Trump pushes justice department to prosecute his political opponents
Le bateau transportait de la drogue et venait « sans doute » du Venezuela, selon la République dominicaine.
Ukrainian military officials say Russian forces are attempting to infiltrate Kupiansk while disguised as civilians.
Kupiansk in Kharkiv Oblast has become one of the war’s most contested frontline cities in recent months.
Small sabotage and reconnaissance teams, usually two to five soldiers, move through the city trying to avoid detection, according to Viktor Trehubov, spokesperson for the operational-strategic formation “Dnipro,” RFE/RL reports.
“They attempt to use their numbers to slip through Ukrainian positions and later occupy buildings,” Trehubov said.
Ukrainian forces reportedly destroy Russian units before they can reach residential areas, to prevent them from establishing a foothold in the city.
Trehubov added that Russian troops continue to strike Kupiansk with artillery, drones, and other weapons.
Kupiansk has seen repeated attacks in recent months. Russian forces regularly target the city’s infrastructure and military positions. Ukrainian authorities say civilians remain under constant threat from shelling and infiltration attempts.
Russian forces have been conducting a year-long assault to capture the city, which serves as a critical logistics center and potential launching point for further attacks toward Kharkiv.
The city now lies 90% destroyed with fewer than 1,700 civilians remaining from its original population, as Russian forces strike it daily with glide bombs, artillery, and drones.
The ISW warns that Russian advances near Kupiansk may soon threaten the city’s main supply route, as Moscow pursues a strategy of gradual encirclement rather than frontal assault.
La Banque Nationale est la seule grande banque canadienne à avoir consacré en 2024 plus de financement aux énergies renouvelables qu’aux combustibles fossiles, selon un rapport du cabinet BloombergNEF.
Globalement, les six grandes banques ont cependant accru la part de leurs investissements dans les projets à faible émission.
[L'article La Banque Nationale a financé plus d’énergies renouvelables que de combustibles fossiles a d'abord été publié dans InfoBref.]
The UN Security Council will meet on 22 September in response to a Russian airspace violation over Estonia, the Estonian Foreign Ministry said.
Tallinn said three Russian MiG-31 fighter jets entered Estonian airspace on 19 September and remained there for around 12 minutes. NATO said Italian F-35 jets scrambled to respond to the incursion.
It is the first time Estonia has requested an emergency meeting of the Security Council since joining the UN 34 years ago.
“By openly violating Estonian airspace, Russia undermines principles vital to the security of all UN member states,” Estonian Foreign Minister Margus Tsahkna said on X. “When such actions are committed by a permanent member of the Security Council, they must be addressed by that very body.”
Tsahkna called the incursion “a breach of the UN Charter” and “part of a broader pattern of escalation,” noting that 19 Russian drones recently entered Polish airspace while another remained in Romanian airspace for an hour.
Ukraine’s Foreign Minister Andrii Sybiha said that Ukraine has requested a platform to speak at the meeting.
“We support friendly Estonia in calling for a strong and united response to Russia’s continued destabilization of international peace and security,” Sybiha added.
Estonia has also requested consultations under Article 4 of the NATO Treaty. NATO spokesperson Allison Hart said the North Atlantic Council will meet early next week to discuss the incident.
In response to Russia’s blatant, reckless, and flagrant violation of @NATO airspace over Estonia on Friday—when armed MiG-31 fighter jets intruded into our territory for 12 minutes—the @UN Security Council will convene tomorrow, September 22, to address this breach of territorial… pic.twitter.com/ZOQpO9W7sR
— Estonian MFA|
#StandWithUkraine (@MFAestonia) September 21, 2025
A l’invitation de la chaire Unesco RELIA de l’université de Nantes et dans le cadre de la Nantes Digital Week, j’étais ce vendredi 19 Septembre 2025 en bonne compagnie pour une « Scientific Battle » sur le thème suivant : « L’intelligence artificielle va-t-elle nous rendre (encore) plus idiots ? »
Voici ce que j’y ai dit, sachant que le format était celui de la contrainte : 3 minutes et basta. Je vous livre donc ces trois minutes mais aussi (et peut-être surtout) des réflexions complémentaires.
