée et financée par le gouvernement du Québec, Santé Québec – Établissement CISSS du Bas-Saint-Laurent, les huit MRC, le CRD, la Fédération de l’UPA, la Table de concertation bioalimentaire et les Saveurs du Bas-Saint-Laurent.
Deux appels de projets sont en cours dans le cadre de ce Fonds. Le premier soutient des projets répondant aux priorités régionales de développement du secteur bioalimentaire ; il est ouvert jusqu’au 26 septembre. Le second, dédié à l’innovation et aux nouvelles technologies dans ce secteur, est quant à lui ouvert jusqu’au 31 octobre 2025.
Les membres du comité Prix littéraire Jovette-Bernier ont retenu trois livres parmi ceux reçus pour l’année 2025 : « L’embouchure » de Myriam de Gaspé, « Écarté » de Michel Landry et « Parmi les femmes » d’Aimée Lévesque.
Le prix Jovette-Bernier s’adresse aux autrices et aux auteurs originaires du Bas-Saint-Laurent – Gaspésie- Îles-de-la-Madeleine ou habitant cette région depuis au moins cinq ans. Il vise à les encourager pour une parution récente exceptionnelle.
« Quoique la cuvée 2025 s
Les membres du comité Prix littéraire Jovette-Bernier ont retenu trois livres parmi ceux reçus pour l’année 2025 : « L’embouchure » de Myriam de Gaspé, « Écarté » de Michel Landry et « Parmi les femmes » d’Aimée Lévesque.
Le prix Jovette-Bernier s’adresse aux autrices et aux auteurs originaires du Bas-Saint-Laurent – Gaspésie- Îles-de-la-Madeleine ou habitant cette région depuis au moins cinq ans. Il vise à les encourager pour une parution récente exceptionnelle.
« Quoique la cuvée 2025 s’est avérée plus modeste que celle de l’an dernier, toutes les propositions nous ont captivés par le sérieux et l’intérêt suscité d’un couvert à l’autre », mentionne la responsable du comité des prix littéraires, Diane Chevrier.
Le prix rend hommage à Jovette-Bernier, journaliste, romancière et poétesse, née à Saint-Fabien, au Bas-Saint-Laurent. Une bourse de 1000 $ est offerte par la ville de Rimouski et le Salon du livre de Rimouski.
Dévoilement
Le nom du lauréat ou de la lauréate sera dévoilé lors de la conférence de presse prévue pour mercredi 22 octobre 2025. Le prix sera remis lors de l’ouverture officielle de la prochaine édition du Salon du livre de Rimouski, le jeudi 6 novembre 2025 à la Mezzanine Hydro-Québec.
La 60e édition du Salon du livre de Rimouski se tiendra du 6 au 9 novembre 2025 au Centre de congrès de l’Hôtel Rimouski.
Le Salon du livre de Rimouski est le plus ancien Salon du livre au Québec.
À cette période de l’année, alors que les jeunes goélands nés au printemps quittent leur nid ou s’apprêtent à le faire, il peut être fréquent d’en croiser quelques-uns en ville, au sol. On reconnait ces oiseaux juvéniles à leur plumage gris et il peut arriver que certains d’entre eux semblent hésitants à prendre leur envol.
Les passants peuvent alors y voir un animal en détresse, qui aurait besoin qu’on l’aide. Il est cependant primordial de prendre un pas de recul avant d’entreprendre des d
À cette période de l’année, alors que les jeunes goélands nés au printemps quittent leur nid ou s’apprêtent à le faire, il peut être fréquent d’en croiser quelques-uns en ville, au sol. On reconnait ces oiseaux juvéniles à leur plumage gris et il peut arriver que certains d’entre eux semblent hésitants à prendre leur envol.
Les passants peuvent alors y voir un animal en détresse, qui aurait besoin qu’on l’aide. Il est cependant primordial de prendre un pas de recul avant d’entreprendre des démarches directement auprès de l’animal, en validant auprès d’une ressource appropriée.
Cofondateur du refuge pour animaux sauvages, le Havre de la Faune, Mark-André Pépin indique que les gens vont avoir tendance à faire l’inverse. « C’est arrivé à de nombreuses reprises cette année. Des gens ont pris des animaux en charge et nous contactaient par la suite, alors que les animaux n’avaient pas nécessairement besoin d’aide. Chaque année, nous devons faire beaucoup de prévention là-dessus. »
Anthropomorphisme
Il explique qu’il est important de ne pas attribuer aux animaux des caractéristiques humaines, en faisant de l’anthropomorphisme. Un bébé oiseau seul, au sol, peut être considéré comme abandonné, sans que ce soit le cas. Ils sont alors recueillis par des personnes sont bien intentionnées, mais une mauvaise interprétation de ses besoins.
« Souvent, les gens ne savent pas s’ils doivent faire quelque chose ou non pour venir en aide à l’animal. Il y en a d’autres qui vont nous dire qu’ils ont été capables d’attraper l’animal sans difficulté et qu’il est gentil. Ce n’est pas parce qu’il est gentil, c’est parce qu’il est sous le choc », poursuit monsieur Pépin.
Il est également important de savoir que les chances de survie d’un jeune animal sauvage sont plus élevées lorsque ce dernier reste auprès de ses parents. « Au Havre, on est capable de reproduire un environnement, dans un enclos, qui va les garder en sécurité, contrairement au trafic de la ville, mais leurs chances demeurent plus élevées auprès de leurs parents, que ce soit pour la nourriture ou le comportement. »
Stress inutile
Mark-André Pépin rappelle que pour éviter de porter assistance à un animal qui n’en a pas besoin et ainsi éviter de lui causer un stress inutile, il est important de contacter le Havre de la Faune et d’attendre une réponse du refuge.
« On fait ça bénévolement, en parallèle de nos emplois. Nous sommes une petite équipe. Ça peut prendre un certain temps avant qu’on réponde. Les gens veulent rapidement venir en aide à l’animal qu’ils ont trouvé, mais au refuge, nous en avons plusieurs qui nécessitent notre attention, alors ça peut prendre un certain temps avant d’obtenir une réponse. »
Pour aider le refuge à se faire une idée de la situation, il est demandé de faire parvenir des photos et des vidéos de l’animal sur le Messenger du refuge.
« C’est comme ça qu’on pourra savoir si l’animal a vraiment besoin d’aide et si nous sommes en mesure de faire quelque chose pour lui. »
Un jeune goéland, qui avait encore son duvet, pris en charge par le Havre de la Faune au début de l’été.
(Photo Facebook – Havre de la Faune)
Secourir ou observer : les bons gestes à poser
Tous les cas rapportés au Havre de la Faune ne sont pas nécessairement de fausses alertes. Il peut arriver que des oisillons ou des oiseaux juvéniles tombent dans des endroits dangereux.
« Par exemple, nous avons recueilli un bébé qui était tombé aux alentours de la Chocolaterie Pâtisserie aux Bienfaits (à Rimouski). Il se promenait sur le trottoir. Il était tout près de l’avenue de la Cathédrale, où passent plusieurs voitures. Les toits étaient inaccessibles et il y avait des nids sur chacun d’entre eux, donc il était impossible de savoir lequel était le sien. Dans un cas comme celui-là, où la survie de l’oiseau est en péril, on va essayer de le prendre en charge, jusqu’à ce qu’il soit capable de voler », explique Mark-André Pépin.
Les protéger, pas les nourrir
Lorsque ce sera le cas, le goéland sera remis en liberté, à proximité du fleuve.
« Souvent, quand nous intervenons, c’est parce que les bébés ont encore leur duvet, ce qui signifie qu’à ce moment de leur vie, ça peut leur prendre plusieurs semaines ou plusieurs mois avant de prendre leur envol et d’être en mesure de se débrouiller tout seul. Il y a aussi des endroits où les parents pourront continuer de les protéger, mais pas nécessairement de les nourrir. On demande donc aux gens de nous contacter s’ils ont un doute, si l’animal est orphelin ou s’il semble blessé. »
Si l’animal a besoin d’aide, le refuge sera en mesure de prodiguer des conseils appropriés à sa prise en charge.
Il est possible de contacter le Havre de la Faune par Facebook (Messenger), via son site internet ou encore par téléphone au 418-896-1101.
La Sûreté du Québec confirme que monsieur Paul Aimé Lefrançois, 78 ans, de Rimouski, a été retrouvé sain et sauf peu avant 13 h dans un secteur boisé de la rue Saint-Pierre Est, à Rimouski.
Celui-ci sera transféré vers un centre hospitalier afin d’y recevoir les soins nécessaires.
La Sûreté du Québec remercie chaleureusement la population et les médias pour leur précieuse collaboration, qui a contribué à ce dénouement positif.
La Sûreté du Québec confirme que monsieur Paul Aimé Lefrançois, 78 ans, de Rimouski, a été retrouvé sain et sauf peu avant 13 h dans un secteur boisé de la rue Saint-Pierre Est, à Rimouski.
Celui-ci sera transféré vers un centre hospitalier afin d’y recevoir les soins nécessaires.
La Sûreté du Québec remercie chaleureusement la population et les médias pour leur précieuse collaboration, qui a contribué à ce dénouement positif.
La Sûreté du Québec confirme que plusieurs incidents sont survenus depuis dimanche, fin de journée, dans le secteur de Rimouski-Neigette et de La Mitis.
Le porte-parole de la SQ, Frédéric Deshaies, rapporte que la Sûreté du Québec s’est déplacée sur la route 132, à proximité de la route Hudon, à Sainte-Angèle-de-Mérici, dimanche vers 16 h, au sujet d’un incendie de véhicule.
Il ne serait pas question d’un incendie d’origine criminel.
(Photo courtoisie Sûreté du Québec)
Collision à Sai
La Sûreté du Québec confirme que plusieurs incidents sont survenus depuis dimanche, fin de journée, dans le secteur de Rimouski-Neigette et de La Mitis.
Le porte-parole de la SQ, Frédéric Deshaies, rapporte que la Sûreté du Québec s’est déplacée sur la route 132, à proximité de la route Hudon, à Sainte-Angèle-de-Mérici, dimanche vers 16 h, au sujet d’un incendie de véhicule.
Il ne serait pas question d’un incendie d’origine criminel.
(Photo courtoisie Sûreté du Québec)
Collision à Saint-Anaclet
Une collision impliquant un véhicule et un orignal est survenue en fin de soirée, dimanche, dans le secteur de Saint-Anaclet à Rimouski.
« C’est survenu vers 22 h 30, sur l’autoroute 20, au kilomètre 620. Le conducteur a subi des blessures qui ne font pas craindre pour sa vie. L’orignal est bien sûr décédé », mentionne le porte-parole Deshaies.
Collision matérielle à Saint-Joseph-de-Lepage
Une seconde collision, cette fois matérielle, est survenue sur la route 132, à Saint-Joseph-de-Lepage.
« C’est aussi survenu vers 22 h 30 dimanche. Il est question d’une collision matérielle, sans blessé, impliquant deux véhicules. »
Collision à Sainte-Blandine
Une autre collision entre un véhicule et un chevreuil est survenue, lundi matin vers 7 h, sur la route des Pionniers dans le secteur de Sainte-Blandine.
« Le conducteur du véhicule aurait subi des blessures mineures », conclut Frédéric Deshaies.
MISE À JOUR : Monsieur Lefrançois a été retrouvé sain et sauf.
La Sûreté du Québec demande l’aide du public pour retrouver Paul Aimé Lefrançois, 78 ans, de Rimouski autrefois de Matane.
Il a été vu pour la dernière fois le 31 août vers 17h30, alors qu’il se trouvait à pied dans le secteur de l’avenue Belzile à Rimouski.
Ses proches ont des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité.
Description
Taille : 1,60 m (5 pi 2 po)
Poids : 56 kg (123 lb)
Cheveux : Blanc
Yeu
MISE À JOUR : Monsieur Lefrançois a été retrouvé sain et sauf.
La Sûreté du Québec demande l’aide du public pour retrouver Paul Aimé Lefrançois, 78 ans, de Rimouski autrefois de Matane.
Il a été vu pour la dernière fois le 31 août vers 17h30, alors qu’il se trouvait à pied dans le secteur de l’avenue Belzile à Rimouski.
