We must not let the shooting of Charlie Kirk become Trump’s Reichstag fire
— Permalien
© Saher Alghorra for The New York Times
© Jamie Kelter Davis for The New York Times
Aux Etats-Unis, cela fait plus de vingt ans que la Transportation Security Administration a commencé à contrôler les chaussures des passagers de l’aviation, en leur demandant de les enlever lors du contrôle de sécurité, après qu’un homme ait tenté, sans succès, de faire exploser ses baskets sur un vol à destination de Miami en décembre 2001. Cette politique particulièrement détestée par les voyageurs aura donc tenu plus de 20 ans, s’énerve Ian Bogost dans The Atlantic, rappelant que dès son introduction, elle a été mainte fois dénoncée comme l’exemple même du « théâtre de la sécurité » – terme sous lequel Bruce Schneier dénonçait des mesures de sécurité qui permettent aux gens de se sentir en sécurité, sans qu’elles ne fassent concrètement quelque chose pour les protéger. Pour lui, le contrôle des chaussures permettait de montrer que l’on prenait des mesures, visibles, même si elles n’étaient ni adaptées ni proportionnelles, alors que les mesures de sécurité efficaces, elles, sont bien souvent invisibles et peu démonstratives.
Adopté au principe d’une prudence excessive, l’obligation de quitter ses chaussures disparaît dans une relative indifférence. En plus de 20 ans pourtant, aucun procédé technique n’est venu améliorer le problème de la détection des chaussures, ironise Bogost. Certains pourtant échappaient à devoir se déchausser. Les voyageurs enregistrés sur les programmes VIP lancés depuis 2013, leur permettant de se préenregistrer et de payer pour éviter ces désagréments (voir, « la biométrie comme fonctionnalité »).
Reste que la fin de cette politique n’a été justifiée par aucune avancée technologique, aucune amélioration du renseignement… « De toute évidence, la règle sur les chaussures n’a pas été abrogée simplement parce que cela semblait logique. Au contraire, ce changement a été opéré parce que la discipline, endurcie par la terreur, du début du millénaire a finalement été totalement remplacée par le nihilisme. De nos jours, vous embarquez dans un avion qui pourrait être en état de voler, ou non, réglementé par une Administration fédérale de l’aviation réduite à peau de chagrin, et dirigé par un système de contrôle aérien miné par la négligence et le mépris ». Ce qui semblait essentiel durant 20 ans au point de contraindre des millions de voyageurs, est devenu, du jour au lendemain, sans raison, quelque chose dont plus personne ne se soucie.
Aux Etats-Unis, cela fait plus de vingt ans que la Transportation Security Administration a commencé à contrôler les chaussures des passagers de l’aviation, en leur demandant de les enlever lors du contrôle de sécurité, après qu’un homme ait tenté, sans succès, de faire exploser ses baskets sur un vol à destination de Miami en décembre 2001. Cette politique particulièrement détestée par les voyageurs aura donc tenu plus de 20 ans, s’énerve Ian Bogost dans The Atlantic, rappelant que dès son introduction, elle a été mainte fois dénoncée comme l’exemple même du « théâtre de la sécurité » – terme sous lequel Bruce Schneier dénonçait des mesures de sécurité qui permettent aux gens de se sentir en sécurité, sans qu’elles ne fassent concrètement quelque chose pour les protéger. Pour lui, le contrôle des chaussures permettait de montrer que l’on prenait des mesures, visibles, même si elles n’étaient ni adaptées ni proportionnelles, alors que les mesures de sécurité efficaces, elles, sont bien souvent invisibles et peu démonstratives.
Adopté au principe d’une prudence excessive, l’obligation de quitter ses chaussures disparaît dans une relative indifférence. En plus de 20 ans pourtant, aucun procédé technique n’est venu améliorer le problème de la détection des chaussures, ironise Bogost. Certains pourtant échappaient à devoir se déchausser. Les voyageurs enregistrés sur les programmes VIP lancés depuis 2013, leur permettant de se préenregistrer et de payer pour éviter ces désagréments (voir, « la biométrie comme fonctionnalité »).
Reste que la fin de cette politique n’a été justifiée par aucune avancée technologique, aucune amélioration du renseignement… « De toute évidence, la règle sur les chaussures n’a pas été abrogée simplement parce que cela semblait logique. Au contraire, ce changement a été opéré parce que la discipline, endurcie par la terreur, du début du millénaire a finalement été totalement remplacée par le nihilisme. De nos jours, vous embarquez dans un avion qui pourrait être en état de voler, ou non, réglementé par une Administration fédérale de l’aviation réduite à peau de chagrin, et dirigé par un système de contrôle aérien miné par la négligence et le mépris ». Ce qui semblait essentiel durant 20 ans au point de contraindre des millions de voyageurs, est devenu, du jour au lendemain, sans raison, quelque chose dont plus personne ne se soucie.
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Les Torontois décrochent un sixième gain de suite.
Les derniers sont devenus les premiers ! Le Bérubé GM de Trois-Pistoles remporte la Coupe Couture-Verret à la suite de sa victoire en six parties face aux Braves Batitech du Témiscouata dans la série finale de la Ligue senior de baseball Puribec.
Mardi soir, la formation des Basques a mis un terme à la saison en l’emportant 8-5 pour gagner la série en six parties.
La formation des Basques, 7e et dernière au classement de la saison, a tour à tour écarté Rivière-du-Loup (2e), Rimouski (1er) et Témiscouata (3e) pour remporter un premier championnat des séries depuis 2017.
Le renversement de situation est historique : d’une fiche de 5-17 en saison, le Bérubé GM a remporté 11 de ses 16 parties en séries.
Le vétéran Stéphane Pouliot a été nommé joueur par excellence des séries. Il a présenté un dossier de 4-1 comme lanceur en plus de s’illustrer au bâton avec une moyenne de ,357, cinq circuits et 17 points produits.
Élie Belzile, Ludovic Saucier et Tristan Michaud-Thériault ont aussi connu d’excellentes séries pour les champions.
Les Braves avaient pris les devants 4-0 à leur premier tour au bâton chassant François Michaud du monticule. Comme ce fut souvent le cas dans les dernières semaines, le Bérubé GM a ensuite surmonté un déficit de 5-0 pendant que Tristan Michaud-Thériault, appelé en relève, limitait les Braves à un point, non mérité, en 6 1/3 manches. Il a porté son dossier à 4-0 en séries.
Pendant ce temps, l’offensive du Bérubé GM s’est mise en marche avec cinq points en fin de 4e manche, quatre sur un grand chelem de Samuel Laforest et l’autre sur le circuit de Nicolas Thibault. Jacob April a brisé l’égalité de 5-5 avec un simple opportun en 5e manche après quoi le même Laforest a produit deux autres points.
Cette série a été ponctuée de 99 points en six parties, dont 56 par Trois-Pistoles.
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UN has repeatedly urged both Russia and Ukraine to avoid fighting near Europe's largest nuclear facility
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© Greg Vaughn/Universal Images Group, via Getty Images