366 avant JC, Platon dans le Phèdre se demande si l’écriture ne va pas nous rendre idiots et nous faire « perdre la mémoire ». Vingt-trois siècles plus tard, en 2008 Nicolas Carr se demande : « Google va-t-il nous rendre stupides ? » Et aujourd’hui donc on se demande : « l’IA va-t-elle nous rendre encore plus idiots. » Vous noterez le « encore » qui est bien de circonstance
Plutôt que de parler d’IA je vais me concentrer sur ce que j’appelle (dans ce magnifique livre) les artefacts génératifs (les outils comme ChatGPT, Midjourney, Le Chat, Claude, Gemini, etc.). Vont-ils nous rendre encore plus idiots ?
D’abord ils nous font faire moins d’effort. Ces technologies allègent à la fois notre coût cognitif (« l’attribution de ressources attentionnelles à une tâche ») et notre bagage cognitif (ce que cela mobilise comme connaissances).
From « ChatGPT » to « CouchGPT »
Ensuite ils démobilisent notre attention. On devient plus crédule. Ces technologies abaissent notre seuil de vigilance. L’idée (comme les notifications) c’est d’installer des arcs-réflexe, des routines, qui, à force, nous évitent non pas « de penser » ou « de réfléchir » mais de se souvenir qu’il faut penser ou qu’il faut réfléchir, par exemple à ce que ces artefacts génératifs nous disent, à pourquoi ils nous le disent et à comment ils nous le disent. D’autant qu’on a documenté ce que des chercheurs (Jacob, Kerrigan, Bastos 2025) appellent le « chat-chamber effect », le fait que nous « fassions confiance aux hallucinations de l’IA » dès lors que les informations / hallucinations vont dans le sens de nos croyances ou de notre questionnement, même si ces informations sont incorrectes, non contrôlées et non vérifiées. Le titre complet de leur article c’est : « L’effet ‘Chat-Chamber’ : faire confiance aux hallucinations de l’IA« .
Et puis ces artefacts génératifs nous rendent moins exigeant. Ces technologies abaissent aussi notre seuil d’exigence parce qu’elles jouent sur un biais de disponibilité exacerbé qui se double d’une dimension de biais d’opacité (l’information est disponible, certes, mais difficile de savoir d’où elle a été tirée). Le biais de disponibilité c’est « se baser uniquement ou principalement sur les informations immédiatement disponibles en mémoire. » Et là on doit se demander : mais dans la mémoire de qui ? ChatGPT c’est la mémoire de … qui ? Des auteurs, photographes et des créateurs dont les oeuvres sont pillées (Anthropic a récemment promis un chèque d’1,5 milliards de dollars à un collectif d’auteurs pour éviter un procès) ? D’artefacts génératifs précédents dont les productions sont à leur tour mises en mémoire ? Avec déjà des formes de consanguinité « générative » qui sont accablantes comme ces images jaunies à force d’être copiées sur style Ghibli ou de manière générale des mécanismes d’effondrement de modèles autophages ?
Alors en effet quand on fait moins d’efforts (intellectuels), quand on fait moins attention, et quand on est moins exigeant intellectuellement, il est possible que l »on soit un peu plus idiot qu’avant.
Il y a une citation de Philippe Meirieu qui me semble très bien résumer tout cela : « l’IA comble le désir de savoir mais tue le désir d’apprendre. »
Pourtant au commencement, les idiots c’était pas nous ; les idiots c’étaient clairement ces IA et ces artefacts génératifs. Et vas-y que ça te proposait des recettes d’omelettes avec des oeufs de mouton, et vas-y que ça t’expliquait pourquoi « Jean-Paul Sartre avait écrit Le Petit Bonhomme en mousse », et vas-y que, de manière bien plus préoccupante, ça t’indiquait que « oui on a des doutes sur l’existence de la Shoah ».