Ses proches ont des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité.
Description
Taille : 1,60 m (5 pi 2 po)
Poids : 56 kg (123 lb)
Cheveux : Blanc
Yeux : Bleu
Particularité : M. Lefrançois se déplace en marchette.
La dernière fois qu’il a été vu, il portait un pantalon bleu, une veste en jeans foncé et des souliers gris avec des semelles blanches.
Paul Aimé Lefrançois a été vu pour la dernière fois le 31 août vers 17 h 30. (Photo SQ)
La Sûreté du Québec demande aux résidents de Rimouski de bien vouloir vérifier leurs terrains, dépendances et caméras de surveillance, notamment :
sous les galeries,
les remises et cabanons,
les garages,
ainsi que tout endroit où une personne pourrait s’abriter,
de même que les enregistrements de caméras de sécurité afin de repérer tout indice.
Chaque vérification, même si elle semble anodine, peut s’avérer déterminante pour retrouver monsieur Lefrançois.
Toute personne qui apercevrait Paul Aimé Lefrançois est priée de communiquer avec le 911.
De plus, toute information pouvant permettre de retrouver Paul Aimé Lefrançois peut être communiquée, confidentiellement, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.
La Sûreté du Québec confirme que deux véhicules ont été incendiés, vers 3 h 45 dans la nuit de samedi à dimanche, sur l’avenue du Sanatorium à Mont-Joli.
« Les véhicules étaient stationnés dans une cour de résidence de deux logements. Il n’y avait personne à l’intérieur des véhicules et il n’y a pas eu de blessé. Par mesure préventive, deux résidences voisines ont été évacuées, le temps de maitriser l’incendie », rapporte la sergente porte-parole de la SQ, Béatrice Dorsainville.
L’incendie
La Sûreté du Québec confirme que deux véhicules ont été incendiés, vers 3 h 45 dans la nuit de samedi à dimanche, sur l’avenue du Sanatorium à Mont-Joli.
« Les véhicules étaient stationnés dans une cour de résidence de deux logements. Il n’y avait personne à l’intérieur des véhicules et il n’y a pas eu de blessé. Par mesure préventive, deux résidences voisines ont été évacuées, le temps de maitriser l’incendie », rapporte la sergente porte-parole de la SQ, Béatrice Dorsainville.
L’incendie a d’ailleurs été maitrisé aux alentours de 4 h 30.
« Les personnes évacuées ont alors pu réintégrer leur logis. »
Selon la Sûreté du Québec, il s’agirait d’un incendie de nature criminel et une enquête est en cours. Aucune arrestation n’a été effectuée pour le moment.
Le drapeau du Québec de la tour centrale de l’hôtel du Parlement sera mis en berne le samedi 30 août, de l’aube au crépuscule, à l’occasion des funérailles de l’écrivain, dramaturge et éditeur, Victor-Lévy Beaulieu, décédé le 9 juin dernier.
La présidente de l’Assemblée nationale du Québec, Nathalie Roy, en a fait l’annonce avec le premier ministre François Legault.
Des « Funérailles régionales populaires »
Rappelons que s’il n’a pas eu droit à une cérémonie nationale, Victor-Lévy Bea
Le drapeau du Québec de la tour centrale de l’hôtel du Parlement sera mis en berne le samedi 30 août, de l’aube au crépuscule, à l’occasion des funérailles de l’écrivain, dramaturge et éditeur, Victor-Lévy Beaulieu, décédé le 9 juin dernier.
La présidente de l’Assemblée nationale du Québec, Nathalie Roy, en a fait l’annonce avec le premier ministre François Legault.
Des « Funérailles régionales populaires »
Rappelons que s’il n’a pas eu droit à une cérémonie nationale, Victor-Lévy Beaulieu aura plutôt des « Funérailles régionales populaires » le 30 août à 15 h à l’église Notre-Dame-des-Neiges de Trois-Pistoles.
L’auteur Dominic Champagne en signera la mise en scène, tandis que le comédien Yves Desgagnés animera l’événement, auquel se joindront plusieurs auteurs, acteurs, chanteurs et musiciens de la scène québécoise, ainsi que des parents, amis et complices du dramaturge et éditeur.
Victor-Lévy Beaulieu a marqué le Québec par ses écrits. (Photo courtoisie)
Le grand public est invité à assister à la cérémonie. Un total de 250 billets a été mis à la disposition des citoyens et admirateurs de Victor-Lévy Beaulieu, en vente sur la plateforme Le Point de Vente et au magasin Kadorama, situé sur la rue Jean-Rioux à Trois-Pistoles.
La cérémonie sera suivie d’une réception au Parc du 325e de la Ville de Trois-Pistoles, ouverte aux invités et aux participants à l’hommage.
Étant donné le caractère festif de la journée, ses organisateurs suggèrent aux gens d’opter pour « un code vestimentaire estival, chic et décontracté, avec chapeau, que VLB affectionnait tant. Les chaussures Converse et les cravates de Snoopy sont les bienvenues. »
Considéré comme l’un des plus grands auteurs de l’histoire du Québec, Victor-Lévy Beaulieu vivait toujours à Trois-Pistoles. En plus de ses écrits percutants, il a marqué le milieu de la télévision grâce à ses téléromans « Race de monde », « L’Héritage », « Montréal P.Q » et « Bouscotte », tous diffusés à Radio-Canada.
Grand défenseur de l’indépendance du Québec, il a aussi fondé les Éditions VLB et les Éditions Trois-Pistoles, où ses œuvres ont remporté une multitude de prix.
La 10e édition du Parcours Parkinson Bas-Saint-Laurent se tiendra le samedi 20 septembre prochain au parc Beauséjour de Rimouski, en compagnie de Marie-Josée Pineault, à titre de proche aidante et porte-parole de cette campagne.
L’événement vise à solliciter l’appui de tous ceux qui souhaitent exprimer leur solidarité à l’égard despersonnes touchées par la maladie de Parkinson ainsi qu’à leurs proches. De plus, mettre en lumière la portée de l’accompagnement des proches auprès de la personne
La 10e édition du Parcours Parkinson Bas-Saint-Laurent se tiendra le samedi 20 septembre prochain au parc Beauséjour de Rimouski, en compagnie de Marie-Josée Pineault, à titre de proche aidante et porte-parole de cette campagne.
L’événement vise à solliciter l’appui de tous ceux qui souhaitent exprimer leur solidarité à l’égard des personnes touchées par la maladie de Parkinson ainsi qu’à leurs proches. De plus, mettre en lumière la portée de l’accompagnement des proches auprès de la personne touchée par la maladie fait partie des objectifs de cette 10e édition.
Parkinson Bas-Saint-Laurent explique qu’une participation au Parcours contribue à la bonification des services offerts aux personnes de la région confrontées à la maladie de Parkinson et à leurs proches, mais aussi au financement de projets de recherche innovants, par le biais du Fonds de Recherche du Québec – Santé (FRQS).
La maladie de Parkinson est une maladie chronique qui affecte progressivement la capacité à produire des mouvements et dont l’incidence au Canada est en forte progression.
L’âge moyen des personnes diagnostiqué se situe autour de 60 ans, mais les personnes de 30 ou 40 ans ne sont pas non plus à l’abri de cette maladie, puisque le Parkinson précoce (avant 40 ans), touche 5 à 10 % des personnes diagnostiquées et que 20 % ont moins de 50 ans.
Horaire du 20 septembre
Le comité organisateur accueillera les sympathisants au parc Beauséjour de Rimouski le samedi 20 septembre prochain, à compter de 12 h 30. Une randonnée symbolique est prévue à 14 h. De l’animation, des rafraîchissements et des prix de participation agrémenteront la rencontre.
Il est possible de participer en ligne dès maintenant en accédant directement à la plateforme de don CanaDon du Parcours Parkinson Bas-Saint-Laurent 2025 ou en passant par la page d’accueil du site Web de Parkinson Bas-Saint-Laurent.
Il est également possible d’appuyer la cause en faisant un don par chèque, libellé au nom de Parkinson Bas-Saint-Laurent, en l’acheminant par voie postale à l’adresse suivante : Parkinson Bas-Saint-Laurent, 180 Évêché Ouest, Local 97 Rimouski (Québec) G5L 4H9.
Pour informations, téléphoner au 418-722-0600 ou au 418-732-2086.
La MRC de La Matapédia conclura l’initiative « La grande tournée matapédienne 2025 », le samedi 20 septembre prochain, avec une journée portes ouvertes à son centre administratif d’Amqui et une cérémonie d’accueil des nouveaux arrivants qui se déroulera à la salle multifonctionnelle de Lac-au-Saumon.
Lors des portes ouvertes au centre administratif, prévues de 15 h à 17 h, les visiteurs pourront en apprendre davantage sur l’organisation et les services offerts par l’équipe de professionnels.
La MRC de La Matapédia conclura l’initiative « La grande tournée matapédienne 2025 », le samedi 20 septembre prochain, avec une journée portes ouvertes à son centre administratif d’Amqui et une cérémonie d’accueil des nouveaux arrivants qui se déroulera à la salle multifonctionnelle de Lac-au-Saumon.
Lors des portes ouvertes au centre administratif, prévues de 15 h à 17 h, les visiteurs pourront en apprendre davantage sur l’organisation et les services offerts par l’équipe de professionnels.
À compter de 17 h à la salle multifonctionnelle de Lac-au-Saumon, nouveaux arrivants et Matapédiens sont invités à tisser des liens lors d’une activité festive et animée.
Dans les derniers mois, trois activités ont eu lieu et ont permis aux participants de découvrir le territoire et ses attraits et de faire connaissance avec des personnes inspirantes et impliquées dans leur communauté.
Les tournées du secteur ouest, du secteur est et du secteur centre ont attiré plusieurs dizaines de personnes qui ont notamment visité une éolienne à Saint-Damase, découvert le parcours de via ferrata et le belvédère de la chute à Philomène à Saint-Alexandre-des-Lacs, et parcouru un sentier du Parc régional du Lac-Matapédia.
Conclusion de la tournée
La conseillère en développement, promotion et attractivité à la MRC de La Matapédia, Isabelle Pinard, ainsi que la préfète, Chantale Lavoie, espèrent que cette dernière journée de « La grande tournée matapédienne » contribuera « au réseautage interculturel et permettra de faire connaître l’implication de la MRC auprès des citoyens et des municipalités du territoire. »
Des participants aux activités organisées dans le cadre de « La grande tournée matapédienne 2025 ». (Photo courtoisie – MRC de La Matapédia)
« La grande tournée matapédienne » est une initiative de la MRC de La Matapédia et le projet profite du soutien financier du programme Accueillir en français porté par la Fédération québécoise des municipalités (FQM) et le gouvernement du Québec.
Informations supplémentaires
Les deux activités du 20 septembre sont gratuites et ouvertes aux nouveaux arrivants ainsi qu’à toute la population.
L’inscription est cependant obligatoire : elle peut être faite en ligne ou au 418 629-2053 poste 1103.
Le Marché familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet-de-Lessard est officiellement en faillite depuis le mercredi 27 août, qui est aussi la date de sa fermeture officielle. L’information a finalement été confirmée par le syndic Raymond Chabot.
« Cette faillite occasionne la fin des activités de l’entreprise. Le syndic a eu l’obligation de sécuriser les accès, de faire changer les serrures et de prendre possession de l’inventaire du Marché pour sécuriser ses actifs », explique Guyllaume Amiot du synd
Le Marché familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet-de-Lessard est officiellement en faillite depuis le mercredi 27 août, qui est aussi la date de sa fermeture officielle. L’information a finalement été confirmée par le syndic Raymond Chabot.
« Cette faillite occasionne la fin des activités de l’entreprise. Le syndic a eu l’obligation de sécuriser les accès, de faire changer les serrures et de prendre possession de l’inventaire du Marché pour sécuriser ses actifs », explique Guyllaume Amiot du syndic.
La dette totale s’élève à environ 470 000 $, dont près de 50 000 $ envers Sobeys et d’autres fournisseurs. Les principaux créanciers sont la BDC, la SADC de la Neigette et la MRC Rimouski-Neigette. Une assemblée des créanciers est prévue le 18 septembre.
