Suspendues à une corde, un harnais ou un cerceau : sur les réseaux sociaux iraniens, des femmes partagent leurs chorégraphies de danse aérienne. D’autres se sont même mises au pole dance dans des lieux clandestins. Une nouvelle forme de rébellion dans une théocratie où elles n’ont pas le droit de conduire, de chanter en public ou de sortir sans hijab.
Suspendues à une corde, un harnais ou un cerceau : sur les réseaux sociaux iraniens, des femmes partagent leurs chorégraphies de danse aérienne. D’autres se sont même mises au pole dance dans des lieux clandestins. Une nouvelle forme de rébellion dans une théocratie où elles n’ont pas le droit de conduire, de chanter en public ou de sortir sans hijab.