Et puis on s’est mis à leur parler beaucoup et on a oublié ce que disait Audiard : « J’parle pas aux cons ça les instruit. » Maintenant on a une question à se poser : on fait quoi collectivement de ces artefacts génératifs très très cons que nous avons contribué à instruire (mais très incomplètement et très imparfaitement) ? On en fait quoi alors même qu’ils n’ont jamais eu et qu’ils n’auront jamais … aucun désir d’apprendre ? Pour le savoir on peut bien sûr poser la question à ChatGPT ; ou alors on peut aussi commencer par relire le Phèdre de Platon.
Moralité ? Je ne suis pas certain que ça nous rende tous encore plus idiots, mais je suis presque totalement convaincu que ça ne pas nous rendre collectivement plus intelligents.
L’IA c’est vaste, ça permet en médecine de sauver des vies et de détecter des cancers précocement, de concevoir de nouvelles molécules et de faire du design de protéines, mais ça permet aussi de faire du ciblage marketing émotionnel pour vous afficher des pubs juste au moment où vous êtes le plus « disponible », et puis ça fait vos devoirs à votre place et puis dès que vous avez une idée totalement crétine ou criminelle (genre transformer Gaza en Riviera), bah ça l’illustre et lui donne vie directement, ça imprègne, ça imprime, ça impressionne.
Je ne crois pas que les technologies (quelles qu’elles soient) nous rendent idiots. Par contre elles changent, modifient, transforment notre rapport au monde. La voiture, le train, l’avion ont moins modifié notre rapport à la vitesse et au déplacement individuel que notre rapport collectif à la géographie du monde. L’imprimerie a moins modifié notre rapport individuel à la lecture que notre rapport collectif aux structures sociales du pouvoir et de la contestation du pouvoir ; elle a transformé les anciens régimes de vérité et en a inauguré de nouveaux. Les moteurs de recherche, les réseaux sociaux et maintenant l’IA ont moins modifié notre rapport individuel à la question de l’accès à l’information et aux connaissances que notre rapport collectif à celles et ceux qui étaient jusque-là garants de la production d’informations vérifiées et de connaissances procédant par accumulation et respect de procédures scientifiques.
La question n’est donc pas tant de savoir ce que ces technologies nous font mais ce qu’elles font au monde et, surtout, ce que nous ferons et serons encore capables de faire dans le monde qu’elles façonnent.
Le grand paradoxe de ces technologies d’intelligence artificielle, via leurs artefacts génératifs, c’est qu’elles ne nous fatiguent pas (cf leur coût cognitif quasi nul) mais qu’elles produisent des formes d’épuisement de la langue et du réel. Ces générations artificielles n’ajoutent pas à nos imaginaires, à nos possibles, elles leur enlèvent, elles leurs ôtent quelque chose par les instanciations systématiques et à coût nul de chaque réponse, de chaque possible, de chaque probable. Pour paraphraser le titre de l’ouvrage d’un philosophe célèbre, elles nous placent dans un monde qui n’est vu que comme représentations et plus comme volonté. Ce sont des technologies du retrait, de la mise en retrait. Alors bien sûr il y a des exceptions : le domaine médical et celui de la recherche fondamentale dans le domaine de la biologie, de la physique, et quelques autres encore. Mais dans ces domaines ces technologies sont exactement à leur place, c’est à dire que nous leur commandons de faire à notre place sur la base d’instructions et de méthodologies claires : leur capacité de calcul est mobilisée dans les lignes et contraintes que nous définissons, elles sont assignées. Alors que dans la sphère médiatique informationnelle de leur propagation, elles définissent un agenda d’assujettissement qui répond aux commandes des infrastructures de pouvoir qui les hébergent et les commandent.