Monsieur Amiot précise que cette faillite est due à un revenu insuffisant pour assurer l’avenir du commerce.
« On pourrait être tenté d’y voir un lien rapide avec la venue du Costco à Rimouski, mais ce n’est pas le cas. Cela fait plusieurs mois que les revenus sont moins importants. On peut toutefois supposer que l’arrivée du Costco ne permettait pas d’envisager des revenus supérieurs dans le futur. »
Trop tôt pour parler d’une relance
Questionné sur la possibilité d’une relance, monsieur Amiot mentionne qu’il est encore trop tôt pour aborder cette question.
« Par contre, tous les partenaires, les créanciers principaux et la MRC ont été contactés pour discuter de la situation. »
Le Marché Familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet, mercredi matin. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Il ajoute que la prochaine étape consiste en la mise en vente des actifs, au terme d’une demande de soumission publique.
« Toutes les offres vont être analysées dans le cadre du processus. Justement, la MRC, la SADC et la Banque de développement du Canada sont des créanciers principaux, qui auront un certain mot à dire sur les ventes potentielles qui pourraient avoir lieu sur ces actifs. »
Mercredi matin, le maire de Saint-Anaclet-de-Lessard, Francis St-Pierre, indiquait que la municipalité n’était pas au courant de problématiques vécues par le Marché.
« Je ne connais pas les fins détails ou les chiffres, mais l’un des anciens propriétaires était mon ami et je connais bien le fondateur de l’entreprise. Ce commerce a toujours bien fonctionné à Saint-Anaclet, alors c’est certain que nous allons travailler fort pour trouver un repreneur, mais nous n’avons pas eu de contact avec la propriétaire, comme quoi le commerce vivrait des problématiques. On est vraiment dans le néant », mentionnait alors monsieur St-Pierre.
C’est cette fin de semaine, du jeudi 28 août au dimanche 31 août 2025 que se tiendra la 39e édition du Festi Jazz international de Rimouski.
Pour marquer le début des festivités, le directeur général et artistique de l’événement, Sébastien Fournier, présente quelques-uns des moments forts qui ponctueront l’édition 2025.
Monsieur Fournier réitère le fait que selon lui, il s’agit de l’une des meilleures programmations du festival, depuis son arrivée au sein de l’organisation en 2020.
« À
C’est cette fin de semaine, du jeudi 28 août au dimanche 31 août 2025 que se tiendra la 39e édition du Festi Jazz international de Rimouski.
Pour marquer le début des festivités, le directeur général et artistique de l’événement, Sébastien Fournier, présente quelques-uns des moments forts qui ponctueront l’édition 2025.
Monsieur Fournier réitère le fait que selon lui, il s’agit de l’une des meilleures programmations du festival, depuis son arrivée au sein de l’organisation en 2020.
« À mon avis, un moment fort de la programmation 2025 sera le retour de Betty Bonifassi, qui était au festival il y a plusieurs années. On pourra aussi compter sur la présence de Mohini Dey, qui est l’une des meilleures bassistes de la dernière décennie à travers le monde. Elle n’a que 27 ans et on est très chanceux de l’avoir. Je pense que ce sera un grand spectacle. »
Le 39e Festi Jazz international de Rimouski accueillera en exclusivité Mohini Dey, considérée comme une virtuose de la basse électrique. (Photo fournie par Mohini Dey)
Place à la relève
Encore cette année, le festival accordera une place de choix aux artistes émergents, notamment avec la tenue du Grand Prix de la relève Festi Jazz – KSA, Avocats et Notaires 2025, un concours destiné à la relève musicale jazz pour les aspirants professionnels, qui sont jugés sur prestation lors du festival.
« C’est intéressant cette année, parce que le niveau est très élevé. C’est donc une relève québécoise en jazz de très fort niveau. C’est un calibre que l’on voit très rarement et ils sont tous aussi bons les uns que les autres, alors nous sommes très chanceux de les avoir. Ce sera le dimanche après-midi, sous le chapiteau. Sinon, nous aurons des groupes rimouskois, comme Polisson, mais aussi le groupe Lubie, qui sort du Cégep de Rimouski. »
Raphaël Cousineau-Morin et Sébastien Fournier sont particulièrement fiers de la programmation du 39e Festi Jazz international de Rimouski. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)
Un aspect nouveau que Sébastien Fournier considère comme marquant est la création d’un partenariat entre le festival et le Club St-Louis.
« Nous sommes vraiment contents de ce partenariat, parce que le Club va s’occuper des loges de nos artistes, ce qui nous assure que ces loges seront aux saveurs d’ici, ce qui est vraiment chouette. En plus, nous pourrons faire usage de l’emplacement du Club, pour y tenir des performances, dont le vendredi pour l’apéro et le samedi sur l’heure du dîner. »
Il est possible de consulter la programmation complète du festival, sur le site internet de l’organisation.
Le Marché familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet-de-Lessard serait sur le point de fermer ses portes, si on en croit les informations qui circulent à ce sujet. Sa propriétaire, Marie-Pierre Giasson, refuse de commenter le dossier, référant Le Soir.ca au syndic Raymond Chabot.
Le maire de Saint-Anaclet et préfet de Rimouski-Neigette, Francis St-Pierre, indique avoir été mis au courant de la situation. Il précise toutefois ne pas avoir discuté de la situation avec madame Giasson, bien que le doss
Le Marché familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet-de-Lessard serait sur le point de fermer ses portes, si on en croit les informations qui circulent à ce sujet. Sa propriétaire, Marie-Pierre Giasson, refuse de commenter le dossier, référant Le Soir.ca au syndic Raymond Chabot.
Le maire de Saint-Anaclet et préfet de Rimouski-Neigette, Francis St-Pierre, indique avoir été mis au courant de la situation. Il précise toutefois ne pas avoir discuté de la situation avec madame Giasson, bien que le dossier fasse partie du portefeuille d’investissements de la MRC.
« Si le marché ferme, nous devrons travailler fort pour trouver un repreneur. C’est un commerce dont nous avons besoin, parce que nous n’en avons pas douze dans le genre à Saint-Anaclet. Même si nous avons une population de 3 000 habitants, nous n’avons pas plusieurs commerces de proximité, alors nous devons pouvoir conserver ceux que nous avons », indique monsieur St-Pierre.
Lors de la visite du Soir.ca sur place, mercredi matin, la porte d’entrée du commerce était verrouillée. Il n’y avait pas d’indications comme quoi le Marché familial serait fermé de façon définitive. Sa page Facebook a aussi été fermée.
Rien dans la porte du Marché Familial/Boni-Soir de Saint-Anaclet n’évoquait sa fermeture, mercredi matin. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Je ne connais pas les fins détails ou les chiffres, mais l’un des anciens propriétaires était mon ami et je connais bien le fondateur de l’entreprise. Ce commerce a toujours bien fonctionné à Saint-Anaclet, alors c’est certain que nous allons travailler fort pour trouver un repreneur, mais nous n’avons pas eu de contact avec la propriétaire, comme quoi le commerce vivrait des problématiques. On est vraiment dans le néant », précise Francis St-Pierre.
Coopérative
Le coordonnateur d’Action Populaire Rimouski-Neigette, Michel Dubé, en a aussi fait mention dans une publication Facebook. Contacté à ce sujet, monsieur Dubé rapporte qu’il fréquentait régulièrement l’épicerie de la route principale Est et que c’est ainsi qu’il a obtenu l’information.
Il ajoute que cela fait maintenant un mois que la fermeture est annoncée et lance l’idée d’y instaurer une coopérative alimentaire, dans laquelle il serait prêt à s’impliquer.
La Ville d’Amqui invite sa population à l’inauguration du nouvel hôtel de ville et de l’Espace sportif Desjardins, le samedi 27 septembre prochain.
L’événement débutera à 9 h 30 avec un discours d’inauguration et se poursuivra de 10 h à midi avec des visites guidées du nouvel hôtel de ville, maintenant situé au 55, rue du Carrefour-Sportif.
La mairesse d’Amqui, Sylvie Blanchette, estime qu’il est important d’organiser un événement du genre pour les habitants de sa ville.
« On veut prése
La Ville d’Amqui invite sa population à l’inauguration du nouvel hôtel de ville et de l’Espace sportif Desjardins, le samedi 27 septembre prochain.
L’événement débutera à 9 h 30 avec un discours d’inauguration et se poursuivra de 10 h à midi avec des visites guidées du nouvel hôtel de ville, maintenant situé au 55, rue du Carrefour-Sportif.
La mairesse d’Amqui, Sylvie Blanchette, estime qu’il est important d’organiser un événement du genre pour les habitants de sa ville.
« On veut présenter aux citoyens d’Amqui leur hôtel de ville, parce que c’est la maison des citoyens. On veut qu’ils puissent la visiter et voir à quoi elle ressemble », explique-t-elle.
Rappelons qu’en temps normal, les citoyens n’ont pas l’option de circuler n’importe où à l’intérieur de l’hôtel de ville. L’événement du 27 septembre sera ainsi une occasion spéciale de découvrir l’ensemble des lieux.
Outre les espaces normalement inédits de l’hôtel de ville, les Amquiens pourront aussi prendre connaissance des emplacements qui ont été créés pour eux, comme l’accueil, où s’effectuera la gestion des permis ou encore le paiement de taxes.
S’approprier l’endroit
Le 27 septembre sera aussi l’inauguration de l’Espace sportif Desjardins.
« On procédera à l’inauguration des plateaux sportifs, dans la cour du Carrefour, qui est complètement refait et qui a un nouveau bloc sanitaire. On pourra également inaugurer le nouveau parc de planche à roulettes : des spécialistes seront sur place pour faire des démonstrations et expliquer comment faire une bonne utilisation des lieux. Enfin, ce sera aussi l’inauguration du terrain de basket », poursuit madame Blanchette.
Un premier atelier de planche à roulettes se tiendra dans l’avant-midi, à 10 h 30, en compagnie de Comeback skateboards. Il s’agira d’un atelier inclusif, ouvert à tous, pour lequel il sera possible de s’inscrire en ligne.
Sur l’heure du midi, jusqu’à 13 h, les citoyens sont invités à apporter leur pique-nique pour le dîner. Des démonstrations, entre autres de planche à roulettes et de patins à roues alignées, se feront au parc de planche à roulettes. D’autres ateliers seront donnés vers 13 h et une partie amicale de basketball est prévue sur le nouveau terrain vers 13 h 30.
La mairesse d’Amqui, Sylvie Blanchette. (Photo courtoisie)
Lors de la journée du 27 septembre, la mairesse d’Amqui souhaite que les gens prennent conscience des différentes activités possibles à l’Espace sportif.
« On souhaite qu’ils s’approprient les lieux et développent le réflexe de venir s’y déposer. On veut qu’ils en profitent, autant pour s’y amuser que pour s’y asseoir. Des zones d’ombres ont aussi été aménagées pour les personnes qui se rendront sur place pour lire, relaxer ou regarder les plateaux sportifs. Il y a donc plusieurs utilisations qui pourront y être faites, autant pour les jeunes que les moins jeunes. »
Notons que toutes les activités présentées dans le cadre de cet événement sont gratuites et ouvertes à tous.
L’interdiction des cellulaires et des appareils mobiles, instaurée par le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, qui sera en vigueur dès la rentrée 2025 dans les écoles de la province, ne s’adresse pas aux membres du personnel de ces mêmes écoles.
Si le Journal de Québec rapporte que certains établissements, notamment à Montréal, ont fait parvenir des consignes strictes au personnel enseignant, stipulant que les appareils devront être rangés sous peine de sanctions, le Centre de service
L’interdiction des cellulaires et des appareils mobiles, instaurée par le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, qui sera en vigueur dès la rentrée 2025 dans les écoles de la province, ne s’adresse pas aux membres du personnel de ces mêmes écoles.
Si le Journal de Québec rapporte que certains établissements, notamment à Montréal, ont fait parvenir des consignes strictes au personnel enseignant, stipulant que les appareils devront être rangés sous peine de sanctions, le Centre de services scolaire (CSS) des Phares choisit plutôt de sensibiliser les adultes aux réalités des plus jeunes.