Ce qu’il nous faut craindre, ce sont les alignements de tous nos effondrements. Effondrements de la parole journalistique, de l’espace médiatique, du lien social, de l’exercice politique du pouvoir. Mais aussi leurs pourrissements volontaires par les affrontements culturels autour de cette internationale capitaliste réactionnaire et néo-fasciste. Et au milieu donc les effondrements des IA et des artefacts génératifs. Or nous entrons dans une époque où tous ces pourrissements volontaires et où tous ces effondrements documentés s’alignent et font cadre. Ils deviennent un déterminisme qui nous conduit vers un abîme ; un abîme que nous regardons avec la lucidité que nous apportent celles et ceux qui le documentent sur le plan politique, historique, journalistique (les derniers numéros Fascisme 2.0 et Guerres de la revue AOC en sont une remarquable synthèse) mais pour lequel il semble que l’inertie soit désormais trop grande pour pouvoir l’éviter.
Comme l’écrivait Beckett, « Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut-être finir. Les grains s’ajoutent aux grains, un à un et un jour, soudain, c’est un tas, un petit tas, l’impossible tas. » L’impossible est en train d’advenir.
Et au milieu de cet impossible il y a ces chiffres et cette frénésie comptable qui est la nouvelle phrénologie de l’essentialisation capitaliste de nos pulsions et de nos désirs (Stiegler parlait d’une économie libidinale). Ces chiffres en voici quelques-uns qui concernent ChatGPT : « 700 millions d’usagers, qui lui adressent chaque jour 2,6 milliards de requêtes. » (Google c’est plus de 13 à 16 milliards par jour).
Et cette question supplémentaire : que sont devenus les gens à qui nous ne posons plus ces questions parce que nous les posons à Google ou à ChatGPT ? Et quelles auraient été leurs réponses ? Que serions-nous devenus dans ces échanges, ces réponses ou ces absences de réponses immédiates ? Que seraient devenues nos singulières errances d’ignorance, vers quel destin ou quels ailleurs nous auraient-elles conduites ? Et quelles réponses collectives leurs auraient alors été apportées ? De cela nous n’en saurons jamais rien. Il ne nous reste alors que le frémissement d’une inquiétude, clinique, la même que celle qui traversait Apostolos Gerasoulis (le papa du moteur de recherche Ask Jeeves) lorsqu’il s’interrogeait en regardant défiler les dix millions de requêtes quotidiennes d’Ask Jeeves : « Je me dis parfois que je peux sentir les sentiments du monde, ce qui peut aussi être un fardeau. Qu’arrivera-t-il si nous répondons mal à des requêtes comme ‘amour’ ou ‘ouragan’ ? »
Il n’est qu’une seule manière d’apaiser cette inquiétude, c’est d’avoir la certitude que Sam Altman (dirigeant d’OpenAI), Daniela Amodei et Dario Amodei (fondateurs et dirigeants d’Anthropic), Arthur Mensch, Guillaume Lample et Timothée Lacroix (fondateurs et dirigeants de Mistral AI) et quelques autres se posent et se poseront tous les jours cette même question et qu’elle guide et guidera chacune de leurs décisions. Et comme c’est une certitude que nous n’aurons jamais, notre seul impératif est de la leur poser sans cesse, sans trêve et sans relâche.
On Friday three Russian fighter aircraft entered Estonia’s airspace without permission
Deux fois champion de la Coupe Stanley, Parent a été intronisé au Temple de la renommée du hockey en 1984.
Le défi Ensemble vers le sommet, organisé le 20 septembre par la Fondation de l’école Paul-Hubert, a permis d’amasser 4 590$ pour soutenir la réussite scolaire des élèves de l’école.
Grâce à la mobilisation des participants et à la générosité des donateurs, une douzaine de marcheurs ont parcouru le sentier des Murailles et gravi le pic Champlain, deux randonnées emblématiques du parc national du Bic.
Les fonds recueillis permettront à la Fondation d’appuyer des initiatives favorisant la persévérance scolaire, particulièrement pour les jeunes issus de familles en situation financière précaire.
Ceux qui souhaitent encore contribuer peuvent le faire en visitant le site de la Fondation de l’école Paul-Hubert.
NATO scrambled two German Eurofighter jets on 21 September in response to a Russian military aircraft flying over the Baltic Sea, German news agency DPA reported, citing the German Air Force.
The encounter comes amid a pattern of increased Russian military activity near NATO’s eastern borders.
The plane, which had no flight plan or radio contact, was in international airspace and appeared to be an Il-20M reconnaissance aircraft.
Additional aircraft are on standby to protect NATO’s eastern flank amid recent airspace violations by Russia.
On 19 September, Russian MiG-31 jets entered Estonian airspace for around 12 minutes and two other Russian aircraft flew over Poland’s Petrobaltic oil platform in the Baltic Sea.
Earlier this month, Russian drones also entered Polish and Romanian airspace.
Le Belge s’est même permis de rattraper et de doubler Tadej Pogacar, parti deux minutes et demie avant lui.
À chaque saison de la chasse des grands gibiers, des chasseurs déplorent la perte de leur bête et de sa venaison, difficilement et chèrement acquise. Elle peut être minée par des parasites, des kystes et d’infections observés sur la viande sauvage.
À contre-cœur, le chasseur se sent obligé de se débarrasser de cette succulente venaison, souhaitée de longue date en prévision de bons repas de « viande de bois », partagés avec la famille et les amis.
La viande de gibier est une source importante de vitamines A et C, de calcium, de fer, de protéines et qui est bénéfique pour la santé et naturelle.
Cette semaine à « Rendez-Vous Nature », la question se pose : est-ce que le chasseur doit se débarrasser d’une venaison qui malgré son apparence, parfois douteuse et non appétissante, demeure sans danger à la consommation humaine ?
Certaines précautions et de savoir-faire peuvent éviter l’abandon d’une venaison qui n’a pas de prix.
Pour faire de la lumière sur cette question, « Rendez-Vous Nature » interpelle une sommité en la matière.
Le médecin vétérinaire Denis Harvey, ex-professeur-clinicien à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, formateur dans les communautés autochtones et spécialiste des maladies de la faune et de la manipulation de la viande sauvage parle de la normalité des parasites chez les grands gibiers.
Coauteur de l’ouvrage « Orignal, son habitat, sa biologie, sa chasse », ce passionné et guide de chasse au Québec et à Terre-Neuve rappelle qu’ils font partie de la nature et des écosystèmes. Des points blancs, même noirs dans la viande rouge d’un orignal, et même d’un cerf, sont très fréquents. Un orignal sur deux en est porteur.
Mais comment l’orignal ou le cerf en arrive-t-il à se contaminer ? Fort simple. L’orignal mange des plantes et des herbes au sol qui sont infectés par le fumier de coyotes, qui est la principale source de la contamination du grand cervidé.
De plus, les chasseurs vont abandonner sur les lieux de leur récolte, le cœur et le foie d’un orignal ou d’un chevreuil. Les coyotes et les loups, mangent ces abats, ce qui vient favoriser le cycle de la contamination.
Le cycle se poursuit quand les coyotes et loups absorbent des larves qui deviennent des vers adultes qui pondent ensuite leurs orufs.
Après avoir ciblé et récolté son gibier, le chasseur l’éviscère et retire les organes internes de la bête, essentiellement l’estomac, le cœur, le foie et les intestins d’un cervidé qui peut être porteur de parasites.
Le nemrod aurait donc tout intérêt, pouf lui et pour les autres, à enterrer les viscères, coupant ainsi la chaîne de transmission des parasites par les canidés qui dispersent leurs fumiers dans la nature.
Le Dr. Harvey se prononce aussi sur la fréquence de la consommation de la venaison du cerf et de l’orignal, et aussi celle plus complexe de l’ours noir, un gibier de plus en plus prisé par les chasseurs québécois.