C’est ce qu’indique la conseillère en communication du CSS des Phares, Zoé Ross-Lévesque.
« Les directions d’école ont sensibilisé leur personnel à éviter l’utilisation du cellulaire en présence des élèves, afin de mieux les soutenir dans ce nouveau changement de leur vie scolaire », mentionne madame Ross-Lévesque qui réitère que le règlement d’interdiction s’applique uniquement aux élèves.
Du côté du Centre de services scolaire des Monts-et-Marées, la directrice générale, Marie-Pierre Guénette, rapporte que la question sera abordée avec les directions du centre le 16 septembre prochain.
« Nous souhaitons conscientiser notre personnel à ne pas utiliser leurs cellulaires en présence d’élèves. »
Elle ajoute que le personnel de l’École secondaire Armand-Saint-Onge d’Amqui a déjà pris cette décision.
Après avoir disparu du paysage de la MRC en 2018, le réseau Accorderie est de retour sur le territoire de Rimouski-Neigette grâce aux efforts d’un comité qui œuvre en ce sens depuis le printemps 2024.
Ce même comité avait alors débuté une campagne de financement, dans le but d’amasser 5000 $, soit le montant nécessaire à l’obtention de la franchise d’Accorderie. Cet objectif a depuis été atteint, lui permettant ainsi d’enregistrer, en avril dernier, l’Accorderie Rimouski-Neigette au registre
Après avoir disparu du paysage de la MRC en 2018, le réseau Accorderie est de retour sur le territoire de Rimouski-Neigette grâce aux efforts d’un comité qui œuvre en ce sens depuis le printemps 2024.
Ce même comité avait alors débuté une campagne de financement, dans le but d’amasser 5000 $, soit le montant nécessaire à l’obtention de la franchise d’Accorderie. Cet objectif a depuis été atteint, lui permettant ainsi d’enregistrer, en avril dernier, l’Accorderie Rimouski-Neigette au registre des entreprises.
Le retour de l’Accorderie était aussi l’occasion de rapatrier à Rimouski les membres qui se joint à celle de La Matapédia.
« Le 30 avril, nous avons procédé au transfert des membres qui étaient dans l’Accorderie de La Matapédia et qui attendaient de rejoindre celle de Rimouski. Nous sommes donc en fonction depuis cette date », précise le président du conseil d’administration provisoire de l’Accorderie Rimouski-Neigette, Dominic Parisé.
Inauguration officielle
Même si l’organisme est en fonction depuis quelques mois et qu’il compte déjà 145 membres, une fête d’inauguration pour souligner le tout est prévue le mois prochain.
L’événement se tiendra au centre communautaire de Saint-Robert, situé au 358 de l’avenue Sirois, le jeudi 18 septembre dès 17 h 30. C’est à ce moment-là que sera élu le CA de l’organisme.
« Avant l’assemblée générale de fondation, de petites bouchées seront servies sur place. En ce qui concerne l’assemblée, seuls les membres auront le droit de voter, mais toute la population est invitée à y assister. Ensuite, de 19 h à 22 h, ce sera l’inauguration festive de l’Accorderie : il y aura des prix de présence et de la musique de Raymond Allard, qui assurera l’animation de la soirée. On tiendra aussi un tirage moitié-moitié et des membres de l’Accorderie présenteront divers types d’animation au cours de la soirée. »
Notons que la fête d’inauguration est gratuite et ouverte à tous.
Le réseau des Accorderies
Rappelons que les Accorderies sont des organismes d’échange de services entre individus, qui visent à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale. Les membres d’une Accorderie peuvent s’échanger 1200 services possibles, dans un système où le temps est utilisé comme monnaie d’échange. Ils cumulent des heures dans une banque de temps qui leur servent ensuite à s’offrir des services offerts par d’autres membres.
L’aide pour l’entretien de plantes fait partie des services que des membres d’une Accorderie peuvent s’échanger.
Dans la continuation de sa lutte à l’exclusion sociale, les inscriptions à l’Accorderie se font uniquement en personne.
L’Université du Québec à Rimouski (UQAR) amorce cette semaine son trimestre d’automne 2025. Cette rentrée marquera le début de plusieurs nouveautés pour l’Université.
Le recteur de l’UQAR, François Deschênes, mentionne cependant qu’un aspect demeure le même, chaque année.
« La rentrée universitaire, dans la vie des étudiants, est toujours un moment magique. Il y a beaucoup d’énergie dans l’air, parce qu’après s’être reposé cet été, plusieurs sont de retour pour une deuxième, une troisième
L’Université du Québec à Rimouski (UQAR) amorce cette semaine son trimestre d’automne 2025. Cette rentrée marquera le début de plusieurs nouveautés pour l’Université.
Le recteur de l’UQAR, François Deschênes, mentionne cependant qu’un aspect demeure le même, chaque année.
« La rentrée universitaire, dans la vie des étudiants, est toujours un moment magique. Il y a beaucoup d’énergie dans l’air, parce qu’après s’être reposé cet été, plusieurs sont de retour pour une deuxième, une troisième année d’étude et parfois même plus. Ils sont contents de retrouver leur collègue. Les nouveaux étudiants, eux, découvrent l’université et souvent c’est un moment auquel ils ont bien hâte. Il peut y avoir un stress relié à l’aspect nouveauté, mais c’est surtout un moment joyeux. »
Le recteur de l’UQAR, François Deschênes (Photo Le Soir.ca)
Il ajoute que ce sentiment est aussi partagé par le personnel de l’établissement.
Plusieurs nouveautés marquantes
Du côté de ce qui est nouveau, le recteur mentionne notamment le lancement d’un nouveau baccalauréat en administration, à l’Antenne de Baie-Comeau. Il précise qu’il reste des places dans ce programme et invite les gens intéressés à s’inscrire, pendant qu’il est encore possible de le faire.
« Nous allons aussi accueillir la première cohorte du doctorat en sciences infirmières. C’est un programme conjoint avec l’Université du Québec à Chicoutimi, l’Université du Québec en Outaouais et l’Université du Québec à Trois-Rivières. Il s’agit d’une nouveauté qui nous permettra de former, carrément, la relève professorale, dans un secteur qui en a bien besoin, parce qu’en ayant les formateurs, nous aurons ensuite la possibilité de former plus d’infirmières. C’est l’objectif. »
Le lancement du doctorat en psychologie l’an dernier permet aussi à l’Université de présenter une autre nouveauté.
« Les étudiants qui faisaient partie de la première cohorte sont maintenant en deuxième année. Pour ces étudiants, nous avons mis en place une nouvelle clinique universitaire de psychologie. Elle servira à les former, eux qui vont éventuellement devenir psychologues. C’est donc un contexte de formation qui est réellement pratique et qui nous permet d’offrir des services à la population du Bas-Saint-Laurent. On fait donc d’une pierre deux coups. »
Le cheminement en gestion des opérations maritimes et de la chaîne logistique, qui s’inscrit dans le cadre du baccalauréat en administration des affaires de l’UQAR, constitue une autre nouveauté du trimestre d’automne.
Finalement, le nouveau pavillon de l’UQAR, où sera enseignée la médecine vétérinaire, sera prêt au cours de l’automne.
Une rentrée sans crise du logement
Monsieur Deschênes se réjouit du fait que la rentrée automnale de 2025 ne sera pas marquée par un manque de logements étudiants.
L’UTILE a complété la construction d’un immeuble de quatre étages de 155 appartements au coût de 37 M$ sur la rue Alcide-C.-Horth à Rimouski
« Nous avons travaillé fort et nous aurons de nouvelles résidences étudiantes qui seront livrées prochainement sur la rue Notre-Dame. Nous en aurons, un peu plus tard sur la 2e rue, pour un total de 134 nouvelles places en résidence à L’UQAR. C’est sans compter le partenariat que nous avons avec UTILE, qui représente 180 places supplémentaires sur la rue Alcide-C. -Horth. Pour nous, le pire de la crise du logement pour nos étudiants est derrière nous. Nous avons de place pour les accueillir et nous en sommes bien content. »
Une résidente de Saint-Alexandre-des-Lacs, Véronique Fournier, alias la Rose du Lac-Pitre, participera en octobre 2026 au rallye Roses des Sables.
Ce rallye, dont la première édition remonte à l’année 2001, réunit chaque année 250 femmes de tout âge et de toute nationalité pour une course d’orientation dans le désert du Maroc.
Il s’agit d’une expérience 100 % féminine, qui œuvre en soutien à quatre causes : le Club des petits déjeuners, l’association Enfants du Désert, l’Association Ruban
Une résidente de Saint-Alexandre-des-Lacs, Véronique Fournier, alias la Rose du Lac-Pitre, participera en octobre 2026 au rallye Roses des Sables.
Ce rallye, dont la première édition remonte à l’année 2001, réunit chaque année 250 femmes de tout âge et de toute nationalité pour une course d’orientation dans le désert du Maroc.
Il s’agit d’une expérience 100 % féminine, qui œuvre en soutien à quatre causes : le Club des petits déjeuners, l’association Enfants du Désert, l’Association Ruban rose et l’association L’Estalada.
Dans un peu plus d’un an, ce sera au tour de Véronique Fournier de prendre part à l’aventure. En pleine préparation pour le défi, la Rose du Lac-Pitre ne se souvient pas du moment exact où elle a pris connaissance de l’existence du rallye.
« C’est comme si j’avais toujours su que ç’a existait. J’ai aussi toujours eu la volonté d’y participer. »
En plus du soutien offert aux quatre causes, plusieurs éléments motivent madame Fournier à vivre l’expérience du rallye.
« Depuis la pandémie, on dirait qu’on vit dans un monde de chacun pour soi. Au rallye, nous allons nous entraider entre femmes en cas de problème. Il y aura une importante solidarité féminine. C’est aussi une question de dépassement de soi : je viens d’un petit village de 300 habitants et je pars seule en direction du Maroc, alors qu’en général, les autres participantes font le rallye en équipe de deux. Il y a donc cet aspect-là, en plus de vouloir retrouver le côté humain d’une société très axé sur le travail et la consommation, afin de revenir à l’essentiel. »
Prête à se lancer
Comme le rallye représente un défi de taille, personne de l’entourage de Véronique Fournier n’était préparé à l’accompagner dans cette aventure, pour diverses raisons. Malgré tout, elle a pris la décision d’y participer seule, après en avoir discuté avec une Rose d’une édition précédente.
« Elle m’a dit d’y aller, que si j’étais un peu fonceuse et que j’aimais les défis, que je ne regretterais pas ma participation, même en étant seule. »
La Rose du Lac-Pitre, Véronique Fournier.
(Photo Mariepier Lamarre)
Née dans une famille de camionneurs et de mécaniciens, la Rose du Lac-Pitre dispose déjà de bases solides qui l’aideront lors du défi.
« Je ne suis pas mécanicienne, mais je sais comment changer un pneu crevé. Je peux donc me débrouiller là-dedans. Pour me préparer, j’aurai besoin de suivre une formation en navigation, mais autrement, je sais comment m’enligner. Le gros défi de la préparation, c’est le financement. Il faut tout payer : l’inscription au rallye, la location du véhicule, le transport, l’avion, l’hôtel, le gaz et la nourriture. Je suis seule, mais ça ne me coûte pas la moitié du prix pour autant. Je dois amasser, environ, entre 20 000 $ et 22 000 $. J’ai comme objectif d’avoir ce montant en main, en date du mois d’août 2026, parce que nous avons des versements à faire. »
C’est en autre pour cette raison qu’elle fait des apparitions dans les médias de la région : pour rejoindre des personnes qui souhaitent l’aider dans son projet.
« Plus qu’on en parle, plus que les gens – je crois – ont confiance en moi et en mon projet. Plusieurs duos de participantes procèdent à la création d’un organisme à but non lucratif pour aider à la crédibilité de leur collecte. Étant seule, je n’ai pas voulu faire de même, afin de limiter les frais associés. J’ai choisi de tout faire en mon nom personnel. Les gens craignent peut-être que je me sauve avec leur argent, mais tout ce qui sera récolté servira vraiment à la réalisation du défi. C’est pour ça qu’il m’est important d’en parler. »
Il est possible de suivre Véronique Fournier via sa page Facebook : La Rose du Lac-Pitre. Elle y détaille les différents moyens de l’aider dans cette aventure.
La 21e édition des Sculpturales de Sainte-Luce s’est conclue dimanche après-midi avec le dévoilement du sculpteur ayant remporté le prix coup de cœur du public : il s’agit de l’artiste Marc Lepire, avec son œuvre « le Chef autochtone. »
Marc Lepire aux côtés de sa sculpture. (Photo Facebook – Les Sculpturales Sainte-Luce)
Monsieur Lepire était en compétition contre trois autres sculpteurs : Jean-François Gauthier, Daniel Gauthier et Julien Doré.
Les trois autres artistes sculpteurs, aux
La 21e édition des Sculpturales de Sainte-Luce s’est conclue dimanche après-midi avec le dévoilement du sculpteur ayant remporté le prix coup de cœur du public : il s’agit de l’artiste Marc Lepire, avec son œuvre « le Chef autochtone. »
Marc Lepire aux côtés de sa sculpture. (Photo Facebook – Les Sculpturales Sainte-Luce)
Monsieur Lepire était en compétition contre trois autres sculpteurs : Jean-François Gauthier, Daniel Gauthier et Julien Doré.
Les trois autres artistes sculpteurs, aux côtés de leurs œuvres. (Photo Facebook – Les Sculpturales Sainte-Luce)
Les artistes sculpteurs ont commencés à travailler sur leurs œuvres mardi dernier, en matinée. Tout au long de la semaine des sculpturales, le public était invité à aller à leur rencontre pour assister à l’évolution de leurs projets.
En plus du symposium de sculptures sur bois, le Comité des Sculpturales de Sainte-Luce avait organisé, dans le cadre de la semaine du 18 au 24 août, une programmation marquée par la musique et l’art de sculpter, comme le concert « Musique autour du monde », le mercredi soir et le spectacle « Électrique Full Band » de Michel Pagliaro le vendredi soir.
Val-Brillant a procédé à l’inauguration officielle de la troisième phase du projet de développement du Camping Bois et Berges.
Cette phase correspond à l’ajout de 25 nouveaux terrains trois services avec électricité de 50 ampères, un réseau d’aqueducs et d’égouts sur la zone 3 du camping municipal. La somme de ces travaux d’aménagement représente un montant total d’environ 768 000$.
Le directeur général de la municipalité, Michaël Vignola, explique qu’en raison de l’engouement particulier
Val-Brillant a procédé à l’inauguration officielle de la troisième phase du projet de développement du Camping Bois et Berges.
Cette phase correspond à l’ajout de 25 nouveaux terrains trois services avec électricité de 50 ampères, un réseau d’aqueducs et d’égouts sur la zone 3 du camping municipal. La somme de ces travaux d’aménagement représente un montant total d’environ 768 000$.
Le directeur général de la municipalité, Michaël Vignola, explique qu’en raison de l’engouement particulier qu’a connu le camping et la marina ces dernières années, Val-Brillant jugeait opportun d’aller de l’avant avec ce projet.
« On voulait créer cette zone 3 du camping qui était la dernière possibilité de développement du camping municipal. »
Cette troisième phrase a fait l’objet de plusieurs discussions dans la communauté. Un référendum sur le sujet a d’ailleurs été tenu à l’été 2024.
« En tout, 148 personnes avaient signé un registre demandant la tenue d’un référendum. Lors de ce référendum, 252 personnes se sont prononcées en faveur du projet, contre 127 personnes qui se sont prononcées en défaveur », mentionne monsieur Vignola.
Divergences d’opinions
Le directeur général de la municipalité est d’avis que les divergences d’opinions concernant la phase 3 du projet étaient le résultat de beaucoup d’incompréhension.
« Il y a aussi le fait que l’endroit où se situe la zone 3 était un boisé. Il aurait nécessité beaucoup d’entretien dans les années à venir puisque beaucoup d’arbres étaient cassés ou tombés. Il y a en aussi plusieurs qui étaient matures, mais qui se trouvaient en fin de vie et qu’il aurait tout de même fallu abattre. Il y avait donc un grand ménage à faire dans ce secteur et c’est certain qu’il y a des gens qui auraient aimé que l’on conserve le côté plus naturel de ce secteur parc », indique Michaël Vignola.
Le Camping Bois et Berges de Val-Brillant compte 25 nouveaux terrains trois services avec électricité de 50 ampères ainsi qu’un réseau supplémentaire d’aqueducs et d’égouts. (Photo courtoisie)
Il assure toutefois que la municipalité a fait tout ce qui était en son pouvoir pour conserver le plus d’arbres possible.
« Ce n’est pas toujours évident lorsqu’on doit créer un réseau d’aqueducs et d’égouts, surtout que pour les égouts dans ce secteur, il y a des endroits où l’on a dû creuser tout près de 12 pieds de profondeur afin d’installer des conduites. Cependant, dans le cadre de la phase 3 du camping, nous avons débloqué un montant de près de 20 000 $ pour la plantation d’arbres sur le territoire de la municipalité. Il y a un peu plus de 1400 qui ont été plantés un peu partout dans le parc municipal et sur d’autres terrains appartenant à la Ville pour compenser ceux que l’on a dû couper. C’est quelque chose qui a été entièrement payé par le projet de la phase 3 du camping. »
Michaël Vignola rapporte que plus de 175 arbres et arbustes ont été replantés sur la nouvelle zone de camping.
L’auteure-compositrice-interprète, Gabriella Olivo, sera en concert à Rimouski, ce samedi 23 août 2025 dans le cadre de la 26e édition du Festival interculturel de Rimouski.
Née et élevée à Québec d’une mère mexicaine et d’un père québécois, l’artiste basée à Montréal fait partie des Révélations Radio-Canada de 2025-2026.
Elle pratique son art depuis maintenant plusieurs années.
« J’ai suivi des cours de piano quand j’étais jeune. Au secondaire, je jouais de la trompette et du saxopho
L’auteure-compositrice-interprète, Gabriella Olivo, sera en concert à Rimouski, ce samedi 23 août 2025 dans le cadre de la 26e édition du Festival interculturel de Rimouski.
Née et élevée à Québec d’une mère mexicaine et d’un père québécois, l’artiste basée à Montréal fait partie des Révélations Radio-Canada de 2025-2026.
Elle pratique son art depuis maintenant plusieurs années.
« J’ai suivi des cours de piano quand j’étais jeune. Au secondaire, je jouais de la trompette et du saxophone, en plus d’être membre dans des chorales. Mon projet personnel, lui, est né pendant la pandémie. En 2022, j’ai sorti mon premier microalbum. Je travaillais dessus depuis l’année précédente. C’est le résultat d’une discussion entre mon bon ami Vincent Dufour et moi. Vincent a aussi un projet musical qui s’appelle Valence. Nous avons décidé de faire ce projet ensemble. Il a coréalisé mon premier microalbum, ce qui m’a donné la petite tape dans le dos dont j’avais besoin pour continuer le projet », mentionne Gabriella.
Aujourd’hui, la musicienne a deux microalbums a son actif, le second étant sorti l’automne dernier.
Cet été, en plus des spectacles qu’elle donne un peu partout à travers la province, elle se concentre sur la composition et l’écriture de son premier album.
Au Festival interculturel de Rimouski
Gabriella Olivo fait partie de la programmation triple présentée lors de la soirée du samedi, au festival interculturel de Rimouski. Son concert de 17 h 30, à l’agora du parc Beauséjour, précédera celui d’El Guesra à 19 h et de Francbâtards à 20 h 45.
« Je trouve ça vraiment bien d’être invité dans ce genre de festival, parce que je mélange mes racines latinos avec mes racines québécoises. C’est agréable de pouvoir partager ça avec les gens de Rimouski et de faire découvrir ma musique à ce côté du fleuve et du Québec, alors je suis vraiment contente. »
La ministre responsable de l’Habitation, France-Élaine Duranceau, était à Rimouski, ce vendredi midi, pour faire l’annonce des onze premiers projets sélectionnés, ainsi que les consortiums retenus pour la construction rapide d’un premier lot de logements hautement préfabriqués.
Ces onze projets répartis dans différentes régions (l’Outaouais, la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, le Centre-du-Québec, Laval, l’Estrie, Chaudière-Appalaches et Montréal) totaliseront 336 unités, destinés à des ménages
La ministre responsable de l’Habitation, France-Élaine Duranceau, était à Rimouski, ce vendredi midi, pour faire l’annonce des onze premiers projets sélectionnés, ainsi que les consortiums retenus pour la construction rapide d’un premier lot de logements hautement préfabriqués.
Ces onze projets répartis dans différentes régions (l’Outaouais, la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, le Centre-du-Québec, Laval, l’Estrie, Chaudière-Appalaches et Montréal) totaliseront 336 unités, destinés à des ménages à revenu faible ou modeste. Leur livraison est prévue à l’été 2026.
L’annonce s’est faite à proximité du projet UTILE, qui a justement exploité la construction modulaire avec l’aide d’un consortium composé de firmes d’architecture et d’ingénierie, lui permettant de livrer le tout en un temps record. Si le bâtiment d’UTILE comporte 155 logements, la ministre Duranceau mentionne que les onze projets annoncés seront plus petits et comporteront plutôt entre 24 et 36 logements.
« Quand je suis entré en poste, on me proposait des projets en région, entre autres en Gaspésie, où les coûts étaient faramineux, entre 500 000 $ et 600 000 $ l’unité. Mon objectif est donc d’en faire le plus possible avec l’enveloppe que nous avons. Les logements modulaires, hautement préfabriqués, sont une belle option pour contenir les coûts et livrer rapidement. »
Madame Duranceau a précisé que la construction modulaire ne devenait pas pour autant l’unique façon de construire.
« Le mode traditionnel continuera d’exister. Ce qui est important pour nous, c’est de doter la Société d’habitation du Québec (SHQ) de d’autres façons de contribuer pour amoindrir la crise du logement. C’est un nouvel outil qui est maintenant à la disposition de la SHQ. »
Une autre solution
La députée-ministre de Rimouski, Maïté Blanchette-Vézina, abonde dans le même sens.
« On ouvre une voie supplémentaire pour créer plus vite plus de logements sociaux et abordables au Québec. Il s’agit d’une solution concrète à la crise du logement, qui est vécu ici, mais qui est aussi vécue partout dans la province. Des diversités de besoins nécessitent des diversités solutions et c’est ce que nous offrons en ce moment. »
L’annonce s’est faite en compagnie du député de Beauport-Limoilou (à gauche) et du PDG de l’UTILE, Laurent Levesque (à droite). (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Un second appel à projets sera également lancé prochainement, afin de compléter le premier 500 unités en préfabriqués.
Rappelons que ces logements hautement préfabriqués seront construits grâce aux 992 M$ du gouvernement fédéral, versés au Québec par l’entremise de l’Entente Canada-Québec au titre du Fonds pour accélérer la construction de logements (FACL) et de nouveaux investissements équivalents annoncés par le Québec lors de ses mises à jour économiques de 2023 et 2024.
Le propriétaire de la Brasserie La Baraque, Simon St-Pierre, annonce que l’Oktoberfest d’automne est de retour cette année, pour une deuxième édition qui se tiendra du jeudi 9 octobre au dimanche 12 octobre 2025.
L’événement prendra place à la Baraque, sur quatre jours, dans une formule qui mettra de l’avant « bouffe, bières et musique ».
« Comme l’an dernier, ce sera un mixte entre un festival d’automne et un Oktoberfest », mentionne monsieur St-Pierre.
Il ajoute qu’un chapiteau pour
Le propriétaire de la Brasserie La Baraque, Simon St-Pierre, annonce que l’Oktoberfest d’automne est de retour cette année, pour une deuxième édition qui se tiendra du jeudi 9 octobre au dimanche 12 octobre 2025.
L’événement prendra place à la Baraque, sur quatre jours, dans une formule qui mettra de l’avant « bouffe, bières et musique ».
« Comme l’an dernier, ce sera un mixte entre un festival d’automne et un Oktoberfest », mentionne monsieur St-Pierre.
Il ajoute qu’un chapiteau pourrait en plus être installé dans le stationnement de la brasserie, dans la mesure où la température le permettrait.
Un événement pour tout le monde
« L’an dernier, l’Oktoberfest d’automne a vraiment bien fonctionné. Ce que l’on rajoute à l’édition 2025, c’est un déjeuner ouvert à tous, le vendredi matin. On comptait le faire l’année dernière, mais nous n’avions pas eu de demande en ce sens à temps. Pour cette raison, on avait annulé le déjeuner, mais cette année, peu importe : on le fait. Ce sera vraiment un déjeuner pour rendre hommage au festival d’automne. »
Le festival L’Oktoberfest est présenté à la Brasserie La Baraque. (Photo courtoisie)
Du côté de la musique, le chansonnier Tom Gagnon sera sur place le jeudi et le dimanche. Le vendredi, ce sera au tour du chansonnier Bruno Theriault de prendre part à l’événement, suivi du chansonnier Jo Pilon le samedi.
« Quatre jours de spectacles, c’est vraiment trippant. Les gens ont adoré ça l’année dernière, alors c’était certain qu’on le referait. Pour être dans le style de l’Oktoberfest, il y aura aussi plusieurs bières allemandes, ainsi que des prix spéciaux durant les quatre journées de l’événement, avec un menu spécial, comme l’an dernier, avec de la saucisse Oktoberfest. »
Le propriétaire de la Brasserie La Baraque, Simon St-Pierre, annonce que l’Oktoberfest d’automne est de retour cette année, pour une deuxième édition qui se tiendra du jeudi 9 octobre au dimanche 12 octobre 2025.
L’événement prendra place à la Baraque, sur quatre jours, dans une formule qui mettra de l’avant « bouffe », bières et musique.
« Comme l’an dernier, ce sera un mixte entre un festival d’automne et un Oktoberfest », mentionne monsieur St-Pierre.
Il ajoute qu’un chapiteau pour
Le propriétaire de la Brasserie La Baraque, Simon St-Pierre, annonce que l’Oktoberfest d’automne est de retour cette année, pour une deuxième édition qui se tiendra du jeudi 9 octobre au dimanche 12 octobre 2025.
L’événement prendra place à la Baraque, sur quatre jours, dans une formule qui mettra de l’avant « bouffe », bières et musique.
« Comme l’an dernier, ce sera un mixte entre un festival d’automne et un Oktoberfest », mentionne monsieur St-Pierre.
Il ajoute qu’un chapiteau pourrait en plus être installé dans le stationnement de la brasserie, dans la mesure où la température le permettrait.
Un événement pour tout le monde
« L’an dernier, l’Oktoberfest d’automne a vraiment bien fonctionné. Ce que l’on rajoute à l’édition 2025, c’est un déjeuner ouvert à tous, le vendredi matin. On comptait le faire l’année dernière, mais nous n’avions pas eu de demande en ce sens à temps. Pour cette raison, on avait annulé le déjeuner, mais cette année, peu importe : on le fait. Ce sera vraiment un déjeuner pour rendre hommage au festival d’automne. »
Un spectacle présenté dans le cadre du premier Octoberfest de Rimouski. (Photo courtoisie)
Du côté de la musique, le chansonnier Tom Gagnon sera sur place le jeudi et le dimanche. Le vendredi, ce sera au tour du chansonnier Bruno Theriault de prendre part à l’événement, suivi du chansonnier Jo Pilon le samedi.
« Quatre jours de spectacles, c’est vraiment trippant. Les gens ont adoré ça l’année dernière, alors c’était certain qu’on le referait. Pour être dans le style de l’Oktoberfest, il y aura aussi plusieurs bières allemandes, ainsi que des prix spéciaux durant les quatre journées de l’événement, avec un menu spécial, comme l’an dernier, avec de la saucisse Oktoberfest. »
Accueil et Intégration BSL (AIBSL) convie la population rimouskoise au 26e Festival interculturel de Rimouski, qui se tient cette fin de semaine, du vendredi 22 au dimanche 24 août au parc Beauséjour.
Chaque année, l’événement fait naître des rencontres entre les personnes immigrantes et la communauté d’accueil et rend ainsi hommage à la diversité culturelle de la région.
« Nous savons que le portrait de Rimouski a beaucoup changé dans les dernières années. Ça vient avec une responsabilité
Accueil et Intégration BSL (AIBSL) convie la population rimouskoise au 26e Festival interculturel de Rimouski, qui se tient cette fin de semaine, du vendredi 22 au dimanche 24 août au parc Beauséjour.
Chaque année, l’événement fait naître des rencontres entre les personnes immigrantes et la communauté d’accueil et rend ainsi hommage à la diversité culturelle de la région.
« Nous savons que le portrait de Rimouski a beaucoup changé dans les dernières années. Ça vient avec une responsabilité collective d’avoir envie de connaître les autres, d’avoir envie de s’ouvrir sur le monde et de dépasser les zones de préjugés. Le festival permet de le faire dans un cadre festif et invitant », exprimait la directrice générale d’AIBSL, Sarah Toulouse, le mois dernier.
La directrice générale d’Accueil et Intégration BSL, Sarah Toulouse, et l chargée de projet, Annie Picard. (Photo Le Soir.ca – Annie Levasseur)
L’événement d’ouverture du festival prendra place à l’Agora du parc Beauséjour dès 19 h 45 avec une projection de courts-métrages autochtones conçus pour les jeunes de 7 à 12 ans.
Présentés par Wapikoni Mobile, ils aborderont l’identité et la richesse des cultures autochtones.
Cuisine du monde
Le lendemain, le festival débutera avec l’ouverture de la zone marché, également au parc Beauséjour. Ouverte le samedi et le dimanche de 11 h à 17 h, cette zone regroupera des kiosques de cuisine du monde, d’artisanat et de partenaires clés.
Au programme de la journée se trouve le karaoké Radio-Canada à 11 h et une parade de percussions Kalafuba à midi. Cette seconde activité aura lieu au Marché public de Rimouski.
En après-midi, de retour au parc Beauséjour, prendra place un atelier sur les cultures autochtones à 13 h. Il sera suivi d’un second karaoké Radio-Canada à 14 h 30 et d’un atelier de gigue à 16 h.
Programmation triple
En soirée, une programmation triple est prévue à l’agora du parc avec Gabriella Olivo à 17 h 30, le groupe montréalais El Guesra à 19 h et Francbâtards à 20 h 45. La soirée se conclura aux Bains Publics avec DJ Mati dès 23 h.
Le dimanche matin débutera avec un atelier de percussions à 11 h. Il sera suivi d’un karaoké Radio-Canada à 12 h 30 et d’une animation de danse traditionnelle à 14 h 30. Vent du Sud, à 16 h et Boubé à 18 h, viendront conclure le festival.
La chaîne A&W Canada se mobilise de nouveau cette année au profit de SP Canada, avec le Rendez-vous A&W pour stopper la sclérose en plaques (SP), qui se tiendra ce jeudi 21 août.
Lors de cette journée, pour chaque Teen Burger vendu, 2 $ seront remis à SP (sclérose en plaques) Canada.
Caroline Santerre vivra alors son premier Rendez-vous A&W en tant que propriétaire des restaurants A&W de Rimouski, après l’avoir vécu en occupant d’autres rôles.
« La journée de la SP est
La chaîne A&W Canada se mobilise de nouveau cette année au profit de SP Canada, avec le Rendez-vous A&W pour stopper la sclérose en plaques (SP), qui se tiendra ce jeudi 21 août.
Lors de cette journée, pour chaque Teen Burger vendu, 2 $ seront remis à SP (sclérose en plaques) Canada.
Caroline Santerre vivra alors son premier Rendez-vous A&W en tant que propriétaire des restaurants A&W de Rimouski, après l’avoir vécu en occupant d’autres rôles.
« La journée de la SP est vraiment une grosse journée. Il faut s’investir à 100 % en tant qu’employés. On veut offrir à tout le monde un service impeccable. Ensuite, cette journée permet d’amasser des fonds pour la recherche sur la sclérose en plaques. C’est quelque chose qui me touche aussi beaucoup, puisque j’ai un membre de ma famille qui l’a », explique madame Santerre.
En amont de la journée du 21 août, soit depuis le début de la Campagne A&W en juillet, les équipes ont commencé leurs efforts pour la cause, notamment en proposant aux clients d’arrondir le montant de leur facture au moment du paiement.
Prêt au maximum
« La journée du Rendez-vous, il faut être prêt au maximum. Les employés doivent être présents et répondre à l’appel, parce qu’on sait que le but derrière cette journée est de mobiliser l’ensemble de notre communauté. 2 $ par Teen Burger, c’est quand même énorme, alors on souhaite pouvoir livrer la marchandise correctement et apporter notre aide de cette façon. »
« C’est sûr qu’avant la journée de la SP, il y a toujours des activités qui sont organisées. Par exemple, il y a une année où l’on avait fait un lave-auto pour récolter de l’argent, donc on essaie de trouver d’autres moyens de contribuer », indique madame Santerre.
Tous les A&W du pays participent au Rendez-vous.
« C’est vraiment une association qui est faite entre SP Canada et A&W. Comme on participe tous, on se prépare même toujours quasiment trois mois d’avance. Les A&W, tous ensemble, on se fait des réunions. C’est donc la même date et la même grosse journée pour tout le monde. C’est plaisant, même qu’on s’envoie des photos, d’un restaurant à un autre, pour se motiver entre nous. »
Contribuer dès l’ouverture
Comme le restaurant ouvre assez tôt le matin, à un moment où les Teen Burgers ne sont pas sur le menu, il est quand même possible de contribuer à la cause dès l’ouverture, en faisant un don.
Le Teen Burger de A&W.
(Photo courtoisie)
« Oui, il y a le Teen Burger qui donne 2 $, mais si le client veut venir ici, sans même commander, juste pour faire un don, on rentre le montant comme don dans la caisse, tout simplement. Ce n’est donc pas obligatoire de manger un Teen Burger pour aider. Après, c’est certain que si tu en commandes-un et qu’en plus tu fais un don, sans même t’en rendre compte, tu ajoutes un autre 2 $ à ton don et c’est pour cette raison qu’on souhaite maximiser le burger relié à A&W », relate Caroline Santerre.
Un burger à la fois pour faire avancer la recherche
La participation au Rendez-vous A&W pour stopper la SP permet d’aider les personnes touchées par la sclérose en plaques de différentes façons.
Ils permettent de financer des travaux de recherche au pays, à améliorer des résultats thérapeutiques pour les personnes atteintes de SP et d’assurer la prestation de services comme le Réseau de connaissances sur laSP.
Les fonds amassés contribuent aussi aux travaux de recherche visant à mettre en lumière les causes de la SP, en aidant les scientifiques à déterminer ses facteurs de risque pour trouver les moyens d’entraver la maladie avant qu’elle ne fasse son apparition.
Objectif commun
« Chaque année, on souhaite récolter un montant plus grand que l’année précédente. C’est différent d’un restaurant à un autre, mais nous avons tous un objectif commun au Canada qu’on veut atteindre. Après, on se fixe nos propres objectifs et on motive nos propres employés dans le but d’atteindre ce montant », explique Caroline Santerre.
Les chaleurs accablantes enregistrées au Bas-Saint-Laurent, la semaine dernière, ont entraîné des conséquences sur le milieu agricole et ses producteurs.
La propriétaire de la Ferme Ciboulette Inc. à Saint-Pierre-de-Lamy dans le Témiscouata, Julie Gagnon, vit un été sans véritable équilibre pour les récoltes.
« Au début de l’année, il y a eu beaucoup de pluie. Le printemps a été plus tardif que l’année dernière. Pendant un bout de temps, on avait un surplus hydrique. Il y avait beaucoup d
Les chaleurs accablantes enregistrées au Bas-Saint-Laurent, la semaine dernière, ont entraîné des conséquences sur le milieu agricole et ses producteurs.
La propriétaire de la Ferme Ciboulette Inc. à Saint-Pierre-de-Lamy dans le Témiscouata, Julie Gagnon, vit un été sans véritable équilibre pour les récoltes.
« Au début de l’année, il y a eu beaucoup de pluie. Le printemps a été plus tardif que l’année dernière. Pendant un bout de temps, on avait un surplus hydrique. Il y avait beaucoup d’eau dans le sol, alors qu’en ce moment, on est en période de sécheresse. Le système d’évaporation est à son maximum », indique madame Gagnon, aussi première vice-présidente de l’UPA du Bas-Saint-Laurent, responsable du comité de prévention et trésorière.
Ces conditions météorologiques forcent les producteurs à irriguer leurs champs, mais que le processus demeure complexe puisqu’ils doivent aussi s’assurer de ne pas manquer d’eau. Ce ne sont pas non plus tous les agriculteurs qui sont équipés pour le faire.
« Ça représente des coûts et des heures supplémentaires. On a aussi semé plus tard, donc la saison a débuté plus tard, mais la chaleur fait en sorte que la maturité va beaucoup plus vite. Ainsi, la taille des légumes sera plus petite. »
Baisse de rendement
C’est le même enjeu pour les productions animales. L’excès de chaleur affecte notamment les vaches laitières.
Pour éviter une baisse de rendement, les agriculteurs doivent garder leurs animaux à l’intérieur en installant des systèmes de ventilation.
« Ce sont aussi des coûts supplémentaires qui ne sont pas assumés dans les coûts de production et au bout de la ligne, on fait le même prix », souligne Julie Gagnon.
Il est rare que les producteurs agricoles s’accordent la même courtoisie que leurs animaux. (Photo courtoisie)
Les agriculteurs ont le réflexe de se soucier du bien-être de leurs animaux. Il est plus rare qu’ils s’accordent la même courtoisie.
« Il y en a qui commence tôt, qui vont dans les champs et c’est tout un travail à faire dans des chaleurs comme ça. Il faut prendre des pauses et boire de l’eau. Après, comme il s’agit de notre production et de notre entreprise, il arrive qu’on mette ça de côté, comme producteur. C’est pour ça qu’il faut se rappeler qu’on doit être encore là le mois ou l’an prochain. Le bien-être humain demeure un aspect non négligeable. »
Important nuage de poussière
Yannick Côté de la Ferme Coya et des Bergeries du village, à Les Hauteurs, a également constaté des impacts sur sa production. Ses champs étaient très secs, à un point tel que lors de l’épandage du fumier, un important nuage de poussière s’est formé, ce qui est inhabituel.
L’épandage du fumier et la poussière qui se forme sur la propriété agricole de Yannick Côté. (Photo courtoisie)
« Malgré tout, mes champs ne sont pas jaunes. Ils ne sont pas brûlés par la sécheresse, alors ce n’est pas encore dramatique. Ce qui a été le plus dur, c’était du côté des animaux, dans la ferme. » Le 2e vice-président de l’UPA du Bas-Saint-Laurent rapporte que ses 45 vaches laitières ont vu leur production diminuée pendant la chaleur extrême.
« Dans ces cas-là, on essaie de soigner les vaches plus tôt, avant qu’il ne fasse trop chaud, pour avoir moins de mouvement. Notre système de ventilation fonctionne à 100 %, alors on essaie de diminuer notre présence dans la ferme pour que les animaux bougent moins et aider à garder la fraicheur, parce qu’il faisait extrêmement chaud », ajoute monsieur Côté.
Son système de ventilation qu’il a fait installer devra être revu. « On m’avait dit que ma ventilation était bonne, mais je pense qu’il faudra quand même revoir le tout, en raison des changements climatiques. »
Ces changements se font davantage ressentir dans le milieu depuis quelques années.
« Depuis cinq ou six ans, on s’en rend compte. Ça survient d’un coup sec, sans qu’on s’y attende. Parfois c’est le contraire. Il y a quatre ou cinq ans, j’avais vu ça une fois dans ma vie de gros vents, mais maintenant, il y en a trois ou quatre fois par an. »
La Sculpturales de Sainte-Luce se poursuivent pour une 21e année, jusqu’au 24 août, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques et ses environs.
L’événement, qui a débuté hier, lundi, avec l’arrivée des quatre sculpteurs : Julien Doré, Daniel Gauthier, Jean-François Gauthier et Marc Lepire, s’est poursuit ce mardi matin avec le commencement des activités, marquant ainsi le lancement de la compétition de sculptures.
Jusqu’au dimanche 24 août à 11 h, chaque artiste s’affairera à la création d’un
La Sculpturales de Sainte-Luce se poursuivent pour une 21e année, jusqu’au 24 août, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques et ses environs.
L’événement, qui a débuté hier, lundi, avec l’arrivée des quatre sculpteurs : Julien Doré, Daniel Gauthier, Jean-François Gauthier et Marc Lepire, s’est poursuit ce mardi matin avec le commencement des activités, marquant ainsi le lancement de la compétition de sculptures.
Jusqu’au dimanche 24 août à 11 h, chaque artiste s’affairera à la création d’une sculpture sur bois individuelle, mesurant plus de deux mètres de hauteur.
Au terme de cet échéancier, les membres du public, qui sont invités à observer la progression des sculptures tout au long de la semaine, auront jusqu’à 15 h pour accorder leur vote à leur œuvre favorite.
Le prix « coup de coeur » du public sera ensuite dévoilé à 16 h 30, sur la promenade de l’Anse-aux-Coques.
Programme des activités
Outre le symposium de sculptures sur bois qui se tient toute la semaine, le Comité des Sculpturales de Sainte-Luce a mis sur pied une programmation marquée par la musique et l’art de sculpter.
Le mercredi 20 août à 20 h sera présenté par les professeurs du Conservatoire de musique de Rimouski, à l’église de Sainte-Luce, le concert « Musique autour du monde. »
« Ce sont des musiciens qui font des spectacles à travers le monde. Nous sommes chanceux de les avoir ici, dans notre municipalité », mentionne la mairesse de Sainte-Luce, Micheline Barriault.
Les billets du concert sont disponibles en ligne, via la plateforme lepointdevente.com, au coût de 20 $.
Le jeudi 21 août sera une journée plein air en famille avec de l’animation. Il sera toujours possible d’admirer le travail des artistes sculpteurs.
L’auteur-compositeur-interprète Michel Pagliaro (Photo courtoisie)
Le vendredi 22 août, la municipalité de Sainte-Luce accueillera dès 20 h le spectacle « Électrique Full Band » de Michel Pagliaro sur la scène extérieure en bordure de mer, en face de l’église de Sainte-Luce. Les billets de ce spectacle sont aussi en vente via la plateforme lepointdevente.com, cette fois au coût de 25 $.
La fin de semaine
Le samedi 23 août, également sur la scène extérieure en bordure de mer, se tiendra dès 19 h « Drums sur Mer », en compagnie du musicien Julien Blais.
« C’est une première au Québec : nous y attendons une cinquantaine de percussionnistes », explique madame Barriault.
L’entrée à cet événement est gratuit. Il précédera à une prestation des quatre artistes sculpteurs qui participent à la Semaine.
Un artiste sculpteur à l’oeuvre. (Photo Facebook – Les Sculpturales Sainte-Luce)
« À la tombée de la nuit, nos quatre sculpteurs nous feront une prestatation particulière avec des sculptures sur glace, même si nous sommes en plein été. »
Le dimanche 24 août, les artistes sculpteurs auront jusqu’à 11 h pour terminer leur œuvre.
« Par la suite aura lieu le vote du public. Vers 15 h, les sculpteurs feront de petites sculptures d’environ 18 à 24 pouces. Ces sculptures seront ensuite vendues à l’encan, directement sur place. On terminera la Semaine avec le prix coup de cœur du public. »
Un rallye sur les sculptures de Sainte-Luce
Comme l’an dernier, un rallye a été préparé spécialement à l’occasion de la Semaine des sculpturales. Le parcours met en vedette les sculptures déjà existantes dans la municipalité de Sainte-Luce.
Il est possible de se procurer le formulaire du rallye dès maintenant au Marché de Sainte-Luce, au coût de 5 $. Le questionnaire devra être retourné au même endroit avant 17 h, le samedi 23 août.
Les gagnants seront ensuite dévoilés à 16 h, le dimanche 24 août.
Un véhicule a été la proie des flammes, mardi (19 août) vers 8h15, dans la brettelle de l’autoroute 20 menant vers la montée Industrielle-et-Commerciale à Rimouski.
Le capitaine du Service de sécurité incendie à la Ville de Rimouski, Alexandre Fortin, confirme que l’incendie n’a fait aucun blessé.
Deux unités se sont rapidement rendues sur les lieux. La camion, arrêté, dans la brette en direction ouest, a subi des des dommages importants.
Un véhicule a été la proie des flammes, mardi (19 août) vers 8h15, dans la brettelle de l’autoroute 20 menant vers la montée Industrielle-et-Commerciale à Rimouski.
Le capitaine du Service de sécurité incendie à la Ville de Rimouski, Alexandre Fortin, confirme que l’incendie n’a fait aucun blessé.
Deux unités se sont rapidement rendues sur les lieux. La camion, arrêté, dans la brette en direction ouest, a subi des des dommages importants.
Le Collège de Rimouski s’affaire à la rentrée de ses trois établissements d’enseignement, malgré un manque de financement de 2,8 M$. Effectuée ce mardi 19 août à l’Institut maritime du Québec et au Centre matapédien d’études, elle aura lieu ce lundi 25 août au Cégep de Rimouski.
Les admissions à l’enseignement régulier de ces trois composantes totalisaient, en date du vendredi 15 août, près de 2750 étudiants. Il s’agit d’une augmentation par rapport à l’an dernier.
En mai dernier, le Cégep
Le Collège de Rimouski s’affaire à la rentrée de ses trois établissements d’enseignement, malgré un manque de financement de 2,8 M$. Effectuée ce mardi 19 août à l’Institut maritime du Québec et au Centre matapédien d’études, elle aura lieu ce lundi 25 août au Cégep de Rimouski.
Les admissions à l’enseignement régulier de ces trois composantes totalisaient, en date du vendredi 15 août, près de 2750 étudiants. Il s’agit d’une augmentation par rapport à l’an dernier.
En mai dernier, le Cégep de Rimouski apprenait qu’il devrait composer avec des compressions estimées à trois millions de dollars dans son budget 2025-2026.
Depuis, l’institution a appris que l’effort budgétaire serait plutôt de 2,8 M$, obtenant ainsi un budget de 82 M$.
Un plan en quatre temps, qui consiste en la révision des dépenses, des revenus, des processus et des dossiers et des ressources humaines, a alors été mis en œuvre.
« Malgré les enjeux budgétaires, nous avons maintenu notre carte de programme. Il n’y a donc pas d’impact sur notre offre de formation, autant du côté de la formation régulière que du côté de la formation continue. À la formation continue, nous avons même plus de cohortes que jamais, avec 35 cohortes qui seront offertes cette année », rapporte la directrice générale du Collège, Julie Gasse.
La directrice générale du Collège de Rimouski, Julie Gasse (Photo courtoisie)
Elle ajoute que l’augmentation du nombre d’étudiants est aussi un aspect rassurant.
« Cela met en valeur l’importance de notre Cégep. On voit que c’est un pôle d’attraction qui permet de maintenir nos jeunes en région. On répond à ce besoin et c’est très motivant. Aussi, on accueille une deuxième cohorte d’infirmières qualifiées à l’international. Nous aurons encore une fois la chance d’accueillir ces étudiants qui sont qualifiés comme infirmiers ailleurs, mais qui doivent satisfaire les exigences de l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec », indique madame Gasse.
Nouveau plan stratégique
L’année 2025-2026 correspond également à la première année de mise en œuvre du nouveau plan stratégique du Collège.
« Nous l’avons adopté en mars dernier. Il s’agit d’un plan qui se tient de 2025 à 2030 pour nos trois composantes. On pourra donc suivre nos orientations. »
Le Cégep de Rimouski (Photo Le Soir.ca- Olivier Therriault)
Le Collège poursuit aussi son carnet de festivités. Le Centre matapédien d’études collégiales va souligner ses 30 ans d’existence, tandis que le Cégep de Rimouski conclura les fêtes du centenaire de son pavillon principal.
L’organisme Retour à l’école VIP (REVIP) tenait, ce samedi 16 août en après-midi, sa huitième fête de remise. Au cours de cette fête, 250 élèves du primaire ont pu recevoir un sac d’école contenant tout le matériel scolaire nécessaire pour l’année à venir.
L’événement, qui se tient annuellement depuis 2018, vise à venir en aide aux familles de la région qui sont dans le besoin.
Il s’agit d’une initiative de deux églises rimouskoises : l’Alliance Chrétienne et Missionnaire de Rimouski et
L’organisme Retour à l’école VIP (REVIP) tenait, ce samedi 16 août en après-midi, sa huitième fête de remise. Au cours de cette fête, 250 élèves du primaire ont pu recevoir un sac d’école contenant tout le matériel scolaire nécessaire pour l’année à venir.
L’événement, qui se tient annuellement depuis 2018, vise à venir en aide aux familles de la région qui sont dans le besoin.
Il s’agit d’une initiative de deux églises rimouskoises : l’Alliance Chrétienne et Missionnaire de Rimouski et l’Église Connexion.
Quelques-uns des sacs d’école de 2025. (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Plus de demandes, mais moins de moyens
Bien que l’organisme ait reçu des demandes pour 325 sacs d’école en 2025, un manque de ressources financières ne lui a pas permis de répondre à l’ensemble des besoins.
« Les gens qui veulent contribuer à la mission de l’organisme peuvent se rendre directement sur notre site web, retourecolevip.org, pour y faire un don. On recueille les dons de monsieur et madame tout le monde, mais aussi les dons des entreprises, pour qui nous pouvons remettre un reçu pour les impôts », explique Sully Reichenbach qui est membre du comité organisateur de REVIP depuis ses débuts dans Rimouski.
Même si la fête de remise a déjà eu lieu, il est encore possible de contribuer, puisque l’organisme s’affaire toute l’année à l’achat de fournitures scolaire.
« Quand il y a des spéciaux, on va magasiner, donc nous n’avons pas seulement besoin de dons l’été. L’an prochain, nous pourrons peut-être accepter les demandes de plus d’enfants, si nous avons plus de ressources pour le faire », espère madame Reichenbach.
Événement festif
Malgré tout, le cœur était à la fête en ce samedi après-midi. Fidèle à son habitude, l’organisme a mis à la disposition des familles des stations de jeux et des jeux gonflables pour leur permettre de s’amuser lors de cette fête de remise.
L’équipe a aussi élaboré quelques nouveautés pour l’édition 2025.
« Nous avons mis sur pied un magasin général VIP. Les enfants, en faisant des stations, accumulent des points. Après, ils peuvent tourner la roulette. On a fait cet ajout parce que notre organisme se nomme Retour à l’École VIP, donc on s’est dit qu’on pourrait aussi avoir des articles VIP. Ce sont donc de petits articles scolaires plus « cool » que les enfants pourront ajouter à leur sac. »
Le magasin général VIP (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
Une autre nouveauté est l’aménagement d’une table de surplus.
« Ça fait sept ans qu’on fait l’achat de fournitures scolaires, alors au fil des années, il y a des articles que nous avons accumulés et qui ne vont pas dans les sacs. Les gens qui participent à la Fête de remise peuvent donc se servir : tout est à donner. »
Le dossier pour la relance de la traverse Rimouski-Forestville continue d’évoluer. C’est que rapporte Maïté Blanchette Vézina, au terme d’une rencontre sur le sujet jugée productive.
« J’ai discuté avec Forestville, Rimouski et l’organisme à but non lucratif (OBNL) créé pour la relance de la traverse. Les partenaires sont mobilisés, nous avons travaillé sur des suggestions pour les aider au cheminement d’un projet de relance et je suis vraiment contente de pouvoir jouer mon rôle de députée-m
Le dossier pour la relance de la traverse Rimouski-Forestville continue d’évoluer. C’est que rapporte Maïté Blanchette Vézina, au terme d’une rencontre sur le sujet jugée productive.
« J’ai discuté avec Forestville, Rimouski et l’organisme à but non lucratif (OBNL) créé pour la relance de la traverse. Les partenaires sont mobilisés, nous avons travaillé sur des suggestions pour les aider au cheminement d’un projet de relance et je suis vraiment contente de pouvoir jouer mon rôle de députée-ministre pour que des projets porteurs puissent cheminer positivement. C’est ce que je vais continuer de faire, en travaillant avec les partenaires », explique la députée-ministre de Rimouski.
Le projet sera déposé par la Corporation de liaison maritime Rimouski-Forestville, soit l’organisme à but non lucratif créé il y a deux ans pour la relance de la traverse.
Pour cette raison, elle n’est pas en mesure de se prononcer sur le moment où la relance pourrait aboutir.
Pas d’information pour 2026
« De notre côté, on travaille avec une étude, notamment pour le port de Rimouski, pour s’assurer d’avoir une compréhension précise du bateau qui pourrait accoster à Rimouski, avec les infrastructures actuelles que nous avons. Les choses avancent, mais il demeure que le projet va être déposé par la Corporation, lorsque cette dernière sera prête à le faire. »
La députée-ministre de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina (Photo Le Soir.ca- archives)
Quant à savoir si elle a espoir que le tout se règle d’ici les prochaines élections provinciales, la réponse demeure la même.
« Je n’ai pas cette information », indique Maïté Blanchette Vézina.
Une entente verbale était même survenue avec l’ancien propriétaire du CNM Évolution, Hilaire Journault, pour la reprise du navire, mais son décès a compliqué la suite du dossier.
L’entrepreneur rimouskois s’est donc rendu en Europe pour réserver un navire avec une capacité d’accueil de 300 passagers et 90 véhicules. Il a alors déposé un projet au ministère des Transports pour une aide financière de 7 M$, plus un montant de 1,9 M$ en taxes non remboursables.
L’entrepreneur rimouskois, Louis-Olivier Carré, des Entreprises Rilec, la mairesse de Forestville, Micheline Anctil et le maire de Rimouski, Guy Caron. (Photo Le Soir.ca- Johanne Fournier)
« La première mouture de notre projet a été rejetée, mais la porte n’est pas fermée. On doit maintenant revenir avec le projet sous une autre forme. Ce qu’on souhaite, c’est que le gouvernement considère que Rimouski est la capitale régionale et que ça n’a pas de bon sens de ne pas avoir de traverse », avait mentionné monsieur Carré.
Le projet a déjà reçu l’appui de la MRC de la Haute-Côte-Nord et de la Ville de Forestville. La Ville de Rimouski est aussi en faveur du projet. Depuis 2022, les citoyens des deux rives sont orphelins de transport maritime avec l’arrêt des opérations du CNM Évolution.
Maïté Blanchette Vézina réitère son intérêt à poursuivre le travail qu’elle a amorcé comme ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre régionale, alors que son nom revient souvent dans les discussions en coulisses en vue du remaniement caquiste.
Certains poids lourds de la Coalition avenir Québec devront accepter de changer de portefeuille ou céder leur place, afin d’offrir un nouveau souffle à l’équipe de François Legault, « très déçu » du résultat de l’élection partielle da
Maïté Blanchette Vézina réitère son intérêt à poursuivre le travail qu’elle a amorcé comme ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre régionale, alors que son nom revient souvent dans les discussions en coulisses en vue du remaniement caquiste.
Certains poids lourds de la Coalition avenir Québec devront accepter de changer de portefeuille ou céder leur place, afin d’offrir un nouveau souffle à l’équipe de François Legault, « très déçu » du résultat de l’élection partielle dans Arthabaska-L’Érable, où son parti n’a récolté que 7 % des voix.
« Nous avons bien compris le message que les citoyens nous ont envoyé. C’est aussi pour cette raison que le premier ministre souhaite qu’on revoie nos priorités », affirme la députée de Rimouski.
« Je vais donc continuer à travailler, d’ici au remaniement, sur les dossiers de la forêt et des ressources naturelles. Ce sont des dossiers prioritaires pour le Québec et les régions du Québec, alors je vais travailler pour m’assurer que ces priorités sont bien représentées. »
Réforme qui ne fait pas l’unanimité
En ce qui a trait à son projet de loi sur la modernisation du régime forestier, pour lequel elle a dû faire des amendements à la suite de critiques vives provenant de nombreux groupes de pression, Maïté Blanchette Vézina ne voit pas ces changements comme un signe évident qu’elle pourrait perdre le ministère des Ressources naturelles et des Forêts.
La députée de Rimouski et ministre des Ressources naturelles et des Forêts du Québec, Maite Blanchette Vézina (Photo La Presse Canadienne- Jacques Boissinot)
« C’est très difficile dans le contexte de la guerre tarifaire du conflit du bois d’œuvre pour le secteur forestier, alors on est plus aligné que jamais pour avancer dans ce dossier, mais j’ai travaillé tout l’été sur des amendements, à la suite des consultations particulières. C’est tout à fait normal pour une réforme de l’ampleur de celle-là », témoigne-t-elle.
Sur les rangs en 2026
Quoique sera le dénouement du remaniement, Maïté Blanchette Vézina réitère qu’elle représentera la CAQ lors du scrutin provincial de 2026 dans Rimouski.
« J’irai là où on me confiera des mandats. Je vais travailler pour les citoyens. »
De nombreux citoyens se sont réunis ce vendredi matin (15 août), à l’hôtel de ville de Rimouski, pour rendre hommage au peuple acadien dans le cadre de sa fête nationale.
Comme c’est le cas depuis maintenant plusieurs années, le drapeau acadien a été hissé au mât de l’hôtel de ville et le trompettiste de 94 ans, Louis Arsenault, a joué l’hymne national acadien, « L’Ave Marie Stella ».
En amont de la cérémonie, l’Acadien d’adoption, Roger Lavallée, a pris la parole pour souligner l’importan
De nombreux citoyens se sont réunis ce vendredi matin (15 août), à l’hôtel de ville de Rimouski, pour rendre hommage au peuple acadien dans le cadre de sa fête nationale.
Comme c’est le cas depuis maintenant plusieurs années, le drapeau acadien a été hissé au mât de l’hôtel de ville et le trompettiste de 94 ans, Louis Arsenault, a joué l’hymne national acadien, « L’Ave Marie Stella ».
En amont de la cérémonie, l’Acadien d’adoption, Roger Lavallée, a pris la parole pour souligner l’important sentiment d’appartenance qui habite les Acadiens.
Louis Arsenault et Roger Lavallée (Photo Le Soir.ca – Véronique Bossé)
« Depuis plusieurs semaines, dans les régions acadiennes, le paysage est tapissé du drapeau acadien. Les gens portent des costumes aux couleurs de l’Acadie. Ils sont bien préparés pour leur fête nationale. Aujourd’hui, ces gens vont chanter, danser et giguer, parce que c’est un peuple qui adore sa fête. »
Journée significative
« J’ai vécu 25 ans au Nouveau-Brunswick et tous les ans, le 15 août, il y avait une grande fête et je suis vraiment tombé amoureux des Acadiens et des Acadiennes. Je me suis dit, pourquoi Rimouski ne ferait-elle pas une cérémonie pour souligner cette fête? Depuis plus de 10 ans, on procède à la levée du drapeau acadien et on le fait avec beaucoup de bonheur. Un comité organise cette activité et elle est approuvée par la Ville de Rimouski. Nous en sommes très fières, parce qu’elles sont rares les villes du Québec qui font, comme Rimouski, la levée du drapeau », rapporte monsieur Lavallée.
Le conseiller du district Saint-Germain, Philippe Cousineau Morin, qui a procédé à la levée du drapeau, a lui aussi profité de l’occasion pour souligner l’importance de cette journée.
« Les Acadiens implantés sur le territoire contribuent activement à faire vivre l’héritage acadien et à le promouvoir auprès des Rimouskoises et Rimouskois. Cette journée est très significative et c’est important pour nous d’y prendre part et de la souligner chaque année. »
Les frères Lucien et Gilles Poirier ont conclu la cérémonie tout en musique avec un spectacle de chansons acadiennes.