Le scientifique fournit des informations sur la cuisson de la viande qui élimine des risques de contamination de la viande sauvage chez l’humain.
Et ne pas consommer de la viande d’ours de couleur rose. Surtout qu’il est impossible de savoir si un ours récolté est porteur ou non de la trichinellose, une maladie causée par un parasite, qui invisible à l’oeil nu, qui peut causer une intoxication alimentaire chez les humains si la viande n’est pas suffisamment cuite.
Et ne jamais donner de viande crue aux animaux domestiques qui peuvent consommer un parasite et ensuite le transmettre aux humains. La viande de gibier se fait sentir. Quand la venaison ne sent pas bon, elle n’est pas bonne?
Une entrevue sur la consommation de la viande sauvage, avec le Dr. Denis Harvey cette semaine à « Rendez-Vous Nature ». Cliquez sur le lien ci-haut.
Three pieces of “drone-like” wreckage were discovered on 21 September in two voivodeships across Poland. According to local police, the objects were found in remote forested areas and secured by law enforcement, with military and prosecutorial services notified.
Masovian voivodeship police reported two separate discoveries of suspected drone wreckage in different counties on 21 September.
In Białobrzegi County, a man spotted remnants of “an object resembling a drone” in a forest near the village of Biała Góra shortly after 9:00. The nearest housing was approximately 6 kilometers away. The police secured the site and the debris, and notified the Military Gendarmerie and the Prosecutor’s Office in Grójec.
Later the same morning, in Siedlce County, another suspected drone crash site was found. According to Masovian voivodeship police, mushroom pickers came across “parts of an object resembling a drone.” in a wooded area near the village of Wodynie, roughly 1 kilometer from the nearest homes. Law enforcement again secured the site and informed both the Military Gendarmerie and the Prosecutor’s Office in Siedlce.
Also on 21 September, police in Lublin voivodeship confirmed that mushroom pickers discovered another “object resembling a drone lying on the ground.” This object was found at about 10:00 in a forest near the village of Sulmice, Zamość County, within Skierbieszów municipality. The debris was located about 1.5 kilometers from the nearest buildings. Local police reported that the area and the remains were secured and that other agencies were informed, including the Military Gendarmerie and the Prosecutor’s Office in Zamość.
It remains unclear whether the wreckage found on 21 September is related to the Russian drone incursion into Poland on 10 September or if the objects entered Polish territory during separate, undetected events.
Since then, suspected drone wreckage has been found repeatedly. On 17 and 20 September, Polish authorities reported additional discoveries. On 19 September, missile debris was recovered that may have originated from efforts to shoot down Russian drones.
Austrian energy group OMV has fired an executive over alleged ties to Russian intelligence after meetings with a Russian diplomat suspected of being an FSB agent, Reuters reported, citing news magazine Profil.
Austria’s energy sector, given the country’s historical ties to Russian gas and Vienna’s role as a diplomatic hub, has become a particularly attractive target for Russian intelligence seeking influence over European energy markets.
The executive, temporarily seconded to Abu Dhabi National Oil Company (Adnoc), reportedly had access to sensitive information on both OMV and Adnoc, which are planning a $60 billion merger of their polyolefin businesses.
OMV confirmed the termination and said it is cooperating with authorities.
Austria’s Foreign Ministry summoned the Russian diplomat to Vienna, requesting a waiver of diplomatic immunity amid pending criminal proceedings. Authorities said the diplomat would otherwise be considered persona non grata.
Since Russia’s full-scale invasion of Ukraine in 2022, European law enforcement agencies have reported a significant escalation in Russian spy activities. These include recruitment of local citizens as “proxies” and the targeting of companies with access to sensitive infrastructure data.
Recent arrests across the UK, Germany, and other EU nations have revealed coordinated networks. These networks use diplomatic cover, social media recruitment, and corporate infiltration to gather intelligence and conduct sabotage operations.
© Doug Mills/The New